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14 février 2021 7 14 /02 /février /2021 19:25
Lepetitfils : «Oui citoyen ! Au moment où nous écrivons ces quelques lignes, même 5F, Moro, ou piquini, nous n’avons pas en poche. Et c’est juste après avoir côtoyé un plat d’Attiéké non-ivoirien, sans poissons, avec pour seul témoin une bouteille d’Eau Minérale Evian, pour trois «3» personnes… Cela n’empêche, il faut se détromper dès maintenant les «Gnângâs» de demains ne seront pas celui des manges-mils saisonniers, ils seront électrique

Lepetitfils : «Oui citoyen ! Au moment où nous écrivons ces quelques lignes, même 5F, Moro, ou piquini, nous n’avons pas en poche. Et c’est juste après avoir côtoyé un plat d’Attiéké non-ivoirien, sans poissons, avec pour seul témoin une bouteille d’Eau Minérale Evian, pour trois «3» personnes… Cela n’empêche, il faut se détromper dès maintenant les «Gnângâs» de demains ne seront pas celui des manges-mils saisonniers, ils seront électrique

*- L’argent ne doit pas être le socle de la représentativité.

En prélude des élections législatives du 06 Mars 2O21, nous avons entendus des bassesses politiques, des ignominies langagières, des petitesses ambulantes d’esprits pourris. Comme si l’argent, oui leurs Dieu argent, bien que imbibé de sang et de l’armes d’orphelins de guerres, se devait de gouverner la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Oui, comme si la valeur humaine, devait se réduire à Dieu l’argent, comme socle de valeur sociopolitique, avec la détention des armes comme référence sociopolitique. Oui, avec le culte de Dieu l’argent, ils veulent arriver au plus vite à une ploutocratie et veulent arriver au vote du suffrage censitaire. Ou la richesse prédomine sur l’être humain et sur les autres valeurs humaines, ou seuls les riches seront dignes de gouverner la côte d’ivoire. Ils ont certes vomis leurs venins de serpent a sonnettes, à cette fin de domination néo-monarchiste débridée, et  d’arriver à une ploutocratie condescendante, avec comme appui les institutions étatiques.  Mais, la côte d’ivoire n’est pas d’abord entrée dans un système nauséeux de suffrage censitaire, restreignant le champ sociopolitique à un riche clan ploutocratique. Nous sommes outrés ? Pas du tout, mais rassurer sur notre chemin, réconforté dans notre position d’éclectisme de toujours. Donc pas question pour nous, de descendre dans la boue avec ce qui l’ont rependue et qui y pataugent, parce que pour nous, il y a plus a pensé que ces ignominies langagières et ses agissements d’opportunistes  carriéristes, qui ont un seul souci la  protection des intérêts mafieux et égocentriques. Oui, Il y a plus à résoudre pour la côte d’ivoire que ces bassesses protectrices des intérêts mafieux et égocentriques, qui sont porteurs de périls pour leurs auteurs, pour la totalité sociale entière.

Oui, il faut le ré-souligner tout net,  dans un combat politique, comme le nôtre, à la vie libre et pour la vie libre, il n’y a pas plus indiqué que de prendre de face le taureau par les cornes. C’est pourquoi, Comme nous avons déjà dit, le citoyen ivoirien qui aspire à une lutte citoyenne synergique, à l’équilibre sociale, a la paix sociale, qui ne peut pas s’empêche de voté aux législative, doit voter les listes de l’opposition unie toute tendance confondue, doit voter les indépendants récalcitrants au clanisme mafieux et à l’instauration d’une monarchie ploutocratique de privilège ou Dieu argent règne en maitre absolu. Oui, tout bulletin de vote citoyen mit dans les urnes au profit du clan mafieux, fulminatoire et outrancier d’Alassane Ouattara, qui veut confisquer le pouvoir d’état, les droits inaliénables, les libertés fondamentales et la démocratie, serait un coup de poignard planté dans le dos de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. On n’a pas besoin aujourd’hui de calculs pour voir ou se trouve la majorité, mais c’est tout le monde ensembles sur la même ligne de front, qui manque pour la victoire. Il faut prendre le taureau par les cornes, le 06 Mars 2021, parce qu’il n’a pas 2 postulats, soit nous serons collectivement capables, tous ensembles, de se mobiliser synergique-ment tous ensemble, en transcendant les intérêts personnels et d’en faire pièce tous ensemble au système d’Alassane Ouattara, pour le meilleur, d’une dynamique au profit de nos propres façonnages, ou soit tous ensembles pour le pire nous serions nous-mêmes façonnés tous par cette dynamique démoniaque devenue sacrément sourde, aveugle, folle et très sûr de son emprise. Et là, nos têtes serviront à volonté de ballon de Foot au système inhumain, vampirique et sangsue d’Alassane Ouattara.

Ce que nous demandons ici aux citoyens ivoiriens pour le 06 Mars 2021, c’est une rupture mentale entre la réalité et le rêve, que la situation socio-politico-économique catastrophique suscite, une sécession entre le poids de ce qui est, et tout ce qui peut exister, en lieu et place de cette situation socio-politico-économique catastrophique. Il nous faut faire pièce à ce système de banditisme politique, ce système de voyoucratie archaïque, qui est bien parfumée de l’odeur des déchets toxiques, des tonnes cocaïnes sud-américain, qui se déversent constamment au large d’Abidjan, sous les yeux la bienveillance et admirateur du pouvoir au trône un Pablo-Escobar, depuis la nuit des temps. Un système qui vit de vols, de détournements, de défenestrations, de copinages et de concussions, de pillages des ressources naturelles souveraines non-renouvelables, etc. Et qui entretien sciemment une instabilité sociopolitique manifeste, qui se raffermis, hermétiquement de jour en jour, sur tout le pays. Un système qui s’en fiche, que ce soit les idées qui gouvernent le peuple ivoirien consentant, en lieu et place du vouloir de son Dieu l’argent et de ses fusils.  Et surtout, qui se moque, qu’il soit de principe, que la démocratie soit un apprentissage des limites et de l’autocontrôle, qu’elle soit le respect de la diversité sociopolitique, de la pluralité idéologique, de la légalité juridique, de la légitimité populaire, qu’elle soit l’obligation admettre l’autre comme son égal en droit et devoir.

Qu’elle « la politique » soit un art, une science exacte, ou toutes les actions, donnent les résultats conséquents. Que la politique doit s’exercer dans un concert de débats politiques d’idées contradictoires qui proscrit tout égocentrisme, toute intervention des armes, toute idée du moi au rien. Qu’elle soit dédouanée de l’emprise de Dieu l’Argent qui, il faut le dire est rarement propre aujourd’hui dans notre pys la côte d’ivoire dans le milieu politique. La politique, ou le consensus sociopolitique est rigoureusement de règles universelles. Ce système d’Alassane Ouattara, pourri de voleurs endurcis, de prostitutions politiques en l’outrance a pris comme son credo sociopolitique les compromissions, soutenues par le cadenas-sage du système des élections démocratiques, ce  qui est l'expression la plus antagonique du droit de suffrage universel. Et son unilatéralisme monarchiste, est l'affirmation en acte de la volonté criminelle et dictatoriale d’un clan mafieux et malhonnête du pied jusqu’à la tête, d'infléchir et de corrompre le destin de la nation ivoirienne et du peuple ivoirien, pour le réduire à sa seule exigence politique mercantiliste, pécuniaire, égocentrique au servie de Dieu l’Argent. C’est ça la ploutocratie ! Oui, aujourd’hui le pouvoir ploutocratique de, Ouattara ne finit pas d’agencer ses moyens de combats électoraux, désormais être pauvre est un crime de non-représentativité.

Non ! Cette politique ploutocratique est insensée, l’argent ne doit pas être le socle de la représentativité dans une nation sérieuse. Cela frise avec l’affairisme mafieux, d’une ploutocratie post-guerre branché comme des sangsues vampiriques à la mamelle des finances étatiques ivoiriennes. Oui, si c’est l’argent, le plus petit criminel braqueur, voleur à main armée, casseur de banque, magouilleur dans la gestion des affaires publiques, Homme politique malhonnête pilleur de deniers publics et le petit escroc rats des finances étatiques dans les grâces du ploutocrate au pouvoir, peut posséder de l’argents, des milliards, sans être vraiment  représentatifs pour le peuple souverain. Toutes les analyses sur cette mentalité retardataire de Dieu l’argent, débouchent sur l’affairisme au cœur de l’état sans se faire de soucis pour la gestion paisible de la totalité sociale. La côte d’ivoire est sous une mafieuse ploutocratie hermétique d’un régime voyou et déviant. Quoi de plus normal, le socle de ce pouvoir qu’est la  ploutocratie, est le pouvoir par excellence de l’argent, et est un état de société où la richesse est le nerf principal des choses, où l’on ne peut rien faire sans être riche, où l’objet principal de toute ambition politico-électorale est de devenir riche, où la capacité et la moralité s’évaluent généralement par la fortune même à la couleur du sang. La ploutocratie est l’idéologie  politique de survie des valets et boys de luxes du Fonds monétaire international (FMI), de la Banque mondiale, de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et des finances internationale.

«Oui citoyen ! Au moment où nous écrivons ces quelques lignes, même 5F, Moro, ou piquini, nous n’avons pas en poche. Et c’est juste après avoir côtoyé un plat d’Attiéké non-ivoirien, sans poissons, avec pour seul témoin une bouteille d’Eau Minérale Naturelle Evian, pour trois «3» personnes… Cela n’empêche, il faut se détromper dès maintenant les «Gnângâs» de demains ne seront pas celui des manges-mils saisonniers, ils seront électrique. Parce que, cela n’altère pas une conviction politique, n’entame pas un idéal sociétal, n’entache pas les idées politiques non ! Non ! Et non ! La politique est une science exacte, qui se moque du bien matériel l’Argent.» Bon ! Mitterrand n’en avait jamais».

*- Les prostitués politiques d’Alassane-land «Toutou- Bougou».

Oui, la seule volonté des prostitués politiques de Alassane-land «Toutou- Bougou» cette fichue système politique peuplé de race d’hommes politiques mafieux, assoiffés de pouvoir, Adorateur de Dieu l’argent, fous de notoriété sociopolitique, des politicards carriéristes pathologiques et arrivistes renégats, qui ne reculent devant aucune catastrophe pour assouvir leur dessein mafieux d’interpénétration de la politique avec les affaires mafieuses, est l'affirmation en acte de la volonté criminelle et dictatoriale d’un clan mafieux et malhonnête du pied jusqu’à la tête, d'infléchir et de corrompre le destin de la nation ivoirienne et du peuple ivoirien, pour le réduire à leur seule exigeance politique mercantiliste, pécuniaire, égocentrique au servie de Dieu l’Argent. Oui,  leurs sales ignobles et bestioles credo politique compromissoire de cadenas-sage au tour du système des élections démocratiques est l'expression la plus antagonique du droit de suffrage universel. Aujourd’hui chaque portion de la société ivoirienne composite se sent attaqué dans son assisse juridique, dans son substrat sociocommunautaire, dans ses droits civils et politiques, dans ses libertés fondamentales, dans ses droits inaliénables d’être humain. 

D’où chacun est fouetté dans son instinct de survie sociopolitique et même physique, dans une société de jungle. Où la force reste aux armes et à Dieu l’Argent, ou chacun est réduit à ceux a quoi sa spécificité biologique et religieuse le destine. Par des intérêts mafieux, exploiteurs de la misère de ceux qui font leurs fortunes, maculées de sangs citoyens et imbibées de larmes d’orphelins de pères et/ou de mère. Où chacun est pris par sa différence sociopolitique et réduit à ce à quoi sa spécificité biologique ou confessionnelle le destine, ou l’autre n’est jugé qu’à l’aune et au prisme de Dieu l’argent, donc qui n’est plus un frère, même pas un ami, mais un ennemi. Dans une situation du, le tout état accaparé et confisqué, par le totalitarisme systémique mis au service de quelques-uns a pour unique but de faire d’un clan des multimilliardaires, assis sur l’escroquerie morale et intellectuelle contenue, qui espère d’une ploutocratie et d'arriver au vote du suffrage censitaire son socle. Donc comme dit : Dès lors les citoyens ivoiriens ont une missions de régulations sociales, par des actions citoyennes salvatrices, y compris par le vote de raison protestataire, pour les candidats de l’opposition derrière Bédié, et pour les candidats autonomes ou pour les candidats indépendants au législative du 06 Mars 2021.

En vue de confirmer et conformer la légitimité circonstancielle d’après l’élection présidentielle du 31 octobre 2020 de l’opposition ivoirienne et afin d’inverser le rapport de force politique. Et d’affirmer un tant soit peu la majorité réelle de l’opposition ivoirienne, avec l’attelage solidaire, synergique, de tous ses satellites, comme l’organe de la souveraineté populaire nationale, qui détient par conséquence l’absolue légitimité populaire. C’est ça l’enjeu. Et se faisant nous pourrons changer notre pays la côte d’ivoire, avec tous ses filles et tous ses fils, libres et à la maison mère ivoire. Et les cartes de l’électeur non-retiré par dégout peuvent être retirées maintenant et toujours. A défaut, le jour du vote le 06 Mars 2021, ces cartes sont disponibles aux lieux des votes pour retrait-votes conjugué. Au cas contraire tu as le droit citoyen ! De te réclamer de droit, de ta carte d’électeur de 2010 valables jusqu’en juin 2021, inclus. Donc, Citoyen ! Vote et invite à voter pour l’opposition unie toute tendance confondue, vote pour les candidats autonomes ou les candidats indépendants. Vote contre Alassane Ouattara le Mal ivoirien… Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*-De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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6 février 2021 6 06 /02 /février /2021 14:04
Lepetitfils : Le pays va mal, très mal même. Citoyen ! Vote et invite à voter pour l’opposition unie toute tendance confondue, vote pour les candidats autonomes ou les candidats indépendants. «Les cartes des électeurs non-retirée par dégout peuvent être retirée maintenant et toujours. A défaut, le jour du vote le 06 Mars 2021, ces cartes sont disponibles aux lieux des votes pour retrait-votes conjugué. Au cas contraire tu as le droit citoyen ! De te réclamer de droit, de ta carte d’électeur de 2010 valables jusqu’en juin 2021, inclus».

Lepetitfils : Le pays va mal, très mal même. Citoyen ! Vote et invite à voter pour l’opposition unie toute tendance confondue, vote pour les candidats autonomes ou les candidats indépendants. «Les cartes des électeurs non-retirée par dégout peuvent être retirée maintenant et toujours. A défaut, le jour du vote le 06 Mars 2021, ces cartes sont disponibles aux lieux des votes pour retrait-votes conjugué. Au cas contraire tu as le droit citoyen ! De te réclamer de droit, de ta carte d’électeur de 2010 valables jusqu’en juin 2021, inclus».

*- (A lire Absolument. Et à ventiler, sur tous les Supports et par tous les Moyens jusqu’au 06 mars 2021)

 

Bon ! L’enjeu des élections législatives du 06 Mars 2021, est incontestablement la réaffirmation de la légitimité populaire, ou du troisième mandat d’Alassane Ouattara ou de l’opposition toute tendance confondue. Une légitimité populaire à cheval entre «l’internationale, l’électorale et le circonstancielle». Une légitimité Usurper au prix de plus de 150 morts, le 31 octobre 2020, ou hélas ! Certifiée Acquise, au terme des élections législatives du 06 Mars 2021. L’objective de l’acquisition d’une majorité parlementaire d’Alassane Ouattara, que nous décrivons toujours, ne peut-être ressortissante que d’un trucage électorale. Et ce pouvoir piranha et sangsue, a acquis ses grades en la matière. Alassane Ouattara pour arriver à ses fins de domination sociopolitique totale, a besoin d’un parlement aplatis, automate, d’enregistrement, a sa solde, pour l’exécution de ses projet. Un parlement, qui pourra le jeter la totalité de l’organisation sociale ivoirienne au pied, en le permettant de gouverner unilatéralement par ordonnance, comme un monarque du Golf Arabique. Il aime ça ! Alassane Ouattara. La monarchie absolue à toujours été son rêve. Et c’est Atavique.

 

Donc si les citoyens ivoiriens optent malgré tout, pour les élections législatives du 06 Mars 2021 comme moyens de lutte citoyenne. Le citoyens ivoiriens auront dès lors une missions de régulations sociales, par des actions citoyennes salvatrices, y compris par le vote de raison protestataire, pour les candidats de l’opposition derrière Bédié, et pour les candidats autonomes ou pour les candidats indépendants au législative du 06 Mars 2021. En vue de confirmer et conformer la légitimité circonstancielle d’après l’élection présidentielle du 31 octobre 2020 de l’opposition ivoirienne et afin d’inverser le rapport de force politique. Et d’affirmer un tant soit peu la majorité réelle de l’opposition ivoirienne, avec l’attelage solidaire, synergique, de tous ses satellites, comme l’organe de la souveraineté populaire nationale, qui détient par conséquence l’absolue légitimité populaire. Donc se faisant, d’ainsi refuser d’accepter ou de cautionner par l’inertie et le statisme, l’état de fait d’un système monarchiste qui roule à sa perte. Et qui veut irrémédiablement nous entraîner, dans le sillage de sa chute inéluctable, un jour ou l’autre. Dès lors le vote protestataire de raison, pour les candidats de l’opposition unie toute tendance confondue et pour les candidats autonomes ou les candidats indépendants aux législatives, se pose comme un moyen de lutte citoyenne, une cause et un instrument de révolte citoyenne constructive. Qui offre aux citoyens la capacité d’élargir son rang de lutte par la votation protestataire, en espérant de changer les règles de vie de notre société commune et en visant la recherche inlassable parfois arrachant ou ingrate de retrouver les principes fondateurs d’une démocratie réelle ou la communauté des individus divers ne fera plus qu'une, avec la société des citoyens.

 

Dans ce d’esprit, de l’unique société des citoyens, la lutte contre le troisième mandat illégal et illégitime, se trouvera renforcer, servi dans sa continuité et dans son combat à mort. Face à un pouvoir arbitraire monarchiste et despotique, qui s’est volontairement confiné dans un iconoclasme clanique aveugle, parce qu’incapable de procéder à une analyse sociopolitique réelle, de ce qui affecte notre société commune et d’en trouver des solutions communes consensuelles. Oui, un pouvoir arbitraire monarchiste et despotique, qui sous l’emprise de ses intérêts personnels, est incapable de prendre ou de concéder les décisions concertées, qui s’imposent à la situation de crises actuelles, de chaos sociopolitiques actuels. D’où toutes les analyses expertes, doctes et esthètes de la situation sociopolitiques, ne sont plus audibles. Et  toute pensée authentiquement politique porteuse de valeurs  universelles, peine à se faire entendre. On préfère les fanfaronnades de diversion pour éluder les forfaitures politiques d’un monarque mégalomane endurcis. Au mépris des règles démocratiques universellement admises de par le monde, et en dépit du droit à l’égalité de tous, de faire entendre sa voix autour de la chose publique et de voir ses griefs soldées dans le consensus politiques. Dès lors, le vote sanction acquiert le statut citoyen de lutte.

 

En clair, en ce temps de tempête sociopolitique, d’abandon de l’idéal collectif sociétal, entretenu par un pouvoir monarchiste violeur de la Loi fondamental, le vote de raison protestataire des citoyens pour l’opposition toute tendance confondue, et le vote pour les candidats autonomes ou pour les candidats indépendants, afin d’équilibre social, peut-être une bouée de sauvetage des droits inaliénables bafoués et des libertés fondamentales confisquées, des règles universelles piétinées, une barrière de sauvegarde de la démocratie, en légitimant dans toute sa réalité la majorité de l’opposition ivoirienne aux yeux de tous. Nous concédons ce vote de raison, ce vote d’intérêt public, ce vote pour un avenir commun maitrisé dans le temps. Parce que convaincu, que nous sommes, qu’ainsi ce vote de raison protestataire pour l’opposition unie toute tendance confondue, pour les candidats autonomes ou les candidats indépendants, afin d'équilibre social, servira à coup sûr les intérêts de l'ensemble de la société ivoirienne. En contrariant ou en décontenançant le pouvoir monarchiste d’oppression arbitraire dans son assise sociopolitique, en le ramenant à sa juste réalité, a son réel juste poids électoral dans l’arène sociopolitique.

 

Donc c’est parce que, le vote de raison protestataire des citoyens ivoiriens, pour l’opposition, pour les candidats autonomes ou les candidats indépendants, peut aider à la cause de la lutte citoyenne contre le troisième mandat et pour le changement, qu’il faut aux citoyens de voter pour l’opposition toute tendance confondue, et pour les candidats autonomes ou indépendants. Surtout que l’abstention par boycott, est la position des citoyens engagés dans une lutte synergique au sein de l’opposition contre le troisième mandat illégal et illégitime. Des citoyens ayant un profond dégoût du système politique monarchiste, et des gestions électorales unilatérales. Mais aussi qui veulent absolument de droit ou désespérément, un changement de vie politique et de conception sociopolitique, oui, un changement des gouvernants par les armes qui ont failli. Ces citoyens pensent que voter serviront le pouvoir Ouattara, donc ces citoyens ne veulent plus prendre la peine de voter, car ils en connaissent d’avance la vacuité.

 

Dès lors, le vote de raison protestataire de ces citoyens pour l’opposition unie, toute tendance confondue, et les candidats autonomes ou les candidats indépendants, servira leurs causes de lutte inachevée, et dès lors, ce vote s’affirme comme une arme de combat au service de la lutte contre le troisième mandat illégal et illégitime du système monarchiste de gouvernement de l’Alassane-Land. Dont tout le fonctionnement systémique repose sur la domination à terme. Des citoyens sont dégoutés et désespérés du système monarchiste de ce pouvoir, parce que, le pouvoir d’état n’est plus la propriété exclusive du peuple souverain, confié pour un temps à des hommes proprement élus par leurs concitoyens, comme l’exige la règle démocratique, des hommes bien élus responsables de leurs actes devant le peuple souverain. D’où si le pays est content d'eux, il les maintiens au pouvoir ; s'il n'en est pas content, il les change, sans bruit, sans violence, par le seul effet de ses suffrages. Oui, disons-le encore, les citoyens sont Dégoutés face au pouvoir d’état confisqué par un néo-monarchisme hybride, avec des citoyens confinés dans un système de l’assujettissement monarchique. Ces citoyens sont Dégoutés, parce qu’ils sont conscients que, dans un système de privilège monarchique, comme celui d’Alassane Ouattara, qu’on n'arrive à se débarrasser d'un maître oppresseur et injuste, qu'au moyen d'une révolution citoyenne synergique. Mais ici, le vote de raison protestataire des citoyens pour l’opposition unie, toute tendance confondue, et les candidats autonomes ou les candidats indépendants, s’inscrit dans cette logique d'une révolution citoyenne synergique.

 

Oui ! La côte d’ivoire ne s’en sortira pas dans la division de la lutte par sensibilité politique éparse. Non ! Rien ne changera en côte d'ivoire dans la division par des luttes d’intérêts politiques d’appartenances nombrilistes. Donc à vos votes citoyens pour l’opposition unie, toute tendance confondue et pour les candidats autonomes ou  les candidats indépendants aux législatives, en vue d’inverser le rapport de force sociopolitique. Le désistement du parlement de son pouvoir législatif pour permettre à Alassane Ouattara de gouverner par ordonnance pointe à l’horizon 2021-2026. Un candidat sous la bannière de la monarchie ploutocratique de Alassane-Land, quel que soit sa valeur, une fois élu député sera soumis à la rigueur de la discipline du groupe monarchiste au parlement. Il ne sera jamais lui-même. Tout comme la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny qui n’est plus maitresse d’elle-même de son avenir et de son destin dans le concert des nations civilisées. Aucune sensibilité politique, qu’elle soit de Gauche ou de Droite, du centre ou des extrêmes, ne peut vaincre à elle seule la politique de privilège monarchiste attrape-tout  d’Alassane Ouattara et son système de gouvernance ploutocratique de panier à crabes poilus, fondé sur la défense des intérêts claniques.  Donc à vos votes citoyens pour l’opposition toute tendance confondue et pour les candidats autonomes et les candidats indépendants aux législatives, resté récalcitrants au clanisme mafieux et à l’instauration d’une monarchie ploutocratique sangsue et vampirique en côte d’ivoire.

 

En votant contre Alassane Ouattara, nous sommes dans la continuité de la lutte de refus du troisième mandat. Ici, tout est une question de but visé, «chasser Alassane Ouattara». Tout est une question de constance dans la lutte, «maintenir la haute pression citoyenne sur Alassane Ouattara», de réalisme politique, «marcher vers ce qu’on désir pour notre société», de stratégie ponctuelle de lutte de libération, «montrer les limite aux yeux du monde du pouvoir d’Alassane Ouattara», de discernement avec le dépassement de soi «privilégié la raison au cœur, et la tête à la force physique», de volonté politique de défense de l’intérêt général «le droit pour tous les citoyens de participer à la vie publique de leurs cité dans le respect des normes juridiques convenues de régulations sociales» et de conception politique d’anticipation de l’avenir de la totalité sociale dans le temps, «une côte d’ivoire stable, prospère, harmonieuse, de paix pérenne ouverte sur le monde universel » . Un engagement pour la côte d’ivoire d’abord en quelque sorte, «Moi ? Non ! La côte d’ivoire oui !».  Citoyen ivoirien vote l’opposition. Parce que, la force du pouvoir d’Alassane Ouattara réside dans la désunion de l’opposition ivoirienne toute tendance confondue, largement majoritaire entre 80% et 85% de l’électorat totale. Et  le jour que cette force électorale se matérialise dans les urnes d’une élection, la côte d’ivoire aurait fait un grand pas vers la sortie de l’engrenage, qui devient de plus en plus hermétique sur nos valeurs. Oui, vote citoyen pour l’unification des combats politiques.

 

Donc à vos votes citoyens pour l’opposition ivoirienne et pour les candidats autonomes ou les candidats indépendants aux législatives, utilise ce vote comme un moyen de lutte citoyenne. Oui, aujourd’hui face au néo-monarchisme ploutocratique de privilège d’Alassane-Land, il faut au citoyen ivoirien de conjuguer tous les registres de la luttes citoyennes, y compris en soutenant ou en votant pour tout ce qui s’oppose à Ouattara. Donc le citoyen est dans le registre de sa lutte contre le troisième mandat, en votant aux élections législatives, pour l’opposition unie, toute tendance confondue et pour les candidats autonomes ou les candidats indépendants récalcitrants, au clanisme mafieux qui vise à l’instauration d’une monarchie en côte d’ivoire. Citoyen ivoirien ! Vote dans la seule intention de donner une majorité parlementaire écrasante a l’opposition ivoirienne, en ayant en conscience qu’au mépris de tous droits et en dépits du suffrage universel légal Alassane Ouattara expédiera, en toute illégalité et en toute illégitimité trente-trois « 33 » sénateurs au congrès. Donc vote pour l’opposition et confie ton vote Citoyen au Mariage de tous les «Tassouma» du pays et dans tout le pays, avec les biens publics dont Alassane, s’impose comme gardien. Nous mettons ce mariage sous la protection de Dieu d’ABRAHAM ! Pour que la force dictatoriale et autoritariste, soit arrêtée par la force défensive des droits. Pour que le terreur aveugle de l’arbitraire, soit contenue par l’équilibre de la terreur pour la défense des liberté individuelle. Pour que la violence politique, en politique, soit maitrisée par la volonté déterminée de recherche de la paix sociopolitique.

 

Oui ! Comme nous avons déjà dit, le citoyen ivoirien qui aspire à une lutte citoyenne synergique, à l’équilibre sociale, a la paix sociale, qui ne peut pas s’empêche de voté aux législative, doit voter les listes de l’opposition unie toute tendance confondue, doit voter les indépendants récalcitrants au clanisme mafieux et à l’instauration d’une monarchie ploutocratique de privilège. Tout bulletin de vote citoyen mit dans les urnes au profit du clan mafieux, fulminatoire et outrancier, qui veut confisquer le pouvoir d’état, les droits inaliénables, les libertés fondamentales et la démocratie, serait un coup de poignard planté dans le dos de la côte d’ivoire. Citoyen ! Le pays va mal, très mal même. Oui, citoyen ! Votons la côte d’ivoire d’abord ici, toutes les autres appartenances a légitimement revendiquer de droit, quelles qu’elles soient viendront après. Le  pays est gâté par les nihilistes, les iconoclastes et les arrivistes renégats. Le pays va mal, très mal même. Citoyen ! Vote et invite à voter pour l’opposition unie toute tendance confondue, vote pour les candidats autonomes ou les candidats indépendants. «Les cartes des électeurs non-retirée par dégout peuvent être retirée maintenant et toujours. A défaut, le jour du vote le 06 Mars 2021, ces cartes sont disponibles aux lieux des votes pour retrait-votes conjugué. Au cas contraire tu as le droit citoyen ! De te réclamer de droit, de ta carte d’électeur de 2010 valables jusqu’en juin 2021, inclus».

 

La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, va tout droit dans le mur et si on ne prend pas garde, elle finira à la poubelle des sociétés humaines. Retenons que, l’ignominie de l’affirmation politique par la violence est une impuissance politique. La protection des droits fondamentaux exige la lutte, et protéger la liberté exige le combat. Donc, Citoyen Ivoirien ! Puisque c’est de toi seul qu’il s’agit ici, si tu te reconnais dans ces quelques mots ci-dessus, c’est notre souhait, partage  les avec des amis, ventile les autour de toi, et par quelques moyens que ce soient. Pour que  ces législatives de Mars 2021, servent notre lutte citoyenne commune et pour que nous soyons toujours plus nombreux à mener le combat salvateur indispensable, pour la libération de nos droits inaliénables, de nos libertés fondamentales et de la démocratie. Un Combat pour l’homme ! Un Combat pour la vie !  POUR NOTRE PART, NOUS VOTONS L’OPPOSITION IVOIRIENNE UNIE ET SOLIDAIRE. EN VOTANT, ON NE SUIT PAS ! ON COMBAT L’ARBITRAIRE DU TROISIEME MANDAT ILLEGAL, MANIFESTEMENT ILLEGITIME. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*-De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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1 février 2021 1 01 /02 /février /2021 17:34
Lepetitfils : Autant procéder avant tout à la décomposition/recomposition de tout, ici et maintenant. Pour un changement sociopolitique et un changement des gouvernants d’un pouvoir sangsue et vampire qui ont failli. Ou bien, notre jeunesse est-elle incapable, de demander des comptes, aux fins d’une décomposition/recomposition politique salvatrice dans son propre pays et sur la terre de ses ancêtres ? Ce serait dommage,  parce que personne, même pas un Dieu, ne viendra le faire a sa place.

Lepetitfils : Autant procéder avant tout à la décomposition/recomposition de tout, ici et maintenant. Pour un changement sociopolitique et un changement des gouvernants d’un pouvoir sangsue et vampire qui ont failli. Ou bien, notre jeunesse est-elle incapable, de demander des comptes, aux fins d’une décomposition/recomposition politique salvatrice dans son propre pays et sur la terre de ses ancêtres ? Ce serait dommage, parce que personne, même pas un Dieu, ne viendra le faire a sa place.

*- Tous ensembles ! Ça vient petit-a-petit, un jour il fera jour.

Bon ! Puisqu’on ne se tait pas dans une crise sociale puis s’en sortir par la bonne porte. Et la côte d’ivoire ne s’en sortira que tous ensembles. Il faut souligner encore ici que, dans un combat politique il faut avoir un objectif précis, un but invariable à atteindre. Parce qu’une lutte politique pour les droits, qui vacille au gré des intérêts changeants, qui oscille entre des positions politiques contradictoire dans le temps est vouée à l’échec. On n’est pas obliger d’être un magicien politique pour savoir, qu’en politique un appoint est certes indispensable, mais qu’un appoint politique de quelques natures que ce soient devient difficilement une force principale. Il y a un choix à faire, qui s’oppose à tous les acteurs politiques, il s’est opposé à Gbagbo en son temps, où lui-même et son Sangaré, étaient condamné à rester dans la poussière de la suite du mastodonte, parce qu’il n’y avait plus de route, pour un dépassement fougueux au risque de se trouver dans le décor, a obliger leurs constance dans une ligne. En clair, c’est une évidence certaine, les élections législatives, qui enregistrent la reddition électorale, la capitulation politique, parce qu’elles connaitront la participation des boycotteurs de la présidentielle du 31 octobre 2020, seront l’alibi d’une légitimité retrouver et d’une légalité matérialisée, par les jeux obscurantistes de la boite noire étatique, assises sur des mensonges d’états du pouvoir et enracinés au cœur de la république des voyous violeurs de loi fondamentale.

Oui, en politique  on ne s’engage pas, on ne se prépare pas, à des joutes prétendument démocratiques, qui a pour théâtre une arène sociopolitique à feu et à sang. Oui aujourd’hui, quand les grands partis politiques de l’opposition significative, tanguent aux guets-du-port-monde, avec elles, la côte d’ivoire à bord, face aux guets-apens, de l’arbitraire d’un pouvoir despotique et monarchiste, notre jeunesse ivoirienne à obligation absolue de remplir sa mission de  grand gardien de notre souveraineté nationale et de notre démocratie pluraliste, au risque de n’être qu’un chainon en bois dans une chaine de générations en fer. Notre jeunesse a le devoir absolu de demander des comptes des 20 années de crises sempiternelles, à fin d’une décomposition/recomposition politique salvatrice dans notre propre pays, la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. Oui, si l’existence de notre jeunesse doit avoir un sens, elle a le devoir absolu de transcender les clivages politiques face à l’intérêt supérieur de la nation. Afin d'envisager consensuelle-ment, tous ensemble dans la paix sociopolitique de tourner la page sombre de crise sempiternelles, avant toute lutte de leadership ou de positionnement politique dans l’arène sociopolitique. Donc demander des comptes pour pouvoir, voir le bout du tunnel du chaos social sempiternel et atteindre tous ensemble la paix sociopolitique pérenne, sans tomber dans les maux du passé et sans faire des règlements de comptes politiques, source des foyers de tensions sociales.

D’où avons-nous dit, s’impose à la jeunesse ivoirienne, le devoir absolu de transcender les clivages politiques, pour demander des comptes clairs sur les crimes contre l’humanité, devenus ludiques, plus de 7500 de citoyens tués, morts, zigouillés, demander des comptes clairs, sur les questions touchant à la paix sociopolitique, à l’harmonie communautaire, à la souveraineté nationale, au droit et à la liberté. Afin d'envisager consensuelle-ment, tous unies dans une nation une et indivisible, tous ensemble dans un pays réconcilié avec lui-même, cotes-a-côtes, coudes-a-coudes, mains dans les mains, dans la paix, de tourner la page sombre de 20 ans années de crise sempiternelle, pour éviter l’aliénation, l’assujettissement de la souveraineté nationale, mise en marche par une dictature despotique sacrement monarchiste, qui ne recule devant aucune catastrophe pour assouvir son dessein mafieux d’interpénétration de la politique avec les affaires mafieuses. Ce faisant, cette jeunesse ivoirienne offrira à coups sûrs demain à la Côte d’Ivoire une pépinière de nouveaux politiciens honnêtes, qui combattront sans relâche toute velléité de ressusciter le pouvoir par les armes, et les politiques de divisions.

Donc, ici, il est question de s’opposer fermement au suivisme électoral aux intérêts obscurs, inscrit dans le schéma mafieux de confiscation du pouvoir d’état, sciemment tracer et rechercher par un pouvoir déviant. Si vraiment on doit rêver de demain ? C’est de cela qu’il s’agit à notre avis. Question nous  pensons, pour une génération d’homme politique issue des années de crise 1999 à 2011, formée à l’exercice du noble art politique, qui est une science exacte, ou toutes les positions, toutes les actions et toutes les paroles, donnent le résultat escompté. Oui, question je pense pour une génération de politiciens forgée dans le combat politique discursif sans violence physique. Et formée dans la lutte pacifique du débat d’idée, endurcie dans l’action politique soutenue, éduquée par les écueils de toute sorte dans l’espace public mortifère et qui n’aspire qu’à vivre dans une nation une et indivisible garantissant droit, liberté, justice sociale et juridique pour tous. De Refuser une politique qui ne dessine pas l’horizon d’un avenir meilleur pour les citoyens, mais qui le met en danger. Ce qui n’est autre chose qu’un coup d’arrêt irrecevable et inacceptable au processus démocratique dans notre pays.

Cette jeunesse est destinée à cela par les crises sociopolitiques, parce que comme un corps malade, secrète des anticorps, la démocratie désenchantée de la côte d’ivoire doit instruire, doit inventer, doit appeler, de nouvelles pratiques politiques, qui tenteront de faire porter l’essentiel sociétal sur des intérêts nationaux d’abord, sur les intérêts généraux d’abord, et non sur des fictions politiques et des mythes fabriqués de toutes pièces. La lutte de leadership doit pouvoir attendre, L’antagonisme partisan de positionnement personnel doit pouvoir attendre, La division dissolvant doit pouvoir attendre. Cette vaillante jeunesse qui se doit d’être d’avant-garde, n’a pas le droit de se leurrer, n’a pas de raison de se tromper de lutte et n’a pas d’intérêt de tomber dans l’inertie, face au terrorisme judiciaire, a l’apartheid sociale, a l’ostracisme politiques, à la haine tenace et insatiables d’un pouvoir sangsue et vampire ou la musique quotidienne audible, est «atteinte à l’autorité de l’état», donc en prison et 20 ans de prison fichu monsieur, avec privation de droit civil et politique. Donc point de droit aux élections, comme candidats ou simple citoyen électeur, parce que biffé sur la ligne électorale et séquestré dans le non-droit monarchiste à ne pas entraver, d’où l’exil devient source de survie physique. Nous parions que, quelqu’un aurait crié «Ä-FÄ-KÄYÄ !!!».

Oui, un pouvoir hégémonique a la recherche d’une ploutocratie déjà en ébauche, le tout marqué du sceaux indélébiles des sangs humains versés au quotidien, à ce jour plus de 7500 citoyens tués, morts, zigouillés, par des politicards, vulgaires malfrats criminels, à la conquête du pouvoir d’état par les armes et pour la conservation illégale et illégitime de ce pouvoir acquit par les armes impies.  Oui, la valorisation du pouvoir d’Alassane Ouattara doit passer par la négation orchestrée des autres, qui sont considérés comme des vaches qui ne doivent demander qu’à manger. Hélas ! La côte d’ivoire est gouvernée par une couillonnade de voleurs, issus de votes couillons irréfléchis. Cette jeunesse donc au-delà des autres luttes démocratiques légales accessoires « leadership, positionnement, appartenance, stratégies pour l’avenir, etc. » n’a pas d’autres choix face à la corne du taureau, non ! Elle est contrainte à cette lutte pour le peuple et pour la vie. Donc à la vie ! Les risques ne sont qu’accessoires.

C’est le prix à payer pour la mise en place d’une démocratie universelle assise sur le respect des droits, des libertés et des règles, donc, plus prosaïque mais plus consistante, dans l’intérêt général du peuple ivoirien. Sinon nous resterons dans la continuité du chaos sempiternel de génération à génération. Donc autant procéder avant tout à la décomposition/recomposition de tout, ici et maintenant. Pour un changement sociopolitique et un changement des gouvernants d’un pouvoir sangsue et vampire qui ont failli. Ou bien, notre jeunesse est-elle incapable, de demander des comptes, aux fins d’une décomposition/recomposition politique salvatrice dans son propre pays et sur la terre de ses ancêtres ? Ce serait dommage,  parce que personne, même pas un Dieu, ne viendra le faire a sa place. Donc les jumelles citoyenne ici, ne doivent viser que l’horizon futur. Tous ensembles ! Ça vient petit-a-petit, un jour il fera jour. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*-De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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24 janvier 2021 7 24 /01 /janvier /2021 12:50
Lepetitfils : Aujourd’hui, il serait inconcevable de faire le jeu politicien du pouvoir d’Abidjan et de le donner une fausse légitimité sociopolitique inespérée, sur une  funeste tribune d’intervention politique illégale. Une tribune institutionnelle d’une pseudo-république monarchiste, à des pyromanes interventionnistes, vautours charognards, qui se sont départis et  qui ont contourné les prescriptions constitutionnelles,  pour s’imposer aux élections du 31 octobre 2020 et pour gérer les contentieux dans la même logique, qui va conduire aux législatives de Mars prochain.

