Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
24 janvier 2021 7 24 /01 /janvier /2021 12:50
Lepetitfils : Aujourd’hui, il serait inconcevable de faire le jeu politicien du pouvoir d’Abidjan et de le donner une fausse légitimité sociopolitique inespérée, sur une  funeste tribune d’intervention politique illégale. Une tribune institutionnelle d’une pseudo-république monarchiste, à des pyromanes interventionnistes, vautours charognards, qui se sont départis et  qui ont contourné les prescriptions constitutionnelles,  pour s’imposer aux élections du 31 octobre 2020 et pour gérer les contentieux dans la même logique, qui va conduire aux législatives de Mars prochain.

Lepetitfils : Aujourd’hui, il serait inconcevable de faire le jeu politicien du pouvoir d’Abidjan et de le donner une fausse légitimité sociopolitique inespérée, sur une funeste tribune d’intervention politique illégale. Une tribune institutionnelle d’une pseudo-république monarchiste, à des pyromanes interventionnistes, vautours charognards, qui se sont départis et qui ont contourné les prescriptions constitutionnelles, pour s’imposer aux élections du 31 octobre 2020 et pour gérer les contentieux dans la même logique, qui va conduire aux législatives de Mars prochain.

*- Le peuple ivoirien n’est plus spectateur.

En politique la technocratie que l’on retrouve tout temps dans les discours vaut peu de chose, sinon est un leurre en politique, en absence de la concordance avec la volonté du peuple, et de la préservation des intérêts de la totalité sociale dans l’Anticipation de l’avenir du peuple dans le temps, soutenue par la connaissance parfaite de la totalité sociale, que l’on dirige, ou prétend vouloir diriger. La politique c’est la saine appréciation des choses du moment. D’où il faut faire ou dire les choses à leurs justes moments indiqué par la raison. Donc ne pas retarder l’échéance des choses au risque d’en payer le prix fort, et ne pas se hâter pour anticiper les choses au risque de se compliquer la situation à l’extrême. La politique n’est ni Normal-Sup, ni UFR, en d’autre terme, ni la Fac, ni science-Po. C’est un concours, un jeu de représentativité, au terme duquel se joue le destin de la nation, le destin de tous et le destin de chacun, avec le peuple souverain comme seul réfèrent de la volonté populaire. Le peuple libre, dont sa souveraineté le condamne à vie à la versatilité, qui par conséquent choisi une voie sociétale, avec un homme ou avec des hommes, parmi de multiples autres voies a lui proposé par de multiples autres hommes. D’où tout le pouvoir ressort du peuple, d’où tout le pouvoir s’acquiert par le consentement du peuple, et d’où tout le pouvoir d’état est pour le peuple. Ce peuple souverain veut voir ses griefs sociétaux soldés dans l’action politique des hommes politiques ou des dirigeants politiques, au cas contraire la facture n’attend jamais demain. Et la politique source de la répugnance de l’action politique par le peuple paye toujours la facture cash.

Disons-le, si l’on s’en tient à l’actuel engouement des acteurs politiques de l’opposition ivoiriennes pour aller aux élections législatives à venir, le système de confiscation du pouvoir d’Alassane Ouattara, a réussi déjà son pari, celui de disqualifier la lutte citoyenne contre le troisième Mandat d’Alassane Ouattara. Or le peuple souverain ivoirien milite pour le nécessaire arrêt de cette dynamique démoniaque, pour que la politique, ce noble art qui conduit à l’exercice légal du pouvoir d’état, cesse de Rimer avec l’hécatombe. Ce peuple qui n’est plus simple spectateur ne suivra pas. Donc le peuple qui n’a pas une position fixée au mépris de sa volonté de la totalité sociale et de l’intérêt général, fera payer toutes contraventions à sa volonté. Le peuple à le devoir de rééquilibrer la balance sociopolitique, le système de la représentativité nationale, et la mesure de valeur social, qui ne doit pas être Dieu l’Argent ou les armes. Autrement dit : «On doit rester debout et continuer la lutte jusqu’à la victoire finale», On est condamné à aller au bout jusqu'à la victoire car l'objectif final est le salut pour notre Nation. Une Nation où la vie est respectée, une Nation où les lois sont respectées, une Nation où la guerre n'existe pas». Oui, personne d’autre, ni même un Dieu, ne viendra résoudre de façon magique, les problèmes sociopolitiques de la côte d’ivoire, en lieu et place des citoyens ivoiriens eux-mêmes. Ce qui signifie que la crise risque de s’aggraver, qu’elle n’est pas derrière nous, qu’elle est à nos côté, et qu’il faut absolument l’affronté de face et en face.

