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10 mai 2023 3 10 /05 /mai /2023 02:36
Lepetitfils : La vraie réconciliation n’est admissible qu’au prix de la révélation des responsabilités des criminels et des crimes de l’État. Mais l’Amnistie référendaire consensuelle et consentie par la totalité sociale, vient clore définitivement une séquence historique dont la nature est double : séquence des malheurs, puis séquence de débat sur les malheurs. Si elle est bien balisée et accompagnée par des bonnes mesures d’organisations systémiques, elle s’ouvre sur un nouveau départ sociétal. Elle désarme les rancœurs et le désir de vengeances

Lepetitfils : La vraie réconciliation n’est admissible qu’au prix de la révélation des responsabilités des criminels et des crimes de l’État. Mais l’Amnistie référendaire consensuelle et consentie par la totalité sociale, vient clore définitivement une séquence historique dont la nature est double : séquence des malheurs, puis séquence de débat sur les malheurs. Si elle est bien balisée et accompagnée par des bonnes mesures d’organisations systémiques, elle s’ouvre sur un nouveau départ sociétal. Elle désarme les rancœurs et le désir de vengeances

*- Chronique « KOUMA ». En politique, Transcender les principes coutumiers, est le frère jumeau de la violence.

Bon ! Soignons la plaie sur sa surface, donc disons que sauf à vouloir jouer à la politique de l’Autriche, qui consiste à enfouir sa tête dans le sable pour ne pas voir la réalité en face, oui, sauf à vouloir s’auto-leurrer, et s’auto-tromper, comme ce criminel de guerre pour les uns et un héros national pour d’autres, chef de guerre-empereur, ou rebelle-empereur pour la postérité, au moment fort de sa guerre de conquête expansionniste, a été dissuade par son Griot-conseillers de ne pas prendre une destination de conquête, et qui a répondu à son Griot, si c’est moi FAMA dit moi ce que mon oreille veut entendre, et son griot le rétorqua Fama cette destination a un propriétaire, à la porte d’entrée de sa propriété, et a FAMA de boucler le débat par un rire clownesque. Et l’expédition tourna très courte. Fin ! Nos petites oreilles de 6 Ans d’Äge ont entendu ce récit quelque part à Bouaké-Kôkô en 1968 au pied de l’Energie-électrique avec son « gbou-gbou-gbou éternel». Donc, disons qu’après les armes dans l’arène politique de 1999, coup d’état réussi, pas à la perfection mais de façon péniblement conjugué, théâtralement controuvé qui à occulter projet et avenir non-prévus. Et l’autre coup d’état manqué transformé en rébellion, devenue la guerre  de 2002-à-2010 et parachever le schéma laborieux d’un coup d’état de conquête du pouvoir qui a duré 11 ans 4 mois «Avril 2011» et d’installer une crise de la totalité sociale de façon cyclique, sempiternelle. Oui, au terme de ce passage par l’inacceptable, l’injustifiable, et irrecevable, une occasion nous était donné de reformé en profondeurs tout notre système de l’organisation socio-politico-démocratique et électorale démodé, archaïque, en renouvelant les normes juridiques Anomique, démodées, et les institutions vermoulues qu’elles soutiennent, en placardant les hommes politiques usés qui ont faillis, en contribuant à la débâcle armée de leurs propres pays au non d’un carriérisme pathologique et honteusement nombriliste. Oui, il était question de tout mettre à plat, puisqu’il s’agissait non pas, de refonder un nouveau pacte républicain, mais de rétablir le pacte républicain dessous par les armes de 1999-2002-2011 et suivants cadavérés.

