Donc, d’emblée disons ici, que : Quand il n’y a plus de route légale à parcourir, et qu’à défaut de pouvoir se faire une route citoyenne et légitime, il convient d’arrêter la course citoyenne, en attendant une route légale de courses loyales, pour ne pas avalisé une forfaiture politicarde. DONC, QU’IL CONVIENT DE BOYCOTTER TOUTES LES ELECTIONS A VENIR. Oui, Quand les droits inaliénables et les libertés fondamentales sont violés, la boite noire étatique doit être percée, et ouverte au regard du grand public. Une boite noire étatique, qui sert de couverture hermétique aux nihilistes et aux iconoclastes, masqués Houphouët-istes. Et Rassemblés dans un saugrenu panier attrape-tout et bouffe-tout. (Comme d’anciens S-DOGO). Un bric-à-brac panier de piranhas et sangsues qui a fait un pacte de misère socio-politico-économique avec le peuple ivoirien après avoir pris sa mesure panurgiste juste de suiviste du moment, pour le coudre et le coller un corsage moutonnier d’enfer. Oui, un panier de piranhas qui veut une côte d’ivoire poulailler étriqué, sans ouverture, sans issue de secours, à la merci des renards intrus. Et qui aspirent à ce que la valorisation de soi, passer absolument par la négation des autres appartenances, d’autrui.
Oui, en convenons ici, qu'il est de droit, que, quand la vérité historique est coffrée dans la boite noire étatique, toutes les libertés (publiques ou individuelles) se trouvent mises en danger, et que s’en suit logiquement, le chaos social sempiternel. Donc, Il faut une ouverture de la boite noire étatique aux regards de la totalité sociale souveraine, l’exposé aux jugements des citoyens. Et sauvegarder les vérités historiques pour restaurer les libertés. C’est notre objectif, qui apparait comme inatteignable aujourd’hui. Donc, Il faut BOYCOTTER toutes les élections à venir, de droit, par la liberté et pour la démocratie réelle. Se faisant, le citoyen s’abstient passivement, il boycotte in-activement, mais il fait confiance à l’avertissement, à la protestation, transporté par son abstention pour faire entendre sa voix et faire voir sa voie de refus. Donc le boycott inactif du citoyen est un signe d’espoir dans une force certes Volcanique mais contrôlée, qui espère d’un avenir meilleur. Et surtout la conscience d’une puissance en alerte qui peut conduire à l’extrême pitié pour les urnes. Et l’antagonisme envers les démembrements de l’organisme des élections querellées. Une société ne progresse pas de façon linéaire mais par fracture nécessaire.
*-Revenons à notre «KOUMA». La pétaudière d’un capharnaüm-kafkaïen ou Butin de guerre mise en liquidation ?
En politique, un idéal sociétal ne peut se réaliser que dans la grande constance dans l’action politique discursive, intransigeante, flexible, mais sans infléchir. Donc répétons-nous encore ici ; il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger avant la phase terminale de sa noyade. Le peuple ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, mais la côte d’ivoire, n’est plus elle-même dans le concert des nations. Il ne faut pas se leurrer, la côte d’ivoire se noie dans l’océan des civilisations. Il y a danger, il y a péril, et il y a mort par euthanasie sciemment et habilement préparée par la déculturation et la désocialisation, pour l’horizon pas très lointain. Bon ! Nous n’avons peut-être pas la Force d’un sauveur, mais nous avons une Gueule bien en place de dénonciateur, d’éclaireur d’opinion et d’éveilleur de conscience. Ceci est notre sacerdoce. Bon ! Disons que, dans la vie sociale, il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Donc, disons qu’aujourd’hui, la société ivoirienne est à la dérive, déroutée de ses repères initiaux, d’où la saine pratique politique est largement menée aux points par l’affairisme nébuleux, sur un Tapis glauque et visqueux, ou la laïcité est dans les cordes face à l’obscurantisme. La côte d’ivoire est groggy du haut son piédestal, oscillante, vacillante et tremblotante, titubante sur ses bases légales sous les coups de poignards dans le dos à lui administrés par des sado-pervers d’un système ploutocratique inhumain et monarchiste débridé. Un système non soumis au peuple et de conformisme intellectuel, s’appuyant sur une économie d'exploitation de l’homme, dans une gouvernance d’Anarchisme socio-économico-politico-développemental qui ignore l’Avenir. Oui, la côte d’ivoire cette expérience de l’exaltation de la diversité solidaire roule vers l’Abime, coule à petit Feu.
