Lepetitfils : Ici, si nous osons le courage de Martin Lutter King, nous dirons alors ici, que, le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, que mais la côte d’ivoire n’est plus elle-même dans le concert des nations. Et qu’en ce moment de notre jeune histoire d’existence souveraine, nos valeurs sociétales sont en périls, la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et paisiblement est obstruée. La gouvernance voulue par Félix Houphouët Boigny est prise en otage, séquestrée dans une bicoque d’Affairistes.
Chronique «KOUMA»: A LIRE, « Si au commencement était Parole ? A l’arrivée la justification était Écriture ! »
Bon ! Disons que, la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUËT BOIGNY a perdu ses repères ataviques. Que, les ennemis de la démocratie ivoirienne, les plus dangereux actuellement, ne sont pas les partis politiques et leurs soutiens intéressés à tous les travers, mais les intellectuels, souvent en Toge ou Maitre du droit qui tordent le cou aux grands principes coutumiers et aux règles universelles pour arriver honteusement avec des élucubrations a la remise à Zéro des droits totalement consommés, et la transposition habile de fait de l’Amnistie dans le champs d’application du droit de grâce, et les intellectuels politico-démocratique et/ou médiatiques à la manœuvre nébuleuse toujours, pour donner une apparence démocratique et même scientifique à des actes illégaux, illégitimes et de forfaiture. Or par principe universel, la démocratie est un apprentissage des limites, de l’autocontrôle, elle est aussi le respect de la diversité, de la pluralité politique, du consensus au tour des règles de la compétition, qui se doit d’être loyale, tout en admettant l’autre comme son égal en droit et devoir. Donc, il est constant de par le monde que face à ces ennemis de la démocratie et leur politique de l’Autruche, qu’il y a des vérités qu’il faut dire et redire pendant longtemps, et longtemps rebattre des sujets sensibles de la société. Et faire tinter toujours comme une cloche, les préoccupations citoyennes pour avoir la voie sociétale idoine. Oui ! La côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique d’abord. Il faut un système de régulation, des organismes de régulations socio-politico-électoral adaptés aux circonstances, qui exigent que les partis politiques ivoiriens en quêtent de stabilité et de paix sociopolitique, s’inscrivent dans un processus de vraie démocratie ou aucune tendance n’est supposée gagnante d’avance par manipulation juridico-systémique. Les bonnes élections sont à ce prix de l’abandon de la victoire absolu et du pouvoir absolu au mépris de toutes autres considérations légales.
Donc, face à la diversion bonimenteuse, carriériste et arriviste renégats avec l’escroquerie morale et intellectuelle comme support, et l’enfermement sectaire hermétique, le cadenas-sage systémique perfidement même face aux droits irréfragables par ces ennemis de la démocratie, Aujourd’hui en Côte d’Ivoire au-delà de ces questions chaotiques suscitées, ce sont des questions universelles plus générales, qui se posent à nous tous ivoiriens, dans la recherche inlassable parfois ingrate de la stabilité politique, de l’harmonie communautaire, de la paix sociale, des libertés individuelle, de la réconciliation nationales, et de la démocratie réelle. *- Oui, Comment imposer le respect de la supériorité des grands principes internationaux, des règles universelles coutumières et les normes juridiques internationales prescrites, dans la sphère politique ivoirienne et dans l’organisation sociale ivoirienne. Et aussi comment imposer le respect des normes juridiques de régulations sociales de notre pays à tout le monde, sans exception, y compris les dirigeants momentanés du pouvoir d’état. Aujourd’hui à la tête de nos institutions politiques républicaines, devenues vermoulues. Et de nos systèmes démocratiques devenus démodé et confisqués dans des normes d’organisations sociopolitiques et organismes politico-électorale de non-droit ? Oui, quelles sont les limites à mettre à notre inertie tolérance héréditaire, à notre statisme passif guidé par les valeurs de non-violence, à notre inaction temporelle dans l’espérance d’une fin de crise, espérant de cette recherche inlassable parfois ingrate d’instauration de l’état de droit dans notre pays la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny ?
