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22 juin 2022 3 22 /06 /juin /2022 12:29
Lepetitfils : cette Couillonnade de fichu pouvoir d’Abidjan, devenu depuis très longtemps, suffisant, fou furieux de notoriété sociopolitique, sourd et aveugle, allergique à la contradiction, astreint le peuple ivoirien au summum de tous les  foutages de gueule, de tous les foulages au pied des droits et libertés, de tous les fouages démocratiques et électoraux digne d’un état paria, d’un état policiers, et d’un état voyou. Allons à la vraie réconciliation nationale, qui proscrit « le Moi ou Rien», pour avoir la stabilité sociopolitique et la paix nationale et internationale. Ce qui est dit, est dit.

Lepetitfils : cette Couillonnade de fichu pouvoir d’Abidjan, devenu depuis très longtemps, suffisant, fou furieux de notoriété sociopolitique, sourd et aveugle, allergique à la contradiction, astreint le peuple ivoirien au summum de tous les foutages de gueule, de tous les foulages au pied des droits et libertés, de tous les fouages démocratiques et électoraux digne d’un état paria, d’un état policiers, et d’un état voyou. Allons à la vraie réconciliation nationale, qui proscrit « le Moi ou Rien», pour avoir la stabilité sociopolitique et la paix nationale et internationale. Ce qui est dit, est dit.

*- Mille rencontres des trois Grands ne serviront à Rien.

Bon ! Redisons-ici comme ça recommence, qu’une vraie réconciliation nationale, est une œuvre sociopolitique d’union nationale, de rassemblement national, de sursaut national, de retissage des liens de la totalité social, de ré-soudage des liens intercommunautaire, de reformatage de l’esprit social commun. Elle est donc, incompatible avec l’entretien sciemment par des diversions, sur la crise qu’elle en résulte et dont elle a pour objet d’effacer la douleur dans la mémoire collective traumatisée. Donc la réconciliation nationale post-crise nécessite et doit avoir pour but, qu’on arrive à réapprendre au pays à se parler en nouveau, réapprendre aux peuples à s’admettre en nouveau et à se reconnaitre en nouveau, réapprendre aux communautés nationales diverses à se côtoyer en nouveau, et à s’admettre mutuellement dans la concorde civile, comme l’égal les uns des autres en nouveau, réapprendre aux hommes politiques à accepter les différences idéologiques dans l’ordre du public en nouveau, réapprendre aux citoyens ivoiriens à vivre paisiblement sans heurt dans une société commune qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales en nouveau, Réapprendre aux peuples nationaux et les peuples venus d’horizons diverses, à se réadmettre conformément à l’idéal du vivre ensemble, cette valeur idéologique de Gauche. Et que tout ce monde est une seule limite le droit universel, dans toute sa rigueur, une seule valeur notre raison d’être des êtres Humains.

Donc pour que la réconciliation soit productive pour la Côte d’ivoire, elle ne peut se faire en dehors du consensus des acteurs politiques, « ou il n’y aura ni petit acteur et ni grand acteur, tous égaux au tour de la table ». Donc,  les hommes politiques de tous bords politiques d’abord dans un premier temps. Oui ! Ce sont les acteurs politiques a quelques nivaux qu’ils se situent, qui sont les problèmes, ce sont eux qui font les problèmes et ce sont eux qui posent des problèmes à résoudre, ou il n’y a n’en pas de problèmes majeurs, en tout cas, ou le commun des mortels n’en voient pas. La vraie réconciliation nationale ne se fait pas avec des discours creux de diversions, déconnecté de la réalité sociopolitique, et des actes quotidiens posés par les acteurs politiques et les gouvernants étatiques. Donc, pour arriver à la réconciliation nationale les problèmes sociopolitiques doivent se résoudre au niveau de tous les acteurs sociopolitiques d’abord consensuelle-ment. Et cela de façon impartiale, indépendante et dans une optique d’avenir paisible. Donc, en examinant le passé d’hier tous ensemble unis, pour mieux préparer le futur de demain.

Donc, tous ensembles, retisser le tissu social, restaurer les droits inaliénables et les libertés fondamentales, réécrire les normes de régularisation sociale, devenue anomique et restaurer les valeurs humaines bafouées. Oui, les acteurs de tous bords politiques d’abord dans un premier temps, parce que tous les problèmes sociopolitiques non résolus à leur niveau par le dialogue, la discussion, l’unanimité et le consensus, reste un problème non traité, qui gâchera tout un jour ou l’autre. Au cas contraire, même mille rencontres des trois grands ne résoudra rien, tant qu’un seul de leurs subordonnés placé sous leurs  subordinations au moment de faits de la crise sociopolitique querellée serait privé d’un droit inaliénable et d’une liberté fondamentale, «le lien social est politique et diplomatique». La réconciliation nationale post-guerre et l’autocritique qu’elle impose à chacun, n’est pas possible avec des hommes qui n’admettent pas la rigueur du consensus sociopolitique.  Et surtout, qui n’admettent jamais et au grand jamais s’être tromper. Or, un processus de réconciliation nationale, doit avoir la possibilité d’agir dans un cadre plus large et consensuel que celui d’une procédure judiciaire, qui s’astreint judiciairement aux violations supposées de droits humains individuels ou de groupe social a lui doigté, et dont les chefs hiérarchiques sont les premiers responsables, sans cette responsabilité les subordonnés n’ont aucun motif d’être  poursuite par une quelconque justice judiciaire. 

*- Arrêter le cycle infernal de la violence en politique et la politique violente dans l’arène sociale.

Donc, nous sommes convaincus qu’un vrai processus national de réconciliation, est impossible avec des hommes qui veulent paraitre blanc comme neige au terme d’une crise sociopolitique dont les responsabilités sont graduées et graduelles. Et plus souvent cela malgré leurs mains aux couleurs Rouge du sang humain versé. Surtout, pour lesquels hommes politiques souvent gouvernants, la paix sociopolitique est l’absence de guerre et l’absence de corps humains a ramassé dans la rue et transporté à destination des lieux de disparitions forcé. Oui, des hommes avec une constance déconcertante qui proscrivent l’autocritique, la repentance, la contrition. Or ces valeurs humaines réelles, s’assignent comme but la renonciation au désir de vengeance et l’abandon des blessures de la crise du passé. Donc s’assignent comme but pour la totalité sociale souveraine, de rebâtir tous ensemble dans le respect mutuelle la nation souveraine en crise des piliers solides de droits, sur des substrats fiables de libertés, et de démocraties, qui lui éviteront de chanceler à nouveau dans un avenir proche dans la crise qu’elle tente d’effacer dans la mémoire collective ou même s’écrouler à jamais. La vraie réconciliation nationale sincère devient alors, la recherche inlassable d’arrêter le cycle infernal de la violence en politique et de la politique violente dans l’arène sociale.

Mais ici, au terme de la crise ivoirienne, le gouvernement nous dit que « Tous les prisonniers politiques sont sorties de prison » Donc, qu’il n’y a plus de prisonniers politiques en côte d’ivoire. Le degré de la subtilité sophiste de cette diversion gouvernementale, cette aporie politicienne d'obscurantisme, cette manipulation médiatique orchestrée est au-dessus de l’humainement acceptable. Oui, l’affaire cette mythomanie est gravissime, parce que ce sophisme est du gouvernement ivoirien atteint de maladie de mensonge incurable. Oui, cette fabrique aporétique est trop grosse pour passer inaperçue devant nos yeux et dans nos oreilles de citoyen libre, tant la diversion politicienne le dispute à la contradiction obscurantiste. Parce qu’il dénie un droit inaliénable à d’autres citoyens dans un cas exceptionnel « liberté c’est un  droit inaliénable et la détention « prison » est une l’exception ». Et hélas ! Se faisant, il prétend vouloir renforcer la cohésion nationale par la réconciliation bâclée et vidée de tous sens sociologique. Une chose et son contraire en même temps dans le même plat sur la table, l’indigestion ne saurait alors tarder dans le temps. Oui, en côte d’ivoire, il n’y a plus de prisonniers politiques de la crise postélectorale et sociopolitique de 2010, n’est autre chose que la parole publique décontenancée et la roublardise dans l’arène politique, qui pomper le vent aux citoyens