Lepetitfils : Aujourd’hui, il serait inconcevable de faire le jeu politicien du pouvoir d’Abidjan et de le donner une fausse légitimité sociopolitique inespérée, sur une funeste tribune d’intervention politique illégale. Une tribune institutionnelle d’une pseudo-république monarchiste, à des pyromanes interventionnistes, vautours charognards, qui se sont départis et qui ont contourné les prescriptions constitutionnelles, pour s’imposer aux élections du 31 octobre 2020 et pour gérer les contentieux dans la même logique, qui va conduire aux législatives de Mars prochain.

*- Le peuple ivoirien n’est plus spectateur.

En politique la technocratie que l’on retrouve tout temps dans les discours vaut peu de chose, sinon est un leurre en politique, en absence de la concordance avec la volonté du peuple, et de la préservation des intérêts de la totalité sociale dans l’Anticipation de l’avenir du peuple dans le temps, soutenue par la connaissance parfaite de la totalité sociale, que l’on dirige, ou prétend vouloir diriger. La politique c’est la saine appréciation des choses du moment. D’où il faut faire ou dire les choses à leurs justes moments indiqué par la raison. Donc ne pas retarder l’échéance des choses au risque d’en payer le prix fort, et ne pas se hâter pour anticiper les choses au risque de se compliquer la situation à l’extrême. La politique n’est ni Normal-Sup, ni UFR, en d’autre terme, ni la Fac, ni science-Po. C’est un concours, un jeu de représentativité, au terme duquel se joue le destin de la nation, le destin de tous et le destin de chacun, avec le peuple souverain comme seul réfèrent de la volonté populaire. Le peuple libre, dont sa souveraineté le condamne à vie à la versatilité, qui par conséquent choisi une voie sociétale, avec un homme ou avec des hommes, parmi de multiples autres voies a lui proposé par de multiples autres hommes. D’où tout le pouvoir ressort du peuple, d’où tout le pouvoir s’acquiert par le consentement du peuple, et d’où tout le pouvoir d’état est pour le peuple. Ce peuple souverain veut voir ses griefs sociétaux soldés dans l’action politique des hommes politiques ou des dirigeants politiques, au cas contraire la facture n’attend jamais demain. Et la politique source de la répugnance de l’action politique par le peuple paye toujours la facture cash.

Disons-le, si l’on s’en tient à l’actuel engouement des acteurs politiques de l’opposition ivoiriennes pour aller aux élections législatives à venir, le système de confiscation du pouvoir d’Alassane Ouattara, a réussi déjà son pari, celui de disqualifier la lutte citoyenne contre le troisième Mandat d’Alassane Ouattara. Or le peuple souverain ivoirien milite pour le nécessaire arrêt de cette dynamique démoniaque, pour que la politique, ce noble art qui conduit à l’exercice légal du pouvoir d’état, cesse de Rimer avec l’hécatombe. Ce peuple qui n’est plus simple spectateur ne suivra pas. Donc le peuple qui n’a pas une position fixée au mépris de sa volonté de la totalité sociale et de l’intérêt général, fera payer toutes contraventions à sa volonté. Le peuple à le devoir de rééquilibrer la balance sociopolitique, le système de la représentativité nationale, et la mesure de valeur social, qui ne doit pas être Dieu l’Argent ou les armes. Autrement dit : «On doit rester debout et continuer la lutte jusqu’à la victoire finale», On est condamné à aller au bout jusqu'à la victoire car l'objectif final est le salut pour notre Nation. Une Nation où la vie est respectée, une Nation où les lois sont respectées, une Nation où la guerre n'existe pas». Oui, personne d’autre, ni même un Dieu, ne viendra résoudre de façon magique, les problèmes sociopolitiques de la côte d’ivoire, en lieu et place des citoyens ivoiriens eux-mêmes. Ce qui signifie que la crise risque de s’aggraver, qu’elle n’est pas derrière nous, qu’elle est à nos côté, et qu’il faut absolument l’affronté de face et en face.

Oui, les mêmes causes produisent les mêmes effets. Le pouvoir du système d’Alassane Ouattara aura belle et bien sa majorité parlementaire, au mépris de la majorité circonstancielle de l’opposition ivoirienne et en dépit de l’exigence des principes et règles des élections propres et transparentes. Avec les mêmes travers politiques d’Animosité, d’un pouvoir déviant marqué par le seau indélébile du sang humain versé. Quoi de plus normal, une culotte trouée est toujours indispensable au pouvoir d’Alassane Ouattara, face à l’arbre de la transparence. Oui, ce pouvoir aux aguets de son piège, d’entrainer l’adversaire sur un ring, aux tapies glauques, et visqueux pour l’assommer d’un vilain coup au bas de la ceinture. Avant qu’il ne s’en plaint de l’état du tapis, pour assurer ses arrières casseroles notoirement puantes. Il a réussi à attirés ou trimbalés malgré tout l’opposition ivoirienne dans son engrenage. La tâche de l’opposition devient de plus en plus difficile et compliquée, les élections législatives ont réanimés, les appétits carriéristes, qui se manifestent sporadiquement au mépris de tous ensemble et en dépit du danger sociétal réel à combattre tous unis. Donc de toute évidence, il en résultera dans ce choix électoral d’aller aux élections législatives, de dangereux ressentiments susceptibles de fragmenter encore plus la cohésion sociale. Donc, l’opposition ivoirienne, a été/est entrainée Habilement vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers une soumission seigneuriale au monarque Alassane. Et à cette vitesse de versatilité politique dans l’action de régulation sociopolitique saccadée, cela ne saurait tarder, face à l’habilité du pouvoir.

 

Même si cette opposition ivoirienne unie toutes tendances confondues, bien que largement majoritaire, (85% à 90%) de l’électorat total, ne peut aucunement espérer sortir majoritaire au parlement et ensuite au congrès au terme des élections législatives. Qui sont une adhésion tacite au processus électoral dans son entièreté y compris l’élection présidentielle du 31 octobre, qui acquiert sa légitimité. L’opposition paiera très chère au terme des élections législatives, le fait de s’être accommode de l’imposture de non-droit du 31 octobre 2020, en participant à ces élections législatives. Parce que l’électorat ne suivra pas, non ! Il ne suivra pas, parce qu’aujourd’hui, les citoyens ivoiriens en ont marre, de se sentir privé des droits inaliénables avec la force par un pouvoir. Et qu’ils n’ont pas droit d’être cités, chez eux dans leurs pays, qu’ils n’ont aucune importance dans la vie sociopolitique ivoirienne. Qu’ils peuvent être écrasés dans leurs vies physiques, dans leurs droits, dans leurs libertés, au vu et au su de tout le monde. Que le pouvoir monarchique et absolutiste, ne les écoute pas autour de la chose publique, leurs biens communs, qu’ils comptent moins et très peu, face aux intérêts politiques, qui ont déjà sciemment occultés les crimes des soudards d’Alassane Ouattara, pendant les élections présidentielles du 31 octobre 2020.

 

En somme, les citoyens ivoiriens ont bien compris, que les élections sont la condition certes nécessaire à la démocratie réelle participative ou chaque citoyen participe à la vie publique de son pays, mais qu’elle n’est pas suffisante pour la réalisation d’une société véritablement démocratique. Avec en face un pouvoir monarchiste et absolutiste, accroché à ses intérêts personnels égocentriques, égoïstes, ostensiblement assis sur la force des armes « fusils ». Surtout soutenu par une mafia internationale aux intérêts condescendants. Oui, les citoyens ivoiriens ont bien compris, que dans un système partial, mafieux, érigé en organisme électoral et en juge des élections dans leurs pays la côte d’ivoire, qu’ils ne peuvent rien changé en votant. Parce qu’ils ont aussi compris les ivoiriens, que ce n’est pas en votant dans n’importe quel système électoral partial, inféodé et dépendant d’un pouvoir déviant et arbitraire, qui considère la chose publique comme son bien privé, qu’ils s’affirmeront citoyens libres. Oui, que dans ce système mafieux, qu’ils ne pèseront pas davantage sur les choix de société, qu’ils veulent vivre en commun. C'est-à-dire une société harmonieuse, une société cohérente, une société stable, une société paisible, dans le respect mutuel et dans l’exaltation de la diversité solidaire, qui est leur rêve commun de toujours.

 

Oui, les citoyens ivoiriens ont compris qu’aujourd’hui plus que jamais, il est question de prendre conscience que la côte d’ivoire, n’est plus un état républicain de droit, mais plutôt une monarchie républicaine hybride et débridée. Dans laquelle l’armée républicaine dégommée par des fantassins, devenue l’armée royale, n’obéit qu’au pseudo-monarque républicain et à sa cour royale, tout en méprisant le peuple souverain devenu sujet du Roi. Ce peuple méprisé par conséquence doit avoir le comportement qui sied à cette situation, pour se libéré ou s’aider à se faire libéré par le monde civilisé, des vrais états républicains de droit. Cela peu importe le temps nécessaire a la lutte soutenue et constante de libération à cette fin.  D’autres peuples l’ont fait malgré les fusils, dont le Mali de «Moussa Traoré», l’une des révolutions les plus référentielles d’Afrique noir. Où les détonations des armes, étaient une invite aux jeunes révoltés, qui se ruaient vers les lieux de détonations des armes, en criant «Mârfâ-kân-bê-yan-fê», les fusils parlent là-bas ! Oui, Citoyen ! Fusils contre peuple, s’est force contre force. Ils n’avaient pas d’autres choix, ces jeunes martyrs Maliens aux droits et libertés confisqués. Puisque dans un état républicain de droit, auquel le peuple ivoirien aspire, l'arme toute puissante au moyen de laquelle on arrive à conquérir toutes les libertés et à réaliser tous les progrès, c'est la démocratie du suffrage universel. Or dans une pseudo-monarchie républicaine, «comme celui d’Alassane Ouattara», on n'arrive à se débarrasser d'un maître, oppresseur et d’un despote injuste, qu'au moyen d'une vraie révolution citoyenne électrique, malheureusement dans ce cas, les armes «fusils» d’une meute de soudards devient souvent, l'instrument de la délivrance populaire.

 

Oui, Aujourd’hui refusons la politique de l’absurde, récusons les armes en politique, qui est la politique criminelle, qui ne dessine pas l’horizon d’un avenir commun et meilleur pour les citoyens, mais qui le met en danger. Nous devons donc, tous ensembles, redéfinir la notion de nation une et indivisible garantissant droits, libertés, justice juridique et sociale pour tous et la notion de démocratie dans un sens universaliste, comme la politique mise au service de l’organisation sociale, de l’exercice du pouvoir d’état, du gouvernement des hommes, dans un état et au sein d’une société organisée. La politique au service de la patrie de la citoyenneté commune, du vivre en commun de partage. Selon et en fonction du droit, de la liberté, de la justice juridique et sociale. «Bon ! Peut-être, que ça devient compliquer avec 20 ans, «24 décembre 1999 à janvier 2021» de recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitique, mais Rêvons de Demain. Donc disons peut être demain, certainement Demain, sans faute Demain. Oui espérons de Demain, Il fera jour Demain, on sera Demain. Tous ensembles, moulés dans le système de la démocratie électorale, qui cadre avec le principe du pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple, nous allons conquérir notre paix sociopolitique. Nous allons vaincre sans faute, les sataniques forces rétrogrades du mal, qui violent les règles préétablies du droit et de la démocratie afin de domination sociopolitique. Oui, ce Demain adviendra contre vent et marée, parce que, confiné dans la loi de la jungle, le peuple ivoirien à l’instar de tous les peuples souverains du monde, ne peut avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature. Donc avec cette force universelle inhérente à tous les peuples, espérons tous ensembles de demain. Demain ! C’est encore permis après 20 ans de luttes soutenues pour la paix».

 

Donc Demain, la Bouffe risque d’être amère un jour, pour tourner à la malbouffe et à la colique. Parce que, nul pouvoir d’état même assis sur les armes «fusils» ne peut durablement gouverner un peuple, s’il n’est pas soutenu par l’autorité morale qui résulte de la croyance du peuple en sa légalité juridique et en sa légitimité démocratique et électorale. Sans ces conditions il ne s’imposerait jamais aux citoyens libres dignes de ce Nom. Donc la Bouffe risque d’être amère un jour, pour tourner à la malbouffe et à la colique. Parce que, le peuple ivoirien qui n’est plus un simple spectateur dans la vie politique de son pays, ne suivra pas, de façon moutonnière et panurgiste. Le peuple ivoirien a pris conscience dans la lutte contre le troisième mandat d’Alassane Ouattara, qu’il est une force imbattable, mais pour le moment éparpillée et mal orientée. Oui, aujourd’hui, il serait inconcevable de faire le jeu politicien du pouvoir d’Abidjan et de le donner une fausse légitimité sociopolitique inespérée sur une  tribune d’intervention politique légale. Une tribune institutionnelle d’une pseudo-république monarchiste, à des pyromanes interventionnistes, vautours charognards, qui se sont départis et  qui ont contourné les prescriptions constitutionnelles,  pour s’imposer aux élections du 31 octobre  2020 et pour gérer les contentieux dans la même logique, qui va conduire aux élections législatives de Mars prochain. Oui, les élections législatives de Mars prochain, qui ressortissent de la volonté abstraite d’un homme politique et d’un groupe d’hommes politiques soucieux d’arrivée à leurs fins de dominations néo-monarchiste hybride, débridé ou à une ploutocratie naissante, par des élections vidées de toutes essences démocratiques et exonérées de tous droits et toutes règles universelles. Non ! Le souverain ne suivra pas, au mépris de ses plus de 150 Morts. Oui le peuple ne suivra pas ! Ne suivra pas ! PAS ! Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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17 janvier 2021 7 17 /01 /janvier /2021 02:11
Lepetitfils : Pour sortir du trou notre pays la côte d’ivoire, nous avons besoin de tous ensembles paisibles, derrière un homme ou des hommes fédérateurs. Il nous faut mener une lutte synergique, tous ensembles dans le respect des différences. C’est pourquoi nous avons toujours dit et répéter, que tout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire par la parole du/au peuple souverain. Lutter tous ensemble ou périr chacun de son côté, aujourd’hui, c’est de cela qu’il s’agit. Il n’y a pas deux (2) postulats.

Lepetitfils : Pour sortir du trou notre pays la côte d’ivoire, nous avons besoin de tous ensembles paisibles, derrière un homme ou des hommes fédérateurs. Il nous faut mener une lutte synergique, tous ensembles dans le respect des différences. C’est pourquoi nous avons toujours dit et répéter, que tout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire par la parole du/au peuple souverain. Lutter tous ensemble ou périr chacun de son côté, aujourd’hui, c’est de cela qu’il s’agit. Il n’y a pas deux (2) postulats.

 *- Si élections législatives il y a ? Tous ensembles !

Un homme public ou un politique, ne se tait jamais, tant que l’essentiel sociétal est en jeu, il doit jouer jusqu’à la limite de l’Humainement admissible. Oui, le dialogue de sourd d’hier, qui n’a jamais céder le moindre espace de souveraineté populaire, opposé à ses desseins électoraux, a fait le pari du dialogue audible, entre opposition et un pouvoir despotique, sur le système électoral ivoirien, qui va enfanter les futurs représentants du peuple. Des hommes qui seront porte-parole du peuple, qui se doivent de transporter des voix, qui loin d’être les siennes, doivent résulter et s’identifie à ce que les citoyens veulent, et à ce que la volonté générale exprime du bas vers le haut. Donc, des hommes mandaté par le peuple et chargé de parler, de légiférer ou de gouverner, au nom de la volonté générale du peuple souverain. «Mais si de par la volonté d’un système de trucage électoral, ces hommes deviennent des valets, qui transportent des décisions iniques du haut pour l’imposer en bas au peuple souverain, sans rien réguler, c’est ce qu’on appelle l’assujettissement a un monarque ou la monarchie absolue. Et ce serait ré-dommage pour la côte d’ivoire». Or à bien regarder avec les lunettes citoyennes, au prisme de la réalité sociopolitique, le système d’Alassane Ouattara à rependue la Boue, il va falloir pour l’opposition ivoirienne d’y patauger à sa perte. Même si, aller aux élections législatives, ou ne pas aller aux élections législatives, sont certes de phrases contradictoires, mais qui ont le même but ici. Qui est de se débarrasser du non-droit de l’arbitraire du troisième mandat du monarque Alassane Ouattara. La côte d’ivoire est sous l’emprise d’un système politique archaïque, mafieux, fermé hermétiquement à toutes ouvertures du jeu politique. Au terme des législatives l’opposition affronte un risque majeur, celui de fissurer son unité solidaire, sa légitimité. On ne le dira jamais assez, la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, qui a perdu ses repères sociétaux, a besoin d’union nationale, de sauvetage national, de réglage politique systémique consensuel et synergique.

Répétons-le Notre crise sociopolitique ivoirienne est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques, du non-respect du droit inaliénable universel et des libertés fondamentales, par une meute ubuesque, de politiciens fulminatoires et outrageux, des hypocondriaques politicards carriéristes et clownesques arrivistes renégat. Qui se sont avéré incapables de s’adapter à l’art du vivre en commun civilisé, dans le respect des normes juridiques de régulations sociales préétablies, qui régissent de droit, la société commune ivoirienne. Des ignares aux grossièreté politiciennes nauséabondes estampillés ministres de la république, qui ont choisis en côte d’ivoire les armes  «fusils», comme la mesure de valeur sociale. Oui, le pouvoir d’Alassane Ouattara doit avoir sa majorité absolue au terme de sa Fabrique rafistolée, des élections législatives, pour un parlement «congrès» automate d’enregistrement. Sous la conduite d’Alassane Ouattara, la côte d’ivoire de Félix  Houphouët   Boigny  n’est plus maitresse d’elle-même et de son destin dans le concert des nations civilisées. Elle n’est plus qu’une immense déchirure sociale, un vaste champ de ruine sociétale, à la merci des vautours professionnels, des pilleurs endurcis, des escrocs ataviques. Elle est désormais devenue dispensatrice de désespoir, de misère et de désolation, sous la coupe de sinistres personnages sans foi, ni loi, tout pour Dieu l’argent, tout pour manger, tout pour être à la table des convives nocturnes mafieuses et fort des armes «fusils» ils disent et se dédisent. 

Oui, comme déjà dit, le système d’Alassane Ouattara, qui ne cédera Rien face à la nécessité d’avoir une majorité parlementaire, support de ses desseins funestes pour la côte d’ivoire, au mépris du droit et en dépits des règles, a déjà rependu volontiers la boue dans l’arène sociopolitique ivoirienne, en prélude des élections législatives de mars 2021. Et sauf miracle, tout le monde politique ivoirien, partant aux élections législatives ou pas, tous les honnêtes citoyens et tous les candidats à ces élections législatives seraient obliger à y patauger, dans cette boue en mars 2021 et ensuite après un trucage électoral à ciel ouvert dans les urnes, et dans les proclamations des résultats, trucage électoral qui est pourtant déjà bien schématisé dans le découpage électoral, ou des minorités en nombres de personnes administrés ont 3 voire 4 députés, et ou les majorités deux fois plus en nombres de personnes administrés ont un seul député, voire zéro députés, de s’entendre dire à l’opposition et autres d’une voix sournoise insistante, à l’endroit de tout cet ensemble sali, regardez-les, ces gens-là, comment ils sont sales, allez crever en enfer fichus sales mecs de mauvais perdants. «Par  exemple, qu’on nous dise, comment Alassane Ouattara concèdera une victoire aux législatives a l’opposition dans la circonscription électorale d’Abobo, qu’une presse servile et aplatis a étiqueté comme son Fief. Depuis quand ? On ne sait pas. Autant d’emblée parié sur les Coudous et les maga-tapés, dans un capharnaüm kafkaïen». Oui qu’on nous dise par quel moyen au terme d’une expression claire du suffrage universel directe, Alassane Ouattara peut prendre un seul siège de député au FPI-PDCI à Yopougon «ici soulignons l’expression claire du suffrage universel directe » Donc d’emblée autant se préparé à la Bagarre électrique, en faisant des stocks de vieux pneus, et prendre les pattes-d ‘oies en témoins.

