Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
19 avril 2021 1 19 /04 /avril /2021 17:28
Angela Merkel demande pardon : impensable en France !

Angela Merkel demande pardon : impensable en France !

Angela Merkel demande pardon : impensable en France !

Rien n’est plus noble que la fonction politique lorsqu’elle se consacre à l’amélioration du destin d’un peuple. Rien n’est plus lamentable aussi, lorsque son but premier n’est plus celui-ci. Forcément, la fonction politique est indissociable de la personnalité qui en a la charge, qui l’incarne.

Il n’est d’ailleurs pas facile de classifier les politiciens dans un camp ou dans l’autre. Ce sont souvent les circonstances qui permettent de distinguer ceux qui sortent du lot, en matière de noblesse de comportement, ou de son contraire. Sans pour autant forcer les stéréotypes, il existe également des pays voire des cultures qui favorisent plutôt l’un, ou plutôt l’autre.

Angela Merkel et la culture anglo-saxonne

Ce mercredi, Angela Merkel a ouvertement déclaré s’être trompée dans sa décision de restrictions renforcées pour les fêtes de Pâques :

« Cette erreur était uniquement la mienne… Elle doit être reconnue comme telle et surtout corrigée »…

Summum de l’humilité, la chancelière a conclu son intervention télévisée par une phrase que nous ne sommes pas habitués à entendre chez nous en France :

« Je regrette profondément et pour cela, je demande pardon à tous les citoyens. »

Quelques semaines plutôt, Angela Merkel se reprochait de ne pas avoir su convaincre les länders d’adopter les restrictions qu’elle recommandait, en se gardant bien de leur mettre sur le dos la flambée de cas de covid-19 et de décès que l’Allemagne a connue depuis octobre 2020.

Humilité, simplicité, abnégation… ce sont des qualités qui forcent le respect. Des qualités qui sont si rares chez nous, au sommet de l’État.

« C’est un leader politique en qui je peux avoir confiance » avait dit à peu près en ces termes Barack Obama à propos d’Angela Merkel, leader qu’il qualifiera plus tard, dans ses mémoires, de « stable, honnête, intellectuellement rigoureux et instinctivement gentil » (BBC news 21/11/20).

De toute évidence, un tel comportement ne peut s’expliquer que par une conjonction de facteurs, parmi lesquels, sans préjuger de leur importance respective, le fait d’être fille de pasteur, d’avoir une formation hautement scientifique, et d’être issue de la culture protestante anglo-saxonne dont on sait combien elle implique un certain nombre de valeurs1.

Loin de généraliser et de conclure à une éventuelle supériorité de la culture anglo-saxonne et/ou protestante2, car il existe aussi de nombreux contre-exemples, on constate toutefois qu’il existe des représentants d’une pareille éthique en Angleterre.

Dans ce pays, un homme politique en situation d’échec se retire immédiatement du jeu : David Cameron démissionne dès le lendemain du référendum sur le Brexit, Theresa May (une autre fille de pasteur soit-dit en passant) abandonne face au rejet de sa politique de mise en œuvre du Brexit.

Son engagement « Je servirai comme Premier ministre aussi longtemps que vous voudrez de moi » n’était pas un vain slogan publicitaire. Comment ne pas deviner, derrière de telles réactions, une sorte de sens du devoir et de profond respect de l’électeur ?

La haute fonction publique et la culture française

Comparativement à certains de nos hommes politiques, le contraste est si flagrant qu’il est difficile de résister au plaisir de citer quelques-uns des échantillons qui nous sont offerts. L’auteur de ces lignes se limitera aux trois derniers présidents de la république et à l’avant-dernier Premier ministre. Dont acte :

« Nous n’avons pas à rougir de notre bilan. Des dizaines de milliers de vies ont été sauvées par nos choix, par nos actions » (Est Républicain 14 juin 2020) dixit Emmanuel Macron malgré les mensonges et l’inaction gouvernementale en matière de masques et de tests, tandis que les chiffres de mortalité étaient déjà huit fois supérieurs à la moyenne mondiale.

« Je suis toujours très prudent quand je compare les chiffres » dixit Édouard Philippe lors de son audition à l’Assemblée nationale face à la question de comprendre pourquoi les Allemands avaient quatre fois moins de morts que nous et pourquoi nous ne pratiquions pas de tests alors qu’ils le faisaient à très grande échelle (PublicSenat 2 avril 2020). « Sous-estimation du risque », « pilotage défaillant de la crise », une France « mal armée » avait pourtant conclu la commission de l’Assemblée nationale huit mois plus tard (France Culture 12 décembre 2020).

Plus anciennement, François Hollande répétait à qui voulait l’entendre : « Sous mon prédécesseur, le chômage a augmenté d’un million, depuis mon arrivée, c’est 600 000 » en omettant l’une des trois catégories de chômeurs. En comparant les chiffres réels et comparables, non seulement les 600 000 étaient en deçà de la réalité mais le total était proche du double et clairement pire que les chiffres du prédécesseur en question (Figaro 12 juillet 2016).

Dernier exemple justement : Nicolas Sarkozy. L’ex-président a-t-il vraiment abandonné l’espace politique après sa nette éviction de 2012 ? Certainement pas si l’on considère ses régulières tentatives d’alliance avec Emmanuel Macron et celles de ses amis (Estrosi, Muselier et Coppé) de fausser le jeu démocratique en essayant de détruire des personnalités émergentes telles que Bruno Retailleau au sein de LR. L’ex-président considèrerait-il que l’action politique est une rente qui lui est allouée ad vitam aeternam, ceci indépendamment de l’avis des électeurs et de l’intérêt du pays ?

Telle est l’expérience qui est la nôtre, nous Français, habitués à supporter une classe politique dont de nombreux hauts représentants ne se trompent jamais, n’avouent bien évidemment jamais leurs erreurs, falsifient même parfois leur bilan pour en masquer les points faibles, et ne se retirent que très difficilement du jeu politique, quels que soient leurs résultats passés, leurs chances de se faire réélire ou leur toxicité dans le débat démocratique.

Là aussi, les causes sont multiples. À l’origine latine et catholique de notre pays s’est ajoutée une pulsion hyper centralisatrice et administrative, elle-même décuplée par une belle dose de nostalgie marxiste que distillent depuis l’après-guerre l’Éducation nationale, la plupart des partis politiques et la majorité des médias. Cerise sur le gâteau, la création de l’École Nationale d’Administration est venue parachever le tableau en officialisant la mise en place d’un système de recrutement de l’élite politique basé sur un profil technocratique tenu soigneusement éloigné des compétences exigées par ailleurs dans le monde hyper compétitif et ouvert de l’entreprise.

Cette façon dont se perpétue ce que Pierre Bourdieu nommait la « noblesse d’État » était dénoncée depuis longtemps par Michel Crozier. Celui-ci fustigeait la « sélection de l’élite politique » de l’Hexagone. Hélas, rien n’a changé depuis. L’absence d’excuses ou ne serait-ce que des aveux d’inefficacité3 de cette caste endogame n’est que le fruit de ce processus de sélection unique, à l’abri de toute concurrence et donc peu perméable à la remise en question…

(Source presse Française : Par Claude Robert). Mars 2021

Partager cet article
Repost0
11 avril 2021 7 11 /04 /avril /2021 19:40
Le président Bédié : Cérémonies Commémoratives du Soixante-quinzième (75ème) anniversaire du PDCI-RDA.

Le président Bédié : Cérémonies Commémoratives du Soixante-quinzième (75ème) anniversaire du PDCI-RDA.

Chers Militantes et militants,

Chers invités,

Chers compatriotes,

Mon cœur exprime toujours des émotions particulières lorsque je vous vois, hommes et femmes, jeunes et anciens pendant les moments comme ceux que nous vivons ensemble aujourd’hui, jour de l’ouverture de la célébration des 75 Ans de notre parti, le PDCI-RDA.

Votre présence effective traduit votre Amour et Votre attachement aux valeurs de notre Parti, Parti fondateur de la Côte d’Ivoire moderne.

Ce matin, avec vous tous, j’admire le chemin parcouru par nos aînés, avec à leur tête feu le Président FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

Que de combats!

Que de privations et de sacrifices !

Que de morts hélas !

Pour la liberté et l’indépendance des Ivoiriens et de la Côte d’Ivoire.

Ensemble, ils ont bravé les obstacles de la colonisation et relevé les défis de l’éducation, de la santé, du développement économique social et culturel.

Nous sommes tous fiers de tous ces vaillants hommes et femmes, jeunes et vieux venus de toutes les contrées de la Côte d’Ivoire. Unis dans la diversité, solidaires pour réaliser leur rêve commun : construire la Côte d’Ivoire moderne et modèle de développement en Afrique.

En moins de Quinze (15) Ans après l’indépendance, ils ont ensemble réussi le pari de transformer la Côte d’Ivoire et de réaliser le miracle économique.

Le miracle économique ivoirien, reconnu par le monde entier, c’est bien notre peuple qui l’a réalisé sous l’impulsion du PDCI-RDA et du Président FELIX HOUPHOUET BOIGNY !

Le PDCI-RDA a construit notre cher pays sur des bases solides !

Des bases qui ont permis et qui permettent encore aujourd’hui à notre pays, de plier sans fléchir sous les crises politiques, les crises économiques et sociales depuis trois décennies.

Vous pouvez donc aussi comprendre les peines profondes que je ressens devant la grave crise que traverse notre Pays depuis plus de Vingt (20) Ans.

*Le 24 Décembre 1999, l’élan prodigieux de l’éléphant d’Afrique a été brisé par un coup d’état militaire ;

*Le 19 Septembre 2002 a fini par achever par une rébellion armée, l’œuvre funeste entamée le 24 Décembre 1999 ;

*La crise socio-politique d’Octobre 2010 a finalement fait exploser le peu d’éléments de la cohésion sociale qui nous restait ;

*Le 3eme mandat anticonstitutionnel a fini par détruire les fondements de la démocratie et de l’unité nationale.

Que de morts !

Que de morts en 1999 !

Que de morts en 2002 !

Que de morts en 2010 et 2011!

Que de morts en 2020 !

Que d’exilés politiques !

Que de populations traumatisées !

Que de jeunes gens sacrifiés !

Point n’est besoin de vous parler des problèmes que nous connaissons tous : les systèmes éducatif et sanitaire dégradés, la pauvreté, la délinquance juvénile chez nos enfants instrumentalisés (pour en faire des miliciens et microbes).

Bref ! Le tissu social déchiré, la Côte d’Ivoire défigurée.

Point n’est besoin de vous parler également des députés, des responsables de la société civile, jeunes et des femmes emprisonnées, pour avoir voulu exprimer leur refus du bâillonnement de la démocratie par un 3eme

Mandat non conforme à notre loi fondamentale.

Je veux me souvenir de mon Directeur de Cabinet, N’DRI Kouadio Narcisse, Felix N’DAKPRI, Pulchérie GBALET et

Deux cent vingt (220) de nos jeunes encore et injustement incarcérés.

Je veux leur dire que le PDCI-RDA ne les abandonnera pas.

Je m’incline à nouveau devant la mémoire de nos frères et sœurs ainsi violemment arrachés à notre affection.

Je rends aussi hommage aux blessés et à tous ceux ou toutes celles qui ont été d’une manière ou d’une autre atteints dans leur chair.

Chers Militantes et Militants,

Chers compatriotes,

Le Parti Démocratique de Côte d’Ivoire, dont les valeurs sont, entre autres, l’humanisme, le droit, la justice et la liberté, a fait la preuve de sa résilience depuis sa création à ce jour.

Notre parti, à soixante-quinze (75) ans, doit rester l’Architecte et le Maitre d’ouvrage de la création et de la construction de la nation ivoirienne.

Comme hier, le PDCI-RDA saura aujourd’hui et demain puiser en chaque Ivoirien et en chaque ivoirienne les ressources nécessaires pour panser les plaies, amorcer la réconciliation et bâtir la Côte d’Ivoire nouvelle.

Les enjeux sont ceux du renforcement du PDCI-RDA dans ses capacités d’innovation, en vue de conduire la lutte pour la libération du peuple Ivoirien de toutes les mauvaises gouvernances.

Je m’engage aussi, avec vous, militants et militantes, à renforcer la modernisation du parti que nous avons commencée.

A cet effet, ma vision pour le PDCI-RDA s’articulera autour des points suivants :

*Remobiliser toutes les composantes du parti pour relever les grands défis qui nous attendent ;

*Impliquer et responsabiliser davantage l’important vivier de cadres compétents et de jeunes dynamiques dans toutes les instances de décisions du Parti ;

*Améliorer et renforcer la démocratie interne ;

*Mettre en place des dispositifs stratégiques et novateurs en vue d’anticiper sur les évènements et les enjeux du futur ;

*Capitaliser et valoriser les nombreuses ressources et moyens dont dispose le Parti pour assurer et pérenniser son autonomie financière.

Chers Militantes et militants,

Chers compatriotes,
Vous l’avez compris, le PDCI –RDA doit reprendre sa place de maitre d’ouvrage de la Nation.

La Côte d’Ivoire toute entière compte sur nous pour ramener la paix, la concorde, la fraternité entre nos peuples et le vrai développent économique et social.

Nous avons donc une grande responsabilité devant l’histoire et nous n’avons pas le droit de nous y dérober !

Le PDCI-RDA doit donc créer les conditions de la confiance entre le peuple, la classe politique et les partenaires au développement.

Le PDCI-RDA continuera sans relâche toutes les actions avec l’ensemble de l’opposition en vue de créer les conditions d’un climat politique apaisé, propice à la réconciliation et à la reconstruction d’un Etat de droit.

Dans cet esprit, je me réjouis avec vous et avec tous les Ivoiriens, de l’acquittement définitif du Président Laurent GBAGBO et du Ministre Charles BLE GOUDE.

Je souhaite que le gouvernement prenne toutes les dispositions nécessaires pour favoriser leur retour en Côte d’Ivoire dans les meilleurs délais et dans des conditions sécurisées.

Chers militants et compagnons,

Je termine, en vous renouvelant mes remerciements pour votre présence.

Soyez assurés de ma Foi profonde et inébranlable en la Côte d’Ivoire et en son avenir.

Vive un PDCI-RDA Fort et Debout pour une Côte d’Ivoire réconciliée, Unie et Prospère.

Je déclare ouvertes les Cérémonies Commémoratives du Soixante-quinzième (75ème) anniversaire du PDCI-RDA.

Joyeux Anniversaire et Longue Vie au PDCI-RDA

Partager cet article
Repost0
1 avril 2021 4 01 /04 /avril /2021 01:15
Lepetitfils : Agir pour changer notre pays, qui n’est plus qu’une immense ruine de l’humanité, immense déchirure sociale et sociétale, une société dispensatrice de désespoir, de misère et de désolation, plus de 7000 morts + 150 morts récents à ce jour. Oui, disons bravo ! À l’original, pour avoir pu et su tenir sa ligne monarchiste de main de maitre, pour la future validité de sa photocopie, mais ce Bravo circonstanciel, n’est ni une reddition, ni une capitulation, encore moins une soumission seigneuriale, c’est un constat citoyen. Que nous, nous sommes trompés.

Lepetitfils : Agir pour changer notre pays, qui n’est plus qu’une immense ruine de l’humanité, immense déchirure sociale et sociétale, une société dispensatrice de désespoir, de misère et de désolation, plus de 7000 morts + 150 morts récents à ce jour. Oui, disons bravo ! À l’original, pour avoir pu et su tenir sa ligne monarchiste de main de maitre, pour la future validité de sa photocopie, mais ce Bravo circonstanciel, n’est ni une reddition, ni une capitulation, encore moins une soumission seigneuriale, c’est un constat citoyen. Que nous, nous sommes trompés.

*- Lire et Comprendre : Un coup-franc tiré dans un But mobile.

Oui, Nous nous sommes trompés, parce que nous étions convaincus en 2011, que si la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, doit être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle, certains comportements anti démocratique étaient à bannir, et que le fondement de cette démocratie devrait être le droit dans toute sa rigueur, avec des citoyens qui respectent les règles démocratique préétablies, et les normes de régulation social accepter par tous, sources d’harmonie et de convivialité sociale. Et au moment fort de mutineries des fantassins de vainqueurs de guerres, nous avions souligné que les armes ne doivent pas avoir droit au chapitre. Cela dans suite de notre prise de position ferme en 2010, que le pouvoir d’Alassane Ouattara n’est pas issu des urnes de 2010. Nous avions alors pris faits et causes pour les droits et le respect de la constitution de 2000. Et par la suite après l’imposition d’Alassane Ouattara par les armes impies, et avec la chasse aux sorcières qui a suivi, qui nous a conduit en exil, notre position n’a pas variée malgré tout, nous avons soutenu que le jour que les vainqueurs de guerres devenus les nouvelles autorités ivoiriennes comprendrons que la justice des vainqueurs conduit à une crise plus grande que la précédente, qu’à partir de cet instant, la stabilité sociopolitique et la paix seront possible.

Que parce qu’au terme de la crise postélectorale, tous les belligérants de cette crise postélectorale sont passibles de poursuite judiciaire. Qu’il faut que  la sécurité soit effective pour tous dans le pays, qui doit se réconcilier avec lui-même et entre ses fils de tout bord politique, et surtout se réconcilier avec le monde. Que dans un concert de différenciation «nord-sud» et «est-ouest» d’alors, que rien ne se fera en côte d’ivoire, que rien ne changera sans une justice impartiale, qui proscrit les poursuites à sens unique, mais aussi, que rien ne se fera sans réconciliation vraie, que rien ne se fera sans pardon conjugué, dans la reconnaissance mutuelle de tous les ivoiriens, que rien ne se fera sans une contrition de tous les acteurs politiques, des torts causé au pays et aux citoyens, dans une société policée qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales, sans différenciation «nordisme, sudisme, estisme, et ouestisme». Qu’il valait travailler tous, à l’avènement de ce jour, pour qu’il se lève et qu’il il se lèvera avec l’effort conjugué de tous les ivoiriens un matin, contre vent et marée, nous l’avons promis, mais nous nous sommes trompé. «C’était comme un coup-franc à point fixé, tiré dans un But mobile par la volonté du gardien». Les vainqueurs de guerres se savaient capables de jouer sur la psychologie de l’ivoirien pour arriver à leurs fins.

