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9 décembre 2015 3 09 /12 /décembre /2015 13:58
Un des principes du droit international pénal et du droit pénal  international est que les auteurs des crimes contre l’humanité ne peuvent invoquer leurs qualités officielles pour se soustraire à la procédure judiciaire normale ou se mettre à l’abri du châtiment. Parce que ce sont les personnes physiques agissant au nom de l’état qui commettent les crimes et non l’état personne morale « composé de la totalité sociale souveraine».

Un des principes du droit international pénal et du droit pénal international est que les auteurs des crimes contre l’humanité ne peuvent invoquer leurs qualités officielles pour se soustraire à la procédure judiciaire normale ou se mettre à l’abri du châtiment. Parce que ce sont les personnes physiques agissant au nom de l’état qui commettent les crimes et non l’état personne morale « composé de la totalité sociale souveraine».

Côte d’ivoire: L’immunité personnelle ou diplomatique « du droit international » ?

*- Osons en parler ponctuellement en un mot.

De Lepetitfils Da Candy Leader de la légitimité citoyenne.

*- Chronique : objections morales et juridiques.

La répression des crimes contre l’humanité qui n’ont aucune conséquence néfaste sur la totalité sociale souveraine d’un état ne sont pas ressortissante du principe de l’Immunité personnelle ou diplomatique du droit international coutumier « le droit des droits ». Un des principes du droit international pénal et du droit pénal international est que les auteurs des crimes contre l’humanité ne peuvent invoquer leurs qualités officielles pour se soustraire à la procédure judiciaire normale ou se mettre à l’abri du châtiment. Donc la portée de l’Immunité personnelle ou diplomatique « du droit international » liée au statut officiel actuel d’un dirigeant étranger à des limites, elle ne résiste pas à la nature des crimes commis « crimes contre l’humanité ». Parce qu’elle se heurte dès lors à d’autres valeurs humaines auxquels la communauté internationale à le devoir de protection, telle que la lutte contre l’impunité des auteurs de crimes contre l’humanité.

*- La boite noire étatique des relations diplomatiques interétatiques.

Ainsi aucun dirigeant d’état étranger ne peut se prévaloir de sa qualité officielle en cas de poursuite judiciaire pour crimes internationaux constitutifs d’infractions graves aux conventions internationales, qui touchent l'ensemble de la communauté internationale. Et ici la convention internationale contre la torture en est une, dont leur répression est visée tant par le droit international pénal que par le droit pénal international. Donc aucun dirigeant d’état étranger ne saurait invoquer un prétendu principe d’immunité personnelle ou diplomatique coutumière pour s’exonérer de leur responsabilité pénale. C’est aussi pourquoi la communauté internationale est aujourd’hui encline à faire prédominer la justice pénale sur les immunités et privilèges. Oui ! Quand certains principes fondamentaux du droit international humanitaire sont violés, la boite noire étatique des relations diplomatiques interétatiques et le voile étatique doivent être percé faute de quoi les véritables auteurs des ses crimes cotre l’humanité seront assurés de l’impunité.

*- Les principes du droit international pénal et du droit pénal international.

Et dès lors l’universalité et l’indivisibilité des droits de l’homme n’auraient pas de sens si les violations les plus graves, les agressions les plus sauvages restaient impunies. La répression des crimes contre l’humanité qui n’ont aucune conséquence néfaste sur la totalité sociale souveraine d’un état ne sont pas ressortissante du principe de l’Immunité personnelle ou diplomatique du droit international coutumier « le droit des droits ». Un des principes du droit international pénal et du droit pénal international est que les auteurs des crimes contre l’humanité ne peuvent invoquer leurs qualités officielles pour se soustraire à la procédure judiciaire normale ou se mettre à l’abri du châtiment. Parce que ce sont les personnes physiques agissant au nom de l’état qui commettent les crimes et non l’état personne morale « composé de la totalité sociale souveraine».

*- L’Amnistie générale référendaire est commandée par la grande loi du bien public,

Ici d’autres pourront peut être nous rappelé à notre prises de position pour une Amnistie générale référendaire ? Oui ! Nous ne changeons pas de position d’un iota, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par la porte souveraine de l’Amnistie générale référendaire qui repose sur le droit international coutumier « le droit des droits » qui tient en l’état le droit d’application sans frontière qu’est le droit international des droits de l’homme. Sauf a vouloir troubler l’ordre social instaurer souverainement, consensuelle-ment, et unanimement par la totalité sociale d’un état souverain par une ingérence dans les affaires souveraines d’un autre état devenu paisible. Oui ! Quand la clémence qui résulte d’une Amnistie générale référendaire peut ramener à l’amour, à l’harmonie communautaire, à la stabilité sociopolitique, à l’ordre et à la paix sociale pérenne et au respect des lois, ceux qu’une inflexible sévérité judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale, l’Amnistie générale référendaire est commandée par la grande loi du bien public, fin essentielle de tout gouvernement qui ne peut exister que dans l’ordre social. (Lire la tribune ci-dessous Merci)

Chronique : L’immunité personnelle ou diplomatique « du droit international » ? Oser en parler en un mot.

De : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne. (Lire la tribune ci-dessous Merci)

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26 novembre 2015 4 26 /11 /novembre /2015 12:57
« Sur ceux-ci citoyen ! Nous ne serions pas présents au rythme hebdomadaire habituel sur ces pages. Mais nous sommes ensembles et nous resterons ensembles. Un citoyen égal un autre citoyen. Donc demeurons dans la logique salvatrice du, Tous ensembles a fin de Décomposition/Recomposition pour une côte d’ivoire nouvelle, réconciliée avec elle-même, solidaire, harmonieuse et paisible. » Que la nature protège  la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny.

« Sur ceux-ci citoyen ! Nous ne serions pas présents au rythme hebdomadaire habituel sur ces pages. Mais nous sommes ensembles et nous resterons ensembles. Un citoyen égal un autre citoyen. Donc demeurons dans la logique salvatrice du, Tous ensembles a fin de Décomposition/Recomposition pour une côte d’ivoire nouvelle, réconciliée avec elle-même, solidaire, harmonieuse et paisible. » Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny.

« Quand les valeurs historiques sociétales qui fondent l’organisation d’une société humaine sont bafouées ou mise sciemment en péril, c’est la totalité sociale qui est en danger dans son assise sociale et morale».

De Lepetitfils Da Candy Leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

Chronique : L’ivoirien nouveau ?

L’ivoirien nouveau a l’image des jeunes citoyens désœuvrés dits microbes dans une côte d’ivoire microbienne en dégénérescence totale arrive dans le train d’enfer et de damnation du pouvoir de Alassane Ouattara. Oui ! Ce sera l’ivoirien déculturé, l’ivoirien dénaturé, l’ivoirien déraciné, l’ivoirien des mœurs dépravées, dans une société prédatrice dite libérale. Cette société de libéralisme prédateur qui broie les petits aux pieds des grands intérêts mafieux, malheur aux piétailles de citoyens ou donc malheur aux vaincus au terme d’un duel ou la raison reste au plus forts, aux plus riches. Donc la loi de la jungle régira la société, la criminalité gouvernera les relations et les rapports sociaux seront soumis à la puissance funeste de Dieu l’argent. Alors, on tuera pour gagner ou garder son emploi, on tuera pour avoir des rémunérations pécuniaire ou un salaire, on tuera pour avoir son manger ou son argent, on tuera pour avoir sa consommation et on tuera pour avoir son identité dans une société marchande. Le Moi deviendra le centre des discutions, le nous tendra à disparaitre. D’où l’autre ne serait plus un frère ou un ami potentiel mais un danger potentiel de plus en plus marqué. Ainsi pour garder son travail, les employés auront à tout accepté. On pourra alors jouir de sa supériorité en vantant son bien matériel et en attendant de son interlocuteur une forme de reconnaissance sociale fondée sur ce bien matériel. Ceci restera le seul prisme de l’existence Sociale, la seule motivation, la seule source de valeur sociale. Eh bien oui ! L’ivoirien nouveau d’une société microbienne arrive en lieu et place de la côte d’ivoire nouvelle qui se voulais une société humaniste et surtout une société démocratique.

Une société démocratique ?

C’est une société, de liberté, de respect des droits de l'homme et de la tenue d'élections honnêtes et périodiques au suffrage universel. Dès lors la démocratie devient un environnement naturel pour la protection et la réalisation effective des droits de l'homme. Qui place l'être humain comme valeur et préoccupation centrale, la non-discrimination, la non-violence active et la solidarité comme principes et méthodologie d'action.

C’est une société solidaire, une société ou le lien social est incassable, une société qui ne laisse personne au bord de la route du progrès social. C’est une société qui permet la participation de tous les citoyens à la vie politique de leur nation. D’où l’individu n’est jamais isolé et abandonné à lui-même tant matériellement que moralement. Il fait partie d’un tout, engagé dans un réseau serré de relations, de solidarités et de hiérarchies : « un tel, fils d’un tel » ces valeurs qui fondent l’organisation d’une société harmonieuse, homogène, et du vivre en commun

C’est une société qui met le citoyen contributeur social au cœur de la société de solidarité agissante. C’est une société ou le citoyen est un passeur de lien entre les individus, un fusible de connections entre les groupes sociaux, pour mieux vivre en commun dans le respect des différences et l’exaltation de la diversité solidaire. La solidarité devient dès lors un devoir et une pratique sociale inscrite dans la quotidienneté. Ainsi la vie économique ne doit avoir de sens qu’intégrée dans la vie sociale où le maintien de la cohésion sociale l’emporte sur l’accumulation des richesses matérielles, où l’économique est le vecteur d’un message et d’une symbolique sociale.

C’est une société ou la conciliation entre égalité et liberté est au cœur du débat. C’est une société ou les droits politiques sont liés à un État dans lequel le pouvoir est soumis à des règles juridiques organisant le contrôle de ses activités (État de droit). C'est une société ou le principe de séparation des pouvoirs détermine la structuration politique de la société démocratique.

C’est une société ou le citoyen restaure le lien social et redonne l’envie aux plus fragiles ou martyrisés de reprendre pleinement leur place dans la société commune, en les rendant acteurs du développement sociétal et acteurs de leur propre développement personnel. La démocratie doit être assise sur le droit et la liberté pour que l’alternance politique soit assurée dans la paix dans notre pays. Les valeurs de solidarité sociale et d’harmonie communautaire que la démocratie réelle inculque au peuple peuvent constituer la sève nourricière à la construction d’une nation ivoirienne paisible et évoluée dans un monde en perpétuel mouvement.

C’est une société ou la restauration du lien social qui est éminemment politique permet de construire une société démocratique dans la cohésion sociale et dans l’harmonie communautaire. Une liberté sans bornes ne peut aboutir qu’à l’anarchie et à la loi du plus fort, donc ne peut qu’anéanti les valeurs qui constituent les éléments essentiels de la démocratie. Or si une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise, l’outil démocratique mal exploité peut tuer les droits inaliénables et les libertés individuelles.

Oui ! Le lien social, cette autre expression abondamment utilisée par les hommes politiques ivoiriens sans être vraiment définie dans son esprit. Le lien social est ce qui permet aux individus de vivre en commun et de "faire société" commune dans l’acceptation réciproque des différences sociétales et l’acceptation de chacun dans son originalité absolue, a l’intérieur de l’égalité de tous. L’acceptation réciproque des différences sociales dès lors soutient la relation existante entre les personnes conscientes d’appartenir à la même communauté d’intérêts. Elle entraîne, pour tous, l’obligation de ne pas desservir les autres et de leur porter aide et assistance.

En lieu et place d’un hypothétique ivoirien nouveau, la côte d’ivoire doit pouvoir être cette société démocratique, débarrassée de l’interventionnisme de l’ultra-dirigisme économique et de l’autoritarisme néo-monarchiste débridé, qui transforme le citoyen en microbe social. Le pauvre citoyen épris de paix et de justice sociale et juridique, qui aspire à acquérir un peu de droit, un peu de liberté, un peu de bien être. Qui espère d’un partage équitable des ressources nationales n’a évidemment pas droit de cité dans ce système de l’autoritarisme néo-monarchiste débridé-là. Il n’a aucune importance dans ce monde de dirigisme économique criminel-là, qui écrase les petits aux pieds des grands intérêts mafieux.

Donc vivement une société ivoirienne démocratique pour Demain. Peut être au terme d’une Amnistie générale référendaire, si les aveugles veillent voir et si les sourds veillent entendre, pour qu’ainsi chaque homme politique, chaque acteur social, chaque membre de la société civile, soient porteur de la parole unique, a destination de ses appartenances. La force de ce processus réside dans son caractère réconciliateur, entre hommes politiques d’une part et entre communautés nationales d’autre part qui peut obvier d’autres crises sociopolitiques dans le temps. Oui ! Demain quand d’autres sortiront de prisons ou d’autres finiront avec la damnation d’une déportation. Et aussi quand « nous » notre mouvement politique d’utilité citoyenne « la légitimité citoyenne (Républicain-Social, Doublement Centriste) » s’offrira à coup sûr un autre statut juridique et par conséquence osera un autre destin politique, conforme à notre idéal sociétal Humaniste et Existentialiste qui est anti-dirigiste économique libérale parce que solidaire avec les moins nantis pour une démocratie directe et réelle. Oui ! Demain pour une côte d’ivoire nouvelle. Nous y serions…

« Sur ceux citoyen ! Nous ne serions pas présents au rythme hebdomadaire habituel sur ces pages. Mais nous sommes ensembles et nous resterons ensembles. Un citoyen égal un autre citoyen. Tout homme est homme indépendamment de sa caste et de son sexe. Pas de citoyens de deuxième classe politique soumis à leurs vainqueurs. Donc demeurons dans la logique salvatrice du, Tous ensembles a fin de Décomposition/Recomposition pour une côte d’ivoire nouvelle, réconciliée avec elle-même, solidaire, harmonieuse et paisible. » Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny.

De : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

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18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 11:18
Aucune élection  présidentielle ne peut tourner la page des crimes de guerres et les crimes contre l’humanité  commis entre septembre 2002 à ce jour. Les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles.

Aucune élection présidentielle ne peut tourner la page des crimes de guerres et les crimes contre l’humanité commis entre septembre 2002 à ce jour. Les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles.

*- L’élaboration d’une nouvelle constitution et l’Amnistie générale référendaire serait un couple l’infernal pour la paix et la réconciliation.

De Lepetitfils Da Candy Leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

*- Révision ou nouvelle constitution ?

De quel projet constitutionnel parle-t-on ? Révision ou l’élaboration d’une nouvelle constitution consacrant la troisième république ? Oui, Attention ! Une révision constitutionnelle est différente de l’élaboration d’une nouvelle constitution emportant changement de république, qui obéi à une procédure constitutionnelle normale. Ainsi toute révision majeure « c’est-à-dire touchant à une partie considérée comme fondamentale de la Constitution » doit être opérée selon la procédure prévue pour l’élaboration d’une nouvelle constitution même si la révision envisagée ne consiste pas à substituer un texte constitutionnel à un autre. Alors que la procédure de révision partielle quand à elle est réservée aux modifications mineures de la Constitution. C’est ainsi que dans les procédures constitutionnelles normales, l’élaboration du projet de constitution est confiée à une assemblée constituante élue par le peuple souverain détenteur ultime du pouvoir d’état. Cette assemblée doit être formée des scientifiques et des grands techniciens de la matière constitutionnelle, ceci doit être la base de leur élection à l’assemblée constituante, qui est chargé de rédiger l’avant projet de constitution qui doit être d’abord soumis à nouveau pour avis à des spécialistes constitutionnels « le Comité des Experts ». Ainsi totalement technifié « technicisé » et rendu conforme au droit universel, l’avant projet de constitution est alors soumis à la votation politique du peuple dans les principes politiques. Au cas contraire la votation politique ne confère pas de légalité de droit à une constitution.

*- Le but de l’élaboration d’une constitution ne doit pas être exclusivement la monarchisation de la république « tout pour le président et le vice-président » et la mondialisation d’une nationalité.

Oui, les normes positives ne sont pas souvent l’émanation du droit universel ou du droit tout court. Donc elles ne sont pas souvent forcément du droit ou conformes au droit. Donc une constitution « droit positif » contraire au droit universel n’est pas du droit. Parce qu’elles sont très souvent la volonté abstraite d’un homme politique ou d’un groupe politiques soucieux d’arrivée à ses fins de dominations néo-monarchiste débridé ou à une ploutocratie, par le biais du renforcement du pouvoir exécutif qui est par essence l’autre figure du despotisme. Ainsi le référendum constitutionnel devient un procédé dangereux pour le peuple, en raison de la possible utilisation que peuvent en faire des hommes politiques initiateurs, pour faire légitimer par le peuple souverain en grande partie ignorante, leurs desseins dynastiques et de domination sociopolitique avec comme appui les institutions étatiques. Aussi le but unique de l’élaboration d’une constitution ne doit pas être exclusivement la monarchisation de la république « tout pour le président et le vice-président » et la mondialisation d’une nationalité, au risque de confondre légalité du droit universel et uniformisation à des fins strictement d’intérêt politique. Dès lors il devient constant qu’au terme d’une élaboration constitutionnelle, la primauté et l’universalité réelle des droits comme fondements du pacte social « conception technico-juridique » doit pouvoir se conjugué avec l’affirmation de la souveraineté nationale étatique et de la citoyenneté « conception politico-juridique » inscrit au cœur de la république et de la démocratie populaire assis sur le principe du gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.

*- Une Constitution n'est pas un texte de loi ordinaire ; c'est la Loi des lois, c’est un acte solennel du peuple.

Donc au terme d’une modification constitutionnelle, il faut choisir entre la suprématie de la constitution assise sur le pur droit constitutionnel et la majorité politique et démocratique de la constitution. C’est-à-dire la votation politique populaire qui ne tient qu’à la volonté des hommes politiques initiateurs du vote constitutionnel référendaire. Certes toute Constitution prévoit toujours que ses dispositions peuvent être modifiées, complétées ou supprimées. Mais dans le cas express de la constitution ivoirienne de 2000 non-thecnifiée « non-technicisée » rester dans cette logique serait de persister dans le même anachronisme juridique. Or une Constitution n'est pas un texte de loi ordinaire ; c'est la Loi des lois, c’est l'acte solennel par lequel une société déclare les principes qui la fondent, qui la rassemblent et qui l'organisent. Ce texte-là ne peut être changé aussi facilement qu'une loi ordinaire ; il faut une procédure particulière, plus solennelle, plus exigeante, qui corresponde à la qualité de l'acte à modifier. Dès lors il faut une procédure normale, d’élaboration constitutionnelle. Ici on doit tenir compte que, la fonction primaire d’un système juridique même constitutionnelle est intégrative, un tel système sert à atténuer les éléments potentiels de conflit et à lubrifier le mécanisme des rapports sociaux afin de garantir la stabilité sociopolitique et la paix sociale pérenne. En effet, c’est seulement avec l’adhésion de tous à un système de normes juridiques que le système des interactions sociales peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents.

*- Modification constitutionnelle d’accord mais une constitution républicaine conforme au droit.

C’est aussi pourquoi, la nation doit en permanence réapprendre qu’elle existe et continuer de l’exprimer par le biais de procédures juridiques et démocratiques symboliques, aux nombres desquelles figure la révision constitutionnelle périodique et/ou l’élaboration d’une nouvelle constitution pour s’adapter à l’évolution du temps et du monde. C’est pourquoi les républiques ne sont pas statiques et figées. Mais le référendum constitutionnel peut toujours présenter un risque plébiscitaire et unanimiste, dès lors qu’une réponse positive à la question référendaire est présentée comme une manifestation de confiance ou de soutien à l’égard d’un homme politique auteur de la question référendaire ou une condamnation d’un autre homme politique opposer à la question référendaire. Sauf une grande vigilance de la par du peuple souverain, il s’agit là d’une déformation difficilement évitable. Dans la mesure où l’initiative du référendum est laissée à un groupe politique détenteur de tous les pouvoirs étatiques. Donc disons ici, Modification constitutionnelle d’accord mais une constitution républicaine conforme au droit et l’aspiration profonde du peuple à vivre en commun dans la paix. Et s’il est dans le but essentiel de cette révision constitutionnelle ou de l’élaboration d’une nouvelle constitution d’arriver à la réconciliation nationale et à l’harmonie communautaire et la paix sociale Houphouëtienne ce processus doit être couplé avec celui d’Amnistie générale référendaire des faits de la crise ivoirienne de l’après Houphouët Boigny

*- Amnistie générale référendaire des faits criminels de la crise ivoirienne 2002 à ce jour ? (NOTRE AVIS).

*- Il y a une seule solution durable à la crise ivoirienne, un seul remède pour recoudre le tissu sociopolitique.

Au cas contraire qu’on se le dit ici tout net, une révision constitutionnelle ou l’élaboration d’une nouvelle constitution consacrant la troisième république ne fera jamais la réconciliation en côte d’ivoire. Pour la vraie réconciliation nationale et pour l’harmonie communautaire, rien ne ce fera en côte d’ivoire, sans pardon public de tous dans la reconnaissance mutuelle de tout les ivoiriens, dans leurs originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous, rien ne ce fera en côte d’ivoire, sans une contrition de tout les acteurs politiques de la crise ivoirienne pour les torts causé au pays et aux citoyens, dans une société policée qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales, sans différenciation « nordisme, sudisme, estisme, et ouestisme ». Parce qu’aucune élection présidentielle ne peut tourner la page des crimes de guerres et les crimes contre l’humanité commis entre septembre 2002 à ce jour. Les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles. Mais chaque peuple souverain dans son entièreté, solidaire du reste du monde, fort de sa souveraineté nationale et internationale, à la recherche de l’ordre social, de l’intérêt général, du bien commun, de la stabilité politique, de la paix sociale et de la sécurité nationale à la latitude souveraine de trouve les moyens souverains de tourner la page des crimes contre l’humanité sans pour autant les oublier comme rien n’a été fait. Donc il y a une seule solution durable à la crise ivoirienne, un seul remède pour recoudre le tissu sociopolitique en lambeau, pour ressouder les liens de l’harmonie communautaire, une seule porte honorable de sortie légale et légitime à la crise ivoirienne pour arriver à la vraie réconciliation nationale harmonieuse, qu’est une Amnistie générale référendaire. Donc une Amnistie générale référendaire, pour qu’ainsi chaque homme politique, chaque acteur social, chaque membre de la société civile, soient porteur de la parole unique, a destination de ses appartenances. La force de ce processus réside dans son caractère réconciliateur, entre hommes politiques d’une part et entre communautés nationales d’autre part qui peut obvier d’autres crises sociopolitiques dans le temps.

*- Le vote référendaire est le summum de la légalité et de la légitimité.

Toute autre solution ne peut qu’être éphémère, toute autre porte de sortie s’ouvrira sur de nouvelles crises sociopolitiques. La crise ivoirienne est l’une des plus complexes au monde. Parce que la principale cause « rébellion armée contre un pouvoir légal les 18-19 septembre 2002» se trouve être le détenteur du pouvoir d’état en côte d’ivoire. Donc des acteurs incontestés et incontestables qui ont commis plus de crimes que ceux qu’on reproche aux autres aujourd’hui poursuivis, sont au pouvoir avec le levier de tout le système étatique en mains. Donc la solution judiciaire ne résoudra rien. Et ne l’oublions pas tant que la souveraineté est au peuple, il n’y a pas de norme juridique supérieure au vote référendaire, qui a enfanté la constitution. Le vote référendaire est le summum de la légalité et de la légitimité. C’est lui qui créer le droit qui s’impose a tous dans une nation policée. Donc il convient de se le dire ici de façon clair et net, sauf à vouloir se leurrer, la grande majorité des ivoiriens « même bénéficiaire » ne se reconnaitront pas dans une Amnistie à fondement législatif, voté par le parlement et ce serait contre productive dans le temps. A la sortie de crise, il faut pouvoir fermer la porte derrière à d’autres crises sociopolitiques, qui serait plus conséquentes dans pareille situation. Et il n’y a pas mieux pour le faire que celle consensuelle issue du pardon, de la repentance, de la contrition de tous les acteurs de la dite crise ivoirienne, au terme d’un dialogue sincère couronné par une Amnistie référendaire. Oui, une révision constitutionnelle ou l’élaboration d’une nouvelle constitution consacrant la troisième république en l’absence d’Amnistie générale référendaire ne fera jamais la réconciliation en côte d’ivoire. Et les deux votes référendaires peuvent être couplés pour la paix. Question d’admettre se regarder dans un miroir. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

*- De : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 15:04
Depuis 2002 l’argent de la politique de, Alassane Ouattara, de ses rebelles, de ses suiveurs et depuis 2011 le pouvoir de, Alassane Ouattara, de ses rebelles et de ses suiveurs ont une couleur le Rouge du sang citoyen, de sept (7000) citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état.

Depuis 2002 l’argent de la politique de, Alassane Ouattara, de ses rebelles, de ses suiveurs et depuis 2011 le pouvoir de, Alassane Ouattara, de ses rebelles et de ses suiveurs ont une couleur le Rouge du sang citoyen, de sept (7000) citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état.

*- Eh bien oui ! Toute chose à une fin heureuse ou malheureuse qui annonce un nouveau départ. « Pour rencontrer l'espérance, il faut être allé au-delà du désespoir. Quand on va jusqu'au bout de la nuit, on rencontre une autre aurore ».

*- Chronique d’une dégénérescence sociale: De Lepetitfils Da Candy Leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

*- Le train d’enfer et de damnation d’Alassane Ouattara à roue libre vers la destination catastrophe.

Les forces rétrogrades qui gênent la marche de notre pays vers un État Républicain démocratique ont le même nom, le fatalisme et la résignation « l’abandon par la majorité de leurs droits et libertés entre les mains de l’arbitraire et/ou le culte de la personnalité par une minorité manipulatrice ». Le fatalisme et la résignation des gouvernés est le principal allié du pouvoir absolu « absolutisme dictatorial ou tyrannique » autrement dit plus les citoyens sont humbles, comme c’est le cas en Côte d’Ivoire actuellement, plus leur comportement est docile face à absolutisme. Car essentiellement préoccupé de leur gagne- pain, les braves citoyens, ont toujours tendance à placer leurs destins économico-sociopolitique entre les mains d’un individu qu’ils pensent capable de miracles.

