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24 juillet 2013 3 24 /07 /juillet /2013 17:01

ado- les morts sont morts yafohichoi et youssouf bakayoko

La rentrée de la (Convention sur la réduction des cas d'apatridie) dans le corpus du droit de la nationalité ivoirienne s’impose à la Rencontre Des Ripoux.

 

 

De Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

lepetitfils da candy

Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr 

 

 

Le Haut-commissariat des Nations Unies pour les réfugiés estime qu'il existerait aujourd'hui plus de 12 millions d'apatrides répartis dans une douzaine de pays développés et en voie de développement. Cinq millions d'entre eux seraient des enfants et 4000 vivraient sur le sol américain.

 

 

Le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) attribue neuf cent cinquante milles (950000) cas d'apatrides à la pauvre annexée, la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY dans les douze millions (12 000 000) cas mondial d'apatrides. Ce sont ses chiffres « neuf cent cinquante milles (950000) cas d'apatrides en côte d’ivoire, qui correspond a 17% de l’électorat actuel qui est de : 5 784 490 électeurs inscrits et si ce chiffre 950 000 s’ajoutait au 5 784 490, il pèserait alors autour de 15% de l’électorat» qui ne rencontrent pas notre agrément, tout au moins notre adhésion. Parce que les causes évoquées sont sujets a cautions «  comme l'immigration, la méconnaissance de la loi, la succession d'état ou encore la défaillance du système de l'état civil » qui ne font pas d’un individu sans papier au rattachement a une nationalité connue, un apatride. L’Apatrides n’est pas le sans papiers à la nationalité connue, mais celui qui est  sans nationalité.

 

 

Donc pour nous, il serait très difficile de se revendiquer apatrides et d’en convaincre en côte d’ivoire ou la plupart des sans papiers sont des Africains qui portent souvent leurs nationalités sur le visage « balafres » et ont tous des tuteurs qui connaissent leurs origines. C’est pourquoi, il y a des gens qui sont arrivé en en Haute Volta limitrophe du nord de la côte d’ivoire vers 1800, mais leurs tuteurs de Haute Volta (X) voisins de la côte d’ivoire (X) savent très bien, que leurs étrangers venu de Mauritanie (X) possédaient ou portaient des papiers identificateurs manuscrites, même non-officiels de Mauritaniens (X) au surplus de la langue parler, qui se trouve confiner ou propre dans/a une zone à la nationalité connue.

 

 

Donc disons-nous que ; l’Apatrides n’est pas les sans papiers aux nationalités connues, mais, celui qui est  sans nationalité.

 

C’est-à-dire :

 

 

*1)- Lorsque : La nationalité des parents n'est pas connue

 

*2)- Lorsque : Les parents sont inconnus

 

*3)- Lorsque : La nationalité des parents ne peut pas se transmettre juridiquement

 

*4)- Lorsque : L'enfant né de parents dont la nationalité ne se transmettre pas par le sang

 

*5)-Lorsque la nationalité du parent étranger ne se transmet pas par filiation,

 

*6)- Lorsque : L'enfant né de parents pour lesquels la nationalité ne se transmet pas aux enfants nés à l'étranger.

 

 

Et malgré ces faits de droit, l’apatride peut perdre son statut d’apatride : Si sa filiation est établie à l'égard d'un étranger et si cette filiation lui transmet la nationalité du parent étranger, ou si la nationalité de l'un de ses parents étrangers lui est transmise.

 

 

Nous à la légitimité citoyenne notre position face a la question de la nationalité est claire et net sinon simpliste, en fait nous voulons une côte d’ivoire qui applique strictement le droit du sol, c'est-à-dire l’allègement légal positif de l’acquisition de la nationalité ivoirienne par naissance en côte d’ivoire, mais qui n’ouvre pas sur la propriété terrienne du foncier rural. C'est-à-dire plus vulgairement « nous sommes tous ivoiriens, une fois né en côte d’ivoire, (ce qui n'est pas rétroactive) mais le foncier rural c’est autre chose, parce que c’est la terre de mes ancêtres, donc ma propriété privée immémorial  ». Ce qui nécessite la réinscription du code de la nationalité ivoirienne, et du code du foncier rural, a fin de les harmonisés, sans s’en servir comme instrument de campagne politique. Il n’y a pas de terre sans propriétaire coutumier en côte d’ivoire, que l’état peut s’approprier et le droit de la propriété est un droit international coutumier (droit-des-droits) inaliénable de l’homme.

 

 

C’est pourquoi nous sommes pour le renforcement juridique des droits des propriétaires terriens, de façon sans équivoque conformément  au droit international coutumier. D’où l’état personne morale ne peut spolier les propriétaires terriens, et gestionnaire l’état se doit de légiférer sur les modalités de transactions entre personnes privées du foncier rural « location à durée limitée, co-exploitation contractuelle, sous-exploitation contractuelle, exploitation conditionnelle lucratives contractuelle» fondées sur des contrats qui ne peuvent excéder trois (3) fois, trente trois (33) ans qui font au total quatre vingt dix neuf (99) ans. Des contrats qui doivent proscrire toute possibilité de vente de personnes privées ou morales a personnes privées ou morales , sauf a l’état lui-même personne morale gestionnaire de l’état souverain et pour des raisons justifier d'intérêts publics et pour des œuvres d’intérêt national profitable a toute la nation souveraine.

 

 

Le contraire de se principe ferait des jeunes ivoiriens des ROBERT Mugabé en puissance. C’est un avertissement…

 

 

De Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

lepetitfils da candy

Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr 

 

 

 

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21 juillet 2013 7 21 /07 /juillet /2013 19:27

ado- les morts sont morts yafohi17

En l’absence d’une contrition publique et d’un  repentir sincère de, Ouattara déclencheur de la guerre d’agression  tout processus de réconciliation nationale ivoirienne  serait voué à l’échec.

 

 

Extraits des tribunes de : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 lepetitfils da candy

 Contact : article9et14duh_artitcle3ctun@hotmail.fr

 

 

Aujourd’hui le préalable a tout dialogue politique sincère en côte d’ivoire est qu’au terme d’une contrition publique, d’une repentance sincère, Ouattara doit reconnaitre, qu’il porte lui aussi, une lourde responsabilité dans les crimes contre l’humanité commandités par ses soins (ordre) et commis par ses fantassins  en Côte d’Ivoire pendant la guerre d’agression, qu’il a sciemment déclenchée en septembre 2002 a fin de conquérir le pouvoir d’état par les armes. Parce qu’il n’y a pas de dialogue politique inclusif, républicain possible entre opposition politique et pouvoir politique, quant les jeux sont truqués d’avance

 

 

Donc le postulat de la réconciliation nationale ivoirienne est simple aujourd’hui. Parce qu’une l’élection présidentielle truquée a eu lieu en 2010, un candidat a été proclamé vainqueur par la communauté internationale au mépris des bulletins de votes dans les urnes , qui s’est par la suite délibérément imposer par les armes d’une mafia internationale et a même prêté serment en violation flagrante de la constitution devant un juge constitutionnel qui n’a rien reçu en disant : « je fais sienne la décision de la communauté internationale ». Pour tout juriste, le président du conseil constitutionnel ivoirien, juge des élections présidentielles s’est aligner sur une décision de faite, de la communauté internationale sans décider quoi que ce soit ou recevoir quoi que ce soit, en droit « je fais sienne a-t-il dit » avons-nous souligné ci-dessus.  S’alignant ainsi sur cette décision conflictuelle pour certains et pour d’autres mafieuse, sans dire aucun droit, sauf quelques petites rhétoriques doctrinales sur la supériorité des normes qui ne peuvent convaincre personne. Et tout çà en dépit des irrégularités décriées par la Classe politique ivoirienne et les observateurs tant nationaux qu’internationaux. LA mafia des grands usuriers internationaux sous couverture de la communauté internationale a préféré le désordre à la justice judiciaire constitutionnelle

 

 

Donc, ALASSANE OUATTARA imposer par la mafia des grands usuriers internationaux sous couverture de la communauté internationale ne doit pas se croire comme élu démocratiquement, loin s’en faut. Au terme de ces élections présidentielles de 2010 ci-dessus citées, tout le monde sait que cette mafia internationale a imposé à la tête de la Côte d’ivoire dans le feu et dans le sang, en commanditant des grossiers mensonges sur le légalisme démocratique, en laissant commettre de quantités d’actions interdites par le droit international des droits de l’homme, par le droit international général, par le statut juridique des États, par les prescriptions des normes des conventions de la guerre. Tous ont été violés à souhait et à volontés. Dans un panurgisme de soutien ferme à un absolutiste criminel, carriériste pathologique, sans précédant qui à et fait preuve de cynisme barbare, obscurantisme sectaire depuis le 24 Décembre 1999 dans l’arène politique ivoirienne et tout ce cynisme narcissique avec le sourire du renard libre, dans le poulailler libre, le renard hallucinant, dans le poulailler halluciné. La crise postélectorale résulte de  cette pire des gaffes de l’histoire des démocraties et de l’humanité que cette mafia internationale à fait en côte d’ivoire lors de la validation des résultats de l’élection présidentielle. La règle édicter au sud coréen CHOI par la Mafia international des grands usuriers internationaux était de faire tomber GBAGBO mort ou vif avec son régime au nom de la responsabilité de protéger et du devoir d’ingérence humanitaire pour installer un pouvoir mafieux, docile tailler sur leur mesure.

 

 

C’est pourquoi,  il y a une crise de légitimité qui en est résulter aujourd’hui : une partie des ivoiriens n’accepte pas de droit, le Président imposer par une mafia internationale des grands usuriers internationaux sous couverture de la communauté internationale, qu’est ALASSANE OUATTARA comme élu démocratiquement, conformément a la norme constitutionnelle. (Nous sommes de celle-ci à la légitimité citoyenne.) Avec en toile de fond, l’arrestations arbitraires et la détentions illégales illimitées de leaders politiques et l’exil de centaines d’autres leaders politiques dont la grande partie vie dans la misère totale loin des terres de leurs ancêtres et leurs parents sont appeler à se réconcilier malgré la damnation de leurs enfants. Tout ceci pour en arriver où ? A la poursuite de la même guerre d’agression qui impose en elle-même un chaos social sempiternel, là où elle « guerre d’agression » aurait pu connaitre son épilogue au terme d’une vraie réconciliation nationale, dans la contrition et la repentance de tous. Une guerre d’agression qui a développé un nouvel engrenage, qui échappe désormais aux vainqueurs de la guerre d’agression et a son gouvernement boulimique,(impossibilité de restaurer la pais sociale et la sécurité des hommes et de leurs biens) ce qui est l’expression achevée de la faillite de l’état.

 8216

Aujourd’hui, notre société, notre peuple, la terre de nos ancêtres vit un moment historique de changement politico-économico-social imposer par la force des armes des conquérants vainqueur d’une guerre d’agression, dont nous ne savons pas encore, si nous saurons empêcher qu’il tourne à de nouvelles tragédies politico-sociales dans notre pays, la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. En témoigne cet extrait litote du : (Trente-deuxième rapport du Secrétaire général l’ONU sur l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire «para- 47». La situation des droits de l’homme en Côte d’Ivoire reste préoccupante. L’ONUCI a réuni des documents faisant état d’exécutions sommaires, de disparitions forcées, d’arrestations arbitraires, de détention illégale, de mauvais traitements, de torture, ainsi que de racket et d’extorsion, notamment par des éléments des FRCI et les dozos. Entre janvier et juin, au moins 11 personnes ont été tuées, 20 autres ont été soumises à la torture et à des mauvais traitements et 65 ont fait l’objet d’une détention arbitraire par les FRCI ou les dozos. Des mesures disciplinaires ont rarement été prises contre les auteurs présumés de ces violations et des poursuites judiciaires doivent encore être engagées. De manière générale, seul un petit pourcentage des auteurs présumés de ces violations sont traduits en justice, ce qui contribue à perpétuer le sentiment d’impunité. À la demande du commandement des FRCI, l’ONUCI aide les Forces à s’attaquer aux violations des droits de l’homme et aux abus commis par certains de leurs éléments, notamment en dispensant une formation aux droits de l’homme et en renforçant les capacités à cet égard.) Fin de citation.

 

 

 

Donc que faire aujourd’hui ? Il faut inexorablement une contrition publique, un repentir sincère de tous les belligérants de la guerre d’agression déclenchée en septembre 2002. (Il est irréfragable en droit international pénal que : Tout individu qui, en qualité de dirigeant ou d'organisateur, prend une part active dans, ou ordonne, la planification, la préparation, le déclenchement ou la conduite d'une agression commise contre un Etat souverain, est responsable de crime d'agression, qui est un crime contre la paix nationale et internationale et un crime contre la sécurité de l’humanité, aux yeux du droit international, c’est-à-dire la direction, la préparation, l'initiative et l'exécution de guerres d'agression et de guerres entreprises en violation des traités internationaux »). Une contrition publique, un repentir sincère de tout les belligérants de la guerre d’agression déclenchée en septembre 2002 au terme d’un processus de réconciliation/vérité, mais aussi, il faut un dialogue politique sincèrement, en combattant les extrêmes qui ont commis des crimes contre l’humanité et qui se cristallisent dans tout les camps, deux au total. Les positions extrêmes des criminels contre l’humanité peuvent empêcher le dialogue inclusif républicain vers la réconciliation nationale qui instaurerait la paix social.

