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24 septembre 2023 7 24 /09 /septembre /2023 15:26
Lepetitfils : Oui, la côte d’ivoire, offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Et de par notre suiviste adhésion a une politique sociale de criminalité sans honte et d’escroquerie morale et intellectuelle à ciel ouvert, chaque jour nous défaisons un nouveau pas de ce que construisirent nos devanciers pendant 40 ans. Cet Engrenage hermétique cadenassé risque d’être fatale oui, le ver est dans le fruit ivoire, le mal a pris ses racines.

Lepetitfils : Oui, la côte d’ivoire, offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Et de par notre suiviste adhésion a une politique sociale de criminalité sans honte et d’escroquerie morale et intellectuelle à ciel ouvert, chaque jour nous défaisons un nouveau pas de ce que construisirent nos devanciers pendant 40 ans. Cet Engrenage hermétique cadenassé risque d’être fatale oui, le ver est dans le fruit ivoire, le mal a pris ses racines.

(A LIRE INTÉGRALEMENT POUR PRENDRE LA MESURE DU DANGER POUR DEMAIN).

« Même si en côte d’ivoire, il n’y a plus  d’«après Dieu c’est Alassane Ouattara » et qu’« Alassane Ouattara est notre maitre » a pris tapis, un vilain Tapis pas du tout le rouge souhaité, peut-être en attendant le sauvetage phalangiste du Maitre d’un de ses Seides assumé, mais tout de même les Bradeurs de nos terres, le Voleurs de propriétés coutumières immémoriales, les sacrés Inventeurs de terres sans maitres, les Saupoudrés annihileurs de droits, les accultureurs et dé-socialisateurs endurcis, ont fini de validé le 02 septembre 2023, leur emprise sur toute l’assiette territoriale de notre pays, Hélas ! La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, avec seulement moins de 20% des ivoiriens. Donc, sous couvertures d’une pseudo-légalité électorale les vols des terres propriétés coutumières immémoriales, des ressources naturelles souveraines, des deniers publics, la défenestration économique, la concussion, le copinage, l’affairisme nébuleux continuerons, ils ne connaissent que ça ! Ce qui nécessite et motive ici le tocsin citoyen de la LC-CRS ».

*- Chronique « KOUMA » soit-dit en partant : Progrès de Dépossessions, Accaparements et Bradages des Terres.

Donc, revenons-en encore, compte tenu de son importance dans la stabilité sociopolitique ivoirienne. Et disons qu’entre peuples «Autochtones et Allogènes» ou entre des groupes sociaux « nationaux et de diverses Horizons », il n’y aura  pas de vraie harmonie socio-politico-intercommunautaire, si les bradages de terres immémoriales demeurent une règle du « vivre en commun ». Aussi, il n’y aura pas non plus de stabilité sociopolitique, si le foncier coutumier sacrifié sur l’autel du vivre en commun, reste une source de tension sociale, couvert par les slogans soporifiques, tambourinés « Vivre ensemble ». Il n’y aura pas de paix sans la définitive restauration des droits de la propriété terrienne immémoriale des peuples autochtones sur leurs terres ataviques. Ceux qui croient encore au développement avec des tricycles, des multiples ponts, des bétons et des goudrons, chanté sur tous les toits par l’option développementale de l’ultralibéralisme d’Abidjan, « qui emporte bradages, accaparement des terres, jusqu’à leurs façonnage positiviste en terres sans maitres », qu’ils ne se leurrent plus, Non !  Il n’y aura pas de développement réel avec une dépossession/Redistribution des terres collectives propriété immémoriale. Donc, la côte d’ivoire ira de crise en crise jusqu’à l’effondrement totale du socle de l’entité commune et la totale dégénérescence sociale. Qui serait la résultante de guerre d’agression, entamée le 24 décembre 1999. Et «menée puis gagnée» des 18/19  septembre 2002 à Avril 2011, afin de conquérir le pouvoir par les armes impies. Non !