Oui, disons-le, la légitimité populaire circonstancielle actuelle de l’opposition ivoirienne réside dans son union, et dans son unité solidaire et synergique, certes pour les législatives de mars prochain il y a deux (2) tendances dans l’opposition mais qui visent le même but «aller aux élections législatives et ne pas aller aux élections législatives» tous de l’opposition convergent vers le mêmes but. Chasser Alassane Ouattara, pour le retour légal et constitutionnel du pouvoir d’état dans le peuple souverain son ultime propriétaire exclusif. Oui, de renverser ce système pervers, se débarrasser de ce pouvoir anti-droit, le plus légalement possible, pour replacer l’être humain au centre du débat, le citoyen au cœur de toute politique économique et développementale. Ceci débouchera sur une voie légale de conquête du pouvoir d’état. Dans le respect des droits, dans le respect des libertés, dans le respect des règles démocrates et dans une société de paix pérenne. Donc, c’est le lieu indiqué et le moment précis, de dire qu’il faut éviter la division dans la lutte de reconquête du droit, à fin de régulation sociopolitique sur une période déterminée. Oui, qu’on se le tient pour dit ; Rien ne se fera dans la division, rien ne sera réussi dans la division, rien ne changera en côte d’ivoire dans la division. C’est en luttant tous ensemble pour l’intérêt supérieur de la nation et pour l’intérêt général, que nous réussirons à restaurer la paix sociopolitique dans notre pays et à conquérir le pouvoir d’état à cette fin. Et ensuite a forgé un état de droit, une stabilité sociopolitique et une paix sociale pérenne en côte d’ivoire. Ou l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé ou d’être embastillé, sinon être arrêté. Et pour que les hommes politiques ivoiriens partent à des élections démocratiques propres comme les sportifs vont aux compétitions sportives, avec la certitude qu’ils peuvent gagner, comme ils peuvent perdre.

Dans une côte d’ivoire réconciliée, stable, cohérente, harmonieuse, paisible et de l’exaltation de la diversité solidaire. Une côte d’ivoire de la différence acceptée par tous. Une côte d’ivoire de toutes les variances légitimes, qui admet l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Une côte d’ivoire largement ouverte sur le monde. Tous ensembles ! Oui, il nous faut absolument unir la nation ivoirienne contre le pouvoir d’Alassane Ouattara, qui veut la diviser pour mieux la déchirer, a fin de régner comme charlemagne et afin d’enrichissement perpétuel grâce aux biens publics. Un utopisme qui ne désespère pas d’accaparer le destin de la nation ivoirienne pour le plier à ses seules exigences égocentriques et claniques et dont les fantassins ont pour jeux favoris les crimes de toutes sortes. Dans un système peuplé de vautours charognards qui se nourrissent du chaos, qui crée une insécurité criante à cette fin. Et qui entretien une instabilité sociopolitique manifeste qui se raffermis aussi hermétiquement de jour en jour sur tout le pays. Une seule satisfaction et une seule espérance, dans le combat contre le troisième mandat d’Alassane Ouattara, le peuple ivoirien a sectionné la corde des alpinistes de mandatures. Aujourd’hui, la corde est usée et devenue trop raide, la cassure semble inévitable dans un espace jonché de rochers anti-alpinistes de mandatures, les dégâts restent a évalué à l’atterrissage, un jour ou l’autre, de quoi a craindre pour les culs du troisième mandat.

Donc, il faut rester dans la ligne directe de tous ensembles ! Il faut donc se détromper dès maintenant, la lutte débarrassée de toutes les scories passéistes, pour ne retenir que la côte d’ivoire, a besoin de tout le monde a bord du navire ivoire, ce ne sont pas des partis politiques significatifs ou de gouvernements soient-ils, en eux seuls qui arrêteront cette dynamique démoniaque du système Alassanéen, Non ! Donc pour sortir du trou notre pays la côte d’ivoire, nous avons besoin de tous ensembles paisibles, derrière un homme ou des hommes fédérateurs. Il nous faut mener une lutte synergique, tous ensembles dans le respect des différences. C’est pourquoi nous avons toujours dit et répéter, que tout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire par la parole du/au peuple souverain ou bien tout le monde restera prisonnier et/ou prisonnier en puissance d’une manière ou d’une autre en côte d’ivoire. Lutter tous ensemble ou périr chacun de son côté, il n’y a pas deux (2) postulat. Oui, Si élections législatives il y a ? Tous ensembles ! Derrière l’opposition unie, le peuple ivoirien solidaire, arrivera à vaincre l’obscurantisme politique d’Alassane Ouattara. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile). 

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10 janvier 2021 7 10 /01 /janvier /2021 01:33
Lepetitfils : Retenons que : Les deux (2) têtes de la même pirogue la grande et la petite converge vers la même Rive. Oui, tous ensembles, sans abdication, sans reddition, sans capitulation, sans s’inscrire volontiers pour des intérêts politiques quelconques dans le schéma controuvé de confiscation du pouvoir d’état, dans la durée d’Alassane Ouattara, et sans se plaire dans le rôle d’appoint éternel à l’arbitraire de non-droit d’Alassane Ouattara, nous réussirons à changer notre pays.  C’est un devoir absolu de citoyen…

Lepetitfils : Retenons que : Les deux (2) têtes de la même pirogue la grande et la petite converge vers la même Rive. Oui, tous ensembles, sans abdication, sans reddition, sans capitulation, sans s’inscrire volontiers pour des intérêts politiques quelconques dans le schéma controuvé de confiscation du pouvoir d’état, dans la durée d’Alassane Ouattara, et sans se plaire dans le rôle d’appoint éternel à l’arbitraire de non-droit d’Alassane Ouattara, nous réussirons à changer notre pays. C’est un devoir absolu de citoyen…

«En politique la défense d’un idéal sociétal, ne peut se faire que dans la grande constance de l’action politique active, intransigeante, flexible, mais sans infléchir. Nelson Mandela, aux moments difficiles de son action et de ses prises de position, «trente (30) Ans de prison», l’a démontré aux yeux du monde. Pendant tout ce temps, une seule phrase était la sienne, il faut qu’un Blanc Sud-Africain soit l’égal d’un Noir sud-Africain, cela avec l'humilité qui a toujours été la sienne. « Je ne suis que l'humble serviteur de mon peuple »disait-t-il. C’est pourquoi, un vieux sage a dit un jour, à propos de Nelson Mandela que : la politique, la vraie ! C’est persévérer, à toute épreuve dans les mêmes positions, persister toujours, dans les mêmes discours et y rester dans la pire des situations au risque de sa vie physique. Jusqu’à l’adhésion totale du peuple souverain et jusqu’à l’obtention de l’idéal sociétal défendue ». Ça c’est pour le décor.

*- En côte d’ivoire, le rêve d’une paix durable est en péril.

Le 31 octobre 2020 une occasion nous était imposé ou donné, au peuple ivoirien de se débarrasser légalement de la dictature tyrannique d’Alassane Ouattara, qui après sa déclaration à Yamoussoukro devant le congrès, la chambre des rois et chefs traditionnels, devant la nation ivoirienne, assisté de la communauté internationale, de ne pas briguer un troisième mandat et qui a renoncé à sa parole l’honneur donnée devant tous ce monde suscité, en se déclarant candidat pour un troisième mandat, se dédiant ainsi, pour une cause inscrite dans son schéma de confiscation du pouvoir d’état. Le décès du premier Ministre Amadou Gon Coulibaly, n’a été qu’un paravent justificatif a ce qui était déjà schématisé. C’était  l’occasion imposé ou donné au peuple ivoirien de se débarrasser légalement de la dictature tyrannique d’Alassane Ouattara, en conformité avec le droit universel, les normes juridiques constitutionnelles de régulations sociopolitiques, et de toutes les valeurs et morales Humaines. A juste titre un haut diplomate Africain nous a fait cette confidence « tu sais les dictatures finissent toujours par excaver leurs propres tombes, cette fois, il «Alassane Ouattara» a mal joué, à l’image de…»

Et le peuple ivoirien l’avait ainsi compris, en s’engageant fermement contre cette candidature de troisième Mandat, dès les premières heures de la déclaration de cette candidature pour un troisième Mandat par Alassane Ouattara, qui était sérieusement ébranlé, par les manifestations sur toute l’étendue du territoire national. Mais les dépôts de candidatures qui ont momentanément changé le centre d’intérêt des actions sociopolitiques, ont été pour lui une bouée de sauvetage et d’oxygène. Quelques mouvements festifs de dépôt de candidature ayant remplacé la lutte électrique, a permis à Alassane Ouattara de se rendre en France, pour constater la solidité de son dossard «dossier». Et à cette occasion, il a pu chuchoter quelques phrases inaudibles dans le monde civilisé « anti-X, anti-Y et anti-Z » en se posant en garde-boue. Ce qui fait qu’après les dépôts de candidatures, le veillant peuple ivoirien a repris sa lutte a lui, mais les soutiens irréductibles de par le monde de sa cause juste, avait faibli ayant déduit a une chose et son contraire. Mais puisque c’est de droit, la majorité du monde civilisé continue à soutenir, le peuple souverain ivoirien dans la légale contestation du troisième mandat d’Alassane Ouattara. Et les élections législatives auxquelles l’opposition va participer, se situent dans la continuité directe de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020 décriée. Reconnue juridiquement illégale et démocratiquement illégitime

Avec le retour de l’opposition au sein de la CEI, maintenue en l’état. Donc l’institution électorale organisatrice de la présidentielle du 31 octobre 2020, en l’état. Ce qui  discrédite a jamais, les options anciennes de luttes, «boycott», qui ont donné l’occasion au pouvoir d’Alassane Ouattara, de zigouillé plus de 150 citoyens et blessés plusieurs centaines. Bon ! Dans la lutte pour les droits inaliénables, dans le combat politique, le cyclique ne paye pas, le versatile est contreproductif, le saccadé est destructeur des énergies citoyennes. Les secousses ponctuelles, extatiques, protestataires, passagères et périodiques vident les luttes citoyennes pour le droit, la liberté et la démocratie de toutes leurs énergies. Et pire elles vident le peuple de son énergie défensive. Seules les luttes soutenues, synergiques, rationnelles, cohérentes, constantes, régulières, de droit et pour le droit, dans le temps et dans toute l’assiette territoriale nationale aboutissent à la libération d’un peuple par la lutte, par la résistance dans l’espérance. C’est une évidence certaine, les élections législatives de mars 2021 contribueront à asseoir définitivement le troisième mandat décrié d’Alassane Ouattara et légalisera son droit à un quatrième mandat en 2025 et ce serait une constance aux yeux du monde. Et sans fracture et sans cassure du système Ouattara aura à gouverner jusqu’à 2030. Même si par extraordinaire, il venait à y avoir une vacance de poste de président de la république, il n’y aura pas de réelle vacance de pouvoir, le successeur systémique d’Alassane Ouattara, prendra le relai d’une manière ou d’une autre. Et l’opposition se dira toujours majoritaire en Côte d’Ivoire, jusqu’en 2040.

*-Un proverbe malinké dit: Celui qui  déteste la salive de l’escargot doit refuser l’argent de la coiffure de sa Mère.

Oui les élections législatives de mars contribueront à solidifié et a conférer une légitimité au pouvoir d’Alassane Ouattara. La légitimité du pouvoir d’état est l’acceptation par le peuple souverain du caractère moralement juste et nécessaire des institutions constitutives du pouvoir d’état. Elle ne résulte donc pas d’une source unique, elle est multiforme, en mutation permanente. C’est ainsi que, la légitimité internationale renvoie à la reconnaissance externe des États, des régimes et des gouvernements. Quand a la légitimité politique, elle peut être électorale, ou circonstancielle. C’est ici que, le mouvement de l’opposition ivoirienne largement majoritaire, mais contraint à un déni de démocratie, et à une élection de façade, tire sa légitimité aux yeux du monde. Mais, au terme de la participation consentante, aux élections législatives de Mars 2021, de cette opposition largement majoritaire, la légitimité circonstancielle, qui ne tient qu’à la conjoncture spécifique de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, et qui a vu le peuple souverain confiée la mission de régulation sociopolitique à un homme ou à un groupe d’hommes, pour pouvoir traverser cette période d’incertitude perdra son sens réel de légitimité politique. Qui tire son essence dans une circonstance d’élection de façade. «Si on ne peut pas chasser Ouattara, au prix que cela mérite, hélas ! La question qui se poserait, serait alors de savoir est-ce qu’il ne convient pas de le laisser faire ce qu’il veut de notre pays ? Mais-là c’est la Mort à petit feu progressivement par les faits d’un euthanasiste.

Donc ici, dans le même navire ivoire, face à l’arbitraire, partageant les mêmes gyroscopes, nous ne doutons pas un seul instant, de la large majorité électorale, de l’opposition ivoirienne unie, tout comme nous n’en avons pas douté pour la présidentielle. Mais cette réelle majorité électorale matérialisée dans les urnes électorale ne s’accommode pas avec les desseins glauque et visqueux de confiscation du pouvoir d’Alassane Ouattara. Nous sommes déjà dans une crise postélectorale du 31 octobre 2020 non-soldée, qui ne devient ici, autre chose, qu’une crise préélectorale des élections législatives de mars 2021, et si les choses devaient rester en l’état, nous irions vers sa ré-transformation en une crise postélectorale, d’une crise à l’autre à vie. Non ! Il faut renverser ce système pervers, obscurantiste, mafieux et clanique, qui est l'expression la plus antagonique du droit de suffrage et du droit inaliénable de tout peuple à disposer de lui-même. Il ne faut pas l’oublier, la côte d’ivoire a viré à l’état totalitaire de Monarchie absolutiste. On ne peut pas espérer de la séparation des pouvoirs, soldé sur toute la ligne par une monarchie. Or la séparation des pouvoir vise à séparer les différentes fonctions de l’État, afin de limiter l’arbitraire et d’empêcher les abus liés à l’exercice de missions souveraines. La monarchie comme celle d’Alassane Ouattara est son contraire. D’où les trois fonctions institutionnelles sont confondues et détenues par une seule personne, Ouattara. « L’Assemblée Nationale, Senat, justice, tous aux ordres du monarque Ouattara.

Oui, en en allant aux élections législatives de mars 2021, avec le pouvoir d’Alassane Ouattara, qui doit sortir vainqueur majoritaire dans les deux (2) chambres parlementaires «Congrès» des élections à tout prix, bon gré, mal gré, et bon an, mal an, son système est ainsi conçu. Dans une organisation électorale d’encliquetage ou tout le fonctionnement systémique repose sur la domination à court terme, certes quelques dizaines de personnes seront élus députés, et pourront bénéficier des avantages qui sied à cette fonction, mais qui ne pourront rien changer dans la vie sociopolitiques ivoiriennes. Et surtout aller à ces législatives de mars 2021 aux prix de combien de jeunes ? De combien d’enfants sans pères et/ou de mères ? Oui, dans un système électoral partial, mafieux, érigé en organisme de trucage, avec des juges des élections au service d’un système, les participations aux élections ne peuvent rien changé, pour l’évolution vers une vie sociopolitique et démocratique paisible respectueuse des droits et des libertés. Le citoyen en votant dans ce système, ne pourra rien régulé. C’est une évidence certaine, les élections législatives qui connaitront la participation des boycotteurs de la présidentielle du 31 octobre 2020, seront  l’alibi d’une légitimité et d’une légalité toute trouver dans la boite noire étatique des mensonges d’états du pouvoir, enracinés au cœur de la république des voyous, pour devenir indécrochables.

Oui, un pouvoir d’état né d’une crise et en crise sempiternelle ne peut générer que des crises sempiternelles, jusqu’au gouffre sociopolitique total, dans un précipice abyssal sans issue de sortie. Nous y sommes ! Pour permettre au renard libre de régner sur un poulailler halluciné, destiné à son martyr, au pays de Félix Houphouët Boigny, autre fois havre de paix et de stabilité économico-sociopolitique. Ou un homme était un homme indépendamment de sa caste. Oui, il est d’une évidence absolue, qu’en participant à l’importe quelle élections, on aide à consolider les élections de façades dans un pays, qui se veut de droits et démocratiques. Et les citoyens en votant dans n’importe quelle fabrique systémique électoral partial, inféodé, dépendant d’un pouvoir déviant, qui considère ostensiblement, la chose publique comme son bien privé, qu’ils s’affirmeront citoyens libres. Ou qu’ils pèseront davantage sur les choix de société, qu’ils veulent vivre en commun. C'est-à-dire une société harmonieuse, une société cohérente, une société stable, une société paisible, dans le respect mutuel et dans l’exaltation de la diversité solidaire, qui est leur rêve commun de toujours. Non ! Ce n’est pas possible ! Le non-droit, ne peut produire du droit, et les jeux truqués, ne peuvent produire la stabilité politique et la paix sociale. «Un proverbe malinké dit: Celui qui  déteste la salive de l’escargot doit refuser l’argent de la coiffure de sa Mère».

Retenons que : Les deux (2) têtes de la même pirogue la grande et la petite converge vers la même Rive.

Dans un état de droit et dans une démocratie réelle, universelle, participative, ou chaque citoyen consentant participe librement à la vie publique de son pays, ne peut et ne doit fonctionner que sur la neutralité du système électoral, que sur le mode du pluralisme politico-démocratique assumé, ou tous les changements sont possibles au terme du processus des élections propres, et de l’expression du suffrage universel populaire. Et un processus électoral confisqué, est le signe de l’inexistence de ceux-ci-dessus. Et lorsqu’on contourne cette réalité tangible par des questions saccadées qui paraissent impropres à la pratique démocratique et électorale, l’Animosité du rapport de force supplante la démocratie et le jeu électoral. On entre alors ainsi, dans un système obscurantiste partisan et mafieux, qui ne désespère pas, d'infléchir et de corrompre le destin de la nation et du peuple, pour le réduire à sa seule exigence politique. Et la sphère démocratique et électorale se trouve désertée par les hommes politiques, combattants des causes d’intérêts publics et par les citoyens dégoutés. «C’est ainsi que le professeur Aboudramane Sangaré a largement contribué durant près de dix «10» Ans à la mise en nue du pouvoir d’Alassane Ouattara, avéré aux yeux du monde comme assis sur une petite minorité du peuple, avec la force des fusils, avec régulièrement 80% à 85% d’abstention aux élections de façades». Car ce n’est pas là que doit s’attribuer le pouvoir étatique quel qu’il soit en démocratie réelle, au terme des élections digne de nom. Ce pouvoir propriété exclusive du peuple souverain qui se donne à l’issu d’un processus démocratique réel. Ou le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état délègue librement par procuration électorale, ce pouvoir quel qu’el soit.

