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20 novembre 2019 3 20 /11 /novembre /2019 01:32
LEPETITFILS : pour la côte d’ivoire, il n’y a pas deux (2) postulats, l’Amnistie générale référendaire consensuelle pour la paix sociale, ou le chaos sociopolitique sempiternel entretenu par des règlements de comptes dans un capharnaüm kafkaïen à fin de confiscation du pouvoir d’état, par les artisans « Alassaniens » du trucage électoral de 2010, qui soutiennent en nouveaux, que 2020 c’est bouclé, c’est géré, c’est calé. Ces fossoyeurs « Ouatara-iste » de la démocratie, champions de holdup de 2010 dans une alliance de cooptation peuplé de mange-mils migrateurs.

LEPETITFILS : pour la côte d’ivoire, il n’y a pas deux (2) postulats, l’Amnistie générale référendaire consensuelle pour la paix sociale, ou le chaos sociopolitique sempiternel entretenu par des règlements de comptes dans un capharnaüm kafkaïen à fin de confiscation du pouvoir d’état, par les artisans « Alassaniens » du trucage électoral de 2010, qui soutiennent en nouveaux, que 2020 c’est bouclé, c’est géré, c’est calé. Ces fossoyeurs « Ouatara-iste » de la démocratie, champions de holdup de 2010 dans une alliance de cooptation peuplé de mange-mils migrateurs.

*- Chronique : La porte de sortie de crise.

« Notre motivation ? C’est parce qu’il y a le volcan qui dort sur la terre de nos ancêtres et qu’on n’a plus besoin des lunettes d’Emmanuel Khan et de Karl max, ou de Thucydide pour le voir, est notre motivation citoyenne. C’est tout sauf un jeu de rôle régulateur de routine citoyenne ou une simple réaction sentimentale, non ! C’est une sécession mentale avec un pouvoir d’état déviant, inscrit dans une logique de démocratie de façade et de passage en force électorale en espérant de ses armes fusils à l’Arrivée. Oui, pour nous, il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Ce n’est pas en refusant de regarder une plaie sur le front dans un miroir et préférer tâter l’orteil au pied que la plaie au front va guérir. Non ! Elle va se gangrenée ».

Donc, il faut le dire ici tout net et sans équivoque que, si nous « ivoiriens » tenons à un mode d’organisation sociale consensuel qui s’imposera a tous par le biais d’une bonne organisation électorale consensuelle fondatrice d’un ordre sociopolitique nouveau dans notre pays. Où tout le monde « partis politiques, groupement de partis politiques, candidats indépendants libres de tous engagements », partent librement en compétition sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état, oui, où on pourrait faire la politique et aller dormir chez soi en toute quiétude, sans crainte d’être zigouillés ou arrêté, nous devons commencer par nous lever dès maintenant pour dire non au pouvoir arbitraire unilatéraliste immiscé dans l’organisme électorale et sa réforme unilatérale de notre mode d’organisation sociale fondée sur un parti pris grossier dans le système électorale. Et de prendre un certain nombre de mesure nécessaires pour des élections propres en 2020 indispensable à la cohésion sociale, à la paix sociopolitique et à l’harmonie communautaire. Des mesures qui prise ensemble concourraient à remplacer la mauvaise conception actuelle du pouvoir d’État par une vision tout à fait nouvelle, qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails du droit universel, de la démocratie universelle, de la stabilité politique, de la paix sociale pérenne et de la reconnaissance absolu de tous.

