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17 juillet 2017 1 17 /07 /juillet /2017 14:05
Lepetitfils : Détrompons-nous,  la crise en Côte d’Ivoire n’est pas derrière nous. Elle est peut-être devant nous en 2020. La période qui va de maintenant à 2020 est peut-être l’heure de vérité pour la Côte d’Ivoire pour faire sérieusement face à la crise. Il va falloir faire de ces élections de 2020, le test ultime de la paix retrouvée, de la reconstitution du tissu social ivoirien en lambeau, de la reconstruction nationale sur tous les points des décombres de la côte d’ivoire, du rafistolage des fibres communautaires sectionnées, dans l’union de tous.

Lepetitfils : Détrompons-nous, la crise en Côte d’Ivoire n’est pas derrière nous. Elle est peut-être devant nous en 2020. La période qui va de maintenant à 2020 est peut-être l’heure de vérité pour la Côte d’Ivoire pour faire sérieusement face à la crise. Il va falloir faire de ces élections de 2020, le test ultime de la paix retrouvée, de la reconstitution du tissu social ivoirien en lambeau, de la reconstruction nationale sur tous les points des décombres de la côte d’ivoire, du rafistolage des fibres communautaires sectionnées, dans l’union de tous.

La goutte d’eaux : Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

*- Nous écartons les chroniques nominatives et d’indexations pour ne pas les entourés de polémiques.

Il faut noter ici d’emblée que des citoyens souhaitent ou préfèrent nos chroniques citoyennes plus d’indexation ou nominatives. Mais à la recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitique en côte d’ivoire en crise depuis 2002 par une culture habile et malhonnête de l’apologie des différences, le nominatif n’ont jamais eu d’intérêt pour nous, seulement les faits ignobles a base systémiques nous intéressent dans nos chroniques citoyennes de décodages. Le nominal ramène les luttes politiques au problème de personne. Or la personne physique de l’homme politique ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel. Ce qui nous intéresse en l’homme politique ce sont ses actions politiques et gouvernementales qui décident de notre vie, qui décident de la vie de tous, qui décident de la vie de chacun et surtout de la vie de la nation souveraine. Mais nous ne sommes pas les saints des saints ou des papes à Rome. Donc nous écartons sciemment les chroniques nominatives indexées pour ne pas les entourés de polémiques de personnes, mais les systèmes politiques nocifs pour la société, leurs faits et méfaits dans la société et leurs porteurs politiques y sont clairement identifiables. Notre objectif est de trouver une porte de sortie durable une fois pour toute à cette honteuse crise post-guerre qui n’a rien d’ivoirien, sinon imposé à la totalité sociale ivoirienne.

*- Dans une sphère politique ivoirienne Décomposé et Recomposé pour qu’advienne la paix sociopolitique.

Donc une crise qui est une honte pour la philosophie politique de Félix Houphouët Boigny. D’où nous cherchons une porte de sortie, pour que les partis politiques légalement constitués exercent librement le but premier de leurs créations, qu’est de conquête du pouvoir d’état par les Urnes. Et de l’exercé dans le temps, autant qu’ils auront la caution électoral des suffrages universels, dans le respect des prescriptions constitutionnelles. Et que toutes les ambitions politiques libérées de prison ou de déportation se dévoilent, pour aller aux compétitions électorales librement, dans le respect des normes juridiques prescrites et dans le respect des règles de jeux prescrits acceptées au départ par tous. Dans une sphère politique ivoirienne Décomposé et Recomposé. Si on doit espérer d’un tel cadre paisible pour 2020, que les partis politiques significatifs de gouvernements se détrompent, 2020 c’est maintenant ou jamais nous serions confiner dans les mêmes travers politiques et chaos social. Ce ne sont pas les compétions électorales pluralistes qui sont importantes, mais la situation de leurs cadres, leurs règles organisationnelles, les arbitres des jeux. Donc 2020 c’est aujourd’hui, sinon 2020 serait la continuité des élections de 2010 comme de 2015. Si nous « à la légitimité citoyenne », pouvons être partis à ses compétitions électorales réellement démocratiques de demain tant mieux pour nous. Et les anciens criminels de guerres de tout bord et les voleurs patentés endurcie d’une mafia internationale auront pour leurs comptes. Et l’olympiade démocratique serait une fête totale pour les gagnants et pour les perdants au pays de Félix Houphouët Boigny. Citoyen ivoirien voilà le décor planté du champ de l’évolution de nos chroniques citoyennes hebdomadaires. Donc pas d’indexation ou de nominative, seulement décodé les politiques anti-paix social, les systèmes criminels mafieux d’accaparement des ressources naturelles souveraines et économiques assis sur une politique économique systémique mafieuse nous préoccupent. « On est ensemble, restons ensemble, le pire des périls sociétal guette la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. »

*- Le mandat électoral n’est pas un chèque en blanc, les dirigeants doivent se retourner vers le souverain.

Ceci est d’autant plus simple que, la légitimité politique du pouvoir au peuple, par le peuple et pour le peuple est définie par une acception juridique fondée sur le consentement des membres de la société gouvernée. Les démocraties représentatives constituent une forme de l’organisation du pouvoir politique dont la légitimité passe par la reconnaissance de la souveraineté populaire et dont l’exercice repose sur la délégation de cette souveraineté a des élus. Le peuple délègue donc sa souveraineté populaire par le biais d’élections régulières et concurrentielles à des élus chargés, pour un temps et sous des formes déterminées par la loi fondamentale, de s’occuper des affaires publiques de la cité. Donc en ce sens, la représentation politique désigne le processus par lequel des gouvernants sont légitimés par l’élection démocratique régulière et concurrentielle pour parler au nom du peuple et habilités ainsi à décider en son nom. Donc gouverner est la capacité de se faire obéir avec le consentement de ceux  qui obéissent. Mais il est d’une constance incontesté et d’une légalité juridique irréfragable que sur des questions spécifiques qui engagent la vie de la totalité sociale en crise, de la nation souveraine, de la cohésion sociocommunautaire, de la stabilité sociopolitique, que les représentants élus temporaires et les hommes politiques dirigeants des partis politiques ont l’obligation de consulté le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état sur ces problèmes d’ordre national. Le mandat électoral qui n’est pas un chèque en blanc ne suffit pas dans ce cas et les dirigeants doivent se retourner vers le peuple souverain de qui ils ressortissent. Faire la politique c’est gérer les entités humaines avec leurs consentements et la gestion de leurs cités dans l’harmonie, la cohésion, et la paix pérenne. Voilà pourquoi une Amnistie générale référendaire est indéniable et est indispensable pour la sortie de la crise ivoirienne.

*- La réconciliation nationale se fera dans l’union de tous dans un processus irréprochables ou ne se fera pas.

Que l’on se détrompe donc, ni une solidarité forte dans le mal sociétal entre des dirigeants politiques au tour des ambitions politiques, ni un soutien ferme intéressé de certains hommes politiques « mangé-crates» saisonniers qui suivent leurs intérêts pécuniaires du moment au gré du vent, ne feront jamais la réconciliation nationale en côte d’ivoire. La réconciliation nationale se fera en côte d’ivoire entre les hommes politiques de tous bords politiques, à commencer par la majorité des électeurs ivoiriens « 51,45 % légal du conseil constitutionnel» qui a  élu le président Laurent Gbagbo en 2010, ou si vous voulez les 45,9% de la population ivoirienne votants pour le président Laurent Gbagbo en 2010, selon  le Sud-coréen, Young-jin Choi. De Ban Ki Moon, « là les poches n’ont pas soufferts du tout » et surtout les plus de 80% abstentionnistes de la camarilla du front du refus catégorique du chaos social de la population ivoirienne Aujourd’hui, dégoutés du haineux système politique ultralibéral qui trône sur la côte d’ivoire depuis 2011. La réconciliation nationale se fera dans l’union de tous dans un processus irréprochables. 1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques, 3)- Ouvrir le dialogue social sincère 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain, 5)- Couronné le tout par une Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de Oui. L’ordre social est à ce prix, la stabilité sociopolitique est à ce prix, l’Harmonie communautaire est à ce prix, la paix sociopolitique Houphouët-ienne est à ce prix. Il n’y a pas deux postulats.

*- La période qui va de maintenant à 2020 est l’heure de vérité pour la Côte d’Ivoire pour faire face à la crise.

