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9 mai 2021 7 09 /05 /mai /2021 21:24
Des corps de victimes du Covid-19 brûlés en Inde.

Des corps de victimes du Covid-19 brûlés en Inde.

*- Les chiffres du ministère de la Santé font état de 3.980 décès quotidiens

L'Inde a annoncé ce jeudi un record de près de 4.000 décès dus au Covid-19 et 412.000 nouvelles contaminations en 24 heures, tandis que les autorités préviennent que le pays doit se préparer à affronter « de nouvelles vagues ».

Les chiffres du ministère de la Santé font état de 3.980 décès et de 412.262 cas quotidiens, portant à 230.168 morts et 21,1 millions de contaminations les chiffres recensés au total en Inde depuis le début de la pandémie. Certains experts les estiment largement sous-évalués.

*- Le pire à venir ?

Ce nouveau record fait suite à plusieurs jours de baisse du nombre de cas qui avait encouragé l’espoir de voir s’atténuer la flambée enregistrée depuis fin mars. Après un sommet de 402.000 contaminations quotidiennes vendredi dernier, il a légèrement reculé à 357.000 avant de repartir mardi à la hausse.

Selon les spécialistes, le pire serait encore à venir pour ce pays de 1,3 milliard d’habitants, avec un pic épidémique qui pourrait n’être atteint que d’ici plusieurs semaines.

*- Un « troisième épisode inévitable »

K. Vijay Raghavan, principal conseiller scientifique du gouvernement indien, a averti mercredi soir qu’un « 3e épisode était inévitable étant donné les niveaux élevés » de contaminations actuels.

« Mais on ne sait pas exactement à quel moment ce troisième épisode se produira. Nous devons nous préparer à de nouvelles vagues », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse.

*- Toujours pas de confinement national

Pourtant le gouvernement du Premier ministre Narendra Modi se refuse à ordonner un confinement généralisé. Plusieurs régions, dont la capitale New Delhi ainsi que les Etats du Bihar et du Maharashtra, se sont d’elles-mêmes confinées.

Sa gestion de la crise sanitaire vaut au gouvernement de plus en plus de critiques, y compris devant les tribunaux, au regard de la situation dramatique à laquelle le secteur de la santé, vétuste et sous-financé, est confronté avec des malades en détresse respiratoire agonisant aux portes d’hôpitaux saturés, à court d’oxygène et de denrées médicales essentielles.

Dans la nuit de mercredi à jeudi, onze personnes ont perdu la vie dans un hôpital près de la ville de Chennai (l’ancienne Madras), dans le Sud du pays, en raison d’une chute de pression dans les canalisations d’oxygène, a rapporté ce jeudi le quotidien Times of India.

« Les admissions sont suspendues pour une durée indéterminée », faute d’approvisionnement en oxygène, a déclaré sur Twitter Devlina Chakravarty, directrice générale de l’hôpital Artemis à Gurgaon, près de New Delhi.

*- Politiciens dans des « tours d’ivoire »

Le gouvernement de Delhi a déclaré avoir besoin de 700 tonnes d’oxygène par jour pour ses hôpitaux, mais la Cour suprême a appris mercredi qu’à peine 585 tonnes seraient déployées. Confrontés à la menace d’une procédure d’outrage au tribunal, les avocats du gouvernement central ont argué que Delhi n’avait besoin que de 415 tonnes.

La Cour a donné au gouvernement jusqu’à ce jeudi matin pour présenter un plan d’envoi d’approvisionnement supplémentaire. La Haute Cour de Delhi a accusé les hommes politiques et les fonctionnaires du gouvernement de « vivre dans des tours d’ivoire ».

(Source-Presse Française)

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7 mai 2021 5 07 /05 /mai /2021 02:47
AVEC LE POUVOIR DE OUATTARA, IL N’Y A PLUS DE ROUTE VERS LA PAIX, NI D’EAU, NI D’ELECTRICITE ET TOUT SIMPLEMENT NI VIE.

AVEC LE POUVOIR DE OUATTARA, IL N’Y A PLUS DE ROUTE VERS LA PAIX, NI D’EAU, NI D’ELECTRICITE ET TOUT SIMPLEMENT NI VIE.

*- Parole du Leader de la légitimité citoyenne.

Oui, ayons le courage de le dire : Avec le pouvoir d’Alassane Ouattara, Pas d’Eau dans les Robinets, mais dans les citernes. L’électricité vendu à l’étranger par la côte d’ivoire, mais introuvable en côte d’ivoire. Oui, le pouvoir Alassane Ouattara est un rendez-vous avec la misère sociale. Ce pouvoir démoniaque né de deux (2) malheurs, un coup d’état manqué transformer en rébellion, qui a fait 3000 morts, et une guerre postélectorale qui a fait plus de 4000 morts, est donc un malheur ambulant pour l’ivoirien et tout homme. Malheur qui a fait à ce jour 7000 morts, est un pouvoir sado-pervers narcissique de malheur et pour le malheur pour les ivoiriens.

Oui, les valeurs sociales sont en ruine ont fait de la place à l’implantations et a la transplantations obscurantiste, et les mœurs sociétales divaguent dans la dépravation importée, la démocratie, les droits et les libertés sont mis dans les placards de l’absolutisme, l’obscurantisme anti-lumière des politicards règne sur tout le pays, la misère sociétale à trouver son terreau fertile de transposition. D’où chacun est fouetté dans son instinct de survie sociopolitique et même physique, dans une société de jungle. Où chacun est réduit à ceux a quoi sa spécificité biologique et religieuse le destine. La catastrophe n’est plus loin dans une société de jungle, devenue le lieu de rendez-vous de tous les chaos socio-politico-économiques. Le volcan est perceptible dans la société que ces gens-là du pouvoir, nous annonce, elle ressemble fort bien, à une assemblée inconsciente d’individus, sans repère moral, sans doctrine, sans idéologie et sans racine sociale, réduit à suivre la direction du vent. Donc il y a péril certain avec ses gens-là du pouvoir Ouattara, avec lesquels l’argent est devenu Dieu le Grand, la quête d’une ploutocratie est la source.

Oui, le développement qui laisse l’homme au bord de la route, se fera sans les citoyens ivoiriens et les hommes vivant en côte d’ivoire, les ponts, les routes bitumées, peut-être le Metro, serviront de certificateurs. C’est cela la côte d’ivoire du sacrilège des citoyens vaches, qui n’ont de droit que de demander à manger, soumis à la génuflexion seigneuriale face aux griots des temps nouveaux. Les griots des temps nouveaux qui, ignorent royalement que, le progrès social qui ne commence pas par l’homme, oui par tout homme et qui laisse volontiers, le citoyen au bord de la route du développement socioéconomique, est voué à l’échec. Oui une politique sérieuse de progrès social, a l’obligation de faire de tous les aspects de la vie humaine, régie par les valeurs que l’humanité s’est donner, la valeur fondamentale, sur laquelle doit être construite toute société, toute politique, toute économie, tout développement, toute relation entre citoyens «ivoiriens», entre personnes d’origines diverses et toute relation entre nations. Oui, tout développement social, qui ne commence pas par l’homme, est une régression.

