(PRENDRE SON TEMPS, MAIS A LIRE ABSOLUMENT.)
*- (Il serait borné, aride et taré, de dire que le boycott est un choix, donc un Vote).
Bon ! Il en va de la médecine comme de la politique. Il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Si l’élection présidentielle ivoirienne querellée, avait ouvert à tous les citoyens ivoiriens et à tous les partis politiques ivoiriens, à l’égal accès, la compétions électorale démocratique, pour la conquête du pouvoir étatiques, qui est par excellence de par le monde, un concours de représentativité du peuple souverain, ultimes détenteur du pouvoir d’état, et surtout, si elle avait tenu la promesse républicaine, de l’égalité de chance dans la société commune, de l’égalité sans exclusif de tous en droits et devoirs indépendamment des appartenances politiques, des origines individuelles, des convictions philosophiques, des croyances religieuses, sans aucune politique condescendante de domination partisane, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, aurait fait l’économie de la crise postélectorale actuelle. Et sauver plus de 150 vies de jeunes citoyens morts zigouillés, dans le camp du refus de légitimé une sale forfaiture électorale, orchestré par Alassane Ouattara et exécuter par sa Camarilla criminelle. Or la confiscation systémique du pouvoir, à décider du sort de l’élection, d’où la crise aigüe actuelle.
Le boycott des élections, est un refus de légitimer une mascarade. La démocratie représentative est certainement le fruit d’un compromis négocié dans le sang des révolutions des cinq «5 » derniers siècles, entre les exigences dictatoriales et l’aspiration profonde des couches populaires, à la maîtrise de leur vie et de leur destin collectif. De sorte qu’en l’absence de vote efficace, qui ne respecte pas le principe d’un homme, une voix, les citoyens utilisent alors leur seul autre moyen d’exercer un contre-pouvoir, le boycott actif et la désobéissance civile ou l’insurrection populaire, pour espérer obvier une aliénation de fait, de la souveraineté populaire. Puisque, le fonctionnement de la démocratie représentative se trouve radicalement faussé, quand la souveraineté populaire se trouve aliénée. Dès cet instant, lesdits élus détenteurs du pouvoir, n’agissent plus en tant que mandataires de leurs électeurs, mais en tant que souverain absolu. Donc les citoyens boycottent les élections présidentielles pour délégitimer la structure du pouvoir, qui en ressortissent, illégalement et illégitimement dans le mépris des droits.
Oui, une démocratie participative fonctionne sur le mode du débat démocratique et pluraliste, l’abstention par boycott est le signe de son inexistence. Et Lorsqu’on contourne cette réalité irréfragable, par des questions politiciennes, qui paraissent impropres à la démocratie, le rapport de force supplante la démocratie. On entre alors dans un système mafieux de non-droit et la sphère publique se trouve désertée par boycott. Car ce n’est pas là que s’attribuent les pouvoirs démocratiques, et que se prennent les décisions publiques équitables, salvatrices, novatrices et salutaires. Donc l’abstention par boycott accrédite l’idée illusoire qu’il pourrait exister des solutions légales, qui ne passent pas par la politique politicienne, fruit des rapports de forces d’Animosité ou d’Animalier, pour l’exercice du pouvoir d’état, au mépris des règles démocratiques et des droits du citoyen. Donc, on s’abstient, on boycotte, mais on fait confiance à la protestation légitime pour faire entendre sa voix citoyenne. Le boycott est un signe de manque de confiance, de désespoir, qui résulte du processus électoral cadenassé et bâclé, aux résultats téléguidés connus d’avance, via un système qui schématise le trucage avec du : «déjà géré, déjà calé et déjà bouclé», et le boycott est une prise de conscience d’une contrainte de non-droit, transporté par des normes anomique et une forme ou procédure juridique viciée. Ce qui n’est pas précisément une posture de citoyen libre et indépendant. Et c’est pour cela que le boycott débouche toujours sur des crises politiques aigues.
*- Le vivre en commun de partage d’une société.
Mais pour, du même coup, redonner un sens à la souveraineté populaire, il faut aussi que ce boycott, ne se limite pas à l’abstention par boycott, mais débouche sur une intervention démocratique positive et que les partisans du boycott se regroupent, forment des comités ou toutes autres structures collectives, et débattent, non pas du choix d’un individu, qui irait exercer le pouvoir à leur place, mais des transformations de l’organisation politique et sociale, qui redonneraient à chacun d’entre les moyens une existence décente, et une prise sur le destin collectif. Car le système qui opprime les citoyens, n’est pas spécifiquement un système électoral bâclé, mais un pouvoir aux mains d’un système politique exploiteur de misère, celui-ci s’efforce de gouverne en se servant des élections ou pas. Mais, puisqu’ils ne sont pas élus, ils se moquent aussi que les citoyens participent ou pas au vote du moment, et que les citoyens ne font rien d’autre pour leur ôter leur pouvoir mal-acquit. Donc ce pouvoir continuera à jouer la carte de la légalité «respect de la loi électorale viciée» sans se préoccuper de la légitimité que ne pourrait lui procurer qu’un vote massif, qui n’a aucune chance de se produire dans son mafieux système.
