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30 novembre 2023 4 30 /11 /novembre /2023 00:00
LEPETITFILS : Un processus électorale est un marathon, ça ne finit pas toujours bien pour chacun des candidats ou chacun des partis et ce ne sont pas toujours les meilleurs qui gagnent, la versatilité du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état oblige. Donc, souvent quand on espère de la sortie des colombes toutes Blanches dans les urnes, ce sont les craps Poilus qui y sortent pour gâcher la fête. Donc BRAVO George Weah.

LEPETITFILS : Un processus électorale est un marathon, ça ne finit pas toujours bien pour chacun des candidats ou chacun des partis et ce ne sont pas toujours les meilleurs qui gagnent, la versatilité du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état oblige. Donc, souvent quand on espère de la sortie des colombes toutes Blanches dans les urnes, ce sont les craps Poilus qui y sortent pour gâcher la fête. Donc BRAVO George Weah.

*- BRAVO George Weah

Oui, ré-soulignons-le a l’occasion, l’élection est une lutte loyale pour la conquête du  pouvoir légal et légitime, donc elle n’est pas un moyen d’éviter la confrontation politicienne des intérêts mafieux des exploiteurs de la misère du peuple qui fait leurs fortunes, maculées de sang citoyen et imbibées de larmes d’orphelins de pères et/ou de mères, suite à des sales guerres.  Mais elle est plutôt la capacité de gérer la confrontation démocratique, politique, électorale sans arrivée au pouvoir par les armes quel qu’il soit y compris les coups d’états, et elle est la capacité de contenir la défense des intérêts politiques à l’intérieur des limites acceptables. Et le tout dans un système qui respecte les principes internationaux, et qui garantissent les droits et le cadre institutionnel d'élections honnêtes, en conformité avec les obligations étatiques contractées en vertu du droit international. Oui ici, il est question de soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas.  Parce qu’un processus électorale est un marathon, ça ne finit pas toujours bien pour chacun des candidats ou chacun des partis et ce ne sont pas toujours les meilleurs qui gagnent, la versatilité du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état oblige. Donc, souvent quand on espère de la sortie des colombes toutes Blanches dans les urnes, ce sont les craps Poilus qui y sortent pour gâcher la fête. Donc BRAVO George Weah, et pour le prochain match d’olympiade démocratique et électorale a venir, va nous préparer rapidement une de ces reprises de volée magistrale, spectaculaire et millimétrée pour la pleine lucarne hors porté de tous.  Tu en n’es capable et nous faisons confiance ; BRAVO ! A vous pour l’olympiade fêtarde.

Soit dit en passant de la LC_CRS. Le Leader

LIRE LA TRIBUNE CI-DESSOUS SVP. MARCI !

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8 novembre 2023 3 08 /11 /novembre /2023 02:18
Lepetitfils : Le peuple souverain de côte d’ivoire, qui au pire moment d’incertitude sociopolitique, seulement 8 mois d’un coup d’état traumatisant du 24 décembre 1999, qui à voter sa constitution en juillet 2000 à 55,97 %, avec la victoire du 0ui à 86,58%  et qui a voté à 82% et 81% en 2010 a la présidentielle, alors jugée ou supposée ouverte par les citoyens libres, qui après régulation systémiques un jour, saura prendre sa responsabilités et décidera de s'engager dans la vie publique, en venant aux urnes pour faire bouger les lignes sociopolitique du pays.

Lepetitfils : Le peuple souverain de côte d’ivoire, qui au pire moment d’incertitude sociopolitique, seulement 8 mois d’un coup d’état traumatisant du 24 décembre 1999, qui à voter sa constitution en juillet 2000 à 55,97 %, avec la victoire du 0ui à 86,58% et qui a voté à 82% et 81% en 2010 a la présidentielle, alors jugée ou supposée ouverte par les citoyens libres, qui après régulation systémiques un jour, saura prendre sa responsabilités et décidera de s'engager dans la vie publique, en venant aux urnes pour faire bouger les lignes sociopolitique du pays.

A LIRE INTEGRALEMENT POUR POUVOIR SORTIR DU TROU ABYSSAL.

*- RETRO : « Kouma » : Un système électoral, qui encourage et protège la tenue d’élections démocratiques.

Bon ! Commençons par dire ici que, pour sortir quelqu’un coincé dans un puits abyssal, la corde de sauvetage doit non seulement être incassable mais doit avoir la même mesure de longueur que le puits Abyssal ou il est coincé. Donc, ici, sans se leurrer, il nous faut se détromper en prenant la mesure réelle du danger dès maintenant. Et savoir que nous ne vivons qu’une accalmie temporaire avant de nouveaux orages cycliques et des tempêtes catastrophiques peut-être avant 2025 ? Mais sûrement en 2025, qui n’épargneront guère personne en côte d’ivoire. Le problème ivoirien est loger dans le système électoral ivoirien et en politique le même système produit toujours le même résultat invariable. « On ne peut pas semer le piment et s’attendre à récolter la tomate ». Oui, la question électorale constitue la partie essentielle de la crise sociétale ivoirienne. L’essentiel en jeu depuis le 24 décembre 1999, pour arriver à l’injustifiable des 18/19 septembre 2002, et de prendre son siège définitivement à partir d’Avril 2011 au terme d’une vraie fausse élection. Donc, il faut aux citoyens ivoiriens d’être capable de faire pièces dans un face-à-face résolu et hyper-engager à un système politico-démocratique et à une organisation électorale devenue mafieuse et voyou. Et ensuite, que les citoyens libres responsables de leur destin décident de ne plus désespérer de la politique et du pluralisme  électoral de leurs pays en venant volontiers et fermement aux urnes, et d’ouvrir les yeux sur la gestion publique des affaires de l'état, sur les ressources naturelles souveraine.

Donc des citoyens engager et impliquer dans la vie publique pour faire bouger les lignes sociopolitiques et électorales de leur pays. Et soutenue en cela par une société civile pour sa part réactivée et décidée de descendre dans l'arène politique, avec la ferme intention d'y jouer un rôle de premier plan en faisant progresser la versatilité électorale en fonction des discours qui résulte des débats démocratiques et de l’intelligibilité des idées émises, de transparences, de loyautés et de bon sens. Donc, d’agir dans l’espace public, pour transformer son pays, conformément à un idéal sociétal défendu et accepté par le peuple, agir pour l’intérêt général de totalité sociale souveraine jusqu’à la limite de l’humainement admissible, en transcendant son être, ses intérêts personnels souvent situé à l’opposé de l’intérêt de la totalité sociale. Donc se battre au lieu de se plaire dans le rôle d’un Bouc désertique entre les mains d’un boucher sahélien. Bon ! Répétons ici encore que, la politique est un combat permanent entre ceux qui veulent le bonheur du peuple et ceux qui à l’opposée n’ont d’autre vision du monde que l’enrichissement perpétuel au détriment du peuple. Or Tant que les citoyens ordinaires seront ainsi mal gouvernés parce que leurs États sombrent dans l’absolutisme unilatéraliste, ils ne pourront pas profiter de la richesse de leur pays et des retombées de l’organisation politique et sociale de leur société commune.

Donc, dire les vérités des choses sociétale au peuple souverain, quand elles vont bien et quand elles vont moins bien, surtout dans la gouvernance socio-étatique, dans l’organisation économico-politique, d’ainsi démontrer par son action politique, qu'on apporte une valeur ajoutée à l'action publique de son pays, qui profite à la nation une et indivisible, dans des actions politiques capables d’anticiper les perspectives d’avenir du peuple dans le temps. Et de guider et d’orienter le souverain peuple en véritable gyroscope sur les meilleures voies qui profitent a la totalité sociale « sans une seule goutte de sang versée ». Donc,  de réguler la vie sociopolitique par des critiques légales, par des dénonciations légales, par des actions légitimes, qui constituent sans aucun doute, le fondement d’une société libre, d’une société cohérente, d’une société harmonieuse, d’une société de droit et d’une société démocratique, qui permettent aux citoyens de s’épanouir en tant que citoyens libres et égaux. Qui partent à la conquête électorale de la représentativité nationale sur la même ligne équidistante des pouvoir. Oui, nous, nous sommes convaincu à LC-CRS que, si la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle ou le peuple est l’absolu souverain ultime détenteur du pouvoir d’état , certains comportements anti-démocratique sont à bannir et le fondement de cette démocratie doit être le droit dans toute sa rigueur, avec des citoyens qui respectent les règles loyales démocratique. Ce qui fera de notre pays, un pays de citoyens égaux en droit et devoir et en chance égale dans la vie publique. L’exigence de citoyenneté porte en elle-même le droit égal pour tous à la chance, à la vie, à la sureté de sa vie. Ce qui n’est autre chose qu’un état républicain de droits.

*- Rien de concret, le noir, le néant, le vent, le sable, le vide, le brume des goudrons, des  ponts, des échangeurs.

Répétons-nous encore ici, il est universellement de notoriété, qu’un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger réel avant la phase terminale de sa noyade. Il ne faut pas se leurrer lamentablement, progressivement, petit-à-petit, la côte d’ivoire perd son identité socioculturelle, se dénature, se déracine, se désocialise, se noie dans l’océan des nations civilisées, ou chacune des sociétés est reconnue par son identité spécifique. Oui, il y a le feu à la maison ivoire, il y a danger, il y a péril, il y a mort par euthanasiste sciemment et habilement préparée par désocialisation et acculturation, et par l’orchestration habile masquée de l’asphyxie du destin ivoire dans le concert des nations civilisées. Oui, le peuple ivoirien, se dépayse, sombre lamentablement dans une crise culturelle et ocio-identitaire, elle s’étouffe progressivement sur la terre de ses propres ancêtres. Oui, nous ne changerons rien du déjà dit : Il faut au peuple ivoirien de tous bords à rang serré, en mur compact, et en filet bien rafistolé a jamais, épaules contre épaules, coudes-à-coudes, côte-à-côte, mains dans les mains, pour exiger un organisme électoral Apolitique, Autonome, totalement indépendant de la politique politicienne et des hommes politiques roublards loufoques, devenus joueurs-arbitres par pratiques, pour arrêter la dynamique démoniaque, perverse, des élections a cadavres, surtout pour exiger la réguler de la vie sociopolitique, donc, pour se défaire pacifiquement de l’engrenage qui risque d’être fatal dans quelques Années, 2025 et suivantes.

Oui, se défaire de l’actuelle dynamique perverse, démoniaque, des élections à cadavres de citoyens, dynamique qui veut que l’affirmation de soi passe par la négation des autres appartenances. Que la valorisation de soi passe par la dévalorisation des autres sensibilités. La composante de cette dynamique perverse, démoniaque, des élections a cadavres de citoyens a désormais pris assurance, confiance et sérénité en elle-même, mais cette confiances orgueilleuses en elle-même, n’est due à une quelconque force politique ou force idéologique, ni à une quelconque force naturelle ou morale, ni à la popularité d’une politique prédatrice de l’ultralibéralisme de jungle et sa politique économique dirigiste criminel protectrices des intérêts particuliers, ni à leurs propres popularités électorales. Hélas, milles fois hélas, leurs confiances orgueilleuses est la conséquence du manque de toute action synergique des citoyens libres attentistes dégoutés et de toute opposition conséquente de ses adversaires politiques devenus en grande partie accompagnateurs et observateurs ou mêmes suiveurs dans des stratégies contre productives. Et la faute est aux cooptés, aux trimbalés, aux suiveurs, aux adhérant au système démoniaque. Depuis  le 24 décembre 1999 au 18-19- septembre 2002 pour arriver au 11 avril 2011 jusqu’à ce jour,  rien de concret, le noir, le néant, le vent, le sable, la poudre « de cocaïne », le vide de la majorité des poches et le brume des goudrons, des  ponts, des échangeurs et le béton opaque du surendettement. Oui, pas une seule mesure politique, économique et sociale, intelligente, crédible, opportune, novatrice et stable dans le sens du consensus socio-républicain, de la transparence électorale, de la paix sociale. Rien que s’évertuer avec assiduité et impénitence pour se remplir les poches au terme des compromissions électorales mafieuses.

*- Un système attrape-tout qui ne stoppe pas de lui-même ses projets et entreprise de confiscation du pouvoir. 

Bon ! Concernant l’alibi d’un développement tricyclé, et d’une possible émergence économique, une politique qui laisse les citoyens au bord de la route du progrès social, et fondé sur des taux de croissances Farfelus chanté à tout bout de champs. Retenons que l’Afrique du sud ou le Nigeria, de loin les pays les plus riches d’Afrique ne figurent pas parmi les pays Africains à la croissance la plus forte. Mais c’est plutôt l’Ethiopie et l’Erythrée qui ne figurent pas non plus dans les pays Africains les plus riches. L’Ethiopie est l’un des rares pays d’Afrique à avoir une croissance stable entre 7,5% et 8%. Alors que 13 millions d’Ethiopiens souffrent encore de malnutrition. Or paradoxalement, ce pays est le premier en tête des meilleures croissances PIB africaines. Malgré cette forte croissance, l’Ethiopie dispose de l’un des plus faibles revenus par habitant au monde. C’est ça le développement des grands usuriers internationaux. C’est pourquoi, aujourd’hui en Côte d’Ivoire au-delà de la question développementale visqueuse, de la question opaque de l’émergence économique, de la question particulière et singulière de l’organisation sociopolitique glauque, de l’obscurantisme de la gestion systémique de la totalité sociale souveraine et d’un  modèle vivable de société commune que nous voulons paisible, ce sont des questions universelles plus générales, qui se posent à nous, dans la recherche de l’unanimité autour des bonnes élections mobilisatrices, de la stabilité politique, de la paix, de la liberté publique et individuelle, et de la démocratie.

Oui, comment obtenir et pouvoir imposer à tout le monde, acteurs politiques, hommes publics et acteurs de la société civile ivoirienne sans exception le respect de la supériorité des normes juridique de régulations sociales consensuelles, y compris aux dirigeants a la tête de nos institutions républicaines vermoulues et de notre système démocratique confisqué dans le non-respect du droit et des règles ? Comment pourrions-nous obtenir un organisme Impartial de gestions électorales, qui rassurent tout le monde et les citoyens dégoutés ? C’est à dire, comment obtenir une vie de démocratie réelle avec des élections pluralistes qui respectent les normes de transparences internationales, sinon Françaises ? Face à un système politique, près à piétiné tous les droit et règles pour arriver à ses fins obscures. Puisqu’il est d’une constance absolue que ce genre de système politique, ne stoppe jamais de lui-même ses projets et entreprise de confiscation du pouvoir d’état. Et qui n’arrête jamais de lui-même ses micmacs et ses zigzags autour de la chose publique et autour des normes de l’organisation sociale, qui décide de la vie de tous, de la totalité sociale souveraine et de l’avenir de la société commune.

*- Les anathèmes, excommunications, apartheid sociopolitique, Couvert par des sales codes criminels « GUI ! ? »

Oui, depuis 2011 jusqu’à maintenant, nous avons observé des contradictions très choquantes entre la réalité sociopolitique ivoirienne, et les principes universels démocratiques, surtout entre les discours officiels des tenants du pouvoir d’état et leurs actes politiques. Le plus ostensible et manifeste de ces contradictions consiste à refuser habillement d’aller à des élections démocratiques à compétition loyale, pleine et entière, et de cadenasser hermétiquement les élections dans son système d’organisation. Et en faisant tout, pour faire croire au monde entier avec des chiffres de pourcentages électoraux qui ignorent les taux de participations qu’ils sont des grands démocrates et républicains. Cela en jetant en pâture les attributs et symboles du pouvoir au peuple, avant de les lui reprendre par des moyens et procédés irrationnels « je suis élu par le peuple ? ». Et ensuite, ne s’embarrasser d’aucun scrupule, souvent dans la violence armée, pour s’y maintenir contre vents et marrées. « Ceci est compréhensive d’autant plus que,  l’Afrique noire est la seule portion territoriale dans ce monde ou on se dit homme politique en quête légale et légitime du pouvoir et soutenir les coups d’état, applaudir les coups de forces armés, faire l’apologie des putschistes. Pauvre et misérable Afrique noire. L’Afrique noire est Mal partie. »

Donc voilà, au-delà des discours économiques d’autosatisfaction d’un pouvoir devenu aveugle, l’avenir de la chère patrie, la Côte d’Ivoire prise en otage, est maintenant réellement menacée, par d’autres crises plus graves que les précédentes. Parce que nous avons des hommes politiques mafieux qui œuvrent dans l’arène politique, en dépit du droit et au mépris de toutes les règles démocratiques. Et diantre ! Qui n’aiment pas admettre s’être trompés, en faisant fausse route à la tête du navire ivoire. D’où la soumission seigneuriale ou la prison pour toute sorte d’opposition. Nous vivons en côte d’ivoire sous un pouvoir ultralibéral prédateur de jungle,  avec une politique de dirigisme économique, qui est drogué aux défenestrations de l’économie ivoirienne, et à la spirale du  surendettement, qui est tout simplement en passe de nous tracer un affreux sillon d’avenir vers la ruine dans un précipice abyssal « économique, démocratique, électoral » demain. Cela avec une peuplade de clan bouffe-tout, des séides boulimiques, un phalangisme attrape-tout, un copinage sectaire, une concussion obscurantiste abjecte  et un parrainage d’une mafia international des grands usuriers internationaux. Pour un Dieu l’argent BLANCHIT.

*- Des élections ou, on serait astreint de convaincre, de persuader, d’éclaireur, pour gagner l’adhésion du peuple

Oui, une peuplade carriériste pathologique et arriviste renégat, qui ne recule devant aucune catastrophe pour assouvir son dessein, d’interpénétration de la politique avec les affaires mafieuses. Son credo d’obstruction politico-électoral au tour du système démocratique est l'expression la plus antagonique du droit de suffrage et l'affirmation en acte de la volonté d'infléchir et de corrompre le destin du peuple pour le réduire à la seule exigence égocentrique de Dieu l’Argent. Leur gestion des affaires étatiques et de gouvernance politico-électorale sont plus fondamentalement un mode d’imposition unilatéraliste et de domination tenu pour archaïque au 21e siècle. Leur action politico-électorale clanique de victoire absolue porte en elle-même les germes de crises sociopolitiques de toutes sortes comme les nuées portent inexorablement l’orage. Ici leurs pratiques politiques et de gouvernances contredisent toutes théories politiques intelligibles du monde réel. Or la pensée politique théorique est par logique et par nature indissociable avec l’action politique dans la pratique, les deux sont liées inextricablement, l’une éclaire l’autre comme continuité synergique. Mais que Non ! L’OBSCURE, le GLAUQUE.

  1. (*- Diantre ! (Les anathèmes ? Les excommunications ? L’apartheid sociopolitique ? Couvert par des sales codes criminels « CI !? ou SI !? Sinon GUI !? » Sont tous d’expressions obscurantistes. Mais nous revendiquons la chaise électrique sur la terre bénie de nos Ancêtres). Oui, Même les pauvres gestapiste dégonflés dans des accoutrements peux enviables vous tchatchent sans prendre de garde « qu’ils ont dit partout qu’il est de ça ! Diffamation effrénée, Calomnie criminelle, Médisance maléfique obscurantiste qui fuient tous le champ politique pour se confiné dans un misérabilisme politicienne Ä-FÄKÄYÄ-ISE outrancière et outrageuse.) Bon, Ce Canaris ne survivra pas à son porteur. Donc, une société ivoirienne ou les politiques n’envisagent le combat politique et le débat démocratique, que sous la forme d'une guerre civile opposant deux armées rivales qui ne pensent qu’à s’exterminé mutuellement, a la guerre comme à la guerre. Oui, «Hier, à-chez-nous-pays, quand un bœuf Beuglait c’était, le N’GBououou ! Aujourd’hui quand un bœuf Beugle, c’est du Guiii, du Siii, ou du Ciii, sinon du iii ». Et les éléphanteaux « Houphouëtiens », dénaturé, acculturés et désocialisés » se sont coucher pendant longtemps parmi les cabris du désert, ils ont fini par sentir le Bouc sahéliens « Flêkê-Flêkê, Bâkôrônî – Bééééé-Puuufff»).

Le tout dans un brouhaha, ou au lieu de  persuader par une rhétorique lisible et audible, et de convaincre l’autre, on se saigne et on s’achever dans la fureur, des hallalis orchestrés de façon nébuleuse et ruelle et cruelle. Donc, au lieu de s’inscrire dans la logique des grandes querelles qui engagent la vie de la nation toute entière et l’intérêt général de la totalité sociale ivoirienne, on fait semblant de se serrer les épaules et les coudes, de se tenir les mains côte-à-côte, en alors qu’en réalité, on investit toute son énergie dans de sadiques et insidieuses opérations destinées à se liquider mutuellement, « la nature sait que nombres de présidentiables y ont laissé leurs vies, leurs plumes peuplent un ring glauque et visqueuse qui ne peut échapper aux oiseaux du même plumages » nous y sommes, au risque de couler avec la nation et sa composante, qu’est la totalité sociale souveraine. Cela u mépris du peuple souverain qui est le destinateur privilégié de tous les discours politiques, par ce que détenteur ultime du pouvoir d’état. Ce sont ce qui fait de 2025 l’Année la plus redoutable pour la côte d’ivoire. Or ça devait être une fête, ou le citoyen qui veut le pouvoir du peuple doit parler au peuple. Et doit constamment à chaque occasion de crises faire la preuve de sa légitimité populaire devant le peuple souverain. C’est ça la démocratie, c’est ça gouverné avec le consentement du peuple souverain gouverné qui obéit par conviction. Bon ! Passons, Continuons, citoyens libres.

*- Afin de barrer la route à la destruction, a la dégénérescence, au chaos, qu’elles génèrent a tous les coups. 

Donc, disons-nous qu’au-delà de la politique électorale politicienne et de la démocratie affairiste pour se remplir les poches, qui fait diversion avec des discours économiques creux et exutoires, alors qu’il y a pire à résoudre, il est temps et grand temps que, les citoyens de tout bord, et tous les partis politiques de tout bord se rejoignent maintenant avant  2025, et pour toujours, autour de l’essentiel sociétal mise en jeu. Donc, tous unis se rejoindre tous, pour obtenir un organisme électoral Impartial, Neutre, Apolitique, Autonome, totalement Indépendant, capable d’organisé des élections démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres. Se faisant ici, c’est l’intégrité du processus électorale qui est recherché, pour garantir, impartialité, neutralité, transparente. Des valeurs qui doivent être assise sur un système électoral, qui encourage et protège, de par son organisation systémique, la tenue d’élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Ce qui permettra, au pire d’envoyer le pouvoir actuel d’Alassane Ouattara a Kong comme un pauvre cultivateur, si on ne le chasse pas de là-bas pour manque de propriété terrienne, et/ou au mieux l’envoyé dans l’opposition ivoirienne a vie. Le pouvoir d’Alassane Ouatera, est conscient de sa minorité électorale acquise, il ne peut pas oser ouvrir le jeu démocratique et électoral. Non ! Cela signifie la perte du pouvoir d’état confisqué depuis 2010.

