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4 novembre 2020 3 04 /11 /novembre /2020 13:50
Lepetitfils : Ici, ce qui serait incontestablement une faute gravissime pour le peuple, serait de se contenter des discours politiques de commodités coutumiers. Face à la dictature d’Alassane Ouattara, qui ne changera pas de lui-même. L’élection controuvée du 31 octobre 2020 avec Alassane Ouattara, qui briguait un 3e mandat en violation de tous les droits, de toutes les règles et de tous les principes universels, n’a été qu’une élection de façade validant un schéma préconçu de trucage orchestré par la CEI, jugé non équilibré par la Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples.

Lepetitfils : Ici, ce qui serait incontestablement une faute gravissime pour le peuple, serait de se contenter des discours politiques de commodités coutumiers. Face à la dictature d’Alassane Ouattara, qui ne changera pas de lui-même. L’élection controuvée du 31 octobre 2020 avec Alassane Ouattara, qui briguait un 3e mandat en violation de tous les droits, de toutes les règles et de tous les principes universels, n’a été qu’une élection de façade validant un schéma préconçu de trucage orchestré par la CEI, jugé non équilibré par la Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples.

*- On ne peut parler de légalité constitutionnelle que face à un pouvoir constitutionnel.

 

Tous les despotes dictateurs, unilatéralistes et prédateurs de jungles, ont un point commun : tuer pour vivre ou survivre en politique. Vraiment ! Il est illusoire d'attendre du dictateur despote d’Alassane Ouattara, de se faire des soucis pour la légalité juridique et la légitimité populaire de son pouvoir mal acquit. Surtout qu’il est Arrivé au pouvoir suite au petit coup d’état tirant et arrachant, qui a duré 11 ans 4 mois, du 24 décembre 1999, date de la révolution dite des œillets, au 11 avril 2011 date d’achèvement du coup d’état par un kidnapping avec les armes internationales des intérêts mafieux des grands usuriers planétaires. Une guerre de conquête qui a fait à ce jour sept milles « 7000 » morts continus. Et qui entretien sciemment à dessein la crise sociopolitique, dont les agressions des populations par une milice déguisée, depuis le début de la crise du 3e Mandat, ont fait plus de 100 Morts, de nombreux Blessés près de 500 et 250 Arrestations/Séquestrations pour arriver à l’actuelle confiscation du pouvoir d’état. Non ! Alassane Ouattara l’unilatéraliste prédateur de jungle, ne peut pas se faire de soucis pour la légalité juridique et la légitimité populaire de son pouvoir mal acquit. Le credo d’Alassane Ouattara devenu sacrément unilatéraliste et prédateur de jungle, depuis le 24 décembre 1999, est de tenir toujours une mitraillette à la main, prêt à faire feu sur toute velléité d’alternance démocratique autre que celle qu’il a schématisée pour les élections de 2020. «Les médiats aplaties et intéressés s’occuperont du maquignonnage». 

 

Oui, toujours non satisfait d’avoir zigouillé seulement sept milles « 7000 » ivoiriens sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état et de la conservation d non-droit du pouvoir d’état. Il n’espère donc, que de la confiscation du pouvoir d’état, dans un capharnaüm ou tout est permis. Le dictateur despote Alassane Ouattara, ne désespère plus d’accaparer le destin de la nation ivoirienne pour le plier à ses seules exigences égocentriques et claniques. C’est ainsi que, le dictateur despote sacralise les institutions au point où toute position contraire à la sienne, toute proposition ou décision d'organisation alternative, est donc perçue comme un acte de criminalité, la démocratie est alors définitivement morte. Et on entre dès lors dans un système despotique et dictatorial, un système d'essence monarchique. Oui, une monarchie non-constitutionnelle de droit divin, où contester la violation des normes de régulations sociales, proposer des règles consensuelles communes de vie en société, devient un crime. Oui, du 24 décembre 1999 jusqu’à ce jour aucune action sociopolitique, aucune action judiciaire civile internationale, n’a pu ébranler Alassane Ouattara et son système usine à Gaz pour les droits, pour les libertés et pour les règles démocratiques. Alassane Ouattara, n’a besoin, ni d’élection démocratique libre et transparente, ni de consensus politique, ni de dialogue républicain dans l’ordre du public, et autour de la chose publique, il se fiche des droits, des libertés, et des règles établies.

 

Or, Contrairement au métier politique endurcis de trucage électoral d’Alassane Ouattara le dictateur despote, il est universellement admis comme règle que le pouvoir démocratique légal et légitime s’entend comme issu des élections, sans tricherie planifiées, sans fraudes orchestrées, sans passage en force électoral schématisé et donc des élections, conforme aux normes internationales. Dans le respect des droits, des règles, des libertés, qui proscrit tout usage délibéré des armes «fusils» de guerres pour s'imposer, au mépris des principes universels de démocraties pluralistes. Donc une élection n’est crédible que si elle rencontre l’agrément de la totalité sociale qui consente consensuelle-ment à prendre les urnes de votes comme l’arbitre du corps social. Donc la participation politique attendue du citoyen à l’élection, se résume donc à une activité spécifique : celle par laquelle les membres de la Nation prennent collectivement part à la sélection des dirigeants et participent indirectement à la formation des politiques publiques. A défaut de ce principe aucun pouvoir n’est légitime. Ce qui n’est autre chose, qu’un coup d’arrêt irrecevable et inacceptable au processus démocratique de l’état de droit démocratique.

 

Mais hélas ! L’existence politique d’Alassane Ouattara, est une histoire de rapport de forces inouïe. Elle est une succession de dominations, par la valorisation de soi, qui passe par la négation des autres composantes de la société. Les autres qui sont ainsi astreint strictement aux soumissions seigneuriales variant au gré des évolutions des intérêts politiques existentielles d’Alassane Ouattara unilatéraliste et prédateur de jungle dans le temps. Oui, ici son ambition despotique non-avouée et cachée, est qu’il désire s’approprier la souveraineté populaire, pour asservir le peuple, et pour servir son ambition politique personnelle égocentrique de conservation absolue du pouvoir d’état. Ce bien suprême tant convoité, mais propriété exclusive du peuple souverain, qui le donne à qui, il veut par procuration élective. Or l’exercice du pouvoir d’état n’est pas une simple question d’association de malfaiteurs ou une concussion de vulgaires escrocs. Comme le veut Alassane Ouattara. Même si le pouvoir, sans le respect du droit, se voit de fait contrôlés par des opportunistes qui détournent le pouvoir en vue de leurs propres fins égocentriques.

 

Donc ici, en parlant de l’autorité de l’état, Alassane Ouattara s’efforce d’ignorer, que, les hommes qui gouvernent ne sont jamais l’état, y compris lui-même Alassane Ouattara, «si monarque devant l’éternel». Et que les spectacles souvent mortifères des luttes acharnées que les hommes politiques se livrent afin d’accéder au pouvoir d’état, ou surtout de conserver le pouvoir d’état, y compris en démocratie, ne doit pas nous tromper. Si les hommes politiques étaient l’état, comme dans l’entendement qui dicte les positions tranchées d’Alassane Ouattara dans l’ordre du public et dans l’ordre du commun, dès lors l’état républicain devenait une addition de volontés particulières guidée par des intérêts politique particuliers, la question posée serait une mauvaise posture. Parce qu’on ne pourrait pas attendre d’un délinquant politique ou d’un criminel politique qu’il borne lui-même ses désirs en s’imposant des règles de modération. Non !  C’est ainsi que quand, Alassane Ouattara, l’unilatéraliste, veut donner des ordres considérés comme mauvais et iniques, il use du non-droit de la menace, de la crainte et de la terreur. Or en clair, le despote dictateur Alassane Ouattara, n’est pas au-dessus du droit et il ne peut donc pas modifier à sa guise les vues populaires en matière de droit et d’injustice. Dans ce sens, son pouvoir est strictement limité. S’il veut aller à l’encontre de ce que la conscience populaire considère comme juste et impératif, il est obligé d’imposer ses ordres de non-droit, en se servant toujours des hommes de l’armés force publiques ou au surplus une milice secrète fidèle à son service despotique. D’où les crises sociopolitique sempiternelles, avec toujours des morts de citoyens zigouillés par ses rebelles de 2002 devenus l’armée nationale et ses milices déguisées ou Dozos. «Et par la suite une presse internationale aplatie et aux ordres comme en 2002-2O11 et 2020 fera, comme toujours le service de saupoudrages éhontés après crimes aux yeux du monde».

 

Or, à l’opposé du système de contrainte absolue du néo-monarchisme débridé voulu par le dictateur despote Alassane Ouattara, l’état de droit impose que l’exercice du  pouvoir soit la capacité de se faire obéir. Donc, que le peuple reconnaisse le caractère obligatoire de la législation publique. Oui, dans un état républicain de droit et en démocratie réelle, nul pouvoir ne doit obliger les citoyens, nul pouvoir ne doit s’imposer au peuple, et nul pouvoir ne doit  durablement gouverner un peuple, s’il n’est pas soutenu par l’autorité qui résulte de la croyance en sa légitimité populaire. Donc  les dirigeants doivent savoir maîtriser avec justesse et efficacité, la gestion de la chose publique, et les actions sociopolitiques dans l’ordre du public. Ceci dans tous les domaines : connaissance des conséquences de situations politiques, compréhension des situations sociales présentes, organisation socio-politico -communautaires et des hommes, anticipations des perspectives d’avenir dans le temps et dans l’espace et stratégies publiques, projets publics et décisions publiques. Oui, la démocratie est par essence consensuelle et la démocratie électorale est un apprentissage des limites et de l’autocontrôle, elle est aussi le respect de la diversité sociopolitique, de la pluralité idéologique, de la légitimité populaire, de la transparence, et du consensus républicain. Une démocratie électorale ne doit fonctionner que sur le mode du débat politique consensuel. Et l’unilatéralisme est le signe de son inexistence et son contraire diamétralement opposé. Alors, dans ce cas d’opposition diamétrale, nous ne sommes plus en démocratie. Puisque dans une démocratie, les institutions sont des créations humaines toujours datées, destinées à répondre aux volontés d'organisation de la société à un moment donné. La vraie démocratie qui est l’apprentissage des limites prescrites dit alors au revoir.

 

C’est pourquoi, la côte d’ivoire est devenue un pays de merde dans le concert des nations civilisées, avec cette situation de culture politique criminelle, cette culture du confus sociale, cette culture du sadisme opaque électoral, cette pratique obscurantiste et unilatéraliste mafieuse de satisfaire aux exigences d’une mafia internationale. Donc une situation crée à dessein par la dictature despotique d’Alassane Ouattara, il en résulte une situation sociopolitique où chaque portion de la société ivoirienne composite se sent attaqué dans son assisse juridique, sociale, politique, de liberté, de droit, par des intérêts mafieux du dictateur Alassane Ouattara exploiteur par excellence de la misère du peuple qui fait sa  piteuse fortune, maculée de sang citoyen et imbibée de larmes d’orphelins de pères et/ou de mères. Une richesse issue  d’une sale guerre d’agression déclenchée en 1999-2002. Le tout dans une société opprimée de jungle sous une dictature, ou le chacun pour soi et tout est permis, est la règle de vie, dans la course effrénée à la recherche criminelle de Dieu l’argent. La force restant au plus forts. D’où chacun est pris par sa différence sociopolitique et réduit à ce à quoi sa spécificité biologique ou confessionnelle le destine, ou l’autre n’est plus un frère, même pas un ami, mais un ennemi à exterminer ou à abattre a tout prix.

 

Une situation où, cette dictature unilatéraliste d’Alassane Ouattara, a le droit de tuer pour se remplir les poches. Ainsi riche il devient intouchable dans sa nouvelle ploutocratie qu’il espère, en implantant arbitrairement les armes de guerres impies au cœur des relations socio-politico-économiques, et en soutien des actions politiques de forfaitures. Vraiment ! Il est illusoire d'attendre de ce dictateur despote Alassane Ouattara, de se faire des soucis pour la légalité juridique et la légitimité populaire de son pouvoir mal acquit. Non ! Il est exclu ! Nous apprécions les efforts de tout le monde dans la recherche inlassable parfois ingrate du retour à la normale dans votre pays la côte d’ivoire. Mais la dictature d’Alassane Ouattara ne partira pas par la porte du convenue. Dans son cas soumis à l’analyse, la porte d’entrée dispose de la porte de sortie. C’est mon Avis ! Et faisons attention, un peuple souverain qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger avant la phase terminale. Donc ici, l’élection controuvée du 31 octobre 2020 avec Alassane Ouattara, qui briguait un troisième mandat en violation de tous les droits, de toutes les règles et de tous les principes universels, n’a été qu’une élection de façade validant un schéma préconçu de trucage orchestré par un des chainons de ce trucage qu’est la Commission électorale, organe jugé non équilibré par la Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples. Il n’y a pas eu d’élection ce jour. Avec un taux de participation à peine 5%, mais  insidieusement et sournoisement multiplié par DIX par la commission électorale, pour arriver au taux de participation de plus 50% (53%) pour saupoudré le trucage électoral à ciel ouvert de leur candidat payeur. Retenons que 53% des 7 495 O82 électeurs inscrits, fait près de 4.000.000 d’électeurs aux urnes. « Précisément 3. 972.394», qui a pu constater cette mobilisation, avec les bureaux de votes saccagés, des urnes cassés et brulés, des villes barricadées, des bureaux fermés, les rues désertes dans tout le pays ? Le ridicule ne tue pas dit-t-on ! «N’en déplaise a une presse dite internationale toujours aplatie et intéressée aux propagandes monnayables depuis 2002-2011 à 2020, pour ainsi couvrir les arrières casseroles très puantes, c’est le rôle a elle assigné».

 

*- Il faut se donner les moyens solides d’une Transition, est de Droit.