Oui, Comment obtenir des organismes consensuels de gestions politico-électorales Impartiaux et des institutions judiciaires indépendantes de gestions de la vie publique, pour une vie démocratie réelle et pour des élections crédibles , face à ces ennemis jurés de la démocratie qui œuvrent pour l’anéantissement des droits et n’aspirent qu’à un pouvoir prédateur de jungle, qui est toujours totalitaire et extrêmement pervers, près à piétiné tous les droit et règles pour arriver à ses fins obscures ? Oui, Jusqu’à quelle limite nous resterons derrière la recherche éperdue du dialogue et du consensus avec ces ennemis de la démocratie-là, dans un pays ou tous se règlent désormais par la violence matérielle, avec des affrontements de toutes sortes, aux termes des élections, qui se doivent d’être Fête. D’où point de dialogue, point de consensus, point d’entente, au mépris de Houphouëtisme. Cette valeur qui nous est héréditaires et atavique, et qui est la seule solution aux problèmes socio-politiques et aux problèmes entre hommes, quels qu’ils soient ? Ces questions universelles plus générales ci-dessus, parce que nous sommes convaincus que face à la Bouffe, même la Malbouffe, ces ennemis de la démocratie qui veulent d’un le pouvoir prédateur, ne stopperont pas d’eux-mêmes leurs projet satanique et mafieux de confiscation du pouvoir d’état. Ici la bouffe est maitresse absolue de l’intellect. D’où la Ruine de la société ivoirienne par leurs orchestrations de micmacs et de zigzags autour de la chose publique en espérant dribler tout le monde au finish, pour garder la nauséabonde table des convives nocturnes intact et bien garnie en deniers publics. BOUFFE !!!
*- Faire la politique autrement, ou l’argent ne serait plus l’essentiel, au mépris de l’être Humain et du citoyen.
C’est ainsi que ces ennemis jurés de la démocratie, œuvrent de façon insidieuse autour de l’organisation sociale, qui décide de la vie de tous et de l’avenir de la société commune. Ici l’ordre du public est conçu pour être l’ordre du néo-monarchisme débridé. C’est tout le sens de la côte d’ivoire qui coule, la côte d’ivoire est devenue un pays de Merde, du renard libre, dans le poulailler. La côte d’ivoire, doit-elle toujours se déchiré aujourd’hui face à la défiance de l’arbitraire de ces ennemis de la démocratie ? Non ! Leurs cultures de pouvoir usine à gaz, anti-droit, anti-liberté, antidémocratique, qui est sensé virer à l’état policier, à l’état paria, à l’état voyou, ne doit pas tout imposer au peuple ivoirien. Avec la condition unique de la soumission seigneuriale. Alors donc toujours question : Comment concilier une politique de paix « pas une seule goutte de sang humain versée sur le sol ivoirien » et de d’acceptations des différences quelles qu’elles soient, avec une politique électorale qui zigouille des citoyens sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état et le sang qui coule au quotidien de toutes les élections depuis 2000 ? Comment réconcilier une idéologie politique « Houphouetisme » de non-violence, pacifiste, de dialogue, de consensus, d’harmonie, avec une idéologie politique voulue prédatrice de jungle, d’enfermement sectaire et de mépris pour les autres, par ces ennemis de la démocratie ? Comment concilier une doctrine politique d’abandon de soi pour la paix, avec une doctrine politique électorale de violence inouïe érigée en système de conquête du pouvoir d’état et de gouvernement dans la violence au quotidien ou la force reste la mesure de valeur sociale ?
Oui, Comment concilier une politique d’harmonie sociale et de concorde civile, avec une politique carriériste, arriviste, iconoclaste, nihiliste et renégate, de division pour régner, qui alimente de façon cyclique, des affrontements intercommunautaires dans toute l’assiette territoriale nationale à occasion ? Et comment concilier la démocratie pluraliste comme instrument unique de conquête du pouvoir d’état, ou le peuple souverain est l’ultime détenteur du pouvoir d’état, avec la violence électorale comme moyen désigné d’acquisition du pouvoir d’état et de sa confiscation dans le temps. Non ! C’est impossible. « Même si impossible n’est pas Français », il y a une ligne rouge ici qui ne doit être franchie et dont le franchissement conduit à se dénié soi-même. Oui, se dénié soi-même. « Bon ! Découragement n’est pas ivoirien ». Mais hélas : Dans la vie, tout comme en politique : Tout s’acquiert au prix de milles efforts, celui qui a tout acquis passivement par la violence ne peut rien acquérir tant que l’effort démocratique pluraliste est exigé. Le Nœud du problème ivoirien est là. Oui bel et bien là. Il ne se résoudra que là. Tant que le problème ivoirien demeurera ainsi poser, il Sied donc, à l’ivoirien de BOYCOTTER TOUTES LES ELECTIONS. Oui, les valeurs de solidarité sociale et d’harmonie communautaire que ces grands principes internationaux et ces valeurs universelles suscitées, « opposés chez nous en côte d’ivoire a la pratique des ennemis de la démocratie », inculquent au peuple souverain dans son entièreté, ultime détenteur du pouvoir d’état, peuvent constituer la sève nourricière à la construction d’une nation ivoirienne harmonieuse, paisible et évoluée dans un monde en perpétuel mouvement. Ou les états n’ont pas d’amis, mais des intérêts à protéger.
