Lepetitfils : Ici, ce qui serait incontestablement une faute gravissime pour le peuple, serait de se contenter des discours politiques de commodités coutumiers. Face à la dictature d’Alassane Ouattara, qui ne changera pas de lui-même. L’élection controuvée du 31 octobre 2020 avec Alassane Ouattara, qui briguait un 3e mandat en violation de tous les droits, de toutes les règles et de tous les principes universels, n’a été qu’une élection de façade validant un schéma préconçu de trucage orchestré par la CEI, jugé non équilibré par la Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples.
*- On ne peut parler de légalité constitutionnelle que face à un pouvoir constitutionnel.
Tous les despotes dictateurs, unilatéralistes et prédateurs de jungles, ont un point commun : tuer pour vivre ou survivre en politique. Vraiment ! Il est illusoire d'attendre du dictateur despote d’Alassane Ouattara, de se faire des soucis pour la légalité juridique et la légitimité populaire de son pouvoir mal acquit. Surtout qu’il est Arrivé au pouvoir suite au petit coup d’état tirant et arrachant, qui a duré 11 ans 4 mois, du 24 décembre 1999, date de la révolution dite des œillets, au 11 avril 2011 date d’achèvement du coup d’état par un kidnapping avec les armes internationales des intérêts mafieux des grands usuriers planétaires. Une guerre de conquête qui a fait à ce jour sept milles « 7000 » morts continus. Et qui entretien sciemment à dessein la crise sociopolitique, dont les agressions des populations par une milice déguisée, depuis le début de la crise du 3e Mandat, ont fait plus de 100 Morts, de nombreux Blessés près de 500 et 250 Arrestations/Séquestrations pour arriver à l’actuelle confiscation du pouvoir d’état. Non ! Alassane Ouattara l’unilatéraliste prédateur de jungle, ne peut pas se faire de soucis pour la légalité juridique et la légitimité populaire de son pouvoir mal acquit. Le credo d’Alassane Ouattara devenu sacrément unilatéraliste et prédateur de jungle, depuis le 24 décembre 1999, est de tenir toujours une mitraillette à la main, prêt à faire feu sur toute velléité d’alternance démocratique autre que celle qu’il a schématisée pour les élections de 2020. «Les médiats aplaties et intéressés s’occuperont du maquignonnage».
Oui, toujours non satisfait d’avoir zigouillé seulement sept milles « 7000 » ivoiriens sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état et de la conservation d non-droit du pouvoir d’état. Il n’espère donc, que de la confiscation du pouvoir d’état, dans un capharnaüm ou tout est permis. Le dictateur despote Alassane Ouattara, ne désespère plus d’accaparer le destin de la nation ivoirienne pour le plier à ses seules exigences égocentriques et claniques. C’est ainsi que, le dictateur despote sacralise les institutions au point où toute position contraire à la sienne, toute proposition ou décision d'organisation alternative, est donc perçue comme un acte de criminalité, la démocratie est alors définitivement morte. Et on entre dès lors dans un système despotique et dictatorial, un système d'essence monarchique. Oui, une monarchie non-constitutionnelle de droit divin, où contester la violation des normes de régulations sociales, proposer des règles consensuelles communes de vie en société, devient un crime. Oui, du 24 décembre 1999 jusqu’à ce jour aucune action sociopolitique, aucune action judiciaire civile internationale, n’a pu ébranler Alassane Ouattara et son système usine à Gaz pour les droits, pour les libertés et pour les règles démocratiques. Alassane Ouattara, n’a besoin, ni d’élection démocratique libre et transparente, ni de consensus politique, ni de dialogue républicain dans l’ordre du public, et autour de la chose publique, il se fiche des droits, des libertés, et des règles établies.
Or, Contrairement au métier politique endurcis de trucage électoral d’Alassane Ouattara le dictateur despote, il est universellement admis comme règle que le pouvoir démocratique légal et légitime s’entend comme issu des élections, sans tricherie planifiées, sans fraudes orchestrées, sans passage en force électoral schématisé et donc des élections, conforme aux normes internationales. Dans le respect des droits, des règles, des libertés, qui proscrit tout usage délibéré des armes «fusils» de guerres pour s'imposer, au mépris des principes universels de démocraties pluralistes. Donc une élection n’est crédible que si elle rencontre l’agrément de la totalité sociale qui consente consensuelle-ment à prendre les urnes de votes comme l’arbitre du corps social. Donc la participation politique attendue du citoyen à l’élection, se résume donc à une activité spécifique : celle par laquelle les membres de la Nation prennent collectivement part à la sélection des dirigeants et participent indirectement à la formation des politiques publiques. A défaut de ce principe aucun pouvoir n’est légitime. Ce qui n’est autre chose, qu’un coup d’arrêt irrecevable et inacceptable au processus démocratique de l’état de droit démocratique.
Mais hélas ! L’existence politique d’Alassane Ouattara, est une histoire de rapport de forces inouïe. Elle est une succession de dominations, par la valorisation de soi, qui passe par la négation des autres composantes de la société. Les autres qui sont ainsi astreint strictement aux soumissions seigneuriales variant au gré des évolutions des intérêts politiques existentielles d’Alassane Ouattara unilatéraliste et prédateur de jungle dans le temps. Oui, ici son ambition despotique non-avouée et cachée, est qu’il désire s’approprier la souveraineté populaire, pour asservir le peuple, et pour servir son ambition politique personnelle égocentrique de conservation absolue du pouvoir d’état. Ce bien suprême tant convoité, mais propriété exclusive du peuple souverain, qui le donne à qui, il veut par procuration élective. Or l’exercice du pouvoir d’état n’est pas une simple question d’association de malfaiteurs ou une concussion de vulgaires escrocs. Comme le veut Alassane Ouattara. Même si le pouvoir, sans le respect du droit, se voit de fait contrôlés par des opportunistes qui détournent le pouvoir en vue de leurs propres fins égocentriques.
Donc ici, en parlant de l’autorité de l’état, Alassane Ouattara s’efforce d’ignorer, que, les hommes qui gouvernent ne sont jamais l’état, y compris lui-même Alassane Ouattara, «si monarque devant l’éternel». Et que les spectacles souvent mortifères des luttes acharnées que les hommes politiques se livrent afin d’accéder au pouvoir d’état, ou surtout de conserver le pouvoir d’état, y compris en démocratie, ne doit pas nous tromper. Si les hommes politiques étaient l’état, comme dans l’entendement qui dicte les positions tranchées d’Alassane Ouattara dans l’ordre du public et dans l’ordre du commun, dès lors l’état républicain devenait une addition de volontés particulières guidée par des intérêts politique particuliers, la question posée serait une mauvaise posture. Parce qu’on ne pourrait pas attendre d’un délinquant politique ou d’un criminel politique qu’il borne lui-même ses désirs en s’imposant des règles de modération. Non ! C’est ainsi que quand, Alassane Ouattara, l’unilatéraliste, veut donner des ordres considérés comme mauvais et iniques, il use du non-droit de la menace, de la crainte et de la terreur. Or en clair, le despote dictateur Alassane Ouattara, n’est pas au-dessus du droit et il ne peut donc pas modifier à sa guise les vues populaires en matière de droit et d’injustice. Dans ce sens, son pouvoir est strictement limité. S’il veut aller à l’encontre de ce que la conscience populaire considère comme juste et impératif, il est obligé d’imposer ses ordres de non-droit, en se servant toujours des hommes de l’armés force publiques ou au surplus une milice secrète fidèle à son service despotique. D’où les crises sociopolitique sempiternelles, avec toujours des morts de citoyens zigouillés par ses rebelles de 2002 devenus l’armée nationale et ses milices déguisées ou Dozos. «Et par la suite une presse internationale aplatie et aux ordres comme en 2002-2O11 et 2020 fera, comme toujours le service de saupoudrages éhontés après crimes aux yeux du monde».
Or, à l’opposé du système de contrainte absolue du néo-monarchisme débridé voulu par le dictateur despote Alassane Ouattara, l’état de droit impose que l’exercice du pouvoir soit la capacité de se faire obéir. Donc, que le peuple reconnaisse le caractère obligatoire de la législation publique. Oui, dans un état républicain de droit et en démocratie réelle, nul pouvoir ne doit obliger les citoyens, nul pouvoir ne doit s’imposer au peuple, et nul pouvoir ne doit durablement gouverner un peuple, s’il n’est pas soutenu par l’autorité qui résulte de la croyance en sa légitimité populaire. Donc les dirigeants doivent savoir maîtriser avec justesse et efficacité, la gestion de la chose publique, et les actions sociopolitiques dans l’ordre du public. Ceci dans tous les domaines : connaissance des conséquences de situations politiques, compréhension des situations sociales présentes, organisation socio-politico -communautaires et des hommes, anticipations des perspectives d’avenir dans le temps et dans l’espace et stratégies publiques, projets publics et décisions publiques. Oui, la démocratie est par essence consensuelle et la démocratie électorale est un apprentissage des limites et de l’autocontrôle, elle est aussi le respect de la diversité sociopolitique, de la pluralité idéologique, de la légitimité populaire, de la transparence, et du consensus républicain. Une démocratie électorale ne doit fonctionner que sur le mode du débat politique consensuel. Et l’unilatéralisme est le signe de son inexistence et son contraire diamétralement opposé. Alors, dans ce cas d’opposition diamétrale, nous ne sommes plus en démocratie. Puisque dans une démocratie, les institutions sont des créations humaines toujours datées, destinées à répondre aux volontés d'organisation de la société à un moment donné. La vraie démocratie qui est l’apprentissage des limites prescrites dit alors au revoir.
C’est pourquoi, la côte d’ivoire est devenue un pays de merde dans le concert des nations civilisées, avec cette situation de culture politique criminelle, cette culture du confus sociale, cette culture du sadisme opaque électoral, cette pratique obscurantiste et unilatéraliste mafieuse de satisfaire aux exigences d’une mafia internationale. Donc une situation crée à dessein par la dictature despotique d’Alassane Ouattara, il en résulte une situation sociopolitique où chaque portion de la société ivoirienne composite se sent attaqué dans son assisse juridique, sociale, politique, de liberté, de droit, par des intérêts mafieux du dictateur Alassane Ouattara exploiteur par excellence de la misère du peuple qui fait sa piteuse fortune, maculée de sang citoyen et imbibée de larmes d’orphelins de pères et/ou de mères. Une richesse issue d’une sale guerre d’agression déclenchée en 1999-2002. Le tout dans une société opprimée de jungle sous une dictature, ou le chacun pour soi et tout est permis, est la règle de vie, dans la course effrénée à la recherche criminelle de Dieu l’argent. La force restant au plus forts. D’où chacun est pris par sa différence sociopolitique et réduit à ce à quoi sa spécificité biologique ou confessionnelle le destine, ou l’autre n’est plus un frère, même pas un ami, mais un ennemi à exterminer ou à abattre a tout prix.
Une situation où, cette dictature unilatéraliste d’Alassane Ouattara, a le droit de tuer pour se remplir les poches. Ainsi riche il devient intouchable dans sa nouvelle ploutocratie qu’il espère, en implantant arbitrairement les armes de guerres impies au cœur des relations socio-politico-économiques, et en soutien des actions politiques de forfaitures. Vraiment ! Il est illusoire d'attendre de ce dictateur despote Alassane Ouattara, de se faire des soucis pour la légalité juridique et la légitimité populaire de son pouvoir mal acquit. Non ! Il est exclu ! Nous apprécions les efforts de tout le monde dans la recherche inlassable parfois ingrate du retour à la normale dans votre pays la côte d’ivoire. Mais la dictature d’Alassane Ouattara ne partira pas par la porte du convenue. Dans son cas soumis à l’analyse, la porte d’entrée dispose de la porte de sortie. C’est mon Avis ! Et faisons attention, un peuple souverain qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger avant la phase terminale. Donc ici, l’élection controuvée du 31 octobre 2020 avec Alassane Ouattara, qui briguait un troisième mandat en violation de tous les droits, de toutes les règles et de tous les principes universels, n’a été qu’une élection de façade validant un schéma préconçu de trucage orchestré par un des chainons de ce trucage qu’est la Commission électorale, organe jugé non équilibré par la Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples. Il n’y a pas eu d’élection ce jour. Avec un taux de participation à peine 5%, mais insidieusement et sournoisement multiplié par DIX par la commission électorale, pour arriver au taux de participation de plus 50% (53%) pour saupoudré le trucage électoral à ciel ouvert de leur candidat payeur. Retenons que 53% des 7 495 O82 électeurs inscrits, fait près de 4.000.000 d’électeurs aux urnes. « Précisément 3. 972.394», qui a pu constater cette mobilisation, avec les bureaux de votes saccagés, des urnes cassés et brulés, des villes barricadées, des bureaux fermés, les rues désertes dans tout le pays ? Le ridicule ne tue pas dit-t-on ! «N’en déplaise a une presse dite internationale toujours aplatie et intéressée aux propagandes monnayables depuis 2002-2011 à 2020, pour ainsi couvrir les arrières casseroles très puantes, c’est le rôle a elle assigné».
*- Il faut se donner les moyens solides d’une Transition, est de Droit.
Donc ici, ce qui serait incontestablement une faute gravissime pour le peuple souverain ivoirien, serait de se contenter des discours politiques de commodités coutumiers. Face au pouvoir dictatorial et despotique d’Alassane Ouattara, qui ne changera pas de lui-même. Le pouvoir d’Alassane Ouattara ne quittera pas le pouvoir par la porte du droit et des règles démocratiques. Mais il faut retenir que, depuis la crise sociopolitique issue du troisième Mandat du dictateur despote Alassane Ouattara, le peuple souverain de côte d’ivoire à résister à l’arbitraire de non-droit. Le peuple souverain de côte d’ivoire doit continuer de résister à l’arbitraire de non-droit et à la dictature. Parce qu’un peuple n’a pas le droit de se résigner ou céder au fatalisme face à l’arbitraire. Il faut tenir debout, donc il faut être de toutes les luttes légales contre cette dictature unilatéraliste, ne pas céder un seul pouce de terrain de nos droits, de nos libertés et de nos devoirs, face à l’unilatéralisme d’Alassane, ne jamais être gagné par la résignation ambiante autodestructrice face à cette escroquerie morale et intellectuelle. En tenant compte qu’aucune victoire d’une dictature sur un peuple souverain déterminé à défendre ses droits, ses libertés, sa démocratie réelle à la face du monde n’est possible en ce 21e siècle. Et retenir que les empires dictatoriaux et despotiques les plus puissants, se maintenant par la puissance et la contrainte, ont certes souvent duré des décennies, mais ont fini toujours par s’effondrer sous les yeux du monde. Et aucun dictateur aussi puissant et cruel soit-il, n’a pu se maintenir et maintenir son système, quand le peuple a décidé que les choses devaient changer. Ce n’est pas facile, le peuple hésite souvent, et puis un jour tout bascule ! Même prendre les armes contre un dictateur ou un système oppresseur devient le plus facile du monde. Ainsi la dictature despotique, qui régnait en maître absolu réalise alors que sa force ne reposait que sur le libre consentement des dominés qui peuvent décider de ne plus consentir à cette domination. « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection sous toutes ses formes est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ». On ne peut parler de légalité constitutionnelle que face à un pouvoir constitutionnel.
Le président américain Abraham Lincoln ! Disait que : « On peut mentir à quelqu’un tout le temps, on peut mentir à tout le monde un certain temps mais on ne peut mentir à tout le monde tout le temps » Donc, soyons attentifs, aujourd’hui plus que jamais ! Soyons prêts, aujourd’hui, plus que jamais ! Soyons déterminés, aujourd’hui, plus que jamais ! Ne cédons rien à la dictature d’Alassane. Ne lui abandonnons pas notre pouvoir souverain de peuple libre. Ne lui conférons pas l’autorité d’agir en notre nom et de porter notre parole dans le concert des Nations civilisées. Lui et sa camarilla guerrière savent très bien, que leur pouvoir ne repose que sur notre consentement de peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état, et ils savent qu’ils ne doivent pas tromper le peuple souverain, qu’ils ne doivent pas trahir le peuple souverain, ni même simplement décevoir le peuple souverain, car alors ils passeront en un rien de temps, de la gloire à la chute. La dictature d’Alassane et sa camarilla guerrière ont fait ses totems du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état, donc ils doivent logiquement chuter. Pour que nous « ivoirien » réapprenions à vivre à nouveau ensemble, réapprenions à rire à nouveau ensemble, réapprenions à apprécier à nouveau ce qu’il y a de meilleur en chacun de nous, au terme d’un vrai processus de réconciliation nationale. Ou nous ne demanderons pas d’oublier les conséquences de l’inacceptable et de l’injustifiable guerre de 2002 à ce jour, mais demanderons-nous d’essayer de pardonner, pour l’ordre social, pour l’harmonie communautaire, pour la paix sociopolitique et pour vivre en commun dans le respect des différences, qui admet hétérogénéité des sous cultures nationales. Le peuple souverain ivoirien doit tenir la barre en déclinaison pour la redresser vers la direction voulue par Félix Houphouët Boigny. Nous sommes convaincus, que le salut de la côte d’ivoire viendra du peuple souverain martyrisé, ultime détenteur du pouvoir d’état. Il faut absolument se donner les moyens d’une Transition de décomposition/recomposition salvatrice pour la stabilité communautaire et pour la paix sociopolitique. Le discours de propagande pour diversion orchestré et ventilé par des médiats aplatis, afin d’éluder ou de couvrir le trucage électorale est un mode arbitraire de domination tenu pour archaïque en ce 21 siecle. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).