Donc, le pouvoir d’Alassane Ouattara sera toujours l’arbitre du processus électoral avec sifflet d’arbitrage a la bouche et l’avant-centre de son équipe R?DP en compétition, « la commission électorale, le conseil constitutionnel, le découpage électoral et le mode de scrutins  électoral, supports des votes citoyens» seront soumis à l’arbitrage de ce pouvoir dans un processus électorale de foutaise. Ou les buts de la main de Dieu qui échappe au contrôle vidéo seront validés de droit. « Si je mens, ouvrez messieurs on va voir, Agouti connait pas chien « kôgnînâ-mâ-wroulou-lôn ». Malgré tout, comme dit plus haut, cette fichue cohorte lamentable d’impopulaires politicards d’une misérable peuplade politico-électorale, ont pourtant confiance en eux-mêmes. Cette confiance orgueilleuse, n’est pas due à une quelconque force politique et électorale, ni à une quelconque force naturelle ou morale, ni à la popularité de leurs conception politique attrape-tout, ni au communautarismes de rattrapages protecteur des intérêts claniques, ni à leurs politiques économiques dirigistes criminelles, ni à leurs propres popularités électorales. Mais hélas ! C’est la conséquence du manque de toute opposition conséquente, tranchée, conjuguée dans homogénéité, de toute adversité politique de toute conception politique de tous ensembles salvateurs. Comme c’est déjà dit dans ce pays qu’après Dieu c’est le monarque, donc les mains de Dieu sont supposées votantes pour le monarque et pour sa suite royale en 2025. 

Ou tout au moins de lui trouver un prince héritier a son image despotique, qui puisse assurer la continuité du système en couvrant les arrières casseroles puantes du système dans les cuisines mafieuses. Dès lors le système étant devenu monarchiste, alors pourquoi, un ou des zéros pointés n’ambitionneraient-ils pas d’être le numéro  des ivoirien et de confisqué a jamais le pouvoir d’état en 2025. Eh bien oui ! Dans tous les cas le mal est là, le danger est là, avec les élections programmées pour 2025 et leurs plus que possible confiscation systémique,  désormais le volcan dort sur la terre de nos ancêtres. Donc, se rejoindre tous, au nom de nos droits, de nos libertés, de la paix sociale et au nom de la philosophie politique de paix de Félix  Houphouët Boigny, « le socle de valeur commune aux ivoiriens ». Pour enfin barrer la route de destruction et de dégénérescence sociale et au chaos social sempiternel, qu’elle génère a tous les coups. Et comme déjà dit plus haut, d’exiger tous ensemble dans la paix, des normes juridiques de régulations sociales consensuelles, un organisme électoral Apolitique  Autonome, Indépendant, Impartial, Neutre, dans le strict respect des droits, des libertés, de l’état de droit et d’une société démocratique. La stabilité sociopolitique est a ce prix, la paix sociale harmonieuse est à ce prix. Les bonnes coexistence intercommunautaire est à ce prix. 

80% Dégoutés boycottent la ligne suicidaire de moins de 20% dégoutants qui suivent des politicards dégoutants

Puisque, cela conduira certainement à une côte d’ivoire cohérente, paisible, harmonieuse, débarrassée de toutes les scories passéistes de clownesques fabriques électorales d’implantations mafieuse, et à une côte d’ivoire de l’Olympiade électorale discursive et démocratique, ou les citoyens seront la centralité absolue, et ou l’homme politique serait contraint de convaincre, de persuader, de dissuader, de jouer le rôle de gyroscope, d’éclaireur, pour gagner l’adhésion du peuple a ses idées et partant pour gagner les élections démocratiques pluralistes. Un tel système électoral Olympien sert à atténuer les éléments potentiels de conflits électoraux, et à lubrifier le mécanisme des rapports politiques et électoraux, afin de garantir l’intégrité électorale, la stabilité  et la paix sociale pérenne. En effet, c’est seulement avec l’adhésion consensuelle de tous, à un système électoral d’intérêt général, que le système des interactions socio-politico-électoral peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents. Oui, ou le pouvoir ne serait plus jamais dans notre pays, au bout des  fusils de fantassins tirailleurs. et surtout ne serait plus jamais acquis sous la base de fausse notoriété, de faux Auras, assise sur l’escroquerie morale et intellectuelle, sur les faux prismes et les fausses Aunes, ventilés a tout bout de champs et entretenus à dessein politique et électoral, d’intérêts particuliers.. Ainsi une fois ces droits restaurés, la démocratie obtenue, la libre expression ouverte, les citoyens doivent s’efforcer par la suite en transcendant les intérêts particuliers, d’aller à la réconciliation nationale. Pour soigner les plaies sociales ouvertes béantes afin d’avoir sa société de paix sociale, de concorde civile, de reconnaissance mutuelle, d’exaltation de la diversité solidaire pour une côte d’ivoire nouvelle, une et indivisible. La fin des crises électorales est à ce prix, les bonnes élections sont à ce prix unique.

Oui ! Le peuple souverain de côte d’ivoire, Aujourd’hui à plus de 80% de citoyens Dégoutés qui ont boycottés et désertés la ligne suicidaire édicté a moins de 20% de citoyens dégoutants parce que suivant la ligne édicté par des politicards dégoutants. Ce peuple souverain de côte d’ivoire, qui au pire moment d’incertitude seulement 8 mois d’un coup d’état traumatisant du 24 décembre 1999, à voter sa constitution en juillet 2000 à 55,97 %, avec la victoire du 0ui à 86,58%  et qui a voté à 82% et 81% en 2010 a la présidentielle, jugée ou supposée alors ouverte par les citoyens libres, qui après régulation systémiques saura prendre sa responsabilités et décidera de s'engager dans la vie publique, en venant aux urnes pour faire bouger les lignes sociopolitiques de la côte d’ivoire. Et la société civile pour sa part suivra de droit en décidant de descendre dans l'arène politique, avec la ferme intention d'y jouer un rôle, en appelant les citoyens aux urnes, en faisant progresser des idées de bon sens et les débats contradictoires d’idées et démocratiques bien constructifs. Ceci est un devoir de citoyen libre digne de ce Nom, qui doit tout simplement pouvoir dire Non « cette d’denrée rare », à la politique de l'autruche et savoir lire entre les lignes. Un citoyen libre doit s’efforcer de connaître avec certitude la réalité des choses publiques, se montrer juste dans l'appréciation des justes réalités des choses de la vie sociale. En se comportant avec exactitude dans l’action de régulation sociopolitique au mépris des intérêts particuliers et de ses intérêts, et en agissant à la suite des éclaireurs d’opinions de la totalité sociale souveraine, à la limite de l’humainement admissible.

Puisque, qu’une vraie œuvre de régulation sociale, c'est l'art de rendre possible ce qui est une nécessité absolue pour la stabilité politique, et pour la paix sociale. Et il est possible, et d’une nécessité absolue d’obtenir légalement, légitimement, loyalement, un organisme électoral Impartial, Neutre, Apolitique, Autonome, totalement Indépendant, capable d’organisé des élections démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres. Dans un système électoral, qui encourage et protège, de par son organisation, la tenue d’élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Nous avons déjà dit que : Ceci est d’autant facile et aisé en/pour la côte d’ivoire ou il y a des gens qui parlent Midi-Matin-Soir et du 1er (premier) au 31 au Nom d’un GNAMIEN PBWLI. La LC_CRS  ne connait pas l’adresse d’un PBWLI, mais ces gens-là mettent leurs GNAMIEN PBWLI, au-dessus de tout donc ils sont la solution aux fausses élections, parce qu’ils peuvent imposer les principes de leurs GNAMIEN PBWLI au service d’un citoyen égal une voix et tout le monde même est chose comme le veut leurs PBWLI, bon ! Pour d’autre habite en Haut et pour d’autre habite en Bas, mais tous les (2) deux placé au-dessus de la politique politicienne leurs GNAMIEN PBWLI. D’Ou le Bidon de Bandji-Blanc côtoie le Céri-Dagâ et se congratulent, avec chacun son contenue « d’eaux » bien Buvable dans le respect mutuel des différences sociopolitiques comme deux camarades de citoyenneté commune solidaire. Oui, Un organisme électoral Apolitique et Autonome ne peut pas être entrainée dans l’arène politique partisane ou être influencer l’électorat de quelque manière que ce soit, ou suscité de quelque manière que ce soit les votes des mains de Dieu, parce qu’un candidat vient après Dieu dans sa suite. Ces gens-là connaissent l’adresse de leurs. PBWLI. Oui, un processus électorale c’est un marathon, ça ne finit pas toujours bien pour chacun des candidats ou chacun des partis et souvent quand on espère de la sortie des colombes toutes Blanches dans les urnes, ce sont les craps Poilus qui y sortent pour gâcher la fête. Citoyens libres, nous sommes condamnés a KOUMA, donc nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

*- Pour tous autres et pour ample infos continuez sur; www.dacandylepetitfils.over-blog.com

 

 

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30 octobre 2023 1 30 /10 /octobre /2023 12:59
Lepetitfils ; Une société ivoirienne, qui admette sans faux fuyant, l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, mais la côte d’ivoire n’est plus elle-même. Il nous faut un système de régulation juridique et démocratique. Il nous faut un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. L’organisme électoral Non-Autonome et Non-Apolitique dit CEI, version passeur de ballon au pied du pouvoir, ne rassure personne.

Lepetitfils ; Une société ivoirienne, qui admette sans faux fuyant, l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, mais la côte d’ivoire n’est plus elle-même. Il nous faut un système de régulation juridique et démocratique. Il nous faut un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. L’organisme électoral Non-Autonome et Non-Apolitique dit CEI, version passeur de ballon au pied du pouvoir, ne rassure personne.

«Entre guillemet soulignons ce qui suit ici : «On peut changer mille fois ou dix milles fois les acteurs politiques et les pions politiques, les dirigeants des partis politiques, a la recherche des oiseaux rares, on peut aussi changé mille fois ou dix milles fois de Gouvernement avec les mêmes ministres, rien ne changera, rien ne bougera. C’est le système qui est en cause. Parole du Leader de la LC_CRS, parolier des citoyens, analyste politique, chroniqueur politique, tribunicien politique, parmi tant d’autres. Nous ne sommes ni in-formeur, ni informateur, nous sommes une sensibilité politique, doublement centriste républicain social, respectueux des principes du débat démocratique, guidé par un idéal sociétal, nous opérons que dans le politiquement conventionnelle, de sorte que, quand nous disons qu’une gouvernance est une déliquescence systémique, qu’une gestion des affaires publiques est une dégénérescence sociale, qu’un pouvoir déviant sent le déchet toxique, la cocaïne, le copinage, le clanisme de voleur endurci, qui sont tous une malédiction pour le pays, ceci ne sont soumis qu’à l’appréciation et à la contradiction démocratique du destinateur exclusif qu’est le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir». *-*-*- Retenons que quelques soient ses supports, nos analyses ont pour but d’éveiller les consciences, donc de faire comprendre, d’éclairer les lanternes, donc de faire savoir, de débattre des faits sociaux pertinents qui demande régulations, donc d’être parolier du citoyen, de convaincre les réticences citoyennes, donc d’être large et clair, d’agiter des idées, donc de provoquer la contradictions systémique qui fait germer le réel en espérant la prise des mesures collectives,  d’orienter les réflexions citoyennes, donc d’opposer nos vues et nos voies, que nous jugeons meilleures pour la totalité société souveraine au jugement collective, de soulever les problèmes quand il le faut, donc déplaire au pouvoir et aux puissants, d’où les gouvernants seront obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants, d’étayer dans le moindre détail, donc ne pas faire dans la dentelle, dans le litote en se passant du succincte. Nous sommes peut-être prolixes, parce que nous savons où nous allons, et une destination sérieuse doit être expliquée. Le présent texte ci-dessous participe de cette ambition mille fois légitime et légale ».

*-Chronique «KOUMA» Pour les élections ivoiriennes il faut Proscrire l’accompagnement et l’accompagnateur et mener la politique de la chaise vide.

Un homme public ne se tait jamais tant que l’essentiel sociétal de la société dans laquelle il vit est en jeu. Ceci est notre bréviaire. C’est pourquoi nous avons parlé, et que nous parlons, et nous allons toujours parler. Et on ne le dira jamais assez, Bordèlisée et prostitutionnalée, la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny, a perdu ses repères sociétaux, elle a besoin de sauvetage national, de réglage consensuel synergique et de régulation sociopolitique désintéressée d’intérêt public, tous ensembles. Oui, tous ensemble, Hormis les mange-mils, véritables sangsues branché a la mamelle de la pauvre côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny qui s’exsangue. Oui, nous avons parlé, et que nous parlons, et nous allons toujours parler, parce que pour la côte d’ivoire le citoyen à le devoir de protection des mœurs, de rééquilibrer la balance sociale de la représentativité et d’orienter la mesure de valeur sociopolitique, qui ne doit pas être les fusils des fantassins vainqueur d’une guerre d’agression. Encore moins Dieu l’argent qui n’a plus d’odeur ni de couleur même la couleur rouge du sang Humain ne le décolore plus en côte d’ivoire. Donc parlons pour changer notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, et osons prendre le taureau par les cornes et surtout évitons les vaines polémiques stériles et sans intérêts, qui ont fait la notoriété de certains carriéristes pathologiques, arrivistes renégats et zéro-pointé dans la vie sociopolitique ivoirienne. Et qui ont permis à certains politicards mafieux d’arrivée à leurs fins dans les Brouhaha, les brouillaminis et les embrouillaminis sociopolitiques et du contentieux électoral en avril 2011.

Oui, le schéma stratégique actuel du pouvoir d’Abidjan consiste à ne rien céder au mépris du droit et en dépits des règles est en conformité avec celui de 1999-2002 à 2011, ou la mesure de valeur sociale est resté aux fusils. Il nous faut parler pour changer notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny.  Il nous faut mener des actions synergiques, tous ensembles dans le respect des différences sociopolitique. il nous faut l’union de tous dans les actions synergiques citoyennes qu’exigent ce changement espéré. Cela  pourra permettre à notre pays en dégénérescence sociopolitique de retrouver les repères d’autrefois d’un état de droit, d’une république véritablement républicaine et d’une démocratie moderne, qui cadre bien avec la vie politique et avec la vie publique du 21ème siècle. Il nous faut un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. Il nous faut donc, construire tous ensemble une majorité populaire électorale face a un pouvoir arbitraire devenu aveugle. Et il nous faut changer la société ivoirienne, au terme d’une stratégie fédératrice de lutte politique globale et loyale, pour arriver à une justice juridique et une justice sociale digne de ce Nom. Il nous faut une société ivoirienne de l’exaltation de la diversité solidaire. Il nous faut ainsi aller vers le monde policée avec nos valeurs socioculturelles ancestrales, condition de notre existence identitaire, tant en Afrique « notre destin commun » que dans le concert des nations, « la destination commune a toute les nations civilisées ».

*- Il faut le dire ici depuis 2011 rien n’a sérieusement contrarié la stratégie de confiscation du pouvoir ivoirien.

D’emblée déjà, disons que, Sous anathème et apartheid économico-sociopolitique, la Brigade Avant-Gardiste au service désinterêssé de la société ivoirienne a perdu trop de combattants persécutés. Donc Saluons ici la jeunesse ivoirienne consciente du danger pour elle demain, notamment les 80% de dégoutés inscrit dans une logique de boycott constant des élections de mascarade politique « du je ne veux pas ! Point ». Et pour sa pratique constante du combat politique discursif conventionnelle, qui contrarie l’arbitraire de de l’absolutisme unilatéraliste d’un monarchiste débridé et un combat politique discursif qui amortit la violence, politique, les anathèmes politique, et les excommunications sociopolitique d’un pouvoir totalement déviant pure et dure sur sa ligne de déviationniste. Oui, les menaces de morts pour crimes d’expression et les condamnations a morts sectaires pour crimes d’options d’un pouvoir exhibitionniste propagandiste, sont certes sérieux mais ne peuvent rien changer, désormais le monde a pris conscience et observe la côte d’ivoire au-delà des intérêts pécuniaires immédiats de ploutocrates qui font diversion. Des diversions politicardes sans projet sans perspective. Il faut le dire ici encore depuis 2011 rien n’a sérieusement contrarié la stratégie de confiscation du pouvoir ivoirien qui autour de la chose publique, n’a ni besoin de droits, ni besoin de règles démocratiques. Aucune action politique n’a pu ébranler ce système usine à Gaz pour les droits, pour les libertés et pour les règles démocratiques, un système qui proscrit le consensus politique, le dialogue social républicain dans l’ordre du public et autour de la chose publique. Oui, l’unilatéralisme absolutiste est leur socle d’action politique.

il nous faut donc, refuser en fiers ivoiriens la soumission. Il nous faut  choisir l’espérance en un avenir meilleur, tous ensembles. Il nous faut nous battre pour notre destin commun, pour notre patrie, pour notre peuple, pour notre liberté et pour notre avenir dans le concert des nations, au terme d’une ligue citoyenne, dont le Nom littéral importerait peu. Il nous faut,  a défaut de correction lisibilité du processus démocratique et électorale, à défaut de transparence dans les urnes, se détourner résolument de tous processus électoraux. Pour qu’afin que le pouvoir limité, absolutiste, personnel, monarchiste, autoritariste, dictatorial, change ou qu’il se révèle comme tel aux yeux du monde. Tambouriner sur une porte fermé sur la démocratie, jusqu’à ce qu’elle s’ouvre ou se casse. Bon ! Qu’on ose ou non, qu’on le veuille ou non, les élections de 2025 se jouent maintenant avant 2025, pas en 2025, ou il serait trop tard. Parce que ça passera de la même manière, avec la même stratégie méprisante, soutenue par les élucubrations judiciaires et les armes « fusils» comme en 2010, comme en 2015, comme en 2020. Et sans aucune honte ou morale, dans des pratiques et dans des discours éhontés  avec des mensonge pour arriver à leurs fins lugubres, soutenu par des montages pour continuer à exister en politique dans chaos social, le tout occulté et légalisé de fait par une institution judicaires en charge des élections conterons sans retenue .

*-Les élections de 2025 se jouent maintenant pas en 2025, ou il serait trop tard, ça passera de la même manière.

Oui, il nous faut relever les défis sociétaux, sinon le candidat R?DP serait le futur président de la république en 2025. Si, le défi doit avoir un sens, il importe de défier le camp du mafieux, de l’injustice et de l’arbitraire, qui s’en prend aux valeurs sociales qui fondent l’organisation de la totalité sociale souveraine pour le vivre en commun politique et démocratique. Donc, il nous faut lutter tous ensemble pour le changement sociopolitique pour permettre à notre pays de retrouver ses repères d’un état de droit et d’une démocratie moderne, ce qui est devenu un devoir de citoyen. Pour que le Bateau du progrès humain intégral, reprend la voie royale vers la lumière du développement économique et social, au service du citoyen ivoirien et de tout homme, dans la stabilité sociopolitique et dans la paix sociale pérenne. Il le faut et nous le devons tous. En convenons-en avec le dernier coup de poignard planté dans le dos de la démocratie, des républicains et des démocrates, et surtout avec le coup de Gourdin soigneusement administré dans les nuques des partis politiques, que sont les élections locales de septembre 2023, truquées sur toute la ligne, transhumance électorales, double vote des électeurs nomades, un taux de participations anti-démocratique de 20%, qui extirpé du vote doublière, et du dualisme de votes, serait réduit a moins de 15% de taux de participations, donc, disons-le ici, précède l’hallali aux cours des élections de 2025. Oui, disons-le, malgré le dégout des intellectuels impartiaux et honnêtes,

Oui, Malgré le dégout qui a conduit à la sécession consommée entre 80% de citoyens dégoutés et 20% de dégoutants qui soutient l’absolutisme ivoirien, malgré le dégout de l’opposition ivoirienne qui a conduit à l’intervention des juridictions internationales, soucieuses des principes démocratiques universels, malgré les démocrates du monde venu en appoint et toutes les élites honnêtes et indépendantes de la côte d’ivoire au terme de la dégoutante, question du troisième mandat en 2020, Malgré le dégout qui appeler la fureur des journalistes désintéressés qui ont osés leurs indépendances en 2020, Malgré le vomissement de l’opposition unanime et de la société civile ivoirienne face a un processus électoral détourné. Oui, Malgré l’universalisme, des droits civils et politiques et les règles et principes universels démocratiques, le pouvoir absolutisme arbitraire d’Abidjan est resté inflexible et est passé encore en force en septembre 2023, en trimbalant ses accompagnateurs crédules jusqu’à la ligne d’arrivée taillée sur sa mesure. Oui, la dictature règne en maitre absolu sur la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. La dictature c’est quoi? C’est quand une seule personne décide de tout dans un état dit de droit et de démocratie. Donc, après ce dernier test de trimbalement de l’opposition ivoirienne suiviste, résignée qui au lieu d’appliquer la politique de la chaise vide, préfère occuper les chaises de figurations au terme des élections dont les locales de septembre 2023 querellées, sauf à vouloir se leurrer comme toujours depuis le coup d’état de 1999 et suivants, chaque ivoirien connait désormais le sort réservé à l’élection de 2025.

*- Une commission électorale autonome et Apolitique sans bidonnage politique avons-nous dit et répéter.

Dès lors la véritable question qui se pose au peuple souverain, est de savoir comment désamorcer cette spirale de coups d’arrêts irrecevable, inacceptable et injustifiable aux principes démocratiques donc, aux droits civils et politiques, aux libertés individuelles conditions égales pour tous mis sur la même ligne de départ équitante du pouvoir d’état par un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. Le choix est alors simple pour le peuple souverain de côte d’ivoire ou bien on fait le choix de la démocratie réelle, en instaurant une vraie organisation sociopolitiques civilisée et civilisatrice, ou bien nous demeurons dans les déchets toxiques et le achats et rachats des militants d’autres partis politiques ou pour une toute petite vérité ils pètent le plomb jusqu’à nos lieux sacré de culte universel, donc, nous demeurons dans la barbarie politique des élections obscurantistes dans une société de pétaudière, dénaturée, acculturée, aux mœurs dépravées, avec toujours du capharnaüm kafkaïen au quotidien. Notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny qui veut évoluer paisiblement ne peut pas être partisane de la barbarie politique des élections obscurantistes. Chaque ivoirien se trouve dès lors devant un réel défi à relever, jusqu’à la libération de la démocratie, des droits civils et politiques, des libertés individuelles et des règles démocratiques universelles, Donc, jusqu’à un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord, pour que le peuple rentre dans son droit souverain, d’ultime détenteur du pouvoir d’état

Oui, face au monarchisme unilatéraliste dictatorial et face à l’hégémonie de la nouvelle ploutocratie qui achète tout, «cadres d’oppositions, militants d’autres partis, votes citoyens, organismes institutionnels » et pense pouvoir tout acheter, par conséquence qui  ne prépare pas l’avenir de la nation, mais le met en danger dans le concert des nations. Face à des entorses répétées aux principes électoral du pluralisme politique et de la démocratie moderne qui provoque un effarement du peuple, face à tant d’injustice électorale, et qui suscite le dégout et consternation des citoyens devenus des sans droits dans leurs propres pays, une situation électorales et sociopolitiques très honteuse pour  l’intelligentsia ivoirienne et de partout dans le monde des nations policées. Face à tous ce mépris répétés pour les principes démocratiques universels, la solution ne peut plus se trouve dans hommes individuels dirigeant ou pas, militant ou pas. Donc, qu’on ose ou non, qu’on le veuille ou non, la solution  de la crise électorale ivoirienne est, reste, et restera organisationnelle et systémique. La paix est à ces prix-là ! Donc, il nous faut donc, un corpus d’organisme électoral AUTONOME, APOLITIQUE, et INAMOVIBE, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs d’accord. Pour ne pas retomber dans les mêmes travers systémiques des élections de façades sous l’influence d’un politicien ou d’un parti politique quel qu’il soit. Donc, une commission électorale autonome et Apolitique sans bidonnage politique avons-nous toujours dit et répéter.