Qu’importe cette légitimité que ce pouvoir n’a aucune chance d’obtenir, eu égard au massif boycott actif et à la désobéissance civile ou l’insurrection populaire, puisqu’un simulacre de légalité, basé sur son système électoral et sur le respect d’une loi électorale taillée sur mesure, suffit à ce pouvoir pour garder la haute main sur le pays et toute la richesse nationale du pays. Et ainsi de dangereux ressentiments susceptibles de fragmenter encore plus la cohésion sociale pourraient évidemment en résulter. Puisque la véritable démocratie, c’est quand des millions d’opprimés font de la politique, en choisissant librement leur représentation nationale. Donc il serait borné, aride et taré, de dire en côte d’ivoire que le boycott est un choix, donc un Vote. C’est du classique en politique, en démocratie réellement participative, d’où l’actuelle crise ivoirienne, qui a pour but de s’opposer à une mascarade électorale, par tous les moyens Humains. Oui, que les moyens légaux se mettent en congé, parce que la fondation de l’architecture est illégale. Cette crise orchestrée par Alassane Ouattara, résulte d’une violation flagrante et répétée de la constitution, déjà initialement viciée, dans sa procédure d’élaboration. Dans un état républicain de droit, la constitution, socle de la société, est supposée être l’affirmation de la volonté du peuple souverain entier.
C’est pourquoi l’élaboration d’une nouvelle constitution, obéit à des règles strictes universelles, qui exigent la formation d’une assemblée constituante originaire, mandatée par le peuple souverain ou ressortissante exclusive du peuple souverain. (La constitution de 2016 a-t-il obéit à cette règle ? C’est ainsi aisé de savoir que, le tout a véritablement commencer-là. Quand on sait qu’il est de droit international coutumier «le droit des droits» que ; Le pouvoir constituant originaire est l’organe dont le rôle est de créer une constitution dans un état naissant ou un état qui a subi un bouleversement politique d’ordre international, tel une guerre ou d’ordre national, tel une révolution, un coup d’état ou un changement de régime politique. Ceci est du droit international coutumier). Et c’est pourquoi, dit-t-on souvent, que pour voir une société, pour dire une société, pour rencontrer une société, pour raconter une société, pour entendre une société, pour connaitre une société, qu’il n’est pas, en droit, d’autre instrument légal que la constitution qui régit la société. Par ce qu’elle est l’acte fondateur de la société, en ce qu’elle énonce les principes inviolables sacrés autour desquels se construit le vivre en commun Sociétal.
*- Avec déjà 150 citoyens Morts zigouillées, nous avons Mal à notre Pays.
Donc, là ou une constitution socle de la société commune peut être violé impunément à souhait et à volonté d’un pouvoir, est une société sans racine. Donc la violation de la constitution de 2016 à l’élaboration initiale viciée, qui a fait aujourd’hui des centaines de Morts «continus», à commencer depuis 2016 à l’élaboration de ladite constitution viciée et aujourd’hui violée. Qu’on se le tient pour dit: Ici la loi c’est Alassane Ouattara, toutes autres lois ne sont qu’un leurre, un chiffon de papier, une attrape nigaude, pour ceux qui n’ont pas de fusils. Et ici la loi est destinée à inculquer aux faibles le respect des forts, qui ont les armes « fusils ». Ici la règle de loi, est que le pouvoir est au bout des fusils ! Alassane Ouattara ne s’est jamais accommodé du droit en politique. Lui ou Rien. Sa position ou la terre brulée. C’est pourquoi, avec le pouvoir d’Alassane Ouattara, les fusils sont devenus l’unique mesure de valeur sociopolitique, ou les fantassins soudards, les milices, imposent tous leurs travers au peuple ivoirien dans l’impunité totale, dans un pays au couleur quotidien du sang Humain. «Plus de 150 jeunes morts zigouillés en moins de 60 jours. Quoi de plus normal, quand on sait que des gens qui n’ont jamais eu un salaire auparavant avant septembre 2002, sont à des postes étatiques juteux, quand on sait que, des gens dont rien ne prédestinait à être des cadres de l’administration, sont injectés dans la haute sphère de l’état ou dans la représentation nationale diplomatique, sinon bombardés ministres, le tout par la forces arbitraire des armes, devenue le seul mérite sociale et la seule mesure de valeur sociopolitique, dans une côte d’ivoire en liquidation.
Oui, disons-le, des Valets Niais, Croupions, cornichon, qui n’étaient que de simples fantassins ou les plus gradées Caporaux, étaient sous le commandement d’un sergent débile, sont devenus milliardaires et ont monté en grade au mépris de toutes règles, des simples chasseurs de gibier devenus des chefs militaires et le tout devenu des milliardaires arrogants. Quand on sait que, des simples petits escrocs, vautours des finances publiques, sont assis sur des trésors de milliards. Quand on sait que la possible faisabilité d’un troisième mandat, illégal et illégitime est uniquement due à la détention des armes «Marfas». Quand on sait que, tous ces mondes vampiriques sont tous branché en véritable sangsues à la manuelle des caisses publiques, de nos ressources naturelles souveraines, « terre, diamant, or, pétrole etc.» et les régies financières étatiques, avec le soutien d’une mafia international, devenue validant, de tous les non-droits politico-électoral en côte d’ivoire, y compris ce honteux mandat illégal et illégitime. Oui, quoi de plus normal, quand l’arbitraire de l’injustice juridique et de l’injustice sociale à force de loi, dans une côte d’ivoire mise en liquidation mafieuse, et réduit a l’état de caisses noires ostensible de butins de guerres de conquête du pouvoir par les armes impies d’une éhonté mafia internationale sacrement sectaire.
Nous avons déjà dit, qu’Alassane Ouattara mérité le TROU. Oui, le Trou qu’indique le droit international pénal, le trou pas à la CPI, mais a la MACA nationale, pour ses crimes de guerres, ses crimes contre l’Humanité et ses tueries intempestives, au terme des crises sociopolitiques cyclique, qu’il orchestre à volonté. En égrenons-en : Les faits indéniables de violations répétées des constitutions et principes constitutionnels par Alassane Ouattara : Le 24 décembre 1999 «coup d’état réussi». Les 18-19 septembre 2002, «coup d’état manqué transformer en rébellion qui a fait 7000 Morts zigouillées. En 2010 candidature anticonstitutionnelle «en violation de la constitution 2000. En 2O11 auto-proclamation élu «au mépris des prescriptions constitutionnelles et une guerre délibérée de crise postélectorale». En 2O16 élaboration unilatérale d’une constitution estampillée troisième république, «Alors que, depuis le 7 Aout 1960, le régime politique ivoirien a toujours été présidentiel sans interruption». Le tout, au mépris de toutes les règles universelles de la matière constitutionnelle, surtout en dépit de la souveraineté absolue du peuple constituant originaire. Et en 2020 candidature illégale et illégitime «pour un troisième mandat anticonstitutionnelle en violation des prescriptions constitutionnelles de sa constitution viciée, qui limite le nombre de mandats a deux (2) dans la continuité de la constitution de 2000 source de ses deux (2) mandat consommés.. C’est ce qui a occasionné une crise qui a déjà fait plus de 150 citoyens zigouillées». Et enfin question: En 1993 qui était retissant à l’application de l’article 11 de la Constitution du 3 novembre 1960 ?
*- Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois.
Donc en Côte d’ivoire, l’essentiel sociétal est désormais en jeu, donc, on ne peut se taire face à la violation de la constitution, et tous les crimes qui s’en suivent, plus de 150 jeunes ivoiriens tués par les sicaires et miliciens du Roi, Alassane Ouattara. Alassane Ouattara mérite d’être jeté aux geôles de l’oubliette historique de nos histoires sociétales des hommes politique faillis. Aujourd’hui, Alassane Ouattara n’est vraiment à sa juste place que sur le banc des criminels accusés d’une juridiction de répressions des crimes contre l’humanité. Parce que ses faits de gouvernances, y sont irréfragable-ment bien logé dans le champ d’application des normes du droit internationale pénale. Alassane Ouattara est admissible au «Trou» international. Alassane Ouattara a échoué lamentablement sur toute la ligne, à instaurer un réel état de droit, un état réellement démocratique et surtout a réconcilié le peuple ivoirien et à Refaire de la côte d’ivoire, un état de droit et une nation une et indivisible. D’où nos tocsins intempestifs. Parce que, nous sommes peinés, agacés, sinon attristés, de voir et d’entendre la côte d’ivoire, cette expérience de consensus politique, de dialogue national, du asseyons-nous pour discuter à l’Africaine et de paix sociale. Oui cette culture de non-violence, d’harmonie intercommunautaire et d’union nationale à toute épreuve.
