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31 mai 2022 2 31 /05 /mai /2022 18:29
Lepetitfils : C’est par l’abandon d’une partie des droits naturels au profit de la société commune qui rend l’état de droit effectif. Donc, d’où la seule manière dont chacun renonce de soi à ses droits et à sa liberté naturelle et entre dans les rapports de la totalité sociale commune dénommée état, est celle dont chacun s’entend avec les autres composantes de la société, afin de s’unir en une communauté unique appelée l’état républicain de droit, en vue d’un mode commune de vie sécurisé, commode sûr et paisible. Avec un souverain « l’état » qui protège les personnes physiques et leurs biens.

Lepetitfils : C’est par l’abandon d’une partie des droits naturels au profit de la société commune qui rend l’état de droit effectif. Donc, d’où la seule manière dont chacun renonce de soi à ses droits et à sa liberté naturelle et entre dans les rapports de la totalité sociale commune dénommée état, est celle dont chacun s’entend avec les autres composantes de la société, afin de s’unir en une communauté unique appelée l’état républicain de droit, en vue d’un mode commune de vie sécurisé, commode sûr et paisible. Avec un souverain « l’état » qui protège les personnes physiques et leurs biens.

«KOUMA» : chacun s’occupe de son coin ? » 

(Disons d’emblée ici, que le métier politique, la vrai politique d’intérêt public, consiste en partie pour nous à saisir le moment favorable pour soulever un problème sociopolitique. Quand bien même le problème existait avant et existe dans la réalité, ne l’oublions pas, sans quoi la politique ne serait que du vent à pomper aux honnêtes citoyens et l’orchestration de l’obscurantisme et des actes du nébuleux). 

Donc disons ici qu’avec l’idée saugrenue de l’auto-surveillance sectorielle et communautaire, « chacun s’occupe de son coin d’évolution ? » le droit qui sied à un état de droit réel, a foutu le camp de notre état dit républicain de droit. En convenons-en  que, c’est par l’abandon par chacune des communautés diverses et par chacune des sociétés composites, et aussi par chacun des citoyens libres, d’une partie de leurs droits naturels au profit de la totalité sociale commune, pour pouvoir arriver à une entité abstraite commune, qui rend l’état républicain de droit effectif. L’esprit  initial  de cette   conception de l’état républicain de droit, réduit son  existence matérielle, à l’ensemble des citoyens mis à égalité de droits et de chances, inscrit dans une logique de commune protection des personnes et des biens. Nous disons donc de façon Litote que : L’idée de l’Etat républicain de droit à fait son apparition, pour la première fois, en Angleterre, au XVIIe siècle, dans le contexte des disputes entre le Parlement et la monarchie, le premier essayant de limiter le pouvoir discrétionnaire du Roi et d’instituer la suprématie de la Loi dans toute l’activité de l’Etat. Les sources d’inspiration pour une telle conception se trouvent dans l’Antiquité grecque, dans la philosophie politique d’Aristote. Ce dernier considère que le mieux serait que « la loi gouverne, plutôt que n’importe lequel des citoyens ».

Parce que la loi, en tant qu’expression du droit naturel, de la liberté, de la justice et du bien général, se trouvera au-dessus des passions, intérêts et de la subjectivité des individus. En considérant ainsi que, la loi voulue par le peuple consentant, doit être le fondement de toutes les relations humaines et de toutes actions publiques. Les promoteurs de cette idée seront les initiateurs de la théorie de l’Etat de droit, laquelle deviendra une conception dominante des sociétés modernes. C’est pourquoi la privatisation sécuritaire « chacun s’occupe de son coin ? » contredit la notion de l’état républicain de droit, qui veut que la loi doit être impersonnelle et d’assurer les droits et les libertés de tous. Parce que, les passions, les intérêts et la subjectivité des individus, triomphent lorsque, tout est décidé sectorielle-ment dans des chasses gardes «ou, chacun s’occupe de son coin d’évolution ?», ou par un pouvoir d’état déviant non maitrisé, qui veut que les citoyens puissent organiser leur propre défense, dans un abracadabrantesque poulailler étriqué, sans ouverture aucune, sans issue de secours en cas de danger de renard et de Loup, la raison du plus fort est toujours la règle dans ce cas. D’où les fanfaronnades d’éloges mytho-maniaque intéressées et soutenues par des brigandes d’acclamations sectorielles disposent se faisant des expertises sociétales doctes et des analyses esthètes.