Oui, il est constant de par le monde, qu’une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise. L’outil politico-électoral et démocratique mal exploité peut tuer les droits inaliénables et les libertés individuelles. Donc, la décision qui s’impose à l’ivoirien aujourd’hui, doit être de conjuguer le devoir de régulation socio-polico-électorale et l’appel à la mobilisation de toutes les forces citoyennes ivoiriennes, et les nations démocratiques du monde. Pour sauver notre volonté de vivre un destin meilleur, que celui que veulent nous imposer nos ennemis jurés « politicards absolutistes » de la démocratie réelle au service d’un système politique inhumain et dégradant et prédateur de jungle. Qui ne connaissent que la loi de la jungle dans les rapports humains et sociopolitiques. Le sens donc de la volonté citoyenne et politique de l’ivoirien aujourd’hui « dans le combat à lui imposer », doit être à l’aune de son obéissance aux grands principes internationaux, et aux règles du droit universel, qui constituent le fondement d’une société paisible, libre et démocratique. « Où nous pourrions tous ivoiriens, nous épanouir en tant que citoyens libres et égaux, en chance et en droit, situé sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état. Nous pensons sincèrement et espérons ardemment que, telle est l’aspiration commune à tout le peuple ivoirien qui ne demande qu’à vivre en paix chez lui sur la terre de nos ancêtres. Et qui a tant souffert de la barbarie électorale absolutiste ». Oui seule la démocratie réelle peut nous libérer des nouveaux maux qui rongent notre société autrefois paisible et qui inhibent toute perspective d’avenir meilleur et nous conduire à la construction d’une communauté nationale réconciliée avec elle-même. Ou l’argent ne serait plus l’essentiel au mépris de l’être Humain et du citoyen ivoirien. Pour l’avènement du : « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » de la Grèce antique et solidifier par Abraham Lincoln, (16e président des États-Unis 1860 à 1865).
*- Pour un exercice éclairci du noble art politique, sous la gouvernance des principes universels de démocratie.
Donc, l’ivoirien à le défi de refuser les fausses élections cadavéré, EN BOYCOTTANT TOUTES LES ELECTIONS A VENIR. Et en refusant la fausse propagande exutoire de diversion et de manipulation, qui tue toute ambition légitime en faisant croire, que le système démodé, les institutions vermoulues, les organisme électoraux vidés de sens par la présence mafieuse des partis politiques compétiteurs en son sein et un gouvernement absolutiste endurci est la panacée aux problèmes de notre société, de notre démocratie, avec sa politique éhontée de surendettement en outrance. Donc, le défi à l’ivoirien est de pouvoir innover de nous-mêmes ivoiriens, pour forger notre propre destin ivoirien, dans le concert des nations, sans fermeture démocratique et électorale aucune. Pour faire notre propre progrès social ivoirien, avec nos propres moyens économiques ivoiriens, sans surendettement éhonté, avec nos propres politiques économiques ivoirienne sans interférences extérieur aucune d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux, avec nos propres mots atavique d’ivoirien, nos propres expériences ivoiriennes, sur la base de nos propres réalités sociopolitiques ivoiriennes. Et dans le respect scrupuleux, des aspirations légitimes du peuple ivoirien à vivre dans une société de tolérance, de paix et en voie de démocratisation. Et, non dans une société criminalisée, déshumanisée où les forces matérielles sont la mesure de valeur sociopolitique, sous le règne d’une politique du renard libre. Où la rivalité politico-électorale s’organise autour des enjeux d’usurpation de la légitimité populaire et du pouvoir d’état par la force et la violence inouïe.
