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4 mai 2014 7 04 /05 /mai /2014 15:15

choi et youssouf bakayoko

Cote d’ivoire : Une démocratie de façade pour une Élection présidentielle wouyâ ! wouyâ ! en 2015

Lepetitfils 2- B

 Un soit-dit en passant de : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force. 

 

 *- Les conditions de pouvoir tenir des élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes reposent sur l’intégrité électorale.

 

  L’intégrité électorale comprend un ensemble de normes basées sur les principes universels démocratiques, un système juridique et institutionnel, qui encouragent et protègent la tenue d’élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Et ces systèmes devraient être adaptés au contexte social et politique de chaque pays, mais les objectifs fondamentaux sont les mêmes et relèvent de la nécessité de tenir des élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Les principes universels directeurs essentiels au maintien de l’intégrité électorale sont les suivants : * respect des principes de démocratie électorale ; conduite; éthique ; exactitude ; protections institutionnelles : système de vérifications et contrôles ; surveillance et application des règles ; transparence.

 

  *- Donc pas  d’élection démocratique possible « droit inaliénable des peuples » avec des fusils sur la Tempe. 

 

  Parce que la démocratie est un apprentissage des limites et de l’autocontrôle, elle est aussi le respect de la diversité sociopolitique, de la pluralité idéologique, de la légitimité populaire, tout en admettant l’autre comme son égal en droit et devoir. La politique est un art, une science exacte, ou toutes les actions donnent les résultats conséquents. La politique doit s’exercer dans un concert de débat d’idées contradictoires qui proscrit tout égocentrisme, toute intervention des armes matérielles, toute idée du moi au rien. C’est ainsi que le peuple souverain se retrouve  restaurer dans ses doits, comme l’ultime détenteur du pouvoir d’état. Qui impose que toute légitimité du pouvoir d’état revendiquée en dehors de la souveraineté du peuple, n’est que despotisme, autoritarisme et tyrannie. Parce que c’est la citoyenneté commune solidaire qui permet de gérer politiquement. Donc cette légitimité du pouvoir d’état étroitement rattachée à la souveraineté du peuple, l’ultime détenteur du pouvoir d’état, résulte des élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes, aux dates constitutionnelles prescrites. Les élections démocratiques sont donc des droits inaliénables des peuples souverains à disposer d’eux-mêmes.

 

*- Une élection conforme aux normes de la démocratie universelle.

 

  Une élection démocratique, libre, juste, équitable et transparente exige, aussi entre autres, la liberté de parole, d’assemblée, d’association et de mouvement, ainsi que l’absence de la crainte d’être zigouillé par des hommes armés. Une élection juste exige toujours un processus électoral transparent, consensuel, une loi électorale et un système électoral équitable, des chances égales pour tous les participants. Une élection juste exige, pour être conforme aux normes de démocratie universelle, une commission électorale autonome, neutre et impartiale. Une élection démocratique, libre, juste, équitable et transparente exige formellement l’absence d’intimidation d’où qu’elle vienne et quelle qu’elle soit.

 

La non- intégrité de la Cei et l’influence des hommes en armes peuvent faire perdre les élections comme le Hold-up en 2010 en cote d’ivoire. Une démocratie de façade pour une Élection présidentielle wouyâ ! wouyâ ! en 2015. Election s’il y a ???

 

  Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force. 

Lep-d-c-2

Voir www.dacandylepetitfils.over-blog.com

 

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26 avril 2014 6 26 /04 /avril /2014 14:04

carte CIboigny-HOUPHOUET

Regardons donc bien notre cher pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny vacillante et oscillante sur ses assises juridiques et sociales.

lepetitfils da candy

Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force.


  

*****-Un regard dans les décombres d'une nation annexée par des voleurs criminels au terme d’un Hold-up. 

 

 

La gouvernance politique n’est ni NORMAL-SUP, ni UFR, ni Science-Po, c’est un service social au terme duquel se joue le destin de la nation, le destin de tous et le destin de chacun. Donc pour un meilleur destin de notre patrie la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, pour un meilleur destin de tous les ivoiriens, et pour un meilleur destin de chaque ivoirien. Il nous faut une ligue citoyenne solidaire, parce que devant ces communautaristes voleurs et criminels et leurs alliés politiques qui ne préparent pas l’avenir commun, mais le met en danger, par toutes sortes de catastrophes sociopolitiques. L’intervention citoyenne et populaire sous toutes ses formes est largement justifiée. Pour préserver les voies de la démocratie, de la liberté, de la justice, de la stabilité socio-politico-économique, de la paix sociale pérenne et d’unir la nation contre ceux qui veulent la diviser pour mieux la déchirer et régner comme Charlemagne.

 

Regardons donc bien notre cher pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny vacillante et oscillante sur ses assises juridiques et sociales, pour bien voir que cette dictature des communautaristes fait diversion pour se remplir les poches de deniers publics. Alors qu’il y a urgence à instaurer une cohésion nationale, une harmonie communautaire, une stabilité politique, une paix sociale pérenne. Il y a plus grave à résoudre dans notre cher pays la Côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, soldé les crises sociopolitiques, pour Réconcilier les ivoiriens dans leurs diversités sociales et communautaires hier solidaires, donc plus important à penser pour la Côte d’Ivoire. Il s’agit de l’avenir de la chère patrie dans le concert des nations, en dehors de cette politique criminel et dictatorial des communautaristes voleurs et criminels. Il y a Vraiment trop à faire pour l’intérêt général de la société ivoirienne en lambeau, la reconnaissance de tous dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous en droit et devoir, que l’orchestration des bassesses politiques communautaristes pour protéger des intérêts mafieux.

 82ABATTOIR

Ces communautaristes qui font semblant de vouloir le dialogue politique et la réconciliation, alors qu’ils utilisent tout les moyens sadiques, pervers, obscurantistes pour liquider tout ce qui leurs gênent dans leurs sales desseins de vols et de pillages des ressources économiques de la côte d’ivoire. La confiance ne peut s’instaurer entre le pouvoir et l’opposition d’une part et le pouvoir et les citoyens d’autres parts, si elle n’est pas réciproque. Ces communautaristes voleurs et criminels qui gouvernent notre pays la Côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, pris en otage par les armes, retrouveront peut être leur légitimité le jour où ils feront suffisamment confiance aux autres citoyens ivoiriens, opposants y compris et surtout à ceux qu’ils dirigent malgré eux, pour comprendre que l’avenir de tous dépend moins de leurs décisions arbitraires soutenues par les armes, que l’espace public laissé libre au développement de l’esprit de responsabilité citoyenne. Or ces communautaristes guérilleros venus du nord de la côte d’ivoire, la terre de nos ancêtres, habités par la culture atavique d’hospitalité, de concorde civile, de tolérance mutuelle, de consensus a tout épreuve, « guérilleros » qui gouvernent notre pays aujourd’hui, calquent leur discours sur les attentes des citoyens pour les endormir sans s’encombrer des solutions réelles à apporter aux  problèmes réels de la côte d’ivoire.

 

 Ensemble donc, organisons-nous contre la politique du désespoir. Il est clair que soutenir le non-droit du pouvoir par les armes et le proclamer publiquement, c’est proclamer une politique du désespoir. L’espoir est, pourtant permis. Et l’espérance est ivoirienne. Espérer, c’est surmonter le désespoir, espérer c’est résister ici et maintenant. Afin d’éviter les conséquences de la politique dictatoriale Alassaneenne de l’absurde qui ne dessine pas l’horizon d’un avenir meilleur, mais le met en danger. Avons nous-dit. Notre décision est de conjuguer le devoir de résistance contre l’arbitraire d’un pouvoir dictatorial et l’appel à la mobilisation de toutes les forces démocratiques y compris celles des nations démocratiques du monde, pour sauver notre volonté de vivre un destin meilleur en côte d’ivoire, que celui que veulent nous imposer cette dictature Alassaneenne. Le sens de notre volonté politique à avoir un avenir meilleur en côte d’ivoire, est à l’aune de notre obéissance aux règles du droit, aux règles de la démocratie qui constituent le fondement d’une société libre, d’une société de droit et d’une société de démocratie. D’où nous «  ivoirien » pourrons nous épanouir en tant que citoyens libres et égaux dans une société paisible. Telle est notre aspiration, commune à celle de tout le peuple ivoirien qui a tant souffert de la barbarie absolutiste d’un communautarisme voleur, criminel ethno-tribalisme  Alassaneen.

