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26 novembre 2019 2 26 /11 /novembre /2019 23:49
Lepetitfils : il faut exiger les conditions d’une vraie élection en 2020, débarrassée de tous les desseins de trucages, des appétits carriéristes, de toutes les ambitions politiciennes de passages en force électorale, qui enfantera une vraie réconciliation nationale et une vraie paix sociopolitique, il ne reste plus que la folie et la débilité mentale avancé pour le peuple ivoirien. Et Advienne que pourra. Un peuple doit savoir devenir fou furieux et débile, sinon il n’est jamais souverain. Donc, il le faut pour la côte d’ivoire, il le faut pour la paix.

Lepetitfils : il faut exiger les conditions d’une vraie élection en 2020, débarrassée de tous les desseins de trucages, des appétits carriéristes, de toutes les ambitions politiciennes de passages en force électorale, qui enfantera une vraie réconciliation nationale et une vraie paix sociopolitique, il ne reste plus que la folie et la débilité mentale avancé pour le peuple ivoirien. Et Advienne que pourra. Un peuple doit savoir devenir fou furieux et débile, sinon il n’est jamais souverain. Donc, il le faut pour la côte d’ivoire, il le faut pour la paix.

*- Chronique : Débilité citoyenne et son Remède.

 

La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny de par le fait d’un pouvoir unilatéraliste et absolutiste a acquis le droit inaliénable de toute nation souveraine de devenir folle. Oui la côte d’ivoire doit savoir devenir folle, d’une folie libératrice, sauveuse, régulatrice, salvatrice et réconciliatrice. La côte d’ivoire doit savoir devenir folle, d’une folie destructrice, anéantisse-use, balayeuse, pour les fossoyeurs de la démocratie, les artisans enfarinés des hold-up électoraux, les politiques effrénées de passages en force électoraux. Et c’est de droit souverain, pour la côte d’ivoire, pour la stabilité sociopolitique, pour la paix pérenne. Question d’harmonie sociocommunautaire, de paix sociale et de stabilité sociopolitique, surtout de ne pas faire des économies de crises, en perdurant dans une justice judiciaire bancale, incohérente et parodique. Il faut le souligner ici tout net, qu’aujourd’hui a la lampe de toutes les lumières des faits de guerres de 2002 à 2011 et avec le gyroscope juridique du droit international pénal, il n’est pas possible aux regards rigoristes de ce droit, de poursuivre judiciairement de façon sélective pour crimes de Guerres  « le camp Gbagbo », et ainsi de pouvoir exonéré de poursuites judiciaires les vainqueurs de guerres « le camp de Alassane Ouattara et consorts. Non ! Non ! Et non ! La crise ivoirienne n’a plus besoin de diagnostics causal, le carriérisme pathologique et l’arrivisme politique en sont la cause unique. Or plus qu’Hier, Aujourd’hui les ambitions multiples carriéristes claniques et arrivistes renégats sont montés d’un cran, pour se fixé à la limite de l’acceptable, dans la perspective d’une succession monarchique, programmée au terme des élections qui doivent être soumises aux trucages électoraux à cette fin. Et ainsi l’impossibilité de la réconciliation nationale, à armée plus que jamais la crise contre la totalité sociale.

 

Le pire est à venir dit-on et c’est une évidence, qu’il nous faut trouver tous ensembles  la bonne porte de sortie. Donc la crise ivoirienne a besoin uniquement des remèdes applicables par tous les ivoiriens, dans le corps social ivoirien, rendu très malade par cette crise post-guerre. Oui, concernant les responsabilités de la guerre en côte d’ivoire, ce n’est pas difficile à démontrer les responsabilités dans toute la chaine, les criminels de guerres sont désignés juridiquement et judiciairement par des  faits qui tombent incontestablement dans le champ du droit international pénal et du droit international Humanitaire. Parce que cette guerre après son ébauche le 24 décembre 1999 et déclenchée les 18-19 septembre 2002, résulte des coups d’état, avec son cortège de crimes contre l’humanité, dont des hommes d’état figurent parmi les victimes zigouillés pour ce qu’ils sont. Coup d’état contre un pouvoir démocratiquement légitime et juridiquement légal, auquel on n’a laissé aucun choix autre que le contraindre à la légitime défense. Et aussi la guerre dite postélectorale de 2011 qui est la suite programmé de la première « on m’a remis ce fusil en 2002 que c’est jusqu’au palais présidentiel d’Abidjan a dit un fantassin » a été déclenchée unilatéralement au mépris de la décision judiciaire constitutionnelle qui avait clôturé les contentieux électoraux querellés qui était l’objet revendiqué et qui était l’objet de danse et de théâtres d’ombre politiciennes d’une Mafia internationale sous couverture de la communauté internationale ou « onusienne ».