Donc, après l’inacceptable, l’injustifiable, et l’irrecevable un repère gyroscope était bien là, indicateur de la voie salvatrice vers le pacte social salvateur et humaniste. Mais aujourd’hui le tout permis instaurer à balayer ce pacte salvateur qui n’existe plus pour une très grande partie du peuple souverain ivoirien, du fait de la ségrégation socio-politico-économico-électorale, à cause de l’Apartheid dans l’organisation-socio-économico-électoral et à cause de la sécession mentale consommée, qui alimentent des affrontements entre les communautés nationales diverses. Ou entre communautés nationales diverses et autres communautés multiples. Et cela surtout a cause de la nouvelle mesure de valeur sociopolitiques qu’est devenue les Armes matériels et Dieu l’argent. Il existe aujourd’hui une grande partie de la population ivoirienne pour laquelle le pacte républicain initial d’antan ne s’applique pas, d’où des divisions dissolvants et conflits intercommunautaires cycliques. Oui, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, piratée, déroutée par les armes impies et entrainée sur une voie de déviation a raté une occasion réelle qui l’était donnée par les faits de crises. Oui, l’occasion de redressement sociopolitique à l’aune des réalités dramatiques, qui nous était donné  ne se réalise pas sans une autocritique qui lubrifie les interactions sociopolitiques, afin qu’elles ne dégénèrent pas en conflit ouvert ou latent. Donc cette occasion salvatrice, n’est compatible et n’est pas possible avec des gens qui n’admettent pas la rigueur du consensus sociopolitique et elle exige l’abandon de l’égocentrisme des gens qui n’admettent jamais s’être tromper chemin faisant vers l’ABIME.

*- Aider le pays a sortir d'une situation de crises aigues et cycliques et à la recherche de son identité bâtardisée.

Donc, malgré l’occasion qui était donnée à notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, par la lampe des lumières de l’inconcevable guerre, dans un pays qui était destiné à être un état de droit, peine toujours à remonter à la surface des profondeurs abyssales, de cette crise sociale aiguë, de la totalité sociale souveraine : « une crise carriéristes et arrivistes de conquête du pouvoir d’état par les armes, une crise de non-respect du droit, une crise issue des mépris pour les normes de régulations sociopolitiques préétablies et acceptées par tous. Une crise de droit civil et politique, une crise sociale et intercommunautaires, une crise politique et civique, une crise morale et de confiance dans les gouvernants, donc une crise de légalité et de légitimité du pouvoir d’état, une crise de vérité et pire une  crise identitaire ». Oui, soignons la plaie sur sa surface, répétons-le, donc, depuis le coup d’état le 24 décembre 1999, depuis la guerre entamée les 18-19 septembre 2002, depuis les vraies fausses élections de 2010-2011 et l’achèvement de la guerre qui s’en est suivit, Rien de Concret vers la régulation sociopolitique, le Noir du goudron, le Néant des flagornerie,  et le Vide des fanfaronnades, le progrès du gonfler dégonfler, qui laisse le citoyen au bord de la route, pas une seule sérieuse mesure politique corrective et dans une action sociale, intelligente, crédible, opportune, novatrice et stable, vers la restauration sociopolitiques et vers la stabilité politique et la paix Houphouët-ienne, dans le respect de nos valeurs sociétales Atavique d’hier.

 Depuis, la société ivoirienne vie, une vie politique à la Colombienne débridé, ou les clans et factions se disputent le butin, souvent tempéré par le capharnaüm kafkaïen régulier, rééquilibré par le foutoir démocratisé ou les cadavres assurent les décors. Le pays se bat mourant et se débat asphyxié, toujours sous vingt-trois « 23 »  Ans de gravats, où valeurs sociales et sociétales sont en Ruine, les Mœurs sociétales dépravées, les us et coutumes en extrêmes difficulté dans une crise culturelle, la sado-perversité sexuelle transfrontalière à bafoue notre idéal sociétal Atavique, les postérieures ou arrière-trains, sûr d’être bien fournies s’attèlent ostensiblement a l’invite à ciel ouvert au mépris de la morale sociétale, et ont fini de remplacées les accordéons musicaux de nos enfances. Donc nous disons encore ici, et maintenant, qu’une société se régule  en permanence, l’ordre social se surveille, afin de pouvoir garder la spécificité de sa trajectoire identitaire dans le concert des Nations souveraines, et qu’il est d’ordre public ou d’ordre social, et d’intérêt général, que de faire de la régulation sociopolitique avec comme les organisations, les organismes et les institutions républicaines et leurs démembrements, une fixation absolue.