Parce que la réconciliation nationale post-crise nécessite qu’on arrive à réapprendre au pays à se parler, à se côtoyer mutuellement sans heurt, à se reconnaitre mutuellement dans une unique appartenance nationale, à s’admettre comme légal en droit et en devoir, à accepter les différences nationales et sociopolitique, à vivre dans une société paisible devenue commune qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales. Donc pour que la réconciliation soit réellement productive pour la Côte d’ivoire, elle ne peut se faire en dehors du consensus entre les acteurs politiques de différentes appartenances souvent politiquement opposés, les hommes de tout bord politique d’abord en quel que sortes. Dans un processus consensuel de vraie réconciliation nationale qui obéit à des étapes sérieuses incontournables comme décrits plus haut et couronné par une Amnistie générale référendaire validé par le peuple souverain avec un vote massif de caution et d’adhésion. La crise en Côte d’Ivoire n’est pas derrière nous. Elle est peut-être devant nous en 2020 l’appétit vient en mangeant, conscient de la faiblesse institutionnelles et de la moralité des dirigeants qui ne demandent qu’à rester là où ils sont, le reste ce n’est pas leurs problème, les criminels ont pris goût du crime. La période qui va de maintenant à 2020 est peut-être l’heure de vérité pour la Côte d’Ivoire pour faire sérieusement face à la crise. Depuis que le monde est monde, toutes les graves crises se sont exprimées dans la conquête du pouvoir, se sont explosées à l’heure des compétitions électorales.

*- Dès maintenant méfions-nous des ambitions carriéristes, arrivistes renégats des mêmes artisans de la guerre.

Il va falloir faire de ces élections de 2020, le test ultime de la paix retrouvée, de la reconstitution du tissu social ivoirien en lambeau, de la reconstruction nationale sur tous les points des décombres de la côte d’ivoire, du rafistolage des fibres communautaires sectionnées. C’est-à-dire il va falloir faire en sorte d’aider la Côte d’Ivoire avec du concret, du sérieux et du réel pour que les élections de 2020 soient des élections démocratiques pluralistes, justes, transparentes, crédibles et apaisées, qui sonnent la sortie définitive de la guerre de 2002 toujours latente. Donc dès maintenant méfions-nous des ambitions carriéristes pathologiques, arrivistes renégats des mêmes artisans de la guerre déclenchée en 2002 et surtout méfions-nous d’une conversion de notre société autrefois d’harmonie communautaires, de cohésion sociale et de paix pérenne héritée de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, en un clanisme d’intérêt particulier, des petits terrains partisans, sectaires, claniques, communautaires, régionaux, religieux, tribaux, ethniques à des fins d’ambitions politiques et électorales ou de la confiscation du pouvoir d’état par les artisans des HOLD-UP depuis 2002.

*- Un clanisme qui vie de la misère des peuples souverains, du désastre sociopolitique, de la division pour régner.

Oui, détrompons-nous, dès maintenant face à ces ambitions carriéristes pathologiques, arrivistes renégats des mêmes artisans de la guerre déclenchée en 2002, la paix n’est pas le premier de leurs soucis et la société qu’ils préparent pour l’ivoirien de demain ressemble à une assemblée inconsciente d’individus, mercantilistes, truands, malhonnêtes, voleurs, criminels, sans foi ni loi ; tirant à huer et à dia pour leurs propres intérêt égoïstes et égocentriques, pour les besoins de leurs  propres ventres et pour les intérêts claniques mafieux, taillés sur la mesure d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux. La vérité est leur contraire et l’honnêteté est leurs Totem. Donc une société ou l’être humain ne serait plus rien face à Dieu l’argent, ou les plus faibles au lieu de voir la solidarité atavique s’organisé vers eux, seront obligé de vendre leurs rejetons aux plus nantis en membres détachés « pièces détachées ». Ou les couples époux légaux tous deux Barbus, et les couples légaux tous deux aux poitrines bombées de seins, en floraison sur un terreau devenue fertile gouverné par Dieu l’argent, peupleront notre paysage social. La côte d’ivoire aurait ainsi évoluée, la société ivoirienne serait ainsi devenue développée, dans une dépravation des mœurs légalisée dans tous ses états. Ce clanisme politique mafieux depuis la nuit des temps est par définition iconoclaste, artisan manichéiste d’entreprise factieuse, nihiliste dans l’âme, chaotique, antisocial, antihumain, anti-empathique, anti-altérité, éphémère, primaire, anomique, pervers, sans avenir et porteur des germes des crises sociopolitiques de toutes sortes, la voie avérée de la dégénérescent sociale totale. Il vie de la misère des peuples souverains, du désastre sociopolitique, de la division pour régner et des rapports de forces mafieux. Le désordre social est son terreau fertile, son champ de prédilection est la division pour régner. Il nous faut arrêter cette dynamique démoniaque, perverse, mafieuse, pour obtenir la paix sociale, la stabilité sociopolitique, l’ordre social, le progrès partagé, et le bonheur pour tous dans une côte d’ivoire une et indivisible, dans une fraternité solidaire à toute épreuve au terme d’une vraie réconciliation nationale. Oui, si nous voulons restaurer la démocratie et l’état de droit dans notre pays la côte d’ivoire, si nous voulons nous en prévenir des dérives d’une clique de ripoux mafieux et criminel, si nous voulons obvier d’autres crises sociales plus graves, une réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire est la seule voie possible.