La politique ivoirienne est devenue une affaire rigide de rapport de force matérielle, ou le pouvoir est au bout des rapports d’Animosité. Oui, la seule voie possible pour sortir de l’impasse de cette honteuse, crise électorale ivoirienne, c’est d’accepter et d’adhérer résolument aux grands principes internationaux coutumiers, aux règles démocratiques universelles, aux principes de la vraie réconciliation nationale, de paix sociale, de l’harmonie intercommunautaire et surtout les principes démocratico-électorale coutumiers. Sinon, au risque de faire le lit, soit de la dictature, soit de la tyrannie, et soit du despotisme, ou de toute évidence, tout au moins l’une d’elle gouverne déjà la côte d’ivoire. Oui, le défi aujourd’hui est très clair, ou bien on fait le choix de la civilisation universelle avec toutes ses valeurs, ou bien nous demeurons dans la barbarie électorale ou chaque élection aura son lot de Morts « cadavres électoraux ». Il y a trop de criminels, trop de voleurs, trop de bonimenteurs, trop de mafieux en côte d’ivoire. Parole de la Légitimité citoyenne, (LC_CRS) citoyen et républicaine sociale, doublement centriste, Houphouët6iste Assumée. Oui, à la LC_CRS, gouverner bien comprise et bien exercée devient service public et sécurité national. On remplit une fonction et les responsabilités qui s’y rapportent ; on assume une charge et les conséquences qui s’ensuivent et on est qu’un mandant du peuple souverain. Ainsi gouverner est d’autant mieux exercée qu’elle est consentie. Donc sans menace par la force matérielle, sans magouilles politico-électorales, sans tromperie orchestré par des discours exutoires fondés sur l’escroquerie morale et intellectuelle.
D’où pour nous à la LC_CRS aucun pouvoir d’état ne peut faire le bonheur d’un peuple malgré lui. Parce que pour nous, tant que la société commune demeurera en crise sempiternel, tant que les citoyens ordinaires seront ainsi mal gouvernés, parce que leurs États sombrent dans la mafia politico-électorale et partant dans le chaos social sempiternel. Où que le pouvoir d’État vire à l’arbitraire, à la dictature, au despotisme, à la tyrannie, les citoyens ne pourront jamais profiter de la richesse de leur pays et des retombées de l’organisation politique et sociale de leur société. Donc pour nous, à la LC_CRS, la nature de l’homme est bien trop sérieuse, bien trop précieuse pour être entièrement livrée aux intérêts particuliers et catégoriels des Mensonges d’état ! Donc pour nous, l’ivoirien doit donc osé être et rester lui-même, en conjuguant tous les registres de la lutte d’émancipation citoyenne, pour que le bateau du progrès social, de l’harmonie communautaire, de la paix sociale pérenne, reprend la voie royale universelle, vers la lampes des lumières du développement humain intégral, social, économique et politique. Destinée à rendre la raison, à la stabilité politique, à l’ordre social, à l’intérêt général, à la nécessité populaire du dialogue social, dans une nation une et indivisible garantissant, droits, libertés, justice juridique et justice sociale pour tous. Pour un exercice éclairci du noble art politique, avec un concours de représentativité saine sous la gouvernance des principes universels de démocratie participative, donc, des élections consensuelles pluralistes, avec un organisme qui rassure tout le monde et de la citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement.
*- S’admettant comme égal en droit, devoir et chance dans la société organisée et structurée à cette fin légale.