*-La bonne élection réaffirme la souveraineté du peuple, qui enfante par ce biais la représentation nationale élus

Cela, parce que lorsque dans un système électoral, certains dirigeants de l'organisme électoral sensé être neutre et impartial sont nommés par les différents pouvoirs de l’état «exécutif, législatif et judiciaire», sur la base de leurs appartenances et de leurs liens privilégiés avec les dirigeants de ces pouvoirs. Et/ou sont nommés par les partis politiques, les groupements de partis politiques, les mouvements politiques et les candidats indépendants en compétition, donc nommé sur la base de leur adhésion à un parti ou de leur affinité pour un certain bloc de parti, ou partisans des candidats indépendants, la neutralité dans ce cas devient logiquement incertaine, sinon impossible. L’impartialité devient inconciliable avec la défense partiale d’appartenance à des intérêts politiques particuliers que sous-tendent ces appartenances qui nomment au sein de l’organisme électoral. Donc, le problème ne réside pas dans la compétence des hommes dirigeants changeant mais d’abord dans le système des gestions d’élection  véritablement démocratique. Oui seule la démocratie réelle peut nous libérer des nouveaux maux qui rongent notre société autrefois paisible et qui inhibent toute perspective d’avenir meilleur et nous conduire à la construction d’une communauté nationale réconciliée avec elle-même. D’où l’argent ne serait plus l’essentiel sociétal au mépris de l’être Humain et du citoyen ivoirien. Donc, pour l’avènement du : « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » de la Grèce antique et solidifier par Abraham Lincoln, (16e président des États-Unis 1860 à 1865).

Donc, il nous reste plus citoyen ivoirien, que d’exiger avant 2025, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, inamovible, totalement indépendant des politiques quels qu’ils soient et hors porté des partis politiques et de ce qui est et relevé de la partisannerie politiques, donc, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. La reconstitution de CEI en l’état, version ballon au pied du pouvoir, ne rassure personne. Dans cette situation socio-politico-électorale délétère, de chaos en perspective, de désordre programmé, de tension sempiternelle, d’incertitude anxieuse, et de désespérance qu’ils sous-tendent, qui règne actuellement, avec un horizon ivoire électorale de 2025 nuageuse, téléguidée foudroyante, avec un système électoral volcanique, entre les mains des pyromanes endurcis au service du pouvoir exécutive. Oui, les élections sont un droit inaliénable des peuples a disposés d’eux-mêmes qui se situent au-dessus, en droit et en fait des institutions de la république, y compris la présidence de la république. C’est au terme d’élection, qui réaffirme la souveraineté populaire du peuple souverain, qui  enfante par ce biais la représentation nationale élus, y compris la présidence de la république, que le pouvoir est dit ultime propriété du peuple. Oui, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. De même, les partis et les candidats ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. 

*- Faire naitre la confiance sociale, c'est-à-dire, l’ordre social, l’harmonie communautaire, la stabilité politique.

Donc ici, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, sont les subordonnées du processus électoral, elles doivent s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens le plus large. Et doivent aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. Donc, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord participe à la protection des droits de l’homme. Sinon on peut changer mille fois ou dix milles fois les acteurs politiques et les pions politiques, les dirigeants des partis politiques, a la recherche des oiseaux rares, on peut aussi changé mille fois ou dix milles fois de Gouvernement avec les mêmes ministres, rien ne changera, rien ne bougera. C’est le système qui est en cause. ***- (Bon ! Des règles démocratiques, voici ce que le président Nigérian d’alors, Muhammadu Buhari à pilonné a la face du monde a la tribune de la 77Assemblée générale des nations unies le 21 Septembre 2022 « Nous croyons au caractère sacré des LIMITATIONS CONSTITUTIONNELLES DES MANDATS PRESIDENTIELS. Et nous avons vu l’impact corrosif lorsque les dirigeants ailleurs cherchent à changer LES REGLES pour rester au pouvoir. Vos troisièmes 3e mandats font du tort à vos peuples. En tant que président en fin de mandat, je me suis fixé comme objectif que l’un des véritables héritages que j’aimerais laisser est d’ancrer un PROCESSUS D’ELECTION LIBRE, EQUITABLE et TRANSPARENTE. Grâce auquel les Nigérians élisent les dirigeant de leurs choit ».

 Oui Monsieur le président Buhari, merci d’avoir tenu parole, puisqu’ailleurs dans la bouche de certains dirigeants elle « parole » est versatile, changeante et incontrôlable. Oui, un PROCESSUS D’ELECTION LIBRE, EQUITABLE et TRANSPARENTE. Grâce auquel les Nigérians élisent les dirigeant de leurs choit, c’est de cela qu’il s’agit, pour le peuple de demain, la société de demain, la civilisation du 21e siècle). Donc, pour sortir du trou notre pays la côte d’ivoire, il faut relever le défi d’un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. Oui, nous avons besoin de tous ensembles paisible derrière un homme fédérateur ou des hommes fédérateurs quel qu’il soit. Notre préoccupation doit être soutenue et guidé par la crainte du pire des pires que nous voyons à l’horizon 2025. Oui, de par notre passivité, de par notre inertie, de par nos mésententes et par notre divisons, la côte d’ivoire est devenue progressivement un poulailler avec 20% des coqs à la disposition d’un renard libre et 80% de déserteurs de la ligne du renard libre vers un précipice abyssal. Donc, il nous faut relever le défi d’un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. Et ainsi faire naitre la confiance sociale, c'est-à-dire, l’ordre social, l’harmonie communautaire et la stabilité sociopolitique, qui s’accompagnent tous par la confiance restauré dans les dirigeants étatiques du pays qui seront ainsi bien élus par la majorité réelle du pays

On nous dit, qu’il n’y a plus de crise sociopolitique en côte d’ivoire que pas besoin de réconciliation. On est ou là !

Et pour nous tout en gardant à l’idée que, relever un défi nécessite la détermination de chacun, l’abandon de soi par chacun, le sérieux de chacun, le concret pour chacun dans le combat politique loyal et dans le combat discursif de chacun, comme dans l’acte et dans l’action politique de chacun. Toute chose qui proscrit le brouhaha et l’abracadabrantesque. Il ne s’agit pas pour nous de changer ou permuter les hommes, non ! Mais il s’agit pour nous de Réguler le système sociopolitique et électoral. C’est de cela qu’il s’agit en côte d’ivoire. Proscrire la politique d’accompagnement ou d’accompagnateur et au besoin mener tous la politique de la chaise vide, et Titiller l’arbitraire avec l’éclairage, jusqu’à ce qu’il CHANGE ou se dévoile au grand jour comme tel. Et c’est une constance que, Coincé dans les cordes du droit  et des règles, l’arbitraire se dévoile toujours comme tel et oblige le peuple martyrisé de savoir devenir fou furieux et débile démentiel,  qui ne connait que la ligne direct. Donc, ici, en s’affirmant comme arbitraire, si par méprise ou expressément, l’arbitraire ose craquer l’allumette, dès lors les citoyens doivent être capable d’ouvrir le Gaz à fond, et d’y expédier quelques vieux pneus dans le cocktail en appoint, alors advienne que pourra. L’extermination d’un peuple souverain par un pouvoir arbitraire sous les yeux du monde en ce 21e siècle est impensable. Et un Rugby Katangais entre plus de 80% de dégoutés et moins de 20% de dégoutants peut pour le spectacle bien intéressé le monde civilisé dans toute sa composante planétaire Oui, le monde civilisé dans toute sa composante planétaire, sait à quel degré l’absolutisme (Système politique dans lequel le pouvoir est concentré entre les mains du suzerain) et l’utopisme (Conception imaginaire et illusoire dont la réalisation est impossible) sont dangereux pour leurs porteurs et pour la totalité sociale.

Oui, quelle est cette méthode politiques glauques, visqueuse et chaotique qui consiste à aggraver la situation de crise sociopolitique du pays en tentant ou faisant semblant de les régler ou quelle n’existe pas ? S’agit-il d’un mode de gestion humaine inconnu de l’état, inventé en Côte d’Ivoire par le monarchisme unilatéraliste ? Donc question : La stratégie du pourrissement des crises sociopolitiques est-elle une nouvelle manière de gestion officielle des affaires publiques aux yeux du monarchisme dirigiste et unilatéraliste dictatorial. Eh bien ! Qui peut démontrer qu’un pouvoir ne peut exister seulement que par l’autoritarisme unilatéraliste en imposant tout dans la société, par l’arbitraire aveugle, en justifiant son existence seulement que par la simple nécessité d’entretenir sciemment les crises sociopolitique ? Et en s’appuyant sur des cooptations, des nominations et des promotion qui ne se font qu’en fonction du degré d’allégeance au palais présidentiel et en fonction de la capacité à s’adapter a la politique d’interpénétration des affaires mafieuses dans la  politique étatiques ? Diantre ! A seulement 10 Ans d’une guerre qui a fait plus 7000 Morts, a seulement 08 Ans d’un referendum constitutionnel qui a vu toutes les urnes cassées dans toute l’assiette territoriale nationale pour être imposé en fin de compte avec moins 5% des bulletins retrouvé souvent dans des poubelles et caniveaux sec, a seulement 03 Ans d’une présidentielle (2020) qui fait 150 Morts dans une société en hyper-crise, eh bien ! On nous dit, qu’il n’y a plus de crise sociopolitique en côte d’ivoire qui n’a par conséquent pas besoin de réconciliation. On est ou là ! On n’est à une autre rive, contraire à celle de la côte d’ivoire ATAVIQUE. Celle de la cohérence de la côte d’ivoire de Félix Houphouët BOIGNY.

*- Des élus bien élu en phase avec l’aspiration profonde du peuple consolidera le droit de la propriété foncière.

Oui, « Ministre nihilistes et iconoclastes par cooptation, achat, et rachat et pour partage de gâteaux, ministre Wouyâ-Wouyâ par allégeance alimentaire dans le dénuement et reniement de son essence originelle, souvent marionnettes docile, Député Flêkê-Flêkê automates et auto-assujettis, sénateurs de récompenses pour bouffer, Maire Gnâffou-Gnâffou déconnectés de leurs administrés, conseiller généraux pour rien, précédent les grilleurs d’arachides aux gueules très occupées a mâcher le bien public, qui sont diffus dans les affaires publiques et estampillés a des postes de responsabilités dont il ignorent tous des prérogatives. On n’est ici là ! Oui, Pour défaire cet engrenage mafieux unilatéraliste néo-monarchique, le peuple souverain de côte d’ivoire doit avoir le courage de revendiquer ponctuellement son droit inaliénable d’aller en enfer, pour un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord, au mépris de la volonté de ce pouvoir monarchiste nihiliste et iconoclaste. Ceci est d’autant facile et aisé qu’il ya des gens en côte d’ivoire qui parlent Midi-Matin-Soir et du 1er (premier) au 31 au Nom d’un GNAMIEN PBWLI. La LC_CRS  ne connait pas l’adresse d’un PBWLI, Mais ces gens-là mettent leurs GNAMIEN PBWLI, au-dessus de tout, donc ils sont la solution aux fausses élections, Parce qu’ils peuvent imposer les principes de leurs GNAMIEN PBWLI au service d’un citoyen égal une voix et tous le monde même chose comme le veut leurs PBWLI, pour d’autre habite en Haut et pour d’autre habite en Bas, mais tous les deux (2) placé au-dessus de la politique politicienne. Ou le Bidon de Bandji-Blanc côtoie le Céri-Dagâ et se congratulent, avec chacun son contenue « d’eaux » bien Buvable dans le respect mutuel des différences sociopolitiques comme deux camarades de citoyenneté commune solidaire.

Soulignons ici que, les citoyens qui ne sont pas acteurs de leurs vies sociopolitiques se retrouvent tôt ou tard dépassés par les évènements sociopolitiques de leurs société, et cette porte désespérée fermée sur le désespoir, s’ouvre toujours sur la violence de masse, « exemple le Mali de Moussa Traoré ». Et les hommes politiques qui se refusent à tout examen, a toute recherche de vérité, a toutes  critique, devant le peuple souverain, devient obscurantiste, nébuleux, intolérant, violent, méprisant, criminel et monstre «exemple la Guinée de Sékou Touré». Donc, des élus bien élu en phase avec l’aspiration profonde du peuple souverain, se faisant de consolider l’atavique droit de la propriété foncière immémoriale. Comme le lien social est éminemment politique, faire tout pour que, chacun soit restaurer dans ses droits, dans tous ses droits juridiques, civils et politiques. « Donc tous ivoirien, mais l’atavique droit de la propriété foncière immémoriale doit régir le droit foncier entier ». Dans une société ivoirienne commune, qui admette sans faux fuyant, l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, mais la côte d’ivoire n’est plus elle-même. Il nous faut un système de régulation juridique et démocratique. Il nous faut un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. L’organisme électoral Non-Autonome et Non-Apolitique dit CEI, version passeur de ballon au pied du pouvoir, ne rassure personne. Citoyens libres, nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

*- Pour tous autres et pour ample infos continuez sur www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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19 octobre 2023 4 19 /10 /octobre /2023 13:47
LEPETITFILS : ils sont nommés pour leurs degrés d’allégeance au palais présidentiel ou trône le suzerain et maitre absolue et pour leurs capacités nuisibles à s’adapter au processus mafieux et aux cultes de la personnalité, et surtout pour leurs capacités à trahir l’intérêt général de la totalité sociale. Ils n’accèdent donc pas à des postes de responsabilités pour appliquer un programme de biens communs, ni pour travailler pour l’intérêt général, mais pour se plier aux injonctions de celui qui les a nommés et se faire  complices du bradage de l’organisation sociale.

LEPETITFILS : ils sont nommés pour leurs degrés d’allégeance au palais présidentiel ou trône le suzerain et maitre absolue et pour leurs capacités nuisibles à s’adapter au processus mafieux et aux cultes de la personnalité, et surtout pour leurs capacités à trahir l’intérêt général de la totalité sociale. Ils n’accèdent donc pas à des postes de responsabilités pour appliquer un programme de biens communs, ni pour travailler pour l’intérêt général, mais pour se plier aux injonctions de celui qui les a nommés et se faire complices du bradage de l’organisation sociale.

*- Le Canaris coquille de la camarilla d’attrape-tout et de copinage ne survivra pas à son porteur. Mouk !

Bon ! 15 jours rien que pour un grenouillage, un maquignonnage, un saupoudrage, un embellissement et pour parler ivoirien « un-fait-nous-fait politicien » d’une sauce déjà pourris dont l’odeur déborde l’assiette territoriale nationale pour envahir la planète-terre de puanteur. Ministre-député-maire ne suffissent pas il faut m’en rajouter sénateur, et cela avec quel savoir scientifique et connaissance d’appareil. Nous ne pouvons le taire, la jauge de la future instabilité sociopolitique a donné sa graduation de rouge en l’état réel. Les institutions de la république, singulièrement législative et la représentativité locale ou communautaire a été sacrifié sur l’autel du pouvoir absolu et de l’intérêt particulier, la cantonade du parti attrape-tout à ostensiblement et habilement poussé ses pions préféré pour la présidentielle de 2025, Se faisant tous les grands transfuges du PDCI  (atavique) véritable ailiers de débordements a la CEI, pour des centres bien ajustés dans la surface de réparation sur une tête de courtaud et pygmée politique, qui complète toujours sa taille d’une Main-de-Dieu ont trouvé des récompenses à la hauteur des centres et des passes, (un gonflement des liste électorale pour la peuplée de Binationaux, et une déclaration des résultats d’élection présidentielle dans le lieu de retranchement armé d’un candidat) oui, les débordements sur la ligne de touche ont été parfait et les récompenses ont été mérité, jusqu’au bouffeur a l’agriculture dans café-cacao etc., et aussi même si aujourd’hui remercié des postes ministériels continus jusqu’à la primature, et au surplus les transfuges d’élus locaux des votes embarrassé-PDCI, ça bouffe. Oui, Bravo ! Mais chapeau ? Jamais de la vie ! Mouck !!! ». Le copinage et la concussion systémiques dans la gouvernance étatique ressortent de l’affairisme mafieux, et la roublardise n’est pas politique. Il ressort de l’alpinisme du jongleur, le mensonge glauque et visqueux est une politique périlleuse.

Oui, il est incontestable que, la bassesse politicienne et les ambitions perverses résistent difficilement a l’analyse experte, docte, esthète des hommes publics qui connaissent bien leurs société. Donc, nous arriverons au comble du but visé qu’est l’absolue monarchie républicaine chemin faisant, avec un premier ministre réduit au simple poste de ministre des sports, tout comme déjà une vice-présidence d’embellie institutionnelle coquille vide sans légitimité, et uniquement responsable devant son président. Aussi, on en viendra à coup sûr à la gouvernance par ordonnance monarchiste avec la camarilla mafieuse des deux « 2 » chambres compilées de députés à majorité factice automates et suivistes par essence originelle, et ce qui est propre à un état paria, à un état voyou, à un état policier. Et ensuite pour arriver sans faute à l’objectif principal qui le monarchisme absolue dans une société déchirée et balkanisée, ou tout est monnayable en Dieu l’argent, même la vie humaine. Et ainsi les successeurs dont le caléidoscope ne résiste plus à la lunette experte de politologue, seront programmées par la volonté et le souhait du monarque suzerain et de sa cour royale qui a une désormais une réelle emprise hermétique sur la société, au mépris de la volonté populaire de la majorité du peuple, qu’est 80% de dégoutés, face à moins de 20% de dégoutants et cela en dépit des droits inaliénables du peuple et des libertés fondamentales du peuple souverain. Oui, doublement centriste la légitimité citoyenne (LC_CRS) ne se leurre jamais, oui, au grand jamais.

Donc, une succession monarchique, avons-nous-dit, ou il serait encore plus difficile de dénier toute authenticité a une souche linéaire, prêt à casser des œufs pour faire ses omelettes a lui. Au cas contraire, un quatrième mandat monarchiste en 2025, ne serait que formalité, qui découle des élucubrations judiciaires du troisième mandat avec sa peuplade de 150 Morts presque de citoyens ivoiriens. Le tout programmé passera comme sur des roulettes. Puisque le culte aveugle de la personnalité et le panurgisme politique se contente de sa nourriture uniquement, la bouffe, rien que la bouffe. « C’est notre tour de manger aussi, Hooo ! ».  Ce, à quoi la camarilla bouffe-tout et attrape-tout, sa escouade phalangistes, ses  intéressés courtisans mange-mils constitué en brigade d’acclamation se font toujours le devoir d’applaudir. Ne réalisant même pas qu’on les confine ainsi dans une vie de vache, qui n’a besoin que de manger, afin de pouvoir crier  à la vue du maitre, jusqu’au chaos social sempiternel. Donc, ici La loi est un leurre, un chiffon de papier, une attrape nigaude pour ce qui n’ont pas de forces et destinée à inculquer aux faibles le respect des forts qui ont la force de répression.  Oui, le pouvoir est au bout du fusils, donc foin de consensus dans l’ordre du public et au tour de la chose publique, foin de droit et de la loi, foin de l’ordre social, foin de stabilité sociopolitique, foin de dialogue social, foin de démocratie formelle, le tout pour l’expression systématique des rapports de forces d’animosités dans la société de jungle où règne un suzerain renard libre. Oui, incontestablement, l’architecture institutionnelle du système monarchiste est parfaitement mise en place, sans son Nom littéral, c’est-à-dire une gouvernance dans laquelle une seule personne fonde l'autorité du tout l'État.

Oui, la côte d’ivoire n’est plus en crise, donc une politique de réconciliation n’est plus nécessaire, diantre ! Utiliser l’habilité, le mensonge, la manipulation, les micmacs, et les zigzags, soutenue par une politique mafieuse, clanique et partisane comme fonds de commerce est celui du choix du désordre futur pour régner et est celui d’entretenir le chaos social pour des intérêts clanique et partisans. Un clanisme dans lequel au lieu de démontrer par son action politique, qu'on apporte une valeur ajoutée à l'action publique de son pays, qui profite à la nation une et indivisible, et au lieu des confrontations contradictoires idéologiques et politiques avec des arguments conventionnels pour que la vérité germe, Hélas ! On préfère l’utilisation des poignards plantés dans le dos du républicanisme dans l’anonymat des bas-fonds de politiques politiciennes. On préfère donc, la sale boue des combats politiques personnifiés, au détriment du combat politique systémique. Un combat systémique dans lequel, on s’efforcé au mépris des risques et des intérêts pécuniaires, d’œuvre pour l’intérêt général et s’oublier pour la côte d’ivoire, de dénoncer la dilution mafieuse de la politique étatique par l’interpénétration des affaires mafieuses de copinages, de concussions, de défenestrations économiques dans la gestion des affaires publiques étatiques, la dislocation de la société commune par la division pour régner, la segmentation communautaire par affinité d’appartenance d’interet politique et/ou ethno-tribale pour entretenir la crise sociale à dessein, avec des  petites brouilles politiciennes d’intérêts égoïstes, égocentriques et compromissoires a fin de préservé les intérêts indus.

Dans tous les cas le mal est là, le danger est là, avec l’affirmation politicienne péremptoire que la côte d’ivoire n’est plus en crise, donc qu’elle n’a plus besoin de réconciliation nationale. Alors que la crise n’est pas derrière nous, elle demeure dans la société évoluant à nos côté, et chaque jour, elle devient un peu plus visible, parce que  logé dans des bicoques de l’injustice juridico-judiciaire organisationnelle et dans des poches d’injustice sociopolitique, nourrie à la haine de l’autre, dans une organisation sociopolitique, qui abhorre les différences sociopolitiques, pour n’adorer que le clanisme des appartenances affairistes, de copinages, de concussions, etc. Nous tendons vers une nouvelle crise sociopolitique certaine en 2025, « Une crise de non-respect du droit, une crise nourrie par les normes de régulations sociopolitiques personnalisées de confiscations du pouvoir d’état, qui par essence est la propriété exclusive de la majorité réelle du peuple consentant, une crise de droit civil et politique, une crise sociale, une crise intercommunautaire, une crise civique et politique, une crise morale et des mœurs sociétales, une crise de confiance dans les gouvernant mal élus par seulement 20% de dégoutants, donc une crise de légalité textuelle, une crise de légitimité populaire du pouvoir d’état, une crise de vérité et pire une crise identitaire », avec plus de 80% de dégoutés exclus de la vie politique de leurs pays face à 20% de dégoutants soutenants leurs pouvoir élus. Oui, 2025 est programmé pour être explosif et on gerera les décombres après.

