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9 août 2020 7 09 /08 /août /2020 13:12
Lepetitfils: il est question d’asseoir de façon notoire, l’évidence et l’indéniable dès le premier Tour de la présidentielle, ne pas laisser de place à la récupération douteuse ou le rattrapage incertain au deuxième Tour.

Lepetitfils: il est question d’asseoir de façon notoire, l’évidence et l’indéniable dès le premier Tour de la présidentielle, ne pas laisser de place à la récupération douteuse ou le rattrapage incertain au deuxième Tour.

*- D’emblée, avec les lunettes politiques et citoyennes, lisons entre les lignes, du discours condescendant de suprématie, à la limite méprisant, insultant et de Foutaise d’Alassane Ouattara du 06-Aout-2020 :

 

Chers compatriotes, «Peuple docile de piétaille, inscrit dans une couillonnade de panurgisme suiviste moutonnier dans un pays assujettis». Les défis auxquels nous sommes confrontés pour le maintien de la paix, la sécurité nationale et sous régionale ainsi que la nécessité de juguler la crise sanitaire ; le risque que tous les acquis, après tant d’efforts et de sacrifices consentis par toute la population, soient compromis ; le risque que notre pays recule dans bien des domaines ; « en mon absence du pouvoir, puisque je suis le seul au monde, capable d’y faire Face », tout cela m’amène à reconsidérer ma position. Face à ce cas de force majeure et par devoir citoyen, « que la constitution chiffon de papier aille se faire foutre au WC du pauvre peuple piétaille», j’ai décidé « Moi la Loi ! Qui fait foi », de répondre favorablement à l’appel de mes concitoyens « Peuple docile de piétaille moutonnier» me demandant d’être candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020. Je suis donc candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020. « Pour toi fichu Peuple docile de piétaille assujettis, au comportement de panurgisme suiviste moutonnier». » Je peux vous assurer que cette décision, mûrement réfléchie, « qui ne sait que faire de la constitution, des principes de droits  et des règles de régulations sociopolitiques universelles», est un devoir que j’accepte dans l’intérêt supérieur de la Nation ; « fichue nation, sans moi laquelle n’aura aucune existence», «donc» afin de continuer de mettre, sans relâche, mon expérience au service de notre pays. Compte tenu de l’importance que j’accorde à mes engagements et à la parole donnée, «  les paroles Retirées en politiques ne sont pas des paroles données à respecter. Des promesses envolées en politiques ne sont pas des promesses à tenir, dans l’arène politique ivoirienne. C’est pourquoi, la promesse de ne vouloir que 5 ans de pouvoir en 2010, la volteface en 2015, je n’ai pas fini le travail, la promesse d’alternance à Bédié, la promesse de succession a Soro, tout comme la promesse de ne pas briguer un 3e mandant  ne sont pas des engagements à respecter. La nouvelle génération sur laquelle je comptais est fini avec Amadou Gon Coulibaly ». Donc cette décision représente un vrai sacrifice pour moi, que j’assume pleinement, par amour pour mon pays « de fichus piétailles ». Par cette décision, je veux aussi prendre le temps d’achever de préparer la relève « la pléthorique de cadres formé par la France et par Félix Houphouët Boigny jusqu’en Septembre 2002, ne sont pas capable d’assurer la relève de mon pouvoir comme je l’entends, il faut que je mets une équipe en place ». J’entends également renforcer les actions de rassemblement « de cooptation mercantiliste des bouffes-tous pour en être une ploutocratie et d'arriver au vote du suffrage censitaire» et de réconciliation de tous nos compatriotes. « Les dix (10) ans de l’exercice continu du pouvoir d’état ne m’ont pas permis de réconcilier les ivoiriens, vous savez que les dix (10) ans sont trop petits pour réussir une réconciliation à ma manière à Moi ». Donc en clair, Alassane Ouattara accepte votre piteuse demande en sauveur, il est candidat pour un troisième Mandat pour toi fichu Peuple docile de piétaille assujettis inscrit dans un panurgisme suiviste moutonnier dans un pays de MERDE. Tel est la lecture des entres lignes mises (entre guillemet) de cet extrait du discours de Ouattara annonçant sa candidature de 3e mandat.

 