Donc à la loupe de cette valeur humaine, il convient de se débarrasser de ce pouvoir Antihumain et voyou le plus légalement possible et de renverser ce système antihumain, pour replacer l’être humain au centre du débat, l’humanisme au centre de la problématique sociale et sociétale, et le citoyen au cœur de toute politique socio-économique et développementale, avec comme gyroscope des leaders capables d’anticiper les perspectives d’avenir économico-sociopolitique dans le temps. Oui, convenons-en, dans l’histoire de l’humanité une telle classe politique iconoclaste et nihiliste genre clan Ouattara, avec un tel groupe d’hommes politiques voleurs, ultralibéraux, affairistes, mafieux, n’a jamais renoncé volontairement de lui-même à ses desseins glauques d’accaparement des biens publics, à leurs privilèges indus. Des hommes qui s’enrichissent sur la misère quotidienne du peuple souverain Martyr. La côte d’ivoire est comme un homme dans le marécage Vietnamien, plus il bouge et se débat de toute ses forces, il s’enfonce lamentablement. La Ruine n’est plus loin…

AVEC LE POUVOIR DE OUATTARA, IL N’Y A PLUS DE ROUTE VERS LA PAIX, NI D’EAU, NI D’ELECTRICITE ET TOUT SIMPLEMENT NI VIE. 

Le leader de la légitimité  citoyenne : Avec peine, avec agacement, surtout avec Honte pour mon Pays.

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5 mai 2021 3 05 /05 /mai /2021 20:04
Un dialogue républicain direct entre l’exécutif colombien et les citoyens colombiens, dans la rue opposante consensuelle et équilibriste critique, la meilleure Amie des démocraties de par le monde et l’allié inséparable des citoyens libres, totalement libres, qui n’ont que le droit et les règles librement établies comme  limite. Ou les citoyens et tous les hommes vivront selon le droit et les règles de leur seule raison d’être des humains. Donc l’homme au centre du débat économico-développemental.

Un dialogue républicain direct entre l’exécutif colombien et les citoyens colombiens, dans la rue opposante consensuelle et équilibriste critique, la meilleure Amie des démocraties de par le monde et l’allié inséparable des citoyens libres, totalement libres, qui n’ont que le droit et les règles librement établies comme limite. Ou les citoyens et tous les hommes vivront selon le droit et les règles de leur seule raison d’être des humains. Donc l’homme au centre du débat économico-développemental.

L'exécutif colombien a retiré un projet de réforme fiscale contesté de toutes parts. Il s'agissait d'augment la collecte fiscale, une des plus basses des pays de l'OCDE.

La fronde a eu raison du projet de réforme fiscale du gouvernement colombien. Le président de droite, Ivan Duque, a annoncé dimanche soir, « faute de consensus », retirer ce projet qui avait pour but d'augmenter la collecte fiscale de l'Etat. Avec l'équivalent d'à peine 20 % du PIB, elle est actuellement la deuxième plus basse des trente-sept pays membres de l'OCDE (Organisation pour la coopération et le développement économique) dont la Colombie est membre depuis l'an dernier.

Ce projet était rejeté par l'opposition, les syndicats, nombre d'économistes et même des cadres du parti au pouvoir et ses alliés. Certaines manifestations ont été suivies d'incidents violents, ayant fait des blessés et au moins deux morts. Des dizaines de milliers de manifestants défilaient tous les jours depuis mercredi et les cortèges n'ont pas faibli après qu'Ivan Duque a cru apaiser la contestation en annonçant des aménagements. C'est finalement tout le projet qui a dû être abandonné devant l'ampleur des protestations.

Augmenter la collecte

Le projet prévoyait notamment d'élargir la TVA à de nombreux produits qui en étaient exempts jusque-là, de taxer les revenus salariaux systématiquement à partir de l'équivalent de 656 dollars par mois et de supprimer de nombreuses exonérations dont bénéficiaient ménages et entreprises. Bogota, quatrième économie d'Amérique latine, tablait ainsi sur une hausse de collecte de 6,3 milliards de dollars sur les dix prochaines années.

Si cela pouvait paraître légitime pour assurer l'équilibre des finances publiques, ce projet, vécu comme un coup de massue sur les classes moyennes, arrivait au plus mauvais moment. A cause de la pandémie de Covid-19, le PIB a reculé de 6,8 % l'an dernier. La pire performance depuis un demi-siècle.

L'impact du Covid-19

Et la pandémie, précisément, provoque des ravages sanitaires et sociaux considérables. Avec 74.000 décès pour un pays de 50 millions d'habitants, la Colombie est le cinquième pays d'Amérique latine comptant le plus de morts en proportion de sa population. La troisième vague d'infections apparue mi-mars est encore en pleine ascension et seulement un dixième de la population a été vacciné pour l'instant. La contestation ne se confinait d'ailleurs pas à la réforme fiscale mais visait aussi toute la gestion de l'épidémie par l'exécutif. Les populations indigènes sont très en pointe dans cette contestation car fortement impactées par la hausse de la TVA sur les produits de consommation.

Le retrait du projet de réforme laisse toutefois entier le problème de la collecte fiscale et des moyens dont dispose l’état pour faire face non seulement à la pandémie mais aussi aux défis de la pauvreté et de la criminalité, sans compter le coût de la reprise en 2018 du conflit avec ce qui reste de la guérilla des FARC, la plus ancienne d'Amérique latine. Le déficit public a frôlé les 10 % du PIB l'an dernier.

Grâce à ses atouts (classe entrepreneuriale dynamique, terres fertiles, tourisme depuis peu, tradition d’état démocratique), la Colombie a enregistré une croissance spectaculaire depuis dix ans. Mais c'est aussi un des pays les plus inégalitaires du monde. Un quart de la population vit avec moins de deux euros par jour.

(Presse Française)

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1 mai 2021 6 01 /05 /mai /2021 14:12
La démocratie a besoin de notre détermination. Elle n’est pas toujours bonne, mais nous savons que les tyrannies sont mauvaises. Ne les soutenons d’aucune manière. Ne leur donnons pas d’avantages préférentiels. Et faisons en sorte que notre démocratie puisse servir de modèle. Faire prévaloir la démocratie, c’est aussi et d’abord reconnaître que la société est faite pour les hommes et non l’inverse.

