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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 19:43

gourou et adepte

Impossible redressement d’une barre déjà à terre par le Communautarisme criminel et mafieux qui n’excelle que dans le sectarisme obscurantiste, nébuleux, mortifère, chaotique et funeste qui à déjà fait six milles (6000) morts et la côte d’alerte est aux rouge et l’extrême urgence est patente… Citoyen !!!

 

 

Aujourd’hui plus que jamais nous avons besoin d’une ligue citoyenne rigoriste sur les droits fondamentaux, incisive sur les libertés fondamentales, intransigeante sur les règles démocratiques et extrêmement pugnace face au communautarisme criminel Alassanéen de la Rencontre Des Ripoux, (RDR)

 

Da candy lepetitfils

« Le nouveau gouvernement Duncan dont le pouvoir est très limité par notre système institutionnel parce que charger uniquement d’appliquer le bon vouloir du « président de la république » qui ici est le père de ces FRCI criminels ne résoudra rien de concret , même s’il doit s’essayer de restaurer la sécurité des ivoiriens et de leurs biens. Le surendettement éhonté pour faire de quelques uns des multimilliardaires afin d’instaurer une nouvelle ploutocratie dynastique en côte d’ivoire, surendettement éhonté dont le paiement « remboursement) » demain posera tout les problèmes à des générations d’ivoiriens, les farfelus taux de croissances à (deux chiffres) économiques qui seront chanté peut êtres demain et les Budgets étatiques astronomiques de prés de quatre milles milliards CFA dont les 80% finissent sur la table des convives ( c’est leur tour de manger dit-t-on ) ne restaureront  jamais la paix sociale en côte d’ivoire sans l’arrêt des tueries et exactions des FRCI de OUATTARA… »

 

 

 

Mettons d’abord la légitimité citoyenne mouvements politiques d’utilité citoyenne en question : 

 

 

La genèse  de la légitimité citoyenne, tout comme celle de tout mouvements d’utilités citoyennes, créer à partir d’une demande pressente d’intérêt public a fin de régulation politique et sociale de nombres de sociétés qui aspirent a la paix sociale pérenne, à la stabilité sociopolitique fondée sur le pluralisme politique accepter par tous, à la concorde civile dans le respect mutuel, et l’exaltation de la diversité solidaire dans une nation une et indivisible à ainsi pour conséquence de dénoncer la dilution du politique dans les affaires mafieuses, la dislocation de la société commune par la différenciation ethnique, régionale, et communautaire (le rattrapage communautaire dans les nominations dans l’appareil étatique) et la dépravation des mœurs sociétales, (comme la récente loi sur le mariage) défenses et pratiques propres aux engagements associatifs raisons de leurs existence, parce que sommés d’agir dans l’extrême urgence et dans la proximité pour pallier les manques de l'états, policier, voyou,  paria et la dictature sanguinaire en les dénonçant publiquement. Loin d’être diabolisateur  de l’état  policier, de l’état paria, de l’état voyou et des dictatures tyranniques et sanguinaires, ces mouvements d’utilités  publiques citoyennes entendent au contraire les restaurer dans toutes leurs prérogatives sans faux-fuyant.   SOURÄKÄ-DJÖN !!! 

Da candy lepetitfils

 (En effet, du 16 avril 1987 au 16 avril 1994 ; nous étions dénommée groupe de jeunes Houphouetistes, « GJH ». Du 16 avril 1994 au 16 avril 2006 nous étions dénommées groupe de réflexion houphouetistes « GRH » et nous sommes devenus un mouvement politique d’utilité citoyenne. DU 16 avril 2006 à ce jour, nous sommes dénommées la légitimité citoyenne « citoyen et républicain social (LC-CRS) endurcie par toute sorte d’écueils après le décès du père fondateur de la côte d’ivoire le président FELIX HOUPHOUET BOIGNY»

 

 

 

Nous nous voulons les héritiers du Syndicat Agricole Africain et du Rassemblement Démocratique Africain. Les hussards fourmis magnans de la nation une et indivisible garantissant droit fondamentaux, liberté individuelle et justice sociale et juridique pour tous et gardien volontiers de la république républicaine, les enfants de l’indépendance politique de la Côte d’Ivoire, les fiers disciples de Félix HOUPHOUET BOIGNY qui aspirent à voir gouverné la côte d’ivoire dans la ligne directe de la gouvernance de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

 houphouet[1]

Comme hier, c’est contre la « nouvelle aristocratie et la nouvelle ploutocratie naissante » la voyoucratie éclose sous nos yeux en 2010 dans le feu et dans le sang, l’argent des mafieux de l’interpénétration de la politique et des affaires mafieuses, les privilèges iniques et indus et leurs représentants percé au sommet du pouvoir étatique, les boys de luxe des institutions financières mafieuse qui exsangue notre chère nation et leur lobby de presse internationale qui valide les mensonges les plus éhonté du monde, que nous entendons mener le combat et que nous le menons effectivement au jour le jour sur le terrain en bons grognards de la garde pour rendre l’ivoirien maître de son destin au risque de notre vie physique « d’où notre exil politique de force ». Nous sommes fidèles aux sillons tracés par FELIX HOUPHOUET BOIGNY d’où qu’ils mènent, jusqu'à la paix sociopolitique pérenne.

 

 

 

A quoi nous aspirons ? A mettre l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental, à l’avènement d’une société plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire et régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous. Voilà l’enjeu citoyen !!! Il nous faut pilonner tous ensemble cette exigence humaniste qui a toujours été Houphouétiste et imposer plus que jamais cet humaniste dans le débat d’idée dans l’arène politique ivoirienne même au risque de notre vie, qui seul peut nous permettre de sortir de cette crise de la totalité sociale créer de toute pièce par des arrivistes renégats , carriéristes pathologiques qui n’excellent que dans le sectarisme obscurantiste, donc sortir de cette crise de la totalité sociale qui conduit notre société autrefois paisible, sans retomber dans une autre crise de la totalité sociale plus grave encore avec ces fichus de communautaristes criminels et mafieux.

 

 


 

N’Essayons pas  de brancher un rasoir électrique entre les mains sur une prise électrique de 1000 Voltes :

 

ABATTOIR

Cette bataille contre l’arbitraire ouvre les portes de l’avenir aussi bien des citoyens que de la nation dans le concert des nations sur la stabilité et la paix sociopolitique. Si on attend demain ou c’est a dire le futur ou l’avenir pour ouvrir cette bataille, c’est le péril et des citoyens et l’anéantissement de la nation assuré. Donc autant rentrer maintenant chacun d’entre nous chez soi « exilé intérieur ou exilé extérieur » tout de suite pour se tirer une balle dans la tête, parce que attendre demain c’est a dire le futur ou l’avenir pour le faire, c’est vouloir ou essayer de brancher un rasoir électrique entre les mains sur une prise électrique de 1000 V, c’est le court-circuit assuré. «  Autant dire dès maintenant à la vie a la mort !!! »

 

 

 

Ces communautarismes criminels et mafieux ont d’abord pour  adversaire dans cette bataille les six milles (6000) morts de la crise déclenchée par eux en 2002 contre un pouvoir démocratique celui de GBAGBO et les dix (10) ans depuis septembre 2002, le chaos social qu’elle a générer dans notre pays, le misère sociale qu’elle a produit dans notre brave population, les  tuerie qu’elle a occasionner par les FRCI et leurs satellite DOZOS, le pillage systématique de nos ressources naturelles souveraine « or et diamant au nord » qu’elle a légitimer et de mensonge d’état dans le discours officiel dans un pays qui était humaniste et universel ; c’est-à-dire un pays où l’identité de l’humanité était entièrement acceptée dans ses formes différentes et diverses…

 

 

 

Il faut imposer cette bataille aux communautarismes criminel et mafieux qui n’excellent que dans le sectarisme obscurantiste pour lesquels on n’a pas le droit d’avoir de confrontation démocratique pluraliste d’une autre conception que celle de deux meutes hystériques jappentes dont les  labradors et clébards qui les composent ne croient la plupart du temps même plus en leurs propres aboiements du nom de la paix sociale et de la réconciliation nationale, et qui ne songent par principe qu’à déchiqueter le maître chien d’en face, c’est-à-dire l’opposition significative et qui pensent que la politique c’est l’opposition des groupes armés ennemis qui doivent s’exterminer pour survivre.

duekoue-massacres rebelles

Ce n’est pas un choix de leur part, ils sont condamnés à cela par la catastrophe qu’ils ont engendré dans notre chère patrie par la prise des armes contre un pouvoir démocratique. Et même arrivée au pouvoir par les armes d’une mafia internationale sous couverture onusienne ils ne peuvent s’en passer c’est la seule chose qu’il maitrise. Il faut les comprendre, parce qu’en politique il est très difficile d’avoir des idées novatrices pour la stabilité sociale et la paix pérenne, quand on a l’habitude de subir depuis septembre 2002 dix (10) ans maintenant les contraintes d’une meute rebellionnaire bornée qu’on a armée, qu’il est douloureux de se redresser quand on plie depuis si longtemps depuis septembre 2002 dix (10) ans maintenant face aux caprices du gain facile et face aux travers des petits rebelles borné qu’on a armé pour conquérir le pouvoir d’état et qui sont subitement devenus gênants depuis leurs arrivée au pouvoir. Or il leur est impossible de se départir de la totalité de ces petits rebelles borné mêmes s’ils ont pu  jeter les un tiers de ses fantassins borné dans la nature avec leurs armes.

 

 

 

Ces communautarismes criminel et mafieux sous commandement Ouattara qui n’excellent que dans le sectarisme obscurantiste parce que vidés de leur énergie par guerre et ignorant le sens de la retenue dans l’action politique et de la distance qu’exige la politique étatique et gouvernementale avec l’hystérie rébellionnaire par la synthèse tiède. Ils sont départis d’imagination politique face a plus de cent milles « 100 000 » hommes armés jeter dans la nature, aussi aveuglé de perspective à long terme, autant assourdie par l’intérêt particulier clanique et partisan, entre-déchirés par l’incohésion et l’incohérence interne dans la recherche de paix sociale pérenne et incapable d’obvier et de parer a la commission des crimes contre l’humanité par leurs propres FRCI. Ces communautarismes criminel et mafieux qui n’excellent que dans le sectarisme obscurantiste traînent leur peine résultante de leurs rébellions armées qui les ont disqualifiés depuis septembre 2002 pour gouverner un pays de paix comme la Côte d’Ivoire de  FELIX HOUPHOUET BOIGNY. SOURÄKÄ-DJÖN !!! 


 

 

Impossible redressement d’une barre déjà à terre

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Ces communautarismes criminel et mafieux qui n’excellent que dans le sectarisme obscurantiste n’ont écouté que leurs cœurs pendant leur guerre pour défendre leurs intérêts mafieux, égoïstes, égocentriques, claniques et personnel et aussi ils n’ont écouté que leurs corps physiques pour s’adonner aux crimes contre l’humanité six milles (6000) morts au total et ils avaient peut être raison parce que cela est propre aux communautarismes criminels et mafieux qui n’excellent que dans le sectarisme obscurantiste opaque « aucun éclairage, du noir, du néant, du sable, du vent, et obscur » mais ils ignoraient leur tête et ils avaient peut être tort sinon comment expliquer l’ingratitudes a l’égards de plus de cent milles « 100 000 » personnes armés qu’ils ont jeté dans la nature après service rendu et le pouvoir conquit par les armes d’une mafia internationale sous couverture onusienne.

 

Le plus pire ? Leur alliance avec les PHILIPPE Mangou et Kassaraté qui gouvernaient une partie des FDS délaissé sous le pouvoir GBAGBO comment peut-t-on traquer les exécutants et aduler l’ordonnateur, ici nous doutons de leurs écologies mentales peut être peuplé du sale du désert mauritanien pays da Alassane OUATTARA. Et surtout ils considéraient trop leur nombril, (le ventre étant leurs soucis majeur) ce qui les empêchaient de voir la catastrophe qui pointait à l’horizon après ladite ingratitude a l’égard des cent milles « 100 000 » personnes armés qu’ils ont jeté dans la nature après service rendu et le pouvoir conquit par les armes, le chaos et la décadence sociale qui en résultent et leurs conséquences sur la paix sociale indispensable a l’exercice de leur pouvoir conquit par les armes d’une mafia internationale sous couverture onusienne.

 

 

 

Aussi les besoins de justice, de liberté et de droit que cette ingratitude peut susciter après les graves violations des droits de l’homme par les hommes délaissé après leur arrivée et leur installation au pouvoir, les multiples attaques des FRCI délaissé qu’on attributs gratuitement au ennemi GBAGBO ne sont pas fortuites, c’est la suite logiques d’une inconscience avérée, aucune capacité de discernement politico-sociale. Alors même qu’en politique tout leader se doit être stratégique. Voilà pourquoi ces communautarismes criminels et mafieux qui n’excellent que dans le sectarisme obscurantiste ont en face un ennemi  imbattable qui est de  leur propre création pour arriver au pouvoir et c’est le déclin assuré. « après la rébellion armée ? Il y a du THOMAS Sankara et BLAISE Compaoré a l’horizon ou du Ibrahim Baré Maïnassara en l’air... »  -En politique quand on perd aussi lamentablement la main, peut-on encore la retrouver ? Les plus grands magiciens politiques le savent ; il est un moment dans la politique, de par votre propre fait où tout ce que vous touchez se transforme en monstre contre votre politique inconsciente, où désespérément des hommes qu’on a armée dociles hier pour conquérir le pouvoir par les armes deviennent vos ennemis juré parce que trahi et délaissé.

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 Donc d’où  les événements vous filent entre les doigts comme un poisson silure de nos marigots et rivières, cela  malgré vos mimiques pour faire croire aux gens que vous maitrisez quelques choe encore, ou vos actions politiques néfastes vous retourne au visage comme le sable d’une tempête du désert de MAURITANIE, avec ses multiples attaques des hommes armés issus de leurs propres troupes (FRCI) attaque des hommes armés par ci et attaque des hommes armé par là. Quand sortilège de l’état «arbitraire, policier, paria et voyou » autrefois de grâce se dissipe sous leurs gouvernances basé sur l’obscurantisme. Ces communautarismes criminel et mafieux qui n’excellent que dans le sectarisme obscurantiste paraissent si embarrassé dans la gestion des crises qu’ils produisent eux mêmes, si maladroit en équilibre politico-sociale, « l’irruption forcenée de l’exécutif dans le législatif » si instable sur leurs bases qu’ils ont du mal à se trouver une solution a la crise armée qu’ils ont eux-mêmes crée et pourtant solution qu’ils disent facile. Simple fanfaronnade citoyen !!! SOURÄKÄ-DJÖN !!! 

 

 

 

(Une réconciliation, ne se fait pas dans un stade de football avec des grands footballeurs, ou dans une sale de danses ou dans un stade avec des grands artistes/chanteurs et aussi bien que les églises et les mosquées soient le terreau fertile à une telle entreprise. La réconciliation nationale doit être orchestré par des « ONGL » Organisations Non Gouvernementales Laïques et les organisations de la société civil non religieuses et apolitiques à destination unique des acteurs politique de tout bord qui sont le problème, qui font les problèmes , les acteurs politiques de toute sensibilité politiques et d’appartenance idéologiques, du pouvoir comme de l’opposition, sans exception, sans distinction quelconque, sans esprits égocentriques dans l’abandon du « moi ou rien ». Les grands religieux doivent demeurer dans leur rôle d’éclaireur et d’éclairage sur l’ensemble du processus de réconciliation nationale par leurs prises de position régulatrice désintéressé Voici ce que le noble art qu’est la politique exige.)

 

 

 

Difficile décidément de prendre de la hauteur et après un décollage raté :

ivoiroburkinabe

 Leurs grimaces ironiques et sarcastiques qui craquellent leurs masques de faiseur de paix de circonstance montrent qu’il est difficile décidément de prendre de la hauteur et après un décollage sous les bombes d’une mafia internationale sous couvertures onusienne, qu’il est difficile décidément de prendre de la grandeur quand on est tombée dans la bassesse des armés, bassesse propre aux borné. Comment retrouver des marques stables lorsque l’instabilité s’est installée en maîtresse du maître de la rébellion depuis 2010. Comment avoir le sang-froid quand on le chaud-bouillant par l’inquiétude du lendemain? Après les attaques armées sempiternelles. Comment avoir le self-control dans l’action politique? Quand on est désespéré de ses propres actions et actes? Comment avoir la maîtrise majestueuse du dirigeant politique d’état qui ne saurait se rétablir que dans la reconnaissance de l’autre dans son originalité absolue a l’intérieur de l’égalité de tous ? Quand on a une peur bleue de l’adversité, du pluraliste démocratique, et des opinons contradictoires d’où on estime que les armes sont les seules moyens d’impositions en politique.

 

 

 

Comment avoir s’en sortir de la crise armée ??? Quel impossible défi quand le réalisme des fondamentaux étatiques, le corps « armée » qui se doit d’être la grande muette se font incontrôlable par les dirigeants politiques par les armes. Ce n’est pas facile quand les merdes volent de partout y compris dans son propre camp politique et armé, « partis politique en alliance dont les visions sont diamétralement opposées. FRCI légalisée contre FRCI délaissée  qu’on a armé tous pour conquérir le pouvoir d’état ». Or quand les merdes volent c’est en escadrilles a dit un homme d’état célèbre, « Houphouétiste » celui-là  même qui a déploré devant une auguste assemblée de voir la Côte d’Ivoire en lambeaux, ce pays que Félix HOUPHOUET BOIGNY avait relevé au rang développement… « FRCI délaissée plus EX-FDS traquée plus Dozos mécontent cela fait a peut près cent trente milles (130 000) hommes armés dans la nature, la solution parait-il est facile simple fanfaronnade de dirigeant désespéré, simple mensonge politique, simple mensonge d’état dans le discours officiel» SOURÄKÄ-DJÖN !!! 

 

 

Citoyen !!! Le mal de ta patrie ici diagnostiqué il ne reste plus qu’une ligue citoyenne  pacifique :

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Donc nous sommes ici dans la même logique du bornage mental, du crétinage, d’imbécilisation entreprise depuis septembre 2002 par ces communautarismes criminel et mafieux qui n’excellent que dans le sectarisme obscurantiste, ce groupuscule de renégats  politiques vacillant et plaisantins d’un nihilisme iconoclaste avéré qui ont su récupérer une frustration faite a une communauté non pas proprement nordiste, mais une communauté crée de toute pièces « des gens aux grands boubous » pour se hisser a la tête de l’état de côte d’ivoire kidnapper avec les armes internationales des intérêts mafieux pour imposer un communautariste carriériste pathologique en mal de dynastie et de royauté et a la recherche de biens matériels pour assouvir un vieux dessein atavique de domination sociopolitique par le bien matériel en espérant effacer un passé atavique peut glorieux et une histoire généalogique qui balaie tout orgueil..

 

 

 

Les voilà passé à une autre phase, celle du formatage mental fait de mensonge qui déracine, de manipulation qui fait perdre les repères, au pire qui décervèle les citoyens par le mensonge politique, la manipulation par des rumeurs nauséabondes et le mensonge d’état dans le discours officiels. Voici décrit pour toi citoyen !!! Ces communautarismes criminel et mafieux qui n’excellent que dans le sectarisme obscurantiste. Ces conquérants criminels venus du Burkina Faso qui ont pris ta patrie en otage la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. (SOURÄKÄ-DJÖN !!!) 

FHB

Citoyen ivoirien on ne renonce pas a un devoir !!! Il en va de la médecine comme de la politique. Il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic, le mal de ta patrie ici diagnostiqué il te reste plus qu’une ligue citoyenne  pacifique pour nos droits fondamentaux et nos libertés individuelles dans le respect des différences et l’acceptation de l’autre et l’exaltation de la diversité solidaire dans l’union de tous, est le remède pour ta patrie diagnostiquée « prise en otage par des conquérants criminels venu du Burkina Faso qui exsangue ton pays » la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY.  (SOURÄKÄ-DJÖN !!!) 

  

 

Le Leader de la Légitimité Citoyen Lepetitfils Da Candy exilé politique de force

malonnamadou

 SOURCE : www.dacandylepetitfils.over-blog.com 

 

Voir aussi: www.lepetitfilsdacandy.webnode.fr ou www.malon-amadou.centerblog.net

masse de magnans

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27 octobre 2012 6 27 /10 /octobre /2012 19:16

 Da candy lepetitfils

Une de tribunes de: Lepetitfils Leader Da Candy de la légitimité citoyenne exilé politique de force (ce qui impose un devoir d’observateur)

 

Par Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force.

 

*- Face a la nouvelle hégémonie ploutocratique qui ne prépare pas l’avenir de la nation, mais le met en danger dans le concert des nation et partant notre avenir commun ce qui génère le début d’une crise de désocialisation de la Côte d’Ivoire qui peut conduire à l’état policier et paria fait d’acculturation sociale, de formatage mental des citoyens, d’un euthanasiste politique des partis politiques significatives, d’une dépravation des mœurs sociopolitiques. La paix était notre deuxième religion, pas une seule goute de sang verser a dit le père de la nation.

 

*- Face a une politique communautariste criminel, clanique et partisane qui a dévalorisé la représentation nationale à tous les niveaux de l’appareil de l’état par la promotion des ignares a des postes clé de notre système politico-institutionnel en application d’une politique communautaire de rattrapage.

 

*- Face une pratique avouée de dévalorisation du mérite dans le travail au profit d’une sélection incompétente des siens, le camp et  le clan des vainqueurs de la guerre et l’effondrement total de l’image de la Côte d’Ivoire dans le monde suite a une crise sociale créer de toute pièces par des politicards aventuriers, carriéristes pathologiques, avide de gains faciles et cupides de la tête jusqu'à la cheville, crise qui a fait a se jour six milles « 6000 » morts de citoyens ivoiriens qui ne demandaient qu’a vivre en paix..

