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19 décembre 2021 7 19 /12 /décembre /2021 02:42
Lepetitfils : La Côte d’ivoire n’a plus besoin de soutien aux sangsues branchés a la mamelle de la pauvre côte d’ivoire, mourante et résignée qui s’exsangue. Oui, Nous Citoyen ! Si détenteur de 1% du pouvoir de DONALD TRUMP, nous logerons tous se monde de la CPI et tous ses qu’est-ce qu’il y a ? De casse-pied !  à la nationale MACA Abidjanaise, A-chez-nous-pays. Et le ciel ne bougera jamais ! Parce que la souveraineté pleine et entière restera au peuple ivoirien. Il y a trop de sangsues dans le Marigot politique ivoirien, surtout trop, trop de sangsues da la rizière gouvernementale.

Lepetitfils : La Côte d’ivoire n’a plus besoin de soutien aux sangsues branchés a la mamelle de la pauvre côte d’ivoire, mourante et résignée qui s’exsangue. Oui, Nous Citoyen ! Si détenteur de 1% du pouvoir de DONALD TRUMP, nous logerons tous se monde de la CPI et tous ses qu’est-ce qu’il y a ? De casse-pied ! à la nationale MACA Abidjanaise, A-chez-nous-pays. Et le ciel ne bougera jamais ! Parce que la souveraineté pleine et entière restera au peuple ivoirien. Il y a trop de sangsues dans le Marigot politique ivoirien, surtout trop, trop de sangsues da la rizière gouvernementale.

 

*- Même si vous n’êtes pas avec les sangsues, vous bouffer aussi.

Visiblement les chacals continus de zapper aux tendons du mollet de Dame ivoire, au nom de la crise postélectorale, qui continue à faire voler les charognards dans les décombre de la côte d’ivoire et le manges-mils aux services des sangsues branché à la mamelle de la côte d’ivoire. Justice ! Les mêmes refrains partisans se font sporadiques. Lisons ceci pour s’en persuader : «L’acquittement confirmé en appel le 31 mars 2021 de l’ancien président de la république et de son ancien ministre par la cour pénale internationale (CPI) a consacré l’impunité désormais accordée aux auteurs des crimes de la crise postélectorale de 2010-2011. L’acquittement de ces deux seuls suspects poursuivis devant la cour pénale internationale (CPI) signifie que les plus hauts responsables de ces crimes tant parmi les pro-Gbagbo que les pro-Ouattara ne seront jamais inquiétés». Voilà le refrain, nous y sommes, mais, nous aurions préféré pour notre part, voir les pro-Ouattara affronter la CPI et faire acquitter de la même manière dans un procès, avant de parler d’impunité accordée. Il faut noter pour rappel, que CPI avait chargé, Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé avec la charge des crimes contre l'humanité, (meurtre, viol, autres actes inhumains ou à titre subsidiaire tentative de meurtre, et persécution) supposés commis en Côte d'Ivoire en 2010-2011, tout en omettant, les crimes de septembre 2002 et suivant. Et le 15 janvier 2019, la Chambre de première instance 1 a acquitté M. Gbagbo et M. Blé Goudé de toutes ces charges de crimes contre l'humanité. Et dans sa suite linéaire, le 31 mars 2021, la Chambre d'appel a confirmé cette décision. Puisque, l’accusation n’avait pas apporté la preuve des éléments des crimes portés à la charge des accusés.