Pour clore ce KOUMA, Synchronisons un temps soit-peu les bréviaires intransgressibles de la LC_CRS qui veulent : Qu’en politique, la vraie politique, celle des professeurs d’idées et porteurs d’alternative, n’est pas du Western ou le barbarisme des règlements de comptes est la règle logique, qu’elle « la politique » ne se fait pas avec la violence électorale ou encore moins avec les armes « fusils ». Que faire la politique, ce n’est pas l’opposition des groupes armés qui ne pensent qu’a s’exterminé mutuellement. Que faire la politique c’est mobiliser avec des argumentations saines, sans diversions, sans mensonges. Que faire la politique c’est orienter, c’est persuader le peuple, et c’est dissuader la masse populaire. Qu’en politique, le vrai noble art bien comprise, tout ne doit pas être marchandise ou monnayable en politique. Que tout ne doive pas être fonds de commerce ou rafistolage financière en politique. Que tout ne doive pas être hypocrisie et fourberie mégalomaniaque en politique. Que, tout ne doive pas être de la fanfaronnade funeste et flagornerie hautaine en politique. Que tout ne doive pas être démagogie politicienne et politique loufoque en politique. Que, tout ne doive pas être mensonge monnayable et manipulation mercantiliste en politique. Que tout ne doit pas être obscurantisme sectaire et clanisme hermétique, fondés sur le pécuniaire en politique. Que tout ne doit pas être Hold-up électoral et passage en force électoral cyclique et roublardise mafieuse dans l’arène politique. Que, tout ne doit pas être matériel dans l’espace public et argent dans la conquête et dans l’exercice du pouvoir d’état, propriété exclusive du peuple.
Que l’intérêt général du peuple ne saurait se dissoudre dans les intérêts particuliers égoïstes, égocentriques, et catégoriels. Que la nature de l’être humain, de l’homme, est bien trop sérieuse, bien trop précieuse, pour être entièrement livrée aux intérêts mafieux particuliers, égoïstes, égocentriques et catégoriels, des ennemis jurés de la démocratie réelle, aventuriers de processus électoral bidon, avec à l’arrivée des morts de citoyens zigouillées chemin faisant vers le pouvoir d’état, et sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état. Que le droit du citoyen et le droit du peuple à se faire gouverner librement avec consentement, qui résulte de son vote citoyen, et par obéissance aux principes et loi impartiale, par des hommes politiques qu’il aura choisis aussi librement au terme d’un processus électoral consensuel et réellement démocratique, ne saurait être soldé sur l’autel de la confiscation de la souveraineté populaire dans un organisme électoral qui ne rassure personne et surtout pas au nom de la paix sociale. Que donc, le pouvoir ne saurait être confisqué ou attribué uniquement parce qu’il est entre les mains d’un pouvoir détenteur de la force publique, dont il en fait usage a volonté, ou parce qu’exigé par des hommes ennemis de la démocratie avérés violents au terme des élections bâclées. Que la démocratie est la soumission absolue aux grands principes internationaux coutumiers, qu’elle est aussi un apprentissage des limites et de l’autocontrôle. Qu’elle « la démocratie », est aussi le respect de la diversité, de la pluralité politique, du consensus au tour des règles de la compétition électorale, qui se doit d’être loyale, tout en admettant l’autre comme son égal en droit, devoir et chance dans la société commune organisée et structurée à cette fin légale.
*- Une élection ne peut être succès, que si les participants croient à l’impartialité de l’administration électorale.
Que donc, la démocratie et la réconciliation sont inextricablement liées et à essence interdépendantes. Donc qu’en démocratie, la réconciliation n’est pas un luxe, ou un simple accessoire de la démocratie, que l’on peut mettre de côté pour aller à des élections sans essence démocratique. Que dans une démocratie, la vraie réconciliation est une nécessité absolue, pour pouvoir arriver au système coutumier qui est le pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple. « D’Abraham Lincoln, assassiné le 15 avril 1865 ». Enfin: Qu’en démocratie, la politique est considérée comme un noble art a compétition électorale loyale. Qu’elle est une science exacte ou tous les discours et actions politiques produisent les effets escomptés. Que la démocratie s’exerce logiquement dans un concert de débat d’idées contradictoires, qui proscrit, tout égoïsme, tout égocentrisme, tout « moi ou rien ». Qu’en démocratie, c’est la citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement. Qu’en démocratie, le fondement de toute nation se trouve dans des normes juridiques de régulations sociales consensuelles acceptées par tous au départ et qui garantissent droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous. Qu’en démocratie, le droit de tout citoyen commence là où s’arrête le droit des autres citoyens. Que le peuple souverain est l’ultime détenteur du pouvoir d’état en démocratie. Qu’en démocratie toute légitimité d’un pouvoir d’état acquit par les armes et/ou revendiquée en dehors du principe un citoyen égal une voix électorale, n’est que forfaiture de truands, dictature, despotisme, autoritarisme, arbitraire et tyrannie dans un état policier, état voyou, état paria. Qu’en démocratie cette légitimité électorale rattachée à la souveraineté du peuple, résulte des élections démocratiques consensuelles organisés par un organisme électoral Apolitique désinfecté de la main des hommes politiques devenu joueurs et Arbitres. Qu’en démocratie les élections démocratiques sont des droits inaliénables des peuples souverains à disposer d’eux-mêmes. Qu’en démocratie en l’absence du respect de ce droit inaliénable, au terme d’une compétition électorale pluraliste, gouverné par un organisme électoral qui rassure tout le monde et des normes de gestions électorales consensuelles, ouvertes à tous, aucun dirigeant politique ne pourrait revendiquer une quelconque légitimité démocratique et/ou légalité textuelle assis sur des élucubrations.
