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9 août 2020 7 09 /08 /août /2020 13:12
Lepetitfils: il est question d’asseoir de façon notoire, l’évidence et l’indéniable dès le premier Tour de la présidentielle, ne pas laisser de place à la récupération douteuse ou le rattrapage incertain au deuxième Tour.

Lepetitfils: il est question d’asseoir de façon notoire, l’évidence et l’indéniable dès le premier Tour de la présidentielle, ne pas laisser de place à la récupération douteuse ou le rattrapage incertain au deuxième Tour.

*- D’emblée, avec les lunettes politiques et citoyennes, lisons entre les lignes, du discours condescendant de suprématie, à la limite méprisant, insultant et de Foutaise d’Alassane Ouattara du 06-Aout-2020 :

 

Chers compatriotes, «Peuple docile de piétaille, inscrit dans une couillonnade de panurgisme suiviste moutonnier dans un pays assujettis». Les défis auxquels nous sommes confrontés pour le maintien de la paix, la sécurité nationale et sous régionale ainsi que la nécessité de juguler la crise sanitaire ; le risque que tous les acquis, après tant d’efforts et de sacrifices consentis par toute la population, soient compromis ; le risque que notre pays recule dans bien des domaines ; « en mon absence du pouvoir, puisque je suis le seul au monde, capable d’y faire Face », tout cela m’amène à reconsidérer ma position. Face à ce cas de force majeure et par devoir citoyen, « que la constitution chiffon de papier aille se faire foutre au WC du pauvre peuple piétaille», j’ai décidé « Moi la Loi ! Qui fait foi », de répondre favorablement à l’appel de mes concitoyens « Peuple docile de piétaille moutonnier» me demandant d’être candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020. Je suis donc candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020. « Pour toi fichu Peuple docile de piétaille assujettis, au comportement de panurgisme suiviste moutonnier». » Je peux vous assurer que cette décision, mûrement réfléchie, « qui ne sait que faire de la constitution, des principes de droits  et des règles de régulations sociopolitiques universelles», est un devoir que j’accepte dans l’intérêt supérieur de la Nation ; « fichue nation, sans moi laquelle n’aura aucune existence», «donc» afin de continuer de mettre, sans relâche, mon expérience au service de notre pays. Compte tenu de l’importance que j’accorde à mes engagements et à la parole donnée, «  les paroles Retirées en politiques ne sont pas des paroles données à respecter. Des promesses envolées en politiques ne sont pas des promesses à tenir, dans l’arène politique ivoirienne. C’est pourquoi, la promesse de ne vouloir que 5 ans de pouvoir en 2010, la volteface en 2015, je n’ai pas fini le travail, la promesse d’alternance à Bédié, la promesse de succession a Soro, tout comme la promesse de ne pas briguer un 3e mandant  ne sont pas des engagements à respecter. La nouvelle génération sur laquelle je comptais est fini avec Amadou Gon Coulibaly ». Donc cette décision représente un vrai sacrifice pour moi, que j’assume pleinement, par amour pour mon pays « de fichus piétailles ». Par cette décision, je veux aussi prendre le temps d’achever de préparer la relève « la pléthorique de cadres formé par la France et par Félix Houphouët Boigny jusqu’en Septembre 2002, ne sont pas capable d’assurer la relève de mon pouvoir comme je l’entends, il faut que je mets une équipe en place ». J’entends également renforcer les actions de rassemblement « de cooptation mercantiliste des bouffes-tous pour en être une ploutocratie et d'arriver au vote du suffrage censitaire» et de réconciliation de tous nos compatriotes. « Les dix (10) ans de l’exercice continu du pouvoir d’état ne m’ont pas permis de réconcilier les ivoiriens, vous savez que les dix (10) ans sont trop petits pour réussir une réconciliation à ma manière à Moi ». Donc en clair, Alassane Ouattara accepte votre piteuse demande en sauveur, il est candidat pour un troisième Mandat pour toi fichu Peuple docile de piétaille assujettis inscrit dans un panurgisme suiviste moutonnier dans un pays de MERDE. Tel est la lecture des entres lignes mises (entre guillemet) de cet extrait du discours de Ouattara annonçant sa candidature de 3e mandat.

 

Maintenant la solution régulatrice qui s’impose aux ivoiriens ? Elle est sans succédanée possible, si le courage y est, si la détermination y est, dans la défense du droit inaliénable du peuple a disposé de lui-même, sans entrave. Oui, la solution régulatrice qui s’impose aux ivoiriens, est que chaque composante sociale pour la réconciliation, pour la paix sociopolitique par le consensus républicain et le dialogue social, pour des élections apaisées dans une société ivoirienne détendue, doit s’engager chacun dans son périmètre d’évolution et dans toute l’assiette territoriale nationale à faire barrage au passage en force d’Alassane Ouattara, advienne que pourra. En espérant que pour une fois le pouvoir d’Alassane Ouattara reculera sous la pression régulatrice et pourra éviter de faire le lit des chiens « chienlit » en côte d’ivoire. Parce que là où il y a le lit des chiens, pas besoin d’air fraiche, ça doit respirée les fumées souvent pimentés, ici pas besoin d’éclairage électrique, les flambeaux nocturne suffit, pour la célébration du mariage avec les choses publiques, sous la vibration citoyenne comme en Grèce, seulement dans l’ordre du public et avec la chose publique uniquement, le privé n’est pas concerné ici. « Comme une affaire de racailles en France. » Aussi dans le lit des chiens, « chienlit » on  n’a pas besoin de routes circulables et les patte-d ‘oies mécontent se ferment d’eux même. Pour que le couvre-feu devient épiphénomène. Pas besoin d’invitations pour les pierres et les vieux pneus qui s’invitent volontiers dans la danse chez Dame Rue, dans la salle pétaudière ou capharnaüm kafkaïen est musicien désigné. Et cette danse dure tant que l’exigence citoyenne demeure dans la cité. Et dans cette situation où l’arbitraire recule ou il se dévoile comme tel. Même s’il y a championnat nocturne sans lampions d’éclairage, on le joue… Question de relevé le défi lancé par un homme Alassane Ouattara et son pouvoir obscurantiste, iconoclaste, unilatéralisme arbitraire. Donc, il est question de lutter et de résister, en tenant compte qu’aucune victoire d’un pouvoir d’état sur un peuple souverain déterminé à la face du monde de rentrer dans ses droits, dans ses libertés, n’est possible en ce 21e siècle, ou seul le peuple souverain est l’ultime détenteur du pouvoir d’état qui décide de son destin dans le concert des nations. Donc lutter pacifiquement en tenant compte que, les secousses ponctuelles, extatiques, protestataires, passagères et périodiques vident les luttes citoyennes pour le droit, la liberté et la démocratie de toutes leurs énergies. Et pire elles vident le peuple de son énergie synergique défensive. Seules les luttes soutenues dans le temps, synergiques, rationnelles, cohérentes, constantes, régulières, de droit et pour le droit, dans le temps et dans toute l’assiette territoriale nationale aboutissent à la libération d’un peuple par la lutte, par la résistance dans l’espérance. L’espérance ici c’est le désespoir surmonté, espérer ici c’est résister dans ses droits, avec ses droits, pour ses droits et le peuple souverain de côte d’ivoire qui se veut libre doit lutter, doit résister avec sa dignité. «Solution sans succédanée».

 

Mais, si pour quelque raison que ce soit, cette solution régulatrice qui s’impose aux ivoiriens s’avèrent impossible. Dès lors, Subsidiairement, si on doit oser être sérieux et concret avec soi-même, nous dirons ici que face à la nouvelle donne qu’impose la candidature de Alassane Ouattara, l’opposition ivoirienne n’a plus le droit, en l’absence de cette solution régulatrice, sans succédanée possible qui s’impose aux ivoiriens, d’aller aux élections de 2020 a rang dispersé au premier Tour de la présidentielle. Comme l’a déjà suggérer un leader de cette opposition ivoirienne. Il est question plus que jamais, d’aller dès le premier Tour, soudé à l’extrême avec une liste de coalition synergique, compact, inextricable, hermétiquement colée, derrière une coalisée candidature Unique. Où chacune des parties composantes de cette liste de coalition synergique connait, après négociations, ce qu’il gagne à l’arrivée des élections. Qui doit s’ouvrir sur une transition de cinq «5», d’où les parties au sein du gouvernement de transition ou dirigeants des institutions de transition, serait immuable et inamovible : « président de la république, vice-président de la république, ministres de la république et dirigeants des institutions de la république ». Il faut asseoir l’évidence et l’indéniable dès le premier Tour de la présidentielle, ne pas laisser de place à la récupération douteuse ou le rattrapage incertain au deuxième Tour. Le premier Tour est la clé du succès de l’opposions unie dans cas subsidiaire. Il faut que l’opposition ivoirienne soit consciente, qu’elle est entrainée vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers une crise postélectorale, qui donnera la parole aux armes « fusils » comme en 2010. Oui, sauf à nous convaincre ici, de par quelle Force le conseil constitutionnel va rejeter la candidature d’Alassane Ouattara et par force ce système électoral va proclamer la défaite de son système politique source d’Alassane Ouattara ?  Non ! Nous n’y croyons pas, notre degré de crédulité n’a pas encore atteint ce niveau de naïveté. Donc, Alassane Ouatera conscient de cette emprise sur tout le processus électoral, malgré sa minorité électorale acquise, ne peut oser ouvrir le jeu démocratique et électoral. Qui signifie sa perte du pouvoir d’état confisqué depuis 2010. Donc, Alassane Ouattara sera non seulement joueur privilégié, mais aussi l’arbitre du processus électoral de 2020, via la commission électorale, via le conseil constitutionnel et via le mode de scrutins  électoral le «support des votes citoyens». Donc est question d’asseoir de façon notoire, l’évidence et l’indéniable dès le premier Tour de la présidentielle, ne pas laisser de place à la récupération douteuse ou le rattrapage incertain au deuxième Tour. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

 

CITOYEN ! LIRE ABSOLUMENT LA TRIBUNE CI-DESSUS.

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9 août 2020 7 09 /08 /août /2020 13:02
Lepetitfils: est TRUCAGE ÉLECTORAL, tout le système politico-démocratique et électoral du pouvoir d’Alassane Ouattara. Oui, HOLD-UP électoral est de dire « je vais me présenter en octobre 2020, cela  après la consommation totale et définitive prescrit, d’un délai de rigueur de deux (2) mandats constitutionnels, qui sont légalement consommé sous l’empire d’une constitution dite ancienne source des deux (2) mandats ». TRUCAGE ELECTORAL.

Lepetitfils: est TRUCAGE ÉLECTORAL, tout le système politico-démocratique et électoral du pouvoir d’Alassane Ouattara. Oui, HOLD-UP électoral est de dire « je vais me présenter en octobre 2020, cela après la consommation totale et définitive prescrit, d’un délai de rigueur de deux (2) mandats constitutionnels, qui sont légalement consommé sous l’empire d’une constitution dite ancienne source des deux (2) mandats ». TRUCAGE ELECTORAL.

*- Chronique : MOI ! J’AIME PAS TRUCAGE ELECTORAL.

 

Hélas ! Revoilà encore pour 2020  le Trucage électoral en perspective : *- TRUCAGE ÉLECTORAL, est d’Empêcher un citoyen libre, totalement libre, par des obstructions judiciaires de rentré dans pays, pour prendre part aux élections qu’il est supposé gagner seul ou en coalition synergique. Et de faire obstruction à ses droits civiques et politiques le permettant de participer à la vie publique et politique, avec un jugement par défaut. Donc arbitraire et unilatéral pour l’empêcher de pouvoir se porter candidat, d'être éligible aux élections ou d'être électeur et de voter aux élections. En bafouant ainsi, les droits que tous les Citoyens ont de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à la vie publique de sa cité, a la vie politique de son pays, est un ostensible et manifeste TRUCAGE ÉLECTORAL. Oui, la citoyenneté ne se définit pas uniquement d’un point de vue juridique par la possession d’un passeport de sa nationalité et de ses droits civiques et politiques. Elle se définit aussi en termes de participation à la vie publique de la cité, tout est inextricablement lié. Donc TRUCAGE ÉLECTORAL. Oui, des condamnations judiciaires par défauts inscrites dans les casiers judiciaires d’hommes politiques avec privations de droits civiques et politiques donc, écarté de fait des élections. Et surtout pour intimidation, pour dissuasion de toutes revendications de droits, contre des pesants acteurs politiques des élections à venir, qui de par leurs poids électoral peuvent changés les résultats des élections dans les urnes de votes. C’est du TRUCAGE ÉLECTORAL.

 

HOLD-UP électoral est dire, je vais me présenter en octobre 2020, cela  après la consommation totale et définitive prescrit, d’un délai de rigueur de deux (2) mandats constitutionnels, qui sont légalement consommé sous l’empire d’une constitution dite ancienne source des deux (2) mandats et recommencer de zéro le comptage des mandats présidentiels. En revendiquant ce droit consommé totale et définitive, cela au terme d’un honteux immoral et amoral assujettissement condescendant et déviant du peuple « je le fais pour mon peuple ». Le monde universel et sa civilisation universelle très jalouse des valeurs humaines que son humanité s’est donné «droit, liberté, règles de vie en société, donc règles démocratique universelle» décontenancé par cette déclaration despotique ubuesque de potentat, est désormais préoccupé. Oui, TRUCAGE ÉLECTORAL, est la validation par les juges des élections d’une candidature qui ne tient pas en droit, en suivant ainsi un candidat qui a consommé totalement son droit à délai de rigueur. Et qui soutien péremptoirement que le compteur des mandats consommés est remis à zéro non ! C’est ridicule et insensé. On ne peut pas faire table rase du droit préexistant consommé, de l’éligibilité à la présidence de la république avec un délai de rigueur de deux (2) mandats constitutionnels, légalement consommé sous l’empire d’une constitution dite ancienne et recommencer de zéro le comptage des mandats présidentiels d’un individu qui revendique ce droit consommé. Ce n’est pas possible, ni en politique, ni en droit... TRUCAGE ÉLECTORAL. Parce que ceci serait seulement possible si, un acte quel qu’il soit, avait fait table rase, en pulvérisant l’ordre juridique préexistant, en anéantissant et en  balayant tout sur son passage (Constitution, institutions, gouvernants et, par voie de conséquence, président de la République», qui tire son existence et sa compétence de la Constitution ancienne balayée. En l’absence de cet acte, on ne peut effacer l'origine juridique des institutions. En faisant fi d’ignorer, que la norme juridique nouvelle ne peut effacer des effets juridiques, qui se sont produit sous l’empire de la norme juridique ancienne. Qu’on ne peut pas effacer les actes consommés d’un individu conforment aux prescriptions légales. Que sinon n’importe quelle prescription impérative pourrait être remise en cause dans le temps. Et que n’importe quel agissement, pourtant régulier et totalement consommer pourrait être remis en cause par une nouvelle norme juridique. Qu’un droit à délai de rigueur consommé par le détenteur, est un droit anéanti. Mais ici on compte sur les fusils. TRUCAGE ÉLECTORAL.*- TRUCAGE ÉLECTORAL, est le Refus de la réconciliation nationale pour maintenir sciemment des acteurs politiques en exil forcé, loin du théâtre des élections à venir, ou ils peuvent jouer des rôles de premier plan, c’est du HYPER-TRUCAGE ÉLECTORAL.

 

*- TRUCAGE ÉLECTORAL, est l’absence d’un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. Pour ne pas tomber dans les travers systémiques des élections de démocraties de façades sous l’influence d’un politicien ou d’un parti politique quel qu’il soit. Ou bien même pour ne pas tomber dans un processus électoral bâclé ou les marionnettes d’un système mafieux récompensent les plus généreux donateurs ou qui œuvrent en espérant des rétributions occultes liées à l’accomplissement des missions d’indignité humaine. TRUCAGE ÉLECTORAL. Oui, Une commission électorale inféodée et dépendant du pouvoir exécutif, qui biffe ou radie des citoyens libres sur la liste électorale, c’est du TRUCAGE ÉLECTORAL.

 

TRUCAGE ÉLECTORAL est, l’obstruction financière imposée aux citoyens dans l’obtention des pièces d’identités indispensable à la participation aux élections à venir de 2020. Quelques soient les raisons, les pièces d’identités nationales indispensables à la participation aux élections, mais non-accessibles pour tous les citoyens, c’est du TRUCAGE ÉLECTORALE. Bon ! Les pièces d’identité d’avant les élections de 2010 ont été salutairement prorogées pour un An à cette fin a-t-on dit, mais cela ne suffit pas. Il y a de nouveaux majeurs qui doivent se faire des pièces d’identités en vue de leurs participations aux élections à venir de 2020, donc la gratuité de leurs  cartes nationales d’identités s’impose comme droit, dans une situation de crise sociopolitique qui est à la recherche de solution durable. Cette gratuité de leurs  cartes nationales d’identités s’impose aujourd’hui COMME EN 2009, ou de leurs permettre de voté avec l’acte de naissance et la pièce d’un parent « père ou mère.» Si les gouvernants qui ne doivent avoir aucune emprise sur processus des élections, sont des gouvernants du peuple pour le peuple. Même s’il est de notoriété universelle qu’ils ne le sont pas par la volonté du peuple. A défaut de cette participation pour manque de pièce payante exigée par le pouvoir qui est au-dessous des élection querellées, puisque le cadre organisationnel des élections démocratiques et tout son processus électoral se doivent de tenir l’exigence rigoriste de la promesse républicaine faites par les principes démocratiques universels, ses référents normes, et ses règles internationales. TRUCAGE ÉLECTORAL.

 

*- TRUCAGE Électoral, est le découpage électoral non équilibré, non consensuel et non basée sur la quantification de la population administrée au prorata du même nombre d’élu pour le même nombre d’administré partout dans l’assiette territoriale et qui permet d’obtenir une majorité parlementaire factice, ou une majorité d’élus locaux factice qui éliront eux aussi à leur tour des sénateurs. TRUCAGE ÉLECTORAL.

 

TRUCAGE ÉLECTORAL, est le parrainage des candidatures. Oui, le parrainage des candidats par des élus ou par signatures citoyennes pour être admis candidat, est un procédé peu démocratique, est un outil manifeste d’élimination et un objet d’obstruction de tous candidats gênants, à l’électorat épars dans toute l’assiette territoriale. Ce système favorisé les politicien de fiefs, alors même que sur le plan national, il ne pèse pas grande chose. Et le plus souvent ces signatures sont monnayables. Il n’y pas plus démocratique qu’un citoyen égal un vote au cours des élections au suffrage universel direct, ou tout le monde par sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état. TRUCAGE ÉLECTORAL.

 

*- TRUCAGE ÉLECTORAL, est l’octroi ou l’acquisition du droit de votes, par la nationalité frauduleuse acquise et sciemment orchestré par un parti politique ou par le pouvoir d’état. TRUCAGE ÉLECTORAL.

 

*- TRUCAGE ÉLECTORAL, est la Fraudes massives lors de l’enrôlement sur les listes électorales des personnes de nationalité étrangères enrôlées massivement sur les listes électorales, en complicité avec de hauts cadres d’un parti politique et de l’organisme électoral pour servir d’appoint illégal électoral en vue d’une élection et afin de servir de bétail électoral dans cette élection. TRUCAGE ÉLECTORAL.

 

*- TRUCAGE ÉLECTORAL, est l’Enrôlement sur la liste électorale, de façon frauduleuse, dispensée de toute justification juridique, « l’acte de naissance et la pièce d’un parent, père ou mère » et permettant le vote multiples avec les près de 10%  de réinscrit sur la liste électoral « 741 448 réinscrits » avec la possibilité de double vote dans au moins deux (2) circonscriptions électorale. TRUCAGE ÉLECTORAL.

 

*- TRUCAGE ÉLECTORAL, est L’obstruction massive faite aux nationaux à l’obtention du droit de vote, entrainant un manque de documents ou de pièces d’identités justifiants sa qualité réelle de nationales, qui permet l’accès au processus électoral. TRUCAGE ÉLECTORAL.