 

Donc seule la démocratie dans le respect des droits peut nous libérer de ces maux qui rongent notre société ivoirienne et inhibent toute perspective d’avenir meilleur pour l’ivoirien de demain et de la construction d’une communauté nationale solidaire réconciliée avec elle-même vivant dans la paix pérenne. Notre espoir « ivoirien » ne doit pas être étouffé par des  actions de divisions  irréfléchies, dont le non-sens serait à la hauteur des motivations strictement personnelles qui mettront en mouvement les acteurs de la confiscation du pouvoir d’état et consolideront le pouvoir par les armes qui n’est autre chose qu’un coup d’arrêt irrecevable et inacceptable du processus démocratique donc à l’espérance a un avenir meilleur dans notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny .

 

 Il nous faut refonder l’humanisme si cher à Félix HOUPHOUET BOIGNY. Cet esprit Houphouëtiste novateur soutenu par cet humanisme-là, habité par la place centrale que l’homme devrait occuper dans la société ivoirienne « pas une seule goutte de sang versée », cette place que les communautaristes voleurs et criminels Alassaneen lui ont déniée, en implantant les armes de guerres au cœur des relations politiques et des actions politiques. La vulgarisation de l’appartenance différentialiste comme source de promotion sociale. La médiocrité ambiante comme méthode de gouvernement, qui génère la dévalorisation de la représentation nationale dans le concert des nations. Tout en prescrivant le règlement de compte politique au centre du débat politique « déportations pour des raisons d’appartenances …». Aussi en inscrivant le dieu l’argent au cœur des relations socio-politico-idéologiques « une alliance de partis politiques aux essences opposés ». Alors que devrait être placé le citoyen au cœur du débat politique, l’homme au centre du débat économico-développemental. Donc le tout état au service de l’homme sans ambigüité aucune, en quelque sorte. Afin de construire une société dont non plus l’état autoritaire piloté par un dirigiste criminel ou règne en maitre absolu dieu l’argent, mais plutôt ou l’homme incarnerait la centralité politique et le citoyen le cœur de toute action politique. Cette démarche pour la construction par et pour l’homme, pour refonder l’humanisme si cher à Félix HOUPHOUET BOIGNY doit être notre bréviaire. La politique n’est ni NORMAL-SUP, ni UFR, ni Science-Po, c’est un jeu de représentativité au terme duquel se joue le destin de la nation, le destin de tous et le destin de chacun. Tous ensemble ou périr chacun de son côté, seul postulat pour les ivoiriens.

Photo-copie-2

 Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force.

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26 avril 2014 6 26 /04 /avril /2014 13:47

a-1 Gbagbo

« Il serait inconcevable que le citoyen ivoirien ne résiste pas à l’Arbitraire d’un pouvoir sanguinaire piloté par un dirigiste criminel, qui gère sa patrie comme une boutique de Mauritanien au Burkina Faso. »

 

 Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force.

lepetitfils da candy

 *****- Un Coup d’œil sur les décombres de l’annexion réussi d’un état au terme d’un Hold-up. 

 

Notre patrie la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY est devenue le pays de tous les maux ; Le pays des coups d’état 24 décembre 1999 et de tentative de coup d’état septembre 2002 qui a tourné a la rébellion,  donc  le pays de la rébellion armée qui a fait plus de sept milles « 7000 » morts aujourd’hui, comme rien n’était, du normal quoi !!!

 

Le pays Des milliers de morts zigouillés « 7000 morts » sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état dont « quatre milles (4000) pour la seule période postélectorale.

 

Le pays des casses orchestrées par le parrain de la rébellion des banques, des institutions financières. Question de soutenir les finances de la rébellion armée et permettre aux chefs de guerre de se mettre plein les poches, sources de motivation dans l’accomplissement de la sales bessonnes du pouvoir par les armes.

 

 Le pays du holdup électoral fait : de déclaration en nullité des votes adverses, favorisation des votes juridiquement illégaux, obstruction aux votes juridiquement légaux, soutenu par les procès verbaux remplis unilatéralement qui décident du résultat des élections en lieu et place des bulletins de votes des citoyens dans les urnes électorales. Où la décision du conseil constitutionnel prescrit dans la constitution de 2000 comme sans aucun recours possible est subordonné aux résultats provisoires proclamés par la Cei dans le QG  de campagne d’un candidat, lieu avéré siège de la rébellion armée.

 

Le pays de la justice des vainqueurs qui épargne tout les criminels qui sont proches du pour dictatorial le tout couronné par la déportation des leaders politiques vaincus de guerre et ressortissants ivoiriens.

 

Le pays du communautarisme de rattrapage, d’abord pour se greffer a un socle électoral soi-disant nordiste, ensuite pour organisé le vol et le pillage des ressources naturelles souveraines de la côte d’ivoire par des médiocres politicards comme prime de vainqueurs de guerres.

 

 Le pays  de la crise de confiance entre le peuple souverain et les gouvernants par les armes de la guerre d’agression déclenchée en 2002 d’une part et entre les opposants et lesdits gouvernants par les armes de la guerre d’agression déclenchée en 2002 d’autre part. D’où l’impossibilité d’un dialogue politique sincère soutenue par la crise de la légitimité du pouvoir d’état acquit par les armes de la guerre d’agression déclenchée en 2002.

 

Le pays des détournements des deniers publics, de la corruption, des vols synergiques, des pillages de nos ressources naturelles, souveraines (Café et Cacao. Pétrole, Diamant et Or.) Avec auto-attribution des fonds fantaisistes de souverainetés astronomiques pour légaliser le vol systématique du bien public.

 

Le pays de l’obscurantisme politique sectaire, de la voyoucratie, de la mangecratie, tout pour manger, tout à manger, tout faire pour manger, pour aboutir a l’état policier, a l’état voyou et a l’état paria. Donc  le pays de tous les chaos sociaux et politiques. Où chaque portion de la société ivoirienne composite se sent attaqué dans son assisse juridique, sociale, politique, de liberté fondamentale, de droit inaliénable.

 

Donc il serait inconcevable que le citoyen ivoirien ne résiste pas à celui qui gère ainsi sa patrie, nation souveraine une et indivisible qui se doit de garantir liberté, droit, justice sociale et juridique pour tous, par procuration d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux, comme une boutique de Mauritanien au Burkina Faso.

 

 Il serait inconcevable que le citoyen ivoirien ne résiste pas, parce que manifestement « Ado puissanci-à-magnidè » est devenu « Ado Nuisance-à-magnidè », « Ado brave-tchê est devenu ado Bloff-tchê », « ado-cowboy Américain » qui invite les ivoiriens a devenir comme des Américains est  devenu « ado- Canne-man médicalisé » « Ado Warri-fatchê est devenu «Ado Djoûrrou-fatchê » qui va jusqu'à emprunter a un pays « PPTE » pays pauvre très endetté, la petite somme de cent milliards CFA. Visiblement Ado-solution à tourner au Ado-cauchemar, a ce rythme il n’y aura pas plus malheureux, que l’ivoirien de demain dans le concert des nations, parce que un boulon sangsue aurait exsangue la chère patrie. Que la nature nous en protège.

 

Donc a tous ceux qui de par leur appartenance idéologique, philosophique, religieuse, communautaire, régionale, ethnique, tribale ont été montés les uns contre les autres pour mieux leur cacher leur ennemi commun, le communautarisme criminel, dictatorial et tyrannique de Ouattara soutenu par des intérêts mafieux des exploiteurs de la misère de ceux qui font leurs fortunes, maculées de sang citoyen et imbibées de larmes d’orphelins de pères et/ou de mères suite a une guerre d’agression déclenchée en 2002. Nous disons à tous ses citoyens, ivoiriens ! Qu’une ligue citoyenne pour le droit, la liberté, la démocratie et la paix pérenne s’impose à nous tous, ivoirien !  

masse-popu

Oui ! Il serait inconcevable que le citoyen ivoirien ne résiste pas à l’Arbitraire qui gère sa patrie comme une boutique de Mauritanien au Burkina Faso.

