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6 juin 2020 6 06 /06 /juin /2020 15:08
Lepetitfils : Aujourd’hui le mensonge soutenu a permis la mort de 7000 citoyens ivoiriens zigouillés au terme d’une guerre de conquête du pouvoir d’état par les armes « fusils », rendu possible par la ventilation de grossiers mensonges, par les griots des temps nouveaux, par une mafia internationale, et par une presse intéressée et aplatie. Et ça continue. Oui, la réconciliation exige la vérité, rien que la vérité, elle oblige le don de soi, l’oubli temporel de soi, et l’abandon du moi ou rien. Et un homme politique, un homme public, doit-être capable de dépassement de soi, pour privilégier l’intérêt général.

Lepetitfils : Aujourd’hui le mensonge soutenu a permis la mort de 7000 citoyens ivoiriens zigouillés au terme d’une guerre de conquête du pouvoir d’état par les armes « fusils », rendu possible par la ventilation de grossiers mensonges, par les griots des temps nouveaux, par une mafia internationale, et par une presse intéressée et aplatie. Et ça continue. Oui, la réconciliation exige la vérité, rien que la vérité, elle oblige le don de soi, l’oubli temporel de soi, et l’abandon du moi ou rien. Et un homme politique, un homme public, doit-être capable de dépassement de soi, pour privilégier l’intérêt général.

*- Chronique : Une occasion nous est donnée saisissons-là.

 

L’élargissement de la liberté du président Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, après neuf « 9 » ans de détention affligeante, offre la plus grande et la plus meilleure des occasions d’une vraie réconciliation pour la côte d’ivoire. Oui, si les ivoiriens veulent la vraie réconciliation, qui est incompatible avec l’entretien sciemment des crises dont elle a pour objet d’effacer. Disons-le encore avec courage, comment avec un nombre important de dirigeants de l’opposition pourchassés, embastillés et collectionnés dans les lieux des détentions arbitraires et des jeunes leaders «Labrador» véritable cauchemar ambulant dans la nature en exil forcé, avec tout ce corollaire-là, peut-on prétendre réussir une réconciliation vraie ? Nous n’y croyons pas. Si oui avec qui et entre qui ? Mais le pouvoir ivoirien d’Alassane Ouattara issu d’une crise par lui créée ambitionne de réconcilier les ivoiriens avec une justice judiciaire téléguidée, effrénée et prétend aspirer à la paix sociopolitique, tout en excellent dans une chasses aux sorcières a la veille des élections de 2020 à venir. Le tout couvert habilement par des discours creux de diversions, déconnecté de la réalité sociopolitique, et des actes quotidiens posés de gouvernances étatiques.

 

Or la vraie réconciliation nationale et la paix sociopolitique exige qu’on soit capable de gérer au mieux, la lourde conséquence de la crise postélectorale, qui a occasionnée des violations massives des droits de l’homme notamment à l’ouest perpétrées par les FN-FRCI et les DOZOS dont Amnesty international et l’ONU s’en sont préoccuper. Et avec des ivoiriens profondément divisés, devenus les réfugiés d’Afrique, et sectionnés en des ivoiriens : du Nord ivoirien, du Sud ivoirien, de l’Est ivoirien et de l’Ouest ivoiriens. Oui, parvenue au pouvoir à la suite d’une crise aiguë depuis le 24 Décembre 1999, crise qui a fragilise, voir, mis en lambeaux les fondements sociologiques et étatiques de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Donc, ce pouvoir est astreint à une vraie réconciliation. Pour avoir une vraie paix sociopolitique, qui est une œuvre hautement politique et diplomatique. Parce que le lien social dans une nation civilisée est hautement politique. Donc une réconciliation nationale vraie, qui est une œuvre sociopolitique de rassemblement national, de retissage social, de ré-soudage communautaire et de reformatage social. Elle est donc « comme nous l’avons déjà dit », incompatible avec l’entretien sciemment par des diversions sur la crise dont elle a pour objet d’effacer la douleur dans la mémoire collective traumatisée.

 

C’est pourquoi nous avons toujours dit et répéter que, la réconciliation nationale post-crise nécessite qu’on arrive à réapprendre au pays à se parler en nouveau, réapprendre aux peuples à s’admettre en nouveau, et à se reconnaitre en nouveau, réapprendre aux communautés nationales diverses à se côtoyer en nouveau, et à s’admettre mutuellement dans la concorde civile comme l’égal, les uns des autres en nouveau, réapprendre aux hommes politiques à accepter les différences idéologiques dans l’ordre du public en nouveau, réapprendre aux citoyens ivoiriens à vivre paisiblement sans heurt dans une société commune qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales en nouveau. Donc pour que la réconciliation soit productive pour la Côte d’ivoire, elle ne peut se faire en dehors du consensus des acteurs politiques, les hommes de tous bords politiques d’abord dans un premier temps. Oui ! Ce sont les acteurs politiques qui sont les problèmes, ce sont eux qui font les problèmes et ce sont eux qui posent des problèmes a résoudre ou il n’y a n’en pas, ou le commun des mortels n’en voient pas.

 

Donc les problèmes doivent se résoudre à leurs niveaux d’abord consensuelle-ment, dans un premier temps. Tout cela de façon impartiale, indépendante et dans une optique d’avenir. En examinant le passé pour mieux préparer le futur. Donc retisser le tissu social, réécrire les normes de régularisation sociale devenue anomique et restaurer les valeurs humaines bafouées. Oui, les hommes de tous bords politiques d’abord dans un premier temps, parce que tous les problèmes non résolus à leur niveau par le dialogue, la discussion, l’unanimité et le consensus, reste un problème non traité, qui gâchera tout un jour. Ainsi, tout en laissant la latitude et la faculté aux victimes de décider de clore le chapitre désormais très lisible des violations des droits commises. La libération du président Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé après neuf « 9 » ans de détention affligeante, offre la plus grande et la plus meilleure des occasions de cette vraie réconciliation pour la côte d’ivoire. Ici la politique socialiste du « vivre ensemble », prônée a tout bout de champ, qui consiste à faire de la place à l’autre arrivant» est une valeur exclusive de gauche socialiste qui n’est pas la réconciliation nationale post-guerre qui, elle se fonde sur la repentance persuasive, sur le pardon de blessures d’une crise que la totalité sociale a subit le martyrs malgré elle.

 

Dès lors, la réconciliation nationale post-guerre et l’autocritique qu’il impose à chacun, est-elle possible avec des hommes qui n’admettent pas la rigueur du consensus sociopolitique ? Et surtout, qui n’admettent jamais s’être tromper ? Nous n’y croyons pas. Et pourtant, un processus de réconciliation nationale, doit avoir la possibilité d’agir dans un cadre plus large que celui d’une justice judiciaire téléguidée, qui s’astreint judiciairement aux violations  supposées de droits humains individuels a lui doigté. Et nous sommes convaincus qu’un vrai processus national de réconciliation, est impossible avec des hommes qui veulent paraitre blanc comme neige, malgré leurs mains aux couleurs Rouge du sang humain versé. Surtout, pour lesquels hommes politiques gouvernants, la paix sociopolitique est l’absence de guerre et l’absence de corps humains a ramassé dans la rue et transporté à destination des lieux de disparitions forcé. Oui, des hommes qui proscrivent la repentance et la contrition. Or ceci s’assigne comme but la renonciation au désir de vengeance et l’abandon des blessures de la crise du passé.

 

Oui, la réconciliation nationale vraie est impérieuse, pour la mémoire des innocentes personnes victimes, qui observent la terre de leurs ancêtres, bien que tuées chemin faisant vers le pouvoir d’état et elle nécessite l’abandon des blessures du passé. Pour pouvoir rebâtir tous ensemble la nation ivoirienne sur les piliers solides de droits, de libertés, et de démocraties, qui lui éviteront de chanceler à nouveau dans un avenir proche, sinon en 2020 ou même s’écrouler à jamais. Il est impératif dès lors, que la réconciliation nationale sincère soit possible, pour pouvoir arrêter le cycle infernal depuis 1999 de la violence en politique. Se faisant le grand pardon d’intérêt public, qui transcende tout citoyen devient obligatoire. Parce que garant de la survie de la nation cohérente, harmonieuse, paisible, qui dans son besoin de continuité pourrait enfanter une Amnistie générale référendaire, qui sera issu de l’attitude des acteurs, coupables et repentis. Ainsi la vraie et réelle réconciliation nationale doit passer nécessairement par l’abandon du moi ou rien et par l’abandon de l’égocentrisme des uns et des autres.

 

Donc pour aller à des élections démocratiques déverrouillées de toutes emprises mafieuses, décadenassées des intérêts politiques compromissoires et mafieuses, dé-bétonnées d’une organisation partisane, détachées des travers juridiques politicards, et libérées des errements politiques, vers le trucage en 2020, il faut absolument que ces élections soient précédées par une vraie réconciliation nationale. Donc il faut inexorablement dialoguer autour de la chose publique, qui n’est la plantation personnelle de qui que ce soit et discuter dans l’ordre du public, l’espace citoyen de droits pour tous, pour pouvoir aller a de bonnes élections démocratiques, justes, transparentes en 2020. Qui ouvrirons ainsi la porte de sortie de la crise aux ivoiriens martyrisés, parce que la démocratie réelle participative, la réconciliation nationale, la stabilité politique et la paix sociale pérenne sont inextricablement liées et interdépendantes. Dès lors, il convient par intérêt général d’insister ici, qu’il n’y aura pas d’élections démocratiques transparentes, équitables en 2020 sans une vraie réconciliation nationales. Et avec des conditions consensuelles desdits élections, convenues entre tous les acteurs politiques et de la société civile.

 

Donc que toute réconciliation a paternité d’intérêt, autre que celui du peuple souverain serait Bâtarde, donc illégitime. Et que toute réconciliation rattachée habilement à des intérêts politiques autres que d’intérêt général, serait voué à l’échec, donc de façade. Donc œuvrons tous ensembles pour obtenir une vraie réconciliation nationale, gage d’une élection transparente, juste, crédible et consensuelle en 2020. Au cas contraire les mêmes chaos sociaux sempiternels continueront au-delà des élections de 2020. Oui le processus de réconciliation national post-guerre, est couronné très souvent par une Amnistie générale référendaire, qui a pour but unique entre autres, de consolider la marche post-crise du pays vers un avenir plus harmonieuse, plus paisible, plus démocratique, et la côte d’ivoire a le droit et le devoir de s’y inscrire. Oui, les victimes ivoiriennes de tous bords souhaitent aujourd’hui, pouvoir tourner la page du cycle de violence en politique depuis 1999, au terme d’un processus de réconciliation nationale vrais. Mais en l’état actuel, ils en doutent de sa possibilité entre les acteurs.

 

Les victimes en doutent dans la mesure où elles ont l’impression que les anciennes habitudes sources de la crise demeure, au mépris de cette réconciliation nationale souhaité, et que contrition n’a pas été faite, que par conséquent les bourreaux peuvent récidiver, en tout lieu et en temps.  Et que les préjudices subis pendant la guerre ne sont pas ou ne seront pas réparés. Ce qui a fait échouer beaucoup de processus de réconciliations de par le monde. Le peuple a besoin du concret, du palpable, de l’acceptation des différences. Parce que sans garde-fous souveraine, on se leurre derrière les mêmes politiques et on recommence les mêmes et c’est le peuple qui paye la note salée. Donc redisons-le, répétons-le, après la libération du président Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé après neuf « 9 » ans de détention affligeante, la côte d’ivoire doit avoir le courage de la réconciliation nationale vraie, qui est d’intérêt public, d’intérêt général, d’intérêt national, de droit international coutumier. Il est difficile de persuader des communautés nationales pour une réconciliation après crise pour lesquelles leur enfant est emprisonné à cause des faits commis par d’autres en liberté. Il y a quelque chose qui ne cloche pas.

 

Au terme de la guerre imposée à la côte d’ivoire de 1999-2002 à 2011, il y a de nombreuses victimes de guerres, notamment à l’ouest de la côte d’ivoire, mais il n’y a pas de victime Gbagbo, à défendre en côte d’ivoire. Non ! Il n’y a que des victimes de guerres en côte d’ivoire. Ces victimes savent où ils ont buttés avant de tomber. Certes, oui, on peut chercher à brouiller les pistes de droits, à entretenir les amalgames à dessein inavoué, à semer la confusion dans les esprits, par des actions controuvées. Mais, on ne peut pas convertir le faux en vrai, l’illusion en réalité, le vice en vertu, au point de justifier ou de défendre, l’injustifiable et l’indéfendable. « Le 24 décembre 1999, les 18-19 septembre 2002 et le 11 avril 2011 ». Notre société ivoirienne ne doit plus s’inscrire dans le registre de l’obéissance moutonnière et du panurgisme de vache qui ne demande qu’à manger. Aujourd’hui notre société ivoirienne doit privilégie la persuasion, l’obéissance volontaire, le dialogue pour convaincre les réticences, la concertation pour harmoniser les points de vues, le consensus pour arriver à la vie commune paisible, l’autonomie individuelle pour le respect du libre arbitre de chacun et le consentement fondé sur l’acceptation des valeurs d’intérêt général. Oui, il est des moments dans la vie, à défaut de la lucidité dans l’action sociale, le silence issu de la retenue et de la sagesse, l’abstention de parole sociale haineuse, le silence de la grandeur d’âme qui sied à l’intérêt de la totalité sociale, et la discrétion au tour des ambitions d’intérêts personnelles, peuvent s’avérer plus efficaces et plus utiles à la totalité sociale. En ce moment, il n’est pas sain de s’afficher partisan d’un événement porteur de honte, de haine et de régression pour tout un peuple et la totalité sociale souveraine.

 

Donc, il faut redire pour l’histoire et la postérité que ; La guerre postélectorale de 2010 est la résultante d’une violation flagrante des normes constitutionnelles ivoiriennes, qui régissaient et qui disposaient de la légalité des élections démocratiques en côte d’ivoire. La constitution ivoirienne de 2000 prescrit en ses articles suivants… « *- Article 94 : Le Conseil constitutionnel contrôle la régularité des opérations de référendum et en proclame les résultats. *- Le Conseil statue sur : – L’éligibilité des candidats aux élections présidentielle et législative; – Les contestations relatives à l’élection du Président de la République et des députés. *- Le Conseil constitutionnel proclame les résultats définitifs des élections présidentielles. *- Article 98 : Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d’aucun recours. Elles s’imposent aux pouvoirs publics, à toute autorité administrative, juridictionnelle, militaire et à toute personne physique ou morale. »… Oui, les garde-fous suscités inscrits dans la constitution du 1er Aout 2000 par le peuple souverain de côte d’ivoire effrayé par les armes de guerre du coup d’état du 24 décembre 1999 au moment où le président Laurent Gbagbo n’était pas encore président, surtout au moment où rare était les ivoiriens qui auraient parié sur cette éventualité en octobre 2000 n’ont pas suffi pour retenir, dissuader et persuader le carriérisme pathologique, l’arrivisme renégat de faire usage des armes redoutées par le peuple de côte d’ivoire. Et le pays de pas une goutte de sang versée a enregistré 7000 morts.

 

Oui, unie et solidaire, pour se défaire de l’engrenage qui risque d’être fatal en octobre 2020, pour ainsi être le gyroscope du peuple souverain, donc de l’état, et pour sauver la côte d’ivoire pendant cinq (5) ans, avons-nous toujours dit et répété. Et ensuite que les appartenances légitimes s’affirment au terme de cinq (5) ans de transition politique régulatrice au cours des compétitions électorales de 2025 et suivants, dans l’ordre idéologique des partis politiques. Donc, la côte d’ivoire solidaire doit pouvoir opter, tous unis, pour la réconciliation nationale vraie. Aujourd’hui à la lampe des lumières, de l’état réel de la côte d’ivoire, il est constant que, le monde entier « Onu » en tête, « la CPI est un satellite onusien » semble avoir fait l’effort impartial de comprendre, ce que vaut le niveau humaniste du système de pouvoir, qu’il a imposé à la tête de la Côte d’ivoire dans le feu et dans le sang, en commanditant des grossiers mensonges sur le légalisme électoral et démocratique, en laissant commettre de quantités d’actions de guerres interdites face au droit international général «guerre d’agression», au droit de l’homme, aux normes onusiennes, aux statuts juridiques des Etats, aux conventions de guerre « les quatre conventions de Genève » Tous violés à volontés… Pour un soutien ferme à un carriérisme sans précédent, qui a fait preuve de cynisme, d’obscurantisme depuis le 24 Décembre 1999, les 18-19 septembre 2OO2 pour arriver à ses fins, par les armes le 11 Avril 2O11.  Et tout cela avec le sourire du renard libre dans le poulailler halluciné.

 

Oui disons-le, c’est le pire des gaffes de l’histoire des démocraties, qui a été faite en côte d’ivoire, lors de la validation des résultats de l’élection présidentielle 2010. La règle édicter au sud-coréen, Young-Jin Choi de Ban Ki-moon, par le monde « ONU » était de faire tomber le président Gbagbo, mort ou vif avec son régime, au nom de la responsivité de protéger et du devoir d’ingérence humanitaire, pour installer un pouvoir docile tailler sur la mesure d’une mafia, au mépris des dispositions constitutionnelles suscitées et en dépit du droit international. Oui allons a la réconciliation nationale et prenons garde, faisons très attention, parce que, le mensonge est le pire des maux pour l’humanité, pire que Coronavirus-COVID-19, pire que la peste, pire que le Sida, pire que Ebola, pire que le Cancer, pire que le Poison mortel dans l’eau de robinet, parce qu’il tue insidieusement. Et le mensonge d’état est non seulement dévastateur, mais quand il tue c’est sournoisement de masse. C’est en masse qu’il tue, pire que le Volcan, pire que l’ouragan. Donc allons a une réconciliation avec la sincérité qui proscrit le mensonge.

 

Aujourd’hui le mensonge soutenu a permis la mort de 7000 citoyens ivoiriens zigouillés au terme d’une guerre de conquête du pouvoir d’état par les armes « fusils », rendu possible par la ventilation de grossiers mensonges, par les griots des temps nouveaux, par une mafia internationale, et par une presse intéressée et aplatie. Et ça continue. Oui, la réconciliation exige la vérité, rien que la vérité, elle oblige le don de soi, l’oubli temporel de soi, et l’abandon du moi ou rien. Et un homme politique, un homme public, doit-être capable de dépassement de soi, pour privilégier l’intérêt général. Un dirigeant politique face à l’intérêt général de la totalité sociale et de la nation souveraine qu’il gouverne ou pas, doit-être capable de s’oublier soi-même pour privilégier les grandes considérations sociopolitiques de paix. C’est ça qui est la vérité. Oui une occasion nous est donnée avec l’élargissement de la liberté du président Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, après neuf « 9 » ans de détention affligeante, d’aller à la vraie réconciliation entre les enfants de la côte d’ivoire, entre la côte d’ivoire et le monde civilisé et ouvert, saisissons-là pour la paix sociale. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

 *- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile)

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30 mai 2020 6 30 /05 /mai /2020 13:19
Lepetitfils : A défaut de cette côte d’ivoire au rapport humain civilisée, Humanisée et revalorisée dans le concert des nations, le chaos sociopolitique aura de beaux jours devant lui en côte d’ivoire, avec les élections truquées vidées de tous essences démocratiques, pluralistes et multipartites. Parce que, la démocratie se reconnaît dans la possibilité offerte aux citoyens de créer par leur vote une majorité politique. Le gouvernement devient alors l’institution centrale de la démocratie.

Lepetitfils : A défaut de cette côte d’ivoire au rapport humain civilisée, Humanisée et revalorisée dans le concert des nations, le chaos sociopolitique aura de beaux jours devant lui en côte d’ivoire, avec les élections truquées vidées de tous essences démocratiques, pluralistes et multipartites. Parce que, la démocratie se reconnaît dans la possibilité offerte aux citoyens de créer par leur vote une majorité politique. Le gouvernement devient alors l’institution centrale de la démocratie.

*- Chronique : Un processus électoral de foutaise.

                                                                                        

Le citoyen ivoirien n’a plus le droit de se leurrer, il faut le dire de façon clair et net. L’opposition ivoirienne toutes tendances confondues, bien que largement majoritaire, ne peut aucunement espérer reprendre le pouvoir d’état au terme des élections générales entamées, par la constitution de la commission électorale, et chemin faisant par l’enrôlement des citoyens électeurs. Cette opposition ivoirienne, est entrainée vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers une crise postélectorale, qui donnera la parole aux armes « fusils » comme en 2010. Sauf à nous convaincre, de par quelle Force ce système électoral va proclamer la défaite de son système politique source ?  Non ! Nous n’y croyons pas, notre degré de crédulité n’a pas encore atteint ce niveau de naïveté. Non ! Le pouvoir unilatéraliste d’un despotisme moutonnier d’Alassane Ouatera, est conscient de sa minorité électorale acquise, il ne peut pas oser ouvrir le jeu démocratique et électoral. Non ! Cela signifie la perte du pouvoir d’état confisqué depuis 2010. Donc, ce pouvoir unilatéraliste despotique d’Alassane Ouattara sera l’arbitre du processus électoral de 2020, avec sifflet d’arbitrage, la commission électorale, le conseil constitutionnel, le découpage électoral et le mode de scrutins  électoral «supports des votes citoyens». Un Processus électorale de foutaise. Il faut retenir ici que, quand il s’agit de l’organisation des élections démocratiques pluralistes et multipartites, il n’y a pas de candidat du président de la république désigné arbitre, qui décide de tout le processus électoral. Ici on ne se revendique pas détenteur du pouvoir d’état, autour du processus électoral, juridiquement situé hors de ta portée de main, dans un état républicain de droit et démocratique. Ici il n’y a que des citoyens libres, égaux en droit et en devoir, dirigeants de partis, candidats potentiels et citoyens électeurs, qui discutent des conditions des élections démocratiques pluralistes et multipartites. Consensuelle-ment au terme d’un dialogue ouvert à tous.

