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24 juillet 2017 1 24 /07 /juillet /2017 10:36
Lepetitfils : Tout comme le pansement d’une plaie puante, la rébellion doit être expliqué sans mensonge aucune au peuple souverain, ça fera mal certes, mais la plaie guérira, la blessure se cicatrisera. Un étudiant de 29 ans qui n’a jamais travaillé et sans attache militaire au paravent, donc sans aucun moyen financier, qui créer une rébellion ? Non ! Nous ça nous donne l’indigestion et le peuple souverain se trouve insulter, parce qu’il a le droit inaliénable de connaitre publiquement le Non du signataire de l’ordre de mission de la rébellion et partant le ou les financier(s).

Lepetitfils : Tout comme le pansement d’une plaie puante, la rébellion doit être expliqué sans mensonge aucune au peuple souverain, ça fera mal certes, mais la plaie guérira, la blessure se cicatrisera. Un étudiant de 29 ans qui n’a jamais travaillé et sans attache militaire au paravent, donc sans aucun moyen financier, qui créer une rébellion ? Non ! Nous ça nous donne l’indigestion et le peuple souverain se trouve insulter, parce qu’il a le droit inaliénable de connaitre publiquement le Non du signataire de l’ordre de mission de la rébellion et partant le ou les financier(s).

*- La goutte d’eaux : Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

« SI MIEUX VAUT PREVENIR ? A LIRE ABSOLUMENT »

*- Une loi d’Amnistie législative ne tiendra pas la route vers la paix sociale, elle sera comptable de son infériorité.

Hélas, milles fois hélas, nous constatons en prélude des élections de 2020, les mêmes conduites loufoques et les mêmes comportements roublards d’auto-tromperies et d’auto-leurre comme avant les élections bâclées de 2015. C’est un signe qui ne trompe pas en politique Africaine. Si l’ivoirien ne prend garde dès maintenant, 2020 sera la pire répétition de 2010-2015. Nous assistons à des stratégies glauques et funestes de tromperies, les maitres escrocs intellectuels et moraux ont encore étalés leurs tapis visqueux dans l’arène politique. Donc il est temps d’ouvrir les yeux pour voir la réalité ivoirienne, la grande fracture sociale dans notre république, qui apporte de nouvelles chaînes de division pour pouvoir régner dans le temps, quelques soit le coût en vie humaine. Il est temps d’ouvrir les yeux pour voir une mafieuse cohorte lamentable de politicards avancé mains dans les mains, claudiquant vers une destination qu’ils aiment appeler la terre promise en 2020. Et chemin faisant les funestes coups de poignards dans le dos ne manquent pas, le serpent à sonnette caressé par méprise s’est mis à mordre dans tous les sens ses alliés d’hier, chacun étant prêt à éliminer son compagnon de route, comme dans un western mexicain ou le « Tout pour moi, Rien pour les Autres » est la règle. Mais n’empêche, tout de même la destination s’appelle la terre promise en 2020 ou les derniers survivants de la cohorte lamentable célébreront la fête de mariage de l’Eau avec le Feu, sur la terre de nos ancêtre en côte d’ivoire, avec comme témoins le Grand Satan et le Diable nébuleux, puisque Jésus et Mahomet seront en congé dans une côte d’ivoire désormais au couleur du sang humain. Le « Pas une seule goutte de sang humain versée sur le sol ivoirien décrété par Félix Houphouët Boigny » semble devenu un vain mot. Diantre ! Que la nature maudit ce système inhumain et dégradant, sadique et pervers, manichéiste et sangsue, pour que l’ivoirien retrouver la voie salvatrice de Félix Houphouët Boigny,  pour aller à la paix sociopolitique dans le respect scrupuleux des différences quelles qu’elles soient.

*- Qu’on le veuille ou non, une vraie réconciliation débarrassée des scories passéistes est la seule solution.

Oui, il n’y a qu’une seule solution durable pour la crise ivoirienne, une vraie réconciliation nationale pyramidale dans un processus irréprochable balisé dont le peuple souverain serait le gendarme gardien de la paix et la garantie juridique. C’est vrai, nous en convenons qu’une réconciliation nationale sans la Bénédiction et le Regard approbateur de la France ne serait que hypothétique. Parce que si nous quittons sous le soleil de midi, pour arriver sous la lumière de Lune, la France « La Mère Patrie » a un droit légal de regard héréditaire et atavique sur les affaires ivoiriennes. Mais malheureusement ou heureusement cela dépend, se regard est changeant en fonction des représentants légaux de la France et en fonction de sa perception par les représentants légaux de côte d’ivoire, tout est lié. C’est  pourquoi si nous analysons le couloir initial d’évolution idéologico-politique des représentants actuels de la France de 2017. La France du 7 mai 2017, tout comme la France du 06 mai 2012, ne pouvait pas avoir la même attitude dans la crise ivoirienne que la France de 2010, c’est une évidence jusqu’à preuve du contraire. La France de 2000  « Jospin » n’a-t-elle pas insisté que, si GBAGBO est vraiment élu au terme démocratique et constitutionnel  de l’élection présidentielle de 2000, qu’il faut qu’il soit président ? « L’appel à l’intervention ou au témoignage dans une affaire Intérieure, légalise l’ingérence de fait ». Donc tous ensembles allons à la vraie réconciliation nationale, la France d’aujourd’hui est supposé soutenir la position du peuple souverain dans sa quête légitime de paix, au cas contraire le peuple ivoirien avertira de droit. Répétons le processus de la vraie réconciliation nationale, 1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques, 3)- Ouvrir le dialogue social sincère 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain, 5)- Couronné le tout par une Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de Oui. Nous avons toujours dit et répéter, l’ordre social est à ce prix. Qu’on le veuille ou non, qu’on ose ou non, une vraie réconciliation débarrassée des scories passéistes est la seule solution. Une loi législative d’Amnistie ne tiendra pas la route vers la paix sociale, elle sera soumise aux autres normes juridique qui la sont supérieures, en droit les normes juridiques sont graduées. Les règles de droits écrites qu’elles soient communautaires, internationales, ou nationales s’ordonnent dans leurs applications selon une hiérarchie. Le principe étant qu’un texte de catégorie inferieur est toujours subordonné au texte de catégorie supérieure et ne peut donc y déroger, l’inferieure demeure tenue en l’état. La hiérarchie des normes universellement admise commence par les normes juridiques issues de la souverainété populaire des état, qui est le socle de la communaité internationale. Cette Hierarchie se décline comme suit:

*- La norme constitutionnelle. "Par la force indéniable de la souverainéte populaire"  *- Ensuite les normes du Droit international. « Lui-même hiérarchisé en cinq (5) grades ». *- 1)- Les normes du droit international coutumier. « Le droit des droits » *- 2)- Les normes du droit international des droits de l’homme. « Le droit sans frontière » *- 3- Les normes du droit international général. « La réciprocité »  *- 4- Les normes du droit international communautaire. *- 5)- « Les accords internationaux liants au moins deux (2) états » *- Et en dernier des grades les normes nationales internes « les lois législatives ordinaires à disposition normative abstraite».

*- il est constant que la cour pénale internationale (CPI entend s’immiscé dans la résolution de la crise ivoirienne.

Donc la règle actuelle est que, les normes constitutionnelles, ont une valeur supérieure sur le droit international dans l'ordre interne des états souverains, notamment en France « Les  jurisprudences ». Mais la suprématie des traités ou accords internationaux sur la loi législative nationale ordinaire, même postérieure est de rigueur. Parce que la loi ordinaire interne législative est une disposition normative abstraite, hiérarchiquement soumise à la règle de supériorité des normes. Or l’objet d’une Amnistie post-guerre quelle qu’elle soit, est de tourner une page sombre pour aller à la réconciliation, à la paix sociale. Et ici il est constant que la cour pénale internationale (CPI) saisie par une voyoucratie politique qui a déjà déporté des ressortissants ivoiriens, entend s’immiscé dans la résolution de la crise ivoirienne avec pour support juridique un traité international d’adhésion (le traité de Rome)  qui est supérieure à une loi ordinaire nationale législative à disposition normative abstraite. Et pourtant une loi adoptée par referendum (loi référendaire) est de valeur constitutionnelle donc supérieur au traité de Rome, fondateur de la cour pénale internationale (CPI), sinon elle à la même valeur juridique dans la hiérarchie des normes juridiques, que la constitution. Elle échappe même au contrôle de constitutionalité du juge constitutionnel en vertu de la souverainété populaire et c'est droit.

*- Au regard du droit international, une loi d'amnistie législative est considérée comme nulle et non avenue.

Donc une loi d’Amnistie législative à disposition normative abstraite voté par un parlement élu par moins de 20% des électeurs ivoiriens, hormis sa carence patente dans la hiérarchie des normes juridique qui gère son objet, elle ne serait pas reconnue par les 80% des électeurs abstentionnistes aux cours des votes législatifs qui ont enfantés ce parlement votant de l’Amnistie. Ce serait donc un leurre qui s’apparenterait à une autoamnistie, donc contre-productif dans le temps futur face aux ambitions d’immixtion de la cour pénale internationale « CPI », dont le substrat juridique est un traité international d’adhésion qui lui est supérieur et dans l’espace de l’assiette territoriale nationale, face aux victimes et aux parent des victimes qui se penseront bernés. Et surtout ce serait la continuité des mêmes crimes de sangs, des mêmes Hold-up économico-financier et électoral, ce serait la continuité de la même voyoucratie de politicards dans l’arène politique ivoirienne. Au regard du droit international, une telle loi ordinaire d'amnistie législative est considérée comme nulle et non avenue. Donc la cour pénale internationale (CPI)  et l’ensemble des juridictions internationales appliquant du droit international, transcenderont facilement et de droit une telle loi ordinaire d’Amnistie législative voté par un parlement non-représentatif de la totalité sociale ivoirienne dans son entièreté. Donc pour notre part nous adhérons à tous processus de réconciliation nationale, mais pas à n’importe quel processus de validation juridique de l’Amnistie qui en résulte. Le droit de validation doit rester au peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état et seul Gendarme qui surveille son vote et garantie la validité d’une Amnistie référendaire post-guerre.

*- Des exemples de par le monde ou les lois d’Amnisties législatives n’a pas tenue la route vers la paix sociale. 

Pour exemple : En Argentine deux (2) lois d’Amnistie législatives ont été voté par les généraux argentins. La loi d’amnistie dit du point final en 1986 et la loi d’Amnistie législatives dit de l’Obéissance due en 1987, pour interdire les poursuites au pénal contre les généraux de la dictature. Mais ces lois d’autoamnistie n’ont pas résisté au droit international. L’Argentine sous la pression de son opinion publique criant a l’autoamnistie et du comité des droits de l'homme des Nations unies, a été conduit, en septembre 2003, à transcendé ces lois d'amnistie législatives suscitées, (loi du «point final» de 1986 et loi de «devoir d'obéissance» de 1987) qui exonéraient de toute sanction pénales les responsables militaires de la «sale guerre» conduite par la dictature argentine de 1976 à 1983 et d’ouvrir les procès de la dictature. Or cela ne pouvait pas se faire face à un acte souverain, du peuple souverain au terme d’une Amnistie générale référendaire, pour les crimes commis en argentines et sur des Argentins, sauf a redemander au souverain Argentin de se dédire au terne d’un autre referendum, ce qui n’est pas une posture de peuple souverain, sauf cas de récidive.

Au surplus d’autres exemples sont là de par le monde pour dire qu’une Amnistie législative n’a jamais été une solution réelle et durable à une crise sociale de la totalité.

*- En Bolivie, la dictature de 1964-1982 a adoptés une loi d'amnistie législative daté de 1982. En 1986, des poursuites ont été engagées contre l'ex-dictateur Garcia Meza et son ministre de l'intérieur Luis Arce Gome . Ils ont été condamnés à 30 ans de prison en 1992. La loi d’Amnistie législative n’a pas tenue la route. 

*- Au Chili la dictature, de 1973-1989. Une loi d'amnistie législative a été votée en1978 sur proposition du général Pinochet lui-même. Mais Plusieurs dirigeants ont néanmoins été jugés et condamnés, dont le chef du service de renseignements, le général Contreras. Le général Pinochet lui-même mis en procès n'a pas été jugé au Chili avant sa mort en 2006 et la justice a arrêté, par la suite plus de 100 militaires et policiers pour complicité dans les violences sous sa dictature. La loi d’Amnistie législative n’a pas tenue la route. 

*- Au Paraguay: la dictature, 1973-1985, Deux lois d'amnistie ont été votée en 1984 et 1990. Mais Alfred Stroessner a été Condamné par contumace en 1992 pour crimes contre l'humanité et atteintes aux droits de l'homme il est mort en 2006 à Brasilia. Les  lois d’Amnisties législatives n’ont pas tenue la route. 

*- Au Pérou:  En 1995, une loi d’amnistie controversée a été adoptée sous le régime d'Alberto Fujimori qui a amnistié les membres des forces de l'ordre faisant l'objet d'accusation ou de condamnation pour violations des droits de l'homme, commis au nom de la lutte contre la guérilla. Mais en avril 2009, l'ex-président Fujimori a été condamné à 25 ans de prison pour crimes contre l'humanité et le chef du Sentier Lumineux Abimaël Guzman avait été déjà condamné à la prison à vie en 2006. La loi d’Amnistie législative n’a pas tenue la route. 

*- En Uruguay: la dictature de 1973-1985 a fait voter une loi d’Amnistie en 1986. Mais en avril 2009, une pétition a réuni suffisamment de signatures pour annuler par référendum populaire cette loi d'amnistie qui a ouvert la voie des poursuite contre l'ancien dictateur Juan Maria Bordaberry  (1973-1976) reconnu coupable du meurtre de 37 Uruguayens, et a été condamné à 25 ans de prison. La loi d’Amnistie législative n’a pas tenue la route. Il y a des milliers d’autres exemples à travers le monde.

*- Si toute ces lois d’Amnisties législatives avaient été des lois référendaires aucune poursuite ne pouvait prospéré face à la souveraineté populaire du peuple sauf a redemander au souverain de se dédire  au terme d’un autre referendum ce qui prospère rarement  face aux peuples souverain sauf récidive des mêmes faits. Ça c’est pour les exemples de notoriétés publiques. Maintenant pour notre Afrique nous nous contenterons du seul exemple du Président Laurent Gbagbo bien qu’elles sont lésions ces lois d’Amnistie législatives en Afrique.

*- En côte d’ivoire il y a déjà  des antécédent d’Amnisties législatives voté au mépris de la souveraineté populaire qui n’ont rien résolus dans la crise ivoirienne. Le Président Laurent Gbagbo avait déjà consenti à une loi d’Amnistie législatives en 2007, couvrant la plupart des crimes commis par les ivoiriens au cours de la guerre de 2002 à 2007, afin de faciliter le pardon et la réconciliation nationale a-t-on allégué. Ainsi ont été amnistiés « les infractions contre la sûreté de l’Etat et la Défense nationale, commis par les rebelles qui ont déclenché la  guerre  » ainsi que les « faits relatifs aux opérations de défense des Institutions républicaines menées par les Forces de Défense et de Sécurité, dans leurs légitime défense. » Des faits qui ont entrainé plus de 4000 morts. Cette Amnistie générale n’a pas empêché la guerre postélectorale avec pratiquement le même nombre de morts à ce jour. Parce que le peuple n’a pas été informé des raisons qui ont rendues la guerre possible en 2002 et du but visé par cette Amnistie générale. Donc tenu à l’écart de ce processus le peuple souverain ivoirien n’en était pas caution et cette loi d’Amnistie législative ne tenait qu’à ses auteurs. Elle n’avait aucune caution légitime, aucune garantie souveraine, aucun substrat de droits défendables, d’où la crise d’aujourd’hui.

*- Le but politique de l’imprescriptibilité vise à assurer la paix sociale internationale et la sécurité de l’humanité.

En droit international il ne convient pas d’aller à l’encontre de ce qu’un peuple souverain à unanimement décidé souverainement au terme d’un vote référendaire populaire. Parce que la volonté du peuple souverain dans la recherche de l’ordre social, de la stabilité sociopolitique et de la paix pérennes substrat de l’existence de toute entité sociale humaine fermement exprimer dans une Amnistie générale référendaire par le peuple souverain dans son entièreté est opposable à tous, états, institutions internationales, et personnes humaines, elle est au-dessus de tous les droits positifs, parce que ressortissante du droit international coutumier « le droit des droits ». Et s’impose à la politique de l’imprescriptibilité des crimes contre l’Humanité. Dont le but politique même vise à assurer la pérennité de l’ordre social, de l’ordre de la stabilité sociale humaine, la sécurité de l’humanité et la paix internationale. Donc sauf à vouloir troubler l’ordre social dans une nation souveraine devenue paisible, « elle » Amnistie générale référendaire consentie par le peuple s’impose à tous. Donc après le vote référendaire, tout ce qui ivoiriens oseront tenter la ré-commission répéter des faits criminels Amnistiés affronteront le droit inaliénable du peuple souverain de côte d’ivoire à l’insurrection populaire, pour protéger sa souveraineté. Aussi tous ceux, au nom d’une quelconque justice pénale oseront troubler l’ordre social par la réactivation des faits criminels Amnistiés, auront cherché le peuple souverain de côte d’ivoire et le trouveront automatiquement dans sa souveraineté entière sur la terre de nos ancêtres. Advienne que pourra.

*- L’unique porte de sortie de guerre déclenchée en 2002 pour la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

Donc au vue de tous ce qui est suscité, pour une fois, vraiment pour cette fois, il faut des ivoiriens côte-à-côte et coude-à-coude, tous ensembles dans une action synergique pour la réconciliation nationales, pour la paix sociale pérenne, osons faire du Sérieux au terme d’une vraie réconciliation nationale couronnée par une populaire Amnistie générale référendaire dans un processus pyramidal irréprochable qui résiste à la récupération politique des politicards comme nous avons toujours dit et répéter. 1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques, 3)- Ouvrir le dialogue social sincère 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain, 5)- Couronné le tout par une Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de Oui. L’ordre social est à ce prix, la stabilité sociopolitique est à ce prix, l’Harmonie communautaire est à ce prix, la paix sociopolitique Houphouët-ienne est à ce prix. Il n’y a pas deux postulats. C’est l’unique porte de sortie de crises post-guerre pour la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Et après tout qu’il soit loisible pour tout ivoirien désiré de conquérir le pouvoir d’état légalement par les urnes électorales du suffrage universel, de le faire individuellement, ou au titre d’un parti politique, ou au titre d’un groupement de partis politiques ou même dans un mouvement politique citoyen. Sans aucune entrave, dans la forme légale admise et dans le respect des droits, libertés, et règles de jeux. Mais pour le moment la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a besoin de sincérités, de sérieux, de concrets, de concis et de vérités nues et crues, pour aller à la paix sociopolitique. Tout comme le pansement d’une plaie puante, la rébellion doit être expliqué sans mensonge aucune au peuple souverain, ça fera mal certes, mais la plaie guérira, la blessure se cicatrisera. Un étudiant de 29 ans qui n’a jamais travaillé et sans attache militaire au paravent, donc sans aucun moyen financier, qui créer une rébellion ? Non ! Nous ça nous donne l’indigestion et le peuple souverain se trouve insulter, parce qu’il a le droit inaliénable de connaitre publiquement le Non du signataire de l’ordre de mission de la rébellion et partant le ou les financier(s). Si les initiatives de réconciliations que nous trouvons très bonnes, et que les ambitions manifestées pour la réconciliation nationale sont sincères, honnêtes et les volontés milles fois manifestés sont sérieuses, elles ne peuvent faire l’économie d’une contrition et d’une repentance explicative devant le peuple souverain et par la suite elles ne peuvent se passer du vote populaire d’une Amnistie référendaire. Et la côte d’ivoire en sortira restaurée et grandit. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

*- La goutte d’eaux : Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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