 

 *- Face au cynisme politique du communautarisme obscurantiste, le mensonge d’état dans les discours officiels, le mépris pour les autres sensibilité politique dans la gestion des affaires publiques et appartenance sociale devenue une source d’identification, l’amoralité dans l’action politique gouvernementale et administrative, le règne des affaires mafieuses par l’interpénétration de ces affaires mafieuses et la politiques gouvernementale fondée sur le communautarisme, la corruption systémique dans l’attribution des engagements financier de l’état élevée à des niveaux jamais atteints dans la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY,

 

*- Face a des entorses répétées aux principes pluralistes de la démocratie moderne qui provoque un effarement du peuple face a tant d’injustice, et la consternation des citoyens devenus des palestiniens dans leurs propres pays annexer par des barbares conquérants venu du Burkina, et  la honte de l’intelligentsia, que cette situation sociopolitique suscite, pas seulement en Côte d’Ivoire mais partout dans le monde des nations policées.

 

*- Face a  la rage des intellectuels impartial et honnêtes, et la sécession consommée des élites du chenil des républicains sociaux et des démocrates du monde venu en appoint a toutes les élites honnêtes et indépendantes de la côte d’ivoire et exilé partout dans le monde, même les  instances internationales dont l’ONU, l’UE et même L’UA sont outré contre l’entretien sciemment d’une crise qui a fait six milles « 6000 » morts et continue de plus en plus de faire des morts chaque jour que la nature fait. Ajouter a cela la fureur des journalistes désintéressés qui osent leurs indépendances devant un puissant lobby de presse internationale ( nous le pensions pas incapable de résoudre une crise après son arrivée au pouvoir disent-ils», et l’opposition unanime de la société civile ivoirienne « la Légitimité Citoyenne en tête» à cet entretien sciemment d’une crise que seule l’union dans la diversité solidaire peut résoudre et amener le pays a la paix.

 

 

*- Face a la « rébellion latente et silencieuse» de la Presque totalité du patronat ivoirien et des décideurs économiques mondiaux horrifiés par tant de vulgarité dans les taxations fiscales astronomiques des opérations économiques qui a entrainer un effondrement de toute crédibilité de stabilité au niveau africain et même planétaire des dirigeants de ce pays. La côte d’ivoire est classée dernière de la bonne gouvernance en Afrique et dans le monde, alors mêmes que ses mêmes dirigeants s’en donne a une politique ultra-mafieuse de surendettement dont la côte d’ivoire n’est que le tremplin des fonds vers d’autres destinations occultes, mais n’empêche le peuple ivoirien paiera ces dettes sur plusieurs générations

 

*- Face a une telle catastrophe, et  un tel fiasco total de gestion amateur et approximative des affaires publiques et de l’état par nos communautaristes et carriéristes pathologiques qui vont conduire  a coup sûr notre chère patrie dans le mur des institutions financières mafieuses, bien qu’étant a genou déjà dans le concert des nations, même en Afrique notamment au Burkina Faso. Safroulaye !!!

 

*- Eh bien oui !!! Face au fait que : Depuis plus d’un an la côte d’ivoire est une dictature avérée ou ALASSANE OUATTARA règne en maitre absolu. La dictature c’est quoi? C’est quant une seule personne décide de tout dans un état dit de droit et de démocratie. Depuis plus d’un an (1) la pauvre côte d’ivoire est gouvernée par une seule personne ALASSANE OUATTARA par ordonnances anticonstitutionnelles.

assemblee nationale.7

*- Face une Assemblée nationale de la Rencontre Des Ripoux charger de prendre le relai est d’une majorité factice fabriquée pour être indépendant de ses alliés politiques, donc un parlement automate d’enregistrement à la solde d’un seul homme Alassane Ouattara. (alors que le grand Barack OBAMA depent du congrès Américain) et  SORO GUILLAUME est le président de cette trouvaille des Ripoux a moins de quarante (40) ans d’âge qu’exige la constitution ivoirienne pour devenir président de l’Assemblée nationale, c’est son point de chute que ALASSANE OUATTARA lui a destine pour service rendu au clan pour avoir bravé les balles assassines dans sa rébellion et le président du conseil constitutionnel a jouer ce jeu,  pour rester a la table des convives, sinon sa part de gâteaux risque de devenir amer, sinon très amer même.

 

 

Le pouvoir judiciaire qui n’existe désormais que de nom est restructurer avec les partisans a la solde du pouvoir exécutif et quant les nombreux crimes contre l’humanité commis par les hommes armés du pouvoir (FRCI) viennent s’ajouter a tout cela au surplus de l’impunité sciemment entretenues par le pouvoir que d’aucun disent impuissant parce que dépendant entièrement de ses hommes armés, ça vire a la dictature sanguinaire et devient un pouvoir aveugle, rien que du noir et rien que du néant (puissancy a magny dès. C’est tout. yâ folli a chez nous pays). Les renards libres dans les poulaillers libres, les renards hallucinants dans les poulaillers hallucinés congratulant quelques misérables coqs de la basse-cour. Des victimes de coups d’états d’hier 1999 et 2002 devenus des griots de leurs bourreaux parvenus au pouvoir.

 

 

*- Eh oui !!! Face a toutes ces catastrophes, il nous reste plus citoyen !!! Qu’une ligue citoyenne  pour nos droits fondamentaux et nos libertés individuelles. Notre action est guidé par la crainte du pire des pires que nous voyons à l’horizon en l’absence de l’acceptation de l’autre dans son originalité absolue a l’intérieure de l’égalité de tous. Nous ne nous soucions pas des postes et des titres ou de l’argent à gagner. Nous ne sommes pas des citoyens vaches qui ne cherchent qu’à manger, notre action politique et citoyenne est désintéressée et soutenue par une conviction dans les idéaux de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Nous préférons perdre avec nos convictions que de gagner contre nos convictions, le reniement de soi n’est pas des nôtres. Comme il n’est pas non plus de culture nordiste de la côte d’ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

 

 

Citoyen !!! En toute chose le citoyen a un devoir irréfragable vis-à-vis de la société dans laquelle il vie et a la quelle il doit tout, éducation culturelle et sociale, savoir scientifique et intellectuel, existence physique et morale. Donc pour sortir du trou notre pays la côte d’ivoire, nous avons besoin d’un tous ensemble paisible derrière un homme fédérateur quel qu’il soit citoyen !!!

 

L'Humanité a toujours évolué sous la contrainte, de guerre en guerre tout au long de l'Histoire. Nous savons qu'il est possible de vivre différent dans l’exaltation de la diversité solidaire et en paix dans notre cher pays la côte d'ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Donc citoyen !!! Imaginons ensemble une société solidaire avec des contraintes fixées de notre propre gré afin de nous sauver de nous même de la tyrannie des affaires mafieuses du communautarisme criminel soutenu par une mafia internationale qui exsangue notre pays et un puissant lobby de presse internationale chargée de masqué le réel et la vérité aux ivoiriens, c’est un devoir citoyen, on peut renoncer librement a droit, mais le citoyen  n’a aucun droit de renoncer a un devoir citoyen.

 

 « Un proverbe Malinké dit « qu’il est mieux pour le berger de voir son intestin à la corne du taureau qu’il connaît le mieux pour éviter toute injure post-mortelle »,

 

Citoyen ivoirien !!! Il en va de la médicine comme de la politique. Il n’ya pas de bon remède sans un juste diagnostic, une ligue citoyenne  pacifique pour nos droits fondamentaux et nos libertés individuelles dans le respect des différences et l’acceptation de l’autre et l’exaltation de la diversité solidaire dans l’union de tous, est le remède pour ta patrie « prise en otage par des conquérants criminels venu du Burkina Faso» la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY

 

Une de tribunes de: Lepetitfils Da Candy Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force (ce qui impose un devoir d’observateur)

malonnamadou

 

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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 17:47

 

Da candy lepetitfils

Lepetitfils Da Candy leader de la legitimite citoyenne exilé politique de force. (La noblesse ne s'achete pas? ON NAIT NOBLE)

 

 

« Les Empreintes de la trahison, de l’ingratitude sont indélébiles et les plaies du mépris ne se guérissent jamais. L’empreinte de  la calomnie vise à détruire la dignité de l’homme visé par cette calomnie,  donc son indignité  et la diffamation vise l’honneur de l’homme visé par cette diffamation, donc son déshonoré. Or la pratique de nos ancêtres au nord de la côte d’ivoire nous enseigne que la mort doit advenir avant le déshonneur et  la honte pour le noble. (Je souligne noble) Que parce qu’il n’y à point de déshonneur possible pour celui qui sait mourir là ou il faut mourir c'est-à-dire sur le champ d’honneur… Si ce n'est pas de culture nordiste, les vieux sont village !!! 

 

 

Aussi nous enseigne telle que ; le vrai n’est jamais dans le dos, la vérité n’est jamais dans le dos, le réel n’est jamais dans le dos, le bonheur n’est jamais dans le dos, la fraternité et l’amitié ne sont jamais dans le dos. Que la seule chose qu’on retrouve dans le dos d’un homme c’est le couteau de la trahison planté dans son dos par l’obscurantisme ignoble et lâche. Donc citoyen !!! Lit ou relit ce texte pour comprendre MERCI Da-clef»

 

EXTRAIT d’une tribune de: Da Candy Lepetitfils Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force (ce qui impose

un devoir d’observateur)

Da candy lepetitfils

Contact ; email article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

L’esclave sahélien ne se connaît pas donc ne peut connaitre autrui...

 

Nous revenons ici à cette tribune pour nécessité absolu, les confessions à nous faites en toute liberté et sans crainte dans notre exil forcé très instructif ont prouvé la véracité de sa motivation de 2006.

 

 

Eh bien voilà citoyen !!! Comme tu va sans aucun doute le constater au terme de cette tribune, qu’elle n’a rien de nouveau, peut être que tu l’auras lu et relu, trois « 3 » ans durant sur le site web d’un journal ivoirien « nuit et jour » entre 2006 et 2009 ou nous n’avions que des amis dans ce journal. Nous revenons ici à cette tribune pour nécessité absolu parce que les confessions à nous faites en toute liberté et sans crainte loin de la terre de nos ancêtres ont prouvé la véracité édifiante de sa motivation de 2006.

 

 

Cette tribune loin d’être plaintive, elle est protestataire de par sa teneur et s’oppose aux rumeurs nauséabondes véhiculées pendant une période dans l’arène politique ivoirienne, qui nous parvenait en provenance de ceux dont nous connaissons aujourd’hui parfaitement. Ceux là même qui ne peuvent prospérer que dans l’obscurantisme sectaire a cause de leur tribus généalogique, quand le substrat est ignoble n’espère pas autre chose au sommet.

 

 

Tu sais citoyen !!! L’obscurantisme se nourrit du noir, du néant, du faux ignoble et de l’imaginaire pathologique, la pire des poisons pour l’obscurantisme dans son existence est la vérité lisible, la vérité audible, et la vérité visible par tous. Un homme de caste non-affranchit par ses maitres dans son pays sahélien et qui débarque sur les terres de nos ancêtres au nord de la côte d’ivoire via la Haute Volta d’hier et le BURKINA FASSO d’aujourd’hui peut se permettre de faire véhiculer toutes sortes de perfidies de rumeurs nauséabondes sur le dos des nobles citoyens, « nous soulignons nobles citoyens avec force» ce genre d’homme de caste non-affranchit par ses maitres nobles dans son pays sahélien , mais hélas ainsi affranchit d’honneur, de dignité, de morale et d’humanité est sans foi, sans loi, et logiquement ni honneur, ni dignité, ni morale et dispenser d’humanité.

Da candy lepetitfils

Ce qui explique leurs obscurantisme funeste et amorale ostensible, tout ce qu’il connaît c’est l’animosité perverse, le rapport de force matériels au mépris de toutes les valeurs humaines et en dépits des règles que l’humanité s’est donner, son écologie mentale n’a rien d’humaine et elle est pire que celle de l’animal parce que bestiole « je peut le tuer, on ne peut pas me tuer sont les deux phrase qui peuplent son ignoble écologie mentale, point ! » rien d’autres ne le regarde au delà de ces deux phrases d’où ces rumeurs perfides et ces on-dit ou on nous a dit a l’encontre des honnêtes citoyens qu’il ne connaît pas, a plus forte raison l’avoir côtoyer une seule minute et qui n’espère rien, vraiment rien de lui a plus forte raison penser le côtoyer un jour « les oiseaux de même plumages volent ensemble et quand un petit éléphant se couche pendant longtemps parmi les cabris du désert il finit par sentir le cabri du désert, safroulaye !!!».

 

 

La mesure de valeur au nord de la côte d’ivoire est, « le fils d’un tel »

 

 

C’est pourquoi fier d’avoir vécu ce que mes grands parents nordistes m’ont dit et avertis dans mon tendre enfance «et tout vrai nordistes sait que la seule mesure de valeur sociale au nord de la côte d’ivoire est, « le fils d’un tel » « tchê ! sourâkâ-djôn mâ yêrê lôn sâ. Yêrê lôn bérinî !!! » je vous ré-propose cette tribune pour relecture, les confessions a nous faites pendant notre très instructif exil forcé sont édifiantes de véracités, sincères parce que désintéressées et sans aucune ambigüité.

 

 

Oui !!! je vous ré-propose cette tribune pour relecture parce que un oncle maternel a moi, Docteur en droit et en économie qui résidait en France et actuellement au Mali depuis des années a refuser de me prendre au téléphone a cause de ces rumeurs en disant ceci ; « les paroles qui me parviennent je ne connaît plus, AMADOU » mais lui qui me chouchoutait n’a pas de raison parce que blessé au plus profond de lui-même et dans ce qu’il a de plus cher au monde, l’honneur familial et la dignité humaine, même dans la pire des pauvretés matérielles. Mais voilà, aujourd’hui il y a problème entre l’oncle et le neveu qui n’a pas admis que son oncle maternel puisse un seul instant admettre et croire a des choses aussi sordides comme ces rumeurs raconter et véhiculer dans son dos, n’empêche l’obscurantisme gagne a tout les coups son but.

 

 

Ce que l’obscurantisme cherche là c’est de couper mes alliances a fin que je devienne ce que l’immondice putride et ignoble veut, oubliant que le petit fils de mon grand père est d’une culture atavique qui veut que la mort advienne avant le déshonneur et la honte. L’esclave sahélien ne se connaît pas donc ne compte pas sur lui, quand il s’agit d’honneur de dignité de morale d’humanité et de se conduire en être humain…Bonne lecture citoyen !!!

lepetitfils Da candy -a

Citoyen voilà malgré moi mon aveu

 

 

Les Empreintes de la trahison, de l’ingratitude sont indélébiles et les plaies du mépris ne se guérissent jamais. L’empreinte de la calomnie vise à détruire la dignité de l’homme visé par cette calomnie,  donc sa indignité  et la diffamation vise l’honneur de l’homme visé par cette diffamation, donc son déshonoré. Or la pratique de nos ancêtres nous enseigne que la mort doit advenir avant le déshonneur et  la honte pour le noble (je souligne noble) que parce qu’il n’y à point de déshonneur possible pour celui qui sait mourir là ou il faut mourir c'est-à-dire sur le champ d’honneur… c'est de culture nordiste. Les vieux sont village si…

 

 

Citoyen avec ta permission, après une longue épreuve truffée d’écueils de toute sorte, je vais te parler aujourd’hui un peu de moi-même, cela malgré moi-même. Mon sort actuel, c’est le sort des hommes politiques qui croient en une idéologie et ont l’intime conviction qu’elle servirait au bien de la société, au bien de l’humanité. je parle ici des hommes de combats justes menés souvent au prix de leurs vies, et être exposés à toutes sortes de surprises désagréables, à tous les attentats et atteintes aux valeurs humaines.

 

 

Autrefois on les assassinait, c’était l’âge d’or, aujourd’hui ce même risque d’assassinat crapuleux ou de disparition forcée existe et persiste dans notre société et contre eux « ces hommes de combats » l’entreprise réputée infâme paraît légitime ou devient logique ; contre eux le mensonge grossier, la délation éhontée devient vérité tangible ; contre eux la calomnie ignoble devient louage griot-tique ; contre eux la trahison funeste devient la loyauté militante.

 

 

Dans une démocratie où tous les appétits carriéristes, tous les intérêts égoïstes, égocentriques et toutes les passions obscurantistes et fanatiques sont publiquement aux prises avec et contre l’intérêt général, quoi de plus tenant pour un obscurantiste pathologique que de profiter sans scrupule de toutes les situations pour chercher à troubler l’opinion publique et la sphère politique par des rumeurs d’immondices, par les attaques personnelles intéressées les plus violentes, les plus funestes, les plus infâmes a l’encontre des honnêtes citoyens qu’il ne connaît même pas et n’a jamais rencontrer de toute sa vie.

Da candy lepetitfils

Sous ces accusations les plus infamantes

 

 

Et tous ceux qu’on aura pu redouter un jour seront exposés à subir ce qu’auront accumulé des sentiments d’animosités funestes inavouables, les intérêts personnelles menacés, les expériences sociopolitiques trompées les ambitions carriéristes démesurées déçues. Nous avons attendu avec stupéfaction que c’était un honneur d’être le point de mire de telle attaques obscurantistes, un honneur redoutable qu’on ne peut affronter que cuirassé de honte, d’indifférences, capable d’endurer tout sans défaillir un seul instant ,et toujours face à l’ennemi obscurantiste souterrain, jusqu’à ce que la fortune se lasse, pour qu’elle devienne infortune et fasse honte aux hommes d’honneur et dignité pour laisser mourir de la belle mort planifier quelle infamie ».

 

 

Attaquer de tous les côtés a dessein à la fois ,insulte, vilipendé, lâché renié avec une subtilité absolue, par exposition à la curiosité publique et par masquage des mes écueils et souffrances, attaquer par une « jeunesse » désœuvrée, dans la tête de laquelle on n’a mis l’idée que ma signature la sauverait pour toute sa vie d’une indigence programmer par une politique sociale absurde; la gente féminine poussée a faire valoir leurs seins « nous on a sein » à m’exhiber leur sexe à tout bout de champ dans l’espoir d’être payé par un être suprême invisible, qui se fait entendre là où il veut.

 

 

Agressé par toutes les classes sociales parce que j’ai jeté le grand bonheur que cet être suprême invisible m’aurait offert et, mais malheureusement invisible aussi cette offre sauf à se trouver au fond d’une tombe au cimetière dans l’anonymat et dans l’indifférence parce que déshumanisé ; sous ces accusations les plus infamantes, je n’ai pas encore faibli et me voici m’adressant à toi citoyen, pour qui j’ai subi et subirai peut-être le pire, toujours ces outrages d’un rituel de sacrifice humain dans nos société africaines; toujours prêt citoyen à te rendre des comptes que je te dois pour ta confiances que tu m’a toujours accordée.

 

 

 

Depuis 1994, je ne t’ai jusqu’ici jamais parlé de mes écueils personnels. Après plus de quinze « 15 » années dans l’espace public, après tant d’attaques obscurantistes quotidiennes, qu’il me soit permis pour cette fois seulement de me mettre en cause s’il y a lieu. Depuis plus de quinze « 15 » ans je suis citoyens et républicain social.

Da candy lepetitfils

Le misérabilisme politique ambiant en côte d'ivoire

 

 

En 1999 j’ai dit non sur la place publique à l’imposture et j’ai été pourchassé, BOGA YAPI et compagnie m’ont gentiment fait entendre un jour de mars 2000 a la rue princesse non loin de la pharmacie du maire Doukouré que je méritait le trépas et, on m’a même refusé la reconnaissance d’une ONG de défense des libertés et des droits fondamentaux, du nom de ACUT SOS TORTURE « Association Africaine Contre l’Usage de la Torture ».

 

 

Depuis fidèle à mon idéal de pensée et à mes convictions politiques héritée de Félix HOUPHOUET BOIGNY, je suis resté dans la mêlée parmi les éléphants sans repos, sans trêve, sans calcul politique politicienne, m’efforçant de régler l’ardeur belliqueuse des uns, pressants et encourageant les autres a aller a la paix social. Toujours montrant notre ennemi commun la division pour régner comme Charlemagne et criant sans réserve de voix en avant pour la paix sociale par des normes juridiques de régulation sociale acceptées par tous et conformes aux normes universelles de droit et de libertés.

 

 

Au sein du GRH « Groupe de Réflexion Houphouetiste » que nous avons fondée en 1994, comme au sein de l’actuelle « LC-crs » la Légitimité Citoyenne, j’ai suivant mes petits moyens servi publiquement la cause du peuple, la cause de la côte d’ivoire une et indivisible, la cause de la liberté individuelle, la cause du droit, la cause de la paix sociale contre le chaos social, les détournements des deniers publics, le pillage systématique de nos ressources naturelles et l’ antiélitisme qui se nourrit de obscurantisme, dénoncé les voleurs de tous noms et de tous déguisements institutionnels au grand jour sous les yeux du pays toutes tendances politiques confondue sans considération autre que l’intérêt général et le destin de la chère patrie dans le concert des nations tout ceux-ci avec mes maigres moyens sans recourir a l’aide de qui que ce soit ;

Da candy lepetitfils

Nous avons obstinément bataillé au mépris de notre vie

 

 

Bien ou mauvais, heureux ou malheureux, joyeux ou triste, j’ai combattus et combattrai non pas des hommes, mais des systèmes politiques et des programmes de gouvernement, des idées politiques et des actions politiques, ceci sans aucun doute pour le triomphe de nos aspirations profondes communes au développement sociopolitique dans la ligne directe de celui de FELIX HOUPHOUET BOIGNY pour aussi le triomphe de nos idées novatrices communes, fort de l’assentiment de mes commettants que vous êtes, citoyen !!! vigoureusement secondés par mes amis de toujours, « je n’ai pas d’anciens amis » j’ai dû livrer plus d’un combat à ces obscurantistes sectaires et carriéristes politiques notoires et le misérabilisme politique qui étaient peut être toujours les plus nombreux, les plus aisés financièrement, mais pas forcément les plus forts intellectuellement, idéologiquement et politiquement. J’en puis témoigner de leur côté très ardents contre nous, citoyen !!!

 

 

Un républicain social comme moi « nous » peut-il se soustraire à ce qui est l’essence même de la vie de l’humanité, les droits fondamentaux, et les libertés individuelles et même publiques?. La lutte entre esprit de stabilité que nous incarnons, de conservation et l’esprit d’évolution, de réforme qui nous caractérise et qui est nécessaire, indispensable, salvatrice, pour le progrès pour tous. Dans notre société commune pour la ré-formation politique et sociale qui converge vers le concert des nations. Nous avons donc obstinément bataillé au risque, de notre vie d’aucuns disent au mépris de notre vie « nous étions ou sommes sur la liste des escadrons de la mort » sans que d’aucuns ne comprennent vraiment rien en nos buts visés dans la société dans laquelle nous vivons.