Oui, de par le monde, les plus importants dans les élections ne se jouent jamais dans les urnes et par les votes observés. Les plus importants des élections se trouvent dans le système d’organisation sociopolitique, dans les normes juridiques élaborées pour la protection des élections, et pour l’intégrité électorale. Surtout oui, surtout dans l’impartialité de l’organisme électorale, qui doit échapper à tout contrôle extérieurs des partis politiques, des institutions politiques « que les élections enfantent » et les plus grands trucages se font lors de l’obtentions des droits de votes « CNI, ENROLEMENTS SUR LES LISTES ELECTORALES, DOCUMENTS DE VOTES, LIEUX DE VOTES, DECOUPAGE ELECTORAL PAR CIRCONSCRIPTIONS DE VOTES, VALIDATIONS DES BULLETINS DE VOTES COCHETS, ET LE LIEU DE CENTRALISATION DE CES VOTES ». Oui, en côte d’ivoire, aucune élection ne peut servir de jaune ou de baromètre popularité électorale, sans la satisfaction de ces exigences premières, qui précèdent l’opération de votes dans les urnes. Bon ! Peut-t-on espérer de ces grands principes de transparences électorales coutumiers, avec des gens qui n’admettent jamais s’être tromper ? Et qui prescrivent le règlement de compte partisan au centre du débat politique ? En inscrivant Dieu l’argent au cœur des relations socio-politico-idéologico-électorales ? Alors que l’embellie économique flagornée a tout bout de champs cache encore une absence totale de transparence dans l’organisation socio-politico-électorale de la totalité sociale souveraine, avec des poches d’inégalités sociales et des courbes de chômage. Oui, nous insistons, la côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique systémique, qui implique un corpus d’organisme électoral AUTONOME, APOLITIQUE, et INAMOVIBE, qui puisse mettre tout le monde politique et citoyen en confiance, et tous les acteurs d’accord.
*- Il n’y a pas de TERRES SANS MAITRES en côte d’ivoire né le 07 Aout 1960, qui ne peut en être propriétaire.
Bon ! Pauvre-de-nous. Mais, nous avons grandi à la lampe des lumières de la sagesse de notre éternel gyroscope Félix Houphouët Boigny. Nous avons appris à espérer de la persévérance de Nelson Mandela. Nous, nous sommes inscrits volontiers dans la logique de l’endurance de Gandhi. Et si nous, nous permettons de oser aujourd’hui le courage de Martin Lutter King, « avec l’aide du prisme ou spectre, de la pensée du stratège Thucydide, de la philosophie d’Aristote, des analyses de Polybe, de la théorie de Hans Kilsen et son état de droit, de l’expertise d’Emmanuel Kant, ou de Jean Jacques Rousseau et son contrat social et tant d’autres», Alors, nous dirons ici, que la côte d’ivoire est atteinte par les coups de boutoir d’un ultralibéralisme liquidateur, qu’elle vacille sur son substrat d’existence sociétale, qu’elle oscille sur ses bases souveraines, qu’elle a besoin d’antidote protecteur de son socle identitaire et de ses racines existentielles de survie, contre l’euthanasie ultralibérale prédatrice, pour ne pas qu’elle en meurt « cadavérée » chemin faisant dans le concert des Nations souveraine a identité atavique. Qu’Il n’y a pas de TERRES SANS MAITRES DANS CE MONDE, ENCORE MOINS EN CÖTE D’IVOIRE né le 07 Aout 1960, qui ne peut en être propriétaire. Que l’état n’a aucune d’habilitation de droit réel, d’attribution et d’usages délibérés des terres propriétés immémoriales. Et aucun pouvoir n’a d’Habilitation légale de droit, de Décrétés les dépossessions des citoyens de leur propriété au nom de l’état. Oui, l’état républicain de droit n’en est que simple gestionnaire, des conflits de droits et de délimitations entre diverses communautés «indigènes» autochtones propriétaires coutumiers des propriétés immémoriales. Que les terres coutumières sont aux yeux du droit international coutumier, « le droit des droits » inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables. Qu’elles « terres coutumières », sont non seulement insaisissables, mais elles ne peuvent faire l’objet d’une expropriation, même d’utilité publique, «sauf consensus et consentement», pas plus que d’une usucapion de la part de tiers. Oui, les terres coutumières sont inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables, c’est donc une mesure de protection forte qui sied à ce droit réel, « droit international coutumier, le droit des droits ». (Ceci trouve échos dans, la Déclaration des Nations-Unies sur les droits des peuples autochtones, Non-contraignante peut-être, mais elle occupe une place absolument centrale dans le traitement à fond des droits fonciers des peuples autochtones et bénéficie d’un soutien beaucoup plus massif. Oui, adoptée par 144 voix pour et 11 abstentions, elle n’avait en 2007 suscité l’opposition que de quatre Etats - mais non les moindres : Australie, Canada, Nouvelle- Zélande et États-Unis.) *- « Nous, ne souhaitons pas voir, « un Robert Mugabe » dans l’avenir, demain ! Se serait catastrophique pour notre pays, surtout se serait la résultante de l’inconséquence, de l’insouciance et de la légèreté des actions politiques, de scories passéistes, de travers politiques liquidateurs d’ultralibéralisme de jungle, instaurer par une politique déviante non-maîtrisé, divaguant dans les violations des droits du peuple».
Nous dirons donc, toujours que, la propriété coutumière immémoriale échappe aux états, il ne se prescrit pas autrement, il se protège de droit international coutumier « le droit des droits ». « Oui, la terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960 ». Que c’est pourquoi, qu’au lieu de décrété des terres sans maitres « propriétaires» en côte d’ivoire, que la côte d’ivoire a besoin nécessairement et rigoureusement, du renforcement juridique conformément au droit international coutumier « le droit des droits » et de l’inamovibilité de l’arsenal juridique du droits des propriétaires terriens immémoriaux, de façon sans équivoque, répétons-le, conformément au droit international coutumier, qui gouverne les droits de propriétés immémoriaux. D’où l’état, personne morale ne peut spolier les propriétaires coutumiers terriens. Oui, nous dirons que, l’état est astreint au rôle d’interface, et confiner dans son seul rôle d’entité morale de gestionnaire, qui se doit uniquement de légiférer sur les modalités de transactions entre personnes privées, détentrices de droit coutumier immémoriaux. C'est-à-dire, légiféré des lois régissant les « location à durée limitée, co-exploitation contractuelle, sous-exploitation contractuelle, exploitation conditionnelle lucrative contractuelle», fondées sur des contrats qui ne peuvent excéder trois (3) fois, trente-trois (33) ans, qui font au total quatre-vingt-dix-neuf (99) ans. Il est de notoriété que, le droit de propriété immémoriale des peuples autochtones, limite nécessairement la possibilité pour l’état Prédateur, qui veut décider librement du sort des importantes ressources terriennes souvent localisées sur ces propriétés ancestrales, et aussi qui aspire à tisser des relations avec d’éventuels investisseurs privés source de revenus. C’est ainsi, que le positivisme orchestré par l’état Prédateur s’oppose souvent à ces peuples, qui se trouvent souvent confrontés à l’état, là où ils sont établis avec leurs droits fondamentaux de propriété, comme mode d’expression d’une identité culturelle. Toutes les communautés nationales de souches multiséculaires connaissent bien les limites ataviques des propriétés terriennes immémoriales, c’est pourquoi il y a toujours des affrontements intercommunautaires liés à la propriété terrienne. IL N’Y A PAS DE TERRES SANS MAITRES EN CÖTE D’IVOIRE…
*- Un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger avant la phase terminale de sa noyade.
