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20 mai 2022 5 20 /05 /mai /2022 20:17
Lepetitfils : Nous voulons une olympiade démocratique en côte d’ivoire notre pays a nous, avec des grands amortis de ballon, des reprises de volets magistrales, des coups-francs destinés aux lucarnes, des penalties justifiés sans discutions, des frappes sèches, des tirs secs, des reprises de la tête de corners rentrant hors-portés, et quelques rares Buts de la main-de-Dieu qui font partie du jeu et dont l’acceptation relève du fair-play. Donc, du jeu conventionnel,  classique, hors-porté des politicards, aux jeux extraordinaires au-dessus des nais et pygmée démocratiques.

Lepetitfils : Nous voulons une olympiade démocratique en côte d’ivoire notre pays a nous, avec des grands amortis de ballon, des reprises de volets magistrales, des coups-francs destinés aux lucarnes, des penalties justifiés sans discutions, des frappes sèches, des tirs secs, des reprises de la tête de corners rentrant hors-portés, et quelques rares Buts de la main-de-Dieu qui font partie du jeu et dont l’acceptation relève du fair-play. Donc, du jeu conventionnel, classique, hors-porté des politicards, aux jeux extraordinaires au-dessus des nais et pygmée démocratiques.

CHRONIQUE-RETRO : KOUMA, LA DANSE DU DIABLE.

 

D’emblée disons-le, tout net, pour les élections locales qui attisent des intérêts politiques légitimes auprès des partis politiques, le décor est planté, le cocktail explosif est là ! Au tour d’une Grenade à goupille tirée, la danse des diables semble prévue pour 2023 ? Donc, plus de nuances comme aux législatives validant d’un pouvoir déviant, c’est sûr et certains qu’avant les élections locales, qu’il n’y aura pas de révision d’équilibrage du frauduleux découpage électoral actuel, la commission électorale ne changera pas non-plus. Pas question ! Parce que le découpage électoral frauduleux qui permet d’obtenir une majorité factice et la CEI actuelle servent trop bien les cause du pouvoir d’Abidjan, pour que quiconque en côte d’ivoire «d’aujourd’hui» puisse exiger leurs équilibrages pour obtenir des élections transparentes, libres, justes et démocratiques, dédouanées de toutes les scories passéistes de trucages électoraux. Quoi de plus normal, avec deux (2) chambres suivistes de députés « assemblée-Senat, Flêkê-Flêkê», aux votes automates dans l’exécution des projets qui émanent du pouvoir exécutif assujettissant, et qui pourront au terme d’une génuflexion seigneuriale, jeter l’organisation sociale au pied du pouvoir exécutif, en le permettant de gouverner par ordonnance.

 

Tout est bouclé semble-t-il, par les champions de l’obscurantisme politique sectaire, qui ignorent les petits marteaux citoyens, qui eux aussi ignorent les grands bouclages nébuleux. Oui, c’est connu de tous, que comme un corps malade secrète des anticorps, la démocratie désenchantée de la côte d’ivoire a instruit, inventé et appelé de nouvelles pratiques politiques qui tentent désespérément peut-être, de faire porter la délibération politique, qui se veut collective, sur des sujets et objets réels et non sur des fictions politiques et des mythes fabriqués de toutes pièces. En pensant démocratiquement, que c’est peut-être cela le prix à payer pour la mise en place d’une démocratie plus prosaïque, mais plus consistante. Mais ici, au prisme de la  situation sociopolitique, la voie tracée est connue vers une razzia sur le trucage électoral par ceux, aux commandes de tous leviers du pouvoir d’état, et qui détiennent une sérieuse expertise en la matière et plusieurs fois réaffirmés. Bon ! Que la nature maudisse ces politicards carriéristes ces arrivistes renégats, jusqu’au garage de l’oubliette socio-politico-démocratique-électorale. Soyez condamnés messieurs à vos tonnes de cocaïnes ! Que Dieu d’Abraham veille sur la damnation de l’expiation aux couleurs cocaïnes.

 

Oui ! A la lunette des analyses doctes, esthètes et expertes, des droits civils et politiques, nous pensons que, lorsque des gens ne figurent plus sur la liste électorale, privé du droit élémentaire de la citoyenneté, que lorsque des gens « citoyens » ont déjà été privé de leurs droits civils et politiques, en exécution d’une condamnation à défaut, au terme d’une élection majeure « celle présidentielle », à quoi sert donc de signer des papiers et de s’inscrire dans un processus électoral qui ne solde pas les antécédents judiciaires de faits et dans un processus qui est visiblement bâclé avec des jeux truqués d’avance, « on va aux élections et c’est moi le gagnant désigné ». Sauf à vouloir peut-être espérer se voir signifier à l’arrivée, le rejet de certaines candidatures pour condamnation par défaut judiciairement non soldé. Cela quand la diversion roublard serait obligé de se dévoilé. « Bon ! Nous redoutons et voulons obvier la politique de versatilité, les pactes maléfiques et sataniques et le misérabilisme politique alimentaire de prostitution. Nous en avons horreur »… Donc nous disons, qu’il faut plus que le financement des partis politiques, et les intéressées sélections des interlocuteurs politiques et le théâtre de l’interlocutoire pour arriver à des élections justes et à la paix sociopolitique.