 

 

Ce genre de rites funestes relève des rituels obscurs sacrificiels

masse-popu

Tous solidaires, vous « citoyen » nos commettants, moi « Lepetifils » votre mandataire dévoué. Mais est-ce que j’ai le droit aujourd’hui sans craindre un démenti formel de dire que, étranger à la politique d’insultes et de haines, source de tous les chaos sociaux, j’ai combattu les idées et non les personnes physiques ? C’est que la lutte citoyenne a toujours respecté un idéal et une conviction politique ; c’est qu’au plus fort de la bataille contre l’arbitraire humain en 2000, combat qui continue d’ailleurs en ne perdant jamais de vue le but commun, j’ai conclu toujours mes écrits « tribunes » par un appel à la solidarité commune, a la reconnaissance de tous dans son originalité absolue a l’intérieur de l’égalité de tous, dans une nation une et indivisible qui transcende tout les particularismes sociaux.

 

 

C’est enfin maintenant attaqué, injurié par des gens qui ne me connaissent même pas, calomnié par une entreprise obscurantiste sectaire et funeste par certains « soit disant républicain » fait de rumeur publique d’immondices entretenues par le biais d’une secte criminelle et pouvant user de mortelles infamies, je ne suis pas descendu dans la bassesse, malgré que des politicards, plaisantins, obscurantistes et fanfarons très mal intentionné, aveuglée par le gain facile de la rémunération a leur promise par des politicards, nous ont fait entourer par un tourbillon d’immondices, de rumeurs, de tourbes nuisibles, perverses et immorales, digne des sectes criminelles de par le monde et très choquants d’autant plus que ce genre de rites funestes relèvent des rituels sacrificiels pour un malinké d’Odienné, et hélas j’en suis un.

 

 

 Il est vrai, j’ai combattu des normes juridiques et j’ai suscité d’autres normes juridiques bien qu’étant loin des centres de décisions publiques, des personnages plus ou moins désintéressés me le reprochent souvent avec humour. Mais ce qu’on ne dit pas, ce sont les méfaits de ces normes sur la société, parce qu’ainsi, se retournerait contre eux un de leurs principaux griefs contre nous. On me reproche à la fois d’avoir été opposant systématique, à l’article 35 de la constitution conflictuelle et prétendre être légaliste a toute épreuve. L’une des accusations détruit manifestement l’autre car c’est la légitime qui m’amène à combattre l’article incriminé,

felix houphouet boigny

Le vieux programme républicain en quelque sorte

 

 

Toujours en minorité peut-être je me suis toujours battu car le droit méprise la majorité politique qui n’est pas issue de ses prescriptions et de son application. Ce principal date de la grecque antique, jusqu’aux éminents juristes comme les Emmanuel KANH et autres. J’ai fondé un groupe de réflexion après la mort du vieux « le père de la nation Félix HOUPHOUET BOIGNY » pour servir la politique de la paix notre plate forme, était la république par l’application du droit, des règles et de ce qui a constitué la force de Félix HOUPHOUET BOIGNY, la stabilité politique et la paix sociale .

 Le vieux programme républicain en quelque sorte et des pontes du FPI nous ont reconnu le mérite correcteur de l’action politique et gouvernementale malgré des profondes mésententes au départ. Développer l’action du suffrage universel propre, accroître son efficacité par la plus large diffusion de l’instruction, de la vulgarisation du savoir politique et par l’éveil des consciences à tous les niveaux de la société commune, prôner la liberté de conscience, plaider la sécurisation textuelle de l’état ont participé a cette reconnaissance de l’adversaire aux positions tranchées.

 

 

Dans le domaine économique et social, nous avons recherché le principal par où se résume tout le vieux programme républicain-social, la surveillance jalouse de nos ressources naturelles souveraines, la justice juridique, économique, et sociale pour tous et la liberté individuelle et civique pour tous. Afin pour refaire la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny mise en mal par une politique de voyoucratie, de barbarisme, de antiélitisme ambiant, aussi veiller a ne pas gaspiller son sang et son or dans les expéditions politicardes sans profit pour le peuple souverain. Voilà ce qu’on a osé appeler une politique incendiaire pour laquelle je méritais d’être soulagé de mon petit bâtiment en m’exigeant le paiement d’un impôt qui évoluait chaque seconde pour atteindre aujourd’hui et à l’instant la somme de dix sept millions cinq mille francs « 17.500.000f » pauvre de moi.

 

 

Racoleuse de président de parti obscurantiste

Da candy lepetitfils

Contre moi, j’ai l’assurance citoyenne !!! De dire que la meute obscurantiste a donné d’une rage inouïe et mortifère. C’est une belle chasse à l’homme, longue et pourtant visiblement endiablée ou nul ne m’épargne, ni les sicaires de la république, ni les valets des QG des partis politiques, ni les putains de racoleuses de président de parti obscurantiste et ni les chiens errants de partis en partis politiques, ni les vrais adversaires politiques qui voient eux la politique autrement qu’une guerre civile entre deux « 2 » armées ennemis. A ce jour il ne manque que l’hallali trop tôt sonné… prenant prétexte de tout, dénaturant tout, calomniant à souhait par la rumeur publique funeste soutenue par une secte criminelle rémunérer, faisant des feux de tous bois pour mériter la prime promise. Toute une bande criminelle accusatrice des obscurantistes politicards se lève d’un coup contre moi :

 

 

Tout mon combat depuis quatorze « 14 » ans dans l’embarras matériel librement accepté ne mériterait que d’être réduit à une récompense de l’ état d’un cache –sexe féminin, quelle infamie et quel déshonneur « voici la rumeur véhiculer a des fins électorales, citoyen !!! Mais ne t’en fait pas, le petit-fils de mon grand père peut déchirer avec un couteau ce qu’un cache –sexe cache, c’est une promesse, citoyen !!!». Dès notre engagement nous avons préféré l’embarras matériel dans une aisance intellectuelle et dans une liberté totale d’action qu’à l’aisance matérielle dans un embarras intellectuel et dans le reniement honteux de soi. Nous ne sommes pas des papes non !!! et non !!! Mais nous avons fait un choix inébranlable qui sied aux combattants de la liberté et des droits de notre espèce, a la carapace dure et aux actions/positions périlleuses pour elle-même parce que toujours debout face a la toute puissante force du pouvoir étatique

 

 

La lutte continue contre l’arbitraire et le chaos social

ABATTOIR

Pour moi l’argent n’a d’importance que par son mode d’acquisition, c’est-à-dire que toute son importance réside dans la manière qu’on l’acquiert et dans la personne qui le donne volontiers… Je suis fier dans ma petite propriété dans laquelle les seuls luxes qu’on puisse trouver est l’eau courante et l’électricité, dans l’espace public et dans la sphère politique, nous n’avons reçu aucun centime de qui que ce soit depuis 1994 date du décès du vieux FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Alors pourquoi toute cette haine, toute cette infamie, toute cette tentative de souiller à jamais ce qui ne m’appartient pas dont je ne suis que le tout petit dépositaire atavique. Citoyen tout ce qu’on dit de moi en bien ou en mal dans mon dos, c’est pour te leurrer, tout cet intérêt obscur et obscurantiste cache quelque chose de funeste que tu ne saurais jamais tant que moi je vis par peur d’être contredit au grand jour et sur la place s’il le faut sur CNN. « Je suis pauvre matériellement jusqu’aux os et ataviquement noble jusqu’aux os ».

 

 

« Quand on est « exhonoré » exonéré de toute noblesse, de tout honneur, de toute dignité, de toute morale et de toute humanité, le sans foi et sans loi reste alors la règle préférée, la règle de vie que l’on se donne pour échapper a la lumière du jour, alors on a tendance à substituer malheureusement à l’honneur, l’ignoble déshonneur. Citoyen voilà malgré moi, à quels aveux on réduit les serviteurs désintéressés de l’intérêt général et de la paix sociale sous nos tropiques. Que la honte de cette persécution humiliante soit sur eux qui ont rendu cette confession abaissante nécessaire. La lutte contre l’arbitraire et le chaos social continue jusqu’au dernier K.O. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

 

 

« CITOYEN !!! CETTE TRIBUNE QUE TU VIENS DE PARCOURIR DATE DE 2006 »

 

 

MERCI CITOYENN !!!

Da candy lepetitfils

« Les Empreintes de la trahison, de l’ingratitude sont indélébiles et les plaies du mépris ne se guérissent jamais. L’empreinte de  la calomnie vise à détruire la dignité de l’homme visé par cette calomnie,  donc son indignité  et la diffamation vise l’honneur de l’homme visé par cette diffamation, donc son déshonoré. Or la pratique de nos ancêtres au nord de la côte d’ivoire nous enseigne que la mort doit advenir avant le déshonneur et  la honte pour le noble. (Je souligne noble) Que parce qu’il n’y à point de déshonneur possible pour celui qui sait mourir là ou il faut mourir c'est-à-dire sur le champ d’honneur… Si ce n'est pas de culture nordiste, les vieux sont village !!! 

 

Aussi nous enseigne telle que ; le vrai n’est jamais dans le dos, la vérité n’est jamais dans le dos, le réel n’est jamais dans le dos, le bonheur n’est jamais dans le dos, la fraternité et l’amitié ne sont jamais dans le dos. Que la seule chose qu’on retrouve dans le dos d’un homme c’est le couteau de la trahison planté dans son dos par l’obscurantisme ignoble et lâche. Donc citoyen !!! Lit ou relit ce texte pour comprendre MERCI Da-clef»

 

EXTRAIT d’une tribune de: Lepetitfils Da Candy Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force (ce qui impose un devoir d’observateur)

 

 

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PAPA !!! Houphouet ne te reveille pas surtout, c'est un SOURÄKÄ-DJÖN

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15 septembre 2012 6 15 /09 /septembre /2012 12:38

gourou et adepte

SIX MILLES (6000) morts et après moi j'impose la force des armes pour gouverner

 

 

 

 

(Mes derniéres tribunes dates de avril 2012 sur ses blogs) MERCI

 

 Le communautarisme criminel et mafieux Alassanéen est mortifère, périlleux et chaotique

 

source: www.dacandylepetitfils.over-blog.com

www.lepetitfilsdacandy.webnode.fr

 

(Mes derniéres tribunes dates de avril 2012 sur ses blogs) MERCI

Da candy lepetitfils

  LEPETITFILS Da candy leader de la légitimité citoyenne « en exil forcé»

Contact: article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

 

Alassane Ouattara est un communautariste criminel

 

 

Alassane Ouattara est un communautariste criminel qui a su récupérer une frustration faite a une communauté non pas nordiste, mais une communauté crée de toute pièces « des grands boubous » pour se hisser a la tête de l’état de côte d’ivoire kidnapper avec les armes internationales des intérêts mafieux par ce communautariste carriériste pathologique en mal de dynastie et de royauté et a la recherche de biens matériels pour assouvir un vieux dessein atavique de domination sociopolitique par le bien matériel en espérant effacer un passé atavique peut glorieux et une histoire généalogique qui balaie tout orgueil.

 

 

 

Et Oui comme il est de principe que le lien social est politique, ce Mauritano-Voltaïque qui n’a aucun lien de rattachement avec le pays « la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY » qu’il voulait conquérir ne pouvait que se permettre tout même à marcher sur les corps de six milles « 6000 » citoyens dont trois milles « 3000 » citoyens pour la seule période postélectorale. « Alassane puisancy à mâgnî dê » Nous dit-t-on, non tu es borné, tu es une vache de citoyen qui ne pense qu’a manger. SAFROULAYE !!! Donc citoyen ! Voici décrit ici ci-dessous succinctement et de façon litote le communautarisme criminel trouvaille de ce Mauritano-Voltaïque avec lequel il veut te conduire au chaos social sempiternel

 

 

Le communautarisme criminel et mafieux Alassanéen est mortifère, périlleux et chaotique

ado- les morts sont morts yafohi

Petit-fils d'immigrés Mauritanien en Haute Volta vendeur de tapis aux Naba du Burkina Faso, drôle de nordiste ivoirien

 

 

 

Le communautarisme désigne la tendance au sein des États-Nations à privilégier les règles en vigueur au sein de catégories particulières au détriment de la règle commune. Il marque donc une rupture dans la tendance séculaire à la résorption des particularismes au profit de « communautés de citoyens » fondées sur des institutions et un projet politique commun et non plus des croyances religieuses ou une « identité », raciale ou culturelle.

 

 

Ce communautarisme ne se confond pas avec la reconnaissance de tels particularismes, inévitables et nécessaires dans nos sociétés mouvantes. Il représente une tentative politique d’utiliser ces particularismes contre d’autres groupes et/ou contre l’appartenance à une société nationale unifiée.

 

 

Sa vogue actuelle relève incontestablement d’une « bulle » politicard, dont l’enflure prélude peut-être à l’éclatement. C’est un « sujet de société » facile pour les politicards. Le thème est porteur en ce qu’il rencontre la réelle inquiétude du public face au délitement du lien social. Pour autant, l’écrasante majorité des habitants des pays développés n’aspirent qu’à fondre leurs différences dans une société homogène, où l’origine, la religion ou la préférence sexuelle ne concerneraient que l’ordre privé.

 

 

 

Nous pensons que le communautarisme est un véritable problème. D’abord parce que sa promotion par les politicards et les élites mangecrates est plus qu’un hasard : c’est une stratégie de domination. Ensuite parce que, le poison est à effet lent. Même modestes, les symptômes de communautarisme sont inquiétants pour l’avenir. Et Enfin parce que, si nous quittons les frontières des terres de nos ancêtres, les guerres communautaires ravagent le Moyen-Orient, les pays ex-socialistes, l’Afrique...

PR FRCI1(1)

Pour ces raisons, il ne suffit pas de dénoncer l’escroquerie intellectuelle des sociologues-communautaristes de salon et des journalistes intéressé qui promeuvent le communautarisme, il faut également en montrer la logique sociale et le péril réel qu’il recèle.

 

 

Le danger du communautarisme dans nos sociétés tient à sa propension à s’étendre et entraîner toute la société dans les affrontements dont il se nourrit. Par ailleurs le défaut d’analyse sociale de nombre de républicains les conduit à aggraver le processus.

 

 

Cette communauté dite nordiste qui n’est basée ni sur la nation souveraine, ni sur la terre ancestrale commune, ni sur la religion atavique commune, du moins dans sa forme actuelle revendication de rattrapage, ni sur les intérêts matériels commun, mais sur une identité de situation, sociale dite opprimée pourrait être un lien véritablement d’affection, de culture et d’entraide sélective.

 

 

Soulignons bien l’essentiel de cette réflexion : les communautés, comme n’importe quelle représentation raciale ou ethnique, n’existe pas : c’est un fantasme. Mais ce fantasme va prendre corps par le conflit lui-même. À partir de là, les individus concernés ne peuvent qu’incorporer à leur identité cette communauté de situation.. Dans un second temps, de belles âmes viendront prêcher la « tolérance », la « coexistence », le « respect de la différence » sans s’apercevoir que le contenu même de leurs arguments entérine la configuration « ethnique » qui peut certes se stabiliser temporairement, mais porte en elle les camps et les prétextes des conflits futurs.

286856 le-nouveau-premier-ministre-ivoirien-jeannot-ahousso

Un premier ministre sans pouvoir reel, un paravant justificatif de validation democratique

 

 

Ces communautés cantonnent leurs revendications à l’obtention de privilèges sélectifs divers, d’exceptions juridiques ou d’exigences culturelles folkloriques. Donc incapables d’unifier une société complexe mêlant des populations d’origines diverses et confrontée au défi de restaurer sa souveraineté nationale sur les puissances économiques extérieurs, ces communautarismes s’analysent avant tout comme des instruments des intérêts extérieurs pour égarer les peuples dans des guerres intestines les uns contre les autres qui ne connaîtront que des vaincus segmenté.

 

 

Ces communautaristes nouveaux qui tirent leur parcelle de pouvoir et leurs ressources politiques de l’identification à une « communauté factice » ont tout à gagner de l’exacerbation des conflits sociaux. Ce ne sont pas nécessairement des cyniques ni des escrocs mais aussi des carriéristes pathologiques en mal de dynastie et de royauté a la recherche de biens matériels pour assouvir un vieux dessein atavique de domination sociopolitique par le bien matériel en espérant effacer un passé atavique peut glorieux: le double bind du tourbillon communautariste propulse au premier rang ceux qui en expriment le mieux la logique de chaos social, de différenciation ; les fanatiques de ce communautarisme de rattrapage ont le vent en poupe au contraire des prêcheurs plus modérés pour un tous ensemble dans une nation une et indivisible garantissant liberté dans tout les sens et justice juridique et sociale pour tous.

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La spirale communautariste sélectionne des dirigeants pour qui l’affrontement est au cœur du projet politique et le chaos au cœur du projet social. Les autres apparaissent comme mous, vulnérables, méprisables et finalement restent sur les bas côtés du mouvement social, témoins impuissants ou renforts de la dernière heure de la guerre communautaire inéluctable.

 

 

L’État a alors renoncé à son rôle, il hurle avec les méchants loups, le ministre de l’Intérieur ethnicise, communautarise, les faits divers et assure la promotion de chaque horreur pour mieux installer le climat de terreur. Les journalistes soutien intéressé, pour l’amour de l’audimat crédules, le plaisir d’étaler leurs bons sentiments manipulateurs et leur mépris des communautés dangereuses, en rajoutent dans le spectacle et la promotion du sordide. L’ordure des uns sert de faire-valoir de celle des autres et bonjour la violence de masse.

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Un peuple marthyrs ne dort jamais éternelement et quant il se reveil s'est en état de débilité avancé

 

 

 

À qui profite le crime, en effet ? À tous ceux dont la haine communautaire éclipse les inavouables besognes, ces carriéristes pathologiques en mal de dynastie et de royauté a la recherche de biens matériels pour assouvir un vieux dessein atavique de domination sociopolitique par le bien matériel en espérant effacer un passé atavique peut glorieux. Et vive les bêtes en cage qui s’entredévorent sous l’œil goguenard des gardiens indifférents.

 

 

À l’évidence ici nous forçons le trait à dessein pour mettre en évidence un danger de destruction sociale qui, bien entendu, rencontre des obstacles et des contre-tendances.

 

 

« Le communautarisme criminel et mafieux pour se soustraire au cycle de la violence qu’il enclenche, le pouvoir cesse de se montrer dans sa vérité nue qui est dominations, intimidation et crime, et substitue à l’usage direct de la force physique armée un notre système intellectuel de justification et de dédouanement. Le discours dominateur devient alors par l’intimidation et le crime une forme d’action dominatrice. Loin d’avouer sa véritable nature criminelle, il distrait l’attention collective des citoyens et la détourne vers des objets sophistiqués de légitimation inaccessible à tous les citoyens.

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Des Dozos armé par OUATTARA dit nordistes tout feu tout flamme qui exproprient les propriétaires terriens partout dans le pays notamment a l'Ouest

 

 

C’est le début d’une histoire cruelle où l’empire des choses ne vaux que par le don de sa vie, où le règne ne peut qu’équivaloir à la gloire et à l’honneur, où tout n’est qu’initiation et révélation que par le sang qui coule. En cet instant, la nécessité de la bravoure citoyenne se dilue dans l’énoncé civil du politique, la guerre, la bravoure, la mort et le sang se lient à la paix sociopolitique, aux stratégies politiques de sauvegarde du pouvoir, à la parole donnée et au droit. Et vive la dictature, le despotisme, la tyrannie et le chaos social sempiternel. Donc a vos coups de pieds bien administré au cul de ce pouvoir communautariste de Alassane Ouattara,citoyen !!! Il n’est rien au monde d’aussi puissant qu’une idée dont l’heure est venue, citoyen !!! »

 

 

Mais aussi cette forme d’action dominatrice n’en constitue pas moins une menace, de par sa place dans les stratégies de la politique communautariste et sa dynamique cumulative ; la conscience démocratique du peuple peut sombrer dans la désespérance sociale et se pulvériser dans les affrontements communautaires sempiternels. Ici désigner le péril n’est pas prononcer un pronostic sur sa réalisation, mais se donner les moyens de le contrer avec une ligue citoyenne conscientisée pour le droit, la liberté, la démocratie, et l’état républicain de droit.

 

Parce que les groupements intermédiaires entre l’État et les individus n’ont pas tous vocation au communautarisme. Certains d’entre eux au contraire maillent la société de rapports de réciprocité et de complémentarité sans rapport avec la vocation de l’État. Cette dernière vertèbre une société étendue, l’unifie par des règles de liberté et l’égalité, des codes juridiques et morals et des procédures démocratiques communs.

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Mais l’administration rationnelle qu’il constitue est trop lointaine et générale pour suffire au contrôle social ni organiser dans le détail la complémentarité des rôles ni enfin gratifier les individus d’une identité sociale achevée renforcent la société et la protègent des tendances aux conflits mortifères.

En revanche les « communautés » deviennent pernicieuses dès lors qu’elles enserrent les individus dans des relations privilégiques exclusives, qu’elles fragmentent la société en sous-ensembles communautaires prétendant à l’autosuffisance.

 

 

Les sous cultures nationales, les religions, les groupes « ethniques », régionaux ou sexuels appartiennent parfois à cette seconde catégorie. Parfois seulement, car ces communautés contribuent au maillage des liens sociaux. Mais ceci à condition que la force de l’État souverain et de la culture commune contienne leur influence sur leurs membres, que leur domaine de compétence soit sévèrement borné pour prévenir la dynamique centrifuge qui s’en emparerait en d’autres circonstances. Les rapports entre elles et avec l’État s’apparente à un jeu démocratique de contre-pouvoirs, qui permette à leurs membres à la fois de participer à leur dynamique socialisatrice, et d’y échapper lorsque celle-ci se dresse contre l’existence de la société comme ensemble intégré.