Oui, Nous tendons vers une crise de la totalité sociale dans une situation, où  l’incongruité de la gestion des affaires publiques étatiques, le banditisme amoral dans la gestion de la crise sociopolitique, l’irrationalité des pensées politiques, l’inconstance des positions idéologiques, l’épuisement et la dégradation des références historiques, nationales, politiques, sociales, culturelles et même cultuelles, ne sont plus les signes de misère politique. Donc vive, la misère des expressions dérivées, l’indigence avérée des mots au terme des discours creux, déconnectés de la réalité économico-socio-politique, ce qui ne sont pas non plus des signes avérés de misère politique. Hélas ! Tout au contraire ces tares deviennent des marques de l’authenticité sociopolitique. Ce faisant bien que instable et confuse, l’esprit de clan devient dès lors fou de confiance et le clan fort d’appoint devient plus agitée qu’un bordel militaire de campagne sur la ligne de front, ou chacun ne se soucie que de sa part de gâteaux et de son intérêt égocentrique, dès lors l’esprit malhonnête de clan n’a plus honte de ses actions catastrophiques et de ses échecs répétés. Il porte ainsi ostensiblement ses fiascos sociaux fièrement en bandoulière, ses plantages sociopolitiques catastrophiques, deviennent ses consécrations. « la crise ivoirienne est finie ». Le tout soutenu par un nihilisme iconoclaste en outrance. Et ainsi la gouvernance étatique maintient son œil fixé sur les poches personnelles. Et se faisant, ils n’accordent aucune importance à la démocratie, au nom de laquelle trop de sang innocent a été versé en côte d’ivoire

Et se faisant insidieusement, les responsables à différents niveaux, y compris dans les fonctions les plus élevées du pouvoir étatique, ne sont plus maintenus ou nommés pour leur mérite, pour leurs capacités intellectuelles adaptées à la fonction, pour leurs compétences avérées, pour leurs expériences ou pour leurs savoir-faire, ou même pour leurs qualifications scientifiques, non ! Mais ils sont nommés plutôt pour leurs degrés d’allégeance au palais présidentiel ou trône le suzerain et maitre absolue et pour leurs capacités nuisibles à s’adapter au processus mafieux et aux cultes de la personnalité, et surtout pour leurs capacités à trahir l’intérêt général de la totalité sociale. Ils n’accèdent donc pas à des postes de responsabilités pour appliquer un programme de biens communs, ni pour travailler pour l’intérêt général, mais pour se plier aux injonctions de celui qui les a nommés et se faire  complices du bradage de l’organisation sociale, pour arriver à la monarchie. La prosternation, la courbette et la génuflexion sont les sources de promotions. C’est pourquoi le suzerain n’est pas entouré par des grands commis de l’état, mais bien par des courtisant plus soucieux de leurs carrières que du bien public. Mais, retenez que votre Canaris coquille de bouffe-tout, d’attrape-tout, des renégats, des nihiliste, des iconoclastes ne survivra pas à son porteur. Ce qui est dit est dit, qui vivra verra ! Parole de la LC_CRS ». On sera se voit. Demain. Citoyens libres, nous sommes condamnés a KOUMA, donc nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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10 octobre 2023 2 10 /10 /octobre /2023 16:30
Lepetitfils : Nous a la LC_CRS, à ce stade de l’inconséquences dans l’entretien sciemment de la crise ivoirienne, la question centrale est la suivante : comment redresser le socle morale atavique et le substrat social ivoirien pour qu’ils ne s’effondrent pas a jamais, comment soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas ? En intégrant les citoyens libres dans la délibération. Oui, il est tout à fait possible qu’une démocratie se suicide, comme ce fut le cas en Allemagne avec l’arrivée d’Hitler au pouvoir en 1933.

Lepetitfils : Nous a la LC_CRS, à ce stade de l’inconséquences dans l’entretien sciemment de la crise ivoirienne, la question centrale est la suivante : comment redresser le socle morale atavique et le substrat social ivoirien pour qu’ils ne s’effondrent pas a jamais, comment soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas ? En intégrant les citoyens libres dans la délibération. Oui, il est tout à fait possible qu’une démocratie se suicide, comme ce fut le cas en Allemagne avec l’arrivée d’Hitler au pouvoir en 1933.

*- Chronique « Kouma » les nommés au sénat ne sont redevable de compte qu’a Alassane Ouattara.

Bon ! Commençons par dire qu’un homme public ne se tait jamais tant que l’essentiel sociétal est en jeu. Les fichus bouffe-tout et les dégonflé attrape-tout sont toujours ballon au pied en micmac dans l’arène politique ivoirienne entrain de zigzagué à volonté. Et on ne le dira jamais assez, la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, qui a perdu tous ses repères sociétaux a besoin de sauvetage national, de réglage consensuel synergique et de régulation sociopolitique désintéressée d’intérêt public, tous ensembles. Les mange-crates, véritables sangsues sont toujours branché a la mamelle de la pauvre côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny qui s’exsangue. *- Bon ! Revenons-en, citoyen !  Une société Humaine se régule, se redresse, et se gère dans l’architecture institutionnelle de l’état. C’est l’idée qui a motivée les initiateurs de la notion de séparation des pouvoir, et qui a enfanté les droits et les règles d’accession au pouvoir d’état républicain de droit. Oui, que peut-t-on régler dans une société ivoirienne, quand le pouvoir souverain et absolue, échappe au peuple souverain, pour échoir a une politique systémique démodée soutenue par la force des fusils. Que peut-t-on régler dans une société ivoirienne, quand le concours de la représentativité est retiré au suffrage universel direct pour devenir semi-censitaire. Que peut-t-on régler dans une société ivoirienne, quand l’Assemblée nationale charger de transporter la voix du peuple souverain et de prendre le relai légale et légitime du contre-pouvoir citoyen, est d’une majorité factice fabriquée par des textes positivistes et des modes d’accession impropres aux coutumiers principes républicains. Des dolosives fabriques politicardes absolutistes pour être indépendant du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état. Donc, que peut-t-on régler dans une société ivoirienne, avec un parlement « congres » suiviste automate d’enregistrement, à la solde d’un seul homme rendu imperturbable par la force des armes systémiques et des armes matérielles au servile service de ses ambitions personnelle de domination condescendante. Que peut-t-on régler dans une société ivoirienne en dégénérescence avancée avec une majorité parlementaire missionné par un pouvoir sectaire, dans une assemblée nationale de substra suiviste, de source panurgiste, de carapace « Flêkê-Flêkê », dévalorisée dans sa composante, prédestiné automate d’enregistrement puéril.

Bon ! Disons-le, 33 sénateurs nommés par le président de la république commandant du pouvoir exécutif, sur un total de 99 membres, dont 66 sénateurs élus au suffrage «censitaire» au mépris du suffrage universel direct. Donc, un sénat dont le tiers est dédouané du suffrage universel direct, est une violation grave du principe républicain de la séparation des pouvoir. La nomination des membres du pouvoir législatif par la pouvoir exécutif, « suprême soit-il, comme ses ministre » , est une violation fragrante des principes républicains de la séparation stricte des pouvoirs institutionnels d’état. Puisqu’ici les nommés au sénat ne sont redevable de compte qu’a Alassane Ouattara président de la république, que le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état va se faire foutre en enfer, on votera la volonté Ouattara au mépris de la volonté générale souveraine. Oui, insistons-en, la nomination des membres du pouvoir législatif par le pouvoir exécutif, franchit les bornes du principe de l’exercice normal du pouvoir étatique pour viré à la monarchie. Ce pouvoir ne reflète plus la volonté générale du peuple, pour se substituer à la volonté particulière, d’un homme qui nomme. Aussi les élections des 66 sénateurs au suffrage « censitaire » au mépris du suffrage universel direct est une abomination démocratique et électorale. Et un autre quelconque procédé politique d’accession à cette fonction législative, autre que le suffrage universel direct qui émane du peuple dont les élus se doivent de porter la voix, relève de la même violation grave et flagrante du principe républicain de la séparation coutumière des pouvoir. Oui, il s’agit-là d’un non-sens démocratique, et c’est une extrême violation de la souveraineté populaire du peuple, l’absolu souverain et l’ultime détenteur du pouvoir légiférant. Donc, aujourd’hui l’ivoirien a-t-il conscience que, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a viré lamentablement à une société dépravée, paria, sans racine, sous un état totalitaire déviant et à la Monarchie absolutiste ? La séparation des pouvoirs de Locke et de Montesquieu à la suite de l’antiquité grecque sont soldé sur toute la ligne par un absolutisme monarchiste, hélas ! Se revendiquant républicaine. Et la société ivoirienne paye et payera le prix fort. Bon ! Il est connu de tous, qu’au terme de l’immersion d’un état de droit dans l’absolutisme totalitaire, le peuple souverain ne prend conscience le plus souvent du danger réel qu’au stade irréversible de l’anéantissement total des droits, des libertés, de la démocratie et du substrat sociétal. Souvent enfermé dans la recherche de profit et gain facile d’un Bazard résultant de la levée des interdits ataviques sociétaux.

*- Donc, ici il est irréfragable que, l’opposition ivoirienne doit logiquement déserté les parlements ivoiriens.

Oui, a-t-on besoin de dire que, les sénateurs sont des parlementaires qui, doivent résulter  d’une convention électorale « qui assure légalité et légitimité de leurs actes » passée entre les citoyens et des hommes politiques dont le fondement juridique est la souveraineté du peuple. Ce peuple qui délègue son pouvoir par élection libre, juste, sans fraude. Ainsi les élus qui ressortissent de ses élections se sentent redevables aux citoyens électeurs. Et qui  au sénat chambre du parlement participe au travail législatif et surtout au travail de contrôle du pouvoir exécutif. Ainsi, le Sénat forme avec l'Assemblée nationale, le pouvoir législatif. Et la séparation des pouvoir vise à séparer les différentes fonctions de l’État, afin de limiter l’arbitraire et d’empêcher les abus liés à l’exercice de missions souveraines. Donc, coutumièrement les institutions publiques sont divisées entre le pouvoir législatif qui fait les lois, l'exécutif qui les met en œuvre et les fait appliquer, ces deux «2» dernier doivent ressortir du suffrage universel direct obligatoirement, pour avoir le droit de parler et de décider au Nom du peuple, « tout autre mode d’accession à ces prérogatives est une violation flagrante du principe régalien de la séparation des pouvoirs », et le pouvoir judiciaire qui les interprète et les fait respecter, a aussi l’obligation d’impartialité. Donc, ici, il est irréfragable que, l’opposition ivoirienne doit logiquement déserté les parlements ivoiriens. Parce que, quand on n’a pour missions régalienne en tant législateur, donc, porte-parole du peuple pendant une échéance constitutionnelle prescrite, qu’on se doit de transporter une voix, qui, loin d’être la sienne uniquement, doit s’identifie à ce que les citoyens veulent et à ce que la volonté générale exprime du bas vers le haut, au centre des prises de décisions publiques et que les bruits des bidonnages, brouhahas et hallalis empêchent cette voix de se faire entendre, on se retire de droit vers le peuple souverain pour qu’il sache que malgré sa voix porté à gorge déployée est étouffé par des bidonnages et pantalonnades de politicards dopés à Dieu l’argent ou drogué a la cocaïne.  

Oui, la côte d’ivoire a besoin d’un système d’organisation socio-politico-économique qui rassure la composante sociale. Il est incontestable de par le monde, que le socle et le substrat principal de la séparation des pouvoirs en trois «3» organes, est dans l'interdiction de l’assemblage. Donc, nous disons que, la théorie de séparation des pouvoirs, plaide pour que chacune d’entre elles, soit exercée par des organes distincts, totalement indépendants les uns des autres, tant par leur mode d’accession que de par leur fonctionnement institutionnel. Chacun de ces organes devient ainsi l’un des trois pouvoirs avec une indépendance totale et assumée: le pouvoir législatif est exercé par des assemblées représentatives du peuple votant, le pouvoir exécutif est détenu par le chef de l’État et les membres du Gouvernement, le pouvoir judiciaire, enfin, revient aux juridictions publiques. C’est cela la règle coutumière. Mais dans un système de monarchie républicaine à l’ivoirienne et Ouattara-iste, le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif, ont été soustrait au contrôle strict des juridictions judiciaires en mettant le parquet avec l’initiative des poursuites, sous la coupe d’un démembrement du pouvoir exécutif, «Ministre de la justice» parait-il au motif que celles-ci ne disposaient pas d’une légitimité suffisante pour s’opposer, réguler ou juger des actes émanant d’autorités ressortissants du suffrage universel et supposés agir au nom du peuple. Et ces trois fonctions par principe séparées sont ainsi confondues et détenues par une seule personne, le président.

*- Dans un état républicain de droit, quand une seule personne décide de tout, c’est ce qu’on appelle la dictature.

Or, par principe d’état républicain de droit, bien qu’élu dans le cadre d’une circonscription, chaque législateur, compte tenu de la mission de vote des lois, et de contrôle de l’action du pouvoir exécutif, dévolue au pouvoir législatif, représente donc, la Nation tout entière, et exerce à ce titre un mandat national. Ce qui oblige la dévolution absolue de ces fonctions de législateurs par vote au suffrage universel direct. Parce que, la souveraineté nationale appartient au peuple, qui l’exerce par ses représentants par lui procurés par élection au suffrage universel direct. En conséquence, les législateurs se déterminent librement dans l’exercice de leur mandat. C’est ainsi qu’en 1964 Michel Ameller disait que « c’est à l’étendue de leurs moyens de contrôle du pouvoir exécutif que se mesure la force du pouvoir législatif parlementaire ». Ceci est leur mission, bien que d’autres contre-pouvoirs légaux existent: on peut parler des associations, les médias, la société civile dans son ensemble « Par exemple la LC_CRS en CI». Mais, dans une démocratie représentative, c’est aux législateurs, qu’il appartient d’exercer au premier plan cette mission de contrôle strict du pouvoir exécutif, mission noble et honorable ressortissante du suffrage universel direct à leurs confiée par le peuple. Donc, le substrat principal de la séparation des pouvoirs en 3 organes, est dans l'interdiction de l’assemblage, direct ou indirect, de la totalité du système d’organisation sociopolitique entre les mains du même pouvoir politique, notamment l’exécutif.

Oui, par le contrôle strict et impartial, le parlement à obligation de montrer que, loin de toujours faire prévaloir des considérations d’appartenances d’ordre politique, que le pouvoir législatif a pour mission de porter la voix du peuple souverain contre toute autre considération sociopolitique. Oui le pouvoir de contrôler du législatif ne doit pas, par une voie détournée, se muer en soutien du pouvoir exécutif. Et il doit ainsi veiller et participer au respect des strictes exigences de l’architecture coutumière composite de l’État républicain de droit. Le pouvoir législatif toute tendance confondue, se doit d’interroger le pouvoir exécutif,  examiner son action, pour rendre effective sa mission de représentation du peuple souverain, en  vérifiant que le pouvoir exécutif agit conformément aux objectifs qui lui sont assignés par la majorité des citoyens. Ainsi donc, quelle régulation sociopolitique en côte d’ivoire, peut-on attendre de deux «2» chambres de députés «assemblée nationale et Senat, a un tiers d’emblée de nomination présidentielle», qui se doivent dès lors d’être automates dans l’exécution des volontés, des projets d’organisations sociopolitiques soutenus ou émanent du pouvoir exécutif. Donc, une seule personne, décide seul de tout. Or dans un état de droit républicain, quand une seule personne décide de tout, c’est ce qu’on appelle la monarchie républicaine, sinon au pire la dictature. Oui, que peut-t-on espérer en côte d’ivoire, de deux chambres suivistes de députés automates, prêt à jeter l’organisation sociale au pied du pouvoir exécutif ? Même au besoin en le permettant de gouverner unilatéralement comme dans une monarchie du Golf arabique par ordonnance. Rien à espérer en côte d’ivoire, pour la régulation sociopolitique, pour l’aspiration souveraine du peuple. RIEN ! Disons-nous. Donc, « la côte d’ivoire originale, atavique, de source culturelle, que vous voulez n’adviendra plus jamais, c’est fini ça : ». Hélas ! Pauvre-de-nous Ivoiriens et Pauvre de côte d’ivoire dénaturée et acculturée.

*- La recherche inlassable, hélas ! Parfois ingrate, de l’intérêt général, et de la paix sociale est notre bréviaire

Bon ! Donc, à la lampe des lumières de ce qui précède, détaillé et étayé ci-dessus, il est difficile pour aujourd’hui de contredire cet Amis « éminent diplomate, publiciste, averti des sciences sociales » qui nous a dit clairement et amicalement « je comprends vos préoccupations, mais hélas ! La côte d’ivoire originale, atavique, de source culturelle, que vous voulez n’adviendra plus jamais, c’est fini ça ! ».  Oui, même si nous n’en convenons pas avec cet Amis, expert des sciences sociopolitiques, nous en convenons par contre que, la nouvelle hégémonie ploutocratique ivoirienne qui ne prépare pas l’avenir de la nation ivoirienne, mais le met en danger dans le concert des nations et partant notre avenir commun à tous, a pris ses racines sur la terre de nos ancêtres. Ce qui génère le début d’une crise de désocialisation, d’acculturation de la totalité sociale, de formatage mental des citoyens, l’abroutissement sectaire par des petits Malins, un euthanasiste systémique des partis politiques significatifs, une dépravation des mœurs culturelles, communautaires, sociopolitiques de la Côte d’Ivoire, qui ne peut qui conduire à l’état policier et l’état paria. Une nouvelle hégémonie ploutocratique d’une pratique politique avouée de dévalorisation du mérite dans le travail au profit d’une sélection incompétente des siens, ou concussions et copinages sont érigés en règles de gouvernance étatiques. Ce qui provoque l’effondrement total de l’image de la Côte d’Ivoire dans le monde « tu dis tu es ivoirien donc tu es ça alors ? Etc. ». Avec des entorses répétées aux principes pluralistes de la démocratie moderne qui provoque une dégénérescence sociale effarante, sous un pouvoir mal maitrisé, qui divague dans les fibres les plus sensibles de la totalité sociale souveraine, et qui suscite tant d’injustice, et de consternation des citoyens ivoiriens. Notre pays a plus que jamais besoin aujourd’hui des gens de bonne volonté et des citoyens ivoiriens conscients, pour sauver notre volonté de vivre un destin meilleur que celui que veulent nous imposer les fossoyeurs de l’organisation sociale, ces forces rétrogrades du mal, qui violent les règles préétablies du droit, de la démocratie, qui constituent pourtant le fondement d’une société harmonieuse, d’une société libre, d’une société cohérente, d’une société de droit et d’une société démocratique qui permettront aux citoyens de s’épanouir en tant que citoyens libres et égaux, dans le respect des différences communautaires et sociopolitiques quelles qu’elles soient.

A la Légitimité Citoyenne, nous avons un doute sérieux  de l’écologie mentale, de ceux qui pensent que tout va bien dans la société ivoirienne malgré tous les impairs sociétaux patents. Alors que, de toute évidence, « la côte d’ivoire originale, atavique, de source culturelle, que vous voulez n’adviendra plus jamais, c’est fini ça !». Donc, convaincue que nous sommes à la LC_CRS, que c’est incontestablement une certaine idée confuse, lugubre, et un certain esprit manipulateur et obscurantiste, appuyé sur des tares et insuffisances institutionnelles, mis au service des desseins glauques, funestes, macabres, ont permis le premier coup d’état en côte d’ivoire, et suivant la guerre, et les crises postélectorales ivoiriennes, et qui ont conduit à la dégénérescence sociale. Nous, nous sommes donné une mission de parolier du citoyen pour tamiser les maux sociétaux dans l’espace public, en espérant obvier les maux sociétaux et obtenir la solidarité autour de l’intérêt général et de l’unicité des positions politiques dans la gestion de la totalité sociale souveraine et dans la gestion des crises. Parolier dévoué du citoyen, notre mission est d’autant plus facile qu’on compte peu sur quelqu’un. La galère assumée est notre Amie. Notre position d’aujourd’hui est édictée par notre très difficiles premier choix, qui a soutenu nos premiers pas dans l’espace public en 1994, « alors très jeunes 31 Ans » qui est de : préféré l’embarras matériel, dans l’aisance intellectuelle, à l’embarras intellectuel, dans l’aisance matérielle. Ni postes, ni titres, pour donner un autres sens à notre vie. Oui, la recherche inlassable, hélas ! Parfois ingrate, de l’intérêt général, du bien commun, et de la paix sociale Houphouëtienne est notre bréviaire, et avons-nous fait le serment dès le départ. Si les postes, les titres, et le bien matériel peuvent venir à la remorque de nos actions édictées par cette position première, tant mieux pour nous. Mais nous n’en faisons pas une fixation.

 Donc la personne physique de l’homme politique ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel. Ce qui nous intéresse en l’homme politique ce sont ses actions politiques et gouvernementales qui décident de notre vie, qui décident de la vie de tous et qui décident de la vie de chacun. N’en déplaise ! Oui pour nous,  il est question d’obvier l’euthanasie du socle existentiel de la pauvre côte d’ivoire, pour qu’elle reste culturelle et de civilisation, et NON réduit a la cartographique demain.  Il est question de soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas. En convenons-en avec le dernier coup de poignard planté dans le dos des partis politiques d’oppositions au terme des élections locales, précède l’hallali aux cours des élections présidentielles de 2025. La jauge est faite, la mesure est prise, l’essai est réussi. Donc, au terme des élections locales de septembre 2023, chaque ivoirien conscient connait désormais le sort réservé a l’élection présidentielle de 2025. Dès lors la véritable question qui se pose,  est de savoir comment désamorcer cette spirale de coups d’arrêts aux principes démocratiques, aux droits et aux libertés Donc pour nous a la LC_CRS, à ce stade de l’inconséquences du R?DP dans l’entretien sciemment de la crise ivoirienne, la question centrale est la suivante : comment redresser le socle morale atavique et le substrat social ivoirien pour qu’ils ne s’effondrent pas a jamais, comment soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas ? En intégrant les citoyens libres dans la délibération. Oui, il est tout à fait possible qu’une démocratie se suicide, comme ce fut le cas en Allemagne avec l’arrivée d’Hitler au pouvoir en 1933. Citoyens libres, comme nous ne pouvons que KOUMA, donc, sur ceux nous avons satisfait aux exigences de ce sacerdoce légitime et éminemment légale. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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24 septembre 2023 7 24 /09 /septembre /2023 15:26
Lepetitfils : Oui, la côte d’ivoire, offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Et de par notre suiviste adhésion a une politique sociale de criminalité sans honte et d’escroquerie morale et intellectuelle à ciel ouvert, chaque jour nous défaisons un nouveau pas de ce que construisirent nos devanciers pendant 40 ans. Cet Engrenage hermétique cadenassé risque d’être fatale oui, le ver est dans le fruit ivoire, le mal a pris ses racines.

Lepetitfils : Oui, la côte d’ivoire, offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Et de par notre suiviste adhésion a une politique sociale de criminalité sans honte et d’escroquerie morale et intellectuelle à ciel ouvert, chaque jour nous défaisons un nouveau pas de ce que construisirent nos devanciers pendant 40 ans. Cet Engrenage hermétique cadenassé risque d’être fatale oui, le ver est dans le fruit ivoire, le mal a pris ses racines.

(A LIRE INTÉGRALEMENT POUR PRENDRE LA MESURE DU DANGER POUR DEMAIN).

« Même si en côte d’ivoire, il n’y a plus  d’«après Dieu c’est Alassane Ouattara » et qu’« Alassane Ouattara est notre maitre » a pris tapis, un vilain Tapis pas du tout le rouge souhaité, peut-être en attendant le sauvetage phalangiste du Maitre d’un de ses Seides assumé, mais tout de même les Bradeurs de nos terres, le Voleurs de propriétés coutumières immémoriales, les sacrés Inventeurs de terres sans maitres, les Saupoudrés annihileurs de droits, les accultureurs et dé-socialisateurs endurcis, ont fini de validé le 02 septembre 2023, leur emprise sur toute l’assiette territoriale de notre pays, Hélas ! La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, avec seulement moins de 20% des ivoiriens. Donc, sous couvertures d’une pseudo-légalité électorale les vols des terres propriétés coutumières immémoriales, des ressources naturelles souveraines, des deniers publics, la défenestration économique, la concussion, le copinage, l’affairisme nébuleux continuerons, ils ne connaissent que ça ! Ce qui nécessite et motive ici le tocsin citoyen de la LC-CRS ».

*- Chronique « KOUMA » soit-dit en partant : Progrès de Dépossessions, Accaparements et Bradages des Terres.