DCL-10

Un soit-dit en passant (sé-nô-fô) de Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 13:58

Lepetitfils 1- A

 

(Repris dans une tribune) de Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

 

La postérité ne pardonnerait pas ceux qui cautionneront le pouvoir sanguinaire de, Alassane Ouattara dans l’accomplissement de son dessein funeste, mortifère, glauque et visqueux pour la côte d’ivoire de Felix HOUPHOUET BOIGNY.

 

 Quand il y a le feu à la maison, tout citoyen se doit de refuser l’enfermement sectaire et partisan, les replis du clanisme fondé sur la différenciation communautaire et sur la défense des intérêts individuels et privilégier l’union de tous. 

boigny-HOUPHOUET

 Si la côte d’ivoire doit rester dans la suite de l’action politique de Félix Houphouët-Boigny, l’ivoirien a le devoir absolu de  bloquer en 2015, si élection il y a ? Cette dynamique démoniaque mortifère du pouvoir sanguinaire actuel de Alassane Ouattara (trop de morts de citoyens, sept milles (7000) au total) et renverser ce système pervers, mégalomaniaque, obscurantiste et désertique, pour replacer l’être humain au centre du débat. Pour y parvenir c’est simple, il faudra que tous les fausses partisanneries, les antagonismes inutiles, les alliances artificielles, les interpénétrations de la politique et des affaires mafieuses, la dépendance de l’exercice  de la politique a des intérêts égoïstes, et la division dissolvante soit tous dépassée.

 

Dans cette logique du dépassement de soi, pour  l’harmonie et la cohésion de la nation une et indivisible, le choix alors est aussi simple : soit la division généralisée, les uns contre les autres, ou les uns solidaires du pouvoir arbitraire pour des raisons de ventres dans un capharnaüm kafkaïen institutionnel véritable pétaudière. Soit mener le combat solidaire, régénérateur, reconstructeur, et salvateur, mais tous ensembles pour reconquérir la paix pérenne, la cohésion sociale, l’harmonie communautaire  avec elles le pouvoir d’état en 2015 si élection il y a ? Fin ultime de tout parti politique (y compris le PDCI de FELIX HOUPHOUET BOIGNY avec ses 68 ans d’existence). Pour changer notre pays la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Qui n’est plus qu’une immense déchirure sociale et sociétale, dispensatrice de haine pour l’autre, d’injustice sociale et judiciaire, de acculturation, de désocialisation, de désespoir, de misère et de désolation.

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Aujourd’hui a l’opposer du « pas une seule goutte de sang versée sur le sol ivoirien décrété par FELIX HOUPHOUET BOIGNY » les ivoiriens se retrouvent en face à ce jour, avec plus de sept milles morts « 7000 morts » de citoyens ivoiriens zigouillés, sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état par un carriériste pathologique qui se dit Houphouetiste. Qui n’est en réalité que l’anti-Houphouetisme sous couverture de l’Houphouetisme réduit a la bâtardise. Et qui exhibe dans une autosatisfaction puérile démesurée, sa réussite du surendettement éhonté de la côte d’ivoire. Alors que, une nation émergente c’est d’abord l’acceptation par toute la composante sociale nationale de cette nation, d’une appartenance unique, au pied de laquelle appartenance chacun se sent obliger par le devoir citoyen, une nation émergente c’est la paix pérenne, c’est la cohésion sociale et c’est l’harmonie entre les communautés formant ladite nation. Le bonheur dans une nation ne se limite pas au développement économique d’un système dirigiste qui écrase les petits aux pieds des grands intérêts mafieux des usuriers internationaux.

 

Oui ! Le défi ici a notre humble sens est de demeurer contre vents et marrées les dignes héritiers des Félix HOUPHOUET BOIGNY « en tête » et ses compagnons  (Koné Samba Ambroise, SériKoré, Djibo Sounkalo, Ladji Sidibé, Vamé Doumbia, Zamblé Bi Zamblé etc. La liste est très longue). Et tous ceux du Syndicat Agricole Africain, que rien n’a pu diviser dans leur lutte commune. Donc que l’on se détrompe dans l’arène politique ivoirienne, après la guerre d’agression contre la côte d’ivoire déclenché en 2002 jusqu'à ce jour, une sale guerre d’agression que l’on refuse de nommée pour des raisons d’intérêt mafieux. Qui a fait plus de sept milles morts (7000 morts) et la continuité de la crise sciemment entretenue, qui fait chaque jour de nouveaux morts, et des déchirures continues dans le tissu social et communautaire ivoirien, des déchirures pourtant facilement évitable par la philosophie politique de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, a conduit le peuple ivoirien a évalué le pouvoir sanguinaire actuel de Alassane Ouattara et est arrivé à la conclusion suivante : pour raffermir l’unité de la nation, préserver la paix sociale, instaurer la justice dans légalité de tous, ramener la prospérité comme sous le père fondateur FELIX HOUPHOUET BOIGNY et restaurer l’image ternie de la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY défigurée à jamais, cela dans l’union harmonieuse de tous les fils de la côte d’ivoire y compris les déportés et les prisonniers politiques en prison et en sursis, qu’il doit se débarrasser de ce pouvoir sanguinaire de Alassane Ouattara en 2015, si élection il y a ? Véritable devoir absolu de citoyen ivoirien pour une vie libre, une vie paisible, une vie cohérente et une vie harmonieuse, dans une nation une et indivisible.

 

Qu’on se détrompe donc, avons nous-dit, parce que découragement n’est pas ivoirien a dit FELIX HOUPHOUET BOIGNY et découragement ne sera jamais ivoirien tant nous resterons des dignes héritiers de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Donc il est plus que possible de se débarrasser de ce pouvoir sanguinaire actuel de, Alassane Ouattara en 2015, si élection il y a ? Sauf si les partis politiques ivoiriens se complaisent dans le rôle d’appoint à ce pouvoir sanguinairede Alassane Ouattara. En place aux prix du feu des armes sur la côte d’ivoire et du sang ivoirien couler par tout dans l’assiette territoriale. Pouvoir sanguinaire de, Alassane Ouattara qui ne renoncera jamais à l’intérêt particulier, pour lequel l’existence en politique se réduit et se résume à se remplir les poches de deniers publics et à conquérir le pouvoir par n’importe quelle manière et moyen, même en truquant les élections et en marchant sur les milliers de cadavres citoyens.

duekoue-massacres rebelles

 Alors donc, comme la stratégie politique veut, que tout parti politique qui se plait dans le rôle unique d’Appoint, à un autre parti politique au pouvoir perd son substrat politique, perte qui est la logique résultante de la dénaturation de son essence philosophique par le parti au pouvoir dont il est appoint ostensible et finit par disparaitre du paysage politique, au profit du parti au pouvoir dont il se plait à être appoint ostensible. Il est donc dans l’intérêt de tous de se départir de ce pouvoir sanguinaire de, Alassane Ouattara en 2015 si élection il y a ? Hélas ! Milles fois hélas ! Au profit duquel pouvoir et pour lequel pouvoir une idée funeste, mortifère, glauque et visqueuse d’une candidature unique de partis politiques hybrides aux essences politiques très opposé fait son chemin, atteler a des intérêts personnels et égoïstes.

 

Or la logique politique exige qu’en 2015 si élection il y a ? Que les citoyens ivoiriens ont le devoir absolu de bloquer cette dynamique démoniaque mortifère du pouvoir sanguinaire actuel de, Alassane Ouattara (trop de morts de citoyens sept milles (7000) au total) et renverser ce système pervers, mégalomaniaque, obscurantiste et désertique, pour replacer l’être humain au centre du débat.

 

La postérité ne pardonnerait pas ceux qui cautionneront ce pouvoir sanguinaire de, Alassane Ouattara dans l’accomplissement de son dessein funeste, mortifère, glauque et visqueux pour la côte d’ivoire de Felix HOUPHOUET BOIGNY.

