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3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 14:14

houphouet-jeune

«Ai-je fais, bien fais pour mon pays, ce que je dois » décrété par FELIX HOUPHOUET BOIGNY. 

 

L’Anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique n’ont jamais servit et ne serviront jamais la lutte nationale démocratique tant en côte d’ivoire qu’en Afrique. En politique chaque fois qu'il arrive un problème sociopolitique, une crise sociopolitique, l’homme politique se doit de chercher logiquement les causes en lui-même, d'abord en lui-même, surtout en lui-même. Ainsi s’il arrive à discerner sa part de responsabilité dans les causes de ce problème sociopolitique, de cette crise sociopolitique, la part de responsabilité des autres dans les causes de ce problème sociopolitique, de cette crise sociopolitique, devient facilement discernable et dénoué de toute accusation gratuite. Comme le «Ai-je fais, bien fais pour mon pays, ce que je dois » décrété par FELIX HOUPHOUET BOIGNY. 

 

Donc le discours politique de la nouvelle génération des hommes politiques ivoiriens, ne doit pas se réduire à rejeter toute la responsabilité, de toutes les crises sociopolitiques, de tous les problèmes économiques et tous les malheurs, sur la France, sur l’Occident, sur les Blancs et/ou les puissances étrangères a l’Afrique. En clair la nouvelle génération des hommes politiques ivoiriens, ne doit avoir aucune crainte, aucune peur, et aucune répugnance, vis-à-vis de la France « la mère patrie » de l’occident, des Blancs et/ou les puissances étrangères a l’Afrique. Au contraire elle doit chercher des nouveaux moyens d’approches, d’attaches. L’Anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique n’ont jamais servit et ne serviront jamais la lutte nationale démocratique en Afrique. Les héros anticolonialistes sont légions en Afrique, qui doit certes rester respectueuse de ses martyrs. Mais il est difficile par contre de cité un seul, oui ! Un seul, qui a réussi à émerger son pays dans/avec cette voie bien que étant de droit inaliénables des peuples.

 

L’anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique ne paye plus dans les luttes démocratique des ex-colonies. Donc chanter a tout bout de champs, la France, toujours la France, et encore la France malgré souvent sa bonne foi. L’Europe, toujours  L’Europe, encore L’Europe, pourtant qui n’épaule pas mal notre Afrique, n’est pas la bonne voie de la lutte démocratique pour la nouvelle génération des hommes politiques ivoiriens et partant Africain. Donc L’anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique irréfléchis « Bête-Bête » associés a la lutte démocratique, n’est pas la solution aux dictatures en Afrique. Ces entités dénoncées à tout bout de champs et utilisées comme fond de commerce politique pleurnichard, changent toujours de têtes au terme des jeux démocratiques paisibles chez eux, sans qu’il en résulte une crise sociopolitique quelconque. On nous rétorquerait peut être, que les intérêts de ces entités ne changent pas avec les têtes changeantes, c’est vrai, mais ses intérêts ne peuvent changer ou être modelés, que par de nouvelle approche politique et par de nouvelle attache diplomatique.

 

Dans plusieurs crises politiques en AFRIQUE notamment en côte d’ivoire, L’anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique chantés a tout bout de champs, comme fond de commerce politique pleurnichard, par des hommes politiques Africains notamment ivoiriens, ont orienté, édicté ou consolidé des positions anti-pouvoir ivoirien et Africains de certaines ex-tutelles coloniales, pourtant de bonne foi au départ de ces crises politiques. Qui ont ainsi logiquement craints des antis… et ce sont appuyé sur une perception hypothétique de soi-disant sentiment (Anti-X ou Anti-Z.) Les problèmes de la côte d’ivoire ce sont les ivoiriens d’abord, tout le reste n’est que la suite logique, des discours enflammés aux conséquences néfastes pour leurs causes.

 

Ici nous ne voulons pas défendre le diable en demandant, de fermer les yeux sur tout ce que « les accusés de colonialisme, d’impérialisme « la France/Europe ou occident » fait dans notre/votre Afrique. Mais tant que la lutte de la nouvelle génération des hommes politiques ivoiriens et partants Africains, pour les droits inaliénables des peuples, pour les libertés fondamentales, pour les développements économiqueset sociaux et pour la démocratie en côte d’ivoire et partant en AFRIQUE, ne détacherait pas « la France ou L’Europe» du combat politique national, de la lutte démocratique nationale contre l’arbitraire d’un pouvoir devenu sanguinaire en côte d’ivoire ou dans les pays Africains. Elle armerait d’avantage toujours d’une force d’appoint supplémentaire, de la force d’un support d’acier, l’arbitraire d’un pouvoir devenu sanguinaire en côte d’ivoire ou dans des pays Africains, qui rassure politiquement, économiquement et diplomatiquement les puissances dénoncées, et utilisées comme fond de commerce politique pleurnichard, contre le peuple ivoiriens et partant les peuples Africains.

 

Nous pensons donc que, la nouvelle génération des hommes politiques ivoiriens et partants Africains, ne doit avoir aucune crainte, aucune peur, et aucune répugnance de l’occident, au contraire elle doit chercher des nouveaux moyens d’approches, d’attaches, de coopérations étroites, certes pas celles de 1960 de nos grands parents.  Mais des approches politiques et des attaches diplomatiques nouvelles, des coopérations étroites nouvelles, sans faux-fuyant. Pour rediscuter nos liens politiques, économiques, sociaux, relationnels, de coopération étroite, dans le respect de la réciprocité. Que recommandent les commodités diplomates et qu’exigent les relations interétatiques dans le concert des Nations. Donc c’est une question pour la nouvelle génération des hommes politiques ivoiriens et partants Africains, d’avoir le courage de se regarder dans un miroir avant toute chose. Et chercher les causes des problèmes ivoiriens, en nous même,  d’abord en nous même, surtout en nous même, pour le relèvement de la côte d’ivoire et pour le relèvement de notre destin commun l’Afrique.

 

Lutter tous ensemble ou périr chacun de son côté, cloitré dans son coin et derrière son égo.La grande tête et la petite tête de la même pirogue convergent tout deux (2) vers la même rive. A dit le sage…

 DCL-10

Lepetitfils Da Candy

 

Source :  

  

 www.malonnamadou.blog.fr 

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30 août 2014 6 30 /08 /août /2014 12:47

lepetitfils da candy

Lepetitfils Da Candy/ Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

(Chronique litote-thématique):

 

« Notre capacité de douter, de critiquer et de désobéir est sans doute le seul moyen d’éviter la fin de la civilisation et d’assumer l’avenir de l’humanité»(Erich Fromm). 

 

Nous aurions avertis. 

gbagbo, bedue, geui, ouattara

(La danse de sorcellerie politique a fait trop de victimes de citoyens innocents.) 

 

En période préélectorale de 2015 la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY est dans la même logique de danse de sorcellerie politique qui continue allègrement, depuis quinze (15) ans maintenant ou on marie l’eau avec le feu. Nous avons assisté à une danse alpiniste du diable : RDR-FPI contre le PDCI, RDR-PDCI contre UDPCI-(Geui) et FPI, RDR-PDCI-FPI contre UDPCI-(Geui), RDR-PDCI-UDPCI contre FPI. Front républicain, boycott actif, coup d’état du 24 décembre 1999 qualifié de révolution des œillets, coup d’état manqué du 19 septembre 2002 qui a enfanté la guerre d’agression dite rébellion armée, qui a occasionné la partition du pays pendant plus de dix (10) ans, le parachèvement de la guerre d’agression par un kidnapping sous le bombardement des armes impies. Le tout ayant fait a ce jour plus de sept milles (7000) mort de citoyens zigouillés chemins faisant vers le pouvoir d’état. Par la politique du : Moi ou rien, ma logique ou la terre brulée, ma voie vers un précipice abyssal ou je zigouille systématiquement tout ceux qui s’hasardent dans une voie « opposante » contraire, mes travers politiques ou la damnation par mes soins, ma position ou tu es mon ennemi de guerre, moi au pouvoir d’état ou le chaos social sempiternel dans l’état. Mais hélas, en dépit de ses faits chaotiques, d’autres hommes politiques ivoiriens n’ont fait aucune conclusion, donc n’accordent aucune importance à la noble lutte démocratique, à l’indépendance électorale, à la liberté de l’action politique, à la politique de cohésion sociale, à la démocratie plurielle et au pluralisme électoral, à la paix pérenne. Qui dépend  de l’exercice du pouvoir d’état, donc de la conquête légale et légitime du pouvoir d’état, sans laquelle toute aspiration politique resterait des verbes et des mots creux. Au nom de la quête et de la conquête duquel pouvoir d’état, trop de sangs innocents ont été versé sur le sol ivoirien « plus de sept milles (7000) mort de citoyens zigouillés » en côte d’ivoire depuis le décès de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Alors même que de par la philosophie politique de FELIX HOUPHOUET BOIGNY « pas une seule goutte de sang versée sur le sol ivoirien » l’ivoirien devait pouvoir faire la politique, l’ivoirien devait pouvoir mener le combat politique loyal, l’ivoirien devait pouvoir susciter des débats d’affrontement politique direct et rester dans son pays et dormir chez lui, sans craindre d’être zigouillé avec les armes impies d’une guerre d’agression. Donc Face au jugement de la postérité, l’ivoirien ne doit pas se plaire dans la posture de roue de secours d’un système dirigiste criminel d’un boulon sangsue. Le PDCI de FELIX HOUPHOUET BOIGNY premier parti de gouvernement en côte d’ivoire ne peut se contenter à l’ infini d’être la montagne de jeux d’ascenseur d’Alpinistes politiques carriéristes.

