La côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY a besoin des actes nobles et de noblesse, mais hélas la noblesse ne s’acquiert pas avec le pouvoir politique de l’état. Non, Non, et Non !!! On nait noble par généalogie atavique. Nous somme désormais à la rive Maur… Safroulaye !!! » Avons-nous déjà dit
« La double attaque des directeurs généraux de l’Ecole de police et de l’Ecole normale supérieure est manifestement une prélude à un terrorisme étatique en côte d’ivoire. L’épouse du directeur général de la SICTA Madame Ya, née Hortense Moulod a été tué à bout portant, le lundi 18 mars 2013 dans son quartier, sis à Angré Star 10. A qui le tour demain que la nature protège la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY ??? »
« Dans le concert des nations, La côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY vient d’ajouter une nouvelle corde à son arc d’état criminel. Désormais au surplus de l’état voyou, de l’état policier, de l’état paria elle est devenue un état terroriste. La culture est un des fondements du terrorisme. Le terrorisme consiste en des actes de violence ou en des menaces de violence ciblée et organisée d'une certaine ampleur qui sont de nature socialement dangereuse ou sensible et qui sont dirigés contre la société, ou les personnes afin de les contraindre à exécuter les exigences politiques, ethniques, communautaire et autres soutenues et présentées par les auteurs des actes de terreur. Les idées terroristes deviennent vite fertiles dans les sociétés où règne une culture communautariste qui protège, soit les avantages et les privilèges, soit à la recherche de suprématie. Mais voilà ont-ils le droit, au nom des privilèges du pouvoir étatique, de nous conduire, nous et notre société, dans un précipice abyssal au bord duquel précipice nous sommes désormais entassé. La côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY a besoin des actes nobles et de noblesse, mais hélas la noblesse ne s’acquiert pas avec le pouvoir politique de l’état. Non, Non, et Non !!! On nait noble par généalogie atavique. Nous somme désormais à la rive Maur… Safroulaye !!! » Avons-nous déjà dit
Une mosaïque compilation de : Da Candy Lepetitfils leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force, dans sa recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitique en côte d’ivoire criminalisée au mépris des valeurs sociales que l’humanité s’est donner
Thomas Jefferson, né le 13 avril 1743 et mort le 4 juillet 1826 a été le troisième président des États-Unis, de 1801 à 1809. Il ne cachait pas ses sympathies francophiles. Jefferson était attaché aux Droits de l'homme, pour lesquels il lutta au sein de son État et du pays. Rédacteur d'une partie de la Déclaration d'indépendance
L’homme, en tant que tel, et indépendamment de sa condition sociale, a des droits « inhérents à sa personne, inaliénables et sacrés »,
*-La première Déclaration des droits de l’homme est celle de l’État de Virginie (États-Unis), écrite par George Mason et adoptée par la Convention de Virginie le 12 juin 1776 (appelée en anglais le Bill of Rights américain). Elle a été largement copiée par Thomas Jefferson pour la déclaration des droits de l’homme incluse dans la Déclaration d'Indépendance des États-Unis du 4 juillet 1776, par les autres colonies pour la rédaction de leurs déclarations des droits de l’homme, et par l’Assemblée française pour la Déclaration française des droits de l’homme et du citoyen, ainsi qu'elle aura inspiré largement la Déclaration universelle des droits de l'homme votée par l'ONU en 1948.
*-Les DROITS DE L'HOMME, c’est l’idée selon laquelle tout être humain, indépendamment de son statut social, possède des droits universels par le simple fait d’être un être humain, de faire partie de la famille humaine. Peu importe la couleur de sa peau, sa race, son sexe, sa langue, ses opinions philosophiques, sa nationalité, ses choix politiques, ses origines sociales, son patrimoine, etc.
*-Les droits de l'homme définissent ainsi des valeurs sans lesquelles une vie ne serait pas digne; et leur universalité découle du fait que, à cet égard, tous les êtres humains sont égaux. Des valeurs qui définissent plus précisément comment les hommes et les peuples sont amenés à coexister pacifiquement.