Les droits et libertés individuelles du citoyen sont à genou en prière devant Dieu l’argent, qui adjuger volontiers le tout sociétal a une nouvelle ploutocratie hybride et débridée. La mesure de valeur sociopolitique est confinée dans la force matérielle «les armes fusils» et du matériel pécuniaire. L’ordre social est segmenté et privatisé, chaque portion engraissée a sa compréhension de l’ordre, au détriment des amaigris systémiques condamnés à la soumission seigneuriale. Les mœurs sociétales ataviques prises à la gorge en voie d’étouffement, désespérées elles grommellent entre les mains nébuleuses, obscurantistes de petits malins a la fête, inspirés par les mœurs d’outre cieux. La sagesse et l’intelligence ivoirienne sont tronquées contre la délinquance, la criminelle et l’escroquerie morale, intellectuelle. La tranquillité et l’espérance ivoirienne sont converties en la versatilité et désespérance. La critique coutumière de lourdeur ivoirienne à entreprendre, «ou même pour d’autre non-averti la fainéantise » sont remplacé par le fait-tout et le tout-permis. Les mensonges éhontés ont vaincus les vérités historiques, et ont fini par assujettir, les libertés individuelles et les libertés publiques, ainsi en danger, les valeurs sociales historiques bafouées, les droits civiques consommés mises à Zéro. L’honnêteté est devenue un crime face à des fanfaronnades et à des élucubrations judiciaires devenue une force sociopolitiques incontournables.
*- «Et comme nous l’avons déjà dit et répéter et nous sommes condamné à le ressasser toujours dans une situation statique qui ne bouge pas d’un Iota: Notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny avec les bouleversements sociopolitiques ou les terres se vendent partout comme de petits pains et par n’importe qui ! il est d’une évidence absolue que, ce sont les acheteurs d’aujourd’hui qui décideront des dirigeants de Demain, la démographie transhumante aidant. Qu’on ne fait pas fi de l’ignorer, l’extrême multi-culturalité que cela provoque finira par annihiler les socles culturels des sous-cultures nationale, et Même le substrat de la sociologie électorale et politique ivoirienne est mise en lambeau, les mœurs perverses et dépravées ont remplacé les mœurs nationales ataviques, au nez et la barbe de nos grands gardiens des us et coutumes. La côte d’ivoire évolue vers le chaos social total avec Dieu l’argent comme mesure de valeur sociopolitique, surtout ou le tout sociétal à un prix, «je peux tuer il n’y aura Rien !» sera force et valeur sociopolitique. Et, les ivoiriens potentiels désignés victimes, préfèrent le saupoudrage des maquignonnages, le maquillage des ivraies et les litotes caressant dans le sens des poils, dans un affairisme à la colombienne qui élude et masque l’essentiel sociétal au profit de gains controuvés.»
La société ivoirienne a perdu ses repères d’autres fois, qui imposaient respect et admiration de par le monde. La Côte d’ivoire dénaturée, acculturée, asphyxiée, s’étouffe, s’exsangue, sur la voie périlleuse de la désocialisation en outrance. De toute évidence, la côte d’ivoire de demain se réduira inexorablement a la cartographie des états, elle ne serait plus jamais culturelle ou de civilisation-Laïque. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny perd son identité sociale, et perd sa spécificité dans le concert des nations, ou chaque entité constituée en nation est porteur d’une civilisation exprimant sa différence à l’intérieur de l’égalité de tous égaux en droits et devoirs. Il y a manifestement péril à la maison. Oui, le pouvoir d’Abidjan ne sait qu’exceller dans la concussion, le copinage, la défenestration économique vers d’autres cieux, et dans le banditisme politique, la voyoucratie politicarde, ou la politique se réduit à se saigner et à s’achever dans la fureur d’hallali controuvés, nombrilistes, et/ou judiciarisés. L’utilisation systématique des poignards dans le dos de la stabilité politique, de la paix sociale, de la démocratie électorale, dans des actions obscurs et dans des entreprises de piranhas renifleurs de sangs. Avec une peuplade actrice faiseuse de couillonnades, qui n’admet jamais être tromper dans l’action politique, qui ne sait pas non plus, comment on fait président de la république d’une nation cohérente, donc qu’il faut dit-t-on formé, a Jugé le suzerain, arrivé à la conclusion que cette peuplade est suffisamment puéril, Morpion ! Cornichon ! Dégonflée ! Patate ! Niais ! Godiche ! Un peu Imbécile aussi ! Qui ne peut pas comprendre la vie du monde réel. Parce que c’est Imbécile seulement qui ne change pas. C’est ça la vérité! Oui, les citoyens libres s’en «GNAGNE DE VOUS».
