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30 novembre 2020 1 30 /11 /novembre /2020 17:58
Lepetitfils : Nous sommes dans le peuple, nous sommes pour le peuple, nous convergeons avec le peuple. Peut-importe la destination. Tous ensembles !

Lepetitfils : Nous sommes dans le peuple, nous sommes pour le peuple, nous convergeons avec le peuple. Peut-importe la destination. Tous ensembles !

*- CHASSER ALASSANE OUATTARA !

 

A notre humble Avis, qui ne s’impose pas au peuple ivoirien dont nous sommes membre solidaire, l’appel au boycott des produits français risque de se retourner contre nous-mêmes ivoiriens et contre l’intérêt général ivoirien. A notre avis la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, ne figure pas parmi les pays du monde ou le boycott des produits français peut être productif de façon, économico-sociopolitique. Et surtout ce boycott des produits français servira largement la cause d’Alassane Ouattara dans le concert des nations. La France n’est pas le problème. Et travailler à pouvoir être le meilleur interlocutoire de la France est le mieux indiqué. Nous n’en développerons pas plus. « Mais, il n’y a-t-il pas des produits français qui se fabriquent ou se produisent en côte d’ivoire depuis l’indépendance ? ». Aussi si le peuple ivoirien solidaire, tous ensembles, décide de dire non ! Au troisième mandat d’Alassane Ouattara dans la rues, dans toute l’assiette territoriale nationale, et sur son passage en, CASSANT TOUT, EN FUMANT TOUT, EN ALLUMANT TOUT, EN FAISSANT FLAMBER TOUT, POUR CHASSER ALASSANE OUATTARA, personne au monde ne verra un seul soldat Français au secours de Alassane Ouattara. Mais se tromper de cible servira Alassane Ouattara. Mais si c’est ce boycott des produits français, qui est l’option voulue de la totalité sociale ivoirienne, alors nous sommes dans le peuple, nous sommes pour le peuple, nous convergeons avec le peuple. Peut-importe la destination. Tous ensembles !

 

Notre position ne date pas d’Aujourd’hui, voici entre Guillemet, ce que nous avons dit en fin 2011 quelque mois seulement après le kidnapping le plus honteux au monde. « Nous ne devons avoir aucune crainte, aucune peur, et aucune répugnance de l’occident, singulièrement de France, au contraire nous devons chercher des nouveaux moyens d’approches, d’attaches, pas celles de 1960 de nos grands-parents, mais des approches et des attaches nouvelles sans faux-fuyant pour rediscuter nos liens politiques, économiques, sociaux, relationnels et interétatiques. Pour nous les enfants de l’indépendance, les discours antioccidental, anticolonial, anti-impérialiste, sont démodé, dépassé et contreproductif pour notre génération. Nous avons plutôt besoin de frottement, de compétition, et de confrontation, avec tout le monde sur la planète terre commune. Nos sportifs sont des grands sportifs parce que, ils ont joué avec les meilleurs de l’occident et bénéficier de la technique des techniciens du sport de l’occidental, ceci est valable pour toute les relations humaines. Donc non ! À l’auto-enfermement et à l’auto-cadenas-sage. Nous devons plutôt refuser, en fier ivoirien d’être des valets, Boys de Luxe, que l’occident vient imposer à notre peuple souverain dans le feu et dans le sang au prix d’un soutien monnayable. Il faut donc nous départir de la victimisation, de la martyrisassions, et de l’esprit d’infériorité pour aller à la rencontre des peuples quels qu’ils soient, sans complexité et sans complaisance. Parce que, face à la difficile émergence d’une élite dirigeante ivoirienne capable de défendre les intérêts du pays, par une option politique claire, adapté aux pays émergents, face aux voracités de toutes sortes. Notre pays la côte d’ivoire n’a pas besoin de rupture brutale et systématique avec l’occident Singulièrement la France. Oui, des jeunes intellectuels « enfants des indépendances » majoritaires dans l’intelligentsia ivoirienne doivent s’activer dans des forces vives citoyennes existantes, souvent issues de la société civile. Cette jeunesse « enfants d’indépendance » doit vouloir tout à la fois, renégocier les liens économiques et politiques avec l’occident, ce qui est dans son intérêt, sans pour autant mettre celui-ci « la machine infernale de l’intelligentsia occidentale » en procès permanent ou sur son dos. Consensus oui, mais rupture brutale économique et monétaire non ! Animosité politique non ! Conformément à la politique de négociation des indépendances par le père fondateur FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Notre pays  n’est pas en panne d’idéal, nul dogmatisme, nul procès d’intention, nul rupture systématique,  nul enfermement du monde réel. Mais notre pays doit oser être lui-même en conjuguant tous les registres d’émancipation citoyenne. Et les bateaux du progrès reprendront la voie royale, universelle vers la lumière du développement économique et politique destinée à rendre la raison à la nécessité populaire sans qu’une seule goutte de sang ne soit versée. »…  C’est un simple Rappel qui date de fin 2011, ici pour dire que notre position face au boycott des produits français, n’est pas nouvelle mais que nous sommes dans le peuple quoi qu’il advienne. Alors nous sommes dans le peuple, nous sommes pour le peuple, nous convergeons avec le peuple. Peut-importe la destination. Tous ensembles ! Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).    

 

*- Pour tout autres et pour ample infos cliquez sur :www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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29 novembre 2020 7 29 /11 /novembre /2020 13:32
Lepetitfils : Alassane Ouattara ne doit pas exercer son troisième mandat illégal et illégitime sur la tête des ivoiriens. Non ! Alassane Ouattara mérite la Poubelle de l’histoire de la côte d’ivoire. Alassane Ouattara entend célébrer son investiture sur nos 150 morts, sur nos blessures, sur nos droits et libertés. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

Lepetitfils : Alassane Ouattara ne doit pas exercer son troisième mandat illégal et illégitime sur la tête des ivoiriens. Non ! Alassane Ouattara mérite la Poubelle de l’histoire de la côte d’ivoire. Alassane Ouattara entend célébrer son investiture sur nos 150 morts, sur nos blessures, sur nos droits et libertés. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Nous taire jamais ! L’essentiel est en jeu.

Il faut Bloquer cette dynamique démoniaque mortifère et décomposé ou renversé ce système prédateur de jungle. Si jamais dans quelques jours, Alassane Ouattara procède à son investiture annoncée pour le 14 décembre prochain dans une côte d’ivoire non-renversante à feu et à sang, non-bouillonnante à l’extrême, mais dans une côte d’ivoire dormante, comme rien n’était, le monde des démocraties civilisées, risque de désespérer un moment de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Donc pour se faire, si l’ivoirien a besoin de repère, il y a  les français, dont la votation politique d’une loi ordinaire à l’Assemblée à provoquer une virulente protestation citoyenne en France. Le Gouvernement à reculer il ne reste plus que le parlement qui n’a pas grande chose perdre. Le peuple ivoirien doit s’opposer à l’arbitraire du pouvoir du troisième mandat d’Alassane Ouattara, pour qu’il dégage de la propriété exclusive de la totalité sociale souveraine, qu’est le pouvoir d’état. Le peuple ivoirien doit faire pièce au pouvoir du troisième mandat d’Alassane, pour l’aider à partir par n’importe quelle porte de sortie. Le peuple ivoirien doit provoquer l’arbitraire du pouvoir du troisième mandat d’Alassane Ouattara, jusqu’à ce qu’il lui colle la paix Houphouët-ienne. Oui, il est certain aujourd’hui, que soit, nous serons collectivement capables de mobiliser le tout peuple pour chasser Alassane Ouattara et d’ainsi faire pièce à ce arbitraire pour le meilleure des dynamiques au profit de notre propre façonnage sociopolitique, soit pour le pire nous serions nous-mêmes tous ivoiriens façonnés par cette dynamique unilatéraliste démoniaque devenue sacrément folle.

Donc tous ensembles, et en même temps dans la rue opposante consensuelle et équilibriste critique, c’est-à-dire, les citoyens, côtes à côte, coude à coude pour chasser le pouvoir du troisième mandat d’Alassane Ouattara. Son investiture annoncée pour le 14 décembre prochain est une insulte au peuple souverain ivoirien. Il faut bloquer cette dynamique démoniaque mortifère, (trop de morts citoyens 7000, auquel vient de s’ajouter 150 nouveaux morts zigouillés) et de renverser ce système monarchiste, ploutocratique, mercantiliste, mafieux, sadique, pervers devenu de plus en plus autocratique, pour replacer l’être humain au centre du débat, le citoyen au centre de la problématique sociale et sociétale. Et d’unir la nation contre la monarchie Ouattara qui veut  la diviser pour mieux la déchirer. Pour démontrer que la légitimité démocratique du pouvoir d’état appartient au peuple souverain. Ce peuple consentant peut déléguer tout ou partie de son pouvoir à son gouvernant, il peut également le retirer à tout moment, en tous lieux et en tous temps. Oui, la dictature a horreur de tout ce qui  constitue  une menace réelle, même démocratique et légale, pour son pouvoir arbitraire. La dictature de, Alassane Ouattara n’a pas failli à cette règle de la peur de son propre ombre. Et il entend célébrer son investiture sur nos corps inertes 150 morts au total, sur nos blessures plus du millier, sur nos malheurs, sur nos désespoirs et sur nos souffrances au quotidien.

Le pouvoir d’Alassane Ouattara ne prépare pas l’avenir mais la met en danger, nous sommes devant un précipice abyssal, excaver par le troisième mandat illégal et illégitime, et creuset de l’intervention populaire dans la rue sous toutes ses formes, pour préserver les voies du développement humain et le progrès pour tous, qui ne laisse personne au bord de la route du bonheur. Oui notre pays la côte d’ivoire, offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Oui, les crises sociopolitiques s’accumulent et Alassane Ouattara adopte toujours la même attitude : ne pas les résoudre, quand il ne les aggrave pas, sciemment pour confisqué le pouvoir. Les poursuites judiciaires téléguidées et effrénées s’accentuent du jour au jour. La côte d’ivoire ne s’en sortira de cet engrenage qu’au terme d’une fédération de toutes les forces régulatrices pour le changement dans notre pays. Pour enfin barrer la route de la destruction et de la dégénérescence sociale du troisième mandat du pouvoir prédateur ultralibéral de jungle de, Alassane Ouattara, à l’imposture politique de, Alassane Ouattara, à la dictature des intérêts financiers extérieurs qui soutiennent Alassane Ouattara. « Donc comme déjà dit, bloquer la dynamique démoniaque mortifère et décomposé ou renversé ce système ultralibéral prédateur de jungle devenu pervers, criminel, obscurantiste et mafieux. Afin de replacer l’être humain au centre du débat sociopolitique, le citoyen au cœur de la politique développementale ».

*- Alassane Ouattara mérite la Poubelle de l’histoire de la côte d’ivoire

Nous avons toujours dit répéter que : Chaque génération de citoyens a la lourde tâche de juger de la légalité juridique, de la légalité démocratique, et de la performance politique de son gouvernement et d’en tirer les conséquences. La jeune génération d’ivoirien, avec elle le peuple ivoirien, a évalué le pouvoir monarchiste actuel d’Alassane Ouattara et est arrivé à la conclusion définitive suivante que: pour raffermir l’unité de la nation, préserver la paix sociale, instaurer la justice dans l’égalité de tous, ramener la prospérité et restaurer l’image ternie de la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët  Boigny défigurée à jamais dans le concert des nations. Qu’elle, «nouvelle génération», fer de lance par excellence de la Nation, et le peuple souverain doivent se débarrasser de ce pouvoir du troisième mandat d’Alassane Ouattara. Étant donné que dans l’histoire de l’humanité un tel pouvoir pourri, malhonnête, mafieux et soutenu par une caste de groupe d’hommes politiques affairistes, de voyoucratie, de mangecratie et sauteurs sans foi, ni loi, n’a jamais renoncé volontairement de lui-même à ses privilèges indus. La jeune génération d’ivoirien et le peuple ivoirien n’ont d’autre choix que de se battre. C’est le devoir absolu, non négociable de cette jeune génération d’ivoirien.

