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13 août 2018 1 13 /08 /août /2018 16:00
Lepetitfils : La côte d’ivoire, victime du coup d’état du 24 décembre 1999 et très soucieuse de sa paix hérité de Felix Houphouët Boigny, s’était donné un arsenal juridique constitutionnel en 2000, véritable Garde-Fous contre le carriérisme pathologique, pour se préserver des crises post-électorales, et l’irruption des armes « fusils » dans la politique. En clair, nous espérons certes de la pression politico-diplomatique dans un procès, qui s’est avéré politique. Mais nous n’espérons pas d’une justice de la cour pénale internationale CPI. Non !

Lepetitfils : La côte d’ivoire, victime du coup d’état du 24 décembre 1999 et très soucieuse de sa paix hérité de Felix Houphouët Boigny, s’était donné un arsenal juridique constitutionnel en 2000, véritable Garde-Fous contre le carriérisme pathologique, pour se préserver des crises post-électorales, et l’irruption des armes « fusils » dans la politique. En clair, nous espérons certes de la pression politico-diplomatique dans un procès, qui s’est avéré politique. Mais nous n’espérons pas d’une justice de la cour pénale internationale CPI. Non !

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy. Leader de la Légitimité Citoyenne. « Convention du 28 juillet 1951 ».

 

*- En côte d’ivoire, quand on dit la vérité, on dit que tu insulte, or Mieux vaut se répéter que mentir.

 

La cour pénale internationale (CPI) n’est pas une juridiction judiciaire internationale pénale, non ! Elle est une juridiction politique a adhésion facultative, suppléante de la volonté des dirigeants des états partis à son statut et les vainqueurs de guerres qui la déportent les vaincus de guerres. C’est pourquoi elle omet dans ses poursuites téléguidées par les politiques, les éléments déclencheurs gênant pour ceux-ci. Ceux de la côte d’ivoire sont les 18-19 septembre 2002 coup d’état manqué contre un pouvoir légale et légitime transformé en rébellion armée et la violation de la constitution de 2000 qui avait soldé les contentieux de l’élection présidentielle de 2010 par la décision du conseil constitutionnel.

 

En s’engageant unilatéralement dans une guerre de conquête par les armes impies pour se faire des prisonniers politique et des exilés politiques et pour ensuite déporté ses ressortissants a la cour pénale internationale (CPI). Et pourtant la côte d’ivoire, victime du coup d’état contre un pouvoir légale et légitime le 24 décembre 1999 et très soucieuse de sa paix sociopolitique hérité de Felix Houphouët Boigny, s’était donné un arsenal juridique constitutionnel en 2000, véritable Garde-Fous contre le carriérisme pathologique, pour se préserver des crises post-électorales, et l’irruption des armes « fusils » dans la politique. Le respect de la constitution de 2000 qui a régis les élections de 2010 pouvait éviter à la côte d’ivoire une guerre et sauver 4000 vies de citoyens.

 

(*- (Constitution du 23 juillet 2000 qui a régit les élections présidentielles de 2010.  Article 94 : *- Le Conseil constitutionnel contrôle la régularité des opérations de référendum et en proclame les résultats : (Le Conseil statue sur :  *- l'éligibilité des candidats aux élections présidentielle et législative ;  *- les contestations relatives à l'élection du président de la République et des députés. *- Le Conseil constitutionnel proclame les résultats définitifs des élections présidentielles.-- Article 98 :*- Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d'aucun recours. Elles s'imposent aux pouvoirs publics, à toute autorité administrative, juridictionnelle, militaire et à toute personne physique ou morale.)