Oui ! Nous avons toujours dit et répété; que si l’on veut être crédible aux yeux du monde extérieur, il nous faut montrer notre capacité à faire bouger les lignes sociopolitiques en côte d’ivoire. Oui, notre soif de droit, de liberté, de justice, d’égalité et de démocratie, ne doit pas s’accommoder, avec le mépris hautin pour un consensus politique, pour le dialogue républicain dans l’ordre du public. Il est temps de dire non ! Que ça suffit ! Que s’est trop indécent pour l’image de la côte d’ivoire. Oui, là où la société d’antan se fondait sur l’obéissance moutonnière et le panurgisme de vache qui ne demande qu’à manger, celle d’aujourd’hui privilégie la persuasion discursive, l’obéissance volontaire, le dialogue pour convaincre les réticences, la concertation pour harmoniser les points de vues, le consensus pour arriver à la vie commune paisible, l’autonomie individuelle pour le respect du libre arbitre de chacun et le consentement fondé sur l’acceptation des valeurs d’intérêt général, des idées et des actions publiques. D’où les gouvernants sont obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Parce que la souveraineté réside dans le peuple; elle est une et indivisible, imprescriptible et inaliénable. Ici de droit, et incontestablement, le peuple est le souverain absolu.

Donc, le pouvoir d’état issu des urnes démocratiques doit être l’affirmation de la volonté de ce peuple souverain. Ici pour voir une société, pour dire une société, pour rencontrer et raconter une société, pour entendre une société, pour connaitre une société, il n’est pas, en droit, d’autre institution légale et fiable que le mode d’accession au pouvoir d’état par élection démocratique pluraliste, qui demeure par excellence, l’expression légale et légitime de la souveraineté populaire . La société ivoirienne de demain sera ce que nous déciderons tous ensembles aujourd’hui consensuelle-ment autour de l’organisme électoral et des élections démocratiques pluralistes consensuelles. Donc la peur Bleu des élections propres et de l’Adversité électorale qui motive, l’orchestration des persécutions politiques des opposants politiques sous couverture judiciaire et une justice des vainqueurs de guerres, sélective, téléguidée, par le pouvoir exécutif d’état, sont à l’opposé de la quête de l’ordre social, de l’ordre public, de l’intérêt général, de la stabilité sociopolitique et de la paix sociale. Or le système judiciaire ivoirien sous l’emprise du pouvoir d’état, baigne dans un océan d'humiliation des opposants et d'abus du pouvoir exécutif d’état.

Oui, il faut se répéter ici d’emblée, nous sommes peinés, agacés, sinon attristés, de voir et d’entendre la côte d’ivoire, cette expérience de consensus politique, de dialogue national et de paix sociale à l’Africaine. Cette culture de non-violence, d’harmonie communautaire et d’union nationale à toute épreuve. Oui, cette expérience de l’exaltation de la diversité solidaire et cette Africanité atavique cohérente à l’ivoirienne. Cette politique sociale initié par Félix Houphouët Boigny, assise sur la reconnaissance de l’autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous. C’est à dire reconnaitre l’autre comme différent et l’admettre comme son égal en droit et devoir, sagement pratiqué par Felix Houphouët Boigny. Hélas ! N’avoir malheureusement aujourd’hui pour principaux porte-paroles et principaux représentants dans l’arène politique ivoirienne, dans la vie publique ivoirienne et dans le concert des nations, qu’une minorité iconoclaste, nihiliste, d’opportunistes hommes politiques carriéristes pathologiques et arrivistes renégats, qui méprisent le droit, les libertés et la démocratie.

Oui, nous sommes peinés, attristés de voir la côte d’ivoire de Félix Houphouët BOIGNY, devenir le lieu de toutes les politiques chaotiques, d’expérimentation de toutes les crises sociales d’animosité de la planète sous la houlette du moi ou rien, sinon la terre brulée. « Vive le dicta d’un pouvoir unilatéraliste aveugle qui écrase les petits aux pieds des grands intérêts mafieux, donc vive la vie très chère, vive la criminalité électorale de toute sorte pour la damnation de la pauvre côte d’ivoire destinée à la désocialisation à petit feu ». Oui, pourquoi la côte d’ivoire doit être l’exception de la règle universellement admise par la volonté d’un pouvoir politique aveugle ? L’exception n’a jamais été du droit dans le monde civilisé. Donc il faut le consensus autour de la chose publique et dans l’ordre du public, notamment en matière de processus électoral socle de la totalité sociale. Les élections au-delà de l’aspect exigé par les principes universels démocratiques viennent pour consolider le lien social, qui est éminemment politique ou chacun bénéficie de tous ses droits et se soumet volontiers à ses devoirs, dans le respect de sa vie physique et privée. Donc les élections doivent elles-mêmes pour être démocratiques, répondre à certaines conditions techniques, juridiques et politiques, sans parler du cadre sociopolitique paisible, nécessaire à un choix libre et authentique des citoyens. Ne l’oublions pas la fonction primaire d’un système démocratique des élections pluralistes est intégrateur. Un tel système sert à atténuer les éléments potentiels de conflit électoral et à lubrifier le mécanisme des rapports entre les acteurs sociopolitiques, afin de garantir la stabilité politique et la paix sociale.

Parce que c’est seulement avec l’adhésion de la totalité sociale, de la totalité politique à un système des élections démocratiques pluralistes, que le système des interactions socio-politico-démocraties peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents entre acteurs de la vie sociopolitique. Donc il ne reste plus rien d’autre à l’ivoirien que de se battre légalement. La lutte individuelle pour le pouvoir, ne doit pas altéré les exigences citoyennes, de défense de l’intérêt général, de combat démocratique, de vérité, de lucidité, d’objectivité dans la lutte et de courage dans l’action politique dans notre pays la côte d’ivoire de FÉLIX HOUPHOUET BOIGNY. Donc pour une fois n’entrainons pas le peuple souverain de côte d’ivoire sur des terrains colorés de chasses des intérêts politiques particuliers. Qui n’ont d’autre objet que d’obvier l’essentiel sociétal, que de masquer l’intérêt général de la totalité sociale. Donc luttons tous ensembles loyalement pour, pouvoir obtenir une commission électorale consensuelle digne de ce Nom, Apolitique, Autonome et totalement indépendante des pouvoirs étatiques, pour une meilleure société ivoirienne de demain. Oui ! Le mode de l’organisation sociale, la sphère politique, l’espace public encore moins le pourvoir d’état ne sont pas des plantations privées d’une meute d’opportunistes politicards assis sur la force matérielle des fusils.

Oui ! Il serait bon aujourd’hui pour la côte d’ivoire, de ne pas s’enfermer dans une logique unique de répression judiciaire sélective téléguidée contre un seul camp politique. Et de pouvoir tenir compte des circonstances propres à la situation de la crise sociale ivoirienne de 1999-2002 jusqu’en Avril 2011. Oui, dans le cas de la crise ivoirienne, il est préférable de privilégié, voire de subordonné la répression pénale sélective téléguidée, contre un seul camp politique vaincu, qui affecte la crédibilité de la justice, tant nationale, qu’internationale, et qui laissera des frustrations, des ressentiments subsister longuement sur le terrain sociopolitique en crise, au souci de transparence d’une nécessité de contrition, voir au soucis d’une demande de repentance, qui sera satisfaite par un vrai processus de réconciliation nationale. Parce qu’en effet, il est incontestable, que seule la vérité est à même de nettoyer l’abcès de la haine de la belligérance passée, d’anéantir les futures sources potentielles de conflits ou des crises sociopolitiques et d’amorcer le processus de guérison des plaies sociales existantes. Et il n’y a pas mieux qu’une Amnistie générale référendaire consensuelle acceptée par le peuple souverain dans toute sa composante populaire et dans toute sa diversité solidaire.