Une génération qui ne demande pas de comptes en se battant, au risque de sa vie physique, pour ses droits inaliénables et pour ses libertés fondamentales, une génération qui ne règle pas de comptes sociopolitiques a ses dirigeants, et qui se contente de suivre le sens indiqué par un pouvoir arbitraire et de suivre le courant des mouvements sociaux, sans les infléchir, est une génération inutile. Une génération pour rien. Une génération perdue, pour elle-même et pour sa patrie. Ce genre de génération est comme un chaînon en bois dans une chaîne de générations en fer. Ce chaînon en bois cède un jour ou l’autre pour provoquer la cassure sociale et sociétale. Chaque génération, de chaque époque, doit être digne de sa société, doit marquer positivement son temps. Donc soyons les dignes représentants des nôtres en défendant les vrais intérêts généraux. Surtout en empêchant l’exercice du troisième mandat illégal et illégitime d’Alassane Ouattara. Ne soyons donc pas la génération de la honte ou la honte d’une génération. Non ! Nous ne le serions jamais. A la vie ! Le reste on s’en fout ! Donc nous taire jamais ! Alassane Ouattara ne doit pas exercer son troisième mandat illégal et illégitime sur la tête des ivoiriens. Non ! Alassane Ouattara mérite la Poubelle de l’histoire de la côte d’ivoire. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

(LIRE CI-DESSOUS SVP)

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26 novembre 2020 4 26 /11 /novembre /2020 16:34
Lepetitfils : Il est d’intérêt public et de la nécessité absolue pour la société ivoirienne, que le lien de rattachement social atavique, le lien de rattachement territorial ancestral, les liens de rattachement Moral et  les rafistolages des fibres intercommunautaires immémoriales, des dirigeants politiques, avec les peuples qu’ils gouvernent ou prétendent vouloir gouverner, doivent être extrêmement très solides. Ainsi la vérité historique garantie les libertés individuelles et la mise hors de danger de la totalité sociale, se réalise de lui-même par le consensus national.

Lepetitfils : Il est d’intérêt public et de la nécessité absolue pour la société ivoirienne, que le lien de rattachement social atavique, le lien de rattachement territorial ancestral, les liens de rattachement Moral et les rafistolages des fibres intercommunautaires immémoriales, des dirigeants politiques, avec les peuples qu’ils gouvernent ou prétendent vouloir gouverner, doivent être extrêmement très solides. Ainsi la vérité historique garantie les libertés individuelles et la mise hors de danger de la totalité sociale, se réalise de lui-même par le consensus national.

(PRENDRE SON TEMPS, MAIS A LIRE ABSOLUMENT.)

 

*- (Il serait borné, aride et taré, de dire que le boycott est un choix, donc un Vote).

 

Bon ! Il en va de la médecine comme de la politique. Il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Si l’élection présidentielle ivoirienne querellée, avait ouvert à tous les citoyens ivoiriens et à tous les partis politiques ivoiriens, à l’égal accès, la compétions électorale démocratique, pour la conquête du pouvoir étatiques, qui est par excellence de par le monde, un concours de représentativité du peuple souverain, ultimes détenteur du pouvoir d’état, et surtout, si elle avait tenu la promesse républicaine, de l’égalité de chance dans la société commune, de l’égalité sans exclusif de tous en droits et devoirs indépendamment des appartenances politiques, des origines individuelles, des convictions philosophiques, des croyances religieuses, sans aucune politique condescendante de domination partisane, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, aurait fait l’économie de la crise postélectorale actuelle. Et sauver plus de 150 vies de jeunes citoyens morts zigouillés, dans le camp du refus de légitimé une sale forfaiture électorale, orchestré par Alassane Ouattara et exécuter par sa Camarilla criminelle. Or la confiscation systémique du pouvoir, à décider du sort de l’élection, d’où la crise aigüe actuelle.

 

Le boycott des élections, est un refus de légitimer une mascarade. La démocratie représentative est certainement le fruit d’un compromis négocié dans le sang des révolutions des cinq «5 » derniers siècles, entre les exigences dictatoriales et l’aspiration profonde des couches populaires, à la maîtrise de leur vie et de leur destin collectif. De sorte qu’en l’absence de vote efficace, qui ne respecte pas le principe d’un homme, une voix, les citoyens utilisent alors leur seul autre moyen d’exercer un contre-pouvoir, le boycott actif et la désobéissance civile ou l’insurrection populaire, pour espérer obvier une aliénation de fait, de la souveraineté populaire. Puisque, le fonctionnement de la démocratie représentative se trouve radicalement faussé, quand la souveraineté populaire se trouve aliénée. Dès cet instant, lesdits élus détenteurs du pouvoir, n’agissent plus en tant que mandataires de leurs électeurs, mais en tant que souverain absolu. Donc les citoyens boycottent les élections présidentielles pour délégitimer la structure du pouvoir, qui en ressortissent, illégalement et illégitimement dans le mépris des droits.

 

Oui, une démocratie participative fonctionne sur le mode du débat démocratique et pluraliste, l’abstention par boycott est le signe de son inexistence. Et Lorsqu’on contourne cette réalité irréfragable, par des questions politiciennes, qui paraissent impropres à la démocratie, le rapport de force supplante la démocratie. On entre alors dans un système mafieux de non-droit et la sphère publique se trouve désertée par boycott. Car ce n’est pas là que s’attribuent les pouvoirs démocratiques, et que se prennent les décisions publiques équitables, salvatrices, novatrices et salutaires. Donc l’abstention par boycott accrédite l’idée illusoire qu’il pourrait exister des solutions légales, qui ne passent pas par la politique politicienne, fruit des rapports de forces d’Animosité ou d’Animalier, pour l’exercice du pouvoir d’état, au mépris des règles démocratiques et des droits du citoyen. Donc, on s’abstient, on boycotte, mais on fait confiance à la protestation légitime pour faire entendre sa voix citoyenne. Le boycott est un signe de manque de confiance, de désespoir, qui résulte du processus électoral cadenassé et bâclé, aux résultats téléguidés connus d’avance, via  un système qui schématise le trucage avec du : «déjà géré, déjà calé et déjà bouclé», et le boycott est une prise de conscience d’une contrainte de non-droit, transporté par des normes anomique et une forme ou procédure juridique viciée. Ce qui n’est pas précisément une posture de citoyen libre et indépendant. Et c’est pour cela que le boycott débouche toujours sur des crises politiques aigues.

 

*- Le vivre en commun de partage d’une société.

 

Mais pour, du même coup, redonner un sens à la souveraineté populaire, il faut aussi que ce boycott, ne se limite pas à l’abstention par boycott, mais débouche sur une intervention démocratique positive et que les partisans du boycott se regroupent, forment des comités ou toutes autres structures collectives, et débattent, non pas du choix d’un individu, qui irait exercer le pouvoir à leur place, mais des transformations de l’organisation politique et sociale, qui redonneraient à chacun d’entre les moyens une existence décente, et une prise sur le destin collectif. Car le système qui opprime les citoyens, n’est pas spécifiquement un système électoral bâclé, mais un pouvoir aux mains d’un système politique exploiteur de misère, celui-ci s’efforce de gouverne en se servant des élections ou pas. Mais, puisqu’ils ne sont pas élus, ils se moquent aussi que les citoyens participent ou pas au vote du moment, et que les citoyens ne font rien d’autre pour leur ôter leur pouvoir mal-acquit. Donc ce pouvoir continuera à jouer la carte de la légalité «respect de la loi électorale viciée» sans se préoccuper de la légitimité que ne pourrait lui procurer qu’un vote massif, qui n’a aucune chance de se produire dans son mafieux système.

 

Qu’importe cette légitimité que ce pouvoir n’a aucune chance d’obtenir, eu égard au massif boycott actif et à la désobéissance civile ou l’insurrection populaire, puisqu’un simulacre de légalité, basé sur son système électoral et sur le respect d’une loi électorale taillée sur mesure, suffit à ce pouvoir pour garder la haute main sur le pays et toute la richesse nationale du pays. Et ainsi de dangereux ressentiments susceptibles de fragmenter encore plus la cohésion sociale pourraient évidemment en résulter. Puisque la véritable démocratie, c’est quand des millions d’opprimés font de la politique, en choisissant librement leur représentation nationale. Donc il serait borné, aride et taré, de dire en côte d’ivoire que le boycott est un choix, donc un Vote. C’est du classique en politique, en démocratie réellement participative, d’où l’actuelle crise ivoirienne, qui a pour but de s’opposer à une mascarade électorale, par tous les moyens Humains. Oui, que les moyens légaux se mettent en congé, parce que la fondation de l’architecture est illégale. Cette crise orchestrée par Alassane Ouattara, résulte d’une violation flagrante et répétée de la constitution, déjà initialement viciée, dans sa procédure d’élaboration. Dans un état républicain de droit, la constitution, socle de la société, est supposée être l’affirmation de la volonté du peuple souverain entier.

 

C’est pourquoi l’élaboration d’une nouvelle constitution, obéit à des règles strictes universelles, qui exigent la formation d’une assemblée constituante originaire, mandatée par le peuple souverain ou ressortissante exclusive du peuple souverain. (La constitution de 2016 a-t-il obéit à cette règle ? C’est ainsi aisé de savoir que, le tout a véritablement commencer-là. Quand on sait qu’il est de droit international coutumier «le droit des droits» que ; Le pouvoir constituant originaire est l’organe dont le rôle est de créer une constitution dans un état naissant ou un état qui a subi un bouleversement politique d’ordre international, tel une guerre ou d’ordre national, tel une révolution, un coup d’état ou un changement de régime politique. Ceci est du droit international coutumier). Et c’est pourquoi, dit-t-on souvent, que pour voir une société, pour dire une société, pour rencontrer une société, pour raconter une société, pour entendre une société, pour connaitre une société, qu’il n’est pas, en droit, d’autre instrument légal que la constitution qui régit la société. Par ce qu’elle est l’acte fondateur de la société, en ce qu’elle énonce les principes inviolables sacrés autour desquels se construit le vivre en commun Sociétal.

 

*- Avec déjà 150 citoyens Morts zigouillées, nous avons Mal à notre Pays.

 

Donc, là ou une constitution socle de la société commune peut être violé impunément à souhait et à volonté d’un pouvoir, est une société sans racine. Donc la violation de la constitution de 2016 à l’élaboration initiale viciée, qui a fait aujourd’hui des centaines de Morts «continus», à commencer depuis 2016 à l’élaboration de ladite constitution viciée et aujourd’hui violée. Qu’on se le tient pour dit: Ici la loi c’est Alassane Ouattara, toutes autres lois ne sont qu’un leurre, un chiffon de papier, une attrape nigaude, pour ceux qui n’ont pas de fusils. Et ici la loi est destinée à inculquer aux faibles le respect des forts, qui ont les armes « fusils ». Ici la règle de loi, est que le pouvoir est au bout des fusils ! Alassane Ouattara ne s’est jamais accommodé du droit en politique. Lui ou Rien. Sa position ou la terre brulée. C’est pourquoi, avec le pouvoir d’Alassane Ouattara, les fusils sont devenus l’unique mesure de valeur sociopolitique, ou les fantassins soudards, les milices, imposent tous leurs travers au peuple ivoirien dans l’impunité totale, dans un pays au couleur quotidien du sang Humain. «Plus de 150 jeunes morts zigouillés en moins de 60 jours. Quoi de plus normal, quand on sait que des gens qui n’ont jamais eu un salaire auparavant avant septembre 2002, sont à des postes étatiques juteux, quand on sait que, des gens dont rien ne prédestinait à être des cadres de l’administration, sont injectés dans la haute sphère de l’état ou dans la représentation nationale diplomatique, sinon bombardés ministres, le tout par la forces arbitraire des armes, devenue le seul mérite sociale et la seule mesure de valeur sociopolitique, dans une côte d’ivoire en liquidation.

 

Oui, disons-le, des Valets Niais, Croupions, cornichon, qui n’étaient que de simples fantassins ou les plus gradées Caporaux, étaient sous le commandement d’un sergent débile, sont devenus milliardaires et ont monté en grade au mépris de toutes règles, des simples chasseurs de gibier devenus des chefs militaires et le tout devenu des milliardaires arrogants. Quand on sait que, des simples petits escrocs, vautours des finances publiques, sont assis sur des trésors de milliards. Quand on sait que la possible faisabilité d’un troisième mandat, illégal et illégitime est uniquement due à la détention des armes «Marfas». Quand on sait que, tous ces mondes vampiriques sont tous branché en véritable sangsues à la manuelle des caisses publiques, de nos ressources naturelles souveraines, « terre, diamant, or, pétrole etc.» et les régies financières étatiques, avec le soutien d’une mafia international, devenue validant, de tous les non-droits politico-électoral en côte d’ivoire, y compris ce honteux mandat illégal et illégitime. Oui, quoi de plus normal, quand l’arbitraire de l’injustice juridique et de l’injustice sociale à force de loi, dans une côte d’ivoire mise en liquidation mafieuse, et réduit a l’état de caisses noires ostensible de butins de guerres de conquête du pouvoir par les armes impies d’une éhonté mafia internationale sacrement sectaire.

