Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 mai 2012 7 06 /05 /mai /2012 16:04

photo6-copie-1

 

 

‘’La Côte d’Ivoire est devenue un pays de merde’’



Diaby Amadou Innocent dit ‘’Lepetifils Da Candy’’ est un chroniqueur et contributeur prolixe dans les journaux où ses écrits ‘’acerbes’’ interpellent très souvent les chefs d’Etat, les politiques et les autorités nationales. En exil depuis l’avènement du Président Ouattara parce que dit-il ‘’menacé’’ par les hommes armés, Lepetifils Da Candy jette un regard sans concession sur la réconciliation prônée par les nouvelles autorités. Il parle aussi de son ‘’houphouétisme enragé’’, revient sur le pouvoir Gbagbo et dit ce qu’il pense des débuts de Ouattara.

 

v  Interview de l’intelligent d’Abidjan du 06 septembre 2011

 

Question-1-Votre nom semble bizarre et peu commun et connu, a-t-il une signification particulière ?

*DACLEF--Il faut dire d’emblée, qu’il n’y a aucune bizarrerie dans mon pseudonyme DA CANDY Lepetifils en Malinké d’Odienné « DA CANDY » signifie « parole donnée » que je tiens de Moussa Ouélé de Tienko-ODIENNE mon grand Père (29 septembre 1898) et Lepetifils parce que je suis son petit fils. Il y a certains de vos confrères journalistes qui ont déjà donné mon nom à l’Etat Civil Diaby AMADOU INNOCENT à des magistrats qui en voulaient savoir plus conformément aux normes qui régissent votre profession, donc mon nom à l’Etat Civil est Diady AMADOU INNOCENT mon pseudonyme est  Lepetifils Da candy. Voyez vous qu’il n’y a aucune bizarrerie dans mon nom si je dois demeurer Lepetifils de mon grand père qui n’était pas un vendeur de tapis. « Ne pensez pas que je me réclame petit fils d’un empereur, le nord de la Côte d’Ivoire n’a pas eu d’empereur, sauf à considérer qu’une bicoque ceinturée d’une clôture en banco par un vendeur de tapis aux NABA « rois » Mossi de Burkina est un empire, bicoque dont les sofas de SAMORY TOURE n’ont fait qu’enfoncé les portes en 1897».

 

Question 2- Quelle est votre situation familiale et professionnel « carrière, enfant, divers »

*DACLEF--Je suis âgé de 48 ans, juriste « internationaliste-publiciste » militant des droits de l’homme et des libertés individuelles et leader d’un mouvement d’utilité citoyenne « la légitimité citoyenne » auxiliaire de justice. J’ai concilié les peines étude et travail dans un cabinet d’avocat à Abidjan. Je suis père de famille peu nombreuses, je suis ni musulman, ni chrétien « un cafri pour le Malinké d’Odienné ». Je préfère l’embarra matériel dans une aisance intellectuelle à l’embarra intellectuel dans une aisance matériel, je suis doublement centriste républicain social, totalement indépendant et Houphouétiste enragé.

 

Question-2-1-Vous êtes avec le Cheik Yacouba Sylla qui est décédé le 07 Août l’un des principaux chroniqueurs et contributeurs dans les médias, l’avez-vous connu et que pensez-vous de sa mort.

*DACLEF--Un jeûne de mon âge « enfant d’indépendance » qui œuvre dans le milieu politique ne peut pas dire qu’il ne connaissait pas illustré disparu Cheik Yacouba Sylla « que la paix de son Dieu soit sur lui » mais je n’ai pas eu la chance de le côtoyer, bien que je côtoie les jeunes Sylla de sa famille. Donc je le connais, mais je ne l’ai pas côtoyé. L’écart d’âge entre lui et moi n’a pas favorisé ce souhait. Maintenant quand à sa mort, je dirai ce que tout ivoirien de bonnes fois vous dira, c’est une perte énorme pour la Côte d’Ivoire au moment ou elle à besoin de lumière, Cheik Yacouba Sylla était un éclaireur désintéresser, qui n’a jamais failli à sa mission de guide tant que besoin se faisant sentir. Dans sa vie il a redressé par ses chroniques et tribunes pas mal de situations sociopolitiques nauséabondes et réguler constamment les actions de pas mal de chefs d’état ivoirien dans l’exercice de leur fonctions qui manquait souvent d’éclairage, voilà pourquoi j’ai ressentir sa mort comme une lumière qui s’est éteinte devant la dame ivoire qui traverse une nuit dangereuse et funeste. Toutes mes condoléances à sa noble famille peinée qui doit vivre les anniversaires de sa mort à la même date que la naissance de sa patrie le 07 Août de toutes les années. Toutes mes condoléances attristées.