Oui,  le statut de prisonnier politique ne se décrète pas par un gouvernement, il est universellement prescrit dans des normes juridiques internationales et/ou conventionnelles. En effet, nous avons toujours dit et répéter, que n’importe quel acte judiciaire conduisant à une justification de crises politiques donne automatiquement le statut de prisonnier politique. Donc, si les ivoiriens veulent la vraie réconciliation, qui est incompatible avec l’entretien sciemment des crises, dont elle a pour objet d’effacer, il faut libérer les très nombreux prisonniers politiques de la crise électorale et sociopolitique de 2010, comme unanimement demander par le peuple ivoirien, et certains leaders politiques devenu solidaire sur cette question. La recherche de la stabilité politique et de la paix sociale l’oblige. Donc le postulat de la vraie réconciliation nationale ivoirienne est simple aujourd’hui, ni Saints ni papes. Il est question de prendre conscience pour le moment que la côte d’ivoire a besoin de sincérités, de sérieux, de concrets, de concis et de vérités nues et crues. Parce que la crise demeure dans la société a nos côté, logé dans des bicoques de l’injustice juridico-judiciaire et de l’injustice sociale et politique, nourris à la haine des appartenances. Donc,  il ne suffit pas aujourd’hui d’éluder habilement les problèmes par crainte  de perdre des intérêts sociopolitiques ou de faire sciemment fi de voir les causes de la crise sociale, pour pouvoir protéger des intérêts politiques mercantilistes, en se leurrant dans une politique de l’Autriche. Mais il convient plutôt d’agir constamment sur les causes premières pour pouvoir obvier les crises sociales et ainsi d’anticiper les perspectives d’avenir meilleur pour la totalité sociale.

*- En droit international pénal, le subordonné bénéficie des motifs qui ont prévalus à la libération de son supérieur.

Comment avec des prisonniers politiques collectionnés dans des lieux de détentions et des jeunes dirigeants de l’opposition véritablement pourchassés, réduit à l’état de cauchemar ambulant dans la nature en exil forcé, et avec tout ce corollaire-là, peut-on prétendre réussir une réconciliation vraie ? Nous n’y croyons pas. Si oui comment ? Parce qu’ils sont encore peut-être, nombreux ces prisonniers politiques selon l’acception ou la détermination de prisonniers politiques du conseil de l’Europe. Qui prescrit que, toute personne est prisonnier politique: « )- A. si la détention a été imposée en violation de la liberté de pensée, de conscience et de religion, la liberté d’expression et d’information et la liberté de réunion et d’association; )- B. si la détention a été imposée pour des raisons purement politiques sans rapport avec une infraction quelle qu’elle soit; )- C. si, pour des raisons politiques, la durée de la détention ou ses conditions sont manifestement disproportionnées par rapport à l’infraction dont la personne a été reconnue coupable ou qu’elle est présumée avoir commise; )- D. si, pour des raisons politiques, la personne est détenue dans des conditions créant une discrimination par rapport à d’autres personnes; ou, )- E. si la détention est l’aboutissement d’une procédure qui était manifestement entachée d’irrégularités et que cela semble être lié aux motivations politiques des autorités ». Au vu de ces principes susmentionné des critères universels de désignations ou de détermination de statut de prisonniers politiques « surtout en ses C-D-E ». Il est difficile de soutenir aujourd’hui qu’il n’y a pas de prisonniers politiques de la crise électorale et sociopolitique de 2010 en côte d’ivoire.

Surtout cela, tant qu’un seul acteur majeur et chef de file politique « assumé » de son camp, pendant ladite crise politique postélectorale ivoirienne, revendiquera des subordonnés toujours en prison depuis 2010, a la suite la guerre qui s’en est résulté. Donc, ici lesdits subordonnés revendiqués par un acteur majeur, et chef de file politique garderont le statut juridique international légal de prisonniers politiques. Donc pour la réconciliation nationale il faut les libérer. D’autant plus qu’un acteur majeur de la crise postélectorale et sociopolitique plaide en ces termes en faveur de ses subordonnés, «j’étais leurs chefs de file, moi je suis dehors aujourd’hui eux sont toujours en prison. Ces propos ne se confinent pas seulement à leur hauteur diplomatique, à leurs carrures politiques et à leurs responsabilités de dirigeants d’état, mais ils sont aussi très bien audibles au bas de l’échelle de la société ivoirienne et dans le français du village. «Même pour nous-là, c’est Français très propre, même autour de notre plat de Garba, on peut t’expliquer-ça,  parce que Kouma-là est Gbê-de-Gbê». Oui, aux yeux du droit international pénal, aux yeux du droit international Humanitaire, les subordonnés sont automatiquement bénéficiaire des motifs qui ont prévalus à la libération du supérieur hiérarchique au terme d’une procédure judiciaire et aussi en conséquence de tous actes juridiques et/ou politiques. Parce que les subordonnés sont emprisonnés pour les mêmes faits reprochés à leur chef hiérarchique devenu judiciairement ou juridiquement, sinon politiquement libre.

Oui, à partir du moment que les subordonnés sont individuellement et nommément identifiés, qui font d’eux des subordonnés du chef hiérarchique, il est irréfragable en droit international pénal, que toute action pénale qui leurs est reprochés dépend et s’éteint avec l’action pénale engager à l’encontre du chef hiérarchique. Oui, c’est de droit réel, que quant au terme d’une procédure pénale judiciaire, le lien qui unit les subordonnés exécutants à leurs chef hiérarchique, est pyramidé tel que, ce lien place les subordonnés exécutants sous la subordination institutionnelle et systémique du supérieur hiérarchique étatique, qui répond pénalement d’un quelconque acte, la solidarité des conséquences judiciaires devient indélogeable et inextricablement liée. Surtout quand l’infraction est supposée commise sous l’ordre matériel du supérieur hiérarchique. Oui, l’action pénal devient un tout in-détachable. Et en droit international public, surtout en droit international général, qui a pour sujet les états souverains, ce sont les autorités legitimes-légales hiérarchiques qui nomment les subordonnés, qui reçoivent en retour les ordres et commandements, auxquels ils ont le devoir légal d’obéissance rigoureuse absolu, ceci est d’ordre républicain. Ceci est conforme au fonctionnement de l’état républicain de droit qui est ainsi pyramidé, afin de légalement lubrifié le fonctionnement systémique de l’organisation étatique et sociale, et de le mettre à l’abri des interactions délibérées.

*- Le UNHCR n’est pas mère du droit d’Asile, il est gestionnaire conventionnel, il n’est qu’appliquant de ce droit.

