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10 octobre 2023 2 10 /10 /octobre /2023 16:30
Lepetitfils : Nous a la LC_CRS, à ce stade de l’inconséquences dans l’entretien sciemment de la crise ivoirienne, la question centrale est la suivante : comment redresser le socle morale atavique et le substrat social ivoirien pour qu’ils ne s’effondrent pas a jamais, comment soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas ? En intégrant les citoyens libres dans la délibération. Oui, il est tout à fait possible qu’une démocratie se suicide, comme ce fut le cas en Allemagne avec l’arrivée d’Hitler au pouvoir en 1933.

Lepetitfils : Nous a la LC_CRS, à ce stade de l’inconséquences dans l’entretien sciemment de la crise ivoirienne, la question centrale est la suivante : comment redresser le socle morale atavique et le substrat social ivoirien pour qu’ils ne s’effondrent pas a jamais, comment soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas ? En intégrant les citoyens libres dans la délibération. Oui, il est tout à fait possible qu’une démocratie se suicide, comme ce fut le cas en Allemagne avec l’arrivée d’Hitler au pouvoir en 1933.

*- Chronique « Kouma » les nommés au sénat ne sont redevable de compte qu’a Alassane Ouattara.

Bon ! Commençons par dire qu’un homme public ne se tait jamais tant que l’essentiel sociétal est en jeu. Les fichus bouffe-tout et les dégonflé attrape-tout sont toujours ballon au pied en micmac dans l’arène politique ivoirienne entrain de zigzagué à volonté. Et on ne le dira jamais assez, la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, qui a perdu tous ses repères sociétaux a besoin de sauvetage national, de réglage consensuel synergique et de régulation sociopolitique désintéressée d’intérêt public, tous ensembles. Les mange-crates, véritables sangsues sont toujours branché a la mamelle de la pauvre côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny qui s’exsangue. *- Bon ! Revenons-en, citoyen !  Une société Humaine se régule, se redresse, et se gère dans l’architecture institutionnelle de l’état. C’est l’idée qui a motivée les initiateurs de la notion de séparation des pouvoir, et qui a enfanté les droits et les règles d’accession au pouvoir d’état républicain de droit. Oui, que peut-t-on régler dans une société ivoirienne, quand le pouvoir souverain et absolue, échappe au peuple souverain, pour échoir a une politique systémique démodée soutenue par la force des fusils. Que peut-t-on régler dans une société ivoirienne, quand le concours de la représentativité est retiré au suffrage universel direct pour devenir semi-censitaire. Que peut-t-on régler dans une société ivoirienne, quand l’Assemblée nationale charger de transporter la voix du peuple souverain et de prendre le relai légale et légitime du contre-pouvoir citoyen, est d’une majorité factice fabriquée par des textes positivistes et des modes d’accession impropres aux coutumiers principes républicains. Des dolosives fabriques politicardes absolutistes pour être indépendant du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état. Donc, que peut-t-on régler dans une société ivoirienne, avec un parlement « congres » suiviste automate d’enregistrement, à la solde d’un seul homme rendu imperturbable par la force des armes systémiques et des armes matérielles au servile service de ses ambitions personnelle de domination condescendante. Que peut-t-on régler dans une société ivoirienne en dégénérescence avancée avec une majorité parlementaire missionné par un pouvoir sectaire, dans une assemblée nationale de substra suiviste, de source panurgiste, de carapace « Flêkê-Flêkê », dévalorisée dans sa composante, prédestiné automate d’enregistrement puéril.

Bon ! Disons-le, 33 sénateurs nommés par le président de la république commandant du pouvoir exécutif, sur un total de 99 membres, dont 66 sénateurs élus au suffrage «censitaire» au mépris du suffrage universel direct. Donc, un sénat dont le tiers est dédouané du suffrage universel direct, est une violation grave du principe républicain de la séparation des pouvoir. La nomination des membres du pouvoir législatif par la pouvoir exécutif, « suprême soit-il, comme ses ministre » , est une violation fragrante des principes républicains de la séparation stricte des pouvoirs institutionnels d’état. Puisqu’ici les nommés au sénat ne sont redevable de compte qu’a Alassane Ouattara président de la république, que le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état va se faire foutre en enfer, on votera la volonté Ouattara au mépris de la volonté générale souveraine. Oui, insistons-en, la nomination des membres du pouvoir législatif par le pouvoir exécutif, franchit les bornes du principe de l’exercice normal du pouvoir étatique pour viré à la monarchie. Ce pouvoir ne reflète plus la volonté générale du peuple, pour se substituer à la volonté particulière, d’un homme qui nomme. Aussi les élections des 66 sénateurs au suffrage « censitaire » au mépris du suffrage universel direct est une abomination démocratique et électorale. Et un autre quelconque procédé politique d’accession à cette fonction législative, autre que le suffrage universel direct qui émane du peuple dont les élus se doivent de porter la voix, relève de la même violation grave et flagrante du principe républicain de la séparation coutumière des pouvoir. Oui, il s’agit-là d’un non-sens démocratique, et c’est une extrême violation de la souveraineté populaire du peuple, l’absolu souverain et l’ultime détenteur du pouvoir légiférant. Donc, aujourd’hui l’ivoirien a-t-il conscience que, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a viré lamentablement à une société dépravée, paria, sans racine, sous un état totalitaire déviant et à la Monarchie absolutiste ? La séparation des pouvoirs de Locke et de Montesquieu à la suite de l’antiquité grecque sont soldé sur toute la ligne par un absolutisme monarchiste, hélas ! Se revendiquant républicaine. Et la société ivoirienne paye et payera le prix fort. Bon ! Il est connu de tous, qu’au terme de l’immersion d’un état de droit dans l’absolutisme totalitaire, le peuple souverain ne prend conscience le plus souvent du danger réel qu’au stade irréversible de l’anéantissement total des droits, des libertés, de la démocratie et du substrat sociétal. Souvent enfermé dans la recherche de profit et gain facile d’un Bazard résultant de la levée des interdits ataviques sociétaux.

*- Donc, ici il est irréfragable que, l’opposition ivoirienne doit logiquement déserté les parlements ivoiriens.

Oui, a-t-on besoin de dire que, les sénateurs sont des parlementaires qui, doivent résulter  d’une convention électorale « qui assure légalité et légitimité de leurs actes » passée entre les citoyens et des hommes politiques dont le fondement juridique est la souveraineté du peuple. Ce peuple qui délègue son pouvoir par élection libre, juste, sans fraude. Ainsi les élus qui ressortissent de ses élections se sentent redevables aux citoyens électeurs. Et qui  au sénat chambre du parlement participe au travail législatif et surtout au travail de contrôle du pouvoir exécutif. Ainsi, le Sénat forme avec l'Assemblée nationale, le pouvoir législatif. Et la séparation des pouvoir vise à séparer les différentes fonctions de l’État, afin de limiter l’arbitraire et d’empêcher les abus liés à l’exercice de missions souveraines. Donc, coutumièrement les institutions publiques sont divisées entre le pouvoir législatif qui fait les lois, l'exécutif qui les met en œuvre et les fait appliquer, ces deux «2» dernier doivent ressortir du suffrage universel direct obligatoirement, pour avoir le droit de parler et de décider au Nom du peuple, « tout autre mode d’accession à ces prérogatives est une violation flagrante du principe régalien de la séparation des pouvoirs », et le pouvoir judiciaire qui les interprète et les fait respecter, a aussi l’obligation d’impartialité. Donc, ici, il est irréfragable que, l’opposition ivoirienne doit logiquement déserté les parlements ivoiriens. Parce que, quand on n’a pour missions régalienne en tant législateur, donc, porte-parole du peuple pendant une échéance constitutionnelle prescrite, qu’on se doit de transporter une voix, qui, loin d’être la sienne uniquement, doit s’identifie à ce que les citoyens veulent et à ce que la volonté générale exprime du bas vers le haut, au centre des prises de décisions publiques et que les bruits des bidonnages, brouhahas et hallalis empêchent cette voix de se faire entendre, on se retire de droit vers le peuple souverain pour qu’il sache que malgré sa voix porté à gorge déployée est étouffé par des bidonnages et pantalonnades de politicards dopés à Dieu l’argent ou drogué a la cocaïne.  

Oui, la côte d’ivoire a besoin d’un système d’organisation socio-politico-économique qui rassure la composante sociale. Il est incontestable de par le monde, que le socle et le substrat principal de la séparation des pouvoirs en trois «3» organes, est dans l'interdiction de l’assemblage. Donc, nous disons que, la théorie de séparation des pouvoirs, plaide pour que chacune d’entre elles, soit exercée par des organes distincts, totalement indépendants les uns des autres, tant par leur mode d’accession que de par leur fonctionnement institutionnel. Chacun de ces organes devient ainsi l’un des trois pouvoirs avec une indépendance totale et assumée: le pouvoir législatif est exercé par des assemblées représentatives du peuple votant, le pouvoir exécutif est détenu par le chef de l’État et les membres du Gouvernement, le pouvoir judiciaire, enfin, revient aux juridictions publiques. C’est cela la règle coutumière. Mais dans un système de monarchie républicaine à l’ivoirienne et Ouattara-iste, le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif, ont été soustrait au contrôle strict des juridictions judiciaires en mettant le parquet avec l’initiative des poursuites, sous la coupe d’un démembrement du pouvoir exécutif, «Ministre de la justice» parait-il au motif que celles-ci ne disposaient pas d’une légitimité suffisante pour s’opposer, réguler ou juger des actes émanant d’autorités ressortissants du suffrage universel et supposés agir au nom du peuple. Et ces trois fonctions par principe séparées sont ainsi confondues et détenues par une seule personne, le président.

*- Dans un état républicain de droit, quand une seule personne décide de tout, c’est ce qu’on appelle la dictature.

Or, par principe d’état républicain de droit, bien qu’élu dans le cadre d’une circonscription, chaque législateur, compte tenu de la mission de vote des lois, et de contrôle de l’action du pouvoir exécutif, dévolue au pouvoir législatif, représente donc, la Nation tout entière, et exerce à ce titre un mandat national. Ce qui oblige la dévolution absolue de ces fonctions de législateurs par vote au suffrage universel direct. Parce que, la souveraineté nationale appartient au peuple, qui l’exerce par ses représentants par lui procurés par élection au suffrage universel direct. En conséquence, les législateurs se déterminent librement dans l’exercice de leur mandat. C’est ainsi qu’en 1964 Michel Ameller disait que « c’est à l’étendue de leurs moyens de contrôle du pouvoir exécutif que se mesure la force du pouvoir législatif parlementaire ». Ceci est leur mission, bien que d’autres contre-pouvoirs légaux existent: on peut parler des associations, les médias, la société civile dans son ensemble « Par exemple la LC_CRS en CI». Mais, dans une démocratie représentative, c’est aux législateurs, qu’il appartient d’exercer au premier plan cette mission de contrôle strict du pouvoir exécutif, mission noble et honorable ressortissante du suffrage universel direct à leurs confiée par le peuple. Donc, le substrat principal de la séparation des pouvoirs en 3 organes, est dans l'interdiction de l’assemblage, direct ou indirect, de la totalité du système d’organisation sociopolitique entre les mains du même pouvoir politique, notamment l’exécutif.

Oui, par le contrôle strict et impartial, le parlement à obligation de montrer que, loin de toujours faire prévaloir des considérations d’appartenances d’ordre politique, que le pouvoir législatif a pour mission de porter la voix du peuple souverain contre toute autre considération sociopolitique. Oui le pouvoir de contrôler du législatif ne doit pas, par une voie détournée, se muer en soutien du pouvoir exécutif. Et il doit ainsi veiller et participer au respect des strictes exigences de l’architecture coutumière composite de l’État républicain de droit. Le pouvoir législatif toute tendance confondue, se doit d’interroger le pouvoir exécutif,  examiner son action, pour rendre effective sa mission de représentation du peuple souverain, en  vérifiant que le pouvoir exécutif agit conformément aux objectifs qui lui sont assignés par la majorité des citoyens. Ainsi donc, quelle régulation sociopolitique en côte d’ivoire, peut-on attendre de deux «2» chambres de députés «assemblée nationale et Senat, a un tiers d’emblée de nomination présidentielle», qui se doivent dès lors d’être automates dans l’exécution des volontés, des projets d’organisations sociopolitiques soutenus ou émanent du pouvoir exécutif. Donc, une seule personne, décide seul de tout. Or dans un état de droit républicain, quand une seule personne décide de tout, c’est ce qu’on appelle la monarchie républicaine, sinon au pire la dictature. Oui, que peut-t-on espérer en côte d’ivoire, de deux chambres suivistes de députés automates, prêt à jeter l’organisation sociale au pied du pouvoir exécutif ? Même au besoin en le permettant de gouverner unilatéralement comme dans une monarchie du Golf arabique par ordonnance. Rien à espérer en côte d’ivoire, pour la régulation sociopolitique, pour l’aspiration souveraine du peuple. RIEN ! Disons-nous. Donc, « la côte d’ivoire originale, atavique, de source culturelle, que vous voulez n’adviendra plus jamais, c’est fini ça : ». Hélas ! Pauvre-de-nous Ivoiriens et Pauvre de côte d’ivoire dénaturée et acculturée.

*- La recherche inlassable, hélas ! Parfois ingrate, de l’intérêt général, et de la paix sociale est notre bréviaire

Bon ! Donc, à la lampe des lumières de ce qui précède, détaillé et étayé ci-dessus, il est difficile pour aujourd’hui de contredire cet Amis « éminent diplomate, publiciste, averti des sciences sociales » qui nous a dit clairement et amicalement « je comprends vos préoccupations, mais hélas ! La côte d’ivoire originale, atavique, de source culturelle, que vous voulez n’adviendra plus jamais, c’est fini ça ! ».  Oui, même si nous n’en convenons pas avec cet Amis, expert des sciences sociopolitiques, nous en convenons par contre que, la nouvelle hégémonie ploutocratique ivoirienne qui ne prépare pas l’avenir de la nation ivoirienne, mais le met en danger dans le concert des nations et partant notre avenir commun à tous, a pris ses racines sur la terre de nos ancêtres. Ce qui génère le début d’une crise de désocialisation, d’acculturation de la totalité sociale, de formatage mental des citoyens, l’abroutissement sectaire par des petits Malins, un euthanasiste systémique des partis politiques significatifs, une dépravation des mœurs culturelles, communautaires, sociopolitiques de la Côte d’Ivoire, qui ne peut qui conduire à l’état policier et l’état paria. Une nouvelle hégémonie ploutocratique d’une pratique politique avouée de dévalorisation du mérite dans le travail au profit d’une sélection incompétente des siens, ou concussions et copinages sont érigés en règles de gouvernance étatiques. Ce qui provoque l’effondrement total de l’image de la Côte d’Ivoire dans le monde « tu dis tu es ivoirien donc tu es ça alors ? Etc. ». Avec des entorses répétées aux principes pluralistes de la démocratie moderne qui provoque une dégénérescence sociale effarante, sous un pouvoir mal maitrisé, qui divague dans les fibres les plus sensibles de la totalité sociale souveraine, et qui suscite tant d’injustice, et de consternation des citoyens ivoiriens. Notre pays a plus que jamais besoin aujourd’hui des gens de bonne volonté et des citoyens ivoiriens conscients, pour sauver notre volonté de vivre un destin meilleur que celui que veulent nous imposer les fossoyeurs de l’organisation sociale, ces forces rétrogrades du mal, qui violent les règles préétablies du droit, de la démocratie, qui constituent pourtant le fondement d’une société harmonieuse, d’une société libre, d’une société cohérente, d’une société de droit et d’une société démocratique qui permettront aux citoyens de s’épanouir en tant que citoyens libres et égaux, dans le respect des différences communautaires et sociopolitiques quelles qu’elles soient.