 

Question-3- Alors donc vous êtes en exil, comment cela se fait-il ?

*DACLEF--Ecoutez ! Comment ça peut être autrement quand on est manifestement menacer de mort dans son pays, qui te doit droit et sécurité. Je suis resté en Côte d’Ivoire pendant les « 12 » années de crise continue du 24 décembre 1999 au 11 avril 2011 sans quitter mon pays. Le seul voyage que j’ai effectué pendant ses douze ans « 12 » c’est quand je suis allé observer l’élection présidentielle du Mali d’Avril et Mai 2002. Donc quand les hommes en armes dans des véhicules armés barrent les deux pattes-d’oie qui mènent à votre résidence de 01 heure à 5h30 des nuits et qu’on envoi des jeunes désœuvrés qu’on à armé avec des armes automatique parader dans les rues en face de votre résidence en déversant des insanités tel que « celui qui écrit sur le pouvoir de Ouattara Alassane son cimetière est clair, nous on ne connait pas d’adversaire politiques on est en guerre et à la guerre il n’y a que des ennemis, on va vous tuer tous compagnie GBAGBO là » Et que vous alerter les chancelleries dont l’Ambassade de France sans succès, alors il vous reste quoi d’autre si vous voulez vivre ? Quitter son pays malgré soi ! C’est ce que j’ai fait, il m’a été rapporté de sources sûres que ces gens « de FRCI » ne cherchaient que l’incident pour exécuter l’ordre reçu de leur supérieur. Surtout qu’on m’a accusé d’être l’ami des miliciens de YOPOUGON, l’ami d’un milicien est un milicien !

 

Question 4 – Durant les années Gbagbo avez-vous été menacée ?

*DACLEF--Même si je ne peux pas tenir le président GBAGBO pour l’instigateur de ses menaces, oui j’ai été menacée durant les années GBAGBO. Je dirai même pire, j’ai vu moi les escadrons de la mort de mes yeux, la mort en face quoi ! c’était un samedi dans la voie qui sépare l’imprimerie nationale et l’église juste en face. J’allais à un rendez-vous dans un hôtel de la place juste à côté du premier arrondissement. Les escadrons de la mort était dans une Jeep sans immatriculation et ils étaient guider par un enfant qui connaissait mon programme, à ma vue, cet enfant les a dit, « le voilà ! C’est lui ! Si tu le vois on dirait que ce n’est pas lui or c’est lui ! » et un des escadrons de la mort s’est écrier en disant le cerveau !!! Parait-il que c’était mon nom de code dans leur ragot, ayant entendu tout ceci je me suis approcher de la foule vers la porte de l’église ou il y avait un mariage, ils ont alors compris que j’étais près à émeuter la foule devant l’église et ils sont parti après concertation entre les quatre hommes en trahis et armés de KALACH, dont un à dit « ici là c’est pas bien » on m’en voulait d’avoir prédit la guerre. Je venais d’écrire dans une tribune que le nationaliste primaire à pour frère jumeau la guerre et juste quelque jour après la guerre à éclater le 22 Septembre 2002. Ils ont alors déduit que j’étais le cerveau de la rébellion de Ouattara et Sorø. Sans oublier que mon domicile à été saccage, piller, voler, au non du pouvoir de GBAGBO.

 

Question 5 - Pourquoi ces menaces ne sont elles pas allées plus loin, sous GBAGBO ?

*DACLEF--Il faut souligner ici que je suis militant des droits de l’homme et des libertés individuelles et leader d’un mouvement politique d’utilité citoyenne surtout je suis d’un réseau d’ONG internationale à ce titre quand j’ai ses genres de problèmes de menaces quelques soit la nature j’alerte le réseau d’entraide qui s’active de par le monde à la recherche de solution, c’est ainsi qu’après les faits que je viens d’expliquer ci-dessus, il y a eu une campagne de recherche de solution, tout comme quand j’ai reçu une convocation du doyen des juges d’instruction sur instructions du ministre de la justice et de l’intérieur à cause d’une de mes tribunes juger incendiaire publier le 18 Octobre 2008 à cette occasion un ministre de la république a menacer de démissionner si on m’arrêtait pour mes opinons je le salut et quand les serviers d’impôts m’ont sommer de payer 19.800.000F d’impôt le 5 Décembre 2006 il y a eu des interventions au plus haut niveau de l’état venant de mes amis extérieurs du réseau d’ONG, si je ne m’abuse il y a un éminent religieux et prix model de la paix qui à intervenu auprès des autorités ivoiriennes ; quand j’étais sûr d’être arrêter par la justice à cause de ma tribune du 18 Octobre 2008 je pense que tout cela peut dissuade l’homme d’Etat qui tient à son image et GBAGBO tenait à la sienne. Sans oublier qu’il y avait une TOURE au palais présidentiel à côté de GBAGBO.