 

*- TRUCAGE ÉLECTORAL, est les lieux de compilations décentralisés et/ou  le lieu de centralisation définitive pour la proclamation des résultats définitifs sous l’influence des hommes politiques TRUCAGE ÉLECTORAL Oui, il est de notoriété publique, que dans un processus électoral, les plus grands trucages électoraux s’opèrent sur des étapes du processus, en tout cas dans les lieux de compilations décentralisés et/ou  le lieu de centralisation. Ce TRUCAGE ÉLECTORAL, commence dès le recrutement des agents électoraux et surtout au terme du choix des entreprises fabriquant, contrôlant ou certifiant le système de compilation des votes et des  machines de votes. Ainsi TRUCAGE ÉLECTORAL, se faisant, quand on espère de la sortie des colombes toutes Blanches dans les urnes, fruit d’un travail politique sérieux, qui a obtenu l’aval des citoyens et leurs votes, hélas ! Ce sont les craps Poilus qui y sortent pour gâcher la fête de l’espérance citoyenne. TRUCAGE ÉLECTORAL.

 

*- TRUCAGE ÉLECTORAL. Le Vote électronique y est très propice. Ce vote électronique a été expérimenté pour la première fois en Belgique en 1991. Mais n’a jamais été considéré comme une évolution du système électoral, au contraire il a démontré toute ses failles, qui donne une véracité incertaine au résultat des votes et est très couteux « plus de 10.000 CFA contre moins de 1000  CFA » pour le vote traditionnel par électeur et par jour d’élection. Avec les failles générales ci-dessus : « *- 1*- Ce système a l'inconvénient de ne pas pouvoir être contrôlé par le public, donc de rendre la fraude possible et difficile à détecter et à prouver, et par conséquent de la rendre probable *1)-Possibilité de « bourrage électronique d'urnes »  *2)-Possibilité d'orienter le vote des indécis *3)-Possibilité de payer un électeur en échange de son vote (l'électeur filme son vote avec son téléphone portable). *4)-Possibilité de remplacer le vote affiché par un vote réellement décompté différent *5)-Impossibilité du recomptage en cas de contestation *6)-Possibilité de violer le secret du scrutin de manière subreptice et difficile à détecter *7)-la validité et la véracité du vote électronique ne sont garanties que par les entreprises fabriquant ou certifiant ces machines sans moyens de contrôle des citoyens *8)-la machine à voter a beaucoup plus de chances de tomber en panne que l'urne, dispositif infiniment plus simple *9)-puisqu'il y a un logiciel dans la machine à voter, ce logiciel peut être bogué, même sans intention de frauder. *10)- Avec le vote électronique, la seule chose dont on est vraiment sûr, c'est de ne rien pouvoir contrôler. Cette absence de contrôle du citoyen remet en doute la validité du vote  « Avec le vote électronique, la seule chose dont on est vraiment sûr, c'est de ne rien pouvoir contrôler ». Le vote électronique permet le truquage à grande échelle indétectable par le citoyen votant, toutes les fraudes et truquages sont possibles avec le vote électronique. Aussi les statistiques des pays qui utilisent ce vote électronique montrent, que les machines à voter favorisent le vote blanc/nul intentionnellement orchestré ou par méconnaissance de l’électeur. Donc vote électronique n’est pas une évolution du système électoral. TRUCAGE ÉLECTORAL.

 

*- Les urnes transparentes et l'accès du public à la vérification du vote ont l'avantage de garantir la confiance de tous. Mais est TRUCAGE ÉLECTORAL, une massive déclaration en nullité des votes valables de citoyens dans les fiefs d’un homme politique candidat. Aussi les grandes contradictions en nombres supérieurs ou inférieurs entre les votes inscrits sur les procès-verbaux des bureaux de votes et les bulletins de votes dans les urnes est TRUCAGE ÉLECTORAL. Et les lieux de centralisations des votes s’avèrent souvent comme le lieu de prédilection des grandes erreurs sciemment ou inconsciemment qui aboutissent à la dénaturalisation des résultats. Donc TRUCAGE ELECTORAL.

 

*- TRUCAGE ÉLECTORAL, est le lieu de validation judiciaire de tous le processus électoral sous la coupe des hommes politiques en compétition. TRUCAGE ELECTORAL. Enfin est TRUCAGE ÉLECTORAL, tout le système politico-démocratique et électoral du pouvoir d’Alassane Ouattara. Oui, HOLD-UP électoral est de dire « je vais me présenter en octobre 2020, cela  après la consommation totale et définitive prescrit, d’un délai de rigueur de deux (2) mandats constitutionnels, qui sont légalement consommé sous l’empire d’une constitution dite ancienne source des deux (2) mandats ». TRUCAGE ELECTORAL.

 

*- Aujourd’hui, les rapports Opposition/Pouvoir en côte d’ivoire est semblable aux rapports entre un Moine Tibétain entre les mains d’un dignitaire Chinois. Et dès lors, deviennent des crimes, toute position autre que celui du pouvoir, bien cadrée sur un canal hégémonique dictatorial, sourd et aveugle, toute vision politique analytique, scientifique, doctrinale, experte et esthète, toute analyse concrète, impartiale, de droit, de la vie sociopolitique deviennent des crimes. Oui, après tout, dans une nation sous la coupe des fusils, si tout est devenu fanfaronnade et culte clownesque de la personnalité en politique, si tout est monnayable et mangeable en politique, et si un carriérisme pathologique vaurien, vaut en politique, parce que les armes « fusils » et le bien matériel, même mal acquit sont devenus le socle de valeur sociopolitique. Alors pourquoi des ubuesques vauriens zéros pointés, fort des armes n’ambitionneraient-ils pas de confisqué a jamais le pouvoir d’état en 2020, en martyrisant le peuple et l’opposition Avec. Donc pour se défaire de l’engrenage assujettissant, qui risque d’être fatal pour tous en 2020,  il y a une seule voie possible à suivre, qu’est l’union de tous pour obtenir des élections propres ouvertes à tous.

 

Et d’arriver tous ensemble à une vraie réconciliation nationale entre les acteurs politiques ivoiriens d’abord avant les bonnes élections. Ou il nous faut donc un corpus d’organisme électoral, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs politique d’accord. Les écueils sociopolitiques ou les épreuves de la vie commune mettent un peuple martyrisé par l’arbitraire d’un pouvoir d’état et par l’obscurantisme politique, au défi de se dépasser et de se réaffirmer dans sa réalité sociétale atavique. Ce moment est plus que jamais arrivé pour le peuple souverain de côte d’ivoire. Ainsi se faisant, pour que le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il n’y a point de développement, le respect de la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par le père Felix Houphouët Boigny, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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3 août 2020 1 03 /08 /août /2020 16:02
Lepetitfils : Alassane Ouattara n’a que des paroles Retirées en politiques et jamais des paroles respectées. Des promesses envolées en politiques et jamais des promesses biens tenues, depuis son entré dans l’arène politique. En témoignent sa promesse initiale de ne vouloir que 5 ans de pouvoir en 2010, sa volteface en 2015, sa promesse d’alternance à Bédié, sa promesse de succession a Soro. Donc chers compatriote d’Alassane Ouattara s’adressera à vous le 06 Aout, pour vous dire qu’il accepte votre piétaille piteuse demande de troisième Mandat

Lepetitfils : Alassane Ouattara n’a que des paroles Retirées en politiques et jamais des paroles respectées. Des promesses envolées en politiques et jamais des promesses biens tenues, depuis son entré dans l’arène politique. En témoignent sa promesse initiale de ne vouloir que 5 ans de pouvoir en 2010, sa volteface en 2015, sa promesse d’alternance à Bédié, sa promesse de succession a Soro. Donc chers compatriote d’Alassane Ouattara s’adressera à vous le 06 Aout, pour vous dire qu’il accepte votre piétaille piteuse demande de troisième Mandat

*- Chronique : Moi ! Piétaille d’un pays de Merde.

 

Oui, plus aucun doute, soutenu par la piétaille de monde, qui à défile au palais présidentiel et les positions des vautours de cadres manges-mils de son clan de parti R?DP Alassane Ouattara sera candidat. « Je prends acte de la résolution du conseil politique et de votre demande... Je suis avec vous et vous savez que je ne vous ai jamais déçus ». Pauvre côte d’ivoire de misérable piétaille, le sauveur, ton sauveur, Ouattara sera candidat pour toi. Oui, pauvre et misérable indigent peuple, sans le sauveur Ouattara, c’est fini pour toi. Donc, il le fera pour toi piteux, piétaille sociétale. Mais disons-le Hormis quelques appelants à la troisième candidature d’Alassane Ouattara, qui sont manifestement dépositaires « très partielles » des autorités traditionnelles, donc, dont le comportement par nature est « despotique » dans nos sociétés ivoiriennes « le Roi a dit, point ! Le chef a dit, point ! Le père ou la mère a dit, point ! ». Comportement qui ne se fait pas de soucis pour les droits universels des peuples libres.

 

Donc au-delà de cette illégalité universelle, mais qui est cette autre légalité abstraite interne, tout autre appelant à la troisième candidature d’Alassane Ouattara, est politicard mercantiliste, moralement abject, est saloperie de carriériste iconoclaste, est nihilisme ubuesque de brigade d’acclamation de potentat, est couillonnade de soutien clownesque, est gangstérisme renégate d’arriviste. Ici le monde universel et sa civilisation universelle se demandent comment peut-on se plaire en ce 21e siècle, dans des comportements et des mentalités digne des premiers siècles « à 1 seul chiffre, 1 à 9 » de ce monde. Oui que comment une piétaille de peuple peut revendiquer volontiers les chambres à Gaz, anti-droit, anti-liberté, anti-règles démocratiques. Et comment une piétaille peut-elle se plaire dans l’assujettissement à un pouvoir condescendant et déviant. Le monde universel et sa civilisation universelle très jalouse des valeurs humaines que son humanité s’est donné «droit, liberté, règles de vie en société, donc règles démocratique universelle» observe le peuple ivoirien devenu une piteuse piétaille dans un pays de Merde entre les mains obscurantistes souillées de sangs humains de crimes de guerres de plus de 7 milles morts de citoyens.

 

Que la piétaille qui en appelle à la troisième candidature d’Alassane Ouattara ; « Qu’elles soient : Une pauvre piétaille de brigade l’appelants. Ou une pauvre piétaille de section clanique d’acclamation. Sinon une pauvre piétaille de cantonade de soutient », sache donc, que la côte d’ivoire n’est pas d’abord entrée dans un système de suffrage censitaire restreignant à un clan ploutocratique. Donc, qu’aucune petite portion du peuple et/ou qu’aucune partie minoritaire décomposée du peuple ne peut revendiquer la souveraineté populaire du peuple. Et qu’aucun pouvoir d’état ne peut usurper la souveraineté populaire  du peuple. Qu’aucun dirigeant ne peut accaparer la souveraineté populaire du peuple. Donc, dire que le compteur des mandats consommés est remis à zéro est ridicule et insensé. On ne peut pas faire table rase du droit préexistant consommé, de l’éligibilité à la présidence de la république avec un délai de rigueur de deux (2) mandats constitutionnels, légalement consommé sous l’empire d’une constitution dite ancienne et recommencer de zéro le comptage des mandats présidentiels d’un individu qui revendique ce droit consommé. Ce n’est pas possible, ni en politique, ni en droit...

 

*- Citoyen, Troisième république non ! C’est escroc République.

 

Ceci serait seulement possible si, un acte quel qu’il soit, avait fait table rase, en pulvérisant l’ordre juridique préexistant, en anéantissant et en  balayant tout sur son passage (Constitution, institutions, gouvernants et, par voie de conséquence, président de la République», qui tire son existence et sa compétence de la Constitution ancienne balayée. En l’absence de cet acte, on ne peut effacer l'origine juridique des institutions. Et depuis le 7 Aout 1960, le régime politique ivoirien a toujours été présidentiel sans interruption. « C’est pourquoi appeler ce bidonnage dit constitution de 2016 comme troisième république relevé de l’obscurantisme de l’escroquerie morale et intellectuelle. La France est toujours sous la cinquième république, avec sa grande sœur (1958) de deux (2) Ans plusieurs dizaines de fois modifiée. Troisième république Non ! C’est escroc République Oui ! ».La République ivoirienne est le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. Et la souveraineté nationale réside dans la totalité sociale, qui le délègue via une majorité  électorale de citoyens à des représentants élus conformément aux règles universelles. Ici ce n’est pas le régime despotique, qui veut que la souveraineté soit détenue par un seul homme. Ici dans notre démocratie, elle est détenue par le peuple, constitué en un corps politique qu’est la Nation. C’est pourquoi, l’ivoirien revendique une souveraineté nationale. Cette souveraineté est indivisible. Cette souveraineté est inaliénable. Cette souveraineté est imprescriptible. Cette souveraineté échappe au contrôle des pouvoirs.

 

Oui, Peuple de piétaille d’une côte d’ivoire de Merde, cher compatriote d’Alassane Ouattara s’adressera à toi, le 06 Aout 2020 à 20 heures, pour te dire qu’il accepte ta piteuse demande en sauveur de piétaille, qu’il est candidat pour un troisième, parce qu’il n’y a pas son deux (2) en côte d’ivoire. Cela a la demande soutenue d’une partie piétaille de toi, peuple ivoirien d’une société en dégénérescence, d’un état voyou. «Et si par extraordinaire en cas de démission stratégique controuvée, le successeur à déjà reçu des allégeances intéressées de félicitation courtisanes. Bon ! Courtiser Rime avec malhonnêteté, que ce soit dans la vie politique ou sociale». Donc le maitre absolu satisfera peuple piétaille a ta demande expressément formulée au terme : Des prosternations dénaturantes, des courbettes abaissants, des génuflexions seigneuriales, devant le maitre absolu Alassane Ouattara, seul capable de gouverné la docile piétaille de peuple de pays de Merde. Oui ceci est conforme à ce qui été dit en côte d’ivoire : Alassane Ouattara  est notre maitre. En côte d’ivoire après dieu c’est Alassane Ouattara, et cela s’appliquent au terme d’un culte de panurgisme moutonnier et aveugle de la personnalité. Quoi de plus normal puisque le culte de la personnalité et le panurgisme politique se contente de sa nourriture. Donc, Alassane Ouattara sera candidat pour un 3e mandat de non-droit soutenu par la piétaille docile de peuple.

 

Cela malgré les principes universels qui veulent que, la norme juridique nouvelle ne peut effacer des effets juridiques, qui se sont produit sous l’empire de la norme juridique ancienne. Qu’on ne peut pas effacer les actes consommés d’un individu conforment aux prescriptions légales. Que sinon n’importe quelle prescription impérative pourrait être remise en cause dans le temps. Et que n’importe quel agissement, pourtant régulier et totalement consommer pourrait être remis en cause par une nouvelle norme juridique. Qu’un droit à délai de rigueur consommé par le détenteur, est un droit anéanti. On n’a pas besoin de beaucoup de fanfaronnades politicards et de beaucoup de verbiages littéraires pour diversion politicienne pour comprendre qu’un droit civil et politique consommé par son détenteur est un droit forclos. Ceci est commun à toutes les nations civilisées. On n’a vraiment pas besoin d’efficacité divine à la matière pour le savoir. Mais ici rien n’à faire, parce que, la non-rétroactivité est un principe d’interprétation qui ne s’impose qu’à la juridiction de jugement, donc aux juges.

 

Ici ce sont les juges du conseil constitutionnel d’Alassane Ouattara, qui jugeront de la possibilité de son troisième mandat. Donc le fétiche face à son sac, qu’il ne peut brûler. Ici donc, ils ne peuvent que se contentent de relayer les positions d’Alassane Ouattara avec des éloges, et de flatter son aveuglément politico-judiciaire. Nous sommes ici dans la logique des normes juridique du nazisme admis comme du droit. Donc, la loi c’est Alassane. Et la constitution d’Alassane Ouattara, est sa volonté personnelle abstraite, en quête de conservation du pouvoir d’état. Pour faire légitimer par la piétaille de peuple, ses positions fondées sur des idées mafieuses de non-droit.  Afin de domination néo-monarchiste débridée ou d’arriver à une ploutocratie condescendante, avec comme appui les institutions étatiques. Donc, la loi c’est Alassane Ouattara dans cette logique condescendante de domination et de suprématie sociopolitique. Alassane Ouattara est la loi, sinon, tous autres loi est un leurre, un chiffon de papier, une attrape nigaude, pour ceux qui n’ont pas de fusils, et la loi est destinée à inculquer aux faibles le respect des forts qui ont les armes « fusils ». Ici le pouvoir est au bout des fusils, est la règle de loi.

 

*- La prosternation, la courbette et la génuflexion sources de promotions

 

D’après un mange-mils juridisme alimentaire, qui a perdu son éclairage d’avant, la puissance d’Alassane Ouattara aurait mis les compteurs de droits à zéro en côte d’ivoire. Donc point de lecture aujourd’hui à la lampe de la lumière du droit. Puisque, qu’ici, les règles et les droits c’est Alassane Ouattara. En côte d’ivoire après Dieu c’est Alassane Ouattara. Le maitre absolu des vies ivoiriennes c’est Alassane Ouattara. Oui, Alassane Ouattara a dit, Alassane Ouattara a fait, point ! Ce que Alassane Ouattara veut, la piétaille veut point ! En attendant peut-être la virgule demain. Cette clownesque bizarrerie ubuesque de potentats appel dès lors à explorer d’autres pistes éclairantes, appel à chercher d’autres hypothèses, a ce comportement ubuesque de potentats. Explorer d’autres pistes, comme l’incompétence, l’irresponsabilité, l’insouciance l’inconscience, l’amateurisme et la boulimie financière, l’aveuglement par le pouvoir absolu, l’interconnexion de la politique et des affaires mafieuses. D’autres hypothèses le panurgisme moutonnier d’une partie de la piétaille sociétale et les soutiens monnayables des lobbys, des mafias internationales. Oui les dictatures naissent souvent avec la complicité de peuple piétaille. Par l’approbation via un vote moutonnier du panurgisme suiviste aveugle de vache qui ne demande qu’à manger.

 

C’est une constance notoire, les dictatures naissent souvent avec la complicité de peuple piétaille. Que le profit groupuscule ne peut dissuader et ne peut raisonner, puisque l’intérêt étant la règle dans une relation mafieuse de catastrophe sociale sempiternelle. Alassane Ouattara serait candidat à ta demande peuple piétaille. Parce qu’ici face à un maitre absolu, qui n’est pas entouré par des grands commis de l’état, ou les serviteurs capables d’orientation, mais bien par des courtisant mange-mils plus soucieux de leurs carrières que du bien public, que de l’intérêt de la totalité sociale. Pas besoin de fondée les relations humaine, les relations sociales entre citoyens et pouvoir, et les rapports entre gouvernés et gouvernants sur le respect des principes inaliénables. Pas besoin de fondée les relations sociale sur le respect des règles universelles. Pas besoin de fondé le vivre en commun civilisé sur le respect des droits inaliénables. Pas besoin de fondée les relations politique, sur le respect des libertés fondamentales. Pas besoin de se fondé sur le respect des hommes qui doivent vivre, selon le droit et les règles de leur seule raison d’être des humains. Pas besoin de fondée les relations de la vie publique, sur le respect de la volonté générale de la totalité sociale du peuple souverain et libre, qui obéit par consentement, mais qui ne sert pas un maître absolu. Donc la totalité sociale du peuple qui obéit aux lois, mais qui n'obéit qu'aux lois, mais n'obéit pas aux caprices d’un pouvoir despotique et absolutiste devenu maitre absolu d’une piétaille panurgiste.

 

Et surtout, avec en face un maitre absolu, qui revendique que  la vie de la piétaille est déjà décider par lui, et sans l’avis de la piétaille, pas besoin de fondée les relations sociale, sur le refus de l’autoritarisme despotique sur la totalité sociale de piétaille du peuple suiviste. Pas besoin de fondée les relations sociopolitique, sur le rejet d’un pouvoir unilatéraliste et absolutiste. Pas besoin de fondée les relations citoyenne sur le refus d’une nouvelle ploutocratique en éclosion sous nos yeux, peut-être dans le feu et dans le sang. Pas besoin de fondée les relations de la vie quotidienne, sur le refus d’un système politique mafieux  assis sur l’ultralibéralisme prédateur de jungle, qui est toujours dans sa logique de domination monarchiste. Une logique mafieuse qui veut que, dans un pays de Merde, les responsables à différents niveaux, y compris dans les fonctions les plus élevées du pouvoir étatique, ne soient plus nommés pour leur mérite, pour leurs capacités intellectuelles adaptées à la fonction a occupée, pour leurs compétences avérées, pour leurs expériences en la matière ou pour leurs savoir-faire, ou même pour leurs qualifications scientifiques, non ! Mais qu’ils soient nommés plutôt pour leurs degrés d’allégeance au palais.

 

Oui, le palais présidentiel ou trône le maitre absolu, et qu’ils soient nommés pour leurs capacités nuisibles, à s’adapter au processus mafieux et aux cultes de la personnalité. Qu’ils soient nommés pour leurs capacités à trahir l’intérêt général de la totalité sociale. Qu’ils n’accèdent donc pas à des postes de responsabilités pour appliquer un programme de biens communs, qu’ils ont au préalable présenté et défendu devant la piétaille de peuple, ni pour travailler pour l’intérêt général de la totalité sociale , mais pour se plier aux injonctions du maitre absolu qui les a nommés. Et se faire  complices du bradage de l’organisation sociale, pour arriver à la monarchie ploutocratique et pour pomper les deniers publics, pour laisser libre cours aux surendettement éhonté de la piétaille, pour faire de quelques-uns en mal de dynastie et de royauté des multimilliardaires. La prosternation, la courbette et la génuflexion deviennent des sources de promotions sociopolitiques sous le maitre absolu.

 

Dans une situation sociopolitique délétère, où chaque portion de la piétaille sociétale composite se sent attaqué dans son assisse juridique, sociale, politique. Se sent attaqué dans sa liberté fondamentale. Se sent attaqué, dans son droit inaliénable, par des intérêts mafieux, des exploiteurs de la misère de ceux qui font leurs fortunes, maculées de sangs citoyens et imbibées de larmes d’orphelins de pères et/ou de mère. Où chacun est pris par sa différence sociopolitique et réduit à ce à quoi sa spécificité biologique ou confessionnelle le destine, ou l’autre n’est plus un frère, même pas un ami, mais un ennemi. Et la piétaille de peuple ivoirien est hallucinée, craignant que ceci ne tourne à de nouvelles tragédies politico-sociales dans leur piétaille de pays. Ce qui n’est autre chose, qu’un coup d’arrêt irrecevable, inacceptable et injustifiable au processus démocratique dans un pays de piétaille sous un maitre. Ou le tout état accaparé et confisqué, par le totalitarisme systémique mis au service de quelques-uns a pour seul but de faire d’un clan des ploutocrates assis sur l’escroquerie morale et intellectuelle contenue.

 

*- De quoi se Prosterner pour Abraham Lincoln et son : gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple.

 

L’enfer est plus que certaine pour la piétaille de peuple ivoirien, avec le règne du monarque dans une société du renard libre, dans le poulailler libre, le renard hallucinant, dans le poulailler halluciné congratulant quelques naïfs coqs de la basse-cour consentants au sacrifice Suprême. Pauvre côte d’ivoire en enfer, si l’ivoirien reste inerte. Donc il est question de sortir du paradigme toxique de la démocratie de vaine confrontation et entrer dans l’ère de la démocratie du dialogue, du consensus et de l’éthique. Et au besoin, en l’absence d’une restauration totale de la confiance sociopolitique avant les élections de 2020, de consulter Dame Rue, de pratiquer Dame Rue, de s’inscrire chez Dame Rue. S’il faut vraiment Dame Rue, pour arriver à la paix et la stabilité. Le droit de la piétaille sociétale exige de Prendre Dame Rue comme épouse consente, et équilibriste critique, jusqu’à la régulation sociopolitique. Ici en l’espèce la majestueuse Dame Rue, siège par voie de recours en toute légalité et en toute légitimité. Et c’est de droit universel inaliénable des peuples a disposé librement d’eux-mêmes, ou le droit inaliénable à l’autodétermination du libre arbitre des peuples, consignés en piétaille par un pouvoir arbitraire.

 

Ici, il est plus que jamais question de chercher à tout prix de se faire un chemin dans ce béton d’engrenage, «qui risque d’être fatal», vers la sortie de cette nasse sociopolitique, sciemment entretenue à dessein de protection des intérêts personnels claniques, de l’enrichissement groupusculaire et de confiscation du pouvoir d’état dans la durée  Il y a quoi de plus facile que chacun dans son périmètre d’évolution que de s’occuper du pouvoir arbitraire de l’unilatéralisme monarchique d’Alassane Ouattara et sa cooptation de ripoux politicards, nihiliste, iconoclaste et renégats, dans les 31 Régions et les deux districts Autonomes, de l’assiette territoriale nationale et advienne que pourra ? Un pouvoir illégal et illégitime élu par 15% de l’électorat total en 2015, qui manifeste le besoin de légalisation, au terme des élections truquées, et de renforcement du pouvoir exécutif, qui est par essence l’autre figure du despotisme autocratique devenue dictatorial, tyrannique, et despotique assis sur un peuple piétaille. Oui, en vertu des obscurs pouvoirs n’ont écrits, qui sont conférés à son conseil constitutionnel, Alassane Ouattara sera candidat en sauveur, à la piteuse demande d’une piétaille sociétale. Nous, nous avons su lire entre les lignes depuis des années sinon depuis 10 années. La dernière de notre lecture d’un éclectisme impassible est celle-ci : 

 

«Un transfert du pouvoir à une nouvelle génération, me parait évident. Mais je ne vous dis pas que je m’en vais, je n’ai pas dit que je m’en vais ! « Mon intention est de transférer le pouvoir à une nouvelle génération. Mais il faut que ceux de ma génération se mettent de côté. S’ils décident de se présenter, alors, je vais me présenter ». Donc soutenu par la piétaille de monde qui à défile au palais présidentiel et les positions des vautours de cadres manges-mils saisonnier du parti au pouvoir, il déclare volontiers : « Je prends acte de la résolution du conseil politique et de votre demande... Je suis avec vous et vous savez que je ne vous ai jamais déçus ». Cela est la dernière lecture qui a fini par assoir notre conviction que le maitre absolue de piétaille  serait candidat, malgré la désignation exutoire d’un candidat malheureux aux sorts scellés hors des urnes électorales par une Mafia, d’un système qui n’a que des paroles Retirées en politiques et jamais des paroles données et respecter. Des promesses envolées en politiques et jamais des promesses biens tenues, depuis son entré dans l’arène politique ivoirienne»

 

En témoignent sa promesse initiale de ne vouloir que 5 ans de pouvoir en 2010, sa volteface en 2015, je n’ai pas fini le travail, sa promesse d’alternance à Bédié, sa promesse de succession a Soro. Donc sans faute, Peuple de piétaille de côte d’ivoire, chers compatriote d’Alassane Ouattara s’adressera à vous le 06 Aout 2020 à  20 heures, pour vous dire qu’il accepte votre piteuse demande en sauveur, qu’il est candidat pour un troisième Mandat. Pauvre de côte d’ivoire, le sauveur de misérable piétaille, Alassane Ouattara sera candidat pour toi, et pour ton pauvre et misérable indigent peuple. Oui, sans le sauveur Ouattara, tu es fini et tu ne saurais où aller. Donc, le sauveur le fera pour toi, piteux piétaille sociétale. Mais retenons que, ce n’est autre chose, qu’un coup d’arrêt irrecevable, inacceptable et injustifiable au processus démocratique dans un pays de Merde, peuplé de piétailles sous un maitre absolu et absolutiste. Donc ici il y a de quoi se Prosterner pour Abraham Lincoln le père énoncé de la démocratie, du gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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27 juillet 2020 1 27 /07 /juillet /2020 16:01
Lepetitfils : Si le pouvoir d’Alassane a pu habilement et avec ingéniosité user du mensonge de conquête du pouvoir pour arriver à ses fins, par contre le mensonge d’état de l’exercice du pouvoir d’état a fini par le montrer ses limites en politique. Parce qu’il s’est avéré incapable de compromis, de dialogue, d’échange, pour réconcilier la nation après la crise. Il cherche plutôt à anéantir. Anéantir  les résistances de la société ou anéantir la volonté populaire, en cherchant à mettre en place une sorte de rapport de proie à prédateur, dans une logique de terrorisation.

Lepetitfils : Si le pouvoir d’Alassane a pu habilement et avec ingéniosité user du mensonge de conquête du pouvoir pour arriver à ses fins, par contre le mensonge d’état de l’exercice du pouvoir d’état a fini par le montrer ses limites en politique. Parce qu’il s’est avéré incapable de compromis, de dialogue, d’échange, pour réconcilier la nation après la crise. Il cherche plutôt à anéantir. Anéantir les résistances de la société ou anéantir la volonté populaire, en cherchant à mettre en place une sorte de rapport de proie à prédateur, dans une logique de terrorisation.

*- Alassane Ouattara ne peut être candidat en octobre 2020.

 

«Oui, nous voulons dire ici d’emblée, de façon très litote, que le principe universel de la non-rétroactivité des normes juridiques, qui soutiendrait un possible troisième Mandat pour Alassane Ouattara a perdu son essence, il ne tient plus en droit. Parce que ce principe universel ne résiste pas à cet autre principe de délai de rigueur impartie au départ et légalement arrivé à terme. Ce principe universel de la non-rétroactivité aurait pu tenir la candidature d’Alassane Ouattara dans trois hypothèses : 1)- Si Alassane Ouattara avait rédigé sa constitution pendant son premier mandat en rehaussant le temps des mandatures ou en rabaissant le temps des mandatures. 2)- Si Alassane Ouattara après avoir institué un poste de vice-présidence pendant son premier mandat, s’était fait élire au suffrage universel sur la même liste que son vice-président pour le deuxième mandat. 3)- Si Alassane Ouattara après avoir rédigé sa constitution pendant son deuxième mandat, n’avait pas abrogé dans sa constitution modifiée, le principe de l’élection de son vice-président «démissionnaire» au suffrage universel, qui devait ainsi aller avec lui-même à sa remorque sur une liste unique à l’élection présidentielle au suffrage universel. En l’absence de ses trois hypothèses Alassane, qui a fait deux (2) mandats au titre de la même constitution continue de 2000, ne peut être candidat. Et c’est de pur droit. Parce que le principe des mandats supplémentaires qui ressortissent de la modification constitutionnelle, n’a d’intérêt que quand il y a une connexité aliénante certaine de la mandature (diminution, augmentation de la durée du mandat antérieur ou même l’arrêt temporaire dudit mandat) du fait de la modification constitutionnelle. Le principe de la limitation prescrit dans la constitution source des deux (2) mandats d’Alassane Ouattara, le rend inéligible.

 

Oui, insistons-en : Lorsque deux (2) normes juridiques se succèdent, il faut déterminer a quels faits s’appliquent la norme juridique nouvelle. Il faut donc déterminer la norme applicable pour les situations juridiques qui ont commencé sous l’empire de la norme juridique ancienne et qui se poursuivent sous celui de la nouvelle norme juridique. Une norme juridique nouvelle est sans conséquence sur les situations juridiques dont les effets ont été entièrement consommés sous l’empire de l’ancienne norme juridique. La norme juridique nouvelle ne peut effacer des effets juridiques qui se sont produit sous l’empire de la norme juridique ancienne. On ne peut effacer les actes consommés d’un individu  conforment aux prescriptions légales. Sinon n’importe quelle prescription impérative pourrait être remise en cause dans le temps. Et n’importe quel agissement, pourtant régulier et consommer pourrait être remis en cause par une nouvelle norme juridique. Un droit à délai de rigueur consommé par le citoyen est un droit anéanti. Mais retenons ici que, le principe de la non-rétroactivité est un principe d’interprétation qui ne s’impose qu’à la juridiction de jugement, donc aux juges. D’où l’indispensable nécessité, des Juges des élections impartiaux non-redevables aux hommes politiques « conseil constitutionnel judiciaire ». Mais aussi retenons que, le juridisme de diversion orchestré afin de trucage électorale est un mode arbitraire de domination tenu pour archaïque au 21e siècle. D’où l’indispensable nécessité, aussi d’une commission électorale autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral sans aucune interférence politique. Et enfin retenons que, le socle existentiel du pouvoir d’Alassane Ouattara n’a pas bougé, la loi c’est moi ! Elle est faite pour imposer la volonté des plus forts possédants les armes et financièrement nantis aux plus faibles.»

 

*- Ceci étant. Revenons à la Chronique : Le temps de la  proclamation des principes intransigeants.

 

Bon ! Ceci étant, disons que, l’intransigeance du pouvoir d’Alassane Ouattara fait qu’aujourd’hui a l’approche des élections générales de 2020, la côte d’ivoire vit une situation sociopolitique délétère, des relations inter-politiques très tendues à l’extrême, au tour de l’organisme électoral. La dernière décision, de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP) qui a ordonné la réformer de la Commission électorale, dite CEI avant les élections de 2020, risque de ne changer peut être rien. Puisque, l’essence de la politique du pouvoir place et son but n’ont pas variés d’un iota «la confiscation du pouvoir d’état dans le temps», le socle politique existentiel de ce pouvoir n’a pas bougé «la loi c’est moi» pour aller à une crise plus grave en 2020. Donc, les torses des brigades de soutiens de chaque camp opposé sont toujours bombées, les musclés des partisans alimentaires sont toujours bandés. Les visages des acteurs politiques du jeu politique ivoirien, de ce qui s’apparente à un Western sont déterminés à aller au duel, le tout trompé par des sourires complices qui frôlent la perversité.  Oui, sans aucun doute comme une grenade à goupille tirée ça risque d’exploser pas comme un pétard de fêtard. Peut-être comme les bombes de l’après élection de 2011 avec l’aval d’une mafia internationale et cette fois plus de morts.

 

Le risque d’en arriver-là est grand, puisqu’il est constant de par le monde qu’une société ne peut être paisible et cohérente que par la reconnaissance de tous dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous. Donc une société des citoyens aux droits égaux dans l’espace public, aux chances électorales égales dans la vie politique, une société qui organise la solidarité envers les plus faibles de la totalité sociale. D’où chaque citoyen à volonté bénéficie des conditions idoines de participer à la vie politique de sa cité, de son pays. D’où un élu est le porte-parole de la volonté général pendant l’échéance prescrite. Donc il se doit de transporter une voix qui, loin d’être la sienne uniquement, s’identifie à ce que les citoyens veulent et doivent ressortir à ce que la volonté générale de la totalité sociale souveraine exprime du bas vers le haut. Et cela dans le respect des règles démocratiques, des principes juridiques, et de la volonté générale, sans diversion, sans manipulation politicienne et sans fabrique électoraliste politicarde aucune. Oui, il est constant de par le monde qu’en politique, la vraie, que les règles universelles doivent gouverner la vie publique. Oui, la doctrine démocratique veut que le peuple soit souverain et qu’il gouverne ses propres affaires. Et qu’il puisse se passer de toute représentation aliénante. Pour pouvoir garantir, le respect des normes internationales coutumières et la vérité historique coutumière qui garantissent les libertés publiques mise en danger par une représentation aliénante devenue arbitraire, aveugle.

 

Parce qu’il est constant et absolue, que quand les normes internationales coutumières, et les vérités historiques sont bafouées, ce sont les droits inaliénables qui sont en péril, ce sont les libertés publiques qui sont en danger, ce sont les socles et les substrats de la totalité sociale qui sont en danger. Et c’est pourquoi, quand certains principes fondamentaux de la démocratie universelle et de la vie en société sont violés par un pouvoir d’état, le voile étatique doit être percé a la lumière de la lampe du droit. Faute de quoi les droits inaliénables sont en péril, les libertés publiques sont en danger, la totalité sociale en danger. Ce qui fait qu’ici, la politique est une lutte à mort et est un combat permanent entre ceux qui veulent le bonheur du peuple souverain, pour qu’il devient maitre de son destin, de son émancipation, de son épanouissement, de sa liberté, de son droit à réaliser son désir d’avenir, et ceux qui à l’opposée, n’ont d’autre vision du monde que, l’enrichissement perpétuel au détriment du peuple martyrisé, et le pouvoir d’oppression au service de DIEU l’argent. Soutenu par la confiscation du pouvoir d’état par tous les moyens illégaux maquillés et embellis par le mensonge, la manipulation, l’escroquerie morale et intellectuelle avec l’acclamation des oiseaux migrateurs de tous les horizons a la recherche de bouffe, la bouffe, rien que la bouffe, tous pour pouvoir bouffer. Ce qui enfante les crises sociopolitiques et son corolaire de morts de citoyens, qui ne demandent qu’à vivre en paix, zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état.

 

C’est pourquoi l’exigence démocratique internationale, veut que l’action politique et/ou l’action démocratique doive être définie en terme de la vie commune en société, qu’elle se fonde sur l’harmonie sociale, sur la cohésion communautaire, sur le respect des règles universelles, sur des droits inaliénables, des libertés fondamentales. Sur le refus de l’unilatéralisme dans les relations sociales, sur le refus de la ségrégation politico-électorale. Ou les hommes vivent, selon le droit et les règles de notre seule raison d’être des humains. D’où un peuple libre obéit, mais il ne sert pas ; il a des chefs et non pas des maîtres ; il obéit aux lois, mais il n'obéit qu'aux lois et c'est par la force des lois qu'il n'obéit pas aux caprices des pouvoirs. Ou dans la liberté commune nulle n'a droit de faire ce que la liberté d'un autre lui interdit. Ou cette liberté consiste à ne pas soumettre la volonté d'autrui à la nôtre. Ou il est question de sortir du paradigme toxique de la démocratie de vaine confrontation et entrer dans l’ère de la démocratie du dialogue, du consensus et de l’éthique. Oui, dans la vie démocratique d’une nation, qui se veut civiliser, quand l’action politique ne se fonde pas sur les repères sociétaux universels, le vivre en commun dans le respect des règles démocratiques universelles, des droits inaliénables et des libertés fondamentales, sera soumis aux aléas de l’absolutisme d’un pouvoir déviant et obscurantiste devenu sourd, aveugle et abonné aux mimiques.

 

Un pouvoir obscurantiste devenu illégal et illégitime, que légitimeront les abonnés à l’opportunisme politicard, promoteur du carriérisme pathologique, de l’attentisme abject, du défaitisme fataliste, de la quête médiocre de postes de nominations, de sièges électifs controuvés à occuper. Dans les démocraties universelles et modernes, ou les gouvernants se doivent de gouverner par le consentement et de gouverner pour le peuple, les temps sont révolus où un tel jeu de micmac et zigzag de roublards et politicards  pour la légitimation d’un pouvoir arbitraire, peut apporter un gain, via l’interpénétration des affaires mafieuses et de la politique, par les nominations liées à l’accomplissement de sales missions de taupes, de l’indignité du clanisme et du pouvoir absolu. Donc en période de turbulence sociétale, ce qui doit constituer la règle d’or de l’action socio-politico-électorale, est l’affirmation des principes sociétaux universels, le respect des droits inaliénables, des libertés fondamentales, la proclamation des idéaux politiques intransigeants, et l’expression forte des convictions idéologiques et philosophiques. Oui, la modernité politique a fait du peuple souverain le symbole de l’universalité des citoyens, le dépositaire incontesté de la souveraineté populaire. Parce que, l’idée d’un ordre sociopolitique paisible, suppose que les citoyens puissent avoir entre eux des rapports sociétaux civilisés réglés en fonction des droits et règles universelles, des normes internationales, des principes démocratiques inscrits dans les normes de régulations sociopolitiques.

 

Cela sans recourir, ni à la force matérielle des armes, ni à l’injustice et la violence, ni à une conception strictement absolutiste du pouvoir d’état, ni aux utopies claniques qui tendent à fonder l’ordre politique nationale sur les affinités des sentiments d’appartenances, et sur l’idée des murs diviseurs dans la société commune, ou sur le consensus des opinions marchandes cooptée avec des intérêts mercantilistes. Oui, dans une société harmonieuse et policée, l’idéal veut que, le pouvoir ne contraint pas les hommes, le citoyen doit être obligé par la légitimité du pouvoir, qui résulte de la reconnaissance du peuple souverain, dans la mesure où il peut reconnaître en ce pouvoir des exigences raisonnables, il s’agit là d’une convention souveraine. La convention qu’elle suppose c’est un pacte d’association entre groupes sociaux, entre groupes ethniques, et entre les citoyens divers. Il s’agit d’une forme d’association qui défende et protège de toute la force commune les personnes et les biens de chaque associé et par laquelle chacun s’unissant à tout, n’obéisse en réalité qu’à lui-même et reste toujours aussi libre qu’auparavant. Avec tous ses droits, y compris civils et politiques, toutes ses libertés collectives et individuelles.

 

Donc il s’agit de par ce principe-là, de garantir les droits fondamentaux et les libertés individuelles de toute la composante sociétale, qu’est le peuple souverain. Ici le peuple constitué en sujet politique, doit être le souverain absolu. Puisqu’il ne peut véritablement défendre ses droits et libertés qu’en dehors de tout système représentatif aliénant. Donc, l’insurrection, l’action directe, lui en offre les moyens de se retournés contre une représentation-aliénation. Donc la réelle légitimité de la représentation «du pouvoir d’état», ne peut être obtenue que par le respect strict des droits à la souveraineté du peuple, que par le respect du consensus politique, que par l’égalité de chance de tous devant les normes juridiques de régulations sociales acceptées par tous. Ainsi la condition étant égale pour tous, nul n’a intérêt dans la société commune de la rendre onéreuse aux autres. Ici égale pour tous indique que dans l’état aucun citoyen n’est davantage citoyen qu’un autre et que tout le monde dans la société commune est assujettis aux mêmes droits civils et politiques, et passible des mêmes répressions judiciaire de la même justice. Ici le citoyen s’entend comme tout homme de la société doué de ses droits civils et politiques. Le citoyen c’est donc, vous et nous, c’est un député ou un maire, un ministre ou un président de la république, un conseiller général ou un conseiller d’état, comme dit tous : assujettis aux mêmes droits civils et politiques, donc tous passible des répressions de la même justice impartiale. Tous des citoyens égaux en droit et en devoirs.

 

Ce qui est la manifestation rigoriste de l'appartenance à une entité commune nationale, à un groupe composite hétérogène, à une totalité sociale souveraine nationale, dont l'existence prohibe l'usage de la violence dans les relations humaines, tous égaux en droit et devoir. Mais hélas, quand on regarde aujourd’hui l’état de notre vie politique et de notre vie démocratie avec le peuple, cette appartenance à une entité commune nationale, est mise en mal, et on note le clignotement incessant d’un immense signal d’alarme qui indique un niveau inquiétant de désintérêt d’un nombre considérable de citoyens de la vie politique et de la vie démocratique de leurs pays. La raison la plus importante de ce décrochage citoyen est sans contradiction possible la crise de confiance qui mine la relation du peuple souverain avec ses élus, ce qui n’est autre chose que  la crise de la représentation nationale dévalorisée. Parce que l’absolutisme unilatéraliste érigé en système dans les relations sociopolitiques, est l'expression la plus manifeste de la négation des droits fondamentaux et des libertés individuelles d’autrui. Elle est l'affirmation en acte de la volonté de certains, d'infléchir et donc de corrompre le destin commun ou le destin d'autrui. Elle est plus fondamentalement, un mode arbitraire de domination tenu pour archaïque au 21e siècle.

 

En clair le système absolutiste et unilatéraliste du pouvoir d’Alassane Ouattara, agripper au pouvoir d’état, avec l’accaparement mafieux de la souveraineté populaire, via les institutions républicaines vermoulues et démodées est une sacrée couillonnade passéiste, d’un archaïsme politique voie de régression sociétale, un banditisme et un gangstérisme immoraux. Comme dit, qui de fait usurpe la souveraineté populaire du peuple en confisquant les institutions démocratiques. Or les gouvernants doivent demeurer les mandataires du peuple, et s’obliger à servir les besoins sociétaux du peuple, et à s'associer aux idées que les mouvements sociétaux divers apportent à la société commune, pour le progrès pour tous, est un instrument d'ordre par excellence, pour arriver à une société stable, paisible, harmonieuse et cohérente dans l’union de tous. Ici donc, le suffrage universel est un instrument incontestable d’ordre, de stabilité sociopolitique et d’harmonie intercommunautaire. Donc il est l'instrument d'ordre par excellence dans un état républicain de droit. Parce que de par la bonne organisation électorale, qui fait du processus électoral et des lois qui le régissent l'œuvre de toute la société, l'impose au respect de tous.

 

Oui, des vérités irréfragable ont été dites : « Le président de la République ne peut, aux termes de la Constitution, sa propre Constitution, briguer un troisième mandat présidentiel, le principe de la limitation le rendant inéligible.» Mais le mieux est de le laisser, Alassane Ouattara et sa cooptation de ripoux politiques, nihiliste, iconoclaste et renégats, à leurs jeux de micmacs et zigzags, pour les amener au suffrage universel populaire et les battre. Puisqu’ils sont déjà battus, si les conditions des élections sont propres sans ambiguïté et sans partialité. Donc battus d’emblée, dans un processus électoral qui permet d’obliger la dévolution du pouvoir d’état, ainsi placé à équidistance de tous les candidats, pour des élections consensuelles, libres, transparentes, justes et ouvertes. Et surtout battus d’emblée, avec les conditions d’un processus, qui obéissent au principe universel qui exige qu’il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique d’un pouvoir d’état que de faire partager à l'ensemble des citoyens libres, la conviction que leur volonté s'exprime à travers les représentants qu'ils se sont librement choisis. Oui, battus d’emblée dans une bonne organisation électorale, qui fait du processus électoral et des lois qui le régissent l'œuvre de tous. Donc une organisation électorale qui s’impose au respect de tous.

 

Oui, la constitution R?-DP d’Alassane Ouattara, imposée unilatérale au peuple ivoirien en Novembre 2016, n’est pas le reflet de la côte d’ivoire solidaire, et de la volonté populaire des citoyens ivoiriens consentants. Elle vise à permettre l’accaparement de la souveraineté populaire par Alassane Ouattara, la confiscation du pouvoir d’état par Alassane Ouattara, donc à faire voir et à faire connaitre Alassane Ouattara. Qui doit sortir vainqueur des élections à tout prix, bon gré, mal gré et bon an, mal an. « Élection sénatoriale par les élus minoritaires et nominations des sénateurs dit représentants du peuple par Alassane Ouattara ». Tout y est ! La constitution ivoirienne d’Alassane Ouattara a perdu son statut d’identifiant de la société ivoirienne. Alors même qu’il est de notoriété universelle incontestable que, pour Voir une société, pour Connaitre une société, pour Dire une société, pour Rencontrer et Raconter une société, pour Peser une société, il n’est pas, en droit, d’autre instrument que la Constitution, norme de régulations sociales par excellence. Elle est l’acte fondateur et le substrat de la société, en ce qu’elle énonce les principes autour desquels se construit le vivre en commun de partage civilisée d’une société ; elle est un acte organisateur en ce qu’elle définit les mécanismes du gouvernement politique et son mode d’accession au pouvoir d’état; elle est un acte scientifique pensé et écrit en ce qu’elle marque la volonté du peuple, en ce qu’elle consigne le consensus sociopolitique républicain autour des principes et modes d’organisation politique de la société. Ainsi, elle échappe au contrôle des pouvoirs d’état, en ce qu’elle enfante et fait la légalité des pouvoirs, et en ce qu’elle mécanise la stabilité sociopolitique et la paix.

 

Oui, si le pouvoir d’Alassane Ouattara a pu habilement et avec ingéniosité user du mensonge de conquête du pouvoir pour arriver à ses fins, par contre le mensonge d’état de l’exercice du pouvoir d’état a fini par le montrer ses limites en politique. Parce qu’il s’est avéré incapable de compromis, de dialogue, d’échange, pour réconcilier la nation après la crise. Il cherche plutôt à anéantir. Anéantir  les résistances de la société ou anéantir la volonté populaire, en cherchant à mettre en place une sorte de rapport de proie à prédateur. Avec la stratégie de la terreur qui est  l’affirmation de soi, et négateur de l’existence d’autrui. Ce qui inscrit ses actions et ses positions sociopolitiques dans une logique de terrorisation… « Donc arrivé à cette conclusion irréfragable, nous disons, citoyen ivoirien, qu’en l’absence d’une réforme de la Commission électorale, dite CEI avant les élections de 2020, il faut consulter Dame Rue, il faut pratiquer Dame Rue, il faut s’inscrire chez Dame Rue. Oui, il faut Dame Rue pour la paix et la stabilité. Prenons Dame Rue. Ici en l’espèce la majestueuse Dame Rue, siège par voie de recours en toute légalité et en toute légitimité c’est de droit inaliénable des peuples a disposé d’eux, ou le droit inaliénable à l’autodétermination des peuples ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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22 juillet 2020 3 22 /07 /juillet /2020 16:02
Lepetitfils : Aujourd’hui à l’ opposer du décret d’Houphouët Boigny qui disait : « Mes successeurs feront de plus grandes choses.» mais hélas ! Les ivoiriens se retrouvent en face à ce jour, avec plus de 7000 morts de citoyens ivoiriens zigouillés, sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état par un carriériste pathologique. Aujourd’hui l’ivoirien est un abonné à faire Cadavre, l’ivoirien fait Cadavre tous les temps. Oui, l’ivoirien, s’il tient absolument à ses droits, et libertés est devenu un prisonnier en puissance et s’il aspire au libre arbitre, il est un cadavre Ambulant.

Lepetitfils : Aujourd’hui à l’ opposer du décret d’Houphouët Boigny qui disait : « Mes successeurs feront de plus grandes choses.» mais hélas ! Les ivoiriens se retrouvent en face à ce jour, avec plus de 7000 morts de citoyens ivoiriens zigouillés, sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état par un carriériste pathologique. Aujourd’hui l’ivoirien est un abonné à faire Cadavre, l’ivoirien fait Cadavre tous les temps. Oui, l’ivoirien, s’il tient absolument à ses droits, et libertés est devenu un prisonnier en puissance et s’il aspire au libre arbitre, il est un cadavre Ambulant.

*- Chronique : Le  doute de l'expression démocratique des urnes.

 

Disons d’emblée que, bien que très nuancée dans le fond de sa décision, la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP) a ordonné tout de même à la Côte d’Ivoire de réformer à nouveau la Commission électorale, dite CEI avant les élections de 2020. Mais elle ne dispose pas de moyens de recourir à la force publique pour faire exécuter sa décision. «La Cour Africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP) dit le droit international, et c‘est aux peuples d’appliquer ou de faire appliquer, les décisions de la Cour Africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP)». Donc en cas d’obstacle à l’exécution, c’est au peuple ivoirien de rechercher a entré dans ses droits inaliénables bafoués. Toute chose, qui ne se donne pas par un pouvoir arbitraire et obscurantiste. Oui, il y a trop d’impair et d’amateurisme dans la gestion, du processus démocratique, qui laissé planer un sérieux danger sur notre société commune en 2020. Danger de sempiternelles crises sociopolitiques, qu’un vrai état de droit, qu’une vraie démocratie qui enfante de vrais élus peut obvier. Oui redisons-le, dans l’organisation sociale c’est en permettant à chacun de poursuivre sans violence le redressement de ses griefs dans le consensus social, on désarme la violence armée contre la totalité sociale souveraine. Et Ainsi en faisant de l’œuvre de l’organisation sociale, celle de la société commune, on impose ces œuvres aux respects de Tous.

 

Ce respect consentit de Tous des œuvres de l’organisation sociale vient investir le pouvoir politique d’état d'une force morale immense, qui rend toute entreprise factieuse impossible et dispense de recourir à l'emploi de la force matérielle dans les relations humaines. Oui, il est constant que, si les crises contemporaines font crépiter les armes, elles résultent toujours d’une violation de droit. Oui, les crises sociales quelles qu’elles soient, résultent toujours d’une crise de droit ; « droits bafoués, illégitimités et illégalités des gouvernants, inégalités sociales criantes entre composante sociétale, crise identitaire anomique, crise de confiance entre les composantes de la société et entre celles-ci et le pouvoir d’état, crise des normes juridiques de régulation sociale ». Donc tout groupement humain a besoin d’un minimum d’ordre et de discipline pour assurer son bon fonctionnement, sans lesquels il n’y a pas de paix sociale, de cohésion sociale et d’harmonie communautaire dans l’organisation sociale destinée aux biens tous. C’est ainsi que, la réconciliation, la stabilité et la paix sociale doivent être cautionnées par l’exemplarité des premiers responsables du groupement humain ou de la totalité sociale souveraine du pays.

 

Parce qu’ici, ce principe universel veut que, ce soit à partir des personnes que doit se construit l’avenir. Que ce soit à partir de la solidarité des personnes que, doit se bâtit la réalité du quotidien sociétal. Que c’est à partir de la société civile cohérente, stable et harmonieuse que doit s’exercer de fait une prise de pouvoir, par l’espérance citoyenne, à travers des actions paisibles, et concrètes. Ainsi que la progressive unification des différents combats sectoriels solidaires, pour la Vie, pour l’homme et pour la liberté. Donc que c’est à partir des actes d’insurrection de la pensée, et de la volonté du peuple, «qu’est un acte de libération de l’avenir, un combat pour le destin de chacun» que se construit une société paisible. Mais hélas ! Aujourd’hui en côte d’ivoire, tout est fait pour dire au peuple souverain ivoirien et pour revendiquer que l’avenir est déjà décidé par les gouvernants actuels. Au terme d’une crise sociale sempiternelle, soutenue et entretenue sciemment pour l’exercice du pouvoir d’état, qui provoque un émiettement du pouvoir politique d’état et institutionnel, entre de multiples centres d’intérêts particuliers et partisans. Et qui ne sont plus en mesure de s’entendre autour des intérêts disparates, éparses des uns et des autres, qui veulent tout accaparer. Donc vive les coups de poignards.

 

Ce système politique antisocial, anti-droit et mafieux du pouvoir d’Alassane a manifestement achevé de mettre en place sa Fabrique obscurantiste de succession goupillée et rafistolée dans des normes juridiques contraire au droit réel, pour schématisé une mortifère succession à Rotation Cyclique ou tous les coups sont permis. En clair au sein du même clan «des ripoux bouffe-tout» au pouvoir, quand on feint de se serrer les coudes, de s’échanger case contre séné, en réalité ils investissent toutes leurs énergies dans de sadiques opérations destinées à se liquider mutuellement entre eux. Ici, faire la politique se trouve donc, réduit ostensiblement au banditisme et à la voyoucratie gangstérise. «Ou celui qui tire le premier a déclenché les hostilités mortifères, et celui qui tire le dernier coup à gagner». C’est en réalité la démocratie universelle et la république républicaine, qui prennent un coup. Voilà les images des actions théâtrales de notre arène politique préélectorale de 2020. Nous sommes déjà dans une crise préélectorale avec les désaccords tranchés sur le processus électoral, et si les choses devaient rester là, en l’état malgré les décisions de la Cour Africaine des droits de l’homme et des peuples, nous allons vers une crise électorale et postélectorale en 2020. Nous tendons inexorablement vers de nouvelles contestations des résultats électoraux, de nouvelles tragédies et la crise risque de s’aggraver, et durées pour des longues années.

 

*- La démocratie réelle est action continuelle du citoyen sur les affaires publiques de l’état.

 

Ici dans cette logique, jouer le jeu de l’entre-liquidation et au jeu de la neutralisation, avec dans le viseur les élections présidentielles de 2020 qui sonnera le clash, c'est-à-dire une explosion du bloc politique, restent les jeux favoris. C’est pourquoi qu’aujourd’hui, les dirigeants de l’état au plus haut niveau se plaisent à détruire les institutions politiques et les institutions démocratiques, pour s’accaparer des institutions économiques et financières, pour pouvoir faire de quelques-uns des multimilliardaires, dans la perspective des affrontements fratricides. Avec des nébuleux coups de poignards plantés dans le dos des honnêtes citoyens. Ils assujettissent donc les valeurs de la république, les valeurs démocratiques, les valeurs morales sociétales, les normes de gestion de la société, la cohésion sociale et la paix sociale pérenne, a un pouvoir absolutiste et unilatéraliste dont les seuls soucis aujourd’hui semble être les élections présidentielles de 2020 et suivantes. Ce qui donne cette impression de pouvoir monarchique en difficulté de naissance et l’absence d’homogénéité dans l’action publique.

 

Et le résultat est terrifiant : chacun des dirigeants de l’état, tire de son côté, n’importe comment, en jappant aux mollets des différences, en épiant les autres, à l’image de ces rapaces rassemblés autour d’une proie en décomposition avancée, en se battant parfois avec leurs semblables, en cohabitant avec eux le reste du temps, en s’alliant toujours contre ceux qui ne font pas partie de leur monde. Et c’est la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny qui paye et payera toujours l’addition. Donc vive le chaos social sempiternel au pays d’Houphouët Boigny. Il nous faut donc « ivoiriens » ouvrir un chemin  dans le béton de l’absolutisme unilatéraliste. Pour pouvoir suivre l’évolution irréversible des démocraties, qui sont entrées dans l'âge d'une légitimité plurielle et problématique. Qui font qu’aujourd’hui, dans nos sociétés, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique, que de faire partager à l'ensemble des citoyens la conviction que leur volonté s'exprime à travers les représentants du peuple, qu'ils se sont librement choisis au terme des élections réellement démocratiques, réellement pluralistes.

 

Or, à l'heure où les citoyens semblent douter de l'expression démocratique des urnes, à l'heure où la tension est particulièrement vive entre opposition et pouvoir, à l'heure où la légitimité populaire accaparée est contestée, et l'intérêt général renié, au profit souvent d'un clanisme ethno-tribaliste de circonstance d’un pouvoir déviant. Il n’est pas sans intérêt de rappeler au pouvoir déviant, qu’être citoyen d’un pays signifie justement posséder le droit réel, sinon le privilège de participer librement à la vie de la cité dans laquelle on vit, et à la vie de la communauté politique à laquelle on appartient. Cette participation se fait d’abord par le dialogue avec la composante sociale, par la discussion avec les autres membres de la collectivité, pour déterminer les paramètres du bien commun, parce que le dialogue fondé sur la tolérance, le respect et l’empathie permet de concilier davantage les intérêts individuels et l’intérêt général dans l’esprit d’une coexistence harmonieuse et pacifique. Oui, il est constant de par le monde qu’une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise. L’outil démocratique mal exploité peut tuer les règles universelles, les droits inaliénables et les libertés individuelles.

 

Oui, disons-le encore, la démocratie n’est pas dans les institutions mais dans les hommes qui les incarnent et les animent. Elle ne consiste pas «la démocratie» à mettre épisodiquement un bulletin de vote dans une urne, à déléguer les pouvoirs citoyens à un ou plusieurs élus, puis à se désintéresser, à s'abstenir, à se taire, à se dégouter et à rester inertie et statique dans son coin. Non ! La démocratie réelle est action continuelle du citoyen sur les affaires publiques de l’état, sur la gouvernance étatique de sa nation, sur les grands principes de droits universels, sur les libertés fondamentales, sur les règles démocratiques universelles, qui régissent et qui décident ,de la vie de tous, de la vie chacun, de la vie de la totalité sociale et de la vie de la nation toute entière. Elle «la démocratie réelle» échappe à toute programmation systémique qui désigne de façon formelle un futur élu. C’est pourquoi, la démocratie doit être assise sur les règles universelles, sur le droit universel, sur la liberté individuelle et c’est là que les intellectuels éclaireurs, les éveilleurs de consciences citoyennes, et les paroliers du peuples souverain, se voient dévolus un rôle primordial devant la postérité et l’histoire, aider la démocratie à bâtir les droits inaliénables, les libertés individuelles et la paix sociale pour que l’alternance politique soit assurée dans la paix dans notre pays.

 

*- Citoyen ivoirien attache toi les conseils Dame Rue, l’Amie atavique des démocraties !

 

Il faut noter clairement ici encore sans nuance aucune ou ambiguïté que, les juridictions internationales jouent le rôle impérieux du renforcement de l’état de droit au niveau international et du maintien de la paix et de la sécurité internationale. Mais les juridictions internationales ne disposent pas de moyens de recourir à la force publique pour faire exécuter leur décision. Donc en cas d’obstacle à l’exécution, c’est au peuple ivoirien de rechercher a entré dans ses droits inaliénables bafoués. Toute chose, qui ne se donne pas par un pouvoir unilatéraliste, absolutiste, despotique et déviant devenu, sourd et aveugle. Ici la Rue siège par voie de recours en toute légalité. (Oui, dans un système réellement démocratique, d’un état républicain de droit, le gouvernement est confié pour un temps à des hommes bien élus par leurs concitoyens et responsables de leurs actes de gouvernances. Si le pays est content d’eux, il les maintiens au pouvoir ; s’il n’en est pas content, il les change, sans bruit, sans violence, par le seul effet de ses suffrages. Or dans une monarchie, on n’arrive à se débarrasser d’un maître, oppresseur ou injuste, qu’au moyen d’une révolution citoyenne; malheureusement le fusil d’une meute de soudards devient souvent, l’instrument de la délivrance populaire. Donc ici, dans un système réellement démocratique, d’un état républicain de droit, l’arme toute puissante au moyen de laquelle on arrive à conquérir toutes les libertés et réaliser tous les progrès, est le suffrage universel. Parce qu’il renforce l’obligation pour l’individu de donner à son activité une orientation qui tienne compte de son appartenance à une communauté de destin et de son insertion dans la société citoyenne, c’est-à-dire des liens d’interdépendance qui le rattachent hermétiquement à ses concitoyens.

 

Donc dans une bonne organisation électorale, le suffrage universel est un instrument de progrès pour tous. Parce qu’il débouche sur un ordre conventionnel qui désarme la violence. Il vient interdire l’usage d’un certain répertoire d’action politique arbitraire, unilatéraliste, absolutiste et despotique. Et en se voyant chargé d'exprimer fidèlement la souveraineté du peuple, il acquiert ainsi les attributs symboliques du sacré. Oui, du Sacré. Donc dans ce système, le suffrage universel instrument de progrès pour tous, échappe au contrôle des pouvoirs d’état, en ce qu’il enfante et fait la légalité des pouvoirs politiques. Donc arrivé à ce niveau de constat malgré-nous, qu’il nous soit parmi donc ici, de saluer excellence Dame Rue, opposante consensuelle et équilibriste critique, qui ne trahi jamais personne. Oui, Mohandas Karamchand Gandhi, Martin Luther King, Nelson Rolihlahla Mandela, Felix Houphouët Boigny et les petits fils de Thucydide en Grèce, l’ont côtoyé et l’ont pratiqué avec succès sans qu’elle ne faiblisse un seul moment, sans qu’elle ne faillisse un seul instant, tout en s’affichant aux yeux du monde comme la sève nourricière de la vie publique, comme le lieu par excellence de la démocratie du pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple, voulu par Abraham Lincoln. Et la démocratie athénienne qui résulte de la grave crise de la cité grecque.

 

Soyez saluer donc, excellence Dame Rue, face des actes de la volonté criminelle et dictatoriale d’un clan mafieux et malhonnête du pied jusqu’à la tête, d'infléchir et de corrompre le destin de la nation ivoirienne et du peuple ivoirien, pour le réduire à leur seule exigence politique mercantiliste, pécuniaire, égocentrique au servie de Dieu l’Argent. Soyez saluer excellence Dame Rue, de bien vouloir offrir le meilleur moyen de brisé l’enfermement sectaire dans le clanisme criminel des politicards ivoiriens. Ce qui fera de notre pays, un pays de citoyens égaux en droit et devoir. il y a quoi de plus facile que chacun dans son périmètre d’évolution que de s’occuper du pouvoir arbitraire de l’unilatéralisme monarchique de, Alassane Ouattara et sa cooptation de ripoux politiques, nihiliste, iconoclaste et renégats», qui a besoin de légalisation, par le biais du renforcement du pouvoir exécutif, qui est par essence l’autre figure du despotisme autocratique devenue dictatorial, tyrannique, et despotique, dans les 31 Régions et dans les deux districts Autonomes, de l’assiette territoriale nationale et advienne que pourra ? Question importante n’est-ce pas ? Citoyen ivoirien va chercher la réponse chez Dame Rue, l’Amie atavique des démocraties!).

 

Oui, citoyen ivoirien, il faut consulter Dame Rue, il faut pratiquer Dame Rue, il faut s’inscrire chez Dame Rue pour le mariage de l’Eau avec le Feu, afin que ce couple lamentable soit-il, puisse donner naissance à l’enfant ; «la paix sociale Houphouët-ienne». Oui, il faut Dame Rue, parce que, si conformément au décret de Félix Houphouët Boigny, du « pas une seule goutte de sang versée sur le sol ivoirien » Bédié à gouverner sans que jamais une seule goutte de sang ne soit versée, même après avoir subi un coup d’État et l’exil forcé. Aujourd’hui à l’ opposer du décret de Félix Houphouët Boigny qui disait : « Mes successeurs feront de plus grandes choses.» mais hélas ! Les ivoiriens se retrouvent en face à ce jour, avec plus de sept mille morts « 7000 morts » de citoyens ivoiriens zigouillés, sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état par un carriériste pathologique. Aujourd’hui l’ivoirien est un abonné à faire Cadavre, l’ivoirien fait Cadavre tous les temps. Oui, l’ivoirien aujourd’hui, s’il tient absolument à ses droits, et libertés est devenu un prisonnier en puissance et s’il aspire au libre arbitre, il est un cadavre Ambulant. Oui, pour la paix et la stabilité prenons Dame Rue. Que la nature protège la côte d’ivoire d’ Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui doit  garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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18 juillet 2020 6 18 /07 /juillet /2020 16:19
Lepetitfils : Pas de soucis pour toi pour le principe: « Ai-je fait, bien fait pour mon pays ce que je dois ? » de Félix Houphouët-Boigny .

Lepetitfils : Pas de soucis pour toi pour le principe: « Ai-je fait, bien fait pour mon pays ce que je dois ? » de Félix Houphouët-Boigny .

*- Adieu ! Devance-les ! VA !!! …

Endurcis d’une croyance ancestrale qui veut que le lien social soit politique, mais que la politique politicienne ne doit pas s’exercer dans le lien social, et que tout homme est homme, indépendamment de sa caste, que dire ici, après un petit moment de bouche-cousues devant la réalité effarante, et pour contenir et en magasiner les douleurs ? Pas grande chose à dire ! Bon ! Un des meilleurs portes flambeaux de la génération des enfants de l’indépendance a succombé suite aux multiples coups insidieux de poignards plantés dans son dos par l’animosité sociopolitique, dans les bas-fonds de l’anonymat de la bassesse du combat politique carriériste, du misérabilisme politique nombriliste.

Oui, un des meilleurs portes flambeaux de la génération des enfants de l’indépendance, en témoigne ces quelques phrases litotes face à une crise d’intérêt politique: « C’est dur, c’est compliqué, mais ce n’est pas pour cela qu’il faut abandonner, nous avons besoin de cette «ré-union des Houphouëtistes divisé», pour assurer justement le plus large socle commun. On ne peut pas laisser subsister les germes de la division, de la fracture, simplement au nom du pouvoir». Ceci est tiré d’une vision politique spécifique aux enfants de l’indépendance. Oui cette vision politique était plus forte que toi, parce que ça coule de l’idéal sociétal Houphouetien. « Donc, pas de soucis pour toi pour le principe: « Ai-je fait, bien fait pour mon pays ce que je dois ? » de Félix Houphouët-Boigny .

Oui, c’était plus fort que toi, parce que c’est la sève même de la philosophie politique Houphouëtienne. C’était plus fort que toi, parce que ça t’était ancestral, sinon atavique. Le lion de Korhogo peut-être, Oui ! Carnivore rébellionnaire ? Non ! Moi, j’en voyais plutôt un taureau dont le volume et l’épaisseur lui dispense d’enclos destiné à un troupeau, et qui ne recule pas face à la charge… Oui « il faut le dire Aujourd’hui », à la porte de la MACA pour mes idées de sale gueule insulteuse, j’ai testé le taureau combattant sans l’approcher. Face à le harcèlement fiscal pour délit de gueule puante ouverte en permanence à la manière du crocodile, et pour morsure avec des crocs supposé rouillés, j’ai entendu les beuglements du taureau sans le voir.

Oui, ils t’ont eu ! Ils nous ont eus ! Enfants de l’indépendance. «Ils l’ont tué ! Ces fous furieux, ces vautours vampiriques des temps nouveaux, ces piranha-sangsues, sans idée, sans foi et sans loi, pour pérenniser ou s’assurer une carrière présidentielle, au mépris des vies humaine ». Ils l’ont tué ! Mais nul ne restera sur terre. Et c’est du jour au lendemain ce passage sur terre. Adieu ! Devance-les ! TÄGÄ !!! ---

(Lepetitfils- PATRIOTE IVOIRIEN.

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17 juillet 2020 5 17 /07 /juillet /2020 18:33
Lepetitfils : Le peuple ivoirien, doit rester le maître de son destin et le capitaine de son âme. Ce qui nécessite un fracassant combat politico-électoral, dont notre devenir à tous, à chacun et le destin de la patrie en dépend et de restaurer l’image ternie de la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, en retrouvant la paix sociopolitique Houphouët-enne. Dont la voyoucratie politique est gardienne. Donc citoyen, tous ensembles pour changer notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny en 2020.

Lepetitfils : Le peuple ivoirien, doit rester le maître de son destin et le capitaine de son âme. Ce qui nécessite un fracassant combat politico-électoral, dont notre devenir à tous, à chacun et le destin de la patrie en dépend et de restaurer l’image ternie de la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, en retrouvant la paix sociopolitique Houphouët-enne. Dont la voyoucratie politique est gardienne. Donc citoyen, tous ensembles pour changer notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny en 2020.

*- Chronique : Continuer l’aventure ce serait une faute.

Depuis le 24 décembre 1999 au 18-19 septembre 2002 pour arriver au 11 Avril 2011, Rien n’à changer pour la côte d’ivoire martyrisée, dénaturée, désocialisée et dépaysée. Il faut changer de route rien ne sert à continuer. Oui, il faut se le dire net, au terme des élections de 2020, certains unilatéralistes iconoclastes, absolutistes renégats, et arrivistes voyoucrates vont disputer aux cours des élections, les sillons pour l’avenir tracés par Félix Houphouët  Boigny. Et tenter des saupoudrages au tour des âges de deux « 2 » candidats. Donc ici retenons que l’âge d’un homme politique, n’a rien à voir avec sa capacité d’anticipation et de la préparation de l’avenir d’un peuple et d’une nation. Seuls comptent ses idées novatrices et son idéal sociétal pour l’avenir. Parce que celui qui prépare l’avenir d’un peuple et d’une nation n’est pas tenu ou obligé d’en être un acteur ou l’acteur principal dans cet avenir qu’il prépare au terme de ses mandats électifs, en exécutant un projet de société dont la finalité est cet avenir. Voilà la vérité. L’âge des hommes politiques, avec les expériences et la sagesse qui en résulte sont un avantage pour la Côte d’Ivoire d’aujourd’hui, en quête d’une vraie réconciliation, d’une réelle cohésion sociale et d’une authentique harmonie communautaire ou tous les changements seront possibles dans la paix sociale, afin de pouvoir se relever dignement. Donc seul compte la capacité à aller à la vraie réconciliation nationale, la capacité à améliorer le présent et à anticiper l’avenir du peuple, le projet de société capable d’assurer un avenir meilleur, stable, paisible dans l’ordre, et la discipline, au peuple souverain, au destin de tous et à l’image de la Côte d’Ivoire dans le concert des nations civilisées réconciliée avec elle-même, avec ses mœurs de paix d’antan.

Au terme de ces élections à venir de 2020, la chose la plus importante serait de bloquer cette dynamique démoniaque mortifère (trop de morts de citoyens depuis 2002) et renverser ce système absolutiste, unilatéraliste monarchiste et mangecrate, devenu de plus en plus pervers. Afin de replacer l’être humain au centre du débat, le citoyen au centre de la problématique sociale et sociétale avec le PDCI-FPI et toutes les forces vives de la nation ivoirienne. Oui soutenons-le, pour y parvenir il faudra que nous placardions les combats inutiles des faux clivages, les antagonismes artificiels de leadership et la division dissolvants, et tout dépassé pour l’intérêt général de la nation une et indivisible. Ici donc il n’y a pas beaucoup de choix, il est alors simple : soit la division inconsciente et l’apartheid généralisés chacun dans sa case de lutte de leadership, tous les uns contre tous les autres, dans un capharnaüm kafkaïen. Soit mener le vrai combat régénérateur et salvateur, mais tous ensembles et en même temps. C’est-à-dire les citoyennes côtes-à-côte et coude à coude avec/ou derrière le PDCI-FPI, convergent vers la porte de sortie de crise. Dans le combat politique d’intérêt général, il y a des moments où dans l’histoire des nations le dilemme peut ainsi se résumer, lutter tous ensemble ou périr chacun de son côté. Il nous faut lutter tous ensembles, pour changer notre pauvre pays, qui n’est plus qu’une immense déchirure sociale et sociétale. Changer cette société banditisée, gangstérisée, ou se le dispute les mafias et les narcotrafiquants de cocaïnes.

Changer notre pauvre pays devenu une société de désespoir, de misère, de désolation ou tout est à reconstruire tous ensembles. Mais de façon intelligente, collective, citoyenne, afin de  transformer l’expérience concrète de chaque citoyen ivoirien, en une stratégie d’ensemble et que cette stratégie d’ensemble solidaire, synergique reste permanente, enracinée, irriguée, vitalisée, inspirée par la réalité concrète de la vie quotidienne citoyenne. Avec des acteurs politiques olympiens, évoluant dans un immense espace dans lequel se reconnaissent et se combattent loyalement, ceux qui envisagent le débat politique et le combat démocratique autrement, que sous la forme d’une guerre civile, opposant deux armées rivales. Nous «ivoirien» n’avons plus de raison aujourd’hui, de laisser le destin de notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, entre les mains des aventuriers guérilleros de 2002, inefficaces, pilleurs, voleurs et mafieux. Il nous faut œuvrer donc, pour l’instauration d’une paix véritable, qui elle se fonde sur la légalité juridique et la légitimité démocratique des gouvernants. Aussi sur le respect des droits des citoyens libres, surtout le droit à la vie, à la liberté et à la justice pour tous. Dans une société qui admette l’hétérogénéité des sous cultures dans l’exaltation de la diversité solidaire et la fraternité.

Changer notre pauvre pays, parce qu’en politique, la vraie, chaque génération de citoyens a la lourde tâche de juger de la légalité juridique, de la légitimité démocratique et de la performance politique de son gouvernement et d’en tirer les conséquences. Or aujourd’hui le peuple ivoirien, a évalué le pouvoir du système d’Alassane Ouattara, « qui n’a que des paroles Retirées en politiques et jamais des paroles données. Des promesses envolées en politiques et jamais des promesses biens tenues. En témoignent sa promesse initiale de ne vouloir que 5 ans de pouvoir, sa promesse d’alternance à Bédié, sa promesse de succession a Soro».  Par conséquence donc, le peuple ivoirien est arrivé à la conclusion suivante : pour raffermir l’unité de la nation, pour préserver la paix sociale, pour instaurer la justice dans l’égalité de tous, pour ramener la prospérité d’avant le 24 Décembre 1999, et pour restaurer l’image ternie de la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny défigurée à jamais, nous devons nous débarrasser absolument de ce système politique mafieux. Nous n’avons pas le choix, il nous faut nous en débarrasser de ce système, d’autant plus que la côte d’ivoire va très mal même et l’ivoirien lui-même non plus.

Changer notre pauvre pays devenu une société de désespoir, de misère, de désolation, parce que notre fierté ivoirienne est entamée depuis 2011, par une piètre représentation nationale dans le concert des nations, notre orgueil positif ivoirien fouetté par le chaos sociopolitique depuis 1999, notre ardeur dans le combat pour une juste place dans le concert des nations est prise en otage par une crise armée, sciemment entretenue par un misérabilisme politique ambiant, peuplé de politicards mafieux, incapables de gouverner dans le respect des droits et des règles universelles. Et qui pousse le peuple ivoirien aujourd’hui à la seule interrogation qui vaille : ce misérabilisme politique pathologique ambiant-là, avec sa peur bleue des élections démocratiques-là et sa fièvre grelotante-là, face à l’adversité politique et son comportement unilatéraliste-là, est-il en mesure de gouverner notre pays dans la cohésion sociale, dans l’harmonie communautaire, d’organiser des élections dans le consensus paisible, sans faire encore de multiples morts ? Oui, est-il en mesure d’assurer un avenir meilleur a l’ivoirien dans la paix, un destin commun au peuple dans la paix et une assise à notre patrie dans le concert des nations policées, dans la réciprocité qui sied aux relations internationale et aux rapports interétatiques ? Non ! Il est  incapable ! Donc il faut les pousser vers la porte en les donnant l’assurance qu’ils ne risquent rien en fichant la paix aux ivoiriens. Qu’ils ne risquent, ni exil, ni CPI, seulement la MACA nationale, avec droit de visite à volonté. Les juridictions ivoiriennes sont fondées à recevoir les plaintes pour ou contre un narcotrafiquant de nationalité ivoirienne ou étrangère dont sa marchandise de tonnes de cocaïnes avait pour destination la côte d’ivoire.

Changer notre pauvre pays, parce que, ce misérabilisme politique du système Alassanéen, peuplé de mafieux, truands, un peu escrocs, appartiennent à une certaine race de politicards fourbes très particulière, celle des absolutistes monarchistes et unilatéralistes anti-droit et anti-liberté, assoiffés d’argent, de gain facile et fous de pouvoir et de notoriété absolue. Avec un système politique qui ne renonce jamais à l’intérêt particulier, pour qui l’existence se réduit et se résume à se remplir les poches de deniers publics et à conquérir le pouvoir par n’importe quelle manière, même en marchant sur les milliers de cadavres. Aujourd’hui nous sommes a plus de sept mille «7000» morts, de citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition, de la conservation du pouvoir d’état. Leurs monde est sinistre, cynique et sado-pervers-narcissique. Et leurs actions politiques et leur credo de cooptation politique portent en eux-mêmes les germes de toutes les crises sociopolitiques et même de la guerre civile comme les muées portent l’orage. Ce système politique du pouvoir d’Alassane Ouattara est un pouvoir voyou, un banditisme à ciel ouvert, un fichu clan peuplé de politicardes, de bouffe-tout qui vivent de vols dans les caisses publiques d’un état policier et de défenestration de l’économie d’un état devenu voyou, et état paria.

Il nous reste plus que l’action citoyenne pour restaurer la démocratie et l’état de droit pour s’en prévenir des dérives. Oui, face à un pouvoir déviant marqué par le seau indélébile du sang humain versé, ce serait une grande faute de penser que nous devons encore souffrir après 2020, de voir ce pouvoir absolutistes monarchistes et unilatéralistes anti-droit et anti-liberté, assoiffés d’argent, de gain facile et fous de pouvoir et de notoriété absolue, célébrer ses pseudo-victoires électorales, ses suffisances, ses autosatisfactions puériles, sur le sang versé des jeunes, ou poussés sur le chemin de l’exil, de la soif, de la solitude et du désespoir. Non !  Serait une grande faute, parce que c’est en réalité la démocratie réelle universelle et la république républicaine, qui prendront-là,  tout un coup. Nous devons donc, nous liguer derrière le PDCI-FPI, pour sauver notre état démocratique, notre nation solidaire en péril entre les mains d’un misérabilisme politique voyoucratique. Dont les représentants de leur système ont la réputation d’être intransigeant, intraitables et cruels. Nous liguer derrière le PDCI-FPI, parce que, un des devoir du citoyen est de défendre contre vents et marrées les intérêts citoyens et la conservation des droits naturels imprescriptibles de l’homme et du citoyen. Ces droits sont la liberté individuelle, l’égalité de tous, la légalité des gouvernants, la sûreté de la vie humaine et la ligue citoyenne pour obtenir un pouvoir légal.

C’est pourquoi, il faudra impérativement combattre l’abstentionnisme. L’électorat ivoirien est à 70% d’électeurs naturels constants des partis politiques, 15% de protestataires et 15% d’indécis et lunatiques, c’est ce 30% d’électeurs oscillants et les électeurs naturels du FPI-PDCI qui explique l’énormité de l’abstention aux élections générales depuis 2010. Cette abstention de 85% d’électeurs dégoutés, sont certes incontestablement insatisfaits de la gestion des affaires publiques de l’état de ces dix « 10 » dernières années. Mais leurs votes ne seraient acquis automatiquement que sauf si on leur montre une certaine stabilité, une certaine cohérence, une certaine cohésion et une certaine largesse d’esprit, qui peuvent assurer une paix sociale. Au surplus, il se trouve de plus en plus une quantité non négligeable de militants et sympathisants du R ? DP-RDR entraînés hier par la sirène propagandiste de pluies de milliards, qui aujourd’hui sont prêts à sanctionner cette politique trompeuse, désastreuse, manipulatrice et mensongère. Donc il est question de les montrer une autre voie de sortie solidaire, synergique, pour les rassurer du devenir de la côte d’ivoire, de l’avenir commun de l’entièreté du peuple ivoirien.

 Cela dans la cohésion des positions politiques, la stabilité dans les actes dirigeantes, et dans la désignation par les gyroscopes d’une perspective sociétale meilleure. Il le faut parce ce que les arrivistes renégats et les carriéristes iconoclaste, ne manqueront pas d’ingéniosité, d’habilité. Il y aura dans le débat politique et dans la confrontation démocratique, deux « Houphouétismes » le vrai et le faux, le grand et le minable, le sublime et le corrompu, le doctrinal et la mangécratique. Bien des gens nihilistes et iconoclaste, qui feront le pèlerinage de Yamoussoukro, le feront par esprit purement électoraliste parce que cooptés à cette fin et que la référence à Houphouët  est encore et restera payante dans l’opinion publique nationale et internationale. Ils savent ces gens nihilistes et iconoclaste cooptés à cette fin électoraliste, que l’abstentionnisme par boycott et par dégout avec le taux exceptionnel de 85% au cours des dernières élections générales de 2011 à 2015 est leur plus grand adversaire au R ? DP-RDR. Et démontre le degré de la déception sociale et la crise de confiance qui s’en suit entre les citoyens et les institutions dites démocratiques, qu’ils ont confisqués pendant 10 ans dans la mé-gestion de non-droit total.

 C’est pourquoi l’Alliance FPI-PDCI, a le devoir de pouvoir réveiller et rassurer cet abstentionnisme, convaincre les indécis lunatiques, canaliser les protestataires et inciter et faire décider le vote blanc. Cela fait partie des voies salvatrice de la libération nationale, par l’Alliance PDCI et FPI. Peut-être au premier tour certainement, mais sûrement et irrévocablement au second tour, en cas de stratégie pour cette fin. Aussi pour que le R ?HDP-RDR s’avère minoritaire nationale dans son n’état réel, l’Alliance PDCI et FPI doit laisser libre cours aux portes flingues et aux langues de feu, et d’ordonner le feu à volonté à sa jeunesse. Celle-ci qui aura la lourde tâche d’expliquer aux populations martyrisées de notre pays, qu’un vendeur d’illusion peut ordinaire lâchera ses sous-agents commerciaux, avec de la Cocaïne qu’ils tenteront de vendre aux jeunes, donc faire savoir clairement aux jeunes, que ce produit est du cocaïne en provenance d’Amérique du Sud, donc dangereusement toxique, tout comme le déchet toxique et tout ce qui y ont trempé. Et que tout comme un médicament au-delà de sa date de péremption est toxique, les mensonges de ces arrivistes renégats et de ces carriéristes iconoclaste, est tout aussi toxique.

Surtout que leurs discours «médicaments» à base de cocaïne, après dix ans de traitement mortel, avec des effets secondaires indésirables, néfastes, nuisibles et mortifère « 7000 morts », a ce jour, le consommer après sa date  de péremption serait suicidaire, et notre brave jeunesse n’a pas le droit de se suicider. Cette jeunesse portes flingues et aux langues de feux de l’Alliance PDCI et FPI, doit souligner aussi les faits de violations graves des principes démocratiques et des droits de l’homme, un bilan politique catastrophique à tout point de vue. Parce qu’il serait humainement et politiquement inconcevable, que ceux qui n’ont reculé devant aucune forme de crise sociopolitique pour s’agripper au pouvoir d’état, qui n’ont reculé devant aucune discrimination, avec des poursuites judiciaires téléguidées, sélectionnées, et intempestives avec toute sorte de terrorisme, intellectuel et physique et qui n’ont reculé devant aucun mensonge d’état et menti au peuple comme des arracheurs de dents ne soient mis à la poubelle de l’histoire politique de notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny.

Oui, la côte d’ivoire doit oser être elle-même en octobre 2020. Sinon le risque de péril augmente, à une vitesse effrénée pour la nation ivoirienne. La criminalité transfrontalière ou internationale nouveau danger public est-la, oui, bel et bien-là ! Et sans une rigoureuse nouvelle politique de prévention hermétique, d’éradication soutenue, ou d’extermination systématique pour restaurer la côte d’ivoire dans son état du 7 Aout 1960 au 24 décembre 1999, cette criminalité transfrontalière ou internationale nouveau danger public prendra ses racines au pays de nos ancêtres, « Buveurs de Dolo, de Koutoukou, de Tchapalo et de Bandji-blanc ». Ce pays dont le niveau de développement rapide dans la stabilité politique, la paix sociale, a mérité le mot « miracle » ivoirien. Et de faire des enfants de l’indépendance de fiers ivoiriens dégonflés. Oui Aujourd’hui l’ivoirien est dévalorisé et vit dans une situation économique et financière désastreuse, avec une politique clanique et partisane qui a dévalorisé la représentation nationale à tous les niveaux, une pratique avouée de dévalorisation du mérite dans le travail au profit d’une sélection incompétente des siens ; l’effondrement total de l’image de la Côte d’Ivoire à l’étranger ; le cynisme politique, le mensonge d’état, le mépris pour les autres, l’amoralité dans l’action publique, le banditisme politique élevée à des niveaux inimaginables et inacceptable, «narcotrafiquant», des entorses répétées aux principes démocratiques, «le trucage et passage en force électoral », le mépris affiché pour les libertés, les droits fondamentaux  et une politique gangstérise mafieuse mises au service de l’enrichissement illicite et personnel. La condescendance d’une suffisance totalitaire narcissique et clownesque. La côte d’ivoire doit oser être elle-même.

De toutes les façons, le danger est là, la criminalité transfrontalière ou internationale, nouveau danger public, a forcé sa porte d’entrée. Donc, le ver obscurantiste qui se nourri de sophisme et d’Aporie sur ses terreaux, est désormais sur l’arbre ivoire, et tente de percer les fruits ivoires,  pour s’y installé. L’inacceptable et l’injustifiable est à craindre, et à redouter au quotidien, surtout du Centre vers le Nord. Non ! Aucun  peuple souverain, après une telle catastrophe sociale, et une telle crise sociopolitique sciemment entretenue, ne peut s’aventurer à continuer dans cette même voie désastreuse au motif des promesses électorales de milliards à venir et à recevoir du R ?HDP-RDR. Le peuple ivoirien, doit rester le maître de son destin et le capitaine de son âme. Ce qui nécessite un fracassant combat politico-électoral, dont notre devenir à tous, à chacun et le destin de la patrie en dépend et de restaurer l’image ternie de la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, en retrouvant la paix sociopolitique Houphouët-enne. Oui, le monde choqué par, tant de vulgarités politiques, tant d’Amateurismes dans la gestion des affaires étatiques, tant d’improvisations « de l’à peu près » et tant de violations des principes démocratiques, attend le penalty de  1999 et 2002, qui sera tiré par le peuple souverain ivoirien en pleine lucarne du But ! Dont la voyoucratie politique est gardienne. Donc citoyen, tous ensembles pour changer notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny en 2020. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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27 juin 2020 6 27 /06 /juin /2020 15:21
Lepetitfils : Gbagbo putatif candidat et Bédié candidat réclamé. Or, quelqu’un a dit dans ce pays que, « Mon intention est de transférer le pouvoir à une nouvelle génération. Mais il faut que ceux de ma génération se mettent de côté. S’ils décident de se présenter, alors, je vais me présenter ? ». En côte d’ivoire les gens font comme ils ne connaissent pas les absolutistes schizophréniques qui ne veulent que Gbân-Gbân dans pays-là ! Tout le problème de la côte d’ivoire, c’est  un système politique qu’il faut chasser, d’une manière ou d’une autre.

Lepetitfils : Gbagbo putatif candidat et Bédié candidat réclamé. Or, quelqu’un a dit dans ce pays que, « Mon intention est de transférer le pouvoir à une nouvelle génération. Mais il faut que ceux de ma génération se mettent de côté. S’ils décident de se présenter, alors, je vais me présenter ? ». En côte d’ivoire les gens font comme ils ne connaissent pas les absolutistes schizophréniques qui ne veulent que Gbân-Gbân dans pays-là ! Tout le problème de la côte d’ivoire, c’est un système politique qu’il faut chasser, d’une manière ou d’une autre.

*- Chronique : La vérité répétée mille fois vaut mieux.

 

Il n’y a rien de fétiche dans les élections démocratiques ou le tout doit être a porté de vues et de mains de tous. Mais hélas ! Revoilà le peuple ivoirien martyrs, halluciné craignant que les élections de 2020 ne tournent à de nouvelles tragédies sociopolitiques dans notre pays. Le peuple ivoirien, toujours aux aguets a tout redouter, des inconséquences, des insouciances et des légèretés, des actions politico-électorales, d’un pouvoir déviant non-maitrisé, divaguant ostensiblement dans les fibres sociopolitiques très sensibles de la nation ivoirienne. Les élections démocratiques sont un droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, ou droit à l’autodétermination des peuples. Comme nous l’avons toujours dit et répéter, les élections démocratiques sont l’expression active de la souveraineté d’un peuple. Parce que sans élections démocratiques, il n’y a pas d’indépendance politique et économique. Sans élections démocratiques, il n’y a pas de souveraineté nationale. Sans élections démocratiques, il n’y a pas d’état républicain de droit protecteur du citoyen libre. Sans élections démocratiques, il n’y a pas de libertés individuelles ou collectives. Sans élections démocratiques, il n’y a pas de peuples libres et souverains. Donc c’est le devoir du peuple souverain de Côte d’Ivoire, d’exiger les élections démocratiques pluralistes en 2020. Et donner ainsi un sens au principe universel qui veut que la souveraineté populaire réside dans le peuple.

 

Donc, agir pour que ces élections de 2020 se déroulent dans le respect du droit inaliénable du peuple a disposé de lui-même, par le choix assumé, donc libre de ses élus et gouvernants, et aussi cela dans le respect des libertés fondamentales. Oui, répétons encore, le vieux principe issu du droit international général, qui exige que chaque peuple dispose, d'un choix libre et souverain de déterminer la forme de son régime politique, indépendamment de toute influence extérieure. « Crédibiliser davantage le processus électoral par la prorogation de la validité des anciennes cartes nationales d’identité ivoirienne ( CNI) jusqu’au 30 juin 2021 ». C’est une bonne chose. Mais que ce fichu système consente, donc, à délivrer gratuitement la nouvelle carte nationale d’identité ivoirienne (CNI) aux citoyens ivoiriens nouveaux majeurs. Nous soulignons ici : « citoyens ivoiriens nouveaux majeurs ». Parce qu’il y a des «nouveaux majeurs de la république des tonnes de cocaïne» en côte d’ivoire préélectorale. La nuance ici, est très importante. Ce serait le mieux pour la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny en lambeau. Oui, le devoir exige ici, aux ivoiriens, une lutte synergique tous ensemble, y compris dans les urnes électorales de 2020. Et comme nous l’avons aussi toujours dit, de retenir dans cette lutte citoyenne légitime, que les secousses ponctuelles, extatiques, protestataires, périodiques et passagères vident les luttes citoyennes, pour le droit, la liberté et la démocratie de toutes leurs énergies. Et pire elles vident le peuple souverain de son sang, qui peut laisser ainsi par dégoût, par répugnance ou par détestation, un système politique prospérer sans la cautionner.

 

En clair, comme nous l’avons toujours dit, retenir que seules les luttes synergiques citoyennes, soutenues dans le temps et dans l’espace, donc rationnelles, concertées, cohérentes, constantes, régulières, de droit, dans le droit, pour le droit, le tout dans le respect des libertés fondamentales, aboutissent à la libération d’un peuple d’une dictature. Répétons-nous encore que l’espérance c’est le désespoir surmonté et espérer c’est résister maintenant dans ses droits, avec ses droits, pour ses droits, contre la dictature d’un pouvoir aveuglé par les biens publics, qui a bien l’intention de rééditer son hold-up électoral de 2010-2015 en 2020. Cela avec les mêmes méthodes, les mêmes manières, les mêmes hommes, les mêmes cautions internationales, avec l’aval de suiveurs nouveaux. La Côte d’Ivoire a trop souffert durant ces vingt « 20» dernières années pour que nous osons persister dans la même aventure. Une aventure carriériste débutée le 24 décembre 1999 et accentuée les 18-19 septembre 2002 qui est la cause de la crise sociopolitique actuelle, et la dégénérescence actuelle de la totalité sociale de la côte d’ivoire.

 

Oui, c’est pourquoi, à notre avis après l’échec cuisant dû à un faux départ pris sur la mauvaise piste, la sagesse recommandait à la CPI de choisir la grande porte. En s’abstenant d’un hypothétique Appel, juste pour  dilatoire ou pour diversion. Mais l’équipe de « ma belle ! » parquetière à interjeter appel de la décision d’ACQUITTEMENT des prisonniers politiques ivoiriens, c’est de droit. Mais il y a mieux ailleurs. Oui, il est de notoriété publique, bien partage avec les ONG de défenses des droits de l’homme et l’ONU-CI que, 1600 morts en 24 heures en 2011 ont été faites par les fantassins lâchés en dehors de tous titres et de toute habilitation de droit, par un auto-proclamé président de la république, soutenu par une forfaiture internationale. Ici pas besoin d’excavé des fouillis ou de consulté les puits dans toute l’assiette territoriale nationale, pour s’en persuader, Bouaké et « Adjanou, Assandré, Assafou-N'zegouanou s/p de » Sakassou, Duékoué et Guitrozon et suivant, ont rendus leurs témoignages a la vraie humanité. Bon ! Au vu de ce constat d’échec judiciaire, aujourd’hui les ivoiriens a plus de 95 % ont opté pour la paix sociale, pour la réconciliation nationale, persuader que la côte d’ivoire ne s’en sortira jamais par la voie judiciaire, encore moins la voie judiciaire CPI-enne. Les ivoiriens n’ont plus besoin de procès politique controuvé sous couverture judiciaire quel qu’il soit, qui vient trouble l’ordre social ivoirien, et la paix à rétablir.

 

*- La côte d’ivoire n’a plus besoin de l’apologie Victimaire différencialiste. 

 

Répétons-nous toujours. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny est dans une mauvaise passe qui peut conduire au pire des pires. Donc il faut faire très attention aux jeux politicards qui consistent à tirer sur les fibres sociopolitiques très sensibles «quand on mène une danse endiablée, souvent il y a une autre danse plus endiablée qui t’observe». Oui dans la vie d’une nation une et indivisible, sinon dans la vie de la totalité sociale souveraine, tout ne doit pas être mercantilisme, argent, gain, jusqu’à tomber dans la campagne politique de victimisation. La situation sociopolitique actuelle de la côte d’ivoire qui roule vers un précipice abyssal, a besoin d’une réelle capacité de discernement et un réel conseil approprié, dans l’oubli de soi. En côte d’ivoire, il n’y a pas de victimes Gbagbo; il n’y a que des victimes de crise et de guerre, de 1999-2002-2011 à ce jour. Dont les dédommagements n’ont pas besoin de politisation. La côte d’ivoire n’a plus besoin de l’apologie Victimaire différencialiste.  Il y a des moments ou, Mieux vaut prospecter son propre écologie mentale très douteuse. Sinon, si  les graviers, les boues et les sables mouvants prennent le dessus, cela serait périlleux pour la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny.

 

Les ivoiriens veulent tous aller à la paix sociopolitique sinon ils connaissent la vérité. Leur pays était l’un des rares d’avoir fait quarante «40» ans de stabilité politique sans aucun coup d’état. Les fusils étaient absentes de l’arène politique ivoirienne, mêmes méprisées dans la vie politique ivoirienne, elles sont entrées par la porte d’une révolution des œillets, transporté dans la phrase diviseuse : « je suis nordiste, je suis musulman, c’est pourquoi on m’exclut »,  le 24 décembre 1999 en passant par les 18-19 septembre 2002 pour arriver au11 avril 2011, et de s’installée en maitresse absolue et en unique mesure de valeur sociopolitique. C’est cette idée confuse, lugubre, funeste, cet esprit de diversion différentialiste, insidieux, habile, manipulateur, obscurantiste, nébuleux, glauque, «je suis nordiste, je suis musulman, c’est pourquoi on m’exclut» mis au service des desseins inavoués qui ont entretenus la crise résultante, jusqu’à ce jour, avec la complicité très active de quelques vautours et manges-mils saisonniers, investis troubadours au service du clan obscurantiste du système politique mafieux Alassanéen.

 

Donc il faut faire très attention pour ne pas tenir la crise sociopolitique armée contre la totalité sociale ivoirienne. Il ne faut pas marcher n’importe comment dans les fibres du lien social qui est éminemment politique. Allons a la réconciliation, pardonnons, rapprochons, soudons, rafistolons et unissons-nous contre le différentialisme. Parce que lorsqu’il n’y aura plus de victimes partisanes de la crise à défendre, «mais des victimes de guerres dédommagés de droit», lorsque les hommes politiques libres de tous mouvements, auront retrouvés leurs places dans la société commune, les rancœurs s’apaiseront, les esprits armées d’antagonismes belliqueux intéressés et revanchards, s’anéantis-seront et le passé douloureux tombera progressivement dans l’oubli collectif, emportant avec lui les risques d’une reprise des hostilités, qui couve dans la société et devenue latente, miroitant une possible guerre civile. Ça toujours été ainsi pour les sociétés en crise, marchant ou claudiquant, vers la porte de sortie de ces crises sociopolitiques. Parce que les sociétés civilisées sont convaincues que les efforts sociétaux, doivent se tourner vers l’avenir sociétal commun et vers le destin unique de leurs pays en crise. Le salut est là !

 

*- Notre crise ivoirienne est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques.

 

Il nous faut donc, absolument déconnecter le peuple souverain de côte d’ivoire, mafieuse-ment articulé au train d’enfer et de damnation par un système politique mafieux. Oui ! Il nous faut donc, dans l’union de tous, renouer avec la lutte citoyenne synergique, pour obtenir les conditions d’une élection réellement démocratique conforme aux normes internationales, gage certain d’une alternance politique apaisée et d’un changement sociopolitique. Répétons-nous encore ici, les ivoiriens unis, réunis tous ensemble, en mettant en commun réflexions, discussions, pensées, idées, actions, peuvent réussir l’impossible et n’importe quel miracle. Ou peuvent relever n’importe quel défi sociopolitique. Rien ne résiste à l’union des forces vives d’un peuple. D’où notre appel répéter et bien entendu par les grande forces sociopolitiques solidaires du peuples. Le PDCI de Bédié côte-à-côte et mains dans les mains avec le FPI de Gbagbo soutenue par les forces vives de la nation, est l’occasion de l’ultime charge contre un système politique démodé, archaïque et pervers narcissique. Notre espoir en un avenir meilleur ne doit pas être étouffé par un processus électoral mafieux et cadenassé, ou par des actions isolées de divisions irréfléchies.

 

Donc à la charge sans retenu citoyen ! Seule la lutte synergique dans un, tous ensembles pour nos droits, nos libertés, la démocratie, dans le respect des règles, peut nous libérer des maux sociétaux, de ce système politique démodé, archaïque et pervers narcissique, qui rongent notre société commune ivoirienne. Et qui inhibent toute perspective d’avenir meilleur pour la côte d’ivoire dans le concert des nations civilisées, qui annihilent toute espérance de progrès social partagé, pour l’ivoirien de demain et qui désespèrent de toute construction d’une communauté nationale solidaire, réconciliée avec elle-même et avec les autres nations souveraines, vivant dans la paix sociopolitique pérenne. C’est pourquoi, Aujourd’hui plus que jamais l’intervention citoyenne synergique et populaire sous toutes ses formes est largement justifiée. Pour préserver les voies de la démocratie réelle, du droit, de la liberté, de la justice, de la stabilité socio-politico-économique, de la paix sociale pérenne et d’unir la nation solidaire, contre ce système qui veut la diviser, pour mieux la déchirer et régner comme Charlemagne.

 

 

Oui, à l’attaque citoyenne ! Il est plus que possible de se débarrasser de ce pouvoir actuel d’un autre système, plus animalisé qu’humaniste, cela d’une manière ou d’une autre, y compris dans les urnes électorales. Afin de construire une société ivoirienne, dont non plus l’état autoritaire piranha et sangsues, piloté par un dirigiste économique criminel ou règne en maitre absolu, dieu l’argent au service des grands intérêts mafieux du monde, mais plutôt une société solidaire, ou l’être humain, l’homme, incarnerait la centralité politique, et le citoyen ivoirien, le cœur de toute action socio-politico-économique. C’est pourquoi, la postérité ne pardonnerait pas ceux qui cautionneront un hold-up électoral en 2020, de ce système politique au pouvoir en côte d’ivoire, dans le but unique de l’accomplissement de son dessein funeste, mortifère, glauque et visqueux pour la côte d’ivoire. Oui, toujours répétons-nous, notre crise ivoirienne est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, par une meute de politicards, carriéristes pathologiques et arrivistes renégat.

*- Tout le problème de la côte d’ivoire, c’est le système politique d’Alassane, qu’il faut chasser,

 

Oui, une meute de politicards, droguée à quelques tonnes de cocaïne, devenue le maitre incontesté des trucages électoraux depuis 2010, par le biais du «géré, calé et bouclé d’avance». Parce que, se sachant incapables de souscrire ou de s’adapter à l’art paisible électoral du vivre en commun dans le respect des normes juridiques de régulations sociales préétablies, qui régissent la société commune. Recomptons encore nos morts par le fait de cette meute de politicards, à ce jour plus de sept milles « 7000 ». Donc peuple ivoirien, d’une manière ou d’une autre, y compris dans les urnes, ta patrie martyrisée, la côte d’ivoire t’appelle à accomplir ton devoir absolu de peuple souverain, sans lequel ton existence n’aurait aucun sens. C’est-à-dire faire pièces en 2020 dans les urnes ou dans la rue opposante consensuelle et équilibriste critique, à l’arbitraire manifeste d’un système méprisant de pouvoir dirigiste et criminel. Redisons-le fermement: La démocratie ne consiste pas à mettre épisodiquement un bulletin dans une urne, à déléguer les pouvoirs à un élu ou à plusieurs élus, puis à se désintéresser, s'abstenir, se taire, et d’accepter l’injustifiable pendant cinq ans. Non ! Elle est action continuelle du citoyen, sur les affaires de l’état, qui décide de la vie de chaque citoyen, de la vie du peuple en entier et de la vie de la nation souveraine.

 

La rue opposante consensuelle et équilibriste critique est la meilleure ami de la souveraineté populaire dans une démocratie, inscrivons nous-là, dans cet espace légitime, citoyen, de liberté, pour la côte d’ivoire. En tenant compte que les individus « élus » exercent le pouvoir politique d’état uniquement du fait de leurs appartenances politiques à une nation souveraine, unie et solidaire. Donc ce pouvoir lui est donc conféré par la souveraineté populaire du peuple. Il ne lui appartient pas en propre, en tant qu’individu. Non ! C’est tout le sens du : « Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ». D’Abraham LINCOLN. Donc résister à l’arbitraire, c’est un devoir absolu. Parce que : « Quand les gouvernants violent les droits du peuple, la ligue est pour le peuple ou pour toute partie du peuple, le plus élémentaire des droits et le plus sacré des devoirs ». Donc, là aussi, répétons-nous : Peuple ivoirien à tes droits, à tout tes droits, à tes libertés, à toutes tes liberté, sans retenu. Nous sommes convaincus, que le salut de la côte d’ivoire viendra de toi, peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état.

 

Unis, tous ensembles, d’une manière ou d’une autre, bon gré ou mal gré, nous réussirons à changer notre pays la côte d’ivoire en 2020. Oui, «La vérité répétée mille fois vaut mieux que le mensonge d’état changeant, mielleux, trompeur et de diversion ». Bon ! À la CPI, les charges sont en faillites, ce qui fait de Gbagbo un putatif candidat logiquement, et réclamé, Bédié sûrement candidat et logiquement. Or, Est-ce que quelqu’un n’a pas dit dans ce pays que, « Mon intention est de transférer le pouvoir à une nouvelle génération. Mais il faut que ceux de ma génération se mettent de côté. S’ils décident de se présenter, alors, je vais me présenter ? ». En côte d’ivoire les gens font comme ils ne connaissent pas les absolutistes schizophréniques qui ne veulent que Gbân-Gbân dans pays. Tout le problème de la côte d’ivoire, c’est le système politique d’Alassane, qu’il faut chasser, d’une manière ou d’une autre, y compris dans les urnes de 2020.  Or la chose devient de plus en plus clair pour les élections de 2020 d’où : «LE CAPITINE ATTAQUANT TACLÉ PAR DERRIÈRE LE 24 DÉCEMBRE 1999, VERRA LE PEUPLE SOUVERAIN IVOIRIEN TIRER SON PENALTY EN PLEINE LUCARNE DU BUT EN 2020. AU CAS CONTRAIRE, AU LIEU DE L’OLYMPIADE DÉMOCRATIQUE, LE TACLE PAR DERRIÈRE AVEC SA PRIME EN MAIN, CONTINUERA SA SÉRIE DE TACLE POUR TACLE. PARCE QUE, TOUS LES JOUEURS APPRENDRONT LE TACLE PAR DERRIERE DEVENU UN ACTE NORMAL DU JEU POLITICO-ÉLECTORAL IVOIRIEN. CE QUI EST DIT, EST DIT. C’EST UNE PROMESSE». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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19 juin 2020 5 19 /06 /juin /2020 17:16
Lepetitfils : L’opposition ivoirienne unie toutes tendances confondues, bien que largement majoritaire, (85%) ne peut aucunement espérer reprendre le pouvoir d’état au terme des élections générales entamées, par la constitution de la commission électorale, et chemin faisant, par l’enrôlement des citoyens électeurs sur la liste électorale. Non ! Qui va proclamer cette victoire de l’opposition ? Bon ! Comme ordonner, allons à l’enrôlement massif sur la liste électorale en vue des élections à venir, qui est une adhésion tacite au processus électoral en cours.

Lepetitfils : L’opposition ivoirienne unie toutes tendances confondues, bien que largement majoritaire, (85%) ne peut aucunement espérer reprendre le pouvoir d’état au terme des élections générales entamées, par la constitution de la commission électorale, et chemin faisant, par l’enrôlement des citoyens électeurs sur la liste électorale. Non ! Qui va proclamer cette victoire de l’opposition ? Bon ! Comme ordonner, allons à l’enrôlement massif sur la liste électorale en vue des élections à venir, qui est une adhésion tacite au processus électoral en cours.

*- Chronique : Bon ! Continuons la course, jusqu’à l’arrivée.

 

Oui, les mêmes causes produisent les mêmes effets. Cela se dit depuis que le monde est monde. Les mêmes choses d’avant les élections de 2010 recommencent. Le pouvoir du système d’Alassane Ouattara n’est pas prêt pour aller à la transparence électorale. Quoi de plus normal, une culotte trouée lui est toujours indispensable, face à l’arbre de la transparence, qui ne saurait cacher son poids électoral réel d’aujourd’hui « 14% à 18% ». Donc la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, va tout droit dans le mur. La danse du diable a fait entendre ses rythmes préférés. Des danseurs y sont attirés ou trimbalés malgré eux, d’autres sont près d’y aller volontiers, parce qu’il y aura de quoi à manger au prix du sang citoyen. Le pouvoir unilatéralisme prédateur de jungle est aux aguets de son piège, pour assurer ses arrières casseroles notoirement puantes. Qu’il se propose de faire gérer après élection 2020, de préférence par un héritier systémique ancré dans la mafia, d’où les places a réoccupées ne seront pas les mal venues. Alors même qu’en côte d’ivoire post-guerre « crise », le cadre organisationnel des élections démocratiques et tout son processus électoral se doivent de tenir l’exigence rigoriste de la promesse républicaine faites par les principes démocratiques universels, les référents normes, et les règles internationales.

 

C’est-à-dire, la promesse de l’égalité de chance dans la société commune, de l’égalité de tous en droits et devoirs, indépendamment des appartenances politiques, des origines individuelles, des convictions philosophiques, des croyances religieuses, sans aucune politique condescendante exhibitionniste de domination partisane. Et d’ouvrir à l’égal accès les compétions électorales démocratiques pour la conquête du pouvoir étatiques, qui est par excellence un concours de représentativité du peuple souverain ultimes détenteur du pouvoir étatique. Or la confiscation systémique est là. Ce qui signifie en clair que la crise risque de s’aggraver, qu’elle n’est pas derrière, qu’elle est à nos côté évoluant vers 2020. C’est pourquoi ce qui devait être logiquement une fête électorale en 2020, risque fort bien d’être une nouvelle catastrophe sociopolitique nationale pour la côte d’ivoire de félix Houphouët Boigny. Oui, le navire ivoire, mal piloté avec sa déviation criminelle actuelle sous la coupe d’un pouvoir mafieux, calculateur, manipulateur, aux stratégies funestes, est comme une pauvre Dame, trimbaler par le courant d’eau, qui fait des mimiques chemins faisant vers la gueule du crocodile, qui attend impassible, le festin pervers, sadique prévu pour 2020. Donc la côte d’ivoire coule, la côte d’ivoire est devenue un pays de merde !

 

Oui, pour le sort a resserve aux élections à venir, la période qui va de maintenant «juillet 2020 à octobre 2020», est incontestablement l’heure de vérité pour la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny. L’heure à laquelle il faut pouvoir faire face à la crise, qui s’impose à elle depuis le 24 décembre 1999, en passant par les 18-19 septembre 2002, pour arriver au 11 avril 2011, date fatidique. Il est alors question de pouvoir faire des élections de 2020, le test de la capacité du peuple  ivoirien à reconstruire dans la paix une nation démocratique cohérente post-guerre. En tenant compte que toutes les crises sociopolitiques majeures en Afrique se sont exprimées au tour du système d’accession au pouvoir d’état ou de ses modes de gouvernances étatiques, surtout elles ont explosées à l’heure de compétition électorale, au tour des résultats proclamés. Donc le ver est dorloté dans le fruit en côte d’ivoire. Il va finir par pourrir et dégager des odeurs insoutenables pleurnichardes. Oui, il est question de faire des élections de 2020, un outil de régulation sociopolitique, après 20 ans de chienlit du 24 décembre 1999 à octobre 2020. « Oui, comme nous l’avons toujours dit, retenons-le: La politique n’est ni Normal-Sup, ni UFR, en d’autre terme, ni la Fac, ni science-Po. C’est un concours, un jeu de représentativité, au terme duquel se joue le destin de la nation, le destin de tous et le destin de chacun, avec le peuple souverain comme seul réfèrent de la volonté populaire ».

 

Donc il est question de faire de ces élections de 2020, le test ultime de la capacité de l’ivoirien à aller à la vraie réconciliation nationale, pour la reconstruction nationale sur tous les points et sur tous les plans. C’est-à-dire faire en sorte d’aider la Côte d’Ivoire pour que les élections de 2020 soient des élections de fin de crise, donc crédibles et apaisées. Question donc de faire en sorte que dans le futur tous les contentieux électoraux se règlent sur le terrain politique et non celui de la violence armée. En langage clair, il est question de  faire en  sorte que dans le futur, tous les contentieux électoraux se règlent sur le terrain de l’application mécanique des normes juridiques consensuelles de régulations sociales acceptée par tous au départ des élections. Et non sur le terrain du choix politique internationale des puissances mafieuse, ou celui de la violence armée de quelques carriéristes pathologiques, arrivistes renégats. Mais hélas ! Milles fois hélas ! Le système du pouvoir d’Alassane Ouattara, n’en veut pas. Parce que cela suppose qu’il accepte de se remettre en cause, de remettre en cause ses tartes de gouvernances, ses travers politiques d’Animosité et son unilatéralisme dictatorial de jungle. Oui, cette remise en cause peut sonner sa perte du pouvoir d’état en 2020 dans les urnes électorales, pouvoir qu’il a accaparé de force en 2010. Tout le problème de la côte d’ivoire avec le pouvoir Ouattara est là. Nous sommes conscients que le pouvoir d’Alassane Ouattara n’ouvrira pas un jeu politico-électoral, qu’il perdra à coup sûr. Nous sommes dans la même logique du passage en force habituel depuis 2010 du pouvoir unilatéraliste et absolutiste d’Alassane Ouattara. Manifestement, la chose semble bien gérée, bien calée, bien bouclée pour 2020, par le Fric de quelques tonnes de cocaïnes.

 

Oui, il est de notoriété publique, que dans un processus électoral, les plus grands trucages électoraux s’opèrent dans cinq «5» étapes de ce processus, en tout cas dans l’une d’elle. 1- Le découpage électoral «qui permet d’obtenir une majorité factice». 2 -L’octroi ou l’acquisition du droit de votes, «par la nationalité frauduleuse». 3- enrôlement sur la liste électorale, «de façon frauduleuse, dispensée de toute justification juridique et permettant le vote multiples». 4- L’obstruction massive faite aux nationaux à l’obtention du droit de vote, «entrainant un manque de documents ou de pièces d’identités justifiants sa qualité réelle de nationales, qui permet l’accès au processus électoral.».5- Les lieux de compilations décentralisés et/ou  le lieu de centralisation définitive «pour la proclamation des résultats définitifs». Et enfin le lieu de validation judiciaire. On ne peut pas d’emblée perdre ces 5 étapes du processus électoral et espérer gagner les élections à l’arrivée. Non ! Jamais ! Donc, ici nous sommes face à l’orchestration d’actions de sabotage de la démocratie réelle. Nous sommes face un gravissime banditisme politique, un gangstérisme qui est en train d’opérée un hold-up électoral sous nos yeux, avec une commission électorale insultante, pour les règles démocratiques universelles, pour les droits inaliénables et pour l’intelligence humaine. Un processus électoral dont les résultats électoraux proclamés en 2020, seront légalisé par des institutions vermoulues et imposée par les armes « fusils » comme au terme de l’élection de 2010, dont crise…

 

Oui, si l’on s’en tient à l’actuel engouement solidaire, des acteurs politiques ivoiriens au tour de l’enrôlement  pour aller aux élections à venir, le système de confiscation du pouvoir unilatéraliste et absolutiste d’Alassane Ouattara, a réussi déjà le plus difficile de son travail, qu’est d’imposer une Commission électorale a sa solde au lieu d’une véritable refonte de celle-ci. Et  aussi il aura à coup sûr ses opposant à lui accompagnateurs et validant. Le résultat de toute cette fabrique électorale, c’est dans quatre (4) mois, avec les pleurnichement et lamentations habituels. Nous sommes des endurcis de cette pratique pleurnicharde. La politique ivoirienne est devenue une affaire de rapport de force armée depuis. Ou le pouvoir quitte à volonté, le champ des élections démocratiques pluralistes, pour franchir allègrement une ligne rouge de séparation, entre ce qui est des règles démocratiques, ce qui est de droit, pour se trouver librement dans ce qui est de non-droit. Et de confiner le pouvoir d’Etat au bout des armes «fusil». C’est cette attitude-là, qui fonde la crise ivoirienne, elle est l’une des plus complexes au monde

 

Parce que la  principale cause, « coup d’état de 1999 baptisé révolution des œillets et la rébellion armée contre un pouvoir légal » se trouve être le détenteur du pouvoir d’état en côte d’ivoire. Donc des acteurs incontestés et incontestables de la crise ivoirienne, qui ont commis plus de crimes que ceux qu’on reproche aux autres acteurs aujourd’hui poursuivis, sont aux pouvoir avec le levier de tout le système étatique en mains. Tout le problème est là, pas a ailleurs, non ! Nul par ailleurs d’autre. Donc la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, roule vers un précipice abyssal. Et en l’absence d’une Décomposition/Recomposition politique salvatrice, elle y parviendra. La dynamique de l’ultralibéralisme absolutiste est devenue nébuleuse, insidieuse, perverse, sadique et démoniaque. Elle tient pourtant la barre, d’une main d’acier de maitre absolu du navire ivoire, et dirige les débats qui clos les compétitions électorales. Nous assistons à un déclin continu du règne du droit universel, au profit de celui de la force de l’unilatéralisme absolutiste, qui dicte tout à volonté vers son dessein de confiscation du pouvoir d’état.

 

Le reste de tache devient de plus en plus facile, les appétits carriéristes se manifestent sporadiquement au mépris de tous ensemble et en dépit du danger sociétal réel à combattre unis. L’opposition ivoirienne, est entrainée vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers une crise postélectorale, qui donnera la parole aux armes « fusils » comme en 2010. Cette opposition ivoirienne unie toutes tendances confondues, bien que largement majoritaire, (85%) ne peut aucunement espérer reprendre le pouvoir d’état au terme des élections générales entamées, par la constitution de la commission électorale, et chemin faisant, par l’enrôlement des citoyens électeurs sur la liste électorale. Non ! Qui va proclamer cette victoire de l’opposition ? Bon ! Comme ordonner, allons à l’enrôlement massif sur la liste électorale en vue des élections à venir, qui est une adhésion tacite au processus électoral en cours. Bien que la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny soit, incontestablement, dans le même schéma sociopolitique nuageux de 2002-2010 qui a conduit à la guerre de conquête dont crise aujourd’hui.

 

Et, bien, que nous soyons face aux mêmes présages, qui a précéder les élections de 2010, avec les mêmes travers politiques d’Animosité, d’un pouvoir déviant marqué par le seau indélébile du sang humain versé. Et qui attend visiblement récidivé, au vu et au su de tout le monde, avec les mêmes manières et les mêmes causes et effets. Nous savons qu’au verdict des élections à venir, 2020 serait comme 2010. «Parole assumée du Leader de la légitimité citoyenne ». Ce qui a été dit est géré, calé, bouclé. Mais 2020 serait l’Arrivée d’une étape du marathon tout de même, avec sans faute au rendez-vous de l’histoire, le Capharnaüm kafkaïen ou la danse chez pétaudière. Et ce serait un grave problème pour la stabilité du pays. Oui, arrêter la course maintenant, ici, pour quelques raisons que ce soient supposerait que nous n’avons plus de souffle pour continuer la course. (Or « le légitimisme » DE LA LÉGITIMITÉ CITOYENNE a du souffle à revendre). Bon ! Continuons la course, ça ne se juge, qu’à l’arrivée. Allons y seulement... «La politique c’est la saine appréciation des choses du moment. D’où il faut faire ou dire les choses à leurs justes moments indiqué par la raison. Donc ne pas retarder l’échéance des choses au risque d’en payer le prix fort, et ne pas se hâter pour anticiper les choses au risque de se compliquer la situation à l’extrême». Oui, c’est une question pour nous de : « Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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13 juin 2020 6 13 /06 /juin /2020 17:37
Lepetitfils : Nous avons le devoir absolu et non-négociable, tous ensemble, fiers ivoiriens, de prendre le taureau par les cornes, advienne alors que pourra. Aucun prix n’est de trop, quand on est confronté à un ensemble de violations des droits fondamentaux de la personne humaine, depuis 20 ans durant, qui à entrainer des grands défis politiques, de cohésion sociale, d’harmonie communautaire, de stabilité politique et de paix sociale. Des violations de droits fondamentaux de la personne humaine devenu endémique et enracinées dans notre pays.