A la Légitimité Citoyenne, nous avons un doute sérieux  de l’écologie mentale, de ceux qui pensent que tout va bien dans la société ivoirienne malgré tous les impairs sociétaux patents. Alors que, de toute évidence, « la côte d’ivoire originale, atavique, de source culturelle, que vous voulez n’adviendra plus jamais, c’est fini ça !». Donc, convaincue que nous sommes à la LC_CRS, que c’est incontestablement une certaine idée confuse, lugubre, et un certain esprit manipulateur et obscurantiste, appuyé sur des tares et insuffisances institutionnelles, mis au service des desseins glauques, funestes, macabres, ont permis le premier coup d’état en côte d’ivoire, et suivant la guerre, et les crises postélectorales ivoiriennes, et qui ont conduit à la dégénérescence sociale. Nous, nous sommes donné une mission de parolier du citoyen pour tamiser les maux sociétaux dans l’espace public, en espérant obvier les maux sociétaux et obtenir la solidarité autour de l’intérêt général et de l’unicité des positions politiques dans la gestion de la totalité sociale souveraine et dans la gestion des crises. Parolier dévoué du citoyen, notre mission est d’autant plus facile qu’on compte peu sur quelqu’un. La galère assumée est notre Amie. Notre position d’aujourd’hui est édictée par notre très difficiles premier choix, qui a soutenu nos premiers pas dans l’espace public en 1994, « alors très jeunes 31 Ans » qui est de : préféré l’embarras matériel, dans l’aisance intellectuelle, à l’embarras intellectuel, dans l’aisance matérielle. Ni postes, ni titres, pour donner un autres sens à notre vie. Oui, la recherche inlassable, hélas ! Parfois ingrate, de l’intérêt général, du bien commun, et de la paix sociale Houphouëtienne est notre bréviaire, et avons-nous fait le serment dès le départ. Si les postes, les titres, et le bien matériel peuvent venir à la remorque de nos actions édictées par cette position première, tant mieux pour nous. Mais nous n’en faisons pas une fixation.

 Donc la personne physique de l’homme politique ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel. Ce qui nous intéresse en l’homme politique ce sont ses actions politiques et gouvernementales qui décident de notre vie, qui décident de la vie de tous et qui décident de la vie de chacun. N’en déplaise ! Oui pour nous,  il est question d’obvier l’euthanasie du socle existentiel de la pauvre côte d’ivoire, pour qu’elle reste culturelle et de civilisation, et NON réduit a la cartographique demain.  Il est question de soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas. En convenons-en avec le dernier coup de poignard planté dans le dos des partis politiques d’oppositions au terme des élections locales, précède l’hallali aux cours des élections présidentielles de 2025. La jauge est faite, la mesure est prise, l’essai est réussi. Donc, au terme des élections locales de septembre 2023, chaque ivoirien conscient connait désormais le sort réservé a l’élection présidentielle de 2025. Dès lors la véritable question qui se pose,  est de savoir comment désamorcer cette spirale de coups d’arrêts aux principes démocratiques, aux droits et aux libertés Donc pour nous a la LC_CRS, à ce stade de l’inconséquences du R?DP dans l’entretien sciemment de la crise ivoirienne, la question centrale est la suivante : comment redresser le socle morale atavique et le substrat social ivoirien pour qu’ils ne s’effondrent pas a jamais, comment soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas ? En intégrant les citoyens libres dans la délibération. Oui, il est tout à fait possible qu’une démocratie se suicide, comme ce fut le cas en Allemagne avec l’arrivée d’Hitler au pouvoir en 1933. Citoyens libres, comme nous ne pouvons que KOUMA, donc, sur ceux nous avons satisfait aux exigences de ce sacerdoce légitime et éminemment légale. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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