Lepetitfils : Aujourd’hui le mensonge soutenu a permis la mort de 7000 citoyens ivoiriens zigouillés au terme d’une guerre de conquête du pouvoir d’état par les armes « fusils », rendu possible par la ventilation de grossiers mensonges, par les griots des temps nouveaux, par une mafia internationale, et par une presse intéressée et aplatie. Et ça continue. Oui, la réconciliation exige la vérité, rien que la vérité, elle oblige le don de soi, l’oubli temporel de soi, et l’abandon du moi ou rien. Et un homme politique, un homme public, doit-être capable de dépassement de soi, pour privilégier l’intérêt général.
*- Chronique : Une occasion nous est donnée saisissons-là.
L’élargissement de la liberté du président Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, après neuf « 9 » ans de détention affligeante, offre la plus grande et la plus meilleure des occasions d’une vraie réconciliation pour la côte d’ivoire. Oui, si les ivoiriens veulent la vraie réconciliation, qui est incompatible avec l’entretien sciemment des crises dont elle a pour objet d’effacer. Disons-le encore avec courage, comment avec un nombre important de dirigeants de l’opposition pourchassés, embastillés et collectionnés dans les lieux des détentions arbitraires et des jeunes leaders «Labrador» véritable cauchemar ambulant dans la nature en exil forcé, avec tout ce corollaire-là, peut-on prétendre réussir une réconciliation vraie ? Nous n’y croyons pas. Si oui avec qui et entre qui ? Mais le pouvoir ivoirien d’Alassane Ouattara issu d’une crise par lui créée ambitionne de réconcilier les ivoiriens avec une justice judiciaire téléguidée, effrénée et prétend aspirer à la paix sociopolitique, tout en excellent dans une chasses aux sorcières a la veille des élections de 2020 à venir. Le tout couvert habilement par des discours creux de diversions, déconnecté de la réalité sociopolitique, et des actes quotidiens posés de gouvernances étatiques.
Or la vraie réconciliation nationale et la paix sociopolitique exige qu’on soit capable de gérer au mieux, la lourde conséquence de la crise postélectorale, qui a occasionnée des violations massives des droits de l’homme notamment à l’ouest perpétrées par les FN-FRCI et les DOZOS dont Amnesty international et l’ONU s’en sont préoccuper. Et avec des ivoiriens profondément divisés, devenus les réfugiés d’Afrique, et sectionnés en des ivoiriens : du Nord ivoirien, du Sud ivoirien, de l’Est ivoirien et de l’Ouest ivoiriens. Oui, parvenue au pouvoir à la suite d’une crise aiguë depuis le 24 Décembre 1999, crise qui a fragilise, voir, mis en lambeaux les fondements sociologiques et étatiques de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Donc, ce pouvoir est astreint à une vraie réconciliation. Pour avoir une vraie paix sociopolitique, qui est une œuvre hautement politique et diplomatique. Parce que le lien social dans une nation civilisée est hautement politique. Donc une réconciliation nationale vraie, qui est une œuvre sociopolitique de rassemblement national, de retissage social, de ré-soudage communautaire et de reformatage social. Elle est donc « comme nous l’avons déjà dit », incompatible avec l’entretien sciemment par des diversions sur la crise dont elle a pour objet d’effacer la douleur dans la mémoire collective traumatisée.
C’est pourquoi nous avons toujours dit et répéter que, la réconciliation nationale post-crise nécessite qu’on arrive à réapprendre au pays à se parler en nouveau, réapprendre aux peuples à s’admettre en nouveau, et à se reconnaitre en nouveau, réapprendre aux communautés nationales diverses à se côtoyer en nouveau, et à s’admettre mutuellement dans la concorde civile comme l’égal, les uns des autres en nouveau, réapprendre aux hommes politiques à accepter les différences idéologiques dans l’ordre du public en nouveau, réapprendre aux citoyens ivoiriens à vivre paisiblement sans heurt dans une société commune qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales en nouveau. Donc pour que la réconciliation soit productive pour la Côte d’ivoire, elle ne peut se faire en dehors du consensus des acteurs politiques, les hommes de tous bords politiques d’abord dans un premier temps. Oui ! Ce sont les acteurs politiques qui sont les problèmes, ce sont eux qui font les problèmes et ce sont eux qui posent des problèmes a résoudre ou il n’y a n’en pas, ou le commun des mortels n’en voient pas.
Donc les problèmes doivent se résoudre à leurs niveaux d’abord consensuelle-ment, dans un premier temps. Tout cela de façon impartiale, indépendante et dans une optique d’avenir. En examinant le passé pour mieux préparer le futur. Donc retisser le tissu social, réécrire les normes de régularisation sociale devenue anomique et restaurer les valeurs humaines bafouées. Oui, les hommes de tous bords politiques d’abord dans un premier temps, parce que tous les problèmes non résolus à leur niveau par le dialogue, la discussion, l’unanimité et le consensus, reste un problème non traité, qui gâchera tout un jour. Ainsi, tout en laissant la latitude et la faculté aux victimes de décider de clore le chapitre désormais très lisible des violations des droits commises. La libération du président Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé après neuf « 9 » ans de détention affligeante, offre la plus grande et la plus meilleure des occasions de cette vraie réconciliation pour la côte d’ivoire. Ici la politique socialiste du « vivre ensemble », prônée a tout bout de champ, qui consiste à faire de la place à l’autre arrivant» est une valeur exclusive de gauche socialiste qui n’est pas la réconciliation nationale post-guerre qui, elle se fonde sur la repentance persuasive, sur le pardon de blessures d’une crise que la totalité sociale a subit le martyrs malgré elle.
Dès lors, la réconciliation nationale post-guerre et l’autocritique qu’il impose à chacun, est-elle possible avec des hommes qui n’admettent pas la rigueur du consensus sociopolitique ? Et surtout, qui n’admettent jamais s’être tromper ? Nous n’y croyons pas. Et pourtant, un processus de réconciliation nationale, doit avoir la possibilité d’agir dans un cadre plus large que celui d’une justice judiciaire téléguidée, qui s’astreint judiciairement aux violations supposées de droits humains individuels a lui doigté. Et nous sommes convaincus qu’un vrai processus national de réconciliation, est impossible avec des hommes qui veulent paraitre blanc comme neige, malgré leurs mains aux couleurs Rouge du sang humain versé. Surtout, pour lesquels hommes politiques gouvernants, la paix sociopolitique est l’absence de guerre et l’absence de corps humains a ramassé dans la rue et transporté à destination des lieux de disparitions forcé. Oui, des hommes qui proscrivent la repentance et la contrition. Or ceci s’assigne comme but la renonciation au désir de vengeance et l’abandon des blessures de la crise du passé.
Oui, la réconciliation nationale vraie est impérieuse, pour la mémoire des innocentes personnes victimes, qui observent la terre de leurs ancêtres, bien que tuées chemin faisant vers le pouvoir d’état et elle nécessite l’abandon des blessures du passé. Pour pouvoir rebâtir tous ensemble la nation ivoirienne sur les piliers solides de droits, de libertés, et de démocraties, qui lui éviteront de chanceler à nouveau dans un avenir proche, sinon en 2020 ou même s’écrouler à jamais. Il est impératif dès lors, que la réconciliation nationale sincère soit possible, pour pouvoir arrêter le cycle infernal depuis 1999 de la violence en politique. Se faisant le grand pardon d’intérêt public, qui transcende tout citoyen devient obligatoire. Parce que garant de la survie de la nation cohérente, harmonieuse, paisible, qui dans son besoin de continuité pourrait enfanter une Amnistie générale référendaire, qui sera issu de l’attitude des acteurs, coupables et repentis. Ainsi la vraie et réelle réconciliation nationale doit passer nécessairement par l’abandon du moi ou rien et par l’abandon de l’égocentrisme des uns et des autres.
Donc pour aller à des élections démocratiques déverrouillées de toutes emprises mafieuses, décadenassées des intérêts politiques compromissoires et mafieuses, dé-bétonnées d’une organisation partisane, détachées des travers juridiques politicards, et libérées des errements politiques, vers le trucage en 2020, il faut absolument que ces élections soient précédées par une vraie réconciliation nationale. Donc il faut inexorablement dialoguer autour de la chose publique, qui n’est la plantation personnelle de qui que ce soit et discuter dans l’ordre du public, l’espace citoyen de droits pour tous, pour pouvoir aller a de bonnes élections démocratiques, justes, transparentes en 2020. Qui ouvrirons ainsi la porte de sortie de la crise aux ivoiriens martyrisés, parce que la démocratie réelle participative, la réconciliation nationale, la stabilité politique et la paix sociale pérenne sont inextricablement liées et interdépendantes. Dès lors, il convient par intérêt général d’insister ici, qu’il n’y aura pas d’élections démocratiques transparentes, équitables en 2020 sans une vraie réconciliation nationales. Et avec des conditions consensuelles desdits élections, convenues entre tous les acteurs politiques et de la société civile.
