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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 21:20

boigny-HOUPHOUET

En côte d’ivoire d’aujourd’hui, tout grand parti unifié des pratis Houphouetistes doit impérativement s’appeler PDCI-RDA de FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

 

 

Dans ces conditions l’Houphouetisme y rentrera. Que la nature protège la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY

 

(En-un-mot)

lepetitfils da candy

Quand il y a le feu à la maison tout Houphouetiste se doit de refuser l’enfermement sectaire et partisan, les replis clanisme fondé sur la défense des intérêts individuels et privilégier l’union de tous.

 

 

Pour rester dans la suite de l’action politique de Félix Houphouët-Boigny, il faut bloquer en 2015 cette dynamique démoniaque mortifère du pouvoir sanguinaire actuel (trop de morts de citoyens 7000 au total) et renverser ce système pervers désertique pour replacer l’être humain au centre du débat. Pour y parvenir, il faudra que tous les fausses partisanneries, les antagonismes inutiles artificiels et la division dissolvante soit dépassés.

 

 

Le choix alors est simple : soit la division généralisée, les uns contre les autres dans un capharnaüm kafkaïen. Soit mener le combat régénérateur et salvateur, mais tous ensembles pour reconquérir le pouvoir en 2015 fin ultime de tout parti politique y compris le PDCI de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Pour changer ce pays la côte d’ivoire, qui n’est plus qu’une immense déchirure sociale et sociétale, dispensatrice de désespoir, de misère et de désolation plus de 7000 morts à ce jour. Le bonheur dans une nation ne se limite pas au développement économique.

 

 

Le défi ici a notre sens, est de demeurer contre vents et marrées les dignes héritiers des Félix HOUPHOUET BOIGNY « en tête »et ses compagnons (Koné Samba Ambroise, Séri Koré, Djibo Sounkalo, Ladji Sidibé, Vamé Doumbia, Zamblé Bi Zamblé). Et tous ceux du Syndicat Agricole Africain. Donc que l’on se détrompe dans l’arène politique ivoirienne, après la guerre agression contre la côte d’ivoire déclenché en 2002 jusqu'à ce jour, guerre d’agression qui fait plus de sept milles morts (7000 morts) et la continuité de la crise qui fait chaque jour de nouveaux morts, a conduit le peuple ivoirien a évalué le pouvoir actuel de la Rencontre Des Ripoux (RDR) et est arrivé à la conclusion suivante : pour raffermir l’unité de la nation, préserver la paix sociale, instaurer la justice dans légalité de tous, ramener la prospérité comme sous le père fondateur FELIX HOUPHOUET BOIGNY et restaurer l’image ternie de la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY défigurée à jamais, qu’il doit se débarrasser de ce pouvoir sanguinaire en 2015, devoir absolu de citoyen.

 

 

Alors donc, comme tout parti politique qui se plait dans le rôle d’Appoint, a un autre parti politique perd son substrat politique, qui est la logique résultante de la dénaturation de son essence philosophique et finit par disparaitre du paysage politique. Donc il est plus que possible de se débarrasser de ce pouvoir sanguinaire actuel de la Rencontre Des Ripoux (RDR) en 2015. Sauf si les partis politiques ivoiriens se complaisent dans le rôle d’appoint a ce pouvoir sanguinaire en place aux prix du feu et du sang, qui ne renoncera jamais à l’intérêt particulier, pour lequel l’existence en politique se réduit et se résume à se remplir les poches de deniers publics et à conquérir le pouvoir par n’importe quelle manière et moyen, même en truquant les élections et en marchant sur les milliers de cadavres citoyens.

 

 

Tout étant monnayable en politique ivoirienne aujourd’hui une idée funeste, mortifère, glauque et visqueuse d’une unification hybride de partis politiques aux essences très opposé fait son chemin atteler a des intérêts personnels et égoïstes. Or la logique politique exige qu’en 2015 si par extraordinaire, il doit y avoir une unification des partis politiques se disant Houphouetistes, ce grand parti unifié des pratis Houphouetistes doit impérativement s’appeler PDCI-RDA de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Dans ces conditions l’Houphouetisme y rentrera.

lepetitfils da candy

LEPETITFILS  DA CANDY

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25 octobre 2013 5 25 /10 /octobre /2013 14:32

 

8216

Un tribunal pénal international (TPI-CI)  de création onusienne (conseil de sécurité) est une nécessité absolue pour la paix nationale en côte d’ivoire, la paix internationale et partant la paix et la sécurité de l’humanité.

 

 

 

En l’absence d’un consensuel accord  général sur le principe d’une Amnistie général référendaire, qui pour être valide doit bénéficier d’une approbation populaire de au MOINS 50% de Oui de l’électorat de/dans chacune des régions administratives et d’une approbation populaire de PLUS 50% de l’électorat total national inscrit au moment du référendum sur les listes électorales. (Taux de pourcentage de Oui et non taux de pourcentage de participation).

 

 

 

Nous à la légitimité citoyenne, ne cesserons jamais d’appeler un Tribunal Pénal International pour la côte d’ivoire (TPI-CI) totalement autonome et indépendant, plus qu’un expert indépendant de l’ONU. Tribunal Pénal International pour la côte d’ivoire (TPI-CI) que d’aucuns disent déjà qu’il serait un monstre déchainé dans l’espace politique ivoirien, qui fera des énormes ravages dans le paysages politiques ivoirien.

 

 

 

Nous, nous préférons ce Tribunal Pénal International pour la côte d’ivoire (TPI-CI) totalement autonome et indépendant plus qu’un expert indépendant de l’ONU, qui serait quadrillé par des normes juridiques internationales prescrites, qui lui sont infranchissables. Donc confiné dans son champ d’application mécanique, à la cour pénale internationale « CPI » dans sa forme actuelle, qui s’affirme de plus en plus comme une juridiction des vainqueurs et de formalisme judiciaire théâtral. Et dont le statut juridique la restreint dans un simple rôle de complémentarité judiciaire aux états partis, mêmes dirigés par des criminels. (La cour pénale internationale (CPI) est une juridiction complémentaire de celle des États, (même criminels) ».

 

 

Donc il est clair que : Ni la justice ivoirienne dont le levier se trouve entre les mains d’un des deux belligérants de la guerre d’agression contre la côte, qui a autant commis plus de crimes, que la partie belligérante vaincue. Nila cour pénale internationale (CPI) dans sa forme actuelle, dont la compétence est soumise au principe de complémentarité, donc aux bons vouloirs des états partis à son statut, même si ses états sont criminels, ne peuvent assurer une justice impartiale dans la répression des crimes contre l’humanité commis en côte d’ivoire, suite a la guerre d’agression déclenchée en septembre 2002 contre la côte d’ivoire.

 

 

Si la côte d’ivoire doit sortir de cette sale crise qui a fait près de sept milles (7000) morts aujourd’hui, par la voie judiciaire internationale, il nous faut absolument un tribunal pénal international (TPI-CI)  de création onusienne (conseil de sécurité). Dont la création résulterait ainsi de la décision d’un organe international (conseil de sécurité) disposant du pouvoir de prendre des décisions obligatoires à l’égard de l’ensemble des Etats membres des Nations Unies. Non seulement la création d’un tel tribunal s’impose de droit international général à l’humanité, mais sa compétence pénale serait obligatoire a l’égard  tous (Etats membres des Nations Unies). Ce tribunal pénal international (TPI-CI)  de création onusienne (conseil de sécurité) est une nécessité absolue pour la paix nationale en côte d’ivoire, la paix internationale et partant la paix et la sécurité de l’humanité.

 

 

 

De : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force


 

conseil de sécurité en cession.OK-ok-ok

 Un tribunal pénal international (TPI-CI) pour la paix nationale en côte d’ivoire, la paix internationale et partant la paix et la sécurité de l’humanité.

lepetitfils da candy

 

 

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 15:38

conseil de sécurité en cession.OK-ok-ok

L’Afrique n’affronte aucune honte en se retirant d’une juridiction de façade créer pour ratifier des décisions téléguidées prises d'avance par les puissants de ce monde.

 

 

« Se dire et se rédire pour rassurer de l’impossibilite de toute idée de reddition face a une juridiction de facâde»

lepetitfils da candy

 Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

 

L’Afrique ne saurait attendre d'une parodie de justice ratifiant une décision téléguidée prise d'avance par les puissances ou les puissants. C’est ce que les Africains attendent de leurs dirigeants.

 

 

Si la fonction primaire d’un système judiciaire est d’être équitable, non-sélective, non-sens unique a l’image du droit qu’il applique. L’Afrique n’affronte aucune honte en se retirant d’une telle juridiction d’adhésion de façade comme la cour pénale internationale « CPI ».  L’Afrique ne doit pas attendre d’une parodie de juridiction dite internationale pénale dont les décisions épargnent les criminels de guerres des puissances mondiales et autres puissants bouffons aux pouvoirs d’état de par le monde.

 

 

Un système judiciaire se doit d’être équitable, non-sélective, non-sens unique a l’image du droit qu’il applique. Donc d’être socialement et politiquement intégratif, il sert à atténuer les éléments potentiels de conflit et à lubrifier le mécanisme des rapports sociaux, a fin de garantir la paix sociale pérenne. En effet, c’est seulement dans l’équité judiciaire, dans la non-sélectivité judiciaire, dans le non-sens unique judiciaire a l’image du droit, que le système des interactions sociopolitiques peuvent fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents.

 

 

Or la cour pénale internationale (CPI) dans sa forme actuelle est au service des puissances ou des puissants. Aussi sa compétence est soumise au principe de complémentarité, donc aux bons vouloirs des puissants états partis à son statut, même si ses états sont criminels, cette cour pénale internationale (CPI) n’a pas sa raison d’être, comme juridiction internationale pénale.