Ainsi la bonne organisation électorale, qui fait du processus électoral et des lois qui le régissent l'œuvre de tous, l'impose au respect de tous. Et en permettant à chacun de poursuivre sans violence le redressement de ses griefs, désarme la violence. Et rend toute entreprise factieuse impossible. Nous, nous répétons : Rend toute entreprise factieuse impossible et dispense de recourir à l'emploi de la force matérielle « fusils » au cours des élections démocratiques et dans la conquête du pouvoir d’état. Parce qu’en devenant conforme aux normes universelles reconnue, elle débouche sur un ordre conventionnel qui désarme la violence. Elle «la bonne organisation électorale» vient interdire l’usage d’un certain répertoire d’action politique arbitraire, unilatéraliste, absolutiste et despotique. Et en se voyant chargé d'exprimer fidèlement la souveraineté du peuple, elle acquiert les attributs symboliques du sacré. Oui, du Sacré. Parce qu’il renforce l'obligation pour l'individu de donner à son activité une orientation qui tienne compte de son appartenance à une communauté de destin et de son insertion dans la société citoyenne, c'est-à-dire des liens d'interdépendance qui le rattachent hermétiquement à ses concitoyens. Cette solidarité, de tous ensembles, synergiques donne tout son sens a la souveraineté populaire et rend le peuple redouté et redoutable par les pouvoirs d’état quels qu’ils soient. Donc garantie les libertés individuelles.

D’où en politique, la vraie, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique d’un pouvoir d’état que de faire partager à l'ensemble des citoyens libres, la conviction que leur volonté s'exprime à travers les représentants qu'ils se sont librement choisis. Donc un gouvernant qui est ressortissant d’une bonne organisation électorale au suffrage universel, est avant tout un serviteur de l’intérêt général, les privilèges et avantages qui lui sont accordés, ne peuvent être mérités, justes et légitimes, que lorsqu’il y a une contrepartie en termes de services justes et équitables rendus à la nation souveraine reconnaissante, à la totalité sociale commune et à la collectivité sans exclusive. Et il n’y a pas un meilleur service que peut rendre un élu ou des dirigeants politiques à un peuple, que d’être intransigeant, flexible, mais sans infléchir sur les sujets d’intérêt public face à l’arbitraire du pouvoir d’état. Oui, dans une bonne organisation électorale, le suffrage universel est un instrument de progrès pour tous. Or contrairement à elle, dans une dictature monarchiste, on n'arrive à se débarrasser d'un système de trucage électoral, qu'au moyen d'une révolution citoyenne; malheureusement le fusil d’une meute de soldats devient souvent, l'instrument de la délivrance populaire. Mais ici, Nous, nous sommes convaincu que le salut de la côte d’ivoire viendra du peuple souverain ivoirien, et que  si la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle, certains comportements anti démocratique du pouvoir d’Abidjan, sont à bannir, sont à ne pas cautionnés. Comme l’élection présidentielle du 31 octobre et les législatives de mars 2021.

Et le fondement de cette démocratie doit être le droit, dans toute sa rigueur, avec des citoyens qui respectent les règles démocratique préétablies et les normes de régulation sociale accepter par tous, sources d’harmonie, de convivialité sociale, de stabilité politique et de paix sociale. Oui, tous ensembles, sans abdication, sans reddition, sans capitulation, sans s’inscrire volontiers pour des intérêts politiques quelconques dans le schéma controuvé de confiscation du pouvoir d’état, dans la durée d’Alassane Ouattara, et sans se plaire dans le rôle d’appoint éternel à l’arbitraire de non-droit d’Alassane Ouattara, nous réussirons à changer notre pays.  Répétons-le, les écueils sociopolitiques ou les épreuves de la vie commune mettent un peuple martyrisé par l’arbitraire d’un pouvoir d’état et par l’obscurantisme politique, au défi de se dépasser et de se réaffirmer dans sa réalité sociétale atavique. Et de s’opposer ainsi fermement au suivisme électoral inscrit dans le schéma mafieux et rechercher par un pouvoir déviant. Ce moment est plus que jamais arrivé pour le peuple souverain de côte d’ivoire. Ainsi se faisant, pour que le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il n’y a point de développement, le respect de la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par le père Felix Houphouët Boigny, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays. Oui, tous ensembles ! Derrière l’opposition unie, le peuple ivoirien solidaire, arrivera à vaincre l’obscurantisme politique d’Alassane Ouattara. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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2 janvier 2021 6 02 /01 /janvier /2021 23:51
Lepetitfils : Avec le parrainage des candidatures, qui est le trucage électoral a la vogue actuellement en Afrique, imposé en lieu et place d’un citoyen une voix électorale, la désignation de certains membres du Sénat «pouvoir législatif» par le président de la république «pouvoir exécutif », l’extraction de l’élection de représentants de la nation au suffrage universel, pour les faire élire par d’autres simples élus locaux, l’accaparement de la souveraineté populaire du peuple, confinée entre les mains d’un pseudo-monarque est manifeste en côte d’ivoire

Lepetitfils : Avec le parrainage des candidatures, qui est le trucage électoral a la vogue actuellement en Afrique, imposé en lieu et place d’un citoyen une voix électorale, la désignation de certains membres du Sénat «pouvoir législatif» par le président de la république «pouvoir exécutif », l’extraction de l’élection de représentants de la nation au suffrage universel, pour les faire élire par d’autres simples élus locaux, l’accaparement de la souveraineté populaire du peuple, confinée entre les mains d’un pseudo-monarque est manifeste en côte d’ivoire

*- Le présent «1er N’KOUMA-2021 » ci-dessous Transporte nos vœux les meilleurs.

 

Le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, mais la côte d’ivoire, n’est plus elle-même. En ce moment précis de notre jeune histoire d’existence étatique souveraine, nos valeurs sociétales sont en périls, la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement est obstruée. La gouvernance conforme à la moralité internationale voulue par le père de la nation Félix Houphouët Boigny est prise en otage. Le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociopolitique sans lesquelles aucun développement n’aurait de sens humain, oui, la restauration de  notre pays dans son statut atavique d’Havre de paix, de droit, de respect des différences, de démocratie, sont devenues une illusion pour le peuple ivoirien, un objectif recherché par les ivoiriens mais inatteignable pour la côte d’ivoire. Hélas ! Répétons-nous encore ici, il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger avant la phase terminale de sa noyade. Il ne faut pas se leurrer, la côte d’ivoire se noie dans l’océan des nations civilisée. Il y a danger, il y a péril, et il y a mort sciemment et habilement préparée par désocialisation, à l’horizon pas très lointain, du destin ivoire dans le concert des nations civilisées. Oui, le peuple ivoirien n’est plus acculturé, mais, il se dénature, il se désocialise, il se dépayse progressivement dans son pays. Oui, nous ne changerons rien du déjà dit : Il faut au peuple ivoirien de tous bords à rang serré, compact, et rafistolé a jamais, épaules contre épaules, coudes-à-coudes, côte-à-côte, mains dans les mains, dans une révolution citoyenne absolue du peuple entier, pour arrêter cette dynamique perverse, démoniaque, dictatoriale, d’Alassane Ouattara, pour la régulation sociopolitique et pour se défaire de l’engrenage qui risque d’être fatal à l’arrivée dans quelques petites Années. Oui, il faut au peuple ivoirien une révolution synergique, « la science politique définit ce mot par un changement radical de régime ».

 

Donc il s’agit pour l’ivoirien d’engager un bras de fer avec Alassane Ouattara et sa dictature. Alassane Ouattara et son système ont la réputation d’être intraitables, durs et cruels. Nous savons que la vérité crue et nue, n’est jamais aimée dans notre pays la côte d’ivoire. Les gens préfèrent le saupoudrage des maquignonnages, le maquillage des ivraies et les litotes caressant dans le sens des poils, qui élude ou masque l’essentiel sociétal. Or la côte d’ivoire évolue vers le chaos social total avec les armes comme mesure de valeur sociopolitique, surtout le «je peux tuer il n’y aura Rien !» comme valeur sociopolitique. Comme en Centrafrique, sinon comme en Syrie de la Russie, qui est déjà présente dans ce pays. «En Centrafrique une partie de la population à voter ce dimanche pour élire un président de la république qui serait déclaré démocratiquement légitime et juridiquement légal, malgré l’absence aux urnes de près des trois quarts du territoire, qui restent sous le contrôle de groupes armés». Ce qui s’est passé en Centrafrique est tout sauf une élection démocratiqu, «à l’image de la côte d’ivoire de 2011». Ce n’était qu’un rassemblement de Vautours dans les décombres d’une nation déchirée et mise en lambeau ou chaque vautour s’efforçait de protéger ses parcelles d’intérêt politiques ou étatiques, cela au mépris du peuple Centrafricain. La seule présence d’intérêt pour le peuple de la Centrafrique, «du président David Dacko victime d’un coup d’état organisé par un certain Jean Bédel Bokassa le 31 décembre 1965», dans ce capharnaüm kafkaïen chez pétaudière, est la présence des Nation Unies, qui voulait absolument une interface pour pouvoir limiter les dégâts, pour qu’ils ne débordent pas dans tout le pays, et dans toute la sous-région.

 

Bon ! Se laisser trimbaler ou entrainer aux législatives de 2021 ? Soit ! Mais l’organisation dans un climat de paix, des élections législatives en mars 2021 ? Non ! L’organisation, dans un climat obscurantiste de trucage pour arriver des morts et des morts, toujours des morts et on recommence les mêmes choses aux élections locales. C’est de cela qu’il s’agit ! La côte d’ivoire évolue vers de grands risques de chaos sociopolitiques plus pire que celui de la Centrafrique. Avec des bouleversements sociaux : « les tueries au quotidien, la justice effrénée du plus fort, les armes comme mesure de valeurs sociopolitique, des élections de façades, l’impossibilité de vraie réconciliation nationale, l’exclusion politique schématisée, le tissus sociopolitique en lambeau, les fibres communautaires sectionnées, la chasse aux sorcières, les persécutions politiques, le harcèlement moral, l’escroquerie morale et intellectuelle, l’obstruction à la paix sociale, le mépris ostensibles des droits inaliénables et pour les liberté individuelles, etc.» Ceci n’arrive pas en grande vitesse dans une société autrefois paisible, mais petit-à-petit et progressivement, a la remorque des non-droits manifeste d’un pouvoir déviant. Donc, ces bouleversements sociaux disons-nous, seront soutenus et entretenus par le duel des clans politiques composites qui ont déjà germé dans notre pays, pour l’exercice du pouvoir d’état. Et provoquera l’amoralité qui a déjà pris pieds et la criminalité déjà devenue la règle dans la gestion des affaires publiques. Et un émiettement du pouvoir politique et institutionnel entre de multiples centres d’intérêts claniques et partisans, qui grâce aux armes «fusils», devenues l’unique mesure de valeur sociopolitique, ne seront plus en mesure de s’entendre autour des intérêts disparates, éparses des uns et des autres. Ou tout serait clanique, dans l’administration publique, dans les corps paramilitaire et dans l’armée dite républicaine, l’ébauche est-là. Un Ami pas des moindres en politique mondiale nous a récemment dit ceci : Vous déployé trop d’efforts dans les analyses doctes esthètes et pertinentes, vos positions cadrent souvent avec l’universelle, mais il va falloir que vous vous poser la question de savoir est ce que de l’autre côté leurs armes « fusils » tiennent comptent de vos argumentations universellement audibles et intelligibles. Le problème est-là. 

 

Et les conséquences ou le résultat de ces bouleversements sociopolitiques suscité, dans un duel de clans sur un tapis glauque et visqueux seront terrifiant a l’image de la Centrafrique: Ou, chacun tirera de son côté, n’importe comment, en épiant les autres différences dans les décombres d’une côte d’ivoire pillée de toutes ses ressources naturelles souveraines, économiques, à l’image de ces rapaces rassemblés autour d’une proie en décomposition avancée, en se battant parfois avec leurs semblables, en cohabitant avec eux le reste du temps, dans l’attente du coup de poignard fatal bien administré dans le dos des uns par les autres. Mais surtout en s’alliant toujours contre ceux qui ne font pas partie de leur monde. Donc en s’efforçant de, porter au crédit des autres différences, les désastres qu’ils déclencheront dans la société commune, afin de se poser en sauveurs et de préserver leurs intérêts mafieux. C’est une évidence, oui, après la catastrophe d’un passage en force à la présidentielle du 31 octobre 2020, on invite et on ira aux élections législatives en Mars 2O20, et après quelques dizaines ou centaines de morts, suites a des contestations, on serait encore invité et on ira aux élections locales en attendant un autre hécatombe, une autre catastrophe en 2025. C’est du classique ! Donc rependre la boue et oblige les honnêtes citoyens et tous les passants à patauger dans cette boue et ensuite s’écrier d’une voie sournoise, à l’endroit de tout ce beau monde salie, en disant regardez les, ces gens-là, comment ils sont sales, allez crever en enfer fichus sales mecs. Oui les ébauche de cette catastrophe sont là, avec le pouvoir Alassane Ouattara, en témoigne, des morts et des morts toujours, des morts comme Rien et on recommence les mêmes choses pour arriver à des morts et des morts, toujours des morts comme Rien. Le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience mais la côte d’ivoire, n’est plus elle-même. La côte d’ivoire ne fait plus partie des nations paisibles du monde.

 

Donc, l’essentiel sociétal est en jeu, avec l’engrenage mortifère actuel, il nous faut la constance dans l’action de lutte, le rigorisme dans les positions politiques, la fermeté extrême face au pouvoir prédateur, le synergique dans le combat en non-stop et souscrire volontiers au risque qui sied, en politique à l’affirmation sans retenue des idéaux fortes. La jeunesse ivoirienne s’est déjà montrer capable d’une telle œuvre au cours des cinq (5) derniers mois. Oui elle a prouvé qu’elle est prête. Elle ne demande que la bonne direction indiquée par les gyroscopes. « Il faut noter ici pour mémoire, que l’un des pouvoirs les plus militarisés de l’Afrique d’après l’indépendance était le pouvoir du général Moussa Traoré du Mali, 1969-1991. D’où la loi est toujours restée aux armes Fusils. Et ils le disaient avec fierté, que c’est leurs armes «fusils» qui les ont mis au pouvoir, que personne au monde ne peut les prendre ce pouvoir acquit par les armes. La loi était les armes, les juges étaient les grades «épaulettes». C’est pourquoi, de la démocratie, le tout puissant Général Moussa Traoré, a rétorque au Président Français a la Baule, qu’il faut laisser l’Afrique aller à la démocratie à sa manière, et à son rythme, le Grand Mitterrand a n’en tiqué un coup. Mais ce tout puissant général d’Armée, qui mérite son Nom, a été emporté par la lutte soutenue, sans concession du peuple Malien révolté dans la Rue Opposante consensuelle et équilibriste critique. C’est ainsi que face à la Rue incontrôlable, un colonel Amadou (Toumany Touré), (fort de ses Gros-Gros-Fers) a été contraint à un salut militaire, hors du commun, devant son général à lui, debout glacial (du haut de ses godasses biens pesantes) un matin. Et d’ainsi laisser la place à la question nébuleuse, rester sans réponse, (qui a donné l’ordre de titré sur les manifestants) ? Le peuple Malien venait de payé le prix de sa liberté au terme d’une révolution de référence».

 

Bon ! Ici les choses sont différentes, la côte d’ivoire ne peut pas avoir un «Colonel Amadou Toumany Touré» de 1991, avec ses godasses bien mesurée à l’aune du républicanisme réel, de parachutistes saint-cyrien, qui était conscient qu’une armée nationale est d’abord pour le peuple, et avant tout au service du peuple. Toute chose que les fantassins de 2002 ignorent ou ils n’en ont pas besoin, Alassane Ouattara les suivi… Donc en côte d’ivoire, le pouvoir d’Alassane Ouattara, est sûr de son fait, cette confiance devenue orgueilleuse en lui-même, qui résulte de l’inconstance de l’opposition dans la lutte politique, de la passivité temporaire par interruption régulière dans la lutte citoyenne pour des motifs d’intérêts, politiques, donc, de l’inertie momentanée dans l’actions politique active et conjuguer devenue non-linéaire, cette confiance devenue orgueilleuse n’est donc due à une quelconque force politique, ou une quelconque force idéologique, ni à une quelconque force naturelle ou morale, ni due à la popularité de la politique clanique protectrices des intérêts particuliers d’Alassane Ouattara, ni à sa politique économique dirigiste criminelle, qui écrase le petits moins nantis au pied des grands intérêts mafieux, ni à leurs propres popularités électorales. Hélas ! Cette confiance devenue orgueilleuse, en lui-même est la conséquence du manque de constance incisive soutenue dans la lutte politiques de toute opposition, et le manque indéniable de combat démocratique actif, conséquent, de ses adversaires politiques devenus trop malléables, trop docile, trop juridique que politique, dans les rapports de forces dans l’arène politique, qui appellent très souvent le charbon.

 

C’est pourquoi, Alassane Ouattara à exécuter avec maestria, son schéma de confiscation du pouvoir d’état à la perfection. Dans lequel une priorité absolues est donné a la dernière phase pour qu’elle soit l’étape de la mise a Genou pour demander la libération des hommes politiques pris en otage, par Alassane Ouattara président de la république, reconnu comme tel, et imposé comme tel. Dans l’histoire de l’Humanité, un pouvoir comme celui d’Alassane Ouattara, chambre à Gaz anti-droit, pourri, malhonnête, mafieux, soutenu par un groupe d’hommes ripoux, affairistes, sauteurs, sans foi, ni loi, n’a jamais renoncé volontairement de lui-même a ses privilèges indus. C’est connu de tous dans monde politique et dans le grand milieu judiciaire mondial, qu’Alassane Ouattara ne recule devant aucune catastrophe sociopolitique, quand il s’agit de son schéma de régner par la force des armes et de protection hermétique contre vent et marrée de ses intérêts politiciennes partisans. Alassane Ouattara en quête réelle de monarchie ne doit pas exercer son troisième mandat illégal et illégitime sur la tête des ivoiriens. Le processus électoral en côte d’ivoire, inscrit dans un système néo-monarchiste hybride, débridé et bâtard par Alassane Ouattara, évolution vers un système de monarchie absolue. Qui échappe lamentablement au système de la démocratie du suffrage universel direct. La politique bien comprise, est une science exacte et un noble Art de grande sagesse. Le système électoral ivoirien en plus des trucages à ciel ouvert au mépris des droits, tend inexorablement vers la dénaturation de la démocratie du suffrage universel direct, qui est la manifestation incontestable et indéniable «du pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple».

 

Oui, avec le parrainage des candidatures, qui est le trucage électoral a la vogue actuellement en Afrique, imposé en lieu et place d’un citoyen une voix électoral, la désignation de certains membres du Sénat «pouvoir législatif» par le président de la république «pouvoir exécutif », l’extraction de l’élection de représentants de la nation au suffrage universel, pour les faire élire par d’autres simples élus locaux,  «C’est ainsi, que les deux tiers des 99 membres du Sénat, soit 66 sénateurs sont élus, non pas au suffrage universels direct par le peuple, mais bien par des élus locaux et nationaux, le tiers 33 membres du Sénat restant est nommé par Alassane Ouattara. Via la prescription monarchiste de la nomination présidentielle d’un (1) Sénateur dans chacune des 33 régions de côte d’ivoire. Marquant ainsi la présence de la main du pouvoir exécutif, dans le pouvoir législatif, dans chacune des 33 régions du pays. La majorité présidentielle est ainsi d’emblée acquise au congrès des deux chambres réunie. Bidonnage clownesque et pantalonnade ubuesque à chez-nous pays sous un monarchisme». Au surplus surtout la politisation nationale des rôles des dépositaires des Us et coutumes locaux, gardiens incontestés des traditions communautaires locales, «les Rois et chefs traditionnels locaux fonction hautement morale»  sont manifestement ressortissants de l’accaparement de la souveraineté populaire du peuple, confinée entre les mains d’un pseudo-monarque. Et tous les pouvoirs trouvent ainsi leurs siège dans le pouvoir exécutif, la séparation de pouvoir se trouve anéantie par le jeu électoral, dans un système devenu néo-monarchiste hybride, débridé et bâtard. Ainsi le pouvoir exécutif devient monarchiste. Seuls les ivoiriens, tous ensembles feront la côte d’ivoire 2021. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

Citoyen ! Détaché du classique ce «1er N’KOUMA-2021 » Transporte nos vœux les meilleurs pour 2021 a tous.

 

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).   

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28 décembre 2020 1 28 /12 /décembre /2020 01:52
Lepetitfils : Au terme des discutions, si on doit revenir à l’application de la décision « les arrêts de la Cour Africaine des droits de l'Homme et des peuples (CADHP) », il faut d’emblée la renonciation stricte à tout titre qui résulte de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, qui a violé ces décisions de la Cour Africaine des droits de l'Homme et des peuples (CADHP). Cette élection du 31 octobre 2020, ne saurait être exemptée ou dédouanée, de l’exécution de ces décisions irréfragables, Non !!! Ce serait inconstant, incohérent, in-concret et très versatile.

Lepetitfils : Au terme des discutions, si on doit revenir à l’application de la décision « les arrêts de la Cour Africaine des droits de l'Homme et des peuples (CADHP) », il faut d’emblée la renonciation stricte à tout titre qui résulte de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, qui a violé ces décisions de la Cour Africaine des droits de l'Homme et des peuples (CADHP). Cette élection du 31 octobre 2020, ne saurait être exemptée ou dédouanée, de l’exécution de ces décisions irréfragables, Non !!! Ce serait inconstant, incohérent, in-concret et très versatile.

*- Citoyen !  Danse amicalement ma musique de fête, ligne par ligne. MERCI !

MUSIQUE ! Une fête d’Anniversaire en ce moment de deuil parce que, l’élection présidentielle qui devait être logiquement une fête nationale en 2020, à tourner à une nouvelle catastrophe nationale pour la côte d’ivoire. Un Théâtre d’ombre de sorcellerie électorale, maléfique et satanique sur les corps de plus de 150 personnes Morts zigouillés. Ou pour la première fois dans l’histoire du pays de «pas une seule goutte de sang versée» nous avons vu un être Humain dans la fleur de son âge, «N’guessan Koffi  Toussaint» inhumainement décapité vivant, et ses bourreaux ont joué au Foot avec sa tête à visage découvert, rassuré qu’ils sont de l’impunité, parce que commandité par le pouvoir. Ce nouveau ballon de foot du troisième mandat d’Alassane Ouattara, «pouvait être ma tête, pouvait être ta tête, pouvait être sa tête et pouvait être la tête de chaque ivoirien en quête de droit». Nous n’avons peut-être pas conscience mais la côte d’ivoire, n’est plus elle-même. La côte d’ivoire se noie petit-à-petit dans l’océan des nations civilisée, elle a perdu lamentablement son identité atavique. La côte d’ivoire est tombée très bas, la Côte d’Ivoire coule, la Côte d’Ivoire est devenue un pays de merde, dans le concert des nations policées. La côte d’ivoire a passé de l’état de tourbillon à l’état de tempête cyclonique extrêmement mortifère.  La côte d’ivoire n’est plus dans le sombre mais elle est dans l’obscurité funeste. La côte d’ivoire offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive de toutes sortes. Une société ou en lieu et place de « pas une seule goutte de sang humain versée sur le sol ivoirien », dans l’œuvre de confiscation du pouvoir d’état, on fait sciemment décapité des jeunes gens en quête de leurs droits. Et hélas ! Le jour meilleur ne semble pas être pour demain. Et c’est vraiment dommage pour le pays de Félix Houphouët Boigny, ainsi devenue le lieu de toutes les bestialités d’animosité, réduit à la quête de son identité Atavique et de sa souveraineté étatique, confisqué entre une main qui reçoit directives et ordres de extérieurs.

Nous avons toujours dit et répété que, les vraies dictatures pures et dures naissent la plupart des temps souvent avec la complicité d'une petite partie très minoritaire des peuples, et sous l’aval d’une démocratie de façade, Appuyer en cela par l’inculcation du culte aveugle de la personnalité et le panurgisme politique qui s’en suit, et qui conduisent les peuples au chaos social sempiternel. La dictature d’Alassane Ouattara trône sur la côte d’ivoire grâce à moins de 10% du peuple ivoirien. Le peuple souverain ivoirien doit pouvoir chasser Alassane Ouattara et son pouvoir maléfique, satanique, démoniaque et diabolique, mortifère qui opère de façon insidieuse. Nous, nous sommes convaincu que le salut de la côte d’ivoire viendra du peuple souverain ivoirien, et que  si la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle, certains comportements anti démocratique sont à bannir et le fondement de cette démocratie doit être le droit dans toute sa rigueur, avec des citoyens qui respectent les règles démocratique préétablies et les normes de régulation sociale accepter par tous, sources d’harmonie et de convivialité sociale. Les armes ne doivent pas avoir droit au chapitre, dans la lutte politique, démocratique et électorale, dans l’arène politique et dans l’espace public. Notre pays est tombé dans l’animosité de la loi de la jungle, grâce à la mère de toutes les dictatures en Afrique, qu’est incontestablement la volonté de certains dirigeants Africains à s’incrusté au pouvoir d’état, via un comité de despotes Africains, qui veulent s’éterniser au pouvoir d’état avec le soutien des grands usuriers internationaux, desquels ils reçoivent ordres et directives.

Le tout de cette pantalonnade ubuesque de potentat orchestré, soutenu et rafistolé par des normes de régulation sociopolitiques controuvées, «des constitutions monarchistes véritable capharnaüm, modifiables à souhait et a volonté du monarque despote, des codes électoraux kafkaïenne d’accaparement de la souveraineté populaire, d’où les prescriptions a la vogue sont les privations de droits civils et politiques, et surtout le parrainage des élus temporaire, en lieu et place d’un citoyen une voix électorale». Toutes ces normes suscitées sont assujetties aux monarques despotes, qui sont toujours maitres absolus des fameuses commissions électorales estampillées «indépendantes» dès lors, qui ne jouent plus leur rôle d’arbitre. Et aussi qui sont toujours maitres absolus des juridictions politiques «conseils constitutionnels» qui ne disent plus le droit, et se contentent de farfelues élucubrations judiciaires pour demeurer dans les grâces des monarques despotes. Des monarques bouffons encapuchonnés dans un comité de despotes Africains qui a pris la côte d’ivoire comme le siège des dictatures totalitaires d’Afrique et le secrétariat général de ce comité des despotes. Nous n’avons peut-être pas conscience mais la côte n’est plus elle-même et elle ne serait elle-même qu’avec les efforts synergiques et conjugués de,  Tous ensembles !

*- Dans perspective d’un nouveau Tango mortifère, sous la musique des Kalachnikovs au prix de morts.

Hélas ! On veut aller aux élections législatives, sous une présidence de la république qu’on a boycottée au prix de plus 150 morts, et dans la continuité du même système de troisième mandat d’Alassane Ouattara. Pourquoi avoir boycotté ce non-droit, si enfin de compte on peut s’accommoder avec lui ? « Cohérence et Objectivité sont mise en jeu». La côte d’ivoire  a besoin d’une cassure systémique et d’une fracture institutionnelle, pour arriver aux institutions réellement républicaine. Ce n’est pas en allant à n’importe quel élection, qu’on arrivera à la rupture systémique avec l’ordre Ouattara, ou on arrivera à s’affirmera citoyen libre, sinon on arrivera à peser davantage sur les choix de société, qu’on veut vivre en commun. Oui, sachant d’emblée qu’en allant à n’importe quelle élection, on s’impose tacitement n’importe quel résultat électoral édictés, on est encore prêt à aller à des élections législatives ou après une proclamation des résultats téléguidés depuis le palais présidentiel, le peuple souverain serait obliger encore de danser le Tango funeste et mortifère, de la musique des bruit de Kalachnikovs au prix de morts. Et adviendra en nouveau, le terrorisme judiciaire au service de l’intimidation politico-électorale savamment orchestrée, par la camarilla guerrière, mafieuse, Hold-up-iste, kidnappeur, confiscatoire, de trucage et de diversion. Et de créer ainsi un nouveau terrain conflictuel de confrontation sociopolitique mortifère dans le domaine électorale, soutenu par son mépris hautain affiché pour des valeurs démocratiques universelles.

C’est une évidence, ne pouvant fortifier autrement le pouvoir d’Alassane Ouattara creuset d’incompétences de courtisans ignares, qui dévalorise la représentation nationale dans le concert des nations, n’a d’autre moyens que d’essayer de justifier ses crimes contre l’humanité et sa répression systématique par des élucubrations judiciaires sophistes et pleins d’Apories, soutenus par toutes sortes de violences envers la jeunesse en quête de situation atavique respectueuse des droits, des libertés individuelles, et de la démocratie réelle. Oui, Allons aux élections législatives dit-t-on ? À quelle condition différente de celle d’avant 31 octobre 2020 ? Et qui effacera celle-ci ? Allons aux législatives dans ce pays aujourd’hui pris en otage par un pouvoir et ces hommes beaucoup plus soucieux des pactoles à amassés injustement au prix du sang et de la vie de nos concitoyens, que de l’exercice du pouvoir d’état, qui a par essence, pour but de servir, et non se servir. Ce pouvoir d’état qui ignore tout des grands et nobles œuvres de nos devanciers, qui pendant longtemps se sont battus pour donner une notoriété, une noblesse et une dignité, qu’on a reçu en héritage. Comment comprendre que notre pays la côte d’ivoire, autrefois vitrines de l’Afrique, «notre chère Afrique», et pays de paix reconnu de comme tel de par le monde, ou la solution à tous les problèmes quels qu’ils soient se trouvait dans la concertation nationale, dans l’union de tous et dans le consensus populaire, soit subitement devenu aujourd’hui l’exception où l’arbitraire aveugle tient force de loi.

*- Oui, comment aller aux élections législatives ???

Allons aux élections législatives aux prix de combien de jeunes, combien d’enfants sans pères et/ou de mères, et combien de temps notre peuple devra-t-il continuer à souffrir et à peiner, pour que quelques-uns puissent avoir un compte de milliers de milliards à la banque. Combien de temps devons-nous encore attendre pour voir des jeunes ivoiriens déterminer, qui dégonfleront le mythe de l’intransigeance de ce pouvoir opprimant, qui se croit à son invincibilité, qui aiment voir couler le sang des jeunes, versé chaque jour dans les rues de la Côte d’Ivoire ? Combien de temps devons-nous encore attendre pour voir les jeunes creuser la tombe, où ils enseveliront définitivement ce pouvoir dictatorial et sanguinaire, qui tire à balles réelles sur des pauvres jeunes aux mains nues ? 150 morts, zigouillés pour une seule élection présidentielle. Des jeunes morts zigouillés, qui ont les mêmes attributs de droits, les mêmes attributs de liberté et les mêmes attributs naturels, qu’un chef d’état, qu’un président de la république, qu’un premier ministre, et qu’un ministre. Combien de temps devons-nous encore attendre pour voir ouvrir sur un autre soleil les yeux de nos sœurs et frères et de nos filles et fils sur cette terre  que nous ont légué nos chers ancêtres ?  Combien de temps devons-nous encore attendre pour voir un peuple nouveau et soucieux du bien-être de ses jeunes se lever ? En attendant ce jour allons aux élections législatives ??? Oui, élections législatives ???

Il faut le souligner tout net,  dans un combat politique à la vie libre et pour la vie libre, il n’y a pas plus indiqué que de prendre de face le taureau par les cornes, advienne que pourra et le peuple ivoirien en est capable à l’instar de tous les peuples martyrisés du monde. D’où, les sociétés humaines progressent non pas de façon linéaire, mais par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre. Ceci est valable pour la société ivoirienne, si nous « ivoiriens » devons être crédibles aux yeux du monde, il nous faut montrer notre capacité à faire bouger les lignes sociopolitiques en côte d’ivoire, en s’inscrivant résolument dans une lutte de cassure et de fracture systémique. Il faut être pointilleux et sourcilleux, quand il s’agit de réelles discussions politiques dans le respect du droit et des règles. C’est-à-dire, qu’au terme des discutions politiques, si on doit revenir à l’application de la décision « les arrêts de la Cour Africaine des droits de l'Homme et des peuples (CADHP) », il faut d’emblée la renonciation stricte à tout titre qui résulte de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, qui a violé ces décisions de la Cour Africaine des droits de l'Homme et des peuples (CADHP). Cette élection du 31 octobre 2020, ne saurait être exemptée ou dédouanée, de l’exécution de ces décisions irréfragables, Non !!! Ce serait inconstant, incohérent, in-concret et très versatile.

C’est le lieu ici, à la danse fêtarde, EN CE JOUR DE MON ANNIVERSAIRE, et au constat de la prise de force du pouvoir d’état par Alassane Ouattara, le pouvoir qui devait légalement et légitimement retourner dans le peuple souverain, au délai légal prescrit, de lancer un Appel à tous de par le monde, d’aider la côte d’ivoire a arracher le pouvoir du peuple a Alassane Ouattara, de faire retourner le pouvoir du peuple, dans le peuple souverain, afin que ce peuple donne son pouvoir de droit, à qui il veut et quand il veut. C’est de droit inaliénable des peuples a disposé d’eux-mêmes ! Oui, tous ensembles, sans abdication, sans reddition, sans capitulation et sans se plaire dans le rôle d’appoint éternel de l’arbitraire de non-droit, nous réussirons à changer notre pays. Citoyen ! Aujourd’hui c’est la fête ! Et dansons !

MERCI A TOUS DU SOUTIEN DANS LA FËTE DE MON ANNIVERSAIRE EN CE MOMENT DE DEUIL !

OUI, MERCI ! MERCI ! Et MERCI !

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22 décembre 2020 2 22 /12 /décembre /2020 18:40
Lepetitfils : Il est question de pouvoir se défaire de l’engrenage qui peut être fatal. Le pouvoir d’Alassane Ouattara ne tiendra aucune promesse mise à part la confiscation du pouvoir dans la durée, pour lui et ses princes nébuleusement désigné.

Lepetitfils : Il est question de pouvoir se défaire de l’engrenage qui peut être fatal. Le pouvoir d’Alassane Ouattara ne tiendra aucune promesse mise à part la confiscation du pouvoir dans la durée, pour lui et ses princes nébuleusement désigné.

*- Le consensus politique anéanti les troubles conjoncturels à l’ordre public.

 

Aujourd’hui, il est regrettable et nous le regrettons, que quelques engouements soient perceptibles ou des intérêts soient manifestes, pour l’appel d’Alassane Ouattara au dialogue en vue des élections législatives à venir. C’est vraiment dommage ! Parce que, Alassane Ouattara est très conscient que, pour qu’il arrive à ses fins de renard libre et hallucinant, dans le poulailler libre et halluciné, qu’il lui faut une majorité parlementaires à n’importe quel prix, comme à la présidentielle, dans les deux (2) chambres parlementaires, avec des députés suivistes a sa solde, à l’Assemblée nationale et au sénat, devenus ainsi automates de formalité d’enregistrement dans l’exécution de ses projets. Sinon, le trucage de la présidentielle du 31 octobre 2020, n’aura pas de sens. De la quelle une réelle crise de légitimité en résulte aujourd’hui, la grande majorité des ivoiriens et le monde civilisé ne se reconnaissent pas dans cette élection. Et surplus de par les engouements et intérêts, affichés pour les élections législatives adviendra a tout prix une majorité factice ou fabriquée au congrès au service d’Alassane Ouattara. Donc deux (2) chambres automates d’enregistrements que la majorité des acteurs politiques de l’opposition et le peuple souverain dans sa très grande majorité vont encore contester. Le schéma stratégique actuel du pouvoir d’Alassane Ouattara consiste à ne rien céder à l’opposition, au mépris du droit et en dépits des règles universelles démocratiques. Ce schéma stratégiques controuvé est en parfaite conformité avec celui de 1999-2002-2011-2016-2020, ou la mesure de valeur sociale est resté aux armes  «fusils» en côte d’ivoire.

 

C’est une mauvaise appréciation de la situation sociopolitique et des faits sociopolitiques récents des cinq (5) derniers Mois, de penser qu’en discutant, avec le troisième mandat Alassane Ouattara, qu’on règlera quelque chose de concret. Non ! On ne réglera Rien de sérieux, qui s’oppose au dessein d’Alassane. On ne réglera aucun problème de droit, qui affaibli le pouvoir d’Alassane Ouattara. On ne créera aucune condition pour les élections législatives, ou Alassane Ouattara a l’obligation de sortir majoritaire. L’ivoirien ne doit plus se leurrer la côte d’ivoire ne s’en sortira que de par sa capacité à faire pièce dans un face à face électrique d’une révolution orange ou, «Fumée, Feu, Flamme, Casse du bien public et accessoires se dispute la vedette » a l’arbitraire du troisième mandat d’Alassane Ouattara, devenu ostensiblement et orgueilleusement, sourd, muet a occasion et aveugle. Oui, pour la côte d’ivoire, le citoyen à le devoir de rééquilibrer la balance sociopolitique de la représentativité nationale, et de la mesure de valeur social, qui ne doit pas être Dieu l’Argent, ou les armes «fusils». Il faut se détromper, parce que, personne d’autre, ni même un dieu, ne viendra résoudre de façon magique, les problèmes sociopolitiques de la côte d’ivoire face à Alassane Ouattara, en lieu et place des citoyens ivoiriens eux-mêmes. Cette solution exige des sacrifices du don de soi, qui ne tombera pas de lui-même du ciel. Donc, osons prendre le taureau par les cornes en affrontant Alassane Ouattara autrement, pour changer notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Au cas contraire l’ivoirien sera réduit à court terme à l’état d’un Cabri « Bouc » du désert entre les mains d’un boucher sahélien.

 

Oui à dire vrai, en regardant la situation sociale ivoirienne, à la lampe des lumières des faits sociopolitiques passés, on voit aisément et clairement aux prismes des réalités, qu’il n’y ’aura pas de réconciliation vraie entre peuples ou entre des groupes sociaux, si les dés son bipés. Aussi qu’il n’aura pas non plus de dialogue politique sincère, inclusif, républicain possible entre opposition politique et pouvoir politique d’état, quand les jeux sont truqués d’avance, par des conditionnalités d’intérêts politiques partisanes. Ceux des ivoiriens qui croient encore à la réconciliation nationale, version et option d’Alassane Ouattara, qu’ils ne se leurrent pas, non ! Il n’y aura pas de réconciliation nationale, qui entrave le dessein d’Alassane Ouattara ou les intérêts politiques d’Alassane Ouattara. C’est connu de tous dans le grand milieu judiciaire mondial, qu’Alassane Ouattara ne recule devant aucune catastrophe sociopolitique, quand il s’agit de son schéma de régner par la force des armes et de protection hermétique contre vent et marrée de ses intérêts politiciennes partisans. La version et l’option de la réconciliation nationale d’Alassane Ouattara, astreint les autres composantes sociales et le peuple souverain ivoirien au summum de tous les Foutages de Gueule, de tous les foulages au pieds des droits et libertés, et de tous les fouages démocratiques et électoraux, d’un état paria, d’un état policier, et d’un voyou, a l’image de sa classe dirigeante d’étatique, chapeauté par le pseudo-Roi, devenu le renard libre dans poulailler Halluciné.

 

L’intention du pouvoir de, Ouattara est trop claire, et trop manifeste, une monarchie républicaine en ébauche. Ce système anti-droit et chambre à Gaz des libertés d’Alassane Ouattara s’est inscrit sur le registre des fossoyeurs de la démocratie. Sinon comment réclamer les discutions politiques à l’opposition ivoirienne après les avoir refusé catégoriquement la même demande de dialogue, avec une intransigeance hermétique, quelques mois seulement après. Et ensuite d’œuvrer à occasion dans l’Euthanasisme politique de ces partis de l’opposition majoritaire avec des arrestations arbitraire, et la chasse à l’homme après une non-élection reconnue par le monde entier, le tout soutenu par la dépravation des mœurs sociopolitiques. Oui, Alassane Ouattara se fout du peuple ivoirien, on n’a pas besoin des lunettes expertes pour savoir que dans une société humaine organisée, régis par des normes juridiques de régulations sociales, il est des agissements qui dénotent, non seulement le ridicule politique, mais la bassesse d’ambitions perverses, démoniaques, en ce sens que ces agissements sont porteurs de périls pour leurs auteurs et pour la nation entière. Comment Alassane Ouattara peut-t-il prétendre respecter le sens des règles démocratiques, les principes de droits, la culture de justice et violé ostensiblement la constitution qui les prescrits, et téléguider sans gêne les entorses répétées aux principes démocratiques et électoraux depuis 2011 ?

