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1 mai 2023 1 01 /05 /mai /2023 05:50
Lepetitfils : En politique vouloir anéantir toutes les espérances citoyennes légitimes par la récupération des renégats d’autres appartenances sociopolitiques ou la décapitation mafieuses des têtes visiblement gênantes dans l’arène politique, afin qu’émerge la tête de ses pions protégés et pour des raisons de positionnement personnelles, tout comme l’orgueil hautain mène dans le mur, dans l’abime sociale. La côte a besoin de transparence électorale et de mise en place d’un système électorale définitivement fiable qui rassure tout le monde dans l'activité électorale

Lepetitfils : En politique vouloir anéantir toutes les espérances citoyennes légitimes par la récupération des renégats d’autres appartenances sociopolitiques ou la décapitation mafieuses des têtes visiblement gênantes dans l’arène politique, afin qu’émerge la tête de ses pions protégés et pour des raisons de positionnement personnelles, tout comme l’orgueil hautain mène dans le mur, dans l’abime sociale. La côte a besoin de transparence électorale et de mise en place d’un système électorale définitivement fiable qui rassure tout le monde dans l'activité électorale

*-Chronique «Kouma» : A l’absence de régulation sociale, une démocratie de façade s’installe.

L’arène politique ivoirienne offre un spectacle abracadabrantesque, soutenu par un juridisme bâtard peux ordinaire parce que, Anomique. Ou Amnistie, « qui est l'effacement par une loi spéciale référendaire ou législative de certaines condamnations, et une mesure d'amnistie n'est jamais une mesure individuelle. Il s'agit d'une mesure générale, issue d'une loi spécialement votée à cet effet. Elle bénéficie à toutes les personnes qui ont commis une ou plusieurs catégories de crimes ou infractions visées dans une  loi », et la grâce présidentielle, « La grâce qui est le pouvoir qu’a un président de la république de dispenser une personne condamnée de l’expiation de sa peine, la grâce présidentielle n'efface pas la condamnation. Et il n'est pas obligé de justifier sa décision d’accorder ou de refuser la grâce », ces deux différences juridiques ne sont pas logées à la même enseigne, elles n’ont pas les mêmes sources de droit et en droit, il n’y a pas de communication possible entre les deux et entre leurs sources légales en droit et de droit, mais hélas ! Qui se côtoient en source dans des décrets contre nature de protection d’intérêt réciproque. Ma grand-mère aurait « Safroulaye !» Quant aux vieux ils auraient dit « koutoubou ! ». Même si la grâce et l’amnistie aboutissent, toutes deux, à mettre fin à l'exécution de la peine d'un condamné. La grâce est un acte du président de la République tandis que l'amnistie est soit référendaire (sujets d’intérêt général ou d’intérêt national) ou de la compétence exclusive du Parlement sujet (mineur). Entre elles n’y a pas réseaux, donc, il y à pas de communication de rattachement possible. Elles sont d’instinct, avec Amnistie-commandant.

Donc, avons-nous dit, un spectacle stupéfiant chez pétaudière, avec le capharnaüm comme règle établie, et le kafkaïen au commande du tout, soutenu par un processus électoral effarant de par son caractère voulu de simple formalité exutoire à remplir. Les roublards joueurs de jeu d’échecs sont heureux en développant insidieusement leurs jeux, qui se réduisent au positionnement stratégique des pions dans la perspective des élections présidentielles 2025. Ou les mêmes fusils seront au rendez-vous, pour valider le résultat des élections d’un taux de participations en nouveaux de moins de 10% de l’électorat total. Et les presses aplatis nationales et internationales, maitre dans l’art d’occulté les vérités historiques pour mettre les libertés publiques et individuelles en dangers de péril, feront le reste. Avec leurs dévouement devenu coutumier, les moins de 10 % de l’électorat total seront éluder et le score des élections zéro pointé seront ventilé de par le monde. Or la vraie démocratie, la réelle se trouve dans l’expression du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état, elle ne se trouve nulle autres part ailleurs. Quand cette souveraineté est confisquée la paix sociale saute par la fenêtre.  Elle «la paix» ses exigences d’intérêt général, qui oblige d’agir jusqu’à la limite de l’humainement admissible pour l’intérêt général, pour la paix. « La  paix, ce n'est pas un vain  mot, c'est un comportement » a dit Houphouët. « Bon ! La côte d’ivoire c’est déracinée et dénaturée « C’EST UN CI ? Ou UN SI ? » Peu importe le littéral, avec ce degré d’obscurantisme et de nébuleux cette société a lamentablement perdu ses repères sociétaux.et il y a réel dangers que c’est un soi-disant agent de le force publique qui le grommelle. Nous le notons pour ce qui en sont adeptes qui comprennent l’acception». La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny fonce tout droit dans l’Abime »