 

 

Il est constant qu’un dirigeant légitime d'état se doit et devra toujours laisser la porte ouverte à la contrition et à la repentance de tout les criminels de guerres dans un processus de réconciliation/vérité et aussi œuvrer au dialogue politique républicain inclusif en période de crise sociale. S’il aspire à gouverner dans la paix sociale pérenne et dans l’union de toutes les forces vives de la nation une et indivisible. Mais pour se faire il faut être sûr de la propreté de ses mains non-souillées de sangs et avoir des assises de légitimité populaire réelle.

 

 

Or ALASSANE OUATTARA qui a les mains souillées de sangs sept milles (7000) morts a ce jour, a n’a besoin et sa légitimité populaire prête a caution. C’est pourquoi a défaut de cette légitimité populaire, il veut que tout le monde se mettent a genou devant ses armes qui l’ont permis de conquérir le pouvoir. Eh bien voilà, donc point de discutions sincère au terme d’un processus de réconciliation/vérité, foin de dialogue politique inclusif de toutes les forces politiques du pays dans la contrition et la repentance de tous, seulement des partisanes propositions politique d’adhésions « a prendre ou a laisser quoi ! ». Si l’opposition politique se respecte et respecte sa propre logique, elle devrait s’abstenir de sauter pieds et mains liés dans ce traquenard de dialogue politique.

FPI

On ne peut dès lors, éviter de se poser des questions troublantes, auxquelles les vainqueurs de la guerre d’agression et son gouvernement, ne peuvent éviter indéfiniment de répondre. Pourquoi faire payer aux citoyens et au pays un tel prix, (impossibilité de restaurer la pais sociale et la sécurité des hommes et de leurs biens), pour rien ? Pourquoi refuser un dialogue qui impose des contritions, des repentances, et des pardons de tous, par tous et pour tous. Pourquoi créer un nouveau terrain de confrontation politique dans un domaine de rapport civilité sociopolitique ou la confiance doit être une vertu première entre les formations politiques qui aspirent a gouverné leurs pays ? La réponse est toute simple un pouvoir illégitime, c'est-à-dire un pouvoir en crise de légitimité et de légalité ne peut générer que des crises sociales. Un pouvoir issu d’une guerre d’agression ne peut générer que du chaos social perpétuel qui est son socle d’existence.

 

 

Au terme du processus de réconciliation nationale, guidé par ses soins, mais obstruer par des forces occultes communautaristes qui lient ses mains face a l’immense épreuve, Charles Konan Banny en connaissance de cause et a son corps défendant, dont l’échec a été programmé et qui risque de prendre une tomate pourrie sur son image a dit ceci : «Dans ce qui est arrivé à la Côte d’Ivoire, les torts sont partagés. Il importe que tous ceux qui ont commis des violations des droits humains le reconnaissent et fassent acte de repentance ».

 

 

Donc notre interprétation a nous de ses propos qui n’engagent pas Charles Konan Banny, mais bien nous, est que, le préalable a tout dialogue politique sincère reste que ; Ouattara doit reconnaitre au terme d’une contrition publique, d’un repentir sincère, qu’il porte lui aussi une lourde responsabilité dans les crimes commandités par ses soins (ordre) et commis par ses fantassins  en Côte d’Ivoire pendant la guerre d’agression qu’il a sciemment déclenchée en septembre 2002 a fin de conquérir le pouvoir d’état par les armes. Mais hélas ! Mille fois hélas ! La cohorte de la Rencontre Des Ripoux, conquérants vainqueurs de la guerre d’agression et assis sur un communautarisme de rattrapage comme support politique ont l’esprit ailleurs, sinon dans leurs poches, pour faire de quelques uns des multimilliardaires. Eh bien ! La société ivoirienne, le peuple ivoirien ne saurait se balkanisés sur la base du communautarisme, donc ils ont le temps avant que la catastrophe d’un soulèvement populaire ne les rattrape.

Laurent-Gbagbo Alassane-Ouattaraduekoue-massacres rebelles

 En l’absence d’une contrition publique, d’un repentir sincère des belligérants de la guerre d’agression, Alassane Ouattara en tête, tout processus de réconciliation national serait voué à l’échec. Mais voilà !!!  Alassane Ouattara considérer comme un Dieu par la Rencontre Des Ripoux (RDR) « En Côte d’Ivoire, après Dieu, c’est Alassane Ouattara. C’est Alassane qui donne, c’est lui qui décide, c’est lui qui envoie le développement, c’est lui qui donne l’eau, c’est lui qui donne la route, c’est lui qui donne la lumière » ces propos sont de Amadou Soumahoro SGI du RDR et ministre-conseiller spécial de, Alassane Ouattara tenus a Anyama le jeudi 18 juillet 2013. Donc comprenez que le grand suivant direct de Dieu, devant Mahomet et JESUS qu’est Alassane Ouattara dans la chaine de suprématie divine ne puisse faire de contritions, de repentances, pour seulement sept milles (7000) morts de citoyens zigouillés chemins faisant vers le pouvoir d’état qui le consacre comme suivant direct de Dieu.

 

 

Dès lors, une seule question parait importante aujourd’hui : comment faire en sorte que les citoyens épris de paix, de liberté,  et de justice soient restauré dans ses droits, dans tous ses droits, puisse exister dans son pays. Il est  question nécessairement et obligatoirement question de tourner une page et c’est aux citoyens ivoiriens de trouver les moyens de tourner la page d’où une décomposition/recomposition s’impose à la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

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Extraits des tribunes de : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

lepetitfils da candy

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 14:34

8216

Si les coups d’état du 24 decembre 1999 et du 19 septembre 2002, de Ouattara Alassane ne sont pas des crimes, Nous aimerions être rassurer du contenu d’une telle justice judiciaire...

 

 

 

Le dernier Premier ministre de Laurent GBAGBO, Gilbert Aké N’Gbo, Simone Gbagbo, Michel Gbagbo, Aboudramane Sangaré, Pascal Affi N’Guessan, ex-patron de l’ancien parti au pouvoir, le Front populaire ivoirien (FPI) comptent parmi  84 accusés qui seront jugés a la cour d'assise. Il sont tous poursuivis tenez vous bien pour « atteinte à la sûreté de l’Etat, complot contre la défense nationale, atteinte à l’autorité de l’Etat, constitution et direction de bande armée, attentat à l’ordre public ».

 

 

 

Et ce procès en assise aura bel et bien lieu dans la côte d’ivoire du 24 decembre 1999 et du 19 septembre 2002, ou Ouattara Alassane maitre d’œuvre des deux coup d’état l’un reussi, celui de decembre 1999 et l’autre manqué, celui de septembre 2002 qui a enfanté la rébellion armée, qui a sonner la partitition de la côte d’ivoire en deux entités distinctes, le tout ayant   aboutit a la guerre postélectorale déclenchée par le même Ouattara en mars 2010 pour parachevé son coup d’état de septembre 2002 avec a la clé sept milles  (7000) morts de citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état par Ouattara.

 

 

 

Alors question au vu de ce qui précède quel sens juridique donne t-on en côte d’ivoire aux crimes : « « atteinte à la sûreté de l’Etat, complot contre la défense nationale, atteinte à l’autorité de l’Etat, constitution et direction de bande armée, attentat à l’ordre public » ???

crimes-f

 Nous aimerions être rassurer du contenu d’une telle justice judiciaire, si les coups d’état du 24 decembre 1999 et du 19 septembre 2002, de Ouattara Alassane ne sont pas des crimes de: « atteinte à la sûreté de l’Etat, complot contre la défense nationale, atteinte à l’autorité de l’Etat, constitution et direction de bande armée, attentat à l’ordre public ». Oui !!! que les juristes de par le monde nous rassure par leur noble science et par devoir envers l’humanité

 

 

 

De Lepetitfils DA Candy leader de la legitimité citoyenne exilé politique de force.

lepetitfils da candy

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 13:39

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Ouattara c’est désormais la vérité, tout le reste du peuple n’est que mensonge. Ouattara c’est le bien venu du ciel, tout le reste du peuple n’est qu’incarnation du mal, constitue un danger pour la cohésion sociale, pour l’harmonie communautaire, et pour la paix sociale pérenne dans la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

 

 

 

 

De Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

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article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

 

 

 

La politique de Félix Houphouët Boigny a été soldée en deux (2) ans par des apprentis gouvernants de la Rencontre Des Ripoux (RDR) surtout celles de l’unité dans la diversité, celle du renforcement des lois nationales en tenant compte de la nature propre aux différentes traditions sociales, culturelles, sous-culturelles et religieuses de chaque communauté nationale et de chaque localité de sous groupes, tout en préservant l’intégrité physique des citoyens, la cohésion sociale, la solidarité nationale des communauté diverses. Tous ont été soldés en deux (2) ans, par des apprentis gouvernants de la Rencontre Des Ripoux (RDR) ce qui a entraîné la déchirure sociale, la fracture communautaire et la partition mentale et psychologique de la nation en NORD-SUD.

 

 

 

Donc le communautarisme comme mur diviseur dans la société ivoirienne pour régner. Aujourd’hui, en chaque parti politique ou mouvement politique, en chaque homme politique ivoirien, le grand Satan, le diable et le bon « dieu » se donnent le bras pour avancer mains dans les mains, en claudiquant vers un destin nihiliste et iconoclaste qu’on aime à dire un pays émergent a  « X » date en sacrifiant au passage le progrès pour le citoyen et la paix sociale pour la nation. Oui !!! Un développement qui laisse le peuple sur le bord de la route du bien vivre avec mépris. Une foire satanique du genre de cette cohorte des apprentis gouvernants de la Rencontre Des Ripoux (RDR) : C’est le, je t’aime, je te hais, je te tue si ? Ou du moins je vais t’envoyer en enfer, c’est çà le vivre en ensemble.

 

 

 

Ainsi ces hommes politiques de la Rencontre Des Ripoux (RDR) transforment sans le savoir en tragédie leur propre existence en enfer et plus sûrement encore celle des pauvres citoyens qui ne demandent qu’a vivre en harmonie sociale et dans la paix, aussi en damnation. Ces citoyens qui assistent impuissant à ce spectacle honteux d’un pouvoir marqué du seau indélébile de la haine de l’autre, de la division pour régner et du fleuve de sang versé, sept milles (7000) morts au total a ce jour, dont la fin hésite encore entre le drame bouffon et la bouffonnerie dramatique… La folie haineuse de ces hommes politiques de la Rencontre Des Ripoux (RDR est devenue la règle au sommet de l'état, tout juste contenue in fine mais, toujours franchissant les bornes de convenances et les limites du déjà vu.

 

 

 

Il n’est guère de semaine sans que des événements sanguinaires viennent rappeler le chaos social sempiternel de la rive Mauritanie et aggraver encore la guerre civile et communautariste l’attente et froide, mais brûlante de plus en plus fréquemment qui déchire la quiétude de la nation ivoirienne. Fusillade il y a quelques jours a KONG la cité sur la terre de nos ancêtres, qui a accueillit il n’y a pas longtemps une bicoque baptisée empire de vendeur mauritanien de tapis aux Naba de haute volta. C’est l'avènement de la petitesse au sommet de la société ivoirienne pourtant de grandeur atavique et la mort de cette grandeur soutenue jusque là par la politique de Félix Houphouët Boigny.

 

 

 

C’est pourquoi, nous avons toujours dit et répéter que : La grandeur d’un homme politique ou d’un mouvement politique n’est pas dans la foule qu’il peut drainer dans son meeting ou dans ses visites dites d’état, dont la plupart des temps la mobilisation se fait avec les fusils des rebelles sur la tempe des pauvres populations. Mais plutôt dans ses actions politiques capables d’orienter le peuple, dans la cohésion et l’harmonie sociale vers un avenir meilleur et commune. Dans la  régulation de  l’action publique gouvernementale vers le consensus national et la paix sociale pérenne. Dans la stabilisation des mouvements sociaux épars, composites et dissidents de la vie sociale de son pays. Et surtout dans la capacité à anticiper les perspectives d’avenir paisible socio-politico-économique de la société dans laquelle il vie ou excelle. (Nous soulignons un avenir paisible dans l’harmonie des communautés nationales)…

 

 

 

Donc être grand c’est soutenir une grande querelle, pas une petite brouille de criminelles communautaristes où les individus s’entre-déchirent autour d’un hold-up organisé, une grande querelle se fait autour des grandes questions engageants cohésion nationale, sans lesquelles il n’y a pas de stabilité et d’harmonie sociopolitique et au tour des sujets qui concerne la vie et la conduite de la nation vers la stabilité sociopolitique et la paix pérenne.

 

 

 

C’est pourquoi il est a craindre pour celui qui veut voir et entendre dans ce capharnaüm kafkaïen de pétaudière que le peuple ivoirien groggy, abrutie, infantilisé risque de se réveiller un de ces quatre matins autrement que par procuration duquel se réclament ces apprentis gouvernants de la Rencontre Des Ripoux (RDR). Des ripoux qui œuvrent dans la division pour régner comme charlemagne, dans l’institutionnalisation de la débilité mentale des citoyens par des mensonges éhonté, dans l’affront cynique à l’intelligence citoyenne. Or quand un pouvoir rend un peuple fou, il se met soi-même à la merci de ses crises de folie sempiternelles. Un peuple confiné dans la loi de la jungle, ce peuple  ne peut avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature et bonjours le balayage systématique du mal être et du mal social.