Parce qu’il est une constance absolue en politique, la vraie politique, que c’est en cultivant les vertus du dialogue, de la tolérance mutuelle et de la solidarité diverse, en conservant son identité Atavique «hélas ! Où l'emportent trop souvent la violence inouïe des diktats, l'intolérance face aux différences quelles qu’elles soient, et l'égoïsme égocentrique», qu’on arrive à la stabilité sociopolitique par le biais d’une bonne organisation sociopolitique. Oui ! Aucune évolution notable vers l’ordre sociale systémique qui sous-tend la paix non-éphémère depuis 2011, qu’une politique économique dirigiste, qui organise les revenus sociaux vers les poches et la table des convives nocturnes, en leurrant le peuple avec des chiffres de croissances économiques farfelus, d’un développement qui laisse le citoyen dans la poubelle au bord de la route du progrès de la société, ne saurait solder. Bon ! Soignons la plaie sur sa surface. Revenons-en, nous avons dit pacte républicain dissout à rétablir : « Oui, ce mot pacte républicain, recouvre un ensemble d'idées et de principes qui fondent la République «tolérance-justice-solidarité, etc.» Concernant l'aspect politique, on entend par pacte républicaine une collaboration entre toute les sensibilités politique d’une nation souveraine de droite, de gauche et de tous les centres, jusqu’aux Extrême, pour sortir le pays d'une situation de crises aigues, ou à la recherche de son identité bâtardisée, cela, s’il le faut avec un  gouvernement collégiale d’Union, en s’inscrivant tous résolument dans un processus d’intérêt public.

*- Que la côte d’ivoire soit un état républicain de droit, ou aucun citoyen n’est davantage citoyen qu’un autre.

Donc, une collaboration sincère, dans la reconnaissance de tous dans leurs originalités absolues à l’intérieur de l’égalité de tous, en droit et en devoir. Pour afin doté le pays des normes juridiques consensuelles adaptées à l’évolution du monde, des institutions étatiques conforment aux grands principes internationaux, un système d’organisation politique clair et fiable, des organismes de gestions des jeux politico-démocratiques, totalement indépendant, Autonome, Apolitique, ou tous les intervenant dans les jeux ne seront que ses démembrements. Ici, d’où la nécessité d’une réforme du système électoral ivoirien pour le rendre Apolitique et consensuel, avec un nouveau découpage électoral, et un nouveau mode de scrutin aux élections législatives, qui soumettra les élections sénatoriales au suffrage universel direct. Celle-ci impérative pour réactiver le sentiment d’appartenance à une communauté unique commune, pour qu’il n'ait d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique que de faire partager à l'ensemble des citoyens la conviction que leurs volontés s’exprime dans leurs élus au suffrage universel direct, qui est une exigence du pacte républicain dissout. Rétablir ce pacte républicain fera bénéficier les représentants d'une légitimité populaire et d'une haute valeur morale qui ne souffriraient d'aucune critique.

Soignons la plaie sur sa surface, au cas contraire, ce serait d'abord un appauvrissement de la culture commune « pacte républicain » et, à terme, une situation dangereuse pour tous et pour chacun. Parce que le sentiment d’injustice juridique et d’injustice sociale cultive les divisions et les antagonismes. Et l’intolérance des différences sociopolitiques, quelle que soit la nature, relève du choix du désordre sociopolitiques pour régner, et non de l’option exigeante, pour l’ordre public, pour l’ordre social, pour la stabilité politique, pour la paix pérenne et pour la civilisation moderne qui sied au 21e Siècle. Rétablir le pacte républicain dissout, parce que, comment peut-t-on partir de la politique de stabilité et de paix sociopolitique, de l’exaltation de la diversité nationale solidaire, de la culture de l’harmonie communautaire, assis sur le consensus à toute épreuve, soutenu par la fraternité agissante, des valeurs ressortissantes de la philosophie politique de Félix Houphouët  Boigny, et à l’arrivée, inventer un tel chaos sociopolitique cyclique, un tel manichéisme politique divisionnaire, différencialiste, mortifère, sanguinaire ou chaque élection a son nombre de Morts.. Le petit coup d’état tirant et arrachant, qui a duré 11 ans 4 mois pour arriver à ses fins a montré ses limites dans la gestion de la totalité sociale et des hommes, la politique ne se résume pas aux rafistolages économico-financiers. Donc rétablir le pacte républicain dessous par les armes de 1999-2002-2011 suivants cadavérés, est l’une des solutions salvatrices pour la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny.