La démocratie a besoin de notre détermination. Elle n’est pas toujours bonne, mais nous savons que les tyrannies sont mauvaises. Ne les soutenons d’aucune manière. Ne leur donnons pas d’avantages préférentiels. Et faisons en sorte que notre démocratie puisse servir de modèle. Faire prévaloir la démocratie, c’est aussi et d’abord reconnaître que la société est faite pour les hommes et non l’inverse.

Ce qui fait la grandeur de la démocratie est précisément ce que ne veulent pas prendre en compte les régimes impériaux. La démocratie est ouverte et tolérante.

Il y eut un temps, où Rome crut pouvoir faire régner la paix sur toute la Terre qu’il dominait. Il y en eut un autre, après la chute du mur, où le monde se mit à rêver que la démocratie représentait la fin de l’histoire. C’est ce que prophétisait alors Francis Fukuyama, même s’il expliqua ensuite qu’il utilisait ces termes au sens hégélien selon lequel l’histoire est un processus sans fin.

Les révolutionnaires de 1789 se faisaient un devoir de faire partager leur idéal à tous les peuples. Ce qui a aussi sans doute guidé, du moins en partie, Napoléon, les colonisations et les guerres américaines dans le monde. Mais la démocratie reste l’exception et la liberté la part congrue des démocraties elles-mêmes. Partout le monde demeure ce qu’il est, à la merci des ambitions et des prétentions humaines, à la portée de toutes les tyrannies.

Dans les continents qui se sont libérés de la colonisation occidentale totale ou larvée, le passé et la nature des peuples ont repris le dessus pour se livrer à des régimes politiques qui renouent avec leur histoire, très loin de la démocratie même quand ils en portent encore le nom.

Et tandis que le monde n’a jamais été aussi ouvert aux possibilités d’échange, par les facilités du transport et de la communication notamment, de nombreux pays ou régions du monde manifestent leur particularité et entendent la faire reconnaitre et accepter par la communauté internationale.

La légitimation impossible de la tyrannie

Au forum numérique de Davos de cette année, Xi Jinping a rappelé que chaque pays était unique dans son histoire, sa culture et son système social, ce que les Européens ne nient pas. Il en a conclu que les Occidentaux n’avaient pas à s’ingérer dans les affaires intérieures de la Chine, notamment au regard de sa politique à Hong Kong ou avec les Ouïgours.

Erdogan justifie ses exactions par les vertus de l’islam qui ne saurait dissocier religion et politique. Il fonde son populisme sur la nostalgie de l’empire ottoman et des dynasties qui l’ont précédé.

Cette marque impériale est celle de la Chine, mais peut-être aussi celle de la Russie poutinienne qui utilise les ancrages culturels de l’orthodoxie dans l’empire byzantin pendant un millénaire. Dans cette pseudo démocratie tout lien avec l’étranger sert de prétexte à condamnation, un rien permet d’empêcher les opposants, comme la députée municipale de Moscou Ioulia Galiamina, de se présenter aux élections, quand ils ne sont pas assassinés, les journalistes d’investigation sont suspectés et empêchés de faire leur travail.

La religion est ailleurs instrumentalisée pour consolider un pouvoir populiste, comme en Inde où l’hindouisme sert la propagande identitaire de Narendra Modi et la violence contre les chrétiens et les musulmans.

Dans tous les cas, il s’agit de légitimer des sortes de « régimes impériaux ». Ces pays se moquent de l’État de droit et siègent à l’ONU dont ils ont approuvé sans vergogne la Charte qui leur interdit de se comporter comme ils le font.

La démocratie est le meilleur des régimes…

En fait, les nouveaux tyrans du monde veulent redéfinir le mot même de démocratie pour justifier leurs turpitudes. Ce que déjà le communisme avait fait en inventant la « démocratie populaire ». Il ne faut pas se laisser leurrer.

Avec Churchill, acceptons volontiers que « la démocratie est le pire des systèmes, à l’exclusion de tous les autres. » Mais s’il existe, le caractère universel de la démocratie ne réside pas dans son système formel de représentation élective, même s’il est nécessaire, mais dans sa pratique de la séparation des pouvoirs, le respect des libertés humaines… un État de droit.

Ce qui fait la grandeur de la démocratie est précisément ce que ne veulent pas prendre en compte les régimes impériaux. La démocratie est ouverte et tolérante. Elle ne doit pas être idiote pour autant.

Chaque pays est libre d’adopter le système politique de son choix. Mais il est du devoir des démocraties de protester quand les droits humains élémentaires sont bafoués. Il ne faut pas se priver de commercer avec ces régimes, mais il ne faut pas les encourager, même quand ils sont en Europe, à poursuivre leurs forfaits.

Il est regrettable par exemple que la France ait accordé dans sa promotion du 1er janvier 2021 la légion d’honneur à M. Ivanichvili, le président démissionnaire de la Géorgie, un oligarque sans foi ni loi : son ministre de l’Intérieur était son ex garde du corps, son ministre de la Défense était l’ancien agent de son fils rappeur, sa ministre de la Santé était l’ancienne dentiste de sa femme et le procureur général, son avocat personnel… !

Et il ne faut pas être naïf : le président Xi avait annoncé publiquement en 2015 « vouloir étendre l’état de droit à tout le pays », convaincu qu’une justice effective est une nécessité pour la consolidation d’une économie et d’une société modernes en Chine. On sait ce qu’il en a fait : la Chine viole l’espace aérien et maritime de ses voisins, ment sur les vaccins, instaure une surveillance de tous, lave le cerveau des étudiants, poursuit sa politique de manipulation et répression religieuses…

Suivons plutôt l’exemple de Londres qui s’est opposé vigoureusement à la barbarie de Pékin à l’encontre des Ouïgours et a condamné durement les graves violations du statut de Hong Kong par Pékin.

Après avoir à tort critiqué Trump à ce sujet, Biden a eu raison de manifester sa sympathie active à l’égard de Taïwan. Souhaitons que les Allemands n’achèvent pas le gazoduc NordStream 2 qui approvisionnerait l’Allemagne en gaz russe au bénéfice financier de la Russie d’un Poutine qui continue d’essayer d’assassiner Navalny.

La démocratie a besoin de notre détermination. Elle n’est pas toujours bonne, mais nous savons que les tyrannies sont mauvaises. Ne les soutenons d’aucune manière. Ne leur donnons pas d’avantages préférentiels. Et faisons en sorte que notre démocratie puisse servir de modèle.

Ce qui exige que les pays occidentaux déjà respectent mieux nos libertés qu’ils bafouent eux-mêmes chaque jour dans une centralisation accrue aux niveaux national et européen, dans la multiplication insensée des règlementations, dans un conformisme sociétal qu’ils veulent imposer à tous, dans un égalitarisme qui fait disparaitre le particularisme personnel…

Faire prévaloir la démocratie, c’est aussi et d’abord reconnaître que la société est faite pour les hommes et non l’inverse.