 

Donc, disons-nous, qu’il faut des principes clairs autour desquels se fera la convergence vers le vivre en commun sociopolitique au mépris de la concrétion souhaitée. Donc, disons-nous, qu’il faut des actes organisateurs prescrits, neutres et impartiaux, une norme de régulations sociopolitiques consensuelles qui définissent le système, les mécanismes et mode d’accession au pouvoir d’état, conformément au droit universel, et qui marqueront le consensus social autour de l’organisation sociopolitique, qui échappera ainsi au contrôle des pouvoirs d’états, quel qu’il soit. Donc, disons-nous, qu’il faut une organisation socio-politico-démocratique et électorale, qui donnera la primauté à l’affirmation du «gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple», prescrit dans une norme de régulation sociale nouvelle. Et quant au processus électoral, qu’il faut que ses règles obligent de tenir l’exigence de la promesse républicaine de l’égalité de tous en droit et devoir, indépendamment de nos castes, de nos origines nationale et sociopolitiques, de nos convictions philosophiques, de nos croyances religieuses, sans aucune politique de protection des intérêts politiciennes mafieux, des uns et des autres. Et d’ouvrir largement à l’égal accès de tous, les structures de gestions étatiques de souveraineté, de gestions des institutions de l’organisation étatique qui enfantent les pouvoirs.

 

Donc, comme nous avons toujours dit et redit : Ceci permettra d’obliger la dévolution du pouvoir d’état placé à équidistance de tous les citoyens candidats sur la même ligne de départ, pour des élections, libres, transparentes, justes et ouvertes. Surtout ou l’homme incarnerait la centralité de toute politique et le citoyen le cœur de toute action sociopolitique. Donc, ceci débouchera sur une voie légale de conquête ou de reconquête du pouvoir d’état. Dans le respect des droits, dans le respect des libertés, dans le respect des règles démocrates et dans une société de paix pérenne, qui admette l’hétérogénéité des sous cultures nationales. D’où le citoyen libre, enfin totalement libre, n’aura plus que le droit et les règles librement établies, pour limite. Où les hommes d’horizons diverses et les citoyens ivoirien vivront dans le respect de nos mœurs sociétales ataviques et selon le droit et règles de notre seule raison d’être des humains. Hélas ! Sans ses mesures souveraines, la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny vivra encore et toujours des crises socio-politico-électorales malgré elle. Que ceci ressort du classique universel démocratique, socio-politico-électoral.

 

Ici nous ne voulons pas prédire la future débâcle d’une stratégie politique peaufinée, bien agencée, ou anticiper les comportements des acteurs politiques d’en face gouvernants. Mais nous voulons ressortir certaines conséquences possibles de la coopération qui laisse l’espace électoral et le champ politique libre au fricotage et rafistolage électoral de non-droit. « Nous voulons une olympiade démocratique en côte d’ivoire notre pays a nous, avec des grands amortis de ballon, des reprises de volets magistrales, des coups-francs destinés aux lucarnes, des penalties justifiés sans discutions, des frappes sèches, des tirs secs, des reprises de la tête de corners rentrant hors-portés, et quelques rares Buts de la main-de-Dieu qui font partie du jeu et dont l’acceptation relève du fair-play. Donc, du jeu conventionnel,  classique, hors-porté des politicards, aux jeux extraordinaires au-dessus des nais et pygmée démocratiques. C’est de ça qu’il s’agit. La politique comme un jeu, comme un jeu d’équipe qui se gagne sur les terrains légaux avec ses règles universelles surveillées par des arbitres impartiaux et totalement indépendants des partis politiques».

 

Donc, ici nous plaidons pour des actions politiques, exigée par la situation sociopolitique, par rapport à l’évolution de l’engrenage du système démocratique, politico-électoral et de gouvernance. Et enfin pour qu’échoit au peuple souverain, sa légitime versatilité électorale, face aux faits et situations sociopolitiques, qui sied au peuple souverain libre de par le monde et toujours soutenue par la redistribution constante du personnel politique renouvelé, dans l’espace étatique et dans toute l’assiette territoriale nationale, qui fait naitre de nouvel intérêt dans la totalité sociale et qui change aussi la sociologie électorale par nature versatile. « Nous osons dire que c’est un tout petit couloir du jeu démocratique de marchepied, « doublement centriste » entre les deux grandes voies principales, traditionnelles de gouvernements, la Gauche et la Droite, qui a ouvert en 2017 la voie de l’Elisée a Macron, qui trône aujourd’hui sur un  gouvernement panier-a-Grappes ». Oui,  nous disons que la sociologie électorale est un contrat moral, une question de confiance, d’intérêt, de représentativité, dont le peuple contractant est le seul juge qui monnaie souvent sa docilité légendaire en versatilité cyclique, constante et régulière face aux imprévus sociaux. 