ABATTOIR-2n

 Au mépris de la philosophie politique de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, les armes impies d’un carriériste pathologique sont devenues la mesure de valeur sociétale en côte d’ivoire. A ce rythme actuel l’horizon 2015 ne peut être que macabre, la politique du ventre qui résulte de l’alliance du diable qui marie l’eau avec le feu, n’autorise pas le dépassement de soit, en est la cause unique. La politique du ventre banni toute dignité, toute fierté, tout orgueil positif, tout effort individuel, possédé par le diable pour se muer en motifs de snobisme. Ainsi l’imposture politique, le suivisme politique alimentaire et la bêtise humaine vers un chaos certain se retrouvent glorifiées de fait, et le glas de l’intelligence humaine se retrouve sonné, parce que le ventre gouverne les méninges et l’intellect pour que vive l’endormissement du peuple par des positions fatalistes, défaitistes, paresseuses, évitant tout combat électoral frontal et loyal, se situant dans le sens contraire du besoin du ventre. En s’engrenant ainsi dans un panurgisme politique, dans un suiviste mercantiliste, dans des élections moutonnières, dégrevées de toute essence démocratique à participation pluraliste. Pour que règne l’anti-Houphouetisme, sous couverture de l’Houphouetisme réduit a la bâtardise politique, qui surendette la côte d’ivoire. La pauvre surendetté ne pourra pas, dans l’avenir supporter ses engagements créanciers, par conséquent la mafia des grands usuriers internationaux parrains du système boulon-sangsue comme en 1990, viendra imposer tout son travers  économiques d’usurier mafieux aux ivoiriens pour le règne de la misère et du chaos social. Il y a évidemment quelque chose de funeste et mortifère pour le peuple ivoirien dans ce système de boulon-sangsue, devenu commis voyageur. Dépensant ainsi des centaines de milliards par voyage de complaisances, tandis que le peuple ivoirien se meurt, par manque de simple eaux potables dans nos villes et quartiers populaires. Ce système de boulon-sangsue videra la côte d’ivoire de toutes ses ressources économico-financières à son profit, si l’ivoirien reste inerte face a l’arbitraire de la danse du diable.

 

L’ivoirien doit donc montrer sa capacité a faire pièces a ce système de boulon-sangsue, pour mettre  l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental, a l’avènement d’une société plus juste, qui ne laisse aucun citoyen, aucun homme, au bord de la route du progrès de la société commune, qui doit être plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire et régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous. Pour se faire, il n’y a d’autre solution durable à la crise ivoirienne, que la solution consensuelle, qui résultera d’un dialogue républicain sincère, qui enfantera le pardon, la repentance, la contrition, de tous les acteurs civils-politiques de la crise ivoirienne résultante d’une guerre d’agression déclenchée en 2002. Un dialogue républicain sincère, avons-nous toujours dit et répéter, couronné par une Amnistie générale référendaire qui doit être votée a 60% de Oui, au moins de l’électorat total inscrit sur la liste électorale réactualisée, pour y retirer nos valeureux morts sur le champ d’honneur et y appeler les nouveaux majeurs de droit. « La Décomposition/Recomposition ». Toute solution judiciaire a la crise ivoirienne, s’ouvrira sur des procès judiciaires ciblés sur des dizaines d’années, chaque changement de pouvoir, aura sa cible de criminel contre l’humanité. Les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles, les généraux Argentins et le Chilien général Pinochet, en savent quelque chose.

 

Donc personne n’a intérêt en côte d’ivoire a persisté dans  des poursuites judiciaires sélectives téléguidées, tant nationales qu’internationales, qui prennent soins d’épargner tout ce qui sont proches du pouvoir du système de boulon-sangsue en place, ce serait persisté dans la voie de chaos social. C’est pourquoi, tant que des griots alimentaires masqueront la responsabilité des tenants du pouvoir au peuple souverain de côte d’ivoire ou éluderont leurs responsabilités par des écrits monnayables et partisans dans la résolution de la crise ivoirienne, la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY ira du mal au pire. La détention du pouvoir d’état n’exonère nullement les dirigeants de l’état personne morale de responsabilité judiciaire pénale et de poursuite pénale judiciaire pour les crimes qu’ils ont commis ou fait commettre. Ce n’est pas non plus l’état personne morale qu’ils dirigent, qui commet les crimes mais les personnes physiques, hélas qu’on tente de dédouanés, sujets de droit international pénal qu’ils sont et qui agissent au nom de l’état, qui commettent les crimes dont ils sont responsables de droit, en tant que sujets de droit international pénal.

RHDP---OK

Donc le mieux pour tous serait d’avoir le désintérêt de regarder dans le rétroviseur de la sphère politique ivoirienne, depuis 1993 par conséquent se départir des alliances électorales alimentaires et avoir  le courage de se regarder dans un miroir, pour réellement prendre conscience de son degré de laideur et pour ne pas conduire sempiternellement le peuple souverain de côte d’ivoire dans des précipices abyssaux. L’auto-enfermement dans une alliance électorale alimentaire mortifère n’est pas la solution, qui peut conduire à la paix sociale pérenne. Il n’y a d’autre solution durable à la crise ivoirienne, que la solution consensuelle, or il n’y a point de consensus dans le suivisme politique et électoral. Donc il n’y a point de solution durable à la crise ivoirienne dans le suivisme politique et électoral. Il est irréfragable de par le monde, que la source unique d’une crise sociale aiguë, ne peut pas être en même temps la solution à la même crise sociale aiguë, dont elle est la source mère. Certes la solution peut couler et venir d’une autre source, mais  absolument pas de la source mère de la même crise sociale aiguë. La cause ne peut pas être la solution. Le remède ou la solution du mal social aiguë ne peut pas venir de la cause du même mal social aiguë. C’est une constance indéniable. Un dialogue républicain sincère, avons-nous toujours dit et répéter, couronné par une Amnistie générale référendaire qui doit être votée a 60% de Oui est la solution. « La Décomposition/Recomposition ». Nous l’espérons. (Notons aussi que : un dépôt judiciaire d’extranéité par incapacité a jugé des états peu sérieux, moins civiliser, qu’est la cour pénale internationale, a une compétence facultative d’adhésion, a l’égard des états partis ou pas à son statut. Elle ne peut pas par conséquent aller a l’encontre de la volonté souveraine étatique, qui édicte que l’état sans interférence extérieure aucune, juge ses ressortissants. Même si cela nécessite une indépendance totale du système judiciaire national  face aux deux (2) autres pouvoir exécutif et législatif, donc un système judiciaire impartial, équitable et fiable, le contraire serait une atteinte grave a la souveraineté étatique, sauf a s’avéré un état voyou. Ce qui appellerait un tribunal pénal international, notamment TPI-CI de création onusienne, conseils de sécurité pour faire le gendarme de la paix internationale face à l’état devenu voyou.) Au total voici donc la vis du boulon sangsue clairement visible. On ne  peut donc se libéré qu’en le déboulonnant, qu’en le dévissant, ce boulon sangsue. Les clés ne manquent pas, la main-d’œuvre y est disponible, il ne reste que le travail assidu. Si chacun fait son travail mais tous ensemble c’est plus que possible, «La Décomposition/Recomposition» sinon chacun périra de son côté, cloitré dans son coin, derrière son égo. Nous aurions avertis. 

 

(Chronique litote sinon thématique.)