(MAHATMA) MOHANDAS KARAMCHAND GANDHI
Les valeurs qui définissent comment les hommes et les peuples peuvent être amenés à coexister pacifiquement sans heurt…
*1)- la liberté : la volonté humaine fait partie intégrante de la dignité humaine. Etre forcé d'agir contre son propre gré en est la négation. Parce que la volonté humaine est une part importante de la dignité humaine. Etre forcé d'agir contre sa volonté avilit l'esprit de l'homme. «Déclaration des droits de l’homme de 1791 : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres.»
*2)- le respect d'autrui : en respectant ainsi son individualité et sa dignité essentielle. Parce qu'en manquant de respect à une personne, nous négligeons son individualité et sa dignité essentielle. Respecter autrui ; C'est savoir d'abord écouter les autres, partager les idées de chacun, la vie de chacun, respecter aussi les choix de vie de chacun, politiques, la liberté de penser, religion ; c'est respecter aussi les règles de vie de la communauté. Et il faut savoir que le respect d'autrui commence par le respect de soi même"
*3)- la non-discrimination : ne pas juger autrui sur base de caractéristiques physiques ou même sociales. Parce que l'égalité dans la dignité humaine signifie que nous ne devons pas juger les autres sur des caractéristiques, notamment physiques, qui n'ont pas à entrer en ligne de compte.
*4)- la tolérance : l'intolérance constitue une négation de la différence. Parce que l'intolérance dénote un manque de respect vis-à-vis de la différence. L’écoute attentive des opinions des autres et leur questionnement philosophique sont les conditions indissociables de la tolérance authentiquement respectueuse d’autrui, car la personne ne vaut comme telle qu’en tant qu’elle est autonome dans sa pensée et elle ne peut penser par elle-même qu’en tant qu’elle peut penser d’une manière raisonnée et raisonnable ; or cette capacité d’autonomie exige le dialogue critique avec les autres comme condition nécessaire du dialogue avec soi.
MARTHIN LUTTER KING JR
*6)- la justice : les êtres humains doivent être traités équitablement ; parce que les êtres humains, égaux dans leur humanité, méritent d'être traités de façon équitable. Donc l’idée de justice fait référence sinon à l’égalité, du moins à l’équilibre dans les relations entre les hommes : la justice implique la proportion et la stabilité. Une formule médiévale la définit ainsi comme « l’art du bon et de l’égal ».
*7)- la responsabilité : le respect des droits d'autrui implique la responsabilité à l'égard de ses propres actions. Parce que le respect des droits des autres englobe la responsabilité à l'égard de ses propres actions. La responsabilité directe renvoie la personne à ses propres actes et non à ceux d’autrui. Elle est donc davantage fondée sur le libre arbitre. En effet, dire qu’une personne est responsable de ce qu’elle a fait, c’est dire qu’elle aurait pu s’en abstenir, autrement dit qu’elle était libre de le faire ou pas.
*8)- Opinion ; Avoir une opinion, c’est croire, c’est à dire, non seulement adhérer à une idée, mais se fier à elle pour agir en vue de se réaliser soi-même et de se justifier dans ses rapports aux autres et à soi. C’est dire que les opinions de chaque individu et donc d’autrui en tant que personne expriment son être même, c’est à dire, le sentiment qu’il a de son identité et de sa valeur. Sinon c’est la mise en péril de la libre discussion des idées qui sont les conditions de possibilité de la justice démocratique et de l’accord sur des valeurs communes indispensables au bien-vivre en commun (fondée sur l'expression du libre choix des citoyens quant à la définition de la conduite commune).
René Samuel Cassin (né le 5 octobre 1887 à Bayonne, mort le 20 février 1976 à Paris), était un juriste, diplomate et homme politique français. Un des auteurs de la déclaration universelle des droits de l'homme en 1948. René Cassin est le fondateur de l'Institut libre d'étude des relations internationales (Ileri) ainsi que de l'Institut Français des Sciences Administratives (IFSA) qui est aujourd'hui une association reconnue d'utilité publique. Il repose actuellement au Panthéon.
*9)-Ces valeurs ci-dessus citées sont comme le vent, invisibles. Pourtant, vous devinez que le vent souffle au balancement des feuilles dans les arbres. Et vous comprenez alors que les valeurs existent grâce aux actions des individus ».