 

 

 

La côte d’ivoire ne peut pas devenir un État unitaire centralisé dont les pouvoirs sont confisqués par un seul homme Alassane Ouattara. La folie du pouvoir et la folie de grandeur de, Ouattara manifeste aujourd’hui sur l’échiquier politique nationale ivoirienne « dans lequel les pouvoirs politiques se trouvent concentrés à un seul niveau celui de, Ouattara et compagnie,  allié y compris » Ouattara c’est désormais la vérité, tout le reste du peuple n’est que mensonge. Ouattara c’est le bien venu du ciel, tout le reste du peuple n’est qu’incarnation du mal, constitue un danger pour la cohésion sociale, pour l’harmonie communautaire, et pour la paix sociale pérenne dans la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

lepetitfils da candy

 De Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

 

 

Contact  article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 14:52

gouv-ducan

 

Encore une autre information a coupé le souffle de tout citoyen ivoirien digne de ce Nom, que nous ne répèterons pas ici par respect pour l’homme et l’humanité.

lepetitfils da candy
(PAR : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force les Charognards sont entrain de mangé notre semblable)

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Encore une autre information a coupé le souffle de tout citoyen ivoirien digne de ce Nom...

Mais nous avons des informations sûre que depuis son kidnapping le 17 janvier 2013 Blé Goudé est détention isolée dans un lieu, ou il lui est impossible de détecter la nuit du jour et que depuis quatre mois, qu’il a vu le soleil et le jour que deux fois seulement, c'est-à-dire les deux jours qu’il a été présenté a un juge au tribunal de première instance d’Abidjan.

« Aujourd’hui avec inquiétude et l'amertume qui nous habite, malgré nos nombreuses écueils d’exilé politique de force, nous voulons souligner ici a l’attention de certains non-avertis : que nous a la légitimité citoyenne avons combattu ouvertement dans la presse et par tous autres moyens démocratiques, les idées « patriotique primaire et la position électorale » de l’homme politique Charles Blé Goudé « adversaire politique électorale de l’époque pré-électorale de 2005 à 2010 ». Mais le citoyen Charles Blé Goudé n’a jamais été notre ennemi, ni lui, ni son mouvement politique le cojep ne peuvent être nos ennemis. Notre culture politique, notre éducation, et notre compréhension intellectuelle ne permettent pas une telle animosité. »

Charles Blé Goudé n’est pas mort, et Charles Blé Goudé vivra malgré la damnation qu’il subit aujourd’hui.

Mais il ne faut pas se tromper, le tortionnaire d’Abidjan, Alassane Ouattara imbibé de sang de sept (7000) citoyens zigouillés sur l’autel de son acquisition du pouvoir d’état et ses gestapiste, en tête desquels se trouvent Ahmed Bakayoko (infirmier d’état reconverti au journaliste) qui ignore tout du fonctionnement du système étatique, mais hélas qui trône sur le ministère de la sécurité et de l’intérieur d’un état en crise sont capable de la pire des monstruosités. Ses politicards ne manquent pas d’imagination gestapiste (Gestapo) et KGB-iste (KGB-Russe) dans ce domaine de tortionnaire, socle du pouvoir du tortionnaire d’Abidjan, Alassane Ouattara.

Les valeurs de ses politicards arrivistes ripoux , carriéristes pathologiques sont : Le dégout de l’adversité , le mépris pour la vie humaine, l’irrespect pour la dignité de l’être humaine, l’intolérance des différences sociopolitiques, le désordre social ou le crime est ériger en valeur et l’indiscipline caractérisée des hommes armés, la violence brutale, l'omniprésence de la barbarie, les tueries du jour au jour.

Nous avons averti du risque que Blé Goudé s’opposerait en côte d’ivoire une fois remis au pouvoir Ouattara en exécution d’un quelconque mandat, nationale et/ou internationale au mépris de l’article 3 de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

En le disant, nous savons que le pouvoir de Ouattara est assis sur l’obscurantisme, sur l’escroquerie intellectuelle, sur le mensonge grossier que soutien des intérêts occulte. Il s’est approprie le pouvoir par les armes, pour assurer sa prospérité personnelle et celle de sa famille, (sa fratrie) celle des intérêts mafieux extérieurs, celle des grands usuriers internationaux ses maitres, celle d’un lobby de presse international qui ne poursuivent que leurs profits, celle d’un parti politique attrape-tout et entriste, peuplé de ripoux et de saligauds politiques qui dévalorise la représentation nationale.

Donc il ne faut pas se tromper, le tortionnaire d’Abidjan, Alassane Ouattara imbibé de sang de sept (7000) citoyens zigouillés sur l’autel de son acquisition du pouvoir d’état et ses gestapiste sont capable de la pire des monstruosités.

Mais Charles Blé Goudé n’est pas mort, et Charles Blé Goudé vivra, malgré la damnation qu’il subit aujourd’hui.

**********

 conseil de sécurité en cession.OK-ok-ok

(Les normes juridiques internationales qui protégeaient  Charles Blé Goudé en situation régulière ou irrégulière dans son exil)

 

Da Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force



*Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants

Adoptée et ouverte à la signature, à la ratification et à l'adhésion par l'Assemblée générale dans sa résolution 39/46 du 10 décembre 1984

Entrée en vigueur: le 26 juin 1987, conformément aux dispositions de l'article 27 (1)

Article 3

1. Aucun Etat partie n'expulsera, ne refoulera, ni n'extradera une personne vers un autre Etat où il y a des motifs sérieux de croire qu'elle risque d'être soumise à la torture.

2. Pour déterminer s'il y a de tels motifs, les autorités compétentes tiendront compte de toutes les considérations pertinentes, y compris, le cas échéant, de l'existence, dans l'Etat intéressé, d'un ensemble de violations systématiques des droits de l'homme, graves, flagrantes ou massives.

**********

*- La Convention du 28 juillet 1951 relative au statut des réfugiés, dite Convention de Genève,

Entrée en vigueur : le 22 avril 1954, conformément aux dispositions de l'article 43

Adoptée le 28 juillet 1951 par une conférence de plénipotentiaires sur le statut des réfugiés et des apatrides convoquée par l'Organisation des Nations Unies en application de la résolution 429 (V) de l'Assemblée générale en date du 14 décembre 1950

Article 31. -- Réfugiés en situation irrégulière dans le pays d'accueil

1. Les Etats contractants n'appliqueront pas de sanctions pénales, du fait de leur entrée ou de leur séjour irréguliers, aux réfugiés qui, arrivant directement du territoire où leur vie ou leur liberté était menacée au sens prévu par l'article premier, entrent ou se trouvent sur leur territoire sans autorisation, sous la réserve qu'ils se présentent sans délai aux autorités et leur exposent des raisons reconnues valables de leur entrée ou présence irrégulières.

2. Les Etats contractants n'appliqueront aux déplacements de ces réfugiés d'autres restrictions que celles qui sont nécessaires; ces restrictions seront appliquées seulement en attendant que le statut de ces réfugiés dans le pays d'accueil ait été régularisé ou qu'ils aient réussi à se faire admettre dans un autre pays. En vue de cette dernière admission, les Etats contractants accorderont à ces réfugiés un délai raisonnable ainsi que toutes facilités nécessaires.

Article 32. -- Expulsion

1. Les Etats contractants n'expulseront un réfugié se trouvant régulièrement sur leur territoire que pour des raisons de sécurité nationale ou d'ordre public.

2. L'expulsion de ce réfugié n'aura lieu qu'en exécution d'une décision rendue conformément à la procédure par la loi. Le réfugié devra, sauf si des raisons impérieuses de sécurité nationale s'y opposent, être admis à fournir des preuves tendant à le disculper, à présenter un recours et à se faire représenter à cet effet devant une autorité compétente ou devant une ou plusieurs personnes spécialement désignées par l'autorité compétente.

3. Les Etats contractants accorderont à un tel réfugié un délai raisonnable pour lui permettre de chercher à se faire admettre régulièrement dans un autre pays. Les Etats contractants peuvent appliquer, pendant ce délai, telle mesure d'ordre interne qu'ils jugeront opportune.

Article 33. -- Défense d'expulsion et de refoulement

1. Aucun des Etats contractants n'expulsera ou ne refoulera, de quelque manière que ce soit, un réfugié sur les frontières des territoires où sa vie ou sa liberté serait menacée en raison de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques.

2. Le bénéfice de la présente disposition ne pourra toutefois être invoqué par un réfugié qu'il y aura des raisons sérieuses de considérer comme un danger pour la sécurité du pays où il se trouve ou qui, ayant été l'objet d'une condamnation définitive pour un crime ou délit particulièrement grave, constitue une menace pour la communauté dudit pays.

 

**********

Convention de l'oua Regissant les Aspects propres aux problems de réfugiés en Afrique, 1001 U.N.T.S. entré en vigueur 20 juin 1974.

Article 2

Asile

1. Les Etats membres de l'OUA s'engagent à faire tout ce qui est en leur pouvoir, dans le cadre de leurs législations respectives, pour accueillir les réfugiés, et assurer l'établissement de ceux d'entre eux qui, pour des raisons sérieuses, ne peuvent ou ne veulent pas retourner dans leurs pays d'origine ou dans celui dont ils ont la nationalité.

2. L'octroi du droit d'asile aux réfugiés constitue un acte pacifique et humanitaire et ne peut être considéré par aucun Etat comme un acte de nature inamicale.

3. Nul ne peut être soumis par un Etat membre à des mesures telles que le refus d'admission à la frontière, le refoulement ou l'expulsion qui l'obligeraient à retourner ou à demeurer dans un territoire où sa vie, son intégrité corporelle ou sa liberté seraient menacées pour les raisons énumérées à l'article 1, paragraphes 1 et 2.

4. Lorsqu'un Etat membre éprouve des difficultés à continuer d'accorder le droit d'asile aux réfugiés, cet Etat membre pourra lancer un appel aux autres Etats membres, tant directement que par l'intermédiaire de l'OUA; et les autres Etats membres, dans un esprit de solidarité africaine et de coopération internationale, prendront les mesures appropriées pour alléger le fardeau dudit Etat membre accordant le droit d'asile.

5. Tout réfugié qui n'a pas reçu le droit de résider dans un quelconque pays d'asile pourra être admis temporairement dans le premier pays d'asile où il s'est présenté comme réfugié en attendant que les dispositions soient prises pour sa réinstallation conformément à l'alinéa précédent.

6. Pour des raisons de sécurité, les Etats d'asile devront, dans toute la mesure du possible, installer les réfugiés à une distance raisonnable de la frontière de leur pays d'origine.

 

Proposer par Da Candy Lepetitfils leader de la légitimité citoyenne

lepetitfils da candy

contact: article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr


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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 14:22

BENSOUDA

(La CPI est une institution indépendante créée pour mettre fin à l’impunité)

Communiqué de presse : 29/05/2013

 29/05/2013

 Yes

Translations Links

La CPI souligne son impartialité et réitère son engagement à la coopération avec l'Union africaine

 ICC-CPI-20130529-PR908



 

Attachments Links

La Présidence de la Cour pénale internationale (CPI) fait la déclaration suivante à la lumière des rapports sur les discussions concernant la CPI lors du récent Sommet de l'Union africaine tenu à Addis-Abeba, en Éthiopie:


« La Cour pénale internationale reconnait et respecte le rôle important de l'Union africaine en tant que principale organisation régionale du continent. En tant qu’institution judiciaire internationale impartiale, la CPI, y compris son Bureau du Procureur indépendant, s'efforce de maintenir de bonnes relations de travail avec toutes les institutions internationales et régionales, y compris l'Union africaine. La relation entre la CPI et l'Afrique est d'autant plus importante étant donné que 34 pays africains sont États parties au Statut de Rome de la CPI. En outre, la majorité des enquêtes actuelles de la Cour ont été ouvertes suite à des renvois ou des demandes des États africains en question.

 

La CPI opère strictement dans le cadre du mandat et cadre juridique créé par le Statut de Rome, le traité fondateur de la Cour, et ne peut pas prendre en compte des facteurs politiques. Ses décisions sont prises de façon indépendante sur la base du droit et des preuves disponibles et ne sont pas fondées sur des considérations régionales ou ethniques. Les juges sont les garants de l'équité de des procédures devant la Cour, dès l'autorisation des enquêtes, lors de la confirmation ou non-confirmation des charges et jusqu’aux décisions sur la culpabilité ou l'innocence.

 

Il doit être rappelé que les affaires devant la CPI ne traitent pas seulement des suspects ou accusés ; elles concernent également les milliers de victimes affectées par les événements relevant de la compétence de la CPI, dont beaucoup sont représentées dans les différentes procédures grâce à l’aide judiciaire fournie par la Cour.

 

La CPI ne se substitue pas aux juridictions nationales ; elle ne les complémente que lorsque c’est nécessaire. Le Statut de Rome définit les critères permettant de déterminer si les affaires devraient être jugées devant la CPI ou par un système judiciaire national et cette détermination est faite par le biais d’un processus judiciaire devant les juges indépendants de la CPI. Lors de toutes les procédures devant la CPI, les suspects ainsi que les États concernés ont la possibilité de soulever ces questions en conformité avec le Statut de Rome et le Règlement de procédure et de preuve.

