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29 juillet 2014 2 29 /07 /juillet /2014 15:29

Qui vivra, verra…

SORO-HAMED

Vive le tremblement de terre…

DCL-10  

Soro, président de l'Assemblée nationale, et Hamed Bakayoko, ministre de la Sécurité et de l'Intérieur, se livreraient une guerre de succession dans la perspective de l'après-Ouattara ? Ou pour d’autre une guerre de succession entre les responsables du Rdr et ceux des Forces nouvelles ?

 

Mais voilà ! En 1993 avant le décès de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, si on mettait aux paris la question de savoir : qu’après le départ du vieux « FELIX HOUPHOUET BOIGNY » quel étaient les hommes politiques, les plus proches du pouvoir d’état en côte d’ivoire, pour l’exercer dans les 15 ans a venir après FELIX HOUPHOUET BOIGNY ? Personne n’aurait parié à cette époque sur Laurent Gbagbo 18% en 1990. Peut être sauf Laurent Gbagbo lui-même. Aussi CHIRAC pour son dernier mandat, était en compétition avec, non pas la grande gauche Française, mais avec le « FN » Front national, de Jean-Marie Le Pen, qui a mit tout le monde d’accord avec ses presque 20%. Et c’est bien SARKOZY qui a succéder a CHIRAC…  

 

 

C’est çà la réalité politique, ou les forces en politique et dans l’arène politique changent non pas de façon linéaire, mais par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre.  

 

  Côte d’ivoire : Qui vivra, verra… 

OK-HOUPHOUET-CHIRAC

HOUPHOUETT-CHIRAC

houhouet

Sans commentaires


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26 juillet 2014 6 26 /07 /juillet /2014 12:35

RHDP---OK

Le citoyen ivoirien dans le rôle de boucs ??? «Bâkôrônî ??? N’Béûéûéu-pûûfff !!!  Jamais !!!» 

 DCL-10

Par : Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

*- Oui ! C’est vrai, tout le monde est d’accord que : « La Côte d’Ivoire a plus que jamais besoin de se rassembler. Le pays a besoin de fédération » ceci est incontestable, au constat de la situation sociopolitique actuelle. Mais cela  ne peut se faire, que dans un cadre national consensuel, avec un dirigeant politique rassembleur et un système politique fédérateur, qui proscrit toute idée de rattrapage sélectif communautaire. L’attelage hétéroclite déviant, d’un groupe de partis politiques aux essences disparates, diffuses, éparses et opposée ne peut être considéré comme rassemblement et fédération. Conscient que nous sommes, que cet attelage hétéroclite déviant d’un groupe de partis politiques, d’une alliance circonstancielle, qui est certes au pouvoir d’Etat, mais avec quelle conséquence sur la société ivoirienne et pour quel exercice de ce pouvoir d’état, par rapport au bonheur de chacun ? à  ses décomptés successoraux qui ne sont pas loin. Et conscient que nous sommes, que ce sont les jeunes de certains partis politiques qui paieront aux prix forts les décomptes successoraux de cet attelage hétéroclite déviant de groupe de partis politiques que tout oppose. L’essence même de certains partis composants de ce attelage hétéroclite déviant, étant du pur anti-Houphouetisme, mais sous couverture de l’Houphouetisme à dessein. Or il est constant en politique que : tout parti politique, quel qu’il soit, qui se plait, dans le rôle d’appoint électoral, a un notre parti politique ou se plait dans l’absence volontaire de/à l’élection présidentielle, « compétition suprême qui permet aux grand partis politiques de jauger leurs assises électorales, » au profit d’un autre parti politique est appeler a disparaitre de l’arène politique. Mais Ici, nous notons, qu’il est contraire a notre culture politique et a notre culture sociale, de disputé la couronne du roi au roi. Mais quand la tête porte volontiers le chapeau funeste d’une future décadence idéologique, on ne peut que parer au plus pressé, dans le respect de la tête « le chef du moment », sans lequel respect de la tête « le chef du moment », il n’y pas d’ordre au sein de l’entité politique, sans ordre au sein de l’entité politique en compétition permanente, la reconquête politique du pouvoir d’état est impossible, pour des hommes politiques qui doivent converger vers le même but de reconquête politique du pouvoir d’état. Consenti ou pas consenti, nous éluderons donc ici, le sujet de cet attelage hétéroclite déviant d’un groupe de partis politiques. Mais nous voulions dire amicalement a d’autres jeunes du même chenil de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, que s’ils trouvent que : le chien aboie, la caravane passe, c’est une opinion libre, donc normale. Mais qu’ils sachent eux, qu’ils ne sont dans aucune caravane du développement qui passe. Qu’ils sont plutôt, eux au bord de la route du progrès social commune, pour ne pas dire au bord de la route du progrès pour tous. L’heure des décomptes de l’attelage hétéroclite déviant de ce groupe de partis politiques (dit RHDP), sans socle juridique, ni bréviaire d’action sociopolitique commune, ni gyroscope idéologique, sauf conquérir le pouvoir d’état et se partager les gâteaux, comme si la politique devait rester l’apanage des mangeurs «mangecratiques » sortira la vérité, qui permettra a coup sûr l’avènement d’une nouvelle classe de dirigeants politique, plus honnête dans l’exercice du pouvoir d’état avec la société ivoirienne, nation une et indivisible, qui se doit de garantir, libertés, droits, justice juridique et sociale pour tous en Côte d’ivoire. Et grâce à la nature, on sera un jour. C’est une promesse d’Ami. Sans rancune.  Toutes les deux (2) têtes de la même pirogue convergent vers la même rive pour reprendre les sillons tracés par FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Donc d’emblée, tous ensemble essayons d’obvier le culte de la personnalité et le panurgisme qui conduit les peuples au chaos sempiternel. (Taureau « ou bœuf de labour » d’accord, mais boucs ??? «Bâkôrônî ???  N’Béûéûéu-pûûfff ??? Jamais de la vie !!!)