D-Lepetitfils 

De Lepetitfils Da Candy/ Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

Voir :  

  

 www.malonnamadou.blog.fr 

 

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23 août 2014 6 23 /08 /août /2014 12:54

lepetitfils-g-2-copie-1

Lepetitfils Da Candy: Cote d’ivoire : (Chronique : Retro dans le placard.)

 

 

(Un parti politique acquiert tout avec le pouvoir d'état. En politique, quand on marche derrière le ventre, quand on va à la chasse des postes et titres, les méninges et l'intellect prennent congé du corps et la tête se meurt sous le poids du ventre, avec elle l'aura et la popularité, indispensable en politique, ou tout s'acquiert au prix de milles efforts, or celui qui acquiert tout passivement en politique, ne peut rien conquerir tant que l'effort individuel est exiger. Il est constant en politique, que c'est la synergie des efforts individuels qui fait les grands partis poltiques de par le monde)

 

Chronique: Retro

 

Le vecteur de la candidature unique du RHDP ivoirien, est la politique du ventre. Qui n’obéit qu’à la règle des intérêts personnels, égoïstes, et égocentriques, qui s’articule autour de la logique du carriérisme politique tutélaire, qui conduit à l’égocentrisme criminel. Donc « moi ou rien, ma logique ou la terre brulée, ma voie vers un précipice abyssal ou je zigouille systématiquement tout ceux qui s’hasardent dans une voie « opposante » contraire, mes travers politiques ou la damnation par mes soins, ma position ou tu es mon ennemi de guerre ». Balayant ainsi toutes opinions libres et de libertés, y compris la liberté d’expressions, toute position politique autre que, « 1 » une seule, dictatoriale et d’adhésion aveugle, par essence d’imposition. Opprimant ainsi toute vision politique, analytique, scientifique, doctrinale, experte et esthète, s’opposant ainsi à toute analyse docte, concrète et impartiale de la vie sociopolitique. Dans ce cas l’homme politique, battant et combattant notoire soit t-il, est réduit à l’aliénation idéologique dévalorisante, a la dénaturation de son être politique et a la mendicité mercantiliste en politique, l’homme politique, battant et combattant notoire est dès lors, soumis a la politique du carriérisme viscérale et pathologique, qui a pour socle la promotion du misérabilisme politique, des politicards assujettis au ventre. Dans cette situation l’homme politique, battant et combattant notoire soit t-il, ne peut certainement pas débattre sereinement de ce qui concerne l’intérêt général de la société commune, qui doit rester son crédo, le ventre étant devenu ostensiblement l’essentiel dans le cercle mafieux des convives, plus de regard contrariant sur l’horizon futur.

 

Voilà pourquoi, il n’y a rien à faire pour un vrai homme politique, battant et combattant notoire digne de ce nom et qui se doit de reste maitre de son destin, maitre de son âme, maitre de son action, maitre de son avenir politique dans l’affirmation de son libre arbitre, en compagnie de ces genres d’hommes politiques ou de groupes d’hommes politiques, aveuglés par les intérêts personnels, égoïstes et égocentriques. Sauf pour l’homme politique, battant et combattant notoire, souvent taxé par les observateurs de la politique ivoirienne de possible homme d’état, même de présidentiable, de par ses prises de positions risquées et de par ses critiques systémiques tranchées, objectives, et sans ambigüités, à vouloir soldé ses assises politiques et électorale, sauf a vouloir se départir de sa notoriété politique, d’homme politique, battant et de combattant notoire, donc à vouloir soldé l’estime du peuple souverain à son égard. L’estime de son peule, qui est son fleuve, hors duquel fleuve, il n’est rien, et de se départir par conséquent de son substrat politique qu’est sa popularité électorale, génitrice et nourricière de son électorat, de demain surtout. Oui, nous avons dit électorat de demain sans faute. Alors qu’il est constant en politique, que tout parti politique qui se plait dans le rôle d’appoint a un autre parti politique est appelé a disparaitre de l’arène politique.


 (François Hollande a dit : « Si ce parti ne veut pas disparaitre demain de l’arène politique, il doit participer aux élections de 2015… » Même s’il est constant que, ce n’est pas à toutes les conditions, qu’un parti politique ou un homme politique doit participer à toutes les élections, la compétition démocratique plurielle demeure la règle.)

RHDP---OK

 Mais hélas ! En politique ivoirienne, l’abandon de soi devient presque désormais une habitude en côte d’ivoire, à chaque pouvoir d’état quelque soit sa nature juridico-démocratique, sa cohorte des oiseaux migrateurs mange-mils. Nous voyons tout les jours en action cette politique perverse, funeste, glauque, subtile et habile, dans/avec la mentalité de certains hommes politiques, pourtant vu de l’extérieur comme pouvant être de très bons hommes d’état, mais hélas qui s’auto-confinent dans le rôle d’appoint docile au non-droit, abandonnant ainsi la lutte qui confère honneur et dignité aux yeux du monde, préférant s’abonnés a la politique honteuse du ventre. Pour lesquels hommes politiques, la croyance politique semble être qu’une fois, le pouvoir politique d’état acquit par un homme, peu importe la manière d’acquisition, même en marchant sur les corps de sept milles (7000) citoyens zigouillés sur l’autel de cette acquisition du pouvoir d’état au terme d’une guerre d’agression, celui-ci devient subitement « Dieu le grand ». Face a cet homme, devenu « Dieu le grand », c’est la prosternation, c’est la courbette, c’est la génuflexion, c’est la griot-tique éhonté, pour pouvoir avoir à manger, c’est le discours sublimé de l’éloge, en espérant des postes et des titres. Donc a dieu a la noble lutte démocratique pour la sauvegarde de son idéal sociétal, qui fait d’un homme politique un politique de valeur ou en espérant une rémunération pécuniaire. C’est donc le reniement de son propre être devenu monnayable, de son libre arbitre qui incarne la dignité d’homme et sans lequel il n’y a point d’honneur d’être un humain.  

 

Ainsi désorienté par l’intérêt égoïste, le pire s’en suit logiquement, c’est le reniement de ceux avec qui on avait hier composé, face a l’adversité irréductible, c’est le reniement de ceux a qui on doit tout son devenir en politique, tout devient de la faute des autres, aussi devenus des ennemis a abattre ou a détruire, parce que non-soumis a l’arbitraire et aux  errements de ballon de basket, de cet homme au pouvoir devenu « Dieu le grand. Et pataras, tout ce qui ont combattu hier, celui-ci devenu « Dieu le grand » confesse l’avoir combattu sous l’emprise d’une force occulte, le devoir citoyen de libre arbitre qui confère honneur et dignité, est alors relégué au second plan. Désormais plus qu’un  citoyen vache qui ne demande qu’a manger, la faute est ainsi rejetée sur « un dieu » qui avait le devoir de protection. Alors même que les faits et méfaits dans/sur la société commune des actions politiques funestes étaient dénoncés du jour au jour, par ceux qui n’ont pas besoin d’un centime de cet homme au pouvoir devenu « Dieu le grand ». Parce que pour cette caste d’intello, l’embarra matériel est préférable en politique à l’embarra intellectuel. C’est une évidence, si le politique se doit de défendre un idéal sociétal, son idéal de pensée sociétal, si faire la politique c’est défendre des idées sociétales qui visent le bien être commun, pour un vivre en commun solidaire, harmonieux, paisible, dans le respect des différences. Voilà ce qui est mis en jeu. Oui ! L’avenir sociétal au-delà du règne du pouvoir dictatorial, arbitraire et sanguinaire d’aujourd’hui de, Alassane Ouattara.

 

Répétons-nous donc, le vecteur de la candidature unique en 2015 de, Alassane Ouattara plaqué du dossard RHDP groupe de partis politiques hétéroclites, composites et aux essences politiques diamétralement opposés, est la politique du ventre.

 Photo-copie-2

Lepetitfils Da Candy : (Chronique : Retro dans le placard.)

 

 

VOIR PLUS DE TRIBUNES SUR.

 

 

www.malonnamadou.blog.fr 

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19 août 2014 2 19 /08 /août /2014 13:20

Lepetitfils Da Candy: leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

lepetitfils da candy

(La gestion électorale doit être professionnelle, non partisane, impartiale, neutre et transparente et ne doit visé que l'intérêt général. Les gouvernants doivent toujours veiller à ce que leurs normes de régulation sociale notamment la norme de gestion électorale soient guidées par l'intérêt général.)