 

Bien que le Statut de Rome donne au Conseil de sécurité des Nations Unies un pouvoir de renvoi et de report en rapport avec la CPI, l'exercice de ces pouvoirs par le Conseil de sécurité est régi par la Charte des Nations Unies. La CPI est autonome par rapport aux Nations Unies et ne participe pas au processus décisionnel du Conseil de sécurité. Cependant, une fois que le Conseil de sécurité défère une situation à la CPI, l'enquête et les procédures qui pourraient découler de cette situation sont régies par le Statut de Rome et le Règlement de procédure et de preuve de la CPI et ne sont pas influencées par le Conseil de sécurité ou toute autre organisation externe.

 

La Présidence tient à souligner que la CPI est une institution indépendante qui a un mandat judiciaire spécifique, créée par les États déterminés à mettre fin à l'impunité et à contribuer à la prévention des crimes les plus graves qui touchent l’ensemble de la communauté internationale. La CPI compte sur le soutien continu et la coopération de ses États parties, conformément au Statut de Rome et reste pleinement engagée dans une relation constructive et coopérative avec l'Union africaine. »

 

Pour toute information complémentaire, veuillez contacter Fadi El Abdallah, Porte-parole et Chef de l’Unité des affaires publiques, Cour pénale internationale, au +31 (0)70 515-9152 ou +31 (0)6 46448938 ou à l’adresse : fadi.el-abdallah@icc-cpi.int.

CPI-SIEGE

Les activités de la CPI peuvent également être suivies sur YouTube et Twitter

 

**********

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Un commentaireDe : Da Candy Lepetitfils leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

Monsieur le juge Sang-Hyun président de la cour pénale internationale (CPI).

 

Au sein de votre juridiction internationale pénale de jugement, la pratique procédurale dans la répression des crimes les plus graves contre l’humanité contredit vos assertions théoriques rhétoricienne et les invalides. (En clair votre théorie contredit votre pratique et l’invalide)

 

Contrairement a vos allégations courtisanes, le cadre juridique créé par le Statut de Rome, le traité fondateur de la Cour, pénale internationale est totalement politique, dépendante aussi totalement du bon vouloir des états. Que çà soit dans le cadre des poursuites judiciaires et des adhésions a la compétence de votre juridiction.

 

Votre indépendance réside en quoi ? Quand on sait que ce sont les gouvernants des états qui commettent les 90% des crimes graves contre l’humanité et que votre juridiction n’est que complémentaire des juridictions nationales dont ses criminels étatiques sont les maitres absolus ?

 

*-Sinon comment vous expliquez que : le bureau du Procureur ait a ce jour suffisamment d’éléments de preuves à sa disposition pour inculpé Alassane Ouattara le chef d’œuvre de tout les crimes en côte d’ivoire. C’est lui qui a déclenché le conflit armé en septembre 2002, Soro guillaume son exécutant et tout les chefs de guerres qui suivent dans la chaine de responsabilités pénales internationales des crimes commis en côte d’ivoire soient aujourd’hui dispenser de toute poursuite par votre juridiction dite indépendante (CPI) parce qu’ils détiennent le pouvoir d’état, lui-même maitre des juridictions ivoiriennes ? Et qu’on trouve normal dans ces conditions qu’on aille vers un procès contre GBAGBO en omettant les crimes graves de ses avérés criminels Alassane Ouattara et consorts ?

 

Il est constant que les même éléments de preuves qui s’opposent à Laurent Gbagbo, ses même éléments de preuves s’opposent aussi à Alassane Ouattara, ceux-ci sont irréfragables en droit international pénal dont votre juridiction se veut appliquant… Certes tout le monde n’est pas juge à la cour pénale internationale, mais les juges de la cour pénale internationale partagent le même savoir scientifique que tous les autres juristes du monde. Rien ne tombe du ciel grâce à un « Dieu le grand »...

 

*-La CPI, si elle est indépendante, alors pourquoi : les président du Soudan, Omar Al-Bachir, visé par un mandat d’arrêt de votre juridiction la cour pénale internationale pour « le crimes des crimes », et son ministre de la défense soudanais, Abdelrahim Mohammad Hussein aussi visé par un mandat d’arrêt de votre juridiction la cour pénale internationale, pour « crimes contre l'humanité et crimes de guerre » commis contre la population civile du Darfour sont-ils en liberté ???


*- pourquoi les libyens, tout en refusant de livré le fils Kadhafi « islam Kadhafi » ont cachoté un membre de la cour pénale internationale en Libye pour avoir marché dans les plates-bandes de leurs souveraineté étatique sans que le ciel ne les tombe sur la tête…

 

*-Enfin pourquoi le président kenyan Uhuru Kenyatta, poursuivi par votre juridiction la Cour Pénale Internationale (CPI), qui devrait être jugé à partir du 9 juillet, parce que soupçonné d'avoir participé à l'organisation des violences postélectorales de 2007 ne comparaitra jamais devant votre juridiction dite indépendante à cette date indiquée, parce que tout simplement, il a été élu président de son pays avant la date de l’audience de votre juridiction dite indépendante.


Si la cour pénale internationale ne peut rien contre un criminel qui détient le pouvoir d’état, alors en quoi elle est une juridiction internationale pénale appliquant du droit international pénal qui n’a rien de sens unique ? Donc Il est clair et net que les juges de la cour pénale internationale (CPI) sont totalement dépendants, tout comme les décisions de leurs juridictions du bon vouloir des états partis au traité de Rome qui les dictent toutes leurs décisions. N’est ce pas çà la vérité, Monsieur le juge Sang-Hyun président de la cour pénale internationale (CPI) ???

De : Da Candy Lepetitfils leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

lepetitfils da candy

contact: article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr


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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 12:33

merdes-partout 

La personne institutionnelle du président de la république est différente de sa personne physique. Et sa personne physique qui appartient à une ethnie, à une tribu, et à une communauté  doit rester différente de sa personne institutionnelle de président de la république et chef de l’état de tout les ivoiriens qui transcende toute les appartenances nationale d’une nation une et indivisible. 

 

Par :Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

lepetitfils da candy

 Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

Bravo !!! Un très bon essai : Encore plus d’effort dans un autre  essai pour un panier de trois (3) points victorieux.

 

« L’Etat ivoirien ne peut se défaire de la contrainte tribale et ethnique, ces contraintes deviennent des pré-requis à partir desquels l’on doit imaginer un schéma démocratique original. Pendant un mandat renouvelable une seule fois, le Président de la République devra être choisi parmi les cadres issus d’un groupe ethnique parmi les cinq, suivant une rotation constitutionnellement organisée. Les partis politiques qui concourent à l’expression du suffrage universel selon la Constitution ivoirienne, ne pourront alors présenter que des candidats issus tous du même groupe ethnique pour une même élection donnée. Dès lors, les partis politiques seront obligés, sous peine de disparaître, de se déployer avec autant de détermination dans les différents groupes ethniques. A titre illustratif, imaginons que la Constitution ivoirienne impose que le prochain Président de la République doive sortir absolument du groupe akan formé de la paire Agni-Baoulé. Une telle exigence oblige les partis politiques à présenter des candidats issus exclusivement de ce groupe ethnique. L’ethnie va servir d’instrument de combat contre l’influence ethnique dans le débat politique »  

 

Bravo !!! Un très bon essai : Encore plus d’effort dans un autre  essai pour un panier de trois (3) points victorieux. Merci pour la contribution esthète dans un essai a lire absolument.

carte-d-ivoire administrative

 Mais pour la légitimité citoyenne, la politique est un sport synergique d’équipe

 

La personne institutionnelle du président de la république est différente de sa personne physique. Et sa personne physique qui appartient à une ethnie, à une tribu, et à une communauté  doit rester différente de sa personne institutionnelle de président de la république et chef de l’état de tout les ivoiriens qui transcende toute les appartenances nationale d’une nation une et indivisible. Et le recours à l’ethnicité institutionnalisée dans la conquête et l’exercice du pouvoir d’état renforcerait le fonctionnement informel de l’État pour justifier les échecs des gouvernants de l’État. L’usage de l’ethnicité institutionnalisé dans la conquête et l’exercice du pouvoir d’état plongerait l’État dans l’incapacité d’assumer ses fonctions et remettre ainsi en cause le contrat social qui  fonde la nation une et indivisible. Dès lors, que les missions de l’État seront accomplies par rotation institutionnalisée des groupes d’ethnies, des groupes de tribus et des groupes de communautés, cette situation consacrera l’effondrement total de l’État à la fracture sociale. Ainsi l’ethnicité institutionnalisée et associée à des considérations de politiques différencialistes sociales peut conduire à des sentiments ethnocentristes et ethnocidaires. Parce que dans cet ordre d’idée, l’ethnicité institutionnalisée apparaît comme un facteur négatif qui tentera d’empêcher les autres d’exister en son sein, en évitant leurs incorporations dans un tout ensemble fédérateur, socle de cohésion sociale et substrat de l’harmonie sociétale, dans la conquête du pouvoir d’état.

 

 

Alors qu’au juste, le sentiment «ethnicisé» doit viser l’affirmation de soi dans son originalité absolue sans nier l’existence de l’autre, en son sein, a l’intérieur de l’égalité de tous. Aussi l’État ne peut accomplir ses missions en toute efficacité que si la fonctionnalité institutionnelle de ses structures repose sur une forte participation des organisations politiques non communautarisé et non ethnicisé, conscientes de perdre les élections démocratiques. Il est plus bénéfique pour l’État d’éviter que le leader politique incarne à la fois une identité ethnique ou un leadership ethnique et une identité politique ou leadership politique, parce que cette cumulation faciliterait les manipulations qui porteront atteinte au fonctionnement institutionnel de l’État.

 

Les ethnies, structures organisationnelles des sociétés composites ne doivent pas à travers le phénomène de l’ethnicité politique institutionnalisé devenir des facteurs de résistance à l’État de droit et a la nation une et indivisible. Parce ce que, cette résistance institutionnalisée donnerait aux hommes politiques l’opportunité d’exploiter sans effort possible, ce phénomène différencialiste, comme moyen d’accession, d’exercice du pouvoir en s’appuyant uniquement sur les différences nationales. Cette utilisation politicienne de l’ethnicité, du tribalisme, et du communautarisme institutionnalisé engendrera les tensions ethniques et les conflits sociaux divers, qui approfondiront les fossés entre les ethnies et les communautés. Les parti politiques deviendront des partis ethniques, tribalistes et communautaristes en attendant leur tour de l’exercice du pouvoir par rotation institutionnalisée pour exercée le pouvoir d’état. Et les appartenances idéologiques disparaitront du paysage politique, avec elles les projets de sociétés salvatrices. « Exemple si le groupe akan dit formé de la paire Agni-Baoulé sait que dans cinq (5) ans, il aurait droit d’exercé le pour d’état par rotation institutionnelle, alors quel est l’intérêt pour se groupe de se formé en parti politique avec d’autres ethnies pour conquérir le pouvoir d’état, quand il sait que seul ou avec d’autres ethnies il aura ce pouvoir d’état » 

 

Ainsi tous les groupes ethniques nationaux parviendront grâce notamment à cette différenciation ethnique institutionnalisée à s’imposer comme interlocuteurs dans le partage du pouvoir d’État basé uniquement sur sa spécificité biologique et sur sa différence ethnique au mépris de la cohésion nationale, en dépit  de l’état de droit et de la nation une et indivisible. En usant de l’ethnicité institutionnalisée, les groupes ethniques pourront concentrer tout leurs intérêts sur les espaces territoriaux qui sont les siens « chaque groupe ethnique ayant sont tour de gouvernance par rotation » et ainsi empêcher l’État de sécuriser les personnes et leurs biens, de maintenir l’ordre et l’intégrité du territoire national.

Notre position ancienne

HENRI KONAN BEDIE

La conquête démocratique du pouvoir d’état par la voie électorale du suffrage universel fondée sur l’appartenance idéologique et politique peut être comparée à l’esprit d’équipe dans le sport. Parce qu’il est constant que le but impératif de la création de tout parti politique ou mouvement politique est d’accéder au pouvoir suprême d’état et l’exercer sur toute une nation une et indivisible. Dans ce principe universel, on ne peut fonder la formation d’un mouvement politique sur des considérations communautaires, tribales, ethniques et toute autre appartenance singulière. Et revendiquer l’accession au pouvoir d’état d’une nation une et indivisible par un critère de passation de pouvoir étatique en rotation communautaire, tribaliste ou ethnique. Ceci est incompatible avec la notion même d’état de droit et de la nation souveraine une et indivisible.

 

  

Puisqu’en politique les règles, doctrines et principes imposent le respect du chef du moment, parce que sans cela, il n’y a pas de pouvoir à conquérir, parce que la conquête du pouvoir démocratique par la voie des urnes est impossible dans une pétaudière et dans un capharnaüm kafkaïen. Donc le parti politique ou mouvement politique qui arrive à conquérir le pouvoir par la voie démocratique des urnes doit pouvoir exercer le pouvoir étatique librement quelque soit l’ethnie ou la communauté des candidats qu’il présente et autant de fois qu’il peut gagner soit avec des candidats d’ethnies différentes soit avec les candidats de la même ethnie.

