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2 mars 2013 6 02 /03 /mars /2013 15:51

conseil de sécurité en cession.OK-ok-ok

« La cour pénale internationale (CPI) et son procureur BENSOUDA défendent les saints des saints à ne pas toucher devant leur juridiction. « Si GBAGBO a commis des crimes, OUATTARA a commis autant de crimes, si les FDS ont commis des crimes, le FN – FRCI ont commis autant de crimes, si des miliciens ont commis des crimes, les Dozos ont commis autant de crimes. Donc à crimes égaux, justice égale pour les deux belligérants de guerre, vainqueur et vaincu, devant un tribunal pénal international de création onusienne (conseil de sécurité) pour être digne de la justice internationale du 21e siècle garante de la paix internationale par le combat contre l'impunité. La cour pénale internationale s’est auto-disqualifiée par sa poursuite sélective dans la crise ivoirienne. Le statut de dirigeant politique en fonction de Alassane Ouattara ne doit pas résister au droit ou ne doit pas être un passe-droit ».

 

 

Citoyen ivoirien !!! vivement un tribunal pénal international (TPI-CI) pour la côte d’ivoire de création onusienne « conseil de sécurité ».

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*-1)-Parce qu’il y a pire a l’horizon qui est que, Alassane Ouattara est entrain de s’appuyer sur la promotion de la médiocrité, de l’analphabétisme, de l’incompétence, de l’antiélitiste, du favoritisme partisan pour assoir son pouvoir sanguinaire au détriment de l’intelligentsia, des élites, et des compétences. Des sergents et des caporaux sans aucune formation sont bombardés préfets de région. Des partisans politiques ignares sont bombardés ministres et diplomates sans aucune compétence qu’exige la fonction occuper et sans aucune connaissance de la pratique diplomatique qui se font souvent parrains des clandestins a destination du monde occidental. Des promotions dans l’administration par affinité régionale, par appartenance politique et pour des motifs de fratrie. Des délinquants analphabètes enrôler a l’école de police, a l’école de gendarmerie et a la douane a titre de récompense pour servir rendu comme fantassins. 

 

 

Tout se monde sachant qu’il ne doit ses privilèges et ses avantages qu’au pouvoir de Alassane Ouattara sans aucun mérite, ne peuvent avoir aucune retenue dans l’oppression, ces gens d’une médiocrité manifeste ne peuvent reculer devant aucun crime a commettre, quand il s’agit de maintenir le pouvoir sanguinaire de Alassane Ouattara sans lequel il n’aura aucune existence. Au surplus d’autres intellectuels au dessus de tout soupçons hier sont aveuglés par le gain facile, par le poste offert, par le titre acquit grâce a Alassane Ouattara. Il n’éclairent plus le peuple, réduit a l’état de griot qu’ils sont devenus. Leurs paroles et leurs discours transportent la honte pour la vraie intelligentsia ivoirienne qui ose se regarder dans un miroir. Donc avec ses avantages et privilèges indus devenus la règle de vie publique, la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY fonce tout droit dans la pire des crises avec la politique de rattrapage et de récompense devenue le socle de valeur.

 

 

Donc dès à présent, et d’emblée disons citoyen ivoirien !!! vivement un tribunal pénal international (TPI-CI) pour la côte d’ivoire de création onusienne « conseil de sécurité » La côte d’ivoire n’est plus qu’un état voyou, un état policier, et un état paria ou règne toute sorte de criminel dont la manifestation patente se trouve sur le Mont Péko jusqu’à Duékoué… 

BENSOUDA

 *-2)-A quoi sert la Cour pénale internationale ? (Avec l’avis ci-dessous de Lepetitfils Da Candy exilé politique de force)

La compétence de la cour pénale internationale (CPI) est en réalité assez limitée. Trois raisons l’expliquent : 

  • Tout d’abord, la CPI ne peut connaître que de quatre catégories d’infractions, considérées comme les plus graves : les crimes contre l’humanité, les génocides, les crimes de guerre et les crimes d’agression. 
  • Ensuite, elle ne peut intervenir que si le crime a été commis sur le territoire d’un État ayant signé la convention, ou si le mis en cause est un ressortissant de l’un de ces États. Cependant, le Conseil de sécurité de l’ONU peut donner compétence à la CPI de manière exceptionnelle lorsqu’un État qui n’a pas ratifié la convention commet des violations graves : cela a été le cas pour le Darfour en 2005. 
  • Enfin, la compétence de la Cour est complémentaire, c’est-à-dire qu’elle n’est mise en jeu qu’en cas de défaillance de l’État compétent pour juger le criminel. 