Et qu’enfin nous dirons que, le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, que mais la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, n’est plus elle-même dans le concert des nations civilisées. Et qu’en ce moment précis de notre jeune histoire d’existence étatique souveraine, nos valeurs sociétales sont en périls, la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et paisiblement est obstruée. La gouvernance conforme à la moralité internationale voulue par Félix Houphouët Boigny est prise en otage, séquestrée dans une bicoque d’Affairistes. Que le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociopolitique, sans lesquelles aucun développement n’aurait de sens humain, et la restauration de notre pays dans son statut atavique d’Havre de paix, de droit, de respect des différences, de démocratie, sont devenues une illusion pour le peuple ivoirien, un objectif recherché par les ivoiriens mais inatteignable pour la côte d’ivoire. Et qu’il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger avant la phase terminale de sa noyade. Qu’il ne faut pas se leurrer, la côte d’ivoire se noie dans l’océan des nations civilisée. Qu’il y a danger, qu’il y a péril, et qu’il y a mort par euthanasie politique, sciemment et habilement préparée par la désocialisation, à l’horizon pas très lointain, du destin ivoire dans le concert des nations civilisées. Que le peuple ivoirien n’est plus acculturé, mais, il se dénature, il se désocialise, il se dépayse progressivement dans son propre pays. Ça c’est pour le courage d’expression langagière qui sied à Martin Lutter King. BON ! Les acteurs politiques ivoiriens, et hommes publics ivoiriens d’Aujourd’hui ne doivent jamais oublier que, les faits sur lesquels nous tergiversons aujourd'hui, au gré de nos intérêts politiques, pécuniaires et mercantilistes, avec des morts à l’arrivée, nos roublardises en n’écoutant l’autre pour pouvoir lui administré un contre-pied loufoque, sont ceux-là mêmes sur lesquels l'Histoire nous jugera demain, sur lesquels la postérité ne nous pardonnera jamais demain. Sous l’éclairage divinatoire de la phrase sentencielle: «Ai-je fait, bien fait pour mon pays ce que je dois ?»
Donc, il nous faut donc, un corpus d’organisme électoral AUTONOME, APOLITIQUE, et INAMOVIBE, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs d’accord. Pour ne pas retomber dans les mêmes travers systémiques des élections de façades sous l’influence d’un politicien ou d’un parti politique quel qu’il soit. Disons ici encore, qu’il nous faut absolument exiger une commission électorale autonome et Apolitique sans bidonnage politique. Parce que lorsque dans un système électoral, certains dirigeants de l'organisme électoral sont nommés par les différents pouvoirs de l’état «exécutif, législatif et judiciaire», sur la base de leurs appartenances et de leurs liens privilégiés avec les dirigeants de ces pouvoirs. Et/ou sont nommés par les partis politiques, les groupements de partis politiques, les mouvements politiques et les candidats indépendants en compétition, donc nommé sur la base de leur adhésion à un parti ou de leur affinité pour un certain bloc de parti, ou partisans des candidats indépendants, la neutralité dans ce cas devient logiquement incertaine, sinon impossible. L’impartialité devient inconciliable avec la défense partiale d’appartenance à des intérêts politiques particuliers que sous-tendent ces appartenances qui nomment au sein de l’organisme électoral. Or une élection ne peut connaître de succès, que si les participants au processus électoral «candidats ou citoyens électeurs», croient que les administrateurs électoraux accomplissent leurs tâches de façon neutre, impartiale et sans sensibilité politique. Oui, pour des raisons de souveraineté et de l’état de droit, il convient de revoir l’organisation électorale. DONC QU’IL FAUT LOGIQUEMENT BOYCOTTER TOUTES LES ELECTIONS CADAVRES A VENIR. A COMMENCER PAR LES ÉLECTIONS LOCALES «MUNICIPALES ET RÉGIONALES» ET PARTANT LES SÉNATORIALES QUI S’Y RATTACHE RETIRÉ DU SUFFRAGE UNIVERSEL DIRECT, POUR ÉCHOIR A LA LOGIQUE NÉBULEUSE DE PARTAGE DE GÂTEAUX. DONC, BOYCOTT-DE-REFUS DE LÉGITIMER UNE MASCARADE ÉLECTORALE A CIEL OUVERT. Citoyens libres ici encore, malgré nous, nous avons KOUMA en espérant de la stabilité et de la paix. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.