La paix a ses exigences d’intérêt général, qui oblige d’agir pour elle jusqu’à la limite de l’humainement admissible

Donc, dans la recherche inlassable parfois ingrate de paix, les hommes politiques et les intellectuels n’ont pas le droit de se plaire dans la prosternation, dans la courbette, dans la génuflexion, dans la griot-tique éhonté pour pouvoir manger, ou dans le discours flatteurs en espérant des postes et des titres, dans le reniement de soi. Non ! Ici,  nous parlons de ces hommes, politiques et intellectuels qui croient en une idéologie, a idéal sociétal et ont l’intime conviction qu’elle  servirait au bien de la société dans laquelle ils vivent et au bien de l’humanité toute entière. Donc, Gyroscope désintéressé et impénitents de l’ordre sociopolitique, ils doivent être éveilleurs de consciences, ils doivent être éclaireurs contre l’obscurantisme, ils doivent être parolier du peuple et des citoyens libres. Oui, ils doivent être une locomotives endurante, puisqu’il est illusoire de vouloir installer un Etat de droit, où d’espérer d’une paix, là où derrière une république de façade se cache un système politique absolutiste délinquant de fait et un dirigisme économique criminel aveuglé par le pouvoir d’état. Dans ce cas, s’il n’y a pas de régulation et de contestation soutenue, dans la société commune, c’est une démocratie de façade qui s’installe…

–* Oui, Démocratie de façade parce qu’elle, serait fragilisée à l’extrême par l’élément clanique, partisan, régional, religieux et autres intérêts mafieux.  

-* Démocratie de façades parce que, la complaisance serait toujours présent lors du choix des gouvernants chargé de la gouvernance de la totalité sociale et de la gestion des deniers publics.

–* Démocratie de façade parce que la corruption à grande échelle « ou l’incompétence et la me-gestion généralisée » serait toujours au rendez-vous dans les différents sphères de l’Etat dirigé par l’absolutisme délinquant qui veut tout le pouvoir sans distinction, avec le dirigisme économique criminel adepte des cagnottes.

-* Démocratie de façade parce que le pseudo-magistrat suprême lié à telle ou telle puissance extérieur, auprès desquelles en contre partie du soutien effectif ou promis, il reçoit directive, mot d’ordre et consigne, pomperont à souhait et à volonté les revenus de l’organisation sociale et les ressources naturelles souveraines.

 -* Démocratie de façade, car le combat pour le développement intégral de l’homme sans exception, et de tout citoyen, demeurerait un simple slogan ventilé par le dirigiste économique en chiffres de croissances, pour arriver à ses fins sélectives de vols, de pillages, de défenestration économique, de concussions, de copinages.

-* -Démocratie de façade enfin parce que les libertés individuelles et les droits fondamentaux élémentaires du citoyen et de toute personne humaine seront toujours loin d’être garantis dans les faits dans notre pays. Et notre pays désormais macchabée ne s’inquiète guère de lui-même et ne semble inquiéter personne dans ce monde.

-Être au rendez-vous de la démocratie du 21e siècle ? Certains comportements anti-démocratiques sont à bannir

1-) Nous sommes convaincus que la côte d’ivoire ne s’en sortira pas de la crise par une  voie de juridisme peux ordinaire parce qu’Anomique. La côte d’ivoire ne s’en sortira, de cette honteuse crise, qui n’a été possible que parce qu’elle est devenue l’ombre d’elle-même par la faute d’une politique carriériste pathologique, que par la porte souveraine d’une Amnistie générale référendaire, qui repose sur le droit international coutumier, «le droit des droits », qui tient en l’état le droit d’application sans frontière, qu’est le droit international des droits de l’homme. Ce dernier droit, est l’apanage des défenseurs de la politique de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité. Oui, sauf à vouloir troubler l’ordre social, par une ingérence inadmissible, irrecevable et injustifiable dans les affaires intérieures souveraines d’un état devenu paisible, instauré souverainement, consensuelle-ment, et unanimement par la totalité sociale de cet état souverain, l’Amnistie générale référendaire, voté par le peuple souverain, s’impose à tous. Oui, il est d’une constance indéniable, de par le monde que : Quand la clémence qui résulte d’une Amnistie générale référendaire consentie par le peuple libre, peut ramener à l’amour entre la composante sociale, à l’harmonie communautaire, à la stabilité sociopolitique, à l’ordre sociopolitique, à la paix sociale pérenne, au respect des lois, au respect des institutions et organisme d’organisation sociale, Ceux qu’une inflexible sévérité judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale, l’Amnistie générale référendaire, est commandée par la grande loi du bien public, fin essentielle de toute entité sociopolitique, qui ne peut exister que dans l’ordre social, dans la paix, la stabilité sociopolitique source de développement intégrale et de progrès.

