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9 octobre 2020 5 09 /10 /octobre /2020 18:01
Tous au Félicia le 10 octobre pour connaitre la direction à prendre pour la côte d’ivoire. Qui n’est autre que, le contraire de la direction voulu par le 3e mandat d’Alassane Ouattara. CITOYEN IVOIRIEN ! Tous ensembles le 10 octobre 2020, tranquillement et calmement, si ton Félicia « le stade  Félix Houphouët boigny » refuse du Monde, retient que pour ce jour béni du « 10 sur 10 », des rues d’Adamé jusqu’au Plateau est ton Félicia. Et des rues de Marcory en passant par Treichville sont ton Félicia. « Stade Félix Houphouët boigny ».

Tous au Félicia le 10 octobre pour connaitre la direction à prendre pour la côte d’ivoire. Qui n’est autre que, le contraire de la direction voulu par le 3e mandat d’Alassane Ouattara. CITOYEN IVOIRIEN ! Tous ensembles le 10 octobre 2020, tranquillement et calmement, si ton Félicia « le stade Félix Houphouët boigny » refuse du Monde, retient que pour ce jour béni du « 10 sur 10 », des rues d’Adamé jusqu’au Plateau est ton Félicia. Et des rues de Marcory en passant par Treichville sont ton Félicia. « Stade Félix Houphouët boigny ».

Citoyen ivoirien le 10-10-2020, tu n’es à ta place qu’au Félicia « stade Félix Houphouët boigny » pour prendre le  «10 sur 10» de tes gyroscopes tous réunis en ces lieux. C’est la note « 10 sur 10 » comme au CP-1 sinon tu redoubles.

Oui, Citoyen ivoirien, l’essentiel est en jeu. L’essentiel en jeu ici, c’est la restauration des droits, des libertés et des règles démocratiques bafoués. L’essentiel en jeu ici, c’est le destin de la chère patrie, la côte d’ivoire de demain dans le concert des nations.  L’essentiel en jeu ici, c’est l’avenir de la jeunesse ivoirienne. L’essentiel en jeu ici, c’est une politique concrète qui puisse replacer l’être humain au centre du débat économico-sociopolitique et le citoyen au cœur de la politique développementale. Voilà pourquoi citoyen ivoirien ici, le 10 octobre 2020, ta décision doit être de conjuguer le devoir de résistance soutenue absolument, et l’appel à la mobilisation active, de toutes les forces vives sociopolitiques de la nation ivoirienne, pour sauver notre volonté de vivre un destin meilleur, que celui que veut nous  imposer un unilatéralisme devenu sourd et sourd, qui a besoin qu’on lui marche un peu sur les pieds, pour qu’il sache qu’il n’est pas le seul danseur. Donc le 10 octobre 2020, le sens de ta volonté citoyenne doit être à l’aune de ton obéissance aux règles du droit, de la démocratie, qui constituent le fondement d’une société libre, d’une société cohérente, d’une société de droit, d’une société de liberté et d’une société démocratique. Oui, ici, c’est parce que le lien social est éminemment politique, que tout doit être fait pour que chaque citoyen bénéficie de ses droits inaliénables et de ses libertés fondamentales, à droit et devoir égaux. Où nous pourrons nous épanouir en tant que citoyens ivoiriens libres et égaux. Et tous ensembles le 10 octobre 2020 tranquillement et calmement seraient très déterminants, sous les directives de tes gyroscopes tous réunis en ces lieux. Une chose est certaine, ce n’est qu’ensemble que nous réussirons à vaincre cette crise sociopolitique  et à construire demain une société ivoirienne de paix plus durable. Tous ensembles ! Nous réussirons à changer notre pays la côte d’ivoire.

Donc tous au Félicia le 10 octobre pour connaitre la direction à prendre pour la côte d’ivoire. Qui n’est autre que, le contraire de la direction voulu par le 3e mandat d’Alassane Ouattara. La direction à prendre pour la côte d’ivoire ? « La dissolution du Conseil Constitutionnel. La dissolution de la CEI.  Un audit international de la liste électorale. Le respect scrupuleux de la Constitution »… CITOYEN ! C’EST DU SERIEUX. C’EST DU CONCIS. C’EST DU CONCRET. Tous au Félicia le 10 octobre. Mais sur le volet constitution, a défaut du respect scrupuleux de la Constitution, à notre avis, même s’il y a une dissolution de la constitution de 2016, supplié par la constitution de 2000 en attendant l’élaboration d’une nouvelle constitution plus technicisée au terme d’une transition de 5 ans avec un duo expérimenté de gyroscopes, « deux » présidents fédérateurs condamné a dirigé ensemble avec la répartition des prérogatives de gouvernances soumis à homogénéité des actions. D’où l’ensemble des dirigeants de partis fédérés au sein de cette équipe de gouvernance de transition serait immuable et inamovible : « le duo président de la république-1, président de la république-2, ministres de la république et dirigeants des institutions de la république ». Tous immuable et inamovible, ce n’est pas non-plus mauvais. Ça c’est notre Avis personnelle de citoyen LIBRE… Qui se veut totalement LIBRE…

Tous au Félicia le 10 octobre pour connaitre la direction à prendre pour la côte d’ivoire. Qui n’est autre que, le contraire de la direction voulu par le 3e mandat d’Alassane Ouattara. CITOYEN IVOIRIEN ! Tous ensembles le 10 octobre 2020, tranquillement et calmement, si ton Félicia « le stade  Félix Houphouët boigny » refuse du Monde, retient que pour ce jour béni du « 10 sur 10 », des rues d’Adamé jusqu’au Plateau est ton Félicia. Et des rues de Marcory en passant par Treichville sont ton Félicia. « Stade Félix Houphouët boigny ».

IL FAUT Y ËTRE ABSOLUMENT. C’EST UN DEVOIR CITOYEN.

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5 octobre 2020 1 05 /10 /octobre /2020 18:15
Lepetitfils : Le peuple ivoirien est face à son palabre. Un peuple souverain ne sort jamais perdant devant un dirigeant d’état armée soit-il : « Hier le Mali de Moussa Traoré, a Aujourd’hui « récent » ce même Mali, l’Algérie, le soudan, etc. Les peuples souverains irrésistibles ont toujours vaincus les pouvoir d’état déviant. Parce qu’aucune victoire d’un pouvoir d’état sur un peuple souverain déterminé à défendre ses droits, ses libertés, la démocratie réelle à la face du monde n’est possible en ce 21e siècle.

Lepetitfils : Le peuple ivoirien est face à son palabre. Un peuple souverain ne sort jamais perdant devant un dirigeant d’état armée soit-il : « Hier le Mali de Moussa Traoré, a Aujourd’hui « récent » ce même Mali, l’Algérie, le soudan, etc. Les peuples souverains irrésistibles ont toujours vaincus les pouvoir d’état déviant. Parce qu’aucune victoire d’un pouvoir d’état sur un peuple souverain déterminé à défendre ses droits, ses libertés, la démocratie réelle à la face du monde n’est possible en ce 21e siècle.

Il faut avoir le courage de le dire, dans les premières semaines de la déclaration de candidature d’Alassane Ouattara, le peuple souverain ivoirien avait eu  la réaction approprié,  et avait pris automatiquement l’option qui sied à la situation, en réclamant le retrait sans condition de cette candidature illégale et illégitime, cela dans toute l’assiette territoriale. Cette option à laquelle un pouvoir arbitraire résiste difficilement en ce 21e siècle. Ce moyen conventionnel est le péril pour tout pouvoir arbitraire. Mais les dépôts des candidatures autres que pour Ouattara et les perspectives de leurs acceptations et le rejet du la troisième candidature d’Alassane Ouattara a fini de tempéré l’ardeur du peuple, et annihilé les engagements légitimes du peuple. Pour arriver au stade d’aujourd’hui ou les distributions des cartes d’électeurs sont programmé pour le 14 octobre pour des élections elles même prévues pour le 31 octobre.  

Donc Alassane Ouattara tient son calendrier électoral qu’il exécute à la perfection. Oui Alassane Ouattara est dans la surface de réparation du peuple souverain ivoirien « comme l’ASEC dans la surface de réparation de l’AFRICA », avec son coéquipier passeur la CEI, balle au pied, prêt à faire un centre pour le But de la Main de Dieu de son coéquipier attaquant nébuleux Alassane Ouattara, dans un cafouillage monstre dans la surface de réparation du peuple souverain ivoirien. But qui sera validé par son autre coéquipier arbitre conseil constitutionnel, pour une victoire macabre. Ou le « j’ai gagné les élections » donnera la parole aux fusils comme en 2010. Ici le peuple a acquis le droit inaliénable de tacler attaquant nébuleux Alassane Ouattara. Advienne alors que pourra. C’EST LE MOMENT OU JAMAIS.

C’est notre diagnostic. Puisqu’il en va de la médecine comme de la politique, ou il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. « La Politique dans notre entendement, est principalement ce qui a trait au collectif, au général et au commun, à une somme d’individualités et/ou de multiplicités. Toute personne qui ne s’intéresse pas qu’à elle-même, pratique donc de fait la politique, pour nous ». Oui, Aujourd’hui plus que jamais nous avons besoin d’une lutte citoyenne rigoriste sur les droits fondamentaux, une lutte incisive sur les libertés fondamentales, une lutte intransigeante sur les règles démocratiques et une lutte extrêmement pugnace face au mépris pour le peuple du troisième Mandat d’Alassane Ouattara. Une lutte qui proscrit toute versatilité dans sa durée chemin faisant vers le but visé. Sinon le peuple ivoirien assujettit et réduit à la soumission seigneuriale à Alassane Ouattara devenu monarque payera cash. Oui, de toutes les façons, le mal est là, le danger est là, avec les élections entamées de 2020. Avec l’unique solution de sauvetage le départ d’Alassane Ouattara avant toute élection, qui réside dans la lutte sans état d’âme.

L’ivoirien ne doit pas se leurrer, la côte d’ivoire ne s’en sortira que de par sa capacité à faire pièces à l’arbitraire unilatéraliste d’Alassane Ouattara. Advienne alors que pourra. Alassane Ouattara est sûr de son fait, très sûr de son emprise sur la société ivoirienne, face à des acteurs politiques ivoiriens trop soucieux de la commodité des actions sociopolitiques. Alors que, Alassane Ouattara décide seul de tout. Or quand une seule personne décide de tout dans un état de droit dit républicain, c’est ce qu’on appelle la dictature ou la monarchie républicaine. Rappelons-le en 2010, il n’y a pas plus de 30% du peuple qui a soutenu le pouvoir d’Alassane Ouattara dans son passage en force Armé. Mais Alassane Ouattara a gouverné contre vent et marré. En 2015, il n’y a pas plus de 15% du peuple qui a soutenu l’élection d’Alassane Ouattara. Mais Alassane Ouattara a gouverné sans se faire de soucis pour la légalité de son pouvoir. En 2016 il n’y a pas plus de 10% du peuple qui a accepté le referendum constitutionnel d’Alassane Ouattara.  Mais c’est cette constitution qui régit la vie sociopolitique ivoirienne aujourd’hui. Malgré les 80% des urnes cassées par le peuple, ce qui invalide cette constitution et toutes ses procédures de conceptions. Mais malgré tout, la côte d’ivoire dépend aujourd’hui du bon vouloir d’Alassane Ouattara, devenu gardien par excellence des grands intérêts mafieux de par le monde. Le fichu peuple ivoirien ne compte pas dans cette politique obscurantiste et dans cette gouvernance mafieuse fondé sur la défense des intérêts mafieux. Soutenu par les violations des droits et des règles.

Le peuple ivoirien est face à son palabre. Un peuple souverain ne sort jamais perdant devant un dirigeant d’état armée soit-il : « Hier le Mali de Moussa Traoré, a Aujourd’hui « récent » ce même Mali, l’Algérie, le soudan, etc. Les peuples souverains irrésistibles ont toujours vaincus les pouvoir d’état déviant. Parce qu’aucune victoire d’un pouvoir d’état sur un peuple souverain déterminé à défendre ses droits, ses libertés, la démocratie réelle à la face du monde n’est possible en ce 21e siècle. Le peuple souverain ivoirien ultime détenteur du pouvoir d’état, doit pouvoir renverser d’une manière ou d’une autre par la lutte synergique des actions citoyennes dans la Rue, ce système pervers, mégalomaniaque, obscurantiste, mafieux et claniques d’Alassane Ouattara. Pour afin replacer l’être humain au centre du débat, l’humanisme au centre de la problématique sociale et sociétale et le citoyen au cœur de toute politique économique et développementale. Ou l’être humain, l’homme incarnerait la centralité politique et le citoyen ivoirien le cœur de l’action politique développementale. Il faut renverser ce système anti-droit.