CPI-SIEGEBENSOUDA

 En clair, la cour pénale internationale (CPI) n’a pu résoudre le sérieux problème du principe d’une juridiction pénale internationale permanente qui se pose à l’humanité depuis 1945.

 

 

La cour pénale internationale est une juridiction politique des puissances ou des puissants et des vainqueurs de guerres quelques soient les crimes qu’ils auront commis pour juger les vaincus de guerres criminels ou pas. Le seul crime que la cour pénale internationale juge c’est le crime d’être vaincu de guerres ou vaincus de compétitions politiques…

 

 

Contrairement aux allégations courtisanes des soutiens de la cour pénale internationale visant l’Afrique. Le cadre juridique créé par le Statut de Rome, le traité fondateur de la Cour pénale internationale est totalement politique, dépendante aussi totalement du bon vouloir des puissances et des états puissants. Cela, que çà soit dans le cadre des poursuites judiciaires téléguidées et dans le cadre des adhésions facultatives a la compétence de la cour pénale internationale. 

 

 

Donc l’Afrique n’affronte aucune honte en se retirant d’une telle juridiction  de façade créer pour ratifier des décisions téléguidées prises d'avance par les puissances ou les puissants de ce monde.

Lep-d-c-2-copie-1

 De : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 15:02

8216 

 

 

De: Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé polititique de force

lepetitfils -g

contact: article9et 14duh_article3ctun@hotmail.fr


 

 Aujourd’hui il n’y a pas deux (2) postulats, mais un seul pour l’ivoirien, lutter tous ensemble ou périr chacun cloitré  dans son coin et derrière son égo. Depuis le mois de septembre 2002 jusqu’à la date de septembre 2013, la crise ivoirienne résultante d’une guerre d’agression armée venu juste derrière nos frontières ivoiriennes, a fait a ce jour plus de sept milles « 7000 » morts de citoyens zigouillés sur l’autel d’une conquête, dont quatre milles « 4000 » citoyens/hommes morts pendant la seule période de la crise postélectorale (2011-2013). Il est temps de faire arrêter cette machine broyeuse d’être humain, dispensatrice de misère et de désolation, sinon se taire, ce serait se faire complice de l’inacceptable et de l’injustifiable. Du 11 septembre 2013 au 14 septembre 2013 cette barbarie n’a-t-elle pas fait neuf (09) morts à YAMOUSSOUKRO, des morts qui sont les derniers a ce jour, en attendant de nouveaux morts ?

 

 

Nous ne sommes pas autant privés d’Humanité, pour se taire sans aucune réaction pour assister a la dégénérescence de notre patrie, avec chaque jour des civils innocents tué pour protéger des intérêts mafieux, des barbares d’une guerre d’agression déclenché le 19 septembre 2002. Nous ne sommes pas autant dédouanés d’Honneur, pour se taire sans aucune réaction, pour accepter un Hold-up, un kidnapping socio-politico-économique, des soudards ploté par un carriériste pathologique et arriviste renégat, à la tête d’une troupe de politicards criminels, voleurs, vandales, sans foi, ni loi, sans humanisme ni honneur, ni dignité, qui sont venus souiller de leurs armes d’impies, prêter au dossiers obscurantiste juste hors de la frontière de la Terre béni de nos ancêtres, la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Non ! Nous ne serions nous taire, comme tout bon homme politique digne de ce Nom. Parce que mieux vaut mourir sur le champ d’honneur débout, que de vivre cent « 100 » ans a genou dans le déshonneur.

 

 

Un mouvement politique ne doit jamais se taire tant que l’essentiel est en jeu. La grandeur d’un mouvement politique n’est pas dans la foule qu’il peut drainer dans son meeting, mais plutôt dans ses actions capables d’orienter et de  réguler l’action publique des gouvernants et les mouvements sociaux de la vie sociale de son pays, et surtout sa capacité à anticiper les perspectives d’avenir de paix socio-politico-économique de la société dans laquelle il vie ou excelle.

82duekoue-massacres rebelles

Regardons la majorité des responsables civils et militaires des ex-Forces Nouvelles aujourd’hui, exécutants des ordres de Ouattara, ils sont devenus des multimilliardaires et possèdent de grandes maisons partout dans le pays, partout en Afrique et de par le monde, qui n’est autres choses que la résultante d’un Hold-up parfait et de kidnapping politico-économico-social réussi. Et Ouattara le commandant en chefs lui-même, commanditaire des crimes de ses soudards, s’active à la fabrication d’une fratrie de multimilliardaires pour assouvir un vieux dessein de dynastie socio-économique. Ce boulon-sangsue videra la côte d’ivoire de toutes ses ressources économico-financières à leurs profits si le peuple reste inerte.

 

 

Durant cette période de la suite de la guerre d’agression déclenchée le 19 septembre 2002 dite crise postélectorales, les soudards commandité par/de Ouattara qui ont fait a ce jour 7000 morts) co-auteurs de la guerre d’agression, dont les plus gradés dans l’armée régulière était les sergents, quand aux civils d’autres n’avaient jamais eux un salaire au paravent, sinon des salaires de misères a la hauteur de leurs niveaux intellectuels et qualifications professionnels, ont commis sous l’ordre de Ouattara des viols, des meurtres, des massacres, des passages à tabac, des détentions arbitraires illimitées, des sabotages communautaires, des tortures, des humiliations physiques et morales, des épurations ethniques ( Duékoué), des assassinats, des exécutions sommaires et des massacres de masses (comme à Duékoué, Guitrozon et partout dans le pays) qui ont été le lot quotidien des habitants de côte d’ivoire.

 

 

Il faut le répéter, ces « criminels de guerre FRCI » ont été, avant la guerre d’agression déclenché en septembre 2002, sergent, caporaux, soldats de rangs, vigiles de société de gardiennage ou des gardiens particuliers, cireurs de chaussures, apprenti-chauffeurs, jeunes chômeurs et/ou désœuvrés, enfants délaissés dit enfant de la rue, chauffeurs de Gbâkâ ou de taxi/compteur, serveurs de bar ou d’Hôtel, technicien de surface, mécaniciens-auto, bref les exerçants des petits métiers prolétariens et des hommes d'affaires véreux, politicards en mal d’assise politique et de popularité. Et patatras ! Du jour au lendemain, ils sont devenus chiens de guerres, soldats de rang, militaires de carrières, chefs militaires ou tueurs a gage/sicaires au service d’un carriériste pathologique. Ils ont décidé, parfois de tué sur ordre de ce carriériste pathologique, mais son ordre n’était pas toujours nécessaire, l’objectif fixé suffisait, le pouvoir par les armes, les fusils jusqu'au palais présidentiel,  (Ils ont décidé, de tué) ceux qui ont vécu en paix à leurs côtés depuis des années « 1960-1999 » en côte d’ivoire qui sont passés de voisins à ennemis, leurs terres et leurs biens immobiliers n'étaient plus les leurs, leurs vies n'avaient plus d'importance, parce que réduit à  des partisans de GBAGBO l’ennemi. Voilà la réalité de la côte d’ivoire d’aujourd’hui, qu’aucun maquignonnage, qu’aucune pantalonnade ne saurait cacher ou éluder. C’est çà la vérité !

 

 

Il en va de la médecine comme de la politique. Il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Donc il convient de redire ici encore, parce que c’est en pilonnant sans cesse, que la petite goutte d’eau finit par transpercé les grands rochets de plusieurs dizaines de mètres  d’épaisseurs que, nos dirigeants déclencheurs de la sale guerre d’agression des conquérants piloté par un dirigiste carriériste et arriviste pathologique, a la solde d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux, aveuglé par le pouvoir d’état et assis sur un communautarisme de rattrapage comme support politique ont l’esprit ailleurs, sinon dans leurs poches, pour faire de quelques uns des multimilliardaires. Donc une catastrophe sociopolitique les intéresse moins, puisque cela permet leurs enrichissements illicites.

 

 

Alors même qu’il n'y a pas lieu de remettre en cause la démocratie pluraliste du fait de la défense d’intérêts partisans, claniques, communautaires ou communautaristes par une politique périlleuse pour la nation. Mais plutôt de dire les choses, quand elles vont bien et quand elles vont moins bien, dans l’organisation sociale pour un destin meilleur. Sans excès, ni dramatisation, mais avec franchise et détermination au terme d’une analyse tiède répétitives. Tout homme politique se doit de s’efforcer démontrer en politique qu'il apporte une valeur ajoutée à l'action politique/publique de son pays qui profite à la nation une et indivisible. C’est pourquoi le travail des responsables politiques, ce n'est pas de chercher des postes et titres  à chaque occasion ou de céder à la panique de la perte du pouvoir face a l’adversité. Faire la politique c’est défendre un idéal. C’est servir le peuple et non le massacrer pour se servir. C’est agir dans l’espace public, pour transformer  son pays conformément à un idéal sociétal. C’est réaliser ses convictions politiques et idéologiques, pour enfin tenir ses engagements sociétaux.

 

 

Or aujourd’hui le pouvoir mafieux qui s’exerce sur le peuple ivoirien est devenu quasi imperceptibles, parce qu’obscurantiste et sectaire. Les vrais hommes d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux, qui ont le pouvoir et qui décident de la vie du peuple ivoirien malgré lui, n’apparaissent pas sur le devant de la scène politique nationale. Ils exercent leurs pouvoirs de façon souterraine via leurs boys de luxe, obscurantiste et sectaire, tout en restant eux même perché avec les jumelles millimétriques sangsues dans/au sommet des grandes institutions financières dirigé par leurs mafia des grands usuriers internationaux (l’argent, rien d’autre que l’argent idole qui doit commander tout) . Et entasse au sein d’une camarilla mafieuse de camaraderie, autour des tables de convives nocturnes des grands intérêts mafieux de fraternités occultes. Désormais presque toujours, à de rares exceptions près « alliés », nos dirigeantes d’états ivoiriens et nos hommes politiques ivoiriens ne sont plus que des exécutants, voire de simples marionnettes au service des véritables maîtres et décideurs, que sont les grandes institutions financières dirigé par une mafia des grands usuriers internationaux, lesquels demeurent dans l’ombre, ignorés et inconnus du peule ivoirien et du grand public de la vie desquels ils décident unilatéralement.