*- Là où il n’y à pas de Républicains, il est impossible d’ériger une vrai République.

Mais ne nous trompons pas, ces citoyens sont des responsables et laborieux contributeurs de notre société et n’ont rien d’une foule de voyous et de mendiants, leur revendication, il est vrai, sont terre-à-terre, que celles des hommes politiques et autres intellectuels. Ils exigent par exemple des prix justes pour les produits de première nécessité, tel que le pain, le riz, le lait et le savon et autres. Mais leurs désirs sont parfaitement clairs et n’ont rien de déraisonnable. En revanche, sans un travail soutenu de fonds, il serait difficile d’attendre d’eux des revendications claires et précises concernant par exemple une sélection démocratiques rigoureuse de nos dirigeants et une sanction sans complaisance des gouvernants. L’exigence d’une gestion orthodoxe des ressources naturelles étatiques, demande d’un comportement plus responsable vis-à-vis des partenaires économiques internationaux, l’honnêteté dans la gestion économico-sociale et un respect plus strict des règles de droits et des principes démocratiques. Le voilà le vrai problème de notre pays ! Et on continu de croire naïvement que là où être un vrai Républicain est un crime , qu’il est possible d’ériger une vrai République, et là où être un vrai démocrate est un crime, qu’il est possible d’ériger une vrai Démocratie.

*- Les populations sans espoir ont recours à tous les échappatoires, l’alcool, la drogue et la délinquance juvénile.

A partir d’une telle mentalité captive du citoyen, à partir d’une conception politique né-monarchiste du pouvoir d’état ou règne en maitre absolu Dieu l’argent, il ne peut être possible de construire dans notre pays la côte d’ivoire un état démocratique et républicain de droit digne de ce nom. Un état moderne et modèle qui soit perçu par les uns et par les autres comme un patrimoine commun, sans différenciation aucune « régionale, communautaire, ethnique, religieuse ». Surtout que les pratiques du pouvoir de, Alassane Ouattara portent en elles même les germes de toutes sortes de crises économico-sociopolitique. Oui ! depuis le 11 Avril 2011, s’il y a un domaine dans lequel le pouvoir de, Alassane Ouattara ne déçoit pas les ivoiriens, c’est bien en son abnégation à aller toujours plus loin dans la criminalité économico-sociopolitique, dans la violation libertaire des normes juridiques de régulations sociales préétablies, dans les poursuites judiciaires effrénées contre les opposants, dans la politique de division pour régner avec pour support un communautarisme de rattrapage qui entretien la déchirure communautaire et les tensions ethniques, dans la saloperie de fanfaronnades chiffrées de croissance économique qui laisse le citoyen au bord de la route du progrès social.

*- Le Rouge du sang citoyen, de sept (7000) citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état.

Oui ! Un faux-semblant de développement censé représenter le progrès social qui laisse le citoyen au fond de l’abîme économico-sociopolitique. Et les pauvres populations sans espoir ont recours à tous les échappatoires, la danse, l’alcool, la drogue et surtout à la délinquance juvénile. L’avènement de la guerre de conquête de Alassane Ouattara et la gestion de la crise sociopolitique qui s’en est suivi par Alassane Ouattara à conduit à l’effondrement politique, à la déchirure de la totalité sociale, à l’éruption d’une violence pervers et sadique incontrôlable et incontrôlée dans l’arène politique ivoirienne. Et dans la totalité sociale ivoirienne, si ce ne sont les Dozos milice armée de, Alassane Ouattara ne font pas la loi de la jungle des hors la loi, ce sont des couches sociales désespérées qui embrassent de temps en temps la machette, pour se neutraliser dans des conflits d’intérêts sociaux, ce qui constitue un danger sociopolitique réel. Le manque de confiance en la justice à la solde du pouvoir exécutif devenue sélective en est la cause. Ainsi dans la vie du citoyen de tous les jours, l’anarchie sociale prend le pas sur l’ordre social. La justice démissionne face à l’arbitraire du pouvoir exécutif. Le droit se subordonne au non-droit. L’humanité disparait face à l’animosité de chacun pour soi. Le rouge du sang citoyen devient la couleur préféré des fantassins soudards, dans un chaos social sempiternel. Oui ! Depuis 2002 l’argent de la politique de, Alassane Ouattara, de ses rebelles, de ses suiveurs et depuis 2011 le pouvoir de, Alassane Ouattara, de ses rebelles et de ses suiveurs ont une couleur le Rouge du sang citoyen, de sept (7000) citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état.

*- L’ivoirien entre les mains d’une dictature comme un bouc, trimbalé par le courant des eaux du fleuve vers la gueule du crocodile.

Ceux qui de façon très intéressé au ventre, soutiennent Alassane Ouattara et son gouvernement ont beau essayé de justifier l’injustifiable pour faire accepter l’inacceptable, en ayant recours à des statistiques qui montrent quelques petites améliorations. Mais ils ne peuvent pas cacher la réalité sociale. Ils ne peuvent pas cacher le soleil sur la misère de l’ivoirien avec leurs mains ou transformer l’ivraie en vraie réalité. Le pouvoir de, Alassane Ouattara à beau perdre son temps en moulinets rhétoriques et brasser du vent par quintaux, une évidente ligne directrice émerge de leurs gesticulations. Celle du chaos social de plus en plus fort et de l’étouffement des libertés, de politiques économiques inégalitaires et d’une tendance totalitaire à des poursuites judiciaires téléguidées et effrénées contre l’opposition, à faire ficher les honnêtes citoyens par la Gestapo ivoirienne, à apeurer les communautés non-soumises et toutes dissidences politiques, a fin au finish de crétiniser, d’imbéciliser, de moutonniser, de paranoïser et de borné le peuple ivoirien. Aujourd’hui attelée à la queue du diable, entre les mains d’une dictature, comme un bouc près à crevé, sans aucune possibilité de résistance sauf l’explosion, trimbalé par le courant des eaux du fleuve vers la gueule du crocodile patient et statique, ignorant tout du volcan qui peut entré en éruption à tout moment, ça ne tient qu’à des ficelles.

*- Que l’on laisse les nations à la diplomatie étatique, que l’on laisse la Françafrique tranquilles à ses affaires.

Oui, que l’on se détrompe ici, le soutien inconditionnel d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux, apparemment condescendante mais tout simplement mafieux. Et une propagande monnayable, et continue, d’une mafia internationale de presse internationale intéressée et aplatie, actionnée et orchestrée par une taupe bien lotie au cœur du pouvoir d’état, ne font jamais la légalité et la légitimité d’un pouvoir d’état. Celles-ci s’acquièrent avec le respect du droit, dans le droit et de droit et avec la démocratie pluraliste du suffrage populaire qui respecte les normes juridiques et le consensus politique. Oui ! Surtout que l’on laisse les nations à la diplomatie étatique, que l’on laisse la Françafrique tranquilles à ses affaires, pour voir qu’une mafia est une mafia, elle n’a pas de nationalité, sa nationalité ce sont ses intérêts mafieux protégé par des valets ripoux bien choisit par ses soins, des boys de luxe disent d’autres en quelque sorte, qu’elle à intérêt à présenté comme le saint des saints. La mafia rime avec stratégie nébuleuse. Ici tout dépend de dieu l’argent donc vive les soutiens monnayables.

*- Être riche intouchables même en créant des marchés de vente d’organes d’être humais vous seriez intouchable.

Autre stratégie du pouvoir de, Alassane Ouattara est de juste satisfaire à l’estomac au minimum, tout en abrutissant la population a fin qu’elle soit soumise et malléable à souhait pour mieux l’asservir et de donner quelque chose à perdre aux citoyens, un simple os à ronger pour la plupart. Et de laisser ainsi une infime porte de sortie hors de la misère quotidienne, question de relâcher un tout petit peu la pression pour que la souffrance socio-économique du citoyen n’explose pas, et d’accorder un semblant de liberté aliénante afin de mettre un paravent devant la véritable domination de l’asservissement et de l’absence de choix qui se profilent derrière. Alors qu’une infime partie de la population « son clan, ses suiveurs et sa fratrie » se sucre sur le dos du peuple. Oui, Faire d’une fratrie des multimilliardaires grâce aux biens publics et d’imposer dieu l’argent quelque soit son mode d’acquisition comme socle de valeur commune, dans une société aux mœurs dépravées sous le joug de la loi de la jungle. C'est-à-dire soyez riches pour être intouchables même en créant des marchés de vente d’organes d’être humais, mais riche vous seriez intouchable. Et c’est pourquoi les horribles images de décapités ne provoquent plus de réactions mérités en côte d’ivoire. Voilà la meilleure manière de conserver les citoyens dans un état de léthargie, le plus près possible de l’abîme, sans qu’ils n’y tombent tous en masse, sans quoi la révolte risquerait d’éclater.

*- Alassane Ouattara s’inspire d’autres temps, d’autres époques, peut être celle de Samory Touré.

Une politique dictatoriale, criminelle dirigiste de domination sociopolitique et d’asservissement économique de plus en plus anachroniques et dépourvus de sens, voire incompréhensibles pour les jeunes qui va à coup sûr conduire à une fracture intergénérationnelle qui évoluera en s’accentuant avec toutes ses conséquences, peut être dramatique genre du Mali de 1991. Oui ! Hélas les forces sociales ivoiriennes attelées à la queue du diable entre les mains d’une dictature est comme un bouc, trimbalé par le courant des eaux du fleuve sans possibilité de résistance vers la gueule du crocodile. Eh bien Oui ! Là ou elles doivent normalement et légalement exploser et avoir le monde entier en soutien à ses côté par solidarité civilisatrice et démocratique, elles n’osent même plus rougir. On oubli ainsi qu’avec un électorat total de 6 301 186 électeurs et 2 618 229 votants, ressortissant des bureaux de votes de certaines régions à 97% de taux de participation pour Alassane Ouattara à dessein d’obtenir une légitimité factice : que dans ses conditions même avec un taux de participation de 83% des 6 301 186 électeurs de électorat total Alassane Ouattara allait obtenir 50,04% avec ses 2 618 229 votants, ressortissant des votes de certaines régions à 97% de taux de participation à dessein d’obtenir une légitimité factice. Alors que dans son ensemble, le peuple du boycott de refus, du système électoral abracadabrantesque alassanéen « de l’identification, de l’enrôlement, du non-retrait des cartes d’électeurs et du vote électoral » reste trois (3) fois plus largement majoritaire et attentif avant la débilité mentale avancée, la catastrophe étant devenue inéluctable.

*- La catastrophe au finish paraît quasiment inéluctable.

Oui ! Malgré la crise postélectorale et toutes ses conséquences sociopolitiques, ce chiffre du nombre de votants 2 618 229 attribués après deux ajustements coup-sur-coups par la CEI à Alassane Ouattara pose problème. Certes ce chiffre est au dessus de ceux du 2eme tour de 2010 du même Alassane Ouattara : de 341541 votants pour celui du résultat officiel du conseil constitutionnel et de 135065 votants pour le résultat « de la mafia » CEI - Certification de l'ONU, mais ils ne rassurent pas de la majorité écrasante fanfaronné de façon exutoire. Et la même logique de 2010 étant devenue le principe, d’autres catastrophes électorales restent à venir et tout réveille brutal du peuple serait volcanique. Oui ! Pauvre Afrique, pauvre côte d’ivoire, pauvre ivoirien et pauvre de nous, disons vive l’abîme sociopolitique en côte d’ivoire. Oui, Hélas les forces sociales ivoiriennes susceptibles d’empêcher la course vers l’abîme économico-sociopolitique dans un précipice abyssal sont devenues si pleurnichardes, si soumises, si inconstantes, si éparses, si autodestructrices, si faibles de l’inconscience de leurs force réelle, que la catastrophe au finish paraît quasiment inéluctable.

*- Le traitement et la perpétuation à dessein d’une certaine misère sociale pour pouvoir régner.

Oui ! Rendre les populations malléables tout en les conservant en état de travailler à leurs propres asservissements sous un pouvoir néo-monarchique arbitraire, dictatorial. Un asservissement consciencieux fondé sur l’escroquerie moral et intellectuelle, qui s’inscrit dans une ligne historique de conquête territoriale, constitue le point d’aboutissement d’une logique sociopolitique prédatrice. Le traitement et la perpétuation à dessein d’une certaine misère sociale pour pouvoir régner sur une population soumise et résignée, portent même à croire que le pouvoir de, Alassane Ouattara s’inspire d’autres temps, d’autres époques peut être celle de Samory Touré, qui à pris fin dans un guet-apens des mystères du brouillard matinal de la guerre du refus et capturé le 29 septembre 1898 quelque par au nord-ouest de la côte d’ivoire sur la terre de nos ancêtre. Eh bien oui ! Toute chose à une fin heureuse ou malheureuse qui annonce un nouveau départ. Merci aux sages. Que la nature protège la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY

Chronique d’une dégénérescence sociale: De Lepetitfils Da Candy Leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 16:45
Notre position d’aujourd’hui est édictée par notre très difficiles premier choix, qui à soutenu nos premiers pas en politique en 1994, qui est de : préféré l’embarras matériel, dans l’aisance intellectuelle, à l’embarras intellectuel, dans l’aisance matérielle. Ni postes, ni titres, pour donner un autres sens à notre vie, « La recherche inlassable, hélas parfois ingrate, de l’intérêt général, du bien commun, et de la paix sociale Houphouëtienne.