 

 

Lorsque ces conditions s’affaiblissent, le rapport se modifie entre le national et le communautaire — imperceptiblement d’abord, dans la mesure où les routines nationales survivent aux circonstances qui les ont formées. Mais peu à peu des événements imprévus, ou le « prosélytisme » obstiné d’entrepreneurs politiques désireux d’exploiter à leur profit l’affaiblissement des institutions communes, activent la dynamique communautariste. Plus elle se développe, plus l’absence de résistance est manifeste, ce qui encourage encore les dirigeants « communautaires ». Petit à petit la fragmentation s’affirme comme le nouveau « sens de l’histoire », les élites quittent le service du bien commun pour celui de leur « communauté » d’adoption. C’est toute l’histoire de la Yougoslavie post-titiste, triste symbole de la destruction d’une nation en construction par le communautarisme mafieux et criminel.

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Le parlement automate (Flêkê-Flêkê) d'enregistrement de la Rencontre Des Ripoux, creusset avéré d'ignares politiques

 

 

 

Au-delà des indignations de commande qui ponctuent chaque apparition de la bête immonde qu’est le communautarisme, il faut identifier le terreau du mal qui peut conduire a la violence de masse, faute de quoi les meilleures intentions continueront à paver l’enfer de l’escalade communautariste des carriéristes pathologiques en mal de dynastie et de royauté a la recherche de biens matériels pour assouvir un vieux dessein atavique de domination sociopolitique par le bien matériel en espérant effacer un passé atavique peut glorieux et une histoire généalogique qui balaie tout orgueil.

 

 

En dehors de la critique intellectuelle que nous menons ici, la seule réponse citoyenne et militante au communautarisme est dans la réactivation des enjeux sociaux et nationaux. La réaction légitime face aux dégâts des intérêts extérieurs qui soutiennent le communautarisme doit se détourner des « ennemis » de substitution que crée le communautarisme, et se reporter sur les seuls enjeux susceptibles de re-stabiliser l’ordre social.

 

 

La ligue citoyenne pour les droits fondamentaux, les libertés individuelles collectives, la réconciliation nationale entre tous y compris entre hommes politiques, la restauration d’un état fort et d’un état républicain de droit et la reconstitution de l’État détruit par le communautarisme carriériste pathologique en mal de dynastie et de royauté a la recherche de biens matériels pour assouvir un vieux dessein atavique de domination sociopolitique par le bien matériel en espérant effacer un passé atavique peut glorieux et une histoire généalogique qui balaie tout orgueil.

 

 

Donc a vos coups de pieds bien administré au cul de ce pouvoir communautariste de Alassane Ouattara,citoyen !!! Il n’est rien au monde d’aussi puissant qu’une idée dont l’heure est venue, citoyen !!! »

 

 

LEPETITFILS Da Candy leader de la légitimité citoyenne « en exil forcé»

Da candy lepetitfils

Contact: article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

 

source: www.dacandylepetitfils.over-blog.com

www.lepetitfilsdacandy.webnode.fr

 

 

(Mes derniéres tribunes dates de avril 2012 sur ses blogs) MER

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14 août 2012 2 14 /08 /août /2012 15:11

Gbagbo face Ouattarare vue

LE RESPECT DU DROIT ET DES REGLES DANS UNE NATION EST SOURCE DE PAIX SOCIOPOLITIQUE

 

 

 

 

 

Mamadou Koulibaly président d’Audace Institut Afrique :  L'intelligent d'Abidjan - 14/8/2012

 

 

 

Proposer PAR : Lepetitfils Da Candy Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force  (ce qui impose un devoir d’observateur)

Da candy lepetitfils

Contact :article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

( DACLEF: Reconnaitre l'autre comme diffèrent, et l'admettre comme son égal en droit politique et civil, puisque le lien social est  hautement politique faire tout pour que chacun puisse jouir de ses droits politiques et civils, dans une société qui admette l'hétérogénéité des sous cultures nationales pour un état de droit réel... SOURÄKÄ-DJÖN venu du BURKINA ne connait pas çà ? SAFROULAYE !!! )

« quand les gouvernants violent les droits du peuple, la ligue est pour le peuple ou pour toute partie du peuple, le plus élémentaire des droits et le plus sacré des devoirs » la ligue des citoyens, action qui consiste à refuser un état de fait, une autorité de fait et une situation de non-droit est légitime, légale, et de droit universel du peuple à disposer de lui-même.

 

 

VIOLENCES MEURTRIERES EN CÖTE D'IVOIRE

Mamadou-Coulibaly-President-de-L-Assemblee-Nationale

« C’est ainsi que les gens travaillent à leur propre confusion. » In Franz Kafka. (1926), Le Château. Une Analyse de la situation sécuritaire en Côte d’Ivoire et propositions de sortie de crise. La semaine de la fête du 52e anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire a été l’occasion de violences meurtrières. Cette fois, les attaques n’ont pas visé les populations civiles ni les forces onusiennes en Côte d’Ivoire, mais elles étaient essentiellement dirigées contre les forces armées, les FRCI. Les casernes militaires, les commissariats de police et les points de contrôle routiers ont fait l’objet d’attaques de bandes armées qui ont tué et ont été capables de disparaître tout de suite après leurs forfaits. Avec émotion, les camps politiques adverses s’accusent mutuellement d’être les auteurs de ces attaques meurtrières.

 

 

 

Encore une fois, les partisans du président Ouattara soutiennent la thèse que ce sont les partisans de l’ancien président Gbagbo qui sont les criminels assaillants. Mais les partisans de Gbagbo ne se laissent pas faire et accusent les pro-Ouattara d’être des tueurs armés itinérants. Une chose est sûre, il y a eu mort d’hommes et donc pertes en vies humaines. Des enquêtes sont annoncées et en attendant leurs conclusions, si conclusions il y a un jour, nous devons nous rendre à l’évidence: chacun des deux camps tue et, en définitive, seules les populations civiles voient leurs droits de vivre en liberté, en sécurité, dans la poursuite de leur bonheur individuel et collectif, violés. Les populations civiles sont les victimes de deux camps qui continuent de se haïr et de se positionner dans une logique d’intimidation, de chantage, de belligérance, de répression, de revanche et de vengeance.

 

 

 

Une commission d’enquête, visant à établir les responsabilités dans les crimes de la période ayant suivi les élections présidentielles de 2010, a été mise en place il y a quelques mois par le gouvernement. Ses conclusions mettent en évidence que les pro-Gbagbo et les pro-Ouattara ont tous été criminels. Ils ont tué des hommes, des femmes et des enfants pour des raisons politiques, ethniques, religieuses et régionales. Sur les 2.264 cas ayant fait l’objet des investigations, les pro-Gbagbo, identifiés sous la dénomination «éléments des ex-Forces de Défense et de Sécurité» (FDS), sont accusés de 1.452 crimes, tandis que les pro-Ouattara, identifiés sous les appellations « Forces Nouvelles »(FN), « Forces Républicaines de Côte d’Ivoire »(FRCI) et « Dozos », arrivent en seconde place avec 927 crimes. Nous étions, dit-on, en période de guerre lorsque ces crimes ont été commis.

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 Qui est le plus coupable ? Ceux qui ont tué le plus ou ceux qui ont tué tout simplement ? Au total, quel que soit le plus coupable, d’après cette commission d’enquête, ce sont 2.264 vies humaines qui ont été fauchées par des haines réciproques. Une question demeure au-delà de ces chiffres : pourquoi autant de crimes avec des victimes connues mais sans coupables reconnus ? Dire des pro-Gbagbo et des pro-Ouattara qu’ils ont tué donne certes quelques indications, mais cela reste insuffisant pour comprendre qui tue en réalité. Tous les pro-Gbagbo ne sont pas des criminels et tous les pro-Ouattara non plus. Il faudra être un peu plus clair si l’on veut aller à la vérité ; cette vérité qui libère des haines et réconcilie les cœurs. Inventaire de l’armée et des forces de sécurité. D’abord, il convient d’établir que les populations, malgré le grand nombre d’hommes armés en circulation, ne sont pas en sécurité. Il n’y a pas de forces qui assurent la sécurité au sens traditionnel du terme.

 

 

Aujourd’hui, l’armée ivoirienne de terre, de mer et de l’air compte, entre autres, environ 14.000 hommes non réformés, non équipés. Il s’agit de ce qu’il reste des anciennes FANCI (Forces Armées Nationales de Côte d’Ivoire). Ces hommes sont démotivés, désarmés, payés à ne rien faire, frustrés par une défaite programmée mais inattendue et méprisés par les autorités politiques actuelles du pays simplement parce qu’ils ont appartenu à l’armée sous l’ancien régime. Ils étaient les forces dites loyalistes du régime de Laurent Gbagbo. Cela leur est préjudiciable aujourd’hui et le régime ne leur fait pas confiance. Il faut ajouter à ce groupe environ 17.000 gendarmes. Ce corps dit d’élite s’est taillé en Côte d’Ivoire la réputation d’être républicain mais n’est nullement utilisé pour le maintien de l’ordre public dans la nouvelle gendarmerie. Plusieurs de ses membres ne sont pas intégrés dans la fonction traditionnelle de la gendarmerie. Ils sont payés à ne rien faire, vivent dans la terreur et le soupçon d’être capables de déstabiliser le régime à tout moment. Ils s’ennuient, sont démotivés et frustrés. Ils faisaient eux aussi partie des loyalistes de l’ancien régime. Et cela leur est préjudiciable aujourd’hui car le régime ne leur fait pas confiance.

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 Nous devons aussi prendre en compte 18.000 policiers non réformés, eux aussi, c’est-à-dire non réorganisés et non réemployés dans les fonctions habituelles et normales de la nouvelle police. Ils sont en permanence soupçonnés d’avoir été proches de l’ancien régime Et cela leur est préjudiciable aujourd’hui car le régime ne leur fait pas confiance. Ils travaillent sous le regard, le contrôle et la suspicion des forces mises en place par le régime actuel. Ils s’ennuient, sont démotivés et frustrés. Ces trois groupes constituent ensemble une équipe de 49.000 personnes environ qui, formées en principe pour la sécurité et l’ordre public, vivent dans le non-emploi, le chômage déguisé, la suspicion et la frustration de ne pouvoir exercer leur métier dans des conditions normales de l’Etat de droit. Ces hommes et ces femmes, harcelés de temps à autre, constituent un cocktail dangereux pour la stabilité du régime qui en est conscient et qui déploie des efforts énormes de surveillance, de contrôle, d’arrestations et de tracasseries. Toutes choses qui ne rassurent pas mais au contraire stressent et créent des tensions psychologiques intenses.

 

 

Mais, surveiller les militaires, policiers et gendarmes des ex-FDS ne laisse pas suffisamment de ressources pour assurer la sécurité des populations et garantir l’ordre public, aussi bien dans les villes qu’en milieu rural. L’insécurité commence avec l’idée que l’autre nous veut du mal. Et à vouloir trop le surveiller, nous ne voyons pas arriver les autres dangers. Que faire dans ce cas ? Réinsérer ces éléments dans l’ordre normal des forces qui assurent la sécurité, la protection civile et l’ordre public en Côte d’Ivoire. Cela voudrait dire redonner à la police et à la gendarmerie les moyens de leur activité. Seuls les policiers et gendarmes peuvent assurer l’ordre public et rassurer les populations. Si l’Etat doit redevenir normal, ce sont les forces normales et non des forces d’exception qui doivent s’occuper de la mission du service public de la sécurité et de la protection des droits et des libertés. La condition normale d’un Etat exige des institutions normales. L’armée, la gendarmerie et la police sont des institutions qui doivent reprendre leur service normalement si bien entendu nous recherchons la normalité qu’impose l’Etat de droit. Si bien entendu nous voulons mettre fin à l’Etat d’exception.

 

 

Mais que faire avec une armée de 11.000 FRCI, loyalistes d’aujourd’hui, en plus des 14.000 loyalistes de l’ancien régime? Cela fait quand même 25.000 militaires payés. Avec le budget actuel du ministère de la défense, estimé à 188 milliards de fcfa, si leur traitement est assuré convenablement (131 milliards fcfa), alors cette armée n’a aucun moyen pour s’équiper et s’entraîner. Si elle devait avoir les moyens de son équipement, alors les soldes ne seraient pas payées. Si l’Etat devait assurer pour ces hommes, à la fois l’équipement et la solde, le budget militaire exploserait. Alors qu’il a déjà du mal à faire face, entre autres, aux exigences de la dette due aux caisses de retraite (CGRAE, CNPS) ainsi qu’à celles des salaires des travailleurs de la Poste de Côte d’Ivoire, il serait obligé de fermer des hôpitaux ou des écoles à cause du manque de moyens financiers. Ainsi, nous vivons en insécurité permanente avec une armée pléthorique, mal équipée, mal encadrée, mal payée, bien frustrée et avec de bonnes raisons de ne pas pouvoir assurer sa mission de sécurisation des populations civiles sur l’ensemble du territoire et dans les casernes, les gendarmeries et les commissariats.

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 Le gouvernement, pendant ce temps, est en sécurité grâce à 3.000 hommes minutieusement triés parmi les FRCI pour la défense de l’Etat et d’Abidjan. Ces hommes, qui ont l’entière confiance du gouvernement, viennent de l’ex-rébellion du MPCI, MPIGO, MJP et des FN et assurent la sécurité du président de la République et des institutions de l’Etat. Ces hommes sûrs du régime en sont aussi les hommes forts, car commandés par les ex-com zones. Notons que certains des chefs de ce groupe de privilégiés ont été promus à des grades supérieurs au moment où des soldats se faisaient tuer par des inconnus armés sortis de nulle part au début du mois d’août 2012. Mais peut-on croire à la thèse des hommes sortis de nulle part pour perpétrer ces attaques ? Non pas vraiment. Car, à y regarder de près, il y a dans notre pays des populations à haut risque qui peuvent avoir de bonnes raisons de fomenter ce type de guérilla.

 

 

Qui pourraient être les guérilleros? Au lieu de s’accuser mutuellement, la classe politique pourrait faire une introspection et analyser froidement la situation. Parmi les populations à risque et capables de fomenter des guérillas, il y a plusieurs cas à distinguer. Le premier groupe est constitué des FRCI frustrés et déçus, auxquels l’on avait promis des carrières militaires sécurisées. Dans le cadre de l’Accord Politique de Ouagadougou (APO), le volet militaire qui était en négociation concernait 32.000 éléments des FN qui rêvaient d’obtenir une situation de fonctionnaire. Mais, lors de la mise en place définitive des FRCI, seuls 9.000 de ces combattants ont été retenus. Alors qu’elles étaient en possession d’armes et de munitions, ce sont 23.000 personnes qui ont été refoulées, dégagées des rangs ou mises à la porte des FRCI. Ces ex-combattants FN non retenus dans les FRCI vivent dans la rancœur et la frustration et sont en attente de toutes les bonnes occasions qui pourraient leur permettre d’exprimer leur colère vis-à-vis de ceux qui leur ont menti, les ont utilisés et les ont rejetés au moment du partage du butin.

 

 

 

Ces 23.000 personnes sont autant de dangers potentiels à ne pas oublier lorsque l’on cherche qui accuser après les attaques comme celles perpétrées contre les FRCI en ce début du mois d’août 2012. La seconde catégorie identifiée comme dangereuse est constituée des 36.000 supplétifs issus des jeunes combattants recrutés à tout va au moment où il a fallu que les FN se préparent à la bataille d’Abidjan lors de la dernière crise post électorale. De nombreux combattants ont été encouragés à s’enrôler pour «la cause». Ils étaient environ 38.000 supplétifs pour les FRCI, parmi lesquels seulement 2.000 ont été retenus pour une éventuelle intégration dans les forces régulières actuelles. Que faire des 36.000 restants ? Ils ont été purement et simplement oubliés. Eux aussi fulminent de colère et de désir de revanche sur ceux qui les ont manipulés. Ils sont des agents à risque, capables, pour des raisons évidentes, de s’attaquer à leurs anciens frères d’armes, du temps des durs combats d’Abidjan, qui les ont trahis et abandonnés par la suite.

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 Il ne faut pas les oublier lorsque l’on se pose la question de savoir qui s’attaque aux FRCI et pourquoi ? La troisième catégorie à risque est composée de 38.000 personnes issues des groupes d’autodéfense et autres miliciens de l’ancien régime. Il avait été question que, dans le cadre du service civique proposé par l’APO, ces supplétifs des FDS de l’époque puissent être intégrés à des structures de réinsertion et d’emploi dans la fonction publique. Mais rien n’a été fait et plusieurs d’entre eux sont réputés avoir des armes, sont frustrés de savoir que l’âge d’or est terminé et que si les choses redeviennent normales, eux s’en sortiraient sans rien, bredouille. Eux ont du mal à accepter cette perspective. Ce groupe est tout aussi dangereux que les deux premiers et il ne faut pas l’oublier lorsque la question se pose de savoir qui attaque les FRCI. Pour ce groupe, l’avènement des FRCI ayant mis fin aux privilèges dont ils bénéficiaient, il est inacceptable de laisser les choses en l’état et laisser le triomphe facile à leurs adversaires d’hier.

 

 

 

Au total, ce sont donc au bas mot 97.000 guérilleros potentiels, sans compter les opportunistes et autres bandits habituels, les frustrés et les haineux occasionnels qui ont de vieux comptes à régler avec de vieux copains maintenant membres de la nouvelle nomenklatura, les nouveaux combattants, ceux de la 25ème heure qui ne sortent que lorsque les champs de bataille sont vides. Si nous prenons en compte tout ce beau monde «de super vilains» ou de «super héros», on peut arriver à 100.000 personnes à risque, déçues par les promesses non tenues, ballottées entre des décisions contradictoires, endoctrinées par des états-majors politiques réciproquement haineux, encasernées, pour certaines, avec leurs armes dans des conditions inacceptables, comme par exemple les 1.500 retenues dans le tristement célèbre camp de la Gesco à Yopougon. Toutes ces personnes sont de véritables dangers pour la sécurité des populations civiles, pour les FRCI elles-mêmes et pour les forces impartiales également, et l’on ne peut pas dire qu’elles ont tort d’être en colère.

 

 

 

Et si l’on traitait plus sérieusement leurs cas ? Ces 100.000 jeunes qui voient l’avenir en noir ne se fient qu’au pouvoir que leur donnent leurs armes. Ils n’ont pas d’emploi, pour plusieurs d’entre eux, pas même de qualification ni de métier. Ils ont la hantise du chômage et voient leur vie comme un drame dont les seules lueurs ne sont que trahisons, manipulations. La haine envers leurs anciens mentors et le mentor adverse alimente leur quotidien. Ils croient avoir tout perdu, sauf leurs armes avec lesquelles ils peuvent se faire entendre, se faire respecter et même faire fortune ou simplement obtenir à manger. Il ne faut pas les oublier au moment où l’on se pose la question de savoir qui organise la guérilla.

 

 

«  Les populations dans leurs diversités  représentent la souveraineté de la nation qui n’est autre que le peuple »

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Quelles solutions pour sortir du bourbier insécuritaire? D’abord, le gouvernement doit cesser de pratiquer la politique de l’autruche et regarder enfin le problème en face. La communication de monsieur Bruno Koné, ministre et porte-parole du gouvernement, après le conseil des ministres du 15 février 2012, à la suite de toutes les tueries de la période post électorale et depuis la création des FRCI démontre, si besoin est, son fourvoiement et la marge de progression analytique qu’il nous offre pour comprendre la situation : «Les Frci, c’est l’armée régulière de Côte d’Ivoire. Il est important que notre armée soit respectée. L’armée représente la souveraineté du peuple ivoirien. Il n’y a pas de raison que ce soit les populations qui décident ou pas d’avoir l’armée sur un territoire. Nous sommes tous à un âge où nous avons vu les Fanci et les Fds. Je crois qu’il faut qu’on revienne au principe de base du civisme. C’est-à-dire le respect de nos institutions. Dans le respect des institutions, il y a le respect de l’armée. L’armée de Côte d’Ivoire a eu à mener des opérations de sécurité publique tout simplement parce que la police et la gendarmerie n’étaient plus opérationnelles. Il a fallu attendre plusieurs mois avant que les commissariats ne soient regarnis et il a aussi fallu attendre plusieurs mois avant que les policiers ne soient dotés d’armes et de munitions. Pendant ce temps, les militaires ont eu à les suppléer.

 

 

A partir du moment où nous sommes arrivés progressivement à une situation normale, il leur a été demandé de se retirer de ces activités pour que la police et la gendarmerie prennent le relais. Mais cela n’est pas fait partout, d’une part. D’autre part, même si la police et la gendarmerie sont de retour, rien n’interdit que les militaires soient apportés en renfort à tel ou tel endroit. C’est une décision du commandement militaire. (…) Quand on parle de cantonnement, j’ai l’impression que pour les Ivoiriens cela veut dire qu’il faut que les militaires disparaissent du paysage. (…) Les Frci, c’est plusieurs milliers de personnes. Donc il peut arriver qu’un élément des Frci ait un problème avec un élément civil, cela peut arriver partout, il peut y avoir des cas d’indiscipline, il peut y avoir des agressions contre les uns et contre les Frci. Mais de grâce, ne transformons pas tout en conflit ethnique ou intercommunautaire.

 

 

S’il y a des erreurs de la part des Frci, ils peuvent être sanctionnés par leur hiérarchie.» Puis, la classe politique, gouvernement en tête, doit arrêter de détourner l’attention du problème principal par des accusations mutuelles insensées. Ensuite, elle doit accepter sa propre défaillance dans la façon de faire la politique et reconnaître que c’est elle qui, par ses discours, ses ambitions, ses inconséquences, a conduit de nombreux jeunes dans l’impasse, et toute la Côte d’Ivoire avec. Enfin, elle doit s’engager tout de suite dans des discussions sur la réconciliation politique et envisager un programme de fin de crise conforme à la résolution 2062 du Conseil de sécurité des Nations-Unies et rendre opérationnelle cette dernière. Ceci suppose de: Prioriser la question du désarmement et de la réforme du secteur de la sécurité dans l’agenda du président de la République – ministre de la défense et chef suprême des armées. Retirer des rues les FRCI et y installer la gendarmerie et la police nationales. Organiser le départ à la retraite des combattants et autre miliciens non retenus dans les forces actuelles. Dégager des économies budgétaires pour financer cette retraite supplémentaire par la réduction du niveau de vie de l’Etat.