 

 

c’est parce qu’une route non balisée risque fort de ne mener nulle part, que la côte d’ivoire ne doit pas entrer dans une chambre a gaz du dirigisme économique préconstruite, l’ivoirien ne doit pas accepter d’être enfermer dans une prison de morts programmé par un système dirigiste fondé sur un communautarisme de rattrapage comme socle politique. C’est dans l’union de tous, avons-nous dit et toujours répéter « un tous ensemble » que les citoyens seront capable de faire pièces a cette dictature, c’est à dire lutter tous ensemble ou périr chacun cloitré  dans son coin et derrière son égo chacun de son côté. Et ainsi laisser les soins à quelques uns de continuer leurs enrichissements illicites grâce aux deniers publics et d’en faire d’une fratrie des multimilliardaires, pour assouvir un vieux dessein de domination sociopolitique, par le bien matériels, puisé dans les caisses publiques et dans les ressources naturelles souveraines de l’état ivoirien.

boigny-HOUPHOUET

 Donc aujourd’hui il n’y a pas deux (2) postulats pour l’ivoirien. A défaut d’une Amnistie générale référendaire consensuelle, appellative d’une Décomposition/Recomposition politique salvatrice pour la nation une et indivisible. Il faut vivement un tribunal pénal international (TPI-CI) pour la côte d’ivoire de création onusienne « conseil de sécurité ». Parce qu’au vu du constat fait par ce qui précède ci-dessus, la côte d’ivoire n’est plus qu’un état voyou, un état policier, et un état paria ou règne toute sorte de criminel, la côte d’ivoire est devenu un pays de merde dans le concert des nations policées. Donc la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY doit s’apprêter a vivre des procès judiciaires internationaux sur plusieurs dizaines d’années. Parce qu’il existe mille manières de faire sauter les verrous de l’autorité de la chose jugée d’une décision qui ne condamne pas tout les criminels impliquer dans les crimes mêmes dont condamnation. Il existe aussi mille manière d’ouvrir des dossiers de crimes dont des criminels ce sont autoamnistié après s’être fait exonérer de droit de poursuite judiciaire au cours des procès qui ont condamné d’autres.

 

 

Notre prise de position pour l’Amnistie générale référendaire est édictée par la recherche inlassable, par fois ingrate de la stabilité sociopolitique et de la paix sociale pérenne. A notre sens l’Amnistie générale référendaire reste la meilleure porte de sortie de cette sale crise monstrueuse qui a fait plus de sept milles (7000) morts, ou tout le monde est coupables à divers degré de, auteurs directs à auteurs indirects, de coauteurs directs à coauteurs indirects, de complicités actives à complicités passives, de recéleurs actifs à receleurs passifs etc. Aussi comme tout préjudice subi est un acquis juridique qui ouvre en réparation en droit. Il n’y a aucun in-humanisme en cela si les victimes sont dédommagées. Donc il reste pour l’ivoirien un seul postulat, lutter tous ensemble ou périr chacun cloitré  dans son coin et derrière son égo chacun de son côté.

 

 

De Lepetitfils DA Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

gbagbo-alassane--RETRO-OKlepetitfils da candy

Contact : article+9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 14:49

Simone visage

 EHIVET  Simone Gbagbo

 

 

De Lepetitfils DA Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

lepetitfils da candy

Contact : article+9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

 

L’idée toute faite des mendiants ou monarchistes, politicards, hier intellectuels au dessus de tout soupçons, qu’en côte d’ivoire, Ouattara seul détient la vérité, Ouattara est désormais la vérité, tout le reste du peuple n’est donc que mensonge. Ouattara c’est le bien venu du ciel, tout le reste du peuple n’est qu’incarnation du mal, constitue un danger pour la cohésion sociale, pour l’harmonie communautaire, et pour la paix sociale pérenne dans la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

  

 

Aujourd’hui le préalable a toute réconciliation vraie, a tout dialogue politique sincère en côte d’ivoire est qu’au terme d’une contrition publique, d’une repentance sincère, Ouattara reconnait, qu’il porte lui aussi, une lourde responsabilité dans les crimes contre l’humanité commandités par ses soins (ordre) et commis par ses fantassins  en Côte d’Ivoire pendant la guerre d’agression, qu’il a sciemment déclenchée en septembre 2002, a fin de conquérir le pouvoir d’état par les armes.

 

 

Parce qu’il n’y a pas de réconciliation vraie entre peuples ou entre des groupes sociaux, aussi parce qu’il n’y a pas non plus de dialogue politique inclusif, républicain possible entre opposition politique et pouvoir politique, quant les jeux sont truqués d’avance. Donc le postulat de la réconciliation nationale ivoirienne est simple aujourd’hui, Ouattara doit reconnaitre publiquement, qu’il porte lui aussi, une lourde responsabilité dans les crimes contre l’humanité commandités par ses soins (ordre) et commis par ses fantassins  en Côte d’Ivoire pendant la guerre d’agression, qu’il a sciemment déclenchée en septembre 2002 a fin de conquérir le pouvoir d’état par les armes.

 

 

Pour a fin d’aboutir a une Amnistie générale référendaire consensuelle. A défaut de cette Amnistie générale référendaire consensuelle, vivement un tribunal pénal international (TPI-CI) pour la côte d’ivoire de création onusienne« conseil de sécurité ». Parce qu’aujourd’hui, la côte d’ivoire n’est plus qu’un état voyou, un état policier, et un état paria ou règne toute sorte de criminalité. Du 11 septembre 2013 au 14 septembre 2013 n’a-t-elle pas fait encore neuf (09) morts à YAMOUSSOUKRO ? Les décomptes macabres continus parce qu’on omet sciemment de dire la vérité et de faire le réel qui peuvent guérir la côte d’ivoire de FÉLIX HOUPHOUET BOIGNY.

 

Ouattara refuse de transférer Simone EHIVET Gbagbo, devant la CPI. Et qui doit danser ???

 

De Lepetitfils DA Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

Laurent-Gbagbo Alassane-Ouattara

Contact : article+9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 14:06

82assemblee nationale.7

La loi Alassane Ouattara sur la nationalité ivoirienne est manifestement à but électoraliste. Elections générales de 2015

 

  Les recommandations sur le  traitement de la nationalité ivoirienne, calquer sur l’option Française de l’acquisition de la nationalité, lors de la table ronde de Linas-Marcoussis ne s’impose pas à la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY état souverain.

 

  Si la côte d’ivoire est devenue république en 1958 et ensuite une nation souveraine le 07 aout 1960, l’assiette territoriale, elle devenue république et nation, ainsi nommée, côte d’ivoire existait depuis des siècles et des siècles et était occuper par des groupes sociaux pour ne pas dire des tribus, qui ont accueillit ce qui veulent refuser aujourd’hui d’être appeler étrangers, qui ont été accueillit hier a bras ouvert sur leurs terres immémoriales ancestrales, par ces mêmes groupes sociaux ou tribus.

 

 

C’est ce qui a motivé la tentative de naturalisation ciblée de Félix Houphouët Boigny de 1966.

 

Donc l’assiette territoriale appeler aujourd’hui côte d’ivoire, existait depuis des siècles et des siècles, avant l’arrivée du colonisateur au 14e siècle. Ce n’est donc pas le colonisateur (la mère patrie la France) qui a créé l’assiette territoriale qui était déjà occupée, quelle n’a fait que, organiser en une entité nationale souveraine, sans enlever leurs autonomies aux groupes sociaux et tribus ataviques, qui la composaient sur leurs terres immémoriales déjà avec frontiérisme entre eux.

 

 Il « le colonisateur (la mère patrie la France)  n’a fait que harmoniser et solidariser les relations entre ces groupes sociaux et tribus, qui avaient accueillit a bras ouvert sur les terres ancestrales, ataviques, immémoriales, des étrangers venu d’autre contrée. Ou ils « étrangers » sont propriétaire terriens, pour en nommer la nouvelle entité morale la côte d’ivoire, nation une et indivisible avec une population composée des autochtones et des étrangers venu d’autre contrée.

 

  «Donc n’oublions jamais que, l’état est et reste une conception dominante des sociétés modernes, dans laquelle par la seule manière dont la population atavique, renonce à une partie de soi, à une partie de sa liberté naturelle et entrer dans les rapports d’une société commune, est celle dont on s’entend avec les autres groupes sociaux ou tribus, afin de s’unir en une communauté une et indivisible. En vue d’un mode de vie commode, sûr et paisible de chacun, dans son périmètre de propriétés terriennes coutumières et immémoriales, tout en admettant comme étrangers, ce qui ne sont pas membres de ladite communauté. C’est pourquoi quand le sage parle de la peuplade de l’assiette territoriale qu’on appelle aujourd’hui côte d’ivoire, il parle des faits de 1898 comme c’était aujourd’hui ce midi là.

carte-d-ivoire administrative

 Quand on ruse avec le feu il finit par bruler très gravement. Le choix par des politicards et des juristes aux âmes vendu d’utiliser le mensonge, la manipulation, les micmacs, et zigzags communautaristes comme fond de commerce est celui d’entretenir le chaos social pour protéger des intérêts partisans.