Donc, aujourd’hui, dans la situation de guerre continue et régulièrement renouvelée, il est question de ne jamais oublier que, l’état républicain de droit est et reste une conception dominante des sociétés modernes, dans laquelle par la seule manière dont les populations ataviques, renoncent à une partie d’eux-mêmes, à une partie de leurs libertés naturelles et entrer dans les rapports d’une entité sociale commune, est celle dont on s’entend avec les autres groupes sociaux ou tribus, afin de s’unir dans le consensus et le respect des droits réels antérieurs. En espérant de la protection collective de tous, biens, personnes, droits et libertés. Donc, ne jamais oublier le substrat sociétal initial au moment ou notre Nation, la terre de nos Ancêtres, notre Peuple Atavique, vit un moment de crise sociale historique, sous l’emprise d’un changement politico-économico-social dramatique, non-maitrisée, qui divague dans les fibres très sensibles de la construction d’une nation solidaire et de l’organisation systémique de la totalité sociale souveraine, dont le peuple et le citoyen ivoirien doit œuvrer sans relâche, pour empêcher, qu’il ne tourne à de nouvelles tragédies économico-politico-sociales toujours gouverné par les armes.

*- Une politique plus intéressées par le blanchiment d’argent ou le vol des deniers que par le but officiel évoqué.

À regarder la question de la propriété terrienne immémoriale dans l’Angle universaliste, se trouve mis en jeu le concept fondamental de l'identité sociale, des communautés autochtones *-«Et répétons-nous encore, notre pays la côte d’ivoire ne fait pas l’exception. Avec les bouleversements sociopolitiques, ou les terres se vendent partout comme du pain par n’importe qui ! Et la démographie transhumante aidant, ce sont les acheteurs d’aujourd’hui qui décideront des dirigeants de Demain. Et l’extrême multi-culturalité que cela provoque finira par annihiler les socles culturels des sous-cultures nationale, qu’on ne fait pas fi de l’ignorer. Et Même la sociologie électorale et politique ivoirienne est mise en lambeau. Les mœurs perverses et dépravées ont remplacé les mœurs nationales ataviques, au nez et la barbe de nos grands gardiens des us et coutumes. La côte d’ivoire évolue vers le chaos social total, avec Dieu l’argent comme mesure de valeur sociopolitique. Surtout, le « tout sociétal à un prix » «je peux tuer il n’y aura Rien !» comme force et valeur sociopolitique. Et, les ivoiriens potentiels désignés victimes, préfèrent le saupoudrage des maquignonnages, le maquillage des ivraies et les litotes caressant dans le sens des poils, qui élude ou masque l’essentiel sociétal, au profit de gains controuvés. » *- Donc, la question de la propriété terrienne immémoriale pose une sérieuse question identitaire dans la société, sans pour autant être la seule, ni la principale. Donc, l’alibi controuvé de la prescription positiviste et administrative de la propriété terrienne immémoriale, apparaît dès lors comme une action directe qui doit être comprise dans le cadre de crise, de frictions et de disputes de propriété terrienne dans le contexte d'une population historiquement propriétaire et revendiquant, que l’on veut la dépossédée et dont les droits terriens sont immémoriaux depuis la nuit des temps.

Donc, la prescription admirative par l’état des terres appartenant coutumièrement à des peuples indigènes et taxées de Terres « sans Maitres répertoriées », leur retire le statut de propriétaires coutumiers immémoriaux. Oui, le droit international coutumier, qui garantit le statut juridique de ces terres proscrit leurs l’utilisation unilatérale aux fins de développement urbain, d’agriculture par des tiers étranger à ces terres, ou de toute autre activité supposant l’exploitation de ces terres. Donc, La prescription positiviste et administrative, sous l’égide d’une politique foncière qui crée des « terres sans maitres », supprime ce statut juridique, et ouvre la voie à une dépossession au profite des activités commerciales et au mépris des populations autochtones ou indigènes, à qui ces terres appartiennent de droit international coutumier, l’irréfragable droit des droits. Donc,  le développement extensif fondé sur le foncier nuit aux peuples autochtones ou indigènes, en menaçant leurs terres ancestrales, leurs modes de vie traditionnels, et un large éventail de droits humains. Ainsi, on peut donc, parler de relation sacrée entre les indigènes la Terre et l’environnement naturel. La terre est une partie indissociable des peuples indigènes, qui sont aussi une partie in-détachable des terres ancestrales. Sans lesquelles terres ancestrales leurs survie identitaire, socioculturelle et économico-communautaire, est manifestement hypothétique. Puisque, la constitution rapide de sociétés complexes et diversifiées assomme les  identités socioculturelles ataviques.