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 Redéployer l’administration civile et l’autorité de l’Etat sur l’ensemble du territoire ivoirien. Reprendre et approfondir le dialogue entre l’opposition et le gouvernement dans le cadre défini par le conclave de Bassam. Ne pas se précipiter pour organiser les élections locales dans les conditions actuelles d’insécurité. Nous avons une population ivoirienne de 20 millions d’habitants environ, qui vit, sans protection de qui que ce soit, avec 100.000 ex-combattants armés et frustrés se sentant trahis par ceux qui, de part et d’autre, avaient fait d’eux des héros à coup de fausses promesses d’intégration dans la fonction publique; une soldatesque de 25.000 hommes, sans équipement ni entrainement qui ne peut exercer sa mission par manque de cohésion; 35.000 gendarmes et policiers prévus pour le maintien de l’ordre public et la sécurité civile mais qui ne sont ni organisés ni employés à cette fin car désarmés par manque de confiance et 3.000 éléments des FRCI, commandés par les anciens com zones, sélectionnés parmi l’ensemble pour assurer la sécurité du président de la République et des institutions à Abidjan.

 

 

Cette population civile, totalement laissée à elle-même, devient la cible de chacun de ces dangereux groupes adverses qui, à travers les cruautés commises à son encontre, peut vouloir attirer l’attention sur lui. A ce jour, la Côte d’Ivoire n’a plus d’armée – ni ancienne, ni de nouvelle -, mais elle est entre les griffes de plusieurs bandes armées qui se ciblent les unes les autres tout en prenant la population civile en otage. L’ordonnance illégale prise par le président de la République le 17 mars 2011 pour créer les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), mélange composite des Forces armées nationales de Côte d’Ivoire (FANCI) et des Forces armées des Forces nouvelles (FAFN), dans le but, selon les propres termes de M. Ouattara, de «protéger les populations civiles, pacifier le pays et rétablir la légalité» est loin d’avoir été efficace. Bien au contraire, cette ordonnance est à la base de la désorganisation de la sécurité et de l’ordre républicain.

 

 

 

La question est du domaine de la loi c’est-à-dire du débat public républicain. Une ordonnance ne suffit pas à créer une armée (article 71 de la constitution d’août 2000). La preuve est maintenant faite. La recrudescence des braquages dans tous les quartiers d’Abidjan, et des coupeurs de route dans l’ensemble du pays, est la manifestation directe de la mauvaise gestion des questions militaires et sécuritaires par l’Etat, qui a trop souvent recours à des ordonnances illégales et des décrets inutiles pour résoudre un problème sensible qui requiert bon sens, clairvoyance et courage. Aujourd’hui nous en payons le prix. Et pourtant, les coupables sont connus, les raisons aussi.

Laurent-Gbagbo Alassane-Ouattara

L'intelligent d'Abidjan - 14/8/2012 

Abidjan le 13 août 2012

Par Mamadou KOULIBALY, président d’Audace Institut Afrique.

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Sans commentaires :

( DACLEF: Reconnaitre l'autre comme diffèrent, et l'admettre comme son égal en droit politique et civil, puisque le lien social est  hautement politique faire tout pour que chacun puisse jouir de ses droits politiques et civils, dans une société qui admette l'hétérogénéité des sous cultures nationales pour un état de droit réel... SOURÄKÄ-DJÖN venu du BURKINA ne connait pas çà ? SAFROULAYE !!! )

« quand les gouvernants violent les droits du peuple, la ligue est pour le peuple ou pour toute partie du peuple, le plus élémentaire des droits et le plus sacré des devoirs » la ligue des citoyens, action qui consiste à refuser un état de fait, une autorité de fait et une situation de non-droit est légitime, légale, et de droit universel du peuple à disposer de lui-même.

laurent-gbagbo-alassane-ouattara- aprendre

CECI ETAIT LA MEILLEURE SOLUTION, MAIS HELAS LE COMMUNAUTARISME EST PASSER PAR ICI

 

 

 

Proposer PAR : Lepetitfils Da candy Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force  (ce qui impose un devoir d’observateur)

Da candy lepetitfils

Contact :article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

 

 

 (conformément aux dispositions de la Convention de Genève de 1951 (et protéger par l’article 33 de ladite convention) et de son protocole de 1967 relatif aux statuts de réfugiés, et de la convention de l’OUA de 1969

 

Et protéger par la ; «Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. 

 

Adoptée et ouverte à la signature, à la ratification et à l'adhésion par l'Assemblée générale dans sa résolution 39/46 du 10 décembre 1984 

Entrée en vigueur: le 26 juin 1987, conformément aux dispositions de l'article 27 (1) 

Article 3  

1. Aucun Etat partie n'expulsera, ne refoulera, ni n'extradera une personne vers un autre Etat où il y a des motifs sérieux de croire qu'elle risque d'être soumise à la torture. 

 

2. Pour déterminer s'il y a de tels motifs, les autorités compétentes tiendront compte de toutes les considérations pertinentes, y compris, le cas échéant, de l'existence, dans l'Etat intéressé, d'un ensemble de violations systématiques des droits de l'homme, graves, flagrantes ou massives.»

 

voir: www.lepetitfilsdacandy.wenode.fr

 

www. legitimite-citoyenne.centerblog.net

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3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 19:46

La côte d'ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY  a genou au BURKINA FASSO, SAFROULAYE!!!

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La côte d'ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY  a genou au BURKINA FASSO, SAFROULAYE!!!

 

 

 

 

( DACLEF: Reconnaitre l'autre comme diffèrent, et l'admettre comme son égal en droit politique et civil, puisque le lien social est  hautement politique faire tout pour que chacun puisse jouir de ses droits politiques et civils, dans une société qui admette l'hétérogénéité des sous cultures nationales pour un état de droit réel... SOURÄKÄ-DJÖN venu du BURKINA ne connait pas çà ? SAFROULAYE !!! )

da candy lepetitfils-

Proposer PAR: Lepetitfils Da Candy Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force 

Contact :article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

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Dr Serge-Nicolas NZI Chercheur en Communication Lugano (Suisse)

 

Alassane Ouattara du Marigot politique au labyrinthe Moral...

 

 

 

 

I – La vie politique est un domaine dans lequel la nature des hommes détermine toujours la finalité des actes que l’on pose. En politique comme ailleurs, il faut toujours se méfier de celui qui privilégie son moi, qui affiche son arrogance et qui n’a pas d’humilité. Le narcissisme, le culte de soi et l’égotisme sont les pires ennemis de l’homme politique.

La crise ivoirienne perdure, les risques d’une libanisation, qui conduira la Côte d’ivoire à la parcellisation et au chaos généralisés existent et s’étalent sous nos yeux au quotidien sans que cela ne puisse émouvoir les institutions de l’Etat et les hommes qui les animent.

Le Dr Alassane Dramane Ouattara nous avait dit au début de son mandat, qu’il allait gouverner la Côte d’ivoire au profit de tous les ivoiriens, nous y avons cru jusqu’aux jours où il a introduit lui-même le rattrapage ethno tribal comme projet politique dans le corps social du pays qu’il veut gouverner.

En observant le balancier de l’histoire récente de ce pays, nous sommes à mesure de livrer à nos lecteurs quelques observations sur la nature de l’homme qui dirige la Côte d’ivoire et vers quel destin se dirige le navire ivoire.

II – La sécurité de tous les ivoiriens

Un pays où il n’y a pas de sécurité pour les personnes et leurs biens.

Un pays où un soldat peut dire en toute impunité à un ancien premier ministre que:


"Nous on peut te tuer ici et il n’y aura rien"

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 N’est pas un état de droit.

Si l’arbitraire préside au destin des vies humaines que l’état doit protéger, il faut s’en inquiéter.

Le Dr Alassane Ouattara, en faisant le choix de garder lui-même le ministère de la défense, voulait sans doute rassurer les ivoiriens. Mais il faut plus que cela pour ramener la sécurité des ivoiriens au cœur de la reconstruction nationale. Le plaidoyer pro domo, qui consiste à dire qu’on y peut rien, qu’il faut s’accommoder aux braquages et aux pillages est à la fois stupide et insensé de la part de leurs auteurs.

 

 

 

 

Pourquoi a-t-on désarmé la police et la gendarmerie en laissant les Dozos, les Zozos et les Gogos se pavaner en toute impunité avec leurs armes ?

Quel touriste ira se promener dans un tel pays ? Quel investisseur viendra mettre le moindre centime dans un pays qui se nourrit au quotidien de rapts, de braquages, de vols et de pillages impunis ?

Le Dr Ouattara peut aller partout dans cette période de récession, ou tous les partenaires financiers sont couverts de dettes à ne plus en finir, il ne trouvera pas de l’argent pour relever le pays et reconstruire les infrastructures détruites et pillées au bénéfice des pays voisins qui ont soutenu son arrivée au pouvoir. Dans leur composition actuelle et avec les épurations ethniques en cour, les FRCI, ne pourront pas défendre les frontières ivoiriennes et assurer la sécurité des ivoiriens et de leurs biens.

le sport favorie de FRCI c'est la tuerie

En vérité de gros nuages planent déjà dans le ciel ivoirien. La soldatesque ethno tribale que constitue les FRCI, risque de pousser les ivoiriens qui ne sont plus protéger par l’Etat en pleine décomposition, à créer à leur tour des groupes d’autodéfense ou des milices qui plongeront la Côte d’Ivoire dans un désastre plus grand. Les FARC de Colombie sont sous nos yeux comme exemple de ce qui peut arriver à un pays à cause de l’irresponsabilité de sa propre classe politique.

Une armée dans laquelle on retrouve des évadés de prisons, des dozos, des gogos et autres zozos, peut-elle se porter garante de la survie de l’Etat et des citoyens ? Peut-on instaurer la démocratie et l’enraciner dans un environnement ou les milices côtoient les forces régulières ralliées du bout des lèvres au vainqueur d’un bras de fer électoral ?

Comment restaurer la confiance entre le peuple et son armée ? Le régime actuellement au pouvoir en Côte d’ivoire, doit se poser toutes ces questions, car ce sont les réponses découlant de ces interrogations qui apporteront la paix juste et durable dont le pays a besoin pour se relever.

III – Du Marigot politique au labyrinthe Moral

Un labyrinthe est un chemin sinueux avec des embranchements, des impasses, des culs-de-sac et des fausses pistes destinées à perdre celui qui cherche à s’y déplacer. Pour sortir d’un labyrinthe, il faut avoir du sang froid, l’esprit de suite, d’orientation, de prévision et surtout de l’humilité, cette capacité de se remettre en cause, de retourner sur ses pas pour rechercher la pièce manquante qui vous conduira vers la sortie,

Le Dr Alassane Ouattara n’a pas besoin de nos conseils ni de notre avis, il sait qu’il ne peut pas compter sur nous dans une démarche de divination ou de canonisation du chef. C’est justement ce qui nous met parfaitement à l’aise pour qu’il sache que ses suiveurs et courtisans ainsi que tous ceux qui lui prédisent un destin national à travers une pacification par la force qui conduira à une paix des cimetières, se trompent d’époque. La Côte d’Ivoire d’aujourd’hui, n’à rien à voir avec son introduction dans la vie politique ivoirienne en novembre 1990, par le président Félix Houphouët-Boigny.

photo1

En tout président, il y a toujours un tueur. Mais certains sont plus subtiles et d’autres plus sanguinaires. La victoire politique suppose l’élimination des concurrents mais les souvenirs de ces meurtres politiques laissent à leurs auteurs l’inoubliable goût du sang. Le pouvoir sous nos cieux fournit toujours les moyens d’assouvir de temps à autres, la tentation de récidiver. Parfois la vindicte seule commande l’élimination d’un adversaire, par crainte de le retrouver demain sur sa route.

En exemples : Hamani Diori contre Djibo Bakary. Mobutu contre Patrice Lumumba. Leopold Sedar Senghor contre Amadou Dia. Houphouët-Boigny contre Jean-Baptiste Mockey. Sékou Touré contre Diallo Telli. Gnassingbé Eyadema contre Gilchrist Olympio. Blaise Compaoré contre Thomas Sankara et aujourd’hui Alassane Dramane Ouattara contre Laurent Gbagbo. Il faut sortir de cette logique suicidaire des vendettas personnelles et personnalisées, qui de générations en générations, strates après strates ont conduit nos pays africains dans un immense marécage sans avenir ni horizon pour nos peuples.

Il s’agit ici d’une exigence morale pour que le Dr Alassane Ouattara sorte définitivement du labyrinthe d’un pouvoir ivre de rancœurs et de vengeances, pour instaurer une gouvernance dans laquelle tous les ivoiriens se reconnaissent, parce qu’elle les protège et œuvre pour leur sécurité et leur plein épanouissement. Il s’agit ici d’une posture de cohérence et de cohésion nationale pour la Côte d’Ivoire. Il n’est peut être pas trop tard pour l’exprimer.

Car, ils sont nombreux aujourd’hui les ivoiriens qui craignent pour leur vie.

Depuis l’indépendance du 7 août 1960, jamais la vie humaine n’a été aussi banalisée que sous le régime d’Alassane Ouattara. Nous avons eu à reprocher à Houphouët-Boigny l’ignominie des faux complots de 1963 et l’embastillement inutile à Yamoussoukro des innocentes personnes qu’on avait obligé à s’accuser en plein procès de crimes qu’ils n’avaient pas commis.

konan bediePAPA C'EST CE SOURÄKÄ-DJÖN DES MAFIA!

Sous le régime du président Bédié, le laxisme, l’incapacité à voir loin, l’affairisme du président et de son entourage. Cette incapacité à voir l’intérêt de tous les ivoiriens. Les scandales financiers et surtout le venin de l’ivoirité que Bédié et ses suiveurs sont allés chercher dans la mare boueuse et dans les poubelles nauséabondes de l’histoire pour venir l’inoculer dans la vie politique de la nation, fut pour nous tous des moments de régression morale qui ont poussé l’intelligence à déserter la vie publique sous nos cieux.

Sous la soldatesque du général de pacotille Robert Guei, nous fumes tous les témoins médusés de la brutalité d’une soldatesque et de son gouvernement de facto. Des gens qui n’ont été élu par personne voulaient diriger la nation avec leurs armes en commençant par le non respect de la parole de soldat donnée au peuple. Nous connaissons la suite.

Sous le régime du président Gbagbo, la refondation patriotique ivoirienne se proposait de mettre fin au pacte colonial et de nous aider à fonder un état-nation à notre service. Et pourtant que de désillusions.

Incapables de sécuriser nos frontières, dormant paisiblement sur leurs deux oreilles. Les refondateurs, enivrés par le pouvoir et rieurs tous contents de leurs habits neufs (Ce fut une grave erreur d’appréciation) n’ont pas vu venir la rébellion qui allait faire de Soro Guillaume le premier ministre de la Côte d’ivoire et conduire notre pays au fiasco électoral ainsi qu’à l’immense bain de sang, d’amertumes, de bruits et de fureurs qui ont fini par désarticuler la Côte d’ivoire.

C’est en habit de deuil et enjambant les cadavres dans les rues, que le Dr Alassane Dramane Ouattara est rentré au palais présidentiel du plateau d’Abidjan dans un décor de fin du monde. Il sait que près de la moitié du pays n’a pas voté pour lui. Il devait faire de la réconciliation nationale son cheval de bataille. Et pourtant la réconciliation sera un boulet à ses pieds faisant de La Côte d’ivoire un pays maudit et le lieu de convergence de tous les venins mortels et malfaisants de la terre.

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IV – Alassane Ouattara et la queue de son propre serpent

Dans la vie politique d’Alassane Ouattara, il faut noter trois grandes erreurs d’appréciation, la première fut sa précipitation dans la lutte successorale du président Houphouet-Boigny et son interprétation de la constitution ivoirienne le 7 décembre 1993.

La seconde fut cette déclaration dont les ravages sont encore visibles sous nos yeux : " c’est parce que je suis du nord et musulman qu’on veut m’empêcher d’être candidat à l’élection présidentielle." L’ancien représentant du Burkina Faso à la BCEAO, savait bien que le problème n’était pas son ethnie, sa religion et sa région mais la clarification de ses origines. N’était-il pas plus simple de mener ce combat au plan juridique pour savoir si on peut être premier ministre d’un pays sans en avoir sa nationalité ?

Celui qui écrit ses lignes a farouchement combattu l’ivoirité et regrette le rattrapage ethno tribal de l’actuel régime. Le soutien visible du Dr Alassane Ouattara à la rébellion de Soro Guillaume, qui le portera au pouvoir fut une troisième erreur qui a achevé de nous convaincre qu’il a mené tous ces combats pour rendre lui-même le pays ingouvernable.

A cela s’ajoute le torpillage permanent des travaux de la commission de réconciliation nationale, qui est aujourd’hui une coquille vide et un assemblage sans tête, sans but ni queue. En observant bien le Dr Allassane Ouattara, son comportement ressemble de près à feu le premier président de la Haute Volta, Maurice Yaméogo. Avec simplement la taille en plus.

Maurice Yamégo, était un petit Jouisseur, il méprisait ses opposants, c’était un homme plein de certitudes. Il se croyait dur comme du fer. Proche d’Houphouët-Boigny et de la droite bestiale française, il se croyait invulnérable comme un chasseur dozo de Koudougou en pays mossi.

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Il était très souvent entre deux avions, il pensait comme le Dr Alassane Dramane Ouattara que les solutions aux problèmes de son pays se trouvent à l’étranger. Son visage rieur, mis en relief par une paire de lunettes à monture d’écaille, cachait une grande dose de méchanceté, Arrogant, hautain et suffisant il ne vivait pas dans le même monde que son peuple, dont il ignorait royalement les souffrances.



C’est quand on se croit malin qu’on perd tout. Il n’a pas vu venir la révolte populaire contre ses mesures d’austérités financières. Menée par la coalition des syndicats, de la chefferie traditionnelle et le clergé catholique il fut contraint à la démission le 3 janvier 1966. Par un mouvement populaire qui obligera l’armée à prendre le pouvoir au pays des hommes intègres. Il a connu l’internement administratif avant sa réhabilitation et sa mort le 9 septembre 1985, à Ouagadougou.

La même jouissance se trouve dans le comportement et la mise du Dr Alassane Dramane Ouattara, même goût pour les costumes, cravates en soie pure et autres boutons de manchettes en or. On dit qu’il souffre d’une paralysie d’un côté du visage, ce qui donne parfois un air de silure grillé à son regard. Sa calvitie avance à grand pas vers sa nuque. Ses tempes grisonnantes trahissent la teinture noire de ses cheveux.

Il a le même goût pour les mondanités comme Maurice Yaméogo, goût pour les voyages en avion à ne plus en finir, comme un commis voyageur. Le tout dans un pays économiquement à genoux. Même mépris pour les opposants. Même paranoïa du complot et les soucis permanents d’utiliser le pouvoir pour nuire et pourrir la vie de ceux qui ne sont pas proches de lui.

Or le dédoublement qui est la marque de sa personnalité ne marie pas seulement l’ombre et la lumière ; il allie aussi le calcul, la candeur machiavélique, l’égotisme, La revanche et une vraie méchanceté qui font qu’il ne lèvera jamais le petit doigt pour sauver la maman de Laurent Gbagbo et ses petits enfants, qui n’ont rien à avoir avec la vie politique de la Côte d’Ivoire.

Actuellement en Côte d’Ivoire, il y a des services publics comme la poste dont les employés ont des arriérés de trois mois de salaire, cela ne préoccupe pas le Dr Allassane Ouattara et les membres de son Gouvernement. Ils ont leur salaire et célébreront au champagne le 7 août prochain la fête de l’indépendance de la Côte d’Ivoire.

les primes aux crimes encourage les coups d'états

Les FRCI sont aujourd’hui une milice privée au service de la revanche du nord contre le reste du pays. Mais cela ne préoccupe pas le gouvernement qui a fait de la Côte d’ivoire un pays de zombies, c’est-à-dire des morts vivants. Observez bien les victimes des braquages nocturnes, ils sont tous bizarrement des Bétés, des Didas, des Attiés, des Baoulés, des Abeys, des Wês, des Ebriés ou des Agnis.

Demandez aujourd’hui au Dr Alassane Ouattara et à son ministre de l’intérieur, originaire comme lui du nord, quelles dispositions envisagent-ils de prendre pour la restitution des plantations et des maisons occupées à Bouaké, à Abidjan, à Daloa et dans d’autres localités du pays, depuis des années par les Dozos, les Gogos et les Zozos membres de leur groupe ethno tribal ? Et vous comprendrez qu’ils n’ont aucune réponse positive pour les victimes, parce qu’ils sont du mauvais groupe ethnique.

 

Dans un pays où le président prétend, qu’il est arrivé au pouvoir par les urnes, comment justifier une telle injustice ? Les maltraitances infligées aux anciens dignitaires et sympathisants du FPI, sont-elles ordonnées par le président de la république ou sont-elles des initiatives personnelles de l’armée mono ethnique FRCI ?

Des images du viol de Mme Gbagbo circulent sur les téléphones portables, pourquoi la justice ivoirienne qui se dit impartiale n’a jamais interpellée les auteurs ? L’image de Michel Gbagbo en prison parce qu’il était avec son père reste pour nous tous un moment de cécité politique qui interpelle le bon sens.

Les chances de revoir des gens comme le Gouverneur Philippe Dacoury Tabley, le Pr. Aké Ngbo, Jean-Jacques Béchio ou Mahan Gahé, sont minces, la mort rode autour d’eux dans des prisons où leurs geôliers ont reçu l’ordre de les humilier et de les maltraiter du matin au soir.

Quel que soit celui qui gouvernera la Côte d’Ivoire dans 10 ou dans 20 ans nous nous opposerons frontalement par nos écrits, à ceux qui feront du mal à la femme et aux enfants d’Alassane Ouattara. Si nos interventions depuis des années reposaient sur l’ethnie, nous aurions pu être des défenseurs de Bédié qui est un Akan. Il s’agit plus ici de l’avenir d’un pays et non des intérêts sordides et mesquins d’un clan ou d’une région tribale.

gouv-ake-gbo.jpg Pascal Affi Nguessan, ancien premier ministre, malade et contraint pour le plaisir du régime d’effectuer des pompes diffusées sur les réseaux sociaux dans le monde entier. Tout cela rabaisse la Côte d’ivoire, car même philippe Pétain dans sa détention sur l’Île d’Yeu à Port-Joinville, fut mieux traité que cela. Et pourtant il était porteur de crimes, de trahison et de l’ignominie du régime de la collaboration avec le nazisme.

