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11 juin 2022 6 11 /06 /juin /2022 01:55
Lepetitfils : Les hommes politiques Africains ou dirigeants d’états Africains, doivent proscrire énergiquement en synergie, le panurgisme politique alimentaire, le suivisme moutonnier pour des raisons de ventre. Oui face aux exigences juridiques des normes positives étatiques consensuelle-ment prescrites, et face aux rigorisme du droit universel, l’Afrique doit se tenir debout et droit sur son piédestal, sans trembler, sans osciller, sans vaciller, sans versatilité, face aux sentences des droits inaliénables universellement reconnus et admis comme tel par les nations civilisées.

Lepetitfils : Les hommes politiques Africains ou dirigeants d’états Africains, doivent proscrire énergiquement en synergie, le panurgisme politique alimentaire, le suivisme moutonnier pour des raisons de ventre. Oui face aux exigences juridiques des normes positives étatiques consensuelle-ment prescrites, et face aux rigorisme du droit universel, l’Afrique doit se tenir debout et droit sur son piédestal, sans trembler, sans osciller, sans vaciller, sans versatilité, face aux sentences des droits inaliénables universellement reconnus et admis comme tel par les nations civilisées.

*- Un Kouma pour l’Afrique. 

 

Bon ! ici, récitons l’expression bis repetita, ce mot d’origine latine, qui provient d’une autre formule un peu plus longue, « bis repetita placent », qui est une idée d’Horace, un poète latin de l’Antiquité, dont les année 1980 à donner une autre forme abrégée qu’est bis repetita, que nous citons ici, et avec le sens qu’on lui donne aujourd’hui. Bis repetita ! Donc, puisque faute d’accord  les dirigeants ouest-africains réunis à Accra se sont séparés le samedi 04 juin 2022 sans s'entendre sur les sanctions à l'encontre de certains régimes putschistes l’Afrique «Mali, Burkina Faso et Guinée ». Bon ! Ils se retrouveront le 3 juillet prochain mais n’empêche le vert demeure dans le fruit le mal demande  sans remède. L’Afrique noir est Mal partie. L’Afrique de l’ouest incapable de s’entendre sur le minimum nécessaire au règlement rigoriste des crises et solution des violations flagrantes des droits inaliénables est à la remorque du Monde.

 

Oui, il nous revient ici de droit « à la légitimité citoyenne, mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste » de faire ressortir de façon litote, avec le courage qui sied à cet exercice, un fait indéniable en Afrique: l’Organisation de l’unité africaine (OUA) dans sa version Union Africaine (UA) et la CEDEAO, n’ont jamais réussi à règle une crise sociopolitique Africaine ou Ouest-Africaine, dans le respect des droits inaliénables irréfragable et universels. Or quand la politique bafoue les droits inaliénables qui sont son substrat d’existence légale, la totalité sociale, fonce tout droit dans la jungle, ou les plus forts et les plus violents sont les Rois. Face à la médiation de ces organisations étatiques Africaines chapeauté par l’organisation des nations Unies «0NU» transcripteur des décisions de ces organisations Africaines en 2010, que quand a la crise ivoirienne querellée des élections présidentielles de 2010, que vouloir sortir du cadre strict constitutionnel, c’est vouloir foncer dans la jungle qui est toujours totalitaires. Hélas ! Nous connaissons la suite dramatique pour la côte d’ivoire, mon pays. Oui, c’est une évidence, là où il n’y a pas de respect scrupuleux des normes juridiques de régulations sociales, qui est l’œuvre de la totalité sociale souveraine, l’arbitraire est Roi.