2-) Oui, au terme de la guerre ivoirienne de conquête du pouvoir de 2000-2002 et de la guerre postélectorale de 2011, tous les belligérants de ces crises socio-politico-postélectorales sont passibles de poursuite judiciaire. Donc, il faut que  la sécurité soit effective pour tous dans le pays, qui doit se réconcilier avec lui-même et entre ses fils de tout bord politique, surtout se réconcilier avec le monde. Oui, dans un concert de différenciation antagoniste et nombriliste, ou chacun tire l’organisation sociale vers son ventre, rien de Bon ne se fera en côte d’ivoire, rien ne changera en côte d’ivoire sans que pratique mafieuse de soit discréditée, sans que cette page honteuse ne soit tournée, avec de nouvelle normes de régulations sociopolitique, et avec des organismes politico-électorales, qui rassure tout le monde et qui proscrivent les nombrilistes marches sociales à sens unique. Mais aussi, rien ne se fera de sérieux et de concret en côte d’ivoire, sans une réconciliation vraie, rien ne se fera sans pardon conjugué. Il va valoir donc, travailler tous, désintéressement à l’avènement de ce jour, pour qu’il se lève, puisqu’il peut se lèvera avec l’effort conjugué de tous les ivoiriens, contre vent et marée, Bon An Mal An. Donc, il faut que les actions politiques qui gardent les hommes politiques inférieurs, vaincu de guerre et l’autre supérieur vainqueur de guerre, auprès de qui tout se mendie, «faveur et clémence» soutenue par un juridisme anomique  effréné, sélectif, téléguidée, soit complètement discréditées et abandonnées par les acteurs incontestés de la crise.

3-) Il faut que toute politique qui crée des citoyens et des sous-citoyens dans notre pays la Côte d’Ivoires soit bannie de la sphère publique et de l’arène politique. Que l’égalité de traitement dans l’ordre du public soit de rigueur.

4-) Il faut que la couleur politique de quelqu’un n’est plus de signification que la couleur de ses idées novatrices. Les acteurs politiques ivoiriens, ne doivent jamais oublier que, les faits sur lesquels nous tergiversons aujourd'hui, au gré de nos intérêts politiques, sont ceux-là mêmes sur lesquels l'Histoire nous jugera demain. Il faut dans nos actions que, nous fassions preuve d'une intégrité et d'une objectivité intellectuelle telles, pour que cette crise s'impose à la postérité comme ayant répondu aux aspirations de justice juridique et de justice sociale.

5-) Il faut que les droits humains basiques soient garantie pour tous au terme du concours de la représentativité nationale, d’une manière égale pour tous, sans attacher d’importance à la couleur politique et à l’idéal sociétale défendu, sans différenciation aucune «ethnique, tribale, communautaire, régionale, « nord-sud et est-ouest etc.»

6-) Il faut que ces valeurs deviennent une réalité incontournable dans notre pays la Côte d’Ivoire, sous l’égide d’un système électoral Autonome et surtout APOLITIQUE, sinon les rêves d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale, sans lesquels il n’y a point de développement, d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et d’une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par Félix Houphouët Boigny, demeureront une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays.

7-) Il faut que les citoyens aient le courage de parler « Kouma-Public » dans l’arène politique, dans le débat public, comme les citoyens libres et égaux en droit civil et politique de nos dirigeant ivoirien, dirigeants, qui doivent accepter par conséquent la contradiction d’idées, et la confrontation des arguments autour de la chose public, dans l’ordre du public, et l’opposition philosophique et idéologique comme un enrichissement. Tant qu’il n’en sera pas ainsi dans notre pays, la Côte d’Ivoire ne connaîtra jamais la paix sociale pérenne comme sous Félix  Houphouët  Boigny ou l’ordre social était l’exigence de tous les changements rendu possibles et paisibles.

8-) Il faut que la pluralité des conceptions politiques et sociétales et les positions idéologiques morales soient une réalité manifeste et soient considérer aussi comme un enrichissement de la diversité solidaire, au cas contraire les crises sociopolitiques avec des morts toujours des morts électoraux et les guerres civiles issue des élections ma agencées, mal goupillées continueront à peuplé le futur, le présent et l’histoire de notre pays la Côte d’Ivoire.