 

Donc avec un peu d’honnêteté intellectuelle qui oblige à se regarder dans un miroir, on n’a pas besoin d’aller chercher loin  la vérité sur les responsabilités de cette guerre et tout ce qui s’en suit. Même si le titre juridique de belligérance, qui est supposé partager la responsabilité et légalisé le coup d’état de 2002 en acte de guerre, au lieu de crimes d’atteinte criminelle à la sûreté de l’état, a été acquit après à Linas Marcoussis, cela ne change rien aux faits criminels causaux, initiaux de départ. Oui ! On n'a pas besoin de chercher longtemps des arguments pour appuyer l'idée que le fait de préparer sciemment un coup d’état armé contre un pouvoir démocratiquement légitime et juridiquement légale et ensuite de mener unilatéralement une guerre de conquête du pouvoir d’état par les armes après une élection juridiquement perdu, donc sans aucune habilitation légale de droit, sans aucune légitimité populaire, est le pire des crimes contre l’humanité. Sauf si on ne veut pas voir et on ne pas entendre.

 

C’est pourquoi, après une telle monstrueuse gaffe sociopolitique ou la voix d’une Mafia internationale sous couverture de la communauté internationale ou « onusienne », a primé sur les voix des électeurs ivoiriens dans les urnes, et conscient que nous sommes qu’au-delà des malléabilités juridiques et des manipulations judiciaires, que les faits de guerres de 2002-2011, ont désignés les responsables de crimes de guerres et les criminels de guerres et ont rendu leurs verdicts, ainsi guidé que nous sommes, par la sagesse politique Houphouët-ienne, nous soutenons toujours que  pour la côte d’ivoire, il n’y a pas deux (2) postulats, l’Amnistie générale référendaire consensuelle pour la paix sociale, ou l’installation du chaos sociopolitique sempiternel entretenu avec règlements de comptes dans un capharnaüm kafkaïen à fin de confiscation du pouvoir d’état. « La  crise qui a endeuillé la Côte d’Ivoire transporte des droits civils réels a soldé. Mais les activités criminelles fondées sur la participation, l'initiative, doivent être vidé dans le coffre de l’histoire de la nation par la souveraineté populaire, par le biais d’une Amnistie générale référendaire. Plus besoin de rassemblement festif et cérémonial sous l’égide d’un pouvoir voyou et déviant, qui les utiliserait à des fins politiciennes mafieuses ». Oui ! Tout le problème est manifestement et incontestablement là. Comment ce pouvoir acquit par les armes de guerres impies, peut-il se regarder dans un miroir, dans une situation sociopolitique abracadabrantesque. Où le carriérisme pathologique, l’arrivisme renégat, la défense des intérêts particuliers, l’affairisme mafieux ont fini de désintégré le corps de la totalité sociale ou le corpus social, pour ensuite rendre tous inconciliables aujourd’hui en côte d’ivoire:

 

« Oui, la société ivoirienne devenue inconciliables avec ses valeurs d’antan, ses mœurs ataviques. La nation ivoirienne souveraine qui se doit d’être une et indivisible, devenue inconciliable avec la solidarité agissante communautaire diverse, socle de toutes les sociétés harmonieuses. La politique ivoirienne devenue inconciliable avec la démocratie universelle. Les élections ivoiriennes devenues inconciliables avec les votes citoyens qui se sont abstenus à 80% aux  élections de 2010 jusqu’à ce jour, a la veille des élections de 2020. L’exercice autocratique et despotique du pouvoir d’état devenu inconciliables avec les droits inaliénables du peuple à disposer de lui-même et les libertés individuelles. Le pouvoir d’état unilatéraliste et arbitraire devenus inconciliables, avec l’opposition politique significative. Les positions des renégats politicards carriéristes transhumants des deux grands partis politiques devenues inconciliables avec les règles des partis politiques desquels ils se réclament. Les hommes politiques d’une cooptation de manges-mils migrateurs saisonniers, nihiliste, iconoclaste aux multiples ambitions politiques opposées devenues inconciliables. Les communautés nationales diverses autrefois solidaires devenues inconciliables et antagonistes souvent au tour d’un simple bonjour pour que vive les dégâts irréparables. Le Monarque républicain « Dieu le Grand en personne après Dieu c’est lui » enfermé dans sa tour illusoire devenue inconciliable avec toute politique de vraie réconciliation et toute politique de paix pérenne. Oui ! Inconciliables ».