DCL-10

(Repris dans une tribune) de Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

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28 mars 2014 5 28 /03 /mars /2014 18:59

BENSOUDABlé Goudé

« Si je suis jugé pour ce que j’ai fais et non pour ce que je suis, que je sois reconnu innocent et que je rentre chez moi; et je sais que je vais retourner chez moi »

 

 

« Je ne veux pas être la honte de ma génération, je ne veux pas être la honte de ma famille et de mes enfants. Je suis venu ici et je me considère en mission pour la manifestation de la vérité. »

lepetitfils da candy

 Proposer par lepetitfils Dandy Leader de la legitimité citoyenne exilé politique de force

 

Charles Blé Goudé: Pour le respect que j’ai pour les victimes, toutes les victimes de la crise qui a secoué mon pays, je suis content d’être là dans l’affaire qui l’oppose au procureur pour que la vérité soit sue afin que cessent les murmures. Madame la Juge, je ne veux pas être libre de mes mouvements physiques tandis que ma conscience innocente accusée à tort d’être la base de tous les torts est au dedans de moi. Madame la Juge, à une certaine opinion qui estime à tort ou à raison que le voyage à la CPI est un voyage de non retour, je pense qu’un citoyen qui est suspecté par la Cpi peut venir ici, faire l’objet d’un procès et s’il est innocent peut repartir chez lui. Et je sais que je repartirai chez moi. Madame la juge, je n’ai pas été remis à la Cpi dans les normes. Je voudrais le noter. J’ai été arrêté de manière cavalière au Ghana, surpris dans mon sommeil, emmené manu militari au Bureau National d’Investigation, mis dans un véhicule sans qu’on me dise où on m’emmène. C’est dans la voiture que je me suis rendu compte qu’on me ramenait en Côte d’Ivoire et pourtant les choses pouvaient se faire dans les règles de l’art. On ne m’a pas permis de parler à un avocat, mes droits élémentaires ont été violé Madame la Juge. Je voulais que cela soit noté.

 

 

Dans mon pays, avant qu’on me remette à la Cpi, pendant 14 mois, j’ai été séquestré Mme la Juge. Je ne pouvais voir personne et personne ne pouvait me voir Mme la Juge. Mme la juge, chaque fois qu’on devait me déplacer, on me bandait les yeux avec un morceau de pagne, on me mettait une cagoule. A la DST de mon pays où j’ai fais près de 9 mois et demi avec pour voisin Jean Yves Dibopieu et Jean Noel Abehi, les autres lieux où on m’a détenu, j’avais toujours les yeux bandé et jamais je n’ai su ou j’étais. Madame la Juge, c’est tout dernièrement que mon geôlier est venu pour me coiffer. Ils sont venus dans la chambre avec des bagages; on a été au sous sol tout l’après midi et c’est quand nous sommes remontés que la chambre était d’une propreté sans pareille. Ils ont rangé des livres, ils ont rangé tout ce qu’il y avait à ranger et ils avaient un appareil et ils ont commencé à me photographier. Ils me disent: «il faut sourire » puis je souris, «fais comme si tu étais entrain de lire » et je lis. C’est plus tard que je me suis rendu compte que c’était une mise en scène que le ministre de la sécurité venait de faire. Madame la Juge, j’ai été réveillé le 21 mars à minuit, on m’a bandé les yeux, on m’a mis une cagoule, on m’a mis dans un véhicule.

 

 

De minuit jusqu’au matin, j’étais assis dans une chaise, les yeux bandés, la tête encagoulée et c’est la matin quand on m’a enlevé la cagoule que je me suis rendu compte que j’étais à la DST à nouveau; mis dans un véhicule, on m’a conduit chez le procureur. Madame la Juge, c’est là qu’on m’a signifié votre mandat d’arrêt. Le même jour, au pas de course, les autorités de mon pays ont fait siéger la chambre d’accusation qui devait approuver mon transfèrement. Madame la Juge, c’est comme ca que j’ai été remis le lendemain à la Cpi. J’estime qu’on peut faire la politique… Quelqu’un est accusé, avec tous ses droits, on peut le mettre en prison et s’il est reconnu coupable, il est condamné…Si je suis reconnu coupable, que la loi s’applique à moi dans toute sa rigueur mais si je suis jugé pour ce que j’ai fais et non pour ce que je suis, que je sois reconnu innocent et que je rentre chez moi; et je sais que je vais retourner chez moi.

 

 

Quand dans mon pays, on me traque, on traque ma famille, on fait un chantage à ma famille biologique et politique, mon médecin en prison, tous mes collaborateurs emprisonnés pas pour ce que j’ai fais mais pour ce que je suis. Parce que si on devait me poursuivre en Côte d’Ivoire pour ce que j’ai fais, il y a beaucoup de personnalités pro Ouattara qui ne peut même pas me regarder en face. Madame la Juge, je ne veux pas être la honte de ma génération, je ne veux pas être la honte de ma famille et de mes enfants. Je suis venu ici et je me considère en mission pour la manifestation de la vérité. Je suis pro Gbagbo et je suis fier de l’être. Je l’étais hier, je le suis encore aujourd’hui. Madame, j’ai appris avec Gbagbo le dialogue, j’ai appris avec Gbagbo la réconciliation, j’ai appris avec Gbagbo qu’il faut convaincre l’adversaire et non le vaincre et pour cela, je suis pour la manifestation de la vérité.

 

 

Madame la Juge, que la paix soit en Côte d’Ivoire et que la Côte d’Ivoire ne s’embrase pas à cause de moi. Je vous remercie. Je suis venu à la Haye, c’est ici que j’ai appris qu’un individu peut avoir des droits qui lui sont reconnus et je voudrais vous remercier pour ca d’ailleurs. Je suis bien traité ici et je suis animé d’un double sentiment parce que quand on m’emmenait à La Haye ici, beaucoup ont pleuré et pourtant en Côte d’Ivoire, je vivais le calvaire. Chaque jour, je vivais dans l’angoisse, chaque minute était un combat. J’étais comme un objet dont on disposait quand on voulait et comme on voulait…J’ai été logé, je ne peux pas demander qu’on me loge dans un hôtel à quatre étoiles. Un prisonnier est un prisonnier dans tous les cas et je suis préparé à cela, je suis prêt. Mais j’ai quelques observations à faire et je souhaite pour le respect que j’ai pour la Cour qu’on vous en parle à huis-clos.

Je vous remercie.

 

BleCPI-SIEGE

 Charles Blé Goudé à la Haye

 

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lepetitfils da candy

(La lutte continue dans la règle qui la sied)

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28 mars 2014 5 28 /03 /mars /2014 18:50

Lepetitfils Da Candy 08-2013-5

Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

 

Soit-dit en passant : Justice des vainqueurs.

 

 

« Poursuites contre tous les auteurs de crimes graves, sans tenir compte de leur statut, ni de leur appartenance ethnique, religieuse ou politique ».

 

La cour pénale internationale (CPI) est une juridiction politique (des vainqueurs de guerres)

 

 

Pour la crise ivoirienne, il faut un tribunal pénal international pour la côte d’ivoire (TPI-CI) de création onusienne (conseil de sécurité ) pour arriver a l’équité judiciaire dans la répression des crimes commis suite a la guerre d’agression déclenchée le 19 septembre 2002 jusqu'à la date de la création de ce tribunal pénal international pour la côte d’ivoire (TPI-CI).

 

 

On ne peut cacher le soleil avec la main…

 

 

L’ivoirien est aujourd’hui réduit à ce à quoi sa spécificité biologique le destine. Mais un jour il fera jour…

 

 

« Oui ! Disons-nous Charles Blé Goudé n’est pas poursuivi pour ce qu’il a fait ou fait, Mais hélas ! Milles fois hélas ! Il est poursuivi pour ce qu’il est. C'est-à-dire réduit à ce à quoi sa spécificité biologique le destine. »

 

 

Çà ne pouvait être autrement quand la Côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY marche sur sa tête.

 

 

*- Mais voilà ! En nouveau, a la légitimité citoyenne nous sommes républicain social, cela signifie quoi ? Que l’homme politique pour nous, l’emporte sur son appartenance biologique, « que les personnes physiques en politique ne nous intéressent pas ». Que le social prime sur la génétique, que la nationalité prime sur l’ethno-communautarisme criminel ou le tribalisme, que la citoyenneté commune prime sur le communautarisme ethnique ou régional, que la laïcité prime sur la confession, que le collectif prime sur la politique des murs diviseurs dans la société commune, que l’universalisme prime sur le nationalisme primaire. Et que la société policée prime sur la société du renard libre, dans le poulailler libre, le renard hallucinant, dans le poulailler halluciné.