 

Il faut noter ici que, l’un des piliers des prérogatives régalienne de la souveraineté étatique est la capacité ou le pouvoir régalien de juger légalement ses propres ressortissants en fonction du droit, sans interférences extérieurs aucunes. Et ne pas extradés ses propres ressortissants et tous les détenteurs de statuts juridiques internationaux qui résident dans toute son assiette territoriale nationale étatique, vers une destination autre que leurs états  de nationalités. Cela de quelques manières que ce soient et de quelques motifs que ce soient. En l’absence de ce pouvoir étatique de souveraineté internationale aucun n’état ne peut revendiquer une quelconque souveraineté étatique, l’indépendance juridique et politique réside là. C’est pourquoi nous nous disons et soutenons que pour avoir déporté ses propres ressortissants à la Cour pénale internationale (CPI Pour y être jugé, la côte d’ivoire sous le pouvoir d’Alassane Ouattara est devenue un état voyou, un état paria, un état policier.

 

Parce qu’au terme même des textes statutaires de la Cour pénale internationale (CPI), qui est entrain de jugé des ressortissants ivoiriens, le pouvoir qui gouverne l’état de côte d’ivoire, en déportant des ivoiriens à la cour pénale internationale pour y être jugé, est devenu implicitement et conséquemment un état voyou, un état  inconséquent et un état inconscient. Puisque la cour pénale internationale (CPI) n’intervient que dans ce cas de défaillance institutionnelle. Sinon qu’on aille nous prendre George Walker Bush aux États-Unis, Nicolas Sarközy en France ou Tony Blair au Royaume-Uni, Saïf al-Islam Kadhafi en Lybie, le chef de l'Etat kényan Uhuru Kenyatta et son vice-président kényan William Ruto au Kenya, Omar El-Béchir et son ministre de la défense soudanais, Abdelrahim Mohammad Hussein au soudan. Croyez-nous citoyens ivoiriens, il semblerait qu’il y a de quoi. Et la Cour pénale internationale (CPI) n’osera pas. Non !

 

Oui saisir de quelque manière que ce soit, pour quelque raison que ce soit, la Cour pénale internationale (CPI), est admettre sa juridiction et aliéné  ses droits de ressortissant d’un état souverain a sa compétence ou s’assujettir à celle-ci. Puisqu’il est constant que la compétence de la Cour pénale internationale (CPI) est subsidiaire et ne s’exerce que si l’Etat concerné ne met pas en œuvre sa propre compétence pénale qui tient statutairement la cour pénale internationale (CPI) en l’état. Donc saisir la Cour pénale internationale (CPI) est en soi une déclaration de faillite judiciaire de l’état concerné, une critique de l’institution judiciaire de l’Etat qui déporte ses ressortissants, un recours en carence implicite de la souveraineté étatique de l’Etat concerné.

 

Puisque cette saisine de la Cour pénale internationale, signifie que l’Etats concerné n’a pas agi comme il aurait dû le faire par incapacité institutionnelle. En clair l’existence de la Cour pénale internationale (CPI) n’est pas seulement une prothèse qui vient réparer une lacune objective de la compétence judiciaire pénale étatique. Elle est un mécanisme substitutif dont la mise en œuvre accuse le défaut subjectif manifeste du fonctionnement des services judiciaires de l’Etat concerné qui déporte ses ressortissants à la Cour pénale internationale (CPI) pour y être jugé. Donc derrière chaque procès individuel organisé par la Cour pénale internationale (CPI), on trouvera clairement en filigrane le procès de carences des institutions judiciaires étatiques.

 

L'État qui accepte de faire juger ses ressortissants par la cour pénale internationale (CPI) a tacitement en quelque sorte intériorisé son insuffisance, son incapacité judiciaire étatique et abandonné sa souveraineté étatique à une tutelle judiciaire internationale. Et par conséquence accepté sa mise sous tutelle judiciaire internationale comme tout état voyou et s’incliner devant la déviance institutionnelle étatique, devant sa défaite comme entité qui se veut souveraine mais incapable souverainement d’assurer et d’assumer sa souveraineté et d’exhiber sa défaillance institutionnelle d’état voyou dans le concert des Nations policée. Parce que la cour pénale internationale (CPI) est un tribunal compétent uniquement en cas de défaillance du système judiciaire national d’un état devenue voyou.