 

Question 6 – Dîtes-nous quel est le véritable impact de vos sorties dans la presse

*DACLEF--Impact ? Bon ! Nous, nous visons des objectifs et des buts clairs et précis. De par nos tribunes nous cherchons à éveiller les consciences, à éclairer les citoyens nos mandats, à provoquer des débats utiles autour des choses essentielles de la société, telles que les normes anomiques, les mauvaises gouvernances, les manquements des pouvoirs d’état. Critiquer pour obvier les crises sociopolitiques, et réguler le fonctionnement de nos systèmes et Appareils politique. Pour mesurer l’impact d’un tel travail de longue haleine, inlassable et parfois ingrat n’est pas aisé pour nous même, c’est dans la société et dans la sphère politique visées que l’impact peut être mesurer . Mais je peux vous rassurer, les citoyens nous témoignent d’une énorme sympathie complice. Nous avons été à la base de certains changement de politiques et à avons réussi à faire l’unanimité autour d’une modification constitutionnelle avant l’élection Présidentielle « article 35 et autres ».Il est de notoriété publique que le pouvoir frontiste se corrigeait souvent en fonction de nos tribune dans la presse.

 

Question 7 – Vous écrivez des tribunes longues, mais avez vous vraiment le sentiment qu’on lit, et que vos écrits font bouger les choses ?

*DACLEF--Vous savez une analyse doit respecter un schéma classique, des agencements scientifiques, et des critères techniques, il est difficile d’échapper à cette forme qu’une l’analyse thématique et objective exige, si l’on veut être compréhensible et compréhensif. Quand l’analyse à pour but d’éveiller les consciences, donc de faire comprendre, d’éclairer donc de faire savoir, de débattre donc de convaincre, d’agiter des idées, donc d’orienter, dans ses cas on peut certes faire du litote, mais pas du succincte. C’est la recherche de se faire entendre dans le moindre détail qui rend nos analyses longues, pour être audible sinon ça ne sert à rien d’écrire. Aussi si nous, nous fions à la réaction positive de nos mandats « les citoyens » nous pouvons affirmer que nous sommes aisément lus par toutes les couches sociales de la société. Quand des milliers de citoyens bombardent votre boîte Electrique de E-mail, vous téléphonez intempestivement et vous accostez en vous disant vous avez averti pour la nécessite de voter pour Bédié, nous on a voté, mais on ne sait pas ce qui s’est passé et que tout compte fait ce que vous avez dit, on a vu comme le soleil. Surtout quand un homme d’état de la trempe de BOGA DOUDOU vous accueil avec cette phrase (mon dieu ! et ton adversaire l’article 35 de la constitution ?) C’est que vous êtes bien lu et bien compris.

 

Question 8-Vous êtes anti Gbagbo, anti rebelle…vous étiez au RHDP ou plutôt un Pdci anti Ouattara ?

*DACLEF--Ecoutez à la légitime citoyenne nous ne sommes anti de quoi que ce soit et de qui que ce soit, les hommes politiques physiques ne vous intéressent pas. Ce qui nous intéresse en l’homme politique ce sont ses idées, l’idéologie qu’il véhicule, le système qui le soutien et ses actions politique qui décident de la vie de tout le monde. Nous combattons des idées, des politiques, des systèmes et des actes politiques, nous ne lynchons personne. Mais n’empêche nous sommes doublement centriste, citoyen et républicain social convaincu, totalement indépendant et surtout houphouetiste enragé. Ce qui nous rapproche de Bedié l’héritier légitime de FELIX Houphouët Boigny. Nous sommes l’anti de tout les travers politiques qui favorise toutes les désespérances qui à conduit à la déchirure sociale « nord-sud et est ouest » et à la guerre qui vient de faire plus de « 5.000 » morts dans notre pays. L’homme physique ne nous intéresse pas encore moins sa fortune matérielle. Quand au PDCI, c’est de père à fils, c’est plus fort que nous.