Dire que le régime d’Alassane Ouattara n’est pas celui de Mobutu, mais dirigé par un économiste qui a étudié aux USA et a travaillé dans des institutions internationales, nous font douter de sa volonté de reconstruire la côte d’ivoire au profit de tous les ivoiriens. L’image du serpent qui se mort la queue en croyant dévorer un adversaire est devant nous pour nous indiquer que les malheurs à venir seront pires que ceux que la Côte d’ivoire a déjà connus. Dans cette logique il n’y aura pas de réconciliation.

Les arrestations des pro-Gbagbo, le harcèlement judiciaire, les disparitions, les attaques des domiciles et des camps de réfugiés, les mandats d’arrêts contre ceux qui sont à l’étranger. Toutes ces maltraitances et humiliations vont continuer durant de nombreuses années, car le but est d’en finir avec le FPI dans la vie politique ivoirienne.

Les rencontres FPI, gouvernement n’aboutiront à rien. Elles sont des mises en scène pour se justifier à l’étranger. Car il n’y a aucune volonté politique de la part du Dr Alassane Ouattara, d’aller dans le sens de l’apaisement et de la consolidation du vivre ensemble dont il sera d’ailleurs le premier bénéficiaire. Le serpent ici se mord encore une fois la queue en croyant tuer un adversaire.

 

 

 

 

V – Postulat de conclusion générale

La plus part des ministères et des chefs de services publics, sont aujourd’hui des Malinkés, des Sénoufos ou des Koyaga. Ils ont le vent en poupe et regardent de haut ceux qui ne sont pas de leurs régions. C’est la victoire du nord sur le sud, tandis qu’on installe des colonies de peuplement dans l’ouest du pays avec la nationalité ivoirienne en distribution. Entre temps le Burkina désertique continue d’être un exportateur de café et de cacao.

C’est dans cette ambiance de fin du monde qu’on veut reconstruire et bâtir la côte d’ivoire moderne.

82

 

Il faut dans l’avenir proche et lointain gouverner avec des actes unificateurs et non avec des slogans farfelus de bazar, du genre : Unité nationale. Pays du dialogue. Décennie du développement. Côte d’Ivoire pays de paix. Côte d’Ivoire éléphants d’Afrique. Pour une nouvelle indépendance de la Côte d’ivoire. La Côte d’Ivoire, comme pays émergeant en l’an 2020. C’est incroyable que les politiciens ivoiriens aient un esprit aussi élevé de la courte vue.

Faut-il avoir de la considération pour un pays où la fonction de premier ministre est une fiction ? Quand on n’est pas capable de payer les salaires, quand on n’est pas capable de rendre les biens des citoyens pillés par sa propre soldatesque. Quand on n’est pas capable d’évacuer les eaux de pluie au carrefour de l’Indénié, comment fait-on pour être un pays émergent dans dix ans avec autant de casseroles et de béquilles qui quotidiennement tirent le pays vers le bas ?

Nous avons tous aujourd’hui horreur des dirigeants politiques rêveurs qui brassent du vent en cherchant à nous entraîner avec eux au fond de l’eau car ils ne savent pas nager. Tout le bon sens dont Dieu nous a dotés, nous oblige à refuser la noyade collective inutile pour plaire à un tyranneau des tropiques. Nos présidents persécuteurs, se comportent tous comme des aigles, qui après avoir déployé leurs ailes, se transforment rapidement en moineau pour redescendre très vite sur terre.

Ils croient tous aux rapports de forces, quand ils leurs sont favorables. Ils sont forts avec les faibles et faibles avec les puissants, c’est ainsi qu’ils s’imposent en politique. Que s’est-il passé pour que la Côte d’ivoire soit aujourd’hui un pays déprimé et les ivoiriens un peuple de zombies ?

 

 

 

Pourquoi le gouvernement et le régime du Dr Alassane Dramane Ouattara, n’arrivent t-ils pas à rassurer le peuple qu’ils veulent gouverner ? Pourquoi la réconciliation nationale a-t-elle échoué avant même de commencer ? Que fera le Dr Alassane Dramane Ouattara, le jour où les intérêts de son ancien pays le Burkina-Faso seront en conflit avec ceux du pays qu’il gouverne ?

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 Se faire aimer à Paris et ne pas réussir à se faire comprendre à Aboisso, n’est-il pas une forme d’incohérence ? Mais tout cela ne dit Absolument rien au Dr Alassane Dramane Ouattara. Les directeurs des sociétés d’état, les ministères les plus importants, les présidents des fédérations sportives et des grandes organisations nationales sont originaires du nord de la Côte d’ivoire. Et au besoin le président de l’union des jeunes de Krindjabo sera demain un Sénoufo et si cela ne vous plait pas allez-y vous pendre. Tel est le nouvel état d’esprit de la gouvernance ivoirienne en ces temps démocratiques.

Tel est le Dr Alassane Ouattara, libéral et liberticide, conservateur et affairiste, il déconstruit en voulant innover dans un pays fatigué par un long conflit dont-il fut le protagoniste. Faut-il lui rappeler cette phrase de Nicolas Boileau, dans les jugements : " ne songer qu’à soi et au présent est toujours source d’erreur en politique. "

Finalement ceux d’entre nous qui sont libres de leurs paroles, ceux qui comme nous ont eu à s’exprimer librement sous tous les régimes qui ont gouverné la Côte d’ivoire, de 1960 jusqu’à ce jour. Nous sommes aujourd’hui quelques uns à éprouver de la compassion, de la tendresse et de la pitié pour le Dr Alassane Dramane Ouattara.

 

 

 

De la tendresse pour celui qui veut diriger un pays se situant dans des temps qui n’existent pas encore. De la pitié pour lui et une partie des habitants piétinés et écrasés par la force brutale d’une milice au service d’un pouvoir liberticide. De la compassion enfin pour l’homme qui est rentré au palais présidentiel dans le but reconstruire une nation et qui par la coercition, le meurtre, des maladresses et une méfiance sans nom a monté sa propre opinion publique contre sa personne et son action politique. 


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Il croit pouvoir penser les blessures de la nation avec les fétiches de la puissance militaro-fasciste.

Oui, nous avons de la compassion pour le Dr Alassane Dramane Ouattara, car nous sommes convaincus qu’il n’échappera pas à lui-même. C’est justement pour cette raison que nous lui faisons don des sages paroles du vieux lion du Mali, le griot des griots feu Bassoumana Sissoko " Sanu nègèni wari nègèni."

Il s’adresse aux dirigeants et aux puissants pour leur dire qu’aucun pouvoir n’est éternel, qu’un seul homme ne peut régner du début à la fin du monde. Voilà pourquoi l’observateur attentif de la vie politique ivoirienne que nous sommes, souhaite simplement pour le bien de la Côte d’ivoire, que les gouvernants ivoiriens et le premier d’entre eux sortent du labyrinthe de la parodie de l’omnipotence, pour retrouver le chemin de l’humilité et du pardon pour reconstruire une Côte d’ivoire, viable et vivable pour tous les ivoiriens.

Tel est le message non courtisan et sans complaisance dont nous sommes porteurs en cette période du jeûne islamique vers le grand musulman pratiquant qu’est le Dr Alassane Dramane Ouattara.

Merci de votre aimable attention.

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Dr Serge-Nicolas NZI

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 Chercheur en Communication
Lugano (Suisse)

 

Contribution éditoriale, @Connectionivoirienne.net

 

 

 

Proposer par : lepetitfils Da  Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique

dcl-apres conf---

(Conformément aux dispositions de la Convention de Genève de 1951 (et protéger par l’article 33 de ladite convention) et de son protocole de 1967 relatif aux statuts de réfugiés, et de la convention de l’OUA de 1969

 

Et protéger par la ; «Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. 

 

Adoptée et ouverte à la signature, à la ratification et à l'adhésion par l'Assemblée générale dans sa résolution 39/46 du 10 décembre 1984 

Entrée en vigueur: le 26 juin 1987, conformément aux dispositions de l'article 27 (1) 

Article 3  

1. Aucun Etat partie n'expulsera, ne refoulera, ni n'extradera une personne vers un autre Etat où il y a des motifs sérieux de croire qu'elle risque d'être soumise à la torture. 

2. Pour déterminer s'il y a de tels motifs, les autorités compétentes tiendront compte de toutes les considérations pertinentes, y compris, le cas échéant, de l'existence, dans l'Etat intéressé, d'un ensemble de violations systématiques des droits de l'homme, graves, flagrantes ou massives.»

 

 

Contact :article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr 

 

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Voir aussi : www.legitimite-citoyenne.ceterblog.net  et www.lepetitfilsdacandy.webnode.fr

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30 juillet 2012 1 30 /07 /juillet /2012 15:43

Laurent-Gbagbo Alassane-Ouattara

Dans la crise ivoirienne il n'y a que des accusé d'avoir tué dont OUATTARA et GBAGBO, donc égalité de poursuite judiciaire s'impose a la Cour pénale internationale. c'est pourquoi Alassane ouattara n'est a sa place que sur le banc des accusés de la cour pénale internationale....

 

 

 

 

CHRONIQUE CITOYENNE: PAR DA CANDY LEPETITFILS LEADER DE LA LEGITIMITE CITOYENNE EN EXIL POLITIQUE...

 

 

La phrase glauque et visqueuse qui dit : « ce qui ont tuer et ce qui sont accusé de tuer ne peuvent être traité en égalité » est plus que trompeuse. D’autant plus que concernant la situation des crimes en côte d’ivoire il n’y a pas encore d’avéré criminels judiciairement établi, donc il n’y a que des accusés d’avoir tué dont ALASSANE OUATTARA. 

82 

 La création de  la cour pénale internationale à fait n’aitre un grand espoir pour toutes les victimes de crimes contre l’humanité, de meurtre, de viols, et d’autres violences sexuelles, d’actes de persécution et d’autres actes inhumains de par le monde et s’est avérée  essentiel dans la constitution d’un cadre judiciaire de droit international des droits de l’homme, du droit international humanitaire et du droit pénal international depuis son existence ou sa création. 

 

 

 

C’est pourquoi la cour pénale internationale a l’obligation d’admettre que : « Si GBAGBO a commis des crimes, OUATTARA a commis autant de crimes, si les FDS ont commis des crimes, le FN – FRCI ont commis autant de crimes, si des miliciens ont commis des crimes, les Dozos ont commis autant de crimes donc a crimes égaux justice égales pour les deux belligérants. Ouattara n’est à sa place que sur le banc des accusés de la cour pénale internationale au côté de son ennemi belligérant le président GBAGBO. »

16

La légitimité citoyenne comme tout les mouvements d’utilités citoyennes de par le monde, sont les témoins directs des effets dramatiques du recours aux crimes contre l’humanité, de meurtre, de viols, et d’autres violences sexuelles, d’actes de persécution et d’autres actes inhumains et de l’effet dévastateur de cette politique sur la protection des droits de l’homme dans le monde.  

 

 

 

 

Aujourd’hui, c’est l’impunité des chefs d’état en fonction dans  le cadre de violations des droits de l’homme et d’autres actes inhumains et dégradants » solidement documentées, portant atteinte tant aux normes de droits de l’homme que du droit pénal international, qui constitue une menace sur l’Etat de droit même dans nombres de pays y compris notre pays la côte d’ivoire sous la coupe d’une mafia internationale. 

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C’est la raison pour laquelle la juridiction internationale pénale doit soutenir les principes judiciaires fondant les relations internationales sur le droit et les obligations découlant du droit international général, du droit international pénal, du droit international des droits de l’homme, et du droit international humanitaire, en garantissant des enquêtes sérieuses sur « les crimes contre l’humanité, et d’autres actes inhumains et dégradants » lorsqu’il y a des informations crédibles concernant une procédure qui se trouve pendante sous la juridiction de la Cour pénale internationale et dont on a lieu de penser qu’un chef d’état en fonction même soutenu par une mafia internationale comme OUATTARA ALASSANE s’est rendu coupable de  crimes contre l’humanité, de meurtre, de viols, et d’autres violences sexuelles, d’actes de persécution et d’autres actes inhumains dégradant, d’expropriation terrienne, la cour pénale internationale, bien que orpheline parce que dépendante des bons vouloir des états défenseurs de leurs intérêts très souvent amorale et ostensiblement jaloux de leurs pseudo souverainetés, face a une juridiction facultative, doit avoir le courage de poursuivre tout criminels sous couvertures étatiques, même avec des mimiques des procureurs d’emblée décontenancé et confiné dans des gueulades médiatiques.

 

 

 

Parce que incontestablement, la doctrine de l’Etat de droit, du droit international pénal, du droit international des droit de l’homme et du droit international humanitaire pénal suppose que la loi s’applique à tous quels que soient leur origine et leurs statuts politiques y compris les chefs d’états en fonction. 

17La prohibition des crimes contre l’humanité, d’autres actes inhumains et dégradant, relevant d’une norme internationale parmi les plus élevées (ius cogens) faisant obligation de poursuite à toute juridictions nationale ; a toute juridiction internationale et a tous les Etats, de prendre les mesures nécessaires pour mettre un terme à ces violations de droits y compris en intervenant pour faire cesser l’impunité pour des actes de crimes contre l’humanité, et d’autres actes inhumains et des disparitions forcées, et de permettre que les victimes reçoivent les réparations et compensations qui leur sont dues, oblige la cour pénale internationale à inculper ici et maintenant ALASSANE OUATTARA comme coauteur indirect pour les crimes commis par les hommes qu’il a armés a dessein et qui ont commis autant de crimes que les supposés subordonnés de son ennemis belligérant GBAGBO LAURENT déjà déporter par les bon soins de la juridiction internationale pénale. D’autant plus que concernant la situation des crimes en côte d’ivoire il n’y a pas encore d’avéré criminels judiciairement établi, donc il n’y a que des accusés d’avoir tué dont GBAGBO ET OUATTARA. 

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 C’est pourquoi jusqu’a preuve du contraire, nous sommes convaincu que la religion de l’honorable juridiction pénale internationale ne saurait s’accommoder avec une justice sélective des vainqueur d’une crise qui a fait plus de cinq milles « 5000 » morts dont trois milles « 3000 » pour la seule période de crise postélectorale. Aussi SORO Guillaume «le petit-rebelle» dont la reddition au pied de OUATTARA au GOLF-hôtel est antérieur aux crimes postélectorales ne peut être poursuivi a quelques titres que ce soient en l’absence de son gourou de maitre ALASSANE OUATTARA qui, comme commandant en chef de ses hommes armés, assumait l’autorité de l’ensemble des opérations armées conduites pour sont installation au pouvoir

 

 

 

Ou SORO Guillaume «le petit-rebelle», les hommes armés FN-FRCI et les DOZOS prenaient exclusivement leur ordres auprès de OUATTARA en personne retrancher au GOLF hôtel, qui les a autorisées en toute connaissance de cause de chasser son ennemis LAURENT GBAGBO du pouvoir avec les armes et a approuvé la commission de ces actes, donc ne peut pas prétendre sanctionner les crimes, commis sous son ordre, constituent manifestement des formes de crimes contre l’humanité  et d’autres actes inhumains et dégradants.

Wattao[1]

Surtout que, ALLASANE OUATTARA n’a aucune possibilité aux yeux du droit international pénal,  du droit international des droit de l’homme et du droit international humanitaire, de prétendre ignorer les exactions et les tueries de ses fantassins partis de Bouaké pour conquérir le sud ivoirien par les armes contre le pouvoir GBAGBO et pour installer le pouvoir OUATTARA. 

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 Citoyen !!! Ouvrons les yeux, bien que dans la nasse soyons lucide pour pouvoir sortir la tête de l’eau mafieux, retient donc que :  « Si GBAGBO a commis des crimes, OUATTARA a commis autant de crimes, si les FDS ont commis des crimes, le FN – FRCI ont commis autant de crimes, si des miliciens ont commis des crimes, les Dozos ont commis autant de crimes donc a crimes égaux justice égales pour les deux belligérants. Ouattara n’est à sa place que sur le banc des accusés de la cour pénale internationale.

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CHRONIQUE CITOYENNE PAR : 

Lepetitfils Da candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique

conference

 

(conformément aux dispositions de la Convention de Genève de 1951 (et protéger par l’article 33 de ladite convention) et de son protocole de 1967 relatif aux statuts de réfugiés, et de la convention de l’OUA de 1969

 

Et protéger par la ; «Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. 

 

Adoptée et ouverte à la signature, à la ratification et à l'adhésion par l'Assemblée générale dans sa résolution 39/46 du 10 décembre 1984 

Entrée en vigueur: le 26 juin 1987, conformément aux dispositions de l'article 27 (1) 

Article 3  

1. Aucun Etat partie n'expulsera, ne refoulera, ni n'extradera une personne vers un autre Etat où il y a des motifs sérieux de croire qu'elle risque d'être soumise à la torture. 

2. Pour déterminer s'il y a de tels motifs, les autorités compétentes tiendront compte de toutes les considérations pertinentes, y compris, le cas échéant, de l'existence, dans l'Etat intéressé, d'un ensemble de violations systématiques des droits de l'homme, graves, flagrantes ou massives.»

 Michel dozos-web-dosso.jpg

 

Contact :article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr 

Voir aussi : www.legitimite-citoyenne.ceterblog.net  et www.lepetitfilsdacandy.webnode.fr

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18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 14:33

DACLEF chez DASSAUT

« Houphouët, Senghor, Modibo Keïta, N’krumah, Sékou Touré… ils n’ont pas pris les armes »

 

 

 

 

 ‘‘Le vrai bonheur on l’apprécie lorsqu’on la perdu’’ disait Félix Houphouët-Boigny aux Ivoiriens (1) et (2)

 

 

Par Ben Ismaël ; Chronique diplomatique

 

 

 

L'intelligent d'Abidjan - 25/6/2012 et du 09/07/2012

 

 

 

 

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

« Moi j’aime pas les gens qui comparent lesHouphouët, Senghor, Modibo Keïta, « Sékou Touré, » Hamani Diorià  ALASSANE OUATTARA ce petit-fils d’immigré mauritanien vendeur de tapis aux NABA en HAUTE VOLTA  aujourd’hui  BURKINA FASSO qui a su récupérer une frustration communautaire faite aux gens du nord « les gens aux grands Boubous » desquels il se réclame de façon éhonté, pour se hisser a la tête de l’état ivoirien pour se remplir les poches de biens publics, lui et sa fratrie pour assouvir un vieux dessein de domination sociopolitique par le bien matériel puiser dans les caisses de l’état, en espérant ainsi effacer un passé généalogique peut flatteur pour un mégalomane comme lui, j’aime pas les comparaison entre le vrai et l’ivraie… Un Sourâkâ-djôn de Mauritanie n’est pas un Mossi et un Mossi du Burkina ne peut être non plus un Sourâkâ-djôn de Mauritanie. C’est çà la vérité !!!»

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

 

 

Houphouët-Boigny de Côte d’Ivoire, Sedar Senghor du Sénégal, Sékou Touré de Guinée-Conakry, Modibo Keïta du Mali, Kwamé N’krumah du Ghana, Hamani Diori du Niger… n’ont jamais pris les armes en 1960 pour arracher l’indépendance de leurs pays au général Charles De Gaulle. Face à la France, où à la Grande-Bretagne, ils avaient leurs idées. Ils ont offert tout simplement leur savoir-faire, leur savoir-être, l’éducation et la morale, avec les mains nues.

 

 

 

Houphouët, Senghor, Modibo Keïta, Sékou Touré, Hamani Diori étaient des hommes d’Etat, qui avaient appris le métier politique depuis l’Assemblée constituante en France, après avoir imposé leurs forces immenses, intellectuelles et culturelles à la France. Prendre les armes n’était pas pour Senghor, Houphouët, Sékou Touré, Hamani Diori, Maurice Yaméogo, Modibo Kéïta, un modèle d’émancipation politique. Et pourtant, chacun de ces hommes d’Etat, a connu de terribles hostilités, face aux ‘’colons blancs’’.

 

 

 

 

 

Ils sont restés enthousiastes, parce qu’ils avaient un idéal pour l’indépendance de leur pays et dans la paix. Certes, en Côte d’Ivoire, il y a eu des morts à Bouaflé, au Centre-Nord et à Dimbokro, à Agboville au Sud de la Côte d’Ivoire, avec des emprisonnements des cadres et militants à Bassam, du parti politique, le PDCI-RDA ; mais Houphouët-Boigny n’a jamais pris les armes.

dcl-DASSAUT-B

A l’analyse, Senghor, Modibo Keïta, Sékou Touré, Maurice Yaméogo, Hamani Diori, avaient tout simplement pensé que les armes ou la violence n’a jamais été une accoucheuse d’histoire. Prendre les armes, n’était pas du tout un sujet passionnant au Sénégal, mêmes si Lamine Gueye, Mamadou Dia, Senghor étaient des adversaires politiques très farouches à Dakar. En Guinée-Conakry, les armes, ce n’était pas un sujet passionnant pour Sékou Touré, qui a tout simplement utilisé le courage politique en 1958, pour accéder à l’indépendance face au général français, Charles De Gaulle dans une magnifique manifestation de militants panafricains.

 

 

 

 

Aujourd’hui, je consacre ma chronique hebdomadaire à l’exemple de courage politique de ces pères des indépendances, parce que leurs ‘’héritiers’’ ne sont pas de véritables hommes politiques abonnés qu’ils sont à la violence, au tripatouillage de la Constitution, aux rébellions, pour accéder au pouvoir d’Etat. Les chefs d’Etat actuels pour construire leur succès au pouvoir, s’appuient sur le tribalisme, le régionalisme. Il est même singulier, que cette audacieuse option politique, conduise les chefs d’Etat actuels à un pouvoir, à durée illimitée. Des ‘’héritiers’’ qui font tout… tout seuls, décident seuls.

