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19 novembre 2020 4 19 /11 /novembre /2020 18:32
Lepetitfil : Oui il y a absolument matière à combat à mort, pour que le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il n’y a point de développement, le respect de la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par le père de la nation Felix Houphouët Boigny, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays. Combat à mort ! Et de maintenir le cap jusqu'à la victoire finale.

Lepetitfil : Oui il y a absolument matière à combat à mort, pour que le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il n’y a point de développement, le respect de la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par le père de la nation Felix Houphouët Boigny, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays. Combat à mort ! Et de maintenir le cap jusqu'à la victoire finale.

*- Le cheval à enfourcher, et la distance à parcourir bien déterminée.

 

Alassane Ouattara ne pouvait pas  ouvrir le jeu politique a tous égaux en droit, il ne pouvait pas parler avec l’opposition ivoirienne avant l’exécution de Son passage en force électoral, mais celui-ci étant exécuter avec maestria. Voici un extrait de l’onirisme d’Alassane Ouattara : « Il faut qu'on se parle, il faut arrêter ça », « Nous devons continuer à vivre ensemble dans la paix », avec moi Alassane Ouattara comme président de la république. Le «pardon mutuel et la tolérance dans les décombres de plus de 150 morts» quoi ! C’est ça la paix en côte d’ivoire. Sinon c’est la terre brulée en côte d’ivoire sans moi Alassane Ouattara président de la république. Donc «Pour tous ceux qui se font des idées sur une transition, ils peuvent toujours rêver : il n'y aura pas de transition en Côte d'Ivoire !». Ici c’est très clair pour l’ivoirien, il y a le cheval à enfourcher, la distance à parcourir bien déterminée. Citoyen ! La situation est très explicite et très clair ici, le combat à mort, alors advienne que pourra !

 

*- Le Temps presse ! On n’a plus le Temps de laisser le Temps au Temps.

 

Nous ne changerons pas nos dires et nos positions, pour plaire à un pseudo-Roi. Aujourd’hui le postulat qui s’offre à la côte d’ivoire est simple : (Il faut au peuple ivoirien une révolution synergique, « la science politique définit ce mot par un changement radical de régime ». Donc il s’agit pour le peuple souverain ivoirien, d’engager un bras de fer entre lui, Alassane Ouattara et sa dictature. Oui, il faut au peuple ivoirien de tous bords, à rang serré, compact, et rafistolé a jamais, épaules contre épaules, coudes-à-coudes, côte-à-côte, mains dans les mains, dans une «enferique» révolution citoyenne absolue du peuple entier, pour arrêter cette dynamique démoniaque de la dictature d’Alassane Ouattara, pour la régulation sociopolitique et pour se défaire de l’engrenage qui risque d’être fatal à l’arrivée, dans quelques petites Années». L’élection de 2020 a fini de consolider la rigidité de la crise ivoirienne, pour toujours ne pas bouger d’un iota, pour arriver à un début de solution durable. Les mêmes faits et méfaits sociopolitiques, depuis le 11 Avril 2011 ont été savamment réédités et ce sont enracinés pour devenir indécrochables à ce jour de 2020. Donc comme dit ci-dessus, cette pseudo-élection à s’achève à consolider la rigidité de la crise sociopolitique ivoirienne, entretenue sciemment à dessein de confiscation du pouvoir d’état par un homme autocratique, despotique qui était à la recherche d’une factice légitimité démocratique en 2020.

 

Oui, la recherche d’une factice légitimité démocratique, au terme d’un schématisé processus électoral cadenassé, truqué, et bâclée, qui a enfanté un deuil électoral, «plus de 150 jeunes ivoiriens ont été fusillés par les sicaires d’Alassane Ouattara». Alassane Ouattara, qui a ainsi célébré ostensiblement les funérailles de la démocratie ivoirienne, honteusement sacrifiée sur l’autel de la conservation coûte que coûte du pouvoir d’état. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, est désormais à la merci des hallucinations et des tentations monarchiste et absolutiste de, Alassane Ouattara, qui très sûr de son fait, ne désespère pas d’accaparer le destin de la nation ivoirienne, pour le plier à sa seule exigence égocentrique. Il le faut cette révolution citoyenne absolue du peuple entier, après une élection présidentielle truquée, bâclée et cadenassée qui a proclamé vainqueur un usurpateur de titre de chef de l’état et de président de la république, un accapareur de la souveraineté populaire du peuple, un violeur impénitent et endurcis des droits inaliénables du peuple, tout homme a la vie, et des libertés individuelles. Ce candidat proclamé vainqueur au terme d’un schéma de trucage électoral, pense maintenant avoir acquis ainsi une légalité juridique et une factice légitimité démocratique, donc opposant à genou pour un élan exutoire de demande de dialogue politique, qui ne tient pas compte du tout, du réel net recul démocratique.