Donc, revenons-en encore, compte tenu de son importance dans la stabilité sociopolitique ivoirienne. Et disons qu’entre peuples «Autochtones et Allogènes» ou entre des groupes sociaux « nationaux et de diverses Horizons », il n’y aura  pas de vraie harmonie socio-politico-intercommunautaire, si les bradages de terres immémoriales demeurent une règle du « vivre en commun ». Aussi, il n’y aura pas non plus de stabilité sociopolitique, si le foncier coutumier sacrifié sur l’autel du vivre en commun, reste une source de tension sociale, couvert par les slogans soporifiques, tambourinés « Vivre ensemble ». Il n’y aura pas de paix sans la définitive restauration des droits de la propriété terrienne immémoriale des peuples autochtones sur leurs terres ataviques. Ceux qui croient encore au développement avec des tricycles, des multiples ponts, des bétons et des goudrons, chanté sur tous les toits par l’option développementale de l’ultralibéralisme d’Abidjan, « qui emporte bradages, accaparement des terres, jusqu’à leurs façonnage positiviste en terres sans maitres », qu’ils ne se leurrent plus, Non !  Il n’y aura pas de développement réel avec une dépossession/Redistribution des terres collectives propriété immémoriale. Donc, la côte d’ivoire ira de crise en crise jusqu’à l’effondrement totale du socle de l’entité commune et la totale dégénérescence sociale. Qui serait la résultante de guerre d’agression, entamée le 24 décembre 1999. Et «menée puis gagnée» des 18/19  septembre 2002 à Avril 2011, afin de conquérir le pouvoir par les armes impies. Non !

Donc, aujourd’hui, dans la situation de guerre continue et régulièrement renouvelée, il est question de ne jamais oublier que, l’état républicain de droit est et reste une conception dominante des sociétés modernes, dans laquelle par la seule manière dont les populations ataviques, renoncent à une partie d’eux-mêmes, à une partie de leurs libertés naturelles et entrer dans les rapports d’une entité sociale commune, est celle dont on s’entend avec les autres groupes sociaux ou tribus, afin de s’unir dans le consensus et le respect des droits réels antérieurs. En espérant de la protection collective de tous, biens, personnes, droits et libertés. Donc, ne jamais oublier le substrat sociétal initial au moment ou notre Nation, la terre de nos Ancêtres, notre Peuple Atavique, vit un moment de crise sociale historique, sous l’emprise d’un changement politico-économico-social dramatique, non-maitrisée, qui divague dans les fibres très sensibles de la construction d’une nation solidaire et de l’organisation systémique de la totalité sociale souveraine, dont le peuple et le citoyen ivoirien doit œuvrer sans relâche, pour empêcher, qu’il ne tourne à de nouvelles tragédies économico-politico-sociales toujours gouverné par les armes.

*- Une politique plus intéressées par le blanchiment d’argent ou le vol des deniers que par le but officiel évoqué.

À regarder la question de la propriété terrienne immémoriale dans l’Angle universaliste, se trouve mis en jeu le concept fondamental de l'identité sociale, des communautés autochtones *-«Et répétons-nous encore, notre pays la côte d’ivoire ne fait pas l’exception. Avec les bouleversements sociopolitiques, ou les terres se vendent partout comme du pain par n’importe qui ! Et la démographie transhumante aidant, ce sont les acheteurs d’aujourd’hui qui décideront des dirigeants de Demain. Et l’extrême multi-culturalité que cela provoque finira par annihiler les socles culturels des sous-cultures nationale, qu’on ne fait pas fi de l’ignorer. Et Même la sociologie électorale et politique ivoirienne est mise en lambeau. Les mœurs perverses et dépravées ont remplacé les mœurs nationales ataviques, au nez et la barbe de nos grands gardiens des us et coutumes. La côte d’ivoire évolue vers le chaos social total, avec Dieu l’argent comme mesure de valeur sociopolitique. Surtout, le « tout sociétal à un prix » «je peux tuer il n’y aura Rien !» comme force et valeur sociopolitique. Et, les ivoiriens potentiels désignés victimes, préfèrent le saupoudrage des maquignonnages, le maquillage des ivraies et les litotes caressant dans le sens des poils, qui élude ou masque l’essentiel sociétal, au profit de gains controuvés. » *- Donc, la question de la propriété terrienne immémoriale pose une sérieuse question identitaire dans la société, sans pour autant être la seule, ni la principale. Donc, l’alibi controuvé de la prescription positiviste et administrative de la propriété terrienne immémoriale, apparaît dès lors comme une action directe qui doit être comprise dans le cadre de crise, de frictions et de disputes de propriété terrienne dans le contexte d'une population historiquement propriétaire et revendiquant, que l’on veut la dépossédée et dont les droits terriens sont immémoriaux depuis la nuit des temps.

Donc, la prescription admirative par l’état des terres appartenant coutumièrement à des peuples indigènes et taxées de Terres « sans Maitres répertoriées », leur retire le statut de propriétaires coutumiers immémoriaux. Oui, le droit international coutumier, qui garantit le statut juridique de ces terres proscrit leurs l’utilisation unilatérale aux fins de développement urbain, d’agriculture par des tiers étranger à ces terres, ou de toute autre activité supposant l’exploitation de ces terres. Donc, La prescription positiviste et administrative, sous l’égide d’une politique foncière qui crée des « terres sans maitres », supprime ce statut juridique, et ouvre la voie à une dépossession au profite des activités commerciales et au mépris des populations autochtones ou indigènes, à qui ces terres appartiennent de droit international coutumier, l’irréfragable droit des droits. Donc,  le développement extensif fondé sur le foncier nuit aux peuples autochtones ou indigènes, en menaçant leurs terres ancestrales, leurs modes de vie traditionnels, et un large éventail de droits humains. Ainsi, on peut donc, parler de relation sacrée entre les indigènes la Terre et l’environnement naturel. La terre est une partie indissociable des peuples indigènes, qui sont aussi une partie in-détachable des terres ancestrales. Sans lesquelles terres ancestrales leurs survie identitaire, socioculturelle et économico-communautaire, est manifestement hypothétique. Puisque, la constitution rapide de sociétés complexes et diversifiées assomme les  identités socioculturelles ataviques.

Donc, les processus de dépossession terrienne voilée par la politique ultralibérale de prescription administrative des terres appartenant à des communautés autochtones, «mais estampillées terres sans propriétaires » donc, une expropriation/appropriation terrienne par des acteurs externes nantis et étrangers des territoires des peuples autochtones, mais au dossier très solide, pour dit-t-on développer des soi-disant activités d’émergence économique. Trouvent aisément leurs explications et leurs exemples de par le monde notamment, dans les territoires indigènes en Argentine, réalisés au Nom d’un hypothétique développement des infrastructures, et au Sri Lanka au Nom de l’agrobusiness, au Brésil, au Nom de la progression de l’agriculture et d’élevage. Et aussi dans les cas de la Roumanie, du Canada, et des Etats-Unis, ont été évoqués des processus de concentration des droits d’usage de la terre et des ressources naturelles, qui s’opèrent par l’achat/vente de parcelles de moindre dimension, la location non-balisées. Les acteurs impliqués sont très variés. Il y a bien sûr de grandes entreprises, internationales ou nationales, mais surtout aussi les États, directement à travers de leurs politiques foncières de redistribution, à des fins commerciales et d’investissement, ou par le biais d’expropriations ou d’attributions de concessions administratives. Bon ! De toute évidence, ce ne sont pas toujours des entreprises qui accumulent des terres. Mais plutôt la politique foncière de redistribution en créant des terres devenues propriété de l’état, ainsi couvert par la prescription administrative qui crée des terres sans maitres «propriétaire» à redistribuer par l’état.

Aussi, un terrain favorable à ces processus de dépossession et de concentration des terres, est créé par l’histoire coloniale et la création/formation d’états dit souverains, par exemple en Afrique du Sud après les indépendances, les terres non-immatriculées par l’administration de l’état, au nom de propriétaires particuliers sont devenues des terres nationales, «sans propriétaires», en bafouant le droit réel immémorial des autochtones, même lorsque ces terres étaient ou ont été, ou sont occupées, par des populations autochtones depuis très longtemps et régies par des règles coutumières, irréfragable, «droit international coutumier». Ce faisant ainsi, en ne reconnaissant pas des droits de propriétés immémoriales a des populations autochtones ou indigènes, qui habitaient ou habitent ces espaces. Les États justifient leurs pouvoir de les céder par le biais de baux de très longue durée ou de les vendre à ceux qu’il « état » considère les plus à même de développer le pays. Donc, les états imposent comme règle de droit, et comme solution «éphémère» à l’insécurité foncière la remise de titres fonciers aux habitants par l’administration. C’est ainsi que dans certains pays (par exemple Madagascar), la réforme foncière qui remettait en cause le principe de propriétés immémoriales et permettait de reconnaître les droits positifs des habitants avec des certificats fonciers, n’a pas réussi à atteindre leurs objectifs sécuritaires. Et ces pays ont continué à céder de grandes quantités de terres des indigènes, pour des activités commerciales et minières, par des jeux, à des investisseurs étrangers. En règle générale, les niveaux intermédiaires d’organisation sociale et de gestion des terres et des ressources ne reconnaissent pas les droits coutumiers immémoriaux, avec pour conséquence la privatisation systématique de l’usage des terres a propriétés collectives, communes des communautés indigènes et autochtones. Aussi, la politique de collectivisation forcée des pays se revendiquant du «vivre ensemble» cette valeur socialiste a été un autre moteur de dépossession et de concentration accélérée des terres au cours de l’histoire du XXe siècle. Ici l’exemple de Roumanie illustre le caractère irréversible à court terme de ce processus. Avec la dé-collectivisation de la propriété terrienne, de très grandes exploitations se sont reconstituées très rapidement sur les meilleures terres. Les entrepreneurs et investisseurs avec intervention de l’État s’attribuaient des milliers de petites parcelles pour constituer leurs exploitations qui devenaient leurs propriétés par la suite.

*- Lorsque les terres sont données pour exploiter et cultiver, on cherche des motifs pour se les approprier.

Au terme d’une politique ploutocratique, la terre est de plus en plus souvent traitée comme une marchandise étatique. Cette politique commerciale dans son essence, nie les spécificités territoriales et celles des ressources naturelles. Ainsi ces conséquences sont dramatiques pour la société toute entière. Aussi, les communautés autochtones et les peuples indigènes perdent le contrôle de leur propriété terrienne, et souvent de leurs cultures ataviques et de leurs savoirs ancestraux, et leurs capacités d’organisations sociales héritées. Particulièrement et singulièrement en côte d’ivoire, ces évolutions sociétales s’accélèrent depuis dix « 10 » ans et auront un caractère irréversible à terme. Puisque la généralisation des droits de propriété individuels conduit à un affaiblissement du contrôle des évolutions par les communautés autochtones et au développement des tensions sociales dans les campagnes et souvent aux abords des villes. Donc, en ne visant que la rentabilité financière dans la concentration et dans l’attribution des terres coutumières par l’état à d’autres profits rompent le rapport de la société humaine à la nature. Mettons l’accent sur les accaparements impliquant des violations directes des droits des populations, en priorisant souvent les accaparements par des étrangers, exigent de nouvelles régulations au niveau national et international devenues indispensables. Seule la mise en place d’une autonomie fondée sur le droit international coutumier «le droit des droits», permettra aux communautés indigènes et aux peuples autochtones d’éviter l’instrumentalisation des politiques étatiques contre leurs intérêts, et leur permettra de reprendre le contrôle sur leurs terres, propriétés immémoriales, qui ont été assujettis à la seule volonté de l’état ou qui a été abandonné à la seule loi du marché. Volonté et Loi, qui provoquent la vulgarisation de l’accaparement des terres par l’état et leurs achat par des financiers étrangers, des sols agricoles ou de forêts sur lesquels vivent et se nourrissent des peuples autochtones indigènes. Les plantations d’hévéas, de palmiers à huile, Bananes et autres attributions administratives de l’état, sont responsables d’une grande partie des accaparements des terres de ces dernières années. Les communautés nationales sont les premières à remarquer que les sociétés à qui l’état attribue sont plus intéressées par le blanchiment d’argent sales, le vol des ressources naturelles que par le but officiel évoqué.

Par exemple, aujourd’hui les grands propriétaires terriens, (Brésil, Argentine, États-Unis, Canada), qui possèdent des dizaines de milliers d’hectares, des grands exportateurs de soja, maïs, blé, viande, etc. sont des accapareurs soutenus par les états. Sans oublier les fermes d’Australie s’étalant sur des dizaines de milliers d’hectares avec le triste sort réservé aux aborigènes. Pourtant, selon une décision de la Cour Internationale de Justice de 2016, « les cas systématiques d’accaparement des terres, et suffisamment graves dans leurs conséquences peuvent être portés devant la justice comme crimes contre l’humanité.» Donc, il y a des crimes contre l’humanité partout dans ce monde, et qu’on ignore imprescriptibles. On est vraiment-là, face à une nouvelle conquête de type colonial, un renouvellement d’une forme de pillage dans lequel les terres sont assimilées à de simples puits à profit ou de butin de guerre, pour certains pays, donc, un notre genre de mines à ciel ouvert. Ainsi, chasser les peuples qui ont préservé la ressource, respecté l’environnement est un «détail de l’histoire» pour les accapareurs. Donc, à travers la question de la dépossession des terres à propriétés collectives, il apparaît clairement que la dé-communisation, la privatisation légalisée par des parlements et des gouvernements, n’a jamais été légitime, car elle n’a jamais été faite dans l’intérêt général. Les pillages n’ont pu exister qu’en privilégiant des intérêts particuliers sur ceux du reste de la population collective, c’est une constante de la ploutocratie, de l’ultralibéralisme prédateur, et du capitalisme broyeur de droits et de libertés. Une politique universellement avérée, Artisans d’un développement au couleur des dépossessions, accaparements et de bradages de terres avec une grosse cerise peint à la couleur Blanche de la marchandise du colombien Pablo Escobar, qui a de grands disciples en côte d’ivoire. Bon ! Peut-être d’aucuns nous rétorqueront que ceci est plus moralement regardant que, ceux tirer d’une affaire de déchets toxiques, ou plus préférable qu’une politique affairiste de cooptation/achat d’un exercice nauséeux de politicards.

*-Repenser le concept d’émergence, de développement autour de la satisfaction des besoins essentiels du peuple

Donc, que, singulièrement le cas ivoirien regarder, à la lampe des lumières des multiples exemples universels suscité, il est incontestable que pour la côte d’ivoire, si nous ne réagissons pas rapidement face aux bradages des terres coutumières, propriétés immémoriale des indigènes autochtones, et aussi à la destruction des espaces d’évolutions des agricultures paysannes locales et respectueuses de notre biotope, plus résilientes aux chocs à venir, plus humaines et plus solidaires, ce confort qui nous tient bien à l’abri pourrait se transformer en sauve-qui-peut ! Et en véritable cauchemar ! Demain ! Oui, ressassons-le, ici encore, la propriété coutumière terrienne immémoriale, régis par le droit international coutumier de la propriété, tient en l’état toutes prescriptions juridiques spéciale, y compris s’il y a ? Celles constitutionnelles. Ce droit de la propriété immémoriale coutumière n’a pas besoin de prescription spéciale, d’enregistrement spécial, de reconnaissance administrative spéciale, il est ancestral et immémorial. Donc, les prescriptions constitutionnelles de non-droit au mépris des exigences du droit des droits, de la propriété immémoriale coutumière terrienne, seraient une aberration de droit de propriété aux yeux du droit international coutumier de la propriété coutumière immémoriale, qui gouverne cette matière, et échappe à la notion de  propriété alleutier. Ainsi, en voulant par une politique ultralibérale de gestion terrienne voleuse, mafieuse, que la côte d’ivoire soit un pays des petits propriétaires terriens individuels, a fini par oublier que tous les propriétaires ou les paysans qu’elle fabrique de façon controuvée, intéressée, ne l’étaient pas, d’il y a 10 ou 20 Ans. Et que cela est dû à une politique de dépossession en n’outrance et d’accaparement systématique terriennes pour des objectifs obscurs, lugubres. Lorsque les terres sont données à exploiter, cultivées on cherche des motifs pour se les approprier ou les donner à des tiers par des moyens contourner, laissant naitre des crises.

Bon ! En côte d’ivoire, qui vend les terres ataviques a identité culturelle immémoriale dans chaine de gouvernance administrative de la cantonade des Bouffe-tout ? Ou bien c’est le suzerain lui-même ? Ou sur ses instructions ? Oui, au terme  de ces 10 ou 15 dernières années notre pays la côte d’ivoire, qui n’a plus de terres ou de forêts primitives, est entraîné dans une spirale dangereuse, par une politique prédatrice, et ses politiques de gestions foncières de plus en plus libérales que celle-ci implique. En causant ainsi de multiples dégradations sociales qui atteignent toutes les populations, en premier lieu les autochtones propriétaires coutumiers des terres querellées, qui sont les plus pauvres. Mais aussi les populations ataviques qui avaient pu conquérir des protections de leurs propriétés grâce à une antérieure politique, plus humaine, sont face à des véritables signes d’un dérèglement mafieux, pervers et funeste, des règles coutumières. Entrainant les dépossessions et appropriation illégales des ressources terriennes ataviques par la « forces » qui menacent les conditions de la vie future et mettent le pays devant sa responsabilité, à l’égard des générations à venir. Terres sans maitres ? Donc, ici, ce n’est pas faire preuve de catastrophisme que de dénoncer ouvertement la politiques ultralibérale mafieuse et voleuse de prescription administrative des propriétés terriennes immémoriales qui sont régis par le droit internationale coutumier (le droit des droits), et sa politique propagandiste de fuite en avant d’un système de bradage, de dépossessions et d’accaparement terrienne, d’un pouvoir politique toujours avide du monnayables, qui ne peut conduire qu’à l’aggravation des contradictions de toutes sortes. Il n’est pas non plus exagéré de remettre en cause ce système prédateur de jungle totalitaire, son mode nébuleux de développement exclusif qu’il impose, c’est-à-dire un type de production cafouillée et de consommation non-balisée, qu’on présente comme modèle, sans que tous puissent y accéder. Et sans que ce modèle soit généralisable, parce que son système est sélectif.

Donc, disons-le ici, qu’il est à craindre que dans un premier temps une grande partie de la population autochtone, qui se trouve parmi les plus pauvres soient littéralement sacrifiée. Et qu’ensuite que leur survie identitaire et socioculturelle soit mise en jeu. « Au terme de l’orchestration du bazardage de la côte d’ivoire mise en liquidation mafieuse ». Donc, il nous faut sauvegarder les droits coutumiers ancestraux sur les terres supposées sans maitres. Pour cela, nous proposons de repenser le concept d’émergence économique et de développement réel autour de la priorité donnée à la satisfaction des besoins essentiels du peuple, lesquels ne seront pas minimalistes mais raisonnés et définis par un débat sociopolitique démocratique. Cette reconsidération du concept d’émergence économique et de développement réel se démarque de l’illusion d’un « développement sans balise et cafouillé», d’un système politique et économique dominé par la recherche du Gain facile et du profit. Ce concept recadré, ce rapprocherait au contraire de l’aspiration à plus de justice et de solidarité que les mouvements sociaux expriment dans notre pays. Un pays que nous voulions stable et paisible, dirigé par des représentants dont les politiques et les décisions constitueront l'expression de la volonté générale du peuple. Et qui œuvreront, dans l'intérêt de la Nation, que chacun d’eux représente entièrement, et non leurs seuls électeurs ou leurs seuls Bétails électoral. Et le tout dans les limites du principe supérieur du droit, et conformément au but collectif qu'ils sont appelé à réaliser.

A LA REMORQUE DE CE KOUMA DES TERRES ACESTRALES ET LEURS BRADAGES SYSTEMATIQUE, NOTRE TOCSIN

Ceci étant bien dit et ce qui est dit est dit. Arrimons notre tocsin à ceci ci-dessus. Disons que, la société ivoirienne, n’est plus maitresse d’elle-même et de son destin dans le concert des nations civilisées. Elle n’est plus qu’une immense déchirure sociale, un vaste champ de ruine sociétale, à la merci des dépossessions des bradeurs et des vautours renifleurs,  des pilleurs endurcis et des escrocs « moral et intellectuel » ataviques. Elle est désormais devenue dispensatrice de désespoir et de désolation, sous la coupe de sinistres personnages sans foi, ni loi, tout pour Dieu l’argent, tout pour manger, tout pour être a la table des convives nocturnes. Avec l’ordre social comme Mouton de sacrifice. Donc l’heure n’est pas aux pleurnichements ou aux combats de leadership ou aucun leader n’a sortira vainqueur, ni aujourd’hui, ni demain, encore moins en 2025-2030, objet de toutes les stratégies politiques actuelles. La côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique d’abord, il faut un système de régulation sociopolitique très fiable. Oui, sous le poids dense de la liquidation socioculturelle et de ce qui fait l’identité d’une nation souveraine, la côte d’ivoire est une devenue pétaudière et une risée des nations civilisées, elle désormais porteuse des mœurs sociétales dépravées, avec toujours du capharnaüm kafkaïen au quotidien, et elle ne s’en sortira de cet engrenage qu’avec son atavique identité restaurée et qu’au terme d’une nouvelle organisation socio-politico-électorale. Oui, la côte d’ivoire, offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Et de par notre suiviste adhésion a une politique sociale de criminalité sans honte et d’escroquerie morale et intellectuelle à ciel ouvert, chaque jour nous défaisons un nouveau pas de ce que construisirent nos devanciers pendant 40 ans.  Cet Engrenage hermétique cadenassé risque d’être fatale pour la côte d’ivoire. Oui, le ver est dans le fruit ivoire, le mal a pris ses racines sur la terre de nos ancêtres, le kyste cancéreux est dans la tête de Dame Côte d’ivoire. QUI N’EST PLUS A L’ABRI DU PIÉTRE POPULISME BORNÉ DE POLITICARDS ANTI-FRANÇAIS.

Citoyens libres, comme déjà dit, nous n’exerçons que dans le respect de ce qui est conventionnelles et légitimes, et il est aussi conventionnel et légitime que, quand il n’y a plus de route légale à parcourir, et qu’à défaut de pouvoir se faire une route citoyenne et légitime, et en attendant une route légale de courses loyales, qu’il faut arrêter la course citoyenne, pour ne pas avalisé une forfaiture politicarde, donc, ici, nous avons KOUMA malgré-nous. - (Donc, les commandités pour fermer les bouches citoyennes peuvent exulter en allant réclamer leurs inhumains primes aux commanditaires. Mais depuis la nuit des temps, si la pratique des chasseurs de primes est redouté, le sort que la nature qui a horreur du crapuleux les réserve, est sans appel, et toujours à la hauteur de leur actes abominables)-. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de la Légitimité Citoyenne « LC_CRS ».

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19 septembre 2023 2 19 /09 /septembre /2023 12:12
Lepetitfils : Il faut le dire ici encore, à partir du 24 décembre 1999 et suivants, droits, libertés, règles et démocratie réelle ont déserté la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, et depuis 2011 rien n’a pu ébranlé ou contrarié la stratégie de confiscation du pouvoir d’état, qui n’a besoin ni de droits, ni besoin de règles démocratiques qui mettent tout le monde sur la même ligne de départ à équidistance du pouvoir d’état, des pouvoirs institutionnels.

Lepetitfils : Il faut le dire ici encore, à partir du 24 décembre 1999 et suivants, droits, libertés, règles et démocratie réelle ont déserté la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, et depuis 2011 rien n’a pu ébranlé ou contrarié la stratégie de confiscation du pouvoir d’état, qui n’a besoin ni de droits, ni besoin de règles démocratiques qui mettent tout le monde sur la même ligne de départ à équidistance du pouvoir d’état, des pouvoirs institutionnels.

« Un homme public ne se tait jamais tant que l’essentiel sociétal est en jeu. Et on ne le dira jamais assez, la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, qui a perdu ses repères sociétaux a besoin de réglage consensuel et de régulation sociopolitique désintéressée d’intérêt public, tous ensembles. Oui, pour la côte d’ivoire le citoyen à le devoir de rééquilibrer la balance sociale de la représentativité et de la mesure de valeur social qui ne doit pas être les fusils, encore moins Dieu l’argent ».