Une solution salvatrice, pour paré a la catastrophe qui pointe à l’horizon, d’une situation où chacun est pris par sa différence sociopolitique et réduit à ce à quoi sa spécificité biologique ou confessionnelle le destine. Or le pacte républicain, dans une nation souveraine et dans un état républicain de droit, exige, « auto-crique, contrition, repentance, tolérance-justice-solidarité, égalité de droit, égalité de devoir, égalité de liberté, et égalité de chance dans la société» et « un système d’organisation sociopolitiques non-caporalisé, non-malléable, non-manipulables et un organisme électoral fermé aux hommes politiques acteurs-compétiteurs, donc, totalement indépendant, Autonome, Apolitique et inamovible. Voici le pacte républicain (du républicanisme social dont nous nous revendiquons, dans son champ absolu à rétablir après le chaos carriériste, arriviste, renégat. Soignons la plaie sur sa surface. Nous sommes de ce qui, doublement centriste, d’un éclectisme impassible, revendique, une société ivoirienne solidaire, qui admette sans faux fuyant, l’hétérogénéité des sous cultures nationales, ou « le Bidon de Bandji-Blanc côtoie le Céri-Dagâ, et se congratulent, dans le respect mutuel comme deux camarade de citoyenneté commune, conformément a notre pacte républicain». Que le droit de tout citoyen commence là où s’arrête le droit des autres citoyens. Qu’en côte d’ivoire, un état républicain de droit, qu’aucun citoyen ne soit davantage citoyen qu’un autre : que le citoyen c’est tout homme doué de ses libertés, droits civils et politiques.

*Crise politique qui induit une nouvelle demande de régulation qui peine à être satisfaite. D’où Abstention de 80%

 Donc, que le citoyen, c’est vous et nous, c’est un député ou un maire, un ministre ou un président de la république, un sénateur ou un conseiller d’état, un  Maire ou un conseiller général, un ministre Gouverneur ou un conseiller à la présidence de la république, chacun étant redevable devant la loi de la même manière, avec les mêmes attributs naturels et les mêmes droits que tous les autres. Que personne n’à acheter une autre au marché public, que la côte d’ivoire n’est pas la plantation privé d’aucun citoyen. Tous égaux. Qu’ainsi la condition étant ainsi égale pour Tous, sous l’arbitraire d’un organisme Apolitique, nul n’aura intérêt de la rendre compliquer ou onéreuse aux autres. Que dans ces conditions, nul ne peut être placé au-dessus de la loi, y compris le chef de l’état, président de la république. Qui ne peut rétroagir, a Qualité et en qualité, contre ses concitoyens. Oui, il est de notoriété publique admise de par le monde que, toute action ou position sociopolitique, qui transcende les grands principes coutumiers de paix internationale, de droit civique, civil et politiques, de droits universels, de régulation sociale, est le frère jumeau des violences de masse et des conflits armés. Oui, une occasion nous était donnée parce que cette crise de la totalité sociale ivoirienne a eu le mérite, en tout cas de soulever, de révéler, de dévoiler, d’exhiber et de faire ressortir toutes les grandes questions sources de la crise de la totalité sociale ivoirienne, et de la situation de désordre monstrueux qui prévaut dans notre pays autrefois d’ordre et de paix.

Soignons la plaie sur sa surface, égrainons une kyrielle, pour mémoire. «Désordre monstrueux, Animosité, intolérance, haine de l’autre, déchirure du tissus social, Allergie aux différences quelles qu’elles soient. Extase schizophrénique face à l’adversité politico-électorale. Glaciale peur bleue des élections équitables, réellement démocratiques, pluralistes, justes, transparentes, conforme au droit international et sous le contrôle d’un organisme électorale Autonome, Apolitique, Neutre et  Impartial. Une politique tyrannique du moi ou rien, sinon la terre brulée. L’entré constante en transe perpétuelle face à la nécessité d’autocritique, de repentance et de contrition pour la réconciliation nationale. L’abhorration de l’application des principes coutumiers universels du droit international coutumier « Amnistie référendaire» et la réelle pratique démocratie. D’où toutes les crises socio-économico-politico-démocratiques et institutionnelles sont présentes. La grenade a goupilles tirée quoi ! *- Crise des institutions politiques. *- Crise de l’émergence de nouvelles pratiques démocratiques. *- Crise du politique. *- Crise de légitimation entre représentation et les politiques. *- Crise de représentation entre la société commune et les politiques. *- Crise de régulation qui déconnecte la capacité d’action des gouvernants de l’état sur la totalité sociale. *- Crise de souveraineté qui remet en cause la réciprocité étatique dans le système international. *- Crise du politique qui induit une nouvelle demande de régulation qui peine à être satisfaite, soutenue par une nouvelle exigence de participation démocratique. Abstention électorale endémique de plus de 80% a occasion, Etc.

*- Ça doit changer du tic au tac face à l’obstruction à la bonne organisation électorale pour des raisons d’intérêts

Soignons la plaie sur sa surface. D’où l’autre n’est plus vraiment un frère dans les rapports et relations quotidiens ou même un ami, mais un ennemi à abattre. D’où chaque portion de la société ivoirienne composite se sent attaqué dans son assisse juridique, dans son substrat sociocommunautaire, dans ses droits civils et politiques, dans ses libertés fondamentales, dans ses droits inaliénables d’être humain. D’où chacun est fouetté dans son instinct de survie sociopolitique et même physique, s’en remet au suprématisme dans une société de jungle. Où chacun est réduit à ceux a quoi sa spécificité biologique et religieuse le destine. La catastrophe n’est plus loin dans une société de jungle, devenue le lieu de rendez-vous de tous les chaos socio-politico-économiques. Le volcan est perceptible. A ce moment précis de l’histoire de notre Nation, qui appelle une réconciliation nationale de survie, donc de l’impérieuse réconciliation nationale, des erreurs fatales pour la paix sociopolitique et pour l’avenir ne sont pas permises. L’intolérance des différences sociopolitiques qui pousse à ne jamais admettre un organisme électorale Autonome et Apolitique, quelle que soit la raison ou la nature ici, relève du choix du désordre pour pouvoir régner comme charlemagne, et non de l’option exigeante, pour l’intérêt général, pour l’ordre public, pour l’ordre social, pour la paix pérenne et pour la civilisation moderne, qui sied au 21e Siècle.

Oui, seule la démocratie libérée des emprises partisanes des partis politiques et des hommes politiques, dans l’acceptation des différences sociopolitiques, peut nous libérer des maux qui rongent notre société, inhibent toute perspective d’avenir et annihile la construction d’une communauté nationale réconciliée avec elle-même. Oui, la démocratie libérée des emprises partisanes des hommes politiques et partis politiques, pour que les institutions démocratiques puissent incarner l’idée de démocratie réelle, mais hélas ! Dans la pratique de notre système, la participation et la représentation des citoyens ne trouvent toujours pas d’assurance dans nos organismes électoraux. Notre démocratie connaît dès lors une crise de légitimité qui se manifeste par la faiblesse de l’organisation systémique en générale et en particulier du fourre-tout de l’organisme électoral, surtout l’incohérence des dispositifs de la règle de représentation et de participation des citoyens. Dès lors notre institution démocratique est déboussolée par la crise du système d’organisation politique. D’où s’en suit une crise de légitimation de la représentation qui perd le monopole de la régulation socio-politico-électorale, dont la source devient polycentrique. D’où les diverses instances de gouvernance, souffrent d’une absence de légitimité démocratique, de légalité de droit, par la rupture relative de la relation entre peuple gouverné et gouvernants.

Puisque les gouvernants tiennent leur légitimité de l’existence d’une communauté politique formée de citoyens dont il est censé exprimer la volonté générale. Les gouvernants en se privant volontiers de ce principe de légitimité de son pouvoir, devront rechercher ailleurs la justification de son pouvoir. Oui, en tant que communauté politique, la nation se fonde sur l’existence d’un peuple de citoyens libres, arbitres souverain en dernière instance de la décision politique. Répétons en dernière instance de la décision publique. Donc, l’instauration d’un organisme chargé de géré la compétition de la représentativité se situe au-dessus des pouvoirs publics et de leurs décisions publiques. Sans cette instauration d’un organisme qui échappe de droit aux pouvoir public et aux décisions publiques ceci aboutirait principalement sur une certaine inertie sociale qui n’est pas une posture de communauté unique totalement libre. Donc, ici, les choses doivent changer du tic au tac face à l’obstruction à la bonne organisation sociale pour des raisons d’intérêts politiques et au bon fonctionnement des organismes de compétions électorale. La chaine se trouve rompue par la volonté unique de ce pouvoir, absolue

*- Le juste intérêt de la totalité sociale se trouve dans un organisme électoral Apolitique, Autonome, inamovible.

Soignons la plaie sur sa surface. Ainsi, lorsque ce pouvoir absolue qui a reçu l’investiture de la communauté unique, tend ainsi à convertir une tâche sociopolitique de la communauté unique, en un privilège indu, quand il refuse toute réforme salvatrice, des organisme électoraux et ambitionne de se muer de serviteur de la communauté en maîtres absolu de cette communauté unique totalement libre. Si telle est la situation obstinément, la communauté unique solidaire, a le droit inaliénable de tout peuple a disposé de lui-même, le devoir absolu de citoyen libre, et, en même temps, l’obligation rigoriste d’exiger le respect des grands principes de régulations coutumières de la conquêtes du pouvoir d’état, qui rassure tous, sur la même ligne de départ, et sur la base duquel fut institué la communauté en entité, qui l’a conduit au pouvoir d’état et, si le pouvoir qui a reçu l’investiture de la communauté unique, oppose de la résistance quelle qu’elle soit à cette sollicitation légale, légitime, alors la procuration électoral est violée, le contrat social résilié, donc, l’exigence du retour du pouvoir dans le peuple devient inévitable par la communauté unique dont il est ressortissant. La communauté se trouve attaqué dans son substrat d’existence coutumier.

Et Ainsi l’état républicain de droit aurait viré à l’état de nature ou la force armée est ROI. Donc il faut dès lors retenir que la condition de membre d’une communauté unique et de citoyen d’un Etat de droit, a pour toute origine la volonté de multiples sociétés composites peuplées de gens libres, qui ont volontiers accepté une certaine limitation de leur liberté naturelle en échange des avantages évidents, résultant de leur intégration dans une communauté unique appelée l’état. « D’où l’exigence absolue de consensus dans l’ordre du public ». Donc, la personne qui a reçu l’investiture de cette communauté unique afin de veiller au respect des règles introduites pour la défense/protection des droits, des libertés, de la propriété et de la vie de ses membres, l’a reçue en vertu des contrats et procurations intransgressibles, dans un temps déterminé par ce contrat de régulation sociale validé par une procuration électorale. C’est pourquoi, un pouvoir d’état issu légalement et légitimement de la volonté populaire d’un peuple de citoyens ne peut être aveugle, sourd, et muet ou oppressif pour le peuple souverain. Il ne peut s’appliquer qu’à défendre les justes intérêts communs des membres de la totalité sociale. Et le  juste intérêt de la totalité sociale se trouve dans un organisme électoral Apolitique, Autonome, inamovible.

*- La légitimité populaire, appelle souvent le retour immédiat de la légitimité électorale dans la totalité sociale.