ALASSANE OUATTARA NE DOIT PAS PASSÉ EN FORCE. LE PEUPLE IVOIRIEN EST FACE A SON DEVOIR. PLUS DE SALAMALEC  DE COMMODITÉ…… ADVIENNE QUE POURRA. AVEC VOUS CITOYENS POUR UNE CÖTE D’IVOIRE PAISIBLE ET RESPECTUEUSE DU DROIT. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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15 septembre 2020 2 15 /09 /septembre /2020 16:48
Au nom de la paix sociale et de la réconciliation nationale, si chères à chacun d’entre nous, je m’engage, dès mon accession à la magistrature suprême, à mettre en place un Gouvernement de large ouverture, fédérant toutes les formations politiques et les forces sociales qui le désirent et à prendre des mesures concrètes et immédiates pour le retour sans condition de tous les exilés, la libération des tous les prisonniers politiques civils et militaires de la crise post-électorale de 2010 jusqu’à nos jours.

Au nom de la paix sociale et de la réconciliation nationale, si chères à chacun d’entre nous, je m’engage, dès mon accession à la magistrature suprême, à mettre en place un Gouvernement de large ouverture, fédérant toutes les formations politiques et les forces sociales qui le désirent et à prendre des mesures concrètes et immédiates pour le retour sans condition de tous les exilés, la libération des tous les prisonniers politiques civils et militaires de la crise post-électorale de 2010 jusqu’à nos jours.

*- (Le candidat du PDCI-RDA, le président Henri Konan Bédié, l’Esperance dans une voie nouvelle).

- Honorables Invités
- Militantes et Militants
- Sympathisantes et Sympathisants du PDCI-RDA,
Mes Chers Compagnons,
- Peuple de Côte d’Ivoire

Je vous salue et vous remercie pour cette belle mobilisation semblable à celle du 27 Août 2020 qui a accompagné le dépôt de ma candidature à la CEI.

Nous voilà, réunis, à nouveau à la Place Jean-Paul II, pour mon investiture à l’élection présidentielle du 31 Octobre 2020, après mon plébiscite, comme candidat à ladite élection, par les membres statutaires, lors des conventions électives éclatées des 25 et 26 juillet 2020.

En ce merveilleux instant du 12 Septembre 2020, permettez que du haut de cette tribune, j’associe la voix de mon épouse et de ma famille à la mienne pour vous traduire à tous toute ma reconnaissance pour votre détermination et loyauté à servir, avec foi et abnégation notre grand parti, le PDCI-RDA.

Chers Compagnons, notre présence ici ce jour répond à un objet de haute importance.

Il s’agit de transmettre, aux ivoiriennes, aux ivoiriens, à tous ceux vivant en Côte d’Ivoire et aux amis de la Côte d’Ivoire, un message d’espoir et d’espérance, précisant notre engagement politique, tel qu’il transparaît de notre projet de société et notre programme de gouvernement.

Mes Chers Compagnons, mon ambition majeure pour la Côte d’Ivoire est de réaliser, à court terme, la réconciliation nationale, à travers l’adoption par tous d’un nouveau contrat social pour une Côte d’Ivoire réconciliée, unie et prospère.

Nous avons besoin d’une Côte d’Ivoire reconstruite en recollant tous les Morceaux décousus de notre tissu social.

Cette reconstruction doit être une œuvre collective menée par toutes les Forces vives de la nation, dans le cadre d’un dialogue politique et social inclusif.

Ainsi, ce jour, je réaffirme, solennellement, que j’accepte d’être candidat à l’élection présidentielle du 31 Octobre 2020 et j’invite toutes les formations politiques et les plateformes politiques, qui le désirent, à soutenir ma candidature à l’élection présidentielle du 31 Octobre 2020.

Soyons déterminés et engagés, car la victoire à cette élection est à notre portée à tout point de vue.

Au nom de la paix sociale et de la réconciliation nationale, si chères à chacun d’entre nous, je m’engage, dès mon accession à la magistrature suprême, à mettre en place un Gouvernement de large ouverture, fédérant toutes les formations politiques et les forces sociales qui le désirent et à prendre des mesures concrètes et immédiates pour le retour sans condition de tous les exilés, la libération des tous les prisonniers politiques civils et militaires de la crise post-électorale de 2010 jusqu’à nos jours.

Ce gouvernement aura pour missions de mettre en œuvre un programme, structuré en quatre (4) volets stratégiques, comportant vingt-six (26) engagements majeurs.

Ces quatre (4) volets stratégiques sont :

Premier volet : l’état de droit, la démocratie apaisée et participative.

Il s’agit pour moi de montrer la façon, dont j’entends garantir les libertés publiques par un exercice sain de la démocratie qui conforte la défense du Territoire national, la reconstruction nationale, la réconciliation, la paix sociale, la justice et l’égalité de tous les citoyens devant la loi ; et ce dans un espace de vie sécurisé à l’intérieur du pays et aux frontières.

Au plan de la sécurité nationale, je m’engage à réformer le fonctionnement des forces de sécurité que sont la police nationale et la gendarmerie nationale et à doter l’armée nationale d’une nouvelle loi de programmation militaire pour renforcer son action et son rôle.

Toutes ces innovations que je m’engage à entreprendre et qui sont des facteurs incontournables de paix, de développement et de stabilité, s’inscrivent parfaitement dans notre vision de bâtir une Côte d’Ivoire réconciliée, unie et prospère.

En effet, aucun développement sérieux et durable n’est possible sans le préalable de la paix.

C’est pourquoi, je m’engage à renouer avec les trois paradigmes, que le Président Félix Houphouët-Boigny, Père Fondateur du PDCI-RDA et de la Côte d’Ivoire moderne, a conçus et qui ont valu à la Côte d’Ivoire un prestige et un rayonnement reconnus en Afrique et dans le Monde.
Il s’agit de :
- La Paix à l’intérieur de la Côte d’Ivoire ;
- La Paix entre la Côte d’Ivoire et tous les pays Africains ;
- La Paix entre l’Afrique et le reste du Monde.

Dans le cadre du respect de la chose publique, je m’engage à redéfinir les missions de la Haute Autorité chargée de la bonne gouvernance afin qu’elle agisse avec promptitude et célérité dans l’exécution de ces missions ; à l’effet de prévenir et de lutter contre la corruption devenue rampante de nos jours.

Pour rassurer nos concitoyens de l’égalité de tous devant la loi et rassurer les milieux d’affaires, je m’engage à rendre effectives :

• la séparation des pouvoirs entre l’exécutif, le législatif et le judiciaire ;

• la protection des magistrats et du personnel de justice, dans l’exercice de leur profession, contre l’intrusion du pouvoir exécutif dans le fonctionnement de l’appareil judiciaire érigée en système sous la gouvernance actuelle du RHDP- Unifié.

Deuxième volet : la citoyenneté, le civisme, l’éducation, la formation et le bien-être pour tous.

Encore, je m’engage à réaliser leur promotion à travers :

• l’enseignement du civisme dans les cycles scolaires et la maîtrise de nos valeurs culturelles ;

• la formation scolaire, universitaire et technique adaptée à l’évolution du monde scientifique et du marché du travail ;

Il s’agit pour moi de m’assurer de l’employabilité des jeunes diplômés sur le marché du travail.

C’est pourquoi je m’engage, ici et maintenant, à mettre au cœur de mon programme de gouvernement plusieurs chantiers prioritaires relatifs à l’emploi des jeunes et à l’autonomisation des femmes et à une réforme profonde de notre système éducatif.

Je n’oublie pas nos braves femmes des villes et des villages, à la tâche dans les activités artisanales, commerciales et dans les champs, ces femmes sur qui repose l’essentiel des préoccupations quotidiennes de la vie des familles.

Je m’engage à les rendre autonomes à travers des activités génératrices de revenus financées, comme je les avais institués de 1996 à 1999, grâce aux institutions de micro-crédits ou des établissements financiers spécialisés.

Je veillerai à ce que les jeunes et les femmes, qui relanceront nos activités agricoles, soient mieux outillés qu’avec la houe, la daba et la machette.

Nous opterons progressivement pour une agriculture motorisée porteuse de gains de productivité et de revenus accrus, toute chose qui freinera l’exode rural et la migration des jeunes à l’étranger au péril de leur vie.

Il est évident que le plein emploi des jeunes ne saurait être une réalité sans une transformation profonde de notre système éducatif qui s’est accommodé de la médiocrité, au regard de la baisse généralisée du niveau scolaire, comme l’atteste le faible taux de réussite aux récents examens du baccalauréat et du BEPC ; inférieur à 45%.

J’ambitionne de relever ce taux au moins à hauteur de 70% à l’horizon 2025.

C’est ce qui motive ma détermination pour l’épanouissement de notre jeunesse, qui de mon point de vue, bien qu’intelligente et courageuse, est en manque de repères et de modèles, en raison de la faillite des politiques de l’éducation, de la formation et de l’emploi du RHDP unifié.

Chers Compagnons, nous devons mettre fin à ce mode de fonctionnement ; le clientélisme qui n’honore pas notre République et les gouvernants actuels.

Je veillerai à ce que l’égalité des chances, consacrée par notre loi fondamentale, soit, à jamais, le ferment de la réconciliation nationale, de l’unité nationale et de notre prospérité économique.

La recherche-développement en santé est quasi inexistante. Ce qu’a confirmé la gestion de la pandémie de la COVID 19.

Au regard de ces faits, je m’engage à réformer en profondeur notre système de santé en mettant en œuvre un programme prioritaire de recherche-développement sanitaire dans les pôles économiques de développement.

Troisième volet : les grands travaux et l’aménagement du territoire national.

A travers ce volet, je m’engage à développer les infrastructures de base nécessaires au développement économique et social durable.

A cet effet, je propose un ensemble de mesures structurelles d’appui et d’accompagnement aux entreprises privées et publiques exerçant dans les domaines :
• des bâtiments et des travaux publics,
• des transports,
• de l’industrie et des mines ;
• des nouvelles technologies de l’information ;
• des hydrocarbures, de l’énergie et des énergies renouvelables ;
• de la santé et de l’hygiène publique ;
• de la construction, de l’urbanisme et du cadre de vie.

Ainsi, je m’engage à réaliser de grands projets structurants tels que :
- la création de neuf Grands pôles économiques de développement,
-la création de nouveaux chefs-lieux de départements; notamment ceux de OURAGAHIO, de GUIBEROUA, OUELLE etc.

Par ailleurs, dans la lutte contre les inondations, avec son corolaire de pertes en vies humaines dans divers quartiers de la ville d’Abidjan, je m’engage à mettre en œuvre un programme ambitieux d’assainissement, de drainage et d’amélioration du cadre de vie des populations.

Quatrième volet : le développement économique et social durable.

Enfin, à travers ce quatrième volet, je m’engage à bâtir un modèle économique adossé sur un cadrage macroéconomique, avec une prévision de recettes fiscales couvrant l’essentiel des dépenses publiques.

A cet effet, je m’engage à faire adopter des réformes fiscales et douanières pour accroître les ressources de l’état en vue de faire face aux sollicitations financières des organisations syndicales des travailleurs.

Dans le secteur public, il s’agit :

• du relèvement de l’indice référentiel de base fixé à 233.457 depuis 1961, sans évolution tenant compte de la cherté de la vie,

• de la revalorisation du taux d’annuité liquidable de la pension de 1.75 à 2,

• de l’adoption du nouveau statut général de la fonction publique.

Dans le secteur privé, il s’agit d’entreprendre des réformes se rapportant à :
- la révision du code du travail,
- la revalorisation du Smig et du Smag,
- la revalorisation des pensions de retraite, en raison de leur caractère dérisoire.

Chers Compagnons, je m’engage à traiter ces attentes en instaurant la justice fiscale à travers :

- la réduction du taux d’imposition pour alléger la charge fiscale des contribuables, car trop d’impôt tue l’impôt,

- l’élargissement de l’assiette fiscale. Les pertes de recettes issues de la réduction des taux d’imposition seront compensées par l’élargissement de l’assiette de l’impôt,

- l’adoption d’une fiscalité allégée et adaptée aux petites et moyennes entreprises et au secteur informel. En effet, les PME et le secteur informel constituent des maillons importants de notre économie.