Maintenant la solution régulatrice qui s’impose aux ivoiriens ? Elle est sans succédanée possible, si le courage y est, si la détermination y est, dans la défense du droit inaliénable du peuple a disposé de lui-même, sans entrave. Oui, la solution régulatrice qui s’impose aux ivoiriens, est que chaque composante sociale pour la réconciliation, pour la paix sociopolitique par le consensus républicain et le dialogue social, pour des élections apaisées dans une société ivoirienne détendue, doit s’engager chacun dans son périmètre d’évolution et dans toute l’assiette territoriale nationale à faire barrage au passage en force d’Alassane Ouattara, advienne que pourra. En espérant que pour une fois le pouvoir d’Alassane Ouattara reculera sous la pression régulatrice et pourra éviter de faire le lit des chiens « chienlit » en côte d’ivoire. Parce que là où il y a le lit des chiens, pas besoin d’air fraiche, ça doit respirée les fumées souvent pimentés, ici pas besoin d’éclairage électrique, les flambeaux nocturne suffit, pour la célébration du mariage avec les choses publiques, sous la vibration citoyenne comme en Grèce, seulement dans l’ordre du public et avec la chose publique uniquement, le privé n’est pas concerné ici. « Comme une affaire de racailles en France. » Aussi dans le lit des chiens, « chienlit » on  n’a pas besoin de routes circulables et les patte-d ‘oies mécontent se ferment d’eux même. Pour que le couvre-feu devient épiphénomène. Pas besoin d’invitations pour les pierres et les vieux pneus qui s’invitent volontiers dans la danse chez Dame Rue, dans la salle pétaudière ou capharnaüm kafkaïen est musicien désigné. Et cette danse dure tant que l’exigence citoyenne demeure dans la cité. Et dans cette situation où l’arbitraire recule ou il se dévoile comme tel. Même s’il y a championnat nocturne sans lampions d’éclairage, on le joue… Question de relevé le défi lancé par un homme Alassane Ouattara et son pouvoir obscurantiste, iconoclaste, unilatéralisme arbitraire. Donc, il est question de lutter et de résister, en tenant compte qu’aucune victoire d’un pouvoir d’état sur un peuple souverain déterminé à la face du monde de rentrer dans ses droits, dans ses libertés, n’est possible en ce 21e siècle, ou seul le peuple souverain est l’ultime détenteur du pouvoir d’état qui décide de son destin dans le concert des nations. Donc lutter pacifiquement en tenant compte que, les secousses ponctuelles, extatiques, protestataires, passagères et périodiques vident les luttes citoyennes pour le droit, la liberté et la démocratie de toutes leurs énergies. Et pire elles vident le peuple de son énergie synergique défensive. Seules les luttes soutenues dans le temps, synergiques, rationnelles, cohérentes, constantes, régulières, de droit et pour le droit, dans le temps et dans toute l’assiette territoriale nationale aboutissent à la libération d’un peuple par la lutte, par la résistance dans l’espérance. L’espérance ici c’est le désespoir surmonté, espérer ici c’est résister dans ses droits, avec ses droits, pour ses droits et le peuple souverain de côte d’ivoire qui se veut libre doit lutter, doit résister avec sa dignité. «Solution sans succédanée».

 

Mais, si pour quelque raison que ce soit, cette solution régulatrice qui s’impose aux ivoiriens s’avèrent impossible. Dès lors, Subsidiairement, si on doit oser être sérieux et concret avec soi-même, nous dirons ici que face à la nouvelle donne qu’impose la candidature de Alassane Ouattara, l’opposition ivoirienne n’a plus le droit, en l’absence de cette solution régulatrice, sans succédanée possible qui s’impose aux ivoiriens, d’aller aux élections de 2020 a rang dispersé au premier Tour de la présidentielle. Comme l’a déjà suggérer un leader de cette opposition ivoirienne. Il est question plus que jamais, d’aller dès le premier Tour, soudé à l’extrême avec une liste de coalition synergique, compact, inextricable, hermétiquement colée, derrière une coalisée candidature Unique. Où chacune des parties composantes de cette liste de coalition synergique connait, après négociations, ce qu’il gagne à l’arrivée des élections. Qui doit s’ouvrir sur une transition de cinq «5», d’où les parties au sein du gouvernement de transition ou dirigeants des institutions de transition, serait immuable et inamovible : « président de la république, vice-président de la république, ministres de la république et dirigeants des institutions de la république ». Il faut asseoir l’évidence et l’indéniable dès le premier Tour de la présidentielle, ne pas laisser de place à la récupération douteuse ou le rattrapage incertain au deuxième Tour. Le premier Tour est la clé du succès de l’opposions unie dans cas subsidiaire. Il faut que l’opposition ivoirienne soit consciente, qu’elle est entrainée vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers une crise postélectorale, qui donnera la parole aux armes « fusils » comme en 2010. Oui, sauf à nous convaincre ici, de par quelle Force le conseil constitutionnel va rejeter la candidature d’Alassane Ouattara et par force ce système électoral va proclamer la défaite de son système politique source d’Alassane Ouattara ?  Non ! Nous n’y croyons pas, notre degré de crédulité n’a pas encore atteint ce niveau de naïveté. Donc, Alassane Ouatera conscient de cette emprise sur tout le processus électoral, malgré sa minorité électorale acquise, ne peut oser ouvrir le jeu démocratique et électoral. Qui signifie sa perte du pouvoir d’état confisqué depuis 2010. Donc, Alassane Ouattara sera non seulement joueur privilégié, mais aussi l’arbitre du processus électoral de 2020, via la commission électorale, via le conseil constitutionnel et via le mode de scrutins  électoral le «support des votes citoyens». Donc est question d’asseoir de façon notoire, l’évidence et l’indéniable dès le premier Tour de la présidentielle, ne pas laisser de place à la récupération douteuse ou le rattrapage incertain au deuxième Tour. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

 

CITOYEN ! LIRE ABSOLUMENT LA TRIBUNE CI-DESSUS.

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