*- (A LIRE INTÉGRALEMENT POUR LE CITOYEN QUI ESPÈRE DE DEMAIN, ET AU CHOIX DE REPONDRE)

Depuis 2010 le message que les citoyens libres de tout engagement envoi aux politiques est qu’en côte d’ivoire le pouvoir légitime se trouve logé dans l’abstention de plus 75%  à toutes les élections, depuis 2010 qui a enregistré 82% et 81% de taux de participations. Et aux termes de l’entreprise électorale qui vient de s’achevé « entreprise électorale puisque nous ne pouvons pas dire processus d’Année électorale » il n’y a ni victoire écrasante, ni défaite sanglante, la victoire reste au 75% de dégout citoyen. Donc nous disons que, pour restaurer la confiance perdue, et pour amener les citoyens dégoutés aux urnes, il faut  un système d’organisation électorale, non-pas consensuel des partis politique, mais plutôt Apolitique  Autonome, Indépendant, Neutre Impartial, et totalement dédouané de l’emprise des Hommes politiques. Mais le pouvoir d’Abidjan est conscient de sa minorité électorale acquise, donc, il ne peut pas oser ouvrir le jeu démocratique et électoral face à une force composite, éparse et diffuse mais largement majoritaire. La constitution de CEI en l’état actuel ne rassure personne, dans une situation socio-politico-électorale délétère, de chaos en perspective, de désordre agencé, de tension sempiternelle, d’incertitude anxieuse, et de désespérance qu’ils sous-tendent, à un horizon ivoire électorale de 2025 nuageuse, peut être volcanique. Donc, il est d’une évidence absolue, qu’un mouvement politique et citoyen, d’un éclectisme impassible assumé comme nous, à la LC-CRS, «la  Légitimité Citoyenne, Républicain Social, mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste et  Houphouët-iste endurcie », ne peut être rassuré par un système électoral de : « Fait-nous-fait compromissoire », peuplé de partis politiques partisans. Il nous faut donc un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord.

Oui, les citoyens libres sont dégoutés du système électoral ivoirien, qu’ils abhorrent désormais ostensiblement.  Pour preuve voyons ensemble le poids réel des élus ressortissant des dernières élections de proximité «locales».

Abobo à un maire avec : 59.074 voix, qui correspond 14% des électeurs au nombre de 409.972, et un total de 20 % de participations

Yopougon à un maire avec : 60.394 voix, qui correspond à 12% des électeurs au nombre de 502.982, et un total 27 % de participations

Koumassi à un maire avec : 24.235 voix, qui correspond à 14% des électeurs au nombre de 163.884, et un total 26 % de participations

Attécoubé à un maire avec 19.536 voix, qui correspond à 18% des électeurs au nombre de 106.138, et un total 25% de participations

Treichville à un maire avec 11.218, voix qui correspond 18% des électeurs au nombre de 62.045 et un total de 29% de taux de participations.

Adjamé à un maire avec 18548 voix qui correspond 15 % des électeurs au nombre 117.112, et un total 21 % de taux de participation (passable)

Bouaké à un maire avec 68.035 voix qui correspond à 27% des électeurs au nombre 247.854 et un total 35% de taux de participation

Au total l’ensemble des élus locaux élus tous avec moins de 30% des inscrits de leurs circonscriptions électorales

Au surplus antécédent : Un président de la république élu avec moins 20% de l’électorat total, une constitution votée par moins 10% de l’électorat total, des députés votés par moins 20% de l’électorat total, des sénateurs voté par un corps électoral spécial élus par moins de 20% de l’électorat total, etc.

Donc, à la lampe de ces lumières électorales ci-dessus, Rien ne se sert à se leurrer avec les résultats des élections précédentes et actuelles en disant victoire écrasante ou défaite cinglante. Non ! La vérité électorale ivoirienne se trouve dans les plus de 75 % d’abstention. Donc entre les moins de 25% de taux de participations actuels et les 82% de taux de participations de 2010, la vraie victoire écrasante se trouve-là, la vraie légitimité du pouvoir se trouve-là. Donc, il est question d’avoir une réelle capacité d’invite, de rassurer et d’intéresser une abstention, d’orienter et de convaincre la versatilité protestataire, de faire décider les indécis et l’incrédulité électorale avec la transparence systémique. Et il y a des hommes politiques et des hommes publics en côte d’ivoire que ces citoyens dégoutés connaissent et comprennent bien, donc ceci en sont aisément capable. Oui CAPABLE et ils sont légions, au-delà des milliards, des postes et des titres. Puisqu’aux yeux de ces citoyens dégoutés, « C’est l’Homme qui honore le titre et non le titre qui honore l’Homme ». Dès lors l’homme politique, le vrai homme politique, se trouve dans ces conditions confronté à la recherche de solution au vieux raisonnement citoyen. Qui veut que tous les hommes politiques soient les mêmes « le tous pourris ». Ceci fait partie des conséquences et risques de l’abstention de longue durée entretenue sciemment a des fins de politiques politiciennes.

Donc, Retenons ici, que l’abstention par dégout et par désintérêt, se matérialise ou se réveille très rarement au profit du système dégoutant, dont elle ressortisse. Parce que son socle est le dégout face à un système existant, et son substrat est le désintérêt pour une pratique électorale. Donc l’abstention électorale par boycott ne peut être réveillé que par des actions régulatrices directe pour l’orientation ou le recadrage du système dégoutant et des gouvernants qui ont failli ou dévié de la seule ligne praticable en politique et en démocratie réelle. De toutes les façons malgré nos abstentions par dégout  de plus 75% ces dernières Années qui a délégitimé un système institutionnel démodé avec : un président de la république élu avec moins 20% de l’électorat total, une constitution votée par moins 15% de l’électorat total, des députés votés par moins 20% de l’électorat total, des sénateurs voté par un corps électoral spécial élus par moins 20% de l’électorat total, etc. si le système ne change pas ces élus mal élus continueront après chaque élections de gouverné le pays, en s’effaçant au profit d’un monarque totalitaire. Et gèreront nos localités malgré leur minorité acquise. Il nous faut donc un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. Il faut le dire ici encore, à partir du 24 décembre 1999 et suivants, droits, libertés, règles et démocratie réelle ont déserté la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, et depuis 2011 rien n’a pu ébranlé ou contrarié la stratégie de confiscation du pouvoir d’état, qui n’a besoin ni de droits, ni besoin de règles démocratiques qui mettent tout le monde sur la même ligne de départ à équidistance du pouvoir d’état, des pouvoirs institutionnels.

Oui, c’est une constance en démocratie que, dans un système électoral ou la pratique contredit la théorie des grand penseurs de la démocratie « le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » pour s’avéré non-rassurante et inféodé à un régime autoritaire, où les élections ne sont pas balisées qu’ainsi voter, est sans enjeu pour déterminer qui seront les gouvernants. Cette abstention manifeste un désintérêt pour une élection sans enjeu, aussi elle manifeste un refus de cautionner un régime non démocratique. Le droit du refus d voter, ou de ne pas voter acquiert alors une certaine légitimité. Oui, la participation électorale est le signe de la bonne santé d'un régime démocratique. Donc, l’Abstention est l'un des signes les plus avertissant de l'affaiblissement du système institutionnel et politique d’une nation, et  l'abstention remet en cause l'efficacité du vote comme outil d'expression citoyenne. Elle est l'un des symptômes les plus emblématiques d'une profonde crise de la représentation politique, donc, elle touche tous les segments de la société et tous les types d'élection y compris les élections locales dites « de proximité ». Puisque, plus une élection a des enjeux perçus importants, pour l'expression citoyenne moins il y a d’abstention par dégout citoyen. Donc il nous faut ivoirien, arrêter les verbiages polémistes et creux, de tirer toutes les conséquences des faits de l’abstention électorale. Oui ! Il ne faut pas se tromper, tout engagement solitaire de quelques groupes ou partis que se soient trouveront les factures a payé dans les urnes de 2025 au bénéfice des maitres du système actuel et détenteurs du pouvoir. La réalité électorale ivoirienne se trouve dans les plus de 75%. Donc entre les moins de 20% de taux de participations actuel et les 82% de taux de participations de 2010. La vérité est là, la légitimité est là, donc le pouvoir démocratique est logé-là, la légalité républicaine est-là et nul par ailleurs. Citoyens libres, nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA soit dit en passant de la Légitimité Citoyenne.

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11 septembre 2023 1 11 /09 /septembre /2023 19:12
Lepetitfils : Oui, des 82% et 81% de taux participations électorales en 2010, la côte d’ivoire n’arrive plus à accéder à 20% « propres » de taux de participations. Et pire les élections locales de 2023 ont expriment de façon claire et net le dégout citoyen. Le grand Abidjan locomotive de la participation électorale, n’a pas atteint 30% « ABOBO moins de 30%, YOPOUGON moins de 30%, COCODY moins de 20%, par tout moins de 30%, paradoxalement sauf dans les décombres démocratiques à Koumassi, mais là si les Urnes pouvaient parler il en serait autrement ».

Lepetitfils : Oui, des 82% et 81% de taux participations électorales en 2010, la côte d’ivoire n’arrive plus à accéder à 20% « propres » de taux de participations. Et pire les élections locales de 2023 ont expriment de façon claire et net le dégout citoyen. Le grand Abidjan locomotive de la participation électorale, n’a pas atteint 30% « ABOBO moins de 30%, YOPOUGON moins de 30%, COCODY moins de 20%, par tout moins de 30%, paradoxalement sauf dans les décombres démocratiques à Koumassi, mais là si les Urnes pouvaient parler il en serait autrement ».

BRAVO CITOYEN IVOIRIEN POUR TA CONSTANCE DANS LE BOYCOTT DE REFUS DEPUIS 2010.

Oui, disons-le tout net et n’en déplaise, il y a du cassé dans le système électorale ivoirien, quelque chose ne va pas et exige un remède. Le dégout citoyen est persistant. Rien à faire, la confiance est rompue entre les citoyens et ce système électoral, qui ne rassure personne. Des 82% et 81% de taux participations électorales en 2010, la côte d’ivoire n’arrive plus à accéder à 20% de taux de participations. Et pire les élections locales de 2023 ont expriment de façon claire et net le dégout citoyen. Le grand Abidjan locomotive de la participation électorale, n’a pas atteint 30% « ABOBO moins de 30%, YOPOUGON moins de 30%, COCODY moins de 20%, par tout moins de 30%, sauf paradoxalement dans les décombres démocratiques à Koumassi, mais là, si les Urnes pouvaient parler il en serait autrement ». Oui, les propagandes et tapages campagnards, les appels de pieds à relever le défis du taux de participations n’ont pas prospérés face au dégout endémique des citoyens libres. Et les citoyens libres n’attendent rien des élections sénatoriales retiré au suffrage universel direct, donc, retiré à leurs gouvernances légales et légitimes. Pour l’octroyer a un fichu partage de gâteaux porteur de « Colique » et toutes les infections.

Bravo citoyen !!! D’avoir montré par ton boycott les limites du bien matériel en politique. Aussi Bravo citoyen !!! Parce que, quand un citoyen vote pour un candidat indépendant, il vote par conviction, il vote pour réguler, il vote pour équilibrer. Les victoires des indépendants sont un désaveu pour les partis desquels ils se sont détachés. et les braves citoyens qui ont voté indépendants veulent demeurer dans leur rôle de citoyen régulateur de sa société. Oui, Bravo citoyen !!! Ta grande abstention régulière 70%  est un avertissement pour ceux qui prennent les citoyens ivoiriens  comme moutonniers. Le taux d’abstention  70% est très explicite cela veut dire en clair que 70% des ivoiriens ne se reconnaissent pas dans le système électoral actuel, et dans les gouvernants ivoiriens. Aussi l’abstention est devenue le plus grand parti politique de la Côte d’Ivoire, avec son « score » de 70%. Ce taux d’abstention est dû à une perte de confiance dans les élus, les citoyens qui ont voté à 82% et 81% en 2010 en ont marre de sentir qu’on ne les écoute pas, qu’ils comptent moins que les intérêts mafieux des politicards. Donc Bravo citoyens ivoiriens !!! D’avoir montré qu’il y a plus a pensé et plus à résoudre qu’un appel de pied a relevé le défi du taux de participation. Bravo citoyen !!! Le décor étant ainsi planté « on sera se voir un jour » Oui demain ! Ou la côte d’ivoire prendra une autre couleur que celle ORANGE des piranhas d’aujourd’hui.

Oui, si les élections locales, qui est par excellence de par le monde, un concours de représentativité du peuple souverain, ultimes détenteur du pouvoir d’état, avait été organisées par une commission électorale Apolitique, Autonome, totalement indépendante qui rassure tout le monde, ce qui est cage de la participation de tous les citoyens ivoiriens et de tous les partis politiques ivoiriens, et surtout, si elle l’avait été avec une commission Apolitique, Autonome, totalement indépendante, pour afin tenir la promesse républicain de l’égalité de chance dans la société commune, de l’égalité sans exclusif de tous en droits et devoirs indépendamment des appartenances et  des intérêts politiques inavoués, sans aucune politique condescendante de domination partisane, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, aurait fait une vraie avancée vers la fin de crise qui est toujours latente dans le navire voire. UNE ELECTION SANS MORT N’EST PAS UNE VICTOIRE DU POUVOI D’ETAT…

A défaut de ce cadre organisationnel, les citoyens libres ont boycott ces élections, qui sont un refus de légitimer une mascarade. Certifiant ainsi, de façon linéaire que, la démocratie représentative est le fruit d’un compromis négocié souvent dans le sang des révolutions des cinq «5 » derniers siècles, entre les exigences dictatoriales et l’aspiration profonde des couches populaires, à la maîtrise de leur vie et de leur destin collectif. De sorte qu’en l’absence d’un cadre de vote efficace, les citoyens ont utilisé leur seul autre moyen d’exercer un contre-pouvoir le boycott, pour espérer obvier une aliénation de fait, de la souveraineté populaire. Puisque, le fonctionnement de la démocratie représentative se trouve radicalement faussé, quand la souveraineté populaire se trouve aliénée dans/par un systeme. Dès cet instant, les élus qui sortant de cette aliénation de la souveraineté populaire, n’agissent plus en tant que mandataires du peuple du refus de mascarades électorales, mais ils agissent en tant que souverains absolus. Puisque les citoyens ont boycottés les élections pour délégitimer la structure du pouvoir, qui en ressortisse, illégalement, illégitimement dans le mépris des droits. Dès lors ces élus sont d’un autre ordre

Oui, une démocratie participative fonctionne sur le mode l’impartialité totale des structures de la démocratique pluraliste, l’abstention endémique par boycott est le signe de son inexistence. Et lorsqu’on contourne cette réalité irréfragable, par des questions politiques politiciennes, qui paraissent impropres à la démocratie, le rapport de force supplante la démocratie. S’ouvre alors les portes glauques et visqueuses d’un système mafieux de non-droit et la sphère publique et électorale se trouve désertée de citoyens libres par boycott. Car ce n’est pas là que s’attribuent les pouvoirs démocratiques, et que se prennent les décisions publiques équitables, salvatrices, novatrices et salutaires. Donc, on s’abstient, on boycotte, mais on fait confiance à la protestation légitime pour faire entendre sa voix citoyenne. Le boycott est un signe de manque de confiance, de désespoir, qui résulte du processus électoral cadenassé et bâclé, aux résultats téléguidés connus d’avance, via  un système qui schématise le trucage. Ce qui n’est pas précisément une posture de citoyen libre et indépendant. Donc le citoyen Boycott.

Mais, du même coup, pour redonner un sens à la souveraineté populaire, il faut aussi que ce boycott, ne se limite pas à l’abstention par boycott, mais débouche sur une intervention démocratique positive et que les partisans du boycott, forment des structures collectives, qui débattent des futures transformations de l’organisation politique et sociale, qui redonneraient à chacun, les moyens d’une existence décente, pour une prise sur le destin collectif. Oui, un pouvoir aux mains d’un système politique exploiteur de misère, s’efforce toujours de gouverne en se servant des élections qui ne le sont que de Nom. Et puisqu’ils ne sont pas bien élus, ils se moquent anssi que les citoyens participent ou pas au vote du moment. Et ce qui les intéresse, est que les citoyens ne font rien d’autre pour leur ôter leur pouvoir mal-acquit. Donc ce pouvoir continuera à jouer la carte de la légalité «respect de la loi électorale viciée» sans se préoccuper de la légitimité que ne pourrait lui procurer qu’un vote massif, qui n’a aucune chance de se produire dans son mafieux système.

Puisqu’un simulacre de légalité, basé sur son système électoral et sur le respect d’une loi électorale taillée sur mesure, qui prête a caution, le suffit pour garder la haute main sur le pays et toute la richesse nationale du pays. Et ainsi de dangereux ressentiments susceptibles de fragmenter encore plus la cohésion sociale en résultent. Puisque la véritable démocratie, c’est quand des millions de dégoutés vont revoter aux élections et font ainsi de la politique, en choisissant librement leur représentation nationale. Donc, il serait borné, aride et taré, de dire en côte d’ivoire que le boycott est un choix libre de citoyen, donc qui équivaut à un Vote. Bon ! Quoi de plus normal, quand l’arbitraire de l’injustice juridique, organisationnelle et de l’injustice sociale à force de loi, dans une côte d’ivoire mise en liquidation mafieuse, et réduit à l’état de caisses noires ostensible de butins de guerres de conquête du pouvoir par les armes impies d’une éhonté mafia sacrement sectaire, ou chaque Gourou veut une part qu’il exige consistant. Le probleme de mon pays est là, le problème ivoirien se trouve loger-là, pas ailleurs.

Oui, pour nous a la LC_CRS, soucieux de la réponse à donner à ce questionnent au soir de chaque vie d’homme public ivoirien « Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois », nous sommes peinés, agacés, sinon attristés, de voir et d’entendre la côte d’ivoire, cette expérience de consensus politique, de dialogue national, du asseyons-nous pour discuter à l’Africaine, d’entente a toute épreuve et de paix sociale. Oui cette culture de non-violence, d’harmonie intercommunautaire et d’union nationale aussi à toute épreuve, cette expérience de l’exaltation de la diversité solidaire, cette solidarité nationale agissante, assise sur la reconnaissance de l’autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous. « Hélas ! Peinés, agacés, et attristés, disons-nous », de voir cette société autrefois havre de paix devenir une voyoucratie d’état paria à ciel ouvert aux yeux du monde. Cette côte d’ivoire parti du 07 Aout 1960, sous la conduite de Félix Houphouët Boigny, avec pour Religion «pas une seule goutte de sangs Humain versée sur le sol ivoirien» et avec l’option rigoriste que tout homme est homme, indépendamment de sa Caste, que les hommes sont égaux en droit et en devoir dans la société, qui s’oblige à organiser la solidarité envers les plus faibles de sa peuplade, a l’arriver en décembre 1993 pour s’avéré être une côte d’ivoire paisible. Ou tous les changements étaient possibles, dans l’ordre social, dans la stabilité politique, dans le respect des différences sociopolitiques et dans la paix nationale et internationale, cette autre religion Houphouët-ienne. 

Nous sommes peinés, agacés, et attristés, parce que, n’est pas des nôtres le suivisme moutonnier, le panurgisme alimentaire, derrière des gens mafieux, escrocs moral et intellectuel, aux Auras factices nébuleux, fondés sur des fausses notoriétés griot-tique et propagandistes, afin d’escroquerie morale et intellectuelle. Nous sommes peinés, agacés, et attristés,  parce que, personne d’autre, ni même un Dieu, ne viendra résoudre de façon magique, les problèmes sociopolitiques de la côte d’ivoire, en lieu et place des ivoiriens eux-mêmes.  Oui, des 82% et 81% de taux participations électorales en 2010, la côte d’ivoire n’arrive plus à accéder à 20% « propres » de taux de participations. Et pire les élections locales de 2023 ont expriment de façon claire et net le dégout citoyen. Le grand Abidjan locomotive de la participation électorale, n’a pas atteint 30% « ABOBO moins de 30%, YOPOUGON moins de 30%, COCODY moins de 20%, par tout moins de 30%, paradoxalement sauf dans les décombres démocratiques à Koumassi, mais là si les Urnes pouvaient parler il en serait autrement ». Nous sommes peinés, agacés, et attristés, parce que nous évoluons vers une élection présidentielle de 2025 avec moins de vingt pourcent « 20 % » de taux participations avec un président élu avec 99,99%. Ici, Il serait de diversion politicard, loufoque, sinon limité, et aride de dire que le boycott est un choix libre de citoyen. Non ! C’est une contrainte illégale imposée aux citoyens. C’est un refus de légitimer une mascarade électorale. Bon ! : « Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois », doit hanté les fossoyeurs de la démocratie ivoiriennes. Donc, en attendant que le soleil se lève, disons vive « Dieu le grand » et ses qu’est qu’il y a, de piranhas. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

SOURCE LE BLOG DE Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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26 juillet 2023 3 26 /07 /juillet /2023 03:38
Lepetitfils : Nous n’exerçons que dans le respect de ce qui est conventionnelles et légitimes, et il est conventionnel et légitime que, quand il n’y a plus de route légale à parcourir, et qu’à défaut de pouvoir se faire une route citoyenne et légitime, qu’il faut arrêter la course citoyenne, en attendant une route légale de courses loyales, pour ne pas avalisé une forfaiture politicarde. Donc, que les commandités pour fermer les bouches citoyennes exulte et réclame leurs primes aux commanditaires. L’histoire jugera et la postérité témoignera.

Lepetitfils : Nous n’exerçons que dans le respect de ce qui est conventionnelles et légitimes, et il est conventionnel et légitime que, quand il n’y a plus de route légale à parcourir, et qu’à défaut de pouvoir se faire une route citoyenne et légitime, qu’il faut arrêter la course citoyenne, en attendant une route légale de courses loyales, pour ne pas avalisé une forfaiture politicarde. Donc, que les commandités pour fermer les bouches citoyennes exulte et réclame leurs primes aux commanditaires. L’histoire jugera et la postérité témoignera.

Donc, d’emblée disons ici, que : Quand il n’y a plus de route légale à parcourir, et qu’à défaut de pouvoir se faire une route citoyenne et légitime, il convient d’arrêter la course citoyenne, en attendant une route légale de courses loyales, pour ne pas avalisé une forfaiture politicarde. DONC, QU’IL CONVIENT DE BOYCOTTER TOUTES LES ELECTIONS A VENIR. Oui, Quand les droits inaliénables et les libertés fondamentales sont violés, la boite noire étatique doit être percée, et ouverte au regard du grand public. Une boite noire étatique, qui sert de couverture hermétique aux nihilistes et aux iconoclastes, masqués Houphouët-istes. Et Rassemblés dans un saugrenu panier attrape-tout et bouffe-tout. (Comme d’anciens S-DOGO). Un bric-à-brac panier de piranhas et sangsues qui a fait un pacte de misère socio-politico-économique avec le peuple ivoirien après avoir pris sa mesure panurgiste juste de suiviste du moment, pour le coudre et le coller un corsage moutonnier d’enfer. Oui, un panier de piranhas qui veut une côte d’ivoire poulailler étriqué, sans ouverture, sans issue de secours, à la merci des renards intrus. Et qui aspirent à ce que la valorisation de soi, passer absolument par la négation des autres appartenances, d’autrui.