 

Et nous y sommes, l’arbitraire est Roi dans les pays suscités, et dans un nombre important de pays Africains ou le pouvoir a été confiné au bout des fusils, décroché au bout des fusils. Avec la complicité de certains pays imposants d’Afriques et de leurs puissants soutiens extérieurs à l’Afrique. Pour les crises querellées soumis a décision à Accra, face aux condamnations fermes de départ, d’aucuns avaient espéré pour une fois la rigueur en Afrique, à l’écoute des différentes déclarations. L'Union africaine par la voie de son président en exercice, d’alors avait fermement condamné toute action visant à déstabiliser les pays suscités, en appelant tous les acteurs à la retenue, ainsi qu'au respect de la Constitution. RETENONS LE RESPECT DE LA CONSTITUTION. Mais chose très saugrenue, cela tout en ne demandant pas, le retour des anciens présidents et Premiers ministres illégalement renversés par la force des armes et poussé à la démission théâtrale. Donc condamné fermement les coups d'État africains, en obvier toutes actions de forces concrètes de retour immédiat à l’ordre constitutionnel bafoué et piétiné par une soldatesque fort des armes «fusils».

 

Or, en Afrique, se soumettre aux règles démocratiques et aux droits inaliénables des peuples, à ses occasions de crises répétées  sans état d’âme, est la solution pour l’Afrique. Donc, l’Afrique ne s’en sortira que par le changement évolutif des mentalités des hommes politiques dirigeants d’état, vieux ou jeunes. D’où les normes juridiques de régulations sociales acceptées par tous seraient l’unique seule source légale de l’acquisition du pouvoir d’état. Le rattachement des dirigeants Africains a des charte de transitons unilatéralement rédigés souvent par des organes intéressés, inféodés aux putschistes et leurs acceptations des textes d’arrangements politiques, au mépris des constitutions, et qui n’ont aucune valeur juridique en l’absence d’une incontestable conformité aux prescriptions constitutionnelles, surtout des textes controuvés, qui n’engagent que ses signataires, donc, des textes qui doivent tirer son essence de la constitution, pour y être conforme aux prescriptions constitutionnelles, afin d’être regardant en droit universel, sont l’une causes des pouvoirs par les armes en Afriques. Non ! L’Afrique ne s’en sortira, que par de nouvelles conceptions politiques anticipatives des perspectives d’Avenir dans le temps, ou l’homme, oui ! L’être Humain serait la centralité de toutes les actions sociopolitiques et de toutes les œuvres développementales, avec des peuples souverains avant-gardistes restauré dans leurs droits inaliénables de propriétaires exclusifs du pouvoir d’état, dans des états de droits.

 

Mais ici l’Afrique a un problème crucial, et c’est notre souci majeur. Oui, face aux crises sociopolitiques, il est très difficile d’avoir une fermeté absolue pour la stabilité sociopolitique et la paix pérenne du continent Africain, quand on a l’habitude de subir depuis les indépendances en 1960, les contraintes des coups d’états armés qu’on gère par affinité, par appartenance sponsorisés, par intérêt et par clanisme au mépris du droit du peuple, ainsi il devient très douloureux de se redresser quand on plie depuis si longtemps sous ces non-droits depuis l’indépendance, face aux travers des petits rebelles à la loi commune, bien bornés parce que fort du chacun a son parrain de dirigeants Africains et bien armé pour conquérir le pouvoir d’état au mépris du droit et en dépit de la volonté du peuple souverain estampillé ultime détenteur du pouvoir d’état. Donc, il est impossible de se départir de la totalité de ces petits calculs politiciens que l’on considère désormais comme une prérogative de souveraineté personnelle et d’autonomie étatique. Oui, dans une société qui à ancrée les coups d’états dans les mœurs sociétales, il est douloureux de se redresser, quand on plie depuis si longtemps sous le joug des armes, des petits coups d’état, depuis l’indépendance d’où l’Afrique a un problème. L’UA et la CEDEAO, soufflent en permanence sur les braises du non-droit, qui a alimenté les crises des coups d’état en Afrique. Leur credo politique compromissoire porte en lui-même les germes des crises sociopolitiques qui seront soumis non pas au droit inaliénables des peuples souverains à choisir librement leurs dirigeants, mais au dialogue et arrangement politiques intempestifs. Oui, un des grands problèmes pour l’Afrique est le mode d’acquisition des pouvoirs d’états en Afrique et leurs exercices effrénés dédouanés souvent de tous droits et au mépris des règles universelles, en dépit des normes de régulations sociopolitiques librement acceptées par tous.