 

Il convient donc de noter ici que, la côte d’ivoire n’a pas à rechercher une nouvelle tutelle démocratique, ou d’être un nouveau protectorat électoral des organisations internationales. Ces « MACHINS » difficilement neutres et impartiaux. Certes, les organisations quelles qu’elles soient, fonctionnent à l’image des hommes politiques qui les animent, donc au rendement et position changeant. Mais n’oublions pas que, Young-Jin Choi, de Ban Ki-moon, a décidé unilatéralement seul du résultat des élections de 2010, sans aucun socle juridique, et au mépris des normes de régulations sociales ivoiriennes acceptées par tous au départ. Quand on sait, qu’il n’a jamais existé un standard international admis absolu des élections, qui sont toujours soumis aux normes juridiques de régulations sociales des pays concernés, et qui diffère d’un pays a un autre. La côte d’ivoire comme la France, La côte d’ivoire comme les USA, la côte d’ivoire comme l’Allemagne, doit pouvoir organiser ses élections démocratiques, sans interférences extérieures aucunes, sans attendre un quelconque satisfecit ou note d’où ils viennent. La côte d’ivoire doit rester totalement indépendante dans sa gestion des affaires étatiques et souveraine dans ses actes socio-politico-intentionnel. Donc point de dirigeant légitime que par la reconnaissance des organisations d’états.

 

Donc pour ces exigences, il convient de rappeler, qu’à défaut des conditions d’une vraie élection en 2020, qui enfantera une vraie réconciliation nationale et une vraie paix sociopolitique, dans un tel schéma actuel, le peuple souverain de côte d’ivoire a le devoir absolu de savoir devenir fou, d’une folie libératrice pour lui-même peuple souverain et d’une folie destructrice pour ceux qui le martyrise en le privant de la paix sociale et de l’union de tous. Et qui ont pour support politique un système ultralibéral prédateur à l’extrême qui bouffe les petits à la table des convives nocturnes des grands usuriers internationaux. Et qui revendique que les individus appauvris puissent organiser leur propre défense dans sa jungle où il est roi. Surtout qui veut un poulailler étriqué, sans ouverture aucune, sans issue de secours au besoin du renard libre. Oui ! La liberté totale pour le renard libre dans le poulailler libre, le renard hallucinant dans le poulailler halluciné. Oui le peuple souverain doit devenir fou par le fait du martyr d’un pouvoir d’état unilatéraliste, despotique et devenu ostensiblement fou, déviant et voyou.

 

Or quand un pouvoir d’état rend un peuple fou furieux et débile, il se met soi-même à la merci de ses crises de folie et vive les dégâts. De toute évidence et incontestablement après la catastrophe démocratique et électorale de 2010. Et après les travers démocratiques avec 86% d’abstention par dégout et les impaires électorales de 2015 avec un président de la république dit élu avec moins de 15% de l’électorat total inscrit et imposé au peuple souverains de côte d’ivoire par les armes. Il faut absolument arrêter cette dynamique démoniaque, mortifère, destructeur et de dégénérescence sociétale. Oui, il faut une porte de sortie légale et consensuelle à la crise qui dure depuis 20 ans, « décembre 1999 à novembre 2019 ». Advienne que pourra. Il est d’une constance absolue de par le monde que, confiné dans la loi de la jungle le peuple souverain ne peut avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature. Sans les conditions d’une vraie élection en 2020, qui enfantera une vraie réconciliation nationale dans l’union de tous, il faut cette folie un de ces quatre matins pour les citoyens ivoiriens groggy, abruti, infantilisé, réveillé par une folie qui fait agir autrement que par procuration électorale ou élective, et en l’état de débilité mentale avancé qui ne connait que, ligne directe, avec un seul remède le coller la paix Houphouët-ienne.

 

Donc un peuple décidé à prendre son destin en main dans la rue consentante, cette opposante consensuelle et équilibriste critique, qui est la meilleure amie de la souveraineté populaire dans une démocratie réelle et le plus grand sauveur des peuples martyrisés. « Le Mali de 1991, l’une des révolutions Africaine les plus cohérentes parce que soutenue par la totalité sociale souveraine, le témoigne pour l’histoire ». Donc sans les conditions d’une vraie élection en 2020, débarrassée de tous les desseins de trucages, des appétits carriéristes, de toutes les ambitions politiciennes de passages en force électorale, qui enfantera une vraie réconciliation nationale et une vraie paix sociopolitique, il ne reste plus que la folie et la débilité mentale avancée pour le peuple ivoirien. Et Advienne que pourra. Un peuple doit savoir devenir fou furieux et débile au tour de ses droits inaliénables et de ses libertés individuelles, sinon il n’est jamais souverain. Donc, il le faut pour la côte d’ivoire, il le faut pour la stabilité politique, il le faut pour la paix pérenne, dans une souveraineté restaurée du peuple devenu l’absolu souverain.