 

  Hélas, milles fois hélas, cela au moment où notre cher état mal piloté par des politicards, peine à remonter à la surface des profondeurs abyssales d’une crise sociale aiguë créer par ceux-là même qui l’entretiennent sciemment « crise de droit, crise civique et morale, crise de confiance, crise de légitimité du pouvoir d’état, crise de vérité crise, crise d’option de nationalité et il s’en suit une crise identitaire ».

 

  Hélas, milles fois hélas, cela au moment où, installés confortablement dans les avantages très juteux indus parce qu’acquis au terme d’un déni d’élection, nos dirigeants nous affligent de discours creux déconnectés de cette réalité politique criminel, mensongère et manipulatrice a des fins électoralistes.

 

  Hélas, milles fois hélas, cela, au moment où nos ressources naturelles souveraines très étroitement liées à l’état de droit et à la souveraineté étatique, ont été systématiquement pillées par des rebelles communautaristes, criminels et voleurs.

 

  Hélas, milles fois hélas, cela au moment où les caisses de notre état souffrent exsangues du fait des pillages de ses revenues caissières elle-même, pour rendre quelques uns en mal de dynastie et de royauté multimilliardaires pour assouvir un dessein de domination sociale.

 

  Ces balafrés qui sont a l’origine de la grave crise ivoirienne de 1999 à 2011, qui a balafré dit-on la côte d’ivoire, sinon elle ne serait jamais comme l’on dit balafrée. Ces politicards et des juristes aux âmes vendues prospèrent dans l’usage du mensonge, de la manipulation, des micmacs, et des zigzags communautaristes comme fond de commerce pour entretenir le chaos social pour protéger des intérêts partisans. La loi Alassane Ouattara sur la nationalité ivoirienne, manifestement à but électoraliste devait aller plus loin a-ton entendu…

 

  Il en va de la politique comme de la médecine, il n’est pas de bonne thérapie sans un juste diagnostic. Dans tous les cas le mal est là, le danger est là, avec orchestration des aversions et hostilités pour les citoyens ataviques, on peut dire désormais sans se tromper, que le volcan dort sur la terre de nos ancêtres.

 

 

Quand on ruse avec le feu il finit par bruler très gravement

lepetitfils da candy

 

De ; Da Candy Lepetitfils leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

 

 

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2 septembre 2013 1 02 /09 /septembre /2013 13:35

FHB-copie-1

FELIX HOUPHOUET BOIGNY avait déjà tenté en 1966 d’accorder la double nationalité ivoirienne par la procédure de naturalisation, aux ressortissants des pays du conseil de l’attente, qui voulaient ou souhaitaient devenir ou être ivoiriens. 

 

 

 

(Déclaration universelle de Droit de l'homme des Nations-Unies 1948: Art 15 : « Tout individu à droit a une nationalité, nul ne peut être arbitrairement privé de sa nationalité ni du droit de changer de nationalité ».)

 

De : Da Candy Lepetitfils leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

lepetitfils da candy

Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr 

 

 

Il n’y a pas de problème de nationalité ou d’apatridie en côte d’ivoire, mais il y a un problème d’option « Droit/Faculté de choisir entre plusieurs situations juridiques » de la nationalité. C'est-à-dire le passage de l’option que la côte d’ivoire s’est souverainement dotée depuis l’indépendance qui est le droit du sang (système dit  (jus sanguinis) et l’option calquer sur le système Français qui est  le droit du sol (système dit du jus soli). En fait, le rôle respectif de ces deux systèmes doit varier selon les circonstances et les tempéraments individuels, l'option est avant tout d'ordre politique, et doit tenir compte des intérêts souverains des Etats. Aucun pouvoir politique d’état souverain, n’a le droit de transcender le mur entre les deux options  « (système dit du jus sanguins et (système dit du jus soli) » différentes sans consulter le peuple souverain, détenteur ultime de la souveraineté étatique.

 

 

L'option fondamentale ivoirienne pour la reconnaissance de la nationalité est le principe de la transmission par la filiation, par le droit du sang (jus sanguinis), ainsi l'enfant reçoit en naissant la nationalité de son père et de sa mère. Or le principe du droit du sol « jus soli » présume que tout enfant qui naît sur le territoire d'un Etat reçoit par reconnaissance la nationalité de cet Etat quelle que soit la nationalité de ses parents. Mais la nationalité ainsi reconnue est essentiellement provisoire, du fait que l'intéressé sera « réputé n'avoir jamais acquit la nationalité » si, au cours de sa minorité, sa filiation est établie à l'égard d'un étranger ou s'il a conformément à la loi nationale de son parent, la nationalité de celui-ci.

 

 

Donc il ne faut pas confondre la question de la nationalité et le principe de nationalité qui est optionnel. La nationalité est essentiellement une question de souveraineté : celui qui a la nationalité d'un Etat la possède en raison d'un statut unilatéralement imposé par cet Etat souverain. C’est pourquoi le droit de la rationalité se distingue des droits de l'homme par son caractère positif. Il est le droit rattaché à la souveraineté de chaque état. En effet, il appartient à chaque Etat à son accession a la souveraineté nationale et internationale de déterminer souverainement par sa législation quels sont ses nationaux « ceux-ci est d’ailleurs prescrit par le droit international ». Ainsi le principe est que la nationalité est octroyée ou reconnue par un Etat donné selon sa souveraine appréciation. C'est un droit inaliénable de tout état qui ne laisse qu'une part limitée aux aspirations des individus ou des groupes d'individus vivant dans son assiette territoriale.

 

 

Ce qui signifie qu’en règle générale optionnelle de droit de la nationalité, on ne choisit pas sa nationalité, on est national ou étranger selon une détermination strictement juridique laissée pour l'essentiel à l'appréciation de l'Etat souverain et dans laquelle les aspirations individuelles n'ont qu'une part limitée. Donc c’est l’option originelle de nationalité choisie souverainement par la côte d’ivoire depuis l’indépendance qui est le  (système dit du jus sanguins) qui pose problème. Et au surplus la constitution ivoirienne de 2000, manifestement non-technicisée « non-technifiée en droit» en son art-35 en rajoute a la rigidité juridique sur la nationalité ivoirienne, en consacrant une différence entre deux enfants du même père ou de la même mère, si un d’entre eux, est né d’une mère étrangère ou d’un père étranger, qui devient ainsi un demi-citoyen, qui ne peut postuler au poste de président de la république.

 

 

Tout ceux-ci sont la résultante du fait de voir des étrangers cumuler deux nationalités et le rejet de l'acquisition de force de la nationalité, qui amènent les autochtones à repousser souvent, ce qu'ils considèrent comme l'usurpation de leurs droits coutumiers, civils et politiques par les populations étrangères. Alors que depuis l'indépendance à nos jours, le législateur a du mal à régler ce problème nonobstant les sanglants conflits, dont la résolution n’est pas une partie de théâtre d’ombre entre ripoux d’une table des convives, parce que très socialement sensible.

 

Donc il faut rassurer sans équivoque, les autochtones dans leurs droits immémoriaux, terriens coutumiers ataviques, et changer d’option de nationalité, c’est à dire passer avec l’aval du peuple souverain de  «l’option droit du sang (jus sanguinis) à l’option droit du sol (jus soli)» de façon non-rétroactive. Et permettre par conséquence au terme d’un système non dualiste de nationalité, aux personnes nées en côte d’ivoire a partir du 07 aout 1960, d’acquérir la nationalité par naturalisation très simplifiée. Ainsi tenant compte des lieux d’archivages des registres de naissance à partir du sept (07) Aout 1960, créer des sections ou bureaux de naturalisations dans toutes les juridictions nationales qui doivent être dirigé par des fonctionnaires d’état affectés a cette fin et dans tout les démembrements du pouvoir exécutif mairies, sous-préfectures, préfectures de recevoir et instruire lesdits dossiers de naturalisations. Naturalisation qui doit proscrire tout dualisme de nationalité. Et de délégué de droit constitutionnel, la signature des dossiers admis au terme de la procédure de la naturalisation aux préfets de régions et aux gouverneurs de districts. Ainsi chaque ivoirien naturalisé votera aux cours des élections par convictions politiques ou par confiance dans un programme de gouvernement dans l’intérêt supérieur de sa nation une et indivisible et non par reconnaissance pour avoir été fait ivoirien par un individu fut t-il imposé aujourd’hui président de la république. 

 

 

 

Parce que la liberté souveraine étatique concernant l’option souveraine de la nationalité adopter souverainement par un état souverain, entraîne une conséquence qui constitue une autre donnée générale du droit de la nationalité, à savoir les conflits de nationalités qui se présentent soit sous forme de conflit négatifs/positifs (cumul de nationalités par un seul individu). Donc le non-dualisme de nationalité en côte d’ivoire état souverain, est une mesure qui tendrait à rendre ce genre de conflits impossible.

 

 

Ce genre de conflit se  caractérise par la revendication par une communauté nationale de son identité menacée. Il est aussi une situation sociale où des acteurs de conflits en interdépendance, soit poursuivent des buts différents, défendent des valeurs contradictoires, ont des intérêts divergents ou opposés, soit poursuivent simultanément et compétitivement un même but protéger par un droit inaliénable. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny

carte-d-ivoire administrative

 Il faut souligner ici que, le visionnaire FELIX HOUPHOUET BOIGNY avait déjà tenté en 1966 d’accorder la double nationalité ivoirienne par la procédure de naturalisation, aux ressortissants des pays du conseil de l’attente, qui voulaient être ivoiriens. Mais le projet a échoué a l’Assemblée nationale et sous la pression des populations (ils vont nous prendre nos institutions républicaine, partant le pouvoir exécutif de notre pays, et nos terres ataviques, propriétés coutumières immémoriales) sur ceux FELIX HOUPHOUET BOIGNY retira le projet.