(Un article de l’Iref-Europe) Avril 202

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1 mai 2021 6 01 /05 /mai /2021 14:06
Yasmina Ouégnin, Députée de Cocody Porte-Parole : Le Groupe parlementaire PDCI-RDA, sous l’autorité du Président Henri Konan Bédié, et de concert avec l’ensemble des structures du Parti, continuera d’accompagner et d’appuyer toutes les initiatives et actions qui seront menées pour la libération totale des prisonniers politiques, pour le retour des exilés politiques, et bien entendu, pour la création d’un environnement socio-politique apaisé, garantissant les libertés de tous nos concitoyens.

Yasmina Ouégnin, Députée de Cocody Porte-Parole : Le Groupe parlementaire PDCI-RDA, sous l’autorité du Président Henri Konan Bédié, et de concert avec l’ensemble des structures du Parti, continuera d’accompagner et d’appuyer toutes les initiatives et actions qui seront menées pour la libération totale des prisonniers politiques, pour le retour des exilés politiques, et bien entendu, pour la création d’un environnement socio-politique apaisé, garantissant les libertés de tous nos concitoyens.

Le Vendredi 30 Avril 2021.

Militants, Militantes,

Chers Compatriotes,

A l’occasion des activités marquant les 75 ans d’existence du PDCI-RDA, notre parti a choisi de privilégier l’introspection afin de faire l’état de son parcours, depuis sa création à ce jour, et d’en tirer tous les enseignements à même de faciliter sa contribution à la construction de la nation ivoirienne, au cours des 25 prochaines années.
La journée de recueillement initiée ce jeudi 29 avril 2021 et la campagne de solidarité qui en découle, se présentent comme un important moment de communion militante.

Cette commémoration se nourrit du souvenir de nos vaillants pionniers, aujourd’hui disparus, mais souligne également notre reconnaissance à l’endroit de nos militants contemporains, tout en célébrant l’engagement et la détermination de toutes ces femmes et de tous ces hommes qui œuvrent à la préservation du patrimoine politique de notre parti.

Dans ce contexte socio-politique particulier, issu des terribles événements de la crise électorale de 2020, nous avons l’occasion de faire le rappel des vicissitudes subies par les militants de la première heure qui, à Grand Bassam en 1949 ou à Dimbokro en 1950, ont souffert le martyr et enduré la répression, du fait de leurs opinions politiques et de leur activisme visant à faire triompher leurs nobles idéaux de liberté, de justice et de paix.

Le parallèle se fait aisément avec l’acharnement et les brimades que connaissent, aujourd’hui, nos nombreux militants et militantes, ainsi que leurs familles et proches, pour des raisons identiques : le légitime besoin d’expression de nos opinions, la profonde aspiration à une société ivoirienne plus juste et l’ardent désir de vivre en bonne intelligence avec les diverses composantes de notre Nation.

Le Groupe parlementaire PDCI-RDA entend mettre en exergue l’une des vertus cardinales léguées par le Père fondateur et ses compagnons de lutte, la vertu de la Solidarité.

Solidarité à l’égard des familles endeuillées par les contentions politiques, solidarité à l’égard de nos valeureux militants et militantes injustement incarcérés, solidarité à l’égard de tous ceux et de toutes celles qui ont payé de leur sang et de leur vie, la défense de la cause du PDCI-RDA.

Aussi, les Députés du groupe parlementaire PDCI-RDA de la législature 2016-2020 ont, de novembre 2020 à mars 2021, appuyé les actions de Solidarité de notre partie, en mobilisant une contribution financière d’un montant de 34.000.000 de francs CFA.

Le groupe parlementaire PDCI-RDA de la présente législature s’inscrit dans la continuité de cet élan de compassion et de soutien en offrant, ce jour, la somme de 6.500.000 FCFA, aux nombreuses victimes de la crise électorale de 2020, ainsi qu’à leurs ayant-droits.

De même, le Groupe parlementaire PDCI-RDA, sous l’autorité du Président Henri Konan Bédié, et de concert avec l’ensemble des structures du Parti, continuera d’accompagner et d’appuyer toutes les initiatives et actions qui seront menées pour la libération totale des prisonniers politiques, pour le retour des exilés politiques, et bien entendu, pour la création d’un environnement socio-politique apaisé, garantissant les libertés de tous nos concitoyens.

Vive le PDCI-RDA. Vive la Côte d’Ivoire.

Pour le Groupe Parlementaire PDCI-RDA

Yasmina Ouégnin, Députée de Cocody Porte-Parole.

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27 avril 2021 2 27 /04 /avril /2021 19:48
Il nous faut une ouverture sur le monde sans rancune. Dans une Afrique, Aujourd’hui perméable a toutes les influences extérieures à elle.

Il nous faut une ouverture sur le monde sans rancune. Dans une Afrique, Aujourd’hui perméable a toutes les influences extérieures à elle.

*- Non ! À l’auto-enfermement et à l’auto-cadenassage .

Le problème de l’Afrique n’est pas la colonisation, non ! Mais les hommes politiques Africains capables de tous sacrifiés, «souveraineté nationales, normes juridiques de régulations sociopolitiques, lois fondamentales, ressources naturelles souveraines, volonté populaire et partenariat Ataviques», auprès des puissances plus offrant, pour arriver au pouvoir et se maintenir au pouvoir. Ce sont les hommes politiques Africains, qui vendent l’Afrique. Les règles non-écrites pour la conquête du pouvoir d’état en Afrique, semblent être la mise aux enchères, auprès des puissances «intérieurs et extérieures à l’Afriques». « Dit moi le prix, les conséquences j’assume ». Si un homme politique Africain, de par ses assises populaires, qui mérité le pouvoir d’état, dit non ! À une situation qui ne convient pas à son pays, celui qui a moins de mérite accepte le pire pour accéder au pouvoir. Les puissances ne font que monnayer logiquement leurs puissances après des Africains, qui en recherchent par tous les moyens.

Le tout pour dire ici, que, pour nous les enfants nés après 1960, le discours antioccidental, anticolonial, anti-impérialiste endiablé, est démodé, dépassé et contreproductif pour notre génération. Nous avons plutôt besoin de fréquentation, de discussion, de frottement, de compétition, et de confrontation, avec tout le monde, sur la planète terre commune « nos sportifs sont des grands sportifs parce que, ils ont joué avec les meilleurs de l’occident et bénéficier de la technique des techniciens de l’occident du sport, ceci est valable pour toute les relations humaines, y compris la politique. Donc non ! À l’auto-enfermement et à l’auto-cadenassage ». Nous devons plutôt refuser, en fier Africains, d’être des valets, Boys de luxe, que les puissances extérieures mercantilistes viennent imposer à nos peuples souverains, dans le feu et dans le sang, avec le soutien d’une minorité du peuple, et au prix d’un soutien monnayable de puissance imposeur, souvent pour des raisons strictement personnelles, dédouané très souvent de responsabilité étatique, et d’intérêt politique étatique, de l’état de la puissances intervenante. Il faut donc nous départir de la victimisation, de la martyrisassions, et de l’esprit d’infériorité pour aller à la rencontre des peuples, quels qu’ils soient, sans complexité et sans complaisance. Il nous faut chercher le pouvoir d’état de nos pays Africains dans le respect strict des valeurs que l’humanité s’est donné.