Donc, les processus de dépossession terrienne voilée par la politique ultralibérale de prescription administrative des terres appartenant à des communautés autochtones, «mais estampillées terres sans propriétaires » donc, une expropriation/appropriation terrienne par des acteurs externes nantis et étrangers des territoires des peuples autochtones, mais au dossier très solide, pour dit-t-on développer des soi-disant activités d’émergence économique. Trouvent aisément leurs explications et leurs exemples de par le monde notamment, dans les territoires indigènes en Argentine, réalisés au Nom d’un hypothétique développement des infrastructures, et au Sri Lanka au Nom de l’agrobusiness, au Brésil, au Nom de la progression de l’agriculture et d’élevage. Et aussi dans les cas de la Roumanie, du Canada, et des Etats-Unis, ont été évoqués des processus de concentration des droits d’usage de la terre et des ressources naturelles, qui s’opèrent par l’achat/vente de parcelles de moindre dimension, la location non-balisées. Les acteurs impliqués sont très variés. Il y a bien sûr de grandes entreprises, internationales ou nationales, mais surtout aussi les États, directement à travers de leurs politiques foncières de redistribution, à des fins commerciales et d’investissement, ou par le biais d’expropriations ou d’attributions de concessions administratives. Bon ! De toute évidence, ce ne sont pas toujours des entreprises qui accumulent des terres. Mais plutôt la politique foncière de redistribution en créant des terres devenues propriété de l’état, ainsi couvert par la prescription administrative qui crée des terres sans maitres «propriétaire» à redistribuer par l’état.

Aussi, un terrain favorable à ces processus de dépossession et de concentration des terres, est créé par l’histoire coloniale et la création/formation d’états dit souverains, par exemple en Afrique du Sud après les indépendances, les terres non-immatriculées par l’administration de l’état, au nom de propriétaires particuliers sont devenues des terres nationales, «sans propriétaires», en bafouant le droit réel immémorial des autochtones, même lorsque ces terres étaient ou ont été, ou sont occupées, par des populations autochtones depuis très longtemps et régies par des règles coutumières, irréfragable, «droit international coutumier». Ce faisant ainsi, en ne reconnaissant pas des droits de propriétés immémoriales a des populations autochtones ou indigènes, qui habitaient ou habitent ces espaces. Les États justifient leurs pouvoir de les céder par le biais de baux de très longue durée ou de les vendre à ceux qu’il « état » considère les plus à même de développer le pays. Donc, les états imposent comme règle de droit, et comme solution «éphémère» à l’insécurité foncière la remise de titres fonciers aux habitants par l’administration. C’est ainsi que dans certains pays (par exemple Madagascar), la réforme foncière qui remettait en cause le principe de propriétés immémoriales et permettait de reconnaître les droits positifs des habitants avec des certificats fonciers, n’a pas réussi à atteindre leurs objectifs sécuritaires. Et ces pays ont continué à céder de grandes quantités de terres des indigènes, pour des activités commerciales et minières, par des jeux, à des investisseurs étrangers. En règle générale, les niveaux intermédiaires d’organisation sociale et de gestion des terres et des ressources ne reconnaissent pas les droits coutumiers immémoriaux, avec pour conséquence la privatisation systématique de l’usage des terres a propriétés collectives, communes des communautés indigènes et autochtones. Aussi, la politique de collectivisation forcée des pays se revendiquant du «vivre ensemble» cette valeur socialiste a été un autre moteur de dépossession et de concentration accélérée des terres au cours de l’histoire du XXe siècle. Ici l’exemple de Roumanie illustre le caractère irréversible à court terme de ce processus. Avec la dé-collectivisation de la propriété terrienne, de très grandes exploitations se sont reconstituées très rapidement sur les meilleures terres. Les entrepreneurs et investisseurs avec intervention de l’État s’attribuaient des milliers de petites parcelles pour constituer leurs exploitations qui devenaient leurs propriétés par la suite.

*- Lorsque les terres sont données pour exploiter et cultiver, on cherche des motifs pour se les approprier.

Au terme d’une politique ploutocratique, la terre est de plus en plus souvent traitée comme une marchandise étatique. Cette politique commerciale dans son essence, nie les spécificités territoriales et celles des ressources naturelles. Ainsi ces conséquences sont dramatiques pour la société toute entière. Aussi, les communautés autochtones et les peuples indigènes perdent le contrôle de leur propriété terrienne, et souvent de leurs cultures ataviques et de leurs savoirs ancestraux, et leurs capacités d’organisations sociales héritées. Particulièrement et singulièrement en côte d’ivoire, ces évolutions sociétales s’accélèrent depuis dix « 10 » ans et auront un caractère irréversible à terme. Puisque la généralisation des droits de propriété individuels conduit à un affaiblissement du contrôle des évolutions par les communautés autochtones et au développement des tensions sociales dans les campagnes et souvent aux abords des villes. Donc, en ne visant que la rentabilité financière dans la concentration et dans l’attribution des terres coutumières par l’état à d’autres profits rompent le rapport de la société humaine à la nature. Mettons l’accent sur les accaparements impliquant des violations directes des droits des populations, en priorisant souvent les accaparements par des étrangers, exigent de nouvelles régulations au niveau national et international devenues indispensables. Seule la mise en place d’une autonomie fondée sur le droit international coutumier «le droit des droits», permettra aux communautés indigènes et aux peuples autochtones d’éviter l’instrumentalisation des politiques étatiques contre leurs intérêts, et leur permettra de reprendre le contrôle sur leurs terres, propriétés immémoriales, qui ont été assujettis à la seule volonté de l’état ou qui a été abandonné à la seule loi du marché. Volonté et Loi, qui provoquent la vulgarisation de l’accaparement des terres par l’état et leurs achat par des financiers étrangers, des sols agricoles ou de forêts sur lesquels vivent et se nourrissent des peuples autochtones indigènes. Les plantations d’hévéas, de palmiers à huile, Bananes et autres attributions administratives de l’état, sont responsables d’une grande partie des accaparements des terres de ces dernières années. Les communautés nationales sont les premières à remarquer que les sociétés à qui l’état attribue sont plus intéressées par le blanchiment d’argent sales, le vol des ressources naturelles que par le but officiel évoqué.

Par exemple, aujourd’hui les grands propriétaires terriens, (Brésil, Argentine, États-Unis, Canada), qui possèdent des dizaines de milliers d’hectares, des grands exportateurs de soja, maïs, blé, viande, etc. sont des accapareurs soutenus par les états. Sans oublier les fermes d’Australie s’étalant sur des dizaines de milliers d’hectares avec le triste sort réservé aux aborigènes. Pourtant, selon une décision de la Cour Internationale de Justice de 2016, « les cas systématiques d’accaparement des terres, et suffisamment graves dans leurs conséquences peuvent être portés devant la justice comme crimes contre l’humanité.» Donc, il y a des crimes contre l’humanité partout dans ce monde, et qu’on ignore imprescriptibles. On est vraiment-là, face à une nouvelle conquête de type colonial, un renouvellement d’une forme de pillage dans lequel les terres sont assimilées à de simples puits à profit ou de butin de guerre, pour certains pays, donc, un notre genre de mines à ciel ouvert. Ainsi, chasser les peuples qui ont préservé la ressource, respecté l’environnement est un «détail de l’histoire» pour les accapareurs. Donc, à travers la question de la dépossession des terres à propriétés collectives, il apparaît clairement que la dé-communisation, la privatisation légalisée par des parlements et des gouvernements, n’a jamais été légitime, car elle n’a jamais été faite dans l’intérêt général. Les pillages n’ont pu exister qu’en privilégiant des intérêts particuliers sur ceux du reste de la population collective, c’est une constante de la ploutocratie, de l’ultralibéralisme prédateur, et du capitalisme broyeur de droits et de libertés. Une politique universellement avérée, Artisans d’un développement au couleur des dépossessions, accaparements et de bradages de terres avec une grosse cerise peint à la couleur Blanche de la marchandise du colombien Pablo Escobar, qui a de grands disciples en côte d’ivoire. Bon ! Peut-être d’aucuns nous rétorqueront que ceci est plus moralement regardant que, ceux tirer d’une affaire de déchets toxiques, ou plus préférable qu’une politique affairiste de cooptation/achat d’un exercice nauséeux de politicards.

*-Repenser le concept d’émergence, de développement autour de la satisfaction des besoins essentiels du peuple

Donc, que, singulièrement le cas ivoirien regarder, à la lampe des lumières des multiples exemples universels suscité, il est incontestable que pour la côte d’ivoire, si nous ne réagissons pas rapidement face aux bradages des terres coutumières, propriétés immémoriale des indigènes autochtones, et aussi à la destruction des espaces d’évolutions des agricultures paysannes locales et respectueuses de notre biotope, plus résilientes aux chocs à venir, plus humaines et plus solidaires, ce confort qui nous tient bien à l’abri pourrait se transformer en sauve-qui-peut ! Et en véritable cauchemar ! Demain ! Oui, ressassons-le, ici encore, la propriété coutumière terrienne immémoriale, régis par le droit international coutumier de la propriété, tient en l’état toutes prescriptions juridiques spéciale, y compris s’il y a ? Celles constitutionnelles. Ce droit de la propriété immémoriale coutumière n’a pas besoin de prescription spéciale, d’enregistrement spécial, de reconnaissance administrative spéciale, il est ancestral et immémorial. Donc, les prescriptions constitutionnelles de non-droit au mépris des exigences du droit des droits, de la propriété immémoriale coutumière terrienne, seraient une aberration de droit de propriété aux yeux du droit international coutumier de la propriété coutumière immémoriale, qui gouverne cette matière, et échappe à la notion de  propriété alleutier. Ainsi, en voulant par une politique ultralibérale de gestion terrienne voleuse, mafieuse, que la côte d’ivoire soit un pays des petits propriétaires terriens individuels, a fini par oublier que tous les propriétaires ou les paysans qu’elle fabrique de façon controuvée, intéressée, ne l’étaient pas, d’il y a 10 ou 20 Ans. Et que cela est dû à une politique de dépossession en n’outrance et d’accaparement systématique terriennes pour des objectifs obscurs, lugubres. Lorsque les terres sont données à exploiter, cultivées on cherche des motifs pour se les approprier ou les donner à des tiers par des moyens contourner, laissant naitre des crises.

Bon ! En côte d’ivoire, qui vend les terres ataviques a identité culturelle immémoriale dans chaine de gouvernance administrative de la cantonade des Bouffe-tout ? Ou bien c’est le suzerain lui-même ? Ou sur ses instructions ? Oui, au terme  de ces 10 ou 15 dernières années notre pays la côte d’ivoire, qui n’a plus de terres ou de forêts primitives, est entraîné dans une spirale dangereuse, par une politique prédatrice, et ses politiques de gestions foncières de plus en plus libérales que celle-ci implique. En causant ainsi de multiples dégradations sociales qui atteignent toutes les populations, en premier lieu les autochtones propriétaires coutumiers des terres querellées, qui sont les plus pauvres. Mais aussi les populations ataviques qui avaient pu conquérir des protections de leurs propriétés grâce à une antérieure politique, plus humaine, sont face à des véritables signes d’un dérèglement mafieux, pervers et funeste, des règles coutumières. Entrainant les dépossessions et appropriation illégales des ressources terriennes ataviques par la « forces » qui menacent les conditions de la vie future et mettent le pays devant sa responsabilité, à l’égard des générations à venir. Terres sans maitres ? Donc, ici, ce n’est pas faire preuve de catastrophisme que de dénoncer ouvertement la politiques ultralibérale mafieuse et voleuse de prescription administrative des propriétés terriennes immémoriales qui sont régis par le droit internationale coutumier (le droit des droits), et sa politique propagandiste de fuite en avant d’un système de bradage, de dépossessions et d’accaparement terrienne, d’un pouvoir politique toujours avide du monnayables, qui ne peut conduire qu’à l’aggravation des contradictions de toutes sortes. Il n’est pas non plus exagéré de remettre en cause ce système prédateur de jungle totalitaire, son mode nébuleux de développement exclusif qu’il impose, c’est-à-dire un type de production cafouillée et de consommation non-balisée, qu’on présente comme modèle, sans que tous puissent y accéder. Et sans que ce modèle soit généralisable, parce que son système est sélectif.

Donc, disons-le ici, qu’il est à craindre que dans un premier temps une grande partie de la population autochtone, qui se trouve parmi les plus pauvres soient littéralement sacrifiée. Et qu’ensuite que leur survie identitaire et socioculturelle soit mise en jeu. « Au terme de l’orchestration du bazardage de la côte d’ivoire mise en liquidation mafieuse ». Donc, il nous faut sauvegarder les droits coutumiers ancestraux sur les terres supposées sans maitres. Pour cela, nous proposons de repenser le concept d’émergence économique et de développement réel autour de la priorité donnée à la satisfaction des besoins essentiels du peuple, lesquels ne seront pas minimalistes mais raisonnés et définis par un débat sociopolitique démocratique. Cette reconsidération du concept d’émergence économique et de développement réel se démarque de l’illusion d’un « développement sans balise et cafouillé», d’un système politique et économique dominé par la recherche du Gain facile et du profit. Ce concept recadré, ce rapprocherait au contraire de l’aspiration à plus de justice et de solidarité que les mouvements sociaux expriment dans notre pays. Un pays que nous voulions stable et paisible, dirigé par des représentants dont les politiques et les décisions constitueront l'expression de la volonté générale du peuple. Et qui œuvreront, dans l'intérêt de la Nation, que chacun d’eux représente entièrement, et non leurs seuls électeurs ou leurs seuls Bétails électoral. Et le tout dans les limites du principe supérieur du droit, et conformément au but collectif qu'ils sont appelé à réaliser.

A LA REMORQUE DE CE KOUMA DES TERRES ACESTRALES ET LEURS BRADAGES SYSTEMATIQUE, NOTRE TOCSIN

Ceci étant bien dit et ce qui est dit est dit. Arrimons notre tocsin à ceci ci-dessus. Disons que, la société ivoirienne, n’est plus maitresse d’elle-même et de son destin dans le concert des nations civilisées. Elle n’est plus qu’une immense déchirure sociale, un vaste champ de ruine sociétale, à la merci des dépossessions des bradeurs et des vautours renifleurs,  des pilleurs endurcis et des escrocs « moral et intellectuel » ataviques. Elle est désormais devenue dispensatrice de désespoir et de désolation, sous la coupe de sinistres personnages sans foi, ni loi, tout pour Dieu l’argent, tout pour manger, tout pour être a la table des convives nocturnes. Avec l’ordre social comme Mouton de sacrifice. Donc l’heure n’est pas aux pleurnichements ou aux combats de leadership ou aucun leader n’a sortira vainqueur, ni aujourd’hui, ni demain, encore moins en 2025-2030, objet de toutes les stratégies politiques actuelles. La côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique d’abord, il faut un système de régulation sociopolitique très fiable. Oui, sous le poids dense de la liquidation socioculturelle et de ce qui fait l’identité d’une nation souveraine, la côte d’ivoire est une devenue pétaudière et une risée des nations civilisées, elle désormais porteuse des mœurs sociétales dépravées, avec toujours du capharnaüm kafkaïen au quotidien, et elle ne s’en sortira de cet engrenage qu’avec son atavique identité restaurée et qu’au terme d’une nouvelle organisation socio-politico-électorale. Oui, la côte d’ivoire, offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Et de par notre suiviste adhésion a une politique sociale de criminalité sans honte et d’escroquerie morale et intellectuelle à ciel ouvert, chaque jour nous défaisons un nouveau pas de ce que construisirent nos devanciers pendant 40 ans.  Cet Engrenage hermétique cadenassé risque d’être fatale pour la côte d’ivoire. Oui, le ver est dans le fruit ivoire, le mal a pris ses racines sur la terre de nos ancêtres, le kyste cancéreux est dans la tête de Dame Côte d’ivoire. QUI N’EST PLUS A L’ABRI DU PIÉTRE POPULISME BORNÉ DE POLITICARDS ANTI-FRANÇAIS.

Citoyens libres, comme déjà dit, nous n’exerçons que dans le respect de ce qui est conventionnelles et légitimes, et il est aussi conventionnel et légitime que, quand il n’y a plus de route légale à parcourir, et qu’à défaut de pouvoir se faire une route citoyenne et légitime, et en attendant une route légale de courses loyales, qu’il faut arrêter la course citoyenne, pour ne pas avalisé une forfaiture politicarde, donc, ici, nous avons KOUMA malgré-nous. - (Donc, les commandités pour fermer les bouches citoyennes peuvent exulter en allant réclamer leurs inhumains primes aux commanditaires. Mais depuis la nuit des temps, si la pratique des chasseurs de primes est redouté, le sort que la nature qui a horreur du crapuleux les réserve, est sans appel, et toujours à la hauteur de leur actes abominables)-. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de la Légitimité Citoyenne « LC_CRS ».

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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