 

Un homme politique et partant un homme public ne saurait se taire tant que l’essentiel sociétal est en jeu. (N’en déplaise)

 

Avons-nous déjà dit : « Une élection ne peut connaître de succès que si les participants au processus croient que les administrateurs électoraux accomplissent leurs tâches de façon neutre et sans partialité politique. S'il en était autrement, l’organisme de l’administration électorale et la crédibilité de tout le processus électoral seraient mise en jeu et par conséquent, la réputation de tout le système électoral en souffrirait. Surtout lorsque dans un système électoral, certains dirigeants de l'organisme électoral sont nommés par les différents pouvoirs « exécutif, législatif et judiciaire » sur la base de leurs liens d’allégeances privilégiés, avec les dirigeants de ces pouvoirs, et/ou sont nommés par les partis politiques en compétition, sur la base de leur adhésion à un parti ou de leur affinité pour un certain bloc de parti et aussi par les religions dans une nation laïque, « même si un religieux peut être un très bon dirigeant d’un organisme électoral dans une nation laïque, » la neutralité dans ce cas devient logiquement incertaine. Alors que Les administrateurs électoraux doivent gérer les opérations de façon professionnelle, en toute impartialité, en toute neutralité et en toute transparence et dans le seul but de satisfaire au besoins de l’intérêt général. Donc les gouvernants doivent toujours veiller à ce que leurs normes de régulations sociales soient guidées par l'intérêt général. » 

 

 

Intérêt général :

 

En effet, l’intérêt général non seulement permet de renforcer le sentiment d'unité des membres de la société, mais en outre il est un instrument nécessaire de légitimation de l'action des pouvoirs publics. Donc l’intérêt général est à la fois une cause d'illégalité de l'action gouvernementale et de  l'acte administratif qui poursuivent un but étranger à l'intérêt général ou qui poursuit un but d'intérêt autre que celui exigé par l’ordre social, par l’ordre public et par l’intérêt général, est une cause d’illégitimité de l'action gouvernementale et administrative.  Les gouvernants doivent donc orienter leurs actions vers la satisfaction de l'intérêt général, dans une logique de paix sociale pérenne. L’intérêt général serait alors à la fois le fondement et la limite de tout pouvoir, y compris celui de la norme de régulation sociale, notamment la norme de la gestion électorale. Une obligation pèse donc sur les gouvernants de définir avec précision et exactitude, les objectifs d'intérêt général, de leurs actions et des normes de régulations sociales, notamment la norme de la gestion électorale, édictées par leurs soins. Ce principe est donc l’exigence de tout le caractère contraignant de la condition d'intérêt général dans une société harmonieuse et policée, des actions gouvernementales et administratives, qui exige et invite les gouvernants à centrer leur attention sur le bien-être général de la société. Et de fait, est susceptible de diminuer le pouvoir ou l'ardeur des groupes particuliers, au service des intérêts particuliers.

 

C’est pourquoi, l'intérêt général ne saurait se réduire à son seul aspect idéologique et a la seule acception littérale. Il est également un des fondements du droit public et du droit administratif, qui est tout entier marqué par l'idée que l'administration remplit une mission particulière liée à la satisfaction de l'intérêt général de la société commune. Celui-ci apparaît donc tout à la fois comme le fondement et le but de l'action de l'administration, mais aussi comme sa limite, ainsi bornée par le droit public et le droit administratif, à ne pas franchir. C’est pourquoi des gouvernants de par le monde ont découvert en l’intérêt général un moyen d'asseoir leur autorité et celui de leur pouvoir. Voici l’importance du fait que ; les gouvernants doivent toujours veiller à ce que leurs normes de régulation sociale, notamment la norme de la gestion électorale soient guidées par l'intérêt général. Ainsi la gestion électorale doit être professionnelle, non partisane, impartiale, neutre et transparente et ne doit visé que la satisfaction des besoins de l'intérêt général. Donc une commission électorale « CEI » maintenue de par son impartialité, a équidistance de tous les pouvoirs, de toutes les influences extérieurs a elle « CEI-équidistante», de tous les partis politiques et de tous les candidats en compétition est d’intérêt général. Donc la votation parlementaire ne confère pas une légalité juridique et force de loi, a une norme de régulation sociale anomique contraire à l’intérêt général qui vient troubler l’ordre social et créer l’anomie sociale.

DCL-10 

(La CEI ivoirienne est une locomotive d’un train d’enfer et de damnation, qui fonce tout droit dans un précipice abyssal à l’horizon 2015. « Il n’y a rien a chez nous pays, l’ivoirien avant son réveil brutal, est devenu un bouc « Bâ-kôrô-nî » entre les mains d’un boucher, c’est tout, «Yafohi…» vivement ! Que le réveil sonne brutalement.)

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16 août 2014 6 16 /08 /août /2014 12:56

8216

Tous ensemble ou périr chacun de son côté, cloitré dans son coin, derrière son égo.

 lepetitfils-novembre 2013

Nous aurions averti…(En-un-mot)

 

Les hommes politiques ivoiriens sont entrain de jouer au jeu du chien crevé trimbaler par le courant d’eau vers la gueule du crocodile, tout en faisant des mimiques chemin faisant, pour leurrer les ivoiriens comme s’il maitrisait encore quelque chose face au pouvoir dictatorial cadenassé (en face d’elle). Certes ils peuvent collaborer avec ce pouvoir dictatorial, dans la direction voulue par ce pouvoir dictatorial, pour avoir droit a la table des convives pour manger. Mais ils n’auront jamais le pouvoir d’état au terme d’un quelconque processus électoral ou démocratique Sinon  textuel. Le cadenas qui cadenasse se pouvoir est visible à l’œil nu, sans effort (FRCI, l’armée de Ouattara, donc partisane, non-républicaine, CEI, sous la coupe du pouvoir de Ouattara, donc partisane non-indépendante, DOZOS, chasseurs traditionnels devenus une milice armée de Ouattara prêt a fusillé a volonté, la nationalité par simple déclaration et partant le droit de vote pour Ouattara le donateur a volonté et par simple déclaration,  le Soutien inconditionnel d’une mafia internationale non-dénoncé avec méthode, etc.) Ne nous demandez pas "on n’est ou là ?" Nous sommes en côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. En l’état actuel tout changement en côte d’ivoire serait un changement de façade dans la continuité, le décor est ostensiblement déjà planté. Les hommes politiques ivoiriens peuvent se prévaloir de la majorité électorale, au terme d’un processus électorale ou avoir des droits constitutionnels électoraux comme en 2010, mais le même hold-up de 2010 soutenu par des armes impies venues de tout juste a côté de la frontière nord de la côte d’ivoire couronnera encore tout processus électoral en côte d’ivoire. Donc il ne reste qu’un seul postulat la vis du boulon sangsue étant déshabillée aux yeux du monde. On ne  peut se libéré, qu’en le déboulonnant, qu’en le dévissant, ce boulon sangsue branche comme une sangsue a la mamelle des ressources naturelles souveraines de la côte d’ivoire, cela de par ses actions soutenues, directes, claires et net, de par ses positions politiques éclairées et sans ambigüité, de par la persuasion du peuple souverain de côte d’ivoire du bien fondé, de circonscrire le danger pour la société commune, donc en clair se retourner vers le peuple souverain avec toute la nudité de l’action politique, a fin d’avoir son assentiment, qu'une campagne électorale ne saurait soldé. Les clés de démontage ne manquent pas, la main-d’œuvre y est disponible, il ne reste que la volonté de faire un travail assidu d’intérêt général, dans le respect des droits et des libertés. Soit chacun fera son travail mais tous ensemble, soit chacun périra de son côté, cloitré dans son coin, derrière son égo.

DCL-10 

Nous aurions averti…

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 19:13

daclef-2

La Commission électorale ivoirienne dite indépendante confère aux formations politiques en compétition électorale, la double qualité de juge et partie. Ce qui entache, son professionnalisme, son équilibre, son indépendance, sa neutralité,  et son impartialité. Un bureau consensuel des représentants des partis politiques en compétition au sein de cette Commission électorale ivoirienne dite indépendante n’y changerait rien en sa dépendance.

 

Voici l’Extrait litote d’une analyse du Professeur Jean du BOIS de GAUDUSSON sur le sujet

 Professeur-Jean-du-BOIS-de-GAUDUSSON.jpg

Extrait litote: (Sous un régime autoritaire les consultations électorales sont organisées sur un mode unanimiste et elles remplissent que des fonctions principalement symboliques et de renforcement du pouvoir du régime autoritaire. Donc celles-ci ne permettent pas de satisfaire aux exigences de la démocratie et de la participation populaire.