Oui, surtout singulièrement en côte d’ivoire, face à la difficile émergence d’une élite dirigeante ivoirienne capable de défendre les intérêts du pays, par une option politique claire, adapté aux exigences du moment des pays émergents, face aux voracités de toutes sortes. Notre pays la côte d’ivoire n’a pas besoin de rupture brutale et systématique avec l’arbitrage d’intérêt public, en matière militaire, sans laquelle nos gouvernants feront de nous des sous hommes et sans laquelle les Crânes brulés de par le monde, nous imposeront la Charia comme normes au service de l’obscurantisme aveugle. Donc consensus oui ! Mais rupture brutale de liens ataviques non ! De liens économique et monétaire, non ! Animosité politique non ! Conformément à la politique de négociation des indépendances par le père fondateur FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Mais notre pays doit oser être lui-même en conjuguant tous les registres d’émancipation citoyenne. Et les bateaux du progrès reprendront la voie royale, universelle vers la lumière du développement intégral économique et politique, destinée à rendre la raison à la nécessité populaire, sans qu’une seule goutte de sang ne soit versée. Il nous faut une ouverture sur le monde sans rancune. Dans une Afrique, Aujourd’hui perméable a toutes les influences extérieures à elle. C’est notre vieille position à nous, mise dans  la balance de la pesée universelle.

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

*- Pour tout autres et pour ample voir ci-dessous sur :www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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27 avril 2021 2 27 /04 /avril /2021 13:05
Personne ne vient à notre secours. La répression militaire a fait plus de 700 victimes depuis le coup d’État du 1er février dernier, dont 82 ce week-end. La terreur aveugle exercée par l’armée a asphyxié Rangoun, mais en province la résistance continue. La folie meurtrière de l’armée birmane ne connaît plus de limites. À coups de grenades, de tirs d’artilleries lourdes ou de raids aériens, elle réprime les moindres sursauts de résistance qui osent encore s’exprimer dans les provinces.

Personne ne vient à notre secours. La répression militaire a fait plus de 700 victimes depuis le coup d’État du 1er février dernier, dont 82 ce week-end. La terreur aveugle exercée par l’armée a asphyxié Rangoun, mais en province la résistance continue. La folie meurtrière de l’armée birmane ne connaît plus de limites. À coups de grenades, de tirs d’artilleries lourdes ou de raids aériens, elle réprime les moindres sursauts de résistance qui osent encore s’exprimer dans les provinces.

*- L’ASEAN désarmée face à la junte militaire birmane.

L’Association des nations du sud-est asiatique (ASEAN), réunie à Djakarta samedi 24 avril en réponse à la sanglante répression en Birmanie, a trouvé un consensus a minima pour lancer un processus de pacification trois mois après le coup d’État militaire.

Le général putschiste birman Min Aung Hlaing peut dormir tranquille. À l’issue de la réunion de crise, samedi 24 avril, à Djakarta avec les dirigeants de l’Association des nations du sud-est asiatique (1) (ASEAN) à laquelle il avait été invité, aucune condamnation du coup d’État du 1er février dernier n’a été exprimée.

La philosophie de l’ASEAN interdit la moindre ingérence dans les affaires intérieures d’un de ses membres, et toute décision se fait par consensus général. C’est pourquoi le plan en cinq points négocié avec le général Min, qui avait troqué son uniforme militaire pour un costume civil, a peu de chance d’aboutir car il n’a rien de contraignant.

Un plan non contraignant en cinq points

Ce plan en cinq points appelle à « mettre fin aux violences », à engager « un dialogue avec toutes les parties », à envoyer un émissaire de l’ASEAN « pour faciliter ce dialogue », à permettre « l’ouverture d’un corridor humanitaire ». « La violence doit cesser, la stabilité et la paix en Birmanie doivent être rétablies », a déclaré le président indonésien Joko Widodo. Il a en outre demandé la libération des prisonniers politiques, une exigence qui a été retirée du plan en cinq points. Le premier ministre singapourien, Lee Hsien Loong, a assuré que le chef de la junte avait « entendu ».

Les manifestations continuent

Le docteur Sasa (entré dans la clandestinité), porte-parole du gouvernement d’unité nationale (GUN) - un gouvernement fantôme constitué de députés déchus par l’armée -, a salué l’appel à la fin des « violences militaires ». Il a toutefois ajouté : « Nous attendons avec impatience une action ferme de l’ASEAN pour le suivi de ses décisions afin de restaurer la démocratie et la liberté pour notre peuple et pour la région ».

À Rangoun ou à Mandalay, seconde ville du pays, les réactions parmi la population sont beaucoup plus violentes, sans illusions sur la portée de cet accord de l’ASEAN. « Il s’agit d’une gifle au visage du peuple, qui est terrorisé et massacré par les militaires », a réagi Mawchui Tun, sur Facebook. « Ces déclarations de Djakarta ne reflètent pas la volonté des Birmans », a déclaré Nang Thit Lwin, un commentateur politique à Rangoun.

« L’ASEAN n’a aucun levier solide pour faire plier la junte »

Pour Frédéric Debomy, spécialiste de la Birmanie depuis vingt ans et ancien président de l’Association Info-Birmanie à Paris, « l’ASEAN a toujours un train de retard sur la réalité, et s’imagine qu’il faut réagir classiquement, comme en 1988 ou 2007, en négociant avec l’armée pour arriver à maintenir une cohabitation entre l’armée et la société civile… Mais ça ne peut plus marcher ainsi aujourd’hui, le contexte a changé et la jeune génération, qui manifeste, refuse tout dialogue avec les militaires ».

De fait sur le terrain, les manifestations se sont poursuivies, dimanche 25 avril, dans les grandes et moyennes villes. Des images de groupuscules armées kidnappant des civils, la nuit, sont toujours diffusées sur les réseaux sociaux, lorsque les connexions le permettent.

De jeunes étudiants ont marché, dimanche 25 avril, dans les rues de Mandalay. « La détermination de ces jeunes est admirable », souligne un ingénieur occidental en poste à Rangoun depuis des années. « Il me semble que l’armée ne s’attendait pas à une résistance aussi farouche en dépit de la répression sanglante, ajoute-t-il, mais les deux camps veulent aller jusqu’au bout. Et l’ASEAN n’a aucun levier solide pour mettre un terme à la répression militaire ».