9-) Il faut que la tolérance et le respect des différences politiques, ethniques, communautaires, tribales, et régionales « sans ouest-est et nord-sud » d’autrui soient accepter par tous comme règle de la vie en commun, parce que le lien social est éminemment politique et soient baliser par des normes consensuelles de régulations sociales et un organisme électoral, acceptées par tous, qui nous éviteront les milliers de morts à l’avenir.

10-) Il faut que la politique ivoirienne ait pour substrat les grands principes coutumiers internationaux et le respect des règles rigoristes de démocraties universelles, des droit inaliénables, des libertés fondamentales,, pour permettre d’obvier d’autres crises et crimes plus graves dans l’avenir au terme des élections téléguidées.

11-) Il faut que la politique ivoirienne soit un outil citoyen d’intelligence collective, pour transformer l’expérience concrète de chacun en une stratégie nationale commune d’ensemble « tous d’accords sur les principes et rgles édictées ». Et que cette stratégie nationale commune d’ensemble pour l’avenir reste permanente, enracinée, irriguée, revitalisée, inspirée par la réalité concrète du vivre en commun de partage. Le tout évoluant dans un espace national policé dans lequel espace national policé se reconnaissent et se battent démocratiquement à la loyal ceux qui n’envisagent pas le débat démocratique, le débat politique, le débat public, et le combat politico-démocratique sous la forme d’une guerre civile opposant deux armés rivales et ennemis juré qui ne pensent qu’a exterminés mutuellement. «  A la guerre comme à la guerre, le tout permis,  la raison à la force, la loi de jungle ». 

12-) Il faut que, si l’ivoirien veut que sa côte d’ivoire soit au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle, qui banni à jamais l’usage des armes dans l’arène politique, certains comportements anti-démocratiques sont à bannir avec ses supports qui sont des hommes politique absolutistes qui se nourrissent de l’obscurantisme électoral. Et le fondement de cette démocratie doit impérativement être le droit dans toute sa rigueur, dans toute sa rigidité légale. Avec des citoyens qui respectent les règles de la convivialité, sources harmonies sociales. Donc, en créant tous ensemble une société du vivre en commun de partage, ou l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé ou d’être embastillé, sinon être arrêté pour le Trou.

C’est pourquoi, les magiciens politique disent que la politique, c'est l'art de rendre possible ce qui est nécessaire. 

Donc, comme nous l’avons dit autrement, il y a dix « 10 » jours, l'harmonie sociale est le contraire de la nuisance mutuelle. Elle est plus que la paix, qui n'est que la négation du conflit (une nuisance mutuelle particulière). Donc, rechercher la plus grande harmonie sociale possible implique d'agir sur les causes des crises électorales et d’instaurer un organisme électoral APOLITIQUE et Autonome. Il ne suffit pas d'aspirer à l'harmonie sociale ou de se contenter des paroles mielleuses, face à tout le monde ou de s’efforcer de montrer une gentillesse avec tout le monde. Pour se faire, il importe de déterminer ce qui peut accroître et solidifier l'harmonie sociale, et ce qui peut s'y opposer et l’anéantir dans le temps. Les arrestations intempestives, les emprisonnements arbitraires, les poursuites judiciaires effrénées initiées par les vainqueurs de guerres sont à l’opposé de l’harmonie sociale. En côte d’ivoire le comportement fondé sur des calculs politique contredit la parole mielleuse, donc l’invalide. Tout comme la boxe, la politique est un noble art, dont l’exercice impose des règles impératives, intransgressibles.