 

Bon ! Notre sujet, d’Aujourd’hui, est qu’un rapport final dit 5e round de dialogue politique ivoirien a permis l’attelage consensuel de ceux toujours sous l’emprise du Diable nébuleux avec le grand Satan en personne toujours au commande de tous les leviers démocratique et électorale, ces deux se donnent désormais les mains pour avancer en claudiquant vers un destin d’enfer pour le peuple souverain, qu’ils aiment à taxé de débauche de bonnes élections pour 2023, et à dire de progrès social et de paix sociale pérenne. Or dans cet attelage circonstanciel d’une assemblée à composition diabolique, démoniaque et satanique, l’autre est prêt à liquider son voisin, et les clans fractionnistes d’appartenances se regardent comme des armées rivales. Et les prisonniers politiques depuis onze «11» ans garnissent les lieux de détentions tous ressortissants d’une crise électorales, celle de 2010. Or on veut faire croire ici, que ceci ne solde nullement le socle de la paix sociopolitique, en réalité soldé depuis 2010, le substrat de l’état de droit républicain et démocratique est annihilé et anéantie depuis 2010. Ce qui a entraîné la lamentable déchirure sociale difficilement oubliable et les ostensibles affrontement intercommunautaire constantes, la dévalorisation de la représentation nationale ivoirienne dans le concert des nations par la promotion clanique des gens qui sont plus soucieux de leurs intérêts que du Bien public est-là patent, l’amateurisme sociopolitique et la haine insatiable dans la gestion étatique, soutenue par la génuflexion, la courbette, la prosternation, le « Flêkê- Flêkê » semblent réduire la politique à la piteuse tentative de gommage des sources de paix et de dégommage des substrats de stabilité politique des traces politiques indélébiles du mastodonte Felix Houphouët Boigny. Et avec le règne de Dieu l’argent, le bonheur perdu à trouver un support dans les tonnes de cocaïnes pour aller se refugié dans les Bétons et les goudrons en dehors du progrès humain. En compagnie de la vie très chère, un petit exemple dans les pays de la zone UMOA le sachet d’Eau coute 25 F CFA ici a-chez-nous-pays c’est 50 F CFA. Parce que nous sommes un pays à développement de vitesse effrénée et incotùolée.

 

Oui, l’emprise des politicards impénitents, fulminatoires, trameurs, outrageux, affairistes, truands, magouilleurs, logé à la limite du voleur, gêne la marche de notre pays vers un état de droit, vers un état Républicain démocratique. Leurs  pouvoir du système Ploutocratique se nourri de mensonge d’état.  Or le mensonge d’état est le pire des maux pour l’humanité, pire que Covid-19, pire que la peste, pire que le Sida, pire qu’Ebola, pire que le Cancer, pire que le Poison mortel dans l’eau de robinet. Parce qu’il tue insidieusement et le mensonge d’état est non seulement dévastateur, mais quand il tue c’est sournoisement de masse, pire que le Volcan « le troisième Mandat a fait combien de Morts et de Blessés ? ». Et hélas ! Cette barbarie affairiste et de voyoucratie politique, est devenue maitre de notre destin commun, et reste confortablement au commande du navire ivoire, qui roule vers l’abime économico-socio-politico-électoral en 2023-2025 et suivants. Donc, il est question pour nous de dénoncer ce pouvoir ploutocratique, mytho-maniaque et ses mensonges d’état, autour des élections qui se doivent d’être transparentes démocratiques, pluralistes en 2023-2025 et suivantes et dans un processus, qui doit se situé au-dessus de tous les pouvoirs d’états, en ce qu’elles enfantent les pouvoirs d’états. « Pouvoir d’état né du peuple s’entend». Oui, la côte d’ivoire va mal et très mal même. Donc, comme nous l’avons toujours dit, la côte d’ivoire est devenue un pays de Merde dans le concert des nations policées. Le mépris des droits et l’obstruction aux règles démocratiques universelles par une ploutocratie affairiste et mafieuse en sont la cause. « Il n’a pas de bon remède, sans un juste diagnostic. C’est le but visé par cette C-KOUMA avant la danse du Diable en 2023-2025 et suivants.». La côte d’ivoire d’aujourd’hui est le produit du pouvoir absolu d’hier, seuls les ivoiriens unis feront la côte d’ivoire de demain. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

Un KOUMA, dit en passant de Lepetitfils Da Candy, Leader de la légitimité citoyenne.

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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