 

Nous avons déjà dit, qu’Alassane Ouattara mérité le TROU. Oui, le Trou qu’indique le droit international pénal, le trou pas à la CPI, mais a la MACA nationale, pour ses crimes de guerres, ses crimes contre l’Humanité et ses tueries intempestives, au terme des crises sociopolitiques cyclique, qu’il orchestre à volonté. En égrenons-en : Les faits indéniables de violations répétées des constitutions et principes constitutionnels par Alassane Ouattara : Le 24 décembre 1999 «coup d’état réussi». Les 18-19 septembre 2002, «coup d’état manqué transformer en rébellion qui a fait 7000 Morts zigouillées. En 2010 candidature anticonstitutionnelle «en violation de la constitution 2000. En 2O11 auto-proclamation élu «au mépris des prescriptions constitutionnelles et une guerre délibérée de crise postélectorale». En 2O16 élaboration unilatérale d’une constitution estampillée troisième république, «Alors que, depuis le 7 Aout 1960, le régime politique ivoirien a toujours été présidentiel sans interruption». Le tout, au mépris de toutes les règles universelles de la matière constitutionnelle, surtout en dépit de la souveraineté absolue du peuple constituant originaire. Et en 2020 candidature illégale et illégitime «pour un troisième mandat anticonstitutionnelle en violation des prescriptions constitutionnelles de sa constitution viciée, qui limite le nombre de mandats a deux (2) dans la continuité de la constitution de 2000 source de ses deux (2) mandat consommés.. C’est ce qui a occasionné une crise qui a déjà fait plus de 150 citoyens zigouillées». Et enfin question: En 1993 qui était retissant à l’application de l’article 11 de la Constitution du 3 novembre 1960 ?

 

*- Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois.

 

Donc en Côte d’ivoire, l’essentiel sociétal est désormais en jeu, donc, on ne peut se taire face à la violation de la constitution, et tous les crimes qui s’en suivent, plus de 150 jeunes ivoiriens tués par les sicaires et miliciens du Roi, Alassane Ouattara. Alassane Ouattara mérite d’être jeté aux geôles de l’oubliette historique de nos histoires sociétales des hommes politique faillis. Aujourd’hui, Alassane Ouattara n’est vraiment à sa juste place que sur le banc des criminels accusés d’une juridiction de répressions des crimes contre l’humanité. Parce que ses faits de gouvernances, y sont irréfragable-ment bien logé dans le champ d’application des normes du droit internationale pénale. Alassane Ouattara est admissible au «Trou» international. Alassane Ouattara a échoué lamentablement sur toute la ligne, à instaurer un réel état de droit, un état réellement démocratique et surtout a réconcilié le peuple ivoirien et à Refaire de la côte d’ivoire, un état de droit et une nation une et indivisible. D’où nos tocsins intempestifs. Parce que, nous sommes peinés, agacés, sinon attristés, de voir et d’entendre la côte d’ivoire, cette expérience de consensus politique, de dialogue national, du asseyons-nous pour discuter à l’Africaine et de paix sociale. Oui cette culture de non-violence, d’harmonie intercommunautaire et d’union nationale à toute épreuve.

 

Cette expérience de l’exaltation de la diversité solidaire, cette solidarité nationale agissante, assise sur la reconnaissance de l’autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous. C’est à dire reconnaitre l’autre comme différent et l’admettre comme son égal en droit et devoir Initié, par FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Hélas ! Peinés, agacés, et attristés, disons-nous, de voir cette société autrefois havre de paix devenir une boucherie à ciel ouvert aux yeux du monde. Ou les hommes ivoiriens sont massacrés à souhait et a volonté, d’un homme au service des grands intérêts mafieux. Soutenue par une minorité opportuniste d’hommes politiques mafieux, qui méprisent le droit, les libertés et la démocratie. Qui ont transplantés toutes les politiques chaotiques, toutes les crises sociales d’animosité de la  planète en côte d’ivoire, destinée à la désocialisation à petit feu, sous la houlette du Moi ou Rien, sinon la Terre Brulée. La côte d’ivoire est parti le 07 Aout 1960, sous la conduite de Félix Houphouët Boigny, avec la Religion de «pas une seule goutte de sangs Humain versée sur le sol ivoirien» avec l’option rigoriste que tout homme est homme, indépendamment de sa Caste, et que les hommes sont égaux en droit et en devoir dans la société, qui s’oblige à organiser la solidarité envers les plus faibles de sa peuplade, pour devenir une côte d’ivoire paisible. Ou tous les changements étaient possible, mais dans l’ordre social, dans la stabilité, dans le respect des lois, et de la paix sociopolitique, cette autre religion Houphouët-ienne 

 

Donc, ici, pour notre part, «peut-être pauvre parolier», nous souscrirons aux principes d’un dialogue avec Alassane Ouattara, le jour ou Alassane Ouattara dira au peuple souverain ivoirien, avec des arguments clairs et  convainquant, pourquoi, il a refusé la demande de rencontre pour discuter de toute l’opposition ivoirienne unie, au moment où les pourparlers étaient bloqués sur l’ouverture réelle de la CEI a l’opposition pour aboutir des élections propre. Et pourquoi il a méprisé les décisions de la Cour Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples, qui édictent les normes électorales conformes aux normes internationales. Des arguments clairs d’Alassane Ouattara nous engageront, sur son option d’Hier, «pas de discussion sur la CEI», par rapport à son option d’aujourd’hui «Il faut qu'on se parle. Il n'y aura pas de transition». Nous ne sommes pas du suivisme moutonnier, du panurgisme alimentaire, derrière des gens mafieux, escrocs moral et intellectuel, aux Auras factices nébuleux, fondés sur des fausses notoriétés griot-tique et propagandistes, afin d’escroquerie morale et intellectuelle. Aujourd’hui donc, il faut se détromper, parce que, personne d’autre, ni même un dieu, ne viendra résoudre de façon magique, les problèmes sociopolitiques de la côte d’ivoire, en lieu et place des ivoiriens eux-mêmes.

 

Cette solution exige des sacrifices du don de soi, qui ne tombera pas du ciel. Donc, puisqu’il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic, le mal de la patrie est ici diagnostiqué. Il ne reste plus aux ivoiriens, que de ne plus obéir à l’administration illégale et illégitime de Ouattara, de quelque manière que ce soit. Donc refus d’obéir aux injonctions de tous les fidèles de, Ouattara, y compris les élus, quels qu’ils soient. Refus de payer les Impôts, refus de payer les Taxes, refus de respecter les règles Douanières, pour les nationaux ivoiriens, refus de sorties des caisses publiques, etc. De sorte que l’administration illégale et illégitime de, Ouattara n’ait plus rien à faire. Que rien ne l’obéit plus, que ses fichus ministres ne commandent plus rien, que son autorité fiche le camp, que Ouattara perd lamentablement la main, donc que n’ait plus rien entre les mains, donc qu’il  n’arrive a plus à rien faire, et qu’il s’en aille par la plus petite porte. Voilà le remède succédané, de la révolution populaire dans la rue pour être maitre de son destin. Donc, osons prendre le taureau par les cornes pour changer notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Au cas contraire l’ivoirien sera réduit à court terme à l’état d’un Cabri « Bouc » du désert entre les mains d’un boucher sahélien. Et vive les massacres intempestifs a volonté d’un Roi…

 

C’est pourquoi, il est d’intérêt public et de la nécessité absolue pour la société ivoirienne, que le lien de rattachement social atavique, le lien de rattachement territorial ancestral, les liens de rattachement Moral et  les rafistolages des fibres intercommunautaires immémoriales, des dirigeants politiques, avec les peuples qu’ils gouvernent ou prétendent vouloir gouverner, doivent être extrêmement très solides. Ainsi la vérité historique garantie les libertés individuelles et la mise hors de danger de la totalité sociale, se réalise de lui-même par le consensus national. Ce qui est gage de la reconnaissance de tous dans leurs originalités absolues à l’intérieure de l’égalité de tous. Le sentiment d’appartenance sociale atavique annihile les instincts de violences et de barbaries des plus forts à l’égard des plus faibles dans une société. Et amène les plus forts à organiser la solidarité envers les plus faibles dans la société. Ici point d’armes «fusils», point de justice arbitraire, et point de tueries. Bon ! : « Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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20 novembre 2020 5 20 /11 /novembre /2020 20:30
Lepetitfils : Si on ne peut pas chasser Alassane Ouattara au prix que cela mérite, hélas ! La question qui se poserait serait alors de savoir est-ce qu’il ne convient pas de le laisser faire ce qu’il veut dans le pays et de notre pays ? Les ordres doivent être donnés  et des décisions risquées doivent être prise. Parce qu’il faut chasser Alassane Ouattara au prix que cela mérite.

Lepetitfils : Si on ne peut pas chasser Alassane Ouattara au prix que cela mérite, hélas ! La question qui se poserait serait alors de savoir est-ce qu’il ne convient pas de le laisser faire ce qu’il veut dans le pays et de notre pays ? Les ordres doivent être donnés et des décisions risquées doivent être prise. Parce qu’il faut chasser Alassane Ouattara au prix que cela mérite.

*-Il faut chasser Alassane Ouattara au prix que cela mérite.

Alassane Ouattara continu de poussé ses pions, pour la confiscation du pouvoir d’état : Il est inscrit dans le schéma de passage en force électoral d’Alassane Ouattara que la dernière phase soit la demande de libération des hommes politiques par lui président de la république imposé comme tel. Donc il avait bien prévu d’arrêté les opposants récalcitrants après son auto-proclamation, pour que leurs libérations soient une caution pour son pouvoir. Donc que cela doit se faire dans sa reconnaissance comme président élu de droit. Le peuple ne doit plus accepter de souffrir l’injustice de la dictature aveugle. Il est temps de dire non, ça suffit ! Que s’est trop indécent pour l’image de la côte d’ivoire. Il faut dire que ça suffit ! Parce que, le monde n’est plus en un temps où les peuples, illettrés, privés de savoir et soumis aux rudes épreuves d’une dictature sanguinaire, reconnaissaient volontiers leurs insuffisances intellectuelles, leurs incompétences organisationnelles et acceptaient d’être dirigé par une dictature sanguinaires ou par les puissants détenteurs des armes «fusils», comme Alassane Ouattara et ses fusils « Mârfâs » et leurs porteurs.

Donc, même s’il faut casser dans tous les sens, fumer dans tous les sens, allumer dans tous les sens, faire flamber dans tous les sens, pour y arriver à chasser Alassane Ouattara, il faut le faire. Donc la solution exige, que les routes se mettent en congé, pour cèdent le droit aux barricades citoyennes. Que les patte-d ‘oies se ferment d’eux même, en invitant les pierres sans ailes à voler en escadrille comme la merde, de jour comme de nuit, en non-stop, pour que les vieux pneus crachant d’énormes fumées de jour comme de nuit, (désobéissance civile oblige !) . Parce qu’il faut chasser Alassane Ouattara au prix que cela mérite. Un peuple sous l’emprise d’un pouvoir dictatorial ne peut chasser cette dictature. Il faut se défaire de l’emprise et agir comme peuple souverain. Le comportement diplomatique de peuple docile profite à Alassane Ouattara lui seul. Quand on marche vers un but que l’on désire, il y a deux (2) conditions à remplir :  il faut premièrement que l’on y veuille aller à tout prix, en second lieu, que l’on soit disposé à faire tout ce qui est humainement possible, et surtout qu’on soit prêt à faire le pire des sacrifices pour se donner les moyens pour que ses pieds l’y porte vers ce but. Donc ce principe et/ou cette maxime édicte que, un paralytique veuille courir, et qu’un homme agile ne veuille pas courir, tous deux resteront en place statique, inerte. Si on ne peut pas chasser Alassane Ouattara au prix que cela mérite, hélas ! La question qui se poserait serait alors de savoir est-ce qu’il ne convient pas de le laisser faire ce qu’il veut dans le pays et de notre pays ? Les ordres doivent être donnés  et des décisions risquées doivent être prise. Parce qu’il faut chasser Alassane Ouattara au prix que cela mérite.

De lepetitfils Da Candy (en exil)

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19 novembre 2020 4 19 /11 /novembre /2020 18:32
Lepetitfil : Oui il y a absolument matière à combat à mort, pour que le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il n’y a point de développement, le respect de la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par le père de la nation Felix Houphouët Boigny, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays. Combat à mort ! Et de maintenir le cap jusqu'à la victoire finale.