 

C’est pourquoi le président soudanais Omar El-Béchir et son ministre de la defense soudanais, Abdelrahim Mohammad Hussein, sont sans bruits au soudan. C’est pourquoi Seif Al-Islal Kadhafi, fils du défunt guide libyen Mouammar Kadhafi est sans bruits en Libye. C’est pourquoi, Le président kényan Uhuru Kenyatta et son vice-président kényan William Ruto sont sans bruits au Kenya. C’est pourquoi, L’ex-président des États-Unis George W. Bush et son ex- vice-président des États-Unis Dick Cheney sont sans bruits aux Etats unis d’Amérique. C’est pourquoi Nicolas Sarközy en France ou Tony Blair au Royaume-Uni ne savent pas ce qu’on appelle la Cour pénale internationale (CPI). Elle ne s’impose qu’aux états voyous. « Qui est fou si c’est pas IVOIRIEN toujours à la recherche de tutelle. Oui ! Monsieur, Oui ! Madame, pourvu qu’il  n’y ait  pas de risque pour mon pouvoir». Oui, la répression des crimes internationaux est avant tout la responsabilité des Etats souverains.

 

Oui, En clair, nous espérons certes de la pression politico-diplomatique de par le monde dans un procès, qui s’est avéré éminemment politique. Parce que sous le contrôle téléguidé des hommes politiques. Mais par contre nous n’espérons pas d’une justice judiciaire de la cour pénale internationale CPI. Non ! Nous n’espérons pas.

 

Un état sérieux ne déporte pas et n’extrade pas ses ressortissants, ce principe est du droit international coutumier, le droit des droits. La justice pénale suppose une société politique consensuelle, appuyée sur la force publique. Le droit international dans son ensemble est un droit politique, et la politique n’est pas soluble dans le droit. C’est pourquoi la situation sociopolitique ivoirienne exige que le SOUVERAIN CHANGE DE GYROSCOPE. Par le biais d’une coalition ou on retrouverait dans la mêlée à rang serrer, le PDCI de Félix Houphouët Boigny avec ses satellites, Et le FPI de Laurent Gbagbo toutes les tendances confondues avec ses satellites, épaules contre épaules, coudes-à-coudes, côte-à-côte, mains dans les mains, soutenus par toutes les forces vives de la nation ivoirienne pour la régulation sociopolitique pendant cinq (5) ans. Et pour se faire il faut absolument être le gyroscope du souverain. La paix sociale est à ce prix sinon 2020 ne servira à Rien. Donc il est question de s’efforcé au mépris des risques et des intérêts pécuniaires d’œuvre pour l’intérêt général et de s’oublier pour la côte d’ivoire.

 

Or la classe politique ivoirienne est malheureusement devenue polémiste face aux dangers, chansonnière face aux justes raisons d’intérêt général, elle œuvre dans le sens voulu par les brigades acclamations nombrilistes. Constituées des individus qui n’envisagent le combat politique et le débat démocratique, que sous la forme d'une guerre civile opposant deux armées rivales qui ne pensent qu’à s’exterminé mutuellement, a la guerre comme à la guerre, on oublie le socle sociétal qu’est la nation souveraine dans les brouhahas. C’est le lieu de dire une fois pour toute que ; pour bloquer la dynamique démoniaque mortifère de ce pouvoir déviant, psychopathique et mégalomaniaque et pour décomposé ce système ultralibéral prédateur de jungle devenu pervers, criminel, obscurantiste, d’un dirigisme économique mafieux, et pour replacer l’être humain au centre du débat sociopolitique, le citoyen au cœur de la politique développementale et enfin faire du droit et les libertés le juge des relations sociopolitiques et des relations humaines. Il faut à cet égard être absolument le gyroscope du souverain.

 

Oui, Il faut le PDCI et tous ses satellites + le FPI toute tendance mise ensemble et tous ses satellites soutenus par les ivoiriens de tous bords politiques désireux de la paix sociale, pour être le GYROSCOPE DU SOUVERAIN, pour mettre fin à la crise et pour la libération de tous les prisonniers politiques à commencer par Laurent Gbagbo. La souveraineté étatique est au-dessus du juridisme international, qu’elle tient absolument en l’état. C’est pourquoi le PDCI de Félix Houphouët Boigny et le FPI de Laurent Gbagbo « dans son ensemble » doivent pouvoir s’unir pour être le gyroscope du souverain et pour sauver la côte d’ivoire pendant cinq (5) ans. Il est question de soulever sa tête pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux. 

 

La volonté d’un peuple souverain dans la recherche de l’ordre social, de la stabilité sociopolitique et de la paix pérennes, substrat de l’existence de toute entité sociale humaine fermement exprimer dans une Amnistie référendaire par le peuple souverain, d’une nation souveraine en crise, est opposable à l’imprescriptibilité des crimes contre l’Humanité. L’imprescriptibilité dont le but politique même vise à assurer la pérennité de l’ordre social, de l’ordre de la stabilité sociale humaine, de la sécurité de l’humanité et de la paix internationale. Donc après une Amnistie référendaire pour la recherche de la paix, tout ce qui ose tenter la réactivation des faits Amnistiés par referendum par le vote d’un peuple souverain cherche tacitement à troubler l’ordre social de l’état concerné. L’ordre social indispensable à une vie paisible et à la paix internationale.

 

Aussi tous ceux, au nom d’une quelconque justice pénale internationale oseront troubler l’ordre social de ce pays souverain par la réactivation des faits Amnistiés par referendum au mépris de la souveraineté étatique socle de la société internationale, s’attaque tacitement à la souveraineté de cet état concerné qui devient libre de réaction. Le fondement même de la société internationale repose sur la souveraineté étatique de ses membres. Quel état membre de cette société internationale n’a pas eu recours à l’Amnistie législative ou à l’Amnistie générale référendaire des faits de crimes de masses contre l’humanité dans la recherche de la paix sociale et de la paix internationale. Qu’on nous cite un, oui ! Un seul, commençons par la vieille Europe, le reste on verra…

 

Donc afin dans le futur, de faire coexister démocratiquement, librement, consensuelle-ment et pacifiquement, sans heurt majeur, dans la cohésion sociale, dans l’harmonie communautaire, les citoyens aux droits égaux dans l’espace public et dans l’arène politique. Il nous faut une coalisions de tous fondus dans une moule ivoire régulatrice pendant cinq (5) de transition pour la côte d’ivoire et c’est l’unique solution. Au cas contraire 2020 ne sera pas la fin de crise. Donc en 2020, le réveil serait brutal et cauchemardesque. Et c’est pourquoi nous ne cessons d’indiquer, la seule voie praticable vers la paix sociale sans succédané possible, la meilleure de toutes les voies pour y arrivée est une désintéressée Coalition de nouvelle alliance politico-électorale de tous ensembles pour être le GYROSCOPE DU SOUVERAIN.

 

Oui, une coalition de nouvelle alliance d’intérêt public, qui transcende tous les rigoristes faux clivages politiques, les appartenances d’intérêt particulier, les antagonismes artificiels et la division dissolvants, pour ne retenir que la côte d’ivoire et l’intérêt général de la totalité sociale. Et le processus d’une vraie réconciliation nationale pyramidale, couronné par une populaire Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de Oui au moins. Et ensuite que les appartenances légitimes s’affirment au terme de cinq (5) ans de transition politique régulatrice, au cours des compétitions électorales de 2025 dans l’ordre idéologique des partis politiques ou par appartenance politique. Toute autre solution politicienne à but électoraliste clanique est vouée à l’échec avons-nous toujours dit et répété. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy. Leader de la Légitimité Citoyenne. « Convention du 28 juillet 1951 ».

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