Oui, Nous, nous sommes trompés, en plaidant depuis près de 10 Ans que, la côte d’ivoire ne s’en sortira, que par la porte souveraine de l’Amnistie générale référendaire, qui repose sur le droit international coutumier, «le droit des droits », qui tient en l’état le droit d’application sans frontière, qu’est le droit international des droits de l’homme. Que ce dernier droit, est l’apanage des défenseurs de la politique de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité. Que sauf à vouloir troubler l’ordre social, par une ingérence dans les affaires souveraines d’un autre état devenu paisible, instauré souverainement, consensuelle-ment, et unanimement par la totalité sociale d’un état souverain, que l’amnistie générale référendaire, voté par un peuple souverain, s’impose à tous. Et qu’il est d’une constance indéniable, de par le monde que : Quand la clémence qui résulte d’une Amnistie générale référendaire consentie par le peuple libre, peut ramener à l’amour, à l’harmonie communautaire, à la stabilité sociopolitique, à l’ordre sociopolitique, à la paix sociale pérenne, et au respect des lois, ceux qu’une inflexible sévérité judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale, l’Amnistie générale référendaire, est commandée par la grande loi du bien public, fin essentielle de tout gouvernement, qui ne peut exister que dans l’ordre social. 

Que les souverainetés nationales, ne peuvent donc être altérées par une politique universaliste, même si celle-ci ne disparait pas pour autant. Et que, le referendum sur les grands sujets d’intérêt national est un moyen pour vérifier l’adhésion du peuple souverain, à un projet politique, ou pour constater la concordance de ses positions politiques, avec la volonté souveraine du peuple libre. Que l’Amnistie général référendaire, est un droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Que c’est un espace de souveraineté protégé. Que c’est un champ d’application et dévolution balisé. Que c’est un espace de droit souverain inaliénable universellement protégé. C’est pourquoi il est de droit international coutumier, «le  droit des droits» que, sauf à vouloir troubler l’ordre social dans une nation souveraine, devenue paisible après une crise, l’Amnistie générale référendaire post-guerre, consentie par le peuple souverain, s’impose à tous. «Oui, même à ce jour, après la restauration des libertés des hommes politiques déportés, cette option consensuelle d’une Amnistie générale référendaire reste la meilleure solution pour la paix sociopolitique, mais l’exhumation intéressée des condamnations a défaut et controuvée, risque de maintenir toujours, la crise ivoirienne armée contre la totalité sociale souveraine. Mais nous, nous trompons toujours». En politique, la légitimité appartient à la majorité absolue des citoyens, qui se jauge à l’aune du suffrage universel. Donc, un pouvoir est tenu,  à chaque occasion de crises, de faire la preuve de la légitimité de sa politique devant le peuple souverain. Mais les vainqueurs de guerre n’avaient, ni besoin de l’ordre social, ni de la souveraineté nationale, l’essentiel est toujours resté le Butin de Guerre. Nous nous sommes donc trompés.

Nous, nous sommes trompés parce qu’en professionnels de la politiques, nous avions pensé que l’ivoirien avait droit, d’aller aux élections démocratique, comme les joueurs vont aux sports d’équipe, avec la certitude qu’ils  peuvent gagner, comme ils peuvent perdre. Mais, chacun motiver par la farouche détermination de se faire élire ou de faire élire les candidats, qui incarnent le mieux leurs convictions et leurs sensibilités politiques et surtout des candidats les plus fédérateurs. Or au moment où nous déployons tous nos efforts sur la sociologie électorale ivoirienne, les vainqueurs de guerres avaient leurs idées sur la psychologie de l’ivoirien avec laquelle ils ont habilement composé, durant toute la crise ivoirienne de 1999 à septembre 2002, à ce jour, ils se sont joué de tous. Nous omettons ici volontiers, tous ceux que nous avions dits de la CPI par DEVOIR.

Nous nous sommes trompés, en disant que, la côte d’ivoire ne doit pas entrer, ou se plaire dans une chambre à gaz préconstruite par une politique prédatrice ultralibéral et  d’un aveugle dirigisme économique au service d’une mafia internationale. Que l’ivoirien ne doit pas accepter, ou se plaire d’être enfermer dans une prison de morts programmé, par un système mafieux  attrape-tout, soutenu par un clanisme malsain, comme socle politique assis sur un formalisme juridique constitutionnel fraudé. Qu’on ne doit pas jouer avec le sens de l’honneur et de la dignité d’un peuple souverain. Que rien ne valait la préservation des chances de l’avenir d’un peuple souverain. Surtout en période de tentation forte de courber l’échine, face à un pouvoir prédateur et de procéder à des génuflexions, pour avoir sa place à la table des convives nocturnes, de l’ultralibéralisme prédateur de jungle. Oui, qu’il n’est pas sain de s’afficher partisan d’un événement porteur de honte dans l’avenir, de haine pour l’autre et de régression sociale pour tout un peuple. D’où notre engagement sans retenu, soutenu non seulement par notre éclectisme impassible, notre foi inébranlable d’alors en l’avenir, mais aussi par l’idée devenue illusoire en côte d’ivoire avec l’évolution des choses, qu’aucune victoire d’un pouvoir arbitraire et despotique, sur un peuple souverain déterminé à défendre ses droits, ses libertés à la face du monde n’est possible en ce 21e siècle. Alors qu’Alassane Ouattara est sûr de son fait d’avoir fait un pacte funeste avec la misère du peuple ivoirien après avoir pris sa juste mesure du moment, pour le coudre et le coller un corsage de soumission seigneuriale, d’enfer et de damnation, avec le consentement d’une partie du peuple, qui a une emprise sur le reste du peuple martyr.

Nous nous sommes trompés, en se croyant dans une majorité du peuple ivoirien, qui ne se sentait pas partie à la constitution d’Alassane Ouattara, qui a créée des institutions démodées, vermoules et inutilement budgétivores. Convaincus que nous étions que, les écueils ou les épreuves mettent un peuple martyrisé par l’arbitraire d’un pouvoir d’état et par l’obscurantisme politique, au défi de se dépasser et de se réaffirmer dans sa réalité sociétale atavique. Nous avons pensé, que ce moment était plus que jamais arrivé pour le peuple souverain de côte d’ivoire. Et nous avions déduit que l’intervention populaire sous toutes ses formes pour la défense des droits, des libertés et la restauration d’un état de droit, est largement justifiée aujourd’hui en côte d’ivoire. Que parce que le pouvoir d’Alassane Ouattara ne cèdera rien aux droits, aux libertés et à la démocratie encore moins à l’opposition ivoirienne. Et que les élections à venir sous son règne, ne feront pas l’exception, parce que rien ne doit pouvoir contrarier le projet funeste, monarchiste, d’Alassane Ouattara pour la côte d’ivoire. Donc qu’il n’y aura pas de révision d’équilibrage du découpage électoral actuel, qu’il n’y aura pas de commission électorale réellement indépendante, que les normes anomiques de régulations sociopolitique, ne changeront pas non-plus. En ce moment même, Alassane Ouattara avait foi a son système de confiscation du pouvoir d’état géré, calé et bouclé, qu’il a orchestré en connaissance de la psychologie de l’ivoirien, et de la mentalité acquise de ses opposants.

Nous, nous sommes trompés, parce qu’a l’idée d’un troisième mandat d’Alassane Ouattara, nous avons invités le peuple à faire appel à ses droit inaliénables, qui ne doivent jamais s’accommodé avec la violation de la loi fondamentale «constitution» ou cohabité avec la dictature d’un pouvoir monarchiste et absolutiste, devenu un pouvoir illégal et illégitime. Nous avons pris soins de souligner, que notre crise sempiternelle ivoirienne, est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, des règles démocratiques, par une meute de politicards parachutés, des carriéristes dans l’âme, des arrivistes renégats et des nihilistes iconoclastes. Qui se sont lamentablement, avéré incapables de s’adapter à l’art universel du vivre en commun, dans le respect des normes juridiques de régulations sociales préétablies, qui régissent la société commune. Et que la démocratie ne consiste pas à mettre épisodiquement un bulletin de vote dans une urne, à déléguer les pouvoirs à un, ou plusieurs élus, puis à se désintéresser, s'abstenir, se taire pendant cinq ans. Que non ! Que la démocratie est action continuelle du citoyen sur les affaires de l’état, qui décide de la vie de tous et de chacun.

Nous, nous sommes alors inscrits, dans la logique du combat contre les violations répétées des droits. Dont le dernier viol des droits, des règles, de l’art civilisé de vivre en commun sociétal, des principes démocratiques, date d’octobre 2020, avec à la clé plus 150 Morts de citoyens, et plus de 500 Blessés graves. Fait par les fantassins  du pouvoir grognon, fulminatoire, outrancier d’Alassane Ouattara, au terme de l’imposition de son diktat de troisième mandat, dans la suite de l’inconsciente couillonnade des 18-19 septembre 2002, parachevée le 11 avril 2011. Pour pouvoir devenu un péril catastrophique pour la stabilité sociopolitique et pour la paix, une ânerie de système anti-droit, une honte pour le monde civilisé, une conception archaïque de la morale Humaine, une mytho-maniaque voie pour l’Animalisation de l’ivoirien, qui ne doit avoir besoin que de manger pour vivre. Or au mépris de tous et en dépit de tous, le pouvoir Ouattara se savait capable de prospéré, dans sa logique mortifère.

Nous, nous sommes trompés en décidant d’alertés, a l’idée d’aller a des élections législatives, que les mêmes causes produisent les mêmes effets. Que le pouvoir d’Alassane Ouattara, qui n’a pas reculé devant la catastrophe de l’élection présidentielle, aura belle et bien sa majorité parlementaire, au mépris de la majorité circonstancielle de l’opposition ivoirienne et en dépit de l’exigence des principes et règles des élections propres et transparentes. Avec les mêmes travers politiques d’Animosité, d’un pouvoir déviant marqué par le seau indélébile du sang humain versé. Que s’était dans la norme des choses, parce qu’une culotte trouée est indispensable au pouvoir d’Alassane Ouattara, face à l’arbre de la transparence. Et que, nous savions ce pouvoir aux aguets de son piège, d’entrainer l’adversaire sur un ring, aux tapies glauques et visqueux, pour l’assommer, d’un vilain coup au bas de la ceinture. Que ses élections législatives consistaient à attirés ou trimbalés malgré tout, l’opposition ivoirienne dans son engrenage. Que puisque déjà, la tâche de l’opposition devenait de plus en plus difficile et compliquée. Ces élections législatives ont réanimés, les appétits carriéristes, qui se manifestent sporadiquement au mépris de tous ensemble et en dépit du danger sociétal réel, qui nécessite absolument, à combattre tous solidaire et unis.

Que donc de toute évidence, il en résultera dans ce choix politique et électoral, d’aller aux élections législatives, de dangereux ressentiments, susceptibles de fragmenter encore plus la cohésion sociale. Parce que l’opposition ivoirienne, est entrainée Habilement vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers une soumission seigneuriale au monarque absolu Alassane. Et qu’à cette vitesse de versatilité effrénée dans l’action de régulation sociopolitique saccadée, cela ne saurait tarder, face à l’habilité du pouvoir et a la volonté abstraite d’un groupe d’hommes politiques, soucieux d’arrivée à leurs fins de dominations néo-monarchiste hybride, débridé ou à une ploutocratie naissante, par des élections vidées de toutes essences démocratiques et exonérées de tous droits et toutes règles universelles. Que Non ! Le souverain peuple ne suivra pas, au mépris de ses plus de 150 Morts. Mais Alassane Ouattara était très sûr de son fait, très sûr de son emprise sur la société ivoirienne, face à des acteurs politiques ivoiriens en ce moment, plus soucieux des intérêts politiques, du duel de leadership, du duel des positionnements politiques et électoraux, l’antagonisme des clivages politiques intransigeants et le sectarisme des appartenances politiques, que pour la cause d’intérêt national, qu’est le nécessaire arrêt de la dynamique démoniaque du pouvoir d’Alassane Ouattara, qui décide de tout, et qui est très sûr de son fait, et de son emprise sur le peuple résigné. Nous, nous sommes trompés, pas de la lutte, et pas dans la lutte, mais nous, nous sommes trompés qu’a même… Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*-De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

*- Pour tout autres et pour ample infos parcourez votre Blog: www.dacandylepetitfils.over-blog.com

 

LIRE CI-DESSOUS LA SUITE (2) MERCI !

Partager cet article
Repost0
1 avril 2021 4 01 /04 /avril /2021 01:07
Lepetitfils : Agir pour changer notre pays, qui n’est plus qu’une immense ruine de l’humanité, immense déchirure sociale et sociétale, une société dispensatrice de désespoir, de misère et de désolation, plus de 7000 morts + 150 morts récents à ce jour. Oui, disons bravo ! À l’original, pour avoir pu et su tenir sa ligne monarchiste de main de maitre, pour la future validité de sa photocopie, mais ce Bravo circonstanciel, n’est ni une reddition, ni une capitulation, encore moins une soumission seigneuriale, c’est un constat citoyen. Que nous, nous sommes trompés.

Lepetitfils : Agir pour changer notre pays, qui n’est plus qu’une immense ruine de l’humanité, immense déchirure sociale et sociétale, une société dispensatrice de désespoir, de misère et de désolation, plus de 7000 morts + 150 morts récents à ce jour. Oui, disons bravo ! À l’original, pour avoir pu et su tenir sa ligne monarchiste de main de maitre, pour la future validité de sa photocopie, mais ce Bravo circonstanciel, n’est ni une reddition, ni une capitulation, encore moins une soumission seigneuriale, c’est un constat citoyen. Que nous, nous sommes trompés.

*- Lire et Comprendre : pour dire Bravo ! À l’original, qui a pu et su tenir sa ligne.

Nous nous sommes trompés, parce que nous étions dans la posture régalienne du sacerdoce, qui sied à tout l’homme politique digne de ce nom, en période de crises sempiternelles, de dénoncé les tares de la société. Parce que, tant que la société commune demeurera en crise sempiternel, tant que les citoyens ordinaires seront ainsi mal gouvernés, parce que leurs États sombrent dans le chaos social sempiternel, où que le pouvoir d’État vire à l’arbitraire, à la dictature, au despotisme, à la tyrannie, les citoyens ne pourront pas profiter de la richesse de leur pays et des retombées de l’organisation économico-politique et sociale de leur société. Et dès lors, vive tous les maux sociétaux «injustice juridico-judiciaire, crise sociale orchestrée sciemment et entretenue, vulgarisation de la criminalité de toute sorte, déshumanisation en outrance de la société, culte et règne de Dieu l’argent, extrême pauvreté, même famine etc.» et que dans cette condition, la conquête éperdue du pouvoir d’état et le souci de la conservation éternelle du pouvoir d’état, a fin d’enrichissement perpétuel au détriment du peuple, devient l’enjeu sociétal majeur. Pour les procédés sataniques d’une caste politique malhonnête et mafieux, bravant les règles les plus élémentaires de l’Humanité, des procédés qui ont permis à une minorité d’homme politique de déformer en quelques années, la conscience collective du peuple ivoirien et de transformer notre pays de paix sociopolitique en une société de vulgaire criminels, au service de dieu l’argent et du bien matériel mal acquit, volé des caisses publiques. Afin de pouvoir asseoir une monarchie en ébauche aujourd’hui clairement visible dans l’architecture de la gouvernance du pays. Oui ce schéma est très lisible et intelligible en l’absence des méninges.  

Nous, nous sommes trompés, en soutenant énergiquement que la politique est une lutte à mort et est un combat permanent, entre ceux qui veulent le bonheur du peuple souverain, pour qu’il devient maitre absolu de son destin, de son émancipation, de son épanouissement, de sa liberté, de son droit à réaliser son désir d’avenir, et ceux qui à l’opposée, qui n’ont d’autre vision du monde que l’enrichissement perpétuel au détriment du peuple martyrisé, et le pouvoir d’oppression au service de Dieu l’argent. Et la confiscation du pouvoir d’état par tous les moyens illégaux, maquillés et embellis, par le mensonge, la manipulation, l’escroquerie morale et intellectuelle, avec l’acclamation des oiseaux migrateurs de tous les horizons a la recherche de bouffe, la bouffe, rien que la bouffe, tous pour pouvoir bouffer. Que l’humanité, l’honneur, la dignité, partent se faire foutre, pas besoin d’eux a la table des convives nocturnes mafieuses. Les acteurs politiques ivoiriens, ne doivent jamais oublier que, les faits sur lesquels nous tergiversons aujourd'hui, au gré de nos intérêts politiques, sont ceux-là mêmes sur lesquels l'Histoire nous jugera demain. Il faut dans nos actions que, nous fassions preuve d'une intégrité et d'une objectivité intellectuelle telles, pour que cette crise s'impose à la postérité comme ayant répondu aux aspirations de justice juridique et sociale. Or le pouvoir d’Alassane Ouattara en persistant dans sa logique, en se disant et en se dédisant, sous l’applaudissement des brigades d’acclamations, crétines bornées et aux chefs rémunérés dans les caisses publiques, s’évertue de croire avec sa raison, à son géré, calé et bouclé. Nous nous sommes trompés sur la psychotique d’une partie du peuple. Oui les dictatures naissent avec la complicité d’une minorité agitée.

Oui, Nous nous sommes trompés, au milieu des ruines sociétales de crise sciemment entretenue où des milliers de personnes on trouver la mort. Or on n'a pas besoin de chercher longtemps des arguments pour appuyer l'idée que le fait de préparer et de mener une société a une crise est, au point de vue moral, le pire des crimes contre l’humanité. Les criminels de cette crise ivoirienne, n'ont plus qu'un seul espoir, celui que l’action politique soit resté tellement en retard sur le sens moral de l'humanité qu'un crime, selon la conscience, ne soit combattu comme tel. Ici la question n'est pas de savoir comment rendre les crises impossibles, mais comment des actions politiques, fondée sur le droit et les règles universelles de l’humanité, pèseront dans la balance pour préserver désormais la paix, et pour permettre aux hommes et aux femmes de bonne volonté de vivre libres et sous la protection des mêmes normes juridiques de régulations sociopolitiques. Nous avons pris le taureau par la corne. Pour un combat solidaire, que nous avions souhaité et voulu ultime. Hélas ! En ignorant la versatilité oscillante de la politique politicienne, nous, nous sommes trompés, mais pas du combat à mener et pas des actions a menées.