 

Des non-droits électoraux manifestes, qui ont entrainé une lourde honte de l’intelligentsia ivoirienne dans le concert des nations civilisées. Et une désapprobation que cette situation sociopolitique abracadabrantesque a suscité, pas seulement en Côte d’Ivoire, mais partout dans le monde civilisé. Non ! Alassane Ouattara s’est foutu et se fout du peuple souverain ivoirien. Bon ! En politique, un système politique mafieux et voyou, peut chercher à brouiller les pistes de droits inaliénables du peuple, en n’accaparant la souveraineté populaire, via les jeux des normes juridiques positives et des élucubrations judiciaires qui s’en suivent, il peut entretenir l’amalgame sur les règles démocratiques universelles et il peut semer la confusion dans les esprits, mais il ne peut pas convertir le faux en vrai, l’illusion en réalité, le vice en vertu, au point de justifier que les viols répétés des normes juridiques constitutionnelles et l’accaparement de la a souveraineté populaire du peuple sont du droit. Et que la légitimité citoyenne populaire à exprimer dans les urnes transparentes, peut être supplantée par la volonté  électorale exclusive d’un pouvoir. Le peuple souverain ivoirien, doit veiller, à ce que sa soif de liberté, de justice et d’égalité, ne s’accommoder pas avec les violations intempestives de la constitution et avec l’usurpation éhonté de fait, de la légitimité populaire, de l’accaparement ostensible et de la revendication de cette souveraineté populaire, par les acteurs de la confiscation du pouvoir d‘état. Avec Alassane Ouattara la criminalité devient œuvre politique.

 

Oui, Alassane Ouattara et son pouvoir persiste dans sa logique périlleuse à la tête de la côte d’ivoire : Ne pas résoudre les crises, mais les aggraver sciemment, à dessein de confiscation du pouvoir d’état dans le temps. Sa pratique politicienne préférée, et avérée comme source de dévalorisation de la représentation nationale, est d’entrainer habilement l’opposition significative largement majoritaire dans le peuple souverain dans des engrenages chaotique, pour afin porter à leurs crédits les désastres sociétaux qui s’en suivent, et la carence démocratique qui intervienne logiquement. Oui le peuple ivoirien doit se détromper dès maintenant, la paix n’est pas l’absence de guerre, nous ne vivons qu’une accalmie avant de nouveaux orages périodiques ou cycliques entre 2021 et 2025 et certainement catastrophique en 2025-2030, qui n’épargneront guère personne. Tous les ivoiriens doivent alors avoir à l’esprit, la finalité sociétale de cette situation sociopolitique funeste, démoniaque, mortifère, reptilienne, enroulé autour des ressources économiques nationales souveraines et créer par un rassemblement clanique de ripoux, autour des intérêts personnels de la camarilla mafieuse a défendre. Et assis sur un dirigisme économique criminel, et comprendre comme déjà dit que nous ne vivons qu’une accalmie dans la crise sociopolitique ivoirienne avant de nouveaux orages en 2021-2030, qui n’épargneraient personne.

 

Aux constats de ces nouveaux orages à l’horizon, qui n’épargneraient personne, donc question : Quand est-ce que le soleil serait-il resplendi dans le rayon de vision sociopolitique du peuple souverain de côte d’ivoire, estampillé ultime détenteur du pouvoir d’état, pour qu’il met fin tous ensembles au prix que cela mérité au règne obscurantiste d’Alassane Ouattara. Et aux hommes politiques cooptés et candidats à la cooptation nihiliste et iconoclaste, pour qu’ils mettent fin aux entre-déchirements fratricides par reniement de soi et par cooptation du pouvoir d’Alassane Ouattara, pour adhérer tous à l’idée salvatrice de chasser ce pouvoir dans un tous ensembles, et  dans l’union de tous, en tournant ainsi le dos à la démocratie alimentaire des nains de la camarilla mafieuse du père de la rébellion armée ivoirienne de 2002. D’où l’évolution politique de confiscation du pouvoir d’état par cette démocratie alimentaire des nains de la camarilla mafieuse, bien schématisée et stratégique, dans son tout prélude une séquestration du peuple ivoirien dans un train d’enfer et de damnation, claudicant sur les rails piraté d’une nation ivoirienne surendettée, acculturée, dénaturée, appauvrie au dernier degré, vacillante et oscillante sur ses bases souveraines, sous le poids des violations de droits et des dépendances politico-économiques dans le concert des nations souveraines. Surtout assujettie au bon vouloir d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux, employeur du valet boulonner a la mamelle des ressources économiques du pays qui s’exsangue.

 

Le volcan dort désormais sur la terre de nos ancêtres, un peuple ne dort pas à vie. Le mal est là, le danger est là. La politique politicienne des intérêts égocentriques ne peuvent en rien cacher cette réalité indéniable. Mais, nous comprenons les hommes politiques cooptés et candidats à la cooptation nihiliste et iconoclaste et  certains hommes politiques déjà sous l’emprise du fonctionnement de la mafia politique ou du régime totalitaire. En effet pour ligoter psychologiquement un homme politique quel que soit sa carrure politique ou un dirigeant de parti politique quel que soit le poste qu’il occupe, ou le titre qu’il détient. Il suffit de l’entraîner dans des mensonges systémiques qui lui deviennent communs, ou dans des compromissions mafieuses, d’intérêt égocentrique, sinon dans la manipulation afin pécuniaire, mercantiliste, qui le rendront lié au processus et feront de lui le complice obligé du processus malhonnête et corrompu, dont il restera complice d’intérêt commun aux membres vautours au tour de la table des convives nocturnes de la mafia ou pour avoir trempé ostensiblement dans la casserole des bouffe-tous. C’est la base même du fonctionnement de ce genre de mafia politique, ou des régimes totalitaires du genre du pouvoir de, Alassane Ouattara. Et pire, ce genre de pouvoir mafieux et totalitaire s’arrange toujours pour porter au crédit des autres composantes sociétales, l’opposition en général, les désastres qu’ils déclenchent dans la société commune. Afin de se poser en sauveurs et de préserver leurs intérêts mafieux. C’est pourquoi il faut fermement préférer d’être Gardien du Temple quel qu’il soit, a la compromission déniant, jusqu’au Jour.

 

Mais nous sommes conscients que chacun vient sciemment en politique avec ses prétentions. Pour notre part, et conscient que la côte d’ivoire de Demain serait ce que nous ferons tous ensembles aujourd’hui, dans l’effort synergique conjugué, donc que l’avenir de la côte d’ivoire en dépend, nous sommes d’une  génération d’espoir, nous préférons un rôle d’avant-garde, que celui de l’abdication, de la reddition, de la capitulation, ou de l’appoint éternel a une dictature. Parce qu’un système d’un groupe politique décide du sort de ses adhérents assujettis à la ligne politique quelle qu’elle soit de l’employeur. Et en politique quand on reçoit par reniement ou par pitié, on perd son être, on perd son âme, on perd son peuple. Or notre génération d’espoir «enfants de l’indépendance» est un chainon de raccordement entre le passé et l’avenir, une courroie de recevoir et de transmission. Qui est astreint a un parcours aux multiples écueils et sur une Route très longue. Donc il est question de pouvoir se défaire de l’engrenage qui peut être fatal. Le pouvoir d’Alassane Ouattara ne tiendra aucune promesse mise à part la confiscation du pouvoir dans la durée, pour lui et ses princes nébuleusement désigné. Oui, Il est temps et grand temps, que les citoyens de tout bord et les partis politiques de tout bord se rejoignent maintenant et pour toujours autour de l’essentiel sociétal mise en jeu. Le mal est là, le danger est là, sauf miracle le volcan dort désormais sur la terre de nos ancêtres, un peuple ne dort jamais à vie. Alassane Ouattara demande au peuple souverain ivoirien le tout en feu, le tout en flamme, et le tout en sang, avant de partir au Diable, avec sa despotique mentalité retardataire d’exigence de soumission seigneuriale, ubuesque de potentat bouffon a sa personne.

 

Oui, en cette période sciemment créer par Alassane Ouattara à la recherche de la soumission seigneuriale, donc  cette période  de tentation forte de courber l’échine et de procéder à des génuflexions devant Alassane Ouattara. Pour avoir des postes de nominations, des titres de désignations, des titres d’élus  ressortissants des élections truquées et de parler et d’agir comme élus du peuple souverains. Nous ivoiriens, confrontés à un ensemble de violation sans précédent des droits fondamentaux de la personne humaine par un pouvoir par les armes impies et aussi opposé à des défis majeurs devenus socio-politico-économiques, nous devons œuvrer pour une société qui fait du respect de tous les aspects de la vie humaine, la valeur fondamentale, sur laquelle doit être construite toute politique sociale dans notre pays, dans le respect de notre espérance en une société paisible, harmonieuse et nouvelle, toute politique économique dans notre pays, tout développement sociopolitique dans notre pays, toute relation entre personnes humaines et toute relation entre nations souveraines, cette œuvre est un devoir absolu de citoyen. Une option citoyenne que les armes impies aux poings des fantassins rémunérés par le pouvoir d’Alassane Ouattara pour tuer et décapiter ne sauraient solder.

 

Le peuple souverain ivoirien doit Retenir, que l’ordre public et l’intérêt général s’acquièrent dans la neutralité absolue dans l’exercice du pouvoir exécutif d’état, au prix de milles efforts. Et des actions sociopolitiques qui transcendent les considérations partisanes d’une politique clanique arbitrairement immiscé dans les affaires publiques étatiques. Et que dans un état républicain de droit et dans une démocratie à essence universelle, le souci de la préservation de l’ordre public et la quête de l’intérêt général anéantissent les troubles conjoncturels à l’ordre public, orchestrées par une justice des vainqueurs de guerre, sélective, téléguidée par le pouvoir exécutif d’état. Et qu’ils proscrivent les poursuites judiciaires implacables, intempestives, véritable fabrique éternelle des dictateurs sanguinaires contre les opposants irréductibles. Et aussi ils permettent d’obvier, la répression systématique de toutes actions de l’opposition crédible, au terme des poursuites pénales téléguidées depuis le siège du pouvoir exécutif d’état. La libération du pays, notre libération, de ces maux sont au bout du combat. Tous ensembles ! *- CITOYEN ! C’EST AVEC NOS VŒUX ANTICIPER LES MEILLEURS POUR 2021. MERCI ! Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).   

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15 décembre 2020 2 15 /12 /décembre /2020 14:23
Lepetitfils : On a coutume de dire souvent en Afrique, qu’en quelque chose malheur est bon ! Aujourd’hui les ivoiriens semblent connaitre que la mère des dictatures en Afrique, est incontestablement la volonté de certains dirigeants Africains à s’incrusté au pouvoir d’état, via un comité de despotes Africains qui veulent s’éterniser au pouvoir d’état avec le soutien des usuriers internationaux. Un comité de despotes Africains qui a pris la côte d’ivoire comme le siège des dictatures totalitaires d’Afrique et le secrétariat général de ce comité des despotes.

Lepetitfils : On a coutume de dire souvent en Afrique, qu’en quelque chose malheur est bon ! Aujourd’hui les ivoiriens semblent connaitre que la mère des dictatures en Afrique, est incontestablement la volonté de certains dirigeants Africains à s’incrusté au pouvoir d’état, via un comité de despotes Africains qui veulent s’éterniser au pouvoir d’état avec le soutien des usuriers internationaux. Un comité de despotes Africains qui a pris la côte d’ivoire comme le siège des dictatures totalitaires d’Afrique et le secrétariat général de ce comité des despotes.

*- Une causerie Long et Large dans un pays de Merde sous des Valets, Boys de Luxe.

Bon ! Le schéma stratégique de confiscation du pouvoir d’état dans le temps d’Alassane Ouattara, dénoncé dans des Analyses doctes et esthètes, a franchi sa première étape le 14 décembre 2020. Il a prêté son serment pour un troisième mandat illégal et illégitime, marqué par le sceau indélébile du sang de nos plus de 150 corps, Morts Zigouillés, de nos plus de 800 blessés, et sur nos droits inaliénables de peuple souverain. La deuxième étape dénoncée dans les mêmes Analyses doctes et esthètes, qui est un quatrième en 2025, ne serait que formalité, qui découle de la première étape et la dernière étape dénoncé dans ces Analyses doctes et esthètes, une succession monarchique, ou il serait encore plus difficile de dénier toute authenticité a une souche linéaire, prêt à casser des œufs pour faire ses omelettes a lui. Oui, le système de TRUCAGE électoral d’Alassane Ouattara n’est pas de la politique mais de la vraie criminalité. Bon ! La côte d’ivoire se noie, elle coule, mais pour aujourd’hui causons.

 

Oui, il faut le noter d’emblée que d’autres citoyens logiquement trouvent nos écrits très longs. Il faut dire entre-Guillemet que, c’est la recherche de se faire entendre dans le moindre détail qui rend nos analyses longues, pour être audible, sinon ça ne sert à rien d’écrire. Aussi, il faut souligner ici, que nos analyses thématiques touchent de façon litote à plusieurs sujets. Donc, elles doivent respecter un schéma classique Mosaïque, des agencements scientifiques, et des critères techniques, il est difficile d’échapper à cette forme qu’une l’analyse thématique et objective, quand l’analyse a pour but d’éveiller les consciences, donc de faire comprendre, d’éclairer, donc de faire savoir, de débattre donc de convaincre, d’agiter des idées, donc d’orienter, dans ces cas on peut certes faire du litote, mais pas du succincte. Le maléfique et le satanique exigent l’éclairage. Oui, on ne peut pas traiter les faits d’un pouvoir maléfique et satanique avec de la litote et avec les réserves des sous-entendues. Le pouvoir d’Alassane, est un pouvoir, qui a trouver refuse dans un système ou le maléfique et le satanique, sont maitres. Donc tout son destin est lié entre les mains maléfiques et sataniques, qui sont maitre absolus de sa destinée.

Oui, de par nos longs écrits, nous espérons de la sagesse éclairée de notre éternel gyroscope Félix Houphouët Boigny, de la persévérance lampadaire de Nelson Mandela, de l’endurance luminaire de Gandhi, et du courage luminescent de Martin Lutter King, l'ampleur de la victoire remportée par ses illustres personnes par la force de la parole éclairante, doit être un exemple, un éclairage pour nous. Une espérance pour nous de pouvoir changer notre pays la côte d’ivoire d’une manière ou d’une autre. Ou les crépitements maléfique et satanique des armes impies assassines d’Alassane Ouattara, colleront la paix au peuple ivoirien pour laisser la place à l’affrontement des convictions politiques, aux frottements des idées, qui font germer la vérité désintéressée et la confrontation discursif contradictoire des hommes publics dans l’arène politique a la recherche de l’intérêt général de la nation. Nous, nous sommes convaincu que si la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle, certains comportements anti démocratique sont à bannir et le fondement de cette démocratie doit être le droit dans toute sa rigueur, avec des citoyens qui respectent les règles démocratique préétablies et les normes de régulation sociale accepter par tous, sources d’harmonie et de convivialité sociale. Les armes ne doivent pas avoir droit au chapitre, dans lutte politique, démocratique et électorale, dans l’arène politique et dans l’espace public.

Mais Hélas ! Pour des intérêts égoïstes, le pouvoir maléfique et satanique d’Alassane Ouattara et ses hommes ripoux n'hésitent pas à sacrifier l'avenir de la nation ivoirienne sur l’autel de la conservation ou de l’acquisition des intérêts égoïstes, résultants de l’exercice du pouvoir d’état. Et se faisant, ils n’accordent aucune importance à la démocratie, au nom de laquelle trop de sang innocent a été versé en côte d’ivoire. Aujourd’hui, nous sommes très proches de 10.000 Morts depuis le 24 décembre 1999 date du premier coup d’état d’Alassane Ouattara. Oui ! C’est vrai, la politique maléfique et satanique du ventre banni toute dignité, toute fierté, tout orgueil positif, pour se muer en motifs de snobisme. Ainsi avec comme support le maléfique et le satanique, l’ignorance, et la bêtise humaine se retrouvent glorifiées, et le glas de l’intelligence humaine sonné, parce que le ventre gouverne l’intellect et vive la recherche éperdue de l’endormissement du peuple, engrené dans un panurgisme suiviste d’élection de trucage moutonnier, dégrever de toute essence de légitimité démocratique, de légalité juridique.

C’est pourquoi aujourd’hui, ce qui devait être logiquement une fête nationale en 2020, à tourner à une nouvelle catastrophe nationale pour la côte d’ivoire. Une danse maléfique et satanique sur les corps de plus de 150 personnes Morts zigouillés. Parce que le pouvoir maléfique et satanique d’Alassane Ouattara et ses hommes ripoux et mafieux inscrit dans la logique des compromissions alimentaires œuvrent dans l’interpénétration des affaires mafieuses dans la politique étatique, et sont aveuglés par des intérêts égoïstes. Surtout ils n’aiment pas admettre s’être tromper a la tête de la côte d’ivoire. Comme dit plus haut « Ils accordent ainsi peu d’importance à la démocratie, au nom de laquelle trop de sang innocent a été versé en côte d’ivoire. Ils sacrifient ainsi l'avenir de toute une nation ivoirienne sur l’autel de la conservation du pouvoir d’état ou de l’acquisition des intérêts égoïstes. Ils n’accordent ainsi aucune importance au bonheur du citoyen et de tout homme vivant dans notre pays la côte d’ivoire ». Bonheur qui ne peut être réalisé sauf qu’en mettant l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental, pour l’avènement d’une société plus juste. Qui ne laisse aucun citoyen au bord de la route du progrès de la société commune, d’une société plus cohérente, d’une société plus égalitaire, d’une société plus humaine, d’une société plus solidaire et régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous et respectée par tous sans condition autres que celles prescrites d’intérêt général pour tous.

 

*- Le rôle de gourou sectaire ira à Alassane Ouattara comme un Gant.

 

« Donc, c’est ainsi que même vendu par ses propres parents avec une corde au cou qui flotte sur l’épaule derrière un acheteur d’esclave, sacrement esclavagiste venu du dessert de (Môrô-Tan-nî), quelque part en Afrique, ne peut contrarier, la nécessaire et indispensable causerie dans un pays de Merde, entre les mains des Valets, Boys de Luxe ». Donc pour rester dans la logique des premières lignes de cette « CAUSERIE », il faut ré-souligné ici, comme nous le soulignons toujours à chaque petit coup de coude reçu, en pleine course vers la paix sociale, notre position d’aujourd’hui est édictée par notre très difficiles premier choix, qui a soutenu nos premiers pas en politique en 1994, dans la crainte de l’après décès du Vieux: «préféré l’embarras matériel, dans l’aisance intellectuelle, à l’embarras intellectuel, dans l’aisance matérielle. Ni postes, ni titres, pour donner un autres sens à notre vie ». La recherche inlassable, hélas parfois ingrate, de l’intérêt général, du bien commun, et de la paix sociale Houphouët-ienne, est notre serment dès le départ. Si les postes, les titres, et le bien matériel peuvent venir à la remorque de nos actions édictées par cette position première, tant mieux pour nous. Mais nous n’en faisons pas une fixation.

 

Donc la personne physique de l’homme politique ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel. Ce qui nous intéresse en l’homme politique ce sont ses actions politiques et gouvernementales, qui décident de notre vie, qui décident de la vie de tous et qui décident de la vie de chacun. Et c’est pourquoi peut être que nous sommes exilés politiques aujourd’hui. Donc le pouvoir maléfique et satanique d’Alassane Ouattara ne nous intéresse pas. Oui ! Nous espérons de demain en refusant aujourd’hui de nous s’inscrire sur le registre du pouvoir maléfique et satanique, des fossoyeurs de la démocratie, des gens qui ne s'intéressent pas à l'homme, mais à dieu l’argent. Dans une société de criminalité économico-sociopolitique, ou tout est monnayable à un prix, même de la vie humaine. Nous refusons l’enfermement mercantiliste dans un système de pouvoir maléfique, satanique et mafieux des ripoux, parce qu’en politique pour nous si, le défi doit avoir un sens pour l’homme politique, il importe de défier le camp, du pouvoir maléfique et satanique, de l’injustice sociale, de l’arbitraire, de l’inacceptable et de l’injustifiable. Pour s’inscrire résolument sur le registre des valeurs qui fondent l’organisation d’une société commune, harmonieuse, homogène, du vivre en commun politique et démocratique de partage.