 

Un dialogue qui transcende les tenants momentanés du pouvoir d’état, citoyen candidat comme tous les autres. Parce que les élections sont un droit inaliénable des peuples a disposés d’eux-mêmes qui se situent au-dessus, en droit et en fait des institutions de la république. C’est au terme de ces élections, qui réaffirme la souveraineté populaire du peuple souverain, qui  enfante par ce biais la représentation nationale élus, y compris la présidence de la république. Oui, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. De même, les partis et les candidats ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. Donc ici, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, sont les subordonnées du processus électoral, elles doivent s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens le plus large. Et doivent aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. D’où l’appel ou le référé ici, de l’opposition ivoirienne à la cour Africaine des droits de l’homme et des peuples. Parce que, les engagements internationaux, inclut un engagement à faire preuve de transparence réaliste et de responsabilité.

 

Ici c’est l’intégrité du processus électorale qui est recherché pour garantir, neutralité, impartialité, transparente. Qui doivent être assise sur un ensemble de conditions basées sur les principes universels démocratiques. Dans un système électoral, qui encourage, protège, de par son organisation, la tenue d’élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Et ce système devrait être adapté au contexte social et politique de chaque pays. Cette élection juste exige toujours un processus électoral transparent, consensuel, et un système électoral équitable qui puisse garantir des chances égales pour tous les participants, avec une commission électorale Autonome, neutre, impartiale et transparente. Qui aussi exige formellement l’absence d’intimidation d’où qu’elle vienne et quelle qu’elle soit. Donc la confiance de tous les acteurs, citoyens électeurs et candidats en compétition dans chaque étape du processus électoral est indispensable à l’intégrité électorale. L’intégrité électorale est donc, un facteur indispensable à la crédibilité du processus électoral, elle va bien au-delà de l’absence de manipulation, de trucage et de fraudes. Comme déjà dit ; Elle englobe la volonté de concevoir et d’aligner le cadre juridique des élections ainsi que les règles et les pratiques électorales avec  les engagements internationaux en matière des droits de l’homme. Donc ici, le pouvoir démocratique s’entend comme issu des élections, sans tricherie planifiées, sans fraudes orchestrées, et conforme aux normes internationales. Dans le respect des droits, des règles, des libertés, qui proscrit tout usage des fusils de guerres pour s'imposer, au mépris des principes de démocraties pluralistes. «Allons à l’enrôlement massif ou les voix citoyennes peuvent servir d’aval aux trucages alassanéen. Une légale Opération Inondation Electorale, face à une mafieuse fraude Inondation de nationalité pour élection».

 

Oui, Répétons-nous, la côte d’ivoire va mal, très mal même, depuis le 24 décembre 1999 coup d’état arriviste dénommé « révolution des œillets », pour arriver aux 18-19 septembre 2002 « coup d’état manqué transformer en rébellion », jusqu’au 11 avril 2011 « date du honteux kidnapping postélectoral » la côte d’ivoire vie le chaos sempiternel des élections calamiteuses, qui sont toujours la cause controuvée par des politicards carriéristes. Oui depuis 1999, la côte d’ivoire est habilement entrainer petit à petit dans un engrenage fatal par un homme et son escouade phalangiste peuplé d’une aride meute de clébards de guerres. La côte d’ivoire, d’élection a élections confisquées, entre les mains de ce nombrilisme Amoral, est comme un homme emporter par la violence de la puissance du courant de l’eau du fleuve, qui se noie petit-a-petit, tout en faisant des mimiques désespérées vers la gueule du prédateur crocodile. Et qui s’essaie intempestivement de rassurer les observateurs de la vie politique ivoirienne, en faisant des grimaces désespéré, comme tout allait bien, qu’il est un grand nageur. Alors que le prédateur crocodile imperturbable attend son festin sadique, pervers et macabre. Oui les politicards mafieux espèrent d’un passage en force en 2020 pour laisser les soins aux armes de faire le reste de l’imposition au prix des vies humaines, comme en 2010 par des fantassins partis du nord vers le sud. Oui, une élection crédible est celle caractérisée par le consensus, par l’inclusion, par l’acceptation unanime de tous, par la transparence, par  la responsabilité et par la compétitivité. Mais conscient de sa minorité acquise, le pouvoir Ouattara n’en veut pas.

 

Oui, un processus électoral est constitué de plusieurs composantes, qui commencent par la constitution de l’organisme électoral qui doit être totalement autonome et indépendante et l’enrôlement des citoyens électeurs. «Enrôlement d’accord, mais que les voix citoyennes ne servent d’aval aux trucages dans un processus cadenassé». Oui, le pouvoir d’Alassane Ouattara veut des élections à sa portée systémique ou il en sortira d’une manière ou d’une autre vainqueur autoproclamé. Ici la règle édictée à son clan est de géré les élections de 2020, pour ne pas perdre les élections de quelque manière que ce soit, qu’advienne alors que pourra. Donc le système électoral doit être la traduction de cette volonté, de garder le pouvoir dans le clan, à tout prix au mépris des droits et en dépit des règles universelles. Comment ça peut être autrement quand, parvenue au pouvoir à la suite d’une élection truquée en 2010, sur toute la ligne « premier Tour, comme au deuxième Tour», qui a enfanté une crise aiguë, crise qui a fragilise, voir, mis en lambeaux les fondements sociologiques étatiques et économiques de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Ce pouvoir issu de cette crise sans précédent, ne veut rien entendre, ne veut rien voir, autour de la chose publique étatique, devenue sa propriété privée. Et par conséquent, nous impose tous ses travers politiques d’Animosités, tous ses errements de ballon de basket, et nous afflige de discours creux déconnecté de la réalité sociopolitique du terrain et des actes politiques qu’il pose depuis 10 ans de despotisme.

 

Alors même que, ce fichus pouvoir conquis avec les armes devait pouvoir gérer au mieux le lourd héritage de la guerre «crise » postélectorale, issue de son pathologique carriérisme politique, et surtout des successives crises depuis le 24 Décembre 1999, issues de ses desseins de conquête du pouvoir d’état par les armes impies. Et ce dessein politique macabre assouvi, il devait permettre au pays à réapprendre à se parler, à se reconnaitre, à s’admettre mutuellement comme égal les uns, des autres, à vivre dans une société commune qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales. Non ! Son souci demeure la confiscation clanique du pouvoir d’état. Alors qu’il devait chercher à gère de façon impartiale son passé douloureux, dans une optique d’avenir. De réconciliation nationale et de paix sociopolitique. Qui impose d’examiner le passé pour mieux préparer le futur. Donc chercher à retisser les tissus sociaux, restaurer les normes de régulations, sanctionner les torts causés à la société et aux citoyens par ses fantassins, lâcher vers le siège du pouvoir Gbagbo. Et prévenir la répétition des injustifiables et des inacceptables crimes contre l’humanité. Et d’horribles crimes sadiques et pervers de Guerres.

 

Et aussi permettre aux victimes d’obtenir réparation par au moins deux voies distincts : 1- La voie administrative : qui équivaut à obtenir réparation auprès de l’Etat en faisant appel à des institutions légales ou des lois légiférant en la matière 2- La voie judiciaire : qui consiste à obtenir réparation par recours aux tribunaux « ou justice traditionnelle ». Ce qui nécessite un substrat légal. Donc une commission qui doit impérativement pouvoir établir les réalités des faits et situer les responsabilités sans parti-pris en toute indépendance impartiale. Pour permettre d’avoir une lecture claire de cette page à tourner, de sortes que cette lecture puisse être un support de droit, même en l’absence de justice judiciaire internationale ou nationale. Oui, rien de tout cela. Or c’était la seule manière pour que la réconciliation soit productive pour la Côte d’ivoire, elle ne peut être productive en dehors de la vérité et la justice impartiale. La réconciliation est un désir de rendre la condition de vie meilleur, une lassitude de la guerre et des crises sociopolitiques, la crainte des mauvais évènements funestes et mortifères. La réconciliation est la renonciation au désir de vengeance par l’acceptation de l’abandon des blessures du passé.

 

La réconciliation nationale est donc une œuvre de retissage, de rafistolage et de reformatage sociopolitique d’une nation en crise sociale aiguë. Elle est incompatible avec l’entretien sciemment des crises politico-sociales dont elle a pour objet d’effacer et de cicatriser les blessures sociales. Cette réconciliation pouvait s’ouvrir sur des élections apaisée, dans la ré-acceptations des différences. La réconciliation nationale et l’autocritique qu’il impose, lubrifie les interactions sociopolitiques afin qu’elles ne dégénèrent en conflit ouvert ou latent. Donc est-elle possible avec un pouvoir, qui n’admet pas la rigueur du consensus sociopolitique, qui exige l’abandon de l’égocentrisme, surtout qui n’admet pas s’être tromper ? Un pouvoir qui est incapable, de souscrire à un processus électoral avec des conditions universelles des élections démocratiques pluralistes et multipartites ? Qui est allergique au consensus politique, au terme d’un dialogue ouvert à tous ? Un dialogue qui transcende les tenants momentanés du pouvoir d’état, qu’ils sont citoyens candidats comme tous les autres ? Non ! Nous n’y croyons pas. Le pouvoir d’Alassane a un seul souci qui compte pour lui, la confiscation du pouvoir dans le clan.

 

C’est pourquoi, pour les élections de 2020, il faut éviter la division dans la lutte de reconquête du pouvoir d’état. Nous sommes convaincu que, Rien ne se fera en côte d’ivoire dans la division, rien ne sera réussi en côte d’ivoire dans la division, rien ne changera en côte d’ivoire dans la division. Nous sommes convaincus donc, que, c’est en luttant tous ensemble pour l’intérêt général, que nous réussirons à reconquérir le pouvoir d’état, que nous réussirons a forgé un état de droit, que nous réussirons à obtenir une stabilité politique et une paix sociale pérenne en côte d’ivoire. Ou l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé, ou d’être embastillé, sinon être arrêté. Donc notre soif citoyenne de démocratie, de droit, de liberté, de stabilité sociopolitique, de paix Houphouët-ienne, de justice juridique et sociale, d’égalité de tous, ne peut s’accommoder avec un pouvoir mafieux, autoritaire, déviant, issus toujours des élections truquées. Parce qu’il sait habillement exceller dans une politique compromissoire de confiscation du pouvoir d’état, sous la couverture d’un légalisme hybride et ostensiblement assis sur la force matérielle des armes «fusils» comme socle de pouvoir.

 

Nous devons œuvrer désormais à ce que les hommes politiques ivoiriens partent à des élections démocratiques pluralistes, propres, comme les sportifs vont aux compétitions sportives, avec la certitude qu’ils peuvent gagner, comme ils peuvent perdre. Parce que rassurer que l’organisme électoral, qui est l’arbitre, est Apolitique  autonome, indépendant, impartial, neutre. Cela conduira à une côte d’ivoire harmonieuse débarrassée de toutes les scories passéistes d’implantations mafieuse. Une côte d’ivoire de l’Olympiade discursive démocratique ou l’homme politique serait contraint de convaincre, de persuader, de dissuader, de jouer le rôle de gyroscope, d’éclaireur, pour gagner l’adhésion du peuple a ses idées et partant pour gagner les élections démocratiques pluralistes. Ou le pouvoir ne serait plus au bout des  fusils et ne serait plus jamais acquis sous la base de fausse notoriété, assise sur l’escroquerie morale et intellectuelle, sur les faux prismes ventilés et entretenus à dessein. Une côte d’ivoire où le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état devenu libre, enfin totalement libre, n’aura plus que le droit inaliénable et les règles librement établies, pour limite. Et qui pourra élire sa représentation nationale revalorisée dans le concert des nations, au terme des élections, qui mérite ce Nom.

 

Parce que réellement démocratique pluralistes multipartites et biens organisées par une commission électorale Autonome, neutre, impartiale et transparente. Dans une côte d’ivoire unie, rassemblée, réconciliée et ouverte sur le monde. Pour que le Bateau du progrès humain commun, reprend la voie royale vers la lumière du développement économique et social, au service du citoyen ivoirien et de tout homme, dans la stabilité sociopolitique et dans la paix sociale pérenne. A défaut de cette côte d’ivoire au rapport humain civilisée, Humanisée et revalorisée dans le concert des nations, le chaos sociopolitique aura de beaux jours devant lui en côte d’ivoire, avec les élections truquées vidées de tous essences démocratiques, pluralistes et multipartites. Parce que, la démocratie se reconnaît dans la possibilité offerte aux citoyens de créer par leur vote une majorité politique. Le gouvernement devient alors l’institution centrale de la démocratie. Mais ici dans le système électoral mafieux d’Alassane Ouattara, les principes démocratiques universels sont truqués, au profit d’une minorité habile, escrocs, qui décide de tous le processus électoral au nom de la détention du pouvoir d’état.

 

Donc le système politique d’Alassane Ouattara a roue libre doit être proclamé gagnant pour les élections à venir de 2020. Donc point de consensus politique, point de dialogue politique et point d’équilibrage systémique, pour que les hommes politiques ivoiriens partent à des élections démocratiques propres comme les sportifs vont aux compétitions sportives, avec la certitude qu’ils peuvent gagner, comme ils peuvent perdre. Dans une côte d’ivoire stable, cohérente, harmonieuse, paisible et de l’exaltation de la diversité solidaire. Une côte d’ivoire de la différence acceptée par tous. Une côte d’ivoire de toutes les variances légitimes, qui admet l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Une côte d’ivoire largement ouverte sur le monde. Non ! La côte d’ivoire est confisqué sous l’emprise d’un système politique archaïque, mafieux, fermé hermétiquement a toutes ouvertures  des jeux politico-électoraux. Le système politique d’Alassane Ouattara doit être proclamé vainqueur en 2020. L’entre parenthèse des culottes sont l’largement trouées dans ce système peuplé de jongleurs alpinistes, qui se nourrit du chaos sociopolitique, qui crée sciemment une insécurité criante à cette fin de confiscation du pouvoir d’état.

 

Et qui entretien une instabilité sociopolitique manifeste afin de passage en force électoral, impossible dans le consensus, et qui se raffermis ainsi hermétiquement de jour en jour sur la démocratie, sur le processus électoral, et sur tout le pays. Ce système jongleur d’alpinistes politiques, a déjà rependu volontiers la boue dans l’arène sociopolitique ivoirienne en prélude des élections de 2020, avec un processus électoral cadenassé. Et sauf miracle, tout le monde politique, tous les honnêtes citoyens et tous les hommes politiques seraient obliger à y patauger dans cette boue en 2020 et ensuite pour s’entendre dire d’une voix sournoise insistante, à l’endroit de tout cet ensemble sali, regardez les, ces gens-là, comment ils sont sales, allez crever en enfer fichus sales mecs. J’ai « le système politique d’Alassane Ouattara a gagné les élections », afin d’emprisonné tout ce qui bouge 2020. C’est pourquoi, il faut tous s’inscrire dans la ligne des gyroscopes, les président Gbagbo et Bédié. Donc, il faut éviter la division fractionniste dans la lutte de reconquête de la paix sociale et du pouvoir d’état. À fin de régulation sociopolitique sur une période déterminée. Oui, qu’on se le tient pour dit ; Rien ne se fera dans la division, rien ne sera réussi dans la division, rien ne changera en côte d’ivoire dans la division de leadership.

 

C’est en luttant tous ensemble pour l’intérêt supérieur de la nation et pour l’intérêt général, que nous réussirons à restaurer la paix sociopolitique dans notre pays et à conquérir le pouvoir d’état à cette fin. Et ensuite a forgé un état de droit, une stabilité sociopolitique et une paix sociale pérenne en côte d’ivoire. Ou l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé ou d’être embastillé sinon être arrêté. Oui, la danse de sorcellerie électorale a commencée. Une légale Opération Inondation Electorale, face à une mafieuse fraude Inondation de nationalité pour élection. Le R?-DP n’a pas peur de donner la nationalité aux étrangers, pour voter et ce n’est pas de nous, ils l’ont dit sans masques par la voix d’un de leurs cooptés. Donc, puisqu’on ne se tait pas dans une crise sociale puis s’en sortir par la bonne porte, nous soutenons ici au risque de déplaire à ce qui ne comprendra pas le sens de notre recherche inlassable parfois ingrate de l’ordre social et de la paix sociale, que, la lutte de leadership aveugle est une tare en politique. L’antagonisme partisan autodestructeur de positionnement personnel est un mal en politique. Que dans une société en crise aiguë la division dissolvant est contre-productif.  Que le culte des appartenances idéologiques est périlleux pour une nation en crise. Alors pourquoi ne pas s’aligner dans un même parti politique ou personne ne sortira vainqueur d’une division en tendance fractionnelle ou individuelle de leadership et pro-X ou pro-Y, etc.  Ce sont ces maux fractionnistes de duel de leadership, pro-Y ou pro-Z, etc. Qui solidifient l’arbitraire en face de nous tous et qui tiennent la crise sociopolitique ivoirienne armée contre la totalité sociale. « Bon il y a une lumière à l’horizon, la chose devient de plus en plus visible et certaine, l’unification des combats politiques serait sous le piloté dualiste des deux gyroscopes Gbagbo-Bédié, çà  filtre avec la synergie infernale ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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22 mai 2020 5 22 /05 /mai /2020 16:39
Lepetitfils : Soucieux de la vraie réconciliation nationale pour une sortie de crise, nous, nous avons appelé une Amnistie générale référendaire, « post-guerre », qui est un acte hautement de souveraineté nationale, qui est du ressort unique du peuple souverain. L’amnistie générale référendaire est un instrument d’adhésion du peuple souverain à un projet éminemment politique, qui engage la vie de la totalité sociale. Elle vise donc à faire adhérer une grande majorité du peuple souverain à un choix sociopolitique, qui touche à la souveraineté nationale, ou d’intérêt général.

Lepetitfils : Soucieux de la vraie réconciliation nationale pour une sortie de crise, nous, nous avons appelé une Amnistie générale référendaire, « post-guerre », qui est un acte hautement de souveraineté nationale, qui est du ressort unique du peuple souverain. L’amnistie générale référendaire est un instrument d’adhésion du peuple souverain à un projet éminemment politique, qui engage la vie de la totalité sociale. Elle vise donc à faire adhérer une grande majorité du peuple souverain à un choix sociopolitique, qui touche à la souveraineté nationale, ou d’intérêt général.

*- Si on veut des procès pénaux, il faut faire des vrais procès.

Bon ! Poursuivre Soro Guillaume et X, pour les crimes graves commis pendant la guerre postélectorale et Soro au titre de la responsabilité du supérieur hiérarchique au cours d’un procès, qui exonère Alassane Ouattara de poursuite est impossible et impensable en droit. Bon ici, X constitue le (Sic), « Porter plainte contre X, désigne la procédure  qui consiste à porter plainte contre un individu dont on ne connait pas l’identité ». Pendant cette guerre postélectorale de 2010, il ne peut y avoir de Soro Guillaume criminel, sans qu’il ne soit précédé d’Alassane Ouattara criminel, et ses subordonnés exécutants, auteurs directs des crimes. Ici le droit pénal exige le respect de la chaine de commandement et d’exécution, dans ces conditions de crimes commandités. Parce que, quand un responsable chef supérieur hiérarchique formule des programmes qui ont servi de bases à l’activité criminelle de ses subordonnés, on retrouve le premier responsable, chef commanditaire et bénéficiaire en tête des personnes clairement identifiées, comme exécutants directs du programme des crimes, comme chainons dans cette chaine d’exécution formulée. Ici, aucune nuance n’est permise, aucune allégation de quelque nature que ce soit ne peut pallier à cette exigence de droit international pénal au terme d’un procès devant une juridiction digne de ce Non.

Oui, au moment des faits des crimes postélectoral, Alassane Ouattara avait les forces armées exécutants sous son ordre direct de président autoproclamé, mal digérer par la faction IB. Ce principe est de pur droit coutumier, ça ne date pas d’aujourd’hui. C’est ainsi que pour le respect scrupuleux de ces conditions de responsabilités susmentionnées que la responsabilité du supérieur hiérarchique pour les actes criminels du subordonné, a été reconnue en 1907 par la convention de la Haye. En outre, dans le rapport préliminaire présenté à la conférence de la paix, à Versailles, le 29 Mars 1919, a été reconnue la responsabilité des personnes en position d’autorité qui ont ordonnés les violations des lois ou coutumes internationales de la guerre commises au cours de la Première Guerre Mondiale. Aussi le Tribunal Pénal Militaire de Nuremberg, a considéré que les personnes autres que celles qui ont commis directement les crimes, précisément celles qui ont donné les ordres pour de tels crimes, étaient aussi responsables pour les crimes fondés sur leurs ordres et sur leurs complicité dans la conduite criminelle.