Donc, il ne peut qu’assumer et protéger les droits des contractants contributeurs de la totalité sociale. Les droits civils et politiques sous un tel pouvoir d’état issu légalement et légitimement de la volonté populaire permet de sauver et de garantir les droits fondamentaux, les libertés démocratiques et individuelles de tous. Oui, même au risque de perdre le pouvoir il accepterait toutes les reformes nécessaires au bon fonctionnement impartial des organismes électoraux, qu’il ne peut prétendre vouloir contrôler, même s’il lui faut s’avéré vaincu d’avance, en jetant l’éponge avant les jeux à la François Hollande « la grandeur c’est surtout ça ! ». Donc, le pouvoir est légitime, non pas parce qu’il dispose de la force publique, des personnes armées, des moyens de contraintes, et non plus qu’il a le soutien de la communauté internationale, ou soutenu par un lobby de presse internationale faiseur de roi dans le feu et dans le sang, il est uniquement légitime parce qu’il est l’expression de la souveraineté du peuple à travers le contrat social domicilié dans des organismes neutres de régulation social acceptées par tous au départ. Cela protège la totalité sociale des désagrégations graves, surtout des crises cycliques mortifères.

Soignons la plaie sur sa surface. Oui, disons-le, les faits de violences électoraux démodés dans un système vermoulu d’accession aux postes électifs contraire aux principes coutumiers universels, ont prouvé que notre pays s’est écarté du droit chemin de la réelle démocratie, au mépris des règles conventionnelles, coutumières, universelles. Que la crise n’est pas derrière nous, qu’elle demeure dans la société évoluant à nos côté et que chaque jour, elle est un peu plus visible, parce que  logé dans des bicoques de l’inorganisation manifeste et l’injustice, nourris à la haine de l’autre, et dans une organisation électorale, qui abhorre les différences sociopolitiques, pour n’adorer que le clanisme des appartenances affairistes, de copinages, de concussions, etc. D’où aux confrontations contradictoires des arguments pour que la vérité germe, on préfère l’utilisation des poignards plantés dans le dos, dans l’anonymat des bas-fonds, de sales boues des combats politiques personnifiés, ou de cooptations de marionnettes chansonnières, au détriment du combat politique systémique. Donc,  nous tendons vers une nouvelle crise sociopolitique certaine. Ici, un devoir et une obligation d’objection morale s’impose, face à cette situation sociopolitique dont la persistance bafouerait les déjà morts et ferait des vivants en sursis des cyniques.

Soignons la plaie sur sa surface. Nous croyons que les nouvelles pratiques démocratiques doivent se déployer dans tous les domaines que nous avons relevés. On doit d’abord restaurer les institutions politiques nationales en essayant de conserver un juste équilibre entre le souci de bien représenter les catégories sociales et celui de former une communauté politique. Cette restauration du politique sur le plan de politique nationale ne peut faire l’économie d’une instauration au niveau des organismes de conquêtes du pouvoir d’état. Il est nécessaire que les organisations de la société civile continuent d’y participer afin de faire valoir l’intérêt général, les droits de la personne et le patrimoine de l’humanité. Elle permet de faire renaître le débat d’idées autour de la légitimité des institutions démocratiques. Ce qui passe inexorablement par l’instauration, d’un système électoral qui échappe totalement aux hommes politiques acteurs pour échoir souverainement a un organisme APOLITIQUE, Autonome totalement indépendant, et libre d’actions et d’initiatives. Les démocraties modernes du 21 e siècle sont entrées dans l'âge d'une légitimité plurielle, problématique. D’où j’ai été élu au terme d’une élection de façade ne suffit pas à la légitimité.

La légitimité est trop souvent réduite à sa définition électorale donc: est légitime celui ou celle qui est couronné(e) par le suffrage universel même avec peu d’épaisseur. Cette conception de la légitimité est devenue très insuffisante pour rendre compte des titres à parler, à représenter, à gérer, à réguler, à autoriser ou à interdire au nom du peuple souverain, qui fondent la vie démocratique. En face de la légitimité électorale, existent de multiples formes de légitimité circonstancielles, qui donnent à la vie politique et démocratique, ce pluralisme d'autorités, sans lequel la démocratie n’aurait que peu d’épaisseur. Il s'agit là d'un appel pour une redéfinition de la légitimité démocratique. Puisque dans nos sociétés modernes, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique que de faire partager à l'ensemble des citoyens de la totalité sociale, la conviction que leur volonté s'exprime à travers leurs, représentants électorales ou Non ! La légitimité circonstancielle populaire, appelle souvent le retour immédiat de la légitimité électorale, versatile dans la totalité sociale, sa source unique. Oui, en politique, le citoyen qui veut le pouvoir du peuple, doit parler au peuple, dans le respect des principes coutumiers de régulations sociopolitique et dans le respect des règles démocratiques et électorales universelles. Et ce citoyen devenu gouvernant, doit constamment à chaque occasion de crises sociopolitiques aiguë faire la preuve de sa légitimité populaire, et de sa légalité juridique. Et de démontrer devant le peuple souverain, seul et ultime détenteur du pouvoir, qu’il apporte des valeurs ajoutées à la vie de la totalité sociale qui profitent à la nation toute entière Et la meilleures manière de faire la preuve de la légitimité d’un pouvoir est de mettre le processus électoral hors porté des partis politiques et des hommes politiques en compétition, donc, partisan.