 

 

Aujourd’hui le constat est clair et sans équivoque, si le sage d’Afrique, FELIX HOUPHOUET BOIGNY, cet exemple d’ouverture sur le monde universel et apôtre de la paix, qui au soir de sa vie, on retrouvait au moins dans tout ses discours, cinq « 5 » fois le mot paix « comportementale » a eu tort d’avoir raison très/trop tôt ( aujourd’hui sa bâtisse œuvre de toute sa vie, la côte d’ivoire a été détruite en onze « 11 » ans seulement de 1999- 2002- 2010 par un arriviste et carriériste pathologique). Les députés de 1966 et la population autochtone de 1966 pour leurs par ont eux tort d’avoir raison trop tard. La côte d’ivoire est aujourd’hui comme cet homme qui a chuté du dixième « 10e » étage de l’honneur et de la souveraineté nationale et internationale et qui en tombant se répète sans cesse et sans interruption « jusque là tout va bien » avant l’inévitable Fracas au sol sur les rochets de son déshonneur, de l’aliénation de sa souveraineté nationale et internationale et de son libre arbitre dans le concert des nations policées.

 

 

La grande majorité des bénéficiaires de la loi Ouattara sur la nationalité ivoirienne, taxée d’apatrides pour arrivée a ses fins politiques, ont irréfutablement déjà des pièces d’identités nationales étrangères  en bonne et du forme en poche, soit délivré dans leurs pays d’origines, soit délivré via leurs Ambassades. Il convenait alors donc, de préférer la naturalisation, qui est une demande individuelle, émanant d’un individu conscient de son statut juridique d’appartenance a une nationalité, jusqu’au jour de sa demande de naturalisation pour intégrer une autre nationalité déjà existante à la nationalisation collective fondée sur des intérêts politique, qui cible une masse collective former de gens qui ne sont pas des sans statut juridique, parce qu’appartenant déjà à d’autres nationalités desquelles, ils détiennent des pièces d’identités nationales de leurs pays d’origine ou via leurs Ambassades en côte d’ivoire.

ado- les morts sont morts yafohi

 La loi Ouattara sur la nationalité ivoirienne, consacre à tout point de vu, l’aliénation de la souveraineté de la côte d’ivoire. Cette forfaiture juridique a but électoraliste, dans la perspective des élections de 2015, qui crée des citoyens de secondes zones, qui restent sujets de l’article 35 de la constitution ivoirienne de 2000. En réalité qui ne sont qu’un bétail électoral fabriqué a dessein pour des raisons électoralistes, bétail électorale qui garde sa nationalité d’origine en poche chez lui, ou dans son pays d’origine et le jours de votes en côte d’ivoire, bétail électoral fabriqué a dessein qui sortira la nationalité ivoirienne pour voter Ouattara . Le but visé ici est de s’assurer une dynastie électorale, une dynastie politique et sociale. C’est çà la vérité, qui peut rougir les yeux d’un sourâkâ.

 

 

Que nature protège la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY

 

 

De : Da Candy Lepetitfils leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

lepetitfils da candy

 Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr 

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28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 13:20

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Que la nature protège la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY

Lepetitfils da candy -08-2013

 De : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force


 

 

(La démocratie n’est pas aux dessus du droit. Le maitre de la démocratie c’est le droit, auquel elle doit se conformer. Le mot démocratie provient du grec ancien. Sa définition provient du grec anciendēmokratía, « souveraineté du peuple », de  dêmos, « peuple » et de krátos, « pouvoir », « souveraineté ».)

 

« Coq-à-l’âne » des questions pas dû tout Bêtes, Bêtes :

 

 

A partie du moment que la très grande majorité, sinon les 99% des bénéficiaires de la loi Ouattara sur la nationalité ivoirienne, taxée d’apatrides pour arrivée a ses fins, ont irréfutablement déjà des pièces d’identités nationales étrangères  en bonne et dû forme en poche, soit délivré dans leurs pays d’origines, soit délivré via leurs Ambassades. Dans ces conditions est ce que, une simple déclaration devant un procureur, qui ne défend que les lois a lui servi par le législateur pour défense, et cela quelque soit sont contenu, suffit-elle alors en droit, face a l’existence matérielle de ses pièces d’identités étrangères, qui attestent de la nationalité du déclarant et prétendant a la nationalité ivoirienne conformément  a la loi Ouattara sur la nationalité ?

 

 

Et le conseil constitutionnel ivoirien dans tout çà ? En ferait t-il de ce bidonnage de loi, rattacher a la souveraineté nationale, une affaire de passeport Burkinabé, avec lequel on aurait acheter une maison a Abidjan devant notaire, qui en fin de compte à été transcender par les jeux de micmacs et zigzags politiques appeler accords politiques de patati-patata ?

 

 

Et pourquoi, les Tsiganes avec 1000 ans de présence en Europe « connus sous plusieurs noms en Europe. Les Manouches (ou Sinti), Allemagne, en Italie et en France depuis le XVe siècle. Les Gitans (ou Kalé) en Espagne. Les Roms, Europe de l'Est. Les gens du voyage en France » Originaires du Nord-est de l'Inde qu'ils ont quitté vers l'an 1000, et qui sont arrivés en Europe au XVe siècle ou ils ont été accueillis, ne sont t-ils pas bombardés Européens, parce que devenus apatrides, au contraire ne  deviennent t’ils pas indésirables partout en Europe, tantôt expulsés, tantôt sédentarisés de force ?

 

 

La grande Europe, avec la France, la mère patrie en tête, ne connait-elle pas le droit, avec lui les conventions internationales sur la protection des droits des apatrides, pour qu’on trouve des espaces de transit ou d’attente pour non-nationaux partout dans la grande Europe?

 

 

Le Nigeria état souverain l’un des grands de l’Afrique ne vient t-il pas souverainement, ces derniers mois d’expulsé 22 000 immigrés clandestins, craignant que ces derniers soient recrutés par le groupe terroriste en se servant de leurs indigences ? La plupart de ces migrants étaient dépourvus d’autorisation de séjour dans le pays (donc aux nationalités connues) ou dépourvus de papiers d’identité (donc sans nationalité donc Apatrides) qui provenaient des pays voisins tels que : Cameroun, Niger et Tchad, pour les nationalités connues ? Se disant ici nous ne faisons t-il pas l’économie de l’expulsion des milliers de centaines d’étrangers par certains états souverains d’Afrique centrale par le passé ? Nous soulignons états souverains d’Afrique centrale.

 

 

La côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, n’est-elle pas à genou dans le concert des nations policée surtout en Afrique ? N’est elle pas devenue la terre pour accueillir tout les gens aux nationalités étrangères et  tout les gens aux nationalités non-connue devenus nationalisables automatiquement par simple déclaration ? N’est t-il pas irréfragable en diplomatie étatique ou la réciprocité est de rigueur, que les rapports interétatiques sont fondés sur la loi de la jungle ? Donc un dirigeant qui doit son accession au pouvoir d’état dans le pays qu’il gouverne à des états extérieur, n’est t-il pas à genou dès qu’il met son pied dans le concert des nations, devant ceux qui ont fait de lui un roi dans l’état qu’il gouverne ? N’est t-il pas incontestable, que c’est dans cet état qu’il gouverne qu’il peut tout imposer, mais ne peut rien imposer dans le concert des nations ou il ne peut que, adhérer et ne peut rien exiger ?

 

 

 

Nous n’envions pas ces états souverains au terme de leurs actions souveraines, pour protéger leurs souverainetés nationales et internationales. Mais si la loi Ouattara dans son fond concorde avec notre position ancienne connue de tout les ivoiriens, sa forme n’est-elle pas contraire aux procédures en cours dans tout les états sérieux du monde ?

 

 

Bon ! On a commencé ces questions pas dû tout Bêtes, Bêtes par démocratie.

 

 

Selon les grecs, la démocratie c’est le pouvoir au peuple. Si la démocratie c’est le pouvoir au peuple, ne devrait-on pas faire un état des lieux de notre situation sociopolitique en côte d’ivoire, pour la rendre plus démocratique ? Quand une clique de mafieux de la Rencontre Des Ripoux décident de notre souveraineté nationale et de notre vie. Sommes-nous encore réellement en démocratie ou le pouvoir est au peuple, quand on refuse le referendum sur des sujets de souveraineté nationale telle que la nationalité et le foncier rural, en s’appuyant sur une majorité factice parlementaire moutonnière, dans une assemblée nationale « Flêkê-Flêkê » dévalorisée automate d’enregistrement ? N’Existe t’il pas des influences extérieures d’une mafia des grands usuriers internationaux, qui poussent notre gouvernement sous la coupe d’un soi-disant conquérant  à agir contre l’intérêt de la population ivoirienne, mise au bord de la route du soi-disant développement, aux chiffres farfelus de croissance économique, qui se coule dans l’obscurantisme, évoluant vers les deux (2) chiffres de croissance économique ?

 

 

 

Quel est le rôle de nos grands partis politiques, significatives de l’opposition martyrisée ou alliés de notre gouvernement engraissés en parties, qui sont censés être « les grand gardiens » de notre souveraineté nationale et de notre démocratie pluraliste ? Quelle est la place de la réconciliation nationale, de la stabilité sociopolitique, de la paix pérenne et de la population ivoirienne atavique, dans toute cette forfaiture juridique a but électoraliste, dans la perspective des élections de 2015 ? Les armes et l’argent, doivent- ils demeurer vraiment synonymes de pouvoir dans notre pays la côte d’ivoire, jadis havre de paix pérenne et de stabilité sociopolitique ? La génération des enfants de l’indépendance est-elle incapable, de demander des comptes, aux fins d’une décomposition/recomposition politique salvatrice dans son propre pays et sur la terre de ses ancêtres, alors même qu’elle a le droit de demander le retrait de la lettre H « Houphouetistes » du RHDP. Parce qu’au vu de la tournure que prend cette fichue d’alliance devenue anti-Houphouetiste le RDP « rassemblement des politicards » la sied mieux ?

