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17 avril 2020 5 17 /04 /avril /2020 14:42
Lepetitfils : La côte d’ivoire, offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Oui, les crises sociopolitiques s’accumulent et le pouvoir d’Alassane  adopte toujours la même attitude : ne pas les résoudre, quand il ne les aggrave pas, sciemment pour confisqué le pouvoir. Les poursuites judiciaires téléguidées et effrénées, et la composition unilatérale de la CEI a fin d4Hold-up électoral en 2020 a confirmé cette constante.

Lepetitfils : La côte d’ivoire, offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Oui, les crises sociopolitiques s’accumulent et le pouvoir d’Alassane adopte toujours la même attitude : ne pas les résoudre, quand il ne les aggrave pas, sciemment pour confisqué le pouvoir. Les poursuites judiciaires téléguidées et effrénées, et la composition unilatérale de la CEI a fin d4Hold-up électoral en 2020 a confirmé cette constante.

«Nous avons le devoir de satisfaire à la routine d’intérêt général, Citoyen ! Depuis des mois le monde n’est plus maitre de son destin de survie face à un intrus appelé Coronavirus ou COVID-19. Respectons strictement les mesures de protections prescrites par les Toubibs contre Coronavirus ou COVID-19. Espérons avec eux de la science, dans le strict respect de leurs consignes prescrites. Le monde est dans les cordes. Mais, on ne lâche pas la Barre jusqu’au Bout, citoyen ! Comme dirait l’autre espérer c’est le désespoir surmonté, donc pas relâchement ».

 

Disons ici entre Guillemet : qu’un pouvoir d’état sérieux n’élargie pas sa «mansuétude» sur le droit de propriété privé des tiers « pas d’augmentation de loyers », est compréhensible, parce que le locataire doit avoir l’espace nécessaire de se trouver un logement, s’il n’y est pas d’accord avec l’augmentation, mais le confinement le rend difficile. Mais « pas d’expulsion de locataires » est une invite et une incitation des locataires au non-paiement des loyers propriété privé et investissement privé des tiers. «Pas d’expulsion de locataires» comme si le pouvoir d’état avait construit les maisons des citoyens honnêtes, qui n’ont pas accès aux biens publics, comme les gouvernants voleurs. « Si tu te prends pour altruiste, tu payes les loyers a la place des locataires, et tout le monde applaudi ». Même si, l’une de nos visions demeure que : C’est en organisant la solidarité réelle et agissante envers les plus Faibles que la société des hommes devient Humaine, mais quand on veut la paix, et l’Harmonie entre les Gens, on ne doit pas, on ne peut pas gérer une crise, même de « Coronavirus ou COVID-19 » avec le non-respect des droits de propriété d’autrui. Comme l’a dit le conseil des droits de l’homme des Nations Unies, la crise doit se gérer dans le respect strict des droits de l’Homme. Oui, la floraison des constructions immobilières suite aux blanchiments de l’Argent de la guerre et des pillages systématiques des ressources naturelles et économiques du pays, ont fait que l’immobilier n’est plus considéré comme un investissement en côte d’ivoire. Bien Avant la crise « Coronavirus-COVID-19 », même certains Magistrats disent légèrement, que c’est une affaire de Maisons ou tout le droit est de soutenir les locataires, souvent qu’ils invitent au terme d’une ordonnance délibérée, à aller verser les loyers au greffe de leurs tribunaux, que les propriétaires le veulent ou non. Le greffe devient propriétaire désigné. Le pouvoir d’Alassane Ouattara est un pouvoir voyou, un banditisme à ciel ouvert, un fichu clan peuplé de politicardes, de bouffe-tout qui vivent de vols dans les caisses publiques d’un état policier et de défenestration de l’économie d’un état devenu voyou. Ceci étant : citoyen ! « Revenons à l’Esperance nouvelle ».

 

*-CHRONIQUE: En attendant que le soleil se lève, vive «Dieu le grand ».             