Donc avoir ordonné sciemment et faillir dans la prévention des conséquences de l’ordre sciemment donné par les personnes en position d’autorité, qui ont ordonnés les violations des lois ou coutumes de la guerre, est la règle de responsabilité en l’espèce. Pendant la guerre  postélectorale Alassane Ouattara était le commandant en chef des FN-FRCI, Soro y compris, il ordonnait à ce titre de responsabilité du supérieur hiérarchique. Donc Alassane Ouattara criminel, pourrait certes enfanter Soro criminel, mais Soro criminel sans Ouattara criminel, n’est que du non-droit. Si SORO Guillaume a commis des crimes, c’est sous l’ordre d’Alassane Ouattara commandant en chef des FN – FRCI. Le statut de dirigeant politique d’état en fonction d’Alassane Ouattara ne doit pas résister au droit ou ne doit pas être un passe-droit judiciaire. Oui, en l’absence de justice internationale impartiale la côte d’ivoire doit dire au-revoir à la stabilité sociopolitique, a la paix sociale pérenne. La justice est avant tout une ouverture sur le réel. Donc si on veut des procès pénaux nationaux ou internationaux, il faut faire des vrais procès pénaux.

Mais, soucieux de la vraie réconciliation nationale pour une sortie de crise, nous, nous avons appelé une Amnistie générale référendaire, « post-guerre », qui est un acte hautement de souveraineté nationale, qui est du ressort unique du peuple souverain. L’amnistie générale référendaire est un instrument d’adhésion du peuple souverain à un projet éminemment politique, qui engage la vie de la totalité sociale. Elle vise donc à faire adhérer une grande majorité du peuple souverain à un choix sociopolitique, à un projet politique qui touche à la souveraineté nationale, ou à une proposition sociopolitique d’intérêt général. L’Amnistie générale  référendaire est aussi un instrument ou un vecteur d’opposition politique au projet l’objet de l’Amnistie général référendaire. Ici rien n’est contrainte ou unilatéraliste. C’est ainsi que l’opposition possible au projet référendaire se trouve inscrite dans les questionnements de ce projet politique de l’Amnistie générale référendaire, ou soit inscrite dans le processus de la conduite du projet de l’Amnistie générale référendaire, à soumettre aux votes souverains du peuple souverain. Cet acte hautement de souveraineté nationale ne peut donc être altéré par une politique universaliste «de l’imprescriptibilité des crimes contre humanité», même si celle-ci ne disparait pas pour autant du droit des droits.

C’est pourquoi il est de droit international coutumier «le  droit des droits» que, sauf à vouloir troubler l’ordre social dans une nation souveraine, devenue paisible après une crise, « elle » l’Amnistie générale référendaire post-guerre consentie par le peuple souverain d’une nation souveraine s’impose à tous. Donc après une Amnistie pour la recherche de la paix, tout ce qui ose tenter la réactivation de ces faits Amnistiés, cherche tacitement à troubler l’ordre social de l’état concerné, indispensable à une vie paisible et à la paix internationale. Aussi tous ceux, au nom d’une quelconque justice pénale internationale oseront troubler l’ordre social de ce pays souverain par la réactivation des faits Amnistiés au mépris de la souveraineté étatique socle de la société internationale, s’attaque tacitement à la souveraineté de cet état concerné qui devient libre de réaction. Le fondement même de la société internationale repose sur la souveraineté étatique de ses membres. Ceci était et est toujours notre souhait pour la recherche de la paix sociopolitique en côte d’ivoire. Dans cette situation de crise sociale aigüe ou la quasi-totalité gouvernante est coupable à divers degré, des auteurs directs aux auteurs indirects, des coauteurs directs aux coauteurs indirects, de complicités actives aux complicités passives, de recéleurs actifs aux receleurs passifs etc. Tous coupables aux yeux, droit international pénal, du droit international des droits de l’homme

Aujourd’hui, les ivoiriens a plus de 95 % veulent la paix sociale, la réconciliation nationale, persuader que la côte d’ivoire ne s’en sortira jamais par la voie judiciaire de cette crise, conséquences d’une guerre d’agression, rendu possible par le carriériste pathologique et par l’arrivisme renégat. Ou parmi les victimes, il y a deux hommes d’états, un ancien chef d’état et président de république, et un ministre d’état, ministre de l’intérieur. Mais, nous l’avons déjà dits que, dès lors, quand la clémence qui résulte d’une Amnistie générale référendaire peut ramener à l’amour fraternel, à l’harmonie communautaire, à la stabilité sociopolitique, à l’ordre et à la paix sociale pérenne et au respect des lois, celles qui protègent la dignité et la liberté de chacun d’entre nous, être humain, ceux qu’une inflexible sévérité judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale, l’Amnistie générale référendaire est prescrite et recommandée par la grande loi du bien public, fin essentielle de tout gouvernement qui ne peut exister que dans l’ordre social. La côte d’ivoire ne s’en sortira que par la porte souveraine de l’Amnistie générale référendaire, qui repose sur le droit international coutumier « le droit des droits » qui tient en l’état ces autres droits d’application sans frontière que sont le droit international pénal, le droit international des droits de l’homme et le droit international général « crime d’agression ». Mais malgré tout si on tient à des procès pénaux nationaux ou internationaux, il faut faire des vrais procès judiciaire de droits digne de ce Nom.

*- Un sérieux coup de pied au cul serait libérateur.

Mais Hélas ! Le vainqueur de guerre Alassane Ouattara, acteur principal de ce désastre sociopolitique ivoirien devenu le monarque, et la camarilla guerrière rester fidèle à sa Rencontre Des Ripoux, bouffe-tout ivoiriens, ne semblent pas concerner ou pas intéresser, par quoi que ce soit, «judiciaire, politique, démocratie élection» c’est eux qui décident. Au moment où la quasi-totalité des acteurs politiques ivoiriens et la grande majorité des citoyens ivoiriens, prônent et veulent, une réconciliation sincère, afin de tourner la page honteuse d’une guerre, qui à semer et a fait germer dans chaque mètre carré de l’assiette territoriale nationale ivoirienne, la désolation, le désespoir social, une guerre qui n’a été possible que, parce que la côte d’ivoire de Felix Houphouët  Boigny, est devenu l’ombre de lui-même, tant en Afrique, que dans le concert des nations, par la faute d’un inhumain carriériste pathologique. Mais le monarque acteur principal du désastre politique, donne toujours l’impression d’être personnellement en guerre permanente, contre tous ceux qui ne sont pas dans la logique de sa camarilla guerrière, et de sa Rencontre Des Ripoux, bouffe-tout ivoiriens, qui pourtant ne forment qu’une petite partie du corps social. Il y a dans ce clanisme, un volontarisme aussi truand et mafieux, que méprisant vis-à-vis de ce qui lui est extérieur. Ce qui a bien illustré la comédie des poursuites judiciaires téléguidées et effrénées, la confiscation du pouvoir d’état, l’orchestration de nouvelle catégories de poursuites judiciaires pour éliminer des candidats aux conjugaisons ou combinaisons périlleuses pour le pouvoir du monarque, au terme des élections de 2020 à venir.

 

Donc ici,  l’ouverture politique non pas conçue comme un intérêt, pour la vraie réconciliation nationale,  pour la paix sociale et pour les idées adverses, mais l’ouverture politique comme une victoire méprisant sur l’autre capitulant, et sur l’opposition assujettis dépouillée de tous droits, de toutes libertés. Alors que pour être efficace, la gouvernance étatique, implique un pouvoir politique légal, légitime, respectueux des droits et des règles et être souverain, capable d’admettre la rigueur de l’adversité, et de s’organiser lui-même, indépendamment de toute subordination mafieuse extérieure. Aussi diriger un état, c’est favoriser des efficacités autonomes, ce n’est donc pas se retrancher avec quelques hommes dévoués a une cause politicienne, à l’opposé de l’intérêt général ou avec des fidèles, sûrs et dévoués, jusqu’à l’aveuglément total, comme s’il fallait avoir raison seul contre toute la société. Avec comme seul grand chantier, se faire des multimilliardaires dans le clan grâce aux biens publics du pays… Bon ! Ce n’est pas peut-être difficile à comprendre, puisqu’il est très difficile d’avoir des idées novatrices pour la stabilité sociale et la paix pérenne, quand on est préoccupé que de la conservation du pouvoir d’état.

 

Comme si la personnalisation du pouvoir ne pouvait aller qu’avec une dévalorisation du reste de la composante sociétal étatique, et de la société diverse, en se privant de l’expérience des autres et du débat collectif. Cette tentative absolue de conservation du pouvoir d’état dans le clan mafieux, et cette proclamation d’autosuffisance du monarque de s’entouré d’une garde rapprochée gardienne des arrières casseroles puantes, pourrait traduire une fragilité, une inquiétude, un manque de confiance, une incapacité à convaincre le peuple et à entraîner la totalité sociale réconciliée avec elle-même, dans toute sa composante, unie vers un avenir meilleur partagé. À s’appuyer sur elle, dans la conquête du pouvoir d’état, propriété exclusive du peuple souveraine. Surtout dans la conquête de la paix sociale pérenne, aspiration par excellence de la totalité sociale souveraine au lieu de préférer toujours la tisonner, la brutaliser, la surprendre, la manipuler, et toujours avoir le dernier mot quelle que soit la manière, en humiliant l’autre, dans et par la brutalité de l’action politique. En prescrivant l’unilatéralisme et l’absolutisme en droit positif, donc point d’inclusives, la différence de sensibilité et d’opinion devient un crime.

 

Dès lors, vive les poursuites judiciaires sélectives, les persécutions politiques, les arrestations arbitraires, les détentions sans limites et sans jugements. Il y a là, derrière toutes ces agitations anxieuses cauchemardesques, une volonté de saturer l’espace politique, l’arène politique de conflits orchestrés sciemment, pour l’avènement d’une hégémonie politique, cadenassée par quelques hommes serviles de confiance, inclus dans une stratégie de politique clanique suicidaire. Aussi suicidaire pour le monarque absolu lui-même, pour son clan, et pour nous-mêmes citoyens et pour la chère patrie la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Face à une telle politique clanique, monarchiste, ploutocratique et obscure d’une telle ampleur, il est certain que soit, nous serions tous «citoyens ivoiriens» collectivement capables de mobiliser et de faire pièce à cette politique, pour le meilleur des dynamique au profit de nos propres façonnages, soit pour le pire, nous serions nous-mêmes façonnés par cette dynamique politique clanique démoniaque devenue sacrément folle. Et si on ne prend garde, alors ce serait la naissance d’une mafieuse ploutocratie nouvelle, avec sa seule mesure de valeur Dieu l’argent en côte d’ivoire.

 

C’est pourquoi, tous les porteurs d’alternatives, tous les profs d’idées, tous les paroliers pour les citoyens, tous les intellectuels indépendants, tous les patrons de presses indépendantes, tous les éclaireurs d’opinion, tous les actions communes citoyennes, sont devenus indispensablement nécessaires, pour faire pièces à cette politique clanique, et infliger un coup de pied sec au cul de ce pouvoir clanique. Ce qui rend en revanche inutile de simples relayeurs de propres processus d’autorégulation à des fins  d’intérêt personnel égoïste et égocentriques.  Car les talentueux flutistes et tribunitiens du clan du monarque absolu, et de sa camarilla de la Rencontre Des Ripoux assis sur un clanisme mafieux, s’égarent avec une telle régularité exceptionnelle, qu’il est dès lors nécessaire de leur faire pièce. Cela permet de savoir par les citoyens quelle est la direction à suivre ; ici, la direction à suivre est l’inverse de celle que ce clan politique mafieux de confiscation du pouvoir d’état et ses flutistes et tribunitiens indiquent. Ces gens sont des esprits confus manipulateurs, tourmentés à l’idée de perdre le pouvoir d’état, et rabougris face à leurs intérêts partisans, égoïstes et égocentriques mis en péril par la perspective des élections. « Hier adulé, courtisé, le ministre F-N Soro, le premier ministre Soro, le président de l’Assemblée national Soro, est pourchasser avec un couperet a guillotine couvert par 20 ans de/au Trou par ces prometteurs commanditaires».

 

Donc ici, le mérite doit absolument être, de tenter de rendre raison à l’intérêt général, de rendre espoir au peuple souverain ivoirien. Oui, l’espoir en une Côte d’Ivoire nouvelle, réconciliée, cohérente, égalitaire, stable, paisible. Tant ces quelques mots semblent aujourd’hui démodés, périmés sous l’idéologie clanique mafieuse, monarchiste, absolutiste. Une peuplade de matraqueurs de libertés et de droits de l’homme, d’annihileurs des espérances et des aspirations du citoyen vertueux, de zélateurs enfarinés des droits civils et politiques, enfantés sous nos yeux, par une élection truquée en 2010, avec la caution de la communauté dite internationale l’ONU de Choi de Ban Ki-Moon en tête. Cette honteuse peuplade, veille à diaboliser toutes actions opposantes, à ringardiser toute parole libre citoyenne contrariante, ou tout simplement dissonante. Il nous faut tenir debout, ne pas céder à la doxa sous peine de notre façonnages idéologico-sociopolitique. C’est ce mafieux clanisme de mainmise-là, cet éhonté étouffoir mental-là, que nous devons faire voler en éclats, c’est ce monarchisme et absolutisme de formatage des esprits-là, que nous devons contribuer tous ensemble en citoyens libres, avec tous les autres, à vaincre en 2020. C’est ce foutoir de misérabilisme politique, de foutage de gueule antidémocratique-là, que nous devons chasser. « Donc, nous devons être de toutes les luttes, ne pas céder un seul pouce de terrain de nos droits, de nos libertés, et de nos devoirs face à l’unilatéralisme, ne jamais être gagné par la résignation autodestructrice. En ayant en conscience que, quand on marche vers quelque chose, vers une cause, vers un objet ou vers un but, que l’on désire, qu’il faut premièrement qu’on veille aller à tout prix, en second lieu que l’on soit disposé à faire tout ce qui est humainement possible, et surtout à faire le pire des sacrifices pour se donner les moyens pour que ses pieds l’y porte. Oui, ce principe édicte qu’un paralytique veuille courir, qu’un homme agile ne veuille pas courir, tous les deux resteront en place. Donc notre vouloir doit être accompagné par l’action synergique citoyenne soutenue ».

 

Ce faisant tous ensemble, en implantant synergique-ment au cœur de la totalité sociale au terme de ces élections de 2020, cet esprit novateur-là, soutenu par cet humanisme-là, habité par la place centrale que l’homme doit occuper dans la société « pas une seule goutte de sang versée », cette place que le clanisme et alliés ripoux, nous dénie en implantant les armes « fusils » au cœur des relations sociétales et sociopolitiques, la justice judiciaire devenue une arme politique redoutable pour éliminer toute adversité politique, des actions gouvernementales et politiques qui ciblent uniquement la destruction de toute opposition politique, l’appartenance clanique comme source de promotion sociopolitique, la soumission seigneuriale monarchiste comme méthode de gouvernement, Dieu l’argent comme mesure de valeur unique de la nouvelle société ploutocratique issue des pillages, des vols orchestrés, des détournements de deniers publics, de la concussion et du copinage. Et tout en prescrivant le règlement de compte au centre du débat politique « confiscation de la souveraineté populaire » au mépris des citoyens inoffensifs, « confiscation du système électoral » pour perpétué les vols orchestré, les copinages et les pillages des biens publics, détournés de la voie des caisses étatiques, du trésor public, en inscrivant l’argent au cœur des relations socio-politico-idéologiques, la division communautaire et les chasses gardées comme armes.

 

Alors que le citoyen devrait être placé au cœur du débat économico-développemental, l’homme au centre du débats de toutes politique gouvernementale, le tout état au service de l’homme et du citoyen en quelque sorte. Afin de construire une société dont non plus l’état ploutocrate ou Dieu l’argent, mais l’homme incarnerait la centralité de toute politique, et le citoyen le cœur de toute action politique économico-développemental. Ces valeurs nous obligent à administrer au terme d’une ligue citoyenne un sérieux coup de pied pacifique libérateur au cul du pouvoir clanique, ploutocrate, absolutiste et monarchiste du système politique d’Alassane Ouattara. Pour ainsi obvier toute possibilité de future crise postélectorale et de futur chaos social en perspective. La côte d’ivoire fonce lamentablement dans le Mur. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile)

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15 mai 2020 5 15 /05 /mai /2020 15:57
Lepetitfils : Il faut un accord, sur la gratuité des cartes nationales d’identités ou l’autorisation de votes avec les cartes d’identités nationales d’il y a dix (10), sur un nouveaux découpage électorale, qui ne tient pas compte de l’espace, donc fondé sur un nombre bien déterminé de citoyens pour un nombre invariable d’élu . Un Accord consensuel, autour du conseil constitutionnel actuel, autour de la commission électorale actuelle, qui sont manifestement partiaux et visiblement à la solde du pouvoir en place, leurs promoteurs à dessein a ces postes ».

Lepetitfils : Il faut un accord, sur la gratuité des cartes nationales d’identités ou l’autorisation de votes avec les cartes d’identités nationales d’il y a dix (10), sur un nouveaux découpage électorale, qui ne tient pas compte de l’espace, donc fondé sur un nombre bien déterminé de citoyens pour un nombre invariable d’élu . Un Accord consensuel, autour du conseil constitutionnel actuel, autour de la commission électorale actuelle, qui sont manifestement partiaux et visiblement à la solde du pouvoir en place, leurs promoteurs à dessein a ces postes ».

*- Sortons du despotisme unilatéraliste.

 

Si nous voulons que notre processus démocratique débouche sur le droit, la liberté, et le respect des règles,  ces valeurs universelles qui peuvent aider notre pays à sortir de la situation de crise sempiternelle, et à conduire au développement de notre pays, détruit par une guerre de carriéristes, il est temps pour l’ivoirien de se lever pour revendiquer les valeurs de solidarité sociale et d’harmonie communautaire que la démocratie réelle inculque au peuple consentant, et qui peuvent constituer une réelle sève nourricière à la construction d’une nation ivoirienne réconciliée, paisible et évoluée dans le concert des nations. La démocratie doit être assise sur le droit, la liberté et le respect des règles universelles. Il faut aider la démocratie réelle à bâtir les droits inaliénables, les libertés individuelles et la paix sociopolitique, pour qu’ainsi l’alternance politique soit assuré dans notre pays dans le consensus démocratique paisible. Si nous tenons à organiser des élections réellement démocratiques fondatrices d’un ordre sociopolitique nouveau dans notre pays, ou on pourrait faire la politique et aller dormir chez soi en toute quiétude, nous devons commencer par nous lever dès maintenant pour dire non à une organisation unilatérale et arbitraire des élections générales avenir, par une commission électorale inféodée au pouvoir exécutif, et prendre un certain nombre de mesure nécessaires et indispensable. « tel que la gratuité des cartes nationales d’identités ou l’autorisation de votes avec les pièces d’identités nationales d’il y a dix ans (2OO9), un nouveaux découpage électorale, qui ne tient pas compte de l’étendue de l’espace, mais fondé sur un nombre bien déterminé de citoyens pour un nombre invariable d’élu». Des mesures qui prise ensemble concourraient à remplacer la mauvaise conception actuelle du pouvoir d’état, d’Alassane Ouattara par une vision tout à fait nouvelle, qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails de la démocratie universelle, de la stabilité politique, de la paix sociale pérenne, et de la reconnaissance absolu de tous. Dans le respect des valeurs de la souveraineté qui réside dans le peuple, qui est une et indivisible, imprescriptible et inaliénable. Cela dans une dynamique de paix sociopolitique. Ou tous les changements doivent être possibles dans l’ordre et la paix sociale.

 

A notre sens la condition d’une élection démocratique apaisée est de trouver un accord à partir d’un compromis obtenu après des négociations franches entre toutes les parties aux élections. Afin d’éviter de faire recouler le sang ivoirien sur la terre de nos ancêtres, autrefois bénie de Côte d’Ivoire. Et pour obvier toute possibilité de future crise postélectorale, de futur chaos social en perspective. C’est de ses mesures qu’il s’agit à notre sens. Des négociations franches entre les parties pour définir les règles du jeu dans un cadre de paix et de réconciliation. Oui, des négociations franches entre toutes les parties aux élections, parce que dans une élection présidentielle, il n’y a pas de candidat du président de la république en compétition, il n’y a que des candidats égaux en droits et en devoirs, des partis politiques et mouvements politiques ou des candidats indépendants en compétition. Des  candidats qui partent sur la même ligne de départ à équidistance du pouvoir d’état et à la conquête du pouvoir d’état. C’est pourquoi nous avons toujours soutenus que, lorsque dans un système électoral, certains dirigeants de l'organisme électoral sont nommés par les différents pouvoirs de l’état « exécutif, législatif et judiciaire » sur la base de leurs appartenances de liens privilégiés, avec les dirigeants de ces pouvoirs. Et/ou sont nommés par les partis politiques et les candidats indépendants en compétition, donc nommé sur la base de leur adhésion à un parti ou de leur affinité pour un certain bloc de parti, ou partisans des candidats indépendants, la neutralité dans ce cas devient logiquement incertaine, sinon impossible. L’impartialité devient inconciliable avec la défense des intérêts politiques particuliers de chaque prétendant en compétition, devenu arbitre et partie au jeu électoral.