« Si l’Asean veut aider à résoudre la situation en Birmanie, elle n’arrivera à rien si elle ne consulte pas et ne négocie pas avec le GUN, soutenu par le peuple et qui a une pleine légitimité », a déclaré Moe Zaw Oo, ministre adjoint des affaires étrangères de ce gouvernement fantôme au service birman de Voice of America. « Il est important que le conseil militaire ne soit pas reconnu »,

«Analyse : Dorian Malovic,  le 25/04/2021»

 

*- Chronologie depuis le coup d’État

1er février. Coup d’État militaire. La présidente Aung San Suu Kyi et des députés sont
arrêtés. L’état d’urgence est proclamé pour un an.

7 février. Des manifestations inédites depuis 2007 rassemblent quelque 100 000 contestataires à Rangoun.

8 février. La loi martiale
est décrétée.

10 février. L’ASEAN appelle
au dialogue.

10 mars. Le Conseil de sécurité de l’ONU condamne la violence mais pas le coup d’État. La Chine et la Russie s’y opposent.

10 avril. Sanctions américaines contre des généraux birmans.

19 avril. Sanctions de l’Union européenne.

26 avril. Plus de 800 morts et plus de 3 000 arrestations.

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23 avril 2021 5 23 /04 /avril /2021 20:09
Ne n’oublions pas la Libye déstabilisée, a déstabilisé nombres de pays ouest Africains.

Ne n’oublions pas la Libye déstabilisée, a déstabilisé nombres de pays ouest Africains.

Le Tchad de Idriss Déby, est une porte fermée à la propagation de l’inacceptable et de l’injustifiable, qui veut que les autres respectent les normes que l’humanité s’est donné, et que eux, ils les violent a volonté, pour se voir dorloté par l’humanité, au nom des valeurs humaines. Oui, disons-le, le Tchad d’Idriss Déby, fut la principale force militaire, qui a posé obstacle à la propagation du terrorisme dans la sous-région ouest Africaine durant les  30 ans dernière Années. Sans sa détermination au côté des Français, aujourd’hui Baptisé opération Barkhane, la sous-région ouest Africaine aurait connus un autre sort plus sinistre. En côte d’ivoire, il y a eu déjà Grand-Bassam visité par ces sinistres personnes, le plus facilement possible, malgré la très bonne odeur de nos « Bandji-Blanc, de nos Koutoukou, de nos Tchapalos, de nos Bière Solibra, de nos vins, de Whisky et de Champagne. Et Dja ! Que Gamian Pwbli ! Protège les Bars de côte d’ivoire». Grand-Bassam, une agression aussi traité de la façon la plus légère au Monde par les autorités ivoiriennes. Au lieu du trépas sur le champ ces sinistres personnes ont pris la tangente en douce. Et ça tape toujours à la porte de la frontière nord ivoirienne. Autant aider le fils Idriss Déby a maintenir le cap sur la porte fermé à l’inacceptable et à l’injustifiable, au cas contraire, le terrain des opérations ou Idriss Déby est mort au combat, peut se retrouvé à la porte de chaque état Ouest Africain. La revendication des hommes armés Tchadiens, comme rebelles et opposants, ne rassure pas, leurs dossards prêtent à caution, leur dossier des attaques, ne rassure personne. Les casseroles de leurs cuisines internes sentent la Charia. Ne n’oublions pas la Libye déstabilisée, a déstabilisé nombres de pays ouest Africains.

(Parole du Leader de la légitimité citoyenne)

 

(CRISE IVOIRIENNE, LIRE CI-DESSOUS SVP.)

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19 avril 2021 1 19 /04 /avril /2021 17:39
Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne, Au vestiaire et hors compétition.

Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne, Au vestiaire et hors compétition.

*- Non ! A  la déshumanité/inhumanité.

La côte d’ivoire a besoin de vérité pour guérir. Oui, les premiers pénalement responsables des exactions et des tueries, « crimes des crimes » de la crise ivoirienne résultante d’une rébellion armée, qui a fait plus de sept milles « 7000 » morts de citoyens, dont plus de trois milles « 3000 » citoyens tués, morts, zigouillés, pendant la seule période de la guerre «crise» postélectorale 2010, sont incontestablement aux yeux du droit international pénal et du droit international humanitaire, le tout chapeauté par le droit international Newyorkais, les «dirigeants» qui détiennent la direction et le conducteur de la puissance publique étatique ivoirienne, elle-même maitresse par excellence de la force publique de répression légale. Ceux-là même qui ont entre les mains les leviers de la justice ivoirienne, qu’ils téléguident et qui rend toute réelle justice impossible. Cela va engendrer un besoin criant de justice judiciaire et sociale, ou de vengeance, qui remettra en mal à coup sûr, toute la société ivoirienne dans un avenir proche.

Oui, dans le Vrais faux procès de la condamnation à vie, on nous parle, de l’irrecevabilité de la condamnation de l’accessoire des crimes, Amadé Ouremi solidairement avec l’Etat de Côte d’Ivoire. Oui ça c’est de droit, on ne peut admettre une solidarité de faits et droits, d’un simple accessoire de crime avec l’état de côte d’ivoire, avec lequel souverain, il n’a aucun lien de connexité, en l’absence des principaux auteurs rattaché à l’état. Oui, un « non-national » mercenaire, «chien de guerres errant» recruté pour la cause d’une guerre de conquête du pouvoir d’état, qui n’a occupé aucune fonction officielle, ni dans la société, ni dans l’armée en guerre, ni dans la hiérarchie du pouvoir commanditaire, seul assis sur le banc des accusé en l’absence de tout utilisateurs, lui qui n’est qu’un petit accessoire coopté dans la guerre et dans les crimes commis, ne peut engager la solidarité de faits et de droits, de l’état de côte d’ivoire. En droit, c’est du classique ! C’est justement pour cela que la justice ivoirienne  téléguide depuis le siège du pouvoir exécutif, premier criminel des faits querellés a pu taire les noms, nommément cités par l’accessoire, solitairement consigné sur le banc des accusé, afin d’obstrué la manifestation de la vérité dans la chaine de l’exécution des crimes pouvant conduire aux vrais responsables, qui trônent sur l’état..