Oui, les mêmes causes produisent les mêmes effets. Le pouvoir du système d’Alassane Ouattara aura belle et bien sa majorité parlementaire, au mépris de la majorité circonstancielle de l’opposition ivoirienne et en dépit de l’exigence des principes et règles des élections propres et transparentes. Avec les mêmes travers politiques d’Animosité, d’un pouvoir déviant marqué par le seau indélébile du sang humain versé. Quoi de plus normal, une culotte trouée est toujours indispensable au pouvoir d’Alassane Ouattara, face à l’arbre de la transparence. Oui, ce pouvoir aux aguets de son piège, d’entrainer l’adversaire sur un ring, aux tapies glauques, et visqueux pour l’assommer d’un vilain coup au bas de la ceinture. Avant qu’il ne s’en plaint de l’état du tapis, pour assurer ses arrières casseroles notoirement puantes. Il a réussi à attirés ou trimbalés malgré tout l’opposition ivoirienne dans son engrenage. La tâche de l’opposition devient de plus en plus difficile et compliquée, les élections législatives ont réanimés, les appétits carriéristes, qui se manifestent sporadiquement au mépris de tous ensemble et en dépit du danger sociétal réel à combattre tous unis. Donc de toute évidence, il en résultera dans ce choix électoral d’aller aux élections législatives, de dangereux ressentiments susceptibles de fragmenter encore plus la cohésion sociale. Donc, l’opposition ivoirienne, a été/est entrainée Habilement vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers une soumission seigneuriale au monarque Alassane. Et à cette vitesse de versatilité politique dans l’action de régulation sociopolitique saccadée, cela ne saurait tarder, face à l’habilité du pouvoir.

 

Même si cette opposition ivoirienne unie toutes tendances confondues, bien que largement majoritaire, (85% à 90%) de l’électorat total, ne peut aucunement espérer sortir majoritaire au parlement et ensuite au congrès au terme des élections législatives. Qui sont une adhésion tacite au processus électoral dans son entièreté y compris l’élection présidentielle du 31 octobre, qui acquiert sa légitimité. L’opposition paiera très chère au terme des élections législatives, le fait de s’être accommode de l’imposture de non-droit du 31 octobre 2020, en participant à ces élections législatives. Parce que l’électorat ne suivra pas, non ! Il ne suivra pas, parce qu’aujourd’hui, les citoyens ivoiriens en ont marre, de se sentir privé des droits inaliénables avec la force par un pouvoir. Et qu’ils n’ont pas droit d’être cités, chez eux dans leurs pays, qu’ils n’ont aucune importance dans la vie sociopolitique ivoirienne. Qu’ils peuvent être écrasés dans leurs vies physiques, dans leurs droits, dans leurs libertés, au vu et au su de tout le monde. Que le pouvoir monarchique et absolutiste, ne les écoute pas autour de la chose publique, leurs biens communs, qu’ils comptent moins et très peu, face aux intérêts politiques, qui ont déjà sciemment occultés les crimes des soudards d’Alassane Ouattara, pendant les élections présidentielles du 31 octobre 2020.

 

En somme, les citoyens ivoiriens ont bien compris, que les élections sont la condition certes nécessaire à la démocratie réelle participative ou chaque citoyen participe à la vie publique de son pays, mais qu’elle n’est pas suffisante pour la réalisation d’une société véritablement démocratique. Avec en face un pouvoir monarchiste et absolutiste, accroché à ses intérêts personnels égocentriques, égoïstes, ostensiblement assis sur la force des armes « fusils ». Surtout soutenu par une mafia internationale aux intérêts condescendants. Oui, les citoyens ivoiriens ont bien compris, que dans un système partial, mafieux, érigé en organisme électoral et en juge des élections dans leurs pays la côte d’ivoire, qu’ils ne peuvent rien changé en votant. Parce qu’ils ont aussi compris les ivoiriens, que ce n’est pas en votant dans n’importe quel système électoral partial, inféodé et dépendant d’un pouvoir déviant et arbitraire, qui considère la chose publique comme son bien privé, qu’ils s’affirmeront citoyens libres. Oui, que dans ce système mafieux, qu’ils ne pèseront pas davantage sur les choix de société, qu’ils veulent vivre en commun. C'est-à-dire une société harmonieuse, une société cohérente, une société stable, une société paisible, dans le respect mutuel et dans l’exaltation de la diversité solidaire, qui est leur rêve commun de toujours.

 