Lepetitfil : Oui il y a absolument matière à combat à mort, pour que le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il n’y a point de développement, le respect de la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par le père de la nation Felix Houphouët Boigny, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays. Combat à mort ! Et de maintenir le cap jusqu'à la victoire finale.

*- Le cheval à enfourcher, et la distance à parcourir bien déterminée.

 

Alassane Ouattara ne pouvait pas  ouvrir le jeu politique a tous égaux en droit, il ne pouvait pas parler avec l’opposition ivoirienne avant l’exécution de Son passage en force électoral, mais celui-ci étant exécuter avec maestria. Voici un extrait de l’onirisme d’Alassane Ouattara : « Il faut qu'on se parle, il faut arrêter ça », « Nous devons continuer à vivre ensemble dans la paix », avec moi Alassane Ouattara comme président de la république. Le «pardon mutuel et la tolérance dans les décombres de plus de 150 morts» quoi ! C’est ça la paix en côte d’ivoire. Sinon c’est la terre brulée en côte d’ivoire sans moi Alassane Ouattara président de la république. Donc «Pour tous ceux qui se font des idées sur une transition, ils peuvent toujours rêver : il n'y aura pas de transition en Côte d'Ivoire !». Ici c’est très clair pour l’ivoirien, il y a le cheval à enfourcher, la distance à parcourir bien déterminée. Citoyen ! La situation est très explicite et très clair ici, le combat à mort, alors advienne que pourra !

 

*- Le Temps presse ! On n’a plus le Temps de laisser le Temps au Temps.

 

Nous ne changerons pas nos dires et nos positions, pour plaire à un pseudo-Roi. Aujourd’hui le postulat qui s’offre à la côte d’ivoire est simple : (Il faut au peuple ivoirien une révolution synergique, « la science politique définit ce mot par un changement radical de régime ». Donc il s’agit pour le peuple souverain ivoirien, d’engager un bras de fer entre lui, Alassane Ouattara et sa dictature. Oui, il faut au peuple ivoirien de tous bords, à rang serré, compact, et rafistolé a jamais, épaules contre épaules, coudes-à-coudes, côte-à-côte, mains dans les mains, dans une «enferique» révolution citoyenne absolue du peuple entier, pour arrêter cette dynamique démoniaque de la dictature d’Alassane Ouattara, pour la régulation sociopolitique et pour se défaire de l’engrenage qui risque d’être fatal à l’arrivée, dans quelques petites Années». L’élection de 2020 a fini de consolider la rigidité de la crise ivoirienne, pour toujours ne pas bouger d’un iota, pour arriver à un début de solution durable. Les mêmes faits et méfaits sociopolitiques, depuis le 11 Avril 2011 ont été savamment réédités et ce sont enracinés pour devenir indécrochables à ce jour de 2020. Donc comme dit ci-dessus, cette pseudo-élection à s’achève à consolider la rigidité de la crise sociopolitique ivoirienne, entretenue sciemment à dessein de confiscation du pouvoir d’état par un homme autocratique, despotique qui était à la recherche d’une factice légitimité démocratique en 2020.

 

Oui, la recherche d’une factice légitimité démocratique, au terme d’un schématisé processus électoral cadenassé, truqué, et bâclée, qui a enfanté un deuil électoral, «plus de 150 jeunes ivoiriens ont été fusillés par les sicaires d’Alassane Ouattara». Alassane Ouattara, qui a ainsi célébré ostensiblement les funérailles de la démocratie ivoirienne, honteusement sacrifiée sur l’autel de la conservation coûte que coûte du pouvoir d’état. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, est désormais à la merci des hallucinations et des tentations monarchiste et absolutiste de, Alassane Ouattara, qui très sûr de son fait, ne désespère pas d’accaparer le destin de la nation ivoirienne, pour le plier à sa seule exigence égocentrique. Il le faut cette révolution citoyenne absolue du peuple entier, après une élection présidentielle truquée, bâclée et cadenassée qui a proclamé vainqueur un usurpateur de titre de chef de l’état et de président de la république, un accapareur de la souveraineté populaire du peuple, un violeur impénitent et endurcis des droits inaliénables du peuple, tout homme a la vie, et des libertés individuelles. Ce candidat proclamé vainqueur au terme d’un schéma de trucage électoral, pense maintenant avoir acquis ainsi une légalité juridique et une factice légitimité démocratique, donc opposant à genou pour un élan exutoire de demande de dialogue politique, qui ne tient pas compte du tout, du réel net recul démocratique.

 

Recule démocratique qui a fait ressortir la grande fracture intercommunautaire et la déchirure manifeste du corps social du pays, toujours divisé moralement. Où chacun est renvoyé à ses appartenances ethniques et communautaires. Voilà pourquoi, tout naturellement qu’il y a une crise de légalité constitutionnelle et de légitimité populaire de ce pouvoir mal acquit, qui résulte de cette élection de démocratie de façade. Aujourd’hui, une très grande partie des ivoiriens (près de 95%), ne se reconnaissent pas dans cette élection truquée, bâclée et cadenassée d’octobre 2020. Nous sommes de ce camps de (près de 95%), parce que notre éclectisme impassible, ne peut s’accommodé avec le panurgisme moutonnier de vache qui ne demande qu’à manger, qui est le socle existentiel du pouvoir Alassane Ouattara. Et pour nous, en politique, il faut pouvoir se regarder dans un miroir et nous savons le faire face aux dangers sociopolitiques. Aussi, Bien que notre degré d’incrédulité ne nous permette pas d’y croire, aujourd’hui d’autres hommes politiques de très bonne Foi, disent, qu’il faut inexorablement dialoguer avec le violeur, l’usurpateur, l’accapareur, de tous les droits, de toutes les libertés et de toutes les règles, autour de la chose publique et dans l’ordre du public. Peut-être en combattant les extrêmes qui se sont  cristalliser dans le camp du  fichu Monarque,  «sinon ce serait peine perdue», pour arriver à la solution de la crise.

 

*- Oui il y a absolument matière de combat à mort !

 

Bon ! Nous suivons. Puisqu’il s’agit de la recherche inlassable parfois ingrate de la stabilité sociopolitique et de résoudre une crise sociopolitique, qui menace gravement la cohésion sociale, la paix nationale et internationale, et le développement du pays qui a trop souffert. Donc nous suivons, parce que, rien ne se fera en côte d’ivoire sans une société ivoirienne harmonieuse, qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales et avec des ivoiriens à leurs justes places dans la société ivoirienne. Oui, dans une côte d’ivoire où les hommes d’horizons diverses et les citoyens ivoirien vivront en harmonie selon le droit et les règles de notre seule raison d’être des humains. Une côte d’ivoire stable, cohérente, harmonieuse, paisible et de l’exaltation de la diversité solidaire. Oui il faut toujours le ressasser, la côte d’ivoire va mal, très mal même, « l’absence de guerre ouverte n’est pas synonyme de paix » et elle ne s’en sortira que dans l’union et le respect du droit, surtout tous égaux en droit et devoirs : « le lien social étant éminemment politique ». La côte d’ivoire s’en sortira, le jour où les forces sociales ivoiriennes, susceptibles d’empêcher la course effrénée d’Alassane Ouattara et sa dictature hermétique, vers l’abîme sociopolitique deviendraient, moins dociles, moins soumises, moins inconstantes, moins éparses, moins autodestructrices, moins désunies, moins faibles de par l’inconscience de leurs force réelle, moins enclines à suivre le processus de caporalisation par un homme «Alassane Ouattara» dans un train d’enfer et de damnation, qui roule à vive allure, jusqu’à la catastrophe au finish, qui paraît devenir de jour en jour quasiment inéluctable.

 

Oui, avant qu’il ne soit trop tard, les forces sociales doivent maintenant se réveiller en 2020, pour la côte d’ivoire, dans le seul but de faire à coup sûr, de notre pays, un pays de citoyens égaux en droit et devoir. D’où aucun citoyen n’est laissé sur la touche du progrès social. Il est temps que les aveugles veillent voir et que les sourds veillent entendre, pour pouvoir regarder en face la réalité sociopolitique et entendre les tocsins de la nécessité absolue du retour à l’état de droit réel, via une révolution de couleur, infernale, irrésistible. Oui, le contrôle de la souveraineté populaire du peuple et sa volonté populaire, doivent échapper totalement à la  volonté abstraite et obscurantiste, d’un dirigeant d’état devenu monarchiste. Oui, dans un état républicain de droit et en démocratie réelle, nul pouvoir d’état ne doit arriver à obliger les citoyens libres en l’absence de leurs consentement, nul pouvoir d’état ne doit arriver à s’imposer de force et par la force au peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état, nul pouvoir d’état ne doit arriver à durablement gouverner un peuple souverain, s’il n’est pas soutenu par l’autorité qui résulte de la croyance de ce peuple souverain en sa légalité constitutionnelle et en sa légitimité populaire. Donc il est question ici, de chercher à tout prix de se faire un chemin vers la sortie de cet engrenage de l’arbitraire du système Alassane Ouattara devenu sourd et aveugle. Il le faut ici et maintenant, sinon la côte d’ivoire changera de toutes les façons malgré tout, mais hélas ! Dans le sens voulu par le système démoniaque, pervers et mafieux d’Alassane Ouattara.

 

Déjà, les fusils sont devenus l’unique mesure de valeur sociopolitique, ou les fantassins soudards, les milices, imposent tous leurs travers au peuple ivoirien dans l’impunité totale. «Plus de 150 jeunes morts zigouillés en moins de 60 jours, qui dit mieux ? Peut-être le grand Adolf Hitler». Malgré tous nous ne souhaitons pas voir Alassane Ouattara sous le couperet de la guillotine, mais nous le préférons au MITARD. Oui, au Trou du mitard qu’indique le droit international pénal, pas à la CPI, mais a la MACA nationale, pour ses crimes de guerres, ses crimes contre l’Humanité et ses tueries intempestives au terme des crises sociopolitiques cyclique. Alassane Ouattara mérite le Cachot, pour ses faits indéniables de violations répétées de la constitution, 24 décembre 1999 «coup d’état réussi», 18-19 septembre 2002, «coup d’état manqué transformé en rébellion qui a fait 7000 Morts zigouillée» 2010 candidature anticonstitutionnelle «en violation de la constitution 2000», 2O11 auto-proclamation élu «au mépris des prescriptions constitutionnelles et guerre délibérée postélectorale», et 2020 candidature illégale et illégitime «pour un troisième mandat anticonstitutionnelle en violation des prescriptions constitutionnelles qui limite le nombre de mandats a deux (2) par citoyen sans plus, qui a occasionné une crise qui a déjà fait plus de 150 citoyens Morts zigouillées et plusieurs centaines de manifestants blessés par les miliciens».

 

Alassane Ouattara mérite d’être jeté aux geôles de l’oubliette historique de nos histoires sociétales des hommes faillis, pour sa scandaleuse mauvaise gouvernance, peuplée de vols synergiques orchestrés, de copinage dans les affaires publiques, de concussion à ciel ouvert dans les biens publics. Oui, au Trou du mitard ! Alassane Ouattara. Donc, pour nous aujourd’hui, Alassane Ouattara n’est vraiment à sa juste place que sur le banc des criminels accusés d’une juridiction de répressions des crimes contre l’humanité. Parce que ses faits de gouvernances, y sont irréfragable-ment bien logé dans le champ d’application des normes du droit internationale pénale. Alassane Ouattara est admissible au «Trou du mitard» international, comme Milosevic. Alassane Ouattara a échoué lamentablement sur toute la ligne, à instaurer un réel état de droit, un état réellement démocratique et surtout a réconcilié le peuple ivoirien et à Refaire de la côte d’ivoire un état de droit et une nation une et indivisible.

 

*- Bon ! Peut-être qu’il faut discuter ou négocier avec Alassane Ouattara. Nous suivons !

 

Nous suivons avons-nous dit : Mais, il n’y a pas de dialogue politique inclusif républicain possible, entre opposition politique et pouvoir politique d’état, quand les jeux sont truqués d’avance. Aussi tout comme, il n’y aura  pas de réconciliation vraie entre peuples composites ou entre des groupes sociaux, si les dés sont bipés. Il faut le ré-souligner ici, pour ne pas l’oublier : « la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, n’est plus maitre de son destin, depuis le 24 décembres 1999, date de la révolution des œillets, en passant par la date du 19 septembre 2002, date du déclenchement de la guerre pour arriver au 11 avril 2011 date du kidnapping au mépris du droit et de la constitution de 2000, elle «la côte d’ivoire», est comme cet homme, qui tombe du haut d’une Tour de 100 mètres de Hauteur et en dépit de quelques sérieux cognés de tête sur les paliers, qui se ressasse sans cesse en disant que, jusque-là tout va bien, alors même que le coma risque d’être profond à l’atterrissage sur le béton sans secours.

 

Oui la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, est habilement entrainer petit à petit dans un engrenage fatal. Comme un homme emporter par la violence de la puissance du courant de l’eau du fleuve, qui se noie petit-a-petit, tout en faisant intempestivement des mimiques désespérées vers la gueule du crocodile. Et surtout qui s’essaie intempestivement de rassurer les observateurs de la vie politique ivoirienne, en faisant des mimiques désespéré comme si tout allait bien, qu’il est un grand nageur. Alors que le prédateur crocodile, imperturbable attend, sans aucun doute possible son festin sadique, pervers et macabre. La côte d’ivoire est sous l’emprise d’un système politique archaïque, mafieux qui se nourrit du chaos social. Bon ! suivons Nous parce que, Nous pensons qu’il n’y a aucune solution durable à la crise ivoirienne sans la participation effective aux élections des hommes politiques qui mènent depuis de nombreuses années la lutte pour le respect de la Constitution et des lois de la république y compris en ce qui concerne les échéances constitutionnelles prescrites, les délais francs constitutionnels qui sacralise la limitation à deux (2) mandats des présidents pour tous citoyens sans exception.

 

Oui, nous suivons. Peut-être qu’un dialogue sérieux sans faux semblant et sans exclusion pour un retour au fonctionnement normal des institutions étatiques, pourrait intervenir et serait le bienvenu. Peut-être même c’est un passage obligé pour créer le cadre ou les ivoiriens pourront décider d’un commun accord des mécanismes crédibles et consensuels, respectant la pluralité démocratique et ainsi d'organiser de nouvelles élections, pour choisir librement leurs futurs dirigeants. La situation chaotique créée par Alassane Ouattara avec les dérives dictatoriales actuelles, proscrivent toute manœuvre visant à exclure les acteurs majeurs de la vie sociale dans la recherche d’une solution durable et ne fera que prolonger inutilement la  crise et les souffrances du peuple. La chose publique, n’est pas la plantation personnelle de qui que ce soit, et dans l’ordre du public l’espace de droits est pour tous, qui englobe le droit d’aller tous a de bonnes élections démocratiques.

 

Mais nous soulignons que, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, n’est plus maitresse de son destin dans le concert des nations. La côte d’ivoire se noie, elle coule, elle s’exsangue aux yeux du monde. Et le pire est qu’il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger réel avant la phase terminale de la noyade. Il ne faut pas se leurrer, la côte d’ivoire se noie dans l’océan des nations civilisée. Il y a danger, il y a péril de dénaturations, de dépaysassions, elle perd lamentablement son identité atavique et il y a mort par désocialisation à l’horizon du destin ivoire dans le concert des nations civilisées. Oui, le peuple ivoirien n’est plus acculturé, mais il se désocialise progressivement. Bon ! Peut-être qu’il faut discuter ou négocier avec Alassane Ouattara avec ses fusils pour ne pas dire par peur de ses fusils. Mais il ne faut pas se laisser dérouter par des actions de manipulations politiciennes savamment édictées et des actions de diversions sur l’essentiel sociétal, qu’est les conditions indispensables d’une parfaite élection démocratique et pluralistes, qu’Alassane Ouattara doit restituer au peuple, l’absolu souverain en droit universel et l’ultime détenteur du pouvoir d’état.

 

Oui, Nonobstant le fait que nous suivons, il faut retenir Ici, que (Nous ne retirons rien du déjà dit : Il faut au peuple ivoirien de tous bords à rang serré, compact, et rafistolé a jamais, épaules contre épaules, coudes-à-coudes, côte-à-côte, mains dans les mains, dans une «enferique» révolution citoyenne absolue du peuple entier, pour arrêter cette dynamique démoniaque de la dictature d’Alassane Ouattara, pour la régulation sociopolitique et pour se défaire de l’engrenage qui risque d’être fatal à l’arrivée dans quelques petites Années. Oui, il faut au peuple ivoirien une révolution synergique, « la science politique définit ce mot par un changement radical de régime ». Donc,  il s’agit d’engager un bras de fer entre Alassane Ouattara et sa dictature, qui veut les compteurs de droits de la limitation à deux (2) de la mandature mis à Zéro au mépris de ses deux (2) mandats de 2010 à 2020, déjà consommés, pour que rien ne change dans notre pays et la population ivoirienne qui veut un véritable changement de régime, pour arriver à l’état républicain de droit dans leurs pays le nécessaire et indispensable Combat est là). Oui il y a absolument matière à combat à mort, pour que le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il n’y a point de développement, le respect de la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par le père de la nation Felix Houphouët Boigny, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays. Combat à mort ! Et de maintenir le cap jusqu'à la victoire finale. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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13 novembre 2020 5 13 /11 /novembre /2020 17:27
Lepetitfils : Alassane Ouattara et son système ont la réputation d’être intraitables et cruels «quand Alassane Ouattara dit, il fait.». Depuis la déclaration de candidature d’Alassane Ouattara, ils sont plus de 150 jeunes ivoiriens tombés sous les balles assassines des hommes armés d’Alassane Ouattara. Des jeunes qui appelaient de tous leurs vœux qu’un jour nouveau puisse se lever dans ce cher berceau de leurs ancêtres la côte d’ivoire, aujourd’hui pris en otage. Quoi de plus normal, l’existence politique d’Alassane Ouattara, est une histoire de rapport de forces inouïe.

Lepetitfils : Alassane Ouattara et son système ont la réputation d’être intraitables et cruels «quand Alassane Ouattara dit, il fait.». Depuis la déclaration de candidature d’Alassane Ouattara, ils sont plus de 150 jeunes ivoiriens tombés sous les balles assassines des hommes armés d’Alassane Ouattara. Des jeunes qui appelaient de tous leurs vœux qu’un jour nouveau puisse se lever dans ce cher berceau de leurs ancêtres la côte d’ivoire, aujourd’hui pris en otage. Quoi de plus normal, l’existence politique d’Alassane Ouattara, est une histoire de rapport de forces inouïe.

Oui, il convient maintenant d’applaudir les experts en sorcellerie politique du calé, du géré, du bouclé, d’Alassane. Ils étaient très sûr de leurs faits, et ils étaient conscient de leurs emprise sur la société  ivoirienne. Oui à peine leurs but de confiscation illégale et illégitime du pouvoir d’état atteint, tout ce qui étaient fermés sont subitement ouvert, tout ce qui n’étaient pas a dialogué sont à dialoguer, par ce que, Alassane Ouattara est dit réélu président de la république et il parle et agit en tant que tel. Ils ont réussi ces mafieux experts en sorcellerie politique du calé, du géré, du bouclé, à entrainer « l’opposition » ivoirienne, dans l’engrenage de sa perte, et ils ont trimbalé petit-a-petit cette « opposition » ivoirienne, dans une crise post-électorale, qui à donner la parole aux armes « fusils » comme en 2010. Mais hélas ! Le pire est qu’il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger réel avant la phase terminale de la noyade. Il ne faut pas se leurrer, la côte d’ivoire se noie dans l’océan des nations civilisée. Il y a danger, il y a péril et il y a mort par désocialisation à l’horizon du destin ivoire dans le concert des nations civilisées. Oui, le peuple ivoirien n’est plus acculturé, mais il se désocialise progressivement. Les joueurs de jeu d’échecs d’Alassane Ouattara ont développé insidieusement leurs jeux criminels et mortifères du «géré, calé, et bouclé» qui se réduisent aux calculs controuvé  des dividendes de positionnement stratégique avec des pions préférés « pseudo-légalité et emploi systématique de la force Armée». Et ils sont aujourd’hui vainqueurs contre tous, y compris le peuple dit souverain. Le monde civilisé avait cru en l’opposition ivoirienne, parce que 85% de la population ivoirienne adhère aux idées et aux positions de cette opposition ivoirienne. Or en politique, dans un état qui se veut républicain de droit, on n’a jamais vraiment arraché le pouvoir d’état à une dictature politique, sauf si on n’a réussi à l’arracher l’adhésion et le soutien de la totalité sociale qu’est le peuple.

Les experts en sorcellerie politique du calé, du géré, du, bouclé, d’Alassane ont gagné un combat. Bon ! « On peut mentir à quelqu’un tout le temps, on peut mentir à tout le monde un certain temps mais on ne peut mentir à tout le monde tout le temps » Disait : Le président américain Abraham Lincoln ! Donc il est d’une évidence absolue, qu’à la lampe de la lumière des vérités historiques bouffés, qui mettent les libertés individuelles en danger, d’autres combats restent à venir. Parce que la politique est un combat permanent entre ceux qui veulent le bonheur du peuple et ceux qui à l’opposée n’ont d’autre vision du monde que l’enrichissement perpétuel au détriment du peuple. Ces derniers ne seront jamais un rival des possédants du pouvoir, ni un contrepoids crédible à ces possédants du pouvoir d’état, par rapport aux postes a gagnés, aux fortunes à amasser sur le dos du peuple. Et il ne réalise même pas ces derniers, que la dictature les confine ainsi dans une vie, qui est celle d’un Bouc entre les mains d’un boucher sahélien ou d’un coq du poulailler libre du renard hallucinant. Or Tant que les citoyens ordinaires seront ainsi mal gouvernés parce que leurs États sombrent dans la dictature, dans l’absolutisme unilatéraliste, ils ne pourront pas profiter de la richesse de leur pays et des retombées de l’organisation sociopolitique de leur société.

Ici, Nous ne retirons rien du déjà dit : Il faut au peuple ivoirien de tous bords à rang serré, compact, et rafistolé a jamais, épaules contre épaules, coudes-à-coudes, côte-à-côte, mains dans les mains, dans une révolution citoyenne absolue du peuple entier, pour arrêter cette dynamique démoniaque de la dictature d’Alassane Ouattara, pour la régulation sociopolitique et pour se défaire de l’engrenage qui risque d’être fatal à l’arrivée dans quelques petites Années. Oui, il faut au peuple ivoirien une révolution synergique, « la science politique définit ce mot par un changement radical de régime », donc il s’agit d’engager un bras de fer entre Alassane Ouattara et sa dictature, qui veut les compteurs de droits de la limitation à deux (2) de la mandature mis à Zéro au mépris de ses deux (2) mandats de 2010 à 2020, déjà consommés, pour que rien ne change dans notre pays et la population ivoirienne qui veut un véritable changement de régime, pour arriver à l’état républicain de droit dans leurs pays. Oui il y a absolument matière a combat à mort…

Car Alassane Ouattara et son système ont la réputation d’être intraitables et cruels «quand Alassane Ouattara dit, il fait.». Depuis la déclaration de candidature d’Alassane Ouattara, ils sont plus de 150 jeunes ivoiriens tombés sous les balles assassines des hommes armés d’Alassane Ouattara. Des jeunes qui appelaient de tous leurs vœux qu’un jour nouveau puisse se lever dans ce cher berceau de leurs ancêtres la côte d’ivoire, aujourd’hui pris en otage. Quoi de plus normal, l’existence politique d’Alassane Ouattara, est une histoire de rapport de forces inouïe. Elle est une succession de dominations, par la valorisation de soi, qui passe par la négation des autres composantes de la société. Les autres qui sont ainsi astreint strictement aux soumissions seigneuriales variant au gré des évolutions des intérêts politiques existentielles d’Alassane Ouattara. Oui, nous y sommes, les théâtres d’ombre on recommencer, « le respect de la légalité constitutionnelle, le respect de l’ordre constitutionnel et le respect de l’autorité de l’état ». En omettant la cause de la crise, en faisant fi d’ignorer le départ de la crise. Pauvre côte d’ivoire, devenue un pays de merde dans le concert des Nations civilisées.

De Lepetitfils…

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12 novembre 2020 4 12 /11 /novembre /2020 16:22
Il n’y a pas de meilleur régime qu’un régime démocratique parce que la loi y est la même pour tous et seule la démocratie instaure et garantie les libertés individuelles. Ici point de violations des lois et point de tueries orchestrées par un homme au Nom pouvoir d’état.

Il n’y a pas de meilleur régime qu’un régime démocratique parce que la loi y est la même pour tous et seule la démocratie instaure et garantie les libertés individuelles. Ici point de violations des lois et point de tueries orchestrées par un homme au Nom pouvoir d’état.