*- Attardons-nous sur la chanson de Développement, en prenant un long-pont et des échangeurs-Gondolés.
Donc, à propos de la propagande de diversion sur le développement, soulignons ici, qu’à l’opposé des économies industrielles du monde cohérent, que le mot pays en développement ou émergent, est né dans les années 1980 «de nos 20 ans révolu avec des bouches Mlê-Mlê», d’un économiste néerlandais, a la faveur du développement des marchés boursiers dans les pays en développement. Dans l’entendement duquel, un pays émergent, est un pays capable de soutenir une croissance rapide en économie ouverte sur une période relativement longue sans mettre en péril son équilibre externe. De même soulignons aussi que des expériences de croissance rapide, sont venues buter sur le caractère insoutenable à moyen et long terme, des échanges extérieurs de biens et services et de capitaux. (Des rêves envolés, quoi !) Donc disons-le ici, le progrès de la totalité sociale et le développement commun et bien partagé, exige l’ordre social, dans le respect des droits inaliénables, des libertés fondamentales, et un système social capable de trouver des solutions aux tensions nées des Bazars, du capharnaüm, du grand désordre kafkaïen, d’un développement déséquilibré, fanfaronné a tous bouts de champs par des ploutocrates. Oui, avec le respect de l’ordre social et de l’ordre de la sociabilité, comme substrat tous les progrès suivent. Donc, disons, qu’en lieu et place de l’émergence économique chantée par les grands théoriciens de l’ultralibéralisme de jungle «ce foutage de gueule, estampillé développement», cette couillonnade systémique qui n'admet jamais s'être trompé, parce que réputé intransigeant, la côte d’ivoire de Félix ’Houphouët Boigny a plutôt besoin de l'émergence de l'ordre social, de l’ordre de la sociabilité, fait d’harmonie, de solidarité agissante. Qui favoriser un état réel de concorde civile entre hommes de tous horizons, entre l’homme et la nature de la société ivoirienne.
C’est pourquoi nous avons toujours dit qu’en lieu et place de ce farfelu développement de fouage de gueule, il est question plutôt d’affirmer les droit inaliénable des peuples autochtones, sur la ressource terrienne atavique, les ressources nationales souveraines substrat de la souveraineté nationale pleine et entière, de la nation souveraine que cela sous-tend, dans le concert des nations ordonnées et civilisées. Et savoir sérieusement et honnêtement tirer profit de la « mondialisation » économique. Donc, disons-le tout net, la croissance économique ne se traduit pas nécessairement par une hausse du bien-être des populations nationales, comme en Inde, tout comme en Chine, et les nouveaux modèles asiatiques de développement enviés en Afrique. La croissance économique repose sur les chiffres de l'enregistrement comptable des transactions économiques, matérialisées par une facture ou un ticket de caisse. Mais il n'en a que faire du bonheur et du bien-être des populations nationales ou de la masse populaire. Il les laisse de côté et ne les prend jamais en compte dans sa visée. Donc, il souscrit à un développement qui laisse l’homme au bord de la route du progrès sociopolitique de la totalité sociale. Et surtout, l’émergence économique résulte plus de la garantie offert par la stabilité, l’ordre social et de la nature même des normes juridiques et valeurs sociales en vigueur, du fonctionnement des organisations publiques, du cadre réglementaire, des procédures et des politiques publiques, de la qualité civilisée du leadership politique, que d’une quelconque économique dirigiste de rafistolage économique, de jonglages financières et de bradage des terres a propriété immémoriale. L’Ethiopie et l’Erythrée n’ont pas bougée d’un iota. Les chiffres de croissances farfelus, les goudrons, les bétons, les véhicules à l’âge limités, le Métro, les tricycles transports de bagages et de passagers et mêmes les tricycles solaires, ne feront pas le développement ivoirien en absence de l’ordre social, qui proscrits le désordre social indescriptibles et le tout permis dans une société Déshumanisée et Animalisée.