Donc nous disons fermement ici, que « Tous les prisonniers politiques sont pas sorties de prison », Non ! « Mouk » jamais de la vie, il y a prisonniers politiques en prison, c’est clair et net, même la MACA  peut témoigner. Et aussi, depuis les crises cycliques en répétition régulière, il y a des exilés politiques partout, qui ne dépendent pas en droit international, d’un état délivreur de passeport. Le statut d’exilé est ressortissant du droit international coutumier « le droit des droits » qui se situe au-dessus des états, parce que hors de la portée des exigences de principes d’appartenances étatiques. Oui, « dix (10) ans d’enfer, dix (10) ans de vie gâchée, dix (10) ans d’ostracisme haineuse afin de hypothéqué à jamais toutes avenir meilleure ou de survie pour les exilés et consorts,  avec à la clé la damnation à une improbable possibilité textuelle de réinsertion économico-social, dans leurs pays, qui manifestement n’est plus soudé et n’est plus solidaire, comment au temps de la solidarité agissante Houphouët-ienne, ou ici, tous leurs devenir se retrouve en péril. Donc, ceci ne se solde pas avec des tractations de non-droit et des discours conventionnels interétatiques creux déconnecté des droits réels des tiers et de la réalité économico-sociopolitique du pays querellé ». Et le UNHCR n’est pas mère du droit d’Asile, il est gestionnaire conventionnel, il n’est qu’appliquant de ce droit, le UNHCR n’est pas aussi propriétaire moutonnier des exilés dans leurs pays d’exil. 

Disons ici, aussi au surplus, qu’il n’y a rien a fêté, ni a revendiqué comme motif de satisfaction sociopolitique, quand il s’agit d’un passeport remis à un citoyen par l’état de sa nationalité, ou en vertu d’une convention internationale dont celui-ci est parti, et qui a l’obligation de délivré des pièces à ses ressortissants attestant de leurs nationalités ou de leurs appartenances à leurs nation. Sauf si la déportation équivaut à changement de nationalité ? Et si tel est le cas, cet état aurait viré en état paria et policier, sinon voyou. Délivré des pièces à ces ressortissants s’impose à l’état. Donc, terminons en disant que, ceux qui croient encore à la réconciliation nationale version et option  du pouvoir d’Abidjan, qu’ils ne se leurrent pas. Il n’y aura pas de dialogue politique sincère, inclusif, républicain, entre l’opposition et le pouvoir, pour arriver à la vraie réconciliation, si les jeux demeurent truqués d’avance, non ! La réconciliation nationale suppose le dialogue largement inclusif, dans un cadre républicain et social, et dans un consensus sociopolitique national. Or le pouvoir d’Abidjan ne recule devant aucune catastrophe pour assouvir son dessein sociopolitique, parce que réputé intransigeant autour de la chose publique et dans l’ordre du public.

Oui le pouvoir d’Abidjan devenu depuis fulminatoire, outrageux, fou furieux de notoriété sociopolitique, sourd et aveugle, dégonflé, Niais, allergique à la contradiction du débat démocratique, n’admettra jamais une reforme sérieuse du système de l’organisation sociale et de la gestion sociopolitique étatique, qui met ses chances de s’éternisé au pouvoir d’état en péril. Et dans sa compréhension, la réconciliation nationale et la paix sociale doivent obéir aux exigences de sauvegarde des acquis de sa conservation du pouvoir d’état dans la durée du temps. Et c’est pour cela que ce pouvoir d’Abidjan, astreint le fichu peuple souverain ivoirien au summum de tous les  foutages de gueule, de tous les foulages au pied des droits et des libertés et de tous les fouages démocratiques et électoraux digne d’un état paria, d’un état policiers, et d’un état voyou. « Donc, comme dit plus haut, une vraie réconciliation nationale, est une œuvre sociopolitique de d’union nationale, de rassemblement national, de sursaut national, de retissage des liens de la totalité social, de ré-soudage des liens intercommunautaire, de reformatage de l’esprit social commun. Elle est donc,  incompatible avec l’entretien sciemment par des diversions sur la crise qu’elle en résulte et dont elle a pour objet d’effacer la douleur dans la mémoire collective traumatisée ». Allons a la vraie réconciliation nationale, pour avoir la stabilité sociopolitique et la paix nationale et internationale, tout est lié. Sur ceux, citoyen ! J’ai Kouma !  Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous ».

Un KOUMA, dit en passant de Lepetitfils Da Candy, Leader de la légitimité citoyenne.

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