Oui, Que dit-t-on ? Un seul tour à l’élection présidentielle ?  Et mandat présidentiel illimité ? Ce n’est mauvais ! Parce que, si ceci était prescrit dans la constitution initiale de 2000, Bédié avec ses 41% dont 600.000 voix volé, permuté sur procès-verbaux par trucage, ou  Gbagbo avec ses 38% officiel du premier tour serait élu président en 2010. Mais ici, ce qui est mauvais, inacceptable et injustifiable, c’est recourir à l’option un seul tour à l’élection présidentielle pour compenser une minorité acquise et au mandat présidentiel illimité pour ainsi s’éterniser au pouvoir. Ici, la politique de la limitation initiale ou l’illimitation initiale des mandats n’est pas le problème, peu importe l’option constitutionnelle initiale d’un état souverain. Mais c’est une controuvée modification constitutionnelle a la porte des élections pour la rendre conforme à des intérêts personnels et a des ambitions claniques qui pose un sérieux problème de droit inaliénable du peuple a disposé de lui-même. Dès lors, pour le peuple ivoirien le nécessaire arrêt impérieux de cette dynamique démoniaque, est devenu d’intérêt public réel, et d’ordre social. « *- Ici en attendant la bénédiction de Dieu d’Abraham et suivants sur l’intercession de Felix Houphouët boigny  à ses côtés, et la future reconstruction Béni de la côte d’ivoire d’Houphouët boigny, que la côte d’ivoire sous Alassane Ouattara soit Maudit, que tout soit gâté même. De nuit comme de jour, si la restauration de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny doit passer par là, forcement ? Voilà ! « Ceci est du leader de la légitimité citoyenne».

Donc cette folie souveraine du peuple et cette débilité mentale citoyenne avancée, suscitées, ont un duo de traitement vaccinal : *1)-Une commission électorale Apolitique, Autonome, réellement Indépendant et un système électoral revu dans toutes ses dimensions, qui lâche tous les candidats sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état en 2020, afin d’obtenir des élections libres et démocratiques, dédouanées de toutes les scories passéistes de trucages électoraux. « La commission électorale dans sa nouvelle mouture est inconstamment Alassanéenne. Le conseil constitutionnel est inconstamment Alassanéen. La liste électorale actuelle avec l’orchestration des énormes fraudes sur la nationalité en espérant compenser ainsi une minorité acquise est inconstamment Alassanéenne. Le découpage électoral actuel qui n’est pas fait au prorata d’un élu pour un nombre d’administré bien déterminé est inconstamment Alassanéen, qui dans cette situation bien que minoritaire dans le peuple devient majoritaire en élus grâce au découpage électoral non-équilibré. Etc. Ici tout est au service du pouvoir d’Alassane Ouattara ».

 

*2)- Une Amnistie générale référendaire de tous les faits commis entre le 24 décembre 1999 en passant par les 18-19 septembre 2002 pour arriver au 11 avril 2011 jusqu’au jour du vote référendaire. « Parce que la côte d’ivoire ne s’en sortir jamais par la voie judiciaire sélective et téléguidée contre un seul camp belligérant. Oui, il n’est pas possible aux regards rigoristes du droit international pénal qui n’a rien de sens unique, de poursuivre judiciairement pour crimes de Guerres, que les vaincus de guerre « le camp Gbagbo », et ainsi de pouvoir exonéré de poursuites judiciaires les vainqueurs de guerres « le camp de Alassane Ouattara et consorts » non ! Ce serait faire magasiné une partie importante de la crise ivoirienne pour demain et de donner rigueur de droit absolue a la politique idéologique de l’imprescriptibilité de certains crimes de guerre commis dans la crise ivoirienne par le camp d’Alassane Ouattara le belligérant déclencheur. La stabilité politique, l’harmonie communautaire, la paix sociale exigent de clôturé les expéditions judiciaires sélectives et téléguidées des vainqueurs de la crise ivoirienne.

 

Ce duo de traitement vaccinal « anti-folie souveraine du peuple et anti-débilité mentale citoyenne avancée », mettra une fois, pour toute, notre pays sur les rails du droit universel, de la démocratie universelle, de la stabilité politique, de la paix sociale pérenne et de la reconnaissance absolu de tous, avec les droits civils et politiques libéré de toutes les restrictions textuelles controuvées du pouvoir actuel. « Parce que ce pouvoir aura ainsi son cul en plein air et à ciel ouvert près pour recevoir un coup de pied citoyen bien administré qui le montrera la porte de sortie définitive ». Et de coller la paix Houphouët-ienne à la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. « Maladie et Remède infaillible, question de choisir par le pouvoir Ouattara ». Seulement, que la nature épargne la côte d’ivoire des Flambeaux Nocturnes citoyens. Oui, Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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