 

 

 

 

Gare à ceux qui s’indigneront parce qu’ils n’ont pas été associés. Des ‘’héritiers’’ peu démocrates qui ne veulent pas de débats ou de polémiques. Ce qui donne, moins de densité crédible à ceux qui ont succédé à Senghor, Houphouët-Boigny, Maurice Yaméogo, Hamani Diori, Sékou Touré, Modibo Kéïta. Des ‘’héritiers’’ qui, eux-mêmes à l’époque étudiants, universitaires, historiens intellectuels ou fonctionnaires à la Banque mondiale, au FMI, à l’Unesco, l’OMS se sont indignés du fait que le Sénégal, le Mali, la Côte d’Ivoire, la Guinée-Conakry, le Niger, soient dirigés par des partis uniques, sans enjeu démocratique, sans vision de développement.

 

 

 

 

Aujourd’hui, locataires des palais présidentiels, les ‘’héritiers’’ des pères des indépendances ont perdu leur esprit de rénovateurs. ‘’Des héritiers’’ bardés parfois d’honneurs universitaires eux qui voyaient tout facile ont des difficultés à ‘’corriger’’ ce qu’ils reprochaient aux pères des indépendances. Personnellement, je n’ai pas de soucis, lorsqu’il s’agit de dire la vérité. A cette lumière, je préfère les pères des indépendances.

 

 

 

 

Houphouët-Boigny, Sékou Touré, Maurice Yaméogo, Hamani Diori, Sédar Senghor étaient des hommes de grandes valeurs politiques qui se sont battus pour l’indépendance de la Côte d’Ivoire, de la Guinée-Conakry, de la Haute-Volta, du Sénégal, du Niger. Des pères des indépendances très engagés dans les voies de la vertu : « la nation et ses valeurs morales».

 

 

 

 

En Côte d’Ivoire, c’était le ‘’grand amour’’ pour Félix Houphouët-Boigny qui, dans ses recueils de pensée disait aux Ivoiriens : «Le vrai bonheur on ne l’apprécie que lorsqu’on l’a perdu». Un slogan d’une immense signification pédagogique africaine, sans idéologie politique. Senghor, Sékou Touré, Houphouët-Boigny, Maurice Yaméogo, Hamani Diori, Modibo Kéïta étaient des hommes politiques de culture et aux idéologies différentes. Mais, ils n’ont jamais pris les armes pour se déguiser en champions politiques.

 

 

 

 

Par Ben Ismaël ; Chronique diplomatique

 

 

L'intelligent d'Abidjan - 25/6/2012

 

 

commentaire de da candy lepetitfils

dcl-apres conf---

  « Moi j’aime pas les gens qui comparent lesHouphouët, Senghor, Modibo Keïta, « Sékou Touré, » Hamani Diorià  ALASSANE OUATTARA ce petit-fils d’immigré mauritanien vendeur de tapis aux NABA en HAUTE VOLTA  aujourd’hui  BURKINA FASSO qui a su récupérer une frustration communautaire faite aux gens du nord « les gens aux grands Boubous » desquels il se réclame de façon éhonté, pour se hisser a la tête de l’état ivoirien pour se remplir les poches de biens publics, lui et sa fratrie pour assouvir un vieux dessein de domination sociopolitique par le bien matériel puiser dans les caisses de l’état, en espérant ainsi effacer un passé généalogique peut flatteur pour un mégalomane comme lui, j’aime pas les comparaison entre le vrai et l’ivraie… »

 

 

 

 

DA candy lepetitfils :leader de la légitimité citoyenne exilé politique(conformément aux dispositions de laconvention de Genève de 1951 et de son protocole de 1967 relatif aux statuts de réfugiés,et de la convention de l’OUA de 1969

Et protéger par la ;«Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Adoptée et ouverte à la signature, à la ratification et à l'adhésion par l'Assemblée générale dans sa résolution 39/46 du 10 décembre 1984

Entrée en vigueur: le 26 juin 1987, conformément aux dispositions de l'article 27 (1)

Article 3

1. Aucun Etat partie n'expulsera, ne refoulera, ni n'extradera une personne vers un autre Etat où il y a des motifs sérieux de croire qu'elle risque d'être soumise à la torture.

2. Pour déterminer s'il y a de tels motifs, les autorités compétentes tiendront compte de toutes les considérations pertinentes, y compris, le cas échéant, de l'existence, dans l'Etat intéressé, d'un ensemble de violations systématiques des droits de l'homme, graves, flagrantes ou massives

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merci citoyen !!!

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(2)

‘‘Le vrai bonheur on l’apprécie lorsqu’on la perdu’’ disait Félix Houphouët-Boigny aux Ivoiriens (2)

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 Par Ben Ismaël ; Chronique diplomatique/ SOURCE : L’intelligent d'Abidjan - 9/7/2012 

Le président Félix Houphouët-Boigny, avait le goût des messages codés que les intellectuels, universitaires, biographes ivoiriens n’ont pu évaluer le contenu.

 

 

A quoi ressemble cette phrase : « le vrai bonheur on l’apprécie lorsqu’on l’a perdu ». Une simple émotion spirituelle de Félix Houphouët-Boigny qui exprimait au soir de sa vie politique le dégoût qu’il avait des comportements des Ivoiriens, et dont témoignent les évènements sociopolitiques qui secouent la Côte d’Ivoire : Des évènements atroces de l’histoire politique, que Félix Houphouët-Boigny a vu venir : le coup d’Etat militaire qui chasse Henri Konan Bédié du pouvoir le 24 décembre 1999. Le coup d’Etat manqué et la rébellion armée contre le pouvoir d’Etat de Laurent Gbagbo en septembre 2002.

 

 

 

La vision de Félix Houphouët-Boigny était très claire : il savait que les Ivoiriens se heurteront à une impasse logique, où il sera difficile d’imaginer les conséquences directes « Le vrai bonheur on l’apprécie lorsqu’on l’a perdu ». Une réflexion spirituelle, une émotion bien pensée qui, pendant plus de 30 ans avait été enseignée par Félix Houphouët-Boigny, appuyé par le concept du dialogue pour briser les murs de la haine, la vengeance, la revanche… des désagréments de comportements inutiles. Pendant plus de 30 ans, Félix Houphouët-Boigny avait travaillé sur le « vrai bonheur et averti les Ivoiriens, lorsque ce bonheur est perdu » en compagnie de ses disciples : Philippe Yacé, Mathieu Ekra, Coffi Gadeau, Mamadou Coulibaly, Konan Kanga, Alphonse Boni, Auguste Denise, Anoma Joseph. Des nobles politiciens qui avaient érigé la Côte d’Ivoire au rang des pays, candidat au prix Noble de la paix.

 

 

 

« Le vrai bonheur on l’apprécie lorsqu’on l’a perdu », on ne peut rien soustraire de cette pensée spirituelle de Félix Houphouët-Boigny, quand je regarde la Côte d’Ivoire et les Ivoiriens qui se ‘’cherchent’’. Ils ont perdu toute célébrité, sous les poids indiscernables de la guerre, de l’intolérance, le tout dans un anonymat économique, politique et diplomatique. « Le brai bonheur on l’apprécie lorsqu’on l’a perdu » Félix Houphouët-Boigny a eu raison : le dialogue, la tolérance, l’amour qui avaient rendu la Côte d’Ivoire glorieuse dans le monde, en Afrique et dans la sous-région ouest-africaine n’existent presque plus. Félix Houphouët-Boigny a eu raison. La Côte d’Ivoire se ‘’cherche’’. Mêmes les héritiers, disciples, successeurs politique ont perdu la noblesse et la courtoisie politique.

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« Le vrai bonheur on l’apprécie lorsqu’on l’a perdu ». Félix Houphouët-Boigny a eu raison. On ne sait plus sur quel concept idéologique politique’’ travaillent, héritiers, disciples, ou successeurs de Félix Houphouët-Boigny. A l’analyse, personne n’a compris le premier président de la Côte d’Ivoire, totalement oublié aujourd’hui. « Le vrai bonheur on l’apprécie lorsqu’on l’a perdu.» C’est chose faite : pas de dialogue politique. Les intellectuels, universitaires, historiens, n’ont pu évaluer le message codé de Félix Houphouët-Boigny. Voilà ce que je constate tous les jours depuis le décès de Félix Houphouët en décembre 1993. Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire connaît une nouvelle génération d’hommes politiques, intellectuels, en évolution.

 

 

 

Mais en réalité, cette nouvelle naissance est ratée. Parce que, cette nouvelle génération pense que son heure est arrivée et dire qu’ils sont héros, titulaires de doctorat d’Etat en économie, agrégés en philosophie, professeurs en histoire arabo-africaine, au point qu’ils disent savoir tout. Ils veulent plaire. Mais à qui ? La Côte d’Ivoire à une véritable histoire politique et la nouvelle génération d’hommes politiques doit faire appel à la scène fondatrice de l’histoire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire et ce morceau de texte civique de son hymne national. « Notre devoir sera d’être un modèle ».

 

 

 

Le président Félix, Houphouët-Boigny n’était ni un agrégé en grammaire, ni en sciences politiques. Mais ses valeurs d’hommes d’Etat, de dialogue, avait fait de la Côte d’Ivoire, une plaque tournante de la paix en Afrique. « Le vrai bonheur, on l’apprécie lorsqu’on l’a perdu » Félix Houphouët-Boigny savait avec autant de xxx dans le langage baoulé, ce qui allait bel et bien se passer des évènements douloureux qui menaçaient la Côte d’Ivoire. « Le vrai bonheur, on l’apprécie, lorsqu’on l’a perdu.»

 

 

 

Chaque lettre de cette pensée spirituelle a prouvé que Félix Houphouët-Boigny était un grand homme d’Etat, doté d’une authentique littérature pensée africaine, surtout de l’ethnie Akan et du langage baoulé.

 

Par Ben Ismaël ; Chronique diplomatique 

 

 

commentaire de Lepetitfils Da candy

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  Lepetitfils Da Candy: Leader de la légitimité citoyenne exilé politique(conformément aux dispositions de la Convention de Genève de 1951 (et protéger par l’article 33 de ladite convention) et de son protocole de 1967 relatif aux statuts de réfugiés, et de la convention de l’OUA de 1969

Et protéger par la ; «Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

 

Adoptée et ouverte à la signature, à la ratification et à l'adhésion par l'Assemblée générale dans sa résolution 39/46 du 10 décembre 1984 

Entrée en vigueur: le 26 juin 1987, conformément aux dispositions de l'article 27 (1) 

Article 3  

 

1. Aucun Etat partie n'expulsera, ne refoulera, ni n'extradera une personne vers un autre Etat où il y a des motifs sérieux de croire qu'elle risque d'être soumise à la torture. 

 

2. Pour déterminer s'il y a de tels motifs, les autorités compétentes tiendront compte de toutes les considérations pertinentes, y compris, le cas échéant, de l'existence, dans l'Etat intéressé, d'un ensemble de violations systématiques des droits de l'homme, graves, flagrantes ou massives 

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dcl-DASSAUT-BDACLEF chez DASSAUT

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18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 13:38

GBAGBO

PROPOSER par Lepetitfils Da Candy leader de la legitimite citoyenne en exil politique forcé

 

 

Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

 

Côte-d’Ivoire-Retour sur l’élection calamiteuse de Laurent Gbagbo en octobre 2000

 

Un mois mouvementé en attendant le clash final

 

6 octobre 2000 : et les candidats retenus par Cour suprême pour la présidentielle sont … Robert Gueï, Laurent Gbagbo, Théodore Mel Eg, Nicolas Dioulo, Francis Wodié.

 

Cherchez Ouattara. Cherchez aussi un candidat du PDCI. Bédié s’était déclaré candidat et avait, comme Ouattara, fait déposer un dossier.

 

Le lendemain, les Etats-Unis suspendent leur aide à la préparation des élections en raison de la décision de la Cour suprême d’exclure 14 des 19 candidats. A contrario, la France, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, Hubert Védrine, estime que « l’élection à venir est légale car elle est conforme à la Constitution ivoirienne ». Tellement « légale » que la junte avait dû instaurer le couvre-feu pour annoncer le nom des heureux gagnants de cette parodie d’élection à venir.

 

Le secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan, fait dire qu’il « déplore vivement les restrictions ainsi portées au libre choix des électeurs ivoiriens ».
Finalement, l’Union européenne suspendra elle aussi – et donc la France – son assistance financière à la présidentielle.

 

8 octobre 2000 : exercice de style genre faux-cul réussi avec brio par Gueï qui déclare : « J’aurais souhaité certes qu’il y ait plus de candidatures, plus de candidats pour que la démocratie puisse être une réalité, mais avec cinq déjà je crois que la démocratie n’a pas perdu la bonne route. »

 

9 octobre 2000 : les généraux Lassana Palenfo et Abdoulaye Coulibaly, toujours réfugiés à l’ambassade du Nigeria à Abidjan, écrivent à Gueï : « Contrairement à ce que tu affirmes, ta candidature et ta volonté d’écarter celles des autres est le problème majeur de la Côte d’Ivoire

aujourd’hui. Toute autre considération n’est que diversion. Si demain notre pays brûle, tu en seras le premier responsable. »

 

11 octobre 2000 : un groupe de « barons » et députés du PDCI officialise son ralliement à Gueï. Polémique sur leur nombre exact.

 

 

19 octobre 2000 : Gueï assure qu’il reconnaîtra sa défaite s’il est vaincu et remettra le pouvoir. Les Imams demandent aux musulmans « de rester chez eux le jour du vote ».

 

La BCEAO porte plainte contre l’Etat ivoirien

L'afrique de l'ouest est mal parti

La Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) a décidé de porter plainte contre l’Etat ivoirien, pour le “préjudice” subi lors de l’intervention de la gendarmerie ivoirienne dans les locaux de son agence à Abidjan, a annoncé le vice-gouverneur de la BCEAO, Justin Damo Baro.

 

Des gendarmes sont intervenus le 13 octobre dans les locaux de la BCEAO à Abidjan, dans le cadre d’une enquête sur des détournements de fonds sous le régime du président déchu Henri Konan Bédié.

 

Un haut fonctionnaire de la banque avait alors considéré cette “intrusion” comme “une violation des textes”, la BCEAO étant “protégée au même titre que les représentations diplomatiques par la convention de Vienne”.

 

Laurent Gbagbo accède à la présidence dans les pires conditions

Le socialiste Laurent Gbagbo, candidat à l’élection présidentielle du 22 octobre, a finalement été reconnu vainqueur de ce scrutin par le président de la chambre constitutionnelle de la cour suprême, Tia Koné, récupérant sa « victoire » grâce à la rue. Mais à quel prix !

 

 

Si les manifestations de rue ont pu être considérées comme légitimes au regard du dernier coup de poker qu’avait voulu jouer le général Gueï pour se maintenir au pouvoir, que dire de ces chasses à l’homme sanglantes, orchestrées selon toute vraisemblance par le Front populaire ivoirien, le FPI, parti d’obédience « socialiste » que contrôle totalement le nouveau président ?

 

 

Une fois sa victoire acquise par les urnes – mais peut-on parler de victoire lorsque plus de la moitié de la population a boudé ce scrutin ? – Laurent Gbagbo a voulu étouffer dans l’œuf toute tentative de remise en cause de sa légitimité. Comme d’autres « présidents » avant lui, une méthode à la Eyadéma du Togo, à la Henri Konan Bédié en 1995, à la seule différence de taille, c’est que ces gens de pouvoir, au moment où ils lançaient la répression contre les contestataires, avaient la mainmise sur les forces de sécurité. Dans la Côte d’Ivoire de ce mois d’octobre 2000, pour écraser la demande des sympathisants de l’ancien Premier ministre, Alassane Ouattara, qui réclamaient la reprise des élections avec leur candidat « naturel », le FPI a lancé dans la rue des gens que, sous d’autres cieux et en d’autres temps, l’on appellerait bien volontiers des nervis.

 

Des militants politiques abreuvés depuis des mois d’un discours xénophobe irrationnel

 

Pour qui a connu l’époque du Front républicain, époque où le FPI de Gbagbo et le Rassemblement des républicains (RDR) de Ouattara luttaient la main dans la main pour dénoncer la démocratie de façade qu’ils subissaient, d’élections truquées en élections truquées, ce qu’on a pu entendre et voir à Abidjan ces derniers jours donne à désespérer de la politique.

 

« Burkinabè, on veut pas! », criait les gros bras du FPI dans les rues d’Abidjan. lançant ailleurs, « On va les tuer ». « Scènes de chasse à l’homme », a résumé le titre d’une dépêche de l’AFP.

 

A la veille du scrutin du 22 octobre, Laurent Gbagbo déclarait : « Au FPI, nous avons estimé que le poste de président de la République n’est pas un poste pour des retraités hauts fonctionnaires d’autres pays… Ce n’est pas une prise de position contre un musulman, contre un homme du nord », allusion évidente aux origines burkinabè d’Alassane Ouattara. Et d’ajouter : « Les socialistes ne sont pas laxistes, ils sont aussi patriotes ».

Le résultat de tel propos ? Gourdins et machettes en mains, les « Fpéistes », appuyés par la gendarmerie, ont pourchassé tout ce qui ressemblait à un « Dioula », les ressortissants du Nord, région d’origine de M. Ouattara.

 

Si le patriotisme doit en passer par là, il y a tout lieu de se demander ce que peut bien vouloir encore signifier l’ »internationale socialiste ». « Qu’un sang impur abreuve nos sillons », ont chanté et chantent encore des milliers de petits (ou grands) Français, sans trop comprendre le sens des paroles de leur hymne national. En côte d’Ivoire, après le cours de musique, les apprentis nationalistes sont passés à la pratique, sans la surveillance du maître d’école.

 

Et comme un peu partout, la masse assimile très vite « l’étranger » à celui qui est différent : du Burkinabé musulman, on glisse au Dioula ivoirien musulman, puis au « nordiste », tout simplement.

 

Un président de la République se devant par définition, de se mettre, une fois élu, au-dessus des partis, Laurent Gbagbo devra très rapidement faire montre de « gestes forts », voire même « très forts », pour ressouder la population ivoirienne. A défaut, il risquera de demeurer le « président » d’un groupe ethnico-régional, dont tous ceux qui ne se reconnaissent pas en lui attendront le départ, d’une manière ou d’une autre.

 

L’armée ivoirienne étant aujourd’hui à l’image de la population, c’est dire très divisée, on comprend dès lors, pourquoi, dans son discours d’investiture, le 26 octobre, le nouveau président s’est empressé de déclarer que sa que sa priorité serait « la refondation du système de défense et de sécurité pour réconcilier le peuple avec son armée ». Peut-être aussi avec les hommes politiques ?

 

Ces quelques jours où tout a failli basculer dans la guerre civile

masse-popu

 

Dimanche 22 octobre : jour de l’élection présidentielle, après dix mois de transition militaire.
Les deux principaux candidats sont le général Robert Gueï et le leader socialiste Laurent Gbagbo.
Deux grands partis, le Rassemblement des Républicains (RDR) et le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) avaient appelé au boycottage.

 

Lundi 23 : les derniers résultats publiés par la Commission nationale électorale (CNE) et portant sur 7,8 % des inscrits créditent Laurent Gbagbo de 51,35 % des suffrages contre 40,40 % au général Gueï.

Laurent Gbagbo présente ses propres résultats, portant sur plus de la moitié des inscrits et qui le créditent de 61,67 % des suffrages.

 

Dans l’après-midi, des militaires investissent pendant plus d’une heure les locaux de la CNE, en interdisant l’accès aux journalistes. Dans la soirée, la gendarmerie et l’armée dispersent à coups de grenades lacrymogènes et de matraques quelques centaines de militants du Front populaire ivoirien (FPI) de M. Gbagbo à Abidjan.

 

Mardi 24 : en début d’après-midi, des militaires interviennent à la CNE et conduisent sous escorte son président, Honoré Guié, auprès du général Gueï.

 

Le ministre de l’Intérieur annonce la dissolution de la CNE et la victoire du général Gueï avec 52,72 % des suffrages.

 

M. Gbagbo, dont le parti avait mis en place un décompte parallèle, se déclare vainqueur et “chef de l’Etat” et appelle ses partisans à descendre massivement dans les rues, partout en Côte d’Ivoire.

 

Le général Gueï se proclame “premier président de la deuxième République”.

 

Des milliers de manifestants descendent dans les rues à Abidjan, aux cris de “Gueï, voleur”. Neuf personnes sont tuées lors de la répression par la Garde présidentielle, annonce le FPI. De nombreuses manifestations ont aussi lieu dans plusieurs grandes villes de province.

 

La junte instaure un couvre-feu et l’état d’urgence dans la soirée.

 

Le ministre français des Affaires étrangères, Hubert Védrine, déclare : “Nous assistons à une tentative de coup de force. La France ne l’acceptera pas, ni l’Union européenne, et en tirera les conséquences”.

 

Les Etats-Unis dénoncent la proclamation de la victoire du général Gueï.

 

Mercredi 25 : plusieurs centaines de milliers de civils descendent dans les rues pour exiger la reconnaissance de la victoire de M. Gbagbo. De très violents affrontements les opposent à la garde rapprochée du général Gueï, mais la gendarmerie se rallie peu à peu aux manifestants.

 

Le ministre de la Communication, le capitaine de frégate Henri Sama, annonce qu’il démissionne de la junte et qu’il reconnaît la victoire de M. Gbagbo.
Laurent Gbagbo réaffirme être le vrai président élu et remercie ses troupes sur les ondes de la radio et de la télévision nationales. Il annonce la prochaine formation d’un gouvernement.

 

Dans la soirée, la présidence tombe aux mains de forces de sécurité ralliées aux manifestants.

 

Le chef d’état-major de l’armée, le général Soumaïla Diabakate, déclare que tous les corps d’armée se sont mis “à la disposition” de M. Gbagbo.
Le président sud-africain Thabo Mbeki appelle à de nouvelles élections.

 

Le RDR réclame un nouveau scrutin “avec la participation de tous les candidats”.

 

Jeudi 26 : des affrontements d’une extrême violence entre militants nordistes musulmans partisans du RDR et militants sudistes du FPI font plusieurs dizaines de tués. Une quarantaine de morts sont recensés à Abidjan. Les affrontements se traduisent par l’attaque de plusieurs mosquées et des jets de pierre contre des églises.