 

L’ingratitude du système politique Alassanéen en en côte d’ivoire est au-dessus de l’humainement acceptable, avons-nous déjà dit. Mais voilà nous commençons à comprendre les causes de cette ingratitude pathologique maintenant. Parce qu’il nécessite de composer dans ce cas avec la mentalité docile du peuple gouverner. Eh oui, nous voyons tous les jours l’orchestration de cette composition subtile et habile avec la mentalité docile du peuple ivoirien. Pour lequel «peuple» la croyance semble être qu’une fois le pouvoir politique d’état acquit, peu importe la manière, le détenteur du pouvoir  devient subitement « Dieu le grand », face auquel, il s’assigne, se résigne, à la prosternation, à la courbette, à la génuflexion, au griotisme pour certain de pouvoir manger. Donc c’est le discours flatteur en espérant des postes et des titres pour d’autres. C’est le reniement de soi pour des cooptées bouffe-tout et pire c’est le reniement de son substrat politique et de ceux avec qui on avait hier composé hier de façon orthodoxe, c’est donc le reniement de ceux, à qui on doit tout dans la vie politique.

 

C’est à cause de ce qui précède ci-dessus dénoncé, que le pouvoir d’Alassane Ouattara passe en force, repasse en force, et passe toujours en force, la mentalité docile du peuple ivoirien aidant. Oui, c’est une exigence de l’escroquerie morale et intellectuelle, que de composer avec la mentalité docile du peuple gouverné. Que l’on veut non pas servir, mais plutôt asservir, pour se servir dans les deniers publics, pour piller les richesses et les ressources naturelles souveraines du pays gouverné, en espérant d’une ploutocratie dynastique au bout du rouleau, et ce serait conforme à la mentalité du peuple qui y est disposé. Oui, une ploutocratie dynastique au bout du rouleau, parce que le bien matériel pillé des caisses publiques et défénestré de l’économie nationale serait au rendez-vous. Alors ce serait le bonjour résigné à la nouvelle ploutocratie éclose sous nos yeux en 2010. Un bonjour à la dynastie atavique-ment tant espérer éclose elle aussi sur un terreau fertile a sa croissance sous nos yeux durant 20 Ans de crise, Argents de la guerre et 10 Ans de pillage des caisses publiques de l’état et de défénestration de l’économie nationale, au terme d’une gestion économique dirigiste, criminelle et mafieuse.

 

Oui et ça ne peut être autrement ; avons-nous déjà dit a d’autre occasion que ; Depuis 1989-1990 date à laquelle « Dieu le grand » a été imposé au vieux et parachuté à la faveur de la conjoncture économique à l'exigence des institutions financières internationales dans l'arène politique ivoirienne au mépris du plan Comoé. Il n'a eu que suffisance, dédain, et mépris pour le peuple ivoirien atavique. « Privatisation en outrance des biens publics et introduction des cartes de séjours etc.» Ce sont, cette suffisance, ce dédain, et ce mépris pour le peuple ivoirien désormais, qui explique les arrestations à volonté, les poursuites sélectives dites judiciaires. C’est ça la vérité ! Sinon « Dieu le grand » allait se faire un peu de soucis, pour éviter à faire ébranler le nouveau système politique condescendant, qu'il dirige en se frottant trop brutalement à cette occasion à une opposition, à des individus ou des groupes politiques ayant conservé un certain pouvoir sociopolitique pouvant attiser en nouveau les braises et cendres du conflit sociopolitique armé, que l'on vient tout juste de laisser derrière et qui l’a porté au pouvoir.

 

Oui, « Dieu le grand » ne peut pas explorer dans la crise sociopolitique ivoirienne « le asseyons et discutons ». Ce confluent du dialogue d’Afrique noire et ce concept qui a construit une mythologie justificatrice sur la justice non pénale en Afrique noire et singulièrement sur les terres de nos aïeux par la pratique de nos ancêtres aujourd’hui dénommée côte d'ivoire. Comment « Dieu le grand » peut-il agir autrement que par la loi de la jungle et de se conduire en renard libre dans le poulailler libre, en renard hallucinant dans le poulailler halluciner, quand certaines supposées victimes de « sa révolution des œillets » de son coups d’état de 1999, sont aujourd'hui devenu ses principaux soutiens inconditionnels et les avales de tous ses travers politiques d'animosité… Non !!! « Dieu le grand », ne peut pas avoir d'égard pour le peuple ivoirien atavique devenu plus que docile a ses errements de ballon de basket, parce trop sûr de son fait « la passivité générale et l’inertie de tous ». Mais aujourd’hui le peuple ivoirien martyrisé semble s’être inscrit dans une autre posture, face à un nouveau passage en force programmé pour 2020. Et le système politique de « Dieu le grand », semble avoir perdue ses marques rassurantes. La réconciliation nationale, la stabilité politique, l’Harmonie intercommunautaire et la paix sociale, ne font plus parti de préoccupations de « Dieu le grand ». La couronne mal acquit en 2010 est remise en danger.

 

Donc, la seule chose qui le préoccupe reste la conservation absolu de la couronne dans le clan, est une nécessité majeure pour « Dieu le grand », bien qu’annoncé partant, il s’efforce de balisé avec son emprise despotique, le passage du prince héritier désigné, une pullule succédané, pas peut-être trop amère en temps normal aux yeux du peuple ivoirien, parce que supposé connaitre la société ivoirienne à la perfection, ce qui est l’une des conditions indispensable pour mieux gouverner un peuple multi-social. Mais ici l’héritier désigné tributaire des casseroles puantes, peu catholique, et peut être auquel héritier, il va falloir désarticuler, le système antisocial, anti-droit et mafieux de « Dieu le grand », qui a manifestement achevé de mettre en place sa Fabrique de succession goupillée et rafistolée dans des normes juridiques contraire au droit réel, pour schématisé une succession à Rotation Cyclique. Une Fabrique de succession goupillée et rafistolée dont schéma proscrit toute élection réellement démocratique et pluraliste, avec des conditions consensuelles d’organisation de ces  élections démocratiques pluralistes en 2020 : « Qui se doivent d’être, Régis par des normes juridiques de régulations sociopolitiques acceptées par tous, une commission électorale consensuelle, indépendante, Apolitique, un découpage électoral équilibré, la gratuité des cartes nationales d’identités, des instruments de votes fiables non programmables».

 

Voilà ! Les élections de 2020, comme ébauchée par « Dieu le grand ». Bon ! Quoi qu’il en soit, en politique, *- il est très difficile d’avoir des idées novatrices qui puissent gagner une élection ouverte réellement démocratique et pluralistes, quand toute ta cantonade t’envoie des images que tu es la plus blanche des neiges, alors que le peuples souverain voit ton extrême laideur. Oui *- il est douloureux de se redresser quand on plie depuis si longtemps sous une croyance mégalomaniaque maladive que l’on est (Dieu le grand), confiner sous les caprices du bien matériel que l’on prend pour le summum de l’humanité. *- Il est impossible de se départir de la totalité de ses petites habitudes soporifiques que l’on n’a régit en règle de vie sociopolitique. *- il est difficile décidément de prendre de la hauteur, quand on est tombée dans la bassesse des armés dans la conquête du pouvoir d’état. *- Il est impossible décidément de prendre de la grandeur, quand on arrive plus à mobiliser plus de 15% de l’électorat total dans les urnes des élections dites démocratiques. *-  Oui, il est impossible de redresser une barre déjà à terre, avec des courtisans carriéristes pathologiques et arrivistes renégats plus soucieux de leurs carrières.