 

Recule démocratique qui a fait ressortir la grande fracture intercommunautaire et la déchirure manifeste du corps social du pays, toujours divisé moralement. Où chacun est renvoyé à ses appartenances ethniques et communautaires. Voilà pourquoi, tout naturellement qu’il y a une crise de légalité constitutionnelle et de légitimité populaire de ce pouvoir mal acquit, qui résulte de cette élection de démocratie de façade. Aujourd’hui, une très grande partie des ivoiriens (près de 95%), ne se reconnaissent pas dans cette élection truquée, bâclée et cadenassée d’octobre 2020. Nous sommes de ce camps de (près de 95%), parce que notre éclectisme impassible, ne peut s’accommodé avec le panurgisme moutonnier de vache qui ne demande qu’à manger, qui est le socle existentiel du pouvoir Alassane Ouattara. Et pour nous, en politique, il faut pouvoir se regarder dans un miroir et nous savons le faire face aux dangers sociopolitiques. Aussi, Bien que notre degré d’incrédulité ne nous permette pas d’y croire, aujourd’hui d’autres hommes politiques de très bonne Foi, disent, qu’il faut inexorablement dialoguer avec le violeur, l’usurpateur, l’accapareur, de tous les droits, de toutes les libertés et de toutes les règles, autour de la chose publique et dans l’ordre du public. Peut-être en combattant les extrêmes qui se sont  cristalliser dans le camp du  fichu Monarque,  «sinon ce serait peine perdue», pour arriver à la solution de la crise.

 

*- Oui il y a absolument matière de combat à mort !

 

Bon ! Nous suivons. Puisqu’il s’agit de la recherche inlassable parfois ingrate de la stabilité sociopolitique et de résoudre une crise sociopolitique, qui menace gravement la cohésion sociale, la paix nationale et internationale, et le développement du pays qui a trop souffert. Donc nous suivons, parce que, rien ne se fera en côte d’ivoire sans une société ivoirienne harmonieuse, qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales et avec des ivoiriens à leurs justes places dans la société ivoirienne. Oui, dans une côte d’ivoire où les hommes d’horizons diverses et les citoyens ivoirien vivront en harmonie selon le droit et les règles de notre seule raison d’être des humains. Une côte d’ivoire stable, cohérente, harmonieuse, paisible et de l’exaltation de la diversité solidaire. Oui il faut toujours le ressasser, la côte d’ivoire va mal, très mal même, « l’absence de guerre ouverte n’est pas synonyme de paix » et elle ne s’en sortira que dans l’union et le respect du droit, surtout tous égaux en droit et devoirs : « le lien social étant éminemment politique ». La côte d’ivoire s’en sortira, le jour où les forces sociales ivoiriennes, susceptibles d’empêcher la course effrénée d’Alassane Ouattara et sa dictature hermétique, vers l’abîme sociopolitique deviendraient, moins dociles, moins soumises, moins inconstantes, moins éparses, moins autodestructrices, moins désunies, moins faibles de par l’inconscience de leurs force réelle, moins enclines à suivre le processus de caporalisation par un homme «Alassane Ouattara» dans un train d’enfer et de damnation, qui roule à vive allure, jusqu’à la catastrophe au finish, qui paraît devenir de jour en jour quasiment inéluctable.

 

Oui, avant qu’il ne soit trop tard, les forces sociales doivent maintenant se réveiller en 2020, pour la côte d’ivoire, dans le seul but de faire à coup sûr, de notre pays, un pays de citoyens égaux en droit et devoir. D’où aucun citoyen n’est laissé sur la touche du progrès social. Il est temps que les aveugles veillent voir et que les sourds veillent entendre, pour pouvoir regarder en face la réalité sociopolitique et entendre les tocsins de la nécessité absolue du retour à l’état de droit réel, via une révolution de couleur, infernale, irrésistible. Oui, le contrôle de la souveraineté populaire du peuple et sa volonté populaire, doivent échapper totalement à la  volonté abstraite et obscurantiste, d’un dirigeant d’état devenu monarchiste. Oui, dans un état républicain de droit et en démocratie réelle, nul pouvoir d’état ne doit arriver à obliger les citoyens libres en l’absence de leurs consentement, nul pouvoir d’état ne doit arriver à s’imposer de force et par la force au peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état, nul pouvoir d’état ne doit arriver à durablement gouverner un peuple souverain, s’il n’est pas soutenu par l’autorité qui résulte de la croyance de ce peuple souverain en sa légalité constitutionnelle et en sa légitimité populaire. Donc il est question ici, de chercher à tout prix de se faire un chemin vers la sortie de cet engrenage de l’arbitraire du système Alassane Ouattara devenu sourd et aveugle. Il le faut ici et maintenant, sinon la côte d’ivoire changera de toutes les façons malgré tout, mais hélas ! Dans le sens voulu par le système démoniaque, pervers et mafieux d’Alassane Ouattara.