 

 

Après une analyse docte et esthète, est-ce qu’il est possible de (ré) concilier, la loi Ouattara sur la nationalité ivoirienne, qui vient d’être votée par le parlement  Flêkê- Flêkê  de la rencontre des ripoux (RDR) , avec l’article 35 de constitution ivoirienne de 2000 ?

 

Qui dispose que : (Article 35 : Le président de la République est élu pour cinq ans au suffrage universel direct. Il n'est rééligible qu'une fois 

Le candidat à l'élection présidentielle doit être âgé de quarante ans au moins et de soixante quinze ans au plus.

Il doit être Ivoirien d'origine, né de père et de mère eux-mêmes Ivoiriens d'origine.

Il doit n'avoir jamais renoncé à la nationalité ivoirienne.

Il ne doit s'être jamais prévalu d'une autre nationalité.

Il doit avoir résidé en Côte d'Ivoire de façon continue pendant cinq années précédant la date des élections et avoir totalisé dix ans de présence effective. (…)

 

 

Donc de par cette disposition constitutionnelle, qui pose un sérieux problème de nationalité, cette  constitution d’ailleurs dont les dispositions des articles qui la compose sont en antagonisme contradictoire entre elles, n’est elle pas en antagonisme contradictoire avec la loi Ouattara sur la nationalité ivoirienne, qui vient d’être votée par le parlement Flêkê- Flêkê de la rencontre des ripoux (RDR) ? Si la ratification est prévue par la constitution, elle n’est-elle pas soumise à des règles à respecter et à des modalités aussi à respecter qui transcendent la constitution elle-même ?

 

 

Sans vouloir être démonstratif ou explicite, comme le demandent certains citoyens, qui nous savent au dessus de la matière, donc capables de détails sur le sujet.  N’est t-il pas constant qu’il n’y a pas de connexion possible entre les dispositions de la constitution de 2000 et la loi Ouattara sur la nationalité ivoirienne, qui vient d’être votée par le parlement  Flêkê- Flêkê  de la rencontre des ripoux (RDR). Parce qu’au bout de la communication, il y a un répondeur automatique qui répond sans cesse a toute tentative de connexion : « RDR Ripoux !!! RDR Ripoux !!! RDR Ripoux !!! ». Alors que les deux normes juridiques pyramidales dont l’une  gouverne l’autre pose de sérieux problèmes de nationalités ?

 

 

Cette impossibilité de connexion, ne fait-elle  pas des bénéficiaires de la loi Ouattara sur la nationalité ivoirienne, qui appartiennent déjà à d’autres entités nationales desquelles, ils détiennent des pièces d’identités nationales via leurs Ambassades, qu’ils brandissent au besoin et a volonté, loi Ouattara sur la nationalité, qui vient d’être votée par le parlement Flêkê- Flêkê de la rencontre des ripoux (RDR), des citoyens de secondes zones qui restent sujets de l’article 35 de la constitution ivoirienne de 2000 susmentionné qui pose un sérieux problème de nationalité ?

 

 

Le tout ne fait t-il pas des bénéficiaires de la loi Ouattara sur la nationalité ivoirienne, qui appartiennent déjà à d’autres entités nationales desquelles, ils détiennent des pièces d’identités nationales via leurs Ambassades, qu’ils brandissent au besoin et a volonté, un bétail électoral fabriqué a dessein pour des raisons électoralistes, bétail électorale qui garde sa nationalité d’origine en poche chez lui, ou dans son pays d’origine et le jours de votes en côte d’ivoire bétail électoral fabriqué a dessein qui sort la nationalité ivoirienne pour voter Ouattara ? N’est ce pas çà la vérité qui peut rougir les yeux d’un sourâkâ ?

 

 

Il ne convenaient t-il pas donc, de faire la différence entre la naturalisation, qui est une demande individuelle, émanant d’un individu conscient de son statut juridique d’appartenance a une entité nationale, jusqu’au jour de sa demande de naturalisation pour intégrer une autre entité nationale déjà existante et la nationalisation collective fondée sur des intérêts politique, qui cible une masse collective former de gens qui ne sont pas des sans statut juridique, parce qu’appartenant déjà à d’autres entités nationales desquelles, ils détiennent des pièces d’identités nationales via leurs Ambassades, qu’ils brandissent au besoin et a volonté ? Cette loi Ouattara sur la nationalité ivoirienne, ne consacre t-il pas a tout point de vu, l’aliénation et la privatisation de la souveraineté de la côte d’ivoire ? 

 

 

Eh bien ! Si Alassane Ouattara peut demander aux ivoiriens de devenir des Américains, qui ne cherchent  pas l’origine des gens vivants en Amérique et si d’après l’un des premier Américain, Abraham Lincoln, la démocratie, c’est le gouvernent du peuple, par le peuple, pour le peuple, qu’en est-il donc, pour notre fichue de patrie annexée par un conquérant, dont le peuple n’a plus droit a la parole sur les grands sujets de souverainetés nationales, tel que la nationalité et le foncier rural, assujettis a la volonté de quelques Ripoux bombardé députés « flêkê- flêkê » automate d’enregistrement ?

 

 

Ne convient-il pas, pour des citoyens digne de ce Nom, de constater que nos élus qui se doivent de représenter nos intérêts au sein du fichu parlement « flêkê- flêkê automate d’enregistrement » de la Rencontre Des Ripoux, nos intérêts qui sont par nature différents de leurs intérêts égoïstes, ont trahis en prenant position pour leur propre intérêt égoïste, au vu de ces bidonnages électoralistes Sur le foncier rural et la nationalité ?

 

 

Comme Alassane Ouattara demande aux ivoiriens de devenir des Américains qui ne cherchent  pas l’origine des gens vivants en Amérique ? Alors donc que pouvons-nous  retenir de cette phrase, d’un n’autre premier Américain en son temps, Thomas Jefferson : « Un peuple qui est prêt à renoncer à sa liberté pour se sentir en sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre » a-t-il dit. Donc n’en ressort t-il pas que, si la côte d’voire doit rester souveraine, l’ivoirien doit désormais s’intéresser au verrouillage de la scène politique ivoirienne par le parlement « flêkê- flêkê automate d’enregistrement » de la Rencontre Des Ripoux, pour vivre libre et en sécurité les hommes comme les biens chez nous, dans la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY plus que jamais paisible ?

 

 

Eh bien voilà ! C’est  l’identification claire de certaines diversions a des fins politiques et électoralistes, par manipulation juridique, en cherchant à imposer certaines lois d’aliénations et de privatisations de la souveraineté nationale ivoirienne sur des sujets qui touchent a la souveraineté nationale de la côte d’ivoire, qui appelle toute ces question. Dont, Les réponses se trouvent dans l’action synergique citoyenne et non dans les intérêts d’arrivistes carriéristes, de politicards pathologiques, qui œuvrent dans obscurantisme pour l’aliénation et la privatisation de notre souveraineté nationale.

 

 

A fin de s’assurer une dynastie électorale et partant, une dynastie politique et sociale, en faisant des droits inhérents aux citoyens, des donation (prêts) à rembourser éternellement dans les urnes, par le vote reconnaissance en  faveur des donateurs, d’un droit comme un prêt remboursable. L’Américanisation de la côte d’ivoire nos grands pères auraient dit, Agbô !!!

 

 

Oui !!! Œuvrer pour pouvoir vivre, libre et en sécurité,  les personnes comme les biens, est un devoir de citoyen avons-nous dit…

 

Les Gbê-de-Gbê dans un « coq-à-l’âne » de questions pas dû tout Bêtes, Bêtes

82Lepetitfils da candy -08-2013-N-3

De : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

 

Que la nature protège la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY

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23 août 2013 5 23 /08 /août /2013 15:09

 

82duekoue-massacres rebelles

les crimes de guerres sont imprescriptibles et non-amnistiables aux yeux du droit international pénal...

 

 

Parabole : Proposer par Da Candy Lepetitfils leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

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lepetitfils da candy

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Les admirateurs de la dictature passent leur temps à regretter et même fustiger l’hypocrisie prétendu de la démocratie. Pour eux, la démocratie est une notion qui va de paire avec le mensonge et l’hypocrisie. La dictature, en revanche, est censé dire la vérité, en tout cas ne pas mentir. Pourquoi un pouvoir qui n’a pas de contre-pouvoir et qui cache des choses pourrait-il être tenté par le mensonge? Et puis, les dictateurs parlent avec tellement d’éloquence, leurs discours sont remplis « par le sophisme plein d’apories » de métaphores littéraires si marquantes, qu’elles ne peuvent que dire la vérité!