Nous nous sommes trompés, parce que très sûr et très rassurer, de la chute du pouvoir d’Alassane Ouattara, au moment fort de la crise du troisième mandat, dans un pays bloqué, renfermé, sur lui-même, dans l’attente de réaction salvatrice. Mais Alassane Ouattara, après avoir fait plus de 150 Morts et plus de 500 Blessés graves pour son troisième mandat, a réussi tout de même a validé juridiquement sa présidence de 3e mandat, d’un taux de participation de 5,4%, au terme des élections législatives d’un taux de participation inclusif de 37%, ou il est sorti majoritaire. Cette majorité compense l’illégalité de sa présidentielle, et occulte sa minorité populaire acquise, mais il ne pourrait être légitime face au souverain. Les morts ne sont vraiment morts que lorsque les vivants les ont oubliés. Nous devons combattre ceux qui ont prémédité et tracé les plans du géré, calé, et bouclé, ceux qui ont été les instigateurs, ceux qui ont géré, calé et bouclé, et leurs chefs. Parce que sans les plans pernicieux de ceux-ci, le pays n'aurait pas subi si longtemps le fléau de la violence et de l'illégalité, et n'aurait pas sombré dans les souffrances et les convulsions de cette crise sociopolitique. Oui, combattre ceux-là même qui  ont conçu le plan de détruire les droits, les libertés, la démocratie et les différences sociales, l’Harmonie communautaire, pour arriver à l’usage sadique, inhumaine, de la tête de l’être humain décapité, et jouée comme un ballon Foot. Ou de les affaiblir continuellement, ces valeurs sociales, afin de parvenir à dominer réellement le peuple souverain. Leur cruauté et leur fourberie ont pris une telle ampleur que, devant le danger, les forces somnolentes de la société se sont réveillé, sous l’impulsion des efforts communs de résistance. D’où plus de 150 morts et plus de 500 blessés. Les morts de la crise ivoirienne dans l’ensemble et les morts de la crise de troisième mandat en particulier ne seront vraiment morts, que quand les acteurs politiques ivoiriens ne seront plus guidés par la douleur de leurs ultimes sacrifices pour la patrie, la nation ivoirienne, surtout, lorsqu'il n'y a plus personne pour penser à eux.

Nous nous sommes trompés, en œuvrant, dans la seule façon citoyenne légale et légitime, d'en finir avec un pouvoir despotique, une dictature tyrannique, et une force aveugle d’agression, qui est d’œuvrer à vouloir soumettre tous les hommes à la même loi. Et d’œuvrer pour nous, pour que cet effort s’impose à tous les citoyens et à toutes les citoyennes, pour soumettre à la loi, un homme qui se veut monarque sur un état de droit, qui a abusé de son pouvoir, pour ébranler les fondements de la paix nationale et internationale, violer les normes de régulations sociopolitiques, et violer les droits inaliénables de ses concitoyens. En affichant sa volonté personnelle et celui d’un clan, de vouloir briguer un 3e mandat illégal, après la consommation totale et définitive prescrit, d’un délai de rigueur de deux mandats constitutionnels, qui sont légalement consommé sous l’empire d’une constitution dite ancienne source des deux (2) mandats et recommencer de zéro le comptage des mandats présidentiels. En soutenant péremptoirement que le compteur des mandats consommés est remis à zéro. Nous avons trouvés cela, ridicule et insensé. Parce qu’on ne peut pas faire table rase du droit préexistant consommé, de l’éligibilité à la présidence de la république avec un délai de rigueur de deux (2) mandats constitutionnels, légalement consommé, sous l’empire d’une constitution dite ancienne et recommencer de zéro le comptage des mandats présidentiels d’un individu, qui revendique ce droit consommé. Non ! Ce n’est pas admissible, Non !

Ceci n’est pas possible, ni en politique, ni en droit. Parce que ceci serait seulement possible si, un acte quel qu’il soit, avait fait table rase, du système institutionnel existant, en pulvérisant l’ordre juridique préexistant, en anéantissant et en balayant toute les institutions sur son passage (Constitution, institutions, gouvernants et, par voie de conséquence, président de la République», qui tire son existence et sa compétence de la Constitution ancienne balayée. En l’absence de cet acte, on ne peut effacer l'origine juridique des institutions. En faisant fi d’ignorer, que la norme juridique nouvelle ne peut effacer des effets juridiques, qui se sont produit sous l’empire de la norme juridique ancienne. Qu’on ne peut pas effacer les actes consommés d’un individu conforment aux prescriptions légales. Que sinon n’importe quelle prescription impérative pourrait être remise en cause dans le temps. Et que n’importe quel agissement, pourtant régulier et totalement consommer pourrait être remis en cause par une nouvelle norme juridique. Nous avons soutenu alors, qu’un droit à délai de rigueur consommé par le détenteur, est un droit anéanti. Donc avec nos regrets des morts, cet individu s’est légalisé par des jeux de non-droit. Parce qu’il est détenteur des armes qui le permet de décidé seul de tous. Ce qui n’est autre chose qu’une dictature en fait et en droit. Mais comme tout monarque absolu Alassane ne sait que faire du Docte, de l’esthète.

Nous, nous sommes trompés, parce que partir de-là, pour aller franchir une ligne jaune, pour aller aux élections législatives, et ensuite, SI ? Grillé la ligne rouge, pour entrer dans un gouvernement, de ce même pouvoir, qui a fait plus de 150 morts, et plus de 500 blessés graves de citoyens libres, qui ont les mêmes attributs de droits, les mêmes attributs de liberté et les mêmes attributs naturels, c’est à dire les mêmes attributs organiques, qu’un chef d’état, qu’un président de la république, qu’un ministre, qu’un député, surtout un pouvoir qu’on a combattu il y a moins de six «6» mois, est incohérent. Et cela SIGNIFIERAIT, qu’on s’est écarté du droit chemin, des droits inaliénables, des libertés individuelles, de la seule route praticable en politique, qu’on est arrivé sur la ligne de démarcation, entre ce qui est normal et ce qui est Anormal, dans la vie en société et en démocratie, qu’on fonce tout droit dans la damnation perpétuelle du peuple, qu’on court vers un précipice abyssal funeste et mortifère. Mais hélas ! Mille fois hélas ! Il y a des agissements dans l’arène politique ivoirienne, qui dénotent, non seulement de la traitrise à l’égard de Félix  Houphouët  Boigny, le reniement de soi, le ridicule, mais surtout la bassesse des ambitions perverses. En ce sens que ces agissements sont porteurs de péril, pour leurs auteurs dans l’avenir et pour la nation toute entière, qu’ils dirigent ou veulent diriger aujourd’hui. Le danger réel est là !

Donc, nous, nous sommes trompés, en ignorant, qu’ici nous sommes en côte d’ivoire ou l’arbitraire de la gestapo ivoirienne sous l’ordre d’Alassane Ouattara, à force de loi. Mais si nous voulons vraiment «peuple souverain ivoirien», replacer l’être humain au centre du débat économico-sociopolitique, le citoyen au cœur de la politique développementale ? Alors le choix est simple : Mener le combat libérateur, régénérateur et salvateur, mais tous ensembles pour reconquérir le pouvoir d’état. Pour se faire, avant tout, il faut croire qu’il est effectivement possible de démocratiser les relations humaines. Ensuite, il faut croire qu’un autre monde est possible. Mais quel monde ? Ce monde autrement n’est pas une idéologie mais une constatation qui tient de l’évidence que: c’est à partir des personnes que se construit l’avenir, que c’est à partir de la solidarité des personnes que se bâtit la réalité du quotidien, que c’est à partir de la société civile que s’exerce de fait une prise de pouvoir de l’espérance à travers des actions concrètes, que c’est à partir de la progressive unification des différents combats sectoriels pour la Vie, pour l’homme et la liberté, que les luttes citoyennes se gagnent. Donc, c’est un acte d’insurrection de la pensée et une révolte de la volonté, un acte de résistance pour la libération de l’avenir, un combat à Mort pour le destin de chacun. Au moment où tout est fait par une dictature monarchiste sûr de son fait, de son emprise sur la totalité sociale, pour revendiquer que l’avenir, est déjà décidé par des puissances économiques et financières. Sans nous et sans notre consentement, sans notre droit de regard, «des vaches qui ne demandent qu’à manger».

Donc il est question d’affirmer que non seulement nous n’en croyons rien dans cette utopie, d’avenir déjà décidé, mais que nous allons maintenant prouver le contraire, en se faisant un chemin, que nous voulons ouvrir dans le béton de la pensée arbitraire de la dictature monarchiste dominante. En offrant aux mouvements sociaux une authentique perspective d’alternance à cette dictature monarchiste et ploutocratique, d’insolence économique et financière, d’injustice juridique et d’injustice sociale. En créant tous ensemble une société du vivre en commun de partage, ou l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé, ou d’être embastillé, sinon être arrêté. Cela pour changer notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, qui n’est plus qu’une immense ruine de l’humanité, qui n’est plus qu’une immense déchirure sociale et sociétale, une société dispensatrice de désespoir, de misère et de désolation, plus de 7000 morts + 150 morts récents à ce jour.

Oui, disons bravo ! À l’original, pour avoir pu et su tenir sa ligne monarchiste de main de maitre, pour la future validité de sa photocopie. Oui aujourd’hui a la lampe des lumières de l’évolution de la situation sociologique, avec des nominations parlantes au sommet du système, vu à l’aune des analyses doctes et esthètes, l’irréversibilité de la monarchie en ébauché semble évidente. Hélas ! Là où nous, «citoyens ivoiriens» aurions préféré, un état républicain de droit réellement démocratique, il y aura une monarchie absolue plouticratique. Mais ce Bravo circonstanciel, n’est ni une reddition, ni une capitulation, ni un mea-culpa, ni une contrition, encore moins une soumission seigneuriale, c’est un simple constat citoyen. Que Nous, nous sommes trompés, pas de la lutte, et pas dans la lutte, mais nous, nous sommes trompés qu’a même. Donc, à vos relais synergiques citoyens ! La lutte continue ! Prenez nos  GBÖ !!! Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*-De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

*- Pour tous autres et pour ample infos parcourez votre Blog: www.dacandylepetitfils.over-blog.com

 

LIRE CI-DESSUS LE (1) DONT SUITE. MERCI !

Partager cet article
Repost0
24 mars 2021 3 24 /03 /mars /2021 16:21
Lepetitfils : Le monarque pour réveiller les comptes bancaires privés, des personnes privées, il «le monarque» agit en ces termes : «VOUS ME CONNAISSEZ, MOI ? NON ! EH BIEN JE SUIS LE MONARQUE ALASSANE OUATTARA, VOUS N’AVEZ PAS TOUCHER A VOTRE ARGENT DEPUIS 10 ANS, DANS UN COMPTE BANCAIRE, MOI JE LE PRENDS ! C’EST ÇA MON BON PARTAGE, TOUT POUR MOI, RIEN POUR VOUS ». Et d’exigé sur le champ la soumission seigneuriale, la génuflexion, la courbette, la prosternation. Sinon au TROU pour tous récalcitrants ou mécontents.

Lepetitfils : Le monarque pour réveiller les comptes bancaires privés, des personnes privées, il «le monarque» agit en ces termes : «VOUS ME CONNAISSEZ, MOI ? NON ! EH BIEN JE SUIS LE MONARQUE ALASSANE OUATTARA, VOUS N’AVEZ PAS TOUCHER A VOTRE ARGENT DEPUIS 10 ANS, DANS UN COMPTE BANCAIRE, MOI JE LE PRENDS ! C’EST ÇA MON BON PARTAGE, TOUT POUR MOI, RIEN POUR VOUS ». Et d’exigé sur le champ la soumission seigneuriale, la génuflexion, la courbette, la prosternation. Sinon au TROU pour tous récalcitrants ou mécontents.

*- Etayage ou éclairage, à lire et comprendre: - Bravo ! Bravo !! Bravo !!!

Oui, Bravo à tous citoyens ! D’avoir le 06 Mars 2021, montré par ton vote au monde entier, de façon sporadique dans plusieurs circonscriptions électorales du pays, les limites des fanfaronnades politiques de ballons de baskets, assis sur l’idée illusoire de la puissance divine d’un fichu monarque et d’un Dieu l’argent invincible. Oui, merci d’avoir prouvé par ton vote que l’idée de l’instauration arbitraire d’une monarchie ploutocratique en côte d’ivoire est illusoire. Oui, citoyen en votant pour les candidats de l’opposition unie solidaire et les récalcitrants indépendants, 117 députés au total, malgré l’exhibitionnisme du bien matériel et leurs assurances du déjà acquit ou gagné, tu n’as pas voté uniquement des hommes, à la cherche de titre de député pour servir un monarque, non ! Tu as voté pour tes convictions, pour un idéal républicain pour la côte d’ivoire, tu as voté, pour la régulation de la société ivoirienne en lambeau, tu as voté pour l’équilibre des institutions républicaines, comme édicté par les principes universels de l’état de droit. L’ensemble des victoires que tu as remporté citoyen via les candidats de l’opposition solidaire et les récalcitrants indépendants, que tu as voté, est un désaveu cinglant pour les ploutocrates du parti clanique, qui revendique une monarchie républicaine pour la côte d’ivoire, ou une seule personne, détiendrait tous les pouvoirs étatiques. Oui, citoyen ! Tu as  voté pour demeurer dans ton rôle de citoyen régulateur de ta société, et tu as voté en espérant rester maitre de ton destin indépendamment de la volonté du  monarchisme, qui trône sur une côte d’ivoire des Brouhahas, des BLÄ-BLÄ-BLÄ et DES TONNES DE COCAÏNES.

Bravo citoyen ! D’avoir aussi montré à Yopougon, que la tutelle et le parrainage par un président de la république qui se veut monarque absolu, aux élections législatives est contreproductive et illusoire. Le monarque et sa meute de ballon de basket devait y penser, en disant que pour faire confiance au président de la république pour voter des candidats qu’il parraine, nécessite de penser au antécédents immédiats. Or nous sortons d’une élection présidentielle de passage en force, avec plus de 120 Morts de citoyens zigouillés, qui sont venus s’ajouter aux plus de sept milles (7000) morts de citoyens tués, zigouillés au terme d’une guerre carriériste de conquête armée. Aujourd’hui ces citoyens manquent à l’appel de la lutte citoyenne dans la cité, surtout ils manqueront a jamais à l’appel des devoirs citoyens de la cité. Conséquence, le 06 mars 2021, sept «07» des détenteurs de fauteuils ministériels à la table des convives mafieux du monarque absolu, ont mordus la poussière, terrassés du haut de leurs biens matériels acquis, qui n’ont pas suffi pour convaincre les citoyens électeurs. Même si, moins d’une dizaine d’autres à la table des convives ont prospérés grâce souvent au trucage électoral. Oui, nous crions au sacrilège à Yamoussoukro, profanation à Bassam, Hold-up a Agboville ou les inscriptions sur les PV ont permis de rallongé la taille d’un pygmée démocratique au mépris des bulletins dans l’urnes, vols à ciel ouvert dans certaines circonscription du nord a candidature monolithique, qu’on nous détail Abobo, qu’on nous explique Bouaflé, etc.

Oui, le fichu idéal monarchiste d’Alassane Ouattara a pris un sérieux  coup le 06 Mars 2021 dans près de 100 circonscriptions électorales, dispensé du culte du communautarisme politique et du régionalisme électoral. Donc, «100 sur 204», qui l’a fait tituber du haut de son piédestal, parce que a 130 députés pour l’opposition s’en était fini pour lui et son système de magouille. Oui, des gros calibres ont faits les frais de la protestation citoyenne, des ministres sont tombés, sept «07» au total. Et comme le monarque n’a besoin que de béquille solide au mépris de compétence scientifiques et techniques, ils doivent déguerpir la tables des convives ces battus, c’est aussi simple que l’eau de robinet à boire. Donc Bravo ! À tous. Bravo ! À vous honorables députés pour avoir terrassé l’arbitraire, et prouvé que le pouvoir d’état n’est logé nul par ailleurs que dans le peuple souverain, parce que propriété exclusive du peuple. Bravo ! A vous citoyens. En équilibrant la balance sociale, on désarme la violence.

Disons aussi Bravo ! A Agboville, malgré tout ou la puissance financière a vu ses limites en politique noble art. Bravo ! A Cocody, d’avoir assuré avec maestria, Bravo ! A Yopougon pour avoir confirmé de façon olympienne, d’autre ont dit, c’est arrachée, moins-un ça tapait la barre, il restait un peu seulement ça allait taper le montant, mais, c’est dedans qu’a même, c’est ça la pleine lucarne. Tout comme les gardiens de buts, le RHDP n’a rien vu venir». Et salut ! A Marcory, salut ! A Port-Bouet, etc. Vous seriez désormais des exemples nationaux de résistances contre l’arbitraire, malgré tous, contre vent et marrée, bon an mal an. Bravo citoyen ! Ta mobilisation est un avertissement pour les cornichons-niais, de ce pouvoir monarchiste qui prend les citoyens ivoiriens comme une vache qui ne demande qu’a manger, dont ils doivent mettre la corde au cou pour remettre à ce pouvoir boucher logé dans une bicoque de l’Abattoir des droits, mouroir des liberté, euthanasiste de la démocratie républicaine, et d’un dirigisme aveugle, d’un absolutisme abject. « Lui avec tout le pouvoir d’état, ou le chaos sempiternel en côte d’ivoire». Tout dans les Brouhahas, des BLÄ-BLÄ-BLÄ, ET DES TONNES DE COCAÏNES.

*- Un malheureux 37% en lieu et place des plus de 80% de taux de participations coutumiers.