 

Oui ! Nous espérons de demain, en évitant aujourd’hui l’absurde, de la politique du pouvoir maléfique et satanique, qui ne dessine pas l’horizon d’un avenir commun et meilleur pour les citoyens, mais qui le met en danger, par des pratiques maléfiques et sataniques, des viols répétés des normes de régulations sociopolitiques préétablies. Pour nous il n’est pas sain aujourd’hui de s’afficher partisan d’un pouvoir maléfiques, sataniques, sangsues, vautours et criminel, assis sur la force des armes et d’une politique événementielle porteuse de honte dans l’avenir. Nous sommes conscient que notre pays la côte d’ivoire a plus que jamais besoin aujourd’hui des gens désintéressés pour sauver notre volonté de vivre un destin meilleur, que celui que veulent nous imposer les forces rétrogrades du mal pernicieux, maléfiques et sataniques, qui violent insidieusement les règles préétablies du droit, de la démocratie, des règles universelles, qui constituent le fondement d’une société harmonieuse, d’une société libre, d’une société cohérente, d’une société de droit et d’une société démocratique qui permettent aux citoyens de s’épanouir en tant que citoyens libres et égaux. Oui ! Le résultat de cette élection présidentielle ivoirienne du 31 octobre 2020, qui est de pratique ostensible du maléfiques et du sataniques, ne nous intéresse pas, elle ne nous concerne pas. Alassane Ouattara et son pouvoir maléfiques et sataniques ne nous intéresse pas.

 

Alassane Ouattara s’est tromper de discipline, il aurait créé une secte nébuleuse obscurantiste et criminelle avec succès et demeurer le gourou éternel de sa secte ténébreuse et criminel, sa conception sectaire archaïque du pouvoir d’état saute ostensiblement aux yeux. Le rôle de gourou sectaire lui ira comme un Gant. C’est pourquoi les mêmes causes produisant les mêmes effets que nous, nous trouvions toujours dans la même situation de sa quête de pouvoir par les armes de 1999, renouvelée chaque fois à intervalle régulier 2002-2011-2016-2020 et demain ne changera Rien. Avec toujours les armes « fusils» comme mesure de valeur sociopolitique, imposant une dictature sanguinaire à la tête de notre pays. Et  surtout au sommet de la hiérarchie de l’état, le magistrat suprême Alassane Ouattara pompé du maléfique, gonflé du satanique, n’est pas entouré par des grands commis de l’état, mais bien par des courtisant plus soucieux de leurs carrières que du bien public. Soutenu par une foule très minoritaire moins de 10% de la totalité sociale monarchistes dans l’âme, d’où l’impossibilité de bâtir un état de droit et une vrai république avec le pouvoir sectaire et criminel d’Alassane Ouattara. Notre but n’est pas, n’a jamais été d’arriver au pouvoir à tous les prix, ou d’être dans une équipe dirigeante à tous prix,  sinon, d’être proche d’un pouvoir à tous les prix, Non ! Nous somme a la recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitique, dans notre pays et ceci acquit, tout le reste suivra, avec la paix et l’acceptation des différences.

 

*- Combattre l’arbitraire jusqu'à ce qu’il se dévoile comme tel.

 

En clair, nous pensons apporter ou nous aspirons à apporter, de droit et par devoir aux citoyens ivoiriens, apporté humblement à l’humanité par la culture de non-violence, des règles universelles et  du droit universel, qui ont forgé le monde civilisé. Nous visons ou aspirons à imposer la gouvernance des Gouvernés avec l’obéissance de citoyens libres consentants, et de ainsi servir désintéressement la société à laquelle nous sommes redevables. La politiques maléfique et satanique fondée sur se servir ostensiblement dans les caisses publiques étatiques, dans les deniers publics au nom de l’exercice du pouvoir d’état, qui appartient par essence au peuple souverain, ne nous intéressent pas. Donc nous visons à créer une situation sociopolitique dans notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, où on peut faire la politique en dénonçant les tares des gouvernants, en indiquant une autre voie politique salvatrice et aller dormir chez soi en toute quiétude. Le combat politique maléfique et satanique, ciblé, téléguidé et personnifié, qui repose sur l’accaparement de la souveraineté populaire du peuple,  n’a rien à voir avec le noble art politique, dans laquelle le peuple souverain est le destinateur privilégié de tous les discours politiques, parce que détenteur ultime du pouvoir d’état. En politique le citoyen qui veut le pouvoir du peuple, doit parler au peuple, dans le respect des normes de régulations sociopolitique et dans le respect des règles universelles. Et doit constamment à chaque occasion de crises sociopolitiques faire la preuve de sa légitimité populaire et de sa légalité juridique, devant le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir. C’est ça la démocratie ! C’est ça gouverné ! Avec le consentement du peuple souverain gouverné, qui obéit par conviction.

 

Le pouvoir d’Alassane Ouattara est un pouvoir maléfique et satanique devenu extrêmement démoniaque qui cohabite avec le Diable. Oui, si nous essayons de prendre le mot politique, ce mot politique vient de la racine grecque «cité» d’où les citoyens sont maîtres de leur destin, parce que détenteur ultime du pouvoir d’état. Et ce pouvoir s’exerce avec le consentement du peuple, qui obéit par devoir et par conviction, sans contrainte armée, sans violence des hommes armés ou tout est consensuel et pacifique dans le respect des droits et des règles. D’où la légitimité appartient à la majorité absolue des citoyens, qui se jauge à l’aune des élections aux suffrages universels et au prisme d’un processus électoral honnête, juste et transparent. Ici un seul corps de citoyen étendu au nom de la politique, est une catastrophe. Mais il est aussi vrai, que de nombreuses approches définissent la politique comme l’organisation du pouvoir dans l’état. Mais retenons que le lien entre politique et état n’est pas si évident, cette acception est relativement récente. La politique au sens plus large, est donc la structure et le fonctionnement « méthodique, théorique et pratique » d’une communauté de destin, d’une société policée. Dès lors, la politique concerne alors les actions politiques de régulation systémique et d’équilibrage sociopolitique, le développement interne ou externe de cette société, ses rapports internes entre sa propre composante sociale hétéroclite et ses rapports à d’autres ensembles sociaux universels. Mais d’une acception à l’autre, un seul corps étendu au nom de la politique est une catastrophe nationale. Nous nous sommes inscrits dans cet espace pacifique, de paix, de droit, de liberté. Alassane Ouattara, son pouvoir maléfique diablotin ne nous intéresse pas.

 

Donc inscrits dans cet espace pacifique, de paix, de droit, de liberté, pour nous, faire la politique c’est défendre un idéal sociétal, pour qu’il acquière l’adhésion du peuple. Pour nous, faire la politique, c’est servir le peuple et non le martyrisé  pour se servir. Pour nous, faire la politique, c’est agir dans l’espace public, pour transformer son pays, conformément à son idéal sociétal, accepté par le peuple souverain. Pour nous, faire la politique, c’est essayer de réaliser ses convictions politiques et idéologiques, pour enfin tenir ses engagements sociétaux face au peuple. Donc le travail des responsables politiques, c’est d’agir pour l’intérêt général de la nation jusqu’à la limite de l’humainement admissible, en transcendant son être, son Moi, et ses intérêts personnels du moment, situé à l’opposé de l’intérêt de la totalité sociale. Le travail des responsables politiques, n’est pas de remettre en cause la démocratie réelle pluraliste, dans un état démocratique, du fait de la défense de ses intérêts particulier, égoïste, égocentrique, clanique et mafieux, au prix toujours des Morts de citoyens. Le travail des responsables politiques est plutôt de dire les vérités des choses au peuple souverain, quand elles vont bien et quand elles vont moins bien dans la gouvernance étatique, dans l’organisation sociopolitique, le respect du socle sociétal «constitution».

Ceci, pour un destin meilleur de la société commune, sans nuances, sans excès, ni dramatisation, mais avec franchise risquée et détermination soutenue à toute épreuve. Le travail des responsables politiques, est de démontrer par son action politique, qu'on apporte une valeur ajoutée à l'action publique de son pays, qui profite à la nation une et indivisible. Le travail des responsables politiques, se mesure à l’aune de ses actions politiques capables d’anticiper l’avenir du peuple dans le temps et d’orienter le souverain peuple en véritable gyroscope sur les meilleures voies qui profitent a la totalité sociale « sans une seule goutte de sang versée ». Et de  réguler la vie sociopolitique, l’action publique des gouvernants par des critiques légales et par des dénonciations légales et aussi d’orienter les mouvements sociaux de la vie sociale de son pays. Le travail des responsables politiques est surtout, de chercher a disposé, d’une capacité d’action politique, à anticiper les perspectives d’avenir socio-économico-politique de la totalité sociale dans laquelle ils vivent ou excellent. Le travail des responsables politiques est donc de combattre l’arbitraire du pouvoir d’état jusqu'à ce qu’il se dévoile comme tel. Donc le TRUCAGE électoral n’est pas de la politique mais de la criminalité. C’est pourquoi le pouvoir maléfique, satanique, démoniaque et diabolique, mortifère de façon insidieuse, d’Alassane Ouattara ne nous intéresse pas.

*- «Président» super pompier pyromane incontournable.

On a coutume de dire souvent en Afrique, qu’en quelque chose malheur est bon ! Aujourd’hui les ivoiriens dans leur ensemble semblent connaitre que la mère de toutes les dictatures en Afrique, est incontestablement la volonté de certains dirigeants Africains à s’incrusté au pouvoir d’état, via un comité de despotes Africains qui veulent s’éterniser au pouvoir d’état avec le soutien des usuriers internationaux. Un comité de despotes Africains qui a pris la côte d’ivoire comme le siège des dictatures totalitaires d’Afrique et le secrétariat général de ce comité des despotes. Des fanfaronnades sur «la discussion, la décrispation et sur la réconciliation» en côte d’ivoire, ne sont qu’exutoire et de diversion. «Nous, nous connaissons le meilleure de tous les ministres d’état spécial de la réconciliation qui est le premier ministre Jean Konan Banny avec son Rapport de la CDRV a appliqué strictement dans moindre détails». L’honnêteté qui sied à l’homme politique, oblige de constater que pour «discuter, pour décrisper, pour réconcilier», l’avant présidentielle du 31 octobre 2020 était le plus indiqué, l’opposition à fait la demande et s’adresser à la juridiction internationale à cet effet. Les discours exutoires mielleux pour diversion et les menaces intempestives d’une justice aux ordres du despote n’y changeront Rien.

Oui, si on veut changer notre pays la côte d’ivoire avec l’accord et l’adhésion d’Alassane Ouattara, la côte d’ivoire changera pas, ou tout au moins changera dans le sens voulu par Alassane Ouattara. Si on veut des institutions démocratiques et républicaines, sous la conduite d’Alassane Ouattara et avec Alassane Ouattara, notre pays la côte d’ivoire ne serait jamais démocratique et ne serait jamais républicaine. Si la démocratie doit être vécue dans notre pays la côte d’ivoire, comme l’entend Alassane Ouattara. Cette démocratie de façade ne débouchera jamais sur la stabilité sociopolitique et sur la paix pérenne. Or cette seule valeur universelle, peut aider notre pays la côte d’ivoire, a sortir de la situation de crise sempiternelle depuis 1999 et a conduire au développement intégral de notre pays la côte d’ivoire, détruit et assujettie, par une Guerre d’agression aveugle et par une Guerre de conquête territoriale, qui ont réduit notre pays la côte d’ivoire, a l’état ostensible et manifeste de butin guerre. «Que Dieu d’Abraham maudit le troisième Mandat d’Alassane Ouattara et tous son comité de soutiens».

Mais ce pouvoir, est pour le moment sûr de son fait, très sûr de son emprise sur la société ivoirienne, face à des acteurs politiques ivoiriens desquels, il dispose désormais d’une expertise psychologique, qui devient de plus en plus incontestable. Alassane Ouattara a fait un pacte funeste avec la misère du peuple ivoirien après avoir pris sa juste mesure du moment pour le coudre et le coller un corsage d’enfer et de damnation, qui le rend super pompier pyromane incontournable. Il est visible dans le schéma de passage en force électoral d’Alassane, que la phase ultime soit sa reconnaissance comme le président sauveur par la libération des hommes politiques par lui le président de la république et l’élargissement de tous, par lui président humaniste et de paix. Son schéma tient bon ! Malgré tous… Et au bout du rouleau, il est fort probable que les «dictées préparées» soient reçus à Genoux. C’est pourquoi le passeport des déportés était à l’étude, aujourd’hui ils sont délivrés par le « président ». Le tout est inscrit dans un schématisé stratégique du Moi président ou Rien ! Sinon le terre brulée. Bon ! La citoyenneté ne se définit pas uniquement d’un point de vue juridique par la possession d’un passeport de sa nationalité.

La nationalité et la citoyenneté se définissent juridiquement surtout par ses droits civiques et politiques restauré au terme de l’admission à la participation à la vie civile et politique de la cité, dont on est ressortissant, tout est inextricablement lié. Oui, des condamnations judiciaires par défauts inscrites dans les casiers judiciaires d’hommes politiques avec privations de droits civiques et politiques, pour les écarté de fait des compétitions électorales est un arbitraire insoluble dans la délivrance d’un passeport. Le passeport lui seul ne suffit pas, quand il s’agit de la citoyenneté d’un pays, le plus important ici, ce sont les droits civiques et politiques qui permettant de participer sereinement à la vie publique et politique de son pays. Donc il est arbitraire et unilatéral que d’empêcher un citoyen de pouvoir se porter candidat, d'être éligible aux élections ou d'être électeur et de voter aux élections, ensuite le ventilé à volonté des passeports. En bafouant, ses droits que tous les Citoyens ont de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à la vie publique de sa cité, a la vie politique de son pays.

Pour notre part, nous souscrirons aux principes d’un dialogue avec Alassane Ouattara, le jour ou Alassane Ouattara dira au peuple souverain ivoirien, avec des arguments clairs, tenables, convainquant, pourquoi, il a refusé la demande de rencontre pour discuter avec toute l’opposition ivoirienne unie, au moment où les pourparlers étaient bloqués sur l’ouverture réelle de la CEI a l’opposition pour aboutir à des élections propre. Ce qui aurait évité la crise qui a fait plus de 150 Morts aujourd’hui. Et aussi pourquoi, il a méprisé les décisions de la Cour Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples, qui édictent les normes électorales conformes aux normes internationales. La position d’hier d’Alassane Ouattara était, «pas de discussion», sa position d’aujourd’hui est «Il faut qu'on se parle». En clair hier la discussion contrariait son schéma et aujourd’hui la discussion consolide son schéma. Le pouvoir maléfique, satanique, démoniaque et diabolique d’Alassane Ouattara ne nous intéresse pas.

C’est pourquoi, comme proposer par le gyroscope Réfèrent du peuple souverain dans son entièreté, en accord avec toute l’opposition ivoirienne, qui appelle le soutien de toutes les forces vives de la nation ivoirienne, il est impératif, pour tout citoyen ivoirien de souscrire  à l’idée du nouveau cadre de Dialogue avec la participation de toutes les forces vives de la Nation en lieu et place du tête à tête «Bédié-Ouattara». Pour aborder tous ensembles les questions clés qui porteront notamment sur : *- La mise en œuvre d’un véritable processus de réconciliation qui prendra notamment en compte le retour des exilés et la libération des prisonniers politiques et militaires. *- L’indemnisation conséquente des victimes et leurs familles respectives. *- L’élaboration d’une constitution consensuelle qui garantira une stabilité démocratique, avec des institutions fortes. *- La réforme de la Commission Electorale Indépendante. *- L’Organisation des élections, notamment présidentielles, transparentes, crédibles et inclusives, dans un climat apaisé. *- Le retour de l’Etat de droit dans le respect des libertés fondamentales de tous les citoyens et de la loi, tout en assurant le maintien de l’ordre sans bavures. *- Le rétablissement de la confiance entre les ivoiriens et les amis de la Côte d’Ivoire en assurant la bonne gouvernance économique, politique et administrative. *- Transformer notre pays pour en refaire, demain, une nation fraternelle, démocratique et prospère qui rayonne en Afrique et dans le monde. Cette proposition a d’emblée la confiance du peuple souverain. (Un vieux nous a dit en 1989 au Mali que le pouvoir Sec n’attend que sa cassure).

*-Citoyen ! Tachons de ne pas confondre Nationalisme primaire et nationalisme, les deux « 2 » ne font pas Un (1).

Donc il faut ré-souligné ici, citoyen ivoirien ! Même meurtri de douleur et de souffrance par le pouvoir maléfique, satanique, démoniaque et diabolique, mortifère qui opère de façon insidieuse, d’Alassane Ouattara, ne nous laissons pas entrainer à nous inscrire dans les positions qui peuvent consolider ce pouvoir maléfique et satanique d’Alassane Ouattara, tel que: «Le nationalisme primaire imperméable, qui a pour frère jumeau la guerre civile, le souverainisme Frileux, qui conduit à l’enfermement hermétique sur soit, et l’exclusion, qui quelle qu’elle soit, est borné sans mémoire. Mais il y a le nationalisme positif qui confère une identité et le souverainisme indispensable dans le concert des nations ». Citoyen ivoirien ! Donc tachons de ne pas confondre les deux « 2 » sous la douleur. Les deux « 2 » ne font pas Un (1). Les produits Français et la France ne sont pas le problème Ouattara à chasser. Même si nous avons mal à notre pays souverain et disons que la côte d’ivoire est tombée très bas, que la Côte d’Ivoire coule, que la Côte d’Ivoire est devenue un pays de merde dans le concert des nations policées. Que c’est vraiment dommage pour le pays de Félix Houphouët Boigny, devenue sans identité réelle, sans souveraineté possibles entre les mains d’un Valet, Boys de Luxe. Qui la gouverne avec le Maléfique et avec le Satanique réel.

Donc, en l’absence du nouveau cadre de Dialogue proposer par le gyroscope Réfèrent du peuple souverain dans son entièreté, en accord avec toute l’opposition ivoirienne, qui appelle le soutien de toutes les forces vives de la nation ivoirienne, il est à redouter que les brigades d’Accueil citoyennes «des paroliers» ne soient encore obliger de patienter et attendre le jour ou le pouvoir d’Alassane Ouattara comprendra que gouverner par la force des armes « fusils » conduit à une crise plus grande que la précédente. Peut-être, elles doivent attendre, le jour ou la sécurité serait effective pour tous dans le pays réconcilier entre ses fils de tout bord politique et réconcilier avec le monde. Elles doivent certainement attendre le jour où les armes ne seront pas la loi, ou le pouvoir ne serait pas au bout des fusils. Quand ce jour se lèvera et il se lèvera un matin contre vent et marée, c’est une promesse, « les paroliers » serions dans notre pays. En attendant ce jour suivons les causeries citoyennes dans un pays entre les mains des Valets, Boys de Luxe. «Donc, c’est ainsi que même vendu par ses propres parents avec une corde au cou qui flotte sur l’épaule derrière un acheteur d’esclave, sacrement esclavagiste venu du dessert de (Môrô-Tan-nî),  , quelque part en Afrique, ne peut contrarier, la nécessaire et indispensable causerie dans un pays de Merde, entre les mains des Valets, Boys de Luxe». Le peuple souverain ivoirien doit pouvoir chasser le pouvoir maléfique, satanique, démoniaque et diabolique, mortifère qui opère de façon insidieuse. Tous ensembles ! *- CITOYEN ! C’EST AVEC NOS VŒUX ANTICIPER DE 2021. MERCI ! Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une large causerie de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).    

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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