Sur la base de ces réformes fiscales et des ressources attendues, je m’engage à assurer une croissance économique inclusive, forte et durable, à travers la promotion :

1- d’une agriculture moderne, diversifiée, intensive et mécanisée.

2- d’un secteur industriel adapté aux impératifs de compétitivité de l’agro-industrie, des industries minières, pétrolières et gazières.

Ce secteur constituera le socle de l’expansion économique projetée à l’horizon 2025.

3- d’un secteur tertiaire dynamique soutenu par le développement des NTIC et par les petites et moyennes entreprises.

En conclusion, l’objectif visé à l’horizon 2025, c’est de:

1- réduire sensiblement le niveau du chômage, aggravé par la covid-19.

Le niveau élevé de ce taux de chômage, que je ne cesse de décrier à chacune de mes interventions, et qui se situe entre 70% et 90%.

Malheureusement à ce jour, aucune action véritable n’a été menée pour la création d’emplois pour les jeunes, garçons et filles.

J’ambitionne de ramener ce taux entre 15% et 25%.

2- accroître la richesse nationale dans tous les secteurs de production, avec une amélioration qualitative des systèmes de production adossés à une fiscalité à base élargie pouvant induire une croissance soutenue du PIB entre 8,5% et 9,5% à l’horizon 2025.

3- assurer une meilleure répartition des fruits de la croissance par une affectation efficiente des ressources publiques vers les couches sociales les plus vulnérables, à travers des projets et programmes pour les pauvres.

Ces projets ciblés, en faveur des populations démunies, seront contenus dans les quinze (15) masses de projets plurisectoriels, à réaliser de 2020 à 2025, d’un montant de 46 000 milliards de francs CFA.

Mes chers Compagnons, la réalisation effective de ces projets et programmes va reposer sur une gestion saine des ressources publiques.

A cet effet, je m’engage à assurer une gestion transparente des dépenses publiques, avec l’obligation aux gestionnaires des comptes publics de rendre compte des opérations financières de l’Etat.

C’est sur la base de la gestion efficiente des recettes fiscales Prévisionnelles, de 2020 à 2025, d’un montant de 34 776,3 milliards de francs CFA et la mobilisation de ressources additionnelles sur les marchés internationaux de capitaux que nous aurons la capacité de financer les quinze (15) masses de projets, comportant un total de cent quarante-trois (143) projets.

Ces quinze (15) masses de projets plurisectoriels constituent la nervure principale du Programme de gouvernement 2020-2025 du parti.

Chers Compagnons, me voilà au terme de mon discours programme 2020-2025 qui met en exergue les axes essentiels des politiques publiques que je m’engage à exécuter pour une Côte d’Ivoire réconciliée, unie et prospère.

Ce projet de société et ce programme de gouvernement sont ma vision et mes objectifs, contrairement au RHDP unifié qui n’a ni vision ni objectif à long terme.

En effet, l’émergence projetée à l’horizon 2020, évoquée dans tous les discours officiels n’a pas été une réalité et la misère ne cesse de croître.

Leur modèle macroéconomique a généré une croissance appauvrissante sur la période 2012-2020, avec un taux de pauvreté de plus de 47%, malgré un taux de croissance du PIB en moyenne de 7,6% sur la même période.

Les tenants du pouvoir RHDP n’ont jamais eu pour objectif de parvenir à une meilleure redistribution des richesses nationales.

Je voudrais dire à leur endroit la pensée de CONFICIUS : « quand le sage montre la lune, l’idiot regarde le doigt ». Quand pour la nation les sages de notre pays montrent la voie de la paix, ils s’obstinent à violer la constitution, à se parjurer en voulant un 3ème mandat.

Contre cette forfaiture, je vais avec l’opposition remporter cette élection présidentielle afin de réussir une mission de salut public pour le bonheur de tous, en particulier des jeunes, filles et garçons des nouvelles générations.

Je demande, donc, à tous les ivoiriens et à toutes les ivoiriennes de m’accorder leurs voix pour la victoire à l’élection présidentielle du 31 Octobre 2020, afin qu’ensemble nous reconstruisions l’état de droit et la démocratie apaisée, tant recherchés depuis le stupide coup d’État du 24 Décembre 1999.

Que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire.

Fait à Yamoussoukro le 12 Septembre 2020. Henri Konan BÉDIÉ Président du PDCI-RDA Candidat à l’élection présidentielle du 31 Octobre 2020

*- LIRE LA TRIBUNE CI-DESSOUS SVP. MERCI !

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5 septembre 2020 6 05 /09 /septembre /2020 12:42
Lepetitfils : Oui il est de notoriété publique que les dictatures pures et dures naissent souvent la plupart des temps, avec la complicité d'une petite partie obscurantiste des peuples et sous l’aval d’une démocratie de façade. Le fatalisme et la résignation du peuple font la force du dictateur. Mais voilà ! Dans tous les cas le mal est là, le danger est là, dans une côte d’ivoire Hallucinée par un prédateur pouvoir usine à Gaz anti-droit devenu Hallucinant. Le dictat rigide et inflexible. Ma condition ou rien. Moi c’est Moi. Moi ou rien. Moi ou la terre brulée.

Lepetitfils : Oui il est de notoriété publique que les dictatures pures et dures naissent souvent la plupart des temps, avec la complicité d'une petite partie obscurantiste des peuples et sous l’aval d’une démocratie de façade. Le fatalisme et la résignation du peuple font la force du dictateur. Mais voilà ! Dans tous les cas le mal est là, le danger est là, dans une côte d’ivoire Hallucinée par un prédateur pouvoir usine à Gaz anti-droit devenu Hallucinant. Le dictat rigide et inflexible. Ma condition ou rien. Moi c’est Moi. Moi ou rien. Moi ou la terre brulée.

Répétons: « Joseph de Maistre « 1753-1821 », Écrivain et philosophe, qui fut aussi homme politique qui disait à la suite de Montesquieu, « 1689 » que: « Toute nation a le gouvernement qu’elle mérite. » Pour le dire autrement, nous dirons que les peuples victimes ne méritent-ils pas leurs bourreaux ? Alassane Ouattara qui disait vouloir transmettre le pouvoir a une nouvelle génération, s’est avéré incapable de trouver un remplaçant au candidat éliminé en dehors des urnes dans cette nouvelle génération, qui semble ne pas être prête et qui a besoin de préparation pour pouvoir assurer la relève d’Alassane Ouattara. Malgré la pléthorique de cadres formés par la France et par Félix Houphouët Boigny et suivants. En clair tous ceux de cette génération autour de lui ne sont que des vauriens, des couillons, des médiocres, des cinglés, aux culotte mal-fournies et sans contenances pesantes, d’où on ne sait même plus, par ou il faut les salué, parce qu’incapable de diriger un pays. AGBÖ !!! Donc, cette génération supposée par Alassane Ouattara comme un chainon en Bois dans une chaine en fer dont lui Ouattara est l’incarnation, mérite son président Alassane Ouattara. « Les peuples ont les gouvernements qu’ils méritent ».

 

*- Chronique : Citoyen ! Le temps de mise au vert et de vestiaire, pour Moi.

 

Nous n’avons jamais voulus ou souhaité que l’ivoirien accepter de se plaire d’être enfermer dans une prison de morts programmé par un système ploutocratique attrape-tout, soutenu par un clanisme malsain comme socle politique et assis sur un formalisme juridique constitutionnel fraudé et le tout inscrit dans une politique dirigiste économique criminel. Que parce qu’on ne doit pas jouer avec le sens de l’honneur et de la dignité d’un peuple souverain. Que s’était un  devoir citoyen, face au non-droit, de résister à l’arbitraire et de lutter contre l’arbitraire du pouvoir. Que dès lors pour qu’on ne puisse abuser du pouvoir, qu’il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir. Ici: «Quand les gouvernants violent les droits du peuple, la ligue est pour le peuple ou pour toute partie du peuple, le plus élémentaire des droits et le plus sacré des devoirs». Qu’ici la république est le régime où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple, a la souveraine puissance. Mais il se trouve que c’est cet arbitraire, qui n'a eu que suffisance, dédain et mépris pour l’ivoirien, que nous avions tenté de dénoncer, se sert au mieux de la psychologie du peuple ivoirien, face à l’arbre de la transparence, qui ne saurait cacher son poids électoral réel d’aujourd’hui « 14% à 18% ».  «Les peuples ont les gouvernements qu’ils méritent». Dit-on.

 

Oui, Nous avons espéré un moment que c’est en allant au charbon pour l’intérêt supérieur de la nation, pour l’intérêt général de la totalité sociale souveraine, que nous réussirons à restaurer la paix sociopolitique dans notre pays et à conquérir le pouvoir d’état à cette fin. Et ensuite a forgé un état de droit réel, une stabilité sociopolitique réelle et une paix sociale pérenne en côte d’ivoire. Ou l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui, sans craindre d’être zigouillé ou d’être embastillé, sinon être arrêté. Et que pour qu’on ait cette liberté, qu’il faut que le gouvernement soit tel qu’un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen. Qu’il fallait chasser ce banditisme politique pour faire la place à la stabilité. Parce que, dans les pays démocratiques, les gouvernements sont l’émanation du vote populaire. Hélas ! Malgré cela, le peuple ivoirien se reconnait de moins en moins dans les politiques menées par sa représentation nationale. Et les ivoiriens se sentent dédouanés arbitrairement de la participation à la vie politique du pays, dans la mesure où la soif de pouvoir d’état de la représentation nationale néglige les citoyens. Mais on dit, « Les peuples ont les gouvernements qu’ils méritent ».

 

Oui, la représentation nationale néglige les citoyens. D’où cette situation génère un taux d’absentéisme électoral grandissant d’élections à élections depuis 2010. Le vote protestataire, nul et blanc, devient le véritable mode d’expression face à l’imperméabilité, face à l’autisme de la représentation nationale soucieuse de la conservation du pouvoir d’état. Dès lors la représentation national se retrouver mal élu avec un faible nombre de voix. Donc pour nous, nous allions vers une élection truquée d’avance basée sur des concepts antidémocratiques. Avec des candidats exclus de fait par des décisions judiciaires bidon rendues par défaut, donc non-définitives, aux élections présidentielles et seuls les candidats ayant obtenus un nombre de signatures prédéterminé peuvent se présenter. Ce système génère ainsi  un monopole au profit des grands partis et il favorise ainsi des manœuvres politiciennes. Donc pour nous, nous allions vers une nouvelle crise plus grave, qu’il fallait anticiper la catastrophe programmée pour 2020, pour obvier le péril devenu certain. Avant qu’il ne soit trop tard en octobre 2020. Que  pour 2020, qu’il n’était point besoin de parler d’élection démocratique en 2020, si rien ne changeait sous la pression populaire du peuple souverain régulateur dans la Rue. Donc, qu’il fallait chasser ce banditisme politique inconscient, ce gangstérisme de trucage électoral, sinon qu’il fallait dire au revoir aux élections dignes de ce nom, au revoir à la stabilité sociopolitique, au revoir à la paix sociale. Mais, «Toute nation a le gouvernement qu’elle mérite.»  

 

Le peuple ivoirien mérite peut être Alassane, comme l’incarnation de la représentation national, qui ne peut pas dès lors, avoir d'égard pour le peuple ivoirien atavique devenu plus que docile a ses errements de ballon de basket. Parce trop sûr de son fait et du suivisme de certains politicards devenus suiveurs en quête de postes de nominations, de titres électifs issus d’élection truquée ou tout simplement à manger, donc la Bouffe ! Rien que la bouffe. Oui et ça ne peut être autrement ; avons-nous déjà dit a d’autre occasion que ; Depuis 1989-1990 date à laquelle il a été imposé au vieux «Félix Houphouët Boigny» et parachuté dans l’arène politique ivoirienne, à la faveur de la conjoncture économique à l’exigence des institutions financières internationales créancières de la côte d’ivoire, au mépris du plan Comoé. Il n’a eu que suffisance, dédain, et mépris pour le peuple ivoirien atavique. « Privatisation en outrance des biens publics étatiques, introduction de cartes de séjours, segmentation systémique du corps social, division systématique de l’espace politique en des petits terrains électoraux, classement absolu en chasse gardée des portions de l’arène politique national etc.». Ce sont, cette suffisance, ce dédain, et ce mépris pour le peuple ivoirien, qui explique les intempestifs passages en forces électoraux. Face à l’arbre de la transparence, qui ne saurait cacher son poids électoral réel 14% à 18%. Mais «Toute nation a le gouvernement qu’elle mérite. Et Les peuples ont les gouvernements qu’ils méritent ».