 16crimes-fABATTOIR

 (Répétons-nous donc, dans le langage citoyen, direct, clair et net, au chevet de la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, tombée sur sa tête le 24 décembre 1999 et dans un coma profond depuis le 19 septembre 2002 et portant a ce jour le deuil de sept milles (7000) des ses enfants zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état). Donc perdant sur cinq tableaux face à la dictature, le culte de la personnalité et du panurgisme conduit les peuples au chaos sempiternel. Avons-nous toujours dit et répéter…

 

*-Les pouvoirs dictatoriaux abusifs sont gagnants sur cinq tableaux du culte de la personnalité et du panurgisme face aux tenants d’un pouvoir arbitraire,  que le citoyen a vocation première de combattre:

 

*-1) Le culte de la personnalité et du panurgisme socle de la dictature sanguinaire  par essence, ne se révolte pas par définition. Il se contente du rôle du citoyen vache qui ne demande qu’à manger.

 

*-2) Le culte de la personnalité et du panurgisme fait ce qu’un pouvoir dictatorial lui ordonne, n’étant pas capable de juger de la réalité des faits de la dictature sur la société commune, pour des raisons de suivisme et de ventre.

 

*-3) Le culte de la personnalité et du panurgisme s’engagera dans n’importe quelle œuvre mercantiliste et lucrative en chantant des jérémiades pour soutenir les pouvoirs dictatoriaux, qui n’obéissent en réalité qu’a leurs poches et qu’a leurs ventres. Alors même que le citoyen qui refuse d’être une vache qui ne demande qu’a mange, ne risquer, que face à l’in-humanisme, l’inadmissibilité, l’inacceptable, l’intolérable, et l’injustifiable, notamment le fait pour une dictature de pousser le citoyen au désespoir, en le laissant au bord du progrès social, le citoyen ne doit risquer, que face à la défense de ses droits civils et politiques, des libertés d’expressions, des libertés démocratiques, de la liberté de participation a la vie politique de son pays, de la liberté de se faire gouverner par les hommes qu’il  à choisit librement. Parce qu’en l’absence de prendre ce risque ultime, il s’interdit ainsi tout comportement de droit citoyen, qui se doit d’être gouverner que par le libre arbitre et accepterait aussi, ainsi d’être confiner dans une vie moutonnière d’animal qui ne demande qu’a manger, auquel qu’une dictature peut tout l’impose,

 

*-4) Le culte de la personnalité et du panurgisme acceptera n’importe quelle politique de destruction sociale d’une dictature, (Comme : *- une politique assise sur la logique de la belligérance armée devenue source de pouvoir d’état, avec un pays morcelé en petits territoires militaires sous la tyrannie  des chefs de guerres, pour lesquels les pro-Gbagbo ne sont que des ennemis de guerre. Comme : *-Les ressources nationales,  naturelles souveraines, « Or, Diamant et terre de nos ancêtres, mises en valeurs ou réserves nationales pour les générations futures des siècles à venir et avec elles les Bois, Café-Cacao », tous entre les mains de Non-nationaux, offert par les vainqueurs de la guerre comme leurs part de butins de guerres. Comme *- La défenestration de l’économie ivoirienne (un HOLD-UP organisé) sous l’emprise d’une politique dirigiste criminelle, pour faire de quelques uns d’une fratrie des multimilliardaires grâce aux biens publics. Comme *-La courbette et la génuflexion honteuse dans la sous région, en Afrique, et dans le Monde, qui dévalorise la représentation nationale, assimilé à la diplomatie étatique. Comme *- Une démocratie de façade sous contrôle des armes, qui fragilise à l’extrême les jeux démocratiques, dans l’assiette territoriale nationale, commune a tout les citoyens et le débat démocratique pluraliste cadenassé, lui aussi par l’élément tribal, ethnique, régional, communautaire, religieux et autres, pour que prospère les louages de Alassane Ouattara devenu dieu le grand. Comme *- Une norme d’organisation électorale dite juridique et une politique électorale de confiscation du  pouvoir d’état, sans la volonté du peuple, malgré l’indignation du peuple martyrs et contre l’intérêt général du peuple souverain, supposé détenteur ultime de ce pouvoir d’état. Comme *- le summum de l’ingratitude érigé en système politique, qui gouverne les promotions des médiocres, pour fanfaronner a tout bout de champs, pourvu qu’ils appartiennent a la caste politique du dirigiste criminel devenu dieu le grand.) Toute cette politique de destruction sociale d’une dictature, dont elle serait la première victime, en laissant le champ libre a l’arbitraire, ou en se contentent comme une vache, d’avoir a manger ponctuellement du jour au jour, dans la chambre a gaz d’une dictature, avant le chaos inévitable. Alors que : « Quand le droit du peuple ou une partie du peuple est délibérément violé par des gouvernants, l’insurrection est le droit le plus élémentaire et le devoir le plus sacré du peuple » 

 

*-5) Le culte de la personnalité et du panurgisme, ne sera jamais un combattant d’une quelconque  cause d’intérêt général, d’une quelconque  liberté fondamental et d’un quelconque droit inaliénable, ni un rival des possédants du pouvoir d’état, devenu arbitraire, ni un rival des possédants de dieu l’argent, encore moins un concurrent crédible dudit pouvoir arbitraire et de dieu l’argent, face aux fortunes à amasser même dans le sang de ses compatriotes. Le culte de la personnalité et du panurgisme se contentera de sa nourriture, la bouffe rien que la bouffe, « c’est notre tour de manger aussi, hooo !!! Jusqu’à ce que ça tourne a la malbouffe», ne réalisant même pas qu’on le confine ainsi dans une vie qui est celle d’un animal, qui n’a besoin que de manger, pour pouvoir crier  a la vue du maitre. « Bééépûûfff !!! » Bâkôrônî. » 

 

