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20 décembre 2014 6 20 /12 /décembre /2014 16:11

DCL-10

 

Soit-dit en passant :de Lepetitfils Da Candy leader de la legitimité citoyenne exilé politique de force

 

(Quand un peuple dort alors que la démocratie est en danger, il se réveille sous la dictature.M-K)

 

Il est impossible de bâtir un vrai état de droit, une vraie démocratie, une vraie république avec des citoyens peu ou pas intéressés à la relation dialectique qui doit exister entre le pouvoir Etatique et le peuple souverain.

 

IL est impossible de bâtir un Etat de droit digne de ce Nom, il est exclu de réclamer une nation souveraine digne de ce Nom, il est illusoire de vouloir installer un Etat républicain de droit digne de ce Nom, avec des citoyens peu ou pas intéressés à la défense des droits du peuple a se faire gouverner librement, sans contrainte par des hommes politiques. Qu’ils choisissent aussi librement sans contrainte au terme des élections démocratiques pluralistes et d’assumer les obligations qui sont les leurs, d’exiger des gouvernants une reddition de comptes des crises sociopolitiques dans le temps. Ainsi il devient inutile de chercher à aller ou à organiser des élections démocratiques pluralistes,  là où derrière une république de façade se cache un système monarchiste absolutiste de fait. Qui cherche à s’appuyer sur une compromission électorale mafieuse, parce que rassuré du soutien  au finish des hommes armés au service d’un absolutisme communautariste criminel en quelque sorte. Dans ce cas, si les citoyens ne se réveillent pas, si les citoyens ne se battent pas, et s’il n’y a pas régulièrement des dénonciations régulatrices, s’il n’y a pas des contestations citoyennes soutenues et s’il n’y a pas de ligues citoyennes majeures « coalition concertée de plusieurs puissances sociales, ou réunion de différents partis» dans la société commune, c’est une démocratie de façade qui s’installe.

 

 * – démocratie de façade parce qu’elle serait fragilisée à l’extrême par le support des hommes armés et par l’élément communautaire, par l’élément tribal, par l’élément ethnique, par l’élément régional, par l’élément religieux et autres systèmes différencialistes.

 

*-Démocratie de façades, parce que la complaisance serait ainsi toujours présente lors du choix des gouvernants fondé sur des intérêts particuliers, égocentriques et mafieux, assis sur les murs diviseurs expressément dressés dans la société commune aux fins de pillages, de défenestration de l’économie, de vols organisés « Hold-up » et pour régner sur un état martyrisé.

 

*-Démocratie de façade, parce que les compromissions électorales mafieuses pour protéger des intérêts aussi mafieux et la corruption à grande échelle « ou la me-gestion généralisée » serait toujours au rendez –vous dans les différents sphères économiques, démocratiques et Etatiques dirigé par le communautarisme criminel soutenu par les hommes armés.

 

*-Démocratie de façade, parce que la politique économique mafieuse du dirigiste pseudo-président de la république lié à telle ou telle puissance économique extérieur prendra toujours auprès de ses puissances économiques extérieures les directives et les mots d’ordres au mépris de l’intérêt général, en contre partie du soutien effectif ou promis qu’il reçoit de celle-ci.

 

*- Démocratie de façade, parce que l’état républicain de droit, l’élection démocratique, le pluralisme électoral resteront un mot creux et le combat pour le développement intégral de la société commune, de tout citoyen et de tout homme demeurerait un simple slogan communautariste criminel.

 

*- Démocratie de façade enfin parce que les libertés fondamentales et les droits élémentaires du citoyen et de toute personne humaine seront toujours loin d’être garantis dans les faits dans notre pays sous la coupe des armes devenues désormais la mesure de valeur sociétale en dépit de l’intelligentsia ivoirienne.

 

Il faut donc se réveiller parce que l’illégitimité et l'éligibilité de, Alassane Ouattara en 2015 qui est de droit est un débat vain sans intérêt, cela ne peut prospérer, d’autant plus que, Alassane Ouattara de par le kidnapping réussi d’avril 2011 a acquis de fait tous les pouvoirs d’un président de la République. Il à acquit ainsi la latitude aujourd’hui de l’utilisation de l’article 48 de la constitution de 2000. Qui il faut le rappeler a permis et a fondé sa candidature en 2010. Oui ! Il est question de se réveiller avant qu’il ne soit trop tard…

 jeunes ivoiriens aux mains nues

Soit-dit en passant: De Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

*****

« Quand un peuple dort alors que la démocratie est en danger, il se réveille sous la dictature. » disait a juste titre Mamadou Koulibaly Président de  LIDER. (Le texte s’y dessus n’est pas de lui, donc ne l’engage pas.)

*****

 

Sur www.dacandylepetitfils.over-blog.com 

 

Sur www.malonnamadou.blog.fr

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15 décembre 2014 1 15 /12 /décembre /2014 17:38

lepetitfils da candy

Lepetitfils Da Candy Leader de la legitimité citoyenne exilé politique de force

 

 

«Les vrais criminels ne sont pas là. Ils sont à Abidjan». 

 

*****

 

Charles Blé Goudé. « A son audience de confirmation des charges désormais confirmées »

 Bensouda au pid OUATTRABlé Goudé

«Les vrais criminels ne sont pas là. Ils sont à Abidjan». « Je ne veux pas être la honte de ma génération » 

 

*- « Si je suis jugé pour ce que j’ai fais et non pour ce que je suis, que je sois reconnu innocent et que je rentre chez moi; et je sais que je vais retourner chez moi » *- « Je ne veux pas être la honte de ma génération, je ne veux pas être la honte de ma famille et de mes enfants. Je suis venu ici et je me considère en mission pour la manifestation de la vérité. » *- « La procureure cherche à faire de moi, celui qu'elle voudrait que je sois, mais que je ne serai jamais, un criminel »*- «Les vrais criminels ne sont pas là. Ils sont à Abidjan». *- « Non, je ne suis pas un anti-français, non je ne suis pas un chef de milices, non je ne suis pas un partisan de la violence, non je ne suis pas un génocidaire. Un jour je suis convaincu qu'il fera jour. » (SANS FAUTE UN JOUR IL FERA JOUR)

 

Charles Blé Goudé. Je ne veux pas être la honte de ma génération…

*****

 

Une génération qui ne demande pas des comptes en disant Oui à la vie, le reste on s’en fout, est une génération perdue. 