Oui, en convenons ici, qu'il est de droit, que, quand la vérité historique est coffrée dans la boite noire étatique, toutes les libertés (publiques ou individuelles) se trouvent mises en danger, et que s’en suit logiquement, le chaos social sempiternel. Donc, Il faut une ouverture de la boite noire étatique aux regards de la totalité sociale souveraine, l’exposé aux jugements des citoyens. Et sauvegarder les vérités historiques pour restaurer les libertés. C’est notre objectif, qui apparait comme inatteignable aujourd’hui. Donc, Il faut BOYCOTTER toutes les élections à venir, de droit, par la liberté et pour la démocratie réelle. Se faisant, le citoyen s’abstient passivement, il boycotte in-activement, mais il fait confiance à l’avertissement, à la protestation, transporté par son abstention pour faire entendre sa voix et faire voir sa voie de refus. Donc le boycott inactif du citoyen est un signe d’espoir dans une force certes Volcanique mais contrôlée, qui espère d’un avenir meilleur. Et surtout la conscience d’une puissance en alerte qui peut conduire à l’extrême pitié pour les urnes. Et l’antagonisme envers les démembrements de l’organisme des élections querellées. Une société ne progresse pas de façon linéaire mais par fracture nécessaire.

*-Revenons à notre «KOUMA». La pétaudière d’un capharnaüm-kafkaïen ou Butin de guerre mise en liquidation ?

En politique, un idéal sociétal ne peut se réaliser que dans la grande constance dans l’action politique discursive, intransigeante, flexible, mais sans infléchir. Donc répétons-nous encore ici ; il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger avant la phase terminale de sa noyade. Le peuple ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, mais la côte d’ivoire, n’est plus elle-même dans le concert des nations. Il ne faut pas se leurrer, la côte d’ivoire se noie dans l’océan des civilisations. Il y a danger, il y a péril, et il y a mort par euthanasie sciemment et habilement préparée par la déculturation et la désocialisation, pour l’horizon pas très lointain. Bon ! Nous n’avons peut-être pas la Force d’un sauveur, mais nous avons une Gueule bien en place de dénonciateur, d’éclaireur d’opinion et d’éveilleur de conscience. Ceci est notre sacerdoce. Bon ! Disons que, dans la vie sociale, il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Donc, disons qu’aujourd’hui, la société ivoirienne est à la dérive, déroutée de ses repères initiaux, d’où la saine pratique politique est largement menée aux points par l’affairisme nébuleux, sur un Tapis glauque et visqueux, ou la laïcité est dans les cordes face à l’obscurantisme. La côte d’ivoire est groggy du haut son piédestal, oscillante, vacillante et tremblotante, titubante sur ses bases légales sous les coups de poignards dans le dos à lui administrés par des sado-pervers d’un système ploutocratique inhumain et monarchiste débridé. Un système non soumis au peuple et de conformisme intellectuel, s’appuyant sur une économie d'exploitation de l’homme, dans une gouvernance d’Anarchisme socio-économico-politico-développemental qui ignore l’Avenir. Oui, la côte d’ivoire cette expérience de l’exaltation de la diversité solidaire roule vers l’Abime, coule à petit Feu. 

Les droits et libertés  individuelles du citoyen sont à genou en prière devant Dieu l’argent, qui adjuger volontiers le tout sociétal a une nouvelle ploutocratie hybride et débridée. La mesure de valeur sociopolitique est confinée dans la force matérielle «les armes fusils» et du matériel pécuniaire. L’ordre social est segmenté et privatisé, chaque portion engraissée a sa compréhension de l’ordre, au détriment des amaigris systémiques condamnés à la soumission seigneuriale. Les mœurs sociétales ataviques prises à la gorge en voie d’étouffement, désespérées elles grommellent entre les mains nébuleuses, obscurantistes de petits malins a la fête, inspirés par les mœurs d’outre cieux. La sagesse et l’intelligence ivoirienne sont tronquées contre la délinquance, la criminelle et l’escroquerie morale, intellectuelle. La tranquillité et l’espérance ivoirienne sont converties en la versatilité et désespérance. La critique coutumière de lourdeur ivoirienne à entreprendre, «ou même pour d’autre non-averti la fainéantise » sont remplacé par le fait-tout et le tout-permis. Les mensonges éhontés ont vaincus les vérités historiques, et ont fini par assujettir, les libertés individuelles et les libertés publiques, ainsi en danger, les valeurs sociales historiques bafouées, les droits civiques consommés mises à Zéro. L’honnêteté est devenue un crime face à des fanfaronnades et à des élucubrations judiciaires devenue une force sociopolitiques incontournables.

*- «Et comme nous l’avons déjà dit et répéter et nous sommes condamné à le ressasser toujours dans une situation statique qui ne bouge pas d’un Iota: Notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny avec les bouleversements sociopolitiques ou les terres se vendent partout comme de petits pains et par n’importe qui ! il est d’une évidence absolue que, ce sont les acheteurs d’aujourd’hui qui décideront des dirigeants de Demain, la démographie transhumante aidant. Qu’on ne fait pas fi de l’ignorer, l’extrême multi-culturalité que cela provoque finira par annihiler les socles culturels des sous-cultures nationale, et Même le substrat de la sociologie électorale et politique ivoirienne est mise en lambeau, les mœurs perverses et dépravées ont remplacé les mœurs nationales ataviques, au nez et la barbe de nos grands gardiens des us et coutumes. La côte d’ivoire évolue vers le chaos social total avec Dieu l’argent comme mesure de valeur sociopolitique, surtout ou le tout sociétal à un prix, «je peux tuer il n’y aura Rien !» sera force et valeur sociopolitique. Et, les ivoiriens potentiels désignés victimes, préfèrent le saupoudrage des maquignonnages, le maquillage des ivraies et les litotes caressant dans le sens des poils, dans un affairisme à la colombienne qui élude et masque l’essentiel sociétal au profit de gains controuvés.»

La société ivoirienne a perdu ses repères d’autres fois, qui imposaient respect et admiration de par le monde. La Côte d’ivoire dénaturée, acculturée, asphyxiée, s’étouffe, s’exsangue, sur la voie périlleuse de la désocialisation en outrance. De toute évidence, la côte d’ivoire de demain se réduira inexorablement a la cartographie des états, elle ne serait plus jamais culturelle ou de civilisation-Laïque. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny perd son identité sociale, et perd sa spécificité dans le concert des nations, ou chaque entité constituée en nation est porteur d’une civilisation exprimant sa différence à l’intérieur de l’égalité de tous égaux en droits et devoirs. Il y a manifestement péril à la maison. Oui, le pouvoir d’Abidjan ne sait qu’exceller dans la concussion, le copinage, la défenestration économique vers d’autres cieux, et dans le banditisme politique, la voyoucratie politicarde, ou la  politique se réduit à se saigner et à s’achever dans la fureur d’hallali controuvés, nombrilistes, et/ou judiciarisés. L’utilisation systématique des poignards dans le dos de la stabilité politique, de la paix sociale, de la démocratie électorale, dans des actions obscurs et dans des entreprises de piranhas renifleurs de sangs. Avec une peuplade actrice faiseuse de couillonnades, qui n’admet jamais être tromper dans l’action politique, qui ne sait pas non plus, comment on fait président de la république d’une nation cohérente, donc qu’il faut dit-t-on formé, a Jugé le suzerain, arrivé à la conclusion que cette peuplade est suffisamment puéril, Morpion ! Cornichon ! Dégonflée ! Patate ! Niais ! Godiche ! Un peu Imbécile aussi ! Qui ne peut pas comprendre la vie du monde réel. Parce que c’est Imbécile seulement qui ne change pas. C’est ça la vérité! Oui, les citoyens libres s’en «GNAGNE DE VOUS».

*- Attardons-nous sur la chanson de Développement, en prenant un long-pont et des échangeurs-Gondolés.

Donc, à propos de la propagande de diversion sur le développement, soulignons ici, qu’à l’opposé des économies industrielles du monde cohérent, que le mot pays en développement ou émergent, est né dans les années 1980 «de nos 20 ans révolu avec des bouches Mlê-Mlê», d’un économiste néerlandais, a  la faveur du développement des marchés boursiers dans les pays en développement. Dans l’entendement duquel, un pays émergent, est un pays capable de soutenir une croissance rapide en économie ouverte sur une période relativement longue sans mettre en péril son équilibre externe. De même soulignons aussi que des expériences de croissance rapide, sont venues buter sur le caractère insoutenable à moyen et long terme, des échanges extérieurs de biens et services et de capitaux. (Des rêves envolés, quoi !) Donc disons-le ici, le progrès de la totalité sociale et le développement commun et bien partagé, exige l’ordre social, dans le respect des droits inaliénables, des libertés fondamentales, et un système social capable de trouver des solutions aux tensions nées des Bazars, du capharnaüm, du grand désordre kafkaïen, d’un développement déséquilibré, fanfaronné a tous bouts de champs par des ploutocrates. Oui, avec le respect de l’ordre social et de l’ordre de la sociabilité, comme substrat tous les progrès suivent. Donc, disons, qu’en lieu et place de l’émergence économique chantée par les grands théoriciens de l’ultralibéralisme de jungle «ce foutage de gueule, estampillé développement», cette couillonnade systémique qui n'admet jamais s'être trompé, parce que réputé intransigeant, la côte d’ivoire de Félix ’Houphouët Boigny a plutôt besoin de l'émergence de l'ordre social, de l’ordre de la sociabilité, fait d’harmonie, de solidarité agissante. Qui favoriser un état réel de concorde civile entre hommes de tous horizons, entre l’homme et la nature de la société ivoirienne. 

C’est pourquoi nous avons toujours dit qu’en lieu et place de ce farfelu développement de fouage de gueule, il est question plutôt d’affirmer les droit inaliénable des peuples autochtones, sur la ressource terrienne atavique, les ressources nationales souveraines substrat de la souveraineté nationale pleine et entière, de la nation souveraine que cela sous-tend, dans le concert des nations ordonnées et civilisées. Et savoir sérieusement et honnêtement tirer profit de la « mondialisation » économique. Donc, disons-le tout net, la croissance économique ne se traduit pas nécessairement par une hausse du bien-être des populations nationales, comme en Inde, tout comme en Chine, et les nouveaux modèles asiatiques de développement enviés en Afrique. La croissance économique repose sur les chiffres de l'enregistrement comptable des transactions économiques, matérialisées par une facture ou un ticket de caisse. Mais il n'en a que faire du bonheur et du bien-être des populations nationales ou de la masse populaire. Il les laisse de côté et ne les prend jamais en compte dans sa visée. Donc, il souscrit à un développement qui laisse l’homme au bord de la route du progrès sociopolitique de la totalité sociale. Et surtout, l’émergence économique résulte plus de la garantie offert par  la stabilité, l’ordre social et de la nature même des normes juridiques et valeurs sociales en vigueur, du fonctionnement des organisations publiques, du cadre réglementaire, des procédures et des politiques publiques, de la qualité civilisée du leadership politique, que d’une quelconque économique dirigiste de rafistolage économique, de jonglages financières et de bradage des terres a propriété immémoriale. L’Ethiopie et l’Erythrée n’ont pas bougée d’un iota.  Les chiffres de croissances farfelus, les goudrons, les bétons, les véhicules à l’âge limités, le Métro, les tricycles transports de bagages et de passagers et mêmes les tricycles solaires, ne feront pas le développement ivoirien en absence de l’ordre social, qui proscrits le désordre social indescriptibles et le tout permis dans une société Déshumanisée et Animalisée.

*- Une vie sociale, déracinée, cafouillée, désordonnée, étouffante, dépravée, chaotique et de jungle totalitaire.

La côte d’ivoire est sous le joug, d’une voyoucratie politicarde, nihiliste dans l’âme, iconoclaste devant l’éternel, renégat endurci à l’Houphouët-isme, arriviste assumé devant Dieu l’argent et alpiniste conquérant inconscient et insouciant de notoriété publique, qui ne reculent devant aucune catastrophe pour assouvir ses desseins glauques et visqueux. Un alpinisme traçable, de la Haute volta, a la Mauritanie, et de la Mauritanie a la côte d’ivoire, cette dernière qui s’exsangue, de sa morale atavique, de ses mœurs ancestrales. D’où, le ventre plein a fini par vaincre l’intellect humain, le meilleur de gyroscope pour l’homme. La misère morale nourrit à la sève de l’ignorance des inconséquences du panurgisme, suiviste et du moutonnier a fini d’étalé l’intelligence politique de tout son long sur un Right glauque et visqueuse, déserté par l’intelligentsia ivoirienne. Et patatras, le grand «Gnamien-Pbwli» n’habite plus ni en Bas, ni en Haut, il s’est confiné dans les poche de politicards. Et pire dans notre société les importées Mœurs dépravées sont devenu fièrement ostensibles, surtout la dépravation sexuelles, qui ont  fini par annihilées nos mœurs sociétales ataviques. C’est une constance, la politique du ventre banni toute sagesse, toute intelligence, toute dignité, toute fierté, tout orgueil positif, pour se muer en motifs de snobisme. Ainsi l’ignorance, et la bêtise se retrouvent glorifiées sur la terre de nos ancêtres et le glas de l’intelligence se trouve sonné, parce que le ventre gouverne l’intellect. Dans un désordre social d’embrouillamini Amorale et de brouillamini méprisant les normes sociétales qui édictent la morale des mesures de valeurs sociales et les mœurs. Bon ! C’est une constance, que les sociétés secrètes, les sectes criminelles, les confréries opaques tout comme les pouvoirs absolutistes prospèrent sur la lavée des interdits sociétaux, « la tentation la plus forte de l’homme ».

Oui, la côte d’ivoire est certes maitrisée et vaincue par un système ploutocratique, mais elle n’est pas convaincue et persuadée, Non ! Elle se trouve dans une paix de l’absence de conflits ouverts. Donc, dans une situation éphémère. Oui, une course poussiéreuse et désordonnée vers le développement d’une société humaine ne paye jamais biens. Une société humaine doit progresser avec une marche sûre, sans désordre et sans brouhahas, ou l’ordre impose la discipline, ou la morale enfante la conscience, ou la sagesse imprime la cadence, ou la vision éclairée d’une anticipation des perspective d’avenir dans le temps, a pour mission de gyroscope sociétal, ou le rythme infaillible a Dent de scie obvie les sortis de route, et obéit aux moyens nationaux, sans surendettement assujettissant. Donc, une totale maitrise du destin commun en quelque sorte, à l’image de la marche politique de Felix Houphouët Boigny, ou la précision assurait la synergique et obligeait la solidarité, l’allégeance, et exprimait l’assurance dans la totale maitrise de son art et l’absolue sureté d’atteindre l’objectif visé, le tout ventilant le parfum de la force tranquille. Oui, en  côte d’ivoire d’aujourd’hui, la morale est en congé, les mœurs dépravées, l’honnêteté devenue un crime, dans une société  devenue moutonnière, acculturée, dénaturée, désocialisée et aux mœurs dépravée. Oui, une côte d’ivoire mise en liquidation culturelle, économique et politique, surtout devenue un butin de guerre d’agression délibérée. Avec un Abidjan qui ne se décongestionne pas dans l’espace, mais s’entasse, se compile, se centralise grâce à des ponts qui paradent au-dessus de la ville, avec des échangeurs juxtaposés, Gondolés, chevauchant les routes qui convergent vers un seul centre d’intérêt, le Plateau, quartier du Palais d’Houphouët Boigny, pour une vie sociétale, déracinée, cafouillée, désordonnée, étouffante, dépravée, chaotique et de jungle, qui est toujours totalitaire, arbitraire, sans loi ni foi, avec la force Grise comme mesure.

Oui ! L’ivoirien acculturé subit une déculturation. L’ivoirien se dénature, l’ivoirien se déracine, au profit des mœurs dépravées, dans une société prédatrice dite ultralibérale. Cette société de l’ultralibéralisme prédateur qui broie les petits aux pieds des grands intérêts mafieux. Donc, malheur aux piétailles de citoyens, donc malheur aux vaincus du chacun pour soi, l’argent à tout prix, au terme d’un duel ou la raison reste aux plus forts, aux plus riches. Puisque la loi de la jungle régi la société ivoirienne désormais, la criminalité gouverne les relations, et les rapports sociaux sont soumis à la puissance funeste de Dieu l’argent. Alors, on peut tuer pour gagner ou garder son emploi, on peut tuer pour avoir des rémunérations pécuniaire ou un salaire, on peut tuer pour avoir son manger ou son argent, on peut tuer pour avoir sa consommation et on peut tuer pour avoir son identité. Puisqu’on peut tuer pour garder son pouvoir malgré tous, la locomotive tirant du tout est là, imperturbable, dans une société marchande. Ou le Moi est le centre des discutions, le nous tend à disparaitre. D’où l’autre n’est plus un frère ou un ami potentiel, mais un danger potentiel de plus en plus marqué. Ainsi pour garder son travail, les employés n’ont qu’à tout accepté. On pourra alors jouir de sa supériorité, en vantant son bien matériel et en attendant de son interlocuteur une forme de reconnaissance sociale fondée sur ce bien matériel. Ceci reste le seul prisme de l’existence Sociale, la seule motivation en politique, la seule source de valeur sociale. Eh bien oui, en lieu et place de la côte d’ivoire qui se voulait une société humaniste et surtout une société démocratique. Les Dés sont jetés, donc, revoilà le peuple ivoirien toujours aux aguets à tout redouter des inconséquences, des insouciances et des légèretés des actions socio-politico-judiciaires d’un pouvoir déviant, non-maîtrisé, divaguant ostensiblement dans les fibres sociopolitiques très sensibles de la nation ivoirienne pilotée par un néo-monarchisme débridé, devenu sourd et aveugle. Et le peuple ivoirien est halluciné, craignant qu’elles ne tournent à de nouvelles tragédies politico-sociales dans le pays d’Houphouët. Puisqu’aucun parti politique significatif ou de gouvernement soit-il, en lui seul n’arrêtera cette dynamique démoniaque, donc, le peuple est au pied du Mur. Bon ! Les traces de la trahison d’un peuple ne s’effacent pas du jour au lendemain son empreinte est indélébile. 

*- La stabilité politique et la paix sociale dépendent de l’exigence d’une organisation fiable de la totalité sociale.

Oui, développement ou pas ! Émergence ou non ! De toute évidence et incontestablement, après le honteux coup d’arrêt au processus démocratique et à la stabilité sociopolitique par le coup d’état du 24 décembre 1999, après un autre coup d’état manqué des 18-19 septembre 2002, transformé en rébellion armée, qui a duré 8 Ans et 07 Mois, après la catastrophe démocratique et électorale d’Octobre 2010, Oui, au total, après les micmacs et zigzags d’un petit coup d’état tirant et arrachant, qui a duré 11 ans 4 mois «1999-2011» pour arriver à sa réussite, et après les travers démocratiques avec 80% d’abstention électorale par dégout de 2015 et les impaires électorales de la présidentielle, avec un président de la république élu avec moins de 20% de l’électorat total inscrit et imposé au peuple souverains de côte d’ivoire par les armes, après le referendum constitutionnel d’un taux de participation de 5%, avec toutes les urnes de votes cassées dans toutes l’assiette territoriale de la nation, après le non-sens électoral-politique-démocratique-judiciaire de la présidentielle foirée de 2020 orchestrée, fabriquée par des élucubrations judiciaires, contraires au droit, et imposées par les armes, sur les corps de plus de 150 Morts, Oui, irréfragable-ment, incontestablement, l’idéal était de voir et revoir le système d’organisation sociopolitique, les normes d’organisation sociale, le système de l’organisme électoral, pour  rendre Impartial, Neutre, Apolitique, Autonome, totalement Indépendant, chargé de la gestion électorale d’abord avant toutes autres élections. Cela a la suite linéaire  ou à la remorque d’une Amnistie générale référendaire d’initiative populaire, Avalisée et Validée, par le peuple souverain, en droit qui tient en l’état les condamnations à la perpétuité et les condamnations «a défaut» a 20 ans de détention, prison. Oui, quand le peuple légifère par une Amnistie générale référendaire post-guerre ou post-crise et consensuelle-ment consentie, c’est de l’avenir du Corps social, et de sa solidification qu’il s’agit. C’est à cela que la totalité sociale souveraine sacrifie tout, au bénéfice du bien de tous, pour une perspective d’avenir meilleur de la totalité sociale souveraine qu’elle anticipe ainsi. C’est de notoriété coutumière.

Donc, oui, un organisme, capable d’organisé des élections réellement démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres, qui concours incontestablement à l’affirmation des droits inaliénables des peuples a disposé d’eux-mêmes, fondée sur le respect strict des principes de représentations sociopolitiques, prescrits dans un corpus de normes électorales, qui met tout le monde en confiance et tous les acteurs politique d’accord, parce que tous égaux en droits et devoirs. Ces exigences citées ci-dessus imposent une organisation fiable de la totalité sociale et disposent de la stabilité politique et de la paix sociale. A défaut de ceci, il convient de boycotter toutes les élections à venir. Bon ! A défaut de l’idéal de pouvoir Boycotter toutes les élections, il faut éviter de voter le panier des piranhas au couleur Orange. Nos cimetières en ont marre d’accueillir des jeunes citoyens zigouillés. Mais ! bien que la côte d’ivoire soit marquée hermétiquement à la culotte par une crise sociale aigue, depuis le 24 décembre 1999, jusqu’à ce jour, ce qui signifie qu’elle n’est pas derrière nous, qu’elle est à nos côté évoluant vers d’autres catastrophe et chaos social, en clair que la crise risque de s’aggraver, mais malgré tout, on ira aux élections locales en septembre 2023, en attendant une autre hécatombe, une autre catastrophe en octobre 2025. L’opposition ivoirienne fataliste, réductionniste, suiveuse, est entrainée vers l’engrenage de sa perte et trimbaler petit-a-petit vers une autre crise postélectorale programmée, qui donnera la parole aux armes «fusils» comme en 2010. Bon ! Ils iront aux élections locales en septembre 2023 ou les voix citoyennes serviront d’aval aux trucages.

Panser la plaie béante-saignante de notre pays qui s’exsangue, sur sa vraie surface. Sinon, elle va se gangrénée.

Oui, une véritable Opération d’inondation Electorale, s’est opérée dès les enrôlements, avec les permutations sur la liste de brigades de soutiens, véritable bétail électoral, vers des centres d’intérêts soupçonné hypothétique, ce qui garantit le vote double, 1- dans le lieu d’origine et 2- dans le lieu de brigade de soutien, en appoint du tout vient la mafieuse fraude Inondation de nationalité pour élection. Mais hélas, le sage a dit que: « Quand l’ombre du pygmée grandit c’est que le soleil va se coucher ». Oui, Donc, le soleil a entamé sa couchée sur la côte d’ivoire le 24 décembre 1999 pour arriver au 18-19 septembre 2002 et se coucher le 11 avril 2011. Et l’ombre Orange du pygmée couvrira toute l’assiette territoriale de du pays au terme des élections locales suscitée. Donc, tâchons nous ivoiriens, dans l’attente de l’aube, d’œuvrer inlassablement tous ensemble pour la recherche de la voie praticable avec nos lampes, lumières, et torches. Encore hélas, le sage a dit que « quand les éléphanteaux  se couchent pendant longtemps parmi les cabris du désert, ils finissent par sentir le Bouc. « Bâkôrônî – Bééééé-Puuufff», et ainsi ils demeurent dès lors assujettie aux caprices d’un boucher sahélien ou désertique qui sait bien par culture atavique que faire d’un Bouc, « Bâkôrônî – Bééééé-Puuufff».  Oui, toujours hélas: Dans la vie, tout comme en politique : Tout s’acquiert au prix de milles efforts, celui qui a acquis le pouvoir d’état passivement par les armes impies ne peut rien acquérir tant que l’effort d’un système impartial démocratique pluraliste est exigé.