 

Donc ici, ce qui serait incontestablement une faute gravissime pour le peuple souverain ivoirien, serait de se contenter des discours politiques de commodités coutumiers. Face au pouvoir dictatorial et despotique d’Alassane Ouattara, qui ne changera pas de lui-même. Le pouvoir d’Alassane Ouattara ne quittera pas le pouvoir par la porte du droit et des règles démocratiques. Mais il faut retenir que, depuis la crise sociopolitique issue du troisième Mandat du dictateur despote Alassane Ouattara, le  peuple souverain de côte d’ivoire à résister à l’arbitraire de non-droit. Le peuple souverain de côte d’ivoire doit continuer de résister à l’arbitraire de non-droit et à la dictature. Parce qu’un  peuple n’a pas le droit de se résigner ou céder au fatalisme face à l’arbitraire. Il faut tenir debout, donc il faut être de toutes les luttes légales contre cette dictature unilatéraliste, ne pas céder un seul pouce de terrain de nos droits, de nos libertés et de nos devoirs, face à l’unilatéralisme d’Alassane, ne jamais être gagné par la résignation ambiante autodestructrice face à cette escroquerie morale et intellectuelle. En tenant compte qu’aucune victoire d’une dictature sur un peuple souverain déterminé à défendre ses droits, ses libertés, sa démocratie réelle à la face du monde n’est possible en ce 21e siècle. Et retenir que les empires dictatoriaux et despotiques les plus puissants, se maintenant par la puissance et la contrainte, ont certes souvent duré des décennies, mais ont fini toujours par s’effondrer sous les yeux du monde. Et aucun dictateur aussi puissant  et cruel soit-il, n’a pu se maintenir et maintenir son système, quand le peuple a décidé que les choses devaient changer. Ce n’est pas facile, le peuple hésite souvent, et puis un jour tout bascule ! Même prendre les armes contre un dictateur ou un système oppresseur devient le plus facile du monde. Ainsi la dictature despotique, qui régnait en maître absolu réalise alors que sa force ne reposait que sur le libre consentement des dominés qui peuvent décider de ne plus consentir à cette domination. « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection sous toutes ses formes est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ». On ne peut parler de légalité constitutionnelle que face à un pouvoir constitutionnel.

 

Le président américain Abraham Lincoln ! Disait que : « On peut mentir à quelqu’un tout le temps, on peut mentir à tout le monde un certain temps mais on ne peut mentir à tout le monde tout le temps » Donc, soyons attentifs, aujourd’hui plus que jamais ! Soyons prêts, aujourd’hui, plus que jamais ! Soyons déterminés, aujourd’hui, plus que jamais ! Ne cédons rien à la dictature d’Alassane. Ne lui abandonnons pas notre pouvoir souverain de peuple libre. Ne lui conférons pas l’autorité d’agir en notre nom et de porter notre parole dans le concert des Nations civilisées. Lui et sa camarilla guerrière savent très bien, que leur pouvoir ne repose que sur notre consentement de peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état, et ils savent qu’ils ne doivent pas tromper le peuple souverain, qu’ils ne doivent pas trahir le peuple souverain, ni même simplement décevoir le peuple souverain, car alors ils passeront en un rien de temps, de la gloire à la chute. La dictature d’Alassane et sa camarilla guerrière ont fait ses totems du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état, donc ils doivent logiquement chuter. Pour que nous « ivoirien » réapprenions à vivre à nouveau ensemble, réapprenions à rire à nouveau ensemble, réapprenions à apprécier à nouveau ce qu’il y a de meilleur en chacun de nous, au terme d’un vrai processus de réconciliation nationale. Ou nous ne demanderons pas d’oublier les conséquences de l’inacceptable et de l’injustifiable guerre de 2002 à ce jour, mais demanderons-nous d’essayer de pardonner, pour l’ordre social, pour l’harmonie communautaire, pour la paix sociopolitique et pour vivre en commun dans le respect des différences, qui admet hétérogénéité des sous cultures nationales. Le peuple souverain ivoirien doit tenir la barre en déclinaison pour la redresser vers la direction voulue par Félix Houphouët Boigny. Nous sommes convaincus, que le salut de la côte d’ivoire viendra du peuple souverain martyrisé, ultime détenteur du pouvoir d’état. Il faut absolument se donner les moyens d’une Transition de décomposition/recomposition salvatrice pour la stabilité communautaire et pour la paix sociopolitique. Le discours de propagande pour diversion orchestré et ventilé par des médiats aplatis, afin d’éluder ou de couvrir le trucage électorale est un mode arbitraire de domination tenu pour archaïque en ce 21 siecle. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).           

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2 novembre 2020 1 02 /11 /novembre /2020 15:35
-Soyons prêts même si on doit tous mourir pour notre chère Côte-d’Ivoire.

-Soyons prêts même si on doit tous mourir pour notre chère Côte-d’Ivoire.

Nestor Koffi (Comité de veille du Pdci): Alassane Ouattara n’est plus le Président de la république de Côte-d’Ivoire

(SOURCE PRESSE IVOIRIENNE)

-Car il a trahit le peuple souverain Ivoirien, pour n’avoir pas respecté son serment. Et selon le pacte qui le lie au peuple souverain, il tombe sous le coup de la rigueur de la loi fondamentale en son article 157 de la constitution.

-Disqualifié depuis le soir du 6 Août 2020 à la veille des 60 ans de l’indépendance de la Côte-d’Ivoire, dans un discours, qui devrait s’adresser à la nation, Monsieur Dramane Ouattara a préféré s’adresser à ses militants au mépris de la liberté collective acquise à un lourd pris.

-Sieur Dramane, toujours égal à lui-même, dans son mépris et arrogance congénitales, dans une dynamique de rattrapage ethnique outrancier pour confisquer tous les tabourets selon leur modus operandi, qui consiste à conserver à tous les pris le pouvoir d’état, afin de sauvegarder leurs intérêts acquis de manière matoise.

-Mais l’apothéose, c’est cette parodie d’élection illégale qui le rend encore plus illégitime, ce despote et imposteur à la tête de notre nation.

-Côte-d’Ivoire, ton destin est encore entre tes mains, seule ta détermination sauvera ta nation en péril par un prédateur sans foi ni loi.

-Personne, mais absolument personne, ne viendra faire notre bonheur à ta place.

-Dramane Ouattara est vomi par la communauté nationale tout comme la communauté internationale, à en croire le candidat illégal et illégitime, qui dit que nous n’avons pas besoin des normes de l’Occident. C’est une véritable contradiction, car la croissance qu’il brandit, le développement, la démocratie et l’état de droit font partie des normes en question et ce ne sont pas nos inventions.

-C’est pourquoi le peuple souverain Ivoirien doit demeurer dans la désobéissance civile, démocratique prescrite, par notre loi fondamentale.

-Peuple souverain Ivoirien le pays nous appelle.

-Si dans notre détermination nous ramenons la paix et la liberté, nous serons un modèle pour la Côte-d’Ivoire, pour l’Afrique voire le monde tout entier.

-Restons mobiliser et attentif au mot d’ordre ou la déclaration de l’opposition.

-Le RHDP unifié nous déclare la guerre à travers ses menaces et intimidations, il ne faut point céder à la peur ni au découragement qui n’est pas ivoirien dixit le Père fondateur FHB.

-Soyons prêts même si on doit tous mourir pour notre chère Côte-d’Ivoire.

-Contre vents et marées Dramane Ouattara n’a pas reculé et il a réussi à rendre le pays ingouvernable.

-Nous n’avons pas le droit de céder ni capituler, car beaucoup dès notre ont versé leur sang pour avoir dit oui à l’appel de notre mère patrie.

-Pour sauver la Côte-d’Ivoire non n’avons pas le choix que de nous engager résolument, afin de la sauver de la dérive autoritaire et dictatoriale voire tyrannique.

-C’est un impératif, un devoir citoyen de prendre nos responsabilités devant l’histoire, afin qu’un jour , la nation reconnaissante, inscrive en lettre d’or sur le fronton du panthéon Côte-d’Ivoire, nos noms avec fierté pour les générations futures.

-Que Dieu bénisse l’opposition. Vive la Côte-d’Ivoire réconciliée et apaisée pour le mieux vivre ensemble.

-Le comité de veille. NK

(SOURCE PRESSE IVOIRIENNE)

******************************

Notre commentaire : Le despote Alassane Ouattara dit ne pas avoir besoin des normes démocratiques de l’Occident. Mais « il faut laisser l’Afrique aller à la démocratie à son Rythme » prononcée devant François Mitterrand à la Baule par Moussa Traoré alors président du Mali, est la phrase qui a renversé celui-ci tout puissant Général d’Armée. Peut-être que François Mitterrand a une compréhension universelle de la démocratie non-accessible à TOUS. Y compris à Emmanuel Macron…

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30 octobre 2020 5 30 /10 /octobre /2020 18:23
Qui a dit élection en côte d’ivoire ? C’est la guerre au peuple ! Avec «14.000 policiers, 14.000 gendarmes et 7000 soldats» dans les bureaux de vote le jour du scrutin. Une opération baptisée «Barrissement de l'éléphant».

Qui a dit élection en côte d’ivoire ? C’est la guerre au peuple ! Avec «14.000 policiers, 14.000 gendarmes et 7000 soldats» dans les bureaux de vote le jour du scrutin. Une opération baptisée «Barrissement de l'éléphant».

Qui a dit élection en côte d’ivoire ? C’est la guerre au peuple ! Avec «14.000 policiers, 14.000 gendarmes et 7000 soldats» dans les bureaux de vote le jour du scrutin. Une opération baptisée «Barrissement de l'éléphant».

Le droit universel interdit la présence de ces hommes armés dans espace de vote et salle de vote. Le seul éléphant capable de Barrir aux élections est le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état. Oui, un vrai processus électoral n'a qu'une seul finalité : disqualifier politiquement l'usage de l’unilatéralisme dans les assemblées électorales. Pour cela, le droit universel établi une sorte de cordon protecteur : la prohibition de l'usage des armes dans l’espace électoral et dans la salle de vote. Donc ici légalement les forces armées se voient exclues de l’espace de vote et dans la salle de vote. Qui est un espace réglementé où la présence des agents de la force publique est fortement limitée aux constats civils. Cet espace de vote et salle de vote ainsi réglementé échappe à l'autorité étatique pour n'appartenir qu'à l'appréciation de la totalité sociale souveraine ultime détenteur du pouvoir d’état. Même les présidents de bureaux de votes sont étroitement surveillés afin d'éviter leurs tentations à des fins partisanes. C’est ainsi qu’en devenant conforme aux principes universels, l'acte du vote débouche sur un ordre conventionnel qui désarme la violence. Il vient interdire l'usage d'un certain répertoire d'action politique unilatéraliste. En se voyant chargé d'exprimer fidèlement la souveraineté du peuple, le vote acquiert les attributs symboliques du sacré. Ainsi le dessin du peuple définit l'élection comme le seul mode légitime de dévolution du pouvoir d’état. Parce qu'en faisant de l’organisation électorale qui conduit aux votes l'œuvre de tous, il impose le résultat électoral au respect de tous. Parce qu'en permettant à chacun de poursuivre sans violence le redressement de ses griefs, ce vote consensuel désarme la violence. Dans un processus électoral, la violence de l’unilatéralisme n'est que l'expression la plus antagonique du droit de suffrage. Elle n'est que  l'affirmation en acte de la volonté de certains d'infléchir et donc de corrompre le destin du peuple et d'autrui. Elle est, plus fondamentalement, un mode de domination tenu pour archaïque au 21e siècle.

Donc, une élection n’est crédible que si elle rencontre l’agrément de la totalité sociale qui consente consensuelle-ment à prendre les urnes de votes comme l’arbitre du corps social. Donc la participation politique attendue du citoyen à l’élection, se résume donc à une activité spécifique : celle par laquelle les membres de la Nation prennent collectivement part à la sélection des dirigeants et participent indirectement à la formation des politiques publiques. Le vote citoyen devient, ce faisant, la forme légitime sinon exclusive de la participation citoyenne a la publique. Les démocraties n'ont de cesse de le présenter comme un acte pacifique, organisé, régulier et prévisible ; un acte en tout point opposé aux formes d’Animosité » de participation politique définies elles comme violentes, inorganisées et irrégulières. Donc le rejet de la violence unilatéraliste en tant que mode d'action politique impose notamment de créer un organisme électoral consensuel neutre, susceptibles de dissiper la menace dans le processus électoral. Le vote au terme du processus électoral tend dès lors à opposer à l’unilatéralisme, une adhésion consentante, libre, silencieuse par laquelle s'établit « rituellement » mais pacifiquement le mécanisme politique de la délégation du pouvoir d’état.

Qui a dit élection en côte d’ivoire ? Avec  «14.000 policiers, 14.000 gendarmes et 7000 soldats» dans les bureaux de vote le jour du scrutin. Non ! C’est la guerre au peuple ivoirien !

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28 octobre 2020 3 28 /10 /octobre /2020 16:44
Lepetitfils : Les fusils de Ouattara seront à l’arrivé des élections saupoudrés d’une pseudo-légalité déjà goupillée dans son schéma de passage en force électoral. Autant jouer sa vie ici et dès maintenant ! Oui chasser Ouattara est la seule phrase audible et intelligible pour le citoyen ivoirien digne de ce Nom. Donc avant le 31 octobre 2020, il faut chasser-lui et son système anti-droit, antisocial, antihumain, éphémère, primaire, anomique, chaotique, sans mémoire et sans avenir, qui fragilise le socle de la nation, qui excelle dans le summum de l’irresponsabilité.

Lepetitfils : Les fusils de Ouattara seront à l’arrivé des élections saupoudrés d’une pseudo-légalité déjà goupillée dans son schéma de passage en force électoral. Autant jouer sa vie ici et dès maintenant ! Oui chasser Ouattara est la seule phrase audible et intelligible pour le citoyen ivoirien digne de ce Nom. Donc avant le 31 octobre 2020, il faut chasser-lui et son système anti-droit, antisocial, antihumain, éphémère, primaire, anomique, chaotique, sans mémoire et sans avenir, qui fragilise le socle de la nation, qui excelle dans le summum de l’irresponsabilité.

(A LIRE ABSOLUMENT, EN RENDRE COMPTE, ET EXPLIQUER AUTOUR DE SOI. C’EST D’INTÉRÊT PUBLIC. SVP. UN PEUPLE CONTRAINT ET OBLIGER PAR LA FORCE DES ARMES, EST UN ENNEMI NON-VAINCU. MAIS UN PEUPLE CONVAINCU ET PERSUADER, EST UN ALLIÉ A VIE.)

 

*-La pratique électorale proscrit tout usage délibéré des armes pour s'imposer, au mépris des principes universels

 

Eh bien oui ! Maintenant sauf miracle, sauf sursaut de dernière heure, le pire est a la porte du Navire ivoire couverte d’une pseudo-légalité, d’une forfaiture de pseudo-légitimité. Oui, Trois (3) petits jours pour arriver à obvié le naufrage, dans ses droits, avec ses droits et pour ses droits. Apres le 31 octobre 2020, le soutien aujourd’hui unanime au peuple ivoirien s’effritera peut-être et perdra peut-être caution dans le monde. Ici la règle qui régit les rapports dans ce cas la communauté internationale à tout état membre est : « qu’il ne convient pas d’aller contre la volonté du peuple souverain consentant ». Tout au moins, c’est ce qu’elle a soutenu en 1933 quand Adolf Hitler s’est fait élire le 05 Mars 1933 avec 43,91% des voix. Donc ici, ni alarmiste, encore moins  désespéré, mais nous avons les mêmes prémisses qui ont conduit à la crise « guerre » de 2010, une élection présidentielle ivoirienne truquée sur  toute la ligne. Il y a incontestablement péril et le feu à la maison ivoire ; La côte d’ivoire se prépare à des électorales prétendument démocratiques le 31 octobre 2020, alors que le pouvoir ploutocratique et absolutiste d’Alassane Ouattara avec une cooptation politicards mercantilistes, s’affairent au vu et au su de tout le monde, pour la confiscation/conservation du pouvoir d’état au terme de l’élection du 31 octobre 2020, qui leurs sont habituels. Le communiqué de la Commission Electorale d’Alassane Ouattara relative à la distribution des cartes, déclaré a 3 084 288 électeurs qui ont retiré leur carte ; soit 41,15% des 7 495 082 électeurs inscrits sur la liste électoral et la possibilité offerte aux électeurs via un dispositif particulier qui sera installé à cet effet pour les permettre de retirer leur carte, le 31 octobre 2020, jour du scrutin, dans leur bureau de vote respectif, est le présage de la confiscation du pouvoir d’état déjà schématisé pour proclamé le candidat de la Commission Electorale Alassane Ouattara vainqueur avec plus de 99,99% des voix attribués gratuitement et avec plus de 50% de taux de participation attribué. Ceci est  le schéma qui a forgé tout le processus électoral. Et les Armes  «fusils» imposeront le reste avec une légalité juridique usurpée et une légitimité populaire accaparée.

 

C’est pourquoi, Alassane Ouattara a déverser dans tout le pays ses miliciens, «Yopougon, Bonoua, Bongouanou, Dabou, Adzopé, Divo, Daoukro, Gagnoa, Bangolo etc,» ces cités sont bien servi en sicaires de la république par  Alassane Ouattara. Les agressions des populations ont fait de nombreuses victimes dont 70 morts qui portent le total à plus de 100 Morts, de nombreux Blessés près de 500 et 250 Arrestations/Séquestrations, depuis le debut de la crise du 3e Mandat. Oui, il  y a extrême danger ! Le navire ivoire avec sa déviation criminelle actuelle sous la coupe d’un pouvoir Mafieux, usurpateur de la souveraineté populaire, calculateur, manipulateur, aux stratégies funestes de confiscation du pouvoir d’état, au terme de passages en force électorale qui piétine tous, «Droits, Libertés, Règles universelles» est comme une piteuse pauvre Dame sans défense, trimbaler par le courant d’eau du Fleuve, qui fait des mimiques chemins faisant vers la gueule du crocodile, qui attend impassible, le festin pervers, sadique prévu pour le 31 octobre 2020. Donc, la pauvre côte d’ivoire coule, la côte d’ivoire s’exsangue, la côte d’ivoire est devenue un pays de merde dans le concert des nations civilisées. Pour s’en persuader osons comparer les années 1960 aux années 2011 à ce jour de 2020, le chaos socio-politico-communautaire est là, patent, ostensible et indéniable. C’est du classique, avons-nous dit et répéter, un système de trucage électoral, donne la plupart des temps, naissance à une dictature pure et dure sous l’aval d’une démocratie de façade. Donc ici, ni alarmiste, encore moins désespéré, mais à la cherche de régulation pour prévenir le pire si encore possible dans six (6) petits jours.

 

Donc c’est parce que, nous vivons une accalmie qui précède l’orage et la tempête à partir du 31 octobre 2020, qui conduiront à une damnation certaine programmée par un pouvoir prédateur, nihiliste et iconoclaste. Les présages qui ont précédé les élections de 2010 avec les mêmes travers politiques d’Animosité de ce  pouvoir déviant marqué par le seau indélébile du sang humain versé des 18-19 septembre 2002 à ce jour de 202O, sont manifestement-là ostensibles. Donc, c’est parce que, nous tendons vers une nouvelle crise sociopolitique certaine après le 31 octobre 2020,  que le pouvoir d’Alassane Ouattara, l’unilatéraliste arbitraire, prédateur de jungle toujours au aguet de son piège, de passage en force électoral pour assurer ses arrières casseroles notoirement puantes, se propose de gérer après élection du 31 octobre 2020, que dès maintenant, le peuple ivoirien, doit risquer le pire pour obvier le danger d’une crise nouvelle programmée. Ce qui signifie en clair que la crise risque de s’aggraver, qu’elle n’est pas derrière, qu’elle est à nos côté évoluant vers 2025 ou Alassane Ouattara serait encore Candidat pour un quatrième Mandat «les deux premier ne comptant pas».  Oui, dans ce décor, il est exclu de vouloir ériger un état républicain de droit digne de ce nom, avec des bouffe-tout au commande de l’état, peu ou pas au fait des droits et obligations qui sont les leurs. Dans ce cas il devient illusoire de vouloir installer un état de droit, là où le passage en force électoral, est devenu ostensiblement la règle de vie politique. D’où il devient inutile d’espérer de l’organisation des élections pluralistes républicaines véritablement démocratiques, là où derrière une république de façade se cache un système ploutocratique absolutiste aveugle et mafieux, un absolutisme ploutocratique voyou.

 

Le peuple souverain ivoirien doit se décider synergique-ment pour arrêter la dynamique démoniaque des passages en force électoraux, des artisans du trucage électorale de 2010. Qui soutiendront encore en  nouveaux aujourd’hui que: Le véritable adversaire de, Ouattara serait le taux de participation, qu’ils fixeront gratuitement à l’arrivée au-dessus de 50% pour saupoudré le trucage électoral. Alors que dans la schématique de leurs passage en force préparé, programmé et goupillé, le 31 octobre 2020, le véritable électeur d’Alassane Ouattara est la commission électorale a son ordre, parce que composée uniquement par les partisans de Alassane Ouattara pour s’affirmée «au mépris des décisions de Cour Africaine des Droits de Homme et Peuple», n’être qu’un chainon de passage en force électoral. Le 31 octobre 2020, le véritable électeur d’Alassane Ouattara serait l’autre chainon stratégique de passage en force électoral, qu’est Le conseil constitutionnel avec une décision de validation judiciaire d’élucubration éhonté. Le 31 octobre 2020, le véritable électeur d’Alassane Ouattara serait ses forces armées commis au rôle d’imposition du passage en force électoral, ainsi maquillé d’une pseudo-légalité et d’une pseudo-honteuse légitimité populaire, par l’usage de la force armé, ou les milices d’Alassane Ouattara seront au rendez de l’usage des armes. Le véritable électeur d’Alassane Ouattara le 31 octobre 2020, serait les grands intérêts mafieux prés a piétiné les intérêts légitimes du peuple ivoirien pour soutenir le trucage électorale d’Alassane Ouattara pour préserver leurs intérêts mafieux condescendants. C’est ça qui est la vérité ! Des élections du 31 octobre 2020. Donc il faut absolument et indispensablement arrêter la dynamique démoniaque des passages en force électoraux, avant le  31 octobre 2020. Notre survie en dépend. Sinon les rêves d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociopolitique sans lesquels il y a point de développement, la volonté unanime d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et d’une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par le père Felix Houphouët Boigny, la paix et la stabilité demeureront une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays. Oui passé en force le 31 octobre 2020 ? Alassane Ouattara serait bel et bien candidat en 2025 pour son 4e mandat les 2 premiers ne comptant pas.

 

Si le peuple souverain ivoirien doit rester maitre de son destin chez lui et dans le concert des nations, au mépris de la volonté d’Alassane Ouattara, qui viole à souhait et a volonté le droit du peuple à disposer de lui-même,  il faut ici et maintenant, une intervention populaire sous toutes ses formes une insurrection quelle qu’elle soit sous toutes ses formes, pour la défense des droit bafoués, des libertés confisquées et pour la restauration d’un état de droit, toutes choses qui sont largement justifiée aujourd’hui en côte d’ivoire. Retenons ceci formellement : Face à l’arbitraire d’un pouvoir d’état, un peuple souverain qui est prêt à renoncer à ses droits, à ses libertés pour se sentir en sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre. Mais tout peuple qui a le courage de ses actions sociopolitiques et de ses opinions souveraines, face à l’arbitraire d’un pouvoir d’état et surtout face à l’unilatéralisme nihiliste et iconoclaste au risque de sa vie, à le pouvoir de conquérir ses droits, ses libertés et de changer sa société. Et l’ivoirien doit être capable de changer sa société en lambeau. Donc il est temps et grand temps, que le peuple souverain, sous le gyroscope  des partis politiques de tout bord se rejoignent maintenant pour aborder le virage décisif des élections du 31 octobre 2020 tous ensemble pour mener l’ultime combat libérateur ou rien ne doit manquer « casse, fumé, flamme, route barrée, pate d’oies fermées, circulation interrompue, etc. » LE peuple doit savoir à qui appartient la force y compris publique du pays... Pour arrêter cette dynamique démoniaque la solution est celle suscitée, qui n’a pas de succédané. (*- Quand on va jusqu'au bout de la nuit, on rencontre une autre aurore. *- Oui ! « Pour rencontrer l'espérance, il faut être allé au-delà du désespoir. *- On ne va jusqu'à l'espérance qu'à travers la résistance, au prix de grands efforts).Oui, a la vie ! Le peuple doit vivre avec ses droits.

 

Résister à l’arbitraire, c’est un  devoir absolu de peuple souverain libre. Donc résister à l’arbitraire coûte-que-coût bon an, mal an, même au prix extrême des vies physiques est devoir souverain. Le peuple ne doit pas s’aliéné, le peuple ne doit pas s’assujettir, à la volonté d’Alassane Ouattara. Donc le peuple doit payer le prix juste de la défense de ses droits citoyens, sans lesquels, le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état est réduit à l’état Animal de « Bouc » et de vache qui ne demande qu’à manger, bien que, entre les mains de boucher a l’Abattoir. Résister à l’arbitraire, c’est un  droit : « Quand les gouvernants violent les droits du peuple, la ligue est pour le peuple ou pour toute partie du peuple, le plus élémentaire des droits et le plus sacré des devoirs ». Donc Peuple ivoirien à tes droits, à tout tes droits, à tes libertés, à toutes tes liberté, sans retenu. Nous sommes convaincus, que le salut de la côte d’ivoire viendra de toi, peuple souverain martyrisé, ultime détenteur du pouvoir d’état. Le peuple souverain de côte d’ivoire peut maitriser son destin sans Alassane Ouattara et chacun du peuple composite, chacun peut maitriser son avenir individuel sans Alassane Ouattara. Résister à l’arbitraire, c’est un  devoir absolu de peuple souverain libre. Pour préserver les voies de la démocratie, du droit, de la liberté, de la justice, de la stabilité socio-politico-économique, de la paix sociale pérenne. Et pour unir la nation contre ce pouvoir clanique unilatéraliste, absolutiste et déviant d’Alassane Ouattara qui veut diviser la côte d’ivoire, pour mieux la déchirer et régner comme Charlemagne. Or, du Sud ou Nord, de l’Ouest ou de l’Est, nous sommes tous ivoiriens qui ont vécus ensemble depuis 1960 jusqu’à Septembre 2002 sans accros intercommunautaires majeurs.

 

Oui, Alassane Ouattara, a la réputation notoire d’être intransigeant autour de la chose publique de l’état et dans l’ordre du public, espace d’évolution de la totalité sociale souveraine, «Fausses élections truquées, modification constitutionnelle unilatérale estampillée nouvelle constitution, Usurpation de la souveraineté populaire du peuple à volonté, a souhait dans le processus d’élection démocratique. Des élections avec moins de 15% de taux de participation pour se dire élu ». Tout y est  et y passe allègrement avec Alassane Ouattara. Il n’excelle que dans l’animosité de l’antagonisme politiques intransigeants et le sectarisme des appartenances politiques, au mépris de la cause d’intérêt national. Il faut nécessairement arrêter la dynamique démoniaque de cette politique d’Alassane Ouattara, qui décide seul de tout. Or quand une seule personne décide de tout dans un état de droit dit républicain, c’est ce qu’on appelle la dictature ou la monarchie républicaine. Alassane Ouattara est un néo-monarchiste débridé, imposé par les armes d’une mafia internationale. Il revendique la souveraineté totale et absolue. Il se met au-dessus du droit et de la constitution. Ce qui veut dire que, le peuple souverain ivoirien, n’est qu’une vache qui ne demande qu’à manger, bien qu’entre les mains au  couleur du sang du  boucher a l’Abattoir.

 

Or les principes universels veulent que, dans un système réellement démocratique, dans un état républicain de droit, le gouvernement est confié pour un temps à des hommes bien élus par leurs concitoyens et responsables de leurs actes de gouvernances. Si le pays est content d’eux, il les maintiens au pouvoir ; s’il n’en est pas content, il les change, sans bruit, sans violence, par le seul effet de ses suffrages. Or dans une monarchie, on n’arrive à se débarrasser d’un maître, oppresseur ou injuste, qu’au moyen d’une révolution citoyenne; malheureusement le fusil d’une meute de soudards devient souvent, l’instrument de la délivrance populaire. Donc ici, dans un système réellement démocratique, d’un état républicain de droit, l’arme toute puissante au moyen de laquelle on arrive à conquérir toutes les libertés et réaliser tous les progrès, est le suffrage universel. Parce qu’il renforce l’obligation pour l’individu de donner à son activité une orientation qui tienne compte de son appartenance à une communauté nationale de destin et de son insertion dans la société commune citoyenne, c’est-à-dire des liens d’interdépendance qui le rattachent hermétiquement à ses concitoyens. Donc point d’unilatéralisme aveugle.

