Une chronique de : Lepetitfils Da Candy, Leader de la légitimité citoyenne en exil.
*- La goutte d’eau continue.
Il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Si l’ivoirien n’arrête pas la dynamique démoniaque du pouvoir de, Alassane Ouattara en 2015, le pire reste à venir pour le peuple ivoirien. Parce que le pouvoir de, Alassane Ouattara né d’une guerre d’agression et nourri par l’entretien sciemment de la crise sociale, donc en sempiternelle crise sociopolitique ne peut générer que des crises de toutes sortes, jusqu’au jour ou il fera jour. Oui, un pouvoir d’état fut-il par les armes ne peut exister seulement que par la dictature, par l’autoritarisme, par l’arbitraire aveugle, en justifier son existence et tout ses travers politique d’animosité que par la simple nécessité d’entretenir sciemment les crises sociopolitiques. Pour avoir des alibis et des paravents justificatifs pour persécuté les opposants et les citoyens non-soumis, a fin de conservation de FAIT du pouvoir d’état. Donc à défaut de légalité juridique du pouvoir d’état et de consensus politique autour de la chose publique, il n’y a d’autre solution que de lutter tous ensemble pour le CHANGEMENT sociopolitique dans notre pays, la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, d’une manière ou d’une autre y compris dans les urnes électorales. Donc une lutte synergique dans un, Ni Héro comme ZORO, Ni Brave-tchê, mais le peuple souverain détenteur ultime du pouvoir d’état, convaincu, persuadé et déterminé aux mains nues à prendre son destin en main, sous la lumière des gyroscopes du CHANGEMENT est la seule solution pour la côte d’ivoire. Avons-nous toujours dit et répété
*- Ivoirien ! Il nous faut maintenant montrer notre capacité à faire bouger les lignes sociopolitiques
« Il nous faut (ivoirien) une véritable révolution, pour préservé la côte d’ivoire du chaos social total, la côte d’ivoire offre aujourd’hui le visage d’un pays à la dérive, un pays qui présente rien qui soit porteur de lendemain qui chantent pas même pour les ennemis des ivoiriens ». Oui, lutter tous ensembles, ne n’oublions pas, les sociétés humaines progressent non pas de façon linéaire en ligne continue, mais par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre, ceci est valable pour la société ivoirienne. Donc si nous devons être crédibles aux yeux du monde, il nous faut absolument, pour une fois taire nos querelles personnelles, arrêter nos divisions internes, placarder nos brouilles de leadership, pour montrer notre capacité à faire bouger les lignes sociopolitiques en côte d’ivoire d’une manière ou d’une autre, s’il le faut dans la rue opposante consensuelle et équilibriste critique ou dans les urnes « transparentes » électorales pour changer la côte d’ivoire. La lutte individuelle de chacun pour la conquête du pouvoir d’état, ne doit pas altéré les exigences citoyennes, de défense de l’intérêt général, de combat démocratique, de vérité citoyenne, de lucidité politique, d’objectivité dans la lutte et de courage dans l’action politique dans notre pays la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Il nous faut faire à tout prix bouger la côte d’ivoire, au prix que cela mérite, d’ou aucun sacrifice n’est trop grand. Il nous faut être de toutes les luttes légales, ne pas céder un seul pouce de terrain de nos droits, de nos libertés et de nos devoirs, face à la dictature de, Alassane Ouattara, ne jamais être gagné par la résignation ambiante autodestructrice. Oui ! Quand on marche vers un objet ou un but que l’on désire, il faut premièrement que l’on y veuille aller a tout prix, en second lieu que l’on soit disposer à tout faire pour se donner les moyens pour que ses pieds l’y porte. Donc se principe ou cette maxime édicte que, qu’un paralytique veuille courir, qu’un homme agile ne veuille pas courir, tous deux resteront en place. Donc notre vouloir de changer la côte d’ivoire, doit être accompagné par l’action citoyenne soutenue. Disons ici, Bravo à l’intelligentsia ivoirienne peuplé en parti de Francs-tireurs pour l’œuvre déjà accomplie.
*- Il y a quelque chose qui ne va pas dans l’écologie mentale du pouvoir de, Alassane Ouattara.
En effet, face à l’arbitraire du pouvoir dictatorial de, Alassane Ouattara, si aujourd’hui l’ivoirien se permet de démissionner, la société ivoirienne continuera pour autant de changer en s’acculturant et changera ainsi jusqu’à la déculturation, malgré cette démission de l’ivoirien. Oui ! La société ivoirienne changera dans le sens désiré par ceux qui s’y investiront eux, le plus de volonté, d’engagement, de fanatisme ou de rage et même de haine de l’autre, n’est-ce pas ce qui commence à se passer aujourd’hui sous nos yeux avec le pouvoir de Alassane Ouattara ? Évidemment oui ! Et c’est tout le sens de ; « je rêve de faire de la côte d’ivoire une Amérique et forger un Ivoirien nouveau Américanisé ». Eh bien Oui, vous avez bien entendu, le coupé-cloué d’une Amérique avec toutes ses mœurs transplantées au cœur de L’Afrique de l’ouest et sur la terre de nos ancêtres en côte d’ivoire. Non ! Il y a quelque chose qui ne va pas dans l’écologie mentale du pouvoir de, Alassane Ouattara. « Alassane Ouattara n’a jamais collé la paix à la Côte d’Ivoire depuis 93». Notre côte d’ivoire, la côte d’ivoire d’Afrique doit rester elle-même et rester fière de son identité socioculturelle dans le concert des nations. Un peuple qui ne va pas à la rencontre des autres peuples du monde avec son identité socioculturelle dans le concert des nations et dans le respect des différences est un peuple sans racine, un peuple perdu pour lui et un peuple perdu pour son continent. C’est pourquoi nous disons Non ! La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, la côte d’ivoire d’Africaine ne se perdra jamais dans les mœurs Américaines, de par la volonté de, nous ne savons de quel Américain ou de quel Américanisme d’alpiniste politique notoire? Elle « la côte d’ivoire » restera elle-même dans le concert des nations. Félix Houphouët Boigny et ses suivants ont éduqués, formés des gens pour que ça soit ainsi, ce dont contre quoi un habile et pauvre opportuniste Américanophile hybride ne peut rien.
*- Notre combat essentiel doit être un combat légal et loyal en faveur des droits bafoués, des libertés aliénées.
C’est pourquoi l’ivoirien doit bien regarder son pays à la lumière des années, FELIX HOUPHOUET BOIGNY, HENRI KONAN BEDIE et avant le déclenchement de la guerre d’agression en septembre 2002, pour mesurer le degré de dénaturation des mœurs sociétale, d’acculturation sociale, de la dégénérescence de la totalité sociopolitique et d’instruire les jeunes majeurs à la lumière de la politique de paix de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. « Ouattara a gâté le pays et il faut le reconstruire. Il y a eu trop de morts, trop de frustrations et d’emprisonnements». Oui ! Parti du pas une seule goutte de sang humain versée sur le sol ivoirien, sous FELIX HOUPHOUET BOIGNY, nous sommes aujourd’hui à sept milles (7000) morts de citoyens zigouillés par un carriériste pathologique, comme rien était, du normal quoi ! Chaque jour nous reculons d’un nouveau cran sur tous les plans, de droits, de libertés, de démocratie, d’harmonie communautaire. De par nos divisions mercantilistes internes, sources de notre inertie dans le combat politique, et notre passivité dans l’action de lutte synergique, chaque jour nous défaisons un nouveau pas de ce que construisirent nos devanciers FELIX HOUPHOUET BOIGNY en tête vers la paix Houphouetienne, qui justement voulaient une société ivoirienne harmonieuse, solidaire, stable, prospère, fraternelle et de paix. Aujourd’hui notre combat essentiel doit être un combat légal et loyal en faveur des droits bafoués, des libertés aliénées, de la démocratie piétinée. Surtout d’une véritable démocratie ou tous les changements sociopolitiques seront possibles, mais dans l’ordre y compris juridique.
*- Ne pas laisser le soin de déterminer la nature du changement à la force de régression sociale qu’est le pouvoir Ouattara.
Certes les ivoiriens sont d’une école politique « Houphouetienne » de non-violence, mais n’empêche l’ivoirien est d’une culture de combat politique loyal et de lutte citoyenne légale au risque de sa vie, « Laurent GBAGBO en est l’incarnation. Et les enfants de l’indépendance n’en sont que des légitimes successeurs endurcis». Aussi ne l’oublions pas, les sociétés se débarrassent ou se libèrent d’une dictature, d’un despote, de la tyrannie, du non droit, de l’illégal, de l’illégitime, du fascisme et de l’arbitraire, qu’en donnant une réponse docte, experte, scientifique et savante, aux situations de chaos social, à la barbarie d’un pouvoir d’état et à la dictature, de/par son intelligentsia. De toute façon y renoncer par l’intelligentsia n’empêchera pas la société de changer, mais cela reviendrait à laisser à d’autres en particulier la force de régression sociale qu’est le pouvoir dictatorial de, Alassane Ouattara le soin de déterminer la nature de ce changement sociopolitique. Malgré l’instauration du chaos social sempiternel et en dépit du besoin pressant d’instauration de la stabilité sociopolitique, de l’harmonie communautaire et de la paix sociale pérenne.
*- Se défaire de l’emprise d’un système politique criminel et pervers devenu démoniaque.
Donc il faut nous répéter encore ici, aujourd’hui plus que jamais s’impose à l’ivoirien, une lutte synergique, sans rechercher un Héro comme ZORO ou un brave-tchê pour d’autres, seul le peuple souverain convaincu, persuadé et déterminé aux mains nues dans la rue ou dans les urnes électorales à prendre son destin en main est la solution pour la côte d’ivoire. Cette lutte s’impose à tous ensemble ivoirien, pour le CHANGEMENT sociopolitique dans notre pays la côte d’ivoire, d’une manière ou d’une autre, et au prix que cela mérite. Aux fins uniques de CHANGER la côte d’ivoire sous l’emprise du système politique criminel et pervers de, Alassane Ouattara, devenu démoniaque. Le bonheur dans une nation ne se limite pas aux fanfaronnades d’autosatisfactions de milliards par-ci et de milliards par-là et aux propagandes sur des chiffres farfelus de croissances économiques, supposé être un développement économique qui laisse l’homme au bord de la route du progrès. Alassane Ouattara « Hier Ado solution » n’a visiblement plus de solutions pour la côte d’ivoire, mais il demande un panurgisme suiviste et moutonnier derrière lui, comme cet homme vendu/acheté réduit à l’assujettissement corde au coup ignorant tout de sa destination derrière son maitre sur la route du désert. Allons-y seulement ? Mais que la jeunesse ivoirienne se rassure et se détrompe, s’il y a un coup-Kao le 25 octobre 2015, c’est elle que Alassane Ouattara aura réussi à mettre un coup-Kao. Et il ne la restera plus « jeunesse ivoirienne » que la débilité mentale en compagnie de son bien aimé meilleure Amie, la rue consentante, opposante consensuelle et équilibriste critique.
*- L’ivoirien, au bord de la route du progrès social et l’homme au sous-sol du développement.
En clair, on est soumis derrière Ado et on est servile et puérile avec Ado ou on n’est l’ennemi à abattre d’Ado et par Ado et ses fantassins. Or « Toute politique qui ne met pas l’homme au début et à la fin est vouée à l’échec ». Depuis cinq (5) ans, on nous parle d’un développement socio-économique, qui laisse le citoyen au bord de la route du progrès social et l’homme au sous-sol du développement. Depuis cinq (5) ans, Rien de concret, le noir, le néant et le vide. Pas une seule conception politique et sociale, dans le sens de l’apaisement sociopolitique, pas de mesure de politique économique salvatrice, qui met le citoyen au centre du débat développemental et du progrès social. Pas une seule action intelligente, crédible, opportune, novatrice, cohérente dans le sens de la réconciliation nationale et dans la recherche de la paix sociale pérenne. Les tueries orchestrées et les emprisonnements d’opposants au terme des poursuites judiciaires effrénées et téléguidées par le pouvoir de, Alassane Ouattara ont peuplés ses « 5 » ans de pouvoir d’une catastrophe sociale. Ou tout les droits, toutes les libertés et la démocratie réelle ont été piétinés sur l’autel des intérêts mafieux, de la conservation de FAIT du pouvoir d’état avec la force matérielle des armes impies et avec le soutien d’une mafia internationale.
*- Nous sommes convaincus, que le salut de la côte d’ivoire viendra du peuple souverain martyrisé.
Donc aujourd’hui avec la côte d’ivoire dans cette nasse, ou le pouvoir de, Alassane Ouattara repend la boue et oblige les honnêtes citoyens et tous les passants à y patauger et de s’écrier après en disant regardez-moi ces sales Mecs comme ils sont sales allez vous faire foutre en enfer. Dès lors le premier devoir assigner ici à tout intellectuel ivoirien « Auxquels nous disons Bravo ! » est précisément d’éclairer d’une lumière constante, les différents niveaux de la sphère publique, de l’arène politique et du pouvoir d’état. Pour discerner les intérêts généraux et les intérêts particuliers, les légalités et les illégalités, les légitimités et les illégitimités, les droits et les non-droits, les risques sociaux graves et les assurances certaines. De là doit découler l’action synergique, l’action collective et l’action individuelle de chaque citoyen, visant à combattre, à réguler, à corriger ou à améliorer les divers aspects de la vie sociopolitique, de la vie publique et la conduite des affaires publiques étatiques. Citoyen ivoirien ! « Les merdes, ça vole toujours en escadrille ! » Et c’est souvent le gouvernant inconséquent et inconscient qui crée et cherche les merdes. Nous « ivoirien » d’un pays devenu de merdes devons militer en faveur de l’émergence d’une véritable démocratie, avec une société civile organisée autour des citoyens, capable de faire pièces aux dérives néo-monarchiste, à la ploutocratie naissante ou à l’hégémonie d’un clan, d’une fratrie et la boulimie financière de nos dits gouvernants et l’arbitraire du pouvoir de, Alassane Ouattara, pour que la paix perpétuelle revienne dans le pays de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nous sommes convaincus, que le salut de la côte d’ivoire viendra du peuple souverain martyrisé, ultime détenteur du pouvoir d’état. Pour que nous « ivoirien » réapprenions à rire à nouveau ensemble, à apprécier ce qu’il y a de meilleur en chacun de nous, au terme d’un vrai processus de réconciliation nationale ou nous ne demanderons pas d’oublier « Amnistie générale » mais demanderons d’essayer de pardonner pour la paix sociopolitique et pour vivre en commun dans le respect des différences. Tous ensembles d’une manière ou d’une autre, y compris dans les urnes électorales, si élection il y a ? Nous réussirons à changer notre pays la côte d’ivoire. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.
*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique.
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