(Bon ! Ici dans le langage citoyen, A - chez -nous - pays, les choses, ne sont pas compliquées dû tout, «wahi !» Donc qu’on ne nous les complique pas. Alors que c’est clair. Voila ! Il y a une Affaires de cadavre, «môgô-fâgâ gbazan, zigouillé-môgô-dey, fou-falaki», et il y a les cadavres, morts, zigouillés, partout, et il y a les noms de deux (2) personnes seulement dans l’affaire, chacun dans sa cantonade avec fusils «môgô-fâgâ marfâ». Donc, les deux ont leurs noms mariés avec criminel de guerre, en tout cas, un des deux est le criminel de guerre, sans faute. Et un matin, il y a une justice «de gros-bras, genre Djon-bri»  qui vient soulever un des 2, qu’il «Gnou» jusqu’à, aller le poser dans son banc des accusés. Et après des années et des années, cette justice «de gros-bras, genre Djon-bri» vient un jour déposer en plein midi, celui qu’il a soulevé, pour dire à la face du monde, que le criminel ce n’est pas lui-là «mouk»-au grand jamais. Que ce n’est pas lui le criminel de guerre, des cadavres zigouillés, «môgô-dey fâgâ fou-falaki. Et la justice «de gros-bras, genre Djon-bri» d’avertir tout le monde, que celui qu’il vient de déposer-là, que l’homme qui met son nom dans criminel de guerre encore, que lui «justice-fângâtigui» va «Gnou» cet homme-là, jusqu’à, aller le poser dans son banc des accusés de menteur obstruction-aire a sa justice. Voilà les choses clair et net. Donc, entre nous dans ce pays, dans cette affaire, est-ce que le reste est compliqué à comprendre ? Non ! Le citoyen z’a pas bête-bête, le peuple non plus z’a pas mouton, «mouk»-jamais de la vie ! Pas bête ! Pas mouton ! Même au village Apkani, connait bien que quand tu enlèves 1 dans 2, qu’il reste 1 seul. Donc, s’ils ne peuvent pas regarder ce 1-lâ, dans les yeux, avec 1 œil, or 1 c’est 1, nous sommons ici donc, les chacals, les vautours, et les charognards de quitter dans les décombres de la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny, qui s’exsangue. Ce n’est pas compliquer, si vous z’a pas sangsues vous bouffer aussi».

*- Les vraies victimes de guerres en quête de dédommagement ne se préoccupent pas des couleurs politiques.

Bon ! Et  même dans le langage commun, c’est aussi moins compliquer : La crise postélectorale ivoirienne a offert aux ivoiriens deux (2) potentiels ou supposé criminel de guerres de cette crise que sont : Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo, tout le reste n’est qu’accessoire. Donc l’acquittement au terme d’un procès pénal de l’un des deux ne de peut pas être considéré comme l’impunité accordée, il reste toujours un potentiel ou supposé criminel de guerre qui doit affronter la justice internationale «CPI», pour se voir acquitter aussi, pour qu’on puisse parler d’impunité accordée. Mais rien à faire, chacals, vautours et charognards pondent, communiqué clownesque de diversion par-ci, conférence de presse de soutien voilé des ripoux iconoclastes par-là. Oui, les décombres de la pauvres côte d’ivoire semble donnent toujours à manger. Il y a la Malbouffe et ça bouffe tout de même. Mais, il ne faut pas se tromper de voie en observant uniquement que les possibles répercussions politiques de cette décision de la CPI, qui a totalement obéit aux règles de l’Art des procès pénaux internationaux, qui exigent que la responsabilité du chef hiérarchique soit la résultante de la responsabilité d’un ou des exécutants reconnus au terme du même procès. Donc on ne peut ignorer royalement que cette décision a respecter tous les aspect judiciaires d’une décision pénale internationale. Cela à commencer par l’élément déclencheurs de violations du droit fondamental ivoirien, qui n’a pas vocation à obéir aux prétentions individuelles des intérêts politiques personnels, au mépris des causales violations réelles de droits, sans lesquels violations, les crimes ne seraient jamais commis dû tout. Il convient dès lors, de souligner que la constitution ivoirienne qui a régis les élections querellées avait bouclé le contentieux électoral. Mais, hélas, dans une situation ou la politique ivoirienne était devenue depuis septembre 2002, une affaire de rapport de force armée, ou le pouvoir ne se trouvait qu’au bout du fusil. D’où la loi c’est moi, et surtout, nul n’était censé respecter le droit ou la loi, s’il avait pris la précaution de s’organiser en groupe armé rebelle pour devenir une force nouvelle, et de se déclarer en colère arme aux mains, pour défendre une cause quelconque. C’est de là qu’est née l’ensemble de la crise ivoirienne en 2002.