 

Déjà, les fusils sont devenus l’unique mesure de valeur sociopolitique, ou les fantassins soudards, les milices, imposent tous leurs travers au peuple ivoirien dans l’impunité totale. «Plus de 150 jeunes morts zigouillés en moins de 60 jours, qui dit mieux ? Peut-être le grand Adolf Hitler». Malgré tous nous ne souhaitons pas voir Alassane Ouattara sous le couperet de la guillotine, mais nous le préférons au MITARD. Oui, au Trou du mitard qu’indique le droit international pénal, pas à la CPI, mais a la MACA nationale, pour ses crimes de guerres, ses crimes contre l’Humanité et ses tueries intempestives au terme des crises sociopolitiques cyclique. Alassane Ouattara mérite le Cachot, pour ses faits indéniables de violations répétées de la constitution, 24 décembre 1999 «coup d’état réussi», 18-19 septembre 2002, «coup d’état manqué transformé en rébellion qui a fait 7000 Morts zigouillée» 2010 candidature anticonstitutionnelle «en violation de la constitution 2000», 2O11 auto-proclamation élu «au mépris des prescriptions constitutionnelles et guerre délibérée postélectorale», et 2020 candidature illégale et illégitime «pour un troisième mandat anticonstitutionnelle en violation des prescriptions constitutionnelles qui limite le nombre de mandats a deux (2) par citoyen sans plus, qui a occasionné une crise qui a déjà fait plus de 150 citoyens Morts zigouillées et plusieurs centaines de manifestants blessés par les miliciens».

 

Alassane Ouattara mérite d’être jeté aux geôles de l’oubliette historique de nos histoires sociétales des hommes faillis, pour sa scandaleuse mauvaise gouvernance, peuplée de vols synergiques orchestrés, de copinage dans les affaires publiques, de concussion à ciel ouvert dans les biens publics. Oui, au Trou du mitard ! Alassane Ouattara. Donc, pour nous aujourd’hui, Alassane Ouattara n’est vraiment à sa juste place que sur le banc des criminels accusés d’une juridiction de répressions des crimes contre l’humanité. Parce que ses faits de gouvernances, y sont irréfragable-ment bien logé dans le champ d’application des normes du droit internationale pénale. Alassane Ouattara est admissible au «Trou du mitard» international, comme Milosevic. Alassane Ouattara a échoué lamentablement sur toute la ligne, à instaurer un réel état de droit, un état réellement démocratique et surtout a réconcilié le peuple ivoirien et à Refaire de la côte d’ivoire un état de droit et une nation une et indivisible.

 

*- Bon ! Peut-être qu’il faut discuter ou négocier avec Alassane Ouattara. Nous suivons !

 

Nous suivons avons-nous dit : Mais, il n’y a pas de dialogue politique inclusif républicain possible, entre opposition politique et pouvoir politique d’état, quand les jeux sont truqués d’avance. Aussi tout comme, il n’y aura  pas de réconciliation vraie entre peuples composites ou entre des groupes sociaux, si les dés sont bipés. Il faut le ré-souligner ici, pour ne pas l’oublier : « la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, n’est plus maitre de son destin, depuis le 24 décembres 1999, date de la révolution des œillets, en passant par la date du 19 septembre 2002, date du déclenchement de la guerre pour arriver au 11 avril 2011 date du kidnapping au mépris du droit et de la constitution de 2000, elle «la côte d’ivoire», est comme cet homme, qui tombe du haut d’une Tour de 100 mètres de Hauteur et en dépit de quelques sérieux cognés de tête sur les paliers, qui se ressasse sans cesse en disant que, jusque-là tout va bien, alors même que le coma risque d’être profond à l’atterrissage sur le béton sans secours.