C’est pourquoi les pouvoirs dictatoriaux abusifs sont gagnants à tous les coups face au culte de la personnalité et du panurgisme qui n’a besoin que de griots flatteurs et de chanteurs de louages, donc sa passion du pouvoir absolu est une exigence qui refuse tout compromis, toute contradiction,  tout débat intelligible. Sa voie, rien que sa voie, sa position, rien que sa position. Cette passion aveugle gouverner par un pseudo-orgueil est le contraire de la raison qui édicte la vie harmonieuse en société. Et vive le chaos sempiternel à bort de Puissancî-â-mâgnî-dê, qui a déjà fait sept milles (7000) morts, de citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état. Ce train d’enfer et de damnation du pouvoir d’Alassane Ouattara, avec le citoyen ivoirien réduit au rôle de boucs. La nature sait combien il a n’a fabriqué de « Bééépûûfff !!! » Bâkôrônî. Safroulaye !!! Alassane Ouattara s’est trompé de discipline. Il aurait créé une secte nébuleuse, obscurantiste et criminelle avec succès et demeurer le gourou qui ne se contredit pas, de sa secte ténébreuse et criminelle, sa conception archaïque du pouvoir politique d’état saute aux yeux. Moi ou rien, ma position ou la terre brulée, celui qui ne chante pas mes louages est mon ennemi de guerre à abattre. En côte d’ivoire, après dieu c’est Alassane Ouattara se chante a volonté déjà par ses griots alimentaires. Donc le rôle de gourou sectaire lui ira comme un gant. Nous avons honte pour notre pays la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

 RHDP---OK-copie-1

Sans rancune.  Toutes les deux (2) têtes de la même pirogue convergent vers la même rive

 DCL-10

De : Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

voir aussi : www.malonnamadou.blog.fr


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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 12:33

Côte d’ivoire : Lutter tous ensemble ou périr chacun de son côté, cloitré dans son coin et derrière son égo.

merdes-partout

(La nouvelle génération des hommes politiques Africains, ne doit avoir aucune crainte, aucune peur, et aucune répugnance de l’occident, au contraire elle doit chercher des nouveaux moyens d’approches, d’attaches,)

DCL-10

Surfacique: LEPETITFILS DA CANDY: leader de la legitimité citoyenne exilé politique de force

 

(Un homme politique qui se retrouve souvent a l’Ambassade de France ou dans les Ambassades Européennes est normal et éminemment politique, tout comme  ladite phrase ? Je ne reproche rien à la France est aussi normal et éminemment diplomatique.)

 

L’Anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique n’ont jamais servit et ne serviront jamais la lutte nationale démocratique des états Africains.

 

L’anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique ne paye plus dans les luttes démocratique en AFRIQUE. La France, toujours la France, et encore la France. L’Europe, toujours  L’Europe, encore L’Europe, n’est pas la bonne voie de la lutte démocratique en Afrique, donc n’est pas la solution aux dictatures en Afrique. Ces entités changent toujours de têtes au terme des jeux démocratiques paisibles chez eux, on nous rétorquerait peut être que les intérêts de ces entités ne changent pas avec les têtes changeantes, c’est vrai, mais ses intérêts ne peuvent changer ou être modelés, que par de nouvelle approche politique et par de nouvelle attache diplomatique.

 

Dans plusieurs crises politiques en AFRIQUE, L’anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique chantés a tout bout de champs par des hommes politiques Africains, ont édicté ou consolidé des positions anti-pouvoir Africain de certains ex-tutelles coloniales, pourtant de bonne foi au départ de ces crises politiques. Qui ont ainsi logiquement craints et ce sont appuyé sur une perception hypothétique de soi-disant sentiment (Anti-X ou Anti-Z.)


Nous ne demandons pas de fermer les yeux sur tout ce que « la France ou L’Europe » fait dans notre/votre Afrique. Mais tant que la lutte des hommes politiques Africains, pour les droits, pour les libertés, pour les développements économiques et pour la démocratie en AFRIQUE ne détacherait pas « la France ou L’Europe» du combat politique national contre l’arbitraire d’un pouvoir devenu sanguinaire. Elle armerait d’avantage toujours d’une force d’appoint supplémentaire, l’arbitraire d’un pouvoir devenu sanguinaire, qui rassure politiquement, économiquement et diplomatiquement « la France ou L’Europe» contre les peuples Africains.

 

Nous pensons donc que, la nouvelle génération des hommes politiques Africains, ne doit avoir aucune crainte, aucune peur, et aucune répugnance de l’occident, au contraire elle doit chercher des nouveaux moyens d’approches, d’attaches, certes pas celles de 1960 de nos grands parents.  Mais des approches politiques et des attaches diplomatiques nouvelles, sans faux-fuyant, pour rediscuter nos liens politiques, économiques, sociaux, relationnels, dans le respect de la réciprocité que recommandent les commodités diplomates et qu’exigent les relations interétatiques dans le concert des Nations.

 

Lutter tous ensemble ou périr chacun de son côté, cloitré dans son coin et derrière son égo.

 

La grande tête et la petite tête de la même pirogue convergent tout deux (2) vers la même rive. A dit le sage…

 lepetitfils da candy

(La nouvelle génération des hommes politiques Africains, ne doit avoir aucune crainte, aucune peur, et aucune répugnance de l’occident, au contraire elle doit chercher des nouveaux moyens d’approches, d’attaches,)

 

Voir au besoin : www.dacandylepetitfils.over-blog.com

 

 Ou  www.malonnamadou.blog.fr

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13 juillet 2014 7 13 /07 /juillet /2014 19:10

gouv-ducan

(L'agence de notation Moody's vient d'attribuer, pour la première fois, une note souveraine à la Côte d'Ivoire : B1. L’agence de notation relève un potentiel de croissance élevé accompagné d'une dette publique et d'un déficit budgétaire sous contrôle. Ces bons résultats économiques sont toutefois nuancés par la faiblesse à la fois du revenu par habitant. .. Agbô !!!)


( Il faut plutôt mettre l’homme au centre du débat sociopolitique, le citoyen au cœur du débat économico-développemental. « Il faut aller au fond de l’inconnu pour trouver du nouveau. Et pour rencontrer l'espérance, il faut être allé au-delà du désespoir. Ainsi quand on va jusqu'au bout de la nuit, on rencontre une autre aurore. »)

Lepetitfils 2- B

(Sé-nô-fô » de : Lepetitfils Da Candy. Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force)

  

 

*- L’escroquerie morale et intellectuelle fondée sur les fanfaronnades propagandistes sur un pseudo-développement économique farfelu, en miroitant des chiffres économiques bidons au peuple ivoirien, pour une société de quel progrès social nous ne savons, ne peut prospérer, face aux conditions de vies indigentes des ivoiriens résultante de la cherté de la vie au quotidien.

 

 

Une autosatisfaction économique chiffrée d’une même mafia internationale, ne vaut rien, ne sert à rien, ne peut rien apporter à la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, en l’absence du bonheur social commun, ou l’homme et le citoyen seront la centralité de la politique économique. Surtout en l’absence de l’harmonie communautaire consentie, en l’absence de l’exaltation de la diversité nationale solidaire, qui ressortissent de l’acceptation réciproque de tous, de l’appartenance commune à une société, juridiquement et socialement égalitaire.

 

 

Ce pseudo-développement économique farfelu de/par Alassane Ouattara, fanfaronné par des propagandistes, mange-mils saisonniers, ne peut rien apporter à la côte d’ivoire, en l’absence du bonheur du citoyen et de tout homme. Cette valeur humaine qui ne peut être réalisé sauf qu’en mettant l’homme au centre du débat sociopolitique, le citoyen au cœur du débat économico-développemental, le tout du bien matériel public et le tout de l’argent public au service de l’être humain, du citoyen, et de la société commune. Pour l’avènement d’une société plus juste, qui ne laisse aucun homme, aucun citoyen au bord de la route du progrès de la société commune.

 

 

Une société qui se doit d’être plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire et régie par des normes de régulation sociale discutées et acceptées par tous. Contrairement aux normes unilatérales de dérégulations sociales adoptées par le pouvoir Ouattara a des fins électoralistes, pour la confiscation du pouvoir d’état, a fin de continuer une politique dirigiste de défenestration de l’économie ivoirienne, de vols, de pillages des ressources souveraines étatiques.

 

 

Oui ! Pour mettre l’homme au centre du débat sociopolitique, le citoyen au cœur du débat économico-développemental. (Il faut aller au fond de l’inconnu pour trouver du nouveau. Et pour rencontrer l'espérance, il faut être allé au-delà du désespoir. Quand on va jusqu'au bout de la nuit, on rencontre une autre aurore.) Pour un développement économique qui ne laisse aucun homme, aucun citoyen au bord de la route du progrès social.

ado- les morts sont morts yafohi

 On n’a pas besoin d’être un specialiste des fricotages et des rafistolages économiques et financiers pour savoir que l’homme, le citoyen et la société commune doivent être la centralité de la politique économique. 

 lepetitfils da candy

(Sé-nô-fô » de : Lepetitfils Da Candy. Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force) 

 

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7 juillet 2014 1 07 /07 /juillet /2014 19:28

B-Lepetitfils

Le président criminel d’un Etat voyou n’a pas de prérogatives pour agir face a la CPI. C’est çà la vérité !

 Laurent-Gbagbo Alassane-Ouattara

 « Le Président Ouattara est respectueux du Traité de Rome dont la Côte d’Ivoire est partie prenante. A ce titre, il n’a pas de prérogatives pour faire libérer M. Gbagbo ». A-t-on dit et pourtant.

 

 

(UNE LUCARNE DE: Lepetitfils Da Candy, Leader de la legitimité citoyenne exilé politique de force)

 

Alors même que : Le Traité de Rome est un Traité d’adhésion facultative, qui a certes rencontré l’agrément des dirigeants signataires dudit Traité, mais sous condition de subordination jusqu'à la faillite des juridictions nationales des états partis ostensiblement jaloux de leurs souveraines prérogatives régaliennes. Ce principe respecte la souveraineté des Etats en ce qu'il leur permet de rester les premiers gardiens des normes juridiques nationales et internationales. Donc tout désagrément porté à la souveraineté nationale par une procédure pendante devant la cour pénale internationale (CPI) peut produire l’effet contraire de l’adhésion facultative « le souverain refus unilatéral de coopération ». Notamment la souveraine prérogative régalienne de tout état souverain de pouvoir juger ses ressortissants dans son assiette territoriale. C’est pourquoi le Statut de la cour pénale internationale (CPI) reconnaît aux Etats la primauté dans la répression des crimes, commis dans leurs assiettes territoriales ou commis par ses ressortissants et relevant de la compétence de la CPI. La CPI apparaît dès lors  comme un recours contre l'Etat qui faillirait à ses engagements internationaux ou à ses obligations internationales, donc réduit dans le rôle de suppléant dé-saisissable a tout moment par le principe de la primauté des juridictions nationales dans la répression des crimes, commis dans l’assiettes territoriale ou commis par des ressortissants d’un  état parti au Traité de Rome en fonction de la règle judiciaire du lien de connexité certaine qui est d’intérêt public.

 

 

La première conséquence de cette souveraineté des Etats a été l'adoption dans le statut de la Cour pénale internationale (CPI) du principe de complémentarité de la CPI par rapport aux juridictions nationales, qui reconnaît aux Etats d'énormes prérogatives notamment leur première responsabilité de réprimer les crimes internationaux. Ainsi, le principe de complémentarité reconnaît aux Etats la responsabilité de juger efficacement les responsables des crimes internationaux si ceux-ci sont leurs nationaux ou s'il s'agit des personnes se trouvant dans leur assiette territoriale. En plus, toujours selon le principe de complémentarité, les affaires qui font l'objet d'une procédure devant une juridiction nationale seront déclarées irrecevables devant la CPI. C'est en substance ce qui est affirmé à l'article 17 du Statut de la CPI. Ce principe proscrit logiquement tout parallélisme judiciaire concernant les affaires judiciaires qui ont un lien de connexité certaine et pendantes devant les juridictions nationales et la Cour pénale internationale (CPI).

 

«  Il faut noter ici que l’annonce à été faite par le gouvernement ivoirien que les procès des pro-Gbagbo s’ouvrent en octobre pour  crimes commis lors de la crise postélectorale, devant le tribunal d’Abidjan-Plateau juridiction ivoirienne. » et « Selon le principe de complémentarité, (affirmé à l'article 17 du Statut de la CPI) les affaires qui font l'objet d'une procédure devant une juridiction nationale seront déclarées irrecevables devant la CPI » (Ce qui est clair).  Et dans pro-Gbagbo il ya GBAGBO les deux (2) sont étroitement lié par une connexion certaine… (Justice farfelue des vainqueurs de guerre)

 

 

Le président criminel d’un Etat voyou n’a pas de prérogatives pour agir face a la CPI. Sinon, le président soudanais Omar El-Béchir et son ministre soudanais de la Défense, Abdelrahim Mohammad Hussein, sont au soudan. Le président kényan Uhuru Kenyatta et son Vice-président William Ruto sont au Kenya. Seif Al-Islam Kadhafi le fils de Mouammar Kadhafi, est en Lybie, il n’y bougera pas malgré les mains et pieds de la CPI.

 gbagbo, bedue, geui, ouattara

« Il est donc constant que, si selon le principe de complémentarité, les affaires qui font l'objet d'une procédure devant une juridiction nationale seront déclarées irrecevables devant la CPI (Ce qui est clair). »  C’est donc, le président criminel d’un Etat voyou qui n’a pas de prérogatives pour agir face a la CPI.  C’est çà la vérité ! Il y a lieu d’avoir honte pour mon pays.

D-Lepetitfils

Lepetitfils Da Candy: Leader de la Légitimité Citoyenne exilé politique de force

 

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 19:04

82

L’arbitraire comme mode de gouvernance.

 

« La meurtrière crise postélectorale qui a fait officiellement plus de 3000 morts et qui divise le pays à l’heure actuelle, tire son explication d’une CEI boiteuse, mise en place à l’issue des Accords de Pretoria. »

 

Un soit-dit en passant « sé-nô-fô » de : Lepetitfils Da Candy, leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force)

lepetitfils-g-2-copie-1

L’’intérêt général, rien que l’intérêt général, dans l’ordre du public, est notre credo. Ni poste, ni titre, ni rémunération pécuniaire, pour donner un quelconque autre sens à notre vie est notre serment de départ.

 

Une CEI unilatérale qui claudique vers une autre danse macabre qui se profile à l’horizon 2015.

 

 

L’arbitraire comme méthode de gouvernance.

 

 

Depuis Avril 2011, notre société ivoirienne hier harmonieuse, le peuple ivoirien hier solidaire, la terre de nos ancêtres hier bénie « Pas une seule goutte de sang humain versée » , la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY hier stable et paisible, aujourd’hui sous un pouvoir arbitraire, dictatorial et sanguinaire « Sept milles (7000) morts de citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état ». Vit un moment historique de changement politico-économico-social d’assujettissement, d’acculturation, de bornage mental, d’escroquerie morale et intellectuelle, de division sociocommunautaire, par une politique à dessein hégémonique d’une fratrie. Où la médiocrité le dispute à la fanfaronnade, où l’insouciance le dispute à la criminalité, où l’incompétence le dispute à la grossièreté hautaine. Le tout imposé par la force des armes des conquérants, venus de l’autre côte de la frontière nord de la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

 

 

Changement politico-économico-social dont nous ne savons pas encore, si les ivoiriens dans un tous ensemble salvateur sauront empêcher, qu’il ne tourne à de nouvelles tragédies politico-sociales dans notre pays, la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY dans un avenir proche. Puisque, hélas  nos dirigeants conquérants pilotés par un dirigiste criminel, aveuglé par le pouvoir d’état et assis sur un communautarisme de rattrapage comme support politique jouent a la politique de l’autruche enfouir sa tête dans le trou noir et laisser sous les yeux des observateurs son cul a l’air libre face au danger. Question d’avoir leurs esprits ailleurs, sinon dans leurs poches ou l’argent imbibé de sang citoyen est entassé, pour faire de quelques uns des multimilliardaires. Eh bien, leur réveil serait brutal.

 

 

Parce que, la société ivoirienne, le peuple ivoirien, la nation une et indivisible ivoirienne ne saurait se balkanisés sur la base du communautarisme par la force et la terreur des armes. Donc ils ont le temps de se remplir les poches de deniers publics, avant que la catastrophe d’un soulèvement populaire ne les rattrape, pour les administré un coup de pied citoyen au cul. A fin d’avoir la société de paix, la société de concorde, la société de reconnaissance mutuelle, la société d’exaltation de la diversité solidaire, pour une côte d’ivoire nouvelle, une nation une et indivisible garantissant droits, libertés, justice juridique et sociale pour tous.

 A-Lepetitfils

(Lepetitfils Da Candy de passage)

 

Voir :

 

www.dacandylepetitfils.ver-blog.com

 

Ou
 

www.malonnamadou.blog.fr 

 

 

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27 juin 2014 5 27 /06 /juin /2014 12:41

Lepetitfils da candy -08-2013

Un soit-dit en passant « sé-nô-fô » de : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

Le vecteur de la candidature unique de, Alassane Ouattara est la politique du ventre, qui n’obéit qu’a la règle des intérêts personnels, égoïstes et égocentriques, qui s’articule autour de la logique du carriérisme politique tutélaire, qui conduit a l’égocentrisme criminel « moi ou rien, ma logique ou la terre brulée » balayant ainsi toutes opinions libres et de libertés, y compris le libre arbitre, la libertés d’expressions, toute position autre que, « 1 » une, cadrée sur un canal hégémonique dictatorial, et aveugle par essence, toute vision politique analytique, scientifique, doctrinale, experte et esthète, toute analyse concrète et impartiale de la vie sociopolitique. Et dans ce cas l’homme politique, battant et combattant notoire soit t-il, est réduit à l’aliénation dévalorisante et a la mendicité politique, est soumis a la politique du carriérisme viscérale, pathologique, qui a pour socle, la promotion du misérabilisme politique des politicards assujettis au ventre. Dans cette situation l’homme politique, battant et combattant notoire soit t-il, ne peut certainement pas débattre sereinement de ce qui concerne l’intérêt général de la société commune qui doit rester son crédo, le ventre étant devenu ostensiblement l’essentiel dans le cercle des convives. Voilà pourquoi, il n’y a rien à faire pour un vrai homme politique, battant et combattant digne de ce nom et qui se doit de reste maitre de son avenir politique, en compagnie de ces genres d’hommes politiques ou de groupes d’hommes politiques aveuglés par les intérêts personnels, égoïstes et égocentriques, sauf a vouloir manifestement soldé ses assises politiques, a vouloir se départir de sa notoriété, de battant et de combattant donc de l’estime du peuple, de son peuple, et de sa popularité électorale, électorat de demain. Oui ! Nous avons dit électorat de demain. Voilà ce qui est mis en jeu, l’avenir au-delà du règne d’aujourd’hui du pouvoir dictatorial, arbitraire et sanguinaire de, Alassane Ouattara.