Oui, citoyen, le jour ou ta participation aux élections atteindra les 82% de taux de participations des élections «GBAGBO», ce pouvoir sera contraint au WC public des services de gestions des affaires étatiques. Donc le plus grand adversaire de l’opposition ivoirienne ce n’est pas le système d’Alassane Ouattara, en tant que nuisance, mais son plus grand adversaire est l’abstention qui est devenue le plus grand parti politique de côte d’ivoire avec ses 65% à plus de 85% de taux d’abstention aux élections pluralistes et monolithiques d’Alassane Ouattara. Alors qu’en 2010 l’abstention était de 18% à 19% régulier en 2010, avec des taux de participation de 82% et de 81% aux élections présidentielles. Oui, citoyen, ton vote du 06 Mars réaffirme ta perte de confiance dans les hommes au service d’un système extrêmement mafieux, qui se sucre sur le dos du peuple ivoirien, et qui se carbure désormais à la «Macron-nienne». Qui obliger par la continuité Sarkozyenne de recevoir avant chaque élection ivoirienne, le monarque en quête des ordres et des instructions.

Oui, citoyens tu as marre de te sentir bafoué dans tes droits inaliénables, tu as marre qu’on ne t’écoute pas, tu as marre que tu comptes moins que les intérêts mafieux de ces politicards monarchistes, qui méprise le suffrage universel direct du peuple, qu’ils n’ont pas besoin, ou ne savent que faire de la légitimité populaire électorale du peuple. Mais qui sont plutôt toujours enquête d’une légitimité internationale, qui s’acquiert auprès de la «Macronnie » en France. Et auprès des intérêts mafieux extérieurs des grands usuriers internationaux du monde, soutenu par un lobby de presse aplatis, intéressé, et aux propagandes monnayables. « N’en déplaise notre pain est déjà mouillé, parce que notre marigot est confisqué». Oui citoyen ! Surtout le monde te sait agacer de voir les écritures truquées sur les PV remplacer le vote citoyen dans les urnes. Ceci est incontestablement la cause de ton abstention endémique, comme le 06 Mars, avec un malheureux 37% en lieu et place de tes plus de 80% de taux de participations coutumiers. Bravo !

Bravo ! Encore citoyens ivoiriens ! Il était question le 06 Mars 2O21 d’affirmer que nous ne sommes pas vassaux d’un présent imposé par une monarchie conquérante a la Samory Touré, ou toute insoumission est sanctionnée par une crise mortelle de la terre brulée, «moi ou rien», au service de son Dieu l’Agent. Oui, citoyen Bravo ! Parce que tant qu’il y aura, des citoyennes et des citoyens libres, capables de se tenir debout face à l’arbitraire d’un pouvoir monarchiste dans l’âme, au mépris des risques de leurs vies physiques, au dédain de Dieu l’Argent, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, VIVRA ! VIVRA !! VIVRA !!! Oui, le tout pour souligner, que les élections législatives 2021 ont rendu l’essentiel de leurs verdicts, et le décor est maintenant planté pour la lutte des 5 ans à venir, si on en arrive-là ? 137 députés monarchistes grognons, 96 députés grognards issus d’une désobéissance civile légale et légitime pas prêt à obéir, révoltés à l’extrême à l’idée unique d’une suprématie individuelle, qui ne respecte aucune norme juridique de régulations sociopolitiques, même la constitution, 23 députés rebelles d’un éclectisme rigoriste.

Donc le duel entre 137 députés monarchistes, face à 117 députés régulateurs en attendant les possibles récapitulations ou redditions, «sous réserves que, sur 26 indépendants élus, 16 sont revendiqué par la monarchie, pourtant qu’elle a exclue au moment des choix des candidats, et menacé les récalcitrants de sanction sans appel. Bon ! Un milliard 600 millions puisé dans les caisses publiques de l’état, pourrait arranger le retour rapide dans la monarchie, avec 100 millions coutumiers offert à chaque député indépendant, cet échos est persistant qu’il y aura des couillonnades, d’où le citoyen électeur ne serait que le couillon pour cinq « 5» ans. Oui, les votes restants, et les possibles reprises suite à la liquidation des contentieux électoraux, règleront certes des  irrégularités et redresseront des torts mais ne peuvent plus rien changer à la donne. Donc nos souhaits accompagnent les 23 députés indépendants récalcitrants, opposés à l’idée unique monarchiste, d’une suprématie individuelle en politique et à une forme de sélections des candidatures non-représentatives du peuple, qui les sont librement choisit, pour s’être rangé dans la ligne de la salvatrice régulation sociopolitique.

Et d’emblée, il convient de leurs «députés indépendants» poser cette question pertinente d’avenir. Est-il normal qu'un député qui détient un mandat législatif du peuple, ait ses actes pris comme autorité du pouvoir législatif, soumis au bon vouloir du contrôle du pouvoir exécutif ? Dont entre les deux, pouvoirs il est universellement établie une net et claire séparation des pouvoir, sans aucune possibilité légale de subordination d’un a l’autre ? Non ! Ce serait une honteuse trahison, une forfaiture institutionnelle. Oui, prévenons-en, une gouvernance d’un président de la république pour quelque raison que ce soit, par ordonnance, après un désistement volontiers du parlement de ses pouvoirs législatifs de contrôle et de régulation des actions du pouvoir exécutif dans un système d’état de droit, ne serait qu’une trahison, une forfaiture institutionnelle, qui œuvrera et excellera pour l’avènement d’une monarchie ploutocratique mafieuse. Donc le camp indiqué par les votes citoyens aux 23 députés indépendants est le camp de l’opposition en tenant comptes des électeurs. Toute chose qui a motivé les élections des indépendants récalcitrants par le peuple souverain mandant, aux  élections législatives du 06 Mars.

Donc, le sacerdoce des nouveaux députés épris de paix et de juste, en quête d’une vraie réconciliation nationale, est de combattre le camp de la monarchie absolue. C’est pourquoi, en considérant que la légitimité populaire est la seule mesure de valeur en politique, que nous avons appelé le 06 Mars 2021, lors des législatives de voter l’opposition unies et solidaire et tous les  hommes politiques repoussés par le pouvoir arbitraire de la monarchie d’Alassane Ouattara, pour élargir les rangs de la lutte réelle de régulation sociopolitique et de libération. Ici ce ne sont pas les candidats élus députés qui élargissent les rangs de la lutte, mais les citoyens libres qui ont voté par protestations, par dégouts ou par désespoir, qui deviennent des chainons de la lutte de régulation sociopolitique et libératrice devenue commune. Oui, citoyen, la meute d’Alassane Ouattara, ne pouvait pas cacher sa réalité que nous avions décrit a d’autres occasions, parce qu’ancrée dans ses mœurs politiques. Oui, pendant la campagne des législatives, il nous a été donné de constater l’essence comportementale et la mentalité archaïque de cette meute d’Alassane Ouattara. Ils se sont affirmer comme des individus qui n’envisagent le combat politique et le débat démocratique, que sous la forme d'une guerre civile opposant deux armées rivales, qui ne pensent qu’à s’exterminé mutuellement. Ou le souci de carrière dirige les tirs et les coups de poignards planté dans le dos.

*- Faire absolument pièces a une meute de carriéristes et arrivistes renégats.

Oui la meute d’Alassane Ouattara même entre eux, du même parti politiques, en compétition électorale, souvent sur la même liste de candidature, nous les avons revu d’Adjamé à Koumassi, se donnant des coups terrifiants, chacun tirant de son côté vers son égo, n’importe quoi et n’importe comment, en ignorant la discipline des partis politiques normaux, en épiant leurs camarades de partis et souvent colistiers, à l’image des charognards et des rapaces rassemblés autour d’une proie inerte en décomposition avancée, en se battant parfois à cause des miettes d’intérêts égocentriques avec leurs semblables, et en cohabitant avec eux le reste du temps, en s’alliant toujours contre ceux qui ne font pas partie de leur monde pourris. Oui il n’y a rien à espérer d’une telle meute dans la gestion des affaires de la cité et de la nation. Pour eux l’essentiel reste le ventre. Leur croyance semble être, qu’une fois le pouvoir politique d’état acquit, peu importe la manière, le détenteur du pouvoir devient subitement «Dieu le grand», face auquel, le peuple est assigner et résigner, à la prosternation, à la courbette, à la génuflexion, au griot-tisme.  Cette croyance est soutenue par le besoin de pouvoir manger, donc  pour d’autres c’est le discours flatteur, en espérant des postes et des titres. Et surtout, c’est le reniement de soi pour des cooptées bouffe-tout, et pire c’est le reniement de son substrat politique et de ceux avec qui on avait hier composé de façon orthodoxe. C’est donc le reniement de ceux, à qui on doit tout dans la vie politique, souvent avec plus de 10 ans dans les instances du sommet de l’état, grâce aux compagnons trahis, traite a son essence.

Oui, on a revu, des individus qui s’entre-déchirent autour des intérêts égoïstes égocentrique et mafieux. Leurs union offre l’image de la célébration de la fête de mariage de l’Eau avec le Feu, avec la paix sociopolitique comme mouton de sacrifice, dans une côte d’ivoire désormais frappé de la couleur quotidienne du sang humain. Et bien poudrée ostensiblement au Blanc mortel de la cocaïne. Ils ont œuvré pour l’Institutionnalisation de l’affront cynique à l’intelligence des citoyens ivoiriens autour de la chose publique, en exhibant les biens volé dans les caisses publiques étatiques ou détourné de la voie légale vers le trésor public, sinon carrément défenestré, du circuit normal de l’économie ivoirienne. Surtout guidé par la raison du ventre, ils ont osé ostensiblement un passage en force pour un troisième mandat présidentiel illégal et illégitime en faisant plus de 120 morts. Quoi de plus normal, parce que par nature les conceptions politiques attrape-tout, à fin unique de confiscation du pouvoir d’état, voulu monarchiste, ne sont pas des organisations politiques comme on les étiquète très souvent. Ce sont généralement des individus malhonnêtes, sans scrupules, carriéristes pathologiques, opportuniste, arrivistes et renégats mafieux, qui se rassemblent pour la défense de leurs avantages et leurs privilèges indus, qu’ils tirent du pouvoir d’état, sans tenir compte des affinités politiques et des obédiences idéologiques des membres vautours.

Le seul but du rassemblement se trouve être, le souci de conserver leurs intérêts égoïstes, égocentriques, qu’ils tirent indûment des caisses publiques de l’état. Tout en imposant leur diktat de façon sournoise, sans foi et sans loi, au peuple souverain par les armes impies, au mépris des normes juridiques qui régissent la vie commune en société. D’où un troisième mandat de plus en dehors du légal prescrit. C’est pourquoi ces conceptions politiques attrape-tout et criminelles sont toujours la sœur jumelle de la violence de masse ou du politicide de masse. Donc c’est la violence en politique et c’est la politique violente dans la société. Ou les têtes humaines décapitées servent de ballon de Foot animalier. Oui, nos fichus dirigeants de la monarchie ploutocratique, au plus haut niveau se plaisent à détruire les institutions politiques avec des normes juridiques anomiques imposées comme de régulations sociales, soutenues par l’escroquerie morale et intellectuelle, pour s’accaparer les institutions républicaines et économiques, pour faire de quelques-uns d’une fratrie, d’un clan mafieux des multimilliardaires grâce aux biens publics, dans la perspective des affrontements sociopolitiques programmés. Ils assujettissent ainsi les valeurs de la république et la morale sociétale, les normes de gestion de la société, la cohésion sociale et la paix sociale pérenne à un pouvoir dont les seuls soucis semblent être la confiscation du pouvoir dans la durée. Oui, l’assurance d’une emprise certaine sur la côte d’ivoire acquise le 06 Mars 2021, le climat sociopolitique peut admettre qu’après un regretté premier ministre et ministre de la défense, qu’advienne en succédané successoral systémique, un vice-président et ministre de défense pour l’avènement de la monarchie ploutocratique.

*- Espérer de la lutte citoyenne et persister dans la lutte pour les droits.

Une monarchie ploutocratique, ou trône un monarque ploutocrate, de l’ultralibéralisme prédateur de jungle animalier, qui proscrit les comptes bancaires tranquilles ou dormants. Oui, le monarque sait réveiller ces comptes privés par décret, en vertu de la loi n°2014-135 du 24 mars 1964 nous, nous trompons ! C’est en vertu de la loi n°2014-135 du 24 mars 1994, Holà nous nous trompons toujours ! Nous avons trouvé juste, c’est  en vertu de la loi n°2014-135 du 24 mars 2004, Y a quoi même, pourquoi nous nous trompons comme ça toujours ! Bon ! C’est en vertu de la loi n°2014-135 du 24 mars 2014, Voilà ! C’est ça sinon jamais de la vie. Et le monarque agit en ces termes : «VOUS ME CONNAISSEZ, MOI ? NON ! EH BIEN JE SUIS LE MONARQUE ALASSANE OUATTARA, VOUS N’AVEZ PAS TOUCHER A VOTRE ARGENT DEPUIS 10 ANS, DANS UN COMPTE BANCAIRE, MOI JE LE PRENDS ! C’EST ÇA MON BON PARTAGE, TOUT POUR MOI, RIEN POUR VOUS ». Bon ! Il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie n’a pas conscience du danger mortel avant la phase terminale. Parce que le processus est conçu pour être irréversible.

Il y a le feu à la maison ivoire, il y a péril à  bord du navire ivoire et personne ne viendra y remédier en dehors du citoyen ivoirien. Donc en fier ivoirien a défaut de pouvoir faire pièces, aux méfaits du pouvoir satanique d’Alassane Ouattara, il va falloir pour l’ivoirien digne de ce Non, d’envisage toute les facettes de la recherche de l’honneur qui sied à l’être Humain et de la dignité humaine, y compris celui de Mr Pierre Bérégovoy «un Premier ministre nouveau et un homme politique précautionneux » ce digne Fils de la France républicaine du  1er mai 1993. Donc à défaut de pouvoir faire pièces, aux méfaits du pouvoir satanique d’Alassane Ouattara, autant rentrer maintenant chacun d’entre nous chez soi, sur la terre de nos ancêtres, « Hommes politiques intérieurs et extérieurs, ou exilés politiques intérieur et exilé politique extérieur », tout de suite pour se tirer une balle dans la tête, parce que attendre demain c’est-à-dire l’avenir pour le faire, ce serait vouloir, ou essayer de brancher un rasoir électrique entre les mains, sur une prise électrique de 1000 V, c’est le court-circuit qui calcine assuré. Donc rien ne sert à retarder l’échéance.

Oui, c’est cette petitesse égocentrique institutionnalisée dans la gestion du pouvoir d’état, qui va à coup sûr perdre la côte d’ivoire. Parce que de par le monde elle enfante, la débilité mentale et la folie du peuple souverain. Oui, quand un pouvoir d’état rend un peuple fou furieux et débile, il se met soi-même à la merci de ses crises de folie. Parce que confiné dans la loi de la jungle, le peuple souverain ne peut avoir d’autre réaction légale et légitime que celle de l’état de nature. Bon ! Le citoyen ivoirien est condamné à se  faire une route dans le béton de l’arbitraire de non-droit, parce qu’il n’y a plus de route avec le système d’Alassane Ouattara, il faut se forcé une voie d’espérance. De toutes les façons cette route d’espérance est encore longue et jonchée d’écueils. Oui chemin faisant les pièges ne manqueront pas, peut être les désertions alimentaires aussi de quelques-uns. Mais, il faut espérer de la lutte synergique et dans la lutte continue en non-stop. Cette espérance qui émane de la détermination citoyenne, n’est pas une idéologie politique, n’est pas une théorie politicienne, n’est pas un parti politique, ou ne tient pas à une personne physique. Cette espérance légitime est une attitude de liberté d’action citoyenne, conçue pour une lutte légale, de libre arbitre et de refus catégorique d’un système arbitraire clanique de domination sociopolitique condescendante et méprisante dans les rapport humain, en dépits des droits humains réels.

Donc, cette espérance introduit un acte citoyen de liberté sous la forme consentie, d’un comportement libérateur au risque de sa vie physique, d’une parole libératrice, d’une action libératrice, opposé à des comportements antérieures, que nous avons l’habitude d’accepter passivement, face à l’arbitraire, et notre conscience collective citoyenne qui se réveille tout d’un coup, pour le combat à mort, face à l’arbitraire. Ainsi grâce à cette espérance soutenue nous établissons un rigoriste espace mental autonome, indépendant et d’espérance citoyenne, non détournable. En affirmant que, nous ne sommes pas vassaux du présent imposer par l’arbitraire, d’une dictature monarchiste, ou d’un futur illusoire, imposé par ce système arbitraire, pour nous assujettir aux caprices d’une ploutocratie clanique et mafieuse. Mais que nous sommes assez conscient, assez éveillés et assez décidés pour penser de nous-mêmes notre destin commun, que nous pouvons maitriser sans l’arbitraire et oser un notre avenir commun autrement, dans le respect des droits inaliénables, des libertés fondamentales et des règles universelles démocratiques. Parce que toute organisation sociale, toute action politique publique et toutes associations humaines, qui ne se fondent pas sur le respect des droits de chaque citoyen, des règles et valeurs communes à l’humanité, sont vouées à l’échec et ne peuvent que conduire la totalité sociale souveraine de la nation commune au chaos sempiternel. D’où la résistance à toute épreuve reste la voie citoyenne de faire pièces.

 Le respect du droit de chacun, la reconnaissance de chaque différence, dans son originalité absolue à l’intérieure de l’égalité de tous, dans une nation une et indivisible réconciliée avec elle-même, est la solution à toutes les crises sociales. Donc le citoyen ivoirien doit être Méthodique dans sa lutte citoyenne, si elle vise la libération de l’engrenage des griffes de l’arbitraire. Chaque situation doit avoir son jeu politique conforme à cette situation dans la lutte, en poussant ses pions au vu et au su de l’arbitraire, pour que la victoire soit plus claire. Une force politique mal utiliser ne gagne pas. L’unijambiste ne gagne pas en politique ou chaque situation a ses réalité distinctes des autres, et l’ivoirien ne doit pas se taire tant que l’essentiel sociétal est enjeu, l’ivoirien ne doit pas rester statique ou inerte tant que la société est mal piloté. Oui, L’ivoirien ne doit pas se leurrer dans la lutte, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par la voie politique consensuelle, que par la réconciliation nationale, que par la paix des cœurs et des esprits. C’est dans l’intérêt de tous les citoyens que de lutter pour la libération des droits et des libertés. La côte d’ivoire ne doit pas entrer dans une chambre à gaz du monarchisme criminel et mafieux, préconstruite par un système politique. Bravo ! Citoyen pour le 06 mars 2021. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*-De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

Partager cet article
Repost0
20 mars 2021 6 20 /03 /mars /2021 01:19
Lepetitfils : Retenons qu’Alassane Ouattara est toujours balle au pied, dans le rôle de l’ailier de débordement, son avant-centre est sa copie conforme, le but de la monarchiste, n’est plus loin. Comme depuis 2010, il y a eu des morts très regrettables, et malheureusement, les morts très regrettables continueront jusqu’au but, qui consacrera la monarchie. La brigade d’acclamation et de soutien est prête, pour attester de la validité de la seule pièce justificative à défaut de l’originale. « Bon ! Il est de notoriété, qu’un peuple qui se noie n’a pas conscience du danger avant la phase terminale.

Lepetitfils : Retenons qu’Alassane Ouattara est toujours balle au pied, dans le rôle de l’ailier de débordement, son avant-centre est sa copie conforme, le but de la monarchiste, n’est plus loin. Comme depuis 2010, il y a eu des morts très regrettables, et malheureusement, les morts très regrettables continueront jusqu’au but, qui consacrera la monarchie. La brigade d’acclamation et de soutien est prête, pour attester de la validité de la seule pièce justificative à défaut de l’originale. « Bon ! Il est de notoriété, qu’un peuple qui se noie n’a pas conscience du danger avant la phase terminale.

*- «Un proverbe anti-parole mielleuse dit : Ce n’est pas là ou on est tombé, mais c’est bien là où on a trébuché».

1-Oui, faisons-le remarquer, nous, nous essayons à l’œuvre des politiques professionnels, nous n’œuvrons que dans la technique et le classique. Nous avons tiré le tocsin le 10 juin 2016, au moment du jeu glauque et visqueux de l’élaboration unilatéral d’une nouvelle constitution par Alassane Ouattara, dont les plus proches et ses techniciens rédacteurs convaincus, disaient unanimement, qu’il n’est pas être intéressé par un troisième mandat. Le président ne peut pas être candidat en 2020, la constitution ne le prévoit pas, ne le permet pas et lui-même ça ne l’intéresse pas.

Nous avions dit ceci : «Processus de l’élaboration d’une nouvelle constitution ? Condition d’éligibilité ? L’option de nationalité ? Troisième mandat présidentiel ? vice-présidence ? Etc. Attention ! Il y a danger ! Les dictatures pures et dures naissent la plupart des temps souvent avec la complicité d'une petite partie des peuples et sous l’aval d’une démocratie de façade. Oui, attention peuple ivoirien ton pays virer à une usine à gaz, anti-droit, anti-liberté, antidémocratique. Ton pays vire à l’état policier, à l’état paria, à l’état voyou, imposé progressivement au peuple. Avec la condition unique de la soumission seigneuriale ou la prison pour toute sorte d’opposition. De par l’élaboration d’une nouvelle constitution, ces bâtisseurs de dictature pure et dure, ces conciliateurs de la politique étatique, avec des affaires mafieuses, par les procédés d’escroqueries morales et intellectuelles, tiennent à leurs né-monarchisme hybride et débridé. Oui, ils pensent confisquer le pouvoir d’état dans ce néo-monarchisme hybride et débridé au terme de l’élaboration d’une nouvelle constitution pour asseoir définitivement une suprématie économico-sociopolitique. L’ambition secrète la voici, la confiscation du pouvoir d’état au terme de l’élection présidentielle de 2020, qui sera légalisée par des institutions vermoulues et imposée par les armes comme au terme de l’élection présidentielle 2010. Et cela dans un système ou l’état, le tout état accaparé et confisqué, mis au service de quelques-uns a pour seul but de faire d’un clan et d’une fratrie, des multimilliardaires grâce aux biens publics et au mépris de l’intérêt général, deviendra la règle légalisée juridiquement par un textuel né-monarchisme hybride et débridé. Oui, le Roi est prétendant à la conservation de sa couronne en 2020, pour régner, et y rester à vie et finir au pouvoir comme… Donc ses héritiers doivent par conséquent patienter et surtout apprendre à attendre en monarchie». Bon ! Nous ne sommes, ni prophète, ni prédicateur, ni devin, nous sommes de simples analystes politiques.  Mais au regard de la situation sociopolitique d’aujourd’hui, qui était la matière de nos analyses de juin 2016, avons-nous menti ? Non ! Pleine lucarne.

2-Voici ce que nous avons dit le 01 mars 2020, ou la situation de candidature à la présidentielle de 2020, était statique au RHDP. Amadou Gon Coulibaly n’était pas encore désigné candidat par Alassane Ouattara qui entretenait le flou. Dans une situation obscure qui présageait des dribbles et des buts contre les propres camps.

Nous avions dit ceci : «Nous assistons au mariage de l’eau avec le feu, soutenu par la bénédiction du grand Satan et du nébuleux diable, claudiquant tous les deux, chemin faisant vers une destination funeste, qu’on aime à dire de l’émergence. Une voie édictée par un renard libre dans le poulailler libre, par un renard hallucinant dans le poulailler halluciné, congratulant des coqs misérables de la basse-cour. Telles sont les images de la sphère politique ivoirienne et du processus électoral en prélude des élections de 2020. Tout cela devient crapuleux, quand on substitue au débat d’idée fut-il rude le cadenas-sage électoral, quand à la confrontation des arguments, on préfère les fausses accusations d’atteintes à la sûreté de l’état. Parait-t-il que c’est comme ça, qu’on ferme la bouche des gens, avec l’utilisation des poignards dans le dos dans l’anonymat des bas-fonds. Dès lors, plutôt que de convaincre, faire la politique se réduit à se saigner et à s’achever dans la fureur de l’hallali judiciaire. Et pire, même au sein du même clan des ripoux, bouffe-tout au pouvoir, quand on feint de se serrer les coudes, de s’échanger case contre séné, en réalité, ils investissent toutes leurs énergies dans de sadiques opérations destinées à s’entre-liquider mutuellement entre eux, autour de candidature héritière du monarque ploutocrate. Ici, faire la politique se trouve réduit ostensiblement au banditisme et à la voyoucratie. Ou celui qui tire le premier a déclenché les hostilités mortifères, et celui qui tire le dernier coup à gagner. C’est en réalité la démocratie réelle universelle et la république républicaine, qui prennent tout un coup. Voilà les images des actions théâtrales de notre arène politique préélectorale de 2020. La logique de l’exercice politique banditisé du pouvoir d’Alassane Ouattara et son système de gouvernement du voyoutisme politique, inscrivent la politique dans ce schéma de comportement de bandes criminelles dans une foire. Ici, la politique, ce noble Art, perd sa noblesse». Ces dires n’acquièrent-t-ils pas le statut de prémonition aujourd’hui ? Puisque 2 des putatifs héritiers d’alors manques douloureusement a jamais à l’appel du devoir. Et 2 autres putatifs héritiers sérieusement à l’infirmerie depuis des mois en Europe dont 1 a été refoulé chez Bakayoko et le tocard non-soupçonné en pole position. Pleine Lucarne !   

3- Et Voici ce que nous avons redit le 07-Mars 2020  après l’annonce d’Alassane Ouattara, le 05 mars devant les 352 parlementaires réunis en Congrès dans l’amphithéâtre de la Fondation Félix Houphouët-Boigny à Yamoussoukro, avec le monde entier en témoin d’honneur, qu’il ne serait pas candidat à l’élection présidentielle de 2020. Amadou Gon Coulibaly n’était pas encore désigné candidat par Alassane Ouattara:  

Nous avions dit ceci : «Alassane Ouattara balle au pied, 2020 sent le but de la Main-de-Dieu- Oui, le président du R-?-DP, Alassane Ouattara à déclarer: « Je voudrais vous annoncer solennellement que j'ai décidé de ne pas être candidat à l’élection présidentielle de 2020 ».  C’est bien dit ! Mais ici au lieu de se plaire pour des formalités de Félicitations élyséenne et des salutations intéressées de partout, le mieux c’est de regarder dans le schéma de succession goupillé dans les normes juridiques. Ou les prétendants à l’héritage du monarque, ils sont 5 pistoleros impénitent, fulminatoires, trameurs, outrageux, ils ont tous leurs Noms qui commencent par : A. pourvu que ça ne se termine pas par un : Z. poussiéreux un matin. Bon ! La personne physique de l’homme politique, que nous pouvons respecter, n’est pas notre problème, Non ! Mais nous connaissons le système ploutocratique monarchiste Alassanéen, qui se nourri de mensonge d’état. Ce système a seulement besoin d’une marionnette comme interface d’Alassane, qui ne va partir nulle part. Bon ! Au surplus Ici c’est la « décision » peut-être personnelle d’Alassane Ouattara. Mais quelle est la décision de ses bouffes-tout ? Personne n’est dupe en côte d’ivoire. Ses bouffe-tout d’Abidjan feront théâtralement appel à leur brave-tchê, dès que l’attelage infernal Bédié-Gbagbo serait confirmé candidat du PDCI  et du FPI soutenu par leurs Alliés, c’est du classique pour le banditisme politique et la voyoucratie archaïque mafieuse. C’est simple que de dire: je ne voulais plus, mais le « peuple » m’appelle au secours, je ne sais comment refuser l’appel du « peuple ». Eh bien oui ! Applaudissez ! Le Mensonge et la volte-face ne tue pas au R-?-DP». Ces dires aussi, n’acquièrent-t-ils pas le statut de prémonition aujourd’hui ? Puisque, non seulement Alassane Ouattara a été candidat, mais il est passé en force au mépris de tout et en dépit des réalités pour rester président. Au motif a-t-il allégué que : « je veux prendre le temps d’achever de préparer la relève. Il faut que je mets une équipe en place ». Oui, comme la pléthorique de cadres formé par la France et par Félix Houphouët Boigny jusqu’en Septembre 2002, ne sont pas capable d’assurer la relève du pouvoir d’Alassane Ouattara, et comme Alassane Ouattara, l’entends. La côte d’ivoire s’est trouver rabaissée, apetissée et insultée par un négationniste mégalomane. Pleine lucarne !

4- Voici ce que nous avons dit le 17 Avril 2020 : Amadou Gon Coulibaly était désigné candidat par Alassane Ouattara:

Nous avions dit ceci : «La seule chose qui préoccupe Alassane Ouattara, reste la conservation absolu de la couronne dans le clan, c’est une nécessité majeure pour « Dieu le grand », bien qu’annoncé partant, il ne va nulle part, donc il s’efforce de balisé avec son emprise despotique, le passage du prince héritier désigné, une pullule succédané, pas peut-être trop amère en temps normal aux yeux du peuple ivoirien, parce que supposé connaitre la société ivoirienne à la perfection, ce qui est l’une des conditions indispensable pour mieux gouverner un peuple multi-social. Mais ici l’héritier désigné est tributaire des casseroles puantes, peu catholique, et peut être auquel héritier, il va falloir désarticuler, le système antisocial, anti-droit et mafieux de « Dieu le grand », qui a manifestement achevé de mettre en place sa Fabrique de succession goupillée et rafistolée dans des normes juridiques contraire au droit réel, pour schématisé une succession à Rotation Cyclique. Une Fabrique de succession goupillée et rafistolée dont le schéma proscrit toute élection réellement démocratique et pluraliste, avec des conditions consensuelles d’organisation de ces  élections démocratiques pluralistes en 2020. Sans oublier que l’héritier est tiré au sort dans un lot, de 5 prétendants à l’héritage du monarque, les 5 pistoleros impénitent, fulminatoires, trameurs, outrageux, ont tous leurs Noms qui commencent par : A. pourvu que ça ne se termine pas par un : Z. poussiéreux un matin. Ou celui qui tire le premier a déclenché les hostilités mortifères, et celui qui tire le dernier coup à gagner la cagnotte». Ces dires aussi, n’acquièrent-t-ils pas le statut de prémonition aujourd’hui ? Ou les 5-A ne restent plus que 3-A ?  Ce sont des tirs en pleines lucarnes, avec aucune possibilité de déviation par la monarchie d’Alassane Ouattara. Bon ! À vrai dire ce n’étaient pas des prémonitions mais des analyses scientifiques doctes et esthètes d’intérêts publics indiquant un danger sociétal réel. Nous, nous essayons a l’œuvres des politiques professionnels, qui analysent en s’oubliant soi-même et ses intérêts du moment.

5- Oui, pour nous, la démocratie se nourrit de débats politiques et d’analyse sociopolitiques. Ici la question de l’évaluation de l’action sociopolitique d’un homme politique ou d’un groupe politique, est motiver et liée au transfert éventuel sur le terrain de cette analyse, par le biais de normes consensuelles élaborées dans une situation épurée, par des acteurs politiques et des citoyens participants sans responsabilités publiques effectives, le tout par rapport à une situation sociopolitique donnée. Les analyses politiques ne sont pas des insultes individuelles, ils ne doivent pas être criminalisés en démocratie, dans le débat démocratique. Parce que le métier politique consiste en partie pour nous, à saisir le moment favorable pour soulever un problème sociopolitique. Quand bien même ce problème existait avant et existe dans la réalité, ne l’oublions pas, sans quoi la politique ne serait que du vent à pomper aux honnêtes citoyens et l’orchestration de mensonges éhontés. Donc le problème n’est pas de s’écrier en ventilant des anathèmes et des excommunications sociopolitiques, par ce qu’un citoyen a écrit qu’Alassane Ouattara œuvre a la matérialisation d’un néo-monarchisme débridé, et d’une ploutocratie qui vise, à faire de quelques-uns d’un clan ou d’une fratrie des multimilliardaires grâce au vol de biens publics, mais la question est de chercher à savoir si les actions d’Alassane Ouattara s’inscrivent, ou pas, dans le schéma décrit par l’analyse, et d’apporter une réponse contradictoire par les moyens du même support de communication initiale décriée.

Ici nous sommes dans l’ordre du public gouverné par des droits inaliénables de tout citoyen universellement prescrits dans des normes juridiques internationales. Donc qu’on le veuille ou non, qu’on l’exprime ou non, l’analyse est forcément normative, elle nécessite donc l’explicitation d’un modèle référentiel, celui des pratiques politiques, dans leurs effets sociopolitiques, dans leurs conséquences sociétales, dans leurs impacts sur la perspectives d’Avenir de la totalité sociale souveraine. Et Analyser une pratique sociopolitique et un exercice gouvernemental, c’est se pencher sur un événement déjà accompli, dans une perspective d’évaluation, puis éventuellement participer à son amélioration. Oui, l’animateur de l’analyse sociopolitique d’intérêt public a alors deux préoccupations légitimes, apporter ou conforter des connaissances universelles, permettre à la totalité sociale souveraines de comprendre les déterminants d’une situation sociopolitique complexe à l’extrême. Cela ne va pas sans la capacité de se regarder dans un miroir et sans la vérité crue et nue. Parce que toute analyse nécessite l’explicitation d’une grille de faits et d’actions, qui permet cette opération, le sentiment personnel et la partisannerie n’ont de place là. Oui, il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. «Donc bien joué et pleine lucarne». Mais, de même qu’il est difficile de comprendre un joueur sur le terrain, surtout Diégo Maradona en quête de but de la Main-Dieu, nous savons qu’il est difficile de nous comprendre, de nous cerner, aussi. Mais retenons qu’Alassane Ouattara est toujours balle au pied, dans le rôle de l’ailier de débordement, son avant-centre est sa copie conforme, le but de la monarchiste, n’est plus loin. Comme depuis 2010, il y a eu des morts très regrettables, et malheureusement, les morts très regrettables continueront jusqu’au but, qui consacrera la monarchie totale et achevée. La brigade d’acclamation et de soutien est totalement prête, pour attester de la validité de la seule pièce justificative à défaut de l’originale. « Bon ! Il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie n’a pas conscience du danger mortel avant la phase terminale. Il y a le feu à la maison ivoire, il y a péril à  bord du navire ivoire et personne ne viendra y remédier en dehors du citoyen ivoirien.» Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile)

Partager cet article
Repost0
17 mars 2021 3 17 /03 /mars /2021 12:59
Lepetitfils : L’homme n’a jamais été un grand «lettré» dit-t-on, mais en intellectuel achevé, il a su forger son destin en usant de son intellect, à l’image de l’art de ses ancêtres forgerons. «La politique pratiquée en CÔTE D’IVOIRE, elle est cynique» est à méditer. BON ! CHAQUE HOMME SUR TERRE MOURA UN JOUR. DEVANCE !!!

Lepetitfils : L’homme n’a jamais été un grand «lettré» dit-t-on, mais en intellectuel achevé, il a su forger son destin en usant de son intellect, à l’image de l’art de ses ancêtres forgerons. «La politique pratiquée en CÔTE D’IVOIRE, elle est cynique» est à méditer. BON ! CHAQUE HOMME SUR TERRE MOURA UN JOUR. DEVANCE !!!

*- (REPRIS DANS LA PRESSE IVOIRIENNE)

 « COMMANDANT viens ici et assis-toi à mes côtés. Tiens ! Je te confie mes enfants et ma famille. Je n'ai pas eu de remède à mon mal.

J'ai voulu parler au Président ALASSANE OUATTARA au téléphone, mais impossible. Hier, j'ai appelé toute la journée, je l'ai écrit et c'est vers le soir qu'il m'a répondu et a promis de me rappeler ce matin, mais il ne l'a pas fait .

Je voulais lui parler avant que ma voix ne disparaisse. COMMANDANT, dites à mes enfants d'éviter la POLITIQUE, de s'éloigner de la POLITIQUE et de fuir la POLITIQUE.

La POLITIQUE n'est pas mauvaise en soi , mais t'elle qu'elle est pratiquée en CÔTE D'IVOIRE , elle est cynique .
Dites à AMON TANOH et MABRI TOIKEUSSE que je les avais confiés un PROJET et si le PROJET abouti, qu'il déverse ma PART à mon PÈRE et à ma FEMME YOLANDE.

Dites au PRÉSIDENT LAURENT GBAGBO que j'avais accusé réception de son COURRIER et j'étais en phase d'examen quand je suis tombé malade. Je regrette de n'avoir pas pu l'achever, qu'il prenne contact avec PATRICK ACHI , SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE LA PRÉSIDENCE pour sa finalisation.

J'avais envoyé un E-MAIL au PREMIER MINISTRE GUILLAUME KIGBAFORI SORO hier, il avait accusé réception et m'avait promis son expertise dès son retour car il était en déplacement pour BRUXELLES .

Dites à SORO GUILLAUME que je compte sur lui et qu'il doit désormais travailler avec mon ÉPOUSE pour la finalisation de ce document de 16 pages que je lui ai transmis par MAIL.

COMMANDANT , une fois à ABIDJAN, payez tous vos HOMMES qui assuraient ma PROTECTION car je leur avais promis de PAYER le mois D'AVRIL prochain à partir du 20 MARS pour leur permettre de DÉBUTER le mois de RAMADAN dans les meilleurs CONDITIONS.

Dites leur merci pour ma part , pour l'ultime sacrifice qu'ils ont consentis dans ma protection et qu'ils veuillent me PARDONNER si un jour , par NERVOSITÉ , j'ai eu a crier sur un seul d'entre eux.

COMMANDANT, une fois à ABIDJAN, dites au PRÉSIDENT ALASSANE OUATTARA qu'il m'avait confié les DOSSIERS de L'ONUCI et de la FORCE LICORNE FRANÇAISE, je n'ai pas pu commencer leur traitement car j'étais tombé malade.

Mais par RESPECT pour sa personne, je n'ai pas voulu non plus les confier à ma SECRÉTAIRE car le CONTENU était CONFIDENTIEL et SECRET.

J'avais tout de même pris le soin de les garder dans mon ORDINATEUR portatif et j'ai transmis une copie dans sa boîte...»

*- (REPRIS DANS LA PRESSE IVOIRIENNE). Source : PDCI tv

Partager cet article
Repost0
9 mars 2021 2 09 /03 /mars /2021 01:22
Lepetitfils : A vrai dire pour cette élections législatives nous avions énormément crue, que l’opposition ivoirienne allait s’en sortir avec plus de 130 députés, dont le premier travail d’ordre public et d’intérêt général, allait être de bloqué toute nomination d’un vice-président illégal et illégitime proposé par un président de la république de forfaiture lui-même illégitime et illégal. Mais hélas ! C’est lamentablement perdu cette fois, mais pas pour toujours, en tirer les leçons est l’essentiel. La lutte continue…

Lepetitfils : A vrai dire pour cette élections législatives nous avions énormément crue, que l’opposition ivoirienne allait s’en sortir avec plus de 130 députés, dont le premier travail d’ordre public et d’intérêt général, allait être de bloqué toute nomination d’un vice-président illégal et illégitime proposé par un président de la république de forfaiture lui-même illégitime et illégal. Mais hélas ! C’est lamentablement perdu cette fois, mais pas pour toujours, en tirer les leçons est l’essentiel. La lutte continue…

*- Qui vivra verra !

 

Bon ! Ça y est c’est fait, Alassane Ouattara a fini avec les élections législatives téléguidées du 06 Mars d’avoir sa majorité parlementaire. Le kidnapping est très bien réussi, par l’ébauche de la mise en place de sa béquille des institutions vermoulues sur lesquelles il va s’appuyer pour dictée son bon vouloir a la côte d’ivoire de Félix  Houphouët Boigny, à laquelle un Rassemblement vampirique de sangsues mafieux va imposer tous ses travers politiques au nom d’une pseudo légitimité démocratique et au nom d’une farfelue légalité textuelle. Une majorité qui ne songera qu'à  soutenir son monarque, duquel dépend leur carrière et leur prospérité future. Un monarque enfermé dans sa tour d’ivoire, entouré de ses courtisans, qui ne saisira plus jamais l’ampleur du désamour des citoyens authentiquement ivoiriens à son égard. parce qu’il est maintenant sans doute convaincu avec ces élections législatives du 06 mars 2021, qui a valider sa forfaiture du 31 octobres 2020, que ce sont les autres citoyens ataviques qui sont le mal incarner. Et qu’il peut maintenant accuser l’opposition de vouloir renverser son pseudo pouvoir. Oui, c’est fait, la côte d’ivoire s’est encore permis de perdre à nouveau cinq ans de vie, cinq ans de droits, cinq ans de libertés. Avec les législatives, le chemin fait dans le béton de l’arbitraire s’est rallongé de 5 ans. Oui l’enjeu pour nous de cette élection législative était d’en sortir largement majoritaire, et d’ainsi avoir un outil institutionnel de contrepoids, pour contrecarré l’instauration d’une monarchie en ébauche, et aussi de pouvoir ajouter une autre corde à l’arc de la lutte contre le troisième mandat d’Alassane Ouattara. Mais hélas ! C’est lamentablement perdu cette fois, mais pas pour toujours, en tirer les leçons est l’essentiel.

 

Ici, on ne peut pas regarder les élections législatives du 06 mars 2021 avec les yeux simplement. On ne pourra comprendre ce qui s’est passé le 06 mars 2021, si l’on ne saisit pas bien la grande désillusion de l’électorat devant la prestation politique de la grande coalition de l’opposition aux cours de la présidentielle du 31 octobre 2020. Ou les incohérences n’ont pas manqué. Ou on a souvent laissé la proie pour l’ombre, le tout direct pour le lamentablement contourner. A peine sortie d’une lutte anti-troisième mandat que le peuple voulait continuelle, nous avons craint a l’idée d’aller aux élections législative, en doutant que le peuple qui tenait à son combat contre le troisième mandat d’Alassane Ouattara, ne suivra pas, avant de nous raviver par discipline et par solidarité qui sied à la lutte, qui nous est imposée. Oui, nous l’avons déjà dit, le pire des dangers publics pour une nation sous une dictature hermétique et en crise, est que, le peuple souverain martyrisé peut laisser par dégoût, par désintérêt, une dictature prospérer sans la cautionner et surtout en vomissant cette dictature. Le peuple ivoirien est dégouté, du pouvoir d’Alassane. L’abstention des citoyens au terme des élections est son signe.

 

Donc la spécificité de la crise actuelle exige de l’opposition de faire la différence entre la lutte de libération de l’engrenage des griffes d’un arbitraire et la lutte de conquête du pouvoir d’état. La lutte y gagnera et une fois les droits libérés et les libertés réacquises, le reste aura sa période. Mais pour l’instant ton-pied, mon-pied doit être la règle de lutte continue dans le temps, face au système monarchiste, absolutiste d’Alassane Ouattara. Ici l’intelligentsia ivoirienne est astreinte à un rôle pédagogique en appoint des actions d’éducation de la masse des hommes politiques. Et une lutte engagée pour les droits doit être soldé par ces droits acquis. Oui, tant que la lutte citoyenne ivoirienne pour les droits bafoués et pour les libertés confisquées n’aura pas la même couleur que celle de la Grèce, que celle du Venezuela, que celle de l’Algérie, que celle du Mali de 1991, que celle du Soudan, la côte d’ivoire ne s’en sortira pas. Tant que l’arrestation des hommes politiques de l’opposition ne provoquera pas les mêmes réactions que celle de la Russie, que celle de la Birmanie, que celle du Sénégal, l’arbitraire continuera en côte d’ivoire. Et la monarchie ploutocratique aura trouvé son socle fertile pour une gouvernance vampirique.

 

Nous disons a tous les partis politiques de l’opposition engager dans la recherche inlassable et parfois ingrate de paix sociopolitique dans un état normal. Que nous avons suivi avec une grande attention le déroulement des dernières élections législatives du 6 mars 2021 auxquelles vous étiez candidats, nous avons souvent donné de la voix en appoint à vos labeurs. Donc c’est avec regret que nous pris connaissance des résultats. Surpris de cet échec, dans l’objectif initial de 130 députés au moins, nous sommes d’autant plus déçus, qu’il nous semblait que vos propositions étaient les plus à même de répondre à nos besoins et au besoin de la côte d’ivoire défigurée en crise. Le courage et la ténacité dont vous avez fait preuve dans la défense de vos opinions, de nos convictions sont tout à votre honneur. Puisque le péril que vous voulez éviter est national, il s’agit de la côte d’ivoire en péril, donc sachez que nous sommes dans le même bateau ivoire et que vous trouverez toujours en nos personnes des appoints dans cette lutte, des soutiens sans faille lors des prochaines batailles politiques et des échéances électorales. D’ici là, ensemble, à vos côtés, nous ne manquerons pas de jouer le rôle d’Appoint si nécessaire. Félix Houphouët Boigny notre réfèrent éternel a dit que découragement n’est pas ivoirien. L’ivoirien doit donc osé être et rester lui-même, en conjuguant tous les registres de la lutte d’émancipation citoyenne. Pour que le bateau du progrès social intégral, de l’harmonie communautaire retrouvée, de la paix sociale pérenne restaurée, reprend la voie royale universelle, vers la lumière du développement social, économique et politique, voulue par Félix Houphouët Boigny .

 

Le progrès social intégral destinée à rendre la raison, à l’ordre social, à l’intérêt général, à la nécessité populaire du dialogue social, dans une nation une et indivisible garantissant, droits, libertés, justice juridique et sociale pour tous. Pour un exercice éclairci du noble art politique, sous la gouvernance des principes de la démocratie participative, des élections consensuelles pluralistes,  de la citoyenneté commune, qui permettent de gérer politiquement dans notre pays en crise sociale aiguë, résultante d’une guerre d’agression. L’ivoirien doit redéfinir donc la notion de nation une et indivisible garantissant droits, libertés, justice juridique et sociale pour tous et la notion de démocratie dans un sens universaliste, comme la patrie de la citoyenneté commune, du vivre en commun de partage, qui sont le moteur et au départ de la stabilité sociopolitique et de la citoyenne commune qui permet de gérer politiquement: redéfinir la notion de nation qui fait du respect de tous les aspects de la vie humaine régie par les valeurs que l’humanité s’est donner, la valeur fondamentale, sur laquelle doit être construite toute société, toute politique, toute économie, tout développement, toute relation entre citoyens ivoiriens, entre personnes d’origines diverses et toute relation entre nations, est un devoir absolu, pour tout ivoirien, pour tout citoyen et pour tout homme de vouloir cette nation au mépris des risque et des écueils. Le combat a certes pris un plomb dans l’ail en plein vol «absence de majorité parlementaire contraignante», mais le crash n’aura pas lieu, le deux pilotes sont d’expérience certaine, le combat pour les droits doit/va continuer.  

 

(« A vrai dire pour cette élections législatives nous avions énormément crue, nous avions mêmes parier sur quelques milliers d'Euros, que l’opposition ivoirienne allait s’en sortir avec plus de 130 députés, dont le premier travail d’ordre public et d’intérêt général, allait être de bloqué toute nomination d’un vice-président illégal et illégitime proposé par un président de la république de forfaiture lui-même illégitime et illégal, nous avions perdu et le gagnant nous dit je vous laisse mon gain, nous lui avons répondu que nous n’avons pas besoin de pitié, que parce que tout ce qu’un homme politique reçois par pitié, signe son arrêt de mort politique, donc que sa cagnotte était à sa disposition. Nous avions voulu recourir au président Sarkozy, puisque notre Marigot est confisqué, mais sa condamnation de trois « 3 » avec 1 an dit fermement, ferme, nous a couper l’herbe sous nos intentions »).

 

Bon ! Revenons-en. Quoi qu’il en soit et malgré tout, au terme de cette élection législative Agboville «de nos enfances 80-86 du vieux père Offoumou», nous a rassurer que la politique au-delà de toute autre considération est un concours de représentativité, qui ne se mesure pas au prisme du bien matériel ou à l’aune des Brouhahas de la foule que l’on peut drainer derrière soi, ou dans ses meetings. Mais par sa capacité de convaincre au-delà de l’exhibitionnisme du bien matériel, par sa capacité persuasive reconnue du peule à anticiper les perspectives d’avenir de la totalité sociale souveraine dans le temps avec un self-control à la limite de l’humainement admissible. Mais aussi, la politique n’en demeure pas moins un noble art, dont les meilleurs ne sont pas souvent les vainqueurs. Les politologues avertis savent, que très souvent en politique, là où on attend des colombes sortir des urnes électorales, ce sont des crabes poilus souvent issus de trucages électoraux, qui en sortent. A Agboville, nous avons vues ventilé sur la quasi-totalité des réseaux sociaux, un procès-verbal de bureau de vote qui montre ostensiblement un nombre de 21 électeurs votants qui est devenue 211 votants pour que le candidat bénéficiaire prenne la tête des votes de ce bureau. Bravo ! Agboville. Il y avait matière, puisque la vérité démasque le mensonge, et l’ivraie n’a aucun pouvoir de résister au vraie, la lumière traverse l’obscurantisme. Cela nous a rappelé les élections présidentielles de 2010 dont le pouvoir d’Alassane Ouattara est ressortissant.

 

Donc nous disons a tous ceux, qui de par leur appartenance biologique, communautaire, ethnique, idéologique, philosophique, religieuse, ont été montés les uns contre les autres, pour mieux leur cacher leur ennemi commun, qu’est la monarchie criminelle et dictatoriale d’Alassane Ouattara et ses vampires sangsues, qui profitent de la dégénérescence sociale et abusent de nos biens publics, massacres nos citoyens ou se fait complices des criminels contre l’humanité. Et leur tyrannie des intérêts personnels des exploiteurs de la misère de ceux qui font leurs fortunes maculées de sang citoyen et imbibée de larmes d’orphelins de pères et/ou de mères. Oui, Nous disons a tous ce monde qu’une ligue citoyenne continue pour le droit, la liberté, la démocratie et la paix pérenne s’impose à nous tous, fiers ivoiriens, qui ont le devoir infaillibles de répondre à l’appel de la parie prise en otage par le système d’absolutisme criminel de la monarchie d’Alassane Ouattara. D’autre occasion de lutter s’offrira à nous, parce que les fausses promesses électorales suscitent des espoirs irréalistes qui risquent de provoquer une déception populaire, et qui sait, une révolte populaire. Au fond, le courage de combattre le mensonge d’état montre le chemin du pouvoir. Et surtout la monarchie n’est pas à l’ abri d’une révolution de palais royal, ou le système monarchiste hybride et débridé avec son socle politique, antisocial, anti-droit, inhumain, et mafieux du monarque «Dieu le grand», qui a manifestement achevé de mettre en place sa Fabrique de succession Goupillée et Rafistolée, dans une stratégie d’entre-liquidation dans les baffons silencieux de l’anonymat, bien schématisé avec maestria, pour une succession à Rotation Cyclique.

 

Cette criminelle et silencieuse Fabrique de succession goupillée et rafistolée de la camarilla guérilléros, est devenue extrêmement liquidateur de façon insidieuse, a la recherche effrénée d’une ploutocratie avec la richesse de l’argent de la guerre. C’est pourquoi nous avons souligné en fin 2019 et début 2020 précisément le 1er Mars , il y a plus d’un An, qu’ici, et pour cette cantonade que faire la politique se trouve réduit ostensiblement au banditisme et à la voyoucratie, comme dans les célèbres Westerns du Mexique, ou la bataille se résume aux dribles mortels et aux tirs sporadiques entre les Amigos ! D’où le bon partage est souvent «Tout pour moi et rien pour les autres». D’où celui qui tire le premier a déclenché les hostilités mortifères, et celui qui tire le dernier coup à gagner la cagnotte. Hélas ! Sous l’idéal de se bon partage, «Tout pour moi et ma fratrie, rien pour les autres», ça déjà senti très mauvais par Là-bas, ça sent toujours mauvais Là-bas ! Et ça risque de continuer de sentir très mauvais Là-bas. Tout pouvoir par les armes et assis uniquement sur la force des armes, est un monstre ambulant qui mange sa cantonade jusqu’au dernier qui ne doit rien devoir au reste résiduel de la cantonade. Le processus sournois et exterminateur a pris son chemin en faisant déjà de grands dégâts et chemin faisant les dégâts seront incommensurable. Nous y sommes, et le processus est par nature irréversible. Oui,  qui vivra verra ! Bravo ! Aux nouveaux élus députés de l’opposition, Bravo ! Aux citoyens votants, Bravo ! Au peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état, Bravo aux gyroscopes pour avoir donné de la voix, en appoint aux candidats, de l’opposition, Bravo ! À toutes et tous. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*-De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

Partager cet article
Repost0
27 février 2021 6 27 /02 /février /2021 01:23
Lepetitfils : Le pouvoir d’Alassane n’est pas un pouvoir programmatique, ou réside l’assurance qu’une majorité parlementaire œuvrera à la réalisation d’un programme, d'un projet futur structuré, ou de l’anticipation d’un avenir meilleur dans le temps. Non ! C’est un pouvoir personnel d'influence psychologique et de puissance, pour faire ce qui est bon pour soi-même, sans demander l’autorisation à quelqu’un. Or tous les pouvoirs ne doivent pas être réunis chez une même personne ou GROUPE de personnes sinon le risque est grand qu’ils le confisquent à des fins personnelles.

Lepetitfils : Le pouvoir d’Alassane n’est pas un pouvoir programmatique, ou réside l’assurance qu’une majorité parlementaire œuvrera à la réalisation d’un programme, d'un projet futur structuré, ou de l’anticipation d’un avenir meilleur dans le temps. Non ! C’est un pouvoir personnel d'influence psychologique et de puissance, pour faire ce qui est bon pour soi-même, sans demander l’autorisation à quelqu’un. Or tous les pouvoirs ne doivent pas être réunis chez une même personne ou GROUPE de personnes sinon le risque est grand qu’ils le confisquent à des fins personnelles.

*- les plus de 120 Morts du 3e mandat exigent de Voter contre l’assassin RHDP.

«CITOYEN !  LIRE INTEGRALEMENT CE QUI SUIT ET PORTE LE DANS LES URNES DES LEGISLATIVES». Oui, disons-le, si le peuple ivoirien tient à instaurer une société fondatrice d’un ordre sociopolitique nouveau, respectueux des droits, il doit voter contre les candidats qui font ostensiblement campagne au Nom d’Alassane Ouattara et pour servir Alassane Ouattara. Un député à la solde du pouvoir exécutif, est le monde institutionnel en l’envers. Dans un état républicain de droit, les règles de la séparation des pouvoirs veulent que ; La fonction d’édiction des règles générales constitue la fonction législative «pouvoir législatif». La fonction d’exécution de ces règles relève de la fonction exécutive «pouvoir exécutif». La fonction de règlement des litiges constitue la fonction juridictionnelle «pouvoir judiciaire». Et quand ces trois «3» pouvoirs sont contrôlé par la même personne c’est ce qu’on appelle la dictature pure et dure. Et tant que les citoyens ordinaires seront ainsi mal représentés dans le système institutionnel étatique, parce que leurs élus détenteurs du pouvoir législatif, sont uniquement aux services d’un monarque du pouvoir exécutif, qui sombre dans l’absolutisme, ils ne pourront pas profiter des fruits de l’institutionnalisation de la société commune, de la richesse de l’organisation sociale de leur pays, des retombées de l’organisation politique et sociale de leur société.

Ouattara n’est pas le peuple a représenté au sein des institutions de gestions étatiques. Les candidats suppôt d’Alassane Ouattara ne sont que des citoyens vaches, qui n’ont besoin que de manger, auprès d’Alassane Ouattara. Donc qui ne seront jamais un rival régulateur face à Ouattara, détenteur par accaparement du pouvoir exécutif, ni un contrepoids  crédible à la politique d’Alassane possédant du pouvoir exécutif  par rapport aux fortunes qu’ils amassent sur le dos du peuple souverain, qui est son électeur mandant. Citoyen ! Vote contre Ouattara, vote pour la côte d’ivoire, vote la Vie. La séparation des pouvoirs et l’équilibre des forces sociales, montrent la voie universelle légale et  coutumière de l’exercice du pouvoir d’état, dans le concert des nations civilisées, et elles atténuent les éléments potentiels de conflits, et de différents dans la société composite, et lubrifie les mécanismes des rapports sociopolitiques afin de garantir la paix sociale nationale et la paix internationale. Toute action qui transcende les grands principes universels de régulation sociale, que le principe de la séparation des pouvoir est gardien, est le frère jumeau de la violence de masse et des conflits armés.

Hélas ! Depuis 2011, la côte d’ivoire est logée dans la bicoque des états voyous, des états parias et des états policiers, dans le concert des nations civilisées, du fait de voir piétinée à souhait et a volonté par un homme, Alassane Ouattara tous les principes édictés par l’humanité pour la paix. Le dernier viol des principes date du 31 octobre 2020 avec à la clé plus 150 Morts et plus de 500 Blessés graves. Oui, le pouvoir grognon, fulminatoire, outrancier d’Alassane Ouattara, est une inconsciente couillonnade des 18-19 septembre 2002, un péril catastrophique pour la stabilité sociopolitique et pour la paix sociale, une ânerie de système anti-droit, une honte pour le monde civilisé, une conception archaïque de la morale Humaine, une mytho-maniaque voie pour l’Animalisation de l’ivoirien qui ne doit avoir besoin que de manger pour vivre. Oui, un homme digne d’être député est celui qui serait porte-parole du peuple, et qui transporterait une voix, qui loin d’être la sienne uniquement, s’identifie à ce que les citoyens veulent et à ce que la volonté générale exprime, du bas vers le haut, au mépris de la volonté du pouvoir exécutif détenu par Alassane Ouattara.

Oui un homme qui serait mandant «député» du peuple dans les institutions, et chargé de parler aux autres pouvoirs institutionnels au nom de la volonté générale du peuple, doit pouvoir dire, un Non catégorique au pouvoir exécutif. Et cela sans courbette, sans génuflexion, sans prosternation, sans manipulation et sans fabriques politicienne, pour se positionner au bout des veines nourricières de la société commune. Ou pour permettre à un homme de diriger par ordonnance comme un monarque ubuesque du golf arabique. Dire non ! Parce qu’ils se sentent «ces élus» redevables aux citoyens électeurs représentés. Mais ici les candidats qui font ostensiblement campagne au Nom d’Alassane Ouattara et pour servir Alassane Ouattara, une fois élus députés, ne seront redevable de compte qu’a Alassane Ouattara. Donc que le citoyen électeur mandant, va se faire foutre en enfer. Donc voter les candidats qui font ostensiblement campagne au Nom d’Alassane Ouattara et pour servir Alassane Ouattara, c’est soutenir une pratique sociopolitique euthanasiste de destruction sociale, et de s’inscrire sur le registre des fossoyeurs de la démocratie, de musellement de toutes opinions dissidentes régulatrices, face à l’arbitraire du pouvoir exécutif.

*- Alassane doit-il avoir droit de vie et de mort sur nous ? Non ! Vote contre RHDP support du 3e mandat.

Oui, voter les candidats qui font ostensiblement campagne au Nom d’Alassane Ouattara et pour servir Alassane Ouattara, c’est adhérer au principe d’un pouvoir euthanasiste issu d’un système vampirique incontrôlable et ultralibéral de jungle, qui ne pense qu’à japper aux mollets de toutes contradictions politique et a planté des coups de poignards dans le dos de la démocratie et de l’état de droit. «Oui, Toi, fichu citoyen tu me votes pour que je sers Alassane Ouattara, point». Ici le contrepoids de séparation des pouvoirs qui plaide pour que chacun des trois «3» pouvoir soient exercés par des hommes distincts, indépendants les uns des autres, tant par leur mode de désignation, que par leur fonctionnement institutionnels doit sortir des urnes des législatives. Pour que Chacun de ces organes étatiques devient ainsi l’un des trois pouvoirs institutionnels indépendants: le pouvoir législatif exercé par des assemblées représentatives. Le pouvoir exécutif détenu par le chef de l’État et les membres du Gouvernement. Le pouvoir judiciaire, enfin, revient aux juridictions. Ceci est le mécanisme universel d’un état démocratique républicain de droit.

Oui citoyen ivoirien ! ne vote pas les candidats monarchistes d’Alassane Ouattara. Ce ne sont que des vaches qui ne demandent qu’à manger auprès de leurs maitre Ouattara. Vote plutôt les candidats qui peuvent être un contrepoids dans le système institutionnel et capables de défendre, tes droits inaliénables face au pouvoir exécutif d’état. Le monde civilisé t’attend-là, le monde démocratique t’observe-là. Citoyen ivoirien ! L’ambition de ces candidats manges-mils, est de servir Alassane Ouattara au mépris de tes intérêts et en dépits du besoin criant de régulation systémique et de régulation sociopolitique, par le rapport de force institutionnel dans la gestion de la nation «pouvoir législatif et pouvoir exécutif». Ces candidats manges-mils, veulent uniquement que, Ouattara, arriver à ses fins de renard libre dans le poulailler libre, en composant tous ses travers sociopolitiques, avec deux (2) chambres suivistes de députés, «Assemblée nationale et Senat», tous automates d’enregistrement de tous les desseins mortifères du, Ouattara-Land, cela au dédain de la totalité sociale souveraine de la nation.

Surtout desdits législateurs estampillés représentants du peuple souverain, qui pourront ainsi jeter tout l’organisation sociale ivoirienne au pied Alassane Ouattara, en le permettant de gouverner unilatéralement par ordonnance présidentielle. Au mépris des règles de la séparation des pouvoirs, qui marque une rupture avec les conceptions absolutistes, monarchiques de l'exercice de l'autorité légitime. La séparation des pouvoirs s’oppose à l'absolutisme, où l'ensemble des pouvoirs d’état sont concentrés entre les mains d’un monarque absolu. C’est pourquoi, elle se fonde sur l’indépendance autonomique de trois «3» pouvoir distinct «Le pouvoir de voter la loi de régulation sociale «pouvoir le législatif». Le pouvoir d'exécuter en l’état les lois de régulation sociale «pouvoir exécutif». Le pouvoir de rendre la justice par l’Application mécanique des normes de régulations sociales « pouvoir judiciaire ». Ici, l’état républicain de droit est assis dans tout le rigorisme juridique de son existence.

*- Vote pour l’équilibre sociétal et contre la mort ambulante dans la société instauré par le RHDP.

Oui, dans un état républicain de droit, tout serait perdu si le même homme, ou le même corps  exerçait ces trois pouvoirs : celui de faire les lois, celui d’exécuter les résolutions publiques, et celui de juger les crimes ou les différends des particuliers. C’est pourquoi, le principe de la séparation des pouvoir exige, que le pouvoir de l’État soit divisé pour éviter les tentations autoritaires. Parce que, tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser. Il faut donc une séparation stricte des pouvoirs dans les faits, pour que chacun puisse surveiller et contrebalancer les autres. Tous les pouvoirs ne doivent pas être réunis chez une même personne ou GROUPE de personnes sinon le risque est grand qu’ils ne le confisquent et s’en servent à des fins personnelles. Or ici, il y a un terreau fertile de la confiscation du pouvoir d’état entre les mains d’une seule personne Ouattara, au Non du RHDP. Oui, le pouvoir d’Alassane Ouattara n’est pas un pouvoir programmatique, ou réside l’assurance d’une majorité parlementaire qui œuvrera à la réalisation d’un programme, d'un projet futur structuré, ou de l’anticipation d’un avenir meilleur dans le temps. Non ! C’est un pouvoir personnel d'influence psychologique et de puissance pour faire ce qui est bon et juste pour soi-même, sans demander l’autorisation de quelqu’un, le tout mis au service d’un clan mafieux.

Pour un peuple souverain donné une majorité parlementaire à un tel pouvoir équivaut à un réel suicide social. Mais faisant fi d’ignorer ou d’obvier à dessein lamentablement cette réalité universelle, les candidats manges-mils commandités par Alassane Ouattara, avec le dossard trompeur RHDP, veulent que la valorisation d’Alassane Ouattara, passe par l’accaparement ostensible du tout pouvoir, par la négation orchestrée des citoyens, devenus des administrés cocus, sous l’administration des élus monarchistes qui ne sont que des vaches qui ne demandent qu’à manger. Au service d’une monarchie, qui banni les pratiques démocratiques discursives conventionnelles, qui contrarient l’arbitraire unilatéralisme du monarque, dans la gestion sociétale. Les débats démocratiques et institutionnels tournent, alors aux anathèmes sociopolitiques, à des excommunications sociopolitiques d’une dictature pure et dure, en devenant des crimes d’expressions, qui  méritent condamnations sectaires pour crime d’opinion, pour plaire à la dictature déviante. Et cette politique obscurantiste est un pilier de la confiscation du pouvoir de, Alassane Ouattara, qui doit seul décider de tout dans la vie sociopolitique, de la nation monarchique.

Oui, l’anathème électoral par exclusion du processus, l’excommunication politique par privation des droits civils et politiques par des condamnations judiciaire farfelus, l’apartheid social qui réduit des citoyens à, ce à quoi sa spécificité biologique le destine, ajouté à l’escroquerie intellectuelle et morale, ont fondé une fausse notoriété d’un homme «Alassane Ouattara»assis sur le terrorisme des armés, qui nous conduisent inéluctablement aujourd’hui vers une société de désespérance. Donc il n’y a d’autre solution durable à la crise ivoirienne, que le démantèlement du système d’Alassane Ouattara le 06 Mars 2021 au terme des élections législatives. Ensuite avec le rassemblement de tous unies pour la côte d’ivoire, derrière deux grands hommes d'Etat, deux serviteurs de la Côte d'ivoire et du peuple souverain Ivoirien, les présidents Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo, adviendra la vraie réconciliation des Ivoiriens, dans le consensus issue du pardon, de la repentance, de la contrition de tous les acteurs de la dite crise ivoirienne, au terme d’un dialogue inclusif et sincère. Donc citoyen ivoirien Vote contre, les prostitués politiques et les manges-mils saisonniers du clan d’Alassane Ouattara ne peuvent que mentir, pour prospérer sur le mensonge éhonté.

*- Si tu veux voir Gbagbo et Bédié côte-à-côte, coude-à-coude pour sauver le pays vote pour l’opposition.

Hélas ! Ils sont condamnés à la griot-tique à vie, ces fichus politicards de; «Ni-Alassanî-kâ-mîfô», estampillés nébuleusement de conquérants par leur maitre Alassane Ouattara, à la Samory Touré, ou tous refus et toutes insoumissions appellent la terre brulée. Oui,  Dans la vie, tout comme en politique : Tout s’acquiert au prix de milles efforts, celui qui a tout acquit passivement en chantant les louages factice d’un homme, ne peut rien acquérir tant que l’effort loyal individuel conjugué est exigé dans la compétition. C’est ainsi que, le trucage électoral est devenu la solution aux carences individuelles acquises du clan Alassane. Ouattara. Ce qui fait qu’aujourd’hui, l’intérêt général est actuellement dissout dans une campagne mafieuse de soutien monnayable du troisième «3e» mandat d’Alassane Ouattara, pour la préservation des intérêts égoïstes et égocentriques. Le socle de la représentativité est réduit à l’argent et au, «je parle a Alassane Ouattara tous les jours». Donc le peuple ivoirien a le devoir absolu de se libéré des contraintes de non-droit en s’inscrivant dans la ligne droite majoritaire, le 06 Mars 2021 au terme des élections législatives.

Oui le mensonge d’état à trouver ses terreaux fertiles en côte d’ivoire, il a trouvé ses repères électoraux, avec le système Ouattara. Bon ! Quoi de plus normal, «quand l’ombre du pygmée grandit c’est que le soleil va se coucher». La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny vit sous leurs règnes. Et le citoyen ivoirien doit arrêter la dynamique démoniaque, de cette peuplade de manges-mils saisonniers, de prostitués politiques. Oui, citoyen ivoirien, sur les mains tendues du RHDP,  il y a le déchet toxique dessus, pire il y a le rouge du sang humain dessus. Vote contre ce RHDP, vote pour la côte d’ivoire,  vote l’opposition ivoirienne unie, solidaire, en quête d’une sortie de crise définitive avec les présidents ; Gbagbo et Bédié. Oui retenons citoyen ivoirien ! Que la politique est un combat permanent entre ceux qui veulent le bonheur du peuple, l’épanouissement du citoyen libre dans sa cité et ceux qui à l’opposée n’ont d’autre vision du monde que l’enrichissement perpétuel au détriment du peuple. Ouattara n’est pas le peuple, a représenté par la force institutionnelle du pouvoir législatif. Les ambitions du RHDP pour la côte d’ivoire sont au couleur rouge du sang Humain poudrée du blanc de la cocaïne. Donc citoyen ivoirien! Vote contre Ouattara et ses monarchistes avec le dossard impie RHDP, vote pour la côte d’ivoire ta patrie, défigurée dans le concert des nations, vote la Vie harmonieuse en société.

Le peuple ivoirien et l’opposition ivoirienne doivent trouver les moyens nécessaires et indispensables de sortir absolument majoritaire, des votes aux législatives. Chacun dans son périmètre de votes et d’évolution dans toute l’assiette territoriale nationale. La victoire est à ce prix, pas chers pour le citoyen. La validation de la lutte contre le 3e mandat est à ces prix-là. Sinon, si Alassane Ouattara, sort majoritaire le 06 Mars 2021 au terme des élections législatives, il serait difficile de l’arrêter dans sa recherche de l’instauration d’une monarchie absolue en côte d’ivoire. Il serait difficile de l’arrêter dans sa quête de l’instauration d’une ploutocratie en côte d’ivoire, ou Dieu l’argent règnera sur la société ivoirienne au mépris de l’homme et ses droits, en dépit de notre réalité sociétale atavique. Citoyen ! Vote la côte d’ivoire d’Abord, le reste on verra. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*-De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

Partager cet article
Repost0
21 février 2021 7 21 /02 /février /2021 01:37
Lepetitfils : La solution régulatrice qui s’impose aux ivoiriens, est que chaque composante sociale s’engage, chacun dans son périmètre d’évolution et dans toute l’assiette territoriale nationale à faire barrage au terme des élections législatives du 06 Mars 2021 a la validation de la forfaiture du 31 octobre 2020 d’Alassane Ouattara, dans les urnes de ces élections. Oui ! Qu’on ose ou non, qu’on ait le courage ou non, tous ensemble synergique-ment c’est possible. Et c’est d’intérêt public, que de sortir majoritaire dans les 22.135 Bureaux de Vote des législatives.

Lepetitfils : La solution régulatrice qui s’impose aux ivoiriens, est que chaque composante sociale s’engage, chacun dans son périmètre d’évolution et dans toute l’assiette territoriale nationale à faire barrage au terme des élections législatives du 06 Mars 2021 a la validation de la forfaiture du 31 octobre 2020 d’Alassane Ouattara, dans les urnes de ces élections. Oui ! Qu’on ose ou non, qu’on ait le courage ou non, tous ensemble synergique-ment c’est possible. Et c’est d’intérêt public, que de sortir majoritaire dans les 22.135 Bureaux de Vote des législatives.

*- Un vote concret de régulation sociopolitique désintéressée.

Si la force aveugle anti-droit du pouvoir d’Alassane Ouattara, qui a bien averti les ivoiriens avant la présidentielle de 2020, que tout était déjà géré, déjà calé, déjà bouclé, et qui fort de son système mafieux de gestion d’avance, de calage d’avance et de bouclage d’avance des élections est passé ostensiblement le 31 octobre 2021 au vu et au su de tout le monde, au mépris des droits et en dépits des réglés démocratiques, arrive à nouveau sans accroc aucun, à s’imposer à son ultime étape de confiscation du pouvoir d’état le 06 Mars 2021, au terme des élections législatives, rien ne l’arrêtera dans sa recherche de l’instauration d’une monarchie absolue en côte d’ivoire. Rien ne l’arrêtera alors dans sa quête de l’instauration d’une ploutocratie en côte d’ivoire, ou Dieu l’argent règnera sur la société ivoirienne au mépris de l’homme et ses droits, en dépit de notre réalité sociétale atavique. Donc l’enjeu des élections législatives du 06 Mars est simple, si le peuple ivoirien tient à instaurer une nation démocratique réellement fondatrice d’un ordre sociopolitique nouveau, respectueux des droits, ou tout le monde serait libre de partir dans les compétitions électorales avec les mêmes chances. Et sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état, avec un organisme électorale admis par tous comme indépendant, neutre, impartial et une institution judiciaire totalement admis par tous comme indépendante, non-inféodée au pouvoir exécutif, il va falloir voter aux législatives au mépris de toutes les autres considérations pour l’opposition ivoirienne unie, diverse, solidaire.