Oui, les citoyens ivoiriens ont compris qu’aujourd’hui plus que jamais, il est question de prendre conscience que la côte d’ivoire, n’est plus un état républicain de droit, mais plutôt une monarchie républicaine hybride et débridée. Dans laquelle l’armée républicaine dégommée par des fantassins, devenue l’armée royale, n’obéit qu’au pseudo-monarque républicain et à sa cour royale, tout en méprisant le peuple souverain devenu sujet du Roi. Ce peuple méprisé par conséquence doit avoir le comportement qui sied à cette situation, pour se libéré ou s’aider à se faire libéré par le monde civilisé, des vrais états républicains de droit. Cela peu importe le temps nécessaire a la lutte soutenue et constante de libération à cette fin.  D’autres peuples l’ont fait malgré les fusils, dont le Mali de «Moussa Traoré», l’une des révolutions les plus référentielles d’Afrique noir. Où les détonations des armes, étaient une invite aux jeunes révoltés, qui se ruaient vers les lieux de détonations des armes, en criant «Mârfâ-kân-bê-yan-fê», les fusils parlent là-bas ! Oui, Citoyen ! Fusils contre peuple, s’est force contre force. Ils n’avaient pas d’autres choix, ces jeunes martyrs Maliens aux droits et libertés confisqués. Puisque dans un état républicain de droit, auquel le peuple ivoirien aspire, l'arme toute puissante au moyen de laquelle on arrive à conquérir toutes les libertés et à réaliser tous les progrès, c'est la démocratie du suffrage universel. Or dans une pseudo-monarchie républicaine, «comme celui d’Alassane Ouattara», on n'arrive à se débarrasser d'un maître, oppresseur et d’un despote injuste, qu'au moyen d'une vraie révolution citoyenne électrique, malheureusement dans ce cas, les armes «fusils» d’une meute de soudards devient souvent, l'instrument de la délivrance populaire.

 

Oui, Aujourd’hui refusons la politique de l’absurde, récusons les armes en politique, qui est la politique criminelle, qui ne dessine pas l’horizon d’un avenir commun et meilleur pour les citoyens, mais qui le met en danger. Nous devons donc, tous ensembles, redéfinir la notion de nation une et indivisible garantissant droits, libertés, justice juridique et sociale pour tous et la notion de démocratie dans un sens universaliste, comme la politique mise au service de l’organisation sociale, de l’exercice du pouvoir d’état, du gouvernement des hommes, dans un état et au sein d’une société organisée. La politique au service de la patrie de la citoyenneté commune, du vivre en commun de partage. Selon et en fonction du droit, de la liberté, de la justice juridique et sociale. «Bon ! Peut-être, que ça devient compliquer avec 20 ans, «24 décembre 1999 à janvier 2021» de recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitique, mais Rêvons de Demain. Donc disons peut être demain, certainement Demain, sans faute Demain. Oui espérons de Demain, Il fera jour Demain, on sera Demain. Tous ensembles, moulés dans le système de la démocratie électorale, qui cadre avec le principe du pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple, nous allons conquérir notre paix sociopolitique. Nous allons vaincre sans faute, les sataniques forces rétrogrades du mal, qui violent les règles préétablies du droit et de la démocratie afin de domination sociopolitique. Oui, ce Demain adviendra contre vent et marée, parce que, confiné dans la loi de la jungle, le peuple ivoirien à l’instar de tous les peuples souverains du monde, ne peut avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature. Donc avec cette force universelle inhérente à tous les peuples, espérons tous ensembles de demain. Demain ! C’est encore permis après 20 ans de luttes soutenues pour la paix».

 

Donc Demain, la Bouffe risque d’être amère un jour, pour tourner à la malbouffe et à la colique. Parce que, nul pouvoir d’état même assis sur les armes «fusils» ne peut durablement gouverner un peuple, s’il n’est pas soutenu par l’autorité morale qui résulte de la croyance du peuple en sa légalité juridique et en sa légitimité démocratique et électorale. Sans ces conditions il ne s’imposerait jamais aux citoyens libres dignes de ce Nom. Donc la Bouffe risque d’être amère un jour, pour tourner à la malbouffe et à la colique. Parce que, le peuple ivoirien qui n’est plus un simple spectateur dans la vie politique de son pays, ne suivra pas, de façon moutonnière et panurgiste. Le peuple ivoirien a pris conscience dans la lutte contre le troisième mandat d’Alassane Ouattara, qu’il est une force imbattable, mais pour le moment éparpillée et mal orientée. Oui, aujourd’hui, il serait inconcevable de faire le jeu politicien du pouvoir d’Abidjan et de le donner une fausse légitimité sociopolitique inespérée sur une  tribune d’intervention politique légale. Une tribune institutionnelle d’une pseudo-république monarchiste, à des pyromanes interventionnistes, vautours charognards, qui se sont départis et  qui ont contourné les prescriptions constitutionnelles,  pour s’imposer aux élections du 31 octobre  2020 et pour gérer les contentieux dans la même logique, qui va conduire aux élections législatives de Mars prochain. Oui, les élections législatives de Mars prochain, qui ressortissent de la volonté abstraite d’un homme politique et d’un groupe d’hommes politiques soucieux d’arrivée à leurs fins de dominations néo-monarchiste hybride, débridé ou à une ploutocratie naissante, par des élections vidées de toutes essences démocratiques et exonérées de tous droits et toutes règles universelles. Non ! Le souverain ne suivra pas, au mépris de ses plus de 150 Morts. Oui le peuple ne suivra pas ! Ne suivra pas ! PAS ! Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : Le blog de Lepetitfils Da Candy
  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
  • Contact

Profil

  • dacandylepetitfils
  • DA CANDY LEPETITFILS:
Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...
  • DA CANDY LEPETITFILS: Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...

Texte Libre

Recherche

Catégories

Liens