*- Le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple, est un régime politique dans lequel tous les citoyens participent aux décisions politiques au moins par le vote. Il désigne tout système politique dans lequel le peuple est souverain. *- Donc en politique, dans un état qui se veut républicain de droit, on n’a jamais vraiment arraché le pouvoir à un homme politique sauf si on n’a réussi à l’arracher l’adhésion et le soutien de la totalité sociale qu’est le peuple. *- Donc en ce moment précis de la crise de la totalité sociale, il est question de faire attention aux paroles mielleuses de récupérations politiciennes, à l’usage intéressé et habile de la diversion, au nom du dialogue politique. *- Oui, la vie démocratique suppose un état de droit dans lequel la loi est la même pour tous. Toute relation de configuration autoritariste, dictatoriale, tyrannique ne mériterait pas le nom de dialogue politique. *- Il est difficile de dialoguer avec un homme qui veut l’existence des lois pour les autres en comptant bien s’en exempter pour lui-même. Or la loi ne tient que si elle est  inscrite dans le cœur de tous ce qui s’oppose. *- Il est impossible en politique de convenir avec un homme qui veut exercer le pouvoir sur les autres plutôt que d’essayer de coexister librement et paisiblement avec eux. *- Il n’y a pas de meilleur régime qu’un régime démocratique parce que la loi y est la même pour tous et seule la démocratie instaure et garantie les libertés individuelles. Ici point de violations des lois et point de tueries orchestrées par un homme au Nom pouvoir d’état.

 

Nous sommes très réservés derrière le Gyroscope, mais jamais contre sa position de pilote.

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11 novembre 2020 3 11 /11 /novembre /2020 18:15
Lepetitfils : Pour la côte d’ivoire, il ne reste plus dans cette  crise, d’autre solution que la révolte synergique de couleur et l’intervention populaire irrésistible, sous toutes ses formes qui est largement justifiée aujourd’hui en côte d’ivoire, pour la défense des droits, des libertés et la restauration d’un état de droit. Les normes constitutionnelles qui régissent notre société commune ont été violées avec le troisième mandat d’Alassane Ouattara qui prélude un quatrième mandat. Le peuple doit entrer dans ses droits au terme d’une transition politique solidaire tous unis.

Lepetitfils : Pour la côte d’ivoire, il ne reste plus dans cette crise, d’autre solution que la révolte synergique de couleur et l’intervention populaire irrésistible, sous toutes ses formes qui est largement justifiée aujourd’hui en côte d’ivoire, pour la défense des droits, des libertés et la restauration d’un état de droit. Les normes constitutionnelles qui régissent notre société commune ont été violées avec le troisième mandat d’Alassane Ouattara qui prélude un quatrième mandat. Le peuple doit entrer dans ses droits au terme d’une transition politique solidaire tous unis.

*- Ça doit se casser là ! Ici et maintenant !

Il est question de tambouriner sur le Fer quand s’est encore chaud, la côte d’ivoire a atteint le point de non-retour. Avec les séquestrations d’Henri Konan Bédié, d’Affi N’Guessan, d’Assoa Adou, ainsi que les nombreuses arrestations arbitraires et surtout avec les tueries de lundi 09 Novembre 2020, 4 personnes tuées morts zigouillés par les balles assassines des sicaires de la république d’Alassane Ouattara, à Sikensi, « Becedi et Elibou », Et les massacres de M'BATTO le  Mardi 10 Novembre 2020, 34 citoyens morts zigouillés par balles des tirs soutenus des hommes armés de Alassane Ouattara. Oui, si  le pays n’est pas encore à feu il est incontestablement à sang, ainsi une ligne rouge est maintenant franchit, le point de non-retour est largement atteint. Ce qui signifient qu’Alassane Ouattara s’est écarté du droit chemin, de la seule route praticable en vie en société, et en politique, qu’il a franchi une ligne jaune, avant de  foncer volontiers tout droit dans cette  ligne rouge, qu’il nous traine vers un précipice abyssal funeste et mortifère. Donc le droit à la révolte générale est absolument acquise pour l’ivoirien dans toute l’assiette territoriale national: De Tienko-Odienné à Sinematiali-Korhogo, de Taabo à Sassandra, de Soubré à Dabou, de Bouaké à Boudiali, de Daloa-Gagnoa à Divo, d’Abengourou- Ebilassokro à Aboisso, de Man à Danané, de Bondoukou à Bouna, de Bonoua à Bongouanou. Etc… et Etc… Donc, oui, aujourd’hui, la révolte synergique de couleur, pour entamer une autre étape de son histoire de notre pays. Et une intervention populaire sous toutes ses formes qui est largement justifiée aujourd’hui en côte d’ivoire, pour la défense des droits inaliénables bafoués, des libertés fondamentales et la restauration d’un état de droit.

Répétons-nous ici encore formellement: Face à l’arbitraire d’un pouvoir d’état, un peuple qui est prêt à renoncer à sa liberté pour se sentir en sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre. Et Tout peuple martyrisé qui a le courage de ses actions et de ses opinions, face à l’arbitraire d’un pouvoir d’état, au risque de sa vie, à le pouvoir de conquérir ses droits, ses libertés et de changer sa société. Et l’ivoirien doit être capable de changer sa société en lambeau. Donc il est temps et grand temps, que le peuple ivoirien de tout bord et les partis politiques de tout bord se rejoignent maintenant pour aller à la révolution irréversible tous ensemble pour tourner la page déshumanisée d’Alassane Ouattara. Une page d’existence marqué du sceau indélébile du fleuve de sang humain versé (sept milles « 7000 » morts) depuis les 18-19 septembre 2002 et à ce jour, et ça continu le jour au jour. Il faut au peuple ivoirien de tous bords à rang serré, compact, et rafistolé a jamais, épaules contre épaules, coudes-à-coudes, côte-à-côte, mains dans les mains, dans une révolution citoyenne absolue du peuple entier, pour arrêter cette dynamique démoniaque, pour la régulation sociopolitique et pour se défaire de l’engrenage qui risque d’être fatal à l’arrivée. Oui, il faut au peuple ivoirien une révolution synergique, « la science politique définit ce mot par un changement radical de régime », donc il s’agit d’engager un bras de fer entre Alassane Ouattara qui veut les compteurs de droits de la limitation à deux (2) de la mandature mis à Zéro au mépris de ses deux (2) mandats de 2010 à2020, déjà consommés, pour que rien ne change dans notre pays et la population ivoirienne qui veut un véritable changement de régime, pour arriver à l’état républicain de droit dans leurs pays.

Oui, disons-le à l’instar de tous les peuples du monde civilisé, le peuple a en face, les écueils cruels et les dures épreuves qui mettent un peuple martyrisé par l’arbitraire d’un pouvoir d’état et par l’obscurantisme politique, au défi de se dépasser et de se réaffirmer dans sa réalité sociétale atavique. Et peuple ivoirien doit pouvoir se réaffirmé dans sa réalité atavique absolue dans l’égalité de tous en droit et devoir. Ce moment-là, est plus que jamais arrivé pour le peuple souverain de côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Oui, nous ne sommes pas dans un royaume du genre du Golf Arabique, pour être des sujets réduit à la soumission seigneuriale au Roi Alassane Ouattara. Nous, nous sommes constitués volontiers en un état de droit. Oui, l’état de droit souverain apparaît, quand l’exercice de la souveraineté étatique est remis à quelques-uns suivant les règles d’un régime politique, « pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple », ce peuple qui délègue son pouvoir par élection libre, juste et transparente, sans fraude. Alors comment au mépris de ces conditions d’accessions au pouvoir d’état. Alassane Ouattara qui prétend exercer, le pouvoir souverain au nom de la totalité sociale souveraine, qu’est le peuple, peut-il, ou doit-il, s’imposer au peuple souverain au mépris de la volonté générale du peuple souverain, et en dépit des règles démocratiques universelles prescrites ? Les décisions de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, ont été royalement méprisées par Alassane Ouattara. Donc le peuple ivoirien, parti de la souveraineté absolue se trouve réduit à l’état de  sujet du ROI méprisant et condescendant Alassane Ouattara.

Puisque que, dès lors que le pouvoir d’état, est confisqué par un homme, «Alassane Ouattara» et que ce pouvoir d’état n’est plus le reflet de la volonté générale, une séparation Monarchiste assise sur l’autoritarisme aveugle se forme entre volonté d’un homme exprimée à travers l’état, ainsi mise au service de quelques-uns, et la volonté générale qui devrait avoir en vue le bien de tous. Et le gouvernant «Alassane Ouattara» finit par se mettre au-dessus de la loi, quelle qu’elle soit, qu’il impose seulement au peuple souverain pour le bénéfice des intérêts de sa personne. Ici comme dit plus haut, le pouvoir accaparé franchit dès lors les bornes de son exercice normal, il ne reflète plus la volonté générale et se substitue une volonté particulière, celle d’un homme «Alassane Ouattara» qui s’approprie le pouvoir pour assurer sa prospérité personnelle et celle de sa famille.  Ainsi il ne poursuit plus que son profit, et celle d’un parti politique, qui refuse le jeu de la liberté démocratique, qui refuse la liberté d’expression, qui refuse la libre concurrence politique dans l’espace public, qui refuse la représentation légale et la participation d’autres citoyens à la vie politique de leurs pays. L’exercice du pouvoir d’état se transforme dès lors en autoritarisme despotique, en unilatéralisme, monarchiste en suprématie condescendante monarchique, en viol des lois, au mépris des droits, en anéantissement des libertés, et un pouvoir qui n’a pas de limite dans l’oppression face à ses sujets.

Donc le Peuple souverain ivoirien, se trouve assujettis par un gouvernant devenu Roi absolu, qui s’accapare ainsi la souveraineté populaire par la force des armes impies. Et partant qui s’approprie le pouvoir d’état, propriété exclusive de la totalité sociale qu’est le peuple. Ce pouvoir Royal s’est coupe dès lors de son fondement normal, qui réside dans la conscience d’une appartenance collective du peuple a une société commune, et la royauté se situe au-dessus du peuple. Dans cette séparation commence le règne de la tyrannie et de l’asservissement pour se remplir les poches. Alors que, dans un état de droit, exercer, l’Autorité politique de l’état se fait par la capacité de se faire obéir avec le consentement du peuple souverain qui obéit. Donc l’idéal est d’obtenir cette obéissance du peuple dans la clarté, sans manipulation obscurantiste nébuleux, sans violence armée, sans menace de toutes sortes. Et le gouvernant exerce ce pouvoir, dans le but unique de servir le peuple, de sécuriser la totalité sociale, et bien l’orienté sur une voie consentante le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état. A défaut son libre consentement et sa volontaire obéissance, le souverain est assujetti. Donc c’est pourquoi, en l’état actuel  sociopolitique en côte d’ivoire, la révolte synergique de couleur et l’intervention populaire énergique sous toutes ses formes sont largement justifiée, pour la défense des droits inaliénable, des libertés fondamentales et la restauration d’un état de droit. Alassane Ouattara ne tient plus compte des intérêts de la totalité sociale.

Donc Alassane Ouattara qui s’est fait couvrir d’une pseudo-légalité, obtenue au prix des élucubrations judiciaires honteuses pleins de sophisme et d’aporie éhonté, en ambitionnant de se muer de serviteur du peuple souverain en un maître absolu de ce peuple souverain libre a sciemment, manifestement et ostensiblement, préférer entrer en conflit ouvert avec la majorité de la population ivoirienne en comptant sur ses hommes Armés. Et ici dans ces conditions, est violée délibérément la raison même en vertu de laquelle le peuple ivoirien s’est constitué en une institution Étatique. C’est pourquoi nous disons qu’il ne reste plus, dans ce cas, d’autre solution que la révolte synergique de couleur et l’intervention populaire irrésistible, sous toutes ses formes est largement justifiée aujourd’hui en côte d’ivoire, pour la défense des droits, des libertés et la restauration d’un état de droit. Les normes constitutionnelles qui régissent notre société commune ont été violées avec le troisième mandat d’Alassane Ouattara qui prélude un quatrième mandat. Le peuple doit entrer dans ses droits au terme d’une transition politique solidaire. Oui, dans ce cas d’espèce, le peuple ivoirien à l’instar de tout peuple souverain de par monde, ne peut avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature. Peuple ivoirien a toi ta révolution irrésistible !!! C’est de pur droit. Notre pays la côte d’ivoire ne doit pas être l’exception où l’arbitraire, peut tenir force de loi. Ça doit se casser là ! Ici et maintenant ! Pour laisser la place à la régulation consensuelle et à la vraie réconciliation nationale. Avec le Conseil national de transition (CNT) et pour dire non à la violation de la constitution par Alassane Ouattara. Que la nature protège la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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8 novembre 2020 7 08 /11 /novembre /2020 17:29
Lepetitfils : L’état de droit a foutu le camp de la côte d’ivoire, depuis les violations des normes constitutionnelles, avec le troisième mandat d’Alassane Ouattara qui prélude un quatrième mandat. Le peuple doit entrer dans ses droits au terme d’une transition solidaire. Que l’Ancien président de la république de 2010 à octobre 2020 Alassane Ouattara l’admette ainsi avec l’aide de tous. Au cas contraire, le peuple entrera dans ses droits contre vent et marée, parce que, confiné dans la loi de la jungle, le peuple  ne peut avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature.

Lepetitfils : L’état de droit a foutu le camp de la côte d’ivoire, depuis les violations des normes constitutionnelles, avec le troisième mandat d’Alassane Ouattara qui prélude un quatrième mandat. Le peuple doit entrer dans ses droits au terme d’une transition solidaire. Que l’Ancien président de la république de 2010 à octobre 2020 Alassane Ouattara l’admette ainsi avec l’aide de tous. Au cas contraire, le peuple entrera dans ses droits contre vent et marée, parce que, confiné dans la loi de la jungle, le peuple ne peut avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature.

*- Le peuple entrera dans ses droits contre vent et marée.

 

(Que dit-t-on, en côte d’ivoire sous une perruque périmée ? « Attentat et complot contre l'autorité de l’État ». Là c’est le monde en l’envers. « Actes de terrorisme » SIC !!! « Organisation et participation à un mouvement insurrectionnel ». Le droit à l’insurrection existe depuis 1789, donc c’est de droit. « Meurtres ». Alors-là, le criminel crie au crime). Oui, Les puanteurs d’une gueulé gondolée aux Crocs rouillés, nous sont parvenues. Mais la perruque périmée, dit président de la république, qui fait ouvrir cette gueule pour ventiler ces puanteurs, n’a aucun socle juridique, n’a aucun droit réel justifiable. C’est comme un voleur pour protéger son butin de vols criait a la face du monde, qu’on veut l’arracher son butin de vols, sans chercher à savoir si c’est le propriétaire des objets volé, qui veut avant toute chose récupérer ses biens propres. Oui, il ne faut jamais oublier que nous sommes partis d’une élection régis par des droits et des règles, qui devaient strictement être respecté. Dès lors que, la norme constitutionnelle intransgressible est violée, par un troisième mandat illégal, illégitime et anticonstitutionnelle, soutenu par des élucubrations judiciaires de diversions, cette élection a perdu son substrat de légalité, pour devenir un trucage électoral, un vol orchestré, par une couillonnade intéressée. Mais malgré les puanteurs de sa gueule gondolée avec des Crocs rouillés, nous n’espérons Rien de ce gueulard commandité, il n’a pas de raison-lui, il est dans son rôle piteux, auquel notre pauvre système judiciaire lui astreint. Il n’est pas de la justice bien que magistrat, il dépend du ministre de la justice, lui-même instruit par une perruque périmée, qui couvre les vrai cheveux, dit président de la république. Donc Gueulé monsieur le Gueullard, sinon votre pain risquera la pluie, ce qui n’est pas notre souhait. Mais le peuple entrera dans ses droits, d’une manière ou d’une autre, advienne que pourra… Oui, le peuple entrera dans ses droits contre vent et marée, parce que, confiné dans la loi de la jungle, le peuple ivoirien à l’instar de tout peuple souverain, ne peut avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature. C’est de pur droit.

 

*- L’état de droit ne saurait virer à l’état de nature ou la force est ROI.

 

Le peuple ne se tait pas, ne reste pas statique, quand l’essentiel est en jeu : Oui, L’état de droit a foutu le camp de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, depuis les violations des normes constitutionnelles qui régissent notre société commune avec le troisième mandat d’Alassane Ouattara qui prélude un quatrième mandat. Or en ce moment l’Etat de droit est largement chanté par les escouades phalangistes de la perruque, Ancien président de la république de 2010 à octobre 2020 Alassane Ouattara, en faisant fi d’ignorer que l’état de droit se vit, se pratique, mais ne se chante pas. Oui c’est par l’abandon par chacun d’une partie de ses droits naturels au profit de la société commune qui rend cet état de droit effectif. D’où la seule manière dont on renonce de soi à sa liberté naturelle et entre dans les rapports de la société commune, est celle dont on s’entend avec les autres composantes de la société afin de s’unir en une communauté unique appelée l’état de droit, en vue d’un mode de vie commode, sûr et paisible. C’est ainsi, qu’aucune approbation d’une minorité de cette communauté unique ne saurait être bonne ou valable, à moins de ne pas violer les normes qui régissent cette communauté unique. Qui est le socle de la société

 

Oui, l’état de droit a foutu le camp de notre état, depuis les violations des normes qui régissent notre société commune, avec le troisième mandat d’Alassane Ouattara, qui prélude un quatrième mandat. Donc il faut dès lors retenir que la condition de membre d’une communauté unique et de citoyen d’un Etat de droit, a pour toute origine la volonté de multiples sociétés composites peuplées de gens libres, qui ont volontiers accepté une certaine limitation de leur liberté naturelle en échange des avantages évidents, résultant de leur intégration dans une communauté unique appelée l’état. Donc, la personne qui a reçu l’investiture de cette communauté unique afin de veiller au respect des règles introduites pour la défense/protection des droits, des libertés, de la propriété et de la vie de ses membres, l’a reçue en vertu des normes préétablies intransgressibles, dans un temps déterminé par cette norme de régulation sociale. Concomitamment à cette investiture, sont précisées aussi les attributions qui reviennent à celui qui aura reçues l’investiture, ici il s’agit d’un nombre limité de mandats dans le temps, directement rattachées aux intérêts majeurs de la communauté unique et de ses membres solidaires.

 

Donc l’obligation est prescrite dans les normes de régulations sociopolitiques «constitution» de ne  vouloir passer du pouvoir au nombre limité de mandats, au pouvoir absolu continu dans le temps. Sans cette interdiction formelle, ceci aboutirait principalement sur une certaine inertie sociale qui n’est pas une posture de communauté unique totalement libre. Donc, ici, les choses doivent changer du tic au tac, lorsque la personne qui a reçu l’investiture de la communauté unique, tend à convertir une tâche sociopolitique de la communauté unique, en un privilège indu, quand il ambitionne de se muer de serviteur de la communauté en maîtres absolu de cette communauté unique totalement libre. Si telle est la situation, la communauté unique solidaire, a le droit inaliénable de tout peuple a disposé de lui-même, le devoir absolu de citoyen libre, et, en même temps, l’obligation rigoriste d’exiger le respect des clauses de la norme de régulation sociale, sur la base duquel fut institué la communauté unique libre qui a conduit au pouvoir d’état et, si la personne qui a reçu l’investiture de la communauté unique, oppose de la résistance quelle qu’elle soit à cette sollicitation légale, légitime, alors son remplacement devient inévitable par la communauté unique dont il est ressortissant. Parce que la communauté unique se trouve attaqué dans son substrat d’existence. Et l’état républicain de droit aurait viré à l’état de nature ou la force armée est ROI.

 

*- Il faut aider la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a s’en sortir avec ses droits.

 

Oui, Aujourd’hui après l’élection présidentielle controuvée de façade à dessein unique de s’auto-couvrir d’une pseudo-légalité pour user des armes « fusils », l’arène politique ivoirienne offre un spectacle stupéfiant, soutenu par une élection présidentielle époustouflant de par son caractère voulu de simple formalité exutoire à remplir. Les joueurs de jeu d’échecs d’Alassane Ouattara ont développé insidieusement leurs jeux criminels et mortifères du «géré, calé, et bouclé» qui se réduisent aux calculs controuvé  des dividendes de positionnement stratégique avec des pions préférés « pseudo-légalité et emploi systématique de la force Armée. Qui les permettent de couper des têtes par-ci, d’éliminer des pions par-là, de diminuer les longueurs là-bas, et de rétrécir les largeurs à l’opposé. Et se faisant ainsi, les joueurs de jeu d’échecs d’Alassane Ouattara finissent par l’exhiber un fichu Zéro pointé, comme le plus grand des ivoiriens son ombre ayant grandi avec les rayons du coucher du soleil, et ils auront gagné les jeux. Une partie du peuple minoritaire soit-t-elle aidant, la combine veut passer comme sur des roulettes. Puisque les mêmes fusils sont là a l’arrivé pour valider la pseudo-victoire acquise. Et les presses aplatis nationales et internationales, maitre dans l’art d’occulté les vérités, s’efforce de faire le reste. Les taux de moins de 10 % (5,4% ) de l’électorat total sont éluder, et ses 98% des votant isolés sont ventilé de par le monde. Oui, les vraies dictatures pures et dures naissent la plupart des temps souvent avec la complicité d'une petite partie des peuples et sous l’aval d’une démocratie de façade. Et les vraies dictatures coupent toujours de façons nébuleuses et insidieusement, les têtes au-dessus de leurs têtes. Oui Alassane Ouattara est dit réélu président de la république. Et le monde civilisé semble avoir l’intention d’en donner acte ou de prendre acte de cette forfaiture.

 

Et il commence à être écouté sans jamais être sommé de rendre des comptes au sujet de la violation de la norme constitutionnelle dont sa réélection en résulte et surtout au sujet des tueries causées aux jeunes Ivoiriens confinés dans une situation de non-droit. La Côte d’Ivoire s’endormira encore cette nuit, ignorant tout du cauchemar auquel la nuit va donner naissance. Un cauchemar qui va encore sans doute hanter bien des nuits à venir ! Parce que la Gestapo ivoirienne et les sicaires de la république d’Alassane Ouattara sont aux trousses  du peuple libre. Oui quel avenir pour cette côte d’ivoire jetée aux orties, aux affres les plus monstrueuses de l’épreuve de force armée et des arrestations arbitraires. On  massacre par-ci, on zigouille par-là, partout les hommes armés d’Alassane Ouattara commette des crimes contre l’humanité. Ils massacrent des enfants innocents en pleine rue. Car Alassane Ouattara et son système ont la réputation d’être intraitables et cruels «quand Alassane Ouattara dit, il fait. a dit». Combien de ces jeunes ivoiriens doivent encore tomber sous les balles assassines des hommes armés d’Alassane Ouattara pour qu’un jour nouveau puisse se lever dans ce cher berceau de nos ancêtres la côte d’ivoire, aujourd’hui pris en otage. Combien de temps notre peuple devra-t-il continuer à peiner pour que quelques-uns seulement puissent avoir un compte de milliers de milliards à la banque. Au terme des élections controuvée de façades de 2020, la côte d’ivoire, doit encore souffrir de voir Alassane Ouattara ce fanfaron mégalomaniaque, célébrer ses suffisances, ses autosatisfactions puériles, sur le sang versé des jeunes, tué plus de 100 au total, sacrifiés récemment dans tout le Pays. Le peuple ivoirien doit pouvoir exiger une reddition de comptes, ne dit-on pas qu’il n’y a point de déshonneur pour celui qui sait mourir?

 

*- Ancien président de la république de 2010 à octobre 2020 Alassane Ouattara doit s’admette comme tel.

 

Oui, les théâtres d’ombre on recommencer, « on entend par-ci, le respect de la légalité constitutionnelle, on entend par-là, le respect de l’ordre constitutionnel et on entend par là-bas, le respect de l’autorité de l’état ». En omettant la cause de la crise, en faisant fi d’ignorer le départ de la crise. Le peuple ivoirien n’a pas voulu de cette crise, il voulait un système respectueux des droits et  l’opposition ivoirienne en saisissant la Cour Africaine des Droits d’Homme et des Peuple voulait un système d’organisation électorale réellement démocratique, digne d’un état républicain de droit. Mais Rien n’a pu raisonner Alassane Ouattara, autour de l’organisation des élections et surtout concernant sa candidature illégale de troisième mandat anticonstitutionnelle. Même les décisions de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, ce sont trouvé méprisées par Alassane Ouattara. Or ici, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, y compris la présidence de la république de, «Alassane Ouattara», sont les subordonnées du processus électoral, elles doivent s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens le plus large. Et doivent aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. Et surtout elles doivent respecter strictement les normes de régulations préétablies. C’est à ces conditions que les populations acquièrent la conviction que le résultat des scrutins reflètera bien la volonté populaire. De même, c’est à ces conditions que les partis et les candidats constatent qu'ils seront traités avec égalité tout au long du processus électoral. Cette confiance de tous les acteurs, citoyens électeurs et candidats en compétition dans chaque étape du processus électoral est un facteur indispensable à la crédibilité du processus électoral. Mais, les décisions de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, ont été méprisées.

 

D’où l’actuelle crise sociopolitique, parce que les principes universels des élections veulent que, dans un système réellement démocratique, d’un état républicain de droit, le gouvernement soit confié pour un temps à des hommes bien élus par leurs concitoyens dans le respect des normes de régulations sociales préétablies. Dans ces conditions, si le pays est content d’eux, il les maintiens au pouvoir ; s’il n’en est pas content, il les change, sans bruit, sans violence. Or dans un néo-monarchisme comme celui d’Alassane Ouattara, on n’arrive à se débarrasser d’un maître, oppresseur ou injuste, violeur impénitent des droits, qu’au moyen d’une révolution populaire. Or dans un système réellement démocratique, d’un état républicain de droit, l’arme toute puissante au moyen de laquelle on arrive à conquérir toutes les libertés et réaliser tous les progrès, est le suffrage universel, régis par les normes de régulations sociales préétablies et respectées par tous. Parce qu’il renforce l’obligation pour l’individu de donner à son activité une orientation qui tienne compte de son appartenance à une communauté nationale de destin solidaire et de son insertion dans la société commune citoyenne, c’est-à-dire des liens d’interdépendance absolus qui le rattachent hermétiquement à ses concitoyens de la totalité sociale sans unilatéralisme aucun.

 

Donc dans l’actuelle crise sociopolitique ivoirienne, à ces règles ci-dessus citées, il ne doit pas y avoir de privilège d’exception. Parce que l’exception n’est jamais du droit, ou n’a jamais été respectueuse des droits. Donc, au lieu pour les intervenants, d’essayer d’avancer derrière des phrases diplomatiques de convenances, «nous prenons actes de la réélection de, Ouattara. Le respect de la légalité constitutionnelle. Le respect de l’ordre constitutionnel. Le respect de l’autorité de l’état, etc. La décence oblige dans l’actuelle crise ivoirienne de proscrire de faire de l’exception qui n’est jamais du droit, pour quelques raisons qu’elles soient. Cette honteuse crise est bel et bien la résultante d’une banalité juridique, qui trouve légalement sa solde ou sa solution dans le droit constitutionnel et dans les règles démocratiques universelles. Cette banalité juridico-politique a été transformée en une crise mortifère par les élucubrations judiciaires du conseil constitutionnel ivoirien téléguidé par Alassane Ouattara. Alors que les exemples ne manque pas, ou cette situation identique n’a jamais fait l’objet de toutes petites discutions politiques, a plus forte raison d’aboutir à une crise sociopolitique. En France après la modification constitutionnelle qui a réduit la mandature du septennat au quinquennat, Jacques Chirac élu président de la République française en 1995 pour un mandat de sept (7) ans, Mandat marquées sur le plan institutionnel par le raccourcissement du mandat présidentiel à cinq ans, Jacques Chirac a été réélu en 2002 pour cinq (5) ans, après une modification constitutionnelle, d'inspiration chiraquienne. Mais Chirac n’a jamais revendiqué un troisième mandat après un seul mandat de la mandature du quinquennat.

 

En côte d’ivoire Alassane Ouattara nous dit que, sa constitution de 2016 à mis les compteurs du droit à Zéro de la limitation de mandats a deux (2) constitutionnels. Que par conséquent, qu’il a maintenant le Droit de briguer deux (2) autres mandats de cinq (5) ans, un troisièmes puis un quatrième, les deux (2) premier ne comptant pas. Or la constitution Française avait déjà été réformée à dix-neuf reprises depuis 1958 a l’arrivée au pouvoir de Jacques Chirac, aucun président de la république Française n’a oser parler de la mise à zéro des compteurs de limitations des mandatures à deux (2) constitutionnels,  qui a pourtant oscillé entre septennat et quinquennat. Et depuis 1958, la France est sous la cinquième république « régime présidentielle » malgré sa kyrielle de modifications constitutionnelles, aucun pouvoir de Gauche ou de Droite n’a oser donner le nom de sixième république, à une modification constitutionnelle. Pourquoi donc la côte d’ivoire qui depuis 1960 est sous le régime présidentiel hérité de la France, et l’avènement controuvée d’ un bidonnage de texte qui, quel que soit son caractère symbolique voulu par Alassane Ouattara ou ses conséquences d’exercices politiques, ne modifie en Rien l’architecture institutionnel d’un régime présidentiel, pour arriver à une troisième république, qui donne tous les droits a Alassane Ouattara, en mettant le compteur à Zéro, les droits de mandatures limités à deux (2), tout en maintenant l’architecture du régime présidentiel. Non ! La norme constitutionnelle a été violée. Il faut aider la côte d’ivoire à survivre.

 

Oui, dans tous les pays civilisés du monde démocratiques, la norme de régulation sociale, une fois qu’elle a été établie, personne ne doit la violé en invoquant sa supériorité, afin d’être dispensé de l’assujettissement rigoriste à cette norme de régulation sociale, pour qu’on autorise ses propres ambitions. Ainsi la norme de régulation sociale agit d’une manière égale par rapport à tous ceux qui se trouvent sous son autorité. Elle est l’autorité suprême dans l’État et tous doivent lui obéir. Mais hélas ! Si le pouvoir d’État « comme celui d’Alassane Ouattara » ne tienne pas compte des intérêts généraux de la totalité sociale, et entre en conflit avec la majorité de la population, dans ces conditions, est violée la raison même en vertu de laquelle s’est constituée l’institution de l’État et il ne reste plus, dans ce cas, d’autre solution que celle du retour du pouvoir au sein du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état. Donc dans l’actuelle crise ivoirienne il faut pour la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny oser la vérité. L’état de droit a foutu le camp de la côte d’ivoire, depuis les violations des normes constitutionnelles qui régissent notre société commune avec le troisième mandat d’Alassane Ouattara qui prélude un quatrième mandat. Le peuple doit entrer dans ses droits au terme d’une transition politique solidaire. Que l’Ancien président de la république de 2010 à octobre 2020 Alassane Ouattara l’admette ainsi avec l’aide de tous. Au cas contraire, le peuple entrera dans ses droits contre vent et marée, parce que, confiné dans la loi de la jungle, le peuple ivoirien à l’instar de tout peuple souverain, ne peut avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature. C’est de pur droit. Ça se juge a l’arrivée ! Que la nature protège la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile)

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5 novembre 2020 4 05 /11 /novembre /2020 18:04
Lepetitfils : Si le pouvoir d’Etat ne tienne pas compte des intérêts généraux de la totalité sociale, et entre en conflit avec la majorité de la population, dans ces conditions, est violée la raison même en vertu de laquelle s’est constituée l’institution de l’Etat et il ne reste plus, dans ce cas, d’autre solution que celle du retour du pouvoir au sein du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état. « Donc, Alassane Ouattara lui-même a appelé le retour du pouvoir au sein du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état ».

Lepetitfils : Si le pouvoir d’Etat ne tienne pas compte des intérêts généraux de la totalité sociale, et entre en conflit avec la majorité de la population, dans ces conditions, est violée la raison même en vertu de laquelle s’est constituée l’institution de l’Etat et il ne reste plus, dans ce cas, d’autre solution que celle du retour du pouvoir au sein du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état. « Donc, Alassane Ouattara lui-même a appelé le retour du pouvoir au sein du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état ».

*- Une transition solidaire, est un droit inaliénable du peuple souverain ivoirien.

Alassane Ouattara lui-même a appelé le retour du pouvoir au sein du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état. Donc la transition s’impose comme droit inaliénable du peuple souverain a disposé de lui-même. Oui, disons de façon très litote:  Le concept et la notion de l’état de droit comme voulu par ses initiateurs en Angleterre, entre le 16e siècle et le 17e siècle dans le contexte des disputes entre Parlement et la monarchie, « le premier essayant de limiter le pouvoir discrétionnaire du Roi et d’instituer la suprématie de la Loi dans toute l’activité de l’État », ont puiser les sources de cette inspiration conceptuelle de l’état dans l’Antiquité grecque, dans la philosophie politique d’Aristote. Ce dernier considère que le mieux serait que « la loi gouverne, plutôt que n’importe lequel des citoyens », parce que la loi, en tant qu’expression, de la volonté populaire, de la liberté, de la justice et du bien général, se trouvera au-dessus des passions, intérêts et de la subjectivité des individus. Or, ces derniers triomphent lorsque « tout est décidé par le pouvoir d’état, non pas par la loi ». Et quand « le gouvernement ne réside pas dans les lois, l’État n’est pas libre, car la loi devrait être au-dessus de tout ce qui est ». En considérant que la loi doit être le fondement de toutes les relations et actions publiques, les promoteurs de cette idée de droit absolu, seront les initiateurs de la théorie de l’État, laquelle deviendra une conception dominante des sociétés modernes. Ici les gens sont des êtres libres, égaux et indépendants, personne n’a une situation privilégiée par rapport aux autres.

Il s’ensuit donc, que chaque personne s’est soumis volontiers, à l’instar du commun du mortel, aux mêmes normes de régulation sociale qu’elle-même aura instituée en tant que partie du législatif, de sorte que personne n’a plus pu éviter, tout en ayant recours à sa propre autorité. La force de la norme de régulation sociale, une fois qu’elle a été établie, personne n’a plus pu plaider, en invoquant sa supériorité, afin d’être dispensé de son assujettissement à cette norme de régulation sociale, pour qu’on autorise ses propres erreurs ou celles de ses vassaux. Ainsi donc, la norme de régulation sociale est valable pour tous et agit d’une manière égale par rapport à tous ceux qui se trouvent sous son autorité. Elle est l’autorité suprême dans l’État et tous doivent lui obéir. Mais hélas ! Si le pouvoir d’État ne tienne pas compte des intérêts généraux de la totalité sociale, et entre en conflit avec la majorité de la population, dans ces conditions, est violée la raison même en vertu de laquelle s’est constituée l’institution de l’État et il ne reste plus, dans ce cas, d’autre solution que celle du retour du pouvoir au sein du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état. « Donc, Alassane Ouattara lui-même a appelé le retour du pouvoir au sein du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état ». C’est pourquoi il est de droit que : Quand le pouvoir d’état viole les droits élémentaires du citoyen, l’insurrection reste le droit inaliénable et le devoir le plus sacré du citoyen. Ainsi, conformément à cette interprétation, les mouvements de contestation du pouvoir absolu sont justifiés dans la mesure où celui-ci méprise les clauses de son existence et se transforme du mandataire de la volonté du peuple en maître absolu de celui qui l’a mandaté. Dans ces conditions, le droit à la révolution apparaît tout aussi légitime que le droit à la vie ou à la propriété. C’est ainsi que la personne à la tête de l’État, est gouvernant non pas par la volonté d’un Dieu, mais par la volonté du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état libre de lui désobéir.

Donc, Aujourd’hui en côte d’ivoire, le devoir absolu et la parole sont au peuple souverain, puisque, le pouvoir est au peuple. Donc, nous devons soutenir la transition politique et ensuite faire un état des lieux de notre situation sociopolitique en côte d’ivoire, pour la rendre plus démocratique. Ce sont les ivoiriens qui aideront les dirigeants de la transition pour le faire, sinon ils auront faillis. Dans un état de droit personne ne soumet personne avec la contrainte de la force des armes, tout le monde se soumet par obéissance aux normes consensuelles du système de l’organisation sociale consensuelle et aux institutions légales  étatiques qui en résultent. Au cas contraire c’est les tensions sociopolitiques et si ces tensions ne parviennent pas à être politiquement sublimée à travers, un consensus et à travers une dynamique démocratique républicaine, où les contradictions sont résolues dans le cadre d’un espace public cohérent où on accepte l’autre dans sa diversité d’opinions, l’état fonce dès lors dans une crise des incohérences, par le fait que sa composante n’arrive pas à nouer un lien sociopolitique solide et durable en conciliant les opinions diverses et les positions politiques légitimes. Donc l’écoute attentive des opinions des autres et leur questionnement politique dans la conduite des affaires de l’état sont les conditions de la paix sociopolitique au terme d’une transition solidaire.

Alassane Ouattara lui-même a appelé le retour du pouvoir au sein du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état.

 

IL FAUT LIRE ABSOLUMENT, CI-DESSOUS…

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