 

Oui il est universellement de notoriété publique que les dictatures pures et dures naissent souvent la plupart des temps, avec la complicité d'une petite partie obscurantiste des peuples et sous l’aval d’une démocratie de façade. Le fatalisme et la résignation du peuple font la force du dictateur ayant fait un pacte avec la misère du peuple désespéré. Alors que la rue opposante consensuelle et équilibriste critique est consentante pour le combat pacifique démocratique. Mais voilà ! Dans tous les cas le mal est là, le danger est là, dans une côte d’ivoire Hallucinée par un prédateur pouvoir usine à Gaz anti-droit devenu Hallucinant. Le dictat rigide et inflexible. Ma condition ou rien. Le Moi c’est Moi. Moi ou rien. Moi ou la terre brulée en côte d’ivoire. Donc, conscient qu’ «avec une situation aussi dégradée, on s’achemine vers des troubles importants. La crise préélectorale ou électorale peut déboucher sur une guerre civile sans précédent ». Donc à la recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitique dans un cadre institutionnel légal et dans un système électoral fiable, nous avons sans ambigüité exhorté les populations a se battra contre une candidature, la 3e voulu par un citoyen forclos en droit par deux (2) mandats successifs sans interruption sous l’empire de la même constitution de 2000. Oui, avec la participation de non-droit en violation flagrante des normes de régulations sociopolitiques d’Alassane Ouattara a l’élection de 2020, devenue symbole de  la paix et de la stabilité retrouvées, pour ses soutiens extérieurs de 2010. Il faut dire au revoir aux élections dignes de ce nom, au revoir à la stabilité sociopolitique, au revoir à la paix.

 

Ainsi, pour nous participer à l’élection bidon du 31 octobre 2020, qui dit-t-on doit contribuer, à raffermir cette paix et cette stabilité en Côte d’Ivoire, est incompatible avec notre éclectisme impassible, soutenue par notre foi inébranlable aux valeurs que l’humanité s’est donné et aux valeurs démocratiques universelles. Nous préférons dès lors, un peuple qui ne recule pas avec ses droits. La confiance à rechercher dans le processus électoral doit être celui du peuple souverain et non des soutiens extérieur dans la logique de 2010 avec ses 4000 morts de citoyens zigouillés avec mépris sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état. Conscient que nous sommes, que l’humanité ne retire jamais un peuple vache martyrisé, des mains d’un pouvoir bourreau, et qu’elle n’intervient que quand ce peuple vache martyrisé proteste contre l’arbitraire, manifeste contre les violations de droits. Nous avons donc fermement soutenus, que si les populations ivoiriennes temporisent ou arrêtent les manifestations avant qu’Alassane Ouattara retire sa candidature ou part du pouvoir qu’elles auront tous perdu. Oui, tout perdue : « Les plus de vingt « 20 » Morts, les plus de 300 blessés, ensuite la souveraineté populaire accaparé de force, les droits inaliénable bafoués, les libertés fondamentales confisquées, notre système d’organisation sociale assujettie, le libre arbitre, la liberté d’expression piétinées, le peuple souverain réduit à la soumission seigneuriale au Roi et ses armes «fusils», des citoyens confinés dans un système de vache qui ne demande qu’à manger, entre les mains d’un Boucher, monarque absolu, avec son 3e mandat, locomotive d’un 4e mandat, et suivants, donc la recherche éperdue d’un pouvoir a vie déguisé.» Mais « Les peuples ont les gouvernements qu’ils méritent ».

 

«OUI DISONS-LE, EN MATIÈRE ÉLECTORAL ET DE CONQUÊTE DU POUVOIR D’ÉTAT, LE SUMMUM DU DROIT NE SE DIT PAS FORCEMENT AU CONSEIL CONSTITUTIONNEL. MÊME SI ÊTRE NOMMÉ AU CONSEIL CONSTITUTIONNEL EST UNE RECONNAISSANCE POUR TOUS JURISTES, MAIS PAS FORCEMENT LES MEILLEURS JURISTES DE TOUS. LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL N’EST PAS UNE INSTITUTION JUDICIAIRE, PARCE QUE SON ACCESSION SE FAIT PAR CHOIX POLITIQUE, MAIS PAS PAR COMPÉTENCE. AUSSI, PUISQU’IL EST APPLIQUANT D’UNE NORME POLITIQUE QU’EST LA CONSTITUTION POLITIQUE, NORME FONDAMENTALE SOIT-ELLE, MAIS RESSORTISSANTE D’UNE VOTATION POLITIQUE. LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL IVOIRIEN, A-T-IL PU CONTRÔLER LA CONSTITUTIONNALITÉ DE LA CONSTITUTION DE 2016 ? DANS SA PROCÉDURE D’ÉLABORATION VICIÉE ? ET SURTOUT AVEC TOUS LES URNES CASSÉES, QUI VALENT A UN NON ! FERME  DU PEUPLE ? A-T-IL PU CONTRÔLER LA CONSTITUTIONNALITÉ DE LA PROCÉDURE DE SA MODIFICATION 3 ANS SEULEMENT APRÈS ? ET SURTOUT A-T-IL PU CONTRÔLER LA CONSTITUTIONNALITÉ DE LA MODIFICATION DU CODE ÉLECTORAL POUR DONNER UNE FORME DÉFINITIVE A DES DÉCISIONS JUDICIAIRES PAR DÉFAUT ? A FIN D’ÉLIMINATION POLITIQUE ET ÉLECTORAL, NON ! IL NE PEUT PAS, LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL. PARCE QU’IL EST POLITIQUE, ET SES ACTES ILLÉGAUX DU POUVOIR QUI DOIVENT FAIRE L’OBJET DE CONTRÖLE DE CONSTITUTIONNALITÉ EMMENAIENT DU POURVOYEURS DES POSTES AU CONSEIL CONSTITUTIONNEL. JURISTE OU PAS, LE COMMUN DES MORTEL SAIT QUE LE DROIT N’A RIEN DE SÉLECTIF, RIEN DE VERSATILE, RIEN DE SENS UNIQUE. OR, ICI LA POLITIQUE OU LE POLITIQUE TIENT LE DROIT EN L’ÉTAT, ET LE DONNE UNE DIRECTION TÉLÉGUIDEÉ. OUI, LES MEILLEURS JURISTES DU PAYS NE SONT PAS FORCEMENT AU CONSEIL CONSTITUTIONNEL. MÊME SI A LA VUE DE CERTAIN MENBRE, ON A L’IMPRESSION QU’ON DOIT S’ASSEOIR POUR LA, ÉCOUTER». Parole citoyenne: «Toute nation a le gouvernement qu’elle mérite.»

 

C’est pourquoi nous, Nous avons soutenus que, Malgré l’illégalité notoire et l’illégitimité frappante de cette 3e candidature, que nous ne sommes pas rassure de par quelle force indépendante, a dire le droit, le conseil constitutionnel d’Alassane Ouattara, un maillon essentiel de son schéma de passage en force électoral, sur lequel il compte, et qui est ici chargé de contrôlé la légalité et la régularité de cette candidature pourra rejeter cette candidature, en disant le droit ? Que Non ! Nous ne sommes pas rassure ! Le Schéma de passage en force électoral, dont le conseil constitutionnel n’est qu’un chainon, valide cette candidature d’avance. Qu’Alassane Ouattara ne compte pas sur le droit, ou la constitution, Non !  Ou sur les règles universelles démocratiques Non ! Qu’il compte uniquement sur les élucubrations judiciaires de son conseil constitutionnel a l’arrivé à la validation des candidatures comme en 2015. Que pas besoin de se leurrer, pas besoin de se tromper, pas besoin de rêver. Que c’est ce qui appelle ici, les manifestations soutenues en non-stop de jour comme de nuit. Qu’a défaut et que Subsidiairement a ce qui précède que, si on doit oser être sérieux et concret avec soi-même, que nous dirons que face à la nouvelle donne qu’impose la 3e candidature de Alassane Ouattara, l’opposition ivoirienne n’a plus le droit à l’erreur stratégique, en l’absence de cette solution régulatrice, par les manifestations de Rues soutenues pour qu’Alassane Ouattara se retire sa candidature. Bon ! « Les peuples ont les gouvernements qu’ils méritent ».

 

Qu’il s’impose dès lors, à l’opposition ivoirienne, d’aller aux élections de 2020 a rang serré avec un candidat unique au premier Tour de la présidentielle. Comme l’a déjà suggérer un leader de cette opposition ivoirienne. Qu’il est plus que jamais, question d’aller dès le premier Tour de la présidentielle, soudé à l’extrême avec une liste de coalition synergique, compact, inextricable, hermétiquement colée, derrière une coalisée candidature Unique. Où chacune des parties composantes de cette liste de coalition synergique connait, après négociations, ce qu’il gagne à l’arrivée des élections. Qui doit s’ouvrir sur une transition de cinq «5», d’où les parties au sein du gouvernement de transition ou dirigeants des institutions de transition, serait immuable et inamovible : « président de la république, vice-président de la république, ministres de la république et dirigeants des institutions de la république ». Qu’il faut asseoir l’évidence et l’indéniable dès le premier Tour de la présidentielle. C’est-à-dire la minorité acquise d’Alassane Ouattara, 14% à 18%, après les dislocations d’Alliance, les départs pour incompatibilités, les désertions pour obstruction d‘ostracisme, les prises de d’instance pour intérêt politique, et ainsi réduit à l’état de moins que le RDR de Djéni. Donc de ne pas laisser de place à la récupération douteuse ou le rattrapage incertain au deuxième Tour. Que le premier Tour est la clé du succès de l’opposions unie dans ce cas subsidiaire. Qu’il faut que l’opposition ivoirienne soit consciente, qu’elle est entrainée vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers une crise postélectorale, qui donnera la parole aux armes comme en 2010. Bon ! Nous avons peut être commis des erreurs dans ce qui précède, mais s’était absolument dans une logique de recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitique. «Ai-je fais, bien fais pour mon pays, ce que je dois » est la question, ici.» DONC ON SE DONNE RENDEZ-VOUS EN NOVEMBRE 2020, « juste le Temps d’une Mi-temps de Foot ». Mais on dit que, « Toute nation a le gouvernement qu’elle mérite. »

 

Nous assumons citoyen ! «Ai-je fais, bien fais pour mon pays, ce que je dois ». Reste la question en instance pour tous. Sur ce Citoyen ! Comme la préparation de toute grande compétition futuriste mérité une mise au Vert, votre serviteur entre désormais au Vert. Et aussi, comme même quand un joueur a le souffle intact, il ne peut refuser la mi-temps au vestiaire, votre serviteur entre désormais au vestiaire.  « On est ensemble ! ». ET SAUF EXTRAORDINAIRE, ON SE DONNE RENDEZ-VOUS EN NOVEMBRE 2020 « Citoyen ! juste le Temps d’une Mi-temps de Foot ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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29 août 2020 6 29 /08 /août /2020 11:44
Lepetitfils : Citoyen! Si tu temporise ou tu arrêtes la manifestation avant qu’Alassane retire sa candidature ou part du pouvoir, tu as perdus tous. Oui, tout perdue : « Les plus de vingt Morts, les plus de 300 blessés, ensuite la souveraineté populaire accaparé, les droits inaliénable bafoués, les libertés fondamentales confisquées, notre système d’organisation sociale assujettie, le peuple souverain réduit à la soumission seigneuriale au Roi et ses armes « fusils, des citoyens confinés dans un système de vache qui ne demande qu’à manger, entre les mains d’un Boucher avec son 3e mandat.

Lepetitfils : Citoyen! Si tu temporise ou tu arrêtes la manifestation avant qu’Alassane retire sa candidature ou part du pouvoir, tu as perdus tous. Oui, tout perdue : « Les plus de vingt Morts, les plus de 300 blessés, ensuite la souveraineté populaire accaparé, les droits inaliénable bafoués, les libertés fondamentales confisquées, notre système d’organisation sociale assujettie, le peuple souverain réduit à la soumission seigneuriale au Roi et ses armes « fusils, des citoyens confinés dans un système de vache qui ne demande qu’à manger, entre les mains d’un Boucher avec son 3e mandat.

*-  Point de déshonneur pour celui qui sait mourir ! 

 

Disons d’emblée ceci: Charles Michel, président du Conseil européen avait convoqué le mercredi dernier une réunion extraordinaire, des chefs d’Etat et de gouvernement des Vingt-sept sur la situation au Bélarus, et à déclarer que « Le peuple du Belarus a le droit de décider de son avenir et d’élire librement son dirigeant. Que les violences contre les manifestants sont inacceptables.» *- Aussi en Algérie au moment des plus soutenues grandes manifestations populaires de son histoire, le monde civilisé notamment le PCF à déclarer que « le peuple algérien doit décider de son avenir ». Et concernant le Mali d’aujourd’hui, ce monde civilisé toujours soutenu par le PCF à déclarer qu’ « il appartient au peuple malien de décider seul de son avenir pour rester maîtres de leur destin. Qu’Il y a urgence d'une transition ouvrant une perspective de paix durable. C’est ce qui a été le validant du coup de force conduit par des officiers Malien». Antérieurement, le 04 Février 2011, le président Américain d’Alors, Barack Obama a estimé que son homologue égyptien devrait tenir compte des revendications des manifestants qui demandent son départ immédiat. Et doit prêter attention à ce que réclament les gens et prendre une décision ordonnée, constructive et sérieuse. «Que l'avenir de l'Egypte sera décidé par son peuple». C’est dit, le légal est là.

 

Donc le peuple ivoirien a l’instar du monde civilisé doit pouvoir décider de son avenir et d’élire librement son dirigeant conformément aux normes de régulations sociopolitiques. Le peuple ivoirien doit être capable de défendre un droit naturel, qui est le droit de n'importe quel peuple à décider de son avenir. Nous sommes ici sur le terrain de la défense des droits fondamentaux, des droits civils et politiques, et le droit à la participation de la vie de sa cité conformément aux normes de régulations sociopolitiques prescrites et la liberté d'expression reconnue internationalement à tous. Oui ! « Tous les peuples ont le droit de décider de leur avenir » dans le respect des normes de régulations sociopolitiques dont le viol est une trahison. Et les traces de la trahison d’un peuple ne s’effacent pas aisément, son ancre est plus qu’indélébile, qui dure de générations a générations. Oui des voix incontestables ont dit que : « Le système électoral est vicié en Côte d’Ivoire et est porteur des germes d’une guerre civile. En prescrivant à l‘article 4 du code électoral que « les condamnés par contumace sont retirés de la liste électorale et par ricochet inéligibles », Alassane Ouattara à enfreint au principe juridique qui est la présomption d’innocence et sème les germes d’une déstabilisation grave de notre pays en cette période électorale tumultueuse. C’est une grave atteinte à l’honorabilité des initiateurs et une action dolosive passible de poursuites envers le peuple Ivoirien.

 

 *-Revenons a notre Chronique : La recherche éperdue d’un pouvoir a vie.

 

Donc nous disons qu’Alassane Ouattara défi le peuple Ivoirien en persistant dans la recherche absolue et éperdue d’un 3e mandat illégal, en espérant qu’il enfantera dans 5  ans, un 4e mandat illégal, et suivants, surtout sa recherche éperdue d’un pouvoir illégal a vie déguisé, et a tous les prix, y compris les vies citoyennes dans un système de diversion, qui est le pari du chaos sociopolitique. Oui, en s’appuyant sur des institutions vermoulues, sur des normes anomiques et sur un juridisme de diversions politiciennes, pour retenter, réessayer, son habituel passage en force électoral, afin de s’imposer par la force armée a l’arrivée des élections «résultats», il a pris l’option perverse du pourrissement de la situation sociopolitique en côte d’ivoire. Et de par la radicalisation de son refus de toute concession autour du système électoral, il a d’emblée opérer un trucage électoral. Et ensuite par son obstination dans la recherche absolue d’un 3e mandat illégal, il a ainsi pris sur lui, le risque de faire le jeu du désordre social, de l’instabilité politique, de la déchirure communautaire avec ses affrontements meurtriers. Les citoyens ivoiriens trouvent cette situation de non-droit, inhumaine, cette attitude de diversion politicienne extrêmement désastreuse. Dès lors logiquement les populations ivoiriennes groggys, déboussolé, abasourdies, devenues abruties, infantilisées par cette situation de non-droit se réveiller ici, autrement que par procuration.

 

Et hélas ça risque de Fumée dans les biens public, Ça risque de Flambée dans les biens public, Ça risque de cassée des biens public. Une buchette fait souvent des merveilles pour les populations désespérées. La revendication de fait d’un 3e mandat illégal, qui enfantera dans cinq ans, son 4e mandat illégal, et suivants, et surtout la recherche éperdue d’un pouvoir illégal a vie déguisé, et a tous les prix, y compris celui des vies citoyennes dans un système de diversion, est un affront cynique à l’intelligence des citoyens, en serait la cause, « De risque de Fumée dans les biens public, De risque de Flambée dans les biens public, et De risque de cassée des biens public ». Or quand un dirigeant quel qu’il soit rend un peuple fou, il se met lui-même à la merci des crises de folie de ce peuple. Parce que confiné dans la loi de la jungle, les populations ne peuvent avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature et vive les dégâts monstrueux. Puisque les populations se battront sans relâche pour faire pièces a cette velléité de passage en force électoral, afin d’obvier que ce système nourricière d’un 3e mandat illégal ne rester brancher a jamais des générations et des générations comme des sangsues a la mamelle des deniers publics, des ressources naturelles souveraines. Elles se battront avec espérance qui est le désespoir surmonté. Espérer dans une situation politique chaotique, c’est résister à l’arbitraire. Ici l’arbitraire est la revendication de non-droit d’un 3e mandat.

 

Elles se battront a la guerre comme à la guerre. Parce que, la tentative de passage en force électoral actuel de Ouattara, avec obstination et intransigeance autour des élections de 2020, est le présage divinatoire des résultats programmés pour les élections de 2020. Sauf à vouloir se leurrer en refusant de se regarder dans un miroir, il est visible a l’œil nu, qu’Alassane Ouattara veut récidiver à l’identique en 2020, les faits électoraux de 2010. Donc comme déjà dit, il faut par notre détermination citoyenne arriver a bloqué cette dynamique démoniaque, mortifère, de la quête éperdue d’un 3e mandat illégal, qui enfantera dans 5 ans, un 4e mandat illégal, qui est un affront cynique à l’intelligence des citoyens. Oui, ne l’oublions pas notre crise sociopolitique est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel par Alassane Ouattara. Incapables de s’adapter à l’art du vivre civilisé dans le respect des droits inaliénables des peuples à disposer d’eux-mêmes.

 

Donc, nous disons ici que, le vecteur et la motivation de la candidature pour un  3e  mandat illégal, est la politique mafieuse de la conservation du pouvoir d’état, qui n’obéit qu’à la règle des intérêts personnels, égoïstes et égocentriques. Qui s’articule autour de la logique du carriérisme politique absolu, qui conduit à l’égocentrisme criminel « du moi ou rien, ma logique ou la terre brulée ». Balayant ainsi tout respect du droit, toutes opinions libres et de libertés, y compris le libre arbitre, les libertés d’expressions, le respect des différences, et surtout le respect des normes juridiques de régulations sociopolitiques. Ceci est la mère nourricière de cette situation délétère, de chaos, de désordre, de tension, d’incertitude et de désespérance qui règne actuellement en Côte d’Ivoire. Il y a plus grave depuis 2O11, il ne se passe guère de semaine, sans que des événements sociopolitiques dramatiques et désolants viennent rappeler et aggraver encore la crise froide, mais brûlante, qui déchire de plus en plus fréquemment les tissus de la cohésion nationale, socle de l’état et partant substrat de la république.

 

A l’instar des pays suscités, Belarus, Mali, Algérie, Egypte, ou même Soudan, les grandes nations démocratiques solidaires des populations ivoiriennes disent aux ivoiriens que: « Il appartient au peuple ivoirien de décider de l’avenir et du leadership de son pays ». L’exercice de ce droit inaliénable, peut passer par les manifestations de Rues soutenues en Non-Stop de jour comme de nuit. C’est de droit. Oui, redisons-le, malgré l’illégalité notoire et l’illégitimité frappante de cette candidature de 3e mandat, qu’on nous rassure de par quelle force indépendante, a dire le droit, le conseil constitutionnel d’Alassane Ouattara, un maillon essentiel de son schéma de passage en force électoral sur lequel il compte et qui est ici chargé de contrôlé la légalité et la régularité de cette candidature de 3e mandat pourra rejeter cette candidature, en disant le droit ? Non ! Le Schéma de passage en force électoral, dont le conseil constitutionnel est un chainon structuré par Ouattara valide d’emblée cette candidature d’avance.

 

De par l’insistance de nos manifestations de Rues, Alassane Ouattara doit retirer sa candidature ou doit partir. Et les manifestations de Rues sont un Droit inaliénable du citoyen ou un droit à l’autodétermination du peuple. Jusqu’à ce que le pouvoir d’Alassane Ouattara se décide, ou ?... Donc, ici aussi redisons-le si contrairement au : Mali, Algérie, Egypte, ou même le Soudan, Citoyen Ivoiriens ! Si tu temporise ou tu arrêtes avant qu’Alassane retire sa candidature ou part du pouvoir, tu as perdus tous. Oui, tout perdue: «les plus de vingt Morts, les plus de 300 blessés, ensuite la souveraineté populaire accaparé, les droits inaliénable bafoués, les libertés fondamentales confisquées, notre système d’organisation sociopolitique assujettie, le peuple souverain réduit à la soumission seigneuriale au Roi et ses armes « fusils, des citoyens confinés vache qui ne demande qu’à manger entre les mains d’un monarque, avec son 3e mandat, locomotive d’un 4e mandat, et suivants, donc la recherche éperdue d’un pouvoir a vie déguisé ». Tu as le devoir absolu de résister à l’arbitraire de passage en force d’un 3e mandat illégal.

 

Donc comme déjà dit et convenu citoyen ! On s’organise, on se relève, on se relai, on reste, on ne Bouge pas ! Si obliger par la situation, Ça doit Fumée dans les biens publics, Ça doit Flambée dans les biens publics, Ça doit cassée dans les biens publics. Une buchette fait souvent de merveilles pour des populations totalement désespérés. C’est jusqu’à ce l’arbitraire cède citoyen ! Ici l’arbitraire c’est Alassane Ouattara, son 3e mandats, qui doivent se décider ou de partir par la plus petite des portes de sorties ?... Il faut aller au charbon, parce que ce pouvoir a tué déjà 20 à 30 citoyens, et faits 300 à 500 blessés, alors il faut qu’il retire sa candidature ou qu’il part. L’ESSENTIEL C’EST CELA. Oui, sinon citoyen ! Combien de jeunes doivent encore mourir, combien d’enfants sans père ou sans mère doivent encore pleurer, combien de temps notre peuple devra-t-il continuer à subir le martyr pour que quelques-uns seulement puissent avoir un compte de milliers de milliards à la banque. Oui, c’est de cela qu’il s’agit, à travers, la revendication de fait d’un 3e mandat illégal, par Alassane Ouattara, et qui enfantera dans 5 ans son 4e mandat illégal a tous les prix, y compris celui des vies citoyennes dans un système de diversion.

 

Bien que très conscient des risque, parce que l’arbitraire coincé se dévoile toujours comme tel, face à un peuple déterminé, mais le devoir de régulation citoyenne exige, qu’il faut aller au charbon, qu’il faut aller à la Boue, qu’il faut aller au feu, s’il le faut, pour la côte d’ivoire. Parce que personne au monde ne viendra le faire à la place du citoyen ivoirien, ou viendra le faire par miracle pour l’ivoirien. Nous restons convaincus qu’un jour non-lointain viendra certainement après le retrait de la candidature de 3e mandat illégal d’Alassane Ouattara, qui enfantera des élections propres en 2020, où nous pourrions ouvrir sur un autre soleil nos yeux citoyens, les yeux de nos sœurs et frères et de nos filles et fils, sur cette terre  que nous ont légué nos chers ancêtres. Ce jour n’est pas loin!  Et ce jour-là, nous chanterons tous un véritable hymne en l’honneur des citoyens tués, déjà 20 à 30 citoyens zigouillés et 300 à 500 blessés, qui viennent s’ajouter au plus de sept milles « 7000 » morts de citoyens zigouillés sur l’autel de acquisition du pouvoir d’état et dans la logique de sa conservation à tout prix, de septembre 2002 au 06 Aout 2020, date de la déclaration de candidature pour un 3e mandat de/par Alassane Ouattara. Ces jeunes fiers ivoiriens, véritables fers de lance de la nation ivoirienne tombés, sous les balles assassines de la gestapo et de la milice d’Alassane Ouattara, en quête obstinée d’un 3e mandat illégal, au mépris des normes de régulations.

 

Oui, nous célèbrerons l’avènement de ce grand jour non-lointain tous ensemble « morts ou vifs », au rythme des tambours de nos ancêtres, battre des mains et frapper le sol du pied. Et en Pleure ce jour-là ? Oui, après le retrait de la candidature d’Alassane Ouattara ou après son départ. Mais en attendant ce jour-là, et à l’image des vaillants peuples des pays suscités «Belarus, Mali, Algérie, Egypte, ou même Soudan», nous devons encore souffrir et tenir l’opposition sans faille, au prix que cela peut coûter, à cette forfaiture de revendication de 3e mandat illégal, qui enfantera dans 5 ans son 4e mandat illégal dans un système de diversion, d’ostracisme, de non-droit manifeste ou le fusil est loi. «Le président Gbagbo exclu, Soro Guillaume exclu, Blé Goudé exclu », parce qu’il y a une décision d’ostracisme politique, d’apartheid social, d’Anathème et d’excommunication juridique, qui a été rendue au nom du pauvre peuple ivoirien. Ici,  il y a quelque chose qui ne va pas, donc il nous faut tirer les conséquences dans la Rue. Ça doit péter, ça doit sentir, ça doit être invivable pour appeler l’humanité. Citoyen ! Tu as balle au pied, pour un tir Franc. Même si le filet se déchire, on s’en gnôôô !!! C’est, Advienne que pourra !

 

Oui, Nous devons œuvrer à faire existe un jour, chers jeunes ivoiriens, pour les jeunes morts zigouillés partout dans le pays et tout récemment «déjà 20 à 30 citoyens zigouillés et 300 à 500 blessés», qui viennent s’ajouter au plus de sept milles « 7000 » morts de citoyens zigouillés sur l’autel de acquisition du pouvoir d’état et dans la logique de sa conservation à tout prix, de septembre 2002 au 06 Aout 2020 date de la déclaration de candidature pour un 3e mandat de/par Alassane Ouattara, ou nous exigerons une reddition de comptes a tous les niveaux, forts des sacrifices ultimes que nous aurions offerts pour votre patrie la côte d’ivoire. Pour que la Honte et le Déshonneur soient sur celui par qui nos Malheurs sont arrivés, là ou point besoin était. Celui par qui ce Malheur est arrivée et ses porteurs de godasses et de Gros-Gros Fers, qui ne savent même pas à qui leurs armes appartiennent, qui sont souvent déshabillés pour avoir l’image de civiles ou de milices. Oui, Honneur à vous ! Citoyens vivants ou tués, «déjà 20 à 30 citoyens tués, qui avaient les mêmes attributs de droits civil et politique, et les mêmes attributs naturelles qu’un président de la république et 300 à 500 blessés », Ne dit-on pas qu’il n’y a point de déshonneur pour celui qui sait mourir ? Oui, Tout comme, au Mali, en Algérie, en Egypte, ou même au Soudan, un jour, un peuple ivoirien nouveau et soucieux du bien-être de ses jeunes fera jour par devoir citoyen. Puisqu’il est d’une constance absolue de par le monde, que les sociétés Humaines progressent souvent non pas de façon linéaire, mais très souvent par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre et ses conséquences. Ce jour, se lèvera, contre vent et  marrée, de gré ou de par la force, bon an mal an, car dans nos cœurs, l’espérance est profondément gravée.  Quand on va jusqu’au bout de la nuit on découvre l’Aurore.

 

En attendant l’Aurore du jour salvateur, nous devons nous battre contre ce 3e mandat illégal, avec une conscience net du risque que cela sied. C’est un devoir citoyen ! A l’instar des pays suscités, Belarus, Mali, Algérie, Egypte, ou même Soudan, les grandes nations civilisées démocratiques solidaires des populations ivoiriennes, disent aux citoyens ivoiriens que: « Il appartient au peuple ivoirien de décider de l’avenir et du leadership de son pays ». Ici seules les luttes soutenues dans le temps, synergiques, rationnelles, cohérentes, constantes, régulières, de droit et pour le droit, dans le temps et dans toute l’assiette territoriale nationale paye et libère d’une dictature. Citoyen! Comme dit plus Haut, si tu temporise ou tu arrêtes avant qu’Alassane Ouattara retire sa candidature ou part du pouvoir tu as perdus tous. Oui, tout perdue : « Les plus de vingt Morts, les plus de 300 blessés, ensuite la souveraineté populaire accaparé, les droits inaliénable bafoués, les libertés fondamentales confisquées, notre système d’organisation sociale assujettie, le peuple souverain réduit à la soumission seigneuriale au Roi et ses armes « fusils, des citoyens confinés dans un système de vache qui ne demande qu’à manger, entre les mains d’un Boucher devenu monarque absolu, avec son 3e mandat, locomotive d’un 4e mandat, et suivants, donc la recherche éperdue d’un pouvoir a vie déguisé ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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25 août 2020 2 25 /08 /août /2020 18:23
Lepetitfils : En s’abandonnant à la fatalité autodestructive devant l’oppression dictatoriale et arbitraire qu’on peut légalement et loyalement combattre par le droit, « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. » Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793. Serait de s’en remettre à l’arbitraire au lieu de le combattre, pour qu’il décider du destin commun, que le peuple peut maitriser sans lui.

Lepetitfils : En s’abandonnant à la fatalité autodestructive devant l’oppression dictatoriale et arbitraire qu’on peut légalement et loyalement combattre par le droit, « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. » Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793. Serait de s’en remettre à l’arbitraire au lieu de le combattre, pour qu’il décider du destin commun, que le peuple peut maitriser sans lui.

*- Chronique : Rester maitre de son destin à tout prix.

 

Hélas aujourd’hui, en côte d’ivoire, les citoyens manifestants aux mains nues doivent affronter désormais les balles assassines des fusils de la Gestapo ivoirienne et les armes blanches de la milice de la monarchie de l’Alassane-Land. Parce qu’Alassane Ouattara veut absolument son 3e mandat, ensuite son 4e mandat, et suivants, la recherche éperdue d’un pouvoir a vie déguisé, que la côte d’ivoire s’enfonce du jour au jour dans la loi de la nature, dans une société de jungle ou l’arbitraire a force de loi ou la force matérielle est Roi. Oui, le Roi veut son 3e mandat illégal, ensuite son 4e mandat illégal, et suivants, la recherche éperdue d’un pouvoir illégal a vie déguisé, et cela a tous les prix, y compris celui des vies citoyennes dans un système de diversion. D’où les manifestants sont systématiquement gazés, et subit des tirs a balle réelle au cour des manifestations de droits aux mains nues, arrestations arbitraires, séquestrations extrajudiciaires, font partis du lots des répressions ordonnées par le Roi qui veut son 3e mandat illégal a tous les prix y compris celui des vies citoyennes. Oui, la force de la dictature d’Alassane Ouattara en quête de 3e mandat illégal est d'avoir fait un pacte avec le désespoir du peuple ivoirien, en s’appuyant sur quelques politicards intéressés.

 

Le peuple ivoirien doit donc résister dans l’espérance citoyenne soutenue, contre ce 3e mandat, locomotive d’un 4e mandat, et suivants, donc contre la recherche éperdue d’un pouvoir a vie déguisé. Oui, l’'espérance citoyenne est une détermination héroïque de l'âme, et sa plus haute forme est le désespoir surmonté. Donc espérer c’est résister ici et maintenant au vouloir du Roi d’un 3e mandat, ensuite d’un 4e mandat, et suivants, à la recherche éperdue d’un pouvoir a vie déguisé, de l’arbitraire de l’unilatéralisme monarchique et à la dictature pour rester maitre de son destin. Le peuple souverain de côte d’ivoire doit donc résister, parce que, un  peuple n’a pas le droit de se résigner ou céder au fatalisme face à l’arbitraire, de l’unilatéralisme monarchique. La résignation à se soumettre à l’arbitraire dictatorial, tyrannique, et despotique, le fatalisme à accepter passivement l’aliénation de ses droits universels de citoyen, des droits pourtant prescrits par l’humanité comme inaliénables, sans protester intelligemment avec le risque qui sied, sans réaction citoyenne déterminante de Jour comme de Nuit, donc à renoncer à ce qu’on a droit, de droit et en droit, à ce qu’on aurait préféré de droit, et à se faire une raison légitime sur son avenir personnel, sur le destin commun, à abandonner sa liberté individuelle, à subordonner son libre arbitre qui fait de nous un être humain, à une volonté dictatoriale, et s’assujettir à un pouvoir oppresseur et méprisant, donc se résigner devant la dictature et accepter le fatalisme face à l’arbitraire, est donc s’incliner avec ses droits devant l’oppression dictatoriale et arbitraire du non-droit, rendu ainsi maitre du destin de tous.

 

En s’abandonnant à la fatalité autodestructive devant l’oppression dictatoriale et arbitraire qu’on peut légalement et loyalement combattre par le droit, « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. » Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793. Et s’en remettre à la dictature de l’arbitraire au lieu de le combattre, pour qu’il décider du destin commun,  que le peuple peut maitriser sans lui et de l’avenir individuel que chaque citoyen peut maitriser sans lui. Donc il faut résister, résister et résister contre ce 3e mandat, locomotive d’un 4e mandat, et suivants, donc contre la recherche éperdue d’un pouvoir a vie déguisé voulu par l’oppression arbitraire de l’unilatéralisme monarchique de, Alassane Ouattara devenue dictatorial, tyrannique, et despotique. Le peuple souverain doit rester maitre de son destin au mépris de la volonté d’un pouvoir d’état qui viole le droit du peuple à disposer de lui-même.

 

Oui, tué avec mépris sans égard, blessés, souvent avec des graves séquelles, Gazé avec des lacrymogènes aujourd’hui par la Gestapo ivoirienne, Demain il faut être plus nombreux. Oui Fusillé à balles réelles aujourd’hui par la Gestapo ivoirienne sous commandement du monarque, demain il faut être plus nombreux. Malgré la plus de vingtaine de victimes tués et les 300 à 500 blessés déjà par le Roi qui veut absolument son 3e mandat, locomotive d’un 4e mandat, et suivants, doncla recherche éperdue d’un pouvoir a vie déguisé, le citoyen ivoirien a le devoir de faire barrage à la confiscation mafieuse du pouvoir, de s’opposer à l’arbitraire, de provoquer la tyrannie, de titiller la dictature, jusqu'à ce qu'ils se dévoilent comme tels aux yeux du monde qui observe, en ce 21e siècle. Oui, le respect strict des normes de régulations sociales acceptées par tous au départ, désarme la violence et investit ces normes de régulations sociales émanant de la totalité sociale d'une force morale réelle, qui rend toute entreprise factieuse impossible et dispense de recourir à l'emploi de la force matérielle en politique et dans la société. Ce qui rendent aussi tous les changements possibles mais dans l’ordre social et dans la paix sociale. Mais ici point de tout ceci, le Roi veut son 3e mandat, locomotive d’un 4e mandat, et suivants, donc la recherche éperdue d’un pouvoir a vie déguisé.

 

Oui,  « Malgré qu’Alassane Ouattara ait été dissuader par plusieurs personnalité du monde politique dirigeant, de ne pas renoncer à sa parole donnée de ne pas être candidat, et de céder le pouvoir a une nouvelle génération, Ouattara a tenu les lignes de son vieux schéma de passage en force électoral, dont l’éphémère Malheureux candidat était un obstacle à sauter, pour se porter candidat, déclaration faite la Aout 2020. Malgré les protestations politiques et manifestations de Rues que cette candidature déclaration le Aout 2020 à logiquement suscitée, avec des Morts de citoyens, Alassane Ouattara a procédé à son investiture le 22 Aout 2020, au moment où les manifestations étaient croissantes dans le pays, avec des affrontements entre populations et ses milices de jour à jour. Malgré que cette investiture en mis tout le pays en ébullition, avec des morts plus nombreux, des dégâts plus nombreux, les fractures intercommunautaires très élargies, avec des affrontements orchestrés par sa milice, Ouattara a déposé sa candidature à la commission électorale le 24 Aout 2020, comme Rien était. Malgré l’illégalité notoire et l’illégitimité frappante de cette candidature, qu’on nous rassure par quelle force indépendante, a dire le droit, le conseil constitutionnel d’Alassane Ouattara, un maillon essentiel de son schéma de passage en force électoral, sur lequel il compte, et qui est ici chargé de contrôlé la légalité et la régularité de cette candidature pourra rejeter cette candidature, en disant le droit ? Non ! Le Schéma de passage en force électoral, dont le conseil constitutionnel, est un chainon le valide cette candidature d’avance. Pas besoin de se leurrer, pas besoin de se tromper, pas besoin de rêver. Ce qui appelle ici, les manifestations soutenues en non-stop de jour comme de nuit. Oui la manifestation de Rue constitue un moyen de pression légal et légitime, à l’égard du pouvoir politique qui viole le droit du peuple.  Et c’est l’arme la plus redoutable de résistance du citoyen. Et résister, c’est continuer à vivre en paix, avec ses droits, ses libertés, dans une société paisible, stable, harmonieuse. Et la tension des manifestations, anti 3e mandat illégal, se doivent d’être évolutives, jusqu’à l’extrême cassure ! Alors advienne que pourra ! Il faut qu’Alassane Ouattara retire sa candidature ou qu’il parte. L’ESSENTIEL C’EST CELA. Ne nous trompons pas, les fusils de Alassane Ouattara seront à l’arrivé des élections saupoudrés d’une pseudo-légalité déjà goupillée dans son schéma de passage en force électoral. Autant jouer sa vie ici et dès maintenant ! »

 

Donc, Citoyen ! Tu temporise ou tu arrêtes avant qu’Alassane Ouattara retire sa candidature ou part du pouvoir tu as perdus tous. Oui, tout perdue : « la souveraineté populaire accaparé, les droits inaliénable bafoués, les libertés fondamentales confisquées, notre système d’organisation sociale assujettie, le peuple souverain réduit à la soumission seigneuriale au Roi et des citoyens vache qui ne demande qu’a manger entre les mains d’un monarque, avec son 3e mandat, locomotive d’un 4e mandat, et suivants, donc la recherche éperdue d’un pouvoir a vie déguisé ». Le passage en force électoral au mépris des normes de régulations sociopolitiques, est un mode arbitraire de domination tenu pour archaïque au 21e siècle. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

 

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22 août 2020 6 22 /08 /août /2020 18:10
Lepetitfils : En politique, la grandeur n’est pas dans le « je peux tuer il y a Rien ». Non ! La tension des manifestations, anti 3e mandat illégal se doivent d’être graduelles. Elles doivent monter d’un Cran, espérer d’un meilleur résultat de droit, pour le droit, par le droit inaliénable du peuple de manifesté et de l’autodétermination. Oui monter d’un Cran ! Alors advienne que pourra !

Lepetitfils : En politique, la grandeur n’est pas dans le « je peux tuer il y a Rien ». Non ! La tension des manifestations, anti 3e mandat illégal se doivent d’être graduelles. Elles doivent monter d’un Cran, espérer d’un meilleur résultat de droit, pour le droit, par le droit inaliénable du peuple de manifesté et de l’autodétermination. Oui monter d’un Cran ! Alors advienne que pourra !

*- Chronique : Monter d’un Cran.

La réalité en face, est qu’Alassane Ouattara se propose de gérer ou de faire gérer les crises après élection 2020, de préférence systémiquement par les armes «Ceux qui voudront s’engager dans la violence auront de nos nouvelles», cela avec l’appui des manges-mils saisonniers ancrés dans sa mafia, de trucage électoral, où les places a occupées ou à réoccupées ne seront pas les mal venues. « Et ce qui ose refuser la soumission seigneuriale sont ceux engagé dans la violence ». A cette fin, il a déjà masqué, caché, saupoudré, son poids électoral réel de minorité électorale acquise de «14% au moins à 18% au plus» dans un chiffre de parrainage aussi truquée qu’attribué gratuitement, d’un million de parrainages, qui fait 13% de l’électoral total. Mais Diantre ! Qui le fait déjà entendre « une victoire truquée dès le premier tour de la présidentielle ». Détrompons-nous c’est musique du serpent a sonnette qui guette sa surface. C’est pourquoi, l’opposition ivoirienne aujourd’hui tous unie, est attirée petit-a-petit dans un engrenage. La société civile aussi y est attirée ou trimbalée malgré elle, avec à l’idée qu’il y aura une solution, et d’autres très minoritaires soit disant hommes politiques sont près d’y aller avec lui volontiers, parce qu’il y aura de quoi à manger au prix du sang citoyen à l’arrivée. Et ce pouvoir unilatéralisme prédateur de jungle d’Alassane Ouattara est aux aguets de son piège, pour assurer ses arrières casseroles notoirement puantes. Qui nécessite un passage électoral en force, les fusils feront le reste comme en 2010. La mafia vautour soutiendra enfin de compte peut-être.

Hélas ! La côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny aujourd’hui vit sous une petitesse politique et systémique humiliante dans le concert des nations, elle se noie dans l’océan visqueux de la civilisation internationale, qui repose sur la souveraineté  populaire du peuple souverain, elle-même source de la souveraineté  étatique. La civilisation internationale ou il faut regarder sérieusement là où on veut mettre son pied avant de le mettre, ou de le retenir. Les normes juridiques internationales ne sont plus respecter en côte d’ivoire aujourd’hui devenu un état voyou sous Alassane Ouattara veut forcer un 3e mandat au mépris de la constitution. Le parrainage lui suffit. Un appel de nous ne savons quel peuple lui suffit. Une brigade d’acclamation monnayable dans un stade lui suffit.

Or il est constant de par le monde que, la grandeur d’un mouvement politique, d’un parti politique, ou d’un homme politique n’est pas dans la foule qu’il peut drainer dans ses meetings politiques ou les soutiens des brigades d’acclamations mobilisées par des frais tirés dans les caisses publiques de l’état au cours de ses manifestations sont la sources de mobilisation, ou même cette grandeur n’est pas dans la capacité a entrainé tous les nihilistes, tous les iconoclastes, tous les ripoux politiques du pays dans son sillage et rémunéré dans le bien public étatique. « Pour cause, Martin Luther King a si bien dit que : La véritable grandeur d'un homme ne se mesure pas à des moments où il est à son aise, mais lorsqu'il traverse une période de controverses et de défis ». Oui, il est d’une constance absolue que, la grandeur d’un homme politique n’est pas dans le bien matériel volé dans les caisses publiques de l’état et pillé dans les ressources naturelles souveraines de la nation, ou issus du surendettement éhonté ou par la concussion et le copinage, ou on prend par la main droite et on défenestre par la main gauche, on privatise et on rachète. Afin de jouer au renard libre, dans le poulailler libre, le renard hallucinant, dans le poulailler halluciné, congratulant ces quelques pauvres coqs nihilistes, iconoclastes, ripoux, de la basse-cour, consentants au sacrifice de la liquidation politique. Et qui exécutent les génuflexions, les courbettes, les prosternations, les allégeances seigneuriales, les griot-tiques pour raison de ventre au mépris de l’intérêt général et en dépit des droits inaliénables du peuple souverain.

Mais en politique le vrai noble art, la grandeur d’un homme politique est plutôt dans ses actions politiques capables d’orienter le peuple dans la paix sociale pérenne, dans la cohésion communautaire et dans l’harmonie sociale avec l’anticipation dans le temps d’un avenir meilleur, commun et partagé. Le tout dans le respect scrupuleux des normes de régulations sociales prescrites et dans le respect des normes juridiques internationales appliquées par les institutions judiciaires internationales. « Ici la grandeur n’est pas dans le « je peux tuer il y a Rien ». Non ! La tension des manifestations, anti 3e mandat illégal se doivent d’être graduelles. Elles doivent monter d’un Cran, espérer d’un meilleur résultat de droit, pour le droit, par le droit inaliénable du peuple de manifesté et de l’autodétermination. Oui monter d’un Cran ! Alors advienne que pourra !  *** Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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20 août 2020 4 20 /08 /août /2020 18:03
Le citoyen ne comprend pas un langage de Français tordu et gondolé.

On veut Français clair et direct…

 

(Le gouvernement décide de la suspension des manifestations sur la voie publique pour les autoriser seulement dans les enceintes closes, cette mesure prise dans le cadre de l’état d’urgence en cours est effective jusqu’au 15 septembre). C'est quoi ça !

 

C’est quel Français-ça même ? Depuis Alassane Ouattara a annoncé sa candidature, le 06 août pour un 3ème mandat, des gens qui ont fait 10 à 20 morts, 173 à 350 blessés et environ 3000 déplacés dans pays-là, « Pleurer oui ! Mais après le retrait de la candidature d’Alassane Ouattara ou après son départ ». Et qui ont fait des importants dégâts matériels, passent subitement de l’état de criminel à l’état de liberticide saupoudré.

 

Le citoyen ne comprend pas ce Français-là. Oui, tout comme la période de campagne en vue de la présidentielle qui débute le 15 octobre et se termine le 31 octobre 2020. Les manifestations citoyennes sur la voie publique, elles aussi ont commencé le 06 Aout jusqu’à la date de retrait de la candidature annoncée Alassane Ouattara.

 

Au lieu d’annoncé en même temps qu’Alassane Ouattara annonce formellement le retrait de sa candidature, annoncé le 06 août pour un 3ème mandat. Ce gouvernement nous parle d’un Français « tordu et gondolé » au citoyen, qu’on ne comprend dû tout. Parce que ce Français est citoyenne-ment inaudible et ce Français est citoyenne-ment inintelligible.  Le citoyen est déjà dans la Rue avec les bruits que cela mérite on ne comprend Rien. Hôôô !!! C’est navrant, mais d’autres ont dit dans ce pays que « mon caleçon est tombé comment je vais faire ! » Alassane Ouattara dit que lui, il sait interdire les manifestations sur la voie publique, et le peuple souverain dit que lui il a droit à la manifestation sur la voie publique. Que parce qu’inscrit dans plusieurs normes internationales surtout dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (DDHC) de 1789, en France le droit de manifester ne date pas d’aujourd’hui. C’est droit inaliénable des peuples qui s’est imposé au mastodonte général Charles de Gaulle en mai 1968. Parmi ces deux-là  (2-là) pays-là appartient a qui même !!!

 

Donc il faut qu’il retire sa candidature ou qu’il parte. L’ESSENTIEL C’EST CELA. Pleurer oui ! Mais après le retrait de la candidature d’Alassane Ouattara ou après son départ. Seules les luttes soutenues dans le temps, synergiques, rationnelles, cohérentes, constantes, régulières, de droit et pour le droit, dans le temps et dans toute l’assiette territoriale nationale paye et libère d’une dictature. Citoyen ! Tu temporise ou tu arrêtes avant qu’Alassane Ouattara retire sa candidature ou part du pouvoir tu as perdus tous. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

Citoyen tu y es ! Et tu restes ! C’est un droit inaliénable du peuple a disposé de lui-même ou le droit inaliénable du peuple à l’auto-détermination, qui s’est imposé en France au mastodonte général Charles de Gaulle en mai 1968. Le citoyen ne comprend pas ce Français, ci-dessus. On veut Français clair et direct…

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17 août 2020 1 17 /08 /août /2020 16:25
Alassane Ouattara compte sur son conseil constitutionnel, il doit retirer sa candidature ou il doit partir.

*- Chronique : Il faut soigner la plaie sur sa surface.

 

Les deux têtes «petite et grande» de la pirogue convergent vers la même Rive. Alassane Ouattara est conscient de l’illégitimité de sa candidature, mais il compte sur les élucubrations judiciaires de son conseil constitutionnel comme en 2015. Ou le professeur Francis Wodié, qui n’est pas du genre à vendre son âme, a remis sa démission face au non-droit.  Donc nous répétons-ici, que, la Non-rétroactivité de la loi signifie que l'on ne peut pas appliquer une loi nouvelle à des faits de droits consommés avant l'entrée en vigueur de cette loi nouvelle. Hors Alassane Ouattara prétend fondée ici la légalité de son troisième mandat querellé, parce que de non-droit, sur sa nouvelle loi fondamentale. Dès lors on ne peut prouver l’illégalité de cette candidature sans parler de la rétroactivité de sa nouvelle loi fondamentale que cela sous-tend. C’est en fonction de cette nouvelle loi qui anéantirait la forclusion de ses droits totalement consommé sous l’empire de l’ancienne loi, qui l’interdit de se porté candidat, qu’Alassane Ouattara prétend avoir un droit qui échappe à l’empire de l’ancienne loi, qui proscrit toutes autres candidatures d’Alassane Ouattara. Fermé les yeux sur cette réalité irréfragable serait de donner quitus aux élucubrations intéressés d’un juge mal intentionné. Parce que, le principe de la non-rétroactivité dont Alassane Ouattara tente de se servir comme béquille, est un principe d’interprétation qui ne s’impose qu’à la juridiction de jugement, donc aux juges. D’où l’indispensable nécessité, d’avoir aussi, des Juges des élections impartiaux non-redevables aux hommes politiques « conseil constitutionnel judiciaire ». Et Ici si la situation reste en l’état actuel, ce sont les juges du conseil constitutionnel d’Alassane Ouattara, qui jugeront de la possibilité de son troisième mandat. Donc le fétiche face à son sac, qu’il ne peut brûler.

 

Or en réalité, ce principe universel de la non-rétroactivité aurait pu tenir la candidature d’Alassane Ouattara dans trois hypothèses : 1)- Si Alassane Ouattara avait rédigé sa constitution pendant son premier mandat en rehaussant le temps des mandatures ou en rabaissant le temps des mandatures. 2)- Si Alassane Ouattara après avoir institué un poste de vice-présidence pendant son premier mandat, s’était fait élire au suffrage universel sur la même liste que son vice-président pour le deuxième mandat. 3)- Si Alassane Ouattara après avoir rédigé sa constitution pendant son deuxième mandat, n’avait pas abrogé dans sa constitution modifiée, le principe de l’élection de son vice-président «démissionnaire» au suffrage universel, qui devait ainsi aller avec lui-même à sa remorque sur une liste unique à l’élection présidentielle au suffrage universel avec l’exercice d’un (1) seul mandat. Au surplus ceci serait aussi possible si, un acte quel qu’il soit, avait fait table rase, en pulvérisant l’ordre juridique préexistant, en anéantissant tous le système de la république et en  balayant tout son mécanisme sur son passage (Constitution, institutions, gouvernants et, par voie de conséquence, président de la République», lui qui tire son existence et sa compétence de la Constitution ancienne ainsi balayée. En l’absence de ces actes, on ne peut effacer l'origine juridique des institutions ivoiriennes. Et depuis le 7 Aout 1960, le régime politique ivoirien a toujours été présidentiel sans interruption. En l’absence de ses hypothèses Alassane, qui a fait deux (2) mandats au titre de la même constitution continue de 2000, ne peut être candidat. Et c’est de pur droit. Parce que le principe des mandats supplémentaires qui ressortissent de la modification constitutionnelle, n’a d’intérêt que quand il y a une connexité aliénante certaine de la mandature (diminution, augmentation de la durée du mandat antérieur ou même l’arrêt temporaire dudit mandat) du fait de la nouvelle constitution ou la modification constitutionnelle. Le principe de la limitation prescrit dans la constitution de 2000 source des deux (2) mandats d’Alassane Ouattara, le rend inéligible.

 

Nous y insistons parce qu’Alassane Ouattara ne compte pas sur le droit, non !  Ou sur les règles universelles non ! Il compte uniquement sur les élucubrations judiciaires de son conseil constitutionnel a l’arrivé à la validation des candidatures comme en 2015 après la démission du Professeur Francis Wodié: Donc nous disons, lorsque deux (2) normes juridiques se succèdent, il faut déterminer a quels faits s’appliquent la norme juridique nouvelle. Il faut donc déterminer la norme applicable pour les situations juridiques qui ont commencé sous l’empire de la norme juridique ancienne et qui se poursuivent sous celui de la nouvelle norme juridique. Une norme juridique nouvelle est sans conséquence sur les situations juridiques dont les effets ont été entièrement consommés sous l’empire de l’ancienne norme juridique, comme les deux (2) mandats de cinq (5) ans totalement consommés d’Alassane Ouattara. La norme juridique nouvelle ne peut effacer des effets juridiques qui se sont produit sous l’empire de la norme juridique ancienne. On ne peut effacer les actes consommés d’un individu  conforment aux prescriptions légales. Sinon n’importe quelle prescription impérative pourrait être remise en cause dans le temps. Et n’importe quel agissement, pourtant régulier et totalement consommer sans recours possible, pourrait être remis en cause par une nouvelle norme juridique. Un droit à délai de rigueur consommé par le citoyen est un droit anéanti. On n’a vraiment pas besoin d’efficacité divine à la matière pour le savoir.

 

Alassane Ouattara doit retirer sa candidature ou doit partir. Donc on s’organise, on se relève, on se relai, on reste, on ne Bouge pas ! Ça doit Fumée, Ça doit Flambée, Ça doit cassée. Une buchette fait souvent de merveilles. Et c’est de Droit inaliénable du citoyen. Jusqu’à ce que le pouvoir d’Alassane Ouattara se décide, ou ?... Ce pouvoir a tué déjà 5 à 15 citoyens, et faits 114 à 200 blessés, alors il faut qu’il retire sa candidature ou qu’il part. L’ESSENTIEL C’EST CELA. Pleurer oui ! Mais après le retrait de la candidature d’Alassane Ouattara ou après son départ. Seules les luttes soutenues dans le temps, synergiques, rationnelles, cohérentes, constantes, régulières, de droit et pour le droit, dans le temps et dans toute l’assiette territoriale nationale paye et libère d’une dictature.

 

Citoyen ! Tu temporise ou tu arrêtes avant qu’Alassane Ouattara retire sa candidature ou part du pouvoir tu as perdus tous. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).               

 

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15 août 2020 6 15 /08 /août /2020 19:06
Le pouvoir d’Alassane Ouattara ne comprend que le langage « Français » des fusils. Comme il ne comprend pas notre « Français » citoyen la paix. Il y a incompatibilité entre ce pouvoir assis sur les armes « fusils » et le citoyen qui ne veut que la paix. Il faut dès lors, qu’on sache à qui appartient ce pouvoir d’état-là. Ce qui nécessite le théâtre de Dame Rue, avec des témoins légaux «pierres, vieux pneus, tables-bancs pourtant destinée aux petits commerces de la cité, le mariage des buchettes avec quelques inutilités publiques, avant de tourner les yeux vers les biens publics» pour que les dégâts soient à la hauteur de la désespérance, causée par la violation du droit

Le pouvoir d’Alassane Ouattara ne comprend que le langage « Français » des fusils. Comme il ne comprend pas notre « Français » citoyen la paix. Il y a incompatibilité entre ce pouvoir assis sur les armes « fusils » et le citoyen qui ne veut que la paix. Il faut dès lors, qu’on sache à qui appartient ce pouvoir d’état-là. Ce qui nécessite le théâtre de Dame Rue, avec des témoins légaux «pierres, vieux pneus, tables-bancs pourtant destinée aux petits commerces de la cité, le mariage des buchettes avec quelques inutilités publiques, avant de tourner les yeux vers les biens publics» pour que les dégâts soient à la hauteur de la désespérance, causée par la violation du droit

Chronique : Citoyenne dans un langage typiquement IVOIRIEN.

*- Alassane Ouattara à donner sincèrement, son avertissement de serpent à sonnette « Je suis candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020 », très sûr de son venin. Donc le 31 octobre 2020 est sa surface de réparation désignée pour la morsure mortelle. (A-Fâ-Kayâ !) Ce qui est dit, semble dit. Donc citoyen ! Tu laisses ton bâton de droits, net, tu es mordue d’avance. Parce qu’il emprisonnera tout ce qui bougera en 2020 après son trucage. Il faut dès maintenant, réguler ou même chasser ce creuset d’arbitraire, d’absolutisme, d’unilatéralisme, avéré fossoyeur de la démocratie réelle et des lois républicaines, qui a déjà tué des citoyens. Il ne partira pas par la porte du convenue. Sa porte d’entrée « les fusils » semble disposer de sa porte de sortie « la Rue ». C’est mon Avis ! Retenons qu’un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger avant la phase terminale de sa noyade. Citoyen ! Garde ton bâton et reste dans la Rue, sinon le serpent te trouvera coucher sur ton lit, à la maison et sa morsure mortelle est exterminatoire. Citoyen ! Inscrit dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen (DDHC) de 1789, en France, le droit de manifester ne date pas d’aujourd’hui. La manifestation constitue un moyen de pression légal et légitime à l’égard du pouvoir politique.  Et c’est l’arme la plus redoutable de résistance du citoyen. Et résister, c’est continuer à vivre en paix, avec ses droits, libertés, dans une société paisible, stable, harmonieuse.

*- Le pouvoir d’Alassane Ouattara ne comprend que le langage « Français » des fusils. Comme il ne comprend pas notre « Français » citoyen la paix, et il ne parle pas notre Français citoyen la paix. Il y a incompatibilité entre ce pouvoir assis sur les armes « fusils » et le citoyen qui ne veut que la paix. Dans ce cas, comme nous ne somme lié que par le pouvoir d’état, il faut dès lors, qu’on sache à qui appartient ce pouvoir d’état-là. Ce qui nécessite le théâtre de Dame Rue, avec des témoins légaux «pierres, vieux pneus, tables-bancs pourtant destinée aux petits commerces de la cité, le mariage des buchettes avec quelques inutilités publiques, avant de tourner les yeux vers les biens publics» pour que les dégâts soient à la hauteur de la désespérance, causée par la violation du droit inaliénable du citoyen, a ce faire diriger librement, avec son contentement et son obéissance non-forcée. Jusqu’à ce que le monde entier sache a qui appartient, les Gros-Gros Fers de la Gestapo ivoirienne, qui fait des morts, en tout temps, et en tous lieux, c’est cadavres des citoyens à volonté. Ils ont Déjà cinq (5) morts et 114 blessés graves. Oui, que les sicaires de la république Ouattara nous disent a qui appartiennent leurs fusils-là ? Fichue couillonnade Abruti de porteurs de Gros-Gros Fers.

*- Donc on s’organise, on se relève, on reste, on ne Bouge pas ! Ça doit Fumée, Ça doit Flambée, Ça doit cassée. Une buchette fait souvent de merveilles. Et c’est de Droit inaliénable du citoyen. Jusqu’ à ce que le pouvoir d’Alassane Ouattara se décide, ou ?... Ce pouvoir a tué déjà 5 citoyens, et faits 114 blessés, alors il faut qu’il tue plus. Ou  ? ..

*- Pleurer oui ! Mais après le retrait de la candidature d’Alassane Ouattara ou après son départ. Seules les luttes soutenues dans le temps, synergiques, rationnelles, cohérentes, constantes, régulières, de droit et pour le droit, dans le temps et dans toute l’assiette territoriale nationale paye et libère d’une dictature).

Plaidons auprès de Dame Rue pour l’application mécanique du code de résistance citoyenne :  Si-toi-1. Article (1) premier.

*- le pouvoir d’état a tué un (1) seul citoyen, alors il faut qu’il tue dix (10) citoyens.

*- Il a tué dix (10) citoyens, il faut qu’il tue cent (100) citoyens.

*- Il a tué cent (100) citoyens, il faut qu’il tue mille (1000) citoyens.

*- Il a tué mille (1000) citoyens, il faut qu’il tue dix milles (10.000) citoyens.

*- Il a tué dix milles (10.000) citoyens, il faut qu’il tue cent mille (100.000) citoyens.

*- Il a tué cent milles (100.000) citoyens, il faut qu’il tue un million (1000.000) de citoyens.

*- Il a tué un million (1000.000) de citoyens, il faut qu’il tue dix millions (10.000.000) de citoyens.

*- Il a tué dix millions (10.000.000) de citoyens, il faut qu’il tue cent millions (100.000.000) de citoyens.

*-Et comme la côte d’ivoire n’a pas encore cent millions (100.000.000) de citoyens qu’il extermine le peuple ivoirien sous les yeux du monde en ces 21 siècles. Si-toi-1. Ce qui n’est pas possible en ce 21e siècle, ou seul le peuple souverain est l’ultime détenteur du pouvoir d’état qui décide de son destin dans le concert des nations.

*- Si-toi-1. Article-100-1

*- Toi ! Pouvoir arbitraire, laisse mes droits et tous mes droits, mes libertés et toutes mes libertés. Sinon moi, pas bougé. Tu es arbitraire ! Donc dévoile-toi comme tel.

*- « L’application de cette maxime prescription citoyenne a permis à Mohandas Karamchand Ghandhi, « Surnommé, un homme rebelle a la force tranquille », de mené son pays l'Inde à l'indépendance au terme d’un mouvement de désobéissance sans recourir à la violence armée. Avec des actions fondées sur la résistance passive et sur la force des symboles et sur l'exemplarité du leader. Les Britanniques ne s’y trompèrent guère et ils surent reconnaître l’importance de cet homme qui n’occupait pourtant aucun mandat, en le laissant en paix».

*- « Seules les luttes soutenues dans le temps, synergiques, rationnelles, cohérentes, constantes, régulières, de droit et pour le droit, dans le temps et dans toute l’assiette territoriale nationale paye et libère d’une dictature»

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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