 

Et chaque crise Africaine fait naitre une division groupusculaire au mépris de l’union qui sied pour la résolution de la crise, en fonction du droit préétablie sans état d’âme. Il en va de la politique comme de la circulation routière sur une route balisée, quand on enlève arbitrairement les balises protecteurs, les usages de la routes font des sorties de routes dramatiques ou déroutent tout simplement dans les décors. Donc disons-nous, une division groupusculaire, dont les grimaces ironiques et sarcastiques qui craquellent leurs masques de faiseur de paix de circonstance montrent qu’il est très difficile décidément de prendre de la hauteur après un décollage raté. C’est une évidence, comment retrouver des marques stables lorsque l’instabilité s’est installée en maîtresse du continent Africain ? Comment avoir la maîtrise majestueuse du dirigeant politique d’état qui ne saurait se rétablir que dans le respect strict du droit inaliénable des peuples quand on estime que les armes sont un moyen en politique ? Oui, impossible défi quand le réalisme des fondamentaux étatiques, les corps « armés » qui se doivent d’être la grande muette se font incontrôlable, par les dirigeants politiques divisés en groupe d’intérêt, de sponsor ou de parrainage. L’Afrique ne s’en sortira qu’en s’inscrivant résolument dans le schéma rigoriste du respect du droit, de l’imposition forcée des normes de régulations sociopolitiques préétablie par les peuples souverains avant les crises. L’Afrique ne s’en sortira que sauf les armes Africaines resteront la propriété exclusive des peuples. Et le respect des normes de régulations sociopolitiques comme instrument d'ordre social, de stabilité sociopolitique et de paix nationale et internationale par excellence, et surtout par la recherche inlassable parfois ingrate de l’état républicain de droit, de la démocratie universelle et participative. 

 

Tant que les coups d’états contre un pouvoir légal et légitime et les rebellions armées contre un pouvoir légal et légitime ne seront pas considérés comme un suicide en Afrique, parce que reconnus inadmissibles par les dirigeants et les peuples Africains, les crises sociopolitique continuerons en Afrique. Ainsi tant que les peuple Africains seront mal gouvernés, parce que leurs États sombrent dans le chaos social sempiternel où les pouvoirs d’État virent à l’arbitraire, à la dictature, au despotisme, à la tyrannie, les peuple Africains ne pourront pas profiter de la richesse de leur pays et des retombées de l’organisation politique et sociale de leur société, devenue le creuset convoité par tous les moyens illégaux par des petits maquisard, ou tous les affamés viennent se nourrir dans les deniers publics, dans les ressources naturelles souveraines au nom de la protection des peuples martyrs. Et aussi, l’Afrique doit non seulement, se méfier de l’imbrication habile ou de l’interconnexion mafieuse de la religion et de la politique, mais aussi la combattre avec fermeté et la dernière énergie synergique. Oui, dans la gestion de «l’état-Nation», le rapport de force souvent nébuleux, entre la politique religieuse et la politique laïque du pouvoir étatique, ne profite qu’aux petits malins délinquants notoires, escrocs moraux et intellectuels. Oui, c’est une exigence de l’escroquerie morale et intellectuelle, que de composer avec la croyance libre des peuples souverains et la mentalité souvent docile des peuples gouvernés. En cherchant, non pas de servir le peuple  souverain, mais plutôt l’asservir la totalité sociale, pour se servir dans les deniers et dans les ressources naturelles souveraines. Cela en se posant en défenseur des peuples.

 