Donc, il convient de souligner que, si ces positions déclinantes sont motiver par le soutien aux victimes de guerres, ou est prise pour défendre les victimes de guerres, il faut dès lors souligner que, nul n’est besoin de se lancer dans des élucubrations sophistes plein d’apories, pour pouvoir asseoir le droit et règles de dédommagement des victimes de guerre. Ici, le civilement responsable des préjudices que les victimes ont subi, est connue de tous, l’état ivoirien est civilement responsable des préjudices de guerres, quel que soit l’auteur des crimes. L’état est civilement responsable des dommages subis. Cette responsabilité étatique est irréfragable en droit international pénal et en l’espèce, l’état a le devoir de prévenir et de protéger. Il faut noter aussi que depuis la légalisation de la rébellion ivoirienne «STATUT DE BELLIGÉRANT» par l’accord inter-belligérant de Linas Marcoussis, qui a consacré de droit la reconnaissance internationale des deux parties à la belligérance avec devoir, droit et responsabilité égaux, jusqu’au rajouts de 2011, ainsi, aux yeux du droit international pénal New-yorkais, la responsabilité civile de l’état de côte d’ivoire est définitive  et formellement engagée. Donc aujourd’hui, il est question seulement dès lors, de préconiser une voie sérieuse de dédommagement conséquent des victimes de guerres. Et ce processus de dédommagement conséquent s’impose aux tenants du pouvoir d’état quels qu’ils soient, les victimes de guerres ne se préoccupent pas des couleurs politiques.

*- C’est en cultivant les vertus du dialogue, de la tolérance et de la solidarité, qu’on arrive à la stabilité sociopolitique.

Donc on ne peut comprendre, qu’un défenseur de ces victimes aux droits acquis, n’ait d’autre cheval de bataille que la responsabilité pénal d’un seul belligérant et d’entrées en EXTASE face à l’idée de son acquittement judiciaire, tant disque, au  même moment l’autre belligérant vainqueur de guerre, exerce le pouvoir ? Depuis la nuit des temps, on n’est jamais vainqueur, pour avoir caressé tout le monde sur son passage, non ! Vainqueur de guerre, on n’est supposé avoir enjambé des cadavres, pas morts de maladies naturelles. La distance de Bouaké, jusqu’aux rues Abidjan, passant par Man, Duékoué, est témoin. Bon ! En côte d’ivoire, il n’y a pas de VICTIMES DE GBAGBO, il n’y a que des VICTIMES DE GUERRE  de 2002-2011 à ce jour à dédommager. Dédommagement autour duquel, la côte d’ivoire a la recherche d’une remontée à la surface des profondeurs Abyssales d’une crise, qui n’a que trop durée, n’a plus besoin de chacals, de vautours et de charognards, dans ses lamentables décombres. Et surtout n’a plus besoin de soutien aux sangsues branchés a la mamelle de la pauvre côte d’ivoire, mourante et résignée qui s’exsangue. « Oui, Nous ! Si détenteur de 1% du pouvoir de TRUMP, nous logerons tous se monde de la CPI et tous ses qu’est-ce qu’il y a ? à la MACA Abidjanaise, A-chez-nous-pays. Et le ciel ne bougera pas ». Parce que la souveraineté pleine et entière restera au peuple ivoirien. Il y a trop de sangsues dans le Marigot politique ivoirien, surtout trop, trop de sangsues da la rizière gouvernementale.