 

Or il est incontestable, qu’une élection réellement démocratique et pluraliste, ne peut connaître de succès, que si tous les participants au processus électoral «candidats et citoyens électeurs» croient que les administrateurs électoraux accomplissent leurs tâches de façon neutre et sans partialité politique. S'il en était autrement sous l’emprise des appartenances politiques des administrateurs électoraux, l’organisme de l’administration électorale et la crédibilité de tout le processus électoral seraient mise en jeu, la réputation de tout le système électoral en souffrirait. Or, sans faute ici, les nominations des administrateurs électoraux pour raison d’appartenance signifies clairement une partialité d’intérêt politique manifeste et un parti-pris grotesque et ostensible dans le processus électoral. Ainsi face aux intérêts d’appartenances à défendre, la dignité humaine et l’action politique deviennent monnayables au mépris de son être et de son savoir technique pour cause d’appartenance et de parti-pris. La défense de l’intérêt particulier supplanterait ainsi le processus électoral qui se doit d’être neutre et impartial. Donc les partis aux élections à venir, « candidats et citoyens ivoiriens électeurs » doivent  négociés et renégociés, pour redéfinir tous ensemble les règles de jeu électoral, afin que les compétitions électorales se déroulent pacifiquement, sans heurte, ce qui permettrait aux résultats d’être impartiaux et acceptés par tous les acteurs.

 

Donc nous disons que, l’extirpation par la voie de la négociation, des hommes politiques, nommés aux seins de l’organisme électoral, par les différents pouvoirs de l’état «exécutif, législatif et judiciaire» ou nommés par les partis politiques et les candidats indépendants en compétition, permettrait à l’organisme électoral chargé du déroulement du processus électoral d’être à l'abri de toute ingérence de la part des pouvoirs, principalement du pouvoir Exécutif, et de faire preuve de neutralité totale. Ainsi, il pourrait veiller scrupuleusement au respect des valeurs et des principes démocratiques affirmés par les instruments internationaux. Et comme souhaiter par la cour Africaine des droits de l’homme et des peuples. Ainsi serait assurer, l’indispensable intégrité électorale qui impose un système juridique, judiciaire, institutionnel neutre, et un ensemble de normes basées sur les principes universels démocratiques, qui encouragent et protègent la tenue d’élections justes et équitables. Soumise ainsi aux bons soins d’un organisme judiciaire impartial, neutre et indépendant, chargé de l'application impartiale des principes universels de démocraties, de la constitution, des lois, des règlements et de la résolution de tous conflits et litiges qui pourraient survenir durant ou à la suite de l'élection devenues réellement démocratique.

 

*- La côte d’ivoire fonce dans le Mur.

 

C’est aussi pourquoi, nous soutenons fermement, qu’il faut un accord à partir d’un compromis obtenu après des négociations franches entre toutes les parties aux élections a venir, « sur la gratuité des cartes nationales d’identités ou l’autorisation de votes avec les cartes d’identités nationales d’il y a dix (10), sur un nouveaux découpage électorale, qui ne tient pas compte de l’espace, donc fondé sur un nombre bien déterminé de citoyens pour un nombre invariable d’élu . Un Accord consensuel, autour du conseil constitutionnel actuel, autour de la commission électorale actuelle, qui sont manifestement et indéniablement partiaux et visiblement à la solde du pouvoir en place, leurs promoteurs à dessein a ces postes ». Oui, il faut s’asseoir pour discuter afin d’aboutir à un accord, pour créer les conditions d’une paix durable et d’une vraie réconciliation nationale, pour que les élections se déroule pacifiquement. Donc nous soutenons, qu’à notre sens la condition d’une élection démocratique apaisée est de trouver un accord à partir d’un compromis obtenu après des négociations franches, qui rencontre l’agrément de toutes les parties au processus électoral, aux positions opposées, différentes, voire divergentes.

 

Par conséquent, qui s’appliquerait à toutes les parties et engagerait l'ensemble des acteurs politiques nationales. Qui doivent tous participer aux négociations ou chacune des parties devra et donnera son avis pour arriver à l’accord final. Donc un accord qui créer les conditions de paix et de réconciliation entre les ivoiriens a travers les négociations et la discutions entre tous les acteurs sociopolitiques. Afin comme dit plus haut, d’éviter de faire recouler le sang ivoirien sur la terre autrefois bénie de Côte d’Ivoire. Il faut obliger les sourds à entendre, il faut forcer les aveugles à voir, aujourd’hui le R ? D P est composé de quoi ? Ou de qui ? Le grand PDCI, source de ce pouvoir à quitter. Anaky Kobenan à quitter. Soro Guillaume « Mrouti », à quitter. Amon, dégouté à quitter. UDPCI de Mabri n’en peut plus à quitter. Et les renégats cooptés ex-pdci, donnez-nous leurs nouvelles, s’il n’y a pas eu de désertion par regret. Le peuple souverain infantilisé ne pense qu’a l’ultime charge. Oui, Il faut le Dialogue et le Consensus au tour de la chose publique. Il faut la Légalité et la Transparence dans l’ordre du public. Pour ainsi obvier toute possibilité de future crise postélectorale et de futur chaos social en perspective. Il faut la paix pour éviter les affrontements intercommunautaires auxquels on assiste aujourd’hui tous les temps. Sinon la côte d’ivoire fonce lamentablement dans le Mur. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile)

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8 mai 2020 5 08 /05 /mai /2020 20:59
Lepetitfils : En Ouattara-land, le souci de protections de carrières primes sur la stratégie commune du plan de confiscation du pouvoir, et les détonations de tirs nocturnes ne manquent pas. Aussi, les kilométriques chapelets nébuleux, funestes, mortifères, obscurantistes, prennent du service nocturne. Actuellement souci, Il y a, le porte-drapeau n’offre plus la stabilité physique souhaité. « Bon ! Au-delà de la politique, que les dieux de nos ancêtres sauvent le combattant en mal sur le ring, s’il doit y avoir un K.O, il faut qu’il soit politico-électoral, mais pas physique, Non ! Pas physique. La route est encore longue».

Lepetitfils : En Ouattara-land, le souci de protections de carrières primes sur la stratégie commune du plan de confiscation du pouvoir, et les détonations de tirs nocturnes ne manquent pas. Aussi, les kilométriques chapelets nébuleux, funestes, mortifères, obscurantistes, prennent du service nocturne. Actuellement souci, Il y a, le porte-drapeau n’offre plus la stabilité physique souhaité. « Bon ! Au-delà de la politique, que les dieux de nos ancêtres sauvent le combattant en mal sur le ring, s’il doit y avoir un K.O, il faut qu’il soit politico-électoral, mais pas physique, Non ! Pas physique. La route est encore longue».

*- Une politique truande de dégénérescence sociale.

 

Oui, disons-le, notre chère patrie la côte d’ivoire de Félix  Houphouët Boigny, est éternellement tirée vers le bas, au fond de l’abîme sociopolitique, par une logique politicarde truande d’un boulon sangsues et son clan mafieux. Tous branchés à la mamelle de nos sources de vies sociales, de nos caisses publiques étatiques et à la sève de nos ressources économiques naturelles souveraine, pour faire de quelques-uns, d’un clan politique et d’une fratrie, des multimilliardaires. Donc très mal piloté par une politique obscurantiste d’un clan mafieux, assis sur un dirigiste économique criminel, la chère patrie, la côte d’ivoire d’Houphouët  Boigny, devenue un état voyou, un état paria, un état policier, un pays de merdes, dans le concert des nations civilisées, vacillante, oscillante sur ses bases souveraines, peine à remonter à la surface des profondeurs abyssales, d’une crise sociale aiguë, voulue par un carriériste pathologique. Toutes les crises sont maintenant présentes : Crise de démocratie, crise de droit et de liberté, crise morale, crise sociale et civique, crise de confiance, crise de légitimité du pouvoir, crise identitaire.

 

Donc crise de la totalité sociale, qui a pour substrat résultant une guerre d’agression et de conquête du pouvoir d’état par les armes impies, une crise entretenue sciemment par un pouvoir monarchiste, absolutiste, criminel et attrape-tout. Afin de pouvoir régner sur la totalité sociale ivoirienne, en dégénérescence et en dégradation avancée. Une situation délétère qui augure la catastrophe de demain dans un pays d’enfer à la porte fermée pour le moment avec une clé à double tours, (deux (2) tours ».  1)- La dépendance totale de la commission électorale qui doit être indépendante « CEI «. 2)- L’impossibilité de la réconciliation nationale soutenue par des poursuites judiciaires effrénées, afin de confiscation du pouvoir d’état, dans le clan, en toute illégalité de droit et en toute  inéligibilité démocratique. Dans cette logique démoniaque toute pensée authentiquement politique, porteuse de valeurs communes, peine à se faire entendre dans notre pays, autour des élections démocratiques, autour de la chose publique et dans l’ordre du public, autour de ce qui est commun à la totalité sociale, et en politique. Là où se décide de la vie de tous, de la vie de chacun et de l’avenir de la nation souveraine, dans le concert des nations.

 

Cette voie catastrophique d’une logique mortifère tout simplement, parce que notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, est confinée sous la coupe malhonnête de la dictature d’une mafieuse camarilla guerrière. À cette manifeste situation de non-droit, de gangstérisme politique patent, et de banditisme électoral ambiant, on peut se permettre d’avancer plusieurs explications : l’avènement suite à la guerre des hommes politiques peu scrupuleux à tendance criminelle et mafieuse dans l’arène politique ivoirienne. Des hommes politicards d’une conception idéologico-politique attrape-tout. Qui a pour seule direction comme fixation, le sens de leurs intérêts claniques et particuliers, diamétralement à l’opposé du sens de l’intérêt général. Ce qui jette le discrédit sur notre pays et ses gouvernants, à la recherche éperdue de slogans mobilisateurs pour soutenir leur politique du pouvoir absolu « souveraineté nationale, croissance économique à deux chiffres». Une logique politique salopard et mafieuse, qui ne doit pour rien au monde, être entravé par un quelconque éclaircissement scientifique, docte et esthète, par aucune contrariété discursive, par aucune autre idée salvatrice d’intérêt général, et par aucune autre action ou proposition politique capable de démontrer les méfaits et les carences du pouvoir d’Alassane Ouattara.

 

Une compréhension loufoque au terme de laquelle, la côte d’ivoire doit demeurer la plantation du clan à eux, ou c’est le chaos social sempiternel jusqu’à la terre brulée. Donc le pouvoir à tous prix et le pouvoir absolument. Dans cette situation d’obscurantisme, il n’y a rien de plus normal, parce que par nature les conceptions politiques attrape-tout, à fin de confiscation du pouvoir d’état, ne sont pas des organisations véritablement politiques, comme on les étiquète très souvent. Oui Ce sont généralement des individus politicards, voleurs, malhonnêtes, carriéristes, opportuniste, arrivistes et mafieux, qui se rassemblent pour la défense de leurs avantages et de leurs privilèges indus, qu’ils tirent de l’exercice illégal et illégitime du pouvoir d’état, sans tenir compte d’aucune option politique, ni des affinités politiques et ni des obédiences idéologiques des membres. Le seul but du rassemblement des ripoux se trouve être, le souci de conserver leurs intérêts égoïstes, égocentriques, qu’ils tirent indûment des caisses publiques de l’état. Tout en imposant leur travers  politiques a la totalité sociale, leur diktat aux autres citoyens de façon sournoise, dans des errements sans foi, sans loi, face au peuple souverain et avec les armes impies, au mépris des normes juridiques et des principes de droits qui régissent la vie en société commune.

 

Les méfaits de cette compréhension saugrenue n’épargne pas le clan des Bouffe-tout lui-même, qui regorge pas mal de Pistoleros a la gazette facile, aux tirs insidieux, tous acteurs du plan de confiscation du pouvoir, le bouclé, géré, calé et le calendrier électoral fricoté pour le trucage en 2020. Mais aux moindres tourbillons, les soucis de protections de carrières primes sur le clan, dans sa stratégie commune du plan de confiscation du pouvoir. Et les détonations de tirs nocturnes ne manquent pas. Aussi les chapelets nébuleux, obscurantistes prennent du service nocturne. Et ils sont actuellement dans un petit tourbillon qui donne du souci, le porte-drapeau du clan politique n’offre plus la stabilité physique souhaité, qui pouvait permettre au monarque absolu de diriger la Côte d’Ivoire par immixtion arbitraire consentie. « Bon ! Au-delà de la lutte politique, que les Dieux de nos ancêtres sauvent le combattant en mal sur le ring, s’il doit y avoir un K.O, il faut qu’il soit politico-électoral, mais pas physique, Non ! Pas physique. La route est encore longue. Mais même-là, il faut que la mythomanie et la maladie de mensonge du système Ouattara prend du service, «mensonge sur mensonge  Coma-profond, brancher-débrancher», sans aucun égard pour le rythme cardiaque et la tension des honnêtes citoyens. Bon ! le peuple doit tout souffrir avec des voyous a la tête d’un pays de Merde.». Déjà des pistoleros du même clan voient quelque chose à portée de mains. D’autres voient la possibilité d’une volte-face théâtrale, SI ? Un Clan mafieux ! Nous avons-dits.

 

C’est pourquoi, cet obscurantisme d’une logique ubuesque et sa conception politique attrape-tout et criminelle est la sœur jumelle de la violence de masse ou du politicide de masse. Donc c’est la violence aveugle en politique, et c’est la politique violente et sourde dans la société. Il nous faut donc, «citoyen ivoirien», arrêter cette violente dynamique, intempestive, du train d’enfer Alassanéen, et sa cooptation politicarde clanique des bouffe-tout. Cette fichue machine nébuleuse, broyeuse d’espoir, de droit, de liberté et de démocratie de, Alassane Ouattara à exacerber les inégalités sociales devenues monstrueuses. Et vise à briser l’harmonie communautaire, la cohésion sociale et l’unité nationale. Et elle œuvre à détourner l’espérance du peuple «qui est le désespoir surmonté», vers le fatalisme de la ruine sociétale. Les ivoiriens n’ont d’autres choix. Il nous faut freiner donc, cette bassesse d’une politique obscurantiste, monarchiste, et absolutiste, assis ostensiblement sur une politique économique dirigiste, qui excelle dans la défenestration de l’économie ivoirienne, au profit d’une fratrie, d’un clan et d’une mafia.

 

Une politique qui se nourrit de la saignée des ressources souveraines pillées à souhait et à volontés. Il nous faut stopper donc, cette honteuse et amorale combustion de nos deniers publics dans les arrières cours d’une fratrie, d’un clan politique et d’une mafia internationale. Il nous faut mettre un terme aux pillages systématiques monstrueux et aux vols synergiques organisés et orchestrés par la cupidité prédatrice de ces politicards criminels et hommes politiques mafieux, qui ont pris notre pays en otage, avec les armes impies. Il nous faut donc, briser les élans effrénés des poursuites judiciaires sélectives, téléguidées, et les dérives dictatoriales insupportables de ce pouvoir unilatéraliste d’Alassane Ouattara par les armes. Afin de donner à notre nation ivoirienne sa vocation étatique souveraine, régulatrice socio-politico-communautaire, et protectrice de tous, de chacun dans le respect des différences. En rassemblant toute sa composante sociale autour du droit, des libertés, de la justice sociale et de la justice juridique. Voici ce qui doit être les préoccupations, du moment du peuple ivoirien martyrisé.

 

*- Le peuple ivoirien doit disposer de lui-même.

 

Oui, de par le monde, ceci ci-dessus, se règle toujours légalement par les peuples, tous ensembles au terme des légaux et pacifiques coups de pieds synergiques du peuple au cul de l’arbitraire de la dictature, et ça fiche le camp, ça dégage sans faute. Cette politique obscurantiste d’une logique truande, préfère la politique la plus facile et moins contraignante du monde, celle des bandes armées qui ne pensent qu’a exterminé mutuellement. C’est ça ! son credo politique. Donc, Aujourd’hui, contraint par la peur Bleu de l’adversité politico-électoral, et soumis à un dessein nébuleux de confiscation du pouvoir par le trucage, pousse volontiers, à se retirer, du protocole relatif à la Charte Africaine des droits de l’homme et des peuples, instrument par excellence de la sauvegarde de la paix internationale en Afrique, et qui permet aux ressortissants des pays parties de saisir directement une juridiction commune pour réclamer les droits bafoués par un pouvoir. Un lamentable recul honteux, de l'Etat de droit, du système démocratique, et du processus électoral en Côte d'Ivoire. Ne l’oublions pas notre crise est une crise de l’art du vivre en commun dans le respect des normes juridiques, des principes universels, qui régissent la société.

 

Donc une crise du dévoiement des pratiques démocratiques, du non-respect de règles démocratique universelle, du droit universel, par une meute de politicards, carriéristes pathologiques et arrivistes renégat. Qui se sachant incapables de satisfaire aux légales exigences rigides du droit, ont décidé en septembre 2002 de faire une guerre d’agression inconsciente à la côte d’ivoire. Une guerre de conquête du pouvoir d’état, avec le soutien d’une mafia internationale sous la couverture de la communauté internationale. Cette escouade phalangiste de politicards Alassanéen, ne recule devant aucune catastrophe, pour assouvir son dessein mafieux, d’interpénétration de la politique avec les affaires mafieuses. Sauf sous contrainte légale populaire, elle ne cédera jamais sur aucun sujet d’intérêt national, même avec le pied sur le droit d’autrui, « commission électorale », ni hésitera devant une quelconque souffrance du peuple, parce que son existence en dépendra. Donc il n’y a pas deux (2) postulats pour le peuple ivoirien. Il nous faut stopper ce train d’enfer, de damnation du système de pouvoir Alassane Ouattara.

 

Qui excelle dans une truande politique économique dirigiste criminelle et dans un clanisme de copinage, qui se nourrit de la politique de haine. Fait de mépris pour les autres appartenances, d’exclusion politique, de dénie de droit, de division du corps social par segments de petit terrains électoraux et de chasses gardées communautaires pour régner, du mensonge politique et du mensonge d’état en fanfare. C’est un pouvoir nébuleux obscurantiste, bonimenteur ou super-menteur, maîtres dans l’art de faire des montagnes de milliards en mensonges. Sa politique clanique de musellement électoral de l’opposition au sein de l’organisme électorale a fin de trucage, sa politique de la division sociale et de différenciation communautaire, ne fait que confirmer sa quête éperdue de mettre fin à la politique de l’évolution sociale instaurée par Félix Houphouët Boigny. Avec un mépris ostensible affiché pour toute vision politique globale partagée des choses publiques, et son obstination sur une voie avérée de régression sociale, une voie périlleuse programmé pour les mœurs sociétales et pour la paix sociopolitique.

 

Aujourd’hui, en côte d’ivoire, on est d’abord d’un clan politique, d’une tribu, d’une ethnie, d’une région, d’une communauté régionale, musulman ou catholique, avant d’être vu ivoirien. Autrement dit qu’on relève en priorité de ce qu’un héritage politique, tribal, ethnique, régional, communautaire et religieux a fait de nous. C'est-à-dire une concrétion de moi plutôt qu’une convergence de nous. L’ouverture conditionnelle, dans la soumission seigneuriale de l’autre, opposé aux murs diviseurs. Plutôt que l’intégration salutaire et salvatrice des autres dans un tous solidaire, par une politique de vraie réconciliation nationale. Et par un processus de dialogue républicain, dans une politique de développement national global. Donc, le socle politique, du système du pouvoir d’Alassane Ouattara, permet non pas de rassembler solidairement, les spécificités nationales, ou d’intégrer les différences nationales, mais plutôt de diviser habilement le corps social en segments, devenus malléables, de désintégrer les destins collectifs pour mieux exacerber les particularités, hier solidaire et rafistolé qui les ont réellement enrichis. Et demain la nouvelle ploutocratie issue de la l’argent de la guerre aidant, on serait d’abord riche ou pauvre

 

Ceci pour pouvoir ainsi régner sur une nation martyrisée. Ici on est dans la logique truande, obscurantiste et guerrière, qui veut que l’affirmation de soi passe par la négation des autres. Que la valorisation de soi passe par la dévalorisation des autres. L’autre n’est fréquentable que soumis. D’où les opposants politiques non de place à ses yeux qu’en prison, oui, en prison, toujours en prison, encore en prison. Ce qui transporte ostensiblement, le besoin de faire sentir au peuple ivoirien, le poids devenu lourd et funeste de plus en plus écrasant de son autorité brute. Cela au mépris des droits, en dépit des libertés, et au dédain des réalités sociales. Et de fièrement parader allégrement avec une meute aride de fantassins armés, près à guerroyer en tous lieux ou en tout temps. Ou avec une escouade de soudards exhibitionnistes flanqués de bérets rouges autour des escortes ubuesques de potentats, pour dire toujours au fichu peuple, ou à la piétaille de citoyens, « tu ne me vois pas hein ! Je suis le président ! » Voilà le rythme funeste, l’allure mortifère, la logique truande criminelle du train d’enfer et de damnation piloté par le système politique mafieux obscurantiste d’Alassane Ouattara peuplé de voleurs endurcis.