C’est pourquoi la justice ivoirienne sous ordre du gouvernement ivoirien est disqualifié par les faits, rien que par les fait, d’être l’initiateur des poursuivre et des investigations contre toutes les personnes qui ont un lien, avec les faits de crimes de la crise ivoirienne, leur rôle dans les tueries, leur responsabilité dans les crimes et leur position actuelle d’arbitre, les disqualifies. Seule une justice non sélective qui anéantit le besoin de vengeance, peut répondre aux victimes qui exigent des représailles. Car la Cour qui inflige impartialement aux criminels de guerres le châtiment qu’ils méritent, répond par la même aux victimes qui exigent des représailles. Donc seule une  juridiction criminelle internationale, indépendante pourrait rendre une justice aux victimes des crimes commis à Duékoué et dans  l'ensemble de la crise ivoirienne, aux victimes des crises ivoiriennes. Avec des condamnations judiciaires soutenues par la responsabilité civile de l’état de côte d’ivoire aujourd’hui dédouané de toutes.

Donc, il convient de noter ici, que depuis la légalisation de la rébellion ivoirienne « STATUT DE BELLIGÉRANT » par l’accord inter-belligérant de Linas Marcoussis, qui a consacré de droit la reconnaissance internationale des deux parties à la belligérance avec devoir, droit et responsabilité égaux, jusqu’au rajouts de 2011, il est de droit, aux yeux du droit international pénal, que la responsabilité civile de l’état de côte d’ivoire est formellement engagée.  Pour les crimes de guerres, dont l’existence de préjudices à un lien de causalité entre le préjudice et le fait de  guerre générateur, est un dommage soumis à une évaluation telle qu’elle puisse assurer aux victimes une entière réparation du préjudice. Dans ce cas, les faits ou activités à l'origine de ce  préjudice confèrent la responsabilité à la personne physique ou morale dont ils dépendent. Ici la personne morale c’est l’état de côte d’ivoire. Donc, il convient dès lors de préconiser une voie sérieuse de dédommagement conséquent des VICTIMES DE GUERRES.

Oui, le rigorisme du droit international pénal sur ce sujet est intransgressible, la puissance publique, qu’est l’état à sa responsabilité engagée formellement et l’obligation d’indemniser engagée formellement en droit, quand il y a «expropriation, empiètement assimilé, responsabilité administrative et civile, incapacité de maintenir l’ordre et la sécurité de ses ressortissant ». Cette responsabilité étatique comprend en droit international pénal, tout acte ou tout fait causant un dommage à un sujet de l’état par violation d’une obligation, d’un droit réel à réparation, suite à un préjudice subi vis-à-vis et par la victime, dans ces cas on aura même plus besoin de recouvrir aux notions référentielles, «d’empiétement assimilé, à une expropriation de sacrifice spécial d’intérêt national». Cette responsabilité de l’état est aussi formellement engagée à raison des carences ou des insuffisances de son action de gestion, quand celle-ci entre en conflit avec des droits réels détenus par des tiers. Ainsi en droit même la simple carence en matière de prévention des risques de conflits, entraîne la responsabilité étatique vis-à-vis de ses ressortissants de l’état protecteur.

« Ici, se trouve tout le sens de  l’état de droit, qui se vit, et se pratique. Dans un état de droit personne ne soumet personne avec la contrainte de la force, tout le monde se soumet par obéissance aux normes consensuelles, aux organisations consensuelles, aux institutions étatiques qui en résultent. C’est par l’abandon par chacun d’une partie de ses droits naturels au profit de la société commune (entité) protectrice de tous, qui rend cet état de droit effectif. Un état de droit ne tient qu’à la reconnaisse matérielle des droits fondamentaux de tous, dans leurs originalités absolues, à l’intérieur de l’égalité de tous en droit et en devoir, et à la protection égale de tous de leurs personnes et de leurs biens ».

Donc il ressort, en effet du droit international pénal, la constance que, ce droit à la réparation par la puissance publique qu’est l’état, est automatique et inaliénable, s’il s’agit d’un droit inscrit dans les règles du droit international. Oui, depuis le 20eme siècle, déjà en 1928 la cours permanente de justice international « CPJ » a déclaré ; Il est un principe de droit international, voir une conception générale de droit international coutumier, que toute violation de droit dans un engagement conflictuel comporte l’obligation de réparer. Dans la même veine, les conventions internationales de protection des droits de l’homme et surtout la jurisprudence des organes de protections chargés de surveiller leur mises en œuvres mécaniques définissent l’obligation de réparation de l’Etat, puissance publique comme faisant partie de l’obligation de respecter et de garantir le respect des droits de l’homme. «Ici on n’a pas besoin des beaux yeux d’un pouvoir étatique au tour de ce principe de droit international, quand il s’agit de crimes supranationaux, comme en l’espèce en côte d’ivoire».

Donc, c’est de ce principe de droit international pénal, que découle la responsabilité civile de l’état de côte d’ivoire pour les préjudices subi par des tiers pendant la crise ivoirienne de 2002 à 2011 jusqu’à ce jour et dans l’ensemble. Et ces victimes doivent être dédommagées à toutes les échelles «économiques, sociales, et même morale» pour les dégâts causés par la belligérance de guerre de la crise ivoirienne. « STATUT DE BELLIGÉRANT du même état de côte d’ivoire reconnu par l’accord inter-belligérant de Linas Marcoussis ». Oui, l’état de côte d’ivoire est non seulement responsable des préjudices résultants des crimes atroces, mais il est aussi responsable des confiscations illégales et des occupations illégales immobilières « maisons, plantations, forêts et» qui ouvrent a réparations en droits international pénal. Cette responsabilité de dédommagement de l’Etat, la  puissance qui a mission de prévenir les conflits sociaux et de protéger ses ressortissants pendant les conflits sociaux est engagé dans la mesure où le recours contre les actes de la puissance publique a pour conditions que le requérant soit lésé dans un droit ou un intérêt protégé par le droit, en l’espèce les victimes doivent être dédommagés à hauteur du préjudice subi. «Le droit ne saurait se limité au bon vouloir d’un pouvoir étatique avéré criminel de guerre».

Oui, le pouvoir criminel d’Abidjan aux yeux du droit international pénal, résulte certes d’une rébellion armée, et d’une guerre unilatérale, mais l’état de côte d’ivoire demeure le civilement responsable des préjudices subis, tous les préjudices subis, pendant sa guerre d’agression délibérée. Mais il faut retenir aussi que, la condamnation de M. Amadé Ouremi,  un « non-national » mercenaire, «chien de guerres errant coopté par la rébellion,» recruté pour la cause d’une guerre de conquête du pouvoir d’état par les armes impies, qui n’a occupé aucune fonction officielle, ni dans la société ivoirienne, ni dans l’armée de conquête en guerre, ni dans la hiérarchie du pouvoir commanditaire de guerre aujourd’hui arrivé à ses fins, seul assis sur le banc des accusé en l’absence de tout utilisateurs, lui qui n’est qu’un petit accessoire dans la guerre et dans les crimes commis, ne saurait être solidairement avec l’Etat de Côte d’Ivoire. Donc il faut une vraie justice, pour avoir un vrai dédommagement. Oui ! L’humanité ne saurait s’accommoder de la déshumanité/inhumanité, d’une justice de façade, tarifiant la volonté d’un pouvoir étatique, avéré criminel de guerre. Hélas ! A défaut d’une Amnistie générale référendaire approuvée par le peuple souverain, « l’ultime souverain », le satisfecit ou la caution des vautours internationaux déclaré partie, ne suffira pas, non ! Donc, ce ne serait que partie remise, peut-être dans quelques années. «5 à 50 Ans, sinon plus». L’Humanité y veillera !