Donc que toute réconciliation a paternité d’intérêt, autre que celui du peuple souverain serait Bâtarde, donc illégitime. Et que toute réconciliation rattachée habilement à des intérêts politiques autres que d’intérêt général, serait voué à l’échec, donc de façade. Donc œuvrons tous ensembles pour obtenir une vraie réconciliation nationale, gage d’une élection transparente, juste, crédible et consensuelle en 2020. Au cas contraire les mêmes chaos sociaux sempiternels continueront au-delà des élections de 2020. Oui le processus de réconciliation national post-guerre, est couronné très souvent par une Amnistie générale référendaire, qui a pour but unique entre autres, de consolider la marche post-crise du pays vers un avenir plus harmonieuse, plus paisible, plus démocratique, et la côte d’ivoire a le droit et le devoir de s’y inscrire. Oui, les victimes ivoiriennes de tous bords souhaitent aujourd’hui, pouvoir tourner la page du cycle de violence en politique depuis 1999, au terme d’un processus de réconciliation nationale vrais. Mais en l’état actuel, ils en doutent de sa possibilité entre les acteurs.
Les victimes en doutent dans la mesure où elles ont l’impression que les anciennes habitudes sources de la crise demeure, au mépris de cette réconciliation nationale souhaité, et que contrition n’a pas été faite, que par conséquent les bourreaux peuvent récidiver, en tout lieu et en temps. Et que les préjudices subis pendant la guerre ne sont pas ou ne seront pas réparés. Ce qui a fait échouer beaucoup de processus de réconciliations de par le monde. Le peuple a besoin du concret, du palpable, de l’acceptation des différences. Parce que sans garde-fous souveraine, on se leurre derrière les mêmes politiques et on recommence les mêmes et c’est le peuple qui paye la note salée. Donc redisons-le, répétons-le, après la libération du président Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé après neuf « 9 » ans de détention affligeante, la côte d’ivoire doit avoir le courage de la réconciliation nationale vraie, qui est d’intérêt public, d’intérêt général, d’intérêt national, de droit international coutumier. Il est difficile de persuader des communautés nationales pour une réconciliation après crise pour lesquelles leur enfant est emprisonné à cause des faits commis par d’autres en liberté. Il y a quelque chose qui ne cloche pas.
Au terme de la guerre imposée à la côte d’ivoire de 1999-2002 à 2011, il y a de nombreuses victimes de guerres, notamment à l’ouest de la côte d’ivoire, mais il n’y a pas de victime Gbagbo, à défendre en côte d’ivoire. Non ! Il n’y a que des victimes de guerres en côte d’ivoire. Ces victimes savent où ils ont buttés avant de tomber. Certes, oui, on peut chercher à brouiller les pistes de droits, à entretenir les amalgames à dessein inavoué, à semer la confusion dans les esprits, par des actions controuvées. Mais, on ne peut pas convertir le faux en vrai, l’illusion en réalité, le vice en vertu, au point de justifier ou de défendre, l’injustifiable et l’indéfendable. « Le 24 décembre 1999, les 18-19 septembre 2002 et le 11 avril 2011 ». Notre société ivoirienne ne doit plus s’inscrire dans le registre de l’obéissance moutonnière et du panurgisme de vache qui ne demande qu’à manger. Aujourd’hui notre société ivoirienne doit privilégie la persuasion, l’obéissance volontaire, le dialogue pour convaincre les réticences, la concertation pour harmoniser les points de vues, le consensus pour arriver à la vie commune paisible, l’autonomie individuelle pour le respect du libre arbitre de chacun et le consentement fondé sur l’acceptation des valeurs d’intérêt général. Oui, il est des moments dans la vie, à défaut de la lucidité dans l’action sociale, le silence issu de la retenue et de la sagesse, l’abstention de parole sociale haineuse, le silence de la grandeur d’âme qui sied à l’intérêt de la totalité sociale, et la discrétion au tour des ambitions d’intérêts personnelles, peuvent s’avérer plus efficaces et plus utiles à la totalité sociale. En ce moment, il n’est pas sain de s’afficher partisan d’un événement porteur de honte, de haine et de régression pour tout un peuple et la totalité sociale souveraine.
Donc, il faut redire pour l’histoire et la postérité que ; La guerre postélectorale de 2010 est la résultante d’une violation flagrante des normes constitutionnelles ivoiriennes, qui régissaient et qui disposaient de la légalité des élections démocratiques en côte d’ivoire. La constitution ivoirienne de 2000 prescrit en ses articles suivants… « *- Article 94 : Le Conseil constitutionnel contrôle la régularité des opérations de référendum et en proclame les résultats. *- Le Conseil statue sur : – L’éligibilité des candidats aux élections présidentielle et législative; – Les contestations relatives à l’élection du Président de la République et des députés. *- Le Conseil constitutionnel proclame les résultats définitifs des élections présidentielles. *- Article 98 : Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d’aucun recours. Elles s’imposent aux pouvoirs publics, à toute autorité administrative, juridictionnelle, militaire et à toute personne physique ou morale. »… Oui, les garde-fous suscités inscrits dans la constitution du 1er Aout 2000 par le peuple souverain de côte d’ivoire effrayé par les armes de guerre du coup d’état du 24 décembre 1999 au moment où le président Laurent Gbagbo n’était pas encore président, surtout au moment où rare était les ivoiriens qui auraient parié sur cette éventualité en octobre 2000 n’ont pas suffi pour retenir, dissuader et persuader le carriérisme pathologique, l’arrivisme renégat de faire usage des armes redoutées par le peuple de côte d’ivoire. Et le pays de pas une goutte de sang versée a enregistré 7000 morts.