 

Donc ici, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, y compris la présidence de la république «Alassane Ouattara», sont les subordonnées du processus électoral, elles doivent s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens le plus large. Et doivent aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. C’est pourquoi de par le monde, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. De même, les partis et les candidats ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. Cette élection juste s’inscrit toujours dans un processus électoral transparent, consensuel, et dans un système électoral équitable, qui puisse garantir des chances égales pour tous les participants, avec une commission électorale Autonome, neutre, impartiale et transparente. Qui aussi exige formellement l’absence d’intimidation d’où qu’elle vienne et quelle qu’elle soit. Donc la confiance de tous les acteurs, citoyens électeurs et candidats en compétition dans chaque étape du processus électoral est indispensable à l’intégrité électorale. L’intégrité électorale est donc, un facteur indispensable à la crédibilité du processus électoral, elle va bien au-delà de l’absence de manipulation, de trucage et de fraudes. Elle englobe la volonté de concevoir et d’aligner le cadre juridique des élections ainsi que les règles et les pratiques électorales avec  les engagements internationaux en matière des droits de l’homme.

 

Donc ici, le pouvoir démocratique légal et légitime s’entend comme issu des élections, sans tricherie planifiées, sans fraudes orchestrées, sans passage en force électoral schématisé et donc des élections, conforme aux normes internationales. Dans le respect des droits, des règles, des libertés, qui proscrit tout, usage délibéré des armes «fusils» de guerres pour s'imposer, au mépris des principes universels de démocraties pluralistes.  Il faut chasser Alassane Ouattara incapables de satisfaire aux légales exigences rigides du droit. Ne nous trompons pas, les fusils de Alassane Ouattara seront à l’arrivé des élections saupoudrés d’une pseudo-légalité déjà goupillée dans son schéma de passage en force électoral. Autant jouer sa vie ici et dès maintenant ! Oui chasser Alassane Ouattara est la seule phrase audible et intelligible pour le citoyen ivoirien digne de ce Nom. Donc avant le 31 octobre 2020, il faut chasser Alassane Ouattara et son système anti-droit, antisocial, antihumain, éphémère, primaire, anomique, chaotique, sans mémoire et sans avenir, qui fragilise le socle de la nation et qui excelle dans le summum de l’irresponsabilité politique dans la gestion des affaires publiques, les élections en sont une. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile)

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24 octobre 2020 6 24 /10 /octobre /2020 15:49
Lepetitfils : Le peuple souverain ivoirien doit avoir le courage de s’affirmer comme le souverain absolu, ultime détenteur du pouvoir d’état, son avenir en dépend. Cette affirmation légale de la souveraineté du peuple, se fait au terme de l’administration d’un coup de pied légal, pacifique, synergique, très bien ajusté au cul de l’arbitraire de la dictature, et il fiche le camp sans faute, il dégage sans faute, pour laisser la place à la paix sociale. Il faut chasser Alassane Ouattara et ses Bouffe-tout, incapables de satisfaire aux légales exigences rigides du droit.

Lepetitfils : Le peuple souverain ivoirien doit avoir le courage de s’affirmer comme le souverain absolu, ultime détenteur du pouvoir d’état, son avenir en dépend. Cette affirmation légale de la souveraineté du peuple, se fait au terme de l’administration d’un coup de pied légal, pacifique, synergique, très bien ajusté au cul de l’arbitraire de la dictature, et il fiche le camp sans faute, il dégage sans faute, pour laisser la place à la paix sociale. Il faut chasser Alassane Ouattara et ses Bouffe-tout, incapables de satisfaire aux légales exigences rigides du droit.

*- Huit (8) petits jours pour devenir maitre de son destin. Les grincements de la Roue de l’Histoire qui tourne.

*- (A LIRE ABSOLUMENT, UN REMÈDE SALVATEUR Y TROUVE).

Il faut chasser Ouattara et ses Bouffe-tout. Il faut absolument chasser avant le 31 octobre 2020, ce banditisme politique d’un système de voyoucratie archaïque, qui entretien sciemment une instabilité sociopolitique. Oui, En politique, il n’est d’autre moyen de fonder la légitimité démocratique d’un pouvoir d’état que de faire partager à l’ensemble des citoyens libres, la conviction que leur volonté s’exprime à travers les représentants qu’ils se sont librement choisis. Mais hélas ! Tout serait parfait et sans problème, dans cette logique de partage de la légitimité démocratique, si ne se posait pas comme droit, la question d’un éventuel départ du monarque par les élections démocratiques. Ah oui, dans les démocraties, c’est d’un rigorisme absolu, que cette éventualité de départ soit très simple: il suffit d’être battu aux élections ou de ne pas se représenter pour que les casseroles mafieuses puantes soient exposées à d’éventuelles ouvertures judiciaires à la demande du peuple souverain rentré dans ses droits.

C’est pourquoi, les dictatures optent pour pas d’élections transparentes possibles ou du moins pas d’élections susceptibles de mener à un changement sociopolitique quelconque. Ce qui conduit à l’ostracisme politique, à l’Apartheid électorale, à l’excommunication judiciaire, à l’anathème sociale, de ceux qui peuvent précipiter cet éventuel départ, par élections démocratiques pluralistes. Et conséquence, ce à quoi ça conduit ? Eh bien ! : Les élections bâclées et truquées dans un système de confiscation du pouvoir d’état. Ou tout doit-être « déjà géré, déjà calé, déjà bouclé » pour ne pas que le monarque ou la monarchie perd le pouvoir d’état. Les élections ne deviennent alors qu’une exécution de ce qui est déjà programmé. Oui, Moi et mes fusils ou la terre brulée. Parce que l’abandon du pouvoir peut mener à l’exil, a un (TPI) Tribunal Pénal International ou la fameuse (CPI) Cour Pénale International pour crime contre Humanité. Donc le dictateur doute et redoute et souvent l’option prise, est le pourrissement de la situation pour arriver au chaos sociopolitique, qui peut servir d’Alibi de confiscations du pouvoir pour gagner du temps. Et  Ça marche parfois souvent, mais pas toujours. Du coup, le dictateur reste accrocher au pouvoir. Et en despote éclairé que par le manichéisme, le dictateur finit par s’incruster, faute de solution de sauvetage valable.

Ou à l’inverse si les citoyens légitimes arrivent à détester les actes politiques par procurations électives, et découvrent subitement qu’ils ne sont plus ce qu’ils ont été avant, Paf ! La débilité mentale s’installe et le peuple scrute dans la direction de ses gyroscopes qui indiquent la ligne directe, ou les dégâts se dessinent à l’horizon. On voit que, ça décale, ça dé-gère, ça déboucle, que c’est gâté. Le dictateur est obligé de partir en Catimini en prenant la tangente. De toute façon mieux vaut finir à la Moussa Traoré ou à la Ibrahim Boubacar Keita du Mali, et a la Osni Moubarak, que de finir à la Saddam  Hussein ou la pendaison est au Rendez-vous ou à la Mouammar Kadhafi, «nous n’aimons pas cet images». Cela vaut mieux de finir au Trou ou en Exil pour tout le monde y compris pour le Pays, qui est prêt de payer le juste prix de ce départ du dictateur. Mais quoi qu’on fasse au bout du rouleau compresseur, hélas ! C’est gâté, tout est « Gnagami ». Donc Vive le chaos sempiternel. Le monarque doit se chercher à tout prix, une porte de sortie nocturne, avant que le peule ne le rattrape. Le peuple restaurer ultime détenteur du pouvoir d’état est à la Fête, «dans une côte d’ivoire nouvelle». Parce que l’histoire ne pardonne pas la déshumanité d’un pouvoir et le peuple ne pardonne pas la trahison, dont la trace est indélébile. Si la mort ne sauve pas un dictateur les peuples lui règle toujours son compte. Ça toujours été ainsi depuis que le monde des hommes est Monde.

Donc, c’est maintenant qu’il faut chasser Alassane Ouattara et ses Bouffe-tout incapables de satisfaire aux légales exigences rigides du droit. Le peuple doit se battra pour sa survie. Aujourd’hui, en côte d’ivoire, on est d’abord d’un clan politique, d’une tribu, d’une ethnie, d’une région, d’une communauté régionale, musulman ou catholique, avant d’être vu comme citoyen ivoirien libre. Autrement dit qu’on relève en priorité de ce qu’un héritage politique, tribal, ethnique, régional, communautaire et religieux a fait de nous. C'est-à-dire une concrétion de moi plutôt qu’une convergence de nous. L’ouverture conditionnelle, dans la soumission seigneuriale de l’autre, opposé aux murs diviseurs. Plutôt que l’intégration salutaire et salvatrice des autres dans un, tous ensembles solidaire, par une politique de vraie réconciliation nationale. Et par un processus de dialogue républicain, dans une politique de développement national global. Oui, le socle politique, du système du pouvoir d’Alassane Ouattara, permet non pas de rassembler solidairement, les spécificités nationales, ou d’intégrer les différences nationales, mais plutôt de diviser habilement le corps social en segments, devenus malléables, de désintégrer les destins collectifs pour mieux exacerber les particularités, hier solidaire et rafistolé qui les ont réellement enrichis. « Donc la Nation se déchire ».

Ceci pour pouvoir ainsi régner sur une nation martyrisée. Ici on est dans la logique belliqueuse, obscurantiste et guerrière, qui veut que l’affirmation de soi passe par la négation des autres. Que la valorisation de soi passe par la dévalorisation des autres. L’autre n’est fréquentable que soumis. Le système du pouvoir d’Alassane Ouattara, excelle dans un clanisme de copinage, qui se nourrit de la politique de haine. Fait de mépris pour les autres appartenances, d’exclusion politique, de dénie de droit, de division du corps social par segments de petit terrains électoraux et de chasses gardées communautaires pour régner, du mensonge politique et du mensonge d’état en fanfare. Oui, il faut chasser Alassane Ouattara et ses Bouffe-tout, incapables de satisfaire aux légales exigences rigides du droit. Les chasser, est un droit inaliénable du peuple. Ça toujours été ainsi depuis que le monde des hommes est Monde. L’histoire en regorge de multiples exemples de dictatures rattrapés par leurs peuples.

La Roue de Histoire tourne rien ne peut l’arrête. C’est pourquoi, nous nous bornerons, ici à observer que le cynisme politique du monarchisme absolu, et du pouvoir absolu d’Alassane Ouattara, n’est pas seulement une faute morale, mais aussi une faute grave de technique politique. Oui, si ce cynisme politique, dont la valorisation de soi passe absolument par la négation des autres, était fondateur de quoi que ce soit, l’histoire ne serait faite que d’empires éternels et de Reich millénaires. Oui tout ce sur quoi d’autres dirigeants avaient fondé leurs grandes politiques de conservation du pouvoir, quitte à fouler aux pieds les principes de démocratie, les droits et les libertés, se sont effondrés sous leurs yeux de leur vivant. Récitons quelques exemples pour rafraichir les mémoires de la passion politique du pouvoir absolu : Premier de tous les exemples, l’Allemagne de Hitler et viennent ensuite les exemples suivants; le Cambodge des Khmers rouges, de Saloth Sâr dit  Pol-Pot, le Chili de Pinochet, l’Indonésie de Suharto, l’Argentine de Videla, les Philippines de Marcos, La Yougoslavie de slobodan Milosevic , l’empire centrafricain de Bokassa, l’Ouganda d’Idi Amin DADA, le Mali de Moussa Traoré et suivants, le Zaïre de Mobutou Sessé SEKO, le Nigeria de Sani Abacha, le Liberia de Charles Taylor, La Serra Léone de Fodé Sangho , la Guinée de Sékou et suivants, l’Haïti de François Duvalier « Papa Doc » et de Bertrand Aristide, l’Afrique du Sud de Piter Botha, la Tunisie de Ben Ali, l’Egypte d’Osni Moubarak, la Lybie du guide Mouammar Kadafi, le Yémen du Maréchal Ali Abdallah Saleh, le soudan d’Omar Hassan Ahmed el-Bechir, et l’Algérie Abdelaziz Bouteflika. Sans oublier la Grèce des petits fils de Thucydide moteur de la grande Europe tous les Temps en extase. Tout aussi comme ces jours de Mai 68 le Général DE GAULLE désorienté par les manifestations citoyennes « des arrières petit-fils de 1789 », avouait. (Je n’y peux plus rien, rien n’obéit plus, les ministres ne commandent plus rien, ça fiche le camp, je n’ai plus rien dans les mains, donc je ne peux plus rien faire, il faut que je m’en aille), et le Général rendait le tablier avec sa multitude de vaillants généraux «face aux Merdes qui volaient en escadrilles». Aussi le bloc communiste et l’équilibre de la guerre froide, le mur de Berlin est tombé au son du violoncelle de l’union retrouvée, comme jadis le mur de Jéricho est tombé aux accents de la trompette des libertés. Mais il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir et pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Mais le peuple a le devoir absolu de faire entendre et de faire voir.

Oui ! Il faut changer de route pour la côte d’ivoire et avec le peuple ivoirien, pour le peuple ivoirien et par le peuple ivoirien. Oui, si notre pays la Côte d’Ivoire, doit être au rendez-vous de la démocratie moderne digne du 21ème siècle, le fondement de notre démocratie doit être le droit universel dans toute sa rigueur, dans toute sa rigidité légale, avec des citoyens qui obligent le respect strict des droits universels, des règles démocratiques universelles. Et ainsi que les normes juridiques de régulations sociales qui régissent notre pays doivent être consensuelles. Dans une société ivoirienne ou les citoyens respectent les règles de convivialité source d’harmonie sociale. Et des citoyens qui veillent au respect scrupuleux des règles de droits universels, des valeurs juridique et des principes démocratiques universels. Toujours affirmés et réaffirmer par les instruments de régulations sociopolitiques internationales, qui régissent de façon clair la matière des élections démocratiques pluralistes multipartites.

Mais hélas ! Mille fois hélas ! Pour la côte d’ivoire. « Celui qui à l’entre parenthèse de sa culotte déchiré, ne peut pas monter sur le cocotier de la transparence dans l’ordre du public, autour de la chose publique, sous le regard du public, le  risque est notoirement connue, les hués et les sifflets, face aux balançoires à rotation régulière en plein air). Donc tous ensembles, à vos droits citoyens ! Il faut battre le fer quand il est encore chaud. Il faut résister avant qu’il ne soit trop tard. Alassane Ouattara, en se lançant dans la course à la présidence pour un 3e mandat, s’est affranchi de la règle constitutionnelle qui fixe à deux (2) mandats au maximum sans plus. Il a ainsi brisé son engagement pris non seulement devant le peuple ivoirien, mais aussi devant le monde entier. Qui par la voix du Secrétaire général de l’ONU, réitère au peuple ivoirien le soutien continu des Nations Unies en faveur de la consolidation de la démocratie et de la cohésion nationale. Donc, il faut obliger la  candidature forfaiture de 3e mandat de couillonnade d’Alassane Ouattara, avec son attitude à s’affranchir des prescriptions démocratiques universelles et de son non-respect de toutes les règles consensuelles prescrites, à comprendre le bon Français de citoyens libres. «PUISQUE LES TUERIES DES MILICES DÉGUISÉES DE OUATTARA CONTINUENT DANS TOUT LE PAYS».