*- Une vie sociale, déracinée, cafouillée, désordonnée, étouffante, dépravée, chaotique et de jungle totalitaire.
La côte d’ivoire est sous le joug, d’une voyoucratie politicarde, nihiliste dans l’âme, iconoclaste devant l’éternel, renégat endurci à l’Houphouët-isme, arriviste assumé devant Dieu l’argent et alpiniste conquérant inconscient et insouciant de notoriété publique, qui ne reculent devant aucune catastrophe pour assouvir ses desseins glauques et visqueux. Un alpinisme traçable, de la Haute volta, a la Mauritanie, et de la Mauritanie a la côte d’ivoire, cette dernière qui s’exsangue, de sa morale atavique, de ses mœurs ancestrales. D’où, le ventre plein a fini par vaincre l’intellect humain, le meilleur de gyroscope pour l’homme. La misère morale nourrit à la sève de l’ignorance des inconséquences du panurgisme, suiviste et du moutonnier a fini d’étalé l’intelligence politique de tout son long sur un Right glauque et visqueuse, déserté par l’intelligentsia ivoirienne. Et patatras, le grand «Gnamien-Pbwli» n’habite plus ni en Bas, ni en Haut, il s’est confiné dans les poche de politicards. Et pire dans notre société les importées Mœurs dépravées sont devenu fièrement ostensibles, surtout la dépravation sexuelles, qui ont fini par annihilées nos mœurs sociétales ataviques. C’est une constance, la politique du ventre banni toute sagesse, toute intelligence, toute dignité, toute fierté, tout orgueil positif, pour se muer en motifs de snobisme. Ainsi l’ignorance, et la bêtise se retrouvent glorifiées sur la terre de nos ancêtres et le glas de l’intelligence se trouve sonné, parce que le ventre gouverne l’intellect. Dans un désordre social d’embrouillamini Amorale et de brouillamini méprisant les normes sociétales qui édictent la morale des mesures de valeurs sociales et les mœurs. Bon ! C’est une constance, que les sociétés secrètes, les sectes criminelles, les confréries opaques tout comme les pouvoirs absolutistes prospèrent sur la lavée des interdits sociétaux, « la tentation la plus forte de l’homme ».
Oui, la côte d’ivoire est certes maitrisée et vaincue par un système ploutocratique, mais elle n’est pas convaincue et persuadée, Non ! Elle se trouve dans une paix de l’absence de conflits ouverts. Donc, dans une situation éphémère. Oui, une course poussiéreuse et désordonnée vers le développement d’une société humaine ne paye jamais biens. Une société humaine doit progresser avec une marche sûre, sans désordre et sans brouhahas, ou l’ordre impose la discipline, ou la morale enfante la conscience, ou la sagesse imprime la cadence, ou la vision éclairée d’une anticipation des perspective d’avenir dans le temps, a pour mission de gyroscope sociétal, ou le rythme infaillible a Dent de scie obvie les sortis de route, et obéit aux moyens nationaux, sans surendettement assujettissant. Donc, une totale maitrise du destin commun en quelque sorte, à l’image de la marche politique de Felix Houphouët Boigny, ou la précision assurait la synergique et obligeait la solidarité, l’allégeance, et exprimait l’assurance dans la totale maitrise de son art et l’absolue sureté d’atteindre l’objectif visé, le tout ventilant le parfum de la force tranquille. Oui, en côte d’ivoire d’aujourd’hui, la morale est en congé, les mœurs dépravées, l’honnêteté devenue un crime, dans une société devenue moutonnière, acculturée, dénaturée, désocialisée et aux mœurs dépravée. Oui, une côte d’ivoire mise en liquidation culturelle, économique et politique, surtout devenue un butin de guerre d’agression délibérée. Avec un Abidjan qui ne se décongestionne pas dans l’espace, mais s’entasse, se compile, se centralise grâce à des ponts qui paradent au-dessus de la ville, avec des échangeurs juxtaposés, Gondolés, chevauchant les routes qui convergent vers un seul centre d’intérêt, le Plateau, quartier du Palais d’Houphouët Boigny, pour une vie sociétale, déracinée, cafouillée, désordonnée, étouffante, dépravée, chaotique et de jungle, qui est toujours totalitaire, arbitraire, sans loi ni foi, avec la force Grise comme mesure.
Oui ! L’ivoirien acculturé subit une déculturation. L’ivoirien se dénature, l’ivoirien se déracine, au profit des mœurs dépravées, dans une société prédatrice dite ultralibérale. Cette société de l’ultralibéralisme prédateur qui broie les petits aux pieds des grands intérêts mafieux. Donc, malheur aux piétailles de citoyens, donc malheur aux vaincus du chacun pour soi, l’argent à tout prix, au terme d’un duel ou la raison reste aux plus forts, aux plus riches. Puisque la loi de la jungle régi la société ivoirienne désormais, la criminalité gouverne les relations, et les rapports sociaux sont soumis à la puissance funeste de Dieu l’argent. Alors, on peut tuer pour gagner ou garder son emploi, on peut tuer pour avoir des rémunérations pécuniaire ou un salaire, on peut tuer pour avoir son manger ou son argent, on peut tuer pour avoir sa consommation et on peut tuer pour avoir son identité. Puisqu’on peut tuer pour garder son pouvoir malgré tous, la locomotive tirant du tout est là, imperturbable, dans une société marchande. Ou le Moi est le centre des discutions, le nous tend à disparaitre. D’où l’autre n’est plus un frère ou un ami potentiel, mais un danger potentiel de plus en plus marqué. Ainsi pour garder son travail, les employés n’ont qu’à tout accepté. On pourra alors jouir de sa supériorité, en vantant son bien matériel et en attendant de son interlocuteur une forme de reconnaissance sociale fondée sur ce bien matériel. Ceci reste le seul prisme de l’existence Sociale, la seule motivation en politique, la seule source de valeur sociale. Eh bien oui, en lieu et place de la côte d’ivoire qui se voulait une société humaniste et surtout une société démocratique. Les Dés sont jetés, donc, revoilà le peuple ivoirien toujours aux aguets à tout redouter des inconséquences, des insouciances et des légèretés des actions socio-politico-judiciaires d’un pouvoir déviant, non-maîtrisé, divaguant ostensiblement dans les fibres sociopolitiques très sensibles de la nation ivoirienne pilotée par un néo-monarchisme débridé, devenu sourd et aveugle. Et le peuple ivoirien est halluciné, craignant qu’elles ne tournent à de nouvelles tragédies politico-sociales dans le pays d’Houphouët. Puisqu’aucun parti politique significatif ou de gouvernement soit-il, en lui seul n’arrêtera cette dynamique démoniaque, donc, le peuple est au pied du Mur. Bon ! Les traces de la trahison d’un peuple ne s’effacent pas du jour au lendemain son empreinte est indélébile.
*- La stabilité politique et la paix sociale dépendent de l’exigence d’une organisation fiable de la totalité sociale.