Donc, nous disons encore ici, et maintenant, qu’il est d’ordre public ou d’ordre social, et d’intérêt général, que de faire de la réconciliation nationale et de la paix sociale, une fixation absolue, au mépris de toute les autres considérations, y compris juridiques et judiciaires. Donc, c’est le lieu ici, de se répéter toujours, que la clé de la solution de la crise ivoirienne, est entre les mains du peuple souverain de côte d’ivoire. Personne d’autre ne viendra avec une autre clé magique pour trouve une solution magique à la crise ivoirienne qui perdure, a la place du peuple souverain de côte d’ivoire, ultime détenteur du pouvoir d’état. Ni la communauté internationale, ni les procédures de la Cour pénale internationale, «CPI», ne trouveront une solution, à une crise politique, astreinte à une solution politique ivoirienne. Reprenons notre vieux refrain qui est, qu’il n’y a pas d’autres solutions à la crise ivoirienne que celle du consensus politique. Il demeure constant, qu’en politique, noble Art, qu’il n'y a pas de vrai conflit politique sans une solution politique. Mais en politique, les crises insolvables, sont toujours soutenues par l’absence de dialogues inclusifs, fondés sur les défenses aveugles des intérêts politiques égoïstes et égocentriques. Or, il est d’une constance absolue qu’en politique, la vraie politique, c’est en cultivant les vertus du dialogue, de la tolérance mutuelle et de la solidarité diverse, «hélas ! Où l'emportent trop souvent la violence inouïe des diktats, l'intolérance face aux différences quelles qu’elles soient, l’insouciance des conséquences et l'égoïsme égocentrique», qu’on arrive à la stabilité sociopolitique, à la cohésion intercommunautaire et à la paix, par le biais d’une Vraie réconciliation réussie et ancrée dans les cœurs.

*- L’Amnistie générale référendaire est la manifestation régalienne de la souveraineté dans le concert des nations.

Donc il n’y a d’autre solution durable à la crise ivoirienne, que celle consensuelle issue du pardon, de la repentance, de la contrition des acteurs, au terme d’un dialogue sincère au tour d’une table. Et ensembles, de s’inscrire tous unis, dans une option, non pas de l’oubli, mais de pardon souverain, sur la voie de la réconciliation nationale vraie, et pour la paix sociale Houphouët-ienne. Qui n’a de siège que, dans les cœurs et dans les esprits, «d’où il sied de préféré l’injustice judiciaire d’intérêt public, au désordre social d’intérêt personnel». Afin que le tout soit couronné par une Amnistie générale référendaire. Se faisant ainsi, le réel pardon qu’accordera le peuple martyrisé au terme du vote référendaire, sera issu de l’attitude des acteurs politiques, coupables de crimes «inacceptables et injustifiables». Un dialogue exclusif donc, entre clan partisans ou satellites ne doit pas être baptisé dialogue politique qui se doit d’être inclusif. De-là, découlera la responsabilité civile de l’état de côte d’ivoire, pour les préjudices subi par des tiers, qui ouvre à réparer de droit. Parce qu’en droit, la simple carence en matière de prévention des risques de conflits, entraîne la responsabilité civile étatique vis-à-vis de ses ressortissants. «Toutes les victimes ivoiriennes résultent de la belligérance reconnue à Linas-Marcoussis, ou la carence de l’état de côte d’ivoire a été constaté et consacré, qui emporte la responsabilité égale des deux camps belligérants de guerres». Ici, l’état est civilement responsable de droit