 

Oui *- Comment retrouver des marques stables et tranquilles, lorsque l’instabilité s’est installée en maîtresse de (Dieu le grand), maître de la rébellion de 2002 ? *- Comment avoir le sang-froid, quand on n’a le chaud-bouillant de l’inquiétude du lendemain des élections de 2020 ? D’autant plus que le peuple qui pensait avoir un Wari-fâtchê source de bonheur à découvert en « Dieu le grand », un Djourou-fâtchê, source de misère sociale et de désolation sociétale ? *- Comment avoir le self-control absolu et la doigté dans l’action politique, quand on est désespéré de ses propres actions et de ses propres actes sociopolitiques détestées par le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir, qui le délègue par élection démocratique transparente. *- Comment avoir la maîtrise majestueuse, du dirigeant politique d’état, qui va de pair avec l’obligation d’agir avec désintérêt, jusqu’à la limite de l’humainement admissible, pour l’intérêt général et pour la paix et  avec la reconnaissance de l’autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous, quand on a une peur bleue de l’adversité démocratique et de la transparente des élections pluralistes démocratiques, et des opinons contradictoires qui en résultent ?

 

*- Questionnement pertinent citoyenne n’est-ce-pas ?  Oui impossible défi, quand les soucis majeur demeure la confiscation du pouvoir d’état pour « Dieu le grand », au mépris des droits et en dépit des règles démocratiques. Surtout la crainte du lendemain de la perte du pouvoir d’état avec ses énormes arrières casseroles puantes dans les cuisines mafieuses. Oui, la peur la crainte et l’inquiétude ce sont installé au siège de « Dieu le grand ». Oui, il n’y a plus de Route avec le pouvoir d’Alassane Ouattara, le Bordel à gagner sa république. Il faut changer de route avec des hommes fédérateurs pour la stabilité sociopolitique et à la paix. Il en va de la médecine comme de la politique. Il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. D’où  il n’y a qu’une seule et unique solution, comme toujours dit et répéter, il nous faut tous ensembles ivoiriens nous engager, pour la Décomposition -Recomposition sociopolitique salvatrice, dans un processus de fédération de toutes les forces vives régulatrices de la côte d’ivoire pour être le Gyroscope du Souverain qu’est, « l’état » et pour changer notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët  Boigny, tous ensembles avec l’opposition regroupée au  sein des plates-formes CDRP, EDS, LMP, et d’autres partis politiques tel que URD et LIDER, fondue dans une moule Orange-Blanc-Vert.

 

Oui, les choses telles qu’elles sont, avec tous ces prisonniers politiques et tous ces persécutés politiques sur le bras, le système du pouvoir Ouattara a encore la possibilité, sinon a le courage de dire péremptoirement que ; « il n’y pas de prisonniers politiques, SIC » et oser porter plainte contre des honnêtes citoyens qui s’apitoient sur le sort de ces prisonniers politiques. Ici le degré de la subtilité du système du pouvoir Ouattara est au-dessus de l’humainement acceptable. Ce système nie l’indéniable, parce que l’existence de prisonniers politiques en côte d’ivoire est la preuve tangible d’un dysfonctionnement de la démocratie réelle en côte d’ivoire sous ce pouvoir systémique. Donc, voici la définition du prisonnier politique : Pour être considérée comme « prisonnier politique » une personne doit remplir au moins un critère sur les cinq définis officiellement : *-1) détention imposée en violation des libertés fondamentales (pensée, conscience, expression, association, etc.) *-2) détention pour des raisons politiques sans rapport avec une infraction *-3) disproportion, pour des raisons politiques, entre la durée ou les conditions de détention et la gravité de l’infraction *-4) discrimination d’une personne détenue par rapport aux autres pour des raisons politiques *-5) irrégularité de la procédure de jugement pour des raisons politiques.

 

Au terme de cette définition du prisonnier politique ci-dessus largement partagée par le conseil de l’Europe. On constate clairement au terme des deuxième (2e), quatrième (4e ) et cinquième (5e ) de ses critères, que tous les prisonniers de la crise ivoirienne sont des prisonniers politiques , cela  tant que  Alassane Ouattara et ses fantassins seront en liberté, parce qu’ils détiennent le pouvoir d’état. Avons-nous déjà dit. Il est constant que dans la répression des crimes commis en côte d’ivoire, il y a manifestement  (discrimination des personnes détenues par rapport aux autres non détenues pour des raisons politiques) et il y a incontestablement (une irrégularité dans les procédures sélectives de poursuites, qui font fi, d'ignorer les criminels sous couverture du pouvoir politique d’état, pour des raisons politiques.) Aussi il est indéniable qu’un député est un homme politique, tous les faits judiciaires à connotation politique, qui le concernent sont d’ordre politiques. Toutes les questions ou affaires présentant un respect ou un caractère politique, est d’ordre politique. Mais le pouvoir d’Alassane Ouattara préoccuper par la confiscation du pouvoir d’état fait fi de l’ignorer a dessin cette réalité.