*10)- Ces valeurs sont universelles, indissociables, interdépendants et intimement liés. La communauté internationale doit traiter Ces valeurs globalement, de manière équitable et équilibrée, sur un pied d'égalité et en leur accordant la même importance.
*11)- Ces valeurs sont aussi une sorte d'armure: ils vous protègent; ce sont aussi des règles qui vous disent comment vous comporter; enfin, ce sont des juges auxquels vous pouvez faire appel. Ils sont abstraits - tout comme les émotions; et, comme, les émotions, ils appartiennent à tous et existent quoi qu'il arrive.
*12)- Ces valeurs sont encore comme la nature, car ils peuvent être violés; ils sont aussi comme l'esprit, car ils ne peuvent être détruits. Comme le temps, ils nous réservent à tous le même traitement - que nous soyons riches ou pauvres, jeunes ou vieux, blancs ou noirs, grands ou petits. Comme pour la bonté, la confiance et la justice, nous avons du mal à nous mettre d'accord sur leur définition mais, lorsque nous les voyons, nous les reconnaissons.
*13)- Ces valeurs ci-dessus citées, ne sont autres choses, que les droits de l'homme sont un concept selon lequel tout être humainpossède des droits universels, inaliénables, quel que soit le droit positif en vigueur ou les autres facteurs locaux tels que l'ethnie, la nationalité ou la religion.
*14)-L’homme, en tant que tel, et indépendamment de sa condition sociale, a des droits « inhérents à sa personne, inaliénables et sacrés », et donc opposables en toutes circonstances à la société et au pouvoir. Ainsi le concept de droits de l’homme est-il par définition universaliste et égalitaire, incompatible avec les systèmes et les régimes fondés sur la supériorité ou la « vocation historique » d’une caste, d’une race, d’un peuple, d’une croyance, d’une classe ou d’un quelconque groupe social ou individu ; incompatible tout autant avec l’idée que la construction d’une société meilleure justifie l’élimination ou l’oppression de ceux qui sont censés faire obstacle à cette édification.
NELSON ROLIHLAHLA MANDELA MANDIBA
Le tout pour souligner que L’homme, en tant que tel, et indépendamment de sa condition sociale, a des droits « inhérents à sa personne, inaliénables et sacrés », et donc opposables en toutes circonstances à la société et au pouvoir. Et que le nouveau mode opératoire des terroristes de Ouattara qui consiste pour les soldats « FRCI » démobilisé ou mobilisé en armes de circuler à bord d’une voiture pour suivre leurs cible de son lieu de travail jusqu’à son domicile et le mitraillé au moment propice où elle est isolée ne nous surprend guère.
Les crimes de Ouattara et ses FRCI
Nous n’en sommes pas surpris le sage a dit que « si tu voit dans une communauté, on appelle les gens de venir jurer, que c’est qu’il y a un étranger dans le groupe social » donc nous (je) sommes pas surpris nous (moi) a qui un « FRCI » fantassin dans un groupe de fantassins « FRCI », potentiels terroristes a expressément décharger sa kalachnikov pour faire tomber les balles et en suite prendre une balle et la brandir en s’exclament celui qui n’a pas vu la mort la voici, celui qui écrit contre le pouvoir de Alassane Ouattara son cimetière est clair. Nous (je) étions assis seul sur le balcon du deuxième étage de ma petite résidence, ma petite propriété dans laquelle les seuls luxes qu’on puisse trouver est l’eau courante et l’électricité. Mais il y avait quelques personnes dans la rue. Ces fantassins après avoir temporiser a la recherche d’une réaction de notre (ma) part qui n’est jamais venu ont continuer leur chemin qui était la rue qui passe juste devant ma résidence tout en marquant quelques arrêts pour regarder dans ma direction assis sur le balcon. C’est cela, le terrorisme et çà émane d’une culture. Donc nous ne sommes pas surpris par avènement des actes de terrorisme en côte d’ivoire. Leader de la légitimité citoyenne mes dires sont vérifiables, contrairement à l’obscurantisme politique, des carriéristes politiques.
Une mosaïque compilation de : Da Candy Lepetitfils leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force, dans sa recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitique en côte d’ivoire criminalisée au mépris des valeurs sociales que l’humanité s’est donner
De : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force
VOIR: www.lepetitfilsdacandy.webnode.fr ou www.malon-amadou.centerblog.net