 

Le ministre de la Sécurité annonce que le couvre-feu est prolongé jusqu’au 28 octobre et l’état d’urgence instauré et que les forces de sécurité sont déployées sur l’ensemble du territoire.

 

La CNE proclame la victoire de Laurent Gbagbo, élu président de la République au premier tour avec 59,36 % des suffrages.

 

Le général Mathias Doué, numéro 2 de l’ancienne junte, rencontre Alassane Ouattara dans la résidence de l’ambassadeur d’Allemagne à Abidjan où il a dû se réfugier, des militants du FPI et des gendarmes ayant tiré sur son domicile, dans le quartier de Cocody, à Abidjan.

 

La France demande “la tenue, selon le calendrier prévu, des élections législatives”, entérinant la “victoire” de Gbagbo.

 

 

Le président de l’OUA, le Togolais Gnassingbé Eyadéma, annonce vouloir réunir le “Comité des dix” de l’OUA, souhaite la tenue d’une nouvelle présidentielle et déclare que son pays est prêt à accueillir le général Gueï.

 

Le FPI et le RDR lancent un appel commun au calme et annoncent une prochaine rencontre entre MM. Gbagbo et Ouattara.

 

Le secrétaire général de l’ONU Kofi Annan appelle à la tenue de nouvelles élections pour mettre fin aux violences.

 

Vendredi 27 : le président Laurent Gbagbo forme son premier gouvernement qui compte 23 membres dont 17 de son parti le Front populaire ivoirien (FPI) et 6 appartenant à d’autres partis.
Le Premier ministre, chef du gouvernement, chargé de la planification et du développement nommé le matin, est Affi N’Guessan.

 

M. Gbagbo a fait entrer dans son gouvernement quatre ministres du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, au pouvoir de 1960 au coup d’Etat du 24 décembre dernier).

 

Le Parti ivoirien des travailleurs (PIT), dont le dirigeant Francis Wodié était candidat à la présidentielle du 22 octobre, a obtenu deux portefeuilles. Les 17 autres ministres sont membres du FPI.

 

Le Rassemblement des républicains, (RDR) d’Alassane Ouattara qui avait été consulté par M. Gbagbo sur la formation de ce gouvernement refuse de participer à ce cabinet.

 

Découvert d’un charnier à Yopougon. Les corps de 40 à 50 personnes tuées par balle sont découverts près d’Abidjan, dans le quartier de Yopougon. Un survivant met en cause les forces de l’ordre. Les corps, apparemment tous d’hommes jeunes, présentent des traces de blessures par balles.

 

Le Premier ministre français Lionel Jospin estime qu’il “revenait aux Ivoiriens de décider” d’une nouvelle élection présidentielle, tout en soulignant que si on ne respectait pas le résultat de l’élection passée, “on risquerait de se trouver sans pouvoir”.

 

Le RDR fait un premier bilan des violences ethno-politiques : quelque 155 morts.

 

Samedi 28 : le président togolais Gnassingbé Eyadéma, président en exercice de l’OUA, nuance ces propos et déclare à Paris, à l’issue d’un déjeuner avec le président Chirac, que si le gouvernement formé par le président Gbagbo “convient aux Ivoiriens”, il faut “les accompagner”.

 

Les nouveaux ministres de l’Intérieur, Emile Boga Doudou, de la Défense Moïse Lida Kouassi, et de la Justice, Siene Oulaï, ainsi que le procureur d’Abidjan, se rendent sur les lieux du charnier découvert la veille, et exprime leur “indignation, au nom du président la République”.

 

Le RDR demande la création d’une commission d’enquête internationale sur les violences.

 

Dimanche 29 : le domicile d’Alassane Ouattara est transformé en hôpital de fortune où affluent des dizaines de blessés dont certains sont demeurés pendant deux jours avec leurs balles dans le corps.

 

Le retour au calme, après une première nuit sans couvre-feu depuis le 24 octobre se confirme.

Le gouvernement se déclare favorable à l’ouverture d’une enquête internationale, sur le charnier découvert vendredi 27.

Lundi 30 : les Etats-Unis se déclarent prêts à travailler avec le nouveau président Laurent Gbagbo, tout en souhaitant la tenue de nouvelles élections présidentielles. “Nous pensons qu’il faut premièrement tenir les élections législatives prévues (le 10 décembre) et deuxièmement avoir une élection présidentielle libre, équitable et ouverte à tous”, déclare le porte-parole du département d’Etat, Richard Boucher.

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L’appel américain à une nouvelle élection présidentielle est relayé par les présidents sud-africain et nigérian, Thabo Mbeki et Olusegun Obasanjo. Dans un communiqué, les deux présidents déclarent que “les intérêts du peuple ivoirien pourront être mieux servis, si de nouvelles élections présidentielles étaient organisées à une date acceptée par tous les partis politiques”.

 

 

Laurent Gbagbo forme son premier gouvernement en attendant les législatives

Le président Laurent Gbagbo a formé vendredi 27 octobre son premier gouvernement qui compte 23 membres dont 17 ministres de son parti, le Front populaire ivoirien (FPI), quatre du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, au pouvoir de 1960 au coup d’Etat du 24 décembre dernier) et deux du Parti ivoirien des travailleurs (PIT), dont le dirigeant Francis Wodié était candidat à la présidentielle du 22 octobre.

 

 

Le Premier ministre, chef du gouvernement, chargé de la planification et du développement est Affi N’Guessan.

Le Rassemblement des républicains, (RDR) d’Alassane Ouattara qui avait été consulté par M. Gbagbo sur la formation de ce gouvernement n’a pas voulu y prendre part.

 

 

Le président Gbagbo procédera à un remaniement gouvernemental après les élections législatives prévues le 10 décembre, a annoncé le porte-parole du nouveau gouvernement, Mamadou Koulibaly, à la télévision ivoirienne. “Le président a proposé un forum national avec toutes les religions pour discuter comment construire la nation. Les principes de base sont que la Constitution n’est pas à remettre en cause et que l’élection n’est pas à refaire”, a-t-il dit. Le porte-parole a enfin indiqué que les premiers objectifs du gouvernement étaient que “l’armée regagne sa fonction principale, regagne la caserne”.

 

 

Affi N’Guessan, le nouveau Premier ministre

M. Affi N’Guessan, Premier ministre, qui était directeur de campagne de M. Gbagbo, est âgé de 47 ans. Il était ministre du Tourisme dans le gouvernement de transition du général Robert Gueï.

Ingénieur des Télécommunications, M. N’Guessan, qui est de l’ethnie agni (groupe akan), est originaire de Bongouano, à environ 200 KM, à l’Est d’Abidjan, dans la région du N’Zi Como.

Marié et père de cinq enfants, M. N’Guessan est le frère cadet de M. Kouamé Oi Kouamé Bernard, maire de la ville d’Arrah, qui avait démissionné du PDCI-RDA, l’ex-parti au pouvoir, en janvier dernier, pour adhérer au RDR de Ouattara.

 

 

Le gouvernement de Côte d’Ivoire, formé le 27 octobre 2000

Président : Laurent Gbagbo

Premier ministre, chef du gouvernement, chargé de la planification et développement : Affi N’Guessan (FPI)
Ministres d’Etat
Affaires étrangères : Aboudramane Sangaré (secrétaire général du FPI)
Intérieur et décentralisation : Emile Boga Doudou (2e secrétaire général adjoint du FPI)
Défense et protection civile : Moïse Lida Kouassi (FPI)
Ministres
Economie et Finances, porte-parole du gouvernement : Mamadou Koulibaly (FPI)
Justice et Liberté publique : Siene Oulaï (FPI)
Enseignement supérieur et recherche scientifique : Sery Bailly (FPI)
Education nationale : Michel Nguessan Amani (FPI)
Travail, fonction publique, et réforme administrative : Hubert Oulaï (FPI)
Mines et énergie : Léon Emmanuel Monnet (FPI)
Santé : Raymond Abouo N’Dori (FPI)
Agriculture et ressources animales : Alfonse Douaty (FPI)
Infrastructure économique : Patrick Achi (PDCI)
Commerce et industrie : Bohoun Bouabré (FPI)
Tourisme et artisanat : Odette Sauyet Lilikouet (présidente de l’organisation des femmes du FPI)
Construction et urbanisme : Assoa Adou (FPI)
Transport : Aimé Kabran Appiah (PIT)
Sécurité sociale et solidarité nationale : Clotilde Ohouochi (PDCI)
Culture et communication : Dramane Koné (FPI)
Environnement, eau et forêt : Angèle Boka (PIT)
Famille, femme et enfant : Henriette Lagou PDCI
Jeunesse : Danon Djédjé (FPI)
Sport : Geneviève Bro Grebé (PDCI)
haut

 

 

Les réactions internationales

nos condoleances à vos pouvoirs Messieurs les Présidents

Thabo Mbeki et Olusegun Obasanjo pour de nouvelles élections en Côte d’Ivoire
Le président sud-africain, Thabo Mbeki et son homologue nigérian Olusegun Obasanjo ont lancé un appel commun pour de nouvelles élections présidentielles en Côte d’Ivoire. Dans un communiqué rédigé après une conversation téléphonique, les deux présidents déclarent que “les intérêts du peuple ivoirien pourront être mieux servis, si de nouvelles élections présidentielles étaient organisées à une date acceptée par tous les partis politiques» . Ils ont également demandé la formation d’un gouvernement d’unité nationale pour conduire le pays jusqu’à de nouvelles élections et afin d’empêcher de nouvelles violences.

 

 

L’Union Européenne appelle les Ivoiriens au respect des droits de l’homme

L’Union européenne a appelé, dans une déclaration de sa présidence française, tous les Ivoiriens au respect des droits de l’homme. “L’Union européenne qui a exprimé sa grave préoccupation devant les violences récentes, suivra avec une attention toute particulière les enquêtes diligentées sur le massacre de Yopougon à Abidjan”, indique un communiqué de l’UE qui prend note de la volonté du gouvernement ivoirien de faire la lumière sur ce massacre.

 

 

Washington prêt à travailler avec Gbagbo, mais veut de nouvelles élections

Les Etats-Unis se sont déclarés prêts à travailler avec le nouveau président, tout en souhaitant la tenue de nouvelles élections présidentielles. “Nous pensons qu’il faut premièrement tenir les élections législatives prévues (le 10 décembre) et deuxièmement avoir une élection présidentielle libre, équitable et ouverte à tous”, a affirmé le porte-parole du département d’Etat, Richard Boucher. L e porte-parole américain a réaffirmé que la présidentielle du 22 octobre, qui a vu la victoire de Laurent Gbagbo sur le chef de la junte militaire qui avait pris le pouvoir en décembre, le général Robert Gueï, avait été “faussée” en raison de l’élimination de candidats importants.
La tenue des élections législatives le 10 décembre dans de bonnes conditions sera “un pas important pour créer les conditions pour une élection présidentielle libre, honnête et ouverte à tous, dans laquelle tous les Ivoiriens pourront faire entendre leur voix”. Les Américains qui voyagent se voient toujours conseiller d’éviter la Côte d’Ivoire.

 

 

L’OUA, “gravement préoccupée”, lance un appel au calme

L’Organisation de l’unité africaine (OUA), qui s’est dit “gravement préoccupée”, a appelé le peuple et les responsables politiques ivoiriens à garder le calme.
En outre, l’organisation panafricaine demande aux mêmes responsables politiques de la Côte d’Ivoire de “créer les conditions propices au rétablissement rapide des institutions démocratiques dans le pays afin de satisfaire les aspirations profondes du peuple de la Côte d’Ivoire”. L’OUA n’avait pas envoyé d’observateurs pour suivre le déroulement de l’élection présidentielle.

 

 

Lionel Jospin : “c’est aux Ivoiriens de décider” d’une nouvelle présidentielle

Le Premier ministre français Lionel Jospin a estimé qu’il “revenait aux Ivoiriens de décider” d’une nouvelle élection présidentielle, tout en soulignant que si on ne respectait pas le résultat de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, “on risquerait de se trouver sans pouvoir”.

 

 

“Il y a eu une élection dans un contexte particulier puisque certains candidats ont été écartés, mais elle s’est produite et les résultats semblent montrer que celui qui l’a emporté (Laurent Gbagbo) l’a emporté largement et a recueilli une légitimité”, a-t-il indiqué. “Si on ne partait pas de ce point de départ, on risquerait de se trouver en Côte d’Ivoire aujourd’hui sans pouvoir pour poser les problèmes de la démocratie, des élections législatives voire la question de l’élection présidentielle elle-même”, a ajouté le chef du gouvernement. “Mais, c’est aux Ivoiriens d’en décider”, a-t-il dit.

 

 

Evoquant l’opposition entre les communautés ivoiriennes, M. Jospin a ajouté qu’”il n’avait pas une approche ethnique de la vie politique”.

 

 

Gnassingbe Eyadéma : “si cela convient aux Ivoiriens”, il faut “les accompagner”

 

 

Le président togolais Gnassingbé Eyadéma, président en exercice de l’OUA, a déclaré, à l’issue d’un déjeuner avec Jacques Chirac, que si le gouvernement formé par Laurent Gbagbo “convient aux Ivoiriens”, il faut “les accompagner”. Le président togolais s’était auparavant prononcé, au nom de l’OUA, en faveur de nouvelles élections présidentielles en Côte d’Ivoire. Comprenne qui pourra.

 

 

Le président togolais n’a pas confirmé si le “comité des 10” de l’OUA (Togo, Afrique du Sud, Algérie, Burkina Faso, Djibouti, Gabon, Ghana, Mali, Nigeria et Sénégal) allait prochainement se réunir. Le “Comité des dix” a été mandaté par le 36e sommet de l’OUA en juillet dernier à Lomé, et a fait des recommandations destinées à encourager le processus de démocratisation en Côte d’Ivoire.

 

 

Le Parti socialiste français derrière Gbagbo, la droite réclame de nouvelles élections

 

 

Après avoir exigé d’une même voix le départ du général Gueï, les partis politiques français ont marqué leur différence sur l’issue du scrutin présidentiel en Côte d’Ivoire, les socialistes se plaçant d’emblée derrière Laurent Gbagbo, la droite appelant à de nouvelles élections.

 

 

Le Parti socialiste a publié dès mercredi 25 un communiqué souhaitant à Laurent Gbagbo toute la “réussite nécessaire pour mettre la Côte d’Ivoire sur les rails de la démocratie”, “si les résultats définitifs confirment sa victoire”.

 

 

Le premier secrétaire du PS François Hollande, avait appelé “la France, l’Europe et l’ensemble des grands pays à faire pression” et à dire : “cela suffit, il y a un vainqueur, il faut qu’il soit président”.

 

 

Le PCF qui avait déploré “l’absence d’une véritable pluralité de candidatures”, n’a pas fait de commentaire depuis.
Pour le RPR, le parti du président Chirac, l’issue du scrutin est loin d’être tranchée. Sa présidente Michèle Alliot-Marie a demandé que de nouvelles élections soient organisées, faisant valoir que les dernières étaient “sujettes à caution puisque 80 % des Ivoiriens n’étaient pas représentés en raison de l’absence des principaux candidats”.

 

 

L’Internationale socialiste salue Gbagbo

Le président de l’Internationale socialiste (IS), Antonio Guterres, Premier ministre portugais, a salué “fraternellement” le président élu Laurent Gbagbo, à l’issue de la proclamation officielle des résultats. Antonio Guterres a invité Gbagbo, son “compagnon de lutte commune pour la démocratie et la justice sociale”, à participer à la prochaine réunion du Conseil de l’IS qui aura lieu les 10 et 11 novembre à Maputo (Mozambique).

 

 

Annan appelle à de nouvelles élections

Le secrétaire général de l’ONU Kofi Annan a appelé le 26 octobre à la tenue de nouvelles élections pour mettre fin aux violences. M. Annan “pense qu’il existe maintenant une possibilité de mettre en place un processus politique démocratique qui permettra au peuple de Côte d’Ivoire d’élire librement ses représentants”, a dit le porte-parole de l’ONU Fred Eckhard.haut

depuis des siecles l'afrique brule

Portrait
Laurent Gbagbo, “l’opposant historique”

Laurent Gbagbo, 55 ans, président du Front populaire ivoirien (FPI, socialiste), vainqueur de l’élection présidentielle du 22 octobre, reste avant tout le symbole “historique” de l’opposition au régime de parti unique de Félix Houphouët-Boigny. Professeur d’histoire-géographie, originaire de l’ouest du pays, il se fait remarquer dès le début des années 1970 par un enseignement jugé “subversif” et son engagement dans un syndicalisme d’opposition au régime. En 1971, il est incorporé de force pendant près de deux ans, “emprisonné” dans un camp militaire où il aura pour instructeur un certain capitaine Robert Gueï. (on le plaint !) Il milite avec les enseignants syndicalistes et mène une fronde contre le régime au début des années 1980. En 1982, accusé d’être la figure de proue d’un “complot des enseignants” après avoir fondé clandestinement ce qui deviendra le FPI, il décide de s’exiler à Paris, où il obtiendra le statut de réfugié politique. Il ne regagne la Côte d’Ivoire qu’en 1988, pour participer au congrès constitutif de son parti, alors clandestin. Ce n’est qu’en mai 1990, lors de l’instauration officielle du multipartisme, qu’il peut se jeter ouvertement dans la bataille politique. Député à l’Assemblée nationale, il est en 1990 seul candidat à l’élection présidentielle contre le président Félix Houphouët-Boigny, qui règne sans partage depuis l’indépendance en 1960. Il obtient 11 % des voix, alors que le reste de l’opposition de gauche avait décidé de boycotter le scrutin. Son charisme et ses talents d’orateur, tout comme l’importance de son parti, vont faire de lui un véritable leader de l’opposition. En 1992, alors qu’il conduit des manifestations contre les interventions violentes de l’armée sur les campus, il est à nouveau emprisonné pour six mois, sur ordre d’Alassane Ouattara, alors Premier ministre. En 1995, son parti s’allie avec le Rassemblement des républicains (RDR, libéral) créé l’année précédente, dans un “Front républicain”, qui organise le “boycott actif” de la présidentielle de 1995. Mais le “Front républicain” éclate en 1999, peu après l’entrée en politique d’Alassane Ouattara, élu président du RDR. Après le putsch de décembre 1999, FPI et RDR entrent au gouvernement. Le parti de M. Gbagbo durcira rapidement le ton contre son ancien allié, développant un discours nationaliste contre “celui qui s’est découvert Ivoirien à l’âge de 40 ans” et s’alliant au Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), l’ex-parti au pouvoir, pour militer contre la candidature de M. Ouattara. Son silence face aux dérapages du régime militaire a suscité des critiques et à la veille de l’élection présidentielle, le FPI est le seul parti encore au “gouvernement de transition”. Après la décision de la Cour suprême d’invalider les candidatures de Ouattara et des candidats du PDCI, Gbagbo s’est retrouvé seul face au général Robert Gueï, dans la course à la présidence.

 

 

 

Gbagbo en quelques dates

Né le 31 Mai 1945 à Gagnoa
École Primaire à Agboville et à Gagnoa
Certificat d’Etudes Primaires, en juin 1958 à Gagnoa
Petit Séminaire St-Dominique Savio, à Gagnoa, de la 6ème à la 3ème
BEPC, en juin 1962
De 1962 à 1965, Lycée classique d’Abidjan
Juin 1965 : Baccalauréat (Série Philosophie)
Après Propédeutique à Abidjan, il s’inscrit à l’Université de Lyon en France, en Lettres classique mais n’achèvera pas son cycle
De retour en Côte d’Ivoire, Il passe une Licence d’Histoire, en juin 1969
Retour en France, à la Sorbonne pour une Maîtrise d’Histoire en juin 1970
En 1970 : professeur d’Histoire et de Géographie au Lycée classique d’Abidjan
Le 31 Mars 1971, il est arrêté et envoyé dans les camps militaires d’Akouédo, de Séguéla et de Bouaké.
Libéré en Janvier 1973, il est affecté à la Direction de la Pédagogie
De septembre 1974 à septembre 1977, il occupe successivement les postes d’Attaché et de Chargé de Recherche
Juin 1979, il soutient une thèse d’Histoire (3ème Cycle) à l’Université Paris VII
1980, il est élu directeur de l’Institut d’Histoire
En 1982, il crée le Front Populaire Ivoirien (FPI), avant de s’exiler en France, où il obtient le droit d’asile en 1985.
En 1988, il revient en Côte d’Ivoire pour le Congrès Constitutif du Front Populaire Ivoirien (F.P.I). Il est alors élu Secrétaire Général du F.P.I
Novembre 1990, il est élu Député à l’Assemblée Nationale (Circonscription de Ouragahio)
Président du Groupe parlementaire du Front Populaire Ivoirien de 1990 à 1995
1996 réélu Député de Ouragahio
1996, élu président du FPI
Marié, il est père de quatre enfants.

 

 

Les résultats de la présidentielle

Laurent Gbagbo a été proclamé président de la république ivoirienne le 26 octobre par le président de la chambre constitutionnelle de la cour suprême, Tia Koné, lors d’une cérémonie au Palais présidentiel. Immédiatement après cette proclamation, M. Gbagbo a prêté serment.

 

M. Tia Koné a validé les résultats de l’élection présidentielle du 22 octobre publiés par la Commission nationale électorale (CNE) qui créditent M. Gbagbo, président du Front populaire ivoirien (FPI, socialiste) de 59,36 % des suffrages au premier tour (contre 32,72 % à l’ex-chef de la junte, le général Robert Gueï). La participation a été de 37,42 %, avec 2.049.018 votants sur 5.475.143 inscrits. 254.013 bulletins nuls ont été comptabilisés.

 

Laurent Gbagbo : 1.065.597 voix, soit 59,36 %,
Le général Gueï : 587.267 voix, soit 32,72 %.
Francis Wodié (PIT) : 102.253 voix, soit 5,70%
Théodore Mel Eg : 26.331 voix, soit 1,47%
Nicolas Dioulo : 13.558 voix, soit 0,76 %.

 

 

 

 

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19 juin 2012 2 19 /06 /juin /2012 18:50

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gabari

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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