*- Pour un système électoral qui échappe au contrôle des partis politiques, et des hommes politiques acteurs.

Soignons la plaie sur sa surface. C’est pourquoi, nous disons que, la légitimité populaire circonstancielle actuelle, des citoyens libres de tout engagement réside, dans l’union au tour des principes d’acquisitions du pouvoir d’état, et réside dans son unité solidaire et synergique, au service d’une voie salvatrice, celle d’un organisme électorale qui échapperait aux hommes politiques acteurs pour échoir à un organisme électoral Apolitique, Autonome, inamovible, pour pouvoir aller à la réconciliation nationale, et a la recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitique. Une voie que le peuple souverain dans son entièreté a emprunté dernière ses gyroscopes circonstancielle. Oui, la légitimité circonstancielle «par d’en bas, siège du peuple souverain vers le haut», et tient en l’état, la légitimité électorale « qui s’imposé du haut, siège du pouvoir vers le bas, donc soumis à la censure de sa propre source, qu’est le peuple l’absolu souverain. La légitimité internationale connait ses limites qu’est le peuple libre souverain absolu, versatile à volonté. (« C’est pourquoi, Emmanuel Macron a maintenant entendu tous les sons de casseroles en France, tout y est, il ne reste plus que  (Casse-toi, pauv’con »), a la Sarkozy, ça viendra surement un jour, courage, seulement pitié pour vos oreilles».

Soignons la plaie sur sa surface. En fin, on ne le dira jamais assez, la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, qui a perdu ses repères sociétaux, a besoin des élections sans cadavres, a besoin de réconciliation nationale, de sauvetage national, de réglage politique systémique consensuel et synergique, avec tous les ivoiriens solidaires. D’où l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé ou d’être embastillé, sinon être arrêté. Oui, la paix et la réconciliation nationale, sont avant tout, la conjugaison des actes consensuels et communs de la totalité sociale souveraine, des actes qui parlent plus que les discours politiques, mielleuses souvent imposé pour éluder l’essentiel, et pour diversion. La vraie paix et la vraie réconciliation nationale, ne se feront pas dans d’obscur théâtre d’ombre politique de sauvegarde et de combinaison des intérêts politiques réciproques. Et elles commencent ici, par la mise en place d’un système électorale qui échappe totalement au contrôle des partis politiques, et des hommes politiques acteurs pour échoir souverainement a un organisme électorale APOLITIQUE, Autonome totalement indépendant, inamovible, et libre d’actions et d’initiatives. Soignons la plaie sur sa surface. Aussi, la vraie réconciliation n’est admissible dans les démocraties modernes qu’au prix de la révélation des responsabilités des criminels et des crimes de l’État. Mais l’Amnistie référendaire consensuelle et consentie par la totalité sociale souveraine, vient clore définitivement une séquence historique dont la nature est double : séquence des malheurs, puis séquence de débat sur les malheurs. Si elle est bien balisée et accompagnée par des bonnes mesures d’organisations systémiques, elle s’ouvre sur un nouveau départ sociétal. Elle désarme les rancœurs et le désir de vengeances. L’Amnistie référendaire, vient donc tourne une page sombre sans la jeter dans l’oubliette. Sur ceux, citoyens libres, nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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