Oui, développement ou pas ! Émergence ou non ! De toute évidence et incontestablement, après le honteux coup d’arrêt au processus démocratique et à la stabilité sociopolitique par le coup d’état du 24 décembre 1999, après un autre coup d’état manqué des 18-19 septembre 2002, transformé en rébellion armée, qui a duré 8 Ans et 07 Mois, après la catastrophe démocratique et électorale d’Octobre 2010, Oui, au total, après les micmacs et zigzags d’un petit coup d’état tirant et arrachant, qui a duré 11 ans 4 mois «1999-2011» pour arriver à sa réussite, et après les travers démocratiques avec 80% d’abstention électorale par dégout de 2015 et les impaires électorales de la présidentielle, avec un président de la république élu avec moins de 20% de l’électorat total inscrit et imposé au peuple souverains de côte d’ivoire par les armes, après le referendum constitutionnel d’un taux de participation de 5%, avec toutes les urnes de votes cassées dans toutes l’assiette territoriale de la nation, après le non-sens électoral-politique-démocratique-judiciaire de la présidentielle foirée de 2020 orchestrée, fabriquée par des élucubrations judiciaires, contraires au droit, et imposées par les armes, sur les corps de plus de 150 Morts, Oui, irréfragable-ment, incontestablement, l’idéal était de voir et revoir le système d’organisation sociopolitique, les normes d’organisation sociale, le système de l’organisme électoral, pour rendre Impartial, Neutre, Apolitique, Autonome, totalement Indépendant, chargé de la gestion électorale d’abord avant toutes autres élections. Cela a la suite linéaire ou à la remorque d’une Amnistie générale référendaire d’initiative populaire, Avalisée et Validée, par le peuple souverain, en droit qui tient en l’état les condamnations à la perpétuité et les condamnations «a défaut» a 20 ans de détention, prison. Oui, quand le peuple légifère par une Amnistie générale référendaire post-guerre ou post-crise et consensuelle-ment consentie, c’est de l’avenir du Corps social, et de sa solidification qu’il s’agit. C’est à cela que la totalité sociale souveraine sacrifie tout, au bénéfice du bien de tous, pour une perspective d’avenir meilleur de la totalité sociale souveraine qu’elle anticipe ainsi. C’est de notoriété coutumière.
Donc, oui, un organisme, capable d’organisé des élections réellement démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres, qui concours incontestablement à l’affirmation des droits inaliénables des peuples a disposé d’eux-mêmes, fondée sur le respect strict des principes de représentations sociopolitiques, prescrits dans un corpus de normes électorales, qui met tout le monde en confiance et tous les acteurs politique d’accord, parce que tous égaux en droits et devoirs. Ces exigences citées ci-dessus imposent une organisation fiable de la totalité sociale et disposent de la stabilité politique et de la paix sociale. A défaut de ceci, il convient de boycotter toutes les élections à venir. Bon ! A défaut de l’idéal de pouvoir Boycotter toutes les élections, il faut éviter de voter le panier des piranhas au couleur Orange. Nos cimetières en ont marre d’accueillir des jeunes citoyens zigouillés. Mais ! bien que la côte d’ivoire soit marquée hermétiquement à la culotte par une crise sociale aigue, depuis le 24 décembre 1999, jusqu’à ce jour, ce qui signifie qu’elle n’est pas derrière nous, qu’elle est à nos côté évoluant vers d’autres catastrophe et chaos social, en clair que la crise risque de s’aggraver, mais malgré tout, on ira aux élections locales en septembre 2023, en attendant une autre hécatombe, une autre catastrophe en octobre 2025. L’opposition ivoirienne fataliste, réductionniste, suiveuse, est entrainée vers l’engrenage de sa perte et trimbaler petit-a-petit vers une autre crise postélectorale programmée, qui donnera la parole aux armes «fusils» comme en 2010. Bon ! Ils iront aux élections locales en septembre 2023 ou les voix citoyennes serviront d’aval aux trucages.
Panser la plaie béante-saignante de notre pays qui s’exsangue, sur sa vraie surface. Sinon, elle va se gangrénée.
Oui, une véritable Opération d’inondation Electorale, s’est opérée dès les enrôlements, avec les permutations sur la liste de brigades de soutiens, véritable bétail électoral, vers des centres d’intérêts soupçonné hypothétique, ce qui garantit le vote double, 1- dans le lieu d’origine et 2- dans le lieu de brigade de soutien, en appoint du tout vient la mafieuse fraude Inondation de nationalité pour élection. Mais hélas, le sage a dit que: « Quand l’ombre du pygmée grandit c’est que le soleil va se coucher ». Oui, Donc, le soleil a entamé sa couchée sur la côte d’ivoire le 24 décembre 1999 pour arriver au 18-19 septembre 2002 et se coucher le 11 avril 2011. Et l’ombre Orange du pygmée couvrira toute l’assiette territoriale de du pays au terme des élections locales suscitée. Donc, tâchons nous ivoiriens, dans l’attente de l’aube, d’œuvrer inlassablement tous ensemble pour la recherche de la voie praticable avec nos lampes, lumières, et torches. Encore hélas, le sage a dit que « quand les éléphanteaux se couchent pendant longtemps parmi les cabris du désert, ils finissent par sentir le Bouc. « Bâkôrônî – Bééééé-Puuufff», et ainsi ils demeurent dès lors assujettie aux caprices d’un boucher sahélien ou désertique qui sait bien par culture atavique que faire d’un Bouc, « Bâkôrônî – Bééééé-Puuufff». Oui, toujours hélas: Dans la vie, tout comme en politique : Tout s’acquiert au prix de milles efforts, celui qui a acquis le pouvoir d’état passivement par les armes impies ne peut rien acquérir tant que l’effort d’un système impartial démocratique pluraliste est exigé.
Oui, sans leurre, si le peuple ivoirien tient à instaurer une nation démocratique réellement fondatrice d’un ordre sociopolitique nouveau, ou tout le monde serait libre de partir dans les compétitions électorales sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état avec un organisme électorale Apolitique, Autonome ; indépendant, neutre, impartial et une institution judiciaire débarrassée des élucubrations judiciaires au profit du pouvoir exécutif. Et surtout où il pourrait faire la politique et aller dormir tranquillement chez lui en toute quiétude. Il doit se lever dès maintenant tous ensemble, pour dire non ! Par un Boycott total des élections, de maintenant et à venir. Oui, dans la conquête du pouvoir, quand la normalité de son cadre organisationnel est fiable, et l’homogénéité des normes de régulations sociopolitiques sont évidentes, elle devient une épreuve de l’inconnue, et des surprises, d’où les vainqueurs ne sont pas forcément les meilleurs. Les urnes citoyennes décident librement. Ici, le pouvoir d’état s’acquiert donc, au prix de mille effort, et celui qui l’acquiert passivement au prix de quoi que ce soit d’autres, ne peut faire le bonheur du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir. Donc, il nous faut soigner la plaie ivoire sur sa surface réelle, bien que, nous avons vu depuis quelques moment que cela fait mal, sinon très mal même. Et pourtant, il va absolument nous falloir avoir le courage de panser la plaie béante-saignante sur sa vraie surface réelle dans notre pays la côte d’ivoire qui s’exsangue. Sinon, elle va se gangrénée, pour arriver à l’amputions membrane irréparables. Une société humaine ne se gère pas, elle se règle en continue.
Donc, citoyens, à nos/vos ciseaux et pinces, alcool 95°degrés et mercurochromes, avec des antibiotiques en appoint. Autrement dit, se dire ou se redire les vérités crues et nues, pour que les mensonges de politiques politiciennes orchestrés n’arrivent plus à obstrué, ou a absoudre les vrais risques, les réelles conséquences, et les indispensables solutions sociétales. Oui, dans la vie humaine, il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Et il est constant de par le monde qu’une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise ou le manipule, Idem pour l’outil électoral, politico-démocratique qui, mal usé ou exploité, et mal orienté ou détourné, peut tuer les droits inaliénables et les libertés individuelles, pour provoquer la décadence socioculturelle et la dégénérescence sociale et politique. Citoyens libres, répétons-le, nous n’exerçons que dans le respect de ce qui est conventionnelles et légitimes, et il est aussi conventionnel et légitime que, quand il n’y a plus de route légale à parcourir, et qu’à défaut de pouvoir se faire une route citoyenne et légitime, qu’il faut arrêter la course citoyenne, en attendant une route légale de courses loyales, pour ne pas avalisé une forfaiture politicarde, donc, ici, nous avons KOUMA malgré-nous. *- Donc, les commandités pour fermer les bouches citoyennes peuvent exulter en allant réclamer leurs primes aux commanditaires. Mais depuis la nuit des temps, si la pratique des chasseurs de primes est redouté, le sort que la nature qui a horreur du crapuleux les réserve, est sans appel, et toujours à la hauteur de leur actes abominables. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.