« Une amnistie générale référendaire, pour que le cadre organisationnel de la société commune « ces normes juridiques, ces élections démocratiques, et son processus électoral » qui peine à remonter à la surface des profondeurs abyssales, d’une crise sociale aiguë, issue d’une guerre d’agression et de conquête du pouvoir d’état par les armes impies « fusils », soit dispensé de la valorisation d’un pouvoir criminel, qui doit passer par la négation orchestrée des autres citoyens, qui sont considérés comme des vaches qui ne doivent demander qu’à manger» et surtout que ce cadre organisationnel de la société commune puisse tenir l’exigence rigoriste de la promesse républicaine, de l’égalité de chance dans la société commune, de l’égalité de tous en droits et devoirs, indépendamment des appartenances politiques, des origines individuelles, des convictions philosophiques, des croyances religieuses, sans aucune politique condescendante exhibitionniste de domination partisane. Et d’ouvrir à l’égal accès, les compétions de la représentation sociale, de la conquête du pouvoir étatique, qui est par excellence un concours de représentativité du peuple souverain, ultimes détenteur du pouvoir étatique. Cela dans la reconnaissance de tous dans leurs originalités absolues à l’intérieur de l’égalité tous, de faire entendre sa voix, autour de la chose publique et voir ses griefs soldées consensuelle-ment. Et le tout soutenu par la citoyenneté commune acceptée par tous, qui permet de gérer politiquement et paisiblement. Ceci permettra d’obliger la dévolution du pouvoir d’état placé à équidistance de tous les citoyens candidats sur la même ligne de départ, pour des élections, libres, transparentes, justes et ouvertes. Voilà l’enjeu majeur sociétal au terme de la crise ivoirienne ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

(Un centre-shoot au point de penalty): De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

*- Pour tout autres voir en dessous sur : www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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19 avril 2021 1 19 /04 /avril /2021 17:32
Après avoir été condamné en 2e instance, en 2018, il avait été emprisonné 18 mois et obligé de renoncer à la présidentielle dont il était le grand favori, selon les sondages.

Après avoir été condamné en 2e instance, en 2018, il avait été emprisonné 18 mois et obligé de renoncer à la présidentielle dont il était le grand favori, selon les sondages.

La majorité des juges de la Cour suprême brésilienne ont confirmé jeudi une précédente décision de la plus haute juridiction du pays confirmant l’annulation des condamnations au pénal de l’ancien président Luiz Inácio Lula da Silva.

La Cour suprême du Brésil a pris jeudi 15 avril une décision très favorable à Luiz Inácio Lula da Silva en confirmant l’annulation des condamnations pour corruption de l’ex-président de gauche, le rendant éligible pour la présidentielle de 2022.

« Avec cette décision de la Cour suprême, Lula est candidat », a réagi immédiatement le président d’extrême droite Jair Bolsonaro, laissant entendre que la population devrait s’inquiéter pour l'« avenir du Brésil » si l’icône de la gauche revenait au pouvoir.

Par une large majorité de 8 contre 3, les juges réunis en séance plénière ont confirmé la décision du juge Edson Fachin, qui avait estimé début mars que le tribunal de Curitiba (Sud) ayant condamné Lula dans deux procès n’était « pas compétent ».

Éligible à un troisième mandat

Ils ont donc également confirmé de facto que l’ex-président (2003-2010) était redevenu éligible à un troisième mandat et qu’il pourrait affronter Jair Bolsonaro au scrutin de l’an prochain.

« Si Lula revient par le vote, tout va bien. Mais imaginez quel sera l’avenir du Brésil avec le type de personnes qu’il amènera avec lui au gouvernement », a persiflé le président Bolsonaro lors de son direct hebdomadaire sur Facebook.

Lula, âgé de 75 ans, n’a pas encore confirmé officiellement qu’il serait candidat, même s’il a déclaré à plusieurs reprises qu’il se tenait prêt à revenir dans l’arène politique le moment venu.

Mais le choc des titans contre Jair Bolsonaro a déjà commencé, l’ex-président de gauche tirant à boulets rouges sur le président d’extrême droite, qu’il qualifie de « génocidaire » en raison de sa gestion chaotique de l’épidémie de coronavirus, qui a fait plus de 365 000 morts au Brésil.

« La Cour suprême a confirmé les droits (politiques) de Lula. C’est un jour historique. Ça a pris du temps, mais c’est arrivé », a tweeté dans la foulée du jugement de jeudi Gleisi Hoffmann, présidente du Parti des Travailleurs, cofondé par Lula en 1980.

Juge « partial »

La décision de la Cour suprême n’innocente toutefois par l’ancien syndicaliste sur le fond.

Lors d’une prochaine séance, les juges devront décider s’ils ordonnent le transfert du dossier à un tribunal de Brasilia ou Sao Paulo.

Les 11 juges devraient aussi ultérieurement décider si le juge Sergio Moro, qui avait condamné Lula à la prison en 2017, était « partial » et avait agi au détriment de l’ex-président de gauche. La deuxième chambre de la Cour suprême avait déjà penché dans ce sens le 23 mars.

Lula a notamment été accusé d’avoir perçu des pots-de-vin pour favoriser des entreprises du bâtiment dans l’octroi de marchés publics, liés à la compagnie pétrolière d’État Petrobras, dans le cadre de l’enquête « Lavage express ».

Mais il a toujours clamé son innocence et crié au complot politique pour l’empêcher de se présenter à la présidentielle de 2018, finalement remportée par Jair Bolsonaro.

Libéré en 2019

Après avoir été condamné en 2e instance, en 2018, il avait été emprisonné 18 mois et obligé de renoncer à la présidentielle dont il était le grand favori, selon les sondages.

L’ancien tourneur-fraiseur, auquel M. Bolsonaro avait souhaité de « pourrir en prison », avait été finalement libéré en novembre 2019. La Cour suprême avait jugé que l’exécution d’une peine n’était possible qu’une fois que les personnes condamnées avaient épuisé tous les recours.

La même année, Lula avait été condamné à 17 ans de prison en 2e instance dans une autre affaire : il avait été accusé d’avoir bénéficié de travaux sur le site d’une propriété rurale à Atibaia, dans l’État de Sao Paulo, en échange de contrats à une entreprise du BTP.

(Source presse Française). Avril 2021

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