 

 

*- Le contraire de ce républicanisme social « que nous sommes à la légitimité citoyenne, » c’est quoi ? C’est la jungle ou le désert mauritanien et la jungle ou le désert mauritanien sont toujours totalitaires, les monstres communautaristes y règnent en maîtres absolus sur un peuple marginalisé, manipulé et impuissant. C’est pourquoi le républicanisme social « que nous sommes à la légitimité citoyenne, » est à la fois subversion d’un ordre injuste, oppresseur, désintégrateur, régressif et est aussi régulateur de liberté, de justice et de cohésion sociale. Ce que nous nous nommons Nation une et indivisible, eh bien ! L’ethno-communautarisme, la divise en quatre « 4 » et la baptise en « Est-Ouest et Nord-Sud » d’où sa tendance à diaboliser les appartenances pour mieux exacerber les murs diviseurs des différences nationales qui le permettront de martyrisé un peuple exsangue de ses ressources naturelles et économiques. Plus grave cependant : quand le républicain social « que nous sommes à la légitimité citoyenne,» s’adresse à des citoyens, l’ethno-communautariste de rattrapage, sans y prendre garde, s’adresse à des ethnies, à des tribus, à des régions, à des communautés sociales et religieuses où chacun est réduit à ce à quoi sa spécificité biologique ou confessionnelle le destine.

 

 

Un jour il fera jour…

 

lepetitfils da candy

 

De : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 14:20

masse-popu

De Lepetitfils Da Candy leader de la legitimité citoyenne exilé politique de force

lepetitfils-novembre 2013-B

Contact : dacandylepetitfils.exileforce@gmail.com

 

« Faire en sorte d’aider la Côte d’Ivoire pour que les élections de 2015 soient des élections crédibles et apaisées. Pour faire en sorte que dans le futur tous les contentieux se règlent sur le terrain politique et non celui de la violence. »

 

*- Cela signifie en clair, qu’il faut plutôt aux ivoiriens de faire en sorte que dans le futur tous les contentieux électoraux se règlent sur le terrain de l’application mécanique de la constitution et non celui de la politique internationale mafieuse ou celui de la violence armée des carriéristes pathologique. 

 

(Le pouvoir au peuple, par le peuple et pour le peuple.) 

 

Les élections démocratiques sont un droit de tout peuples souverains à l’auto-détermination, parce que sans élections démocratiques il n’y a pas de souveraineté nationale, sans élections démocratiques il n’y a pas d’état républicain de droit, sans élections démocratiques il n’y a pas de libertés  individuelles, sans élections démocratiques il n’y a pas de peuples libres et souverains, sans élections démocratiques il n’y a pas de vrai patriotisme et sans élections démocratiques il n’y a pas de place pour cet état policier, pour cet état voyou, pour cet état  paria dans le concert des nations policées. Les élections démocratiques sont donc l’expression active de la souveraineté d’un peuple. Donc, c’est le devoir ici du peuple souverain de Côte d’Ivoire, d’exiger les élections démocratiques pluralistes  en 2015 ? Et que cela se fasse dans le respect du droit inaliénable des peuples a disposé d’eux-mêmes par le choix libre de ses gouvernants et cela dans le respect des libertés fondamentales. Eh bien oui ! Comme un peuple ne peut pas renoncer à un devoir absolu fier ivoirien, peuple souverain de la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY ce devoir est le votre.

 

Ainsi ce devoir absolu nous fait injonction ici,  sans ambigüité de souligner formellement, que les dictatures de par le monde, prospèrent très souvent par et avec la complicité d’une partie du peuple souverain qui finit par payer le prix fort. « Le pouvoir communautariste de Alassane Ouattara s’est autoproclamé Nordiste. Alors même que le nord ivoirien composite a été barbarisé pendant près de dix (10) ans et a payé le prix fort de la sale guerre d’agression au nom de ce pseudo-communautarisme pour uniquement permettre a quelques uns de se sucrer sur le dos du peuple ivoirien au nom du Nord ivoirien composite « Nord-Quest, Nord-Centre, Nord-Est »  annexé par des conquérants venu du Burkina de Blaise Compaoré.». Donc il est constant que la postérité ne nous pardonnera jamais notre passivité face aux micmacs et zigzags dans le processus de réconciliation nationale qui se doit d’être élargie et consensuelle pouvant aboutir au processus électoral de 2015 ?-,  des tenants actuels du pouvoir par les armes. Surtout face à l’image à jamais ternie de la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY dans le concert des Nations policées par une voyoucratie de crétinocrates Alassaneen de la Rencontre Des Ripoux (RDR). 

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Ce devoir absolu nous exige aussi de retenir, que les secousses ponctuelles, extatiques, protestataires, périodiques et passagères vident les luttes citoyennes, pour le droit, la liberté et la démocratie de toutes leurs énergies et que pire, elle vide le peuple souverain de son sang qui peut laisser ainsi par dégoût une dictature prospérer sans la cautionner. Donc que seules les luttes citoyennes, soutenues dans le temps et dans l’espace, rationnelles, concertées, cohérentes, constantes, régulières de droit, dans le droit, pour le droit, le tout dans le respect des libertés fondamentales, aboutissent à la libération d’un peuple d’une dictature. Retenons encore ici, que l’espérance c’est le désespoir surmonté et espérer c’est résister dans ses droits, avec ses droits, contre la dictature d’un pouvoir aveuglé qui a bien l’intention de rééditer son hold-up électoral de 2010 en, 2015 cela avec l’avale de certains suiveurs.

 

Ce devoir absolu nous indique a l’aune de l’espérance et sous les prismes de la philosophie politique de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, que la réconciliation nationale pouvant aboutir a des élections démocratiques crédibles, se fera en côte d’ivoire entre les hommes politiques, de tous bords politiques. Qui sont les problèmes et qui créent des problèmes là ou il n’y a pas. Et par la suite pour qu’ainsi chaque homme politique devienne conséquemment le porteur de paroles communes consensuelles a destination de ses appartenances, politiques, sociales, communautaires, ethniques, régionales. A fin d’aller a des élections véritablement démocratiques, pluralistes, consensuelles en 2015 ?-. La réconciliation et les élections démocratiques crédibles en 2015 ?-, sont à ce prix. Au cas contraire la réconciliation nationale ne se fera jamais en côte d’ivoire et les élections au lieu d’être un jeu festif seront toujours un drame en côte d’ivoire. 

 

Hélas ! Il est constant que l’entretien sciemment par la Rencontre Des Ripoux (RDR) des crises préjudiciables a la réconciliation nationale permet à un groupuscule de privilégiés par le pouvoir ivoirien, de détourner nos deniers publics des caisses de l’état, de piller nos ressources naturelles souveraines et de s’auto-attribuer des titres rémunérés et des postes juteux, de brasser et amasser ainsi des fonds  exorbitants et des privilèges indus sur le dos du peuple ivoirien. Cette protection des intérêts mafieux par une politique sélective, participe du retard sciemment entretenu  dans le processus de la réconciliation nationale en côte d’ivoire et présage un hold-up électoral en 2015 ?- , pour sauvegarder lesdits intérêts et privilèges indus d’un  diptyque d’intérêts réciproques rafistolés des gouvernants par les armes.

 

Gouvernants en grande partie, aux mains emmitouflées de sang citoyen « sept milles (7000) morts », qui ont armé les FN-FRCI, qui volent nos deniers publics et pillent nos ressources naturelles souveraines, (Pétrole, Diamant, or, bois, Café-Cacao) ce sont avérés comme les vrai problèmes pour la réconciliation nationale en  Côte d’Ivoire. Or « quand le droit du peuple ou une partie du peuple est délibérément violé par des gouvernants, l’insurrection est le droit le plus élémentaire et le devoir le plus sacré du peuple ». Aussi il demeure constant que la démocratie et la réconciliation sont inextricablement liées et interdépendantes. La réconciliation n’est donc pas un luxe en démocratie ou un accessoire de la démocratie, que l’on peut mettre de côté pour aller à des élections sans essence démocratique qui se dessine à l’horizon 2015 : elle est une nécessité absolue en période de crise sociale aiguë dans une vraie démocratie pluraliste, qui est le pouvoir au peuple, par le peuple et pour le peuple.