 

Question 9-Vous êtes un nationaliste, un souverainiste, un ivoritaire ?

*DACLEF--Le nationalisme primaire à pour frère jumeau la guerre civile, le souverainisme Frileux conduit à l’enfermement hermétique sur soit, l’ivoritaire est borné sans mémoire. Mais il y a le nationalisme positif et le souverainisme indispensable, que nous ne proscrivons pas à la légitimité citoyenne, mais ivoritaire, non !!! le concept ivoirité à été vider de son sens littérale et philosophique par les pouvoirs qui ce sont succéder après 24 décembre 1999. Par exemple quand nous entendons que notre pays souverain veut nommer un premier ministre « acte hautement souverain » et qu’une communauté internationale s’y oppose. Nous avons mal à notre pays souverain et disons que la côte d’ivoire est tombée très bas, que la Côte d’Ivoire coule, que la Côte d’Ivoire est devenue un pays de merde dans le concert des nations policées. C’est vraiment dommage pours le pays de Félix Houphouët Boigny.

 

Question 10-Que pensez-vous d’Houphouët ?

*DACLEF--Félix Houphouët Boigny est notre modèle, nous sommes à Félix Houphouet Boigny ce que Jésus Christ est à un Chrétien, nous sommes à Félix Houphouet Boigny ce que Mohamed est à un musulman. Et la légitimité citoyenne est à Houphouët ce que les pasteurs sont à l’EGLISE et ce que les talibans sont à l’ISLAM. Donc nous laissons aux autres hommes politiques de par le monde les soins de parlé de la carrure de l’homme politique Houphouët Boigny. Mais pas plus que le 27 Août 2011 un ami suisse m’a interpelé dans une causerie en disant ceci « vous les héritiers de Félix Houphouet Boigny après tout ce qu’on a vu dans son pays après sa mort de 1993 jusqu'à maintenant, vous arriver encore à vous réclamer de ce grand homme pour qui une goutte de sang verser était le comble de l’horreur avec vos 3000 morts en 45 jours et plus 6000 morts en dix ans de septembre 2002 à ce jour ? Tout couvert de honte, je suis arrivé à articuler cette phrase « tu sais que les FELIX Houphouët Boigny on n’en trouve pas tout les siècles 100 ans ». Mais j’ai compris que cet ami endurci du CICR était plus Houphouetiste que tant d’autres, qui s’en réclament en côte d’ivoire, cela m’a consolé. La situation actuelle de la côte d’ivoire parle de FELIX HOUPHOUET BOIGNY au monde entier.

 

Question 11 et 12- Votre regard sur Gbagbo ?

*DACLEF--Notre regard sur la président GBAGBO est positif, ce regard nous offre l’image d’un démocrate qui sait s’accommoder avec le débat politique et démocratique. Je suis bien placer pour le savoir et le dire parce que depuis octobre 2002 jusqu'à la fausse vraie élection présidentielle clôturée le 28 novembre 2010. Je suis resté, le pied dans les talons du président GBAGBO avec au moins une tribune toutes les semaines contre ses actions politiques même souvent salvatrices. Mes amis de l’extérieur s’en sont inquiéter pour moi. Mais il n’a pas fait ce que d’autre veulent faire aujourd’hui, par personne interposer, m’éliminer physiquement parce que gênant. Ceux-là même dont certains proches du président GBAGBO nous disaient très proches et nous disaient travailler pour ses derniers. Nous n’avons jamais été l’ennemi du président GBAGBO que nous voulions battre démocratiquement dans les urnes pour reprendre la voie de Félix Houphouët Boigny avec Bedié son héritier légitime. Sans haine, sans rancune, que le combattant de la liberté le sache.

 

Question 13-Et le cas particulier de l’attitude de GBAGBO durant la crise postélectorale ?

*DACLEF--L’attitude du président GBAGBO est très compréhensible pour les gens de ma culture politique et de ma formation scientifique, parce qu’on ne peut pas concevoir que l’on se mette d’accord sur les règles d’un jeu, qu’on accepte l’arbitre qu’on avait la possibilité de récuser et qu’à la fin du jeu ou se met à contester les règles et l’arbitre qu’on avait accepté d’emblée, parce que très sûr de ses soutiens extérieur. La politique pour nous, c’est comme le sport d’équipe. Les buts marqués à la main sont accepté à la coupe du monde parce que l’arbitre à décider. Il n’y a pas eu de doigté autour du président GBAGBO pendant cette crise. Il était question à mon sens de juriste de tirer automatiquement, du tic au tac les conséquences accessoires de droits de la décision de la cour constitutionnelle, mais hélas on s’est concentré sur la formalité de prestation de serment en oubliant l’essentiel. Ce que, ALI Bongo ODINBA n’a pas Omit au Gabon face à ANDRE BA OBOME. Encore hélas on a laissé la situation pourrir au détriment du président GBAGBO qui avait besoin de faire respecter la décision de la cour constitutionnelle par tous les usages légaux et de droit.

 

Question 14-Que pensez vous des décisions du conseil constitutionnel au cours de la présidentielle ?

*DACLEF--L’honorable conseil constitutionnel a rendu deux « 2 » décisions de validations des résultats, l’une pour le premier tour et l’autre pour le second tour. Pour le premier tour elle est exempte de toute reproche parce que il semblerait que les avocats de notre candidat BEDIE ont engagé la procédure de réclamation de façon « ordinaire » en allant déposer les recours à la CEI partisane. Ce qui n’est pas mauvais avec de la bonne foi de l’institution saisie qui pouvait de droit les transmettre au conseil constitutionnel à temps, même après la transmission de son dossier de litiges ou de contentieux électorale, ce qui n’est pas interdit. Mais les avocats ont peut être oublié que nous étions dans une sorcellerie politique, électorale et juridico-judiciaire qui prospère dans l’obscurantisme glauque et funeste et le nébuleux a eu raison des technicien du droit et les scientifiques de la politiques. Ce qui a privé notre candidat BEDIE de second tour. Les procès verbaux truqués ont décidé des résultats en lieu et place des bulletins de votes dans les urnes au premier tour. BEDIE n’a pas perdu la présidentielle dans les urnes !!! Au deuxième tour l’honorable conseil n’est pas exempte de reproches, il est allé trop loin au terme de sa décision. Il est prescrit au terme de la constitution de 2000 qu’il avait le droit d’annuler l’ensemble des votes du second tour sinon tout le processus électoral au vu des fraudes constater au nord par les observateurs internationaux. Mais l’annulation partielle n’était pas indiquer par la constitution qui varie d’un pays à l’autre et il n’était pas question de valider non plus les résultats en l’état malgré la fraude. Cette annulation partielle à discrédité la décision du conseil constitutionnel, qui il faut le souligner était constitutionnellement sans recours. SI GBAGBO a perdu l’élection présidentielle, le pouvoir en place n’est pas non plus issu des urnes comme on le prétend de façon griottique. Ce pouvoir n’a aucunes légitimités démocratiques issues des urnes.

 

Question 15-Donc le pouvoir de OUATTARA est sans légitimité démocratique ?

*DACLEF--Nous, nous sommes des professionnels de la politiques, nous allons aux élections démocratique comme nous allons aux sports d’équipe, avec la certitude qu’on peut gagner, comme on peut perdre nous, nous étions motiver par la farouche détermination de faire élire notre candidat qui incarne le mieux notre sensibilité politique et est le candidat le plus fédérateur, surtout nous, nous voulions battre le candidat GBAGBO proprement dans les urnes pour faire taire un peu BLE GOUDE et compagnie. BEDIE aurait loyalement battu GBAGBO, GBAGBO aurait céder le pouvoir à BEDIE sans réaction négative de sa part. BEDIE était le candidat le plus capable à nous éviter de nouvelles crises sociopolitiques postélectorales et partant les 3000 morts de la crise postélectorale. Vous avez vu le 15 mai 2010, quant l’ensemble du chenil de FELIX HOUPHOUET BIGNY, bouillonnait et voulait aller au charbon et en découdre avec le pouvoir GBAGBO, au vu du danger imminent le président GBAGBO s’est précipiter au domicile du candidat BEDIE pour pouvoir anéantir ce qui était prévu pour le 15 mai 2010. Et croyez moi ce n’était pas de la tarte ou de la salade, il y’avait de l’indigestion en l’air. Maintenant pour la supposer victoire de OUATTARA. Nous nous sommes convaincu que si l’Afrique et singulièrement la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle certains comportements anti démocratique sont à bannir et le fondement de cette démocratie doit être le droit dans toute sa rigueur, avec des citoyens qui respectent les règles démocratique préétablies et les normes de régulation social accepter par tous, sources d’harmonie et de convivialité sociale. Les armes ne doivent pas avoir droit au chapitre. Le pouvoir de Ouattara n’est pas issu des urnes. Mon pays évolue vers une tyrannie, un despotisme, et une dictature sanguinaire du genre IDI AMIN DADA d’Ouganda, MOUSSA TRAORE du mali, et SEKOU TOURE de guinée, l’archaïsme de la conception du pouvoir de OUATTARA saute à l’œil.