 

Cette limitation du rôle de la CPI souligne la difficulté pour la communauté internationale des États de construire une véritable justice pénale à l’échelle du monde. La CPI n’est d’ailleurs pas entrée en vigueur dès la Convention de Rome, mais quatre ans plus tard, après qu’a été atteint le seuil de 60 États l’ayant ratifiée (ce que les États-Unis ou la Chine n’ont toujours pas fait). 

Le pouvoir de punir constitue en effet historiquement le cœur de la souveraineté étatique. De plus, la justice pénale internationale, qui trouve son origine dans les tribunaux militaires institués à l’issue de la Seconde Guerre mondiale à Nuremberg et Tokyo, est souvent soupçonnée de n’être que la "justice des vainqueurs". 

 

 Source : vie-publique.fr

 

 

 

*-3)-Avis de LEPETITFILS : Un autre son de cloche concernant la compétence de la CPI qui est en réalité assez limitée par sa dépendance aux états partis au traité de ROME 

CPI-SIEGE

 

La  totale dépendance de la cour pénale internationale ne réside, ni dans les normes internationales dont elle se doit d’être appliquant, ni dans les graves crimes prescrits dans son champs d’application dont la répression doit intéresser toute l’humanité, mais sa dépendance totale aux états partis au statut de Rome réside dans son statut juridique. Dans ce statut juridique de la cour pénale internationale, il y a d’énormes sophismes qui ont été introduits par les états créateurs a des fins politique de souveraineté étatique, il y a aussi d’énormes apories juridiques prescrites a des fins judiciaires d’exonération des chefs d’états en fonction, qui affranchissent de poursuite  les criminels d’états détenteurs du pouvoir d’état. La cour pénale internationale (CPI) dans sa forme actuelle n’a pas sa raison d’être comme juridiction internationale pénale. 

  

 

 

 Pour preuve, le procès des crimes postélectorals qui vise le président Laurent GBAGBO a la CPI a fait près de trois milles cinq cent  (3500) morts et a été déclenchée par le détenteur actuel du pouvoir d’état en côte d’ivoire en dépit de la volonté des ivoiriens et de la communauté internationale de trouve une solution pacifique au contentieux électoral par le ré-comptage pour certains et l’annulation pure et simple des scrutins électoraux pour d’autres qui n’arrangeait guère Alassane Ouattara. Qui a alors décide unilatéralement de prendre le pouvoir par les armes de sa rébellion, qui chemin faisant a fait plus de mille (1000) morts entre le centre ivoirien et le sud ivoirien en passant par l’ouest ivoirien ce dernier a subit le plus grand massacre. Mais malgré ces crimes commis par les fantassins de Alassane Ouattara sous l’ordre de Alassane Ouattara, non seulement le statut juridique de la cour pénale internationale exonère Alassane Ouattara de poursuite, mais plus grave il fait de lui un juge. Parce qu’il détient le pouvoir d’état donc interlocuteur facultatif de la cour pénale internationale (CPI) et pire Bensouda considère le président GBAGBO comme un colis a la disposition de Alassane Ouattara parce qu’il détient le pouvoir d’état. Voilà la saugrenuité du statut juridique de la cour pénale internationale. Lisez plutôt ces phrases ci-dessous qui sont de BENSOUDA…

 

 

 

Vous trouverez ces quelques phrases facilement dans une interview que le procureur de CPI Bensouda A accorder a un journal hebdomadaire : « Notre juridiction est complémentaire de celle des États. Une procédure à l'encontre de Gbagbo est en cours devant la CPI, et les autorités ivoiriennes n'ont pas fait connaître leur souhait de le récupérer. Notre rôle est de nous assurer que leurs principaux auteurs seront poursuivis, mais nous ne pouvons engager des poursuites contre tous. Les autorités ivoiriennes ont, de leur côté, pris des dispositions pour en juger certains.»

ado- les morts sont morts yafohi

 Le premier des autorités ivoiriennes dont Bensouda fait allusions ici n’est autre personne que Alassane Ouattara le principal criminel des crimes dont la cour pénale internationale prétend juger. C’est le comble de l’absurdité juridique. C’est pourquoi la cour pénale internationale (CPI) dans sa forme actuelle n’a pas sa raison d’être comme juridiction internationale pénale. Mais il est question de le dire dans le lieu le plus indiqué et dans le lieu ou il sera le mieux audible. D’emblée disons citoyen ivoirien !!! vivement un tribunal pénal international (TPI-CI) pour la côte d’ivoire de création onusienne « conseil de sécurité ». Parce qu’il y a pire a l’horizon, la côte d’ivoire n’est plus qu’un état voyou, un état policier, et un état paria ou règne toute sorte de criminels dont la manifestation patente se trouve sur le Mont Péko jusqu’à Duékoué… 

lepetitfils da candy

  Par DA Candy Lepetitfils leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force 

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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