Notre position d’aujourd’hui est édictée par notre très difficiles premier choix, qui à soutenu nos premiers pas en politique en 1994, qui est de : préféré l’embarras matériel, dans l’aisance intellectuelle, à l’embarras intellectuel, dans l’aisance matérielle. Ni postes, ni titres, pour donner un autres sens à notre vie, « La recherche inlassable, hélas parfois ingrate, de l’intérêt général, du bien commun, et de la paix sociale Houphouëtienne.

De : Lepetitfils Da Candy, Leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

*- Nous ne parlerons pas ici de ces élections

Nous avons écrits ceci ici, en ces mêmes lieux, le 11 septembre 2015 que: « A quoi bon aller à des élections pour enfin revenir a la case départ sous la même dictature en fait et en droit ? Aux partants pour ces élections du 25 octobre 2015, nous disons attention ! Les jeux sont truqués. Les dés sont bipés. La victoire de Alassane Ouattara au bout du processus électoral de, Alassane Ouattara, ou rien, sinon la terre brulée, c’est ça qui est la vérité. Donc nous ne parlerons pas ici de ces élections sans en jeu démocratique et aux résultats à proclamé connus d’avance. Ces élections ne sont pas la notre, elle ne nous intéresse pas, cette démocratie de façade n’est pas la notre genre, elle est notre contraire. ». C’était le 11 septembre 2015. Donc dans la continuité de la même logique, le résultat de cette même élection ne nous intéresse pas, elle ne nous concerne pas. Mais nous espérons de demain.

*- Demain ! C’est encore permis pour les « cinquantaines et les quarantaines d’âges».

Ne dit-on pas que : « Pour rencontrer l'espérance, il faut être allé au-delà du désespoir. Quand on va jusqu'au bout de la nuit, on rencontre une autre aurore » ? Demain ! C’est encore permis pour les « cinquantaines et les quarantaines d’âges ». Donc disons-nous peut être demain, certainement Demain, sans faute Demain. Tous ensemble moulé dans le système de la démocratie électorale, qui cadre avec le principe du pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple. Donc tous soumis et respectueux du/au système politique de gouvernement démocratique et à la règle du droit. Oui Demain, quand notre mouvement politique d’utilité citoyenne « la légitimité citoyenne (Républicain-Social) » s’offrira un autre statut juridique et par conséquence osera un autre destin.

*- Notre position d’aujourd’hui est édictée par notre très difficiles premier choix.

Oui ! Nous espérons de demain avec une nouvelle génération de politiciens « Les cinquantaines et les quarantaines d’âges » issue des années de crise 1999 à 2011, formée à l’exercice du noble art politique qui est une science exacte ou toutes paroles, toutes actions donnent le résultat escomptés, mis au service du peuple, une nouvelle génération de politiciens forgée dans le combats politique discursif sans violence physique. Et formée dans la lutte pacifique du débat d’idée, endurcie dans l’action politique soutenue, éduquée par les écueils de toute sorte dans l’espace public et qui n’aspire qu’a vivre dans une nation une et indivisible garantissant droit, liberté, justice sociale et juridique pour tous. Notre position d’aujourd’hui est édictée par notre très difficiles premier choix, qui à soutenu nos premiers pas en politique en 1994, qui est de : préféré l’embarras matériel, dans l’aisance intellectuelle, à l’embarras intellectuel, dans l’aisance matérielle. Ni postes, ni titres, pour donner un autres sens à notre vie, « La recherche inlassable, hélas parfois ingrate, de l’intérêt général, du bien commun, et de la paix sociale Houphouëtienne, « avons-nous fait le serment dès le départ. Si les postes, les titres, et le bien matériel peuvent venir à la remorque de nos actions édictées par cette position première, tant mieux pour nous. Mais nous n’en faisons pas une fixation. Donc la personne physique de l’homme politique ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel. Ce qui nous intéresse en l’homme politique ce sont ses actions politiques et gouvernementales qui décident de notre vie, qui décident de la vie de tous et qui décident de la vie de chacun. Et c’est pourquoi peut être que nous sommes exilés politique aujourd’hui.

*- Une société de criminalité socio-économique appelé développement,

Oui ! Nous espérons de demain en refusant aujourd’hui de nous s’inscrire sur le registre des fossoyeurs de la démocratie, des gens qui ne s'intéressent pas à l'homme, mais à dieu l’argent. Dans une société de criminalité économico-sociopolitique appelé développement, comme celui du Liberia de nos enfances, ou tout est monnayable à un prix, même la vie humaine, pour peut être signifié l’inutilité sociale, l’indigence méprisable du citoyen dans une société acculturée aux mœurs dépravées. Nous refusons l’enfermement mercantiliste dans un système mafieux de ripoux, parce qu’en politique si, le défi doit avoir un sens pour l’homme politique, il importe de défier le camp politique de l’injustice sociale, de l’arbitraire, de l’inacceptable et de l’injustifiable. Pour s’inscrire résolument sur le registre des valeurs qui fondent l’organisation d’une société commune, harmonieuse, homogène, du vivre en commun politique et démocratique.

*- Les forces rétrogrades du mal, qui violent les règles préétablies du droit et de la démocratie.

Oui ! Nous espérons de demain, en évitant aujourd’hui, la politique de l’absurde qui ne dessine pas l’horizon d’un avenir commun et meilleur pour les citoyens, mais qui le met en danger. Ce qui n’est autre chose qu’un coup d’arrêt irrecevable et inacceptable au processus démocratique, pourtant qui peut conduire au développement économique et au progrès social pour tous dans notre pays la côte d’ivoire. Il n’est pas sain aujourd’hui de s’afficher partisan d’un pouvoir circonstanciel assis sur la force des armes et d’une politique événementielle porteuse de honte dans l’avenir. Notre pays à plus que jamais besoin aujourd’hui des gens pour sauver notre volonté de vivre un destin meilleur que celui que veulent nous imposer les forces rétrogrades du mal, qui violent les règles préétablies du droit, de la démocratie, qui constituent pourtant le fondement d’une société harmonieuse, d’une société libre, d’une société cohérente, d’une société de droit et d’une société démocratique qui permettent aux citoyens de s’épanouir en tant que citoyens libres et égaux. Oui ! Le résultat de cette élection présidentielle ivoirienne du 25 octobre 2015 ne nous intéresse pas, elle ne nous concerne pas. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny.

Une chronique de Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

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24 octobre 2015 6 24 /10 /octobre /2015 12:28
En participant à un simulacre électoral initié par une dictature en fait et en droit, ce serait cautionner le système dictatorial pervers et démoniaque que l’on prétend dénoncer. Mais le boycott n’a d’intérêt que s’il est  suivi d'action directe pour la reprise du pouvoir d’état par le peuple souverain son ultime détenteur.

En participant à un simulacre électoral initié par une dictature en fait et en droit, ce serait cautionner le système dictatorial pervers et démoniaque que l’on prétend dénoncer. Mais le boycott n’a d’intérêt que s’il est suivi d'action directe pour la reprise du pouvoir d’état par le peuple souverain son ultime détenteur.

« Certes, Nul pouvoir ne peut durablement gouverner s’il n’est pas soutenu par l’autorité qui résulte de la croyance en sa légitimité juridique, démocratique et populaire. Mais le boycott électoral n’a d’intérêt productif que s’il est suivi d'action directe pour la reprise du pouvoir d’état par le peuple souverain son ultime détenteur. Donc tous ensembles ! Pour pouvoir réaliser notre ambition de démocratie, de cohésion sociale, d’harmonie communautaire, de liberté, de droit et de justice juridique et sociale. Oui, tous ensembles ! Nous réussirons à changer notre pays la côte d’ivoire. Ne l’oublions pas maintenant ou jamais et c’est d’une manière ou d’une autre Y COMPRIS DANS LES URNES ELECTORALES. Si nécessaire à la lutte…»

*- Une chronique de : Lepetitfils Da Candy, Leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

Boycott électoral ?

Le boycott électoral accrédite l’idée illusoire qu’il pourrait exister des solutions consensuelles qui ne passent pas par la politique politicienne, fruit d’animosité des rapports de forces dans la conquête du pouvoir d’état et pour l’exercice du pouvoir d’état, souvent au mépris des règles démocratiques et en dépit des droits du citoyen. La démocratie électorale est un apprentissage des limites et de l’autocontrôle, elle est aussi le respect de la diversité sociopolitique, de la pluralité idéologique, de la légitimité populaire, de la transparence, et du consensus républicain. Une démocratie électorale ne doit fonctionner que sur le mode du débat politique, le Boycott électorale est le signe de son inexistence. Lorsqu’on contourne cette réalité électorale par des questions qui paraissent impropres à la pratique démocratique, dès lors l’Animosité du rapport de force supplante la démocratie. Oui ! Il est difficile de participer à une élection ou tu veux ou tu ne veux pas c’est Alassane Ouattara le vainqueur. Il est difficile de voter dans un processus électoral au terme duquel ton vote n’a aucune importance et qui ne compte pas, ou tu veux ou tu ne veux pas c’est Alassane Ouattara le vainqueur. Oui, en participant à un simulacre électoral initié par une dictature en fait et en droit, ce serait cautionner le système dictatorial pervers et démoniaque que l’on prétend dénoncer. Mais le boycott n’a d’intérêt que s’il est suivi d'action directe pour la reprise du pouvoir d’état par le peuple souverain son ultime détenteur. Ainsi les citoyens se trouvent devant le devoir absolue au terme du boycott électoral de consentir à écrire eux même certaines pages de l’histoire du changement sociopolitique de leur patrie.

*- Le citoyen en boycottant veut agir sur le processus électoral.

Voilà pourquoi, le boycott est un signe d’affirmation de la capacité de résistance citoyenne, d’espoir dans un avenir meilleur et conscience d’une puissance en alerte, ce qui n’est pas précisément une posture de citoyen libre. On s’abstient, on boycotte, mais on fait confiance à la protestation citoyenne, pour faire entendre sa voix. Donc le boycott des citoyens est un carton jaune d’avertissement, c’est une fàçon citoyenne de dire nous ne sommes pas d’accord, nous ne pouvons pas continuer avec cette manière moutonnière de panurgisme électorale. Oui! Bien sûr que c’est un devoir citoyen de voter quand le suffrage sert à la souveraineté du peuple, mais c’est aussi un devoir civique de refuser de voter quand le suffrage vise à légitimé une dictature en fait et en droit ou à légitimer une politique répressive à l’égard des opposants et à détruire la souveraineté nationale et populaire. Donc en clair le citoyen en boycottant veut agir sur le processus électoral, en avertissant politiquement par son boycott, qu’il n’est pas content, qu’il ne veut pas d’une telle société voulu par les gouvernants. Le boycott est donc une expression claire de citoyen cherchant a prendre en main son destin au prix que cela mérité, en espérant s’inventer une société de démocratie électorale meilleure.

*- Démocratie électorale ?

La démocratie électorale se définit comme le pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple, cela exclut formellement le pouvoir d’une autorité qui ne tirerait pas sa légitimité du peuple. Et en ce sens la norme constitutionnelle désigne le processus par lequel les élus sont légitimés par élection pour parler au nom du peuple, qui est l’ensemble des citoyens titulaire de la souveraineté. Ainsi, chaque citoyen est titulaire d’une parcelle de la souveraineté, donc pour exercer cette souveraineté il faut voter dans un cadre légal et consensuel. Sinon la souveraineté originaire du citoyen se trouve confisquée et les libertés perdent leur sens au terme de l’abstention électorale par boycott. C’est pourquoi l’abstention électorale par boycott sonne comme une cloche, à l’adresse des dirigeants politiques de l’état, en leurs avertissant que la démocratie ne doit pas être un mot creux vider de tout son sens systémique « un cadavre debout ». Donc l’abstention électorale sonne comme un signe de résistance citoyenne qui précède la réaction active citoyenne . le droit ne se donne pas il s’arrache des griffes de l’arbitraire d’une dictature.

*- La canalisation de la participation et des litiges.

La démocratie électorale accorde à tous les citoyens des droits égaux dans leur participation comme électeurs et comme candidats. Tous soumis au système politique de gouvernement démocratique et à la règle du droit. Ce système permet la canalisation de la participation et des litiges, d’apporter les changements qui s’imposent, du fait que tous ont le droit de discuter librement des questions électorales et politiques, de promouvoir certains points de vue politiques. A fin de l’acceptation par tous des résultats officiels par le truchement de son cadre consensuel et institutionnel. Il devient dès lors difficile pour les participants et les électeurs de ne pas accepter les résultats de l’élection et la légitimité de nouveaux élus si le processus électoral est ainsi consensuel, libre, juste, exact, transparent et surveillé par tous. Au cas contraire le résultat de l’élection ne s’impose pas aux citoyens.

*- S’occuper des urnes électorales de la dictature de, Alassane Ouattara.

Or, Nul pouvoir ne peut obliger les citoyens, nul pouvoir ne peut s’imposer au peuple, et nul pouvoir ne peut durablement gouverner un peuple, s’il n’est pas soutenu par l’autorité qui résulte de la croyance en sa légitimité populaire. Donc pour l’élection présidentielle de demain 25 octobre 2015 en Côte d’Ivoire, élection s’il y a ? Le peuple ivoirien doit rompre radicalement, avec l’immobilisme et le pacifisme négatif pour livrer tous ensemble le combat régénérateurs pour le destin de la patrie dans le concert des nations. Oui, il y a extrême danger, il y a péril à la maison. Les citoyens doivent se réveiller pour que des groupes de citoyens dans leurs périmètres d’évolution dans toute l’assiette territoriale puissent s’occuper des urnes électorales de la dictature de, Alassane Ouattara, pour avoir ainsi pitié des 19841 bureaux de votes Alassanéen. Oui, que le peuple ivoirien se détrompe Alassane Ouattara vise vingt (20) ans de pouvoir et une succession hybride avec la modification constitutionnelle annoncée. Donc tous ensembles ! D’une manière ou d’une autre y compris dans les urnes électorales, si nécessaire à la lutte, parce que le bulletin de vote mis à l'abri des pressions politiques possède la même valeur d’outil de lutte citoyenne et la même force de combat que les armes d’une dictature. Tous ensembles ! Pour pouvoir réaliser notre ambition de démocratie, de cohésion sociale, d’harmonie communautaire, de liberté, de droit et de justice juridique et sociale. Tous ensembles ! Nous réussirons à changer notre pays la côte d’ivoire. Ne l’oublions pas c’est maintenant ou jamais et c’est d’une manière ou d’une autre. Et personne ne viendra le faire en lieu et place des ivoiriens. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

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21 octobre 2015 3 21 /10 /octobre /2015 14:08
Une élection démocratique exige un système électoral équitable qui offre des chances égales pour tous les participants, situés tous à équidistance du pouvoir d’état.

Une élection démocratique exige un système électoral équitable qui offre des chances égales pour tous les participants, situés tous à équidistance du pouvoir d’état.

Une chronique de : Lepetitfils Da Candy, Leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

Élection démocratique?

Oui, une élection démocratique, libre, juste, équitable et transparente exige, un processus électoral neutre, impartial, transparent, consensuel. Une loi électorale acceptée par tous, qui se montre particulièrement sourcilleuse sur l’impartialité. Une loi électorale qui n'a qu’un seul objectif, qu'une seule finalité : disqualifier juridiquement et politiquement les contestations et l'usage de la violence contre et dans les assemblées électorales de par son impartialité. Aussi une élection démocratique exige un système électoral équitable qui offre des chances égales pour tous les participants, situés tous à équidistance du pouvoir d’état. Elle exige une commission électorale autonome, neutre et impartiale et l’absence d’intimidation d’où qu’elle vienne et quelle qu’elle soit. L’intimidation électorale est l'expression la plus antagonique du droit de suffrage. Elle est l'affirmation en acte de la volonté de certains dictateurs d'infléchir et donc de corrompre le destin d’autrui. Elle est plus fondamentalement, un mode d’imposition et de domination tenu pour archaïque au 21e siècle. Eh bien oui ! Le processus électoral de la côte d’ivoire du 25 octobre 2015 ? Elle n’est que l’expression de la volonté d’une dictature, celle de, Alassane Ouattara, d’où point de dialogue, point de consensus, tout pour le diktat. Donc elle n’est que le signe d’une côte d’ivoire sous l’emprise de la loi de la jungle.

Adieu! La démocratie, Adieu! La stabilité sociopolitique, Adieu! La paix pérenne.

Oui, une élection démocratique ne peut connaître de succès que si les participants au processus croient que les administrateurs électoraux accomplissent leurs tâches de façon neutre, transparente et sans partialité politique. S'il en était autrement, la crédibilité du processus serait mise en jeu et la réputation de l'organisme électoral, en souffrirait. Surtout lorsque certains dirigeants de l'organisme électoral sont nommés par le pouvoir exécutif, sur la base de leurs liens privilégiés. Dès lors le peuple souverain doit dire, Adieu! La démocratie, Adieu! La stabilité sociopolitique, Adieu! La paix pérenne. Donc Alassane Ouattara proclamé réélu ne soit pas surpris peuple ivoirien de l’entendre, c’est le couronnement systémique de son processus électoral cadenassé et bâclé.

Ni les autres candidats, ni le peuple souverain ne compte, c’est le dictateur ou la terre brulée

Oui, le peuple de côte d’ivoire ne doit pas se leurrer, aucune dictature en fait et en droit ne peut être battu au terme de son propre processus électoral. Non ! Ce n’est pas possible, parce que la dictature est consciente qu’elle perdra ainsi son essence de survie. Au terme de ce genre de processus électoral fricoté par une dictature, ni les autres candidats, ni le peuple souverain ne compte, c’est le dictateur ou la terre brulée. C’est pourquoi, le peuple souverain de côte d’ivoire doit maintenant se découvrir des valeurs de la Grèce, advienne que pourra. Pour avoir pitié des 19.841 Bureaux de vote du 25 octobre 2015 du processus électoral cadenassé et bâclé de, Alassane Ouattara, le fossoyeur de la démocratie ivoirienne, et le champion toute catégorie du holdup électoral. Parce que l’affaire est gravissime, plus qu’une affaire de racailles à la Française.

Une chance de revenir la tête haute dans le concert des nations

Seul le changement viendra en côte d’ivoire avec une révolution pacifique à laquelle tout le peuple, de toutes les tendances sociopolitiques politiques, de toutes les mouvances idéologiques confondues, doit participer. Ainsi la communauté des individus ne fera plus qu'une avec la société des citoyens, engagée dans une lutte synergique pour la libération nationale. C'est la seule façon de donner à notre pays la côte d’ivoire une chance de revenir la tête haute dans le concert des nations démocratiques et civilisées.

C’est maintenant ou jamais.

Seule une véritable prise de conscience du peuple ivoirien qui se traduirait par un rejet franc et massif de tout le système pervers et démoniaque du pouvoir d’Alassane Ouattara, pourra sortir la côte d’ivoire de l'enfer dans lequel elle est prisonnière. Le peuple doit consentir à payer le prix juste pour la mise en place d’une démocratie réelle. Le peuple doit rompre radicalement, maintenant avec l’immobilisme et le pacifisme négatif pour livrer tous ensemble le combat régénérateurs pour le destin de la patrie dans le concert des nations. C’est maintenant ou jamais. Une dictature c’est comme un arbre chaque année ses racines prennent de la longueur qui la solidifie de plus en plus et son déracinement devient de plus en plus difficile. Les dégâts sociopolitiques plus énormes.

Aux fins uniques de CHANGER la côte d’ivoire.

Seul le peuple peut libérer la côte d’ivoire. C’est-à-dire les citoyens côtes-à-côte et coudes-à-coude au cours d’une ligue citoyenne pour le droit, la liberté, la démocratie et la justice juridique et sociale pour tous. Cette lutte s’impose à tous ivoirien, pour le CHANGEMENT sociopolitique dans notre pays la côte d’ivoire. Aux fins uniques de CHANGER la côte d’ivoire sous l’emprise d’un système politique criminel et pervers de, Alassane Ouattara, devenu démoniaque. Cela fort du principe, qu’il n'existe point de peuple s'il n'est contenu dans le lien commun de la loi. Et la paix ne peut être obtenue que par le respect du droit. Et une société ne peut être paisible et cohérente que par la reconnaissance de tous dans leurs originalités absolues à l’intérieur de l’égalité de tous. Oui, C’est la citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement...

Ne l’oublions pas c’est d’une manière ou d’une autre.

Donc tous ensembles ! D’une manière ou d’une autre y compris dans les urnes électorales, parce que le bulletin de vote mis à l'abri des pressions politiques possède la même valeur d’outil de lutte citoyenne et la même force de combat que les armes d’une dictature. Tous ensembles ! Nous réussirons à changer notre pays la côte d’ivoire. Ne l’oublions pas c’est d’une manière ou d’une autre. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

Une chronique de Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

Pour tout autre.

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15 octobre 2015 4 15 /10 /octobre /2015 12:35
Hier « Ado solution » n’a visiblement plus de solutions pour la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, mais il demande un panurgisme suiviste et moutonnier derrière lui, comme cet homme vendu/acheté réduit à l’assujettissement corde au coup ignorant tout de sa destination derrière son maitre sur la route du désert.

Hier « Ado solution » n’a visiblement plus de solutions pour la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, mais il demande un panurgisme suiviste et moutonnier derrière lui, comme cet homme vendu/acheté réduit à l’assujettissement corde au coup ignorant tout de sa destination derrière son maitre sur la route du désert.

Une chronique de : Lepetitfils Da Candy, Leader de la légitimité citoyenne en exil.

*- La goutte d’eau continue.

Il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Si l’ivoirien n’arrête pas la dynamique démoniaque du pouvoir de, Alassane Ouattara en 2015, le pire reste à venir pour le peuple ivoirien. Parce que le pouvoir de, Alassane Ouattara né d’une guerre d’agression et nourri par l’entretien sciemment de la crise sociale, donc en sempiternelle crise sociopolitique ne peut générer que des crises de toutes sortes, jusqu’au jour ou il fera jour. Oui, un pouvoir d’état fut-il par les armes ne peut exister seulement que par la dictature, par l’autoritarisme, par l’arbitraire aveugle, en justifier son existence et tout ses travers politique d’animosité que par la simple nécessité d’entretenir sciemment les crises sociopolitiques. Pour avoir des alibis et des paravents justificatifs pour persécuté les opposants et les citoyens non-soumis, a fin de conservation de FAIT du pouvoir d’état. Donc à défaut de légalité juridique du pouvoir d’état et de consensus politique autour de la chose publique, il n’y a d’autre solution que de lutter tous ensemble pour le CHANGEMENT sociopolitique dans notre pays, la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, d’une manière ou d’une autre y compris dans les urnes électorales. Donc une lutte synergique dans un, Ni Héro comme ZORO, Ni Brave-tchê, mais le peuple souverain détenteur ultime du pouvoir d’état, convaincu, persuadé et déterminé aux mains nues à prendre son destin en main, sous la lumière des gyroscopes du CHANGEMENT est la seule solution pour la côte d’ivoire. Avons-nous toujours dit et répété

*- Ivoirien ! Il nous faut maintenant montrer notre capacité à faire bouger les lignes sociopolitiques

« Il nous faut (ivoirien) une véritable révolution, pour préservé la côte d’ivoire du chaos social total, la côte d’ivoire offre aujourd’hui le visage d’un pays à la dérive, un pays qui présente rien qui soit porteur de lendemain qui chantent pas même pour les ennemis des ivoiriens ». Oui, lutter tous ensembles, ne n’oublions pas, les sociétés humaines progressent non pas de façon linéaire en ligne continue, mais par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre, ceci est valable pour la société ivoirienne. Donc si nous devons être crédibles aux yeux du monde, il nous faut absolument, pour une fois taire nos querelles personnelles, arrêter nos divisions internes, placarder nos brouilles de leadership, pour montrer notre capacité à faire bouger les lignes sociopolitiques en côte d’ivoire d’une manière ou d’une autre, s’il le faut dans la rue opposante consensuelle et équilibriste critique ou dans les urnes « transparentes » électorales pour changer la côte d’ivoire. La lutte individuelle de chacun pour la conquête du pouvoir d’état, ne doit pas altéré les exigences citoyennes, de défense de l’intérêt général, de combat démocratique, de vérité citoyenne, de lucidité politique, d’objectivité dans la lutte et de courage dans l’action politique dans notre pays la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Il nous faut faire à tout prix bouger la côte d’ivoire, au prix que cela mérite, d’ou aucun sacrifice n’est trop grand. Il nous faut être de toutes les luttes légales, ne pas céder un seul pouce de terrain de nos droits, de nos libertés et de nos devoirs, face à la dictature de, Alassane Ouattara, ne jamais être gagné par la résignation ambiante autodestructrice. Oui ! Quand on marche vers un objet ou un but que l’on désire, il faut premièrement que l’on y veuille aller a tout prix, en second lieu que l’on soit disposer à tout faire pour se donner les moyens pour que ses pieds l’y porte. Donc se principe ou cette maxime édicte que, qu’un paralytique veuille courir, qu’un homme agile ne veuille pas courir, tous deux resteront en place. Donc notre vouloir de changer la côte d’ivoire, doit être accompagné par l’action citoyenne soutenue. Disons ici, Bravo à l’intelligentsia ivoirienne peuplé en parti de Francs-tireurs pour l’œuvre déjà accomplie.

*- Il y a quelque chose qui ne va pas dans l’écologie mentale du pouvoir de, Alassane Ouattara.

En effet, face à l’arbitraire du pouvoir dictatorial de, Alassane Ouattara, si aujourd’hui l’ivoirien se permet de démissionner, la société ivoirienne continuera pour autant de changer en s’acculturant et changera ainsi jusqu’à la déculturation, malgré cette démission de l’ivoirien. Oui ! La société ivoirienne changera dans le sens désiré par ceux qui s’y investiront eux, le plus de volonté, d’engagement, de fanatisme ou de rage et même de haine de l’autre, n’est-ce pas ce qui commence à se passer aujourd’hui sous nos yeux avec le pouvoir de Alassane Ouattara ? Évidemment oui ! Et c’est tout le sens de ; « je rêve de faire de la côte d’ivoire une Amérique et forger un Ivoirien nouveau Américanisé ». Eh bien Oui, vous avez bien entendu, le coupé-cloué d’une Amérique avec toutes ses mœurs transplantées au cœur de L’Afrique de l’ouest et sur la terre de nos ancêtres en côte d’ivoire. Non ! Il y a quelque chose qui ne va pas dans l’écologie mentale du pouvoir de, Alassane Ouattara. « Alassane Ouattara n’a jamais collé la paix à la Côte d’Ivoire depuis 93». Notre côte d’ivoire, la côte d’ivoire d’Afrique doit rester elle-même et rester fière de son identité socioculturelle dans le concert des nations. Un peuple qui ne va pas à la rencontre des autres peuples du monde avec son identité socioculturelle dans le concert des nations et dans le respect des différences est un peuple sans racine, un peuple perdu pour lui et un peuple perdu pour son continent. C’est pourquoi nous disons Non ! La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, la côte d’ivoire d’Africaine ne se perdra jamais dans les mœurs Américaines, de par la volonté de, nous ne savons de quel Américain ou de quel Américanisme d’alpiniste politique notoire? Elle « la côte d’ivoire » restera elle-même dans le concert des nations. Félix Houphouët Boigny et ses suivants ont éduqués, formés des gens pour que ça soit ainsi, ce dont contre quoi un habile et pauvre opportuniste Américanophile hybride ne peut rien.

*- Notre combat essentiel doit être un combat légal et loyal en faveur des droits bafoués, des libertés aliénées.

C’est pourquoi l’ivoirien doit bien regarder son pays à la lumière des années, FELIX HOUPHOUET BOIGNY, HENRI KONAN BEDIE et avant le déclenchement de la guerre d’agression en septembre 2002, pour mesurer le degré de dénaturation des mœurs sociétale, d’acculturation sociale, de la dégénérescence de la totalité sociopolitique et d’instruire les jeunes majeurs à la lumière de la politique de paix de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. « Ouattara a gâté le pays et il faut le reconstruire. Il y a eu trop de morts, trop de frustrations et d’emprisonnements». Oui ! Parti du pas une seule goutte de sang humain versée sur le sol ivoirien, sous FELIX HOUPHOUET BOIGNY, nous sommes aujourd’hui à sept milles (7000) morts de citoyens zigouillés par un carriériste pathologique, comme rien était, du normal quoi ! Chaque jour nous reculons d’un nouveau cran sur tous les plans, de droits, de libertés, de démocratie, d’harmonie communautaire. De par nos divisions mercantilistes internes, sources de notre inertie dans le combat politique, et notre passivité dans l’action de lutte synergique, chaque jour nous défaisons un nouveau pas de ce que construisirent nos devanciers FELIX HOUPHOUET BOIGNY en tête vers la paix Houphouetienne, qui justement voulaient une société ivoirienne harmonieuse, solidaire, stable, prospère, fraternelle et de paix. Aujourd’hui notre combat essentiel doit être un combat légal et loyal en faveur des droits bafoués, des libertés aliénées, de la démocratie piétinée. Surtout d’une véritable démocratie ou tous les changements sociopolitiques seront possibles, mais dans l’ordre y compris juridique.

*- Ne pas laisser le soin de déterminer la nature du changement à la force de régression sociale qu’est le pouvoir Ouattara.

Certes les ivoiriens sont d’une école politique « Houphouetienne » de non-violence, mais n’empêche l’ivoirien est d’une culture de combat politique loyal et de lutte citoyenne légale au risque de sa vie, « Laurent GBAGBO en est l’incarnation. Et les enfants de l’indépendance n’en sont que des légitimes successeurs endurcis». Aussi ne l’oublions pas, les sociétés se débarrassent ou se libèrent d’une dictature, d’un despote, de la tyrannie, du non droit, de l’illégal, de l’illégitime, du fascisme et de l’arbitraire, qu’en donnant une réponse docte, experte, scientifique et savante, aux situations de chaos social, à la barbarie d’un pouvoir d’état et à la dictature, de/par son intelligentsia. De toute façon y renoncer par l’intelligentsia n’empêchera pas la société de changer, mais cela reviendrait à laisser à d’autres en particulier la force de régression sociale qu’est le pouvoir dictatorial de, Alassane Ouattara le soin de déterminer la nature de ce changement sociopolitique. Malgré l’instauration du chaos social sempiternel et en dépit du besoin pressant d’instauration de la stabilité sociopolitique, de l’harmonie communautaire et de la paix sociale pérenne.

*- Se défaire de l’emprise d’un système politique criminel et pervers devenu démoniaque.

Donc il faut nous répéter encore ici, aujourd’hui plus que jamais s’impose à l’ivoirien, une lutte synergique, sans rechercher un Héro comme ZORO ou un brave-tchê pour d’autres, seul le peuple souverain convaincu, persuadé et déterminé aux mains nues dans la rue ou dans les urnes électorales à prendre son destin en main est la solution pour la côte d’ivoire. Cette lutte s’impose à tous ensemble ivoirien, pour le CHANGEMENT sociopolitique dans notre pays la côte d’ivoire, d’une manière ou d’une autre, et au prix que cela mérite. Aux fins uniques de CHANGER la côte d’ivoire sous l’emprise du système politique criminel et pervers de, Alassane Ouattara, devenu démoniaque. Le bonheur dans une nation ne se limite pas aux fanfaronnades d’autosatisfactions de milliards par-ci et de milliards par-là et aux propagandes sur des chiffres farfelus de croissances économiques, supposé être un développement économique qui laisse l’homme au bord de la route du progrès. Alassane Ouattara « Hier Ado solution » n’a visiblement plus de solutions pour la côte d’ivoire, mais il demande un panurgisme suiviste et moutonnier derrière lui, comme cet homme vendu/acheté réduit à l’assujettissement corde au coup ignorant tout de sa destination derrière son maitre sur la route du désert. Allons-y seulement ? Mais que la jeunesse ivoirienne se rassure et se détrompe, s’il y a un coup-Kao le 25 octobre 2015, c’est elle que Alassane Ouattara aura réussi à mettre un coup-Kao. Et il ne la restera plus « jeunesse ivoirienne » que la débilité mentale en compagnie de son bien aimé meilleure Amie, la rue consentante, opposante consensuelle et équilibriste critique.

*- L’ivoirien, au bord de la route du progrès social et l’homme au sous-sol du développement.

En clair, on est soumis derrière Ado et on est servile et puérile avec Ado ou on n’est l’ennemi à abattre d’Ado et par Ado et ses fantassins. Or « Toute politique qui ne met pas l’homme au début et à la fin est vouée à l’échec ». Depuis cinq (5) ans, on nous parle d’un développement socio-économique, qui laisse le citoyen au bord de la route du progrès social et l’homme au sous-sol du développement. Depuis cinq (5) ans, Rien de concret, le noir, le néant et le vide. Pas une seule conception politique et sociale, dans le sens de l’apaisement sociopolitique, pas de mesure de politique économique salvatrice, qui met le citoyen au centre du débat développemental et du progrès social. Pas une seule action intelligente, crédible, opportune, novatrice, cohérente dans le sens de la réconciliation nationale et dans la recherche de la paix sociale pérenne. Les tueries orchestrées et les emprisonnements d’opposants au terme des poursuites judiciaires effrénées et téléguidées par le pouvoir de, Alassane Ouattara ont peuplés ses « 5 » ans de pouvoir d’une catastrophe sociale. Ou tout les droits, toutes les libertés et la démocratie réelle ont été piétinés sur l’autel des intérêts mafieux, de la conservation de FAIT du pouvoir d’état avec la force matérielle des armes impies et avec le soutien d’une mafia internationale.

*- Nous sommes convaincus, que le salut de la côte d’ivoire viendra du peuple souverain martyrisé.

Donc aujourd’hui avec la côte d’ivoire dans cette nasse, ou le pouvoir de, Alassane Ouattara repend la boue et oblige les honnêtes citoyens et tous les passants à y patauger et de s’écrier après en disant regardez-moi ces sales Mecs comme ils sont sales allez vous faire foutre en enfer. Dès lors le premier devoir assigner ici à tout intellectuel ivoirien « Auxquels nous disons Bravo ! » est précisément d’éclairer d’une lumière constante, les différents niveaux de la sphère publique, de l’arène politique et du pouvoir d’état. Pour discerner les intérêts généraux et les intérêts particuliers, les légalités et les illégalités, les légitimités et les illégitimités, les droits et les non-droits, les risques sociaux graves et les assurances certaines. De là doit découler l’action synergique, l’action collective et l’action individuelle de chaque citoyen, visant à combattre, à réguler, à corriger ou à améliorer les divers aspects de la vie sociopolitique, de la vie publique et la conduite des affaires publiques étatiques. Citoyen ivoirien ! « Les merdes, ça vole toujours en escadrille ! » Et c’est souvent le gouvernant inconséquent et inconscient qui crée et cherche les merdes. Nous « ivoirien » d’un pays devenu de merdes devons militer en faveur de l’émergence d’une véritable démocratie, avec une société civile organisée autour des citoyens, capable de faire pièces aux dérives néo-monarchiste, à la ploutocratie naissante ou à l’hégémonie d’un clan, d’une fratrie et la boulimie financière de nos dits gouvernants et l’arbitraire du pouvoir de, Alassane Ouattara, pour que la paix perpétuelle revienne dans le pays de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nous sommes convaincus, que le salut de la côte d’ivoire viendra du peuple souverain martyrisé, ultime détenteur du pouvoir d’état. Pour que nous « ivoirien » réapprenions à rire à nouveau ensemble, à apprécier ce qu’il y a de meilleur en chacun de nous, au terme d’un vrai processus de réconciliation nationale ou nous ne demanderons pas d’oublier « Amnistie générale » mais demanderons d’essayer de pardonner pour la paix sociopolitique et pour vivre en commun dans le respect des différences. Tous ensembles d’une manière ou d’une autre, y compris dans les urnes électorales, si élection il y a ? Nous réussirons à changer notre pays la côte d’ivoire. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

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7 octobre 2015 3 07 /10 /octobre /2015 12:40
Être grand n’est pas d’entretenir sciemment une petite brouille politicienne d’intérêt égoïste, égocentrique et compromissoire. D’où les individus qui n’envisagent le combat politique et le débat démocratique, que sous la forme d'une guerre civile opposant deux armées rivales, qui ne pensent qu’à s’exterminé mutuellement s’entre-déchirent autour des intérêts égoïstes égocentrique et mafieux. Ou règne le moi ou la terre brulée, l’emprisonnement volontaire dans un carcan de certitudes bétonnées.

Être grand n’est pas d’entretenir sciemment une petite brouille politicienne d’intérêt égoïste, égocentrique et compromissoire. D’où les individus qui n’envisagent le combat politique et le débat démocratique, que sous la forme d'une guerre civile opposant deux armées rivales, qui ne pensent qu’à s’exterminé mutuellement s’entre-déchirent autour des intérêts égoïstes égocentrique et mafieux. Ou règne le moi ou la terre brulée, l’emprisonnement volontaire dans un carcan de certitudes bétonnées.

Une chronique de : Lepetitfils. Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

*- Alassane Ouattara sert la malbouffe aux ivoiriens.

Le peuple souverain de côte d’ivoire à le devoir absolu de savoir devenir fou, d’une folie libératrice pour lui-même peuple souverain et d’une folie destructrice pour ceux qui le martyrise. Oui, quand un pouvoir d’état rend un peuple fou furieux et débile, il se met soi-même à la merci de ses crises de folie. Parce que confiné dans la loi de la jungle le peuple souverain ne peut avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature. Eh oui, un de ces quatre matins les citoyens ivoiriens groggy, abruti, infantilisé risque de se réveiller autrement que par procuration, en l’état de débilité mentale avancé et décidé à prendre son destin en main dans la rue consentante, cette opposante consensuelle et équilibriste critique, qui est la meilleure amie de la souveraineté populaire dans une démocratie réelle. Oui, L’Institutionnalisation de l’affront cynique à l’intelligence des citoyens autour de la chose publique, la PETITESSE égocentrique institutionnalisée dans la gestion de crises sociopolitique par le pouvoir de, Alassane Ouattara, qui va à coup sûr perdre la côte d’ivoire en serait la cause unique de cette folie du peuple souverain. Oui, la grandeur d’âme et la largesse d’esprit autour des affaires publiques ont déserté l’âme du pouvoir dictatorial et criminel piloté par Alassane Ouattara.

*- Conséquence : La déchirure sociale, la fracture communautaire et la dégénérescence de la totalité sociale ivoirienne.

Oui, on ne peut pas être grand d’esprit et entretenir sciemment une crise sociale pour des intérêts mafieux, égoïstes et égocentriques. Être grand c’est soutenir une grande querelle débarrassée de la défense de tous intérêts particuliers. Donc être grand, c’est défendre l’intérêt général de la totalité sociale en transcendant son propre être. Être grand n’est pas d’entretenir sciemment une petite brouille politicienne d’intérêt égoïste, égocentrique et compromissoire a fin de préservé les intérêts indus. D’où les individus s’entre-déchirent autour des intérêts égoïstes égocentrique et mafieux. Des individus qui n’envisagent le combat politique et le débat démocratique, que sous la forme d'une guerre civile opposant deux armées rivales qui ne pensent qu’à s’exterminé mutuellement. Alors qu’une grande querelle est le sujet d’intérêts public, qui se rapporte à la vie harmonieuse en société et à l’avenir de la nation dans le concert des nations. Au bien commun et à la conduite de la nation a sa juste place dans le concert des nations. Oui ! Le pouvoir de, Alassane Ouattara à conduit la Côte d’ivoire dans une situation de petitesse néo-monarchiste ou elle « la côte d’ivoire » prise en otage par des politicards mafieux, vie une situation sociopolitique délétère, de désordre, de tension, d’incertitude et de désespérance qui règne actuellement en Côte d’ivoire. Et ces hommes politicards qui s'arrogent le nom « de dirigeants » ont décidé que le peuple souverain de côte d’ivoire et exclusivement lui, doit se serrer la ceinture, jusqu’au deuxième mandat de Alassane Ouattara. Qu'importe si déjà il n'a pas trouvé grand-chose pour vivre au cours du premier mandat de FAIT de ce même Alassane Ouattara. Mais tant pis pour le peuple souverain de côte d’ivoire, leurs missions au terme d’une mafieuse compromission électorale à eux, ils doivent faire d’une fratrie des multimilliardaires grâce aux deniers publics propriété exclusive du peuple souverain de côte d’ivoire.

*- Le solde éhonté et criminel de la politique socio-économique de Félix Houphouët Boigny par une mafia.

Le pouvoir communautariste criminel et le dirigisme économique mafieux de, Alassane Ouattara sont la route de la mort «sept milles (7000) citoyens y sont déjà allé par cette route mortifère». Et c’est pourquoi, notre patrie la côte d’ivoire est devenue comme cet homme, qui marche sur la tête et qui à chuté du dixième étage d’un immeuble, chemin faisant vers les rochets au sol en se répétant sans cesse, « jusque là tout va bien !». Que la nature nous en garde des effets évidents et des conséquences certaines d’un atterrissage non-amorti sur les rochets d’une élection truquée à l’arrivée au sol. La cause de la chute du dixième étage de l’honneur ? Eh bien ! Le solde éhonté de la politique socio-économique de Félix Houphouët Boigny, par un criminel de guerre Alassane Ouattara en est la cause unique. C’est-à-dire le solde par les armes «fusils » de l’unité dans la diversité, de la reconnaissance de l’autre dans son originalité absolue à l’intérieure de l’égalité de tous, du renforcement des lois nationales en tenant compte de la nature propre aux différentes traditions sociales, culturelles et religieuses de chaque communauté nationale et de chaque localité de sous groupe. La préservation dans la paix de l’intégrité territoriale, de la cohésion sociale, de la solidarité diverse nationale et de l’harmonie communautaire a été soldée, par ces politicards devenus gouvernants par les armes impies d’une guerre d’agression maquillées par un hold-up électoral. Oui ! Tous soldé par la force des armes impies, ce qui a entraîné la déchirure sociale, la fracture communautaire et la dégénérescence de la totalité sociale ivoirienne.

*- Au surplus la folie haineuse des autres appartenances sociopolitiques sévit au sommet de l’État.

Oui ! La dictature a horreur de tout ce qui constitue une menace réelle, même de droit, démocratique, légitime et légale, pour son pouvoir arbitraire. La dictature de, Alassane Ouattara n’a pas failli à cette règle de la peur de son propre ombre. D’où le refus du consensus politique et du dialogue républicain, de la transparence électorale. Le tout accompagné des arrestations arbitraires d’opposants politiques, le recours à toute forme de mauvais traitements et l’orchestration cynique des poursuites judiciaires, des emprisonnements sans limites, des déportations inhumaines et des tueries sadiques. Les citoyens décontenancés, assistent impuissant à ce spectacle honteux d’un pouvoir marqué du seau indélébile du fleuve de sang versé. Et de la haine pour les autres appartenances sociopolitiques dont la fin semble ne pas être pour 2015. Et partant, pas pour 2020 soumis à une compromission électorale mafieuse d’alternance dite politique. Se faisant les politicards devenus gouvernants par les armes impies d’une guerre d’agression, maquillées par un hold-up électoral en 2010 transforment ainsi en tragédie leur propre existence et plus sûrement encore celle des pauvres citoyens en damnation. Ainsi, avons-nous dit la folie haineuse pour les autres appartenances sociopolitique sévit au sommet de l’État, tout juste contenue in fine pour des raisons électorales, mais, toujours franchissant les bornes de convenances et les limites de l’inacceptable et de l’injustifiable. La politique mafieuse du communautarismes de rattrapages en est la cause. Il n’est guère de mois sans qu’un événement viennent rappeler et aggraver encore la situation sociale délétère et de désespérance de plus en plus fréquemment qui déchire la république entre les mains d’une cohorte lamentable de politicards Alpinistes, ripoux, mafieux, affairiste, vindicative, agressive et dont les fantassins ont pour jeux favoris les crimes de toutes sortes.

*- Une politique de l’emprisonnement volontaire dans un carcan de certitudes bétonnées.

Oui, l’intolérance et le sectarisme de ces gouvernants que cette situation entretient, les manipulations politiciennes du peuple martyrisé par compromission qu’elle permet, jusqu’à permettre de cadenassé et bloquer le processus électoral à leur guise, avec pour conséquences, plus de réflexions collectives, plus d’ouverture vers l’autre, la priorité demeurant le moi ou rien, Alassane Ouattara ou la terre brulée, va rendre a coup sûr le peuple ivoirien fou furieux et débile. Ce véritable processus de sécession mentale, soutenue par une criminelle politique économique dirigiste d’emprisonnement volontaire dans un carcan de certitudes bétonnées. Où les slogans exutoires tambourinés étouffent la moindre prise en compte des analyses doctes, esthètes, intellectuellement critiques, objectives ou réelles, va décider le peuple souverain à prendre son destin en main dans la rue, cette opposante consensuelle et équilibriste critique. Parce que les citoyens trouvent cette attitude désastreuse, qui à surtout contribuer à renforcer la conviction politique d’une nouvelle génération d’hommes politiques « les enfants de l’indépendance et consorts » forgée dans le combats politique discursif sans violence physique. Et formée dans la lutte pacifique du débat d’idée, endurcie dans l’action politique soutenue, éduquée par les écueils de toute sorte dans l’espace public, orienté vers la sagesse de Houphouët Boigny, par les travers politiques d’un communautarisme de rattrapage malsain. Et les faits chaotiques résultants de la guerre d’agression de, Alassane Ouattara déclenchée en septembre 2002.

*- C’est pourquoi, il faut absolument réformer, bousculer, orienter, peser et rester maitre de son destin.

Oui, Une génération qui offrira à coups sûrs demain à la Côte d’Ivoire une pépinière de nouveaux politiciens honnêtes, qui combattront sans relâche toute velléité de ressusciter le pouvoir par les armes. Les politiques de divisions pour régner dont le communautarisme criminel de rattrapage et du dirigisme économique criminel qui le nourri. Parce que comme un corps malade secrète des anticorps, la démocratie désenchantée de la côte d’ivoire à instruit, inventé, appelé de nouvelles pratiques politiques qui tentent de faire porter la délibération politique collective sur des sujets et objets réels et non sur des fictions politiques et des mythes fabriqués de toutes pièces. C’est peut être le prix à payer pour la mise en place d’une démocratie plus prosaïque mais plus consistante. C’est donc l’occasion d’insister ici, qu’il sera légitime aujourd’hui pour le peuple ivoirien de se réveiller pour mener une lutte synergique contre l’arbitraire de, Alassane Ouattara, tous ensemble avant qu’il ne soit trop tard et/ou d’être dans l’isoloir des votes au cours des élections à venir si élections il y a ? Car il faut absolument réformer, bousculer, orienter, peser et rester maitre de son destin, maître des situations acquises. Car il faut rompre radicalement, maintenant avec l’immobilisme et le pacifisme négatif pour livrer tous ensemble le combat régénérateurs pour le destin de la patrie dans le concert des nations.

*- Il est indispensable de mener le noble combat pacifique, libérateur, régénérateur et salvateur tous ensembles côte-à-côte.

C’est pourquoi, il ne reste que deux options possibles pour les citoyens, pour le peuple souverain ; se soumettre au chaos sociopolitique entretenu sciemment, admettre la barbarie comme règle sociopolitique, et l’arbitraire entretenus par un système politique criminel, ou se battre contre ce système politique criminel de, Alassane Ouattara. Pour y parvenir, il faudra que tous les faux clivages politiques, les antagonismes artificiels et la division dissolvants soient dépassés. Le choix alors est simple : soit la division généralisée au mépris de la diversité solidarité, pour exister politiquement et l’apartheid sociopolitique généralisé, en dépit du besoin pressant de la ré-instauration de l’harmonie communautaire mise en lambeau. Donc chacun dans sa case familiale, cloîtrer dans son petit coin, tous les uns contre tous les autres, défendant des intérêts égoïstes et égocentriques, dans un capharnaüm kafkaïen chez pétaudière. Ou soit mener le noble combat politique pacifique, libérateur, régénérateur et salvateur, ni Gauche, ni Droite, mais synergique, tous ensembles et en même temps. C’est-à-dire les citoyens côtes-à-côte et coudes-à-coude au cours d’une ligue citoyenne pour le droit, la liberté, la démocratie et la justice juridique et sociale pour tous. Donc à vos marques ivoirien et ivoirienne, citoyen et citoyenne, démocrates et républicains, (CNC) Coalition nationale du changement et (AFD) Alliance des Forces Démocratiques de Côte d’Ivoire, Peuple ivoirien de gauche et peuple ivoirien de droite, peuple ivoirien incolore, pour l’administration d’un sérieux coup de pied libérateur, bien administré au cul du pouvoir dictatorial de, Alassane Ouattara, oui, la majorité populaire et électorale techniquement acquise au regard de la sociologie électorale, nous n’avons plus d’autre choix que de nous battre contre l’arbitraire du pouvoir de, Alassane Ouattara.

*- Citoyen ivoirien pour une fois, détrompons nous, C’est tous ensembles ! ou la damnation

Oui, Citoyen tant que tu resteras l’applaudimètre résigné et la brigade d’acclamation consentante de, Alassane Ouattara tout le monde restera prisonnier et/ou prisonnier en puissance d’une manière ou d’une autre en côte d’ivoire. Oui ! Tout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire par la parole du/au peuple souverain. La libération de tous « libération nationale » ne se fera qu’à la faveur d’un changement de pouvoir en côte d’ivoire. Nous espérons de l’appel des intellectuels ivoiriens dans ce sens « d’autres ont déjà ouvert le bal » avec pour seule ambition la recherche de la paix sociopolitique. Oui ! Ivoirien tu veux libérer les déportés Laurent GBAGBO et Blé Goudé ? C’est tous ensembles ! Ivoirien tu veux libérer les presque milles (1000) prisonniers politiques damnés dans des lieux de détentions arbitraires à travers la côte d’ivoire ? C’est tous ensembles ! Ivoirien tu veux mettre fin a l’exil politique de près de cent milles (100 000) ivoiriens ? C’est tous ensembles ! Ivoirien tu veux instaurer la stabilité sociopolitique et l’harmonie communautaire en côte d’ivoire, pour qu’elle devienne elle-même ? C’est tous ensembles ! Ivoirien, tu veux être acteur de la côte d’ivoire nouvelle débarrassée de toutes les scories passéistes et/ou vivre la fête électorale de l’olympiade démocratique sans animosité aucune en côte d’ivoire ? C’est tous ensemble ! Ivoirien, tu veux voir tous les fils de la côte d’ivoire réconciliés, libres, unis, solidaires dans une Afrique notre destin commun, devenir une concurrente qui compte convergent vers le concert des nations ? C’est tous ensemble ! Toute abstention serait une indigne traitrise à la chère patrie, par des citoyens indignes de ce Nom. Et une trahison des martyrs suscités et l’auto-assujettissement à une dictature sanguinaire. Donc tous ensembles ! D’une manière ou d’une autre y compris dans les urnes électorales, nous réussirons à changer notre pays la côte d’ivoire. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

De Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

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25 septembre 2015 5 25 /09 /septembre /2015 19:41
La démocratie ne consiste pas à mettre épisodiquement un bulletin dans une urne, à déléguer les pouvoirs à un ou plusieurs élus puis à se désintéresser, s'abstenir, se taire pendant cinq ans. Non ! Elle est action continuelle du citoyen sur les affaires de l'Etat qui décide de la vie de tous et de chacun.

La démocratie ne consiste pas à mettre épisodiquement un bulletin dans une urne, à déléguer les pouvoirs à un ou plusieurs élus puis à se désintéresser, s'abstenir, se taire pendant cinq ans. Non ! Elle est action continuelle du citoyen sur les affaires de l'Etat qui décide de la vie de tous et de chacun.

*- Lepetitfils. Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

(Entre guillemets. INFORMATION pas concerné par la chronique ci-dessous). Mon Compte : Lepetitfils Da Candy | Facebook semble piraté , il ne s'ouvre pas. Message de Facebook a ce sujet : « Pour des raisons de sécurité, votre compte est temporairement verrouillé. ». Nous avons répondu déjà à deux correspondances à ce sujet sans succès. Bon ! La terre tourne sur elle-même, elle ne s’arrête jamais. MERCI).

*- Une chronique de : Lepetitfils. Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

Il n’y a rien de fétiche dans les élections démocratiques tout doit être a porté de vues et de mains de tous. Les élections démocratiques sont un droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, ou droit à l’autodétermination des peuples. Les élections démocratiques sont donc l’expression active de la souveraineté d’un peuple. Parce que sans élections démocratiques il n’y a pas d’indépendance politique et économique, sans élections démocratiques il n’y a pas de souveraineté nationale, sans élections démocratiques il n’y a pas d’état républicain de droit, sans élections démocratiques il n’y a pas de libertés individuelles, sans élections démocratiques il n’y a pas de peuples libres et souverains, sans élections démocratiques il n’y a pas de vrai patriotisme et sans élections démocratiques c’est la voyoucratie qui règne d’où il n’y a pas de place pour cet état antidémocratique devenu voyou, pour cet état policier, pour cet état paria dans le concert des nations civilisées.

*- C’est le devoir du peuple souverain de Côte d’Ivoire, d’exiger les élections démocratiques pluralistes.

Or Alassane Ouattara veut des élections apaisées partout en Côte d’Ivoire, mais dans un processus électoral dont le mode opérationnel, légitime son pouvoir par les armes, traduit son point de vue, réalise son vœu de confiscation du pouvoir d’état. Alassane Ouattara veut les élections à ses conditions à lui, à sa manière à lui et qui respectent les desseins de sa compromission électorale à lui. C’est ça les élections apaisées partout en Côte d’Ivoire pour Alassane Ouattara. Une concrétion du moi et jamais la convergence vers les autres qui ne comptent manifestement pas dans ce processus électoral hybride et cadenassé. Alassane Ouattara ou la terre brulée en côte d’ivoire est devenue la règle dans l’arène politique ivoirienne. Donc point de dialogue avec les autres appartenances politiques, point de consensus avec l’opposition autour de la chose publique y compris les élections démocratiques. Moi ou rien, ma condition ou rien. C’est pourquoi ici, c’est le devoir du peuple souverain de Côte d’Ivoire, d’exiger les élections démocratiques pluralistes en 2015, si élection il y a ? Et que cette élection se fasse dans le respect du droit inaliénable des peuples a disposé d’eux-mêmes par le choix libre de ses gouvernants et aussi cela dans le respect des libertés fondamentales. Oui ! un principe issu du droit international général exige que chaque peuple dispose d'un choix libre et souverain de déterminer la forme de son régime politique, indépendamment de toute influence extérieure. Or la côte d’ivoire dépend aujourd’hui du bon vouloir de, Alassane Ouattara gardien des grands intérêts mafieux de par le monde. Le fichu peuple ivoirien ne compte pas dans cette gouvernance mafieux fondé sur la défense des intérêts mafieux.

*- Dommage que l’évolution du droit à pu laisser volontiers la constitution sur la touche du droit

Ne l’oublions pas la constitution socle d’une nation est une création de la société commune au terme de laquelle, elle détermine comment elle entend vivre, afin de réaliser le bien commun. Elle demeure de rigueur en tout lieu en tout temps. Nous allons éviter ici la vaine polémique sur l’éligibilité dérivée de, Alassane Ouattara, ou souvent on veut une chose et son contraire à la fois, seulement faisons ensemble un petit éclaircissement. Oui ! Puisqu’il est constant que l’utilisation de la norme constitutionnelle d’exceptions qu’est l’article 48 de la constitution en 2010, visait exclusivement le contournement de FAIT des prescriptions de l’Article 35 de la constitution ivoirienne concernant la candidature a l’élection présidentielle, pour permettre à Alassane Ouattara d’être candidat. Et qu’il faut le dire aussi ce contournement de FAIT, n’était pas dans le champ d’application mécanique de cet article 48 de la constitution utilisé de FAIT. On ne peut donc pas reconnaitre en 2015 la légalité juridiquement de la candidature de 2010 de Alassane Ouattara, permis par cette procédure de FAIT de contournement de FAIT des prescriptions de l’Article 35 de la constitution et reconnaitre qu’il à été légalement élu au terme des élections de 2010, par conséquent reconnaitre qu’il est aujourd’hui président de la république légale et le dire inéligibilité en 2015. Non ! Il y a un choit a faire entre l’exception de non-droit et les prescriptions de l’Article 35 de la constitution appliquée strictement en 2000. Le juge Mamadou Koné dans sa rébellion constante et continue la bien compris en jouant sur la ligne de certaines défenses pour éviter avec adresse les prescriptions de l’Article 35 de la constitution pour dérivé ainsi vers des accessoires de droits constitutionnels, qui n’ont aucune valeur de droit constitutionnel en l’absence du droit principal constitutionnel qui est leurs support dont ils dépendent inextricablement, notamment les prescriptions stricts de l’Article 35 de la constitution appliquées en 2000. Face à lesquelles prescriptions de l’Article 35, le juge Mamadou Koné soutien avoir procédé à un revirement (SIC) de la juriste prudence de 2000 par évolution de droit. Mais il est dommage que cette évolution de droit dérivé qui à laisse volontiers la constitution sur la touche du droit soit appliquée par le juge constitutionnel hors de son champ d’application. Dommage avons-nous-dit. Parce que la constitution tient en l’état toutes les normes juridiques nationales quelles qu’elles soient y compris les décrets présidentiels, le code de la nationalité et le code électoral. Et surtout au regard des faits notoires concernant l’individu Alassane Ouattara qui n’a pas changer de statut juridique de 2000 à 2010 et à la lampe de la lumière de la décision de la cour suprême de 2000, on ne peut convaincre personne, oui, personne en disant que la candidature de, Alassane Ouattara en 2010 était conforme à l’article 35 de constitution. Non ! Ce serait faire injure et affront cynique à l’intelligence des citoyens.

« Bon ! Continuons ».

*- Attention ! Le peuple souverain peut laisser par dégoût une dictature prospérer sans la cautionner.

Oui! Le devoir exige ici aux ivoiriens, une lutte synergique tous ensemble y compris dans les urnes électorales et de retenir dans cette lutte, que les secousses ponctuelles, extatiques, protestataires, périodiques et passagères vident les luttes citoyennes, pour le droit, la liberté et la démocratie de toutes leurs énergies. Et que pire, elle vide le peuple souverain de son sang qui peut laisser ainsi par dégoût une dictature prospérer sans la cautionner. Retenir donc que seules les luttes synergiques citoyennes, soutenues dans le temps et dans l’espace, rationnelles, concertées, cohérentes, constantes, régulières de droit, dans le droit, pour le droit, le tout dans le respect des libertés fondamentales, aboutissent à la libération d’un peuple d’une dictature. Retenons encore ici, que l’espérance c’est le désespoir surmonté et espérer c’est résister dans ses droits, avec ses droits, pour ses droits, contre la dictature d’un pouvoir aveuglé par les biens publics, qui a bien l’intention de rééditer son hold-up électoral de 2010 en, 2015 cela avec les mêmes hommes et avec l’avale de certains suiveurs nouveaux. « La Côte d’Ivoire a trop souffert durant ces dix dernières années pour que nous retournions dans l’aventure ». Ces quelques mots sont de l’alpiniste aventurier Alassane Ouattara, qui n’est visiblement pas conscient d’où la crise ivoirienne a commencer en 1999-2002 donc pas conscient de ce qu’il est réellement. C’est-à-dire un criminel de guerre, dont l’aventure carriériste débuter le 24 décembre 1999 et accentuée les 18-19 septembre 2002 est la cause de la crise sociopolitique actuelle et la dégénérescence actuelle de la totalité sociale de la côte d’ivoire. Il nous faut donc absolument déconnecter le peuple souverain de côte d’ivoire mafieuse-ment articulé au train d’enfer et de damnation de/par Alassane Ouattara. Oui ! Il nous faut dans l’union de tous renouer avec la lutte citoyenne pour obtenir le changement. «On ne va jusqu'à l'espérance qu'à travers la vérité, au prix de grands efforts. Pour rencontrer l'espérance, il faut être allé au-delà du désespoir. Quand on va jusqu'au bout de la nuit, on rencontre une autre aurore. (à dit G-B) ». Ne l’oublions pas, les ivoiriens réunis tous ensemble en mettant en commun discussions, pensées et actions peuvent réussir l’impossible et n’importe quel miracle. Ou peuvent relever n’importe quel défi sociopolitique.

*- Notre espoir en un avenir meilleur ne doit pas être étouffé par des actions de divisions irréfléchies.

Oui, seule la lutte synergique dans un, tous ensemble pour nos droits, nos libertés, la démocratie dans le respect des règles peut nous libérer des maux dictatoriaux Alassanéen qui rongent notre société commune ivoirienne. Et qui inhibent toute perspective d’avenir meilleur de la côte d’ivoire dans le concert des nations civilisées, qui annihilent toute espérance de progrès social pour l’ivoirien de demain et qui désespèrent de toute construction d’une communauté nationale solidaire réconciliée avec elle-même vivant dans la paix sociopolitique pérenne. C’est pourquoi, Aujourd’hui plus que jamais l’intervention citoyenne synergique et populaire sous toutes ses formes est largement justifiée. Pour préserver les voies de la démocratie, du droit, de la liberté, de la justice, de la stabilité socio-politico-économique, de la paix sociale pérenne et d’unir la nation contre ceux qui veulent la diviser pour mieux la déchirer et régner comme Charlemagne. Notre espoir en un avenir meilleur ne doit pas être étouffé par des actions de divisions irréfléchies. Il est plus que possible de se débarrasser de ce pouvoir sanguinaire actuel d’une manière ou d’une autre y compris dans les urnes. Afin de construire une société dont non plus l’état autoritaire piloté par un dirigiste économique criminel ou règne en maitre absolu dieu l’argent au service des grands intérêts mafieux du monde, mais plutôt ou l’être humain, l’homme incarnerait la centralité politique et le citoyen ivoirien le cœur de toute action politique. C’est pourquoi la postérité ne pardonnerait pas ceux qui cautionneront le hold-up électoral de ce pouvoir sanguinaire de, Alassane Ouattara dans le but unique de l’accomplissement de son dessein funeste, mortifère et visqueux pour la côte d’ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

*- La démocratie ne consiste pas à mettre épisodiquement un bulletin dans une urne,

Oui, ne l’oublions pas notre crise est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, par une meute de politicards, carriéristes pathologiques et arrivistes renégat. Incapables de s’adapter à l’art du vivre en commun dans le respect des normes juridiques de régulations sociales préétablies, qui régissent la société commune. Recomptons nos morts a ce jour plus de sept 7000 au total. Recomptons nos prisonniers politiques le millier peut être. Donc peuple ivoirien, d’une manière ou d’une autre y compris dans les urnes, ta patrie martyrisée, la côte d’ivoire t’appelle à accomplir ton devoir absolu de peuple souverain, sans lequel ton existence n’aurait aucun sens. C’est-à-dire faire pièces a l’arbitraire du pouvoir communautariste, dirigiste et criminel de, Alassane Ouattara. Retenons fermement que : La démocratie ne consiste pas à mettre épisodiquement un bulletin dans une urne, à déléguer les pouvoirs à un ou plusieurs élus puis à se désintéresser, s'abstenir, se taire pendant cinq ans. Non ! Elle est action continuelle du citoyen sur les affaires de l’état qui décide de la vie de tous et de chacun. La rue opposante consensuelle et équilibriste critique est la meilleure ami de la souveraineté populaire dans une démocratie. Donc l’individu « élu » exerce le pouvoir politique d’état uniquement du fait de son appartenance politique à une nation, ce pouvoir lui est donc conféré par la souveraineté populaire. Il ne lui appartient pas en propre, en tant qu’individu. C’est tout le sens du : « Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ». D’Abraham LINCOLN. Donc résister à l’arbitraire, c’est ton devoir absolu. Parce que : « Quand les gouvernants violent les droits du peuple, la ligue est pour le peuple ou pour toute partie du peuple, le plus élémentaire des droits et le plus sacré des devoirs ». Donc Peuple ivoirien à tes droits, à tout tes droits, à tes libertés, à toutes tes liberté, sans retenu. Nous sommes convaincus, que le salut de la côte d’ivoire viendra de toi, peuple souverain martyrisé, ultime détenteur du pouvoir d’état. Tous ensembles d’une manière ou d’une autre, nous réussirons à changer notre pays la côte d’ivoire.

De Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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