Donc, la stabilité sociopolitique et la paix en Afrique sont à ce prix du refus catégorique de l’illégal et de l’illégitime. Du refus catégorique des pouvoirs par les armes, des pouvoirs par manipulations constitutionnelles pour s’éternisé au pouvoir d’état. Du refus catégorique des pouvoirs anticonstitutionnels quels qu’ils soient, y compris des pouvoirs issus des constitutions élaborées unilatéralement au mépris des règles universelles reconnus, qui en font les peuples souverains les exclusifs rédacteurs et les uniques votants politique par la suite. Oui, l’organisation des états, qui impose les normes juridiques de régulations sociales qui régissent ses états membres comme substrat et qui l'impose au respect de tous dispense ses état de crises sociopolitiques. Et se faisant arrive au redressement des griefs sociétaux sans violence, donc elle désarme la violence. Et cet acte rend toute entreprise factieuse impossible et dispense de recourir à l'emploi de la force armée dans la conquête du pouvoir d’état. Oui, en se conformant aux normes universelles, cela débouche sur un ordre conventionnel qui désarme la violence. Et vient interdire l’usage d’un certain répertoire d’action politique criminelles et des travers politiques, dans la conquête du pouvoir d’état, et proscrit ainsi l’arbitraire, l’absolutisme, le despotisme. Ainsi cette organisation interétatique, en se voyant chargé d'exprimer fidèlement la souveraineté des peuples, de ses états membres, son action acquiert les attributs symboliques du sacré.

 

Donc, contrairement au proverbe Africain qui dit qu’un sac sans contenance ne tient jamais debout, ou qu’un sac vide ne s’arrête pas debout, l’Afrique doit proscrire la politique du ventre. Oui, les hommes politiques Africains ou dirigeants d’états Africains, toutes tendances idéologiques et appartenances philosophiques confondue et le peuples souverains Africains dans son entièreté, doivent proscrire énergiquement en synergie absolue, le panurgisme politique alimentaire, le suivisme moutonnier sociétal pour des raisons de ventre. Oui face aux exigences juridiques des normes positives étatiques consensuelle-ment prescrites, et face aux rigorisme du droit universel, l’Afrique doit se tenir debout et droit sur son piédestal, sans trembler, sans osciller, sans vaciller, sans versatilité, face aux sentences des droits inaliénables universellement reconnus et admis comme tel par les nations civilisées. Ainsi l’Afrique, notre destin commun s’en sortira tête haute dans le concert des nations civilisées. Oui, l’Afrique ne sera politiquement stable que par la force des droits inaliénables des peuples. Ce qui est dit, est dit.

 

Donc nous disons « à la légitimité citoyenne, mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste » que, l’Afrique, notre Afrique,  a besoin de stabilité sociopolitique et de paix d’abord. La personnalisation de la conquête du pouvoir d’état, ne doit pas se faire au mépris de la volonté de la totalité sociale souveraine et en dépit de l’impérieuse nécessité de sauvegarder la paix sociopolitique. La vie démocratique est l’apprentissage des limites, avec un self contrôle, jusqu’à la limite de l’humainement admissible. La conquête légitime et la détention légale du pouvoir d’état doivent obéir aux respects des droits et des règles préétablies. Ici ce qui doit être recherche inlassablement par les Africains en général et par les dirigeants Africains en particuliers, c’est la légalité, c’est la légitimité. Oui, ce qui doit être recherche ici, c’est le maintien des peuples souverains Africains dans leurs droits inaliénables de disposé d’eux-mêmes, avec la possibilité de se choisir librement à échéances renouvelées ses dirigeants d’états sans interférence des armés, sans modifications constitutionnelles pour s’éternisé au pouvoir d’état. Ce qui doit être recherche ici, en Afrique c’est la volonté unanime des dirigeants Africains de mettre l’homme au centre du débat sociopolitique, le citoyen Africain au cœur du débat développemental. Ce qui doit être recherche ici, en Afrique, c’est l’avènement d’une société Africaine plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire et régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous et respecté à toute épreuve par les dirigeants, le respect par les armées Africaines s’imposerait de lui-même, « la grande Europe ne connait pas de coup d’état, parce qu’aucun pays Européen ne l’admettra jamais et n’en sera jamais caution, aval, ou parrain ». Oui, Bis repetita, le 3 juillet 2022 à Accra, sera encore une rencontre pour rien, une rencontre Zéro-pointé. Que la nature protège l’Afrique, notre destin Commun, l’Afrique …

 

Un Kouma pour l’Afrique. De Lepetitfils Da Candy, Leader de la Légitimité Citoyenne, pour satisfaire aux exigences de son sacerdoce citoyen.

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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