 

Parce qu’en politique, quand on perd aussi lamentablement la main, après dix « 10 » d’incapacité à résoudre une crise sociale, peut-on encore la retrouver ? Non ! Les plus grands magiciens politiques le savent, et ils vous le diront ; il est un moment dans la politique, de par votre propre fait où tout ce que vous touchez se transforme en monstre contre votre propre politique. D’où  les événements politiques vous filent entre les doigts comme un poisson silure de nos marigots et rivières. Cela  malgré vos mimiques pour faire croire aux gens que vous maitrisez quelques choses encore. Or vos actions politiques néfastes vous retournent au visage comme le sable d’une tempête du désert. Hélas ! C’est comme ça. Il est condamné à cela ce pouvoir-là, par la catastrophe qu’il a engendré dans notre chère patrie par la prise des armes contre des pouvoirs démocratiques. Cela se comprend, parce qu’en politique, il est très difficile d’avoir des idées novatrices pour la stabilité sociale et la paix pérenne, quand on est préoccupé que de la conservation de sa couronne même avec les armes fusils, ou tout au moins d’introniser un prince héritier a son image, et de faire de quelques-uns de son clan politique mafieux, de sa fratrie des multimilliardaires, pour continuer de régner en maitre absolu sur un pays devenu, un poulailler halluciné.

 

Donc, comme nous avons déjà dit: Aujourd’hui que l’ivoirien le veuille ou non, qu’il ose ou non, le combat pour le changement, est la seule solution. Ne n’oublions pas, les sociétés humaines progressent non pas de façon linéaire, mais par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre. Ceci est valable pour la société ivoirienne, si l’ivoirien doit être crédibles aux yeux du monde qui regarde, nous avons tous ensembles unies, solidaires, le devoir citoyen absolu, de mener le combat du changement de la gouvernance pour une Côte d’Ivoire ouverte, réconciliée, rassemblée, unie et prospère, par la participation harmonieuse, active et non démagogique de toutes les générations, portée par un Gouvernement d’Union Nationale pour la Réconciliation des filles et fils de notre Pays. Oui notre pays la côte d’ivoire, qui offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Oui, les crises sociopolitiques s’accumulent et le pouvoir d’Alassane Ouattara adopte toujours la même attitude : ne pas les résoudre, quand il ne les aggrave pas, sciemment pour confisqué le pouvoir. Les poursuites judiciaires téléguidées et effrénées, et la composition unilatérale de la CEI a fin de rééditer un Hold-up électoral en 2020 aux conséquences incalculables, a confirmé cette grande constante de ce pouvoir ivoirien unilatéraliste.

Donc, Il est question de s’engager résolument, pour chaque composante sociopolitique de la totalité sociale ivoirienne, chacun dans son périmètre d’évolution et d’enrôlement, à faire face à un passage en force électoral programmé, géré, calé, et bouclé. En espérant pour une fois que, le système unilatéraliste arbitraire  Alassanéen, reculera sous la pression régulatrice. C’est-à-dire une danse citoyenne qui  doit durer tant que l’exigence citoyenne demeure dans la cité citoyenne. Une danse citoyenne, qui peut passer si nécessaire, par une lutte décentralisé, chacun dans son périmètre d’évolution, dans toute l’assiette territoriale du pays en NON-STOP. Et dans cette situation citoyenne, où l’arbitraire recule ou il se dévoile comme tel, face au peuple invincible sur son terrain légitime. Oui, s’il le faut ? Il faut ça ! Pour que les 20 Ans que dure la crise ivoirienne 1999-2020 connait ça fin en 2020. Oui, Vingt Ans de crise, ça suffit ! Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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