 

Dans cette logique guerrière, se porter candidat à la présidentielle à venir contre le système politique d’Alassane Ouattara, devient une atteinte à la sûreté de l’Etat. Et la mythomanie vous sortira un gros dossier pour atteinte à la sureté de l’état, avec une Gestapo couronnée par une justice a sa disposition et à sa solde. Hélas ! «Celui qui à l’entre parenthèse de sa culotte déchiré, ne peut pas monter sur le cocotier public, sous le regard du public, au risque d’exhiber des balançoires en plein air». Donc il est temps que le peuple ivoirien rétorque à ce système politique obscurantiste que, c’est lui le peuple souverain de côte d’ivoire ultime détenteur du pouvoir d’état. Et d’avoir le courage de s’affirmer comme tel, ultime détenteur du pouvoir d’état, son avenir en dépend. Il faut combattre l’arbitraire jusqu’à l’obtention d’un système politique réellement démocratique et d’une réconciliation nationale réelle, dont les élections transparentes contribueraient à la consolidation du tissus de la totalité sociale mis en lambeau. Cette affirmation légale de la souveraineté du peuple, se fait au terme de l’administration d’un coup de pied légal, pacifique, synergique, très bien ajusté au cul de l’arbitraire de la dictature, et il fiche le camp sans faute, il dégage sans faute, pour laisser la place à la paix sociale. Et c’est maintenant qu’il le faut… Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile)

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2 mai 2020 6 02 /05 /mai /2020 14:44
Lepetitfils : Ceux qui ont l’entre parenthèse de la culotte trouée, ne peuvent pas monter sur l’arbre de la transparence, sous les yeux de tout le monde, à la place public, le risque étant notoirement connu. Donc la politique de l’Autriche « faire sciemment fi d’ignorer la réalité en face » et s’en donner à des coups de poignards dans le dos de la démocratie, de la stabilité politique et de la paix sociale, dans les baffons de l’anonymat deviennent la règle. Et c’est la côte d’ivoire qui devient un état voyou, un état paria, un état policer et un pays de merdes.

Lepetitfils : Ceux qui ont l’entre parenthèse de la culotte trouée, ne peuvent pas monter sur l’arbre de la transparence, sous les yeux de tout le monde, à la place public, le risque étant notoirement connu. Donc la politique de l’Autriche « faire sciemment fi d’ignorer la réalité en face » et s’en donner à des coups de poignards dans le dos de la démocratie, de la stabilité politique et de la paix sociale, dans les baffons de l’anonymat deviennent la règle. Et c’est la côte d’ivoire qui devient un état voyou, un état paria, un état policer et un pays de merdes.

*- Toujours l’Afrique le souffre-douleur du pire des pires.

Citoyen ! Face à Coronavirus-COVID-19, qui a fait douter le monde de son destin, l’Afrique doit serrer et resserrer la ceinture. Oui, contrairement à l’Avis peu désespérant, mais conscientisant, du médecin et chercheur français Didier Raoult, un dirigeant et médecin de l’OMS, dit que notre Afrique doit s’entendre au pire ? Donc respectons strictement les mesures de protections ventilées en boucle par les gouvernants de nos états contre Coronavirus ou COVID-19. Espérons de la science qui instruit nos gouvernants, dans le strict respect des consignes prescrites. Le monde dans les cordes commence à se ravive, mais l’Afrique doit s’entendre au pire dit-t-on ? On ne lâche pas la Barre jusqu’au Bout, citoyen ! Comme dirait l’autre espérer c’est le désespoir surmonté. Donc pas de relâchement. Nous avons dit jusqu’au Bout ! On sera, se voir …»

*- Ceci étant : Les décisions de juridictions internationales ne s’appliquent qu’aux états sérieux.

Il faut noter ici que, il ne suffit pas de se retirer, du protocole relatif à la Charte Africaine des droits de l’homme et des peuples, instrument par excellence de la sauvegarde de la paix internationale en Afrique, qui permet aux ressortissants des pays parties de saisir directement une juridiction pour réclamer les droits bafoués par un pouvoir d’état. Il faut aussi pour la cohérence se retirer de la CHARTE DE L'OUA « de Haïlé Sélassié » Organisation de l'unité africaine, qu’est l’Organisation mère de l’Union Africaine. Ainsi l’Afrique se porterait mieux sans état voyou. La seule garantie de l’exécution des décisions de juridictions internationales, est le degré de civilisation des gouvernants. Oui, la bonne volonté sans contrainte des parties aux différents ou aux litiges, surtout la bonne volonté gouvernementale assurent une exécution efficace des décisions de juridictions internationales. Ces institutions communes créées afin de maintenir des conditions de paix nationale et de sécurité internationale, fondées sur le pur droit universel, pour que la société internationale fonctionne en l’absence de conflits ouverts ou latents. Donc l’exécution de ses décisions ne dépend que du degré de civilisation des dirigeants de l’état, de la grandeur de l’état, du sérieux de l’état. Cette civilité politique grandit l’état dans le concert des nations civilisées.

Parce que les états voyous, les états parias et les états policiers, ne se soumettent pas aux décisions de pur droit international, des juridictions internationales, qui ne disposent pas de moyens de contraintes. Donc le degré de civilisation, la civilité, la bonne volonté, la bonne foi des parties aux litiges, permettent l’exécution efficace des décisions judiciaires des cours internationales. Cette exécution de bonne foi par les parties aux différents permet par conséquence de mettre réellement fin aux conflits et aux rancœurs que peut susciter le diffèrent querellé devant la juridiction internationale. Et en bon gyroscope, elles montrent la voie légale coutumière dans le concert des nations civilisées, et atténuent les éléments potentiels de conflits, et de différents dans la société composite, et lubrifie les mécanismes des rapports sociopolitiques afin de garantir la paix sociale nationale et la paix internationale. Toute action qui transcendent les grands principes universels de régulation sociale dont ces décisions judiciaires des cours internationales est gardienne, est le frère jumeau de la violence de masse et des conflits armés. Hélas ! Depuis 2011, la côte d’ivoire est logée dans la bicoque des états voyous, des états parias et des états policiers, dans le concert des nations civilisées. En voici quelques faits notoires identifiants ci-dessous.

*- Une justice atteint de Virus-vingt. La dynamique démoniaque à roue libre fait son chemin, A-chez-nous-pays.

Le président Gbagbo condamné à 20 ans de prison, Charles Blé Goudé à 2O ans de prison, Simone Gbagbo, condamnée à vingt ans de prison « Amnistié ». Maintenant Soro Guillaume condamné à 20 ans de prison. Assoa Adou, secrétaire général du FPI, reste toujours convoqué et Michel Gbagbo secrétaire général adjoint du FPI lui aussi reste toujours ré-convoqué ! Le député Alain Lobognon et sa suite sont toujours en prison. Ça c’est la distribution gratuite des peines par le pouvoir du monarque, devenu justicier de service, ou la justice expéditive intempestive se dispute avec les poursuites judiciaires effrénées. Oui,le pouvoir grognon, fulminatoire, outrancier d’Alassane Ouattara, est une inconsciente couillonnade des 18-19 septembre 2002, un péril catastrophique pour la stabilité sociopolitique et pour la paix sociale, une ânerie de système anti-droit, une honte pour le monde civilisé, une conception poubellique da la morale Humaine, une mytho-maniaque  voie pour l’Animalisation de l’homme. Donc le péril pour les droits inaliénable et pour les libertés fondamentales est là ostensible. Le déni de démocratie est là patent. La maladie du mensonge est installée au cœur de la république de côte d’ivoire. La mythomanie a gagné le sommet de l’état ivoirien. La dynamique démoniaque à roue libre fait son chemin, A-chez-nous-pays, sous le regard du peuple souverain devenu attentiste. L’Abime n’est plus loin. D’où, Vingt ans de prison pour toute opposition politique, pour toute différence d’opinion. Ou au Trou ! Est la règle, à défaut de soumission seigneuriale, de prosternation royale, de génuflexion despotique, de courbette assujettissante. Oui, il n’y a rien de grave dans tout ça, c’est normal que la prison soit réservé à l’Opposition significative. Oui, au Trou !

Ce piteux pouvoir démoniaque ne connait que, coup de poignard dans le dos, soutenu par des mensonges d’état. Ça ment, ça ne cesse de mentir, comme des arracheurs de dents, par le biais d’une justice judiciaire téléguidée, sélective, et devenue docile a tous les travers politiques, a tous les errements politiques d’un pouvoir déviant aux abois . Eh bien oui ! En convenons-en, si le mensonge pathologique est à la base de la fiction fantasmatique du récit du mythomane ? Alors-là, disons que la mythomanie a gagné le sommet de l’état ivoirien. La maladie du mensonge s’est installée au cœur de la république de côte d’ivoire, avec des bonimenteurs aux commandes du navire ivoire. Qui roule lamentablement vers une catastrophe électorale. Puisque le mensonge d’état a trouvé ses repères électoraux, «condamné gratuitement et emprisonné à volonté. Or on ne va jusqu'à l'espérance qu'à travers la vérité, au prix de grands efforts». On ne gouverne pas un peuple avec le mensonge. Bon ! Quoi de plus normal, «quand l’ombre du pygmée grandit c’est que le soleil va se coucher». La côte d’ivoire d’Houphouet Boigny vit sous leurs règnes. Mais «Quand on va jusqu'au bout de la nuit, on rencontre une autre aurore un jour».

Oui, ce pouvoir mafieux de copinages, de concussions, de défenestrations, de surendettement, de vols organisés, est tellement malhonnête, que ce sont les membres de son clan de ripoux, hier pauvre, sinon hier misérables, ou  hier leurs existences politiques reposaient uniquement sur des fausses notoriétés, qui se bâtissent aujourd’hui, des domaines de châteaux insultants, et des résidences de luxes condescendantes à Assinie mafia. Ou les hélicos se percutent aux décollages, avec des voyages intempestifs couteux de par le monde aux frais de l’état. D’où les futurs dirigeants ivoiriens auront du travail, oui de sérieux travaux légaux, à faire venir dans les caisses publiques de l’état, ce qui y a été dérobé et dilapidé, ce qui y a été détournés de la destination des deniers publics, ce qui y a été volé et pillé. Oui, le peuple souverain ivoirien ultime détenteur du pouvoir d’état, qui a vu ses ressources naturelles pillées, et un surendettement éhonté orchestré à son Nom, puis défenestré vers des paradis fiscaux, doit rentrer dans ses droits et dans ses fonds. C’est de droit et ce serait une obligation pour tout dirigeant d’état digne de ce Nom. Ceci se situe dans la logique de l’impossible de la réconciliation nationale effective et inclusive. Les voleurs, les malfrats, les détourneurs, les pilleurs, doivent rendre leurs butins a la caisse publique du peuple.

*- Les 20 Ans que dure la crise ivoirienne 1999-2020 doit connaitre sa fin en 2020.

Voilà ! Pourquoi, en parfaite connaissance, docte et esthète, des choses et pour que les aveugles veillent voir et que les sourds veillent entendre, pour pouvoir regarder en face la réalité sociopolitique et d’entendre les tocsins qui sonnent pour la paix sociopolitique, que nous avons soutenus que, c’est pour confisqué le pouvoir d’état que le système politique Alassanéen procède à des poursuites judiciaires téléguidées et effrénées, et la composition unilatérale de la CEI a fin de rééditer un Hold-up électoral en 2020 aux conséquences incalculables, que c’est une constante de ce pouvoir unilatéraliste. Donc, qu’il est question de s’engager résolument, pour chaque composante sociopolitique de la totalité sociale ivoirienne, chacun dans son périmètre d’évolution et d’enrôlement, à faire face à un passage en force électoral programmé, géré, calé, et bouclé. En espérant pour une fois que, le système unilatéraliste arbitraire Alassanéen, reculera sous la pression régulatrice. C’est-à-dire une danse citoyenne qui durera tant que l’exigence citoyenne demeure dans la cité citoyenne, les Flambeaux nocturnes aidant en cela.

Une danse citoyenne de la totalité sociale, qui peut passer si nécessaire, par une lutte décentralisé, chacun dans son périmètre d’évolution, dans toute l’assiette territoriale du pays en NON-STOP. Et dans cette situation citoyenne, où l’arbitraire recule ou il se dévoile comme tel, face au peuple invincible sur son terrain légitime. Que s’il le faut ? Qu’il faut ça ! Pour que les 20 Ans que dure la crise ivoirienne 1999-2020 connait sa fin en 2020. Que Vingt Ans de crise, ça suffit ! Parce que n’oublions jamais que: Ceux qui ont l’entre parenthèse de la culotte trouée, ne peuvent pas monter sur l’arbre de la transparence, sous les yeux de tout le monde, à la place public, le risque étant notoirement connu. Donc la politique de l’Autriche « faire sciemment fi d’ignorer la réalité en face » et s’en donner à des coups de poignards dans le dos de la démocratie réelle participative, de la stabilité sociopolitique et de la paix sociale, dans les baffons de l’anonymat deviennent la règle. Et c’est la côte d’ivoire qui prend un coup, qui devient un état voyou, un état paria, un état policer et un pays de merdes. Rien d’étonnant en cela disent d’autres, parce qu’un pouvoir né d’une guerre carriériste et en sempiternelle crise de légalité  et de légitimité, ne peut générer que des crises sociopolitique, jusqu’au jour où il fera jour. Vingt « 20 »  ans de prison à souhait et à volonté. Allons-y seulement…Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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25 avril 2020 6 25 /04 /avril /2020 13:53
Lepetitfils : Oublier les conséquences désastreuses d’une politique anti-droit, antisocial, antihumain, éphémère, primaire, anomique, chaotique, sans mémoire et sans avenir, c’est faire preuve d’une grande imprudence, d’une grande inconscience, qui fragilise le socle de la nation et c’est faire preuve du summum de l’irresponsabilité politique dans la gestion des affaires publiques, c’est faire preuve de l’extrême légèreté dans la gestion de la totalité sociale souveraine. Et vive le chaos sempiternel, au pays de Félix Houphouët Boigny.

Lepetitfils : Oublier les conséquences désastreuses d’une politique anti-droit, antisocial, antihumain, éphémère, primaire, anomique, chaotique, sans mémoire et sans avenir, c’est faire preuve d’une grande imprudence, d’une grande inconscience, qui fragilise le socle de la nation et c’est faire preuve du summum de l’irresponsabilité politique dans la gestion des affaires publiques, c’est faire preuve de l’extrême légèreté dans la gestion de la totalité sociale souveraine. Et vive le chaos sempiternel, au pays de Félix Houphouët Boigny.

*- Le serpent n’est pas Mort !

 

*-«Citoyen ! Un intrus appelé Coronavirus-COVID-19, a fait douter le monde de son destin. Respectons strictement les mesures de protections prescrites par les Toubibs et ventilé en boucle par les gouvernants contre Coronavirus ou COVID-19. Espérons avec eux de la science, dans le strict respect de leurs consignes prescrites. Le monde dans les cordes commence à se ravive. Mais, on ne lâche pas la Barre jusqu’au Bout, citoyen ! Comme dirait l’autre espérer c’est le désespoir surmonté. Donc pas de relâchement. Nous avons dit jusqu’au Bout ! On sera, se voir !»

 

*- (Il faut d’emblée dire que : Les juridictions internationales jouent le rôle  du renforcement de l’état de droit au niveau international, du maintien de la paix et de la sécurité internationale. Donc quand une cour internationale est saisie d’un différend quel qu’il soit, son but est de résoudre le litige entre les parties dans l’objectif de maintenir la paix nationale et internationale. Mais la justice internationale, aussi équitable et juste soit-elle, à une utilité très limitée si ses décisions judiciaires, définitives et obligatoires, ne sont pas exécutées en l’état par les parties au différend ou litige querellé. Donc les décisions judiciaires des juridictions internationales sont soumises à l’exécution de bonne foi par les parties aux différents. La difficulté, dans le cadre de l’exécution des décisions des juridictions internationales, c’est que la mise en œuvre de la décision est véritablement entre les mains des  parties au différend. Puisque contrairement à l’ordre juridique national, les juridictions internationales ne disposent pas du recours à la force publique pour faire exécuter leur décision en cas d’obstacle à l’exécution. Il n’existe pas aujourd’hui dans l’ordre juridique international de force publique obligeant à l’exécution de décisions juridictionnelles. Donc chaque nation souveraine s’engage à se conformer à la décision de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples dans tout litige auquel elle est partie. Et en l’absence de bonne volonté et de bonne foi, et fort de la décision judiciaire de pur droit, de la Cour Africaine des droits de l’homme et des peuples, c’est au peuple souverain «ivoirien» de rechercher a entré dans ses droits inaliénables bafoués.  Toute chose, qui ne se donne pas par un pouvoir unilatéraliste, absolutiste, despotique, déviant, devenu sourd, muet et aveugle).

 

Ceci étant : Ce qui se trouve mit en jeu aujourd’hui, est l’avenir au-delà du règne d’un pouvoir.

 

Bon ! Il faut redire ici que : Pour nous, toute personne qui ne s’intéresse pas qu’à lui-même, pratique donc de fait, la politique et fait de la politique sciemment ou inconsciemment. Oui, pour nous, la politique est principalement ce qui a trait au collectif, au général et au commun, à une somme d’individualités et/ou de multiplicités. Par ailleurs, dans un sens beaucoup plus restreint, le terme politique renvoie à des luttes pacifiques de pouvoirs, des actions d’équilibrage de la société commune par l’éclairage. Oui ! Ici rien est communautaire, rien n’est régional, rien n’est unilatéral, rien n’est personnel, rien n’est exclusif, rien n’est du moi ou rien. Il n’y a ni petits terrains électoraux exclusifs, ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni privilège exclusif. Oui, c’est notre vision de la politique. C’est pourquoi, nous vomissons les armes en politique, et que nous détestons les chasses gardées communautaires de petits terrains électoraux. La politique ce n’est pas l’habilité d’alpiniste chevronné, ce n’est pas l’obscurantisme sectaire, ce n’est pas le comportement de ballon de Basket, ce n’est pas les Anathèmes langagiers et les excommunications systémiques, ce n’est pas UFR ou Normal-sup. C’est un concours national de représentativité qui se gagne avec l’adhésion libre du peuple souverain. «Le 31 octobre 2020, le pouvoir Ouattara mourra d’une manière ou d’une autre. Il mourra cadavéré d’élection ou il mourra mort finit de Coronavirus ».

 

Oui, la vraie politique est concours national «mandatorial», de représentativité nationale, qui se gagne avec l’adhésion libre et consentant du peuple souverain. Oui, la force de convictions politiques, la persuasion par l’action politique, la capacité de convaincre sans aucune violence, c’est ça faire la politique, dans le but unique de servir sa société. Donc on s'engage normalement en politique et dans la sphère publique, pour faire part de ses idées sociétales, de ses analyses, de ses points de vue, sur les sujets sociétaux les plus variés, ou pour défendre des valeurs sociétales, qu’on juge utiles pour la société. On gagne avec ses valeurs sociétales ou on perd avec ses valeurs sociétales, sinon faire la politique n’aurait pas de sens. Voilà pourquoi la personne physique de l’homme politique dans sa vie privée, ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel. Ce qui nous intéresse en l’homme politique, c’est le système idéologico-politique qui le soutien. C’est sa conduite des affaires publiques de l’état, sa gestion des deniers publics et de la société commune, qui décident de notre vie, de la vie de tous, de la vie de chacun et du destin de la nation dans le concert des nations. Donc le coup de poignard planté constamment dans le dos de la démocratie, du droit, de la liberté des citoyens, par des élections truquées ? Non ! Ces procédés lugubres, mafieux, et claniques ne sont pas notre genre, jamais de la vie et nous les combattons.

 

Donc, nous disons ici que, le vecteur de la candidature héritière du système Alasanéen, est la politique mafieuse de la conservation du pouvoir d’état, qui n’obéit qu’à la règle des intérêts personnels, égoïstes et égocentriques. Qui s’articule autour de la logique du carriérisme politique tutélaire, qui conduit à l’égocentrisme criminel « du moi ou rien, ma logique ou la terre brulée ». Balayant ainsi toutes opinions libres et de libertés, y compris le libre arbitre, les libertés d’expressions. Et dès lors, deviennent des crimes, toute position autre que la sienne, bien cadrée sur un canal hégémonique dictatorial, sourd et aveugle par essence, toute vision politique analytique, scientifique, doctrinale, experte et esthète, toute analyse concrète et impartiale de la vie sociopolitique. Et dans ce cas un héritier de ce système politique, même à première vue acceptable par une partie du peuple, parce que soluble soit-il, dans le moule des fédérateurs convaincants, des battants et des combattants, est ainsi réduit à l’aliénation intéressée, dévalorisante de ce système politique source. Il est soumis à la médiocrité, soumis à la politique du carriérisme viscérale, qui a pour socle, la culture du misérabilisme politique assujettis au ventre.