 

Les dictatures ne sont pas hypocrites en effet, elles font ce qu’elles disent qu’elles vont faire. A l’occasion, leurs décisions portent des noms qui signifient que leurs décisions vont dans le sens de l’intérêt. Ainsi, les camps de concentrations, les bagnes ne sont plus appelés « bagnes » ou « camps de concentrations », mais « camps de rééducation » ou « camps de travail ». La dictature parle toujours au nom du peuple, ce peuple est omniprésent dans les discours de la dictature, autant qu’il est absent dans la constitution des élites dirigeantes et du programme politique mise en œuvre par le pouvoir. Comment donc parler au nom du peuple quand on ne l’écoute pas? Parce que la dictature écoute ce que dis le peuple, via non pas par les médias, mais par la police politique. « Toutes les oppositions aux trous quoi »

 

La dictature n’est donc pas hypocrite, juste elle développe son propre langage pour éviter de nommer ses œuvres avec des mots terriblement péjoratifs. De fait, elle élimine toute parole qu’elle ne contrôle pas et qui pourrait dévoiler la réalité de ce qui se passe sous sa dictature « il n’y a pas de prisonniers politiques sous le régime dictatorial parce que toute opposition  est un crime de droit commun ». Pour ses adorateurs, la dictature, au moins, on sait qu’elle est une dictature, alors que la démocratie ne serait qu’une dictature molle qui se camoufle. Autant vivre dans une dictature franche et honnête. « Comme le serpent a sonnette ». Vue de l’extérieur ce peu paraître séduisant, comme position de principe… vue de l’extérieur. En tout cas, ils ne pensent pas du tout à démocratiser d’avantage une démocratie malade de la faiblesse de ses élites. « Prisonniers de leurs ventre »

ado- les morts sont morts yafohiABATTOIR

 Les admirateurs de la dictature nous expliquent qu’après tout, la démocratie n’est pas meilleurs que la dictature, voir même pire, parce qu’en plus, hypocrite. Les démocrates ne seraient à leurs yeux que des donneurs de leçons, le plus souvent occidentaux, qui prétendraient avoir des visées paternalistes voir même arrogantes par rapport aux dictatures de nombreux pays exotiques. Qui sont donc ces démocrates qui arrogants démocrates occidentaux qui d’après eux, répètent des réflexes coloniaux ou du moins impérialistes? Et même si la dictature n’est pas si formidable qu’ils le prétendent, face au fait accompli du dévoilement de la réalité de leur modèle, il s’agit alors de mettre dos à dos « dictature » et « démocratie », instaurer l’idée que finalement, le statu-co est une bonne chose et donc, le maintien des dictatures dans les pays en question, selon l’adhésion idéologique. « Est une normalité politique »

 

 L’idée que la démocratie ne serait pas plus vertueuse que la dictature, tiens dans la médiocrité d’une élite dirigeante et intellectuelle « Voyoucrate, Prisonnière de son ventre ». Une classe dirigeante « ventrocrate », un personnel politique incompétente, peu vertueuse, carriériste jusqu’à l’irresponsabilité, et les résultats de cette médiocrité qui jaillissent sur la société justifie donc cette idée de les mettre dos à dos. « En dévalorisant la représentation nationale ». Certes, la dictature n’est pas plus vertueuse, mais comme vue plus haut, les admirateurs de la dictature la fantasment dynamique et efficace. S’ils concèdent donc l’éventuel match nul en matière de « vertu », de façon plus globale, les prétendus qualités de la dictature sont censés faire la différence à leurs yeux, dans une logique ou finalement, la vertu d’un système n’a que très peu d’importance. « Seuls leurs ventres comptent ». Leur vision des choses est matérialiste, c’est le résultat qui fait la nature d’un objet et non son rapport aux choses. « La fin justifie les moyens ».

 

 L’idée d’une démocratie pas meilleurs et pas plus vertueuse que la dictature montre que les admirateurs de la dictature ont une connaissance étriquée de cette notion. Une vision volontairement, ou non, étriqué. Par exemple, ils excluent dans leur jugement de la démocratie tout ce qui sort des partis ou du personnel politique qui dynamisent la démocratie, le rôle que jouent les différents acteurs sociaux, du simple citoyen jusqu’à l’association et le syndicat. Ils mettent dos à dos un système où participe la totalité de la société à son destin, avec plus ou moins de réussite selon les épisodes et un système où le pouvoir est détenu par un chef ou une clique, « de, Hold-up-eurs » , décidant seuls du devenir de toute une population, qui est donc exclus des décisions. «Publiques qui engagent la société toute entière »  Ils regardent la démocratie comme ils voient la dictature, pour eux, la démocratie ne semble être qu’une dictature ratée. Autant donc laissé la place aux dictatures réussis! « Pour que règne un chef ou une clique de, Hold-up-eurs, pour que vive la dictature réussi ! »

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 « C'est-à-dire des criminels de guerre qui ont gagné une guerre d’agression pour installer une dictature sanguinaire sans foi ni loi. Le hold-up parfait quoi !!! »

 

Note : (Justiciers antidémocrates)

 

 

Parabole : Proposer par Da Candy Lepetitfils leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

lepetitfils da candy

 Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

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15 août 2013 4 15 /08 /août /2013 19:46

ado- les morts sont morts yafohi16-copie-1

La rentrée de la loi sur la nationalité de, Alassane Ouattara  par le support juridique des (Convention sur la réduction des cas d'apatridie et convention de 1954 relative au statut des apatrides) dans le corpus du droit de la nationalité ivoirienne s’impose à la Rencontre Des Ripoux pour servir d’instrument politique de contrainte de vote, des bénéficiaires de ces lois taillées sur mesure. « De genre déjà entendue, c’est grâce a moi que vous êtes ivoiriens, voter donc pour (X) avant de les remettre un bulletin de vote déjà coché pour le candidat (X)».

 

 

 

(Projet de loi sur la nationalité de Alassane Ouattara : « Chapitre II : Détermination des bénéficiaires Article 2 : Bénéficiant des dispositions de la présente loi, les personnes entrant dans l’une des catégories ci-après : les personnes nées en Côte d’Ivoire de parents étrangers et âgées de moins de vingt et ans révolus à la date du 20 décembre 1961 ; l les personnes ayant leur résidence habituelle sans interruption en Côte d’Ivoire antérieurement au 07 août 1960 et leurs enfants nés en Côte d’Ivoire ; l les personnes nées en Côte d’Ivoire entre le 20 décembre 1961 et le 25 janvier 1973 de parents étrangers et leurs enfants. » autant dire que la nationalité ivoirienne n’existait pas jusqu'à ce jour de bêtise.  (La descendance de l'explorateur portugais Soeiro da Costa 1469 doit être  ivoirien, lui qui a donner a nos fleuves locaux les noms de San Andrea aujourd'hui Sassandra et San Pedro, çà serait mérité au vu du bidonnage sur la nationalité ivoirienne en cours. Mais voilà, la voie qui menait de la Mauritanie « sourâkâ-djâmânâ » à la Haute Volta « Mossi-djâmânâ » en 1898 m’a été narrer, par les sages) 

 

 

 

En perspective de, l’élection présidentielle de 2015 en côte d’ivoire et en prélude de la répétition du scénario de truquage de l’élection présidentielle de 2010, a fin d’asseoir la suprématie d’une dynastie rêver. Une session extraordinaire controuvée de l'Assemblée nationale de la Côte d'Ivoire a été ouverte, pour débattre des textes visant a l’aliénation et a la privation de la souveraineté nationale ivoirienne au terme de projets de loi anticonstitutionnels sur la nationalité et le foncier rural dont ébauche non-officielle est ci-dessus énumérer. 

 

 

 

Les travaux parlementaires controuvés vont porter sur sept projets de lois anticonstitutionnels dont des textes de lois portant sur des aspects liés étroitement a la souveraineté nationale étatique de la côte d’ivoire, comme le foncier rural, la nationalité articulée aux conventions sur l'apatridie. Il s’agit du projet de loi autorisant Alassane Ouattara en toute anti-constitutionalité a transcrire par décret dans le corpus de la nationalité ivoirienne l’aliénation et a la privation de la souveraineté nationale ivoirienne au terme d’une loi anticonstitutionnelle  sur la nationalité et le foncier rural. Dont l’ébauche non-officielle est ci-dessus énumérer, en s’appuyant subtilement sur les : convention de 1954 relative au statut des apatrides et convention sur la réduction des cas d'apatridie. A fin de se procurer un bétail électoral docile, dont la citoyenneté ivoirienne ne résulterait que de cette forfaiture juridique. 

 

 

 

Ce projet de loi anticonstitutionnel sur la nationalité va gouverne par conjugaison juridique l'acquisition de la nationalité par simple déclaration, et va emporter le droit de l'acquisition du foncier rural, donc de la propriété terrienne, qui par nature est régis par le droit international coutumier. Il faut noter ici que de par la politique d’ouverture sur le monde de FELIX HOUPHOUET BOIGNY « et nous assumons », la Côte d'Ivoire est une terre d'immigration et compte aujourd’hui près de 30% d'étrangers, les un (1) tiers d’une population totale de près de 20 millions d'habitants. Ce projet de loi sur la nationalité vise a faire de ces 30% d’étrangers, huit millions (8 000 000) sinon plus, des ivoiriens par simple déclaration.

 

 

 

Alors que la question du foncier rural est au cœur de tous les conflits meurtriers intercommunautaires ivoiriens de régions différentes et entre ivoiriens propriétaires terriens, immémoriaux, coutumiers et certains étrangers au dossier désormais ostensibles, dans les régions forestières où s'est majoritairement installée une forte communauté étrangère estimée à près de huit  millions en Côte d'Ivoire. Donc Ces projets de lois renforceraient le processus d’accaparement des terres par l’état et leurs redistributions intéressées aux 30%, huit millions (8 000 000) presque d’étrangers subitement devenus ivoiriens du jour au lendemain, accaparement des terres qui est déjà en cours en toute illégalité en côte d’ivoire. Ce qui sonnerait le top départ de l’aliénation et la privatisation de la souveraineté étatique de la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY comme si elle n’avait jamais existé avant ce jour bêtise. (La descendance de l'explorateur portugais Soeiro da Costa 1469 doit être  ivoirien, lui qui a donner a nos fleuves locaux les noms de San Andrea aujourd'hui Sassandra et San Pedro, çà serait mérité au vu du bidonnage sur la nationalité ivoirienne en cours. Mais voilà, la voie qui menait de la Mauritanie « sourâkâ-djâmânâ » à la Haute Volta « Mossi-djâmânâ » en 1898 m’a été narrer, par les sages)

 

 

 

La propriété coutumière terrienne immémoriale régis, par le droit international coutumier de la propriété, tient en l’état, la loi sur le foncier rural de 1998. Ce droit de la propriété immémoriale coutumière terrienne régis, par le droit international coutumier de la propriété coutumière immémoriale, n’a pas besoin de prescription spéciale, il est ancestral et immémorial. Donc les prescriptions  de cette loi sur le foncier rural de 1998, « selon laquelle la propriété d’une terre du Domaine Foncier Rural est établie à partir de l’immatriculation de cette terre au registre foncier ouvert à cet effet par l’Administration et en ce qui concerne les terres du domaine coutumier par le Certificat Foncier. Le détenteur du Certificat Foncier doit requérir l’immatriculation de la terre correspondante dans un délai de trois ans à compter de la date d’acquisition du Certificat Foncier » est une aberration de droit de propriété, aux yeux du droit international coutumier de la propriété coutumière immémoriale qui gouverne cette matière.