Donc l’arène politique loin d’être le théâtre, des Flagorneries, des grossiers mensonges et des fanfaronnades insensées, est avant tout le noble lieu des débats d’idées, des confrontations d’arguments, des combats loyaux. Ou le politique doit s’inscrire réellement dans une démarche d’éveil de la conscience politique des citoyens. Un politique digne de ce Nom, doit tout simplement pouvoir dire non à la politique de l'autruche « enfouiller sa tête dans le sable pour ne pas voir le réel qui s’oppose a sa volonté unique, a son intérêt personnel», Et doit savoir lire entre les lignes. Un politique doit s’efforcer de connaître avec certitude la réalité scientifique des choses et se montrer juste dans l'appréciation des justes réalités des choses au mépris de ses intérêts politiques. En se comportant et en agissant à la limite d’humainement admissible. La politique est une lutte à mort et est un combat permanent, entre ceux qui veulent le bonheur du peuple souverain, pour qu’il devient maitre absolu de son destin, de son émancipation, de son épanouissement, de sa liberté, de son droit à réaliser son désir d’avenir, et ceux qui à l’opposée, qui n’ont d’autre vision du monde que l’enrichissement perpétuel au détriment du peuple martyrisé, et le pouvoir d’oppression au service de Dieu l’argent. Et la confiscation du pouvoir d’état par tous les moyens illégaux, maquillés et embellis, par le mensonge, la manipulation, l’escroquerie morale et intellectuelle, avec l’acclamation des oiseaux migrateurs de tous les horizons a la recherche de bouffe, la bouffe, rien que la bouffe, tous pour pouvoir bouffer. Que l’humanité, l’honneur, la dignité, partent se faire foutre, pas besoin d’eux a la table des convives nocturnes mafieuses. C’est pourquoi dit-t-on, que la politique, c'est l'art de rendre possible ce qui est nécessaire. La politique c’est la juste appréciation des réalités du moment en s’oubliant soi-même et ses intérêts personnels du moment face à l’intérêt général de la totalité sociale souveraine. Cela terme des prises de positions politiques et sociétales, qui doivent bannir tout comportement clanique assis sur des clubs de soutien ou de brigades d’acclamations à but de confiscation ou de conquête du pouvoir d’état. Puisqu’il est d’une constance absolue que, le lien social est éminemment politique.

La côte a besoin de la mise en place d’un système électorale définitivement fiable qui rassure tout le monde.

C’est pourquoi d’autres peuples souverains veulent et mêmes prescrivent dans des normes de d’organisation sociopolitiques que le lien de rattachement social atavique, le lien de rattachement territorial ancestral, les liens de rattachement Moral, les rafistolages des fibres communautaires immémoriales des dirigeants politiques avec les peuples qu’ils gouvernent ou prétendent vouloir gouverner, doivent être extrêmement très solides. Ce qui pour eux est gage de de stabilité politique et de paix sociale et toujours dans la reconnaissance de tous dans leurs originalités absolues à l’intérieure de l’égalité de tous. Le sentiment d’appartenance sociale atavique annihile les instincts de violences et de barbaries des plus forts à l’égard des plus faibles dans une société. Et amène les plus forts de la société à organiser la solidarité envers les plus faibles « c’est le fils d’un Tel », c’est d’un vieux du nord.  Sans cette balise, les crises sempiternelles, les vols, les pillages, le détournement, la défenestration économique, deviennent la règle de gouvernance. Parce qu’ainsi, la vérité historique exhibée garantie les libertés publiques mise en danger de péril. Donc, la politique d’organisation électorale téléguidée, le discours de politiques aveugles, fanatiques, déraisonnés aux yeux bandés, sont contre-productifs et conduisent lamentablement dans un précipice abyssal. Aussi en politique vouloir anéantir toutes les espérances citoyennes légitimes par la récupération des renégats d’autres appartenances sociopolitiques ou la décapitation mafieuses des têtes visiblement gênantes dans l’arène politique, afin qu’émerge la tête de ses pions protégés et la déchirure pour des raisons de positionnement personnelles, des uns en défaveur des autres, tout comme l’orgueil hautain mène dans le mur, dans l’abime sociale, à la catastrophe, à la ruine et aux crises sempiternelles avec toujours des Morts

Aucune victoire d’un pouvoir d’état sur un peuple souverain déterminé n’es possible en ce 21e siècle. ET Tout peuple qui a le courage de ses actions et de ses opinions, face à l’arbitraire d’un pouvoir d’état et surtout face à l’unilatéralisme nihiliste et iconoclaste, à le pouvoir de conquérir ses droits, ses libertés et de changer sa société. Donc, autant composé avec la volonté général de la totalité sociale souveraine. Le tout sociétal Quoi !. La côte a besoin de transparence électorale et de la mise en place d’un système électorale définitivement fiable qui rassure tout le monde dans l'activité électorale ; Redisons-le, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. De même, les partis et les candidats ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. Soulignons aussi que, le rejet de la violence en politique en tant que mode d'action électorale impose de créer des conditions systémiques annihilant, susceptibles de désarmer, de dissiper la menace des violences dans le corps social. Donc il faut pour la côte d’ivoire, une commission électorale Autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral, sans aucune interférence de qui que ce soit, et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- AU CAS CONTRAIRE IL NOUS FAUT DONC, BOYCOTTER TOUTES LES ELECTIONS CADAVRES A VEVIR. Citoyens libres, pour cause de Paludisme-aiguë, votre dévoué parolier et serviteur a pris cette fois du retard mais n’empêche un sacerdoce ça s’assume au mépris de tout, donc aux premières heures du ça va mieux, au terme de ces quelques phrases, nous avons KOUMA… BON ! PAUVRE DE NOUS ! Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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