Il est question d’aller au Charbon électoral pour la paix, avant qu’il ne soit trop tard demain. Ou l’être humain aura la contrainte humiliante d’aller chercher sa valeur humaine dans Dieu l’Argent, quel que soit sa couleur. Ou une ploutocratie monarchiste bien légalisée, inscrira au tableau des valeurs humaines, son processus électoral anti-droit, du géré, calé, bouclé d’Avance au service d’une monarchie nouvelle. Il faut voter contre ce banditisme politique. Il faut voter contre ce gangstérisme électoral. Il faut voter contre cette assemblée de ripoux versatiles, regroupé pour la défense des intérêts mercantilistes égocentriques. Oui, de Man à Bondoukou, il faut voter contre des couillons, qui nous fabrique et qui nous solidifie une couillonnade politique de monarque ploutocrate. «Pour le moment, pour Séguéla les gens qui sont malades ou qu’on veut tuer, il faut les député, mais dès qu’ils guérissent, on revient à nos affaires». Oui, de Yopougon à Cocody,  il faut voter pour l’Avenir et pour un demain meilleur. Où l’ivoirien pourrait faire la politique et aller dormir tranquillement chez lui en toute quiétude. Il faut voter tous ensembles à ces législatives du 06 Mars, pour dire non ! A la force aveugle du pouvoir d’Alassane Ouattara au mépris de toutes autres considérations. Il faut voter l’intérêt public, par tous les moyens légaux quels qu’ils soient. C’est-à-dire ne pas avoir peur d’affronter les intimidations des hommes armés que, Ouattara en quête de trucage déversera dans le pays. Des fantassins qui n’auront que des yeux que pur Alassane Ouattara. Puisque en droit les forces armées se voient exclues de l’espace de vote, lieu d'exercice de la civilité électorale, et définit comme le seul mode légitime de dévolution du pouvoir, d’où la prohibition de l'usage des armes dans le périmètre des lieux de votes est formellement interdite. Et les porteurs des armes sont strictement interdits.

Oui, au nom controuvé de la sécurisation des élections, les exercices militaires des Forces armées de défense dans le pays résultent de la démocratie de façade, qui  envisage la confrontation électorale et le débat politico-électoral  sous la forme d’une guerre civile opposant deux armées rivales et ennemis juré, qui ne pensent qu’a exterminés mutuellement. Oui la vraie démocratie électorale, la réelle élection démocratique, se trouve dans l’expression libre du peuple, ultime détenteur du pouvoir d’état, elle ne se trouve nulle autre part ailleurs. Et les exercices militaires des Forces de défense dans l’espace électoral de tout le pays, est le signe incontestable de son inexistence. Oui la paix n’est pas au bout des fusils, la paix à ses exigences d’intérêt général, qui proscrivent l’usage délibéré des armes et des hommes armés au service du Moi-ou-Rien. Elle oblige d’agir jusqu’à la limite de l’humainement admissible pour l’intérêt général et pour la paix sociopolitique, en tout lieu et en tout temps, et singulièrement en période de compétition électorale. Oui citoyen dit à ces fichus clébards aux godasses pesant avec des gros-gros fers, d’aller se faire voir ailleurs ou ils seront plus utiles, notamment à nos frontières. La forte présence militaire dans l’espace du vote discrédite le processus. Puisque, de droit et en droit universel, l’espace de vote est un lieu réglementé où la présence des agents de la force publique ou armée est fortement déconseillée.

Donc ce lieu échappe à l'autorité du pouvoir étatique despotique pour n'appartenir qu'à la totalité des acteurs électoraux, car c'est elle et elle seule unanimement, qui est en mesure de juger acceptable la présence des agents armés dans le périmètre du vote électoral. Ainsi en faisant du bureau, du périmètre électoral et des  votes un conservatoire des vertus civiques, le droit universel et ses principes du vote universel, espèrent modifier profondément les pratiques politiques destructrices de droits aux aguets du périmètre de vote. Ici c’est l’intégrité du processus électorale qui est recherché pour garantir, neutralité, impartialité, qui doit être assise sur un ensemble de conditions basées sur les principes universels démocratiques. Dans un système électoral, qui encourage, protège, de par son organisation, la tenue d’élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes, exige formellement l’absence d’intimidation d’où qu’elle vienne et quelle qu’elle soit, surtout des armées. Le tout dans le respect des droits, des règles, des libertés, qui proscrit tout usage des armes de guerres pour s'imposer au mépris des principes universelles de démocraties pluralistes et multipartites. Donc en droit universel, le bulletin de vote du citoyen libre est présumé posséder la même valeur et la même force que la cartouche des fantassins, d’un pouvoir monarchiste et ploutocratique. Et/ou du pouvoir despotique arbitraire.

Bon ! Pour les législative du 06 Mars 2021, par lequel Alassane Ouattara, veut et espère, légitimer son pouvoir usurpé le 31 octobre 2020 par l’acquisition truquée d’une majorité parlementaire, qui validera son élection présidentielle, pour le moment le présage n’est pas si mauvais avec le peuple ivoirien derrière l’opposition unie et solidaire. Puisque les citoyens qui croyaient de moins en moins en la solidarité de leurs leaders politiques d’oppositions et de l’intelligentsia ivoirienne, ont pris confiance en un rien de temps, à partir de l’élection présidentielle querellée du 31 octobre 2020, avec la bonne écoute progressive entre le PDCI de Félix Houphouët Boigny et le FPI-Eds de Laurent Gbagbo, soutenus par tous. Qui ont réussi à la perfection une fédération salvatrice de toutes les forces vives de la nation, en s’assignant dans le rôle de gyroscope et avec pour locomotive le peuple souverain ivoirien ultime détenteur du pouvoir d’état, pour faire pièces à l’unilatéralisme arbitraire et au hold-up électoral du 31 octobre 2020. Dans un processus de lutte politique ou tout le monde s’est efforcer au mépris des risques et des intérêts politiques, d’œuvrer pour l’intérêt général de la totalité sociale et de la nation souveraine. Oui aujourd’hui le peuple a conscience qu’il est une force imbattable, mais qui était éparpillée et mal orientée, ce qui a cesser avec le PDCI de Félix Houphouët Boigny et le FPI-Eds de Laurent Gbagbo côte à côte. Donc Alassane Ouattara est vaincu au nom de l’union de tous et de la force solidaire, sauf à vouloir faire le chienlit pour pouvoir exister politiquement. Citoyen ! Si en prélude de ton vote aux législatives du 06 Mars 2021 un membre de la meute d’Alassane Ouattara, qu’il a présenté comme artisans de ses desseins mortifères pour la côte d’ivoire, te donne de l’argent, citoyen ! Prend, bouffe, pour aller voter l’opposition. C’est l’argent volé des caisses publiques.

Mais si jamais tu votes dans le sens de cet argent reçu, tu auras planté un coup de poignard dans le dos de la côte d’ivoire d’Aujourd’hui et de demain. Parce que c’est ainsi qu’il réussira à instaurer sa ploutocratie et tu seras condamné à recevoir de lui, tes enfants recevrons de ses enfants, tes petits-fils recevront de ses petits, tous réduit à l’état de vache qui ne demande qu’à manger. Donc vote pour que le bien matériel et l’argent ne soient pas le socle de la représentativité nationale et sociopolitique. Vote l’opposition unie et solidaire en oubliant pas que,  la participation politique attendue du citoyen se résume à une activité spécifique et légitime, qui méprise le bien matériel et qui vomis Dieu l’argent: celle par laquelle les membres de la Nation prennent collectivement part à la sélection des dirigeants et participent indirectement à la formation des politiques publiques. Le vote devient, ce faisant, la forme légitime sinon exclusive de la participation citoyenne. Ainsi au mépris du bien matériel et de Dieu l’Argent, l'espace électoral est conçu comme le point de départ d'un procès de diffusion des différents comportements définissant le bon citoyen, et tu dois être un bon citoyen à vie. Ce qui vise à démontrer que le citoyen ne serait rien en dehors de la société. Que son sort, sa voix, sa vie, dépendent d'une volonté politique exogène : celle qu'élabore la masse anonyme des autres électeurs indépendamment du bien matériel et de Dieu l’argent, disposer aux achats de consciences citoyennes assujettissants. Donc sans faire de la société un système de rapports de forces nécessaires ou un ordre prédéterminé, au terme d’un processus, l’espace électoral défend l'idée d'une égalité de tous, dans une solidarité rationnellement acceptée par tous, car avantageuse pour tous.

*- L’ultime Tocsin pour un vote de régulation sociale.

Cette solidaire interdépendance déboucher sur un monde de vie en société débarrassé des menaces d’hégémonie condescendante liée au bien matériel et Dieu l’Argent et obvie toutes désagrégations sociales. Donc le vote dispensé des tentations matériel et pécuniaires, qui édicte la nature du geste électoral est double : le vote reste certes un acte individuel, manifestant la rationalité d'un choix élaboré seul en conscience ; toutefois, il manifeste aussi l'appartenance à un groupe solidaire, qu’est la totalité sociale souveraine de la nation. Dont l'existence prohibe l’usage du bien matériel et de Dieu l’argent, mise au service de ses desseins personnels, et exclut l'usage de la violence armée. Donc l'isolement dont bénéficie le geste électoral, dans l'enceinte sacrée du bureau de vote, n'est que provisoire. Ici le principe de séparation entre l'espace civique et l'espace social est aboli. Une même continuité relie les comportements privés et publics : la communauté des individus ne fait plus qu'une avec la société des citoyens. Parce qu’ici le principe veut que, le peuple souverain soit à l’origine de la création libre d’un gouvernement, car il possède la puissance arithmétique de produire une populaire majorité politique institutionnelle. C’est de cela qu’il s’agit, le citoyen au service de la totalité sociale au mépris de toutes autres considérations, que d’intérêt public et d’intérêt général, pour avoir un état de républicain de droit. Citoyen ! Attaque moi, sans retenue les prostitués politiques d’Alassane-Land, ces fichus carriéristes manges-mils, ces fichus traitres a Félix Houphouët Boigny. Oui, notre soif de droit, de liberté, de justice, d’égalité et de démocratie, ne doit pas s’accommoder, avec les entorses répétées aux droits inaliénables du peuple souverain, aux libertés fondamentales, aux principes démocratiques. Il ne doit pas s’accommoder non plus, avec les violations du droit et des lois quelles qu’elles soient. Il ne doit pas s’accommoder avec le mépris hautin pour un consensus politique, pour le dialogue républicain dans l’ordre du public et pour la vraie réconciliation nationale, dans l’union de tous.

Il est temps de dire avec une coalition politico-électorale forte, matérialisé dans les urnes de votes électorales Non !  Que ça suffit ! Que s’est trop indécent pour l’image de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Et les législatives du 06 Mars 2021 est une occasion qui nous est donner pour dire non ! Ça suffit ! Que cette pantalonnade politique clanique, de copinage affairiste et de concussion n’est pas digne de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Il ne faut pas se leurrer en ce moment précis de la nécessaire coalisions des forces, de l’unification indispensable des poids, et fédération salvatrice des forces politiques pour le changement, sinon le réveil serait brutal et cauchemardesque dans le temps. Parce qu’aucun parti politique significatif avec ses satellites en lui seul n’arrêtera cette dynamique démoniaque d’un pouvoir ploutocratique au service d’un monarque gonflé au pouvoir de Dieu l’Argent. C’est un avertissement. La côte d’ivoire ne se limite pas à l’entourage d’Alassane Ouattara, peuplé de pauvres politicards uniquement soucieux de leurs carrières et du pactole d’argent à amasser. Des abrutis ignares, qui occupent des fonctions téléguidées, qui pensent que faire la politique, doit se limiter à servir Alassane Ouattara, et ainsi ils se réduisent à leur état réel de marionnette. Le peuple souverain de côte d’ivoire, doit avoir le courage de revendiquer ponctuellement son droit inaliénable d’aller en Enfer, pour ses droits, pour ses libertés, pour sa démocratie, au mépris de la volonté de Alassane Ouattara et de son système unilatéraliste, arbitraire, nihiliste et iconoclaste. Le peuple ivoirien et l’opposition ivoirienne doivent trouver les moyens nécessaires et indispensables de sortir absolument majoritaire, des votes dans les 205 circonscriptions du pays, dans les 10.759 lieux de votes et dans les 22.135 Bureaux de Vote, aux législatives. Chacun dans son périmètre de votes et d’évolution dans toute l’assiette territoriale nationale. La victoire est à ce prix, pas chers pour le citoyen. La validation de la lutte contre le 3e mandat est à ce prix-là.

Pour qu’ainsi se faisant, d’arriver à changer la côte d’ivoire par la force du suffrage universel direct. Et de pouvoir permettre au pays à réapprendre à se parler, à se reconnaitre, à s’admettre mutuellement comme égal les uns, des autres, à vivre dans une société commune qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales. Oui, avec le suffrage universel, la communauté des individus ne fait plus qu'une avec la société des citoyens ou le peuple demeure l’ultime détenteur du pouvoir d’état. Donc dire ici que, le suffrage universel transforme les gouvernants en mandataires du peuple et les force comme tels à servir les besoins et à s'associer aux idées que le mouvement graduel de la civilisation apporte aux sociétés, c'est assez dire que le suffrage universel est un instrument de progrès ; mais il est aussi un instrument d'ordre. Parce qu'en faisant du processus électoral et de la loi l'œuvre de tous, il l'impose au respect de tous. Oui, parce qu'en permettant à chacun de poursuivre sans violence le redressement de ses griefs, le suffrage universel désarme la violence. Parce qu'il investit le pouvoir émané de lui «suffrage universel» d'une force morale immense et qui rend toute entreprise factieuse impossible. Répétons : Parce qu'il rend toute entreprise factieuse impossible et dispense de recourir à l'emploi de la force matérielle en politique. En devenant universel, l'acte du vote débouche sur un ordre conventionnel qui désarme la violence armée. Il vient interdire l'usage d'un certain répertoire passéiste d'action politique despotique, monarchiste, ploutocratique fondée sur Dieu l’Argent. En se voyant chargé d'exprimer fidèlement la souveraineté du peuple, le vote acquiert les attributs symboliques du sacré. Oui, du sacré. Dans ces conditions, il n’y aura plus jamais de centaines de morts au terme d’une élection et jamais de blessés. Donc la solution régulatrice qui s’impose aux ivoiriens ? Elle est sans succédanée possible, si le courage y est, si la détermination y est, dans la défense du droit inaliénable du peuple a disposé de lui-même, sans entrave. Cette solution régulatrice se résume ici à voter utile.

Oui, la solution régulatrice qui s’impose aux ivoiriens, est que chaque composante sociale pour la réconciliation, pour la paix sociopolitique par le consensus républicain et le dialogue social, pour des élections apaisées dans une société ivoirienne détendue, engage chacun dans son périmètre d’évolution et dans toute l’assiette territoriale nationale à faire barrage au terme des élections législatives du 06 Mars 2021 a la validation de la forfaiture du 31 octobre 2020 d’Alassane Ouattara, dans les urnes de ces élections. Oui ! Qu’on ose ou non, qu’on ait le courage ou non, tous ensemble synergique-ment c’est possible. Et c’est d’intérêt public, que de sortir majoritaire dans les 205 circonscriptions du pays, dans les 10.759 lieux de votes et dans les 22.135 Bureaux de Vote aux législatives. Nous n’avons peut-être pas encore conscience du danger réel à l’horizon futur, mais la situation sociopolitique ivoirienne avec tous ses faits saugrenus, à dépasser le stade et le niveau de l’inquiétant, pour atteindre le stade et le niveau de l’Alarment, d’où notre tocsin intempestif. L’état sociopolitique de la côte d’ivoire vu à l’aune et au prisme du temps de Félix Houphouët Boigny, a dépassé la dénaturation pour atteindre la désocialisation, avec la tête humaine comme Ballon de Foot, au pays de pas une seule goutte de sang versée. Bon ! Il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie n’a pas conscience du danger mortel avant la phase terminale. Il y a le feu à la maison ivoire, il y a péril à  bord du navire ivoire et personne ne viendra y remédier en dehors du citoyen ivoirien.

Donc il est d’intérêt public et d’intérêt général pour le citoyen ivoirien que de commencer à rechercher la solution à son Mal, d’Emblée et ponctuellement en votant aux législatives du 06 Mars 2021 pour l’opposition ivoirienne unie et solidaire autour de la mère patrie défigurée et devenue méconnaissable. Oui, le jour que le PDCI de Félix Houphouët Boigny et le FPI-Eds de Laurent Gbagbo et l’opposition toutes tendances rassemblées, avec toutes les organisations politique satellite, et toute la société civile et sa masse majoritaire matérialiseront leurs incontestables majorité populaire dans les urnes de votes électoraux, en acte politique concret de régulation sociopolitique désintéressée, et surtout le jour qu’ils sauront que la force de Alassane Ouattara réside dans leurs désunion et dans leurs pacifisme, ils auront trouvé la solution pour la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Une solution qui passe obligatoirement, et nécessairement par le vote unanime aux législatives du 06 Mars2021, chacun dans son périmètre de vote, et d’évolution dans toute l’assiette territoriale du pays. Donc ici, rester statique et inerte pendant les législatives du 06 Mars 2021, face à l’unilatéralisme arbitraire, nihiliste et iconoclaste d’Alassane Ouattara, en quête de restauration d’une légitimité inexistante, serait un leurre contre-productive, sinon un suicide sociopolitique majeur dans le temps. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*-De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Lepetitfils Da Candy
  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
  • Contact

Profil

  • dacandylepetitfils
  • DA CANDY LEPETITFILS:
Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...
  • DA CANDY LEPETITFILS: Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...

Texte Libre

Recherche

Catégories

Liens