 

Dans cette situation, cet héritier  politique systémique, même à première vue acceptable parce que soluble soit-il, dans le moule des fédérateurs convaincants, des battants, ne peut certainement pas débattre sereinement de ce qui concerne l’intérêt général de la totalité sociale commune, ce qui concerne l’harmonie intercommunautaire, qui doit rester son crédo. Parce que tenu par l’exigence des intérêts claniques, égocentriques, égoïstes, devenus ostensiblement l’essentiel, dans le cercle des convives claniques. Voilà pourquoi, il n’y a rien à faire pour un vrai homme politique, fédérateur, convainquant, battant et combattant digne de ce nom dans ce cercle des convives claniques. S’il veut politiquement rester maitre de son avenir politique, sauf à vouloir manifestement soldé ses assises politiques, à vouloir se départir de sa notoriété acquise de fédérateur, et de l’estime de son peuple, et de sa popularité électorale. Électorat de demain ! Oui ! Nous avons dit électorat de demain ! Voilà ce qui se trouve mis en jeu aujourd’hui, l’avenir au-delà du règne d’un pouvoir unilatéraliste, despotique, iconoclaste, nihiliste.

 

*- La démocratie est un système conçu pour gérer les différences quelles qu’elles soient.

 

Oui, il n’y a rien à faire pour un vrai homme politique, dans ce cercle des convives claniques, parce qu’il est clair et net qu’au-delà des exigences égocentriques d’une politique clanique de confiscation du pouvoir d’état que ; Tant que, la pluralité des conceptions politiques et sociétales et les positions idéologiques, philosophique, morales, ne seront pas une réalité admise et considérer comme un enrichissement sociopolitique, ou la légitimité du pouvoir d’état repose sur la raison, sur le droit, donc sur la souveraineté du peuple. Tant que ces valeurs d’une société moderne ne deviendront pas une réalité incontournable un jour dans notre pays la Côte d’Ivoire, eh bien, les rêves d’un progrès social partagé, d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociopolitique, sans lesquels il y a point de développement sociétal et Humain, d’une citoyenneté commune acceptée, qui permet de gérer politiquement demeureront une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays. *- Tant qu’il n’en sera pas ainsi  la Côte d’Ivoire ne connaîtra jamais la paix sociale, les conflits sociopolitiques ou même les guerres civiles continuerons à peuplé le présent et l’histoire de la Côte d’Ivoire, les morts continueront à peuplés avec persistance la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny. Donc il n’y a rien à faire dans ce cercle des convives claniques pour un politique qui aspire à la paix et à gouverner dans la stabilité sociopolitique et dans l’Harmonie communautaire, dans l’exaltation de la diversité Nationale devenue solidaire.

 

Oui, le système politique du pouvoir d’Alassane Ouattara, en cherchant éperdument pendant 10 ans à s’appuyer sur une petite partie de la population pour gouverner un peuple solidaire, l'a rendu incapable d’unifier la totalité sociale ivoirienne très complexe. Parce que mêlant des populations de traditions culturelles et d’origines diverses à des luttes  intestines s, les unes contre les autres, d’où des affrontements intercommunautaires constants. Des luttes intestines qui ne connaîtront pourtant que des vaincus segmenté, d’une politique criminelle et de dirigisme économique, au service d’un clan mafieux, d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux. Fort de ses acquis de guerres, le système politique du pouvoir d’Alassane Ouattara, ne veut rien entendre, ne veut rien voir et ne veut rien sentir, au tour de la chose publique, désormais entre les griffes mortifère de sa dictature despotique. Or La démocratie est un système conçu pour gérer les différences politiques (d’opinion, de croyance, d’idéologie, de culture etc.) sans recourir à la violence armée. Mais hélas ! Milles fois hélas !  La violence armée est érigée aujourd’hui en maitre absolue, au cœur de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Les armes sont devenues la mesure de valeur sociopolitique. Donc point de dialogue politique sincère qui tient compte de l’avis des autres sensibilités politiques de la nations ivoirienne, point de concession pour obtenir un consensus national autour de la chose publique, point de négociation sur les grands sujets de politiques sociales, qui engageraient demain, la vie de toute la nation entière, la vie de tous et la vie chacun dans le concert des nations civilisées.

 

Ce système politique du pouvoir d’Alassane Ouattara, repose sur trois socles de non-droit : 1)- la confiscation hermétique du pouvoir d’état par les armes de l’armée de conquête, 2)- l’illégalité juridique du pouvoir d’état et l’irrégularité démocratique de la dévolution du pouvoir d’état 3)- et l’anomalie systémique et institutionnelle dans l’exercice du pouvoir d’état. En clair, ce clanisme systémique du pouvoir de, Alassane Ouattara ne vise, ni la circulation régulière du pouvoir d’état, ni la répartition équitable des richesses nationales, ni la libre participation des citoyens à la vie politique de leurs nation, ni les élections pluralistes, libres, transparentes, ni une alternance légale démocratique, mais seulement la fabrication d’une caste fermée de dirigeants ploutocrates, au service du clan mafieux d’ostracisme rattaché à une mafia internationale des grands usuriers internationaux. Oui, que l’ivoirien se détrompe, ce système politique du pouvoir d’Alassane Ouattara, sûr de son fait, bénéficiant de l’appui des nouveaux suiveurs, ne quittera pas le pouvoir, ni par le jeu concurrentiel de démocratie participative et pluraliste, ni par l’alternance politique démocratique textuelle prescrite, mais uniquement par le changement du rapport de force politique équilibré, engagé résolument dans l’arène politique à faire pièces à l’arbitraire.

 

Donc, il est clair qu’en 2020, ce système politique du pouvoir d’Alassane Ouattara va tenter de confisquer le pouvoir, malgré l’aspiration du peuple au changement, et en dépit de l’indignation du peuple, et contre l’intérêt général du peuple souverain, supposé détenteur ultime du pouvoir d’état. Et ainsi, nombres de jeunes loups ivoiriens, de l’opposition qui ont combattu depuis «1999-2002» au risque de leurs vies, qui ont donc par occasion démontré par leurs actions, leurs capacité à combattre loyalement n’importe quel pouvoir dictatorial, en tous lieux et en tout temps, dans le respect des adversaires loyaux, dans le respect des règles des jeux démocratiques, dans la reconnaissance de tous dans leurs originalités absolues à l’intérieur de l’égalité de tous, adversaires y compris, dès lors devenus gênant ou indésirables, se retrouvent dans le viseur funeste, sadique du système politique du pouvoir Ouattara et vive la prison, vive l’exil, vive l’ostracisme, vive l’obstruction, vive l’Apartheid. Parce que la crise rattachée au système politique du pouvoir d’Alassane Ouattara ira de plus bel au-delà de 2020.

 

*- « Le 31 octobre 2020 sans élection, le pouvoir Ouattara est mort finit de Coronavirus ». 

 

Donc l’ivoirien ne doit pas se leurrer avons-nous dit, à propos des élections de 2020, en pensant que ce système politique du pouvoir d’Alassane Ouattara, qui ne cherche que la fabrication d’une caste fermée de dirigeants ploutocrates et mafieux, fondé sur le pouvoir de Dieu l’Argent, et sur la division des communautés sociales de la nation par la sélectivité arbitraire, sur la dictature, de la terreur et l’intimidation de la violence armée, devenue la seule mesure de valeur sociopolitique, se leurrer, que ce système politique-là ferait, des élections démocratiques pluralistes, libres, transparentes et équitable serait puéril, et naïf. Et que ce système politique du pouvoir d’Alassane Ouattara, céderait le pouvoir d’état au terme d’un jeu concurrentiel démocratique, arbitré par le suffrage universel, qui le déclarera vaincu, serait très crédule ? Non ! Il ne faut pas se leurrer citoyen, ce système politique voyou du pouvoir d’Alassane Ouattara, inconscient va tenter de confisquer le pouvoir d’état en 2020.

 

Et sans faute avec le cadenas-sage de l’ensemble du système électoral, y compris les normes juridiques qui le régis à sa solde, la fraude massive électorale, serait au rendez-vous de ces élections de 2020. Et comme en 2010, les armes seront là, pour parachever le Hold-up électoral avec la caution d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux, qui valideront le gangstérisme politique illégal et illégitime. C’est pourquoi nous disons que, sauf un réveil brutal  du peuple ivoirien, l’illégitimité et illégalité du pouvoir d’état ont de beaux avenirs en côte d’ivoire. Et le peuple ivoirien, a le devoir de se réveiller, pour aller jusqu'au bout de la nuit, au risque de sa vie physique, chaque composante sociopolitique de la totalité sociale ivoirienne, chacun dans son périmètre d’évolution et d’enrôlement, à faire face à un passage en force électoral programmé, géré, calé, et bouclé. Une lutte décentralisé, chacun dans son périmètre d’évolution, dans toute l’assiette territoriale du pays en NON-STOP, afin de  rencontrer une autre aurore. C’est de ça qu’il s’agit, ou périr chacun confiné de son côté, dans son coin.

 

Fort de ce constat manifeste, incontestable, citoyens ivoiriens, méfions-nous donc, d’une conversion de notre société d’harmonie communautaire, de cohésion sociale et de paix pérenne héritée de Félix  Houphouët Boigny , a un clanisme des petits terrains électoraux, « communautaires, régionaux, religieux, tribaux, ethniques » à des fins de confiscation du pouvoir d’état par les artisans du Hold-up éhonté en 2010. La société que nous annonce ce gangstérisme politique, ressemble fort à une assemblée inconsciente de couillonnades d’individus, fanfarons, truands, malhonnêtes, voleurs, sans foi, ni loi ; tirant à huer et à dia, pour leurs  propres ventres et leurs  propres intérêts égocentriques, taillés sur la mesure d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux, près à cautionné tous les non-droits. Qui soutien tous ses errements, tous ses travers politiques d’Animosités. Oui ! Citoyens ivoiriens, le progrès de notre société, de notre démocratie, de notre nation, de chaque ivoirien, n’est pas dans une systémique division généralisée, en des petits terrains claniques ou de chasses gardées, sinon d’espaces privilégié ou conquis, entretenus pour la  confiscation illégal du pouvoir d’état. Non ! Ce serait trop périlleux.

 

Et en tout cas, les artisans loufoques de ce nouveau clanisme ploutocrate, ne peuvent ignorer que cette politique mafieuse, extrêmement périlleuse, assujettissante et de la confiscation illégal et illégitime du pouvoir d’état, est la voie toute tracée vers la totale régression sociale et chaotique. Parce que, fondée sur la malhonnêteté dans la gestion des affaires publiques et sur le copinage, sur la concussion, la défenestration économique, assis sur le Hold-up électoral permanent, va de pair avec la fragilisation du substrat de notre chère patrie la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Donc que cette politique systémique mafieuse est par définition anti-droit, antisocial, antihumain, éphémère, primaire, anomique, chaotique, sans mémoire et sans avenir. Alors qu’il est constant en politique que, la souveraineté nationale, la dignité humaine, le progrès social pour tous, le développement de chaque citoyen, la défense de la nation, rien de tout cela n’a de sens, sans Harmonie intercommunautaire, sans stabilité politique, sans la paix sociale. Et surtout, si les communautés nationales ne se reconnaissent pas chacune fièrement et ostensiblement dans une appartenance nationale commune, unique et exalté. Qui transcendent tous particularismes, toutes spécificités, toutes appartenances, toutes considérations, autres que communes.

 

Oui, surtout, si entre les communautés nationales et la nation, il n’y a plus rien d’autres que, sauf la loi des fusils, si entre la nation souveraine et le monde universel, il n’y a plus rien d’autres, que sauf l’interpénétration des affaires mafieuses d’une mafia internationale et la politique nationale sensée édicté des décisions souveraines pour la vie de la nation souveraine sans aucune interférence étrangère. Oublier ces conséquences désastreuses d’une politique anti-droit, antisocial, antihumain, éphémère, primaire, anomique, chaotique, sans mémoire et sans avenir, c’est faire preuve d’une grande imprudence, qui fragilise le socle de la nation et c’est faire preuve du summum de l’irresponsabilité politique dans la gestion des affaires publiques. Et vive le chaos sempiternel, au pays de Félix Houphouët Boigny. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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17 avril 2020 5 17 /04 /avril /2020 14:42
Lepetitfils : La côte d’ivoire, offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Oui, les crises sociopolitiques s’accumulent et le pouvoir d’Alassane  adopte toujours la même attitude : ne pas les résoudre, quand il ne les aggrave pas, sciemment pour confisqué le pouvoir. Les poursuites judiciaires téléguidées et effrénées, et la composition unilatérale de la CEI a fin d4Hold-up électoral en 2020 a confirmé cette constante.

Lepetitfils : La côte d’ivoire, offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Oui, les crises sociopolitiques s’accumulent et le pouvoir d’Alassane adopte toujours la même attitude : ne pas les résoudre, quand il ne les aggrave pas, sciemment pour confisqué le pouvoir. Les poursuites judiciaires téléguidées et effrénées, et la composition unilatérale de la CEI a fin d4Hold-up électoral en 2020 a confirmé cette constante.

«Nous avons le devoir de satisfaire à la routine d’intérêt général, Citoyen ! Depuis des mois le monde n’est plus maitre de son destin de survie face à un intrus appelé Coronavirus ou COVID-19. Respectons strictement les mesures de protections prescrites par les Toubibs contre Coronavirus ou COVID-19. Espérons avec eux de la science, dans le strict respect de leurs consignes prescrites. Le monde est dans les cordes. Mais, on ne lâche pas la Barre jusqu’au Bout, citoyen ! Comme dirait l’autre espérer c’est le désespoir surmonté, donc pas relâchement ».

 

Disons ici entre Guillemet : qu’un pouvoir d’état sérieux n’élargie pas sa «mansuétude» sur le droit de propriété privé des tiers « pas d’augmentation de loyers », est compréhensible, parce que le locataire doit avoir l’espace nécessaire de se trouver un logement, s’il n’y est pas d’accord avec l’augmentation, mais le confinement le rend difficile. Mais « pas d’expulsion de locataires » est une invite et une incitation des locataires au non-paiement des loyers propriété privé et investissement privé des tiers. «Pas d’expulsion de locataires» comme si le pouvoir d’état avait construit les maisons des citoyens honnêtes, qui n’ont pas accès aux biens publics, comme les gouvernants voleurs. « Si tu te prends pour altruiste, tu payes les loyers a la place des locataires, et tout le monde applaudi ». Même si, l’une de nos visions demeure que : C’est en organisant la solidarité réelle et agissante envers les plus Faibles que la société des hommes devient Humaine, mais quand on veut la paix, et l’Harmonie entre les Gens, on ne doit pas, on ne peut pas gérer une crise, même de « Coronavirus ou COVID-19 » avec le non-respect des droits de propriété d’autrui. Comme l’a dit le conseil des droits de l’homme des Nations Unies, la crise doit se gérer dans le respect strict des droits de l’Homme. Oui, la floraison des constructions immobilières suite aux blanchiments de l’Argent de la guerre et des pillages systématiques des ressources naturelles et économiques du pays, ont fait que l’immobilier n’est plus considéré comme un investissement en côte d’ivoire. Bien Avant la crise « Coronavirus-COVID-19 », même certains Magistrats disent légèrement, que c’est une affaire de Maisons ou tout le droit est de soutenir les locataires, souvent qu’ils invitent au terme d’une ordonnance délibérée, à aller verser les loyers au greffe de leurs tribunaux, que les propriétaires le veulent ou non. Le greffe devient propriétaire désigné. Le pouvoir d’Alassane Ouattara est un pouvoir voyou, un banditisme à ciel ouvert, un fichu clan peuplé de politicardes, de bouffe-tout qui vivent de vols dans les caisses publiques d’un état policier et de défenestration de l’économie d’un état devenu voyou. Ceci étant : citoyen ! « Revenons à l’Esperance nouvelle ».

 

*-CHRONIQUE: En attendant que le soleil se lève, vive «Dieu le grand ».             

 

L’ingratitude du système politique Alassanéen en en côte d’ivoire est au-dessus de l’humainement acceptable, avons-nous déjà dit. Mais voilà nous commençons à comprendre les causes de cette ingratitude pathologique maintenant. Parce qu’il nécessite de composer dans ce cas avec la mentalité docile du peuple gouverner. Eh oui, nous voyons tous les jours l’orchestration de cette composition subtile et habile avec la mentalité docile du peuple ivoirien. Pour lequel «peuple» la croyance semble être qu’une fois le pouvoir politique d’état acquit, peu importe la manière, le détenteur du pouvoir  devient subitement « Dieu le grand », face auquel, il s’assigne, se résigne, à la prosternation, à la courbette, à la génuflexion, au griotisme pour certain de pouvoir manger. Donc c’est le discours flatteur en espérant des postes et des titres pour d’autres. C’est le reniement de soi pour des cooptées bouffe-tout et pire c’est le reniement de son substrat politique et de ceux avec qui on avait hier composé hier de façon orthodoxe, c’est donc le reniement de ceux, à qui on doit tout dans la vie politique.

 

C’est à cause de ce qui précède ci-dessus dénoncé, que le pouvoir d’Alassane Ouattara passe en force, repasse en force, et passe toujours en force, la mentalité docile du peuple ivoirien aidant. Oui, c’est une exigence de l’escroquerie morale et intellectuelle, que de composer avec la mentalité docile du peuple gouverné. Que l’on veut non pas servir, mais plutôt asservir, pour se servir dans les deniers publics, pour piller les richesses et les ressources naturelles souveraines du pays gouverné, en espérant d’une ploutocratie dynastique au bout du rouleau, et ce serait conforme à la mentalité du peuple qui y est disposé. Oui, une ploutocratie dynastique au bout du rouleau, parce que le bien matériel pillé des caisses publiques et défénestré de l’économie nationale serait au rendez-vous. Alors ce serait le bonjour résigné à la nouvelle ploutocratie éclose sous nos yeux en 2010. Un bonjour à la dynastie atavique-ment tant espérer éclose elle aussi sur un terreau fertile a sa croissance sous nos yeux durant 20 Ans de crise, Argents de la guerre et 10 Ans de pillage des caisses publiques de l’état et de défénestration de l’économie nationale, au terme d’une gestion économique dirigiste, criminelle et mafieuse.

 

Oui et ça ne peut être autrement ; avons-nous déjà dit a d’autre occasion que ; Depuis 1989-1990 date à laquelle « Dieu le grand » a été imposé au vieux et parachuté à la faveur de la conjoncture économique à l'exigence des institutions financières internationales dans l'arène politique ivoirienne au mépris du plan Comoé. Il n'a eu que suffisance, dédain, et mépris pour le peuple ivoirien atavique. « Privatisation en outrance des biens publics et introduction des cartes de séjours etc.» Ce sont, cette suffisance, ce dédain, et ce mépris pour le peuple ivoirien désormais, qui explique les arrestations à volonté, les poursuites sélectives dites judiciaires. C’est ça la vérité ! Sinon « Dieu le grand » allait se faire un peu de soucis, pour éviter à faire ébranler le nouveau système politique condescendant, qu'il dirige en se frottant trop brutalement à cette occasion à une opposition, à des individus ou des groupes politiques ayant conservé un certain pouvoir sociopolitique pouvant attiser en nouveau les braises et cendres du conflit sociopolitique armé, que l'on vient tout juste de laisser derrière et qui l’a porté au pouvoir.

 

Oui, « Dieu le grand » ne peut pas explorer dans la crise sociopolitique ivoirienne « le asseyons et discutons ». Ce confluent du dialogue d’Afrique noire et ce concept qui a construit une mythologie justificatrice sur la justice non pénale en Afrique noire et singulièrement sur les terres de nos aïeux par la pratique de nos ancêtres aujourd’hui dénommée côte d'ivoire. Comment « Dieu le grand » peut-il agir autrement que par la loi de la jungle et de se conduire en renard libre dans le poulailler libre, en renard hallucinant dans le poulailler halluciner, quand certaines supposées victimes de « sa révolution des œillets » de son coups d’état de 1999, sont aujourd'hui devenu ses principaux soutiens inconditionnels et les avales de tous ses travers politiques d'animosité… Non !!! « Dieu le grand », ne peut pas avoir d'égard pour le peuple ivoirien atavique devenu plus que docile a ses errements de ballon de basket, parce trop sûr de son fait « la passivité générale et l’inertie de tous ». Mais aujourd’hui le peuple ivoirien martyrisé semble s’être inscrit dans une autre posture, face à un nouveau passage en force programmé pour 2020. Et le système politique de « Dieu le grand », semble avoir perdue ses marques rassurantes. La réconciliation nationale, la stabilité politique, l’Harmonie intercommunautaire et la paix sociale, ne font plus parti de préoccupations de « Dieu le grand ». La couronne mal acquit en 2010 est remise en danger.

 

Donc, la seule chose qui le préoccupe reste la conservation absolu de la couronne dans le clan, est une nécessité majeure pour « Dieu le grand », bien qu’annoncé partant, il s’efforce de balisé avec son emprise despotique, le passage du prince héritier désigné, une pullule succédané, pas peut-être trop amère en temps normal aux yeux du peuple ivoirien, parce que supposé connaitre la société ivoirienne à la perfection, ce qui est l’une des conditions indispensable pour mieux gouverner un peuple multi-social. Mais ici l’héritier désigné tributaire des casseroles puantes, peu catholique, et peut être auquel héritier, il va falloir désarticuler, le système antisocial, anti-droit et mafieux de « Dieu le grand », qui a manifestement achevé de mettre en place sa Fabrique de succession goupillée et rafistolée dans des normes juridiques contraire au droit réel, pour schématisé une succession à Rotation Cyclique. Une Fabrique de succession goupillée et rafistolée dont schéma proscrit toute élection réellement démocratique et pluraliste, avec des conditions consensuelles d’organisation de ces  élections démocratiques pluralistes en 2020 : « Qui se doivent d’être, Régis par des normes juridiques de régulations sociopolitiques acceptées par tous, une commission électorale consensuelle, indépendante, Apolitique, un découpage électoral équilibré, la gratuité des cartes nationales d’identités, des instruments de votes fiables non programmables».

 

Voilà ! Les élections de 2020, comme ébauchée par « Dieu le grand ». Bon ! Quoi qu’il en soit, en politique, *- il est très difficile d’avoir des idées novatrices qui puissent gagner une élection ouverte réellement démocratique et pluralistes, quand toute ta cantonade t’envoie des images que tu es la plus blanche des neiges, alors que le peuples souverain voit ton extrême laideur. Oui *- il est douloureux de se redresser quand on plie depuis si longtemps sous une croyance mégalomaniaque maladive que l’on est (Dieu le grand), confiner sous les caprices du bien matériel que l’on prend pour le summum de l’humanité. *- Il est impossible de se départir de la totalité de ses petites habitudes soporifiques que l’on n’a régit en règle de vie sociopolitique. *- il est difficile décidément de prendre de la hauteur, quand on est tombée dans la bassesse des armés dans la conquête du pouvoir d’état. *- Il est impossible décidément de prendre de la grandeur, quand on arrive plus à mobiliser plus de 15% de l’électorat total dans les urnes des élections dites démocratiques. *-  Oui, il est impossible de redresser une barre déjà à terre, avec des courtisans carriéristes pathologiques et arrivistes renégats plus soucieux de leurs carrières.

 

Oui *- Comment retrouver des marques stables et tranquilles, lorsque l’instabilité s’est installée en maîtresse de (Dieu le grand), maître de la rébellion de 2002 ? *- Comment avoir le sang-froid, quand on n’a le chaud-bouillant de l’inquiétude du lendemain des élections de 2020 ? D’autant plus que le peuple qui pensait avoir un Wari-fâtchê source de bonheur à découvert en « Dieu le grand », un Djourou-fâtchê, source de misère sociale et de désolation sociétale ? *- Comment avoir le self-control absolu et la doigté dans l’action politique, quand on est désespéré de ses propres actions et de ses propres actes sociopolitiques détestées par le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir, qui le délègue par élection démocratique transparente. *- Comment avoir la maîtrise majestueuse, du dirigeant politique d’état, qui va de pair avec l’obligation d’agir avec désintérêt, jusqu’à la limite de l’humainement admissible, pour l’intérêt général et pour la paix et  avec la reconnaissance de l’autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous, quand on a une peur bleue de l’adversité démocratique et de la transparente des élections pluralistes démocratiques, et des opinons contradictoires qui en résultent ?

 

*- Questionnement pertinent citoyenne n’est-ce-pas ?  Oui impossible défi, quand les soucis majeur demeure la confiscation du pouvoir d’état pour « Dieu le grand », au mépris des droits et en dépit des règles démocratiques. Surtout la crainte du lendemain de la perte du pouvoir d’état avec ses énormes arrières casseroles puantes dans les cuisines mafieuses. Oui, la peur la crainte et l’inquiétude ce sont installé au siège de « Dieu le grand ». Oui, il n’y a plus de Route avec le pouvoir d’Alassane Ouattara, le Bordel à gagner sa république. Il faut changer de route avec des hommes fédérateurs pour la stabilité sociopolitique et à la paix. Il en va de la médecine comme de la politique. Il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. D’où  il n’y a qu’une seule et unique solution, comme toujours dit et répéter, il nous faut tous ensembles ivoiriens nous engager, pour la Décomposition -Recomposition sociopolitique salvatrice, dans un processus de fédération de toutes les forces vives régulatrices de la côte d’ivoire pour être le Gyroscope du Souverain qu’est, « l’état » et pour changer notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët  Boigny, tous ensembles avec l’opposition regroupée au  sein des plates-formes CDRP, EDS, LMP, et d’autres partis politiques tel que URD et LIDER, fondue dans une moule Orange-Blanc-Vert.

 

Oui, les choses telles qu’elles sont, avec tous ces prisonniers politiques et tous ces persécutés politiques sur le bras, le système du pouvoir Ouattara a encore la possibilité, sinon a le courage de dire péremptoirement que ; « il n’y pas de prisonniers politiques, SIC » et oser porter plainte contre des honnêtes citoyens qui s’apitoient sur le sort de ces prisonniers politiques. Ici le degré de la subtilité du système du pouvoir Ouattara est au-dessus de l’humainement acceptable. Ce système nie l’indéniable, parce que l’existence de prisonniers politiques en côte d’ivoire est la preuve tangible d’un dysfonctionnement de la démocratie réelle en côte d’ivoire sous ce pouvoir systémique. Donc, voici la définition du prisonnier politique : Pour être considérée comme « prisonnier politique » une personne doit remplir au moins un critère sur les cinq définis officiellement : *-1) détention imposée en violation des libertés fondamentales (pensée, conscience, expression, association, etc.) *-2) détention pour des raisons politiques sans rapport avec une infraction *-3) disproportion, pour des raisons politiques, entre la durée ou les conditions de détention et la gravité de l’infraction *-4) discrimination d’une personne détenue par rapport aux autres pour des raisons politiques *-5) irrégularité de la procédure de jugement pour des raisons politiques.

 

Au terme de cette définition du prisonnier politique ci-dessus largement partagée par le conseil de l’Europe. On constate clairement au terme des deuxième (2e), quatrième (4e ) et cinquième (5e ) de ses critères, que tous les prisonniers de la crise ivoirienne sont des prisonniers politiques , cela  tant que  Alassane Ouattara et ses fantassins seront en liberté, parce qu’ils détiennent le pouvoir d’état. Avons-nous déjà dit. Il est constant que dans la répression des crimes commis en côte d’ivoire, il y a manifestement  (discrimination des personnes détenues par rapport aux autres non détenues pour des raisons politiques) et il y a incontestablement (une irrégularité dans les procédures sélectives de poursuites, qui font fi, d'ignorer les criminels sous couverture du pouvoir politique d’état, pour des raisons politiques.) Aussi il est indéniable qu’un député est un homme politique, tous les faits judiciaires à connotation politique, qui le concernent sont d’ordre politiques. Toutes les questions ou affaires présentant un respect ou un caractère politique, est d’ordre politique. Mais le pouvoir d’Alassane Ouattara préoccuper par la confiscation du pouvoir d’état fait fi de l’ignorer a dessin cette réalité.

 

Parce qu’en politique, quand on perd aussi lamentablement la main, après dix « 10 » d’incapacité à résoudre une crise sociale, peut-on encore la retrouver ? Non ! Les plus grands magiciens politiques le savent, et ils vous le diront ; il est un moment dans la politique, de par votre propre fait où tout ce que vous touchez se transforme en monstre contre votre propre politique. D’où  les événements politiques vous filent entre les doigts comme un poisson silure de nos marigots et rivières. Cela  malgré vos mimiques pour faire croire aux gens que vous maitrisez quelques choses encore. Or vos actions politiques néfastes vous retournent au visage comme le sable d’une tempête du désert. Hélas ! C’est comme ça. Il est condamné à cela ce pouvoir-là, par la catastrophe qu’il a engendré dans notre chère patrie par la prise des armes contre des pouvoirs démocratiques. Cela se comprend, parce qu’en politique, il est très difficile d’avoir des idées novatrices pour la stabilité sociale et la paix pérenne, quand on est préoccupé que de la conservation de sa couronne même avec les armes fusils, ou tout au moins d’introniser un prince héritier a son image, et de faire de quelques-uns de son clan politique mafieux, de sa fratrie des multimilliardaires, pour continuer de régner en maitre absolu sur un pays devenu, un poulailler halluciné.

 

Donc, comme nous avons déjà dit: Aujourd’hui que l’ivoirien le veuille ou non, qu’il ose ou non, le combat pour le changement, est la seule solution. Ne n’oublions pas, les sociétés humaines progressent non pas de façon linéaire, mais par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre. Ceci est valable pour la société ivoirienne, si l’ivoirien doit être crédibles aux yeux du monde qui regarde, nous avons tous ensembles unies, solidaires, le devoir citoyen absolu, de mener le combat du changement de la gouvernance pour une Côte d’Ivoire ouverte, réconciliée, rassemblée, unie et prospère, par la participation harmonieuse, active et non démagogique de toutes les générations, portée par un Gouvernement d’Union Nationale pour la Réconciliation des filles et fils de notre Pays. Oui notre pays la côte d’ivoire, qui offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Oui, les crises sociopolitiques s’accumulent et le pouvoir d’Alassane Ouattara adopte toujours la même attitude : ne pas les résoudre, quand il ne les aggrave pas, sciemment pour confisqué le pouvoir. Les poursuites judiciaires téléguidées et effrénées, et la composition unilatérale de la CEI a fin de rééditer un Hold-up électoral en 2020 aux conséquences incalculables, a confirmé cette grande constante de ce pouvoir ivoirien unilatéraliste.

Donc, Il est question de s’engager résolument, pour chaque composante sociopolitique de la totalité sociale ivoirienne, chacun dans son périmètre d’évolution et d’enrôlement, à faire face à un passage en force électoral programmé, géré, calé, et bouclé. En espérant pour une fois que, le système unilatéraliste arbitraire  Alassanéen, reculera sous la pression régulatrice. C’est-à-dire une danse citoyenne qui  doit durer tant que l’exigence citoyenne demeure dans la cité citoyenne. Une danse citoyenne, qui peut passer si nécessaire, par une lutte décentralisé, chacun dans son périmètre d’évolution, dans toute l’assiette territoriale du pays en NON-STOP. Et dans cette situation citoyenne, où l’arbitraire recule ou il se dévoile comme tel, face au peuple invincible sur son terrain légitime. Oui, s’il le faut ? Il faut ça ! Pour que les 20 Ans que dure la crise ivoirienne 1999-2020 connait ça fin en 2020. Oui, Vingt Ans de crise, ça suffit ! Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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11 avril 2020 6 11 /04 /avril /2020 16:03
Lepetitfils : côte d’ivoire, qu’on ose ou non, qu’on ait le courage ou non, tous ensemble, fédéré dans une moule unique synergique, d’intérêt public, c’est possible d’obtenir des conditions consensuelles indispensables à l’organisation des élections réellement démocratiques pluralistes en 2020 : «Régis par des normes juridiques consensuelles de régulations sociopolitiques acceptées par tous, une commission électorale indépendante Apolitique, un découpage électoral équilibré, la gratuité des cartes d’identités, des instruments de votes fiables ».

Lepetitfils : côte d’ivoire, qu’on ose ou non, qu’on ait le courage ou non, tous ensemble, fédéré dans une moule unique synergique, d’intérêt public, c’est possible d’obtenir des conditions consensuelles indispensables à l’organisation des élections réellement démocratiques pluralistes en 2020 : «Régis par des normes juridiques consensuelles de régulations sociopolitiques acceptées par tous, une commission électorale indépendante Apolitique, un découpage électoral équilibré, la gratuité des cartes d’identités, des instruments de votes fiables ».

«Comme déjà dit, Citoyen ! Depuis des mois le monde n’est plus maitre de son destin de survie face à un intrus appelé Coronavirus ou COVID-19. Respectons strictement les mesures de protections prescrites par les Toubibs contre Coronavirus encore appelée COVID-19. Espérons avec eux de la science, dans le strict respect de leurs consignes prescrites. Le monde est dans les cordes. Mais, on ne lâche pas la Barre jusqu’au Bout, citoyen ! Comme dirait l’autre espérer c’est le désespoir surmonté ».Ceci étant…

 

*- Une crise quelle qu’elle soit, même COVID-19, se gère dans l’Harmonie.

 

Au moment où en Afrique des « petits » président, de certains «petits pays» font payer dans les caisses publiques de l’état les factures de l’électricité, les factures d’eaux, des vaillantes populations et surtout offrent 180000F CFA Gracieusement à chaque ménage de la composante sociale de leurs pays et qui étendent leurs altruisme étatique et leurs mansuétude de gouvernance aux Diaspora. Et à l’opposé, le pseudo-Gand président Alassane Ouattara, du pseudo-Grand pays la Côte d’ivoire, «Apetissé par la mégalomanie politique», appelle les populations ivoiriennes, Bailleurs, à réduire les loyers ou à échelonner les paiements. Ici les bailleurs sont appelé à vivre du vent pomper par la pandémie Coronavirus encore appelée COVID-19. C’est ça la réalité du pouvoir d’Alassane Ouattara. Que les populations se tiraillent, se chamaillent et s’affrontent, le pouvoir d’Alassane Ouattara qu’est la cause n’est pas intéressé ou qu’est la source n’est pas concerné par l'harmonie sociale. Oui, Alassane Ouattara qui à confisquer deux (2)  mandats de 5 ans compilés en payant chaque fois un cautionnement de 10 millions pour être candidat, relève par ordonnance présidentielle, le niveau de ce cautionnement à 50 millions pour l’élection présidentielle 2020. Ici le dessein mafieux de la création d’une ploutocratie naissante est manifeste.

 

Au surplus, le système Alassane Ouattara, la locomotive du R-?-DP, a déjà son réseau clandestin de confection de cartes nationale d’identité « CNI ». Il n’y a rien d’étonnant en cela, quand on sait qu’un de ses cooptés a lancé à la face de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, que : « le RHDP n’a pas peur de donner des pièces d’identités a des étrangers ». Donc promesse tenue. Quand le pouvoir d’Alassane Ouattara dit, il fait ce qu’il a dit. Pauvre côte d’ivoire qui l’aurait pensé. Question de foutre la merde aux autres, parce que l’argent de guerre et l’Argent du pillage systématique des richesses du pays pendant 10 ans à finit de gonfler les poches receleuses de son clan mafieux. « L’Afrique, notre Afrique doit se résoudre à penser aux enfants de l’indépendance et consorts pour sa gouvernance. Là nous sommes dans une logique de plaidoyer pour DEMAIN». Un pouvoir d’état ne peut pas exister seulement que par l’autoritarisme en justifier son existence par la simple nécessité d’entretenir les crises. Le bonheur d’un peuple commence par la stabilité, par la paix et par l’harmonie. Et sa recherche commence par les conditions consensuelles de l’organisation d’élection démocratique pluraliste conforme à la règle universelle prescrite dans des instruments juridiques internationaux. Sous l’égide d’un organisme national juste et impartial.

 

Donc l'harmonie intercommunautaire de la totalité sociale est le contraire de la nuisance mutuelle. C'est donc plus que la paix, qui n'est que la négation des conflits sociopolitiques. Donc s'intéresser à l’harmonie sociale implique d'agir sur les causes, donc, il ne suffit pas d'aspirer à l'harmonie sociale, ou de se contenter des paroles mielleuses face à tout le monde, ou même de s’efforcer de montrer une gentillesse sournoise avec tout le monde. Pour se faire, il importe de déterminer ce qui peut accroître l'harmonie intercommunautaire de la totalité sociale et ce qui peut s'y opposer à cette Harmonie. Les arrestations intempestives, les emprisonnements arbitraires, les poursuites judiciaires effrénées initiées par un pouvoir d’état, dans une logique de confiscation du pouvoir d’état, sont à l’opposé de l’harmonie sociale. En côte d’ivoire le comportement du pouvoir d’Alassane Ouattara contredit ses paroles mielleuses sur la paix sociopolitique, sur l'harmonie intercommunautaire de la totalité sociale, sur les principes du vivre en commun de partage, donc les invalides. En politique le mensonge d’état ne tient la route.

Oui, tout comme la boxe, la politique est un noble art. Donc l’arène politique loin d’être le théâtre, des grossiers mensonges et des fanfaronnades insensées est le noble lieu des débats d’idées intelligibles, des confrontations saines des arguments, des combats politiques loyaux, et des compétions électorales transparentes et consensuelles, ou chaque discours, chaque acte, est le vecteur d’une conséquence dans la totalité. D’Ou l’homme politique se doit de s’inscrire réellement dans une démarche d’éveil de la conscience politique des citoyens. Un homme politique digne de ce Nom doit tout simplement pouvoir donner un exemple d’honnêteté, dire non à la politique de l'autruche et savoir lire avec désintérêt entre les lignes. Un homme politique digne, à l’obligation de s’efforcer de connaître avec certitude la réalité scientifique des choses sociopolitiques et se montrer juste dans l'appréciation des justes réalités de ces choses. En se comportant et en agissant dans l’abandon des intérêts claniques et personnels, à la limite d’humainement admissible. Donc la politique, c'est l'art de rendre possible ce qui est d’intérêt public, d’intérêt général, et nécessaire à l'harmonie intercommunautaire de la totalité sociale.

La politique c’est la juste appréciation des réalités du moment en s’oubliant soi-même et ses intérêts personnels, au terme de ses prises de positions politiques et sociétales, qui doivent bannir tout comportement clanique assis sur des clubs de soutien ou de brigades d’acclamations à but de confiscation du pouvoir d’état. Parce qu’il est d’une constance que, le lien social est éminemment politique. Le lien social est éminemment politique avons-nous déjà dit. C’est pourquoi le lien de rattachement social atavique, le lien de rattachement territorial ancestral, des dirigeants politiques avec les peuples qu’ils gouvernent ou prétendent vouloir gouverner, doit être extrêmement solide. Le sentiment d’appartenance sociale atavique annihile les instincts de violences et de barbaries des plus forts à l’égard des plus faibles dans une société, et amène les plus forts à organiser la solidarité envers les plus faibles dans la société. Oui, la vérité historique garantie les libertés publiques mise en danger.

Oui, c’est parce que le lien social est politique qu’il faut pour la côte d’ivoire post-guerre une vraie réconciliation nationale, pour consolider les fibres du lien social ivoirien, l’harmonie communautaire ivoirienne, et la paix social en côte d’ivoire. Cela ne peut se faire que par le rafistolage du lien social ivoirien en lambeau et pour le réussir, il n’y a pas plus indiqué que, les conditions consensuelles de l’organisation des élections démocratiques pluralistes, soutenues par les normes juridiques de régulations sociopolitiques normales acceptées par tous, une commission électorale indépendante Apolitique, un découpage électoral équilibré dans mode d’attribution, la gratuité des cartes nationales d’identités pour un pays en crise, des instruments de votes fiables. Et c’est d’intérêt public. Oui, la vraie démocratie, la réelle se trouve dans l’expression du peuple, ultime détenteur du pouvoir d’état, elle ne se trouve nulle autres part ailleurs. La paix aussi à ses exigences d’intérêt général, qui proscrivent le Moi-ou-Rien et oblige d’agir avec désintérêt, jusqu’à la limite de l’humainement admissible, pour l’intérêt général et pour la paix.

« La  paix, ce n'est pas un vain  mot, c'est un comportement » a dit Félix Houphouët Boigny. Donc dans une telle situation sociopolitique préélectorale actuelle, où tous les pouvoirs institutionnels étatiques sont manifestement bâtit sur le non-droit, et en panne légalité juridique et totalement dédouanées de légitimité populaire. Sauf peut-être le pouvoir judiciaire, s’impose à l’ivoirien ici donc, la nécessaire et indispensable lutte fédératrice, pacifique, conscientisée pour nos droits et nos libertés dans le respect des différences. Donc c’est une rupture mentale entre la réalité et le rêve que cette situation demande à l’ivoirien, une sécession entre le poids de ce qui est et tout ce qui peut exister que cette situation exige de l’ivoirien. C’est ouvrir le regard vers l’avenir et revendiquer que non seulement une harmonie intercommunautaire de la totalité sociale dans une citoyenneté commune du vivre en commun paisible est possible, au prix de la lutte citoyenne synergique et assidue. Mais surtout qu’en plus, nous commençons à apprendre, à voir cette harmonie intercommunautaire de la totalité sociale dans une citoyenneté commune de partage, du vivre en commun paisible, pour le faire exister. Oui, l’harmonie sociale dans un vivre en commun paisible est la terre sur laquelle on bâtit les empires harmonieux, cohérents, paisibles.

Donc, que l’ivoirien le veuille ou non, qu’il ose ou non, le combat pour le changement, est la seule solution. Ne n’oublions pas, les sociétés humaines progressent non pas de façon linéaire, mais par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre. Ceci est valable pour la société ivoirienne, si l’ivoirien doit être crédibles aux yeux du monde, nous avons tous ensembles le devoir citoyen absolu, de mener le combat du changement de la gouvernance pour une Côte d’Ivoire ouverte, réconciliée, rassemblée, unie et prospère, par la participation harmonieuse, active et non démagogique de toutes les générations, portée par un Gouvernement d’Union Nationale pour la Réconciliation des filles et fils de notre Pays. Qui offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Oui, les crises sociopolitiques s’accumulent et le pouvoir d’Alassane Ouattara adopte toujours la même attitude : ne pas les résoudre, quand il ne les aggrave pas, sciemment pour confisqué le pouvoir. La composition unilatérale de la CEI a fin de rééditer un Hold-up électoral en 2020 aux conséquences incalculables, a confirmé cette grande constante du pouvoir ivoirien unilatéraliste, absolutiste et monarchiste.