Dans le bon Français de citoyens libres, quand le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état dit à une couillonnade de perruques dit dirigeants, je ne veux pas de ta 3e candidature ! Tu te rectifie, ou tu fiche le camp. Et quand tu dois ficher le camp, tu  le fais gentiment sans agacer le peuple souverain. Pour lequel, Fous le camp, c’est foutre le camp, une fois pour toute, sans semer la merde dans l’ordre social, pour emmerder les gens, qui n’aspirent qu’à la paix sociopolitique. Donc la chose est simple, clair et net «Fous le camp, c’est foutre le camp dans un dégagement rapide et respectueux du citoyen libre». Sinon ? S’il y a des fumées, des flammes et des flambages, les citoyens libres ne peuvent plus demander pardon au Feu, dans son «Gnanga de coudou-bâtard» dont les débris des gueules cassés vont légalement se logés dans la rue opposante consensuelle et équilibriste critique, dans une assemblée circonstancielle et les dégâts extrêmes importants ne seront plus loin, dans un  capharnaüm kafkaïen.

Il faut chasser Alassane Ouattara et ses Bouffe-tout, incapables de satisfaire aux légales exigences rigides du droit. Il faut chasser avant le 31 octobre 2020, ce banditisme politique d’un système de voyoucratie archaïque, qui entretien sciemment une instabilité sociopolitique. Le peuple souverain ivoirien doit avoir le courage de s’affirmer comme le souverain absolu, ultime détenteur du pouvoir d’état, son avenir en dépend. Cette affirmation légale de la souveraineté du peuple, se fait au terme de l’administration d’un coup de pied légal, pacifique, synergique, très bien ajusté au cul de l’arbitraire de la dictature, et il fiche le camp sans faute, il dégage sans faute, pour laisser la place à la paix sociale. Il faut chasser Alassane Ouattara et ses Bouffe-tout, incapables de satisfaire aux légales exigences rigides du droit. Ne nous trompons pas, les fusils de Alassane Ouattara seront à l’arrivé des élections saupoudrés d’une pseudo-légalité déjà goupillée dans son schéma de passage en force électoral. Autant jouer sa vie ici et dès maintenant ! Oui chasser Alassane Ouattara est la seule phrase audible et intelligible pour le citoyen ivoirien digne de ce Nom. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- La musique des grincements de la Roue de l’Histoire qui tourne. De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité

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20 octobre 2020 2 20 /10 /octobre /2020 17:22
Lepetitfils : Il n’y a point de déshonneur pour un peuple qui sait mourir. Un peuple souverain doit savoir devenir fou et débile. Un souverain suiveur ne règle Rien. Un souverain manipulable parce que lucide ne régule Rien. Si le peuple souverain de côte d’ivoire devient fou et débile avant le 31 octobre 2020,  il deviendra guéri et très lucide avec ses droits et ses libertés fondamentales en mains le 31 octobre 2020 après le départ d’Alassane Ouattara. Mais hélas ! Si ? Seulement, Si ?  Le peuple souverain de côte d’ivoire reste,  STATIQUE ? INERTE ? PASSIF ? Il payera cash.

Lepetitfils : Il n’y a point de déshonneur pour un peuple qui sait mourir. Un peuple souverain doit savoir devenir fou et débile. Un souverain suiveur ne règle Rien. Un souverain manipulable parce que lucide ne régule Rien. Si le peuple souverain de côte d’ivoire devient fou et débile avant le 31 octobre 2020, il deviendra guéri et très lucide avec ses droits et ses libertés fondamentales en mains le 31 octobre 2020 après le départ d’Alassane Ouattara. Mais hélas ! Si ? Seulement, Si ? Le peuple souverain de côte d’ivoire reste, STATIQUE ? INERTE ? PASSIF ? Il payera cash.

*- Dix (10) petits jours pour devenir maitre de son destin. La mort de l’état de droit  par pendaison n’est plus loin !

 

Répétons encore le sage, qui a dit que ; «Si tu veux que le monde entier t’aide à faire ton palabre, il faut faire ton palabre là où tu as raison, il faut faire palabre sur ce que personne ne peut accepter ou admettre chez lui». Il y a des droits qui ne dépendent pas du vote politique, au mépris des règles universelles. Le droit inaliénable du peuple ne se met pas à la votation politique au cours d’une élection quelles qu’elles soient. Un pouvoir ou un Homme ne peut pas faire le bonheur d’un peuple malgré lui. Aucun pouvoir d’état et aucune portion du peuple ne peut exercer la toute-puissance souveraine de la totalité sociale qu’est le peuple entier. Alassane Ouattara a fait deux mandats, Alassane Ouattara doit partir d’une manière ou d’une autre. La côte d’ivoire ne se limite pas à l’entourage d’Alassane Ouattara peuplé de pauvres politicards qui ne peuvent pas FAIRE président de la république. Des abrutis ignares, qui occupent des fonctions téléguidées, qui ne savent pas comment on fait président de la république, sans l’assistance d’Alassane Ouattara, ainsi réduit a leurs état réel de marionnette.

 

 Cette réduction a l’état de marionnette d’état accepter et assumer, est compréhensible, d’autant plus que : Quand les déchets toxique ont pigmenté les deux (2) mains. Quand on ne doit son salut que dans quelques tonnes de cocaïne au large d’Abidjan en provenance d’Amérique sud, a but du « Géré, Calé, et Bouclé » les élections. Quand on peut péter le plomb ou même débloqué totalement jusqu’à la cathédral pour avoir entendu un message de haute sagesse humaniste. Quand on se soucis plus de ses poseurs, que des affaires d’intérêts nationales et enfin quand on pense que la politique est une affaire de jeune premier. C’est pourquoi Alassane Ouattara est fier de dire que : « je veux prendre le temps d’achever de préparer la relève. Il faut que je mets une équipe en place ». Oui, comme la pléthorique de cadres formé par la France et par Félix Houphouët Boigny jusqu’en Septembre 2002, ne sont pas capable d’assurer la relève du pouvoir d’Alassane Ouattara, et comme Alassane Ouattara, l’entends. La côte d’ivoire se trouve rabaissée et insultée par un négationniste mégalomane.

 

Donc, le citoyen ivoirien est face à son destin, parce que même voté par une minorité d’électeurs avec tous les trucages électoraux du monde, Alassane Ouattara élu ou réélu décidera de la vie des citoyens et celle de toute la composante sociétale ivoirienne, surtout de l’avenir de la nation toute entière. Donc le peuple souverain de côte d’ivoire avec ses mains nues, est ici face à son palabre, ou il a raison, le monde le regarde. Si le peuple souverain de côte d’ivoire refuse la mort par couperet de la guillotine et refuse la mort de l’état républicain de droit par pendaison de l’arbitraire, la grande et toute puissante Humanité rappellera ses valeurs cardinales aux bourreaux arbitraires du peuple. Mais si le peuple ose se montre consentant, ou accepte le dicta d’une partie minoritaire du peuple, et par conséquent reste inerte, près à subir la mort par Euthanasie de l’arbitraire, qui l’étouffe progressivement depuis 2011, alors la grande et toute puissante Humanité ainsi désarmée dira, qu’on ne peut pas aller contre la volonté du peuple souverain. « C’est ce qu’elle a dit en 1933 quand Adolf Hitler s’est fait élire président ». Donc citoyen ivoirien, peuple souverain de côte d’ivoire, nation une et indivisible ivoirienne, a vous votre destin unique, il se joue le 31 octobre 2020.

 

Voici que pour une banalité juridico-politique, qui trouve légalement sa solde dans le droit et dans les règles universelles, la côte d’ivoire est déjà en un mois à plus de 30 morts de citoyens, a plus de 300 blessés de citoyens et des importants dégâts. La banalité juridico-politique a été déplacée de son contexte réel par des élucubrations judiciaires téléguidées par Alassane Ouattara. « Oui en France après la modification constitutionnelle qui a réduit la mandature du septennat au quinquennat, Jacques Chirac élu président de la République française en 1995 pour un mandat de sept (7) ans. Mandat marquées sur le plan institutionnel par le raccourcissement du mandat présidentiel à cinq ans, Chirac a été réélu en 2002 pour cinq (5) ans, après une modification constitutionnelle, d'inspiration chiraquienne. Dont l’interprétation judiciaire pouvait s’ouvrir sur un deuxième mandat de cinq (5) ans, donc sur un troisième (3e) dans l’ensemble, Chirac a-t-il brigué un troisième mandat après un seul mandat de la mandature du quinquennat ? «La constitution Française avait déjà été réformée à dix-neuf reprises depuis 1958 a l’arrivée au pouvoir de Jacques Chirac ». Au surplus depuis 1958, la France est sous la cinquième république « régime présidentielle » malgré sa kyrielle de modifications constitutionnelles, aucun pouvoir de Gauche ou de Droite n’à oser donner le nom de sixième république, à une modification constitutionnelle. Même le panier hybride de la marche victorieuse « Gauche, Droite, et tous les centres » de la république actuelle d’Emmanuel Macron n’osera pas le faire. Pourquoi donc la côte d’ivoire qui depuis 1960 est sous le régime présidentiel hérité de la France, et pour un bidonnage de texte qui, quel que soit son caractère symbolique voulu par Alassane Ouattara ou ses conséquences d’exercices politiques, ne modifie en Rien l’architecture institutionnel d’un régime présidentiel, on se dit dans une troisième république, qui donne tous les droits a Alassane Ouattara, en mettant le compteur des droits à Zéro, tout en maintenant l’architecture du régime présidentiel ? Bon ! On nous rétorquera peut-être que la France n’est pas la côte d’ivoire, mais nous ajouterons aussi que, le peuple Français n’est pas le peuple ivoirien. Non ! Il ne faut pas se leurrer, la côte d’ivoire se noie dans l’océan des nations civilisée. Il y a danger, il y a péril et il y a mort par désocialisation à l’horizon du destin ivoire dans le concert des nations civilisées ».  

 

Le peuple souverain de côte d’ivoire doit avoir le courage de revendiquer ponctuellement son droit inaliénable d’aller en Enfer, pour ses droits pour ses libertés pour sa démocratie, au mépris de la volonté de Alassane Ouattara et de son système unilatéraliste, arbitraire, nihiliste et iconoclaste. Oui face aux fantassins mobilisés pour imposer le dicta d’Alassane Ouattara au peuple, est un Match électrique jouable dans la rue sous les yeux du monde, pour le peuple qui, veut vivre avec ses droits, ses libertés. Puisque l’arbitre est la grande et toute puissante Humanité qui sifflera la FIN. Le peuple ivoirien et l’opposition ivoirienne doivent trouver les moyens nécessaires et indispensables de s’occuper des 20.000 et quelques Bureaux de Vote, et les 10 500 et quelques lieux de Vote, « s’occuper veut dire quoi ? Eh bien ! Y foutre le feu à tout, citoyen ! De jour comme de nuit ». Chacun dans son périmètre d’évolution dans toute l’assiette territoriale nationale et advienne que pourra. Ce qui n’est pas impossible. Cela pour empêcher pour une fois que, Alassane Ouattara soit non-seulement joueur privilégié, mais aussi l’arbitre du processus électoral de 2020, via la commission électorale, via le conseil constitutionnel, via le mode de scrutins électoral et Via les supports des votes truqués, Via le soutien souvent monnayable d’un mafia internationale des grands usuriers internationaux et par l’aval d’un comité de despotes Africains qui veulent s’éternisés au pouvoir d’état par la même méthode despotique. Donc le peuple souverain de côte d’ivoire est face à son destin. Il doit être capable de faire pièces, de résister a l’unilatéralisme pour vivre.

 

Peut-être que nous n’avons encore réellement conscience, mais la situation sociopolitique ivoirienne a dépassée, le niveau de l’inquiétant pour atteindre le niveau de l’Alarment. Son état a dépassé la dénaturation pour atteindre la dégénérescence de la désocialisation. Bon ! Il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger avant la phase terminale. Oui, le peuple ivoirien n’est plus acculturé mais il se désocialise progressivement. Donc ici, ce qui serait incontestablement une faute gravissime pour l’ivoirien, serait de se contenter des mêmes chassons pleurnichards habituelles, devenues coutumières, jusqu’au passage en force du pouvoir d’Alassane Ouattara. Il faut chasser ce banditisme politique, d’un système de voyoucratie archaïque, qui entretien une instabilité sociopolitique manifeste, qui se raffermis, hermétiquement de jour en jour, sur tout le pays, pour ainsi faire de la place à la stabilité sociopolitique. Il faut chasser ce pouvoir néo-monarchiste qui se nourrit de fausse notoriété ventilée à tout bout de champs. Il est question d’aller au Charbon pour la paix, avant qu’il ne soit trop tard le 31 octobre 2020, ou une légalisation de fait est semble-t-il géré, calé, et bouclé.  Il faut chasser ce banditisme politique. Il faut chasser ce gangstérisme électoral. Il faut chasser cette assemblée de ripoux versatiles, regroupé pour la défense des intérêts mercantilistes égocentriques.

 

Oui, un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux. Et tout peuple qui peut mourir pour ses droits inaliénables et pour ses libertés individuelles ne meurt jamais. « C’est pourquoi aujourd’hui l’Inde de Grandi et Afrique du Sud de Mandela sont des exemples de luttes légales héroïques ». Oui ! Il n’y a point de déshonneur pour un peuple qui sait mourir. Un peuple souverain doit savoir devenir fou et débile. Un souverain suiveur ne règle Rien. Un souverain manipulable parce que lucide ne régule Rien. Si le peuple souverain de côte d’ivoire devient fou et débile avant le 31 octobre 2020,  il deviendra guéri et très lucide avec ses droits inaliénables et ses libertés fondamentales en mains le 31 octobre 2020 après le départ d’Alassane Ouattara. Mais hélas ! Si ? Seulement, Si ?  Le peuple souverain de côte d’ivoire RESTE STATIQUE ? INERTE ? PASSIF ? Il payera cash tout comportement moutonnier du panurgisme de vache qui ne demande qu’à manger. « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs». Oui ! Qu’on ose ou non, qu’on ait le courage ou non, tous ensemble synergique-ment c’est possible. Et c’est d’intérêt public, que de s’occuper des 20.000 et quelques Bureaux de Votes, et les 10 500 et quelques lieux de Votes. « S’occuper ! Veut dire quoi ? Eh bien ! Ça veut dire, Y foutre le feu à tout, citoyen ! De jour, comme de Nuit ». Chacun dans son périmètre d’évolution dans toute l’assiette territoriale nationale et advienne que pourra. Ce qui n’est pas impossible. Que la nature protège la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile)

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18 octobre 2020 7 18 /10 /octobre /2020 14:54
Lepetitfils : Le salut de la côte d’ivoire viendra du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état, condamné à chasser Alassane Ouattara. Pour que nous « ivoirien » réapprenions à vivre à nouveau ensemble, à rire à nouveau ensemble, à apprécier à nouveau ce qu’il y a de meilleur en chacun de nous, au terme d’un vrai processus de réconciliation, d’un vrai processus électoral. Ou nous ne demanderons pas d’oublier les conséquences de l’inacceptable et de l’injustifiable, des années : 1999-2002-2010, mais d’essayer de pardonner pour l’ordre social.

Lepetitfils : Le salut de la côte d’ivoire viendra du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état, condamné à chasser Alassane Ouattara. Pour que nous « ivoirien » réapprenions à vivre à nouveau ensemble, à rire à nouveau ensemble, à apprécier à nouveau ce qu’il y a de meilleur en chacun de nous, au terme d’un vrai processus de réconciliation, d’un vrai processus électoral. Ou nous ne demanderons pas d’oublier les conséquences de l’inacceptable et de l’injustifiable, des années : 1999-2002-2010, mais d’essayer de pardonner pour l’ordre social.

*- Douze (12) petits jours pour devenir le maitre de son Destin. La Roue tourne vers le couperet de la guillotine

 

Retenons d’emblée que : Le 30 octobre 2014, les manifestants en colère au Burkina Faso ont pris d'assaut le parlement avant d'y mettre le feu en signe de protestation. L’Assemblée nationale incendiée a fini d’asseoir l’idée de l’inconciliable position du peuple avec le pouvoir d’alors, qui a fini, hélas par succombé dans les cendres du deuxième symbole du pouvoir d’état. Aussi, le 10 juillet 2020 des manifestants en colère ont assiégé et saccagé la télévision nationale malienne. Et s’en sont ensuite pris à l’Assemblée nationale qui a subit la furie des manifestants, saccagée et brulée, voitures avec.  Hélas ! Ici aussi l’Assemblée nationale incendiée a fini d’asseoir l’idée de l’inconciliable position du peuple avec le pouvoir du président Ibrahim Boubakar Keita, «pourtant légal et légitime», qui a fini sa course, dans les décombres des cendres du deuxième symbole du pouvoir d’état. Ceci est peut-être dommage, mais dans un Etat Républicain de droit, il ne peut y avoir deux (2) souverains antagonistes, non ! Le peuple l’est ici ostensiblement indéniablement et l’humanité le veut ainsi.

 

Donc le peuple ivoirien ne doit pas se leurrer. Son vouloir souverain d’empêcher un Hold-Up électoral, doit être accompagné par ses actions citoyennes soutenues dans le temps et dans toute l’assiette territoriale. Oui, aucun pouvoir d’état, aucun dirigeant politique, aucun groupement de partis politique, aucun parti politique, ne peut contrôler la souveraineté du peuple qui se situe au-dessus de lui et hors de sa portée. La côte d’ivoire doit résister avant qu’il ne soit trop tard après la 31 octobre 2020. La postérité ne pardonnera jamais ce qui de par leurs œuvres sournoises permettrons de pérenniser la damnation du peuple ivoirien par ce pouvoir démoniaque, mortifère, acculturant, dénaturant, et désespérant d’Alassane Ouattara. Oui, le peuple ivoirien doit savoir que, quand on marche vers un but que l’on désire, il y a deux (2) conditions à remplir :  il faut premièrement que l’on y veuille aller à tout prix, en second lieu, que l’on soit disposé à faire tout ce qui est humainement possible, et surtout qu’on soit prêt à faire le pire des sacrifices pour se donner les moyens pour que ses pieds l’y porte vers ce but. Donc ce principe et/ou cette maxime édicte que, un paralytique veuille courir, et qu’un homme agile ne veuille pas courir, tous deux resteront en place statique, inerte. L’ivoirien doit résisté avant qu’il ne soit trop tard.

 

Le peuple ne doit plus accepter de souffrir l’injustice de la dictature aveugle. L’ivoirien doit désobéi, aux boulons sangsues, branchés à la mamelle de nos caisses publiques et à la mamelle de nos ressources naturelles souveraine. Et qui n’ont qu’une seule ambition qu’est de faire sentir aux citoyens ivoiriens le poids funeste de l’arbitraire de plus en plus écrasant de leurs autorité brute, au mépris des droits et en dépit des libertés et au dédain des réalités sociales. Donc de parader avec des escortes ubuesques de potentats, pour dire au fichu peuple, « tu ne me vois pas hein ! Je suis le président de la république ! » Le tout avec une escouade de fantassins armés Cabriolant autour de ces escortes ubuesques de potentats, près à guerroyer en tous lieux et en tout temps. Ici nous avons besoin de l’union de tous contre l’arbitraire, persuadé du bien-fondé d’une lutte d’intérêt général, avec pour objectif le changement de notre pays, est notre objectif, tout le reste n’est qu’accessoire. L’union de tous par la persuasion, pour le changement de notre pays. D’après : « Richard NEUSTAD un grand expert des présidences américaines observait en 1960 dans un livre qui est devenu la bible de Jack KENNEDY que le président des États Unis ne possède qu’un seul pouvoir, le pouvoir de persuader ».

 

La capacité de persuader est une arme infiniment plus efficace que les armes matérielles (fusil) de l’arbitraire dictatorial qui trône sur notre pays par la contrainte. Oui, faire la politique ce n’est pas de céder à la panique de la perte légale du pouvoir face à l’adversité du pluralisme politique inclusif, et de scellé des compromissions électorales mafieuses d’hypocondriaques passéistes avec les organismes électoraux afin de trucage systématique. Oui faire la politique ce n’est pas de remettre en cause la démocratie pluraliste du fait de la défense d’intérêts égoïstes et égocentriques, en déambulant et divaguant dans les droits inaliénables et dans les règles universelles. Donc jusqu'à quand les citoyens vont-ils tolérer cette imposture qui menace gravement nos vies physiques, nos droits, nos libertés, notre vie démocratique et la souveraineté nationale ? Il faut que, de par volonté du peuple, notre pays devienne, un pays de citoyens égaux en droit et devoir, qui partent sur la même ligne aux élections. Retenons que, le socle existentiel du pouvoir d’Alassane Ouattara n’a pas bougé, la loi c’est moi ! Elle est faite pour imposer la volonté des plus forts possédants les armes et financièrement nantis aux plus faibles.

 

Il faut tenir debout face à la tentative de légalisation électorale d’une mafieuse mainmise sur notre pays. Il faut tenir debout face à cet étouffoir mental chambre à gaz anti-droits dans notre pays. Nous avons l’obligation citoyenne tous ensemble de faire voler en éclats ce système nombriliste d’Alassane Ouattara. Oui, nous avons l’obligation citoyenne tous ensemble de renverser ce pouvoir d’escroquerie morale et intellectuelle, d’Alassane Ouattara, qui œuvre a formater les esprits dans notre pays. Nous devons contribuer tous ensembles à vaincre par la lutte soutenue cet Apartheid électoral dans notre pays. Nous devons chasser tous ensemble cette habilité d’esprit diviseur, par la force de l’engagement citoyen d’un esprit fédérateur, salvateur, novateur soutenu par notre humanisme, habité par la place centrale que l’homme et ses droits devraient occuper dans la société ivoirienne. Tous égaux en droit et devoir, y compris civil et politique dans une nation plus que jamais solidaire. IL FAUT CHASSER ALASSANE OUATTARA.

 

Alassane Ouattara est d’un arrivisme, matraqueur des droits inaliénables du peuple, des libertés individuelles et des droits de l’homme. Alassane Ouattara est un Annihileurs des espérances du peuple et des aspirations profondes du citoyen vertueux, qui ne demandent qu’à vivre en paix chez-lui. Alassane Ouattara est un zélateur enfariné des droits du peuple à disposer de lui-même. Alassane Ouattara est un fossoyeur des droits civils et politiques issu d’une guerre. Alassane Ouattara veille à diaboliser toutes oppositions, toutes positions contraires aux leurs et toutes contradictions d’idées, pour ainsi arriver à ses fins de passages en forces électoraux. Alassane Ouattara excelle à ringardiser toute parole libre citoyenne contrariante ou tout simplement dissonante pour baliser son Hold-Up électoral avec la diversion et la manipulation. Alassane Ouattara vise à accaparer la souveraineté populaire et à assujettir le peuple souverain et ses droits, à l’unique volonté de sa ploutocratie naissante. Ce qui n’est autre chose que la dictature, la tyrannie, le despotisme, l’autoritarisme arbitraire monarchiste, qu’il faut chasser.

 

Il est temps de dire non, ça suffit ! Que s’est trop indécent pour l’image de la côte d’ivoire. Il faut dire que ça suffit ! Parce que, le monde n’est plus en un temps où les peuples, illettrés, privés de savoir et soumis aux rudes épreuves d’une dictature sanguinaire, reconnaissaient volontiers leurs insuffisances intellectuelles, leurs incompétences organisationnelles et acceptaient d’être dirigé par une dictature sanguinaires ou par les puissants détenteurs des armes «fusils», comme Alassane Ouattara et ses « Mârfâs » et leurs porteurs. Donc, même s’il faut casser, fumer, allumer, faire flamber pour y arriver a le chasser, il faut le faire. Parce qu’il faut chasser Alassane Ouattara au prix que cela mérite. Oui ! Il nous faut renverser le système Alassane pour pouvoir retrouver cette place humaniste qu’Alassane Ouattara et son scouade de nouvelle ploutocratie, assis sur son système de dirigisme économique criminel avec des alliés suiveurs, nous dénie habilement en implantant l’unilatéralisme comme monde de gouvernement et les armes au cœur des relations sociétales et politiques. IL FAUT CHASSER ALASSANE OUATTARA.

 

Oui, il faut être tous solidaire des hommes politiques pour chasser Alassane Ouattara. C’est pourquoi, les porteurs d’idées alternatives, les profs d’idées, les paroliers pour les citoyens, les intellectuels indépendants, les patrons de presses indépendantes, les éclaireurs d’opinion et des actions communes citoyennes sont devenus nécessaires, pour faire pièces à Alassane Ouattara et infliger un coup de pied sec au cul de ce processus électoral unilatéral, qui vise à légalisée la politique ploutocratique et néo-monarchiste d’Alassane Ouattara et son système mafieux de dirigisme économique, qui ostensiblement, écrase les petits aux pieds des grands intérêts mafieux, au mépris des droits et en dépits des règles universelles. Donc tous ensembles pour une vie démocratique paisible régis par des normes juridiques consensuelles de régulations sociales acceptées par tous. IL FAUT AIDER LE PEUPLE SOUVERAIN IVOIRIEN A CHASSER ALASSANE OUATTARA. Oui, notre démocratie doit être assise sur le droit et sur la liberté. Et c’est là que tous, les ivoiriens se voient dévolus un rôle primordial devant l’histoire et devant le monde entier, aider la démocratie ivoirienne à restaurer les droits inaliénables bafoués, les droits civils et politiques excommunier, pour afin d’obvier les crises sociales qui peuvent entrainer des bains de sangs dans le futur. Oui aider la côte d’ivoire, à bâtir les droits inaliénables, les libertés individuelles et la paix sociale, dans anathème politique, pour que l’alternance politique soit assurée dans la paix dans notre pays. Pour que tous les changements politiques soient possibles dans notre pays dans la paix sociopolitique. IL FAUT CHASSER ALASSANE OUATTARA.

 

Nous sommes convaincus, que le salut de la côte d’ivoire viendra du peuple souverain martyrisé, ultime détenteur du pouvoir d’état, condamné à chasser Alassane Ouattara. Pour que nous « ivoirien » réapprenions à vivre à nouveau ensemble, à rire à nouveau ensemble, à apprécier à nouveau ce qu’il y a de meilleur en chacun de nous, au terme d’un vrai processus de réconciliation nationale ressortissante d’un vrai processus électoral. Ou nous ne demanderons pas d’oublier les conséquences de l’inacceptable et de l’injustifiable coup d’état de 1999 et guerre de 2002 à 2010, mais demanderons-nous d’essayer de pardonner, pour l’ordre social, pour l’harmonie communautaire, pour la paix sociopolitique et pour vivre en commun dans le respect des différences, respect des différences qui admet hétérogénéité des sous cultures nationales. Donc tous ensembles pour dire non ! A l’unilatéralisme d’un pouvoir d’état devenu fou, sourd et aveugle. OUI, CASSER, FUMER, ALLUMER, FAIRE FLAMBER S’IL LE FAUT, MAIS IL FAUT CHASSER ALASSANE OUATTARA AVANT LE 31 OCTOBRE 2020. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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16 octobre 2020 5 16 /10 /octobre /2020 18:29
Lepetitfils : Citoyen ivoirien ! Que les dégâts soient à la hauteur de la désespérance, causée par la violation du droit inaliénable du citoyen, a ce faire diriger librement, avec son contentement et son obéissance non-forcée.

Lepetitfils : Citoyen ivoirien ! Que les dégâts soient à la hauteur de la désespérance, causée par la violation du droit inaliénable du citoyen, a ce faire diriger librement, avec son contentement et son obéissance non-forcée.

*- Quatorze (14) jours pour devenir maitre de son destin.

*- « Quand le gouvernant viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »

*- Le peuple souverain ivoirien doit pouvoir bloquer cette dynamique démoniaque et mortifère avant le 31  octobre 2020 date fatidique du couronnement de ce Hold-Up électoral. Au cas contraire, le 31 octobre 2020, il n’y aura pas de victoire, mais une défaite cinglante du peuple souverain. Avec déjà les plus de vingt Morts dans ses rangs comme Rien était, et les plus de 300 blessés, ensuite sa souveraineté populaire accaparé, les droits inaliénable bafoués, les libertés fondamentales confisquées, notre système d’organisation sociale assujettie, le peuple souverain réduit à la soumission seigneuriale au Roi et ses armes « fusils, des citoyens confinés dans un système de vache qui ne demande qu’à manger, entre les mains d’un Boucher devenu monarque absolu, avec son 3e mandat, locomotive d’un 4e mandat, et suivants. Ça c’est la Mort de l’état de Droit en même temps…

*- Ce qui appelle ici, le peuple souverain ivoirien à s’occuper systématiquement du siège et des bureaux locaux de la CEI, en non-stop de jour comme de nuit jusqu’au dernier bureau. Le matériel électoral doit se convertir aimablement en Cendre après mariage citoyen avec le Feu. C’est de droit ! Le faut retourner au visage d’Alassane Ouattara, comme le sable d’une tempête du désert, son propre dictat rigide et inflexible. «Qui veut que ça soit sa condition ou rien, son Moi c’est Moi. Son Moi ou rien. Son Moi ou la terre brulée en côte d’ivoire et sa grandeur du, je peux tuer il y a Rien». Ça se joue maintenant avant le 31 octobre 2020, pas après le 31 octobre 2020 ou il serait trop tard. Il n’y a plus de Route pour le peuple souverain ivoirien avec Alassane Ouattara…

*- Donc, il faut dès maintenant qu’on sache à qui appartient le pouvoir d’état. « Alassane Ouattara ou le peuple souverain ». Ce qui nécessite des flambeaux nocturnes et de jours, avec des témoins légaux du mariage des buchettes avec les locaux CEI dans toute l’assiette territoriale et le matériel électoral, avec quelques inutilités publiques, avant si besoin encore, de tourner les yeux vers les biens publics, pour que les dégâts soient à la hauteur de la désespérance, causée par la violation du droit inaliénable du citoyen, a ce faire diriger librement, avec son contentement et son obéissance non-forcée.

*- Oui, A l’instar d’autres  pays comme, Belarus, Mali « 1991-2020», Algérie, soudan, Egypte, ou même Burkina, les grandes nations démocratiques sont solidaires des populations ivoiriennes et les disent que: « Il appartient au peuple souverain ivoirien de décider souverainement de l’avenir de la côte d’ivoire dans le concert des nations civilisées et du leadership de leurs  pays ». « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. » déchiré, cassé ! Allumé ! Fumé ! Flambé !  Pian ! ADVIENNE QUE POURRA !!!

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14 octobre 2020 3 14 /10 /octobre /2020 18:17
Lepetitfils : Oui, détrompons-nous, il y a plus pire que la violation des prescriptions de la constitution de 2000, récapitulées ou Transcrites à l’identique dans la constitution d’Alassane Ouattara de 2016. Oui, il y a la Bassesse de l’Apartheid électoral, il y a l’obscurantisme de l’Anathème politique, il y a la négation du droit des autres par l’excommunication judiciaire. Oui, la confiscation de force du pouvoir d’état au mépris du droit, quelle que soit la nature, relève du choix du désordre sociopolitique, de l’instabilité sociopolitique, du chaos social.

Lepetitfils : Oui, détrompons-nous, il y a plus pire que la violation des prescriptions de la constitution de 2000, récapitulées ou Transcrites à l’identique dans la constitution d’Alassane Ouattara de 2016. Oui, il y a la Bassesse de l’Apartheid électoral, il y a l’obscurantisme de l’Anathème politique, il y a la négation du droit des autres par l’excommunication judiciaire. Oui, la confiscation de force du pouvoir d’état au mépris du droit, quelle que soit la nature, relève du choix du désordre sociopolitique, de l’instabilité sociopolitique, du chaos social.

*- Seize (16) petits Jours pour devenir maitre de son Destin. La Roue tourne !

Le peuple souverain ne doit pas se leurrer, en composant avec une hypothétique intervention de la communauté internationale, comme solution à la crise préélectorale. Alassane Ouattara a été déjà inflexible et sans concession devant la mission conjointe, des Nations unies, de l’UA, et de la Cedeao, d’octobre 2020 à Abidjan. Donc, Rien à Dire, Rien à Faire. Ici, ça ne sert à Rien d’espérer de l’obscurantisme nébuleux. Oui, le constat est là ostensible, la recherche éperdue de l’assujettissement institutionnel à son profit est manifeste dans les intempestifs dribles nébuleux et funestes de passages en forces électoraux d’Alassane Ouattara. Qui restera inflexible face à tous les appels à la juste raison. Il est reconnu intransigeant par toutes les diplomaties qui sont intervenues depuis 2002, dans la crise sociopolitique. Donc, aujourd’hui, il n’y a pas milles chemins pour pouvoir arrêter la manipulation, la diversion du pouvoir arbitraire unilatéraliste, boulimique et la souffrance du peuple, il y a une seule solution pour la côte d’ivoire, qu’et une lutte sans merci d’intérêt public, du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état. Sinon, Alassane ne cèdera jamais sous une pression diplomatique quelle qu’elle soit. C’est notre avis...

Oui, Les écueils de toutes sortes nous ont rendus incrédules endurcis, donc nous ne pouvons pas admettre qu’on puisse croire qu’Alassane Ouattara, qui s’est auto-proclamé président de la république en 2011, soutenu par une forfaiture internationale, et qui a lâché  en dehors de tous titres légaux et de toutes habilitations de droits réels, ses fantassins de la rébellion de 2002 partis du nord ivoirien ou de Bouaké sous cet ordre express «d’Alassane Ouattara» pour conquérir le sud ivoirien par les armes contre le pouvoir du président GBAGBO, des fantassins, qui de notoriété publique, bien partage avec les ONG de défenses des droits de l’homme ont fait plus de 3000 morts de citoyens ivoiriens zigouillés chemin faisant vers le siège du pouvoir GBAGBO sud ivoirien, puisse aujourd’hui faire des concessions sur intervention d’une communauté internationale son soutien d’hier. Dont la décision de recomptage programmée d’hier, n’a pu tempérer sous ardeur à recourir aux armes. Surtout que ces fantassins d’hier sont devenus les soldats de la république primés d’aujourd’hui pour l’exécution réussie, sans retenue de son ordre unilatéral, a lui Alassane Ouattara. Non ! Nous restons incrédules ça vaut mieux-même.

Donc au vu de tous ceci, nous ne pouvons pas croire en un ARBITRAGE politique des organisations internationales étatiques, que nous avons trouvé en 2010, sournoisement et insidieusement téléguidées par des intérêts mafieux des grands usuriers internationaux, et par des despotes Africains qui veulent s’éternisé au pouvoir d’état. Oui, le peuple doit reprendre sa souveraineté, face à un système qui depuis 1999, entraine la côte d’ivoire habilement, petit à petit, dans un engrenage fatal. Un système piloté  par un homme et une escouade phalangiste peuplé de politicards arides et d’une meute de clébards de guerres. Oui, la côte d’ivoire, d’élection à élections confisquées, entre les mains de ce nombrilisme Amoral est devenue un état voyou aux yeux du Monde civilisé. Il s’agit pour le peuple de s’efforcé au mépris des risques et des intérêts pécuniaires, d’œuvre pour l’intérêt général et s’oublier pour la côte d’ivoire. Oui, qu’on le veuille ou non, qu’on l’admette ou non, le devoir face à la nation, sans lequel il serait difficile, sinon honteux de se revendiquer citoyen libre d’une nation, exige que le peuple ivoirien régule sa situation sociopolitique indépendamment de toutes influences extérieurs contraire à sa volonté populaire.

Oui, Alassane Ouattara a été dissuadé par plusieurs personnalités du monde politique et dirigeant, de ne pas être candidat. Mais Ouattara a tenu les lignes de son vieux schéma de passage en force électoral contre vent et marée. Les protestations politiques et manifestations de Rues que sa candidature à suscitée, et avec elles des Morts de citoyens, plus de vingt (20) Morts au total, Ouattara a procédé à son investiture comme candidat, au moment où les manifestations étaient croissantes dans tout le pays, avec des affrontements entre populations et ses milices. Et il a déposé cette candidature à sa commission électorale, comme Rien n’était. Malgré l’illégalité notoire et l’illégitimité frappante de cette candidature, son conseil constitutionnel a validé cette candidature. Tous ce qui précède ici, si dessus s’inscrivent dans un schéma de passage en force électoral effréné, dont le couronnement est sans contestation possible sa proclamation comme élu au soir du 31 octobre 2020. Pas besoin de se leurrer, pas besoin de se tromper, pas besoin de rêver. Il ne reste plus que le combat ouvert sans retenu.

Le peuple souverain ivoirien doit pouvoir bloquer cette dynamique démoniaque et mortifère avant le 31  octobre 2020 date fatidique du couronnement de ce Hold-Up électoral. Au cas contraire, le 31 octobre 2020, il n’y aura pas de victoire, mais une défaite cinglante du peuple souverain. Ce qui appelle ici, les manifestations soutenues en non-stop de jour comme de nuit. Oui la manifestation de Rue constitue un moyen de pression légal et légitime, à l’égard du pouvoir politique qui viole le droit du peuple.  Et c’est l’arme la plus redoutable de résistance du citoyen. Et résister, c’est continuer à vivre en paix, avec ses droits, ses libertés, dans une société paisible, stable, harmonieuse. Et la tension de la Rue anti 3e mandat illégal, doit être extrême jusqu’à la cassure ! Alors advienne que pourra ! Il faut qu’Alassane Ouattara parte du pouvoir. L’ESSENTIEL C’EST CELA. Sinon, ne nous trompons pas, au soir du 31 octobre 2020, les fusils de Alassane Ouattara seront avec sa proclamation comme élu, à l’arrivé des élections saupoudrés d’une pseudo-légalité, déjà goupillée dans son schéma de passage en force électoral. Alassane Ouattara, dont les actions de non-sens, est à la hauteur d’une motivation strictement égoïste, égocentrique et personnelle, qui  espère mettre en mouvement son aspiration profonde de la confiscation du pouvoir d’état. Et surtout Alassane Ouattara ne désespère pas d’accaparer la souveraineté populaire et partant le destin de la nation, pour le plier à sa  seule exigence, égoïste et égocentrique. Ce qui n’est autre chose qu’un coup d’arrêt irrecevable, inacceptable et injustifiable au processus démocratique. Autant jouer sa vie ici et dès maintenant ! Nous aurions Averti malgré nous du DANGER !

Oui, il n’y a pas mille solutions ou plusieurs postulats, soit nous serons collectivement capables de se mobiliser tous ensemble dans (16) petits jours, et de faire pièce à l’arbitraire tous ensembles pour le meilleur, d’une dynamique au profit de nos propres façonnages, ou soit pour le pire, nous serions nous-mêmes façonnés dans (16) petits jours, tous par cette dynamique démoniaque devenue sacrément sourde, aveugle, folle et très sûr de son emprise sur le peuple souverain ivoirien. Donc en clair, l’élection présidentielle de 2020 se joue maintenant avant le 31 octobre 2020, pas après le 31 octobre 2020 ou il serait trop tard. Parce que ça passera de la même manière, avec la même stratégie méprisante, soutenue par les mêmes armes « fusils» de 2011. Alassane Ouattara est sûr de son fait et conscient de son emprise sur la société  ivoirienne. Oui citoyen ivoirien, tu n’es pas une vaches qui n’a besoin que de manger, tu es le contrepoids désigné par tes droits inaliénables aux tenants du pouvoir d’état, le monde civilisé t’attend, le monde démocratique t’observe. Face à un homme, Alassane Ouattara et son pouvoir euthanasiste d’un système politique vampirique, ultralibéral de jungle, qui ne pense qu’à planté des coups de poignards dans le dos de la démocratie et de l’état de droit. Ce pouvoir persiste dans sa logique périlleuse à la tête de la côte d’ivoire : Ne pas résoudre les crises, mais les aggraver sciemment, à dessein de confiscation du pouvoir d’état en 2020. Oui, il veut récidiver les passages en force électoraux de 2010, 2015, 2016.

Donc le peuple ivoirien à le devoir absolu de se libéré des contraintes de non-droit en s’inscrivant dans la ligne droite. Parce qu’un peuple endormi par un pouvoir d’état mafieux, qui se réveil dans la rue, opposante consensuelle et équilibriste critique, en l’état de débilité avancée, ne connait que la ligne droite. Et le pouvoir qui rend le peuple fou et débile paye cash cette folie et cette débilité. Bien que nous ne se sommes pas pour les exemples copiés-collés, tout près de nous (Le Mali en 1991 et 2020, à un moindre degré le Burkina en 2014, ses pouvoirs ont rendu les peuples fous et ont payé cash ces folies). Notre méthode de lutte ne doit pas changer, tant que le besoin de régulation sociale existera, dans notre pays. Notre option de lutte est et doit rester la ligue citoyenne, c’est à dire la fédération novatrice conscientisée des forces vives de la nation et la coalition des énergies citoyennes dans toute l’assiette territoriale nationale, dans une lutte synergique sans couleur politique pour le changement politique dans notre pays, que nous appelons un tous ensemble. Oui, détrompons-nous, il y a plus pire que la violation des prescriptions de la constitution de 2000, récapitulées ou Transcrites à l’identique dans la constitution d’Alassane Ouattara de 2016. Oui, il y a la Bassesse de l’Apartheid électoral, il y a l’obscurantisme de l’Anathème politique, il y a la négation du droit des autres par l’excommunication judiciaire. En un mot tout court, il y a déshumanisation pour la valorisation de soi qui passe par la négation des autres. Oui, la confiscation de force du pouvoir d’état au mépris du droit, quelle que soit la nature, relève du choix du désordre sociopolitique, de l’instabilité sociopolitique, du chaos social, et non de l’option exigeante pour la civilisation moderne digne du 21e siècle.