 

Les commissions électorales nationales, qualifiées d'autonomes, d'indépendantes  au-delà de leur diversité, présentent la caractéristique commune d'être des organismes distincts de l'administration étatiques. la création de la commission électorale nationale autonome ou indépendante, en tant qu'autorité administrative indépendante, est donc liée à la recherche d'une formule permettant d'isoler, dans l'administration de l'État, un organe disposant d'une réelle autonomie par rapport au gouvernement, aux départements ministériels et au parlement, pour l'exercice d'attributions concernant le domaine sensible des libertés publiques, en particulier des élections honnêtes, libres et transparentes. Donc la création d'une commission électorale indépendante est une étape importante de renforcement et de garantie des libertés publiques et des droits de la personne; qu'elle permet, d'une part d'instaurer une tradition d'indépendance et d'impartialité en vue d'assurer la transparence des élections, et d'autre part de gagner la confiance des électeurs et des partis et mouvements politiques en compétition.

 

La composition des Commissions électorales donc suscite aussi de nombreux commentaires et des critiques. Pour beaucoup, les objectifs recherchés d'impartialité et d'établissement d'un climat de confiance avec la population ne sont ont pas atteints en raison soit d'une absence de neutralité, soit d'un excès d'affrontements politiques au sein des commissions. Le principal point de discussion relatif à la composition des commissions est aujourd'hui la place à réserver aux partis politiques en compétition: considérée à l'origine comme une condition du contrôle du processus électoral par les forces politiques en compétition, la participation des partis apparaît au vu d'un certain nombre d'expériences vécues comme contre-performance. Ont ainsi soulignés les difficultés d'organisation liées au nombre des partis, à la faible formation de leurs représentants, ainsi que le risque de conférer aux formations la double qualité de juge et partie.)

 

Extrait litote d’une analyse du Professeur Jean du BOIS de GAUDUSSON

 

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La Commission électorale ivoirienne dite independante n'a rien d'independante.

lepetitfils da candy

Lepatitfils Da Candy


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11 août 2014 1 11 /08 /août /2014 13:51

lepetitfils da candy

(Voir l’avis de Lepetitfils sur le même sujet, au bas de la présente « 2e » deuxième tribune)

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Elections de 2015, CEI, démocratie… Mamadou Koulibaly : «Ouattara triche et trichera pour gagner».

Mamadou-Coulibaly-President-de-L-Assemblee-Nationale

 (LIDER ne participera pas à cette mascarade de Commission électorale inféodée (Cei). (À tous ceux qui siègent à cette Cei, nous rappelons juste une chose : Quand on accepte de participer à un jeu dont on sait les règles faussées dès le départ, il faut être prêt à en accepter aussi les résultats à la fin. Personne ne pourra dire que nous n’avions pas prévenu)

 

Elections de 2015, CEI, démocratie… Mamadou Koulibaly : «Ouattara triche et trichera pour gagner».

 

Mamadou Koulibaly, président de LIDER, répond à la question de savoir s’il faut qu’Alassane Dramane Ouattara attende le Fpi pour finaliser la commission électorale :«Ma position est connue. Ouattara, en tant que président de la République n’a besoin de personne pour faire sa commission électorale. Il lui faut juste un décret ou mieux, une ordonnance ou simplement une loi que le parlement, dans sa composition actuelle, voterait à 100%.

 

Cette loi désignerait Ouattara comme président pour le restant de sa vie. Cette solution aurait de gros avantages pour tous.

1) L’État économiserait des sous qui ne seraient pas consacrés aux élections. Cet argent pourrait servir à bitumer quelques kilomètres de routes à Cocody et à mettre des feux tricolores.

 

2) Nous éviterons ainsi une crise post-électorale, étant donné que Ouattara triche avant les scrutins, qu’il trichera pour gagner et que nous contesterons son coup de force lié au verrouillage de la commission et de la liste électorales, à l’impunité des Frci qui sèmeront l’insécurité comme elles l’ont fait lors des élections législatives, municipales et régionales.

 

3) Ouattara aura la preuve que le peuple l’aime d’un indéfectible amour, lui qui marche sur l’eau, réalise des miracles et qui veut être candidat unique.

 

4) Nous sauvons des vies humaines puisque les milices de Ouattara sont les seules en Côte d’Ivoire à pouvoir tuer et par la suite à bénéficier de promotion dans les grades militaires, capables qu’elles sont de passer de commandant à général en deux ans. Je ne sais quel est le problème au niveau du Fpi mais quand l’opposition s’est réunie au siège du Rpp en présence des délégations de l’Afd, de la 3ème Voie, de l’Udcy, la position dégagée était claire. Nous ne participerons pas à cette commission qui n’est qu’une terne copie de celle issue de Marcoussis. La participation de l’opposition est conditionnée par la réécriture de la loi et la décision de la rendre conforme à la constitution, c’est à-dire indépendante. Indépendante du président de la République, indépendante des partis politiques, indépendante des administrations gouvernementales, et exclusivement aux mains de la société civile. On ne peut être joueurs et arbitre en même temps.

 

A mon avis, comme personne ne peut rien négocier, ni rien imposer à Ouattara, je ne comprends donc pas son attitude. La loi illégale adoptée ne dit pas que le Fpi doit siéger à la commission électorale. Ouattara devrait relire sa loi et se rendre compte que rien ne l’oblige à attendre qui que ce soit. Il faut qu’il avance dans la voie dans laquelle il s’est engagé et qui consiste à s’offrir une présidence à vie par ordonnance. Après tout, il s’est bien offert un conseil économique et social anticonstitutionnel, un conseil constitutionnel du même genre, des marchés publics au gré à gré du même genre etc. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin? En plus, « Ouattara a le soutien de François Hollande ». N’est-ce pas le must ça?»

 Mamadou Koulibaly-Large

Elections de 2015, CEI, démocratie… Mamadou Koulibaly : «Ouattara triche et trichera pour gagner».

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18 (2)-copie-1LEPETITFILS-2

(Voir l’avis de Lepetitfils sur le même sujet, au bas de la présente « 2e » deuxième tribune)

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9 août 2014 6 09 /08 /août /2014 12:20

boigny-HOUPHOUET

Que la nature protège le parti créé par FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

 Extrait litote du plaidoyer « Conférence de presse » de KKB.

 

(EN GROS : La pirogue) :

 

KKB : Qu’il me soit juste permis de faire la précision suivante, notamment à l’endroit de ceux qui partagent mon combat :

 

Que faisons-nous des combats de nos illustres devanciers ?

 

Extrait : La nouvelle Commission électorale indépendante (CEI) n’a absolument rien d’indépendant. Je fais de la politique, je parle donc aux Ivoiriens et à tous ceux qui vivent dans ce pays, qui l’aiment profondément et qui se désolent de le voir tombé si bas. Je suis un homme politique, non un guerrier ; le PDCI aura bel et bien un candidat aux élections présidentielles de 2015 ». Il s’agit d’un point non négociable. Quel militant ou quel sympathisant sérieux du PDCI RDA peut croire un seul instant que le plus vieux parti de ce pays n’a désormais pour seule raison d’être que de se mettre à la remorque du RDR, une formation politique sortie pourtant de ses entrailles. Que faisons-nous des combats de nos illustres devanciers ? Que faisons-nous de notre grande expérience de serviteur de l’Etat ? Que deviendront nos nombreux cadres aujourd’hui laissés pour compte ? Quelle réponse réserverons-nous aux attentes parfois pressantes de nos militants et de nos sympathisants ? D’où vient-il qu’on cherche à me criminaliser en me rendant responsable du massacre de militants du RHDP ? C’est une blague ! A qui veut-on faire croire l’incroyable ? Tous les ivoiriens et tous les observateurs de la vie politique ivoirienne savent que si on recherche les entrepreneurs de violence et les adeptes de la criminalité politique en Côte d’Ivoire, ce n’est certainement pas au PDCI qu’on les trouvera. A défaut de convaincre, j’espérais, dans l’intérêt supérieur de notre pays, un débat contradictoire de qualité, idées contre idées, arguments contre arguments sur des problèmes qui, mal gérés hier, ont eu des conséquences tragiques sur nos compatriotes. Au lieu d’une confrontation d’idées que j’appelais pourtant de tous mes vœux, j’ai eu droit à des propos qui ne grandissent pas le débat public et sont même une insulte aux ivoiriens et à tous ceux qui résident dans ce pays et ont été témoins, voire parfois victimes, de la descente aux enfers du pays d’Houphouët-Boigny.

 

 

Extrait litote du plaidoyer « Conférence de presse » de KKB

 (Les deux têtes de la même pirogue convergeant vers la même rive, malgré les courants d’eaux qui l’oscillent.)