Oui, sans leurre, si le peuple ivoirien tient à instaurer une nation démocratique réellement fondatrice d’un ordre sociopolitique nouveau, ou tout le monde serait libre de partir dans les compétitions électorales sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état avec un organisme électorale Apolitique, Autonome ; indépendant, neutre, impartial et une institution judiciaire débarrassée des élucubrations judiciaires au profit du pouvoir exécutif. Et surtout où il pourrait faire la politique et aller dormir tranquillement chez lui en toute quiétude. Il doit se lever dès maintenant tous ensemble, pour dire non ! Par un Boycott total des élections, de maintenant et à venir. Oui, dans la conquête du pouvoir, quand la normalité de son cadre organisationnel est fiable, et l’homogénéité des normes de régulations sociopolitiques sont évidentes, elle devient une épreuve de l’inconnue, et des surprises, d’où les vainqueurs ne sont pas forcément les meilleurs. Les urnes citoyennes décident librement. Ici, le pouvoir d’état s’acquiert donc, au prix de mille effort, et celui qui l’acquiert passivement au prix de quoi que ce soit d’autres, ne peut faire le bonheur du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir. Donc, il nous faut soigner la plaie ivoire sur sa surface réelle, bien que, nous avons vu depuis quelques moment que cela fait mal, sinon très mal même. Et pourtant, il va absolument nous falloir avoir le courage de panser la plaie béante-saignante sur sa vraie surface réelle dans notre pays la côte d’ivoire qui s’exsangue. Sinon, elle va se gangrénée, pour arriver à l’amputions membrane irréparables. Une société humaine ne se gère pas, elle se règle en continue.

Donc, citoyens, à nos/vos ciseaux et pinces, alcool 95°degrés et mercurochromes, avec des antibiotiques en appoint.  Autrement dit, se dire ou se redire les vérités crues et nues, pour que les mensonges de politiques politiciennes orchestrés n’arrivent plus à obstrué, ou a absoudre les vrais risques, les réelles conséquences, et les indispensables solutions sociétales. Oui, dans la vie humaine, il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Et il est constant de par le monde qu’une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise ou le manipule, Idem pour l’outil électoral, politico-démocratique qui, mal usé ou exploité, et mal orienté ou détourné, peut tuer les droits inaliénables et les libertés individuelles, pour provoquer la décadence socioculturelle et la dégénérescence sociale et politique. Citoyens libres, répétons-le, nous n’exerçons que dans le respect de ce qui est conventionnelles et légitimes, et il est aussi conventionnel et légitime que, quand il n’y a plus de route légale à parcourir, et qu’à défaut de pouvoir se faire une route citoyenne et légitime, qu’il faut arrêter la course citoyenne, en attendant une route légale de courses loyales, pour ne pas avalisé une forfaiture politicarde, donc, ici, nous avons KOUMA malgré-nous. *- Donc, les commandités pour fermer les bouches citoyennes peuvent exulter en allant réclamer leurs primes aux commanditaires. Mais depuis la nuit des temps, si la pratique des chasseurs de primes est redouté, le sort que la nature qui a horreur du crapuleux les réserve, est sans appel, et toujours à la hauteur de leur actes abominables. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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6 juin 2023 2 06 /06 /juin /2023 12:37
Lepetitfils : Qui a dit qu’il y a des terres sans maitres en côte d’ivoire, que l’état ivoirien de 1960, se doit d’en solutionné ? Non ! Foutaise ! L’état n’a aucune habilitation de prescrire l’imprescriptible, qu’est le droit international coutumier qui regis les terres coutumières immémoriales. Ceci est largement au-dessus de l’état de 1960. Notre motivation et préoccupation ici, LA PAIX POUR DEMAIN, NOTRE DEMAIN QUI SE DOIT D’ETRE PAISIBLE. Et aussi et surtout de dire Non, à l’œuvre politique qui veut compléter la liste des spoliateurs endurcis :

Lepetitfils : Qui a dit qu’il y a des terres sans maitres en côte d’ivoire, que l’état ivoirien de 1960, se doit d’en solutionné ? Non ! Foutaise ! L’état n’a aucune habilitation de prescrire l’imprescriptible, qu’est le droit international coutumier qui regis les terres coutumières immémoriales. Ceci est largement au-dessus de l’état de 1960. Notre motivation et préoccupation ici, LA PAIX POUR DEMAIN, NOTRE DEMAIN QUI SE DOIT D’ETRE PAISIBLE. Et aussi et surtout de dire Non, à l’œuvre politique qui veut compléter la liste des spoliateurs endurcis :

*- RETRO, « KOUMA ». Les terres sans Maitres ? Est-ce que cela ne sent pas la magouille étatique ? Bon !

La dernière republication de ce Kouma, date de presque deux « 2 » Ans, nous le ré-proposons encore à la faveur du décret sur les terres « sans maitres » en côte d’ivoire. « Phrase déconcertante et décontenançant ». Donc, ré-disons que,  l’état n’a pas d’habilitation de droit réel, de prescriptions délibérées des terres coutumières immémoriales. Et n’a aucun pouvoir d’Attribution prescrite des terres coutumières immémoriales, il « état de 1960 » n’a d’habilitation de Décrétés « terres sans maitres » les dépossessions voilées des terres coutumiers au nom d’une prescription irrecevables, injustifiables et inacceptables de/par l’état. L’état « qui a tête changeante versatile » n’en est que simple gestionnaire momentané, des conflits des droits et de délimitations entre communautés «indigènes» autochtones propriétaires coutumiers immémoriales des terres ancestrales. Oui, aujourd’hui, la côte d’ivoire est installée dans un désordre indescriptible, qui a atteint, le socle existentiel de la société ivoirienne « association de multiples communautés indigènes, De (BÂWOULÉDÄ) -TIENKO à ABOISSO et de BOUNA à GRABO», et son substrat culturel et identitaire sont atteint dans leurs racines existentielles de survie, pire l’assiette territoriale est soumise au géo-métrage délibéré de ce qui fait la souveraineté nationale et de ce qui garantit l’existence socioculturelle des peuples. Oui, il est de principe universel, que : Quand les droits inaliénables sont violés, la boite noire étatique doit être percée et ouverte au regard du grand public. Oui, parce que, quand la vérité historique est coffrée, de fait et de non-droit, dans la boite noire étatique, toutes les libertés publiques ou individuelles se trouvent mises en danger et s’en suit donc, le chaos social sempiternel. Or seule la vérité historique, «cette valeur universelle» peut aider notre pays la côte d’ivoire à sortir de la situation de crise insouciante et inconsciente, à conduire au développement de notre pays dans la stabilité et la paix réelle c’est notre but ici. « Hélas ! Milles fois hélas ! Les flagorneries mensongères de soutien à l’escroquerie moral et intellectuelle est devenue le fonds de commerce le plus rentable de côte d’ivoire, surtout en politique ivoirienne ou trône Dieu l’Argent au mépris de toutes autres valeurs sociales » Bon ! La propriété foncière coutumière immémoriale est régis, par le droit international coutumier «le droit des droits »,  elle n’a pas besoin de prescription positiviste étatique.

Oui, en convenons-en, citoyen ! Puisque c’est toi qui Kouma ici, face aux  risque d’une Américanisation ou Canadien-nisation, de la propriété foncière des terres immémoriales. Ou se le dispute, bradages, accaparements illégaux, expropriations et installations anarchiques. Le problème du foncier ivoirien doit rester rigoureusement sous la coupe du droit indigène autochtones coutumier,  le droit international coutumier, « le droit des droits » ou lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de multiples sociétés composites en une entité qu’est état. Toute politique foncière, qui ne tient pas compte du droit international coutumier, « le droit des droits » ou lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de multiples sociétés composites en état, en matière de propriété terrienne, des terres ancestrales, serait source de conflits demain. Le problème du foncier ivoirien demeurera source de crises sociales irrésolue en côte d’ivoire. Parce que, la propriété coutumière terrienne immémoriale, régis par le droit international coutumier de la propriété, tient en l’état toutes prescriptions juridiques spéciales, y compris celles constitutionnelles. Ce droit «de la propriété immémoriale coutumière», n’a pas besoin de prescription spéciale, il est ancestral et immémorial. Les droits fonciers coutumiers ressortissant irréfragable du droit international coutumier «le droit des droits», qu’ils soient constitutionnellement prescrit  ou non, qu’ils soient législativement enregistrés ou non, qu’ils soient légiférés et transcrit autrement ou non, qu’ils soient décrétés ou non, les droits fonciers coutumiers ont plus de poids et plus d’effets juridiques que les droits obtenus grâce à une prescription positives quelconque d’un état, même constitutionnelle, ou cession de droits quelconque d’origine juridique positiviste. Donc, la propriété coutumière immémoriale, n’a pas besoin de prescription juridique spéciale, même constitutionnelle avons-nous dits. Il a ses modes de cession aussi coutumière et ancestrale propre à chaque groupe social, à chaque communauté. Oui, dans   l'assiette territoriale nationale, « du FOLON (Bâouléda Tienko) à Sud-Comoé, et du Boukani à San-Pedro», Chaque peuple, chaque communauté, chaque tribu, chaque ethnie, connait toutes les limites et les lois non-écrites qui régissent les terres ancestrales, régis par la propriété coutumière terrienne immémoriale.

*- À ce rythme infernal, la Lagune d’Abidjan ne serait qu’un souvenir dans quelques dizaines années seulement. 

Donc, nous disons que, l’état n’a pas d’habilitation de droit réel, d’attribution des terres immémoriales, encore moins les déclarées sans maitres. Les problèmes des terres coutumières, propriété immémoriale ne se transporte pas devant une juridiction même internationale, sauf à vouloir asseoir le droit international coutumier dans son champ d’application et sur son sujet, qui régit cette propriété, ou sauf si le litige a trait aux tracées des frontières territoriales issues de colonisations « par la mère patrie la France ». Donc, même une décision d’une Cour dite commune de Justice internationale, ou d’une juridiction nationale, ne s’impose pas aux exigences irréfragables du droit international coutumier « le droit des droits ». Ils ne se transportent pas non plus devant un conseil des ministres « des dirigeant administrative passager » pour en contester l’essence de droit réel, qu’il est ancestrale-ment, atavique-ment porteurs, avant la naissance de l’Etat « personne morale abstraite, d’association de multiple communautés diverses chacun ayant abandonné une partie de lui-même pour se fondre dans une entité abstraite», qui n’est devenue se faisant que gestionnaire des biens publics. Et arbitres des éventuels conflits de délimitations coutumières entre les communautés divers, propriétaires immémoriaux et ataviques.

Oui, hier, aujourd’hui et ce serait valable pour Demain, en côte d’ivoire la question du foncier ivoirien est au cœur des conflits meurtriers intercommunautaires ivoiriens, de régions différentes, et entre ivoiriens propriétaires terriens, immémoriaux coutumiers et certains débarqués, au dossier désormais ostensibles biens plantés dans les régions forestières, où se sont majoritairement installées les communautés d’horizons diverses estimée à près de dix « 10 » millions en Côte d'Ivoire, par les savants. Et souvent subitement devenus propriétaires terriens ivoiriens du jour au lendemain, avec comme support un accaparement des terres, qui se vulgarise en toute illégalité en côte d’ivoire. Or même l'explorateur portugais Soeiro Da Costa 1469 à trouver les terres ivoiriennes avec des maitres propriétaires multiséculaires. Lui qui a donné à nos fleuves locaux les noms de San Andrea aujourd'hui Sassandra et San Pedro à trouver les terres ivoiriennes avec des propriétaires qui se montraient déjà les limites entre eux, donc, lui il n’a pas découvert de terres sans maitres. Donc répétons-nous citoyen ! L’état ivoirien de 1960 n’a aucune Habilitation de droit a taxé des terres ivoiriennes de sans maitres. Bon !  un constat, la lagune « ébrié » par exemples qui demandait un entretien d’extension ou de élargissement, a aujourd’hui, près de 4 millions de m2 des baies, remblayés, pour l’laisser des bâtisses en béton poussées.  Et à ce rythme infernal, la lagune d’Abidjan ne serait qu’un souvenir dans quelques années seulement. « PAROLE DE LA LC_CRS ».

C’est pourquoi, la côte d’ivoire a besoin nécessairement et rigoureusement, du renforcement judiciaire des droits des propriétaires terriens, de façon sans équivoque conformément au droit international coutumier, qui gouverne les droits de propriétés immémoriaux. D’où l’état, personne morale ne peut interférer dans les droits des propriétaires coutumiers terriens. Donc, l’état reste astreint au rôle d’interface, et confiner dans son seul rôle juridique de gestionnaire, qui se doit uniquement de légiférer sur les modalités de transactions entre personnes privées, détentrices de droit coutumier immémoriaux. C'est-à-dire, légiféré des lois régissant les location à durée limitée, co-exploitation contractuelle, sous-exploitation contractuelle, exploitation conditionnelle lucrative contractuelle», fondées sur des contrats qui ne peuvent excéder trois (3) fois, trente-trois (33) ans, qui font au total quatre-vingt-dix-neuf (99) ans. Des contrats dont tout en permettant les réaménagements de ses clauses chaque trente-trois « 33 » ans, délai au terme duquel toutes les clauses restent de rigueurs, doivent proscrire toute possibilité de vente de personnes privées ou morales à personnes privées ou morales. Sauf pour l’état à se faire accepter unanimement par la totalité sociale souveraine, par l’état lui-même personne morale gestionnaire, estampillé souverain et cela sur des questions et pour des raisons justifier d'intérêts publics, et pour des œuvres d’intérêt national profitable à toute la nation souveraine et a la totalité sociale souveraine. Oui, la relation qui lie les peuples autochtones à la terre, « leurs terres », est matérielle, spirituelle et existentielle. Donc, pour respecter leurs obligations internationales, « entité abstraite », l’état doit assurer aux peuples autochtones détenteurs de propriétés coutumiers immémoriales, une protection effective de leurs droits fonciers, et mettre fin aux atteintes qu’y portent les tierces personnes. Et de jouer à fond, son rôle indispensable dans la protection effective des droits des peuples autochtones propriétaires immémoriaux. Donc d’intervenir, par des mesures de police et de maintien de l’ordre, pour faire cesser les atteintes qui sont portées aux communautés autochtones par certains opérateurs privés en envahissant leurs propriétés terriennes et en pillant les ressources naturelles dans la plus grande illégalité.

*- les principales responsables de la précarité des peuples autochtones sont les spoliations de leurs droits de propriétés terriens

Or les terres coutumières sont inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables. Les terres coutumières, sont non seulement insaisissables, mais elles ne peuvent faire l’objet d’une expropriation, même d’utilité publique, «sauf consensus et consentement», pas plus que d’une usucapion de la part de l’état ou de la part de tiers. Oui, les terres coutumières sont inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables. C’est donc une mesure de protection très forte qui sied à ce droit réel, en droit international coutumier « le droit des droits ». Oui, ici, face à la politique du tout-état, la reconnaissance d’une véritable propriété foncière des peuples autochtones sur leurs terres coutumières ancestrales, soulève d’importantes difficultés politiques étatiques. Ainsi, le positivisme de l’état s’oppose souvent à ces peuples, qui se trouvent souvent confrontés à l’état, là où ils sont établis avec leurs droits fondamentaux de propriété coutumière comme mode d’expression d’une identité culturelle. Ceci parce que, le droit de propriété immémoriale des peuples autochtones, limite nécessairement la possibilité pour l’état prédateur qui veut décider librement du sort des importantes ressources terriennes souvent localisées sur ces propriétés ancestrales, et aussi qui aspire à tisser des relations d’affaires avec d’éventuels investisseurs privés source de revenus. C’est pourquoi l’état fait le choix délibéré, pour des raisons affairistes et économiques, de ne pas reconnaitre aux peuples autochtones un véritable droit de propriété sur leurs terres ancestrales, « un élément nécessaire de leur patrimoine existentiel » donc se contente de leur reconnaître seulement un droit d’usage sur des terres exploitables.

Ainsi, les procédés de reconnaissance des droits fonciers des peuples autochtones sur leurs propriétés ancestrales place ces peuples face à des difficultés d’importance inégale, selon qu’une loi leur soumet à l’obtention des titres fonciers administration étatique, ou les contraint à les revendiquer en justice étatique. La plupart des législations étatiques se bornent en effet à reconnaître le droit pour les peuples autochtones de revendiquer des droits fonciers sur leurs propriétés ancestrales, et dans cette hypothèse les choses se compliquent singulièrement, car il appartient alors aux communautés autochtones d’établir le bien-fondé de leur revendication, « PAPIERS  délivrés par l’administration étatique ». Ce qui débouche souvent sur l’orchestration étatique d’une politique terrienne d’expropriation latente de la paysannerie rurale, «en majorité manipulable, analphabète, suiveurs  et docile», de leurs propriété collective coutumière foncière-forestière au profit des grands intérêts étatiques ou grandes politiques étatiques, ce qui est un danger public réel dans l’avenir. Ainsi le droit indigène coutumier lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de la société composite en une entité abstraite, se trouve bafoué. Alors que ce droit est ressortissant du droit international coutumier «le droit des droits » qui tient le droit positif étatique en l’état. Ils ne se situent pas au même niveau de la hiérarchie des normes juridiques ou des principes de droits universels. Donc, disons-nous, ici pour demain, attention au syndrome Américain, Canadien Zimbabwéen, Somalien et Argentin, ou les principales responsables de la précarité des peuples autochtones et indigènes sont les spoliations de leurs droits de propriétés terriens par une politique d’ultralibéralisme sauvage, une urbanisation désordonne et chaotique, des cultures de toutes sorte, l’exploitation minière effrénée, l’industrie forestière et pétrolière, et la spéculation sauvage immobilière causales.

*- La propriété terrienne coutumière immémoriale échappe aux états donc, la terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960, ce serait trop facile.

Ce syndrome spoliateur est ostensiblement présent en côte d’ivoire, avec la même politique d’ultralibéralisme. Ici, d’où toute acquisition illégale des terres dites sans maitres, et soumises à la prescription administrative saupoudrées de non-droit, même constitutionnelle soit-elle, des propriétés terriennes coutumières, seraient une catastrophe Demain en côte d’ivoire. Et toute prescription positiviste ou constitutionnalisation intéressée du droit de la propriété terrienne, qui spolierait de leurs propriétés terriennes, les peuples autochtones ataviques, propriétaires coutumiers fondé sur les, « lois ancestrales, non écrites » serait source de graves conflits dans l’avenir. Avec demain les peuples autochtones ataviques, propriétaires coutumiers comme premières victimes directes d’une politique bâtarde et débridée, qui non seulement marginalise les sous-cultures, les identités, mais aussi et surtout, détruit, le droit de propriété, le lien à la terre des peuples « autochtones », et le savoir traditionnel de ceux qui se considèrent, pas seulement comme des « propriétaires », mais comme des « gardiens » d’une terre qui a ses droits propres. La mauvaise gestion foncière menacerait la paix civile ! La prescription positiviste de la gestion des terres, le déni des droits fonciers, taxés de sans maitres, sont des motifs majeurs de conflits pour demain. Surtout des terres qui sont attenantes aux villes et aux villages, qui se développent et se multiplient à toute allure. « La terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960 ce sinon serait très facile ».

Très souvent à l’origine des problèmes des propriétés terriennes, se trouvent toujours une série d’actes de violences, qui est l’essence même des actes d’accaparements. Souvent, une situation conjuguée de conflits fermés, où le tout-état prédateurs, recouvrent et dissimulent les demandes légitimes des peuples autochtones sous d’autres revendications positivistes, «PAPIERS ADMINISTRATIFS». Dans ces cas, la position des peuples autochtones est minimisée et laissée dans le flou juridique total. Ainsi à défaut d’éclairage, l’essentiel des préoccupations des peuples autochtones est consigné dans la boite noire étatique du tout état prédateur. Et ainsi au Nom de l’unité de l’entité sociale ou de l’État tout cour, on arrivera a bloqué les procédures  Indigénistes de légale réforme foncière et a pratiqué une politique d’usure au Nom de papier administratif. Oui, tous les germes de la violence sont là, pour notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët, Boigny, sans que nous « ivoiriens » puissions prévoir avec certitude, quel va être le cours des événements à venir. Peut-être que la présente « KOUMA, chronique citoyenne», réussira à attirer l’attention sur ce phénomène persistant. Oui, la prescription de l’imprescriptible en droit international coutumier, « le droit des droits », par l’état prédateur participe d’une remise en cause du principe coutumier de propriété immémoriale terrienne. Droit de propriété immémoriale terrienne, regardé ici, à l’aune, au prisme de la coutume internationale et dans une logique de conflits entre propriété originaire et propriété née des politiques coloniales de « spoliation » fondée sur la création d’un état, ici né le 07 Aout 1960, dit souverain absolu. « Ceci trouve échos dans, la Déclaration des Nations-Unies sur les droits des peuples autochtones, Non-contraignante certes, mais elle occupe une place absolument centrale dans le traitement à fond des droits fonciers des peuples autochtones et bénéficie d’un soutien beaucoup plus massif. Oui, adoptée par 144 voix pour et 11 abstentions, elle n’avait en 2007 suscité l’opposition que de quatre Etats - mais non les moindres : Australie, Canada, Nouvelle- Zélande et États-Unis ».) La propriété coutumière immémoriale échappe aux états ». Oui, la terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960, ce serait trop facile.

Notre motivation et préoccupation ici, LA PAIX POUR DEMAIN, NOTRE DEMAIN QUI SE DOIT D’ETRE PAISIBLE.

Donc, disons-nous, la prescription positiviste des droits coutumiers immémoriaux par le biais de politiques  dites d’identification foncière et de lois positives, qui considèreraient que ces prescriptions ont un statut supérieur à celui de la propriété coutumière immémoriale régis par le droit international coutumier « le droit des droits » est un danger pour Demain. Oui, il est de notoriété publique que, depuis la nuit des temps les sages d’Afrique pour donner une portion de terre cultivable a un arrivant pour sa nourriture disaient comme Balise que : « Les propriétaires de cette portion de terre que je te donne-là ne sont pas encore Nés ». Oui, nous, ne souhaitons pas voir, un ivoirien devenir un Robert Mugabe dans l’avenir demain.  La terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960 ce serait très facile. Oui, la mauvaise gestion des terres en côte d’ivoire serait un péril pour notre demain à tous. Donc, pour le destin de nation cohérente, paisible et le destin de tous. La côte d’ivoire doit oser la marche et la course salvatrice vers une entité de stabilité, et de paix : Oui, quand on marche vers un but que l’on désire, il y a deux (2) conditions à remplir :  il faut premièrement que l’on y veuille aller à tout prix, en second lieu, que l’on soit disposé à faire tout ce qui est humainement possible, et surtout qu’on soit prêt à faire le pire des sacrifices pour se donner les moyens pour que ses pieds l’y porte vers ce but. Le peuple ivoirien doit oser marcher, vers la côte d’ivoire devenue paisible

Oui ! Qui a dit qu’il y a des terres sans maitres en côte d’ivoire que l’état ivoirien de 1960, se doit d’en solutionné ? Non ! Foutaise ultralibéralisme. Puisque l’état n’a aucune habilitation de prescrire l’imprescriptible, qu’est le droit sur les terres coutumières immémoriales ivoiriennes. Ceci est largement au-dessus de l’état de 1960. Notre motivation et préoccupation ici, LA PAIX POUR DEMAIN, NOTRE DEMAIN QUI SE DOIT D’ETRE PAISIBLE. Et aussi et surtout de dire Non, à l’œuvre politique qui veut compléter la liste des spoliateurs endurcis : L’Australie, le Canada, la Nouvelle- Zélande et surtout les États-Unis. Des états ou à présent les terres appartiennent aux riches exploitants et aux accapareurs illégaux au mépris des propriétaires fonciers coutumiers immémoriaux. Oui, n’en déplaise au tout-état prédateur et ses fichus de développeurs, costumiers des bradages et des pillages, la terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960, sinon ce serait très facile, MAGOUILLE ETATIQUE OBLIGE. Citoyens libres, comme nous ne pouvons que KOUMA, donc, sur ceux nous avons satisfait aux exigences de ce sacerdoce légitime et éminemment légale. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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