 

Oui la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, est habilement entrainer petit à petit dans un engrenage fatal. Comme un homme emporter par la violence de la puissance du courant de l’eau du fleuve, qui se noie petit-a-petit, tout en faisant intempestivement des mimiques désespérées vers la gueule du crocodile. Et surtout qui s’essaie intempestivement de rassurer les observateurs de la vie politique ivoirienne, en faisant des mimiques désespéré comme si tout allait bien, qu’il est un grand nageur. Alors que le prédateur crocodile, imperturbable attend, sans aucun doute possible son festin sadique, pervers et macabre. La côte d’ivoire est sous l’emprise d’un système politique archaïque, mafieux qui se nourrit du chaos social. Bon ! suivons Nous parce que, Nous pensons qu’il n’y a aucune solution durable à la crise ivoirienne sans la participation effective aux élections des hommes politiques qui mènent depuis de nombreuses années la lutte pour le respect de la Constitution et des lois de la république y compris en ce qui concerne les échéances constitutionnelles prescrites, les délais francs constitutionnels qui sacralise la limitation à deux (2) mandats des présidents pour tous citoyens sans exception.

 

Oui, nous suivons. Peut-être qu’un dialogue sérieux sans faux semblant et sans exclusion pour un retour au fonctionnement normal des institutions étatiques, pourrait intervenir et serait le bienvenu. Peut-être même c’est un passage obligé pour créer le cadre ou les ivoiriens pourront décider d’un commun accord des mécanismes crédibles et consensuels, respectant la pluralité démocratique et ainsi d'organiser de nouvelles élections, pour choisir librement leurs futurs dirigeants. La situation chaotique créée par Alassane Ouattara avec les dérives dictatoriales actuelles, proscrivent toute manœuvre visant à exclure les acteurs majeurs de la vie sociale dans la recherche d’une solution durable et ne fera que prolonger inutilement la  crise et les souffrances du peuple. La chose publique, n’est pas la plantation personnelle de qui que ce soit, et dans l’ordre du public l’espace de droits est pour tous, qui englobe le droit d’aller tous a de bonnes élections démocratiques.

 

Mais nous soulignons que, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, n’est plus maitresse de son destin dans le concert des nations. La côte d’ivoire se noie, elle coule, elle s’exsangue aux yeux du monde. Et le pire est qu’il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger réel avant la phase terminale de la noyade. Il ne faut pas se leurrer, la côte d’ivoire se noie dans l’océan des nations civilisée. Il y a danger, il y a péril de dénaturations, de dépaysassions, elle perd lamentablement son identité atavique et il y a mort par désocialisation à l’horizon du destin ivoire dans le concert des nations civilisées. Oui, le peuple ivoirien n’est plus acculturé, mais il se désocialise progressivement. Bon ! Peut-être qu’il faut discuter ou négocier avec Alassane Ouattara avec ses fusils pour ne pas dire par peur de ses fusils. Mais il ne faut pas se laisser dérouter par des actions de manipulations politiciennes savamment édictées et des actions de diversions sur l’essentiel sociétal, qu’est les conditions indispensables d’une parfaite élection démocratique et pluralistes, qu’Alassane Ouattara doit restituer au peuple, l’absolu souverain en droit universel et l’ultime détenteur du pouvoir d’état.

 

Oui, Nonobstant le fait que nous suivons, il faut retenir Ici, que (Nous ne retirons rien du déjà dit : Il faut au peuple ivoirien de tous bords à rang serré, compact, et rafistolé a jamais, épaules contre épaules, coudes-à-coudes, côte-à-côte, mains dans les mains, dans une «enferique» révolution citoyenne absolue du peuple entier, pour arrêter cette dynamique démoniaque de la dictature d’Alassane Ouattara, pour la régulation sociopolitique et pour se défaire de l’engrenage qui risque d’être fatal à l’arrivée dans quelques petites Années. Oui, il faut au peuple ivoirien une révolution synergique, « la science politique définit ce mot par un changement radical de régime ». Donc,  il s’agit d’engager un bras de fer entre Alassane Ouattara et sa dictature, qui veut les compteurs de droits de la limitation à deux (2) de la mandature mis à Zéro au mépris de ses deux (2) mandats de 2010 à 2020, déjà consommés, pour que rien ne change dans notre pays et la population ivoirienne qui veut un véritable changement de régime, pour arriver à l’état républicain de droit dans leurs pays le nécessaire et indispensable Combat est là). Oui il y a absolument matière à combat à mort, pour que le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il n’y a point de développement, le respect de la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par le père de la nation Felix Houphouët Boigny, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays. Combat à mort ! Et de maintenir le cap jusqu'à la victoire finale. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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