Pour une fois, une vraie réconciliation nationale pour obtenir une paix pérenne celle de Félix Houphouët Boigny.

Oui, une Amnistie générale référendaire fédératrice parce qu’il est constant en politique que, la souveraineté nationale, la dignité humaine, le progrès social, le développement de chaque citoyen, la défense de la nation, rien de tout cela n’a de sens, si les diverses communautés nationales ne se reconnaissent pas chacune fièrement et ostensiblement dans une appartenance nationale commune et unique, si entre les diverses communautés nationales et la nation souveraine, il n’y a plus rien d’autres que, sauf la loi du plus fort, si entre la nation souveraine et le monde universel, il n’y a plus rien d’autres sauf l’interpénétration des affaires mafieuses d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux et la politique nationale sensée édicté des décisions souveraines pour la vie de la nation sans aucune interférence étrangère. Donc méfions-nous de ce clanisme hyper Ambitieux il n’y a aucune paix possible avec son socle systémique. Il n’a qu’une seule voie incontournable qui conduit au chaos sociopolitique sempiternel, la voie d’enfer et de damnation du Moi ou Rien, Tout pour Moi, que les autres Applaudissent pour Moi, la concrétion de tous vers Moi. Donc il faut les contraindre à une vraie réconciliation nationale pour obtenir une paix pérenne celle de Félix Houphouët Boigny. 1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques, 3)- Ouvrir le dialogue social sincère 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain, 5)- Couronné le tout par une Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de Oui.  

Mais si par extraordinaire qu’il s’avère que ce processus de réconciliation nationale agencé plus haut, n’est pas admissible par la politique criminel et mafieuse de deshumanisation de l’ultralibéralisme de jungle, qui trône sur la côte d’ivoire et qui emmagasine des dettes éhontées des grands usuriers internationaux pour les générations futures. Et que ce processus de réconciliation nationale, ne serait pas acceptable pour le règne arbitraire du renard libre dans le poulailler libre, le renard hallucinant dans le poulailler halluciné, congratulant quelques misérables coqs de la basse-cour consentants au sacrifice suprême. Alors-là, Alassane Ouattara doit partir avec son ultralibéralisme de jungle, dès lors Alassane Ouattara avec son dirigisme économique mafieux et criminel doit coller la paix Houphouët-enne à la côte d’ivoire martyrisée. Oui, trop de morts, sept milles (7000) continus au totale aujourd’hui, il ne se passe aucune semaine sans que ce nombre n’augmente, le Chrono des décomptes macabres était à Korhogo samedi 15 juillet 2017. Donc il serait donc irréfragable conformément au droit des peuples, de lui montrer la porte de sortie largement ouverte aujourd’hui, ou le serpent a sonnette a commencer son travail en mordant les plus privilégies parmi ses alliés. Donc montrer la porte de sortie, parce que c’est la seule solution durable à la crise ivoirienne, résultante du coup d’état manqué de septembre 2002, transformé en rébellion armée, elle-même mère de la guerre post-électorale avec ses morts continus. Oui, toute autre fabrique de solution serait couronnée par la continuité des armes impies de 2002 dans l’arène politique ivoirienne, « le pouvoir pour les Fusils ou au bout des fusils ». Ne dit-on pas qu’il n’y a pas de déshonneur pour un peuple qui sait mourir ? Parce que tout simplement il ne meurt jamais et aucune victoire n’est possible sur un peuple déterminé à défendre ses droits inaliénables et ses libertés individuelles contre un quelconque pouvoir d’état. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

La goutte d’eaux : Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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