Lepetitfils : Nous avons le devoir absolu et non-négociable, tous ensemble, fiers ivoiriens, de prendre le taureau par les cornes, advienne alors que pourra. Aucun prix n’est de trop, quand on est confronté à un ensemble de violations des droits fondamentaux de la personne humaine, depuis 20 ans durant, qui à entrainer des grands défis politiques, de cohésion sociale, d’harmonie communautaire, de stabilité politique et de paix sociale. Des violations de droits fondamentaux de la personne humaine devenu endémique et enracinées dans notre pays.

*- Chronique : Les crises sociales persistent par leurs causes.

 

Lutter pour le respect de tous les aspects de la vie humaine, régie par les valeurs que l’humanité s’est donné. Oui redisons-le, la crise de 1999-2002, n’a pas évoluée d’un iota vers une solution durable. La loi reste aux armes. Donc, dans ce contexte de crise sociale aiguë, entretenue sciemment par un pouvoir absolutiste et unilatéraliste, pour éviter toute ouverture politique, qui peut les faire perdre le pouvoir d’état, qui est par essence la propriété exclusive du peuple souverain. La côte d’ivoire d’Houphouët Boigny, doit oser être réconciliant et rester lui-même, fidèle aux idéaux du père fondateur en conjuguant tous les registres de la lutte d’émancipation citoyenne. Pour obtenir une côte d’ivoire digne de l’aspiration profonde des pères de l’indépendance, pour que le bateau du progrès social, de l’harmonie communautaire, de la paix sociale pérenne, reprend la voie royale universelle, vers la lumière du développement intégral, social, économique et politique, voulue par Félix Houphouët Boigny. Donc, une lutte d’émancipation citoyenne destinée à rendre la raison à l’ordre social, à l’intérêt général, à la nécessité populaire, au dialogue social, dans une nation une et indivisible garantissant, droits, libertés, justice juridique et sociale pour tous. Une lutte d’émancipation citoyenne, pour avoir un exercice éclairci du noble art politique, sous la gouvernance étatique des principes de la démocratie participative, des élections consensuelles pluralistes, par le soutien de citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement. Une lutte rendue nécessaire pour notre pays en crise sociale aiguë, résultante d’une guerre d’agression. Qui a fait à ce jour plus de sept milles (7000) morts de citoyens zigouillées chemin faisant, sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état de 1999-2002 à ce jour.

 

L’ivoirien se doit donc de redéfini, au terme d’un dialogue politique sincère, d’un consensus républicain, la notion de nation une et indivisible, qui se doit, de garantir, droits, libertés, justice  pour tous. Et de réinscrire la notion de démocratie dans un sens universaliste, conforme à l’idéal républicain de la patrie de la citoyenneté commune, du vivre en commun de partage civilisé. En lieu et place de la nation monarchiste, absolutiste, fondée sur les particularismes claniques d’une politique de ploutocratie. Cultivé actuellement par un système démodé issus d’une guerre carriériste et arriviste, se réclamant d’un communautarisme de rattrapage, sources d’exclusion ciblée. Ainsi dans leurs entendement, leurs seule accession au pouvoir d’état, par les armes «fusils», a mis fin à la crise politique en côte d’ivoire, créer par eux en 1999-2002. Oui la côte d’ivoire serait devenue une  démocratie participative à processus transparent et consensuel, « avec 15% de taux de participation à l’élection présidentielle de 2015 ». Et Malgré les élections présidentielles manifestement et notoirement truquées dès le premier tour en 2010. Avec les plus de sept milles (7000) morts de citoyen zigouillés, d’un compte macabre continu, dans le temps et dans toute l’assiette territoriale nationale, suite à une guerre de conquête du pouvoir, source de leurs pouvoir.

 

Donc nous disons, une lutte d’émancipation citoyenne qui doit nécessiter pour l’ivoirien, le regard tourné vers les élections à venir, de lutter tous ensemble sans relâche, de façon concerté, solidaire, synergique et assidue, pour la démocratie réelle, pour les droits civils, politiques et sociaux, susceptibles de donner chair et vie aux normes de régulations sociopolitiques nouvelles acceptées par tous. Pour une vie de citoyenneté harmonieuse, pour une vie sociopolitique paisible. « Soulignons de nouvelles normes de régulations sociopolitiques acceptées par tous, pour une vie paisible ». Donc avons-nous dit, dans ce contexte actuel de crise sociale aiguë, systémique, généralisée et systématiquement entretenue sciemment, par des vainqueurs de guerre, pour obvier toute ouverture politique, qui peut les faire perdre le pouvoir d’état de côte d’ivoire en 2020. L’ivoirien doit se ressaisir pour offrir aux luttes synergiques citoyennes des mouvements sociopolitiques, une authentique perspective d’alternance politique, au terme des élections à venir de 2020. Et faire pièces à ce système politique mafieux, pervers, sadique et criminel, ressortissant d’une guerre d’agression. Qui a mis la côte d’ivoire de Félix  Houphouët Boigny, sous l’emprise, de l’égoïsme, de l’égocentrisme, de l’orgueil exutoire, de la petitesse d’âme, du misérabilisme politique ambiant, de l’insolence économique, de vols orchestrés, de détournements, de pillages systématiques, qui se moquent de la misère du citoyen ivoirien, de la souffrance du peuple, de l’injustice sociale érigée en système de gouvernement.

 

*- Choisir sans hésitation le charbon pour la nation, quand il le faut.

 

Notre peuple, notre nation, vit un moment de détournement de grandes questions structurantes de notre société sur des questions faciles de gestion économique dirigiste quotidienne, qui masque définitivement la réalité dans laquelle l’ivoirien vit, et élude les conséquences néfastes sur l’avenir socio-économico-politique dans le concert des nations. Oui, nous vivons un moment de crise sociopolitique historique, sous l’emprise d’un changement politico-économico-social dramatique, dont l’ivoirien doit œuvrer sans relâche, pour empêcher, qu’il ne tourne à une nouvelle tragédie sociopolitique, gouvernée par les armes impies en 2020. Donc, tous unis, tous solidaires, tous ensembles, est la solution. Le pouvoir monarchiste, unilatéraliste, absolutiste n’a pas d’idée sur l’avenir sociopolitique de la côte d’ivoire. Mise à part leur chanson farfelue d’autosatisfaction, donc ne porte plus de projet de société. Sauf leur seul projet connu de tous, qu’est : le surendettement éhonté de la côte d’ivoire, par une habile politique de dirigisme économique mafieux pour pouvoir masquer les vols organisés, la défenestration de l’économie nationale et le pillage des ressources nationales souveraines, « Deniers publics, Or, Diamant, Terre, Forêt et partant Bois etc. » Pour faire de quelques-uns d’une fratrie des multimilliardaires. Ils ont reconnus eux-mêmes cette stupéfiante carence absurde en disant que l’argent ne circule pas, et pire ils veulent pérenniser ce système par une politique successorale de confiscation du pouvoir ou le candidat successeur ne compte pas, c’est le système qui prime sur tous ici. D’où le verrouillage du système électoral et sa confiscation dans des normes positives controuvées qui exprime leurs volontés pour arriver à leurs fins lugubres au terme des élections à venir.

 

L’ivoirien ne doit plus se leurrer, en matière d’élection. On n’affronte pas avec les mêmes chances de réussites, une crise au tour des résultats des élections, et une crise au tour de l’organisation des élections, parce qu’il y a une qui est le médecin après la mort, et l’autre est préventive, ou tout est réparable. Retenons que, nous sommes dans la même logique schématisée du passage en force habituel depuis 2010 du pouvoir unilatéraliste et absolutiste de, Ouattara, qui a d’emblée imposé une Commission électorale à sa solde, au lieu d’une véritable refonte de celle-ci. Pour obtenir, la totale autonomie et la totale indépendance, d’une commission électorale Apolitique, pour que tous les candidats attendent les résultats des élections devenues réellement démocratiques et pluralistes, dans leurs QG  de campagne. Et que son candidat déclaré vaincu soit le vaincu et son candidat déclaré vainqueurs soit le vainqueur. La stabilité politique, la paix sociale et la vraie réconciliation sont à ce prix. Il nous faut « ivoirien » nous unir pour la côte d’ivoire, qui appelle ses enfants devant l’histoire et la postérité, pour aller résolument au charbon, si nécessaire dans la rue opposante consensuelle et équilibriste critique, l’ami infaillible des démocraties de par le monde. Au cas contraire, l’hermétique cadenas-sage du processus électoral ivoirien demeurera, avec lui la confiscation du pouvoir d’état dans la durée. Parce qu’il n’y aura point d’élection démocratique multipartite pluraliste sans l’autorité d’un organisme électoral Apolitique, Autonome et réellement indépendante. Oui, il nous faut nous unir pour la côte d’ivoire, pour aller au charbon, parce que les écueils ou les épreuves mettent un peuple martyrisé par l’arbitraire d’un pouvoir au défi de se dépasser et de se réaffirmer dans sa réalité sociétale atavique. Un peuple qui peut conquérir ses droits et ses libertés, peut changer sa société. Oui, la démocratie ne consiste pas à mettre épisodiquement un bulletin de vote dans une urne, à déléguer les pouvoirs citoyens à un ou plusieurs élus puis à se désintéresser, s'abstenir, se taire, se dégouter. Non ! Elle est action continuelle du citoyen sur les affaires de l’état, sur la gouvernance étatique de sa nation, qui décide de la vie de tous et de la vie chacun.

 

*- Il est question d’avoir le courage d’aller en enfer pour ses droits.

 

Donc, c’est en espérant de tous et avec tous, d’une lutte d’émancipation citoyenne ouverte, au tour du processus électoral, des élections à venir de 2020, et en souhaitant le commencement d’un processus de lutte de libération sociopolitique, définitivement engagée sans retenue, qui nous conduit ici, à nous présenter encore devant vous, cette semaine citoyen. C’est tout sauf notre jeu citoyen de rôle régulateur de routine ou une simple réaction sentimentale de citoyen dégouté. « En politique nous ne cohabitons pas avec les sentiments, en lieu et place de la juste raison. Nous revendiquons souvent ponctuellement notre droit citoyen d’aller en enfer pour nos opinions, mais nous ne sommes pas des papes à Rome ou des saints, non ! (Mais, nous n’avons ni amis de Colombie porteurs de sacs remplis de coke à travers la côte d’ivoire, ni, amis de l’Italie convoyeur de 1,2 tonne de cocaïne pur, d'une valeur marchande de 250 millions d'euros, Soit 164 milliards de CFA, à destination de la côte d’ivoire. Mais nous avons des bons Amis politiques dans tous les pays du monde). Aussi, s’il est nécessaire de le redire ici, nous avons préféré l’embarras matériel dans l’aisance intellectuelle, à l’embarras intellectuel dans l’aisance matérielle. Bien que des gens en connaissent la valeur sociopolitique de nos tribunes quotidiennes et la juste valeur de son apport en politique. CECI, C’EST ENTRE-GUILLEMET CITOYEN ! » Donc s’impose à nous ici, face au verrouillage du système électoral des élections à venir de 2020, la nécessaire et indispensable lutte fédératrice, synergique, pacifique, conscientisée pour nos droits et libertés  dans le respect des différences. Oui retenons-le, la crise ivoirienne n’a pas évoluée d’un iota vers une solution durable. Oui, ne l’oublions pas la crise ivoirienne est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, par une meute de politicards, carriéristes pathologiques et arrivistes renégat. Incapables de s’adapter à l’art du vivre en commun dans le respect des règles démocratiques et des droits inaliénables des peuples à disposer d’eux-mêmes.

 

«Disons-le, notre pays la côte d’ivoire, devient de plus en plus méconnaissable et misérable. Oui, depuis l’irruption du système ploutocratique d’Alassane Ouattara dans l’arène politique ivoirienne notre patrie est devenue le pays de tous les maux : Le pays de la cocaïne, là où quelques fumées de marijuana cannabis, à appeler un anti-stupéfiant juridique au terme d’une loi, d’une externe capacité de dissuasion. En plus le pays des terroristes, là où les odeurs biens parfumées du Koutoukou, du Tchapalo, du Bandji-Blanc, du Dolo, agrémentent la vie quotidienne dans toute l’assiette territoriale nationale, où les Bidons de Bandji-Blanc côtoient les céri-dagâ. Le tout se congratule, dans le respect mutuel, comme deux camarades de citoyenneté commune. Surtout, le pays du dirigisme économique criminel sous la coupe d’une mafia des grands usuriers internationaux. Donc il y a danger citoyen ! Si l’on ne prend garde, la côte d’ivoire sera le pays de toutes les dépravations des mœurs culturelles et sociopolitiques, ou le citoyen ivoirien sera dépaysé et le pouvoir d’état néo-monarchiste comme dans le golf Arabique. Donc citoyens ivoiriens ! Changeons notre société d’une manière ou d’une autre, avant 2020 ou en 2020. L’ivoirien n’a plus le choix, c’est la paix sociale et la stabilité politique par l’effort conjugué, ou le chaos par inertie. La Rue opposante consensuelle et équilibriste critique appelle, s’interroge et s’impatiente. Oui, Bien que nous ne se sommes pas pour les exemples copiés-collés, disons-le tout de même pour l’exemple, tout près de nous, hier le Mali en 1991, et aujourd’hui l’Algérie et le Soudan tentent de récupérer leurs pays . De par le monde les pouvoirs qui ont rendu leurs peuples fous, ont payé cash ces folies. Le besoin de régulation exige cette folie et l’impose comme postulat dans notre pays. Qui va à une élection successorale controuvée, goupillée, cadenassée. Le serpent a sonnette a fait entendre ses bruits mortifère, que la date d’octobre 2020, sera tenue sans concession.

 

Donc ici, c’est une totale rupture mentale entre la réalité et le rêve que nous devons revendiquer, une sécession irréductible entre le poids de ce qui est et tout ce qui peut exister par le droit universel. C’est ouvrir le regard vers l’avenir commun et revendiquer que non seulement une démocratie réelle universelle conforme aux normes internationales et assis sur une citoyenneté libre commune, dans un vivre en commun paisible est possible, au prix de la lutte citoyenne totalement engagée, synergique et assidue. Mais surtout qu’en plus, nous commençons à apprendre à voir cette démocratie réelle universelle, cette libre citoyenneté commune, dans un vivre en commun paisible, pour les faire exister, ici et maintenant. Car cette démocratie réelle universelle, conforme aux normes internationales, cette libre citoyenneté commune, dans un harmonieux vivre en commun paisible, est la terre sur laquelle, on bâtit les empires stables et paisibles. Oui, nous avons le devoir absolu et non-négociable, tous fiers ivoiriens de prendre le taureau par les cornes, advienne alors que pourra. Aucun prix n’est de trop, quand on est confronté à un ensemble de violations sans précédents des droits fondamentaux de la personne humaine, depuis le 24 décembre 1999, en passant par les 18-19 septembre 2002, jusqu’au 11 avril 2011. Qui à entrainer des grands défis politiques, de cohésion sociale, d’harmonie communautaire, de stabilité politique et de paix sociale. Des violations de droits fondamentaux de la personne humaine devenu endémique et enracinées.

 

Parce que dans l’entendement, d’une camarilla guérilleros soutenue par des politicards ripoux et  mercantiliste, la solution de la conquête du pouvoir d’état en côte d’ivoire, serait de conquérir le pouvoir à tous les prix. Oui à tous les prix, même celui des vies humaines. Et rassurer qu’ils sont que, les génuflexions, les courbettes, les prosternations, les allégeances seigneuriales, les griot-tiques pour raison de ventre, suivront après tout. Le citoyen digne de ce nom a dès lors le devoir absolu et non-négociable d’aller au charbon, de revendiquer librement, ponctuellement, son droit de citoyen d’aller en enfer s’il le faut pour sa patrie unie et solidaire, pour la démocratie, pour ses droits, pour ses libertés, pour la stabilité politique et pour la paix sociale Houphouët-ienne. Donc sans calcul autre que d’intérêt national, que d’intérêt général, lutter tous ensemble, de façon synergique et assidu, en revendiquant une société ou la démocratie serait réelle, participative, pluraliste, gérer par des normes de gestions électorales consensuelles. Et dirigé par des hommes indépendants et impartiaux, qui reconnaissent l’autre comme différent et qui  l’admettent comme son égal en droit et devoir, la société civile est pleine de ce genre d’homme en côte d’ivoire. Donc point de nordiste de rattrapage et point de sudiste de prétendu exclusion.

 

*- Rien ne sert à courir derrière une élection de façade truquée d’avance.

 

Mais tous ivoirien ! Si consensus, il y a ? Conformément à l’option claire de la nationalité du droit du sol, en lieu et place d’une loi de la nationalité abracadabrantesque sans fondement de droit, à des fins électoralistes. Il faut qu’au terme d’un processus électoral paisible, les citoyens ivoiriens acquièrent la conviction que, le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire citoyenne, et cela sans interférence politique. Que les partis et les candidats soient rassurer d’avance, qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ce sont ces conditions impartiales et Autonomes, qui confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à une démocratie. D’où les institutions étatiques quelles qu’elles soient, deviennent des subordonnées du processus électoral, pour s’affranchir des visions étroites, et s’enraciner résolument dans la vie démocratique pluralistes, multipartites au sens le plus large. En s’alignant dans le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux. Oui retenons-le, la crise de 1999-2002, n’a pas évoluée d’un iota, vers une solution durable. La loi reste aux armes devenue l’unique mesure de valeur sociopolitique, avec le règne de Dieu l’argent. Le pouvoir est au bout du fusil. Rien ne sert à courir au plus vite derrière des élections truquées d’avance, confisquées dans son mode d’organisation et dans des institutions partisanes CEI démodée, conseil constitutionnel inféodé au pouvoir. La crise ivoirienne est une crise de droits, de libertés, une crise issue du mépris pour les principes démocratiques.

 

Se faisant ainsi, comme nous avons toujours dits et répéter, que le lien social est éminemment politique, faire tout pour que chacun soit restauré dans ses droits, dans tous ses droits juridiques, civils et politiques. Dans une société ivoirienne commune, qui admette sans faux fuyant, l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Pour une exaltation de la diversité nationale solidaire. Qui fait du respect de tous les aspects de la vie humaine régie par les valeurs que l’humanité s’est donner, la valeur fondamentale, sur laquelle doit être construite toute société, toute politique, toute économie, tout développement, toute relation entre citoyens ivoiriens, entre personnes d’origines diverses et toute relation entre nations, est un devoir absolu non-négociable, assigné à tout ivoirien et à tout homme. Donc, citoyen ivoirien ! C’est toi qui va réguler la vie sociopolitique ivoirienne, au cas contraire, elle restera de désordre sociopolitique. Parce que personne ne viendra le faire à ta place, même pas un Dieu, donc allons au charbon, quand il le faut, allons en enfer, quand la situation sociopolitique l’exige. C’est de droit citoyen qui ne veut que vivre paisiblement. N’oublions pas citoyen ! Les ivoiriens réunis tous ensemble solidaire les uns des autres, en mettant en commun volonté, discussions, idées, pensées et actions peuvent réussir l’impossible, l’impensable, n’importe quel miracle et peuvent relever n’importe quel défi sociopolitique. C’est de cela qu’il s’agit… Oui, s’engager sans concession dans une course de fond de 50 mètres « 5 mois » avec une Victoire au bout, ou trainer encore dans la même course sur 600 mètres « 5 ans durant » sans obtenir le résultat espéré. C’est ça-là. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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