L’amnistie renvoie dès lors les affrontements du passé à l’histoire, elle peut, si elle est réussie c’est à dire acceptée consensuelle-ment par tous, leur ôter leur pointe mortelle dans l’intérêt commun. La côte d’ivoire en n’a besoin, pour qu’en fin, les combats politiques, les débats d’idées démocratiques contradictoires se mènent, avec la bouche haut-parleur en mains et jamais avec les armes « fusils » de guerres, comme mesure de valeur sociopolitiques et source de pouvoir d’état. Mais hélas ! Le pouvoir ivoirien à la réputation d’être intransigeant. Si l’ivoirien veut le rétablissement de la paix sociale, de la stabilité politique et de l’apaisement des esprits, il doit s’inscrire dans la logique salvatrice de l’oubli, voire du pardon, au terme d’un vrai processus de réconciliation nationale couronné par une Amnistie générale référendaire, qui reste la seule voie honorable de la sortie de crise. Donc une Amnistie générale référendaire, pour éviter une loi du talion indéfinie et la contagion du désordre, pour apaiser les esprits, associer l’ordre et la clémence consensuelle, créer une société policée et non la compétition indéfinie des frustrations individuelles ou claniques, pour établir un état social au lieu d’un état de prédation, sinon de nature.

MAIS HÉLAS ! LES MÊMES DANSES D’OMBRE DE SORCELLERIE POLITIQUE RECOMMENCENT EN CÔTE D’IVOIRE. A-T-ON DÉJÀ OUBLIER QUE LADITE COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE ÉTAIT AU CHEVET DE LA CÔTE D’IVOIRE LORS DES ÉLECTIONS  DE 2010 ? QUE CELA N’A PAS PU EMPÊCHER LA GUERRE POST-ÉLECTORALE QUI A FAIT PLUS DE 7000 MORTS ? ALORS QUE LA CEDEAO AVAIT UN REPRÉSENTANT EN CÔTE D4IVOIRE, QUE L’UNION AFRICAINE AVAIT UN REPRÉSENTANT EN CÔTE D’IVOIRE ? QUE LES NATIONS UNIS ÉTAIT EN CÔTE D’IVOIRE AVEC UNE ARMÉE DE MILLIERS DE SOLDATS, MAIS QUE CELA ABOUTIT SUR LA GUERRE POST-ÉLECTORAL QUI A FAIT 4000 MORTS ? LA CÔTE D’IVOIRE A-T-ELLE TOUJOURS BESOIN DE NOTES OU DE SATISFECIT DE LA COMMUNAUTÉ DITE INTERNATIONALE EN MATIÈRE ÉLECTORALE. ON NOUS PARLE DE PAYEUR, SI CELUI QUI PAYE A DROIT DE REGARD DANS LA CASSEROLE ? IL EST CLAIR QUE LE RECEVEUR DE LA DONATION LA CÔTE D’IVOIRE AURA DES PLAIES ENCORE A PANSER EN 2020. Il faut souligner ici formellement que des hommes, de par leur travail de stratèges, ardu, inlassable, parfois ingrat et par leur abstention électorale stratégique 85%, ont pu ainsi réduire le pouvoir d’Alassane Ouattara à sa juste réalité 16% à 18% à la face du monde.

Mais cette fois en 2020 pour quelques raisons quelles qu’elles soient : « Retour des déportés politiques que sont le Président Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé ou pour l’absence de réconciliation nationale, ou même de transparence électorale », On reste fataliste, résigné, inerte, statique et passif, pour laisser le champ libre au pouvoir d’Alassane Ouattara, ce serait fini pour la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Il va falloir dès lors s’apprêter à vivre tous les changements inimaginables « changement de dénomination du pays, de drapeau, de hymne nationale  et de totale désocialisation ». Comme l’a dit l’autre, 2020 ça passe ou ça casse, une implosion-explosion serait même mieux. « Bon ! A la suite d’un petit problème, une amie m’a dit la semaine dernière amicalement, que la source de tous mes problèmes est ma Gueule ouverte en permanence, je lui ai répondu que je ne pouvais rien contre, parce qu’elle n’est pas faite pour être fermée». OUI, LA CÔTE D’IVOIRE NE S’EN SORTIRA JAMAIS PAR LA PORTE DE LA COMMUNAUTÉ DITE INTERNATIONALE, QUI A TOUJOURS SES PIONTS A JOUER. ELLE NE S’EN SORTIRA QUE PAR L’UNION DE SES FILLES ET FILS UNIS SOLIDAIREMENT AU TOUR DE L’IDÉAL DE PAIX HOUPHOUETIEN, QUI EXIGE ENTENTE ET CONSENSUS AUTOUR DE LA CHOSE PUBLIQUE, DANS L’OUBLI DE SOI.