 lepetitfils-novembre 2013

(Lepetitfils Da Candy de passage)

 

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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 15:21

DCL-10

(Répétons-nous citoyens)) De lepetitfils Da Candy: Leader de la legitimité citoyenne exilé politique de force

 ado- les morts sont morts yafohicrimes-f

« Tant que les actions politiques qui gardent des hommes politiques inférieurs et les autres  supérieurs, fondé sur la force matérielle des armes sur le communautarisme de rattrapage, n’est pas complètement et pour toujours discréditées et abandonnées,

 

 

Tant qu’il y aura encore des citoyens et des sous-citoyens qui doivent leurs citoyennetés à des hommes politiques, politicards loufoques, donc citoyens fabriqués par des hommes politiques, politicards loufoques, pour des raisons électorales dans notre pays la Côte d’Ivoire,

 

 

Tant que la couleur politique de l’homme politique n’aura plus de signification que la couleur de ses idées politiques novatrices,

 

 

Tant que les droits humains basiques, le droit a la vie, le droit a la sécurité de sa vie, le droit atavique a la propriété,  le libre arbitre du citoyen, et droit, liberté et justice juridique et sociale pour tous, ne seront pas garantie d’une manière égale pour tous, sans attacher d’importance à la communauté originelle de l’homme, à sa couleur politique et à l’idéal sociétale défendu par l’homme politique, sans différenciation aucune « ethnique, tribale, communautaire, régionale, « nord-sud et est-ouest etc.. »

 

 

Tant que les citoyens n’auront pas le courage de parler comme les citoyens libres et égaux, en droit civil et politique de nos dirigeants ivoiriens mafieux, dirigeants mafieux qui doivent accepter par conséquent, le droit a la différence, le droit a la variance, la contradiction d’idées, et la confrontation des arguments autour de la chose public, dans l’ordre du public et l’opposition philosophique et idéologique dans l’arène politique,

 

 

Tant que la pluralité des conceptions politiques et sociétales et les positions idéologiques, philosophique, morales ne seront pas une réalité manifeste et considérer comme un enrichissement sociopolitique,

 

 

Tant que la société ivoirienne ne serait pas un état de droit respectueux des normes de régulations sociales préétablies qui gèrent les conflits sociopolitiques et une société démocratique dans laquelle la légitimité du pouvoir d’état repose sur la raison, sur le droit, donc sur la souveraineté du peuple, par conséquent les citoyens ivoiriens ne doivent accepter de se soumettre aux décisions des gouvernants que parce qu'ils les jugent conformes à l'intérêt de tous et de chacun, donc a l’intérêt général. 

 

 

Tant que la tolérance mutuelle, l’harmonie sociale, et le respect des différences ethniques, communautaires, tribales, et régionales sans considération ouest-est et nord-sud  d’autrui ne seront pas accepter par tous à jamais comme la règle de la vie en commun dans notre société ivoirienne et baliser par des normes de régulations sociales acceptées par tous, parce que fondé sur l’intérêt général avec lequel toute norme juridique de régulation sociale se doit d’être conforme

 

 

Tant que ces valeurs d’une société moderne ne deviendront pas une réalité incontournable un jour dans notre pays la Côte d’Ivoire, eh bien !!! Les rêves d’un progrès social partagé, d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociopolitique sans lesquels il y à point de développement, d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et d’une gouvernance politique conforme à la moralité internationale voulue par notre père FELIX HOUPHOUET BOIGNY, Hélas demeureront une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays.

 

 

Tant qu’il n’en sera pas ainsi  la Côte d’Ivoire ne connaîtra jamais la paix sociale pérenne comme sous le père  FELIX HOUPHOUET BOIGNY, les guerres civiles continuerons à peuplé le présent et l’histoire de la Côte d’Ivoire, les millions de morts continueront à peuplés avec persistance la Côte d’Ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. 

lepetitfils da candy

Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

 Voir  aussi ; www.malonnamadou.blog.fr

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16 juin 2014 1 16 /06 /juin /2014 13:03

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(Le communautarisme criminel, de Alassane Ouattara, cherchant a s’appuyer sur une population, qui le rend incapable d’unifier une société ivoirienne complexe, parce que mêlant des populations de cultures et d’origines diverses, et confronté au défi de restaurer la souveraineté nationale ivoirienne sur les puissances économiques extérieurs, est avant tout un instrument des intérêts mafieux extérieurs pour égarer le peuple ivoirien, dans des guerres intestines, les populations communautaires les unes contre les autres, des guerres intestines qui ne connaîtront que des vaincus segmenté, d’une politique criminelle de dirigisme économique au service d’un clan, d’une fratrie, d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux.)

lepetitfils da candy 

Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

Contact : dacandylepetitfils.exileforce@gmail.com

 

Fort de ses acquits de guerres d’agression, le pouvoir communautariste de, Alassane Ouattara ne veut rien entendre et ne veut rien voir au tour de la chose publique, désormais entre les griffes mortifère de sa dictature sanguinaire. Or La démocratie est un système conçu pour gérer les différences (d’opinion, de croyance, d’idéologie, de culture etc.) sans recourir à la violence armée. Mais hélas ! Milles fois hélas !  La violence armée est érigée en maitre absolue au cœur de la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Donc Point de dialogue politique inclusif qui tient compte de l’avis des autres sensibilités politique, point de négociation sur les grands sujets de politiques sociales, qui engageraient demain la vie de la nation. Parce que le communautarisme criminel de, Alassane Ouattara a désormais deux (2) « l’avoir et le pouvoir » de la tryptique indispensable en politique qu’est ; l’avoir, le savoir, le pouvoir, qui fait que les mafieux possèdent de par le monde et pour cette raison, gouvernent de par le monde.