 

L’appartenance idéologique et politique peut être comparée à l’esprit d’équipe dans le sport, la politique c’est comme le sport d’équipe, un peu comme le football, le hoquet ou le base-ball si on peut remporter des coupes dix (10) fois de suite avec les mêmes hommes, il n’y a aucun inconvénient en cela, ceci est pareil pour la politique, seule doit compter l’équipe composite. Donc du minime au senior tous les talents comptent et rassurent d’un lendemain meilleur pour l’équipe composite sans aucune considération ethnique, tribale, et communautaire. Mais dire en sport de compétition, a une équipe qu’elle a remporté trop de trophée, que donc qu’il faut organisée une rotation pour que toute les équipe soit vainqueur du trophée par attribution est plus qu’absurde dans un sport de compétition et cela est pareil pour la compétition électorale démocratique en politique.

 

Mais tout groupement humain a besoin d’un minimum d’ordre et de discipline pour assurer son bon fonctionnement. L’état, les associations et les partis politiques érigent un ensemble de normes impératives destinées à garantir l’ordre et la discipline. Le militant reçoit pour mission d’œuvrer à la propagation et au triomphe de la doctrine de son parti, ce qui entraîne pour lui un devoir de participation au travail du parti et soutenir toutes ses visées électorales et à l’abstention de toute attitude susceptible de gêner ce travail et gêner toutes visées électorales officielles de son parti.

 

Le parti politique doit disposer d’un pouvoir disciplinaire, c’est-à-dire d’un pouvoir de sanction qui vise à maintenir la cohésion du groupe et le respect de la doctrine du parti et son projet de conquête du pouvoir d’état fondée sur des idéaux, des projets de société et un programme de gouvernement. Le parti politique pourra ainsi sévir contre un militant qui contrevient à la réglementation interne du parti. La participation à un groupement politique engendre au profit de celui-ci un certain nombre de pouvoir en particulier celui d’édicter des règles de discipline et d’assurer le respect de ces principes. Ce pouvoir est reconnu par la doctrine, qui régit la matière. Doctrine qui exige qu’aucun militant quelle que soit sa valeur au sein du groupement politique ne saurait déroger pour quelque raison que ce soit au devoir de soutien infaillible aux idéaux, positions officielles, visées électorales officielles du parti: la démocratie interne d’un groupement politique n’exclut en rien une certaine notion de discipline du parti, on peut ne pas être d’accord avec la majorité du groupement politique,  donc on peut proposer des alternatifs, soutenues par une autre pensée, tout est possible dans un parti politique démocratique.

 

Néanmoins combattre son propre parti, ou son propre candidat officiel du parti, afin de favoriser son propre ascension personnelle, en misant sur une possibilité de rattrapage comme aux législatives où on pourrait réintégrer le groupe parlementaire de son parti après les élections, même là c’est l’affirmation d’une distance qui sépare les convictions idéologiques du militant et les principes idéologiques défendu par son parti ce qui est inadmissible et doit être impérativement sanctionné. Cette sanction assure la lisibilité idéologique du groupement politique, « c'est-à-dire qu’il n’est pas un parti politique attrape tout » son message, sa cohésion, son autonomie, son indépendance et la discipline qu’exige la réalisation du but légitime de sa création qu’est la conquête du pouvoir par les urnes démocratiques et pluralistes, fondée sur la défense d’une idéologie politique, d’un idéal sociétal, une conviction doctrinale assumée et d’un programme de gouvernement.

 

Même si plusieurs motifs peuvent être à l’origine de la décision d’une personne de se départir des règles, des positions et des projets de son parti, toutefois il doit impérativement choisir entre la discipline du groupement politique, ses intérêts personnels, les besoins des électeurs de son parti qui ne peuvent être défendus ailleurs qu’au sein de son parti et leurs convictions personnelles de transfuges du moment. Après ce choix déterminant, s’il part il doit aussi tacitement se départir de son parti, de tous ses signes et emblèmes de son parti. Ceci est intransgressible en doctrine.

 

Les ivoiriens ont besoin d’un HOUPHOUET, mais les ivoiriens ne demandent plus un « HOUPHOUET BOIGNY,  

boigny-HOUPHOUET

C’est pour toute ces raisons que nous, nous disons toujours que le communautarisme de rattrapage avec ses modalités de représentations sélectives par appartenances conduiront sur leurs lancée actuelle a confier le destin de ce qui reste encore de notre fichue de patrie a n’importe qui sauf a un honnête  citoyen, un patriote qui aime son pays « nous ne parlons pas ici du patriotisme chauvinisme » la dictature du communautarisme de rattrapage et de la tyrannie des intérêts personnels sont aisément prédictibilités et prévisibles. Parce que leurs logique d’appareil sont rapides a se mettre en place par la division pour régner. Ainsi pour vaincre  la peur de perdre des privilèges personnels, provoque rapidement chez eux, un repli communautaire qui tend a achever de verrouiller le pouvoir d’état au profit d’une communauté, et/ou de quelques personnes, ne pas avoir le pouvoir alors devient une infériorité communautaire et vive les crises sempiternelles comme au NIGERIA « untel musulman et untel chrétien ».

 

Alors donc, tous ceux pour qui le droit, la liberté, la démocratie, et la paix sociale pérenne ne sont que des mots creux, vides des sens, puisqu’ils sont poussés sur le chemin de l’exil, prisonniers de leur douleurs, de leurs misères, de la désinformation, de la manipulation parce qu’exclus de la société a cause de leurs appartenances politiques, sociales et ethniques. Comme il le sont du partage des richesses générée par notre société commune, aussi de l’égalité des chances droit inaliénable dans une société qui n’est plus que la triste image d’un communautarisme criminel et dictatorial, quand a notre fraternité légendaire, elle n’est plus envisageable tant que l’union tous n’est pas effective. Donc les intellectuels ont le devoir de persuader le peuple sur la nécessité d’une nation une et indivisible. Les ivoiriens ont besoin d’un HOUPHOUET, mais les ivoiriens ne demandent plus un « HOUPHOUET BOIGNY, » ils savent que cela n’est pas donné à n’importe qui et qu’on en trouve pas un « HOUPHOUET BOIGNY » tout les siècles. Tout ce qu’ils veulent c’est tout simplement un « Leadership » moins cynique déterminé à servir le peuple plutôt qu’à se servir du pouvoir pour le contraindre par force publique et pour vaincre le peuple par les armes. « Richard NEUSTAD un grand expert des présidences américaines observait en 1960 dans un livre qui est devenu la bible de Jack KENNEDY que le présidents des États Unis ne possède qu’un seul pouvoir, le pouvoir de persuader ». La capacité de persuader est une arme infiniment plus efficace que les armes matérielles (fusil) du communautarisme criminel.

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 C’est pourquoi nous souhaitons que l’aube vienne dans le camp de ce groupe d’arriviste et de carriéristes pathologiques du communautarisme de rattrapage « auxquels on ne doit pas donner de tribune justificative avec des argumentations différencialistes socle de leur pouvoir par les armes » et leur indique la voie qui mène à l’anéantissement de la guerre fratricide, entretenue, programmée, orchestrée savamment pour défenestré l’économie ivoirienne vers des destinations occultes et à la cessation des tueries de citoyens d’autodestruction nationale. Oui nous espérons que ceci est la meilleure voie et que sur cette voie à l’aube, nous nous rejoindrons à nouveau comme sous le père fondateur de la côte d’ivoire FELIX HOUPHOUET BOIGNY sans différenciation aucune et continuerons à se battre et combattre dans nos mêmes rangs ataviques dans le concert des nations dans une nation ivoirienne totalement ouverte sur le monde, pour un avenir meilleur de notre chère patrie, pour une vie libre, citoyennisée dans une Côte d’Ivoire une et indivisible, qui s’affirme plus que jamais solidaire, plus que jamais tolérante, plus que jamais cohérente, plus que jamais unie, et plus que jamais paisible.

 

A chaque rencontre entre nous « les soixante une ethnies de côte d’ivoire, donc soixante une différences ivoiriennes, le tout formant ivoirien » à l’aube, afin d’éviter de faire couler en nouveau, le sang fraternel humain sur cette terre bénie de Côte d’Ivoire, et pour obvier toute possibilité de nouvelles crises politique et de nouveau chaos social, chacun de nous devra dans l’ordre du public en admettant l’autre comme différent et l’admettre comme son égal et chacun de nous donnera son avis sur la chose publique dans l’intérêt public, pour qu’on parlemente à perte de vue sans tabou dans les nuits profondes jusqu’à l’aube indicatif sur l’avenir de notre chère patrie la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Et alors nous dirons tous ensemble ce jour-là ; non, non, et non à la guerre fratricide entre ivoiriens, vive la paix et l’union fraternelle de tous ; ethnies, Tribus, communautés, peuples, pays et nations. Par la paix, pour la paix et dans la paix pérenne imprenable.

FHB-copie-1

Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

 

Par :Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

lepetitfils da candy

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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 13:40

boigny-HOUPHOUET

« Le problème du foncier rural doit être régit par le droit indigène autochtones coutumier « lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de la société composite en état ».Toute reforme qui ne tient pas compte du droit indigène coutumier « lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution en état » en matière de propriété terrienne des terres ancestrales ne règlera rien et le problème du foncier rural demeurera irrésolu. Dans l'assiette territoriale ivoirienne, Chaque peuple, chaque communauté, chaque tribu, chaque ethnie connaissent tous les limites et les lois non-écrites qui régissent les terres ancestrales. Une reforme qui permettrait aux grands riches et aux grands industriels d’être les plus grands propriétaires terriens seraient une catastrophe pour la côte d’ivoire ».

 

A toutes fins utiles, nous vous proposons ici un extrait litote d’un rapport scientifique de 96 pages d’un panel d’experts sur la question. Extrait que nous avons préféré a notre propre analyse, bien que convergente avec cet extrait. Parce que c’est l’universalisme du traitement du sujet source de nombres de guerres civiles qui importe… « Les droits fonciers coutumiers, qu’ils soient enregistrés ou non, ont plus de poids et plus d’effets juridiques que les droits obtenus grâce à un achat ou une concession d’origine législative »

 

Proposer par :Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

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 « Dossier sur l’État des Lieux de la Tenure Coutumière en Afrique : Liz Alden Wily » 

 

(LES RÉFORMES ONT ÉTÉ IMPULSÉES PAR DES DEMANDES COMMERCIALES ET BASÉES SUR LES DROITS QUI SONT CONTRADICTOIRES.

LES ÉLITES LOCALES AGISSENT MAIN DANS LA MAIN AVEC LES ÉLITES INTERNATIONALES EN QUÊTE D’UNE RICHESSE BASÉE SUR LA TERRE, ALIMENTANT UNE TENDANCE DIFFICILE À CONTRECARRER.)

 

Le cas du Soudan 

 

La course au foncier menace la paix civile. La privation de terres et le déni des droits fonciers ont été, par le passé, des motifs majeurs de conflits et de guerres civiles. Le cas du Soudan est d’actualité : la guerre civile qui a sévi entre 1984 et 2001 trouve en grande partie son origine dans le ressentiment local à l’égard de l’accaparement des terres, par Khartoum, à destination de l’agriculture industrielle à caractère privé, y compris l’octroi de terres à des dirigeants politiques, des fonctionnaires et de grandes banques et entreprises étrangères, particulièrement en provenance de l’Égypte. Au lieu de restituer ces terres, comme l’exigeait l’Accord de paix global de 2005, Khartoum a depuis cédé encore plus de terres à des tierces parties nationales et  étrangères. Cela a généré tant de fureur au sein des communautés que des milices se sont formées. La réponse de Khartoum prend de plus en plus la forme de violentes attaques dans les zones les plus concernées : les États du Sud Kordofan et du Nil Bleu.

 

Les contours des domaines coutumiers sont également flous, particulièrement là où ils sont attenants aux villes africaines qui se développent et se multiplient à toute allure. Les chefs de village ou les agriculteurs vendent régulièrement des terres à des développeurs aux abords des villes, ou se les font prendre. Certaines communautés rurales conservent le contrôle sur des terres urbanisées.

 

 

A titre d’exemple, c’est en partie le cas à Accra, la capitale du Ghana, où les transactions dans les quartiers périphériques sont réalisées officiellement selon les règles coutumières et sous l’égide des secrétariats coutumiers dirigés par les chefs. Les personnes pauvres résidant dans les zones rurales ont également couramment recours aux normes coutumières pour garantir et authentifier l’occupation au sein des bidonvilles et des implantations urbaines informelles.

 

 

Les caractéristiques du régime foncier coutumier (oralité des transferts, absence de preuves matérielle, de publicité des droits sur la terre) posent problème. Les domaines coutumiers sont rarement homogènes. Les parcs et les concessions minières, agricoles et d’exploitation du bois d’œuvre créent de grands « trous » au sein du domaine coutumier. Lorsque des agriculteurs plus riches obtiennent un titre statutaire formel pour leurs exploitations, ils éliminent le titre coutumier et créent ainsi de petits trous au sein des terres communautaires.

 

 

Au cours du siècle dernier, en Afrique et ailleurs, un large consensus existait (particulièrement à partir des années 1950) en faveur de la disparition de la propriété foncière et de la gouvernance coutumières. De toute évidence, il n’en est rien. Toutefois, le secteur a connu un important effritement lié à:

 

*A. l’empiètement chronique, à partir des années 1890, lié à l’accaparement des terres pour l’installation des colons blancs, aux projets de développement du gouvernement et du secteur privé (notamment pour le caoutchouc, le coton, le sisal et les cultures vivrières) et à l’expansion plus récente des projets agricoles, de biocarburants et d’échange de carbone ;

 

*B. la confiscation, par l’État, de forêts, de pâturages et de marais de premier choix à des fins de protection (aires protégées terrestres) ;

 

*C. la suppression d’autres biens appartenant aux propriétaires fonciers coutumiers, suite à la nationalisation de l’eau, des lais, des minerais, du pétrole, de la faune sauvage et, souvent, des forêts ou du moins des arbres poussant sur ces terres ;

 

*D. la suppression des droits coutumiers par le biais de politiques d’expropriation et de nouvelles lois qui considèrent que ces droits ont un statut inférieur à celui de la propriété, et ;

 

*E. les programmes de délivrance de titres fonciers élaborés pour remplacer les intérêts coutumiers par des formes introduites de tenure européenne (principalement des droits de pleine propriété et de location à bail).

 

Parmi les raisons qui expliquent l’échec de la disparition du régime foncier coutumier, on peut citer:

 

*A. l’écart entre ce que dictent le droit national et la réalité sur le terrain, comme l’illustre très bien la superposition des tenures nationale et communautaire sur les terres publiques;

 

*B. la reluctance, avec des exceptions notables (par exemple le Rwanda et l’Erythrée), des gouvernements africains à éliminer officiellement les droits coutumiers en tant que catégorie, et préférant plutôt en réinterpréter la signification. Cela permet aux normes et aux intérêts coutumiers de perdurer, jusqu’à ce qu’ils entrent en conflit direct avec l’arrivée d’intérêts étatiques ou du secteur privé ;

 

*C. la portée limitée des programmes de délivrance de titres de propriété, et ;

 

*D. la pertinence, à ce jour, des normes coutumières quant aux modèles de mise en valeur de la terre et aux droits fonciers, et la façon dont ils sont intimement imbriqués avec les relations sociales.

 

On peut citer l’exemple des politiques foncières et de délivrance de titres de propriété du Kenya. Bien que, depuis 1922, les administrations aient joui de la « propriété racine » (root ownership) et du contrôle sur les terres coutumières, cela se faisait en théorie dans l’intérêt des occupants ; dans les faits, cependant, ceux-ci conféraient aux administrations les pouvoirs légaux pour disposer des terres à leur gré. Le programme qui a débuté dans les années 1960 pour convertir l’occupation en droits de pleine propriété n’a pas été un franc succès : moins d’un tiers de la superficie du pays a été concerné, laissant les autres locataires coutumiers incertains de leurs droits. Même ceux qui ont obtenu un titre de propriété grâce au programme obligatoire d’enregistrement foncier préfèrent avoir recours aux coutumes communautaires locales pour réglementer les transferts et l’utilisation de la terre.

 

 

Les communautés sont plus à même de faire la différence entre les droits fonciers (par exemple de distinguer entre droits « premiers » de propriété et droits dérivés d’accès), ce qui peut s’avérer nécessaire pour réglementer l’accès saisonnier entre les éleveurs nomades.

 

Cet qui remis en cause les positions conventionnelles selon lesquelles la tenure foncière coutumière est un anachronisme en déclin. Au contraire, il apparaît clairement que la majorité des communautés africaines pratique la tenure foncière coutumière, que les normes qui la définissent sont vigoureuses, qu’elle affiche de nombreux points communs à travers le monde et qu’elle reflète les complexités, les contradictions et les tendances de la société rurale contemporaine. Les luttes acharnées sont multiples – entre hommes et femmes, entre générations, entre chefs et « concitoyens », entre autochtones et immigrants, entre chasseurs-cueilleurs et cultivateurs, entre populations sédentaires et éleveurs nomades, entre les villageois qui résident en ville et ceux puissantes aujourd’hui qu’elles l’étaient il y a un siècle. Elles le sont peut-être même d’autant plus à l’heure actuelle, au regard de la convergence entre les intérêts des élites et les politiques visant à maintenir le plus de terres possible sans titre comme étant la propriété de facto des gouvernements. Ces élites peuvent ainsi disposer à leur guise des terres de leurs concitoyens, ou les vendre à des investisseurs nationaux et étrangers. 

Il existe quatre options pour permettre des progrès plus importants.

 

Changer la loi est une priorité. Tant que les exploitations individuelles, familiales et collectives au sein du secteur coutumier n’auront pas de poids juridique en tant que propriétés, un demi-milliard d’Africains demeureront les locataires de l’Etat ou, comme l’a déclaré un juge de la cour d’appel de Tanzanie en 1994, « les occupants illégaux de leurs propres terres ».

 

Une façon plus stratégique d’aborder le problème consiste à reconnaître que les droits fonciers coutumiers sont équivalents à la propriété réelle moderne, qu’ils soient enregistrés ou non. Toutefois, les contraintes s’opposant à une telle reconnaissance sont aussi pas de terres, ces biens communs représentent souvent leur unique et principale source de subsistance. Avec de l’aide, ils peuvent générer des revenus pour sortir des millions de personnes de la pauvreté.

 

 

Les raisons d’adopter une approche favorable aux personnes pauvres dans le cadre de la thématique des droits coutumiers incluent:

 

*A. Les personnes pauvres sont majoritaires au sein du secteur coutumier (75% selon les estimations internationales) ;

 

*B. Les personnes pauvres sont celles qui sont le plus tributaires des ressources collectives – c.à.d. un capital naturel que les États et le secteur privé peuvent s’approprier le plus facilement ;

 

*C. L’État et les élites locales se sont avérés les plus à même de manipuler les normes coutumières à leur avantage et aux dépens de la majorité pauvre ; et

 

*D. Les élites sont les plus à même d’échapper à la subordination des droits de propriété coutumière imposée par les gouvernements.

 

Aujourd’hui, les gouvernements sont les propriétaires majoritaires des forêts en Afrique. Toutefois, la propriété étatique est un phénomène relativement récent qui découle de l’appropriation coloniale des ressources de valeur. Auparavant, les forêts étaient – par tradition – la propriété de communautés individuelles.

 

En Afrique, la restitution, par l’Etat, de la propriété forestière aux populations devrait être sur les agendas car :

 

*A. les forêts représentent un moyen d’existence clé pour la plupart des communautés rurales, et particulièrement pour la majorité rurale en situation de pauvreté;

 

*B. les forêts représentent toujours une part significative des biens fonciers coutumiers des communautés, mais leurs bénéfices sont perdus pour les citoyens ordinaires expropriés en raison de leur appropriation par l’Etat;

 

*C. les droits fonciers (humains) de la majorité des Africains sont en jeu – justice ne peut être faite tant que la propriété autochtone des forêts n’est pas reconnue ;

 

*D. les gouvernements se sont avérés être de piètres gestionnaires forestiers. A contrario, là où les communautés ont les pouvoirs nécessaires pour administrer les forêts, la conservation s’améliore, qui plus est à un coût inférieur.

 

Reconnaître formellement les communautés comme les propriétaires des forêts (même sans leur octroyer le droit de vendre, de déboiser ou de subdiviser la ressource) constitue une incitation majeure à conserver celles-ci en bon état. La propriété locale est tout autant à même de protéger et de maintenir les ressources forestières de grande valeur que l’Etat.

 

Quelles sont les meilleures pratiques qui pourraient être observées ?  

 

Un nombre limité de réformes contient certains des changements suivants affectant la sécurité de la tenure :

 

*A. Accepter l’occupation de longue date des « squatters » au sein des villes comme une occupation légitime et à laquelle on ne peut mettre fin sans indemnisation,

 

*B. Reconnaître la tenure coutumière rurale comme étant l’égal de la tenure statutaire, et une voie tout aussi légitime pour établir des droits légaux sur la terre,

 

*C. Reconnaître les droits coutumiers comme des droits de propriété privée, dans la mesure où leur force et leurs effets juridiques sont équivalents à ceux des droits issus des normes statutaires introduites (tels que la pleine propriété et la location à bail),

 

*D. Que la loi s’assure que la propriété coutumière bénéficie plus de respect que la propriété privée ressortissante, même lorsque celle-ci n’est pas officiellement certifiée ou enregistrée,

 

*E. Prévoir, néanmoins, l’enregistrement volontaire, bon marché, localisé et durable des droits approuvés par la communauté, pour permettre à ceux qui le souhaitent de protéger doublement leurs droits au sein de registres approuvés,

 

*F. Accepter les normes coutumières comme des facteurs déterminants des droits et transactions, tant qu’elles n’enfreignent pas la justice naturelle ou les principes constitutionnels,

 

*G. Que la reconnaissance de la terre coutumière en tant que propriété soit étendue au-delà des exploitations et des maisons, afin d’inclure les forêts coutumières détenues à titre collectif, notamment les forêts, les pâturages et les marais,

 

*H. Notifier clairement dans la loi que l’acquisition de terres coutumières par l’État à des fins d’intérêt public doit être indemnisée selon les mêmes niveaux et dans les mêmes conditions que l’acquisition de propriétés privées enregistrées de manière statutaire,

 

*I. Faire en sorte que les terres déjà saisies par l’État (y compris les réserves forestières et fauniques nationales) puissent être restituées à la propriété communautaire ou que d’autres arrangements soient réalisés pour indemniser les propriétaires originels,

 

*J. Déléguer l’autorité sur les relations foncières rurales à des organes communautaires élus, les administrations du gouvernement central et local devant fournir assistance technique, supervision et recours dans le cas d’une mauvaise administration,

 

*K. Faire du consentement libre, préalable et éclairé une condition préalable à l’acquisition de tout type de terres coutumières par l’État, excepté dans les cas d’urgence nationale ou lorsque l’acquisition se fait réellement pour cause d’utilité publique,

 

L. Déclarer illégales les pratiques coutumières discriminatoires à l’encontre des femmes, des invalides, des orphelins et des immigrants,

 

*M. Elaborer les lois de telle sorte qu’elles soient pertinentes pour les communautés pastorales, et non pas seulement pour les communautés agricoles sédentaires, et

 

N. Eliminer la distinction entre jouissance et propriété de la terre.

 

Aucune nouvelle loi sur la réforme foncière ne contenant pas toutes les mesures citées ci-dessus n’est que pure expropriation. C’est pourquoi les réformes du Mozambique, du Sud-Soudan, de la Tanzanie et de l’Ouganda s’en rapprochent le plus, tandis que celles du Bénin, du Burkina Faso, de Madagascar, du Mali et de la Namibie contiennent un nombre moindre de ces mesures. Les réformes beaucoup plus anciennes du Ghana et du Botswana reflètent également certaines des mesures ci-dessus.

 

Quels sont les indicateurs clés d’un respect juridique approprié des droits fonciers coutumiers ? 

 

On peut considérer que les intérêts fonciers coutumiers sont respectés au sein du droit national si:

 

*A. il leur est accordé plus de validité juridique que les intérêts fonciers issus des régimes non coutumiers (généralement statutaires/importés), c’est-à-dire, qu’ils sont acceptés comme la plus grande forme de propriété privée juste ;

 

*B. ils peuvent être certifiés ou enregistrés sans être au préalable transformés en modes de propriété non coutumiers ;

 

*C. ils doivent être considérés comme la plus grande forme de propriété privée par le gouvernement et les tribunaux, quand bien même ils ne sont pas officiellement certifiés ou enregistrés ;

 

*D. ils bénéficient de plus respect que la propriété, (généralement statutaires/importés), qu’ils appartiennent à des familles, des conjoints, des groupes ou des communautés entières, et pas simplement à des individus ;

 

*E. ils sont compris, d’un point de vue légal, comme pouvant s’exprimer dans un faisceau complexe de droits, y compris, par exemple, les droits saisonniers des éleveurs nomades;

 

*F. ils sont respectés lorsqu’ils s’appliquent à des terres non cultivées et inoccupées, telles que les forêts, les pâturages et les marais ;

 

*G. ils sont reconnus comme englobant les droits tant sur les ressources de surface (telles que les arbres et la faune) que sur les ruisseaux, les étangs, les plages côtières et les minerais de surface exploités traditionnellement depuis des siècles (ex. le fer et l’or) ;

 

*H. ils se voient accordés la primauté sur les investissements des grand intérêts commerciaux non coutumiers cherchant à obtenir des droits sur la même terre ;

 

*I. ils sont reconnus comme requérant un plus grand soutien juridique, afin que l’administration foncière démocratique et communautaire soit régulée avec succès et équité ;

 

*J. ils sont soutenus grâce à la création d’organes locaux de règlement des litiges, dont les décisions font autorité et dont les jugements reposent sur des pratiques coutumières justes ;

 

*K. ils sont rappelés a l’ordre lorsque les normes coutumières sont injustes envers les membres ordinaires de la communauté (ex. en raison des abus perpétrés par des chefs) ou envers les groupes vulnérables (tels que les femmes, les orphelins, les invalides, les chasseurs-cueilleurs, et les anciennes communautés d’esclaves) ;

 

*L. ils reçoivent plus de protection juridique que celle dont bénéficie la propriété privée issue du droit statutaire, (généralement importé), lorsqu’ils sont sollicités à des fins d’intérêt public – protection dont témoigne la mesure avec laquelle la loi exige des indemnités compensatoires similaires et l’application des mêmes conditions aux deux régimes de propriété l’un dérivant de l’autre;

 

*M. ils sont reconnus comme présents – même là où les réserves forestières et fauniques se superposent aux terres coutumières, de sorte qu’une réelle distinction soit faite entre, d’une part, la propriété foncière et, d’autre part, le statut juridique protégé de ces terres;

 

*N. ils sont prévus de telle façon que les fonctionnaires, les tribunaux et tout particulièrement les propriétaires fonciers coutumiers soient en mesure de comprendre et d’appliquer facilement les dispositions légales d’appui.

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(Des communautaristes de rattrapage mafieux veulent se servir de la phrase de FELIX HOUPHOUET BOIGNY « la terre appartient à celui qui la met en valeur » qui se situait dans un cadre général de l’incitation des jeunes au travail de la terre, comme appui à leur politique de spoliation terrienne au profit des grands intérêts mafieux. «Si la terre appartient à celui qui la met en valeur ». Donc il n’est pas question de déguerpir les personnes qui ont infiltré de façon pernicieuse nos forêts classées, qu’ils occupent en toute illégalité. Il s’agit de milliers de personnes venues des pays limitrophes et devenues planteurs de café-cacao dans ces forêts classées avec la complicité du pouvoir en place a Abidjan. Dans quelques petites années, les enfants de ces occupants illégaux pourraient nous dire fièrement « ici ce sont les terres de mes parents ». Aussi « Si la terre appartient à l’état, je suis le chef de l’état. Entendez propriétaire de toutes les terres ivoiriennes». Il y a des mafieux qui préparent la jeunesse ivoirienne à devenir des ROBERT Mugabe malgré elle. Safroulaye !!!)

 

Proposer par :Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force


Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 13:26

 

gouv-ducan

Le problème du foncier rural doit être régit par le droit indigène autochtones coutumier « lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de la société composite en état »

Toute reforme qui ne tient pas compte du droit indigène coutumier « lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution en état » en matière de propriété terrienne des terres ancestrales ne règlera rien et le problème du foncier rural demeurera irrésolu.

 

Dans l'assiette territoriale ivoirienne, Chaque peuple, chaque communauté, chaque tribu, chaque ethnie connaissent tous les limites et les lois non-écrites qui régissent les terres ancestrales. Une reforme qui permettrait aux grands riches et aux grands industriels d’être les plus grands propriétaires terriens seraient une catastrophe pour la côte d’ivoire.

 

Exemple :

En Argentine, entre lois non écrites et raison juridique, la question de la propriété foncière a animé, un débat tendu entre grands latifundistes terriens, gouvernements provinciaux et peuples indigènes…

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(Le dirigiste qui se dit Libéral veut ventiler nos terres ancestrales a des grands interêts mafieux)

 

En 1989, dans le contexte libéral de l’Argentine ménémiste, Benetton acquiert la Compania de Tierras Sud Argentino (CTSA) et devient, avec ses 970 000 hectares, le plus grand propriétaire terrien de Patagonie… L’entreprise se consacre à l’élevage de bovins et d’ovins (pour la laine, le cuir et la viande) mais aussi à l’exploitation agricole, forestière et à l’exploration minière. En spoliant les peuples indigènes et autochtones de toutes leurs propriétés terriennes.

De sorte qu’en Argentine, les principales industries responsables de la précarité des peuples autochtones et indigènes sont la culture du soja qui étend la frontière agricole sur des zones natives, l’exploitation minière au long de la cordillère (or, potassium), l’industrie forestière et pétrolière qui touche aux écosystèmes et la spéculation immobilière sur des terrains sauvages et des terres fiscales, principalement en Patagonie.
Que dit : Le droit international et régional sur les droits fonciers

*L’article 17 de la Déclaration universelle des droits de l’homme stipule:
1. Toute personne, aussi bien seule qu’en collectivité, a droit à la propriété.
2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.

*Le premier protocole de la Convention européenne des droits de l’homme stipule:
Nul ne peut être privé de sa propriété que pour cause d’utilité publique et dans les conditions prévues par la loi et les principes généraux du droit international.

*L’article 21 de la Convention américaine relative aux droits de l’homme stipule:
Toute personne a droit à l’usage et à la jouissance de ses biens. La loi peut subordonner cet usage et cette jouissance à l’intérêt social. Nul ne peut être privé de ses biens, sauf sur paiement d’une juste indemnité, pour raisons d’intérêt public ou d’intérêt social, et dans les cas et selon les formes prévus par la loi.

* L’article 14 de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples énonce:
Le droit de propriété est garanti. Il ne peut y être porté atteinte que par nécessité publique ou dans l’intérêt général de la collectivité, ce, conformément aux dispositions des lois appropriées.

*L’article 21(2) énonce: « En cas de spoliation, le peuple spolié a droit à la légitime récupération de ses biens ainsi qu’à une indemnisation adéquate ».

 

 

En côte d’ivoire la paix passe par le renforcement juridique « du droit indigène coutumier lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de la société composite en état » des droits des propriétaires terriens et la question de la nationalité aura trouvé sa solution…

boigny-HOUPHOUET

Des mafieux veulent se servir de la phrase de FELIX HOUPHOUET BOIGNY « la terre appartient à celui qui la met en valeur » qui se situait dans un cadre général de l’incitation des jeunes au travail de la terre comme appui a leur politique de spoliation terrienne.

 

Nous y reviendront plus largement….

 

DA Candy Lepetitfils leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

lepetitfils da candy

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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 16:27

ado- les morts sont morts yafohi

Le père du coup d’état de 1999, du coup d’état manqué de 2002 transformé en rébellion armée et la présidentielles truquées de 2010, avec a la clé quatre (4000) milles morts de citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état, pouvoir qui par essence appartient aux citoyens zigouillés chemin faisant vers ce pouvoir, pour  la Côte d’Ivoire s’est ratée

 

 

(Cette tribune était déjà sur « malonnamadou » quand blog.fr s’est fermé dessus)

 

 

PAR DA Candy Lepetitfils : Leader de la Légitimité Citoyenne en exil forcé

lepetitfils da candy

Contact Email :   article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

Quand le petit éléphant (éléphanteau) du fleuve rouge agite sa petite trompe et barrit à gorge déployée, dès lors les communautaristes  entrent en transe et des soi-disant républicains s’extasient de partout et, tout cela lui vaut une flopée de surnoms peu aimables dans les coursives de Solferino. Il demeure « Jeanne d’Arc » pour élan « patriotique  » atavique et bonjour le cynisme obscurantiste des ont dits communautaristes. Or depuis les élections présidentielles truquées d’Octobre 2010, pour faire obligatoirement un boys de luxe d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux, président de la côte d’ivoire pour mieux l’asservir, rien de concret, le noir, le néant et le vide, pas une seule conception politique dans le sens de l’apaisement politique, pas une seule mesure économique et sociale, intelligente, crédible, opportune, novatrice et stable dans le sens de la réconciliation nationale et dans la recherche de la paix sociale pérenne. Nous vivons un néo-communautarisme monarchiste débridé, tempéré par le capharnaüm kafkaïen rééquilibré par le foutoir, démocratisé par la pétaudière des élections monolithiques ou parfois les morts votent et aux résultats contestés par des moyens peu orthodoxes à des fins d’accaparement de tout le pouvoir d’état. Le pays bat toujours la chamade, sous les gravats de sept « 7000 » milles morts de citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état, d’où valeurs sociales et sociétales sont en ruine et l’économie en miettes, convergent vers des poches individuelles pour faire de quelques uns d’une fratrie, en mal de dynastie et de royauté des multimilliardaires pour assouvir un vieux dessein de domination sociale par le bien matériel puise dans le bien public, défenestré des caisses de publiques et des ressources naturelles de l’état, submergent désormais les barricades d’autant les cendres des sept milles « 7000 » corps de citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état de la crise sont encore chaudes. Après le coup d’état de Décembre 1999, le coup d’état manqué de 2002 transformé en rébellion et la présidentielles truquées de 2010 avec a la clé quatre milles « 4000 » morts de citoyens, pour  la Côte d’Ivoire s’est ratée et ça, ça se soigne avec une ligue citoyenne conscientisée et bien organisée contre l’arbitraire pour faire pièce au pouvoir criminel des communautaristes de OUATTARA ALASSANE.

 

L’avalanche de bourdes accumulées

BENSOUDAGBAGBO devant la cour

 Donc on pouvait, il est vrai, difficilement prophétiser l’avalanche de bourdes accumulées par nos communautaristes criminels de la Rencontre Des Ripoux, la déportation de LAURENT GBAGBO pour des crimes qui leurs sont eux aussi opposables, les tueries intempestives des FRCI, les arrestations arbitraires, les poursuites sélectives qui les index eux-mêmes en droit, l’exclusion de fait des partis politiques significatifs de l’opposition de toute élections et l’entêtement dans l’auto-dédouanement de toutes poursuites pour des crimes pourtant commis par eux. Mais les contradictions manifestes, sinon les incompétences criantes de cette troupe d’arrivistes se voyaient à l’œil nu par tous les intellectuels, alors pourquoi une partie des élites intellectuelles y fut-elle aveuglé face aux offres d’alliance. Maintenant que la paix et la réconciliation sont avérées impossibles, que chaque jour des failles et des fricotages se dévoilent et qu’on déserte en foule dans l’anonymat les positions des communautaristes aux ambitions dévoilées de confiscations de tous les postes électifs et tous les centre de pouvoir, cette intelligentsia du panurgismes/moutonnière allianciste n’a plus de voix, l’angoisse est désormais partout permanente comme s’il fallait redouter chaque jour et chaque heure ou risque de s’abattre des décisions puériles le foncier rural « les terres de nos ancêtres » la question de la nationalité qui s’y rattache sera réglé par ordonnance présidentielle qui sera ratifiée haut les main par l’Assemblée nationale de la Rencontre Des Ripoux ? Nous voilà aux aguets à tout redouter des inconséquences d’un pouvoir communautariste et d’un pouvoir par les armes, non-maîtrisé dérivant vers un but que les tenants de ce pouvoir sont incapables de préciser, emportés qu’ils sont par les courants carriéristes pathologiques et par des FRCI tout feu tout flammes armes aux poings, sur de leurs faits. Désormais entre les citoyens et les tenants du pouvoir communautariste criminel, la rupture est inquiétante concernant les libertés, les droits, la démocratie, la liberté d’expression dans notre fichue de patrie, rupture inquiétante aujourd’hui, peut-être tragique demain est là, béante quand il s’agira de décider de la question foncière « terre de nos ancêtre » et celle de la nationalité qui s’y rattache. Chaque citoyen vit, rempli d’appréhension, quand le chef et ses séides rebelles entonnent les ritournelles de la rhétorique autosatisfaction. Certes le chef se montre désormais sévère, regardant, fulminatoire avec impénitence et rigoriste envers les indélicats FRCI même si cela dépend, qui ont plusieurs fois bénéficié de sa mansuétude. Mais quand l’autorité ne s’est pas imposée d’entrée de jeu, quand chaque tenant partiel du pouvoir d’état ignore quelle est la logique gouvernementale poursuivie, quel est son rôle réel et précis dans cette architecture gouvernementale bien que instable et confuse, l’esprit de cour devient fou et dangereux avec un prince affaibli et aux abois face aux nombreux crimes contre l’humanité ou la seule solution restante en droit est de livrer son dauphin putatif chef de guerre devenue deuxième personnage de sa fichue république pour couvrir ses arrières, mais aussi indécis dans l’action politique et interventionniste dans le secteur vital économique à tout bout de champ qu’à l’accoutumée, la gouvernance devient plus agitée qu’un bordel militaire de campagne sur la ligne de front. Tous vendent des gages partout auprès  du président, mais aussi auprès d’une opinion publique qui volage que jamais face à des procès contre les membres criminels du cercle de pouvoir et l’on s’étonnerait que dans ce contexte la gouvernance soit une immense pétaudière. Avec cette culture du confus, cette pratique politique de servir la table des convives de tous ses proches même médiocres.

 

La rançon du culte et de la spontanéité

gouv-ducan

 Le ventre devient l’essentiel alors c’est la rançon du culte de la spontanéité et de l’authenticité. On peut être zéro et afficher les hautes ambitions étatiques. Notre démocratie de demain se bâtira-t-elle sur les fausses notoriétés. Le temps de constater l’absence de réaction normale, la promotion des médiocres n’étonne personne désormais. Mais à l’époque, on n’avait pas encore saisi que le secret de ce régime communautariste est de mettre les sens des mots nul par-dessus tout. Loin de se sentir mauvais, les médiocres tirent tout le parti possible de ce brouillage lexical organisé, il est vrai que le terrain politique et des élections monolithiques leur est favorable. A force de voir s’afficher aux vitrines de la société la promotion pour les médiocres, les postes de nominations devenus sélectives pour les médiocres, les postes électifs issus d’élections monolithiques pour les médiocres, l’histoire pour les médiocres, les récompenses pour les médiocres, la logique pour les médiocres, la politique pour les médiocres et la science pour les médiocres. Comment les médiocres ne se seraient-ils pas senti l’objet de toutes les attentions ? On comprend que le mot « médiocre » popularisé  au nom d’un rattrapage communautariste dans les nominations aux hautes fonctions de l’administration étatique, pour équilibrage communautaire ait fini par trouver ses lettres de noblesse dans une situation d’injustice sociale et de tueries communautaires ciblées. Mais ceci  n’est pas suffisant pour expliquer l’ascension des médiocres. La médiocrité prospère parce qu’il a su profiter de ce brouillon d’inculture politique qu’est le communautarisme, l’arrivisme hautain des carriéristes pathologiques, véritables ballon de BASKET et fondé sur le relativisme politique, idéologique, communautariste, manipulatrice. Après tout, si tout se vaut, pourquoi un proche zéro pointé n’ambitionnerait-il pas un jour de devenir le numéro un de ce pays après avoir été chef rebelle? Et un fichu ministre de la sécurité « infirmier d’état inséré dans le journalisme » qui occupe un poste stratégique en politique étatique. Et puis, dans la foulée, le médiocre président profite aussi de l’avilissement du langage manipulateur, la misère de l’expression dérivée, l’indigence avérée des mots, l’irrationalité des pensées politiques, l’inconstance des positions idéologiques, l’épuisement et la dégradation des références historiques, politiques, sociales, culturelles et cultuelles ne sont plus les signes de misère d’un esprit médiocre arrivée au sommet de l’état pour avoir réussi a récupérer une frustration faite aux  populations du nord, non pas dans les nominations aux postes de responsabilité « le chef médiocre lui-même fut premier ministre ». Tout au contraire elles sont devenues  les marques de l’authen-ti-ci-té. Le médiocre est un authentique médiocre, pas préfabriqué. La réflexion, la « vie intérieure » est l’apanage des délicats. Le médiocre en est conscient et en est incapable, y voit une dimension suspecte qui nuit à la spontanéité des actes et il en est satisfait, de ses actes ! Il en est même boursouflé d’importance. Car le communautariste peut être médiocre et en avoir de l’orgueil, la communauté étant sa référence. Le médiocre n’a pas honte de ses actions catastrophiques qui entrainent des milliers de morts et de ses échecs répétés de coup d’état depuis le 24 décembre 1999. Il porte ses fiascos fièrement en bandoulière. Ses plantages électoraux catastrophiques sont ses consécrations. Normale, celles-ci lui assurent maintenant de foudroyantes promotions politiques et sociales. Les comptes bancaires de la fratrie sont pleins pour la dynastie et la royauté rêvée. On a vu des gens qui ont pour toute référence que d’être des simples porteurs de mitrailleuses se hisser au rang de ministrables, le comble du misérabilisme politique quoi. De simples soldats de rang, aujourd’hui pluri-milliardaires par le pillage de nos ressources naturelles souveraines et bombardés complaisamment aux grades les plus élevées de l’armée et nommés à des hautes fonctions administratives auxquelles rien ne les prédestinait. Donc la médiocrité ayant désormais les moyens de sa politique médiocre, d’autres chaos sociaux sont prévisibles dans notre fichue de patrie la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Le médiocre est fier de quoi ? De son presque rien, qu’il a réussi en recuperant une frustration communautaire  grâce à son faire-savoir et non son savoir-faire au rang de tout. Comment s’étonner qu’il développe en toute impunité le désir de tout ramener à lui « l’égocentrisme » le moi ou le chaos sempiternel? Le médiocre cultive sans scrupule le tout-à-l’égot. C’est que la négation des modèles politiques traditionnelles l’a renforcée. Il prend de l’assurance et, pour un peu, il parviendra pratiquement à nous faire croire que l’argent, la fortune diverse très mal acquit (10%) et que la notoriété est fondamentalement plus démocratique que l’élitisme républicain fait du respect des règles, des droits, des libertés de tous.

 

Pas besoin des analyses de MAX pour voir

 kar-MarxLenine

Pour comprendre la société voulu par ce communautarisme criminel qui se met progressivement en place dans notre pays, on n’a pas besoin des analyses de MAX, de LENINE, ou de BOURDIEU et de PARETO. L’irréversible offensive des médiocres ne relève ni de la sociologie, ni de la philosophie politique mais de l’opportunisme maladive, du carriérisme pathologique et de la manipulation propagandiste. Dire dépassée la question de la circulation de l’expression des élites, est le circuit qui permet la promotion des médiocres. Autrefois, il y a peu de temps l’élite était diverse avec ses oisifs, ses inventeurs d’idées, elle était tout simplement à l’image de la société qui se veut moderne. Actuellement l’élite a de plus en plus la même couleur « d’argent » : le gris de la promotion des médiocres aux postes de pouvoir saisissante. Le médiocre est l’ambitieux. Son besoin de primer lui donne un caractère de satrape. Son appétit de puissance est tel qu’il finit par être la figure humaine qui se joue du stabilisme et de l’ensemblisme social et politique. On dira que les faits sont têtus mais le médiocre l’est davantage. Expert en désabusement communautariste et en manipulation propagandiste, il peut devenir un redoutable doctrinaire populiste et un élégant tribunitien si son intérêt l’exige. Trouve-t-il une opinion « et le médiocre n’en manque pas », il finit toujours par en faire une bannière. Si l’on découvre un jour que celle-ci n’est pas tout à fait avérée voire totalement fausse, comme ce fut notamment le cas de ses nombreux mensonges après ses tueries sanglantes chemin faisant vers le pouvoir d’état, faites-lui confiance pour que la bannière quelque peu défraichie n’en continue pas moins d’ondoyer, la dernière caractéristique du médiocre est qu’il s’accroche aux opinions dominantes comme une moule à son rocher. Une note optimiste ? Les bancs de médiocre se relèvent pas encore de la culture intensive enfin pas encore. De toute façon le président médiocre employeur des médiocres, promoteur des médiocres et soutien des médiocres, lui mêmes impose par des médiocres usuriers internationaux et soutenu par un lobby de presse international médiocre,  se sait en sursis si ?, il se dessine ainsi une nouvelle figure humaniste éloignée non seulement de celle du président par les armes, mais aussi de celle du chef de guerre et du chef de clan ou du président d’une communauté aux besoin de rattrapages, qui compte d’abord sur ses fidèles, privilégiant la confiance, le pacte, la dévotion et ne supportant pas surtout la contrariété d’une opposition intelligente. Il faut être avec lui sinon tu es contre lui, « c'est-à-dire un pro-GBAGBO ou un milicien » la politique politicienne en bande criminelle organisée quoi ! Alors que le propre d’un homme d’état est de savoir s’entourer de collaborateurs et de compagnons dont il peut entendre objections constructives, contradictions des arguments, oppositions des rhetoriques doctes, confrontation des idées pour faire naitre la vérité et débats houleux dans la recherche du juste milieu. Le président médiocre donne au contraire l’impression d’être en guerre permanente contre tous ceux qui ne sont pas de sa camarilla de la Rencontre Des Ripoux, qui pourtant forment une large partie des corps sociaux. Il y a dans ce communautarisme  un volontarisme aussi conquérant que méprisant vis-à-vis de ce qui lui est extérieur. Ce qui a bien illustré la comédie de la nomination fantaisiste de rattrapage. L’ouverture non pas conçue comme un intérêt pour la paix et pour les idées adverses, mais comme une victoire sur l’autre et sur l’opposition dépouillée de quelques scalps mangécrates symboliques, alors que pour être efficace, un état implique aussi un pouvoir souverain capable de s’organiser lui-même, inclusif de toute subordination extérieure et diriger un état, c’est favoriser des efficacités autonomes, ce n’est pas se retrancher avec quelques hommes fidèles, sûrs et dévoués, jusqu’à l’aveuglément total, comme s’il fallait avoir raison seul contre toute la société. Leur seul grand chantier ? Se faire avec leur fratrie des multimilliardaires grâce aux du pays…

 

L’aveuglément de s’entourer d’une garde rapprochée

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 Comme si la personnalisation du pouvoir ne pouvait aller qu’avec une dévalorisation du reste de la composante sociétal étatique et de la société diverse, en se privant de l’expérience des autres et du débat collectif. Cette proclamation d’autosuffisance du président médiocre entouré de sa garde rapprochée pourrait traduire une fragilité, un manque de confiance, son  incapacité à convaincre le peuple et à entraîner la société réconciliée avec elle-même dans toute sa composante unie vers un avenir meilleur, à s’appuyer sur elle dans la conquête de la paix sociale pérenne, au lieu de préférer toujours la tisonner, la brutaliser, la surprendre, la manipuler et toujours avoir le dernier mot quelle que soit la manière, en humiliant l’autre dans et par l’action politique, point d’inclusivité, la différence de sensibilité politique et d’opinion devient un crime. Alors vive les poursuites judiciaires sélectives, les persécutions politiques, les arrestations arbitraires, les détentions sans limites et sans jugements. Il y a là derrière une volonté de saturer l’espace politique de conflits, pour l’avènement d’une hégémonie cadenassée par quelques hommes de confiance inclus dans une stratégie de politique communautaire suicidaire. Aussi suicidaire pour lui-même que pour nous-mêmes citoyens et pour la chère patrie la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Face à une telle politique communautariste obscure d’une telle ampleur, il est certain que soit, nous serons collectivement capables d’en mobiliser et d’en faire pièce pour le meilleur, la dynamique au profit de nos propres façonnades, soit pour le pire nous serions nous-mêmes façonnés par cette dynamique communautariste démoniaque devenue sacrément folle, dès lors ce serait la naissance d’une ploutocratie nouvelle en côte d’ivoire. C’est pourquoi, pour les porteurs d’alternatives, les profs d’idées, des paroliers pour les citoyens, des intellectuels indépendants, des patrons de presses indépendantes, des éclaireurs d’opinion, des actions communes citoyennes sont devenus nécessaires, pour faire pièces et infliger un coup de pied sec au cul de ce pouvoir criminel des communautaristes. Mais en revanche sont devenus inutiles aujourd’hui, de simples relayeurs de leurs propres processus d’autorégulation à des fins  d’intérêt personnel égoïste et égocentriques.

 

La direction à suivre est l’inverse de ce qu’ils disent

masse-popumasse de magnans

Eh bien voilà pourquoi, si la Légitimité Citoyenne n’existait pas il fallait l’inventer, car les talentueux flutistes et tribunitiens de la camarilla de la Rencontre Des Ripoux assis sur communautarisme s’égarent avec une telle régularité exceptionnelle, il est alors nécessaire de leur faire pièce. Cela permet de savoir par les citoyens quelle est la direction à suivre ; la direction à suivre est l’inverse de celle qu’ils indiquent. Ces gens sont des esprits confus, tourmentés et rabougris face à leurs intérêts partisans, égoïstes et égocentriques. Le mérite de la Légitimité Citoyenne c’est de tenter de rendre raison, de rendre l’espoir, l’espoir en une Côte d’Ivoire nouvelle cohérente, égalitaire, stable et paisible. Tant ces quelques mots semblent aujourd’hui périmés sous l’idéologie du communautarisme criminel. Les matraqueurs des libertés et des droits de l’homme, les annihileurs des espérances et des aspirations du citoyen vertueux, les zélateurs enfarinés des droits civils et politiques enfantés, par une élection truquée avec la caution de la communauté internationale l’ONU en tête, veillent à diaboliser, à ringardiser toute parole citoyenne contrariante  ou tout simplement dissonante. Il faut tenir debout, ne pas céder à la doxa sous peine de mise au pique idéologico-sociopolitique. C’est cette mainmise-là, cet étouffoir mental-là que nous devons faire voler en éclats, c’est ce formatage des esprits-là que nous devons contribuer avec tous les autres à vaincre. Cet esprit novateur soutenu par cet humanisme-là habité par la place centrale que l’homme devrait occuper dans la société « pas une seule goutte de sang versée », cette place que le communautarisme et alliés rebelles nous dénie en implantant les armes au cœur des relations sociétales et politiques, des actions gouvernementales et politiques, la médiocrité comme source de promotion, le communautarisme ambiant comme méthode de gouvernement, tout en prescrivant le règlement de compte au centre du débat politique « zigouillage »  des citoyens inoffensifs, saccage et pillage des biens des honnêtes citoyens qui ne proviennent pas des caisses étatiques, des biens publics en inscrivant l’argent au cœur des relations sociopolitico-idéologiques  alors que devrait être placé le citoyen au cœur du débat, l’homme au centre des débats économico-développemental, le tout état au service de l’homme et du citoyen en quelque sorte. Afin de construire une société dont non plus l’état ou l’argent, mais l’homme incarnerait la centralité et le citoyen le cœur de toute action politique. Ces valeurs nous obligent à administrer au terme d’une ligue citoyenne un sérieux coup de pied pacifique libérateur au cul du pouvoir de OUATTARA ALASSANE le médiocres et chef des médiocres ivoiriens. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

 

( Note: F-K )

 

(Cette tribune était dejà sur « malonnamadou » quand blog.fr s’est fermé dessus)

lepetitfils da candy

PAR DA Candy Lepetitfils : Leader de la Légitimité Citoyenne exilé politique de force

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