Donc il faut le Dialogue sociopolitique sincère et le Consensus au tour de la chose publique, le bien commun. Il faut la Légalité. Il faut légitimité. Il faut la Transparence absolue dans l’ordre du public. Pour ainsi obvier toute possibilité de future crise sociopolitique et de futur chaos social en perspective. La force incontestable de ce processus consensuel, réside dans son caractère réconciliateur, entre hommes politiques d’une part et entre communautés nationales d’autre part, qui peut obvier d’autres sources de crises sociopolitiques dans le temps. Toute autre solution unilatérale, intransigeante, à la crise ivoirienne ne peut qu’être éphémère, toute autre porte de sortie solitaire s’ouvrira sur de nouvelles crises sociopolitiques.  Oui ! En clair donc, pour la côte d’ivoire, il n’y a pas deux (2) postulats, l’Amnistie générale référendaire consensuelle pour la paix sociale, ou le chaos sociopolitique sempiternel entretenu par des règlements de comptes dans un capharnaüm kafkaïen à fin de confiscation du pouvoir d’état, par les artisans « Alassaniens » du trucage électoral de 2010, qui soutiennent en nouveaux aujourd’hui, que 2020 c’est bouclé, c’est géré, c’est calé. Ces fossoyeurs « Ouatara-iste » de la démocratie ivoirienne, champions de holdup électoral de 2010, aujourd’hui dans une alliance de cooptation conjoncturelle peuplé de mange-mils migrateurs saisonniers toujours à la manœuvre.

Donc l’Amnistie générale référendaire consensuelle dans sa grande clémence qui appelle de droit, au pardon mutuel, voir à l’oubli judiciaire, n’est pas distincte de l’état républicain de droit souverain et c’est la porte de sortie de crise, la plus sage, la plus honorable, donc la plus Houphouët-enne pour la côte d’ivoire. C’est ainsi que dans un grand pays comme la France, dont l’histoire est jalonnée de guerres civiles et de crimes massifs, des guerres de croyances religieuses, aux tragédies du XXe siècle, en passant par les tourmentes révolutionnaires, l’amnistie est régulièrement venue à l’appui de l’apaisement social, favorisant la reconstitution du tissu national. Comme dit plus haut «  l’amnistie renvoie les affrontements du passé à l’histoire, elle peut, si elle est réussie c’est à dire acceptée consensuelle-ment par tous, leur ôter leur pointe mortelle dans l’intérêt commun ». La politique idéologique de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité est certes respectable, mais celle de l’Amnistie référendaire ne l’est pas moins, dès lors qu’elle contribue à l’intérêt public, à l’ordre social, à la paix publique, et qu’elle s’inscrive au cœur de la logique de volonté générale du peuple souverain.

C’est pourquoi, dans le monde d’aujourd’hui du 21E siècle, seul l’ordre social dans une nation SOUVERAINE est opposable à l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité par un peuple SOUVERAIN en quête de paix sociale. Hélas ! Le pouvoir de, Alassane Ouattara à la réputation d’être inflexible, irréductible, hermétique et intraitable sur des questions dans l’ordre du public, qui engagent la vie de la nation, la vie de la totalité sociale, la vie de tous et la vie de chacun. Quoi de plus normal quand dans un despotisme absolu, la génuflexion, la courbette et la prosternation seigneuriale deviennent la règle indiquée pour rester à la table des convives, garnie de deniers publics sur le dos du peuple souverain. Mais il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut rien entendre. Il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut rien voir. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).          

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