« Or, un pouvoir d’état ne peut pas exister seulement que par l’autoritarisme en justifier son existence par la simple nécessité d’entretenir les crises comme le font les tenants actuels du pouvoir d’Alassane ». Alors il faut explorer d’autres pistes de réflexion, il faut chercher d’autres hypothèses pour comprendre ce qu’on qualifie d’emblée de dictature unilatéraliste, de l’autoritarisme. Explorer d’autres pistes, comme l’insouciance puéril, l’incompétence acquise, l’irresponsabilité dans le gestion, la légèreté dans la déduction, l’inconscience maladive, l’amateurisme politicard et la criminalité financière qui n’a ni yeux pour voir, ni oreille pour entendre ni nez pour sentir l’odeur de l’argent. Oui chercher des hypothèses, Explorer ces pistes suscitées, parce que les responsables à différents niveaux de l’organisme électoral, y compris dans les fonctions les plus élevées, ne sont plus nommés pour leur mérite, pour leurs capacités adaptées à la fonction dont ils vont occuper, ils ne sont plus nommés pour leur compétence, ou leur savoir-faire, mais ils sont nommés pour leur degré d’allégeance au palais présidentiel et leur capacité très nuisible à s’adapter à la politique d’interpénétration des affaires mafieuses dans la  politique étatiques structurée par un système politique uniquement préoccupé par les desseins de confiscation du pouvoir.

Oui, même dans la haute sphère de l’administration nationale, ces responsables d’un système politique mafieux, sont nommés pour leur capacité à trahir l’intérêt général de la totalité sociale au profit du clan politique, pour servir la table des convives nocturnes de ce système. Ils n’accèdent pas à des postes de responsabilités pour appliquer un programme au préalable présenté et défendu devant les peuple ou ses représentants par le gouvernement, ni pour travailler pour l’intérêt général, mais pour se plier aux injonctions du monarque et de leurs complices dans un système économique dirigiste et dans une politique sociale abracadabrantesque, pour pomper les deniers publics. Et se contenter de faire des fanfaronnades de flatteries dans les couloirs du palais présidentiel et dans les cercles de pouvoirs. Eh bien là-là ! Il n’y a rien d’étonnant en cela, parce qu’un pouvoir né d’une crise sociopolitique, et surtout toujours en crise sempiternelle, ne peut générer que des crises jusqu’au gouffre. Et il est d’une constance notoire incontestable, depuis que le monde des hommes est monde, que  les causes insidieuses et nébuleuses conjuguées d’une crise sociale et les concepteurs, parrains et interface, qui ont orchestré les causes de cette crise sociale ne peuvent jamais être le remède à cette même crise sociale. NON !

Donc, nous « tous » fier ivoirien, confronté à un ensemble de violations sans précédents des droits fondamentaux de la personne humaine, depuis le 24 décembre 1999, en passant par le 19 septembre 2002, jusqu’au 11 avril 2011, qui à entrainer des grands défis politiques, de cohésion sociale, d’harmonie communautaire et de paix sociopolitique, devons mener, ce nécessaire et indispensable combat fédérateur, pacifique, conscientisé, pour nos droits et nos libertés dans le respect des différences sociopolitiques légitimes. Face à ces violations graves des droits fondamentaux de la personne humaine, devenu endémique chez nous. Que seul pourrait remédier la construction d’un nouveau vivre en commun de partage solidaire soutenue par une vraie réconciliation nationale dans l’union de tous. Conforme à notre aspiration à une nation solidaire ouverte sur le monde ou tous les changements politiques seront possibles mais dans le consensus de l’harmonie sociale, dans la stabilité politique, dans la paix. Pour qu’ainsi notre organisation sociopolitique place au cœur de l’éthique démocratique les libertés individuelles, les droits fondamentaux et collectifs. Le respect de l’égalité et l’effectivité des solidarités sociales.

Afin d’ainsi mettre l’homme au centre du débat sociopolitique, et pour mettre le citoyen au cœur du débat développemental. Pour l’avènement d’une société plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire, largement ouverte sur le monde avec des citoyens épris de paix qui respectent les règles de convivialité. Donc une société ivoirienne commune et solidaire, qui admette sans faux fuyant, l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Pour une exaltation de la diversité nationale solidaire. Qui fait du respect de tous les aspects de la vie humaine régie par les valeurs que l’humanité s’est donner, la valeur fondamentale, sur laquelle doit être construite toute société, toute politique, toute économie, tout développement, toute relation entre citoyens ivoiriens, entre personnes d’origines diverses et toute relation entre nations, est un devoir absolu, pour tout ivoirien, pour tout citoyen et pour tout homme. Oui, aujourd’hui, en côte d’ivoire dans l’entendement de certains hommes politiques, la solution de la conquête du pouvoir d’état en côte d’ivoire, serait de conquérir le pouvoir à tous les prix. Oui à tous les prix, même celui des vies humaines. Donc ils coupent des têtes débordantes par-ci, ils éliminent des pions gênants par-là, ils diminuent les longueurs de bras là-bas, ils rétrécissent les largeurs de droits inaliénables de l’homme et du citoyen, des libertés fondamentales et des règles universelles à l’opposé.

 Donc se faisant ainsi, ils finiront par exhiber un résultat électoral téléguidé, truqué et ils auront gagné les jeux. Et une partie du peuple minoritaire soit-t-elle aidant, comme toujours, la combine passera comme sur des roulettes en 2020. Donc c’est le lieu de se redire ici, qu’on ose ou non, qu’on ait le courage ou non, tous ensemble, fédéré dans une moule unique d’intérêt public, synergique-ment, c’est possible, d’obtenir des conditions consensuelles indispensables à l’organisation des élections réellement démocratiques pluralistes en 2020 : «Régis par des normes juridiques consensuelles de régulations sociopolitiques normales acceptées par tous, une commission électorale indépendante Apolitique, un découpage électoral équilibré, la gratuité des cartes nationales d’identités, des instruments de votes fiables ». Et ceci est d’intérêt public. Donc ceci étant : «Comme déjà dit, Citoyen ! Depuis des mois le monde n’est plus maitre de son destin de survie. Respectons strictement les mesures de protections prescrites par les Toubibs contre Coronavirus encore appelée COVID-19. Espérons avec eux de la science, dans le strict respect de leurs consignes prescrites. Le monde est dans les cordes. Mais, on ne lâche pas la Barre jusqu’au Bout, citoyen ! Comme dirait l’autre, espérer, c’est le désespoir surmonté ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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4 avril 2020 6 04 /04 /avril /2020 18:45
Lepetitfils : En l’absence de consensus, le système de trucage Alassanéen décidera du résultat des élections de 2020. Cela avec la reconnaissance de ses soutiens internationaux monnayables. Or tout étatiste averti te le dira, quand un pouvoir d’état, n’a pu s’imposer dans le pays qu’il gouverne, que par la force du soutien militaire d’un ou de plusieurs états, ce pouvoir reste redevable a jamais à ces états dans le concert des nations. Il ne peut, ni revendiquer, ni discuter d’égal à égal, encore moins imposer quoi que ce soit, à ces états dans le concert des nations.

Lepetitfils : En l’absence de consensus, le système de trucage Alassanéen décidera du résultat des élections de 2020. Cela avec la reconnaissance de ses soutiens internationaux monnayables. Or tout étatiste averti te le dira, quand un pouvoir d’état, n’a pu s’imposer dans le pays qu’il gouverne, que par la force du soutien militaire d’un ou de plusieurs états, ce pouvoir reste redevable a jamais à ces états dans le concert des nations. Il ne peut, ni revendiquer, ni discuter d’égal à égal, encore moins imposer quoi que ce soit, à ces états dans le concert des nations.

«Citoyen ! Depuis des mois le monde n’est plus maitre de son destin de survie. Respectons strictement les mesures de protections prescrites par les Toubibs contre Coronavirus encore appelée COVID-19. Espérons avec eux de la science, dans le strict respect de leurs consignes prescrites. Le monde est dans les cordes. Mais, on ne lâche pas la Barre jusqu’au Bout, citoyen ! Comme dirait l’autre, espérer c’est le désespoir surmonté. … Ceci étant dit :

*- La côte d’ivoire a besoin d’une danse citoyenne chez pétaudière ou le capharnaüm est musicien.

Malgré tout le pouvoir d’Alassane Ouattara continu de poussé ses pions, pour la confiscation du pouvoir d’état : Passage en force autour des élections, ou il n’attend pas obtempérer face à l’injonction des purs droits, et encore moins face à interpellations soutenue de l’opposition significative, l’unilatéralisme et la force pure sont de règles. Le président Gbagbo condamné arbitrairement à 20 ans de prison, Charles Blé Goudé arbitrairement à 2O ans de prison. Tout ça c’est distribuer par le monarque, devenu justicier de service, ou la justice expéditive intempestive se dispute avec les poursuites judiciaires effrénées. « Assoa Adou, secrétaire général du FPI, convoqué ! Michel Gbagbo secrétaire général adjoint du FPI réconvoqué ! Le député Alain Lobognon et sa suite en prison ne sont plus des prisonniers politiques ? Ou quoi ? La dynamique démoniaque à roue libre fait son chemin, A-chez-nous-pays, sous le regard du peuple souverain devenu attentiste. La côte d’ivoire est sous une tension délétère, a l’approche des élections générales de 2020, surtout l’élection présidentielle de 2020. Le royaume d’Alassane Ouattara perd la boussole de la raison, du droit universelle et le bon sens dans l’exercice du pouvoir d’état. Moi ou Rien, Ma position ou Rien, mon clan de bouffe-tout ou Rien, mon schéma successoral a rotation Cyclique ou la terre brulée.

Oui, l’esprit de cour royale d’Alassane-Land devenu fou et borné autour des élections à venir, avec ses pratiques despotiques, monarchistes, démodées et passéistes. Surtout avec ses interprétations des normes juridiques insensées et ses déductions de plus en plus dangereuses des principes d’élections démocratiques et pluralistes. Le Roi renard libre à perdu le selfs-contrôle, préoccupé qu’il est, d’assurer la continuité du système, pour pouvoir couvrir les arrières casseroles très puantes, dans les cuisines mafieuses, qui risquent de changer de maitre si le clan perd le pouvoir, c’est ce qu’on appelle «A-chez-nous-pays un drap bâtard». Donc le Roi à chaud bouillant et ne veut donc rien entendre, ne veut rien voir, ne veut rien sentir, autour de la commission électorale «CEI», de la modification constitutionnelle, par un parlement pseudo-congres automate d’enregistrement, une ordonnance présidentielle dédouanée de toutes légalités, pour modifier le code électorale. Le tout avec mépris des droits, en dépit des libertés et des règles démocratiques. Le royaume Alassanéen est devenu fou, le Roi renard est Anxieux.

Oui, la conservation absolu de la couronne dans le clan est une nécessité majeure, d’où le Roi renard bien que annoncé partant, s’efforce de balisé avec son emprise despotique, le passage du prince héritier désigné, une pullule succédané, pas peut-être trop amère aux yeux du peuple ivoirien, parce que supposé connaitre la société ivoirienne à la perfection, ce qui est l’une des conditions indispensable pour mieux gouverner un peuple multi-social. Oui, les bons candidats de 2020 ce sont-ce qui ont, une parfaite connaissance de la société ivoirienne, qui ont un lien de rattachement sociétal très solide avec la société ivoirienne, et une connexion culturelle atavique infaillible avec les mœurs sociétales ivoiriennes, sans transplantation importée aucune. Oui pour gouverner la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, il faut connaitre parfaitement la totalité sociale ivoirienne au préalable, pour pouvoir bien gouverner le peuple souverain ivoirien. Mais l’héritier désigné est ainsi tributaire de casseroles puantes, et peut être auquel, il va falloir désarticuler le système antisocial, anti-droit, ostensiblement mafieux du Roi renard. Qui a manifestement achevé de mettre en place sa Fabrique de succession goupillée et rafistolée dans des normes juridiques contraire au droit réel, pour schématisé une succession à Rotation Cyclique. Bon ! Ça c’est autres débats à venir. Donc pour aujourd’hui, la chose est clair, il y a le feu à la maison, l’ivoirien doit refuser l’enfermement sectaire et partisan, le repli diviseur d’appartenance idéologiques partisane aveugle, et qu’il  doit privilégier l’union de tous dans la reconquête de la stabilité sociopolitique et de la paix pérenne en côte d’ivoire.

Aussi, les bons candidats aux élections de 2020, ce sont-ce qui porteront la parole du peuple souverain, qui a besoin de stabilité politique et de paix sociale. Cette parole qu’ils transporteront se doit de façon rigoriste d’être audibles et intelligibles pour tous, une voix compréhensible, accessible à tous, sans clanisme aucun. Donc, il faut s’allié, se rallié, se coalisé, pour l'intérêt général d'abord, et rassembler au-delà de ses appartenances idéologico-politiques. Il faut pour l’ivoirien d’absolument taire les querelles partisanes et personnelles, arrêter les divisions internes, placarder les brouilles de leadership politiques, pour montrer sa capacité réelle à faire bouger les lignes sociopolitiques dans notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Le choix des personnes en fonction de leur valeur individuelle de représentativité viendra après. Pour le moment, nous sommes déjà dans une crise préélectorale avec les désaccords tranchés sur le processus électoral, et si les choses devaient rester là, en l’état, nous allons vers une crise électorale et postélectorale en 2020. Nous tendons inexorablement vers de nouvelles contestations électorales en 2020, et la crise risque de s’aggraver pour des années. Donc, il faut se détromper dès maintenant, aucun parti politique significatif ou de gouvernement soit-il, en lui seul n’arrêtera cette dynamique démoniaque du système Alassanéen en 2020, qui aura à coup sûr ses opposant à lui accompagnateurs et validant.

Les élections de 2020 ne dépendront pas seulement des urnes. Il faut prendre conscience qu’en allant à n’importe quelle élection, on s’impose tacitement n’importe quel résultat électoral édicté et truqué. Oui, si nous prenons le risque qui sied pour obtenir les conditions légales d’une élections réellement démocratique, pluraliste, conforme à la norme internationale, la solution pour les élections de 2020, est toute trouvée pour la côte d’ivoire, avec l’alliance fédératrice d’intérêt public du PDCI de Bédié et du FPI de Laurent Gbagbo, avec l’adhésion des forces politiques ivoirienne, qui aspirent à la réconciliation, à la paix sociale, et derrière ce monde politique le soutien des plus de 86 % du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état. Donc, les combats légitimes de leaderships politiques, d’appartenance idéologique doivent pouvoir attendre l’après régulation juridico-sociopolitique avec l’acquisition certaine du pouvoir d’état dans les urnes. N’oublions pas, qu’un processus électoral, c’est un marathon tenant ou tout compte, ça doit commencer Bien au départ, pour finir bien à l’arrivée.

Même si ça ne finit pas toujours bien pour chacun des candidats en compétition, ou chacun des partis politiques ou groupement de partis politique en compétition. Et souvent, quand on espère de la sortie des colombes toutes Blanches dans les urnes, ce sont souvent les craps Poilus qui y sortent, c’est cela la vraie compétition électorale. Donc la meilleure des voies stratégiques pour voir les colombes toutes blanches sortir des urnes de 2020, est une désintéressée Coalition de tous ensembles, comme ébauchée à ce jour, qui transcende tous les rigoristes faux clivages politiques, les appartenances d’intérêt particulier, les antagonismes artificiels, la division dissolvants, pour ne retenir que la côte d’ivoire et l’intérêt général de la totalité sociale. Et ensuite, que les appartenances légitimes s’affirment après régulation sociopolitique à partir de l’acquisition du pouvoir d’état en 2020, dans l’ordre normal idéologique des partis politiques, ou par appartenance de regroupement politique. Mais ceci n’est possible qu’avec, des normes juridiques de régulations sociopolitiques consensuelles acceptées par tous, une commission électorale indépendante, un conseil constitutionnel neutre, impartial et non-redevables, capables de dire le droit, un découpage électoral équilibré, la gratuité des cartes d’identités, des instruments de votes fiables.

Au cas contraire, le système de trucage Alassanéen décidera du résultat des élections de 2020. Cela avec la reconnaissance de ses soutiens internationaux mercantilistes et monnayables. Or tout étatiste averti te le dira, quand un pouvoir d’état, n’a pu s’imposer dans le pays qu’il gouverne, que par la force du soutien militaire d’un ou de plusieurs états, ce pouvoir reste redevable a jamais à ces états dans le concert des nations. Il ne peut, ni revendiquer, ni discuter d’égal à égal, encore moins imposer quoi que ce soit, à ces états dans le concert des nations. Dès qu’il sort du pays qu’il gouverne, il se met à genou dans le concert des nations. Et c’est le peuple gouverné qui paye la note salée. Donc, à l'heure où les citoyens semblent douter de l'expression démocratique des urnes, à cause de l’arbitraire des armes, qui les couronnent souvent, ou la légitimité populaire est contestée et l'intérêt général renié, au profit souvent d'un clanisme ethno-communautariste de couverture circonstanciel soutenu par les armes. Donc ici, nos regards se tournent vers les jeunes loups, capables de se fondre dans un moule ivoire incolore, en se tenant mains dans les mains, coudes-a-coudes et côtes-a-côtes, dans un attelage hétéroclite balayeur, qui ne retient que la nation ivoirienne souveraine, sur une ligne directe sans détour. Oui, ils savent le faire, cette déferlante tricolore Orange-Blanc-Vert, « sans mange-mils saisonniers ». Ils le peuvent bien !

*- Il faut une danse chez pétaudière ou le capharnaüm kafkaïen est musicien désigné, Si ?

Donc comme nous l’avons dit dans la tribune de la semaine dernière. « Il est question de s’engager résolument, pour chaque composante sociopolitique de la totalité sociale ivoirienne, chacun dans son périmètre d’évolution et d’enrôlement, à faire face à un passage en force électoral programmé, géré, calé, et bouclé. Cela, dans toute l’assiette territoriale nationale et advienne alors que pourra. Ce qui ne serait pas impossible, pour l’opposition politique (si elle le veut bien), regroupée au  sein des plates-formes CDRP, EDS, LMP, et d’autres partis politiques tel que URD et LIDER, fondue dans une moule Orange-Blanc-Vert, d’un front de refus de toute participation sans consensus préalable au processus électoral (identification et enrôlement sur la liste électorale et carte d’identité), qui font partie intégrante des élections. Surtout après le découpage électoral, non-équilibré, qui peut aboutir à une majorité d’élus factice, les trucages de masses électoraux commencent par ceci : identification et enrôlement sur la liste électorale, carte d’identité et instrument de votes. Et se termine au lieu de centralisations des votes.

Oui, un front de refus de toute participation sans consensus préalable sur le processus électoral. En espérant pour une fois que, le système unilatéraliste arbitraire  Alassanéen, reculera sous la pression régulatrice et pourra éviter de faire le chienlit en côte d’ivoire. Une nécessité ici et maintenant pour le citoyen ivoirien, de se passe momentanément de respirer l’air fraiche, pour respirer les fumées épaisse souvent pimentés. Et qu’il s’abonne immédiatement à l’éclairage des flambeaux nocturnes, qui suffira pour la célébration du mariage sous la vibration citoyenne dans l’ordre du public et avec la chose publique. Le privé, Bien d’autrui, n’est pas concerné ici. Et que, excellence Dame Rue, opposante consensuelle et équilibriste critique, meilleure Amie des démocraties de par le monde, admette volontiers d’être le théâtre citoyen du mariage de l’Eau avec le Feu, ou le mariage n’est nullement consentie. Donc que les routes se mettent en congé, pour cèdent le droit aux barricades citoyennes.

Donc, que les patte-d ‘oies se ferment d’eux même, en invitant les pierres sans ailes à voler en escadrille comme la merde, de jour comme de nuit, en non-stop, pour que les vieux pneus crachant d’énormes fumées et par amitié citoyenne, s’invitent dans la danse chez pétaudière, ou le capharnaüm kafkaïen est musicien désigné. Que les Godassiers et  matraquiers, désespèrent de leurs Godasses et de leurs Matraques. Et si jamais par méprise, ils tuent un seul citoyen, il faut qu’ils tuent vingt millions « 20.000 » de citoyens ivoiriens, sinon la danse du mariage doit continuer. Une danse qui  doit durer tant que l’exigence citoyenne demeure dans la cité citoyenne. Une danse citoyenne, qui peut passer si nécessaire, par une lutte décentralisé, chacun dans son périmètre d’évolution, dans toute l’assiette territoriale du pays en NON-STOP. Et dans cette situation citoyenne, où l’arbitraire recule ou il se dévoile comme tel, face au peuple invincible sur son terrain legitime. Même s’il y a championnat, on le joue, pour que le couvre-feu devienne un intrus inamical ». Oui, s’il le faut ? Il faut ça ! Pour que les 20 Ans que dure la crise ivoirienne 1999-2020 connait ça fin en 2020...Ceci étant : «Citoyen ! Depuis des mois le monde n’est plus maitre de son destin de survie. Respectons strictement les mesures de protections prescrites par les Toubibs contre Coronavirus encore appelée COVID-19. Espérons avec eux de la science, dans le strict respect de leurs consignes prescrites. Le monde est dans les cordes. Mais, on ne lâche pas la Barre jusqu’au Bout, citoyen ! Comme dirait l’autre, espérer, c’est le désespoir surmonté ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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