 

 

 

C’est pourquoi nous sommes pour le renforcement juridique des droits des propriétaires terriens, de façon sans équivoque conformément  au droit international coutumier, qui gouverne les droits de propriétés immémoriaux. D’où l’état personne morale ne peut spolier les propriétaires coutumiers terriens, et l’état confiner dans son seul rôle juridique de gestionnaire, se doit de légiférer sur les modalités de transactions entre personnes privées du foncier rural. C'est-à-dire, les lois régissant les « location à durée limitée, co-exploitation contractuelle, sous-exploitation contractuelle, exploitation conditionnelle lucrative contractuelle» fondées sur des contrats qui ne peuvent excéder trois (3) fois, trente trois (33) ans qui font au total quatre vingt dix neuf (99) ans. Des contrats dont tout en permettant les réaménagements des ses clauses chaque trente trois « 33 » ans, délai au terme duquel toutes clauses restent de rigueurs, doivent proscrire toute possibilité de vente de personnes privées ou morales a personnes privées ou morales , sauf a l’état lui-même personne morale gestionnaire de l’état souverain et pour des raisons justifier d'intérêts publics et pour des œuvres d’intérêt national profitable a toute la nation souveraine.

 

 

 

Et c’est cette position face au problème du foncier rural, qui édicte notre autre position face a la question de la nationalité de façon claire et net sinon simpliste, en fait nous voulons une côte d’ivoire qui applique strictement le droit du sol, c'est-à-dire l’allègement légal positif de l’acquisition de la nationalité ivoirienne par naissance en côte d’ivoire, mais qui n’ouvre pas sur la propriété terrienne immémoriale du foncier rural. A fin que des arrivistes/opportunistes pathologiques ne s’en servent de la problématique de la nationalité comme instrument politique, « du genre déjà entendue, c’est grâce a moi que vous êtes ivoiriens, voter donc pour (X) avant de les remettre un bulletin de vote déjà coché pour le candidat (X)». C’est-à-dire la vulgarisation de la nationalité de sorte que : « nous sommes tous ivoiriens, une fois né en côte d’ivoire (ce qui n’est pas rétroactive. Même si la Côte d'Ivoire : République depuis 1958,  obtient l'indépendance en août 1960 après avoir manifesté le désir d'exercer tous les pouvoirs et compétences - défense, économie, relations extérieures, etc. Elle est avant tout une assiette territoriale, à propriété composite de communauté multiséculaire, avec des frontière coutumières multiséculaires,  entre communautés ataviques multiséculaires, qui à été constitué en état nouvel entité. Donc il faut aller au referendum, pour convaincre le peuple atavique multiséculaire, souverain, de l’utilité avec des arguments clairs et solides, concernant les conditions d’un regard particulier et simpliste sur les personnes nées en côte d’ivoire après l’indépendance et résidant en côte d’ivoire en non-stop depuis leurs naissances et aux statuts non-régularisés.) Mais le foncier rural, propriété multiséculaire des communauté ataviques, c’est autre chose, parce que c’est la terre de nos ancêtres multiséculaires, donc nos  propriétés immémoriales privées ».  

 

 

 

Ce qui va bien sûr nécessiter la réinscription du code de la nationalité ivoirienne, et du code du foncier rural, a fin de les harmonisés, sans vouloir s’en servir comme instrument de campagne politique. Ainsi chaque ivoirien votera un homme et un programme sans contrainte de reconnaissance, parce que la nationalité restera un droit acquit dès la naissance. Aux yeux du droit international coutumier de la propriété qui régit les droits de propriété coutumiers immémoriaux et qui tient en l’état, la loi sur le foncier rural de 1998, il n’y a pas de terre sans propriétaire coutumier immémorial en côte d’ivoire, que l’état peut s’approprier et le droit de la propriété immémorial, est un droit international coutumier (droit-des-droits) inaliénable de l’homme.

 

 

 

Il faut donc souligner ici, que c’est cette règle doctrinale de la supériorité des normes juridiques, que le conseil constitutionnel ivoirien a utilisé comme échappatoire, pour s'aligner sur la position politique unanime de la communauté internationale, lors de l’élection présidentielle truquée de 2010, sans dire aucun droit ou s’appuyer sur aucune norme juridique, y compris la constitution ivoirienne, pour la prestation de serment saugrenue de, Alassane Ouattara. C’est pourquoi le pouvoir Ouattara est juridiquement/légalement, comme une salade de la lagune ébrié, qui divague dans tout les sens et vers tous les horizons sans racines sur l’eau. Le pouvoir Ouattara fondée par les armes et assis sur les armes n’a aucune assise juridique. Parce que la position de la communauté internationale, unanime soit-elle, n’est pas du droit international, encore moins le droit international coutumier « le droit des droits qui régis la propriété terrienne coutumière immémoriale. »

 

 

 

Il faut rappeler aussi que les deux conventions sur la protection des apatrides qui servent de support bancal a la loi de, Ouattara sur la nationalité contient des prescriptions claires qui permettent a tout états de faire des réserves sur les points touchants leurs souveraineté nationale étatique, tout en adhérant au principe de ces conventions. Qui ne sont pas des normes juridiques internationales a adhésion inconditionnelle sans réserve aucune, au contraire au terme de certaines prescriptions de ses dispositions, elles  sont gouverner par le facultatif face a la souveraineté des états.

 

 

 

Il est clair donc que, les projets de lois sur la nationalité et le foncier rural de, Alassane Ouattara entament l’aliénation et la privatisation de la souveraineté nationale et internationale  de la côte d’ivoire, ce qui fera sans aucun doute un jour pas trop lointain des jeunes ivoiriens des ROBERT Mugabe en puissance. C’est un avertissement…

 

 

 

Parce que si l’existence de la génération des enfants de l'indépendance de la côte d’ivoire doit avoir un sens, elle a le devoir absolu de transcender les clivages politiques face a l’intérêt supérieur de la nation. A fin d'envisager consensuelle-ment, tous ensemble dans la paix, de tourner la page sombre au terme d’une Décomposition/Recomposition politique salvatrice.

 

 

 

Parce que, la génération des enfants de l'indépendance de la côte d’ivoire ne doit pas oublier, qu’une génération qui ne demande pas de compte au terme d’une crise sociopolitique, qui a fissurer la cohésion sociale de la société dans la quelle elle vie, dont elle est la première victime dans le présent, comme dans le futur, est une génération perdue, une génération pour rien, une génération moutonnière, une génération qui ne serait qu’un chainon en bois dans une chaine de fer, donc une génération de toutes  les cassures sociales  soumise au caprice des mafias (de grands sangsues usuriers » internationaux, une génération qui n’est qu’un pont entre la souveraineté étatique internationale acquise par les pères de l'indépendance et l’aliénation de cette souveraineté étatique internationale a d’autres états et aux grands intérêts mafieux de par le monde.

 

 

 

Oui !!! Demander des comptes pour pouvoir, voir le bout du tunnel du chaos social sempiternel et atteindre tous ensemble la paix sociopolitique pérenne, pour la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, n’est pas faire des règlements de comptes politiques, source des foyers de tentions sociales. L’un est le contraire de l’autre « pour ces deux actions ». D’où le devoir absolu de transcender les clivages politiques, pour demander des comptes clairs sur les questions touchant la souveraineté nationale.

 

 

 

A fin d'envisager consensuelle-ment, tous ensemble dans la paix, de tourner la page sombre, pour éviter l’aliénation de la souveraineté nationale mise en marche, au terme d’une Décomposition/Recomposition politique salvatrice.

 

Foutaise !!!

carte CI

 

(Chapitre II : Détermination des bénéficiaires
Article 2 : Bénéficiant des dispositions de la présente loi, les personnes entrant dans l’une des catégories ci-après : 
l es personnes nées en Côte d’Ivoire de parents étrangers et âgées de moins de vingt et ans révolus à la date du 20 décembre 1961 ; 
l les personnes ayant leur résidence habituelle sans interruption en Côte d’Ivoire antérieurement au 07 août 1960 et leurs enfants nés en Côte d’Ivoire ; 
l les personnes nées en Côte d’Ivoire entre le 20 décembre 1961 et le 25 janvier 1973 de parents étrangers et leurs enfants.

 

 

 

(La descendance de l'explorateur portugais Soeiro da Costa 1469 doit être  ivoirien, lui qui a donner a nos fleuves locaux les noms de San Andrea aujourd'hui Sassandra et San Pedro, çà serait mérité au vu du bidonnage en cours sur la nationalité ivoirienne. Mais voilà, la voie qui menait de la Mauritanie « sourâkâ-djâmânâ » à la Haute Volta « Mossi-djâmânâ » en 1898 m’a été narrer, par les sages)

 

FOUTAISE !!!

 

 

 

De : Da Candy Lepetitfils leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

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