 

 

Question 16-Avez-vous des contacts avec les nouveaux dirigeants dans le pays ou avec des pro GBAGBO en exil depuis votre fuite et votre exil ?

*DACLEF--Ma fuite ? Vous blaguez ou quoi ? Je ne suis pas du genre à pédaler au premier coup de pétard Comme BLE GOUDE qui à pris la patinette lui « rire ». Jai quitter mon pays pour des raisons extrêmes de sécurité et de menace de morts sempiternelle commandité par les tenants actuels du pouvoir d’état. Remarquez du 24 décembre 1999 au 11 avril 2011 je suis rester dans mon pays avec opposition ferme aux jeunes gens du président GUEI ROBERT, au système frontiste avec des jeunes patriotes tout feu tout flamme, et aux fantassins du premier ministre «le petit rebelle » SORO sans bouger de mon pays, Mais avec les jeunes désœuvrés recrutés et armés par OUATTARA après sa victoire de guerre de douze « 12 » ans du 24 décembre 1999 au 11 avril 2011, les menace n’ont jamais été aussi direct, aussi, clair et net, de la façon la plus vulgaire et incontrôlée. Pour le reste rassurer vous, j’ai des contacts avec des amis dans toute la classe politique ivoirienne, de l'intérieurs comme de l’extérieurs au pouvoir comme en exil les amis se parlent. Le opérationnelle transcende toute les autres considérations quand on est de la même éducation sociale.

 

Question 17- Croyez que les dirigeants vous en veulent personnellement ?

*DACLEF--Je l’affirme sans ambigüité il ne leur manquait que l’incident justificatif. Qu’ils pouvaient utiliser comme paravent à leur dessein ou n’est même venu stationner un véhicule 4x4 armé en bas de ma résidence le 03 Juillet 2011 à 02 heures 16 du matin et klaxonner à grand bruit pour dire « nous on est FRCI si le contraire sort ici ce n’est pas bien ». Je viens de vous dire qu’ils ne leur manquaient que le paravent justificatif « incident » pour exécuter l’ordre reçu de leur supérieur. C’est nous notre génération « les 40 à 50 ans » qui gouverne le monde aujourd’hui donc a cet âge on ne quitte pas son pays sans de bonne raisons.

 

Question 18 - Quand comptez-vous retourner au pays ?

*DACLEF--Le jour que les autorités ivoiriennes comprendrons que la justice des vainqueurs conduit à une crise plus grande que la précédente, qu’au terme de la crise postélectorale tout les belligérants de cette crise postélectorale sont passible de poursuivre, qu’il s’appelle GBAGBO ou OUATTARA. Autant GBAGBO est passible de poursuite devant la cour pénale internationale, autant OUATTARA Alassane est passible de poursuite devant la cour pénale internationale, tous les autres ne feront que les servir du thé à la cour pénale internationale y compris le premier ministre « le petit rebelle » SORO. Je viendrai le jour ou la sécurité serait effective pour tous dans le pays réconcilier entre ses fils de tout bord politique et réconcilier avec le monde il n’échait pas d’aller livré sa tête mise à prix, dans un concert de différenciation « nord-sud » et « est-ouest » Certes rien ne ce fera en côte d’ivoire sans justice impartiale qui proscrit les poursuites à sens unique, mais aussi, rien ne se fera sans réconciliation vraie, sans pardon dans la reconnaissance mutuelle de tout les ivoiriens, sans une contrition de tout les acteurs politiques des torts causé au pays et aux citoyens, dans une société policée qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales, sans différenciation « nordisme, sudisme, estisme, et ouestisme ». Quand ce jour se lèvera et il se lèvera un matin contre vent et marée, c’est une promesse, je rentrerais dans mon pays. Je vous remercie.

 

INTERVIEW réalisé par l’Intelligent d’Abidjan le 06 septembre 2011

 

De :  lepetitfils Da Candy leader de la legitimite citoyenne en exil forcé

 

Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

« Citoyen !!! voir aussi les autres tribunes dans plus de posts recent ou plus d’archives de ce blog, ton blog citoyen »

Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : Le blog de Lepetitfils Da Candy
  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
  • Contact

Profil

  • dacandylepetitfils
  • DA CANDY LEPETITFILS:
Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...
  • DA CANDY LEPETITFILS: Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...

Texte Libre

Recherche

Catégories

Liens