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 *- Que la nature protège le parti créé par FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

FHB-copie-1 

Un regard dans le retro de lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

(À peu près du Franc-tireur par devoir: « Les merdes, volent en escadrille ». Disait le président,  Jacques Chirac. )

 

Eh bien revoilà ! Les deux têtes de la même pirogue convergeant vers la même rive ivoire. D’où dans la même pirogue, on substitue au débat d’idée fut-il rude le lynchage. Ou à la confrontation des arguments on préfère l’utilisation des poignards dans le dos, dans l’anonymat des bas fonds.  Ou plutôt que de convaincre on se saigne et on veut s’achever dans la fureur de l’hallali. Ou on feint de se serrer les épaules et les coudes, de s’échanger case contre séné, alors qu’en réalité on investit toute son énergie dans de sadiques opérations destinées à se liquider mutuellement, au risque de crever tous, statiques a la Rive Mauritanie. Que la nature protège le parti créer par/de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, dont de nombreux militants et de sympathisants ont été des laissés pour compte, aux cours des dernières élections législatives et locales au Nord, pour ne pas qu’il se réveille un de ces quatre (4) matins au cimetière politique vandalisé par une Rencontre Des Ripoux. C’est en réalité la démocratie, les libertés individuelles, les droits fondamentaux et la république républicaine, qui prennent tout un coup en côte d’ivoire. Mais il est question de prendre soins de ne jamais descendre dans la boue des combats politiques personnifiés, au détriment du combat politique systémique. Donc, Oui ! Il est incontestable que la nouvelle Commission électorale indépendante (CEI) en l’état actuel n’a absolument rien d’indépendant. Mais le dire tout haut est assimilé a une insoumission par le pouvoir Ouattara, architecte de la dite nouvelle Commission électorale (dite) indépendante (CEI) taillée sur mesure pour Ouattara aux fins d'un Hold-up électorale. Et le pouvoir Ouattara qui se refuse à tout examen critique objectif au risque d’être intolérant voire méprisant pour les autres.

 

Or en politique pluraliste, une opinion qui prétend valoir pour les autres -Vérité objective, normes et valeurs collectives- risque d’être une illusion dangereuse, si elle ne repose sur aucun fondement rationnel et si elle est fondée uniquement sur la quête des intérêts politiques et électoraux. Quand en politique, une vérité ou une valeur normative, d’un pouvoir étatique prétend s’imposer aux autres, en dehors de tout fondement rationnel (expérimental et cohérence), alors qu’elle n’exprime qu’un sentiment ou désir personnel de conquête de pouvoir; elle fait incontestablement, violence aux autres, pour les soumettre au diktat de son arbitraire, à défaut de les convaincre au terme d’un dialogue politique inclusif. L’illusion dans l’exercice du pouvoir étatique est dangereuse, en cela qu’elle se refuse à toute critique rationnelle, de ses fondements, à toute remise en question de ses évidences toute faites, qu’elle prétend imposer aux autres, voire contre eux. C’est pourquoi tout désaccord et toute critique du caractère indiscutable de l’illusion du pouvoir étatique dictatorial, désigne nécessairement, l’autre comme l’ennemi de la vérité, valant pour tous, donc comme un danger, qu’il faut détruire, donc point de dialogue inclusif, point de débats démocratiques, point de liberté d’expression et vive la violence du lynchage, des anathèmes  et de l’excommunication .

 

Cette dictature en politique et la politique de la dictature, n’ont rien à voir avec la saine politique, le noble art politique, dans laquelle le peuple souverain est le destinateur privilégier de tout les discours politiques. Ici, si nous essayons de prendre le mot politique, ce mot politique vient de la racine grecque « cité » d’où les citoyens sont maîtres de leur destin. Sans contrainte, sans violence ou tout est consensuel et pacifique, d’où la légitimité appartient à la majorité des citoyens, qui se jauge à l’aune du suffrage universel, et au prisme d’un processus électoral transparent. Mais il est aussi vrai, que de nombreuses approches définissent la politique comme l’organisation du pouvoir dans l’état. Mais le lien entre politique et état n’est pas si évident, cette acception est relativement récente. La politique au sens plus large est donc la structure et le fonctionnement « méthodique, théorique et pratique » d’une communauté de destin, d’une société policée. Dès lors, la politique concerne alors les actions politique d’équilibrage sociopolitique, le développement interne ou externe de cette société, ses rapportes internes entre sa propre composante hétéroclite et ses rapports à d’autres ensembles sociaux universels.

 

Donc faire la politique c’est défendre un idéal. C’est servir le peuple et non le martyrisé  pour se servir. Faire la politique, c’est agir dans l’espace public, pour transformer  son pays, conformément à son idéal sociétal. Faire la politique c’est réaliser ses convictions politiques et idéologiques, pour enfin tenir ses engagements sociétaux. Donc le travail des responsables politiques, ce n'est pas de chercher des postes et titres  à chaque occasion ou de céder à la panique de la perte du pouvoir d’état face a l’adversité. Le travail des responsables politiques n’est pas de remettre en cause la démocratie pluraliste, dans un état démocratique et au sein-interne d’un parti démocratique, du fait de la défense de ses intérêts particulier, égoïste, égocentrique, clanique et mafieux. Le travail des responsables politiques est plutôt de dire les choses, quand elles vont bien et quand elles vont moins bien, dans l’organisation sociopolitique, pour un destin meilleur de la société commune, sans excès, ni dramatisation, mais avec franchise et détermination. Le travail des responsables politiques est de démontrer par son action politique, qu'on apporte une valeur ajoutée à l'action publique de son pays, qui profite à la nation une et indivisible. Le travail des responsables politiques se mesure a l’aune de ses actions politiques capables d’orienter, et de  réguler la vie sociopolitique, l’action publique des gouvernants et les mouvements sociaux de la vie sociale de son pays. Le travail des responsables politiques est surtout, de chercher a disposé, d’une capacité d’action politique à anticiper les perspectives d’avenir socio-économico-politique de la société dans laquelle il vie ou excelle. Le travail des responsables politiques est donc de combattre l’arbitraire du pouvoir d’état jusqu'à ce qu’il se dévoile comme tel.

 

La politique est donc principalement ce qui a trait au collectif, au général et au commun, à une somme d’individualités et/ou de multiplicités. Toute personne qui ne s’intéresse qu’à lui-même, pratique donc de fait, la politique. Par ailleurs, dans un sens beaucoup plus restreint, le terme politique renvoie à des luttes pacifiques de pouvoirs, des actions d’équilibrage de la société commune et a la lutte de représentativité entre hommes et femmes de pouvoirs et les différents partis politiques qui les soutiennent, auxquels ils appartiennent. Ici rien n’est unilatéral, rien n’est personnel, rien n’est exclusif, rien n’est du moi ou rien. Il y a ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni privilège exclusif, ni diktat. Tout l’espace public de l’assiette territoriale nationale, appartient à tous les hommes politiques et tous les citoyens ont le même droit dans l’assiette territoriale nationale. Donc point de lynchage, d’un homme politique, pour ses prises de positions politiques, encore moins l’excommunication. C’est notre vision de la politique et c’est pourquoi, nous vomissons les violences en politique et c’est pourquoi, nous sommes républicain social, « doublement centriste, et Houphouétiste enragé ».

 

Les deux têtes de la même pirogue d’HOUPHOUET BOIGNY convergeant vers la même rive ivoire.

 

À peu près du Franc-tireur : Puisque le président Jacques Chirac disait que : « Les merdes, volent en escadrille ».

DCL-10

Un regard dans le retro de Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

Voir plus de: sur www.dacandylepetitfils.over-blog.com

 

ou  www.malonnamadou.blog.fr

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1 août 2014 5 01 /08 /août /2014 20:19

lepetitfils da candy

Par : Lepetitfils Da Candy ; Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

Dacandylepetitfils.exileforce@gmail.com

 

(Une pirogue tordue par les vagues de la tempête de haute Mer, ne peut être redressé par les secousses d’un courant d’eau de fleuve éphémère..)

FHB-copie-1

A la légitimité citoyenne, nous revendiquons, occasionnellement/périodiquement, notre droit de choisir d’aller en enfer pour nos opinions politiques et citoyennes. D’où l’exil forcé de son Leader.