Oui, il n’y a pas d’autre choix, que de souscrire consensuelle-ment, tous ensemble ivoiriens et ivoiriennes, dans le registre du droit international coutumier, «le droit des droits», avec un support infaillible, qu’est l’Amnistie générale référendaire. Oui, pour que ça rentre dans les oreille et cœurs, répétons-le, quand : La clémence de l’Amnistie générale référendaire, peut ramener à l’amour entre communauté nationale, à la cohésion nationale de la totalité sociale, à la stabilité sociopolitique, à la paix sociale pérenne sans lesquels, il n’y a pas de paix internationale et ramener au respect des futures normes de régulations sociales, qui en ressortissent et acceptées par tous, ceux qu’une inflexible sévérité judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale souveraine, l’Amnistie générale référendaire est recommandée par la grande loi du bien public, de l’ordre social, de l’intérêt général, fin essentielle de tout gouvernement, qui ne peut exister que dans l’ordre public. L’ordre public ici, au sens large est l’ordre matériel et extérieur, considéré comme un état de fait, opposé au désordre social, l’état de paix, opposé à l’état de trouble social. « D’où, Pour la paix sociale, je préfère l’injustice judiciaire, puisque la paix sociale est le préalable au développement », de Félis Houphouët Boigny». L’Amnistie générale référendaire est la manifestation régalienne de la souveraineté dans le concert des nations. Donc, de l’état de droit, et de l’appartenance à la communauté internationale, donc, réel socle des relations internationales.

*- Arrêtez de soutenir les sangsues branchés a la mamelle de la côte d’ivoire mourante et résignée qui s’exsangue.

L’Amnistie générale référendaire, permet alors, après une guerre civile, ou une grave crise sociopolitique dans laquelle l’unité nationale, a été particulièrement atteinte, de mettre un terme à ce qui serait susceptible d’entretenir la polémique, ou les divisions dans le cadre d’une procédure judiciaire sélective des vainqueurs, qui maintient la tension, et qui tient la crise armée contre la totalité sociale souveraine. L’Amnistie générale référendaire, ressortissante du droit international coutumier «le droit des droits» tient en l’état, le droit international pénal et la politique internationale de l’imprescriptibilité des crimes contre l’Humanité. Donc, elle est l’unique voie salvatrice pour la côte d’ivoire, qui a impérieusement besoin d’une émergence de l’ordre social, pour sortir la tête de l’Eau. Qui oblige de mettre la nation ivoirienne au rond-point central, pour un nouveau départ ou recommencement du jeu sociopolitique. Une vie sociopolitique qui inscrirait avec une majuscule une fois pour toute, l’homme au centre du débat économique, le citoyen au cœur de toute politique économico-sociopolitico-développementale dans une nation humanisé, paisible 

Oui, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a plutôt besoin de l'émergence d'ordre social, que d’une quelconque émergence économique, fondée sur des chiffres farfelus de croissance économique. «La jungle des relations économico-sociopolitique à abandonner l’humaine pour devenue un monstrueux marécage, pour les pieds honnêtes, plus ils bougent, plus ils s’enfoncent, jusqu’à l’engloutissement totale  pour leurs façonnages sociopolitiques. Oui, les transfuges, déserteurs, les judas nihilistes iconoclastes, arrivistes et renégats, ont perdus lamentablement, la culture ataviques de paix sociopolitiques et les valeurs Houphouët-ienne. Et Hélas ! Il serait laborieux, voir arrachant, de les retrouver et de les tirer du fond du marécage, acculturant, dénaturant et désocialisant». Oui, il faut l’ordre social, l’harmonie intercommunautaire, la stabilité politique et la paix Houphouët-ienne, aux substrats infaillibles, qui passe par une Amnistie générale référendaire consentie par la totalité sociale souveraine. Pour ne pas que, ces valeurs citées ci-dessus, soit un objectif rechercher mais inatteignable pour la côte d’ivoire d’Houphouët, nous avons appelé hier, nous appelons toujours à une amnistie générale référendaire sur les faits criminels du 24 décembre 1999, passant par 19 septembre 2002 jusqu’à  la guerre de 211 à ce jour. Donc que les chacals, les vautours, et les charognards quittent dans les lamentables décombres de la côte d’ivoire et surtout, qu’ils cessent de soutenir les sangsues branchés a la mamelle de la pauvre côte d’ivoire mourante et résignée qui s’exsangue. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne, vient de satisfaire aux exigences de son sacerdoce citoyen.

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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