 

La légitimité politique du pouvoir au peuple, par le peuple et pour le peuple ainsi est définie par une acceptation fondée sur le consentement des membres de la société gouvernée. Les démocraties représentatives constituent une organisation du pouvoir politique dont la légitimité passe par la reconnaissance de la souveraineté populaire et dont l’exercice repose sur la délégation de cette souveraineté a des élus. Le peuple délègue donc sa souveraineté par le biais d’élections régulières et concurrentielles à des élus chargés, pour un temps et sous des formes déterminées par la loi fondamentale, de s’occuper des affaires publiques de la cité. Donc en ce sens, la représentation politique désigne le processus par lequel des gouvernants sont légitimés par l’élection démocratique régulière et concurrentielle pour parler au nom du peuple et habilités ainsi à décider en son nom. Donc gouverner est la capacité de se faire obéir avec le consentement de ceux  qui obéissent. En régime démocratique donc, l’idéal est d’obtenir cette obéissance sans menace quelconques  y compris par les armes et de ne l’exercer que dans le but de sécuriser la société. C’est pourquoi les gouvernants ont l’obligation de refaire sans cesse la preuve de leur légitimité.

 

Voilà ! Pourquoi il nous faut des élections véritablement démocratique, pluralistes, consensuelles en 2015 ?-, a fin de reprendre avec le vrai Houphouetisme non-réduit a la bâtardise, les sillons tracés par FELIX HOUPHOUET BOIGNY qui conduisent a la paix sociopolitique pérenne. Oui ! Nous appelons a ce devoir absolu d’exiger des élections véritablement démocratique, pluralistes, consensuelles en 2015 ?-, a la Légitimité Citoyenne : « Mouvement d’utilité citoyenne doublement centriste, républicaine sociale convaincue, totalement indépendante et Houphouétiste enragée, non inféodé a qui que ce soit et a quoi que ce soit». Qui a préféré dès le départ l’embarras matériel dans une aisance intellectuelle à l’embarras intellectuel dans une aisance matérielle. Ni poste, ni titre, ni rémunération mercantiliste. La philosophie de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, rien d’autre que les sillons politiques tracés par FELIX HOUPHOUET BOIGNY, tout pour être digne de la politique de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Telle est notre source intarissable de motivation, point de chasseurs de primes n’en déplaisent aux mange-mils migrateurs pour lesquels tout est monnayables en argent en politique, pour lesquels tout est mangeable à la table des convives nocturnes en politique et qui volent au gré des vents de chaque pouvoir ivoirien.  Donc après les élections de 2015 ?-, chaque citoyen ivoirien doit avoir pour objectif de bien répondre sans baisse la tête a ces quelques mots « Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois ». Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous. 

 

De Lepetitfils Da Candy leader de la legitimité citoyenne exilé politique de force

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Contact : dacandylepetitfils.exileforce@gmail.com

 

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 14:06

Laurent-Gbagbo Alassane-Ouattara

Une route non balisée ne peut mener qu’à la damnation.

 

De Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

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 Contact : dacandylepetitfils.exileforce@gmail.com 

 

(La crise en Côte d’Ivoire n’est pas derrière nous. Elle est peut-être devant nous. La période qui va de maintenant à 2015 est peut-être, l’heure de vérité pour la Côte d’Ivoire pour faire face à la crise. Toutes les crises se sont exprimées, se sont explosées à l’heure de compétition électorale. Il va falloir faire de ces élections, le test ultime de la reconstruction sur tous les points. C’est-à-dire faire en sorte d’aider la Côte d’Ivoire pour que les élections de 2015 soient des élections crédibles et apaisées. Pour faire en sorte que dans le futur tous les contentieux se règlent sur le terrain politique et non celui de la violence.)

 

*- En langage clair les ivoiriens doivent faire de sorte que dans le futur, tous les contentieux électoraux se règlent sur le terrain de l’application mécanique de la constitution qui institue les différents organes composant l’État et non celui de la politique internationale mafieuse ou celui de la violence armée des carriéristes pathologiques. C’est le lieu de souligner ici que, c’est la subordination de l’application mécanique de la constitution ivoirienne à des volontés politiques internationales mafieuses qui est a la base de la crise dite postélectorale de 2010 qui a fait plus de 4000 morts aujourd’hui. C’est çà la vérité.

 

La constitution ivoirienne de 2000 voté  Oui par 2 356 161 (86,53%) d’ivoiriens sur 2 808 157 ivoiriens votants soit  56% qui ressortissaient des 5 017 087 ivoiriens inscrits sur les listes électorales de 2000 a été foulée aux pieds des accords bidons incestueux signé par une poignet de mains d’homme politiques ivoiriens destiné a faire protéger des intérêts mafieux. Alors même qu’aucune disposition constitutionnelle de la côte d’ivoire n'autorise les hommes politiques à faire des accords contraires à sa Constitution. Aussi la Constitution étant le texte qui institue les différents organes composant l’État, elle est par conséquent la norme juridique la plus élevée de l’état, sinon on ne peut parler de souveraineté étatique gouverner par  le droit international coutumier, le droit des droits. Donc pour que la Constitution reste véritablement la norme juridique suprême dans un état, il est donc nécessaire que le conseil constitutionnel puisse écarter l’application d’un accord international, même d’une convention internationale, d’une loi ou d’un règlement interne qui lui seraient contraire par la procédure de contrôle de constitutionnalité, qui a été éluder en 2010 par des intérêts politiques funestes

 

C’est ainsi dire clairement que, dès lors, qu’un accord international est soupçonné de  contrevenir  à la Constitution qui institue les différents organes composant l’État, faudra-t-il  d'abord vérifier la compatibilité de cet accord international par rapport à la Constitution avec s'il échet, l'obligation de poser  la question au Conseil constitutionnelle. Au cas contraire on se retrouve dans l’illégalité juridique constitutionnelle et dans l’illégitimité de tous les actes édictés dans l’accord international contraire à la constitution. La validité juridique et diplomatique d’un n’accord international réside dans le respect de la souveraineté nationale de l’état qui est sujet et non dans la signature d’un ramassis de poignets de mains d’homme politiques en partie loufoques.  

ABATTOIR

Puisque tout cela a entrainer pour la côte d’ivoire a faire le deuil a jamais de sept milles (7000) de ses enfants fiers ivoiriens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état par les armes impies d’une mafia internationale sous couverture de la communauté internationale  sinon onusienne.

 

Aujourd’hui le constat est clair et sans ambigüité aux yeux du droit dans toute sa rigueur, il est irréfragable que le pouvoir de Alassane Ouattara  enfanté au terme des accords de non-droit incestueux de danses de sorcelleries politiciennes, qui ont cocufier la constitution ivoirienne transcender pas des  accords dont la seule validité réside dans la reconnaissance constitutionnelle, n’a pas de base juridique  légale, n’a pas de fondement de droits.  Par conséquence  l’exercice de ce pouvoir  illégale ne peut être légitime encore moins démocratique. Parce que acquit au terme, d’un déni-de-droit,  d’un déni d’élection démocratique couronné par l’achèvement de la guerre d’agression déclenchée en septembre 2002 qui a fait a ce jour sept milles morts. Ce pouvoir est illégale et illégitime a tout points de vues, juridiques ou démocratiques. 

 

Notre constat là ne date pas d’aujourd’hui, nous l’avons écrit dans la presse en 2002, dès l’entame des négociations par le pouvoir légitime et démocratique de GBAGBO avec la rébellion, que ces négociations allaient aboutir a la reconnaissance implicite et tacite  ou matérialisée par des accords inter-belligérants qui entraîneront de droit la reconnaissance internationale des deux parties à la belligérance. Qu’elles mettront la rébellion et le pouvoir démocratique et légitime de GBAGBO sur le même pied d’égalité aux yeux du droit et dans l’exercice du pouvoir. Et que la souveraineté de la côte d’ivoire annexée se retrouverait soldée. En clair les différents accords qui ont magouillés la crise ivoirienne issus d’une guerre d’agression déclenchée en septembre 2002 ont soldé toute la souveraineté de la côte d’ivoire annexée.

 

 Aux regards du droit, la jurisprudence constitutionnelle  « cour suprême » relative à la validation des candidatures l’élection présidentielle de 2000 reste de rigueur de droit. Et il est incontestable qu’en droit quand le substrat d’une architecture juridique est illégale toute la bâtisse juridique de vient illégale. Aucune disposition des articles de la constitution de 2000 ne tient d’autres dispositions  de la même constitution en l’état. Les dispositions de l’article 48 de la constitution de 2000 ne s’appliquent pas dans le champ d’application des autres dispositions constitutionnelles y compris le champ d’application des dispositions de l’article 35 de la constitution. Donc la côte d’ivoire roulant depuis septembre 2002, sur une route de déviation juridique rébellionnaire non balisée ne pouvait mener le peuple qu’à la damnation. N’en déplaise… 

 

De Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 D-Lepetitfils

La légitimité démocratique resulte de la légitimité juridique

 

Contact : dacandylepetitfils.exileforce@gmail.com 

 

 

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26 février 2014 3 26 /02 /février /2014 15:11

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Proposer par:  Lepetitfils Da Candy leader de légitimité citoyenne exilé politique de force

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De : Mamadou Koulibaly Président de Liberté et Démocratie pour la République – LIDER.

 

Chères Ivoiriennes, chers Ivoiriens, A la suite de mon interview sur Bbc, plusieurs personnes m’ont envoyé des messages pour me dire qu’elles ne comprennent pas ma position sur le débat sur l’éligibilité de Ouattara, que j’ai qualifié de faux débat. En synthétisant, on peut résumer leurs questionnements de la façon suivante : Le problème que pose l’article 35 de la constitution à Ouattara ne peut être banal. Ou bien on respecte notre constitution et on l’applique, ou bien on la balaie d’un revers de main et c’est la porte ouverte à toutes sortes d’abus. Marcousis ne saurait supplanter la loi fondamentale. Les accord de Marcoussis ont été faits dans un contexte bien particulier et sont donc à présent caducs. Je remercie toutes ces personnes pour leur intérêt pour la question. Je vais m’expliquer et j’espère arriver à les convaincre que ce débat est sans intérêt pour ceux qui veulent que la Côte d’Ivoire avance et tourne le dos à toutes ces années d’ivoirité. Je comprends leur raisonnement.

 

Laurent Gbagbo, alors président de la république, a utilisé l’article 48 de cette même constitution selon lequel «Lorsque les Institutions de la République, l’indépendance de la Nation, l’intégrité de son territoire ou l’exécution de ses engagements internationaux sont menacées d’une manière grave et immédiate, et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président de la République prend les mesures exceptionnelles exigées par ces circonstances après consultation obligatoire du Président de l’Assemblée nationale et de celui du Conseil constitutionnel. Il en informe la Nation par message. L’Assemblée nationale se réunit de plein droit». L’une des mesures exceptionnelles après l’accord de Pretoria aura été de rendre éligible Ouattara, qui ne l’était pas, pour les élections de 2005 qui n’ont pu se dérouler, en définitive, qu’en 2010, sans qu’il n’y ait eu une nouvelle décision exceptionnelle pour valider la candidature de Ouattara.

 

 

Pour moi, la décision prise à Pretoria était illégale et anticonstitutionnelle. La non prise d’une nouvelle décision en 2010, au moment des élections, était aussi illégale. Seulement, alors que l’on pensait ces décisions circonstancielles dans le temps, elles ont conduit à l’installation de Ouattara comme président de la République de Côte d’Ivoire. Et en tant que tel, il remplit nécessairement et par définition les conditions l’article 35. Notre pays peut avoir des candidats à la présidence de la République à titre exceptionnel, mais ne peut avoir de président de la République à titre exceptionnel. Comme le soutenait un des grands défenseurs de l’accord de Marcoussis, le professeur Jean du Bois de Gaudusson de la faculté de droit de Bordeaux dans un article intitulé «L’accord de Marcoussis, entre droit et politique» dans la revue Afrique Contemporaine 2003/2 (no 206) page 41à 55, en cas de crise grave, on peut sortir du droit, trouver des solutions politiques à la marge du droit dans des fabriques de réconciliation et revenir légaliser les solutions politiques qui auront alors force de droit.

 

Marcoussis, Accra, Pretoria et Ouagadougou étaient toutes ce type de fabrique et Gaudusson écrit :«Dans ces conditions, il reste au droit et aux juristes à reconnaître, plutôt que de se livrer à une course poursuite avec les faits, vouée à l’échec, qu’ils rencontrent des bornes, que tout ne saurait se régler en pure logique du droit et sur son seul terrain, et qu’il est des épisodes, souvent les plus dramatiques, de la vie politique qui leur échappent. Si leur objet est juridique, l’accord de Marcoussis comme ses homologues sont d’abord des accords politiques dont la force ne tient que par la volonté et le consensus de leurs auteurs et de ceux qui ont facilité sa conclusion Mais c’est en fin de compte au droit que reviendra le dernier mot lorsque la situation de non-droit et la crise à la résolution de laquelle il peut contribuer seront surmontées et que sera venu, revenu, le temps des accords juridiques à contenu politique.» La question pour moi est donc close. Nous avons illégalement légalisé une candidature qui ne pouvait l’être. L’illégal étant devenu le légal protecteur de la loi fondamentale, il n’est plus possible de faire machine arrière, sauf à vouloir tourner en rond et retarder la marche de notre pays vers le progrès social.

 

Ouattara a voté en Côte d’Ivoire. Il est donc détenteur d’une carte nationale d’identité et d’une carte d’électeur. Pour moi, remettre sur la table son éligibilité c’est faire marche arrière. Il aurait fallu ne pas accepter Marcoussis, Accra, Pretoria et Ouagadougou. Ces accords politiques ont, semble-t-il, donné une solution politique à la crise ivoirienne, que nous avons légalisée par le vote de 2010 qui a servi en même temps, à la fois d’élection présidentielle et de referendum sur une nouvelle constitution qui reste maintenant à écrire. A mon sens, la constitution actuelle est mauvaise, mais pas au niveau de l’article 35. Elle l’est parce qu’elle permet à une personne, toute seule, d’imposer l’illégalité au peuple entier, pourtant présenté comme souverain par la même constitution. Elle donne trop de pouvoir au président de la République. Elle ne laisse aucune possibilité de saisine du conseil constitutionnel au peuple de Côte d’Ivoire. C’est le régime présidentiel qui pose problème, et non l’article 35.

 

Je trouve drôle que ceux qui ont signé et défendu Marcoussis et ses avatars comme étant des moyens d’accession à la paix soient aujourd’hui en train de revenir sur leurs discours de 2003-2010. Ils voulaient la paix par Marcoussis, ils ont eu la paix de Marcoussis. N’avons-nous pas toujours besoin de paix? Notre quête de paix est-elle achevée? N’était-elle qu’exceptionnelle, circonstancielle de temps ? Pour moi non. La paix doit être permanente. Et plus que jamais nous avons besoin de cette paix. En autorisant Ouattara à être exceptionnellement candidat, les défenseurs de Marcoussis et Pretoria pensaient-ils qu’il ne pouvait que perdre aux élections? S’ils l’ont pensé, alors ils ont été légers. Car quand on va à des élections, il n’y a pas qu’une issue au vote, mais deux: soit on gagne, soit on perd. Ouattara a joué et a gagné. Il a du même coup acquis tous les pouvoirs et les droits reconnus au président de la République et aux Ivoiriens.

 

A mon avis, c’est un acquis de notre histoire qui aurait dû mettre fin, en principe, à l’ivoirité, n’eut été la volonté de rattrapage ethnique du président Ouattara. Il ne s’agit plus de discuter de l’illégalité, de la légalité ou de l’éligibilité de Ouattara à la tête de l’Etat, mais plutôt de l’illégalité des actes de gouvernement de Ouattara. Respecte-t-il son serment ou pas? Viole-t-il la constitution ou pas? Telles sont les questions qui devraient nous mobiliser aujourd’hui et demain.

 

 S’il y a un vrai débat à avoir autour de l’article 35, c’est celui qui consistera à savoir si oui ou non nous permettrons à Ouattara de modifier la constitution pour y ajouter une vice-présidence, changer la durée du mandat présidentiel et modifier les conditions d’âge contenues dans cette disposition. Dans ce vrai débat, on ne se demande pas seulement si le président Ouattara peut faire légalement ces changements constitutionnels, mais plutôt si nous allons le laisser faire sans réagir ou si nous allons lui barrer la route. Quand un peuple dort alors que la démocratie est en danger, il se réveille sous la dictature.

 

De: Mamadou Koulibaly Président de Liberté et Démocratie pour la République – LIDER

lepetitfils da candy

 Proposer par : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force 

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14 février 2014 5 14 /02 /février /2014 12:41

Le petitfils-2-14

De : lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

 

Côte d’ivoire : *- Tyrannie ? *- Dictature ? *- Despotisme ?  On est ou là,  avec le pouvoir Ouattara ?

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 La dictature systémique.

 

Le but de la société est le bonheur commun. Le gouvernement est institué pour garantir à l'homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles. Dans un état républicain de droit, les gouvernements dans l’exercice du pouvoir d’état,  franchissent dès lors les bornes de son exercice normal, quand il ne reflète plus le consentement du peuple ou la volonté générale de la totalité sociale et se substitue à une volonté particulière. Celle d’un homme qui s’approprie le pouvoir pour assurer sa prospérité personnelle, celle de sa fratrie, celle de sa famille, celle d’un lobby mafieux des grands usuriers internationaux, celle d’un lobby international de presse intéressé et celle d’une mafia de politiques internationales, celle d’un parti politique qui ne poursuit que son profit et qui refuse le jeu de la liberté démocratique, de la liberté d’expression, de la libre concurrence politique dans l’espace public, de la représentation et de la participation d’autres citoyens a la vie politique de leurs pays. Et s’approprie de force avec les armes impies le pouvoir d’état propriété exclusive de la totalité sociale qu’est le peuple souverain. « Pour la Rencontre Des Ripoux (RDR) pas de meeting d’Affi a ABOBO commune taxée gratuitement de fief de Ouattara »  

 

Le pouvoir se coupe dès lors de son fondement moral, qui réside dans la conscience d’une appartenance collective du peuple a une société commune, a une nation une et indivisible, ce pouvoir se situe ainsi au-dessus du peuple souverain. Dans cette séparation illégitime et illégale dans l’exercice arbitraire du pouvoir d’état, commence le règne du non-droit, commence le règne de la dictature, commence le règne du despotisme, commence le règne de la tyrannie et commence le règne de l’asservissement du peuple souverain pour se remplir les poches de deniers publics, pompés dans les caisses publiques étatiques et dans les ressources naturelles souveraines de l’état. Le pouvoir a rompu donc ainsi avec le corps social, le contrat social pour le développement commun de la société a été ainsi rompu de façon arbitraire, au mépris de la cohésion sociale, de l’harmonie communautaire et en dépit des libertés fondamentales du citoyen et du droit inaliénable du peuple souverain à disposer de lui même.

 

Donc que le peuple le veut ou pas le tyran dicte se qu’il veut en aliénation de tout les autres pouvoirs du mécanisme du système étatique, la gouvernance par ordonnance présidentielle participe a cette forfaiture. Donc lui ou rien, tant pis pour le peuple souverain. Or puisque la volonté générale du peuple doit toujours s’exprimer dans le processus politique et social et se refléter dans les décisions du pouvoir politique, il faut que la gestion sociale soit constituée de telle manière qui permet au peuple souverain son expression à tous les étages des décisions politiques/publiques, via leurs représentants dans leurs pluralités aux seins des centres de décisions publiques. Dans l’idéal donc, il faudrait que chaque citoyen puisse participer aux décisions publiques engageant la vie de la société commune, via leurs représentants dans leurs pluralités sociopolitiques aux seins des centres de décisions publiques. Donc au vu de cette réalité, un pouvoir qui ne tire sa légitimité que du soutien de la communauté internationale est incontestablement une dictature en fait et en droit.

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 *- Voilà pourquoi qu’en disant que : le tyran peut n’être pas despote, mais le despote est toujours tyran » Rousseau dans son Contrat Social illustre magnifiquement cette différence entre le « dictateur » le « despote » et le « tyran ».

 

*-  La dictature est un régime politique autoritaire, établi et maintenu par la violence matérielle y compris armée, à caractère exceptionnel et illégitime. Elle surgit dans des crises sociales très graves. Il s'agit en général d'un régime très personnel ; mais l'armée de violences de toutes sortes ou les partis politiques sectaires peuvent servir de base à des dictatures institutionnalisés ou institutionnelles.  

 

*-La tyrannie est un régime politique obscurantiste ou on appelle tyran tout homme qui, dans une cité, s'empare illégalement du pouvoir et le conserve par la force y compris armée, au mépris des lois de la cité et qu'il exerce, non pour le bien et l'avantage de ceux qui y sont soumis, mais pour son avantage propre et particulier. »

 

*-Le despote : le pouvoir despotique donne une marche de conduite à suivre, tel que le ferait un père envers ses enfants. Son socle est le panurgisme moutonnier et le suivisme aveugle, c'est-à-dire suivre bouche cousue.

 

*- L’arbitraire est « une autorité qui s’exerce selon le bon vouloir d’une personne ou d’un groupe Indépendamment des normes juridiques  en vertu desquelles il s'exerce.

 

Donc dans tout çà en Côte d’ivoire entre: *- Tyrannie ? *- Dictature ? *- Despotisme ?  On est ou là, avec le pouvoir Ouattara ? Parce que manifestement « Ado puissanci-à-magnidè » est devenu « Ado Nuisance-à-magnidè », « Ado brave-tchê est devenu ado Bloff-tchê », « Ado pluie de milliards sur la côte d’ivoire est devenue Ado tempête du désert mauritanien de la vie chère sur la côte d’ivoire » « Ado deuxième miracle ivoirien est devenu Ado dirigisme de défenestration économique qui écrase les petits aux pied des grands intérêts mafieux » « Ado augmentation des salaires des fonctionnaires est devenu Ado radiation ciblée de 1700 fonctionnaires des fichiers de la fonction publique » « Ado Warri-fatchê est devenu «Ado Djoûrrou-fatchê » qui va jusqu'à emprunter a un pays « PPTE » pays pauvre très endetté, la petite somme de cent milliards CFA. Visiblement Ado-solution pour la côte d’ivoire à tourner au Ado-cauchemar pour les ivoiriens. A ce rythme il n’y aura pas plus malheureux, que l’ivoirien de demain qui naitra avec des milliers de milliards de dettes au cou dans le concert des nations. Que la nature nous en garde.

 

Donc au vu de ce constat, il est incontestable que le défi le plus exaltant que la crise sociopolitique issue d’une guerre d’agression lance au peuple ivoirien, est celui d’œuvrer pour faire advenir en côte d’ivoire au terme d’une ligue citoyenne pour les libertés individuelles et les droits fondamentaux « un tous en ensemble solidaire » le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple  d’Abraham Lincoln, (16e président des États-Unis de 1860 à 1865). Donc par devoir de citoyen, chers ivoiriens refusons la fausse propagande de diversion, qui tue toute ambition légitime en faisant croire,  que le gouvernement issu d’une guerre d’agression déclenchée le 24 décembre 1999 chemin faisant en passant par le 19 septembre 2002 et parachevée en avril 2011 par un Hold-up électoral pour légitimé cette guerre d’agression marquée par la chronicité des tueries par les FRCI soit/est la panacée aux problèmes de notre société ivoirienne, de notre nation une et indivisible la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

 

Il nous faut Innover donc nous même fier ivoirien, pour faire notre propre Histoire, avec nos propres actions, avec nos propres mots, avec nos propres expériences, sur la base de nos propres réalités sociologique. Voilà le défi que : Erich FROMM Psychanalyste, humaniste, américain d'origine juive allemande (1900 – 1980)  décrivait en ces termes: « Notre capacité de douter, de critiquer et de désobéir est sans doute le seul moyen d’éviter la fin de la civilisation et d’assumer l’avenir de l’humanité ». Et c’est maintenant ou dans l’abime sociétal. Quand le gouvernant viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple le plus sacré et le plus indispensable des devoirs. Parce que : Vivre ensemble et mettre en commun discussions et pensées : c’est en ce sens là, qu’on doit parler de vie en société quand il s’agit des hommes. A bon entendeur salut.

D-Lepetitfils

 Extrait des tribunes de : lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

VOIR/ dans même rubrique : www.malonnamadou.blog.fr 

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