 

Si Besoin était encore de le dire…

 

La genèse  de la légitimité citoyenne, tout comme celle de tout mouvements politique d’utilités citoyennes, créer à partir d’une demande de régulation socio-politico-juridique circonstancielle, de nombres de sociétés humaines qui aspirent a la liberté individuelle, au droit inaliénable de tout homme, au progrès social, a la stabilité politique, a la paix sociale pérenne. Qui à ainsi logiquement pour conséquence, de dénoncer la dilution du politique par l’interpénétration des affaires mafieuses dans la gestion des affaires publiques, la dislocation de la société commune, par segment communautaire ou par affinité tribale et la dépravation des mœurs ataviques notre socle sociétal. Des actions citoyennes de légitimes défenses et des pratiques citoyennes propres aux engagements associatifs d’intérêts généraux, parce que raisons de leurs existence. Ainsi sommés qu’ils sont, d’agir dans l’urgence et dans la proximité, pour pallier les manques politiques et les travers de gestions publiques, dans l’exercice du pouvoir  d’état. En les dénonçant publiquement de la façon la plus directe, la plus claire et net, et au besoin, souvent vulgaire, parce que sans aucun maquignonnage, et de par quelques moyens que ce soit, et peut importe la manière et partant les conséquences sur les mouvements politiques d’utilités citoyennes. Donc loin d’être une diabolisation des dirigeants de l’état, ces mouvements politiques, d’utilités  citoyennes entendent au contraire le restaurer dans toutes ses responsabilités socio-juridico-politiques et dans toutes ses prérogatives de personne morale appelé à répondre, sans faux-fuyant, au besoin pressant de l’intérêt général, gyroscope par excellence de toute action politique et fil conducteur par essence de tout pouvoir étatique, et qui mène inexorablement a tout pouvoir étatique légitime, bâtit sur les règles démocratiques du suffrage universel .

 

Donc notre crédo premier, demeure la régulation sociale, par la revendication citoyenne, d’une politique gouvernementale saine, cohérente, juste, équilibrée, tournée résolument vers l’intérêt général, dans le respect du droit inaliénable du peuple souverain « ultime détenteur du pouvoir d’état » a l’autodétermination et a se faire gouverner par des dirigeants, qu’il a librement choisi. Et par la réclamation des normes juridiques consensuelles, de régulations politico-sociales, discutées et acceptées par tous. Conscients que nous sommes donc, que la régulation sociale, n’est pas encadrée par un corps de règles préétablies, par une majorité composite issue d’élection. Elle se fait de manière conjointe, concerté, consensuelle, progressive, par l’ensemble de tout le corps social, par un jeu permanent d’échanges, de dialogues républicains, de concertations sociopolitiques, de résolutions de conflits, politiques comme d’intérêts, d’ajustement mutuel des pensées libres, des idées politiques et des positions idéologiques légitimes, dans le respect mutuel, de la diversité solidaire des différences . Cette noble œuvre de la régulation sociale tend à ignorer ou contourner, toute légalité anomique, dans l'exercice du pouvoir d'état et toute illégitimité démocratique, dans l'acquisition du pouvoir d'état, tendant ainsi vers la recherche d’une légalité et d’une légitimité du pouvoir d'étatn, dans tous ces états, parce qu’émanent du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état. Voici donc, les objectifs premiers de notre mouvement politique d’utilités citoyennes, la légitimité citoyenne.

 

Ainsi définit clairement, notre objectif est donc, sans ambigüité, d’intérêt citoyen, d’intérêt humain, d’intérêt public, sinon d’intérêt général. En clair, apporté de droit aux citoyens, apporté humblement à l’humanité, servir désintéressement la société, a laquelle nous sommes redevables. Et non se servir ostensiblement dans les caisses publiques, dans les deniers publics au nom de l’exercice du pouvoir d’état. C’est pourquoi nous avons fait le serment dès le départ, de préférer l’embarra matériel dans l’aisance intellectuelle, à l’embarra intellectuel dans l’aisance matérielle. C’est ainsi que, nous revendiquons occasionnellement/périodiquement, notre droit inaliénable de choisir d’aller en enfer, pour nos opinions politiques et citoyennes. Et la nature sait que, l’enfer nous en avons connu et nous en connaissons aujourd’hui. Mais seulement notre seule préoccupation demeure que,  l’on ne vient pas nous demander du feu en enfer, parce qu’il en manquerait au paradis de Jésus Christ et de Mahomet. Ce serait le monde en l’envers.

 

Donc la légitimité citoyenne notre mouvement politique, d’utilité citoyenne, dont le Leader est aujourd’hui exilé politique de force, « donc d’un statut juridico-politique universel » se définit et est vu de par le monde, comme un mouvement d’éducation populaire, éveilleur de conscience, parolier éclaireur de la lanterne citoyenne, défenseur de l’intérêt public, tourner résolument vers l’intérêt général, dans l’exercice de l’action citoyenne au risque de notre vie. Et non pas comme un lobby « groupe de pressions aux actions monnayables » destiné à faire pression auprès des dirigeants de l’état, pour des raisons d’intérêts de ventres ou pour des raisons d’intérêts particuliers. Donc, même si le Leader de la légitimité citoyenne est sous astreinte statutaire ou diplomatique, lié à sa qualité de réfugié politique, elle « la Légitimité Citoyenne : « Mouvement politique, d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicaine sociale convaincue, totalement indépendante et Houphouétiste enragée, non inféodé a qui que ce soit, et a quoi que ce soit», ne déroutera pas, pour autant de sa destination, calqué sur les sillons politiques tracés par FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Nous sommes donc à  l’opposé d’une démocratie procédurale téléguidée, formalisée par des intérêts mafieux, en dépit des droits inaliénables, des libertés fondamentales et au mépris de la volonté populaire du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état.

 

Que l’on comprenne donc, qu’une pirogue tordue, par les vagues de la tempête de haute Mer, ne peut être redressé, par les secousses d’un courant d’eau de fleuve éphémère.

 

Si Besoin était encore de le dire…

 

De : Lepetitfils Da Candy ; Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

DCL-10 

www.dacandylepetitfils.over-blog.com 

 

Ou

 

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1 août 2014 5 01 /08 /août /2014 19:35

lepetitfils da candy

Proposer : par Da Candy Lepetitfils Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

« Un extrait litote de : Interview réalisée par Charles d'Almeida (L'inter). »

Ambassadeur de SUISSE

SEM. David Vogelsanger: Ambassadeur de Suisse en Côte d'Ivoire

 

L'inter: Excellence, après quatre années de présence en Côte d'Ivoire, quels souvenirs emportez-vous de ce pays?

 

SEM. David Vogelsanger: La Côte d'Ivoire est un pays spécial. Hier soir, (mardi 15 juillet), lors du dîner que le ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, Charles Koffi Diby a offert à mon intention, j'avais déclaré que, dans la carrière d'un diplomate, il est amené à occuper trois sortes de postes. D'abord, des postes prestigieux comme Paris, Londres, Washington, des capitales où se prennent des décisions importantes. Durant ma carrière, j'ai fait Washington et Paris. Il y a ensuite une deuxième catégorie de postes, où on va parce qu'on veut accomplir tout simplement son devoir. Mais, la Côte d'Ivoire, à mon avis et de l'avis de beaucoup d'autres personnes, appartient à une troisième catégorie de pays, où on prend des racines. Les Ivoiriens sont extrêmement accueillants vis-à-vis des étrangers, on se fait des amis très rapidement, ce sont des amitiés solides. Il y a aussi la chaleur de l’accueil des populations dans les villages. Tout cela crée des liens qui ne disparaissent pas avec la fin de la mission d'un ambassadeur. Hier soir (le mardi 15 juillet), à la réception, j'ai dit que j'ai laissé mon cœur en Côte d'Ivoire. Je crois sincèrement que je vais y revenir. J'ai déjà des idées de ce que je vais faire plus tard. Mais, pour l'instant, ma mission d'ambassadeur est terminée. Dans deux mois, mon successeur va arriver.

 

L'inter: Vous êtes arrivé en Côte d'Ivoire en 2010, en pleine crise politique. Comment avez-vous vécu cette période et quelle leçon en tirez-vous?

 

Je suis venu pratiquement avec la crise, j'étais le dernier ambassadeur qui ai présenté ses lettres de créance à l'ex- président Gbagbo. Je suis, si je ne m'abuse, le dernier ambassadeur occidental sous Gbagbo, encore présent en Côte d'Ivoire. J'ai vécu cette crise ensemble avec les Ivoiriens. L'ambassade de Suisse n'a jamais fermé, le personnel n'a jamais été évacué, j'ai toujours été ici dans cette résidence, même quand les combats se déroulaient autour de la maison. Ma résidence était devenue un petit camp de réfugiés. J'y ai accueilli 27 personnes.

 

L'inter: Parmi lesquelles des personnalités politiques?