Donc malgré les regrettables arrêts et reprises conjuguées des manifestations de rues, accompagner toujours de plusieurs Morts de citoyens libres, qui ont les mêmes attributs naturels et les mêmes attributs de droits, qu’un président de la république, nous tenons à nous répéter ici, seules les luttes soutenues dans le temps, synergiques, rationnelles, cohérentes, constantes, régulières, de droit et pour le droit, dans le temps et dans toute l’assiette territoriale nationale paye et libère un peuple d’une dictature et le peuple ivoirien n’a que 16 jours pour se libérer d’une dictature hermétique et inflexible. « Il faut retenir ici que, le peuple souverain ne peut réguler souverainement sa société, que quand il est  vraiment Fou et Débile sur sa position souveraine, dans une ligne droite, ou il n’y a pas de virage de commodité. Dès lors Humanité l’encadre, a l’image du peuple Bélarus, du peuple algérien, du peuple malien 1991 et de 2020. Hier, du peuple Egyptien, du peuple Soudanais, qui tentent et/ou ont décidé librement de leurs avenir». Oui ! Tous les peuples ont le droit de décider de leur avenir. Le peuple ivoirien doit savoir que la régulation de sa situation sociopolitique, ne doit pas arriver au 31 octobre. Ça doit finir au terme d’une Crise pré-électorale, sinon une crise postélectorale serait la perte du peuple. Oui, Ça doit se réguler au terme d’une Crise pré-électorale, sinon ce serait l’engrenage au terme d’une crise postélectorale. ALASSANE OUATTARA NE DOIT PAS PASSÉ EN FORCE. LE PEUPLE IVOIRIEN EST FACE A SON DEVOIR. PLUS DE SALAMALEC DE COMMODITÉ, IL NE RESTE  PLUS QUE 16 PETITS JOURS POUR SE LIBERER. ADVIENNE QUE POURRA. POUR UNE CÖTE D’IVOIRE PAISIBLE ET RESPECTUEUSE DU DROIT. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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11 octobre 2020 7 11 /10 /octobre /2020 15:45
Lepetitfils : Le peuple souverain ivoirien doit aujourd’hui, refuser que, notre pays la côte d’ivoire, soit l’exception où l’arbitraire peut avoir force de loi. Parce qu’aucune conception idéologique, politique et morale ne doit et ne peut inspirer les actions de légitimation de la remise en cause de non-droit, des institutions électorales, qui sont par essence neutres et impartiales, pour l’expression démocratique libre. Donc, Le peuple à  20 Jours pour arrêter la dynamique démoniaque de la dictature du RHDP unifié. Elle doit être vaincue dans 20 jours.

Lepetitfils : Le peuple souverain ivoirien doit aujourd’hui, refuser que, notre pays la côte d’ivoire, soit l’exception où l’arbitraire peut avoir force de loi. Parce qu’aucune conception idéologique, politique et morale ne doit et ne peut inspirer les actions de légitimation de la remise en cause de non-droit, des institutions électorales, qui sont par essence neutres et impartiales, pour l’expression démocratique libre. Donc, Le peuple à 20 Jours pour arrêter la dynamique démoniaque de la dictature du RHDP unifié. Elle doit être vaincue dans 20 jours.

*- Courses de Vitesses : « 20 Jours pour arrêter la dynamique démoniaque de la dictature du RHDP unifié ».

 

Cette mobilisation populaire du 10 octobre, accrédite l’idée illusoire mais souveraine du peuple, qu’il pourrait exister des solutions sérieuses a la situation sociopolitique, qui ne passent pas par la politique politicienne de passage en force électoral d’Alassane Ouattara. Un passage en force qui est toujours le fruit des rapports de forces d’animosité pour l’acquisition, la conservation de non-droit, la confiscation et l’exercice illégale du pouvoir d’état. Au mépris des règles démocratiques et en dépit des droits inaliénables du peuple à disposer de lui-même. Ici le peuple souverain fait confiance à l’avertissement, à la protestation, transporté par sa mobilisation pour faire entendre sa voix par Alassane Ouattara. Convaincu «le peuple» que, nul pouvoir ne peut durablement gouverner, s’il n’est pas soutenu par l’autorité qui résulte de la croyance en sa légalité juridique, en sa légitimité démocratique et en son assise populaire, qui émanent du peuple souverain, et de chaque citoyen titulaire d’une parcelle de la souveraineté populaire. Mais cette mobilisation populaire, dont le socle est le dégout du moment, est toujours composite. Donc, cette mobilisation n’a d’intérêt productif que s’elle est suivi d'action citoyenne régulatrice et directe, pour l’orientation ou le recadrage du système électoral des gouvernants qui ont failli ou dévié de la seule ligne praticable en politique et en démocratie réelle. Sinon nous dirons qu’elle n’a d’intérêt  que par la reprise du pouvoir d’état par le peuple souverain son ultime détenteur en droit. En clair, elle n’a d’intérêt que par la capacité d’Arrêter ce processus électoral avant la date de tous les trucages électoraux du 3i octobre 2020, ou un seul bulletin, dans une seule urne, suffira a Alassane Ouattara pour se réclame vainqueur avec 100% des voix exprimés.

 

C’est une évidence, parce que de bonne source, nous fait dire que, la mission conjointe, des Nations unies, de l’UA, et de la Cedeao, du 4 au 7 octobre à Abidjan n’est pas parvenue à faire infléchir Alassane Ouattara sur ses positions. Qu’Alassane Ouattara, s’est montré inflexible sur ses points de prédilections. A savoir, le maintien de la date du scrutin, programmée pour le 31 octobre, le respect des décisions prises par le Conseil constitutionnel « sur sa candidature ». C’est du classique. (La communauté internationale est certes le Gendarme incontesté du Monde, mais tout comme les gendarmes de nos brigades de Gendarmeries ont besoin d’incident pour intervenir «  du genre un Gnanga-serré entre un Gôlô-Digba et un Gros-Bras, dans un duel à coudou Bâtard », la communauté internationale, elle aussi a besoin d’incident qui menace la paix nationale et la paix internationale pour intervenir. Aussi comme le pompier a besoin de feu pour intervenir, la communauté internationale a besoin de feu à la maison pour intervenir. La communauté internationale n’intervient pas dans les brouilles contrôlées de cuisines intérieures). Donc pour le peuple souverain, doit aider la communauté internationale à intervenir. Il est question plus que jamais d’être capable d’Arrêter ce processus électoral avant la date de tous les trucages électoraux du 31 octobre 2020. Pour que le 10  octobre puisse être une date à retenir en côte d’ivoire. Comme une date de fracture, et de cassation.

 

Cette inflexible position d’Alassane Ouattara devant les Nations unies, l’UA, et la Cedeao, du 4 au 7 octobre à Abidjan sur ses points de prédilections, est l’affirmation en acte de sa capacité de passage en force, au mépris des droits et en dépit des libertés et règles universelles. Et Ouattara pense passer en force avec condescendance le 31 octobre 2020. A défaut d’une indispensable action de sursaut qu’exige la situation, il est fort probable que cela se réalise au terme de son élection unilatéraliste le 31 octobre 2020. Oui, Alassane Ouattara qui n’a jamais fait en politique de la place aux droits, aux règles universelles et au consensus politique ne le fera pas sans contrainte, tout près de son but du 31 octobre 2020. La juste raison oblige de constater que celui qui n’a pas transiger ses principes de dominations au tour des élections depuis qu’il s’est accaparer le pouvoir en 2010 avec les armes, ne transigerait jamais au tour de l’élection suprêmes du président de la république qu’il a schématisé, jusqu’à sa proclamation comme vainqueur au soir du 31 octobre 2020. Oui, si Ça ne se casser pas avant le 31 octobre 2020,  Afin de réguler le système avant l’élection reprogrammée, il nous semble que dès maintenant c’est foutu. Sauf une nouvelle dynamique. Parce que ça serait difficile que ça se casser, au moment qu’Alassane Ouattara s’est déjà arroser du titre suprême pour agir comme tel «j’ai gagné». Donc, ça doit se casser avant le 31 octobre 2020.

 

*- Le peuple souverain ivoirien doit pouvoir imposer le respect des normes juridiques de régulations sociales de notre pays à tout le monde, sans exception y compris à Alassane Ouattara, aujourd’hui  à la tête des institutions politiques républicaines devenues vermoulues. Et de nos systèmes démocratiques devenus démodé et confisqués par le pouvoir Ouattara dans le non-droit. Oui, le peuple souverain ivoirien à le devoir d’obliger le respect des normes juridiques de régulations sociales par tous les moyens, en tenant compte que la légalité c’est lui le peuple souverain, non pas un dirigeant politique, même par les armes impies comme Alassane Ouattara depuis 2010.

 

*- Le peuple souverain ivoirien doit pouvoir mettre une limite à sa  tolérance héréditaire, à son statisme guidé par les valeurs de non-violence, à son inertie temporelle dans l’espérance d’une fin de crise, à sa recherche inlassable parfois ingrate de l’instauration de l’état de droit dans notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Oui, il est de droit universel que « quand un dirigeant viole le droit du peuple l’insurrection dans toutes ses formes est pour le peuple souverain ou toute partie du peuple, un droit inaliénable et un devoir sacré », sa souveraineté en dépend, sa liberté en dépend et son destin dans le concert des nations civilisées en dépend.

 

*- Le peuple souverain ivoirien doit pouvoir obtenir au prix que cela mérite, des organismes consensuels de gestions politico-électorales Impartiaux et des institutions judiciaires indépendantes dans la gestions de la vie publique. Pour une vie démocratie réelle et pour des élections crédibles, face à un homme politique prédateur de jungle, devenu extrêmement pervers et près à piétiné tous les droit et règles pour arriver à ses fins obscures en 2020. Le peuple a le devoir de chasser cet homme d’une manière ou d’une autre, advienne dès lors que pourra.

 

*- Le peuple souverain ivoirien doit pouvoir baliser sa recherche éperdue du dialogue et du consensus dans un pays ou tous se règlent désormais par la violence matérielle, avec des affrontements de toutes sortes orchestrés et suscités par un pouvoir celui d’Alassane Ouattara. D’où point de dialogue, point de consensus, point d’entente, au mépris du dialogue Houphouët-ien. Donc au mépris des valeurs qui nous sont héréditaires et ataviques, « asseyons-nous pour discuter », et qui est la seule solution aux problèmes politiques et aux problèmes entre hommes, quels qu’ils soient. Le peuple souverain doit pouvoir opposer la légalité juridique et la légitimité de la souveraineté populaire à la violence d’Alassane Ouattara dans la rue aux yeux du monde de ce 21e siècle, advienne alors que pourra. C’est de droit. Et le peuple n’a plus que vingt (20) petits jours pour le faire. Sinon ?...

 

*- Oui, le peuple souverain ivoirien doit aujourd’hui, refuser que, notre pays la côte d’ivoire, soit l’exception où l’arbitraire peut avoir force de loi. Parce qu’aucune conception idéologique, politique et morale ne doit et ne peut inspirer les actions de légitimation de la remise en cause de non-droit, des institutions électorales, qui sont par essence neutres et impartiales, pour l’expression démocratique libre. Le peuple souverain démissionnaire momentané, pour avoir laissé le champ libre à l’arbitraire doit récupérer son champ de souveraineté par tous les moyens possible. De toutes les façons la légalité juridique, la légitimité démocratique, c’est lui peuple souverain.

 

*- Le peuple souverain ivoirien doit se convaincre, qu’Alassane Ouattara ne stoppera pas de lui-même son projet satanique et mafieux de passages en forces, par trucages électoraux et sa logique de confiscation du pouvoir d’état par les armes en 2020. D’où sa stratégie controuvée du maintien des dates de son processus électoral, en espérant dribler tout le monde au finish. La côte d’ivoire ne doit pas rester inerte face à la défiance d’Alassane Ouattara. Non ! Alassane Ouattara et son système usine à gaz, anti-droit, anti-liberté, antidémocratique, qui à virer à l’état policier, à l’état paria, à l’état voyou ne doit pas tout imposer au peuple ivoirien avec l’unique condition de la soumission seigneuriale. La Rue a acquis ses droits de force d’appoint au peuple souverain.

 

*- Le peuple souverain ivoirien ne doit plus tolérer cette imposture qui menace gravement notre processus électoral, nos vies physiques, nos droits, nos libertés, notre vie démocratique et la souveraineté nationale.  Oui, le citoyen ivoirien ne doit plus tolérer cette grossière escroquerie morale et intellectuelle, qui n’augure rien de bon pour notre très chère patrie la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. La chose est dès lors claire et net : Il faut chasser ce banditisme politique, avéré d’un système de voyoucratie archaïque, qui entretien une instabilité sociopolitique manifeste. Il faut chasser-lui, pour ainsi faire de la place à la stabilité sociopolitique et à la paix sociale au pays de Félix Houphouët Boigny. Oui, sans faire beaucoup de calculs politique, il faut chasser-lui !

 

*- Et ensuite pour le processus électoral à venir «post-chasse-lui». Le peuple souverain ivoirien doit tenir l’exigence de la promesse républicaine de l’égalité de tous, dans la participation à la gestion des affaires publiques du pays. Et tenir la promesse citoyenne de l’égalité de tous en droits et en devoirs, indépendamment de nos origines culturelles et sociopolitiques, de nos convictions philosophiques et de nos croyances religieuses, sans aucune politique d’ostracisme, d’Anathème, d’Excommunication. Et d’ouvrir à l’égal accès les structures étatiques de souveraineté populaire, cela dans la reconnaissance acceptée de chacun dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité tous ivoiriens, et dans la citoyenneté commune accepter par tous qui permet de gérer harmonieusement, paisiblement et politiquement. Donc il faut chasser ce banditisme politique, pour instaurer un processus électoral qui permet d’obliger la dévolution du pouvoir d’état par élection libre, ainsi le pouvoir placé à équidistance de tous les futurs candidats, pour des élections consensuelles, libres, transparentes, justes et ouvertes. Cela dans le respect des normes juridiques de régulations sociopolitiques acceptées par tous au départ. Ce qui fera de notre pays, un pays de citoyens libres égaux en droit et devoir. Donc pour que la date du 10 octobre 2020  soit une date historique de fracture et de cassation sous le poids de l’union de toutes les filles et tous les fils de la côte d’ivoire unis au chevet de la chère patrie, il faut chasser ce banditisme politique d’Alassane Ouattara. Donc, « 20 Jours pour arrêter la dynamique démoniaque de la dictature du RHDP unifié. Elle doit être vaincue dans quelques jours ou quelques semaines ». NOUS SOMMES CONVAINCUS QUE LE SALUT DE LA CÔTE D’IVOIRE VIENDRA DU PEUPLE SOUVERAIN ULTIME DÉTENTEUR DU POUVOIR D’ÉTAT. ALASSANE OUATTARA DOIT PARTIR D’UNE MANIÈRE OU D’UNE AUTRE. ADVIENNE ALORS QUE POURRA… IL FAUT CHASSER-LUI !!! Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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