Cette expérience de l’exaltation de la diversité solidaire, cette solidarité nationale agissante, assise sur la reconnaissance de l’autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous. C’est à dire reconnaitre l’autre comme différent et l’admettre comme son égal en droit et devoir Initié, par FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Hélas ! Peinés, agacés, et attristés, disons-nous, de voir cette société autrefois havre de paix devenir une boucherie à ciel ouvert aux yeux du monde. Ou les hommes ivoiriens sont massacrés à souhait et a volonté, d’un homme au service des grands intérêts mafieux. Soutenue par une minorité opportuniste d’hommes politiques mafieux, qui méprisent le droit, les libertés et la démocratie. Qui ont transplantés toutes les politiques chaotiques, toutes les crises sociales d’animosité de la planète en côte d’ivoire, destinée à la désocialisation à petit feu, sous la houlette du Moi ou Rien, sinon la Terre Brulée. La côte d’ivoire est parti le 07 Aout 1960, sous la conduite de Félix Houphouët Boigny, avec la Religion de «pas une seule goutte de sangs Humain versée sur le sol ivoirien» avec l’option rigoriste que tout homme est homme, indépendamment de sa Caste, et que les hommes sont égaux en droit et en devoir dans la société, qui s’oblige à organiser la solidarité envers les plus faibles de sa peuplade, pour devenir une côte d’ivoire paisible. Ou tous les changements étaient possible, mais dans l’ordre social, dans la stabilité, dans le respect des lois, et de la paix sociopolitique, cette autre religion Houphouët-ienne
Donc, ici, pour notre part, «peut-être pauvre parolier», nous souscrirons aux principes d’un dialogue avec Alassane Ouattara, le jour ou Alassane Ouattara dira au peuple souverain ivoirien, avec des arguments clairs et convainquant, pourquoi, il a refusé la demande de rencontre pour discuter de toute l’opposition ivoirienne unie, au moment où les pourparlers étaient bloqués sur l’ouverture réelle de la CEI a l’opposition pour aboutir des élections propre. Et pourquoi il a méprisé les décisions de la Cour Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples, qui édictent les normes électorales conformes aux normes internationales. Des arguments clairs d’Alassane Ouattara nous engageront, sur son option d’Hier, «pas de discussion sur la CEI», par rapport à son option d’aujourd’hui «Il faut qu'on se parle. Il n'y aura pas de transition». Nous ne sommes pas du suivisme moutonnier, du panurgisme alimentaire, derrière des gens mafieux, escrocs moral et intellectuel, aux Auras factices nébuleux, fondés sur des fausses notoriétés griot-tique et propagandistes, afin d’escroquerie morale et intellectuelle. Aujourd’hui donc, il faut se détromper, parce que, personne d’autre, ni même un dieu, ne viendra résoudre de façon magique, les problèmes sociopolitiques de la côte d’ivoire, en lieu et place des ivoiriens eux-mêmes.
Cette solution exige des sacrifices du don de soi, qui ne tombera pas du ciel. Donc, puisqu’il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic, le mal de la patrie est ici diagnostiqué. Il ne reste plus aux ivoiriens, que de ne plus obéir à l’administration illégale et illégitime de Ouattara, de quelque manière que ce soit. Donc refus d’obéir aux injonctions de tous les fidèles de, Ouattara, y compris les élus, quels qu’ils soient. Refus de payer les Impôts, refus de payer les Taxes, refus de respecter les règles Douanières, pour les nationaux ivoiriens, refus de sorties des caisses publiques, etc. De sorte que l’administration illégale et illégitime de, Ouattara n’ait plus rien à faire. Que rien ne l’obéit plus, que ses fichus ministres ne commandent plus rien, que son autorité fiche le camp, que Ouattara perd lamentablement la main, donc que n’ait plus rien entre les mains, donc qu’il n’arrive a plus à rien faire, et qu’il s’en aille par la plus petite porte. Voilà le remède succédané, de la révolution populaire dans la rue pour être maitre de son destin. Donc, osons prendre le taureau par les cornes pour changer notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Au cas contraire l’ivoirien sera réduit à court terme à l’état d’un Cabri « Bouc » du désert entre les mains d’un boucher sahélien. Et vive les massacres intempestifs a volonté d’un Roi…
C’est pourquoi, il est d’intérêt public et de la nécessité absolue pour la société ivoirienne, que le lien de rattachement social atavique, le lien de rattachement territorial ancestral, les liens de rattachement Moral et les rafistolages des fibres intercommunautaires immémoriales, des dirigeants politiques, avec les peuples qu’ils gouvernent ou prétendent vouloir gouverner, doivent être extrêmement très solides. Ainsi la vérité historique garantie les libertés individuelles et la mise hors de danger de la totalité sociale, se réalise de lui-même par le consensus national. Ce qui est gage de la reconnaissance de tous dans leurs originalités absolues à l’intérieure de l’égalité de tous. Le sentiment d’appartenance sociale atavique annihile les instincts de violences et de barbaries des plus forts à l’égard des plus faibles dans une société. Et amène les plus forts à organiser la solidarité envers les plus faibles dans la société. Ici point d’armes «fusils», point de justice arbitraire, et point de tueries. Bon ! : « Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).