 

Non, il n'y avait pas de personnalité politique réfugiée chez moi. Il y avait un diplomate japonais qui avait trouvé refuge chez moi. Il y avait la mère, très âgée, d'un général, il y avait aussi les familles de mes employés de maison, qui sont en grande partie des Burkinabé et qui se sentaient très menacés dans leurs quartiers. J'ai accueilli tout ce monde ici. Evidemment, on s’était préparé, on avait fait des provisions, il y avait à manger, à boire. Le fait d'avoir vécu cette crise crée des liens très rapidement. C'était pour moi presque un avantage, parce qu'en un laps de temps, j'ai pu faire de nombreuses connaissances. En temps normal, j'aurais mis au moins deux ans pour le faire. Si vous étiez venu ici juste après la crise, vous auriez aperçu des impacts de balles partout dans la maison. Mais ce n'était pas dirigé contre l'ambassade de Suisse, c'était des balles perdues. Mon souci pendant cette crise, ce n'était pas ma personne, je me préoccupais plus pour les citoyens suisses. On avait évacué certains sur la base française Licorne, en l'occurrence ceux qui étaient dans les quartiers trop exposés. D'autres ont été encouragés à quitter à temps le pays. Je suis extrêmement heureux du fait qu'aucun Suisse n'ait été physiquement victime de cette crise . Aucun n'a été blessé, encore moins mort. Certains ont certes été victimes de pillages, mais il n’y avait jamais eu d'incident irréparable.

 

L'inter: Le processus de réconciliation, tel qu'il se déroule, répond-il aux attentes de votre pays?

 

La question préoccupe tous les ambassadeurs accrédités ici. La Côte d'Ivoire est un pays en paix certes, mais tous les problèmes ne sont pas résolus. Il y a toujours des désaccords politiques majeurs, notamment sur la manière d'organiser les prochaines élections, la Commission électorale indépendante, la question du recensement de la population, la question des documents d'identité. Malgré tout, la Côte d'Ivoire que je quitte dans quelques jours, est bien différente de celle que j'ai trouvée à mon arrivée. « Le pays est aujourd'hui en paix. » Il y a encore, certes de temps en temps des violences, quelques incursions d'assaillants venus de l'extérieur des frontières, mais par rapport à ce que nous avons vécu, ce n'est vraiment rien. « La paix règne aujourd'hui en Côte d'Ivoire et la situation est bien meilleure ici que dans bien d'autres pays africains. » Tous les problèmes ne sont pas pour autant résolus, il y a le problème de la justice. Pendant la récente crise, mais bien avant cela, pendant les quinze dernières années, d'horribles crimes ont été commis et les coupables ne sont pas tous d'un seul côté. C'est un problème qui doit être résolu pour arriver à une réconciliation nationale. Je constate que le gouvernement dialogue avec l'opposition, il n'y a toujours pas d'accord. Vous avez mentionné la CEI, c'est un dossier difficile qu'il faut, à mon avis, résoudre assez rapidement, parce qu'en 2015, il y aura élections. C'est le grand défi. Après une précédente élection chaotique en 2000 et une présidentielle controversée qui a fini dans une catastrophe en 2010, il faut parvenir en 2015 à des élections comme cela se fait dans tous les pays démocratiques du monde. C’est-à-dire on se dispute, ensuite les résultats sont proclamés, on les reconnaît et celui qui a gagné gouverne le pays et le perdant se prépare pour une prochaine échéance…

 

L'inter: Le sort du parc national du Mont Péko ne vous a-t-il pas également préoccupé?

 

Ce qui s'est passé au mont Péko, c'est plus qu'une honte, c'est un crime, parce que les occupants illégaux ont détruit ce parc. Ils ont détruit un patrimoine de la nation. Le président Houphouet-Boigny avait créé une série de parcs nationaux dont celui du Mont Péko. Mais, dès sa mort, la destruction de ces réserves a commencé. Bien entendu, le sort de ce parc national m'a préoccupé depuis mon premier voyage en pleine crise en janvier 2011, à Duékoué. Je suis allé à l'époque dans cette localité, parce qu’il y avait eu des tueries. J'ai passé plusieurs jours à dialoguer avec les différentes communautés ethniques de la région, pour mieux comprendre ce qui s'est passé, mais je suis aussi allé pour apporter de l'aide aux réfugiés. Pendant ce premier voyage, j'ai déjà réalisé que quelque chose de très grave était en train de se passer au Mont Péko. A l'époque, c'était impensable d'y aller. Je suis retourné au mois de mai 2011, après les terribles tueries du quartier Carrefour à Duékoué. A cette occasion, j'ai insisté auprès des autorités pour y aller moi-même, afin de me rendre compte personnellement de la situation. La réponse des autorités était celle-ci: «vous ne pouvez pas y aller, monsieur l'ambassadeur, parce que si nous y allions, vous peut-être, vous pourriez vous en sortir vivant, mais nous, ce n'est pas évident, ils vont nous tuer.» Finalement, je suis allé, mais j'ai su beaucoup plus tard que j'étais le premier et le seul ambassadeur étranger jusqu'à présent, à m'aventurer à l'intérieur de ce parc.

 

L'inter: Aviez- vous rencontré le fameux Amadé Ouérémi?

 

Non, il avait déjà été arrêté. C'était une très bonne nouvelle d'ailleurs, son arrestation. Mais, j'ai vu sa famille, la maison où il a été arrêté, j'ai longuement parlé avec ses proches. J'en suis extrêmement heureux, je l'ai d'ailleurs exprimé au ministre d’État Hamed Bakayoko, que le gouvernement ait pris la décision de mettre fin à cette situation. C'est inadmissible que ces gens essaient de jouer avec le temps, pour obtenir de nouveaux délais avant leur déguerpissement. J'espère que ce nouveau délai ne leur sera pas accordé. Mais, je me rends aussi compte que l'opération n'est pas facile, il ne s'agit pas de quelques personnes isolées. Il y a aujourd'hui à l'intérieur de ce parc, des dizaines de villages et des dizaines de milliers de personnes. Rapatrier les occupants étrangers dans leurs pays d’origine ou renvoyer les nationaux d'où ils sont venus, ne sera pas chose facile. Le gouvernement aura certainement besoin du soutien de la communauté internationale pour mener cette opération. Mais, il faudra nécessairement la mener. La forêt vierge, elle, est détruite, on ne peut plus la reconstituer. Par contre, des experts m'ont rassuré qu' on peut relativement bien reconstituer la réserve pour les animaux. En effet, si on détruit ces plantations de café et de cacao qui ont été faites dans cette réserve, pour laisser la forêt repousser, on peut d'ici à quelques années, retrouver un parc où les animaux peuvent vivre.

 

L'inter: Vous quittez la Côte d'Ivoire à un an de la prochaine présidentielle, que faut-il, selon vous, pour le bon déroulement du scrutin?

 

Il me semble extrêmement important que ces élections remplissent deux conditions. La première, je suis conscient, ce n'est pas chose facile, est que tout le monde accepte les règles du jeu. Ce n'est pas la seule garantie pour la réussite. Souvenez-vous qu'avant les dernières élections présidentielles, tout le monde a accepté les règles du jeu, mais pas après... La deuxième condition, c'est évidemment la reconnaissance des résultats du vote, une fois qu'ils sont connus et proclamés dans les normes par les institutions qui en ont la responsabilité, à savoir la Commission électorale indépendante (Cei), et le Conseil constitutionnel. Il faut que ces résultats soient acceptés par le perdant. Une échéance électorale n'a jamais été la fin d'une vie. Dans nos pays, qui sont de vielles démocraties, nous sommes habitués à ce jeu à l'issue duquel il y a forcément un gagnant et un perdant. On a vu, il y a quelques années, le changement de régime aux Etats-Unis. Il n’y a eu aucune dispute, les Républicains ont perdu, ils ont cédé le pouvoir aux Démocrates. Plus récemment encore, le président français, Nicolas Sarkozy n'a pas été reconduit, il est parti sans discuter. C'est ce qui doit se passer en Côte d'Ivoire. Une élection perdue n'est pas une catastrophe. Nous disons, chez nous en Suisse, «avant l'élection, c'est après l'élection». Cela veut dire qu'on perd ou on gagne. Mais aussitôt, il faut penser aux prochaines élections qui pointent à l'horizon. Lorsqu'on perd, on fait une croix sur cette élection et on œuvre pour gagner la prochaine. C'est cette vie démocratique normale que je souhaite à la Côte d'Ivoire.

 

Un extrait litote de : Interview réalisée par Charles d'Almeida (L'inter).

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