Ceci est une évidence, «Puisque chacun doit s’occuper de son coin périmètre d’évolution ? » en lieu et place de la loi voulue par le peuple consentant à vivre dans une entité commune dénommée l’état républicain de droit. Et se faisant, quand, la commune régulation sociale ne réside pas dans les lois voulues par le peuple consentant, l’Etat devient paria, balkanique, despotique et n’est plus de droit, car la loi voulue par le peuple consentant, devrait être au-dessus de tout ce qui est, et de tout ce qui doit être. Comme déjà souligné : « En considérant que la loi voulue par le peuple consentant, doit être le fondement de toutes les relations sociétales et de toutes actions publiques. Les promoteurs de cette idée seront les initiateurs de la théorie de l’Etat de droit, laquelle deviendra une conception dominante des sociétés modernes ». La première impulsion à cet égard viendra de la part des penseurs, éclaireurs, lesquels se rapporteront directement au conflit apparu vers le milieu du XVIIe siècle entre l’absolutisme monarchique et les tendances d’émancipation politiques des sujets de Sa Majesté, en Angleterre ». Oui, l’absolutisme monarchique opposé à l’émancipation citoyenne, c’est de cela qu’il s’agissait hier, tout comme c’est de cela qu’il s’agit aujourd’hui.

Donc nous avons dit que, c’est par l’abandon d’une partie des droits naturels au profit de la société commune qui rend cet état de droit effectif. Donc, d’où la seule manière dont chacun renonce de soi à ses droits et à sa liberté naturelle et entre dans les rapports de la totalité sociale commune dénommée état, est celle dont chacun s’entend avec les autres composantes de la société afin de s’unir en une communauté unique appelée l’état de droit, en vue d’un mode commune de vie commode, sûr et paisible. Fondée sur une commune protection des personnes et des biens, c’est ainsi, qu’aucune approbation d’une majorité ou d’une minorité fractionnelle ou sectorielle de cette communauté unique, «chacun s’occupe de son coin ?», ne saurait être bonne ou valable, parce qu’elle viole déjà, les normes et principes qui régissent le pacte de l’état républicain de droit, qui est le socle fondateur et le substrat d’existence sociétale de cette communauté unique devenu de destin commun. Oui, «chacun s’occupe de son coin d’évolution? »,  l’état républicain de droit est en danger en assignant a population sectorielle ou communautaire, la police de leurs propres existences sociétales, qui va entrainer la violation des pactes/normes qui régissent l’entité qui forme la société commune, d’une citoyenneté commune, qu’on a dénommé volontiers l’état républicain de droit.

Oui, une chose est certaine, si nous devons continuer à croire, que la condition de membre de l’entité commune et unique « l’état républicain de droit », et d’une communauté unique nationale, et des citoyens d’un Etat de droit, a pour toute origine, la volonté de multiples sociétés composites, peuplées de gens libres, qui ont volontiers accepté une certaine limitation de leur liberté naturelle en échange des avantages évidents, résultant de leur intégration dans une communauté unique appelée l’état républicain de droit, a pour mission d’assurer la sécurité des personnes et des biens, dès lors « chacun s’occupe de son coin ? », est une carence et une faillite de l’état républicain de droit. Donc, qu’ainsi, la personne qui a reçu l’investiture de cette communauté unique, afin de veiller au respect des règles introduites pour la défense/protection des droits, des libertés, de la propriété et de la vie de ses membres, l’ayant reçue en vertu des principes, pactes/normes préétablies aurait commis une transgression de la norme de régulation sociale de l’entité commune. Donc ainsi, « chacun s’occupe de son coin ? », est le transfert des prérogatives édictées dans la société commune qui s’accompagne du retour du pouvoir dans le souverain peuple qui l’a investi en fonction de ses socles sociétaux communs. Cet investi démissionne irréfragable-ment et certifie sa trahison envers la société.