 

La génération des enfants des indépendances serait-elle une «génération perdue ou sacrifiée en côte d’ivoire ? Si Oui ! Croisons les bras dans le train d’enfer de, Ouattara en attendant la damnation à vie, mais si au contraire c’est non ! Donc demandons des comptes, c’est le devoir absolu et non négociable de notre génération des enfants des indépendances. « Enfants nés après 1960»

 

Oui ! Face à notre fierté ivoirienne entamée par le pouvoir d’Alassane Ouattara, notre chère patrie la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY est dévalorisée dans le concert des nations par une piètre représentation nationale issue d’un pouvoir ripou. La postérité ne pardonnerait pas ceux qui cautionneront le pouvoir arbitraire de, Alassane Ouattara dans l’accomplissement de son dessein funeste, mortifère, glauque et visqueux de s’appuyer sur les murs diviseurs dans la société commune, de s’adosser sur les différences sociales de la nation une et indivisible, pour régner en maitre absolus comme Charlemagne, sur un état martyrisé programmé pour 2015 pour la côte d’ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.  

 

Tous ensemble, demandons des comptes pour que la ôte d’ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY soit un état de droit et une démocratie réelle dans le concert des nations policées, c’est un devoir absolu et non négociable. Dans notre pays la démocratie réelle doit rester le fondement de la République où la raison doit demeurer le vecteur de l’action politique. Or si l’action politique doit avoir un sens, il y a un moment où, il est important de réfléchir avant d’agir. Notre génération des enfants des indépendances doit réfléchir et agir tous ensemble pour demander une reddition des comptes sociopolitiques en côte d’ivoire depuis le 24 décembre 1999  jusqu’à ce jour.  Chaque génération de citoyens a la lourde tâche d’être gardienne de sa société et de juger de la légalité juridique et démocratique du pouvoir  d’état, de la performance politique de son gouvernement et d’en tirer les conséquences et d’agir au besoin. C’est le devoir et la tache assigner a notre génération des enfants d’indépendance et suivants, sinon et consorts « Enfants nés après 1960 ». Nous n’avons donc d’autre choix que de nous battre tous ensemble. 

 

Une génération qui ne demande pas de comptes en se battant, pour ses droits inaliénables et pour ses libertés fondamentales, une génération qui ne règle pas de comptes des crises sociaux politiques et qui se contente de suivre le courant des mouvements sociaux même naviguant vers un précipice abyssal, sans les infléchir, une génération qui se contente de suivre le sens du vent en politique, est une génération inutile, une génération pour rien et une génération perdue pour elle-même et pour sa patrie. Ce genre de génération est comme un chaînon en bois dans une chaîne de générations en fer, ce chaînon en bois cède un jour ou l’autre pour provoquer la cassure sociale, pour laisse place à l’acculturation sociétale et a la dépravation des mœurs ataviques.  

 

Donc ne soyons pas « enfants des indépendances » une génération de chaînon en bois dans une chaîne de générations en fer. Notre génération des enfants des indépendances doit réfléchir et agir pour demander une reddition des comptes sociopolitiques depuis le 24 décembre 1999 en passant par septembre 2002 à jusqu'à ce jour au pouvoir d’Alassane Ouattara. Chaque génération, de chaque époque, doit être digne de sa société, doit marquer positivement son temps. Donc soyons les dignes représentants des nôtres en défendant les vrais intérêts généraux. À ce jour au compteur du chaos social sempiternel depuis le 24 décembre 1999, nous avons plus de sept milles (7000) morts de citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état.

 duekoue-massacres rebelles

Et pire sous le pouvoir Ouattara, le citoyen épris de paix et de justice, le citoyen aspirant à acquérir un peu de droit et de liberté, le citoyen espérant à un partage équitable des ressources nationales n’a évidemment pas droit de cité. Ce citoyen n’a aucune importance parce que les armes sont devenues la mesure de valeur. Ce citoyen peut être bafoué dans ses droits les plus élémentaires et ne bénéficier de rien dans la gestion des ressources souveraines nationales systématiquement pillées par un clan, on peut alors aller de chaos social et à des crises sempiternelles sciemment entretenues parce que ce citoyen n’à aucune valeur sous ce pouvoir de Ouattara.

 

Ne soyons donc pas la génération de la honte ou la honte d’une génération. Non ! Nous ne le serions jamais ! Parce qu’une génération doit demander des comptes en disant Oui à la vie, le reste elle s’en fout, parce que convaincu qu’un jour il fera jour…

 DCL-10

De Lepetitfils Da Candy  

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12 décembre 2014 5 12 /12 /décembre /2014 15:38

BENSOUDABlé Goudé

Nous n’espérons pas d’une juridiction aux décisions téléguidées prises d’avance par les pouvoirs d’états. Nous n’avons jamais espérer de la cour pénale internationale (CPI) qui est une juridiction politique des vainqueurs de guerres.

Photo-copie-2

Aucune surprise pour nous donc que Charles Blé Goudé a été renvoyé en procès devant une chambre de première instance de la cour pénale internationale (CPI), qui est une juridiction politique, qui prend ses ordres et décisions auprès des pouvoirs d’états persécuteurs. La Chambre préliminaire I de la CPI a confirmé quatre charges de crimes contre l’humanité à son encontre « meurtre, viol, actes inhumains et persécution ». (Sic !) « Mais cela ne ferme pas la porte d’un futur hypothétique abandon des poursuites ou d’une libération »

 

*****

(EXTRAIT du : Communiqué de presse : en date du 11/12/2014 de la CPI. Situation : République de Côte d'Ivoire. Affaire : Le Procureur c. Charles Blé Goudé : Aujourd'hui, le 11 décembre 2014, la Chambre préliminaire I de la Cour pénale internationale (CPI) a confirmé quatre charges de crimes contre l'humanité à l'encontre de Charles Blé Goudé et l'a renvoyé en procès devant une chambre de première instance. La Chambre préliminaire I est composée de la juge Silvia Fernández de Gurmendi (Argentine), juge présidente, de la juge Ekaterina Trendafilova (Bulgarie) et de la juge Christine Van den Wyngaert (Belgique), cette dernière ayant adopté une opinion dissidente.) 

*****

 

 Donc aucune surprise pour des professionnels qui connaissent a la perfection le fonctionnement de ce genre de juridiction politique des vainqueurs de guerre dont la mission première est de faire des procès politique : « Notons ici qu’un procès est dit politique, quand il réunit un État voyou persécuteur, des poursuites judiciaires téléguidées par ce pouvoir de l’état voyou persécuteur, des magistrats serviles ou partisans, des culpabilités incertaines et des condamnations pour l’exemple et/ou pour l’intimidation ». 

 

État voyou persécuteur, parce qu’un état sérieux dans la plénitude de sa souveraineté ne déporte pas ou n’extrade pas ses ressortissants. Donc la cour pénale internationale ne peut exiger des extraditions qu’auprès des États voyous persécuteurs près a déporté ses ressortissants. Parce qu’initiateurs des poursuites judiciaires téléguidées. Un état sérieux ne déporte pas ou n’extrade pas ses ressortissants. C’est pourquoi, Le président soudanais Omar El-Béchir et son ministre de la défense soudanais, Abdelrahim Mohammad Hussein, sont au soudan. C’est pourquoi Seif Al-Islam Kadhafi, fils du défunt guide libyen Mouammar Kadhafi est en Libye. C’est pourquoi, Le président kényan Uhuru Kenyatta et son vice-président kényan William Ruto sont au Kenya. C’est pourquoi, L’ex-président des États-Unis George W. Bush et son ex- vice-président des États-Unis Dick Cheney se moquent des injonctions de la communauté internationale. Ils ne savent pas non plus ce qu’on appelle la cour pénale internationale. Souveraineté étatique oblige… Donc aucune surprise pour nous,  avons-nous dit, parce que toute libération de leaders politiques ivoiriens déportés se fera en côte d’ivoire ou ne se fera jamais…

 

C’est en connaissance de cause que nous ne cessons de dire que si la côte d’ivoire doit sortir de cette sale crise ivoirienne par la voie judiciaire internationale, il faut un tribunal pénal international pour la côte d’ivoire (TPI-CI) de création onusienne (conseil de sécurité avec son siège en côte d’ivoire) pour arriver a l’équité judiciaire dans la répression des crimes commis suite a la guerre déclenchée le 19 septembre 2002 jusqu'à la date de la création de ce tribunal pénal international pour la côte d’ivoire (TPI-CI).  

 

C’est le lieu pour nous de répéter  le même « refrain »  ici: « Tout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire par la parole du/au peuple souverain ou bien tout le monde restera prisonnier et/ou prisonnier en puissance d’une manière ou d’une autre en côte d’ivoire. » « Le chef de l'Etat kényan Uhuru Kenyatta à été libéré à partir du Kenya et par le peuple souverain du Kenya, non seulement par la rétractation massives des témoins qui étaient intéressés, mais aussi en faisant de lui le président de la république du Kenya. Qui le place au dessus de la cour pénale internationale (CPI) conformément au statut de cette juridiction théâtrale. Qui à été ainsi obligé d’abandonner par manque de coopération judiciaires (état souverain oblige) les poursuites contre le chef de l'Etat kényan Uhuru Kenyatta. Parce qu’elle (CPI) dépend entièrement de la coopération judiciaire avec les pouvoirs étatiques et du bon vouloir des tenants des pouvoirs d’états qui les dictent leurs décisions ». C’est classique, la chose se fera en côte d’ivoire ou ne se fera jamais. La seule clé de la crise ivoirienne est « lutter ensemble »

 

Au besoin voir nos analyses concernant la cour pénale internationale (CPI) Sur :

 

Ou sur : www.malonnamadou.blog.fr

 

*****

 CPI-SIEGEbensouda-ouattara
 
 L’intégralité du Communiqué de presse : en date du 11/12/2014 de la CPI 

La Chambre préliminaire I de la CPI renvoie Charles Blé Goudé en procès  
ICC-CPI-20141211-PR1076  
Situation : République de Côte d'Ivoire 
Affaire : Le Procureur c. Charles Blé Goudé 
Aujourd'hui, le 11 décembre 2014, la Chambre préliminaire I de la Cour pénale internationale (CPI) a confirmé quatre charges de crimes contre l'humanité à l'encontre de Charles Blé Goudé et l'a renvoyé en procès devant une chambre de première instance. La Chambre préliminaire I est composée de la juge Silvia Fernández de Gurmendi (Argentine), juge présidente, de la juge Ekaterina Trendafilova (Bulgarie) et de la juge Christine Van den Wyngaert (Belgique), cette dernière ayant adopté une opinion dissidente.

Charles Blé Goudé, né le 1er janvier 1972 à Niagbrahio, Côte d'Ivoire, a été remis à la CPI le 22 mars 2014 par les autorités de la Côte d'Ivoire suite à un mandat d'arrêt délivré par la CPI le 21 décembre 2011. L'audience de confirmation des charges a eu lieu du 29 septembre au 2 octobre 2014.

 

La Chambre a soigneusement examiné tous les éléments de preuve soumis par les parties, qui comprenaient plus de 40 000 pages de preuves documentaires, y compris les déclarations de 134 témoins, et plus de 1 200 éléments audio et vidéo. À la lumière des preuves et observations présentées par les parties et les participants à la procédure, la Chambre préliminaire I a conclu qu'il existait des preuves suffisantes donnant des motifs substantiels de croire que Charles Blé Goudé serait pénalement responsable de quatre chefs de crimes contre l'humanité que constituent le meurtre, le viol, les autres actes inhumains ou – à titre subsidiaire – la tentative de meurtre, et la persécution perpétrés à Abidjan, en Côte d'Ivoire, entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril de 2011 ou vers cette date.

 

M. Blé Goudé aurait engagé sa responsabilité pénale individuelle pour ces crimes contre l'humanité, alternativement en tant que coauteur indirect (article 25-3-a du Statut de Rome) ; ou, en ordonnant, sollicitant ou encourageant la commission de ces crimes (article 25-3-b du Statut) ; ou en apportant son aide, son concours ou toute autre forme d'assistance à la commission de ces crimes (article 25-3-c du Statut) ; ou en contribuant de toute autre manière à la commission de ces crimes (article 25-3-d du Statut).

 

Sous réserve du droit de l'Accusation et de la Défense de demander l'autorisation d'interjeter appel, la Présidence de la CPI constituera une chambre de première instance en temps utile, qui sera en charge du procès.

 

Pour toute information complémentaire, veuillez contacter Fadi El Abdallah, Porte-parole et Chef de l'Unité des affaires publiques, Cour pénale internationale, au +31 (0)70 515-9152 ou +31 (0)6 46448938 ou à l'adresse

 

fadi.el-abdallah@icc-cpi.int..

 

Les activités de la CPI peuvent également être suivies sur YouTube et Twitter)

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29 novembre 2014 6 29 /11 /novembre /2014 15:58

82blolequin-1-copie-1

Côte d’ivoire : Depuis quatre (4) ans, on nous parle d’un développement qui laisse l’homme au bord de la route du progrès.

 

Lepetitfils Da Candy exilé leader de la Légitimité citoyenne politique de force

 DCL-10

« On ne peut pas mettre le feu dans la maison des gens et s’étonner des remontrances de certains membres de cette famille ». L’ivoirien pour rester maitre de son destin doit absolument s’ouvrir un chemin d’avenir dans le béton de la politique sociale communautariste et de la politique économique dirigiste de Alassane Ouattara. Ces politiques uniquement aux service d’un clan et d’une mafia des grands usuriers internationaux qui trônent sur la côte d’ivoire, et qui  excellent dans le vol organisé des ressources étatiques (Hold-up) , la défenestration de l’économie ivoirienne, le pillages des ressources naturelles souveraines, le surendettement éhonté de l’état.

 

L’ivoirien doit absolument résisté pour pouvoir s’ouvrir un chemin d’avenir dans ce béton mafieux de Alassane Ouattara, parce que le ventre est devenu l’essentiel dans l’arène politique ivoirienne pour des esprits confus, tourmentés et rabougris, face à leurs intérêts partisans, égoïstes et égocentriques. Désormais en côte d’ivoire tout les discours politiques admissibles par le pouvoir Ouattara doit commencer par le Nom Alassane Ouattara  et être jalonné et parsemé de refrains  du Nom Alassane Ouattara et se terminé par le Nom Alassane Ouattara.

 

Ne dit-t-on pas : (Qu’en côte d’ivoire, après Dieu c’est Alassane Ouattara ? Ici les prophètes de dieu sont en congé. Que : Ouattara est une véritable chance pour la Côte d’Ivoire ? Ici ses prédécesseurs y compris le mastodonte FELIX HOUPHOUET BOIGNY  n’étaient que des malchances). Ainsi Alassane Ouattara c’est désormais la vérité, tout le reste du peuple ivoirien n’est que mensonge. Alassane Ouattara c’est le bien venu du ciel, tout le reste du peuple ivoirien n’est qu’incarnation du mal. Alassane Ouattara c’est l’envoyé spécial du ciel, face a lui c’est la prosternation, c’est la génuflexion, c’est la courbette, c’est l’inclination, c’est l’auto-aliénation. Ce qui constitue un danger pour la cohésion sociale, pour l’harmonie communautaire, et pour la paix sociale pérenne dans la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

 

Parce que se faisant notre vie sociopolitique, notre vie publique, notre démocratie de demain se bâtiront sur les fausses notoriétés assises sur l’escroquerie morale et intellectuelle. Alors on peut être un zéro pointé et afficher les hautes ambitions étatiques. Or contrairement à la politique du ventre socle du pouvoir Ouattara, on s'engage normalement en politique dans la sphère publique pour faire part de ses analyses, de ses points de vue sur les sujets sociétaux les plus variés ou pour défendre des valeurs sociétales, on gagne avec  ces valeurs sociétales ou on perd avec ces valeurs sociétales. Or depuis quatre ans (4) ans en côte d’ivoire c’est  l’asservissement du peuple par une criminelle politique économique de dirigiste.

 

Rien de concret, le noir, le néant et le vide, pas une seule conception de politique et sociale dans le sens de l’apaisement sociopolitique, pas de mesure de politique économique salvatrice, qui met le citoyen au centre du débat développemental, pas une seule action intelligente, crédible, opportune, novatrice cohérente dans le sens de la réconciliation nationale et dans la recherche de la paix sociale pérenne. Oui ! Depuis quatre (4) ans, on nous parle d’un développement qui laisse l’homme au bord de la route du progrès. Rien de concret, rien que le noir, le néant et le vide…

Oui !  L’ivoirien doit résisté.

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Lepetitfils Da Candy exilé leader de la Légitimité citoyenne politique de force

 

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22 novembre 2014 6 22 /11 /novembre /2014 13:36

(Seul est digne de la vie celui qui chaque jour part pour elle au combat. En politique, la présidence de la république n'est pas un concours de popularité, c'est un combat quotidien pour le peuple. )

lepetitfils -g

  Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force             

 

Critique pian !!!   

 

(Un combat pour la vie, le reste on s’en fout)

 

En politique il convient de distinguer la critique des opinions et celle des personnes pour obvier l’intolérance fondée sur les appartenances sociales et sur les différences communautaires. Donc critiquer les opinions politiques d’autrui et les positions politiques d’autrui tout en respectant sa personne physiques et ses droits inaliénables y compris le droit au libre arbitre, est logique et conforme à la règle du débat démocratique. Dans cette logique le sens possible du mot tolérance politique doit être distingué : la tolérance politique est d’abord un droit : celui pour chacun d’être libre d’exprimer ses opinions, d’exercer ses actions politiques et ses œuvres citoyennes, sans être embastillé, réprimé et/ou censuré, sans craindre le bagne et/ou d’être zigouillé; mais cette liberté fondée sur la tolérance politique n’est pas sans limites ; elle s’arrête où commence le droit ou la liberté politiques des autres, y compris le droit et la liberté pour les autres de faire le constat sourcilleux, sans excès, sans dramatisation, avec constance, des actions politiques mafieuse et les credo-politique compromissoire qui portent en eux-mêmes, les germes des crises sociales sempiternelles, des violences de masses et de la guerre civile, comme les muées portent l’orage: Ainsi il est nécessaire de faire la critique au nom de la vérité, rien que la vérité, tout pour la vérité désintéressée.

 

Cette critique est donc, soit scientifique (ordre de la connaissance) soit philosophique (ordre de l’éthique) : mais dans l’un et l’autre cas elle est indispensable à l’amélioration de la qualité des relations entre les personnes, à l’harmonie entre les groupes sociaux et à la concorde civile entre les peuples de par le monde. Cette critique vise donc à l’amélioration de l’harmonie communautaire, à la stabilité de la société commune est nécessaire et doit être tolérée en politique. Contrairement à ce que prétendent d’autres politicards carriéristes, la critique rationnelle est donc le contraire d’un manque de respect : elle met l’autre en position de s’interroger sur la valeur sociétale de ses opinions politiques, de ses positions politiques, de ses actes politiques, dans la conduite des affaires publiques de l’état ou l’intérêt général doit prévaloir sur les appétits carriéristes et sur les intérêts personnels, égoïstes, et égocentriques. Conduite des affaires publiques de l’état ou l’on décide de la vie de la totalité sociale. Donc il est constant qu’en obligeant par la critique au nom de la vérité, l’autre à faire appel à la raison et à la science, elle l’incite à devenir plus raisonnable, plus conscient, plus conséquent. C’est pourquoi, ce qui fait la valeur d’un homme politique, c’est sa capacité à l’autocritique, à la contrition, donc à se remettre en cause, dans ses opinions, dans ses actes et dans ses désirs subjectifs. Parce que la liberté de penser n’est pas la liberté de s’enfermer dans des illusions dérisoires, mais dans la capacité de les surmonter par le dialogue critique inclusif avec les autres acteurs politiques et avec soi. Même détenteur du pouvoir d’état.

 

Critiquer les opinions d’autrui par le questionnement rationnel, et le raisonnement déductive est donc le reconnaître comme digne de penser librement, c’est à dire rationnellement et raisonnablement. C’est aussi le reconnaitre comme différent et l’admettre comme son égal en droit et devoir. Donc est au contraire, signe de mépris, le refus de discuter en politique, avec les autres hommes politiques et embastiller des honnêtes citoyens: Le refus de la critique politique et du consensus politique, interdit tout dialogue politique inclusif. Or celui-ci est nécessaire pour que la pensée de chacun progresse et se libère des opinions toutes faites qui soumettent sa capacité de pensée à des illusions dangereuses, l’interdisent de penser librement par soi-même.

 

C’est pourquoi la critique rationnelle fondée sur des raisonnements logiques cohérents, des idées et des opinions est le seul moyen d’obvier les germes des crises sociales sempiternelles, des violences de masses, de la guerre civile et d’éviter les dérives d’un pouvoir étatique dictatorial : Donc retenons ici citoyen ! Qu’en politique le scepticisme vis-à-vis de nos propres opinions nous préserve de l’intolérance ; or ce scepticisme passe par le dialogue inclusif avec autrui et l’acceptation des critiques rationnellement argumentées qu’il peut nous faire pour arriver au consensus politique dans la paix sociale.  

 

Donc Contrairement à ce que prétend d’autres, la critique rationnelle est le contraire d’un manque de respect. Critiquer pian !!!

 

(Un combat pour la vie, le reste on s’en fout)

 lepetitfils da candy

De Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force        

 

(Lire la Chronique précédente)

 

 Voir: www.malonnamadou.blog.fr

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 13:16

lepetitfils da candy

Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

(La force et la faiblesse des dictateurs est d'avoir fait un pacte avec le désespoir des peuples. Le peuple ivoirien doit espérer. L'espérance est une détermination héroïque de l'âme, et sa plus haute forme est le désespoir surmonté. Donc espérer c’est résister ici et maintenant.)

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« L’ivoirien pour être maitre de son destin ne doit jamais oublier, que tout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire par la parole du/au peuple souverain ou bien tout le monde restera prisonnier et/ou prisonnier en puissance d’une manière ou d’une autre en côte d’ivoire. » 

 

Le  peuple souverain de côte d’ivoire doit résister à l’arbitraire de non-droit et à la dictature « Soulignons résister aux arbitraires de non-droit de la dictature ». Parce que, les secousses ponctuelles, extatiques, protestataires, passagères et périodiques vident les luttes citoyennes pour le droit, la liberté et la démocratie de toutes leurs énergies et pire elles vident le peuple de son sang. Seules les luttes soutenues, synergiques, rationnelles, cohérentes, constantes, régulières de droit et pour le droit dans le temps et dans toute l’assiette territoriale nationale aboutissent à la libération d’un peuple par l’espérance. L’espérance c’est le désespoir surmonté, espérer c’est résister dans ses droits, avec ses droits, pour ses droits et le peuple souverain de côte d’ivoire doit résister.

 

Le  peuple souverain de côte d’ivoire doit résister à l’arbitraire de non-droit et à la dictature. Parce que la résistance d’un peuple qui consiste à refuser un état de fait, une autorité de fait et une situation de non-droit qui est en violation flagrante des lois que l'humanité s'est donner. Cette attitude de résistance dans la non-violence, n’a de sens que par rapport à une situation oppressive de non-droit. Qui comporte des contraintes préjudiciables aux droits des citoyens et l’aliénation de leurs libertés qui de manière raisonnée ou non, ne leur conviennent pas. Donc, Résister dans la non-violence contre une autorité de fait, c’est non seulement refuser de se soumettre au non-droit d’un pouvoir oppresseur, mais aussi en contester son principe d’accession au pouvoir et de gouvernement ou mêmes les formes d’exercice arbitraire et d’existence dictatoriale de ce pouvoir.

 

Le peuple souverain de côte d’ivoire doit résister à l’arbitraire de non-droit et à la dictature .Parce que, un  peuple n’a pas le droit de se résigner ou céder au fatalisme face à l’arbitraire, la résignation à se soumettre, le fatalisme à accepter passivement l’aliénation de ses droits universels pourtant inaliénables, sans protester intelligemment, sans réaction citoyenne, donc à renoncer à ce qu’on a droit, en droit, à ce qu’on aurait préféré de droit, à se faire une raison sur son avenir personnel, sur le destin commun, à abandonner sa liberté individuelle, à subordonner son libre arbitre à une volonté dictatoriale et s’assujettir à un pouvoir oppresseur et méprisant, se résigner donc devant la dictature et accepter le fatalisme face a l’arbitraire. C’est donc s’incliner avec ses droits devant l’oppression dictatoriale et arbitraire du non-droit rendu ainsi maitre du destin de tous. C’est s’abandonner à la fatalité autodestructive devant l’oppression dictatoriale et arbitraire qu’on peut loyalement combattre. C’est se soumettre à la dictature de l’arbitraire au lieu de se battre contre. C’est s’en remettre à la dictature de l’arbitraire au lieu de le combattre, pour qu’il décider du destin commun que le peuple peut maitriser sans lui et de l’avenir individuel que chaque citoyen peut maitriser sans lui.

 

Donc raisonnée ou pas, consentie ou forcée, la résignation face a la dictature de l’arbitraire du non-droit, céder au fatalisme face l’oppression, implique toujours de renoncer à ce qu’on a droit, de droit et en droit et qu’on aurait préféré à un souhait rendu impossible par l’oppression de la dictature et de l’arbitraire, ce à quoi on se résigne.

 

Oui !!!  Le  peuple souverain de côte d’ivoire doit résister à l’arbitraire de non-droit et à la dictature. « Soulignons ici le non-droit de la dictature », face à l’oppression de la dictature et de l’arbitraire. Nous « peuples du monde » sommes tous engagés dans une traversée similaire de par le monde. Donc il faut résister, résister et résister à l’oppression de la dictature et de l’arbitraire de, Alassane Ouattara qui trône sur la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. « Quand les gouvernants violent les droits du peuple, la ligue est pour le peuple ou pour toute partie du peuple, le plus élémentaire des droits et le plus sacré des devoirs ». A vos ligues citoyennes, ivoiriens ! A vos ligues  peuple souverain de côte d’ivoire ultime détenteur du pouvoir d’état.

 jeunes ivoiriens aux mains nues

« Pour rester maitre de notre destin, nous ne devons pas oublions, quetout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire par la parole du/au peuple souverain ou bien tout le monde restera prisonnier et/ou prisonnier en puissance d’une manière ou d’une autre en côte d’ivoire. » Que la nature protège la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY

 

(Bonne fin de semaine a tous)

 

Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 DCL-10

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8 novembre 2014 6 08 /11 /novembre /2014 13:31

lepetitfils da candy

DE : Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

Quand  les hommes politiques taxés de pro-GBAGBO sont embastillés pour leurs appartenances politiques « des hommes politiques de l’opposition significative » dans ces conditions peut-on dès lors parler de démocratie, de pluralisme politique ou d’organisation d’élection démocratique et d’état républicain de droit en Côte d’ivoire ? Evidemment non !!! La pratique de persécutions politiques sous couverture des poursuites judiciaires ciblées contredit les fanfaronnades d’autosatisfaction sur la stabilité sociopolitique. Donc il ya un seul postulat qui s’impose aux ivoiriens aujourd’hui : c’est dans un tous ensemble salvateur, que les ivoiriens seront capable de faire pièces a cet arbitraire dictatorial, du système économique dirigiste de Alassane Ouattara. Oui !!! C’est parce qu’il y a le feu à la maison, que nous devons refuser l’enfermement sectaire et partisan, les replis communautaristes et idéologiques, que nous devons privilégier l’union de tous, dans la reconquête de la stabilité sociopolitique et de la paix pérenne en côte d’ivoire.

 

Oui !!! C’est parce que la vérité est citoyenne, que nous devons poursuivre contre vents et marrées, notre combat contre l’arbitraire dictatorial d’un communautarisme de rattrapage malsain. Contre la politique glauque d’un dirigisme économique criminelle, qui exsangue la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Cette politique économique de dirigisme criminelle, mafieuse, soutenue par les mensonges éhontés d’états, sur le développement économico-social, en espérant occulter les interpénétrations de la politique et les affaires mafieuses. Avec pour unique objet les pillages des ressources naturelles souveraines de la côte d’ivoire et la défenestration de l’économie ivoirienne, en-un-mot, le vol a mains armées organisé « Hold-up ». Le tout au terme d’une politique obscurantiste criminelle, qui voit les atteintes à la sureté de l’état partout, des miliciens dans tous les citoyens, même dans des magistrats hors de tous soupçons, excellant ainsi dans les plantages de couteux dans le dos des honnêtes citoyens. Ce qui a pour conséquence, la déchirure du tissu national, la fracture des liens sociaux, la fragilisation du cordon de la nation une et indivisible, la fissure de la solidarité diverse, la balkanisation sociopolitique de l’État en segments ethno-communautaires, qui peut conduire à la désagrégation de la totalité sociale.  

 ado- les morts sont morts yafohi

Or il est constant que, embastiller les hommes politiques pour leurs appartenances politiques, dans une démocratie et dans un état en crise ne résoudra rien. C’est pourquoi, attaché à notre dignité, à nos droits inaliénables, à nos libertés fondamentales, à notre indépendance individuelle, à notre libre arbitre, nous devons être capables de reconquérir la stabilité sociopolitique et la paix pérenne. Donc de lutter tous ensemble ou périr chacun cloitré dans son coin et derrière son égo. C’est de cela qu’il s’agit citoyen et c’est cela le seul postulat avant qu’il ne soit trop tard. « Ne dit-on pas qu’il n’y a point de déshonneur pour celui qui sait mourir ? » Oui !!! Tous ensemble parce que, la côte d’ivoire ne doit pas entrer ou ne doit pas se plaire dans une chambre a gaz de la dictature du dirigisme économique préconstruite par Alassane Ouattara.  Non !!! L’ivoirien ne doit pas accepter ou ne doit pas se plaire d’être enfermer dans une prison de morts programmé par la dictature du système dirigiste criminel de Alassane Ouattara, soutenu par un communautarisme de rattrapage comme socle politique.

 

C’est donc dans l’union de tous, ne cessons-nous de répéter « un tous ensemble salvateur et fédérateur pour être maitre de son destin» que les ivoiriens côtes-à-côtes et coudes-à-coudes seront capable de faire pièces a cette dictature, du système dirigiste criminel de Alassane Ouattara soutenu par un communautarisme de rattrapage comme socle politique. Pour lequel communautarisme de rattrapage, la  différence de vue, d’idée, de position, se traduit en termes d’appartenance communautaire, de supériorité ou d’infériorité, de richesse ou de pauvreté. Donc une  société obligatoirement manichéenne, différencialiste, balkanique, d’où il y a le parti du bien, et le parti du mal, les supérieurs et les inferieurs, les riches et les pauvres. Pour qu’il existe socio-politiquement et prospère économiquement grâce au pillage des ressources naturelles souveraines de la côte d’ivoire « Or, Diamant, Bois, Terres et autres » et la défenestration de l’économie ivoirienne par l’application systématique dune politique économique de dirigisme criminelle. Voilà toute la nécessité pour les ivoiriens du : côtes-à-côtes et coudes-à-coudes dans un tous ensemble, tient à l’évidence que : c’est à partir des personnes que se construit l’avenir, c’est à partir de la solidarité des personnes que se bâtit la nation et la réalité quotidienne de chacun, c’est à partir de la société civile harmonieuse que s’exerce de fait une prise de pouvoir à travers des actions concrètes, concertés, synergiques, par  la progressive unification des différents combats sectoriels pour la Vie, pour l’homme et pour la liberté dans la dignité. 

 

C’est pourquoi pour rester maitre de notre destin, nous ne devons pas oublions, que tout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire par la parole du/au peuple souverain ou bien tout le monde restera prisonnier et/ou prisonnier en puissance d’une manière ou d’une autre en côte d’ivoire. 

 

Donc : Tous ensembles ou périr chacun cloitré dans son coin et derrière son égo, il n’y a d’autres postulats …

 lepetitfils da candy

Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

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7 novembre 2014 5 07 /11 /novembre /2014 19:27

l'autriche-----------paneauautruche politique---1--

Etre capable de s’élever au dessus de toutes les contingences quelles qu’elles soient pour dire non à la politique de l'autruche

 

 (Tous ensemble ou périr chacun de son côté, cloitré dans son coin, derrière son égo.)

 D-Lepetitfils

Lepetitfils Da Candy  leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force ;

 

Chemin faisant et de façon litote:

 

Un homme politique et partant un homme public ne saurait se taire tant que l’essentiel sociétal est en jeu. Aussi tout comme la boxe, la politique est un noble art. Donc l’arène politique loin d’être le théâtre des fanfaronnades insensées est le noble lieu des débats d’idées, des confrontations d’arguments, des combats loyaux. Ou le politique doit s’inscrire réellement dans une démarche d’éveil de la conscience politique des citoyens. Un politique digne de ce Nom doit tout simplement pouvoir dire non à la politique de l'autruche et savoir lire entre les lignes. Un politique doit s’efforcer de connaître avec certitude la réalité scientifique des choses et se montrer juste dans l'appréciation des justes réalités des choses. En se comportant et en agissant a la limite d’humainement admissible. Donc la politique, c'est l'art de rendre possible ce qui est nécessaire. La politique c’est la juste appréciation des réalités du moment en s’oubliant soi même et ses intérêts personnels, au terme de ses prises de positions politiques et sociétales, qui doivent bannir tout comportement de club de soutien ou de brigades d’acclamations. Donc dans un débat, quand il y a une similarité entre deux (2) sujets, pour parler de l’un, objet du débat, on fait attention aux effets secondaires ou collatéraux de ses dires sur l’autre en instance non concerné par le débat. « Au proverbe Africain dit que : le danseur ne doit pas oublier qu’il est observé par une autre danse ». Le discours de politiques aveugles, fanatiques déraisonnés aux yeux bandés sont contre-productifs et conduisent lamentablement dans un précipice abyssal. Aussi en politique la déchirure tout comme l’orgueil mène dans le mur.

 

(Tout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire par la parole du/au peuple souverain ou bien tout le monde restera prisonnier et/ou prisonnier en puissance d’une manière ou d’une autre en côte d’ivoire.) 

Un autre Avis litote: (Débat & chroniques)

 

« On peut bien admettre qu’un politique professionnel a ses moments de passion, ses instincts de tueur, ses dérives de règlements de comptes. Mais quelle image du politique veut-il transmettre au citoyen ? L’idée de la politique que nous nous faisons, vous et moi, elle est belle, elle est grande, elle est noble. Certes, les organisations humaines, les hommes eux-mêmes sont imparfaits. Mais, au-delà de ce constat, il y a l’engagement politique, et je répète qu’il est noble. Sa noblesse, elle est d’abord dans le service des autres. Elle est aussi dans le combat pour des valeurs et pour des idéaux. Or, ce qui me préoccupe le plus, c’est qu’une fois encore, à la veille d’échéances électorales, les fossoyeurs de tous bords tenteront de tirer la politique vers le bas en espérant produire des citoyens qui voteront demain avec leurs pieds.» (Débat et Chronique)

 

autruche politique---1-- l'autriche-----------paneau

Les autruches s'enfouissent la tête dans le sable lorsqu'elles ont peur face a un danger réel, ce qui leur évite de voir ce qui les menace réellement. La politique de l'autruche" signifie donc que l'on refuse de voir le danger, la raison, la vérité  là où ils sont.

 DCL-10

Lepetitfils Da Candy  leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force 

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30 octobre 2014 4 30 /10 /octobre /2014 12:34

ado- les morts sont morts yafohigouv-ducan

Un état voyou, un état paria, un état policier. Un gouvernement voyou, inconséquent et inconscient aux yeux des textes statutaires de la CPI. C’est ça la vérité !!!

 

(Statut de Rome de la Cour pénale internationale

 

*- Dixième alinéa du préambule, soulignant : que la cour pénale internationale dont le présent Statut porte création est complémentaire des juridictions pénales nationales,

 

*- Article premier.  la CPI est complémentaire des juridictions criminelles nationales.

 

*- Article 17 : Eu égard au dixième alinéa du préambule et à l'article premier une affaire est jugée irrecevable par la Cour lorsque: L’affaire fait l'objet d'une enquête ou de poursuites de la part d'un État ayant compétence en l'espèce.)

 

(Donc une question pertinente: si les juges ivoiriens, des tribunaux ivoiriens, qui sont prioritaire en l’espèce ont engagé des poursuites judiciaires, dont la phase d’enquête est close, pour s’ouvrir sur la phase du procès devant la cour d’assise, concernant les mêmes faits criminels allégués et incriminés et qui ont la même compétence dit-t-on que ceux de la cour pénale internationale (CPI). Pourquoi veut-t-on donc faire jugé des ressortissants ivoiriens déportés a la Haye au Pays-Bas par la cour pénale internationale au mépris ainsi des prescriptions du statut juridique de la cour pénale internationale (CPI) elle-même ? (*- Dixième alinéa du préambule. *- Article premier. *- Article 17). Aussi en dépit de la souveraineté absolue de tout état souverain, notamment l’état de côte d’ivoire de jugé sans interférence extérieure aucune ses ressortissants ? Ce principe est du droit international coutumier, le droit, des droits. Et aussi au regard de la connexité des liens de causalités des faits criminels allégués et incriminés, une connexité plus que certaine parce que, imbriqués et rafistolés dans leurs fondements juridiques objet des deux procédures judiciaires pendantes devant les deux juridictions, dont les liens juridiques statutaires proscrivent tout antagonisme procédural et prescrivent la complémentarité comme règle de fonctionnement non-dualiste ? (Dixième alinéa du préambule. Article premier et Article 17 du statut de Rome).

 

Donc encore question : Au terme même des textes statutaires de la CPI, l’état de côte d’ivoire, en déportant des ivoiriens a la cour pénale internationale pour y être jugé, n’est-t-il pas devenu implicitement et conséquemment un état voyou, un état paria, un état policier, gouverné par des politicards voyous, inconséquents et inconscients ? Puisqu’il  est constant que la compétence de la CPI est subsidiaire et ne s’exerce que si l’Etat concerné ne met pas en œuvre sa propre compétence pénale, donc saisir la Cour pénale internationale (CPI) est en soi une critique de l’Etat, un recours en carence implicite de l’Etat, puisque cette saisine de la Cour pénale internationale (CPI) signifie que l’Etats n’a pas agi comme il aurait dû le faire. L’existence de la Cour pénale internationale (CPI) n’est pas seulement une prothèse qui vient réparer une lacune objective de la compétence pénale. Elle est un mécanisme substitutif dont la mise en œuvre accuse le défaut subjectif du fonctionnement des services judiciaires de l’Etat. Donc derrière chaque procès individuel organisé par la Cour pénale internationale (CPI), on trouvera en filigrane le procès de carences étatiques. L’Etat qui accepte cette compétence a en quelque sorte intériorisé son insuffisance et accepté sa défaite, sa défaillance. Parce que la cour pénale internationale (CPI) est un tribunal compétent uniquement en cas de défaillance du système judiciaire national. Donc dans ses conditions, indexé un état voyou, un état paria, un état policier, gouverné par des politicards voyous, inconséquent et inconscient n’est faire des injures a qui que ce soit, cela  est un constat irréfragable qui résulte d’une réalité manifeste. Tant que l’état de côte d’ivoire aura recours a la Cour pénale internationale (CPI) pour jugé ses propres ressortissants ivoiriens, il s’avérera implicitement aux yeux du monde comme un état voyou, un état paria, un état policier, gouverné par des politicards voyous, inconséquent et inconscient. C’est aussi simple que ça…

DCL-10 

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25 octobre 2014 6 25 /10 /octobre /2014 13:27

Bensouda au pid OUATTRAduekoue-massacres rebelles

Donc a une crise politique, une solution politique.

 DCL-10

Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

Article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr 

 

 « Vérité-Réconciliation-Réparation ». 

 

A une crise politique, une solution politique, « Vérité-Réconciliation-Réparation » c’est ce qui est la règle. « On ne soigne pas un profond coma en ingurgitant de la sucrerie. On ne soigne pas non plus le palu avec du sucre. Il faut plus amère que ça. » Que l’on ne compte pas sur nous donc, pour desserrer notre mâchoire sur l’essentiel au moment qu’il est en jeu. L’essentiel ici c’est l’ordre social, c’est l’harmonie communautaire, c’est la stabilité sociopolitique et c’est la paix pérenne.

 

A défaut du principe universel de: A une crise politique, une solution politique a la totalité de la crise ivoirienne, du 24 décembre 1999 a ce jour, principe qui demeure la règle en l’espèce. C'est-à-dire un processus de Vérité-Réconciliation-Réparation, couronné par une Amnistie générale référendaire, s’impose comme solution à la crise sociale aiguë de la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Cette option est assise sur cet autre principe universel du lien social qui est éminemment politique et la politique n’est pas soluble dans le droit a plus forte raison dans des procédures judiciaires effrénées et inconséquentes. La côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY est une compilation de soixante (60) Ethnies, donc de soixante (60) différences solidaires, rafistolées dans des grands groupes sociaux. D’où a une crise politique, une solution politique.

 

A défaut donc, de cette nécessité absolue d’ordre social, d’ordre public, d’intérêt général, de se référé au peuple souverain avons-nous toujours dit. Il importe non seulement que la justice soit juste, dans la répression des crimes commis pendant la crise ivoirienne résultante d’une guerre d’agression, mais encore que la justice paraisse juste aux yeux des justiciables ivoiriens dans son ensemble et les victimes de guerres toutes catégories confondues en particulier. « On ne soigne pas un profond coma en ingurgitant de la sucrerie ».

 gbagbo bedie ouattara

Donc nous soutenons toujours, qu’il faut absolument un tribunal pénal international de création onusienne (conseil de sécurité) pour être digne de la justice pénale internationale, garante de la paix internationale par le combat contre l'impunité : qui permettra de substituer une répression publique à la vengeance privée et au règlement de compte politique sempiternel sous couverture judiciaire, d’éviter une loi du talion indéfinie dans le temps et la contagion du désordre social, d’apaiser les esprits par une justice adéquate, indépendante, objective, impartiale, d’associer l’ordre social et la justice judiciaire, de créer une société policée et non la compétition indéfinie des frustrations individuelles ou claniques, en bref d’établir un état social au lieu d’un état de nature. Pour parer ainsi aux carences statutaires de la cour pénale internationale, qui s’est auto-disqualifiée par sa poursuite sélective dans la crise ivoirienne. C’est notre position…

 

Mais malgré cette nécessité par défaut, « soulignons par défaut » la solution politique et civile demeure de loin la règle en l’espèce, qui s’impose a nous donc comme préférence. A une crise politique, une solution politique est la règle universelle. « On ne soigne pas le palu avec du sucre, il faut plus amère que ça ».

RHDP---OK 

C’est pourquoi, nous avons toujours dit et répéter que : Tout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire par la parole du/au peuple souverain ou bien tout le monde restera prisonnier et/ou prisonnier en puissance d’une manière ou d’une autre en côte d’ivoire. Dans un temps ou dans un autre, devant un tribunal pénal international ou devant la fameuse cour pénale internationale, dont les prescriptions statutaire le permettent. Les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles. À une crise politique, une solution politique avons-nous… « Bonne Fin de semaine a tous »

 

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 daclef-2

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