 

C’est pourquoi en côte d’ivoire, les dirigeants communautaristes Alassaniens gouvernent, un pays dont ils ont mit le tissu social en lambeau et pour cette raison possèdent deux (2) le pouvoir et l’avoir de cette tryptique suscité indispensable en politique, qui fait que les poches des soldatesques guérilleros et fantassins soudards, éternels fauchés d’hier sont pleines et débordent ostensiblement. Et pour compenser le manque de cette tryptique indispensable en politique qu’est le « savoir » ce communautarisme criminel Alasannien, sans connaissance sociologique, sans savoir politique, sans aspiration démocratique, exonérer de toute science diplomatique, veut reposer sur trois socles de non-droit : 1)- la confiscation hermétique du pouvoir d’état par les armes de l’armée de conquête, 2)- l’illégalité juridique du pouvoir d’état et l’irrégularité démocratique de la dévolution du pouvoir d’état 3)- et l’anomalie systémique et institutionnelle dans l’exercice du pouvoir d’état.

 

Voilà le bréviaire de ce communautarisme criminel Alasanien qui privilégie les règles en vigueur au sein de catégories particulières au détriment des règles nationales communes à fin d’avoir un socle politique comme des petits terrains électoraux. Et qui fonde ses actions dans la société commune sur une politique, qui utilise les particularismes contre d’autres groupes et/ou contre l’appartenance à une société nationale commune unifiée. Qui est une politique de destruction sociale facile a mettre en œuvre pour les politicards, dont le thème est porteur de division et en ce qu’il rencontre de réelles inquiétudes du peuple face au délitement du lien social qui est éminemment politique.

 

En clair, ce communautarisme de, Alassane Ouattara ne vise ni la circulation régulière du pouvoir d’état, ni la répartition équitable des richesses nationales, ni la libre participation des citoyens a la vie de leurs nation, ni les élections pluralistes, libres, transparentes, ni une alternance légale démocratique, mais seulement la fabrication d’une caste fermée de dirigeants mafieux, au service d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux, par la division des communautés sociales de la nation pour régner comme Charlemagne, par l’escroquerie morale et intellectuelle, par la terreur et l’intimidation, par la violence armée des armes qui ont permis la conquête et l’annexion de la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOIUET BOIGNY. Le tout avec les fusils et les biens publics pillés, détournés, volés, comme seul mesure de valeur sociale et politique.

 

 

Que l’ivoirien se détrompe donc, ce communautarisme de, Alassane Ouattara sûr de son fait bénéficiant de l’appui des nouveaux suiveurs, ne quittera pas le pouvoir, ni au terme des prescriptions constitutionnelles de deux (2) fois un (1) mandat  de cinq (5) ans, qui restent d’ailleurs légalement ouvertes a des manipulations de jeux juridiques de révisions constitutionnelles ouvrant sur le droit a de nouvelles candidatures, ni par le jeu concurrentiel de la démocratie participative et pluraliste, ni par l’alternance politique démocratique et textuelle, mais uniquement par le changement du rapport de force politique, ou à l’intérieur de ses propres forces armées conquérantes détentrices de ses fusils avec des chefs de guerres désormais rassasiés. Donc en 2015 ce communautarisme de, Alassane Ouattara va confisquer le pouvoir, sans la volonté du peuple, malgré l’indignation du peuple martyrs et contre l’intérêt général du peuple souverain, supposé détenteur ultime du pouvoir d’état.

 

Ce communautarisme de, Alassane Ouattara se fichant éperdument de la souveraineté de ce fichu peuple ivoirien et de par l’appui des nouveaux suiveurs ivoiriens, surtout de par le soutien de la mafia des grands usuriers internationaux, va confisquer ce pouvoir d’état, qui il faut le répéter, est par essence la propriété ultime, exclusive, du peuple souverain. Pour ainsi éliminer de fait ceux qui lui font de l’ombre ou ne lui prêtent pas allégeance seigneuriale, nombres de jeunes loups ivoiriens, de l’opposition comme du chenil de Félix HOUPHOUET BOIGNY, aujourd’hui devenus indésirables, se retrouvent dans ce viseur funeste, sadique du communautarisme criminel de, Alassane Ouattara.

 

Ce qui résulte d’une logique moins catholique, parce que, ceux qui ont combattu hier au risque de leurs vies, ont donc par occasion démontré par leurs actions, leurs capacité à combattre loyalement n’importe quel pouvoir dictatorial, en tout lieux et en tout temps, dans le respect des adversaires loyaux, dans le respect des règles des jeux démocratiques, dans la reconnaissance de tous dans leurs originalités absolues a l’intérieur de l’égalité de tous, adversaires y compris. C’est justement pour cette raison, qu’ils sont gênants aujourd’hui, pour le communautarisme criminel de, Alassane Ouattara et alliés, qui bénéficiaient hier des actions de ces jeunes loups du chenil de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

 

Parce qu’il est question aujourd’hui de faire de la place a la fratrie, aux proches parents, qu’il avait mit au froid de la protection tout risque, en période très bouillante de la lutte démocratique et de servir les adversaires d’hier cooptés aujourd’hui a la table des convives. Et diantre, voilà le panier a scorpions des partis politiques partisans de ce communautarisme criminel de, Alassane Ouattara, qui réfléchissent et travaillent pour une candidature unique à l’élection présidentielle de 2015, qui ne sont en fait que le prolongement de ce pouvoir communautariste Alassanien, inconscient, ingrat, criminel, sans foi ni loi, donc ne sont que des auxiliaires zélés de la dictature sanguinaire Alassanienne qui beurre leurs tartines sur le dos du fichu peuple ivoirien. Donc l’ivoirien a un seul postulat aujourd’hui, aller a la rencontre de l'espérance, qui est au-delà du désespoir, au risque de sa vie physique, ou périr chacun de son côté, cloitré dans son coin.

 

Donc l’ivoirien ne doit pas se leurrer avons-nous dit, a propos des élections de 2015, en pensant que ce communautarisme criminel de, Alassane Ouattara, qui ne cherche que la fabrication d’une caste fermée de dirigeants mafieux, fondé sur la division des communautés sociales de la nation pour régner comme Charlemagne, sur l’arbitraire et sur la dictature et par la terreur et l’intimidation de la violence armée, avec les fusils et les biens publics pillés, détournés, volés comme seul mesure de valeur sociale et politique, ferait des élections démocratiques, pluralistes, libres, transparentes et équitable. Et céderait le pouvoir d’état au terme d’un jeu concurrentiel démocratique, arbitré par le suffrage universel, qui le déclarera vaincu? Non ! Il ne faut pas se leurrer citoyen, ce communautarisme de, Alassane Ouattara inconscient, ingrat, criminel, voleur et voyou, va confisquer le pouvoir en 2015.

 

 

Et sans faute, la fraude massive électorale, serait au rendez-vous de ces élections de 2015. Et comme en 2010, les armes seront là, pour parachever le Hold-up électoral avec la caution d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux. Alors qu’en démocratie, tout pouvoir issu d’élections truquées, qui relèvent du hold-up électoral digne des politicards, qui est du gangstérisme politique, est illégal et est illégitime. C’est pourquoi nous disons que, sauf un réveil brutal  du peuple ivoirien, l’illégitimité et illégalité du pouvoir d’état ont de beaux avenirs en côte d’ivoire. Et le peuple ivoirien à le devoir de se réveiller, pour aller jusqu'au bout de la nuit, au risque de sa vie physique, a fin de  rencontrer une autre aurore, ou périr chacun de son côté, cloitré dans son coin.

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Contact : dacandylepetitfils.exileforce@gmail.com

 

 

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 20:07

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Contact : dacandylepetitfils.exileforce@gmail.com 

 

 

La prétendue réhabilitation de la politique ivoirienne par « le communautarisme politique» c’est-à-dire la politique d’exclusion, de certains citoyens de la vie publique de leurs nation et la politique d’exclusion électorale des partis politiques significatifs de l’opposition des compétitions démocratique, la politique de la division sociale, ethnique, tribale, et de la différenciation communautaire pour régner, ne fait que confirmer la fin de la politique de l’évolution sociale initier par FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Son abdication devant toute vision politique globale de la chose publique, bref son allégeance au pouvoir absolu, sa génuflexion devant le pouvoir dictatorial, sa prosternation devant le pouvoir arbitraire, issus d’une guerre d’agression déclenchée le 24 décembre 1999 et matérialisée en septembre 2002, au finish autoproclamé légale en 2010, sa soumission aux exigences de la force matérielle des armes et sa réédition face aux exigences des ventres des politicards en partie devenus suiveurs, son évolution inéluctable sur une voie avérée de régression sociale, sa course effrénée sur une voie certaines de crises sociopolitiques sempiternelles, son obstination sur une voie funeste de chaos sociaux ou toutes les mœurs ivoiriennes et toutes valeurs humaines seront soldées.

 

 

Fort de ce constat incontestable, donc citoyens ivoiriens, méfions-nous d’une conversion de notre société d’harmonie communautaire, de cohésion sociale et de paix pérenne héritée de FELIX HOUPHOUET BOIGNY , a un communautarisme des petits terrains communautaires, régionaux, religieux, tribaux, ethniques a des fins électoraux, de confiscation du pouvoir d’état par les artisans d’un HOLD-UP. La société qu’il nous annonce ressemblerait à une assemblée inconsciente d’individus, fanfarons, truands, malhonnêtes, voleurs,  sans foi ni loi ; tirant à huer et à dia pour leurs  propres ventres et leurs  propres intérêts égoïstes, égocentriques, taillés sur la mesure d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux.

 

 

Oui ! Citoyens ivoiriens, le progrès de notre société, de notre démocratie, de notre nation, de chaque ivoirien, est-elle dans cette division généralisée du communautarisme des petits terrains communautaires, régionaux, religieux, tribaux, ethniques a des fins électoraux, de confiscation du pouvoir d’état ? Non ! Sinon, en tout cas les nouveaux communautaristes de rattrapages ne peuvent ignorer, que cette doctrine mafieuse de la voie vers la totale régression sociale chaotique, fondée sur la malhonnêteté dans la gestion des affaires publiques et sur le HOLD-UP économique et électoral permanent, va de paire avec la fragilisation du substrat de notre chère patrie la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Donc que cette doctrine politique mafieuse communautariste est par définition antisocial, antihumain, éphémère, primaire, anomique, chaotique et sans avenir.

 

 

Alors qu’il est constant en politique que, la souveraineté nationale, la dignité humaine, le progrès social, le développement de chaque citoyen, la défense de la nation, rien de tout cela n’a de sens, si les communautés nationales ne se reconnaissent pas chacune fièrement et ostensiblement  dans une appartenance nationale commune et unique, si entre les communautés nationales et la nation, il n’y a plus rien d’autres que, sauf la loi des fusils, si entre la nation souveraine et le monde universel, il n’y a plus rien d’autres sauf l’interpénétration des affaires mafieuses d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux et la politique nationale sensée édicté des décisions souveraines pour la vie de la nation sans aucune interférence étrangère. Oublier ces conséquences désastreuses des  politiques du communautarisme de rattrapage, c’est faire preuve d’une grande imprudence, qui fragiliserait le socle de la nation ivoirienne et aussi Ignorer ces conséquences désastreuses des politiques du communautarisme de rattrapage, c’est faire preuve du summum de l’irresponsabilité politique dans la gestion des affaires publiques. Et vive le chaos sempiternel, au pays de FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

 Photo-copie-2

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