Sans cette interdiction formelle, de transfert, «puisque chacun s’occupe de son coin ?» dans l’entité commune de ses prérogatives constituants, ceci aboutirait principalement sur une certaine inertie sociale, qui n’est pas une posture de communauté unique totalement libre. Donc, ici, les choses doivent changer du tic au tac, lorsque la personne qui a reçu l’investiture de la communauté unique, transfert ses prérogatives dans l’entité commune et a la charge de la composante sociale diverse, « chacun s’occupe de son coin? », ou s’il tend à convertir une tâche sociopolitique de la communauté unique, en un privilège indu, ou quand il ambitionne de se muer de serviteur de la communauté en maîtres absolu de cette communauté unique totalement libre, «chacun s’occupe de son coin d’évolution?». Si telle est la situation, la communauté unique solidaire, en vertu des principes et droit naturel de son substrat constitutif, peut recourir au droit inaliénable de tout peuple, librement constitué en une entité commune abstraite « l’état » a disposé de lui-même et au devoir absolu de citoyen libre. Et, en même temps, avec l’obligation rigoriste d’exiger le respect des clauses qui a permis à de multiples communautés ou de sociétés diverses a se constitués en une entité unique et sur la base duquel fut institué la communauté unique et solidaire qui a conduit à l’état républicain de droit.

Si la personne ainsi failli, qui a reçu en vertu des principes et pactes  sociétaux, l’investiture de la communauté unique, oppose de la résistance quelle qu’elle soit à cette sollicitation légale, légitime, alors son remplacement devient inévitable par la communauté unique dont il est ressortissant. Parce que la communauté unique se trouve attaqué dans son substrat d’existence. Et l’état républicain de droit aurait viré à la monarchie aveugle, à l’état de nature ou la force est ROI. Donc nous disons que l’état de droit se vit, se pratique et ne se privatise pas, ne se transfert pas, «chacun s’occupe de son coin d’évolution ?, ne se chante pas. Donc, comme déjà dit,  il faut dès lors retenir que la condition de membre d’une communauté unique et de citoyen d’un Etat républicain de droit, a pour toute origine la volonté de multiples sociétés composites peuplées de gens libres, qui ont volontiers accepté une certaine limitation de leur liberté naturelle en échange des avantages évidents, résultant de leur intégration dans une communauté unique appelée l’état protecteur de tous. «Protecteur de la libre circulation, des droits et libertés, des personnes et de leurs biens» ; Donc, un état de droit ne tient qu’à la protection/reconnaisse matérielle des droits fondamentaux de tous, dans leurs originalités absolues, à l’intérieur de l’égalité de tous en droit et en devoir, et la protection égale de tous de leurs personnes et de leurs biens. C’est-à-dire assurer la totale sécurité physique des personnes, et de leurs biens.

Oui ! Quand ces principes fondamentaux sont violés, la boite noire étatique des relations sociétales et le voile de l’entité sociale commune abstraite doivent être percés. Donc, ici, il ne s’agit de consolider, de respecter le pacte d’état républicain de droit. Avec la pratique édicte de l’auto-surveillance sectorielle ou communautaire, «chacun s’occupe de son coin ?» ce pacte salvateur n’existe plus pour une très grande partie du peuple souverain ivoirien, «nous nous d’ici, nous sommes de-là, ou nous sommes de là-bas » la ségrégation socio-politique, l’Apartheid politico-social, la sécession mentale, dans tous ses états, par la protection des chasses-gardés, par les privilèges indus, qui alimentent souvent des affrontements entre les communautés nationales diverses. Il existe aujourd’hui une grande partie de la population ivoirienne pour laquelle le pacte de l’état républicain de droit, et le pacte intransgressible de l’exigence de la promesse citoyenne d’égalité de tous, même aussi le pacte de la propriété coutumière immémoriale, inaliénable, incessible, incommutable, insaisissable, ne s’appliquent pas, d’où des affrontements intercommunautaires cycliques, des conflits et des litiges renouvelés soumis à la force des muscles, avec tous les travers économico-sociopolitiques.

*- Le lien social, est politique et diplomatique, d’où chacun doit voir ses griefs sociétaux soldé dans le consensus.

A la lampe de la lumière de ce qui précède si dessus, «chacun s’occupe de son coin?» ce que nous visons, est que, dans notre pays la côte d’ivoire, que plus jamais aucun citoyen ne soit pris par sa différence géographique et sociopolitique, que personne ne soit jamais réduit à ce à quoi sa spécificité biologique ou confessionnelle le destine. Que l’autre dans sa différence quelle qu’elle soit, demeure un frère ou un ami, mais ne soit plus jamais un ennemi, «chacun s’occupe de son coin ?». Que comme dans toute nation souveraine et dans tout état républicain de droit, que l’homme quel qu’il soit l’emporte sur son appartenance géographique, biologique, politique, sociale et religieuse. Que les personnes physiques ne soient plus jamais une fixation différentialiste. Que le social prime à jamais sur la génétique, que la nationalité commune prime sur le tribalisme-ethno-communautarisme. Que la citoyenneté commune prime sur le clanisme des intérêts politiciens. Que la laïcité prime sur la confession. Que le collectif prime sur la politique des murs diviseurs dans la société commune, «chacun s’occupe de son coin Que l’universalisme prime sur le nationalisme primaire. Et que la société policée prime sur la société prédatrice de jungle ou l’arbitraire est Roi, avec le règne sans partage sur une société hallucinée et martyrisée. Et que l’état républicain de droit soit une réalité visible, ostensible.

Afin de construire une société ou l’homme incarnerait la centralité, et ou le citoyen serait le cœur de toute action économico-socio-politique. Dans une entité commune sociétale, réellement devenue un état républicain de droit, qui mettra l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental et qui conduirait à l’avènement d’une société plus paisible, plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire et respectueuse du droit. Une société devenue un état républicain de droit, ou le lien social serait incassable et reconnu éminemment politique. Ce qui permettra aux groupes sociaux, aux mouvements graduels de la société, aux organisations corporatives et aux individus, de vivre paisiblement en commun dans une société cohérente et harmonieuse. Et surtout qui les permettrait tous ensembles de faire société et vie communes, sans heurt majeur, dans l’acceptation réciproque des différences sociétales, sans que «chacun ne soit obliger de s’occupe de son coin ? Notre soucie de toujours est que, dans notre pays la côte d’ivoire, une mutation sociale d’irruption imprévue, non-contrôlée, non-maitrisée, non-conforme au calendrier d’agencement sociétale des pères fondateurs et orchestrée par une politique carriériste aveugle, tend à fragiliser le lien social, qui est éminemment politique. Cela en lieu et place de sa consolidation systémique, par la justice sociale et par la justice juridique, pour chacun, qui témoignerait sans aucun doute de sa très bonne santé, et du dynamisme étatique, et la fiabilité de l’organisation dans la société ivoirienne.

Une mutation sociale d’irruption imprévue qui  engendre la création/formation «chacun s’occupe de son coin ?», des segmentations sociétales, des compartiments d’intérêts personnels et des murs diviseurs dans la société. Une tendance qui affaiblit la cohésion sociale de la nation une et indivisible, qui dénature l’état républicain de droit et la notion d’une société démocratique. Nous y sommes désormais, et sont devenus des valeurs, le grand désordre, le tout permis, la concussion, le copinage, l’argent n’a plus d’odeur dans la vie sociale, et la dépravation des mœurs sociétales est ostensiblement portée par des pratiques importées «chacun s’occupe de son coin ?. Les ivoirien, hier solidaire à toutes épreuves sont désormais aujourd’hui contraint ou de, tous tomber volontiers dans l’apologie des différences, de toutes sortes. Oui, c’est parce que le lien social, est hautement politique et diplomatique, que chacun doit être reconnu dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous, et chacun doit voir ses griefs sociétaux soldé dans le consensus, dans l’exaltation de la diversité solidaire. Avec la protection étatique de tous, digne d’un état républicain de droit, enfanté par le frottement des méninges de l’antiquité grec, cultivé par les idées d’Aristote, à la suite savante de Platon, et ventilé par les soins millimétré de John Locke. Oui, l’état républicain de droit. Ceci est notre but au terme de cette KOUMA.

« Oui, Chacun s’occupe en police de son coin d’évolution ? NON !!! Ceci est ressortissant de la loi de la jungle ou les prédateurs délimitent unilatéralement leurs frontières. Chacun s’occupe ou fait le policier de son coin d’évolution ? NON !!! Cette segmentation de la sécurité commune ou balkanisation est une faillite de l’état républicain de droit, qui ne peut trouver de justificative dans son échappatoire désigné le COVID-19, devenue un malheureux paravent justificative d’une manifeste carence étatique et d’une faillite étatique totalement consommée d’un état devenu paria qui concède la police aux pauvres populations éparses ». Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.

*- UN KOUMA «chacun s’occupe de son coin ? » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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