Oui, unie et solidaire, pour se défaire de l’engrenage qui risque d’être fatal en octobre 2020, pour ainsi être le gyroscope du peuple souverain, donc de l’état, et pour sauver la côte d’ivoire pendant cinq (5) ans, avons-nous toujours dit et répété. Et ensuite que les appartenances légitimes s’affirment au terme de cinq (5) ans de transition politique régulatrice au cours des compétitions électorales de 2025 et suivants, dans l’ordre idéologique des partis politiques. Donc, la côte d’ivoire solidaire doit pouvoir opter, tous unis, pour la réconciliation nationale vraie. Aujourd’hui à la lampe des lumières, de l’état réel de la côte d’ivoire, il est constant que, le monde entier « Onu » en tête, « la CPI est un satellite onusien » semble avoir fait l’effort impartial de comprendre, ce que vaut le niveau humaniste du système de pouvoir, qu’il a imposé à la tête de la Côte d’ivoire dans le feu et dans le sang, en commanditant des grossiers mensonges sur le légalisme électoral et démocratique, en laissant commettre de quantités d’actions de guerres interdites face au droit international général «guerre d’agression», au droit de l’homme, aux normes onusiennes, aux statuts juridiques des Etats, aux conventions de guerre « les quatre conventions de Genève » Tous violés à volontés… Pour un soutien ferme à un carriérisme sans précédent, qui a fait preuve de cynisme, d’obscurantisme depuis le 24 Décembre 1999, les 18-19 septembre 2OO2 pour arriver à ses fins, par les armes le 11 Avril 2O11. Et tout cela avec le sourire du renard libre dans le poulailler halluciné.
Oui disons-le, c’est le pire des gaffes de l’histoire des démocraties, qui a été faite en côte d’ivoire, lors de la validation des résultats de l’élection présidentielle 2010. La règle édicter au sud-coréen, Young-Jin Choi de Ban Ki-moon, par le monde « ONU » était de faire tomber le président Gbagbo, mort ou vif avec son régime, au nom de la responsivité de protéger et du devoir d’ingérence humanitaire, pour installer un pouvoir docile tailler sur la mesure d’une mafia, au mépris des dispositions constitutionnelles suscitées et en dépit du droit international. Oui allons a la réconciliation nationale et prenons garde, faisons très attention, parce que, le mensonge est le pire des maux pour l’humanité, pire que Coronavirus-COVID-19, pire que la peste, pire que le Sida, pire que Ebola, pire que le Cancer, pire que le Poison mortel dans l’eau de robinet, parce qu’il tue insidieusement. Et le mensonge d’état est non seulement dévastateur, mais quand il tue c’est sournoisement de masse. C’est en masse qu’il tue, pire que le Volcan, pire que l’ouragan. Donc allons a une réconciliation avec la sincérité qui proscrit le mensonge.
Aujourd’hui le mensonge soutenu a permis la mort de 7000 citoyens ivoiriens zigouillés au terme d’une guerre de conquête du pouvoir d’état par les armes « fusils », rendu possible par la ventilation de grossiers mensonges, par les griots des temps nouveaux, par une mafia internationale, et par une presse intéressée et aplatie. Et ça continue. Oui, la réconciliation exige la vérité, rien que la vérité, elle oblige le don de soi, l’oubli temporel de soi, et l’abandon du moi ou rien. Et un homme politique, un homme public, doit-être capable de dépassement de soi, pour privilégier l’intérêt général. Un dirigeant politique face à l’intérêt général de la totalité sociale et de la nation souveraine qu’il gouverne ou pas, doit-être capable de s’oublier soi-même pour privilégier les grandes considérations sociopolitiques de paix. C’est ça qui est la vérité. Oui une occasion nous est donnée avec l’élargissement de la liberté du président Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, après neuf « 9 » ans de détention affligeante, d’aller à la vraie réconciliation entre les enfants de la côte d’ivoire, entre la côte d’ivoire et le monde civilisé et ouvert, saisissons-là pour la paix sociale. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile)