Pour que le Bateau du progrès commun reprend la voie royale vers le développement économique et social au service du citoyen et de tout homme

Extrait d’une tribune de : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

La seules chose que les nouveaux dirigeants ivoiriens ont pu obtenir a ce jour dans le concert des notions, c’est de faire de la côte d’ivoire candidate admise avec mention très bien au PPTE « pays pauvre très endetté, c’est à dire un pays misérable qui mérite qu’on lui fait don de ses dettes » qui est d’ailleurs le résultat des plaidoyers du président GBAGBO a la faveur du fardeau de la guerre, aussi l’autosatisfaction et la fierté qu’ils tirent des endettements éhontés auprès  de leurs maitres, la mafia des grands usuriers internationaux, dettes que le peuple ivoirien devrait payé sur plusieurs générations et qui sera la source des futures crises économiques en côte d’ivoire. Aujourd’hui, notre société, notre peuple, la terre de nos ancêtres vit un moment historique de changement politico-économico-social imposer par la force des armes des conquérants venus du Burkina Fasso, dont nous ne savons pas encore, si nous saurons empêcher qu’il tourne à de nouvelles tragédies politico-sociales dans notre pays, la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY dans les temps a venir. Mais nos dirigeants conquérants piloté par un dirigiste aveuglé par le pouvoir d’état et assis sur un communautarisme de rattrapage comme support politique ont l’esprit ailleurs, sinon dans leurs poches, pour faire de quelques uns des multimilliardaires. Eh bien la société ivoirienne, le peuple ivoirien ne saurait se balkanisés sur la base du communautarisme, donc ils ont le temps avant que la catastrophe d’un soulèvement populaire ne les rattrape. Leurs sales guerres de conquérants faites a la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY et  la crise de la totalité sociale ivoirienne qui en résulte, a eu le mérite dans l’ensemble depuis le 24 décembre 1999, de soulever, de révéler, de dévoiler, d’exhiber et de faire ressortir toutes les grandes questions structurantes qui ont été le moteur et au départ de l’espérance ivoirienne, c’est à dire :

*1)-que tout ne doit pas être marchandise, y compris l’honneur et la dignité humaine, *2)-que tout ne doit pas être fond de commerce d’où il échait de demander le prix de tout ce qu’on veut en politique *3)-que tout ne doit pas être hypocrisie et fourberie pour se remplir les poches de deniers publics, *4)-que tout ne doit pas être de la fanfaronnade funeste pour arrivée a ses fins d’escroqueries intellectuelle et morale en politique, *5)-que tout ne doit pas être démagogie politicienne pour leurrer le peuples souverain, *6)-que tout ne doit pas être chantage, intimidation, mensonge et manipulation dirigiste, *7)-que tout ne doit pas être obscurantisme sectaire et mégalomanie pécuniaire, *8)-que tout ne doit pas être tromperie dans l’arène politique, *9)-que tout ne doit pas être gouverner par le bien matériel et l’argent dans l’espace public, avec des comportements de ballon de basket qui peut taper au visage de n’importe qui *10)-que l’intérêt général ne saurait se dissoudre dans les intérêts particuliers, égoïstes, égocentriques et catégoriels des intérêts mafieux extérieurs des grands usuriers internationaux, servi par un Boys de luxe, *11)-que la nature de l’homme qui nait avec des droits inhérents et rattacher a la personne humaine, est bien trop sérieuse, bien trop précieuse a l’humanité pour être entièrement livrée aux intérêts particuliers et catégoriels des aventuriers guérilléros venu du Burkina, *12)-que le droit du citoyen ne saurait être soldé éternellement sur l’autel de la dictature des armes au nom d’une hypothétique paix sociale, *13)-que le pouvoir ne saurait être confisqué uniquement parce qu’on possède des hommes en armes près à zigouillés du citoyen. *14)- que le fusil ne saurait être le socle de valeur en politique au pays du sage d’Afrique FELIX HOUPHOUET BOIGNY *15)-que la démocratie est un apprentissage des limites passionnelles et de l’autocontrôle des impulsions égocentriques dans l’action, *16)-qu’elle est aussi le respect de la diversité sociopolitiques, de la démocratie pluraliste, de l’altérité soutenue par des normes juridiques, tout en admettant l’autre comme son égal en droit et devoir, *17)-que le vrai dialogue commence lorsque l'on accède à la singularité de l'autre et que l'on perçoit ce qui fait sa spécificité, derrière les stéréotypes et l'admettre ainsi dans son originalité absolue a intérieure de l’égalité de tous . Alors que la montée actuelle des discours sur les différences culturelles, ethniques « communautarisme de rattrapage» ou religieuses « Le nord ivoirien musulman » conforte le risque que ces affirmations communautaristes, poussées à l'extrême du rattrapage, rendent tout dialogue impossible. *18)-qu’il s’agisse du pouvoir d’état ou du pouvoir de l’argent obscurantiste du dirigiste aveuglé par le pouvoir d’état, qui tous deux doivent être entravés par l’action synergique citoyenne, *19)-que la vraie politique scientifique est un noble art, une science exacte (1+1) qui s’exerce dans un concert de débat d’idées idéologiques, d’oppositions conceptuelles, d’argumentations contradictoires qui proscrivent tout égoïsme, tout  égocentrisme, toute défense d’intérêts mafieux extérieurs et de toute personnalisation communautariste de l’exercice politique. *20)-que c’est la citoyenneté commune reconnu et respecter par tous qui permet de gérer politiquement une société commune.

Citoyens !!!  Voici les voies d’espérances  que la crise de la totalité sociale nous indique. 

Nous avons toujours dit et redit que ce qu’il nous faut en côte d’ivoire ou toutes les valeurs sociétales ont été soldé, c’est l’espérance pour surmonter les écueils sociopolitiques à nous imposé par des conquérants carriéristes pathologiques. Parce que la plus haute forme de l’espérance d’une société en crise comme la notre, c’est le désespoir surmonté synergiquement par le peuple souverain. Et pour un peuple souverain, cela est d’abord compter sur soit même et compter sur sa propre capacité à réguler le fonctionnement de sa propre société, malgré les grands risques. Nous vivons aujourd’hui en côte d’ivoire sous un pouvoir dirigiste aveuglé par le pouvoir d’état, et soutenu par une mafia internationale des grands usuriers internationaux et par un lobby de presse international intéressé et aux propagandes monnayables, qui a un seul but, faire de quelques uns de sa fratrie des multimilliardaires grâce aux deniers publics et qui est solidement fixé sur un socle politique de communautarisme de rattrapage, qui fait tout ce qui est en son pouvoir pour détruire le sens de l’espérance ivoirienne, qui il le sait, sonnera a coup sûr sa fin, au point que le simple emploi de ce terme sur des sujets sociopolitiques très sensibles, notamment la participation de toutes les sensibilités politiques a la vie politique de la côte d’ivoire, la réconciliation nationale, la reconnaissance de l’autre dans son originalité absolue a l’intérieur de l’égalité de tous, semble incongru ou naïf. Parce que son crédo c’est de diviser pour pouvoir régner. Pourtant, l’homme est avant tout un être d’espérance « pays de l’espérance y est inscrit en bonne place dans l’ABIDJANAISE ». Le pouvoir dirigiste de Ouattara aveuglé par le pouvoir d’état et assis sur un communautarisme de rattrapage son socle politique, le sait très bien et pour contourner cet espace de liberté d’actions citoyennes, il conduit cet élan fondateur de liberté d’actions citoyennes sur des terres moins dangereuses pour lui et son pouvoir, parce que moins denses : l’économie dirigiste, le pouvoir d’achat, le confort étatique, les faux taux farfelu de croissance économique ou la sécurité en désignant des déstabilisateurs par tout.

Certes ce sont des points importants qui font pleinement partie de la mission des dirigeants politiques, mais on ne peut réduire la vision de l’avenir d’une société en crise depuis le 24 décembre 1999 comme la notre « société ivoirienne » à une simple équation économique dirigiste ou sécuritaire. Ce détournement par le  pouvoir dirigiste de Ouattara aveuglé par le pouvoir d’état et assis sur un communautarisme de rattrapage comme socle politique, de notre espérance commune sur des questions de gestion économique quotidienne masque définitivement la réalité de l’instabilité sociopolitique criante par exclusion de fait de certains ivoiriens et de la paupérisation totale dans laquelle les ivoiriens vivent aujourd’hui en côte d’ivoire, avant la misère de demain, quand il s’agira d’honorer le paiement du éhonté surendettement dirigiste d’aujourd’hui par Ouattara: Donc voilà ces dirigeants politiques conquérants n’ont pas d’idées sur l’avenir de la côte d’ivoire, il ne portent plus de projet de société, mise a par, les projets qui permettent l’enrichissement illicite pour faire de quelques uns de leurs fratrie des multimilliardaires et le projet de conservation/confiscation du pouvoir d’état dans le sang qui ne cesse de couler chaque jour sur notre sol autrefois béni jusqu’au 24 décembre 1999. Ils reconnaissent eux-mêmes cette stupéfiante carence absurde en demandant au peuple martyrs d’attendre encore des années pour voir pointé le bout du tunnel de la paupérisation et de la vie chère, simple tromperie et escroquerie intellectuelle et morale d’un habituer atavique obscurantiste a ce genre d’œuvre: sous son règne la réalité de l’exercice de tout pouvoir d’état appartenant désormais à l’économique dirigiste qui a nécessité l’assujettissement du parlement pour une gouvernance par ordonnance, pour éviter ainsi le regard même docile des parlementaires (flêkê-flêkê) qui ne peuvent même pas songer a la non-ratification d’une ordonnance provenant de leur dieu le grand quelques soit sont contenu.

Or c’est à travers l’action plurielle conjuguer des institutions républicaines, démocratiques et politiques que peut s’exprimer le débat démocratie et faire vivre l’état de droit. Il n’existe pas un bonheur économique, social et démocratique dans une dictature de l’économie dirigé. Or il doit y avoir uniquement une démocratie pluraliste et une économie qui doit être non téléguidé vers des intérêts mafieux extérieurs des grands usuriers internationaux, donc une économie aussi pluraliste, qui peuvent certes souvent être vacillantes dans nombre de moment difficile, mais toujours légalement présente, dans l’action institutionnelle et politique de l’état de droit. L’allégeance du pouvoir législatif ivoirien au pouvoir exécutif ivoirien dirigiste gardien des intérêts des grands usuriers internationaux, en côte d’ivoire est donc aussi l’allégeance de la démocratie ivoirienne à l’économique dirigiste imposer a la tête de la côte d’ivoire et qui est gardien des intérêts des grands usuriers internationaux en côte d’ivoire et vive la misère de demain comme entre 1980 et 1990.

 Si la liberté de l’économie dirigiste s’attaque à la liberté des citoyens, n’est-il pas normal de trouver un équilibre citoyen entre les besoins de chacun et d’équilibrer les rapports de force ? N’est-ce pas l’exemple même des théories économiques ? Si la liberté était un bien économique, ne nous dira-t-on pas que l’intérêt de chacun fera en sorte que l’économie dirigiste s’équilibre de lui-même ? Il n’en est pourtant rien, la pratique contredit la théorie, et donc l’invalide. Donc non ! La côte d’ivoire ne doit pas entrer dans cette chambre a gaz du dirigisme économie préconstruite par une politique d’un pouvoir dirigiste aveuglé par le pouvoir d’état et assis sur un communautarisme de rattrapage comme socle politique. C’est là aussi un sujet d’espérance qui doit préoccuper le citoyen : on ne peut pas enfermer l’ivoirien dans une prison de morts programmé par un système dirigiste. Face à cette dictature d’idéologie dirigiste forte d’un argumentaire puissant véhiculé par les grands usuriers internationaux et soutenu par un lobby de presse international intéressé et aux propagandes monnayables pour le contrôle effectif des leviers du pouvoir en côte d’ivoire, il ne reste que deux attitudes pour le citoyen ivoirien: la résignation fataliste ou l’espérance citoyenne. La résignation c’est se soumettre à l’arbitraire en abandonnant ses droits, ses libertés et son libre arbitre. L’espérance c’est résister contre vent et marrée, l’espérance est une arme contre laquelle une idéologie dirigiste quelques soient ses soutiens extérieurs, ne peut rien contre la volonté des citoyens décider a prendre leurs destins communs en mains, l’histoire l’a clairement montré.

L’espérance n’est pas une idéologie, n’est pas une théorie politique, n’est pas un parti ou une personne. L’espérance est une attitude de liberté d’action, de libre arbitre. En introduisant un acte de liberté sous la forme d’une parole libératrice, d’une action libératrice, entre des comportements que nous avons l’habitude d’accepter passivement et notre conscience qui se réveille tout d’un coup face a l’arbitraire, nous établissons un espace mental indépendant et d’espérance. Ainsi nous disons que, nous ne sommes pas vassaux du présent d’une dictature dirigiste moribond ou de ce futur imposé par une idéologie économique dirigiste pour nous assujettir aux caprices des grands usuriers internationaux, mais que nous sommes assez éveillés pour penser de nous-mêmes et oser un notre avenir autrement. Ce avenir autrement n’est pas une idéologie mais une constatation qui tient de l’évidence : c’est à partir des personnes que se construit l’avenir, c’est à partir de la solidarité des personnes que se bâtit la réalité du quotidien, c’est à partir de la société commune que s’exerce de fait une prise de pouvoir de l’espérance à travers une action synergique concrète, c’est dans l’union de tous « un tous ensemble » que les citoyens seront capable de faire pièces a la dictature dirigiste, c’est a dire lutter tous ensemble ou périr cloitré  dans son coin derrière son égo chacun de son côté,  ainsi que la progressive unification des différents combats politiques, citoyens, sectoriels, pour la Vie, pour l’homme et la liberté. Donc en clair c’est un acte d’insurrection de la pensée citoyenne et de la volonté citoyenne, un acte citoyen de libération de l’avenir, un combat citoyen pour le destin de chacun. Alors que le pouvoir dirigiste gardien des intérêts mafieux des grands usuriers internationaux soutenu par un lobby de presse international intéressé et aux propagandes monnayables fait tout ce qui lui est possible pour nous convaincre ou nous dire que l’avenir est déjà décidé par des puissances économiques dirigistes.

Pour la légitimité citoyenne, mouvement politique d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicaine sociale convaincue, totalement indépendante, et surtout Houphouetiste enragée » Cette lutte nécessaire est tout sauf un jeu de rôle ou une réaction sentimentale. C’est une rupture mentale entre la réalité et le rêve, entre le poids de ce qui est et tout ce qui peut existé que nous revendiquons. Ce que nous voulons c’est ouvrir le regard vers l’avenir et dire que non seulement un vivre en commun est possible en l’abscence toute loi des armes, mais qu’en plus, nous commençons à apprendre, à voir ce vivre en commun, grâce aux tueries devenus ludiques des fantassins de Ouattara, pour le faire exister. Cette vie en commun est la terre sur laquelle on bâtit les empires, sans tuerie quasi-quotidienne aucune des hommes armés. Nous les habitants de la Côte d’Ivoire, pour ne pas dire uniquement nous les ivoiriens, confrontés à un ensemble de violation sans précédent des droits fondamentaux de la personne humaine, et des libertés fondamentales, ainsi qu’à des défis devenus politico-économiques. Nous devons espérer en une société qui fait du respect de tous les aspects de la vie humaine, la valeur fondamentale sur laquelle doit être construite toute politique, toute société, toute économie, tout développement, toute relation entre personnes, toue relation entre gouvernants et gouverné consentants et toute relation entre nations souveraines. Et le bateau du progrès commun reprendra la voie royal voulu par FELIX HOUPHOUET BOIGNY vers la lumière du développement économique et social au service du citoyen et de tout homme et du développement politique destinée à rendre la raison à la nécessité populaire.

Voici la voie d’espérance citoyenne que la crise de la totalité sociale ivoirienne nous indique.

De Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr