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30 octobre 2023 1 30 /10 /octobre /2023 12:59
Lepetitfils ; Une société ivoirienne, qui admette sans faux fuyant, l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, mais la côte d’ivoire n’est plus elle-même. Il nous faut un système de régulation juridique et démocratique. Il nous faut un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. L’organisme électoral Non-Autonome et Non-Apolitique dit CEI, version passeur de ballon au pied du pouvoir, ne rassure personne.

Lepetitfils ; Une société ivoirienne, qui admette sans faux fuyant, l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, mais la côte d’ivoire n’est plus elle-même. Il nous faut un système de régulation juridique et démocratique. Il nous faut un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. L’organisme électoral Non-Autonome et Non-Apolitique dit CEI, version passeur de ballon au pied du pouvoir, ne rassure personne.

«Entre guillemet soulignons ce qui suit ici : «On peut changer mille fois ou dix milles fois les acteurs politiques et les pions politiques, les dirigeants des partis politiques, a la recherche des oiseaux rares, on peut aussi changé mille fois ou dix milles fois de Gouvernement avec les mêmes ministres, rien ne changera, rien ne bougera. C’est le système qui est en cause. Parole du Leader de la LC_CRS, parolier des citoyens, analyste politique, chroniqueur politique, tribunicien politique, parmi tant d’autres. Nous ne sommes ni in-formeur, ni informateur, nous sommes une sensibilité politique, doublement centriste républicain social, respectueux des principes du débat démocratique, guidé par un idéal sociétal, nous opérons que dans le politiquement conventionnelle, de sorte que, quand nous disons qu’une gouvernance est une déliquescence systémique, qu’une gestion des affaires publiques est une dégénérescence sociale, qu’un pouvoir déviant sent le déchet toxique, la cocaïne, le copinage, le clanisme de voleur endurci, qui sont tous une malédiction pour le pays, ceci ne sont soumis qu’à l’appréciation et à la contradiction démocratique du destinateur exclusif qu’est le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir». *-*-*- Retenons que quelques soient ses supports, nos analyses ont pour but d’éveiller les consciences, donc de faire comprendre, d’éclairer les lanternes, donc de faire savoir, de débattre des faits sociaux pertinents qui demande régulations, donc d’être parolier du citoyen, de convaincre les réticences citoyennes, donc d’être large et clair, d’agiter des idées, donc de provoquer la contradictions systémique qui fait germer le réel en espérant la prise des mesures collectives,  d’orienter les réflexions citoyennes, donc d’opposer nos vues et nos voies, que nous jugeons meilleures pour la totalité société souveraine au jugement collective, de soulever les problèmes quand il le faut, donc déplaire au pouvoir et aux puissants, d’où les gouvernants seront obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants, d’étayer dans le moindre détail, donc ne pas faire dans la dentelle, dans le litote en se passant du succincte. Nous sommes peut-être prolixes, parce que nous savons où nous allons, et une destination sérieuse doit être expliquée. Le présent texte ci-dessous participe de cette ambition mille fois légitime et légale ».

*-Chronique «KOUMA» Pour les élections ivoiriennes il faut Proscrire l’accompagnement et l’accompagnateur et mener la politique de la chaise vide.

Un homme public ne se tait jamais tant que l’essentiel sociétal de la société dans laquelle il vit est en jeu. Ceci est notre bréviaire. C’est pourquoi nous avons parlé, et que nous parlons, et nous allons toujours parler. Et on ne le dira jamais assez, Bordèlisée et prostitutionnalée, la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny, a perdu ses repères sociétaux, elle a besoin de sauvetage national, de réglage consensuel synergique et de régulation sociopolitique désintéressée d’intérêt public, tous ensembles. Oui, tous ensemble, Hormis les mange-mils, véritables sangsues branché a la mamelle de la pauvre côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny qui s’exsangue. Oui, nous avons parlé, et que nous parlons, et nous allons toujours parler, parce que pour la côte d’ivoire le citoyen à le devoir de protection des mœurs, de rééquilibrer la balance sociale de la représentativité et d’orienter la mesure de valeur sociopolitique, qui ne doit pas être les fusils des fantassins vainqueur d’une guerre d’agression. Encore moins Dieu l’argent qui n’a plus d’odeur ni de couleur même la couleur rouge du sang Humain ne le décolore plus en côte d’ivoire. Donc parlons pour changer notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, et osons prendre le taureau par les cornes et surtout évitons les vaines polémiques stériles et sans intérêts, qui ont fait la notoriété de certains carriéristes pathologiques, arrivistes renégats et zéro-pointé dans la vie sociopolitique ivoirienne. Et qui ont permis à certains politicards mafieux d’arrivée à leurs fins dans les Brouhaha, les brouillaminis et les embrouillaminis sociopolitiques et du contentieux électoral en avril 2011.

Oui, le schéma stratégique actuel du pouvoir d’Abidjan consiste à ne rien céder au mépris du droit et en dépits des règles est en conformité avec celui de 1999-2002 à 2011, ou la mesure de valeur sociale est resté aux fusils. Il nous faut parler pour changer notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny.  Il nous faut mener des actions synergiques, tous ensembles dans le respect des différences sociopolitique. il nous faut l’union de tous dans les actions synergiques citoyennes qu’exigent ce changement espéré. Cela  pourra permettre à notre pays en dégénérescence sociopolitique de retrouver les repères d’autrefois d’un état de droit, d’une république véritablement républicaine et d’une démocratie moderne, qui cadre bien avec la vie politique et avec la vie publique du 21ème siècle. Il nous faut un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. Il nous faut donc, construire tous ensemble une majorité populaire électorale face a un pouvoir arbitraire devenu aveugle. Et il nous faut changer la société ivoirienne, au terme d’une stratégie fédératrice de lutte politique globale et loyale, pour arriver à une justice juridique et une justice sociale digne de ce Nom. Il nous faut une société ivoirienne de l’exaltation de la diversité solidaire. Il nous faut ainsi aller vers le monde policée avec nos valeurs socioculturelles ancestrales, condition de notre existence identitaire, tant en Afrique « notre destin commun » que dans le concert des nations, « la destination commune a toute les nations civilisées ».

*- Il faut le dire ici depuis 2011 rien n’a sérieusement contrarié la stratégie de confiscation du pouvoir ivoirien.

D’emblée déjà, disons que, Sous anathème et apartheid économico-sociopolitique, la Brigade Avant-Gardiste au service désinterêssé de la société ivoirienne a perdu trop de combattants persécutés. Donc Saluons ici la jeunesse ivoirienne consciente du danger pour elle demain, notamment les 80% de dégoutés inscrit dans une logique de boycott constant des élections de mascarade politique « du je ne veux pas ! Point ». Et pour sa pratique constante du combat politique discursif conventionnelle, qui contrarie l’arbitraire de de l’absolutisme unilatéraliste d’un monarchiste débridé et un combat politique discursif qui amortit la violence, politique, les anathèmes politique, et les excommunications sociopolitique d’un pouvoir totalement déviant pure et dure sur sa ligne de déviationniste. Oui, les menaces de morts pour crimes d’expression et les condamnations a morts sectaires pour crimes d’options d’un pouvoir exhibitionniste propagandiste, sont certes sérieux mais ne peuvent rien changer, désormais le monde a pris conscience et observe la côte d’ivoire au-delà des intérêts pécuniaires immédiats de ploutocrates qui font diversion. Des diversions politicardes sans projet sans perspective. Il faut le dire ici encore depuis 2011 rien n’a sérieusement contrarié la stratégie de confiscation du pouvoir ivoirien qui autour de la chose publique, n’a ni besoin de droits, ni besoin de règles démocratiques. Aucune action politique n’a pu ébranler ce système usine à Gaz pour les droits, pour les libertés et pour les règles démocratiques, un système qui proscrit le consensus politique, le dialogue social républicain dans l’ordre du public et autour de la chose publique. Oui, l’unilatéralisme absolutiste est leur socle d’action politique.

il nous faut donc, refuser en fiers ivoiriens la soumission. Il nous faut  choisir l’espérance en un avenir meilleur, tous ensembles. Il nous faut nous battre pour notre destin commun, pour notre patrie, pour notre peuple, pour notre liberté et pour notre avenir dans le concert des nations, au terme d’une ligue citoyenne, dont le Nom littéral importerait peu. Il nous faut,  a défaut de correction lisibilité du processus démocratique et électorale, à défaut de transparence dans les urnes, se détourner résolument de tous processus électoraux. Pour qu’afin que le pouvoir limité, absolutiste, personnel, monarchiste, autoritariste, dictatorial, change ou qu’il se révèle comme tel aux yeux du monde. Tambouriner sur une porte fermé sur la démocratie, jusqu’à ce qu’elle s’ouvre ou se casse. Bon ! Qu’on ose ou non, qu’on le veuille ou non, les élections de 2025 se jouent maintenant avant 2025, pas en 2025, ou il serait trop tard. Parce que ça passera de la même manière, avec la même stratégie méprisante, soutenue par les élucubrations judiciaires et les armes « fusils» comme en 2010, comme en 2015, comme en 2020. Et sans aucune honte ou morale, dans des pratiques et dans des discours éhontés  avec des mensonge pour arriver à leurs fins lugubres, soutenu par des montages pour continuer à exister en politique dans chaos social, le tout occulté et légalisé de fait par une institution judicaires en charge des élections conterons sans retenue .

*-Les élections de 2025 se jouent maintenant pas en 2025, ou il serait trop tard, ça passera de la même manière.

Oui, il nous faut relever les défis sociétaux, sinon le candidat R?DP serait le futur président de la république en 2025. Si, le défi doit avoir un sens, il importe de défier le camp du mafieux, de l’injustice et de l’arbitraire, qui s’en prend aux valeurs sociales qui fondent l’organisation de la totalité sociale souveraine pour le vivre en commun politique et démocratique. Donc, il nous faut lutter tous ensemble pour le changement sociopolitique pour permettre à notre pays de retrouver ses repères d’un état de droit et d’une démocratie moderne, ce qui est devenu un devoir de citoyen. Pour que le Bateau du progrès humain intégral, reprend la voie royale vers la lumière du développement économique et social, au service du citoyen ivoirien et de tout homme, dans la stabilité sociopolitique et dans la paix sociale pérenne. Il le faut et nous le devons tous. En convenons-en avec le dernier coup de poignard planté dans le dos de la démocratie, des républicains et des démocrates, et surtout avec le coup de Gourdin soigneusement administré dans les nuques des partis politiques, que sont les élections locales de septembre 2023, truquées sur toute la ligne, transhumance électorales, double vote des électeurs nomades, un taux de participations anti-démocratique de 20%, qui extirpé du vote doublière, et du dualisme de votes, serait réduit a moins de 15% de taux de participations, donc, disons-le ici, précède l’hallali aux cours des élections de 2025. Oui, disons-le, malgré le dégout des intellectuels impartiaux et honnêtes,

Oui, Malgré le dégout qui a conduit à la sécession consommée entre 80% de citoyens dégoutés et 20% de dégoutants qui soutient l’absolutisme ivoirien, malgré le dégout de l’opposition ivoirienne qui a conduit à l’intervention des juridictions internationales, soucieuses des principes démocratiques universels, malgré les démocrates du monde venu en appoint et toutes les élites honnêtes et indépendantes de la côte d’ivoire au terme de la dégoutante, question du troisième mandat en 2020, Malgré le dégout qui appeler la fureur des journalistes désintéressés qui ont osés leurs indépendances en 2020, Malgré le vomissement de l’opposition unanime et de la société civile ivoirienne face a un processus électoral détourné. Oui, Malgré l’universalisme, des droits civils et politiques et les règles et principes universels démocratiques, le pouvoir absolutisme arbitraire d’Abidjan est resté inflexible et est passé encore en force en septembre 2023, en trimbalant ses accompagnateurs crédules jusqu’à la ligne d’arrivée taillée sur sa mesure. Oui, la dictature règne en maitre absolu sur la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. La dictature c’est quoi? C’est quand une seule personne décide de tout dans un état dit de droit et de démocratie. Donc, après ce dernier test de trimbalement de l’opposition ivoirienne suiviste, résignée qui au lieu d’appliquer la politique de la chaise vide, préfère occuper les chaises de figurations au terme des élections dont les locales de septembre 2023 querellées, sauf à vouloir se leurrer comme toujours depuis le coup d’état de 1999 et suivants, chaque ivoirien connait désormais le sort réservé à l’élection de 2025.

*- Une commission électorale autonome et Apolitique sans bidonnage politique avons-nous dit et répéter.

Dès lors la véritable question qui se pose au peuple souverain, est de savoir comment désamorcer cette spirale de coups d’arrêts irrecevable, inacceptable et injustifiable aux principes démocratiques donc, aux droits civils et politiques, aux libertés individuelles conditions égales pour tous mis sur la même ligne de départ équitante du pouvoir d’état par un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. Le choix est alors simple pour le peuple souverain de côte d’ivoire ou bien on fait le choix de la démocratie réelle, en instaurant une vraie organisation sociopolitiques civilisée et civilisatrice, ou bien nous demeurons dans les déchets toxiques et le achats et rachats des militants d’autres partis politiques ou pour une toute petite vérité ils pètent le plomb jusqu’à nos lieux sacré de culte universel, donc, nous demeurons dans la barbarie politique des élections obscurantistes dans une société de pétaudière, dénaturée, acculturée, aux mœurs dépravées, avec toujours du capharnaüm kafkaïen au quotidien. Notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny qui veut évoluer paisiblement ne peut pas être partisane de la barbarie politique des élections obscurantistes. Chaque ivoirien se trouve dès lors devant un réel défi à relever, jusqu’à la libération de la démocratie, des droits civils et politiques, des libertés individuelles et des règles démocratiques universelles, Donc, jusqu’à un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord, pour que le peuple rentre dans son droit souverain, d’ultime détenteur du pouvoir d’état

Oui, face au monarchisme unilatéraliste dictatorial et face à l’hégémonie de la nouvelle ploutocratie qui achète tout, «cadres d’oppositions, militants d’autres partis, votes citoyens, organismes institutionnels » et pense pouvoir tout acheter, par conséquence qui  ne prépare pas l’avenir de la nation, mais le met en danger dans le concert des nations. Face à des entorses répétées aux principes électoral du pluralisme politique et de la démocratie moderne qui provoque un effarement du peuple, face à tant d’injustice électorale, et qui suscite le dégout et consternation des citoyens devenus des sans droits dans leurs propres pays, une situation électorales et sociopolitiques très honteuse pour  l’intelligentsia ivoirienne et de partout dans le monde des nations policées. Face à tous ce mépris répétés pour les principes démocratiques universels, la solution ne peut plus se trouve dans hommes individuels dirigeant ou pas, militant ou pas. Donc, qu’on ose ou non, qu’on le veuille ou non, la solution  de la crise électorale ivoirienne est, reste, et restera organisationnelle et systémique. La paix est à ces prix-là ! Donc, il nous faut donc, un corpus d’organisme électoral AUTONOME, APOLITIQUE, et INAMOVIBE, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs d’accord. Pour ne pas retomber dans les mêmes travers systémiques des élections de façades sous l’influence d’un politicien ou d’un parti politique quel qu’il soit. Donc, une commission électorale autonome et Apolitique sans bidonnage politique avons-nous toujours dit et répéter.

*-La bonne élection réaffirme la souveraineté du peuple, qui enfante par ce biais la représentation nationale élus

Cela, parce que lorsque dans un système électoral, certains dirigeants de l'organisme électoral sensé être neutre et impartial sont nommés par les différents pouvoirs de l’état «exécutif, législatif et judiciaire», sur la base de leurs appartenances et de leurs liens privilégiés avec les dirigeants de ces pouvoirs. Et/ou sont nommés par les partis politiques, les groupements de partis politiques, les mouvements politiques et les candidats indépendants en compétition, donc nommé sur la base de leur adhésion à un parti ou de leur affinité pour un certain bloc de parti, ou partisans des candidats indépendants, la neutralité dans ce cas devient logiquement incertaine, sinon impossible. L’impartialité devient inconciliable avec la défense partiale d’appartenance à des intérêts politiques particuliers que sous-tendent ces appartenances qui nomment au sein de l’organisme électoral. Donc, le problème ne réside pas dans la compétence des hommes dirigeants changeant mais d’abord dans le système des gestions d’élection  véritablement démocratique. Oui seule la démocratie réelle peut nous libérer des nouveaux maux qui rongent notre société autrefois paisible et qui inhibent toute perspective d’avenir meilleur et nous conduire à la construction d’une communauté nationale réconciliée avec elle-même. D’où l’argent ne serait plus l’essentiel sociétal au mépris de l’être Humain et du citoyen ivoirien. Donc, pour l’avènement du : « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » de la Grèce antique et solidifier par Abraham Lincoln, (16e président des États-Unis 1860 à 1865).

Donc, il nous reste plus citoyen ivoirien, que d’exiger avant 2025, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, inamovible, totalement indépendant des politiques quels qu’ils soient et hors porté des partis politiques et de ce qui est et relevé de la partisannerie politiques, donc, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. La reconstitution de CEI en l’état, version ballon au pied du pouvoir, ne rassure personne. Dans cette situation socio-politico-électorale délétère, de chaos en perspective, de désordre programmé, de tension sempiternelle, d’incertitude anxieuse, et de désespérance qu’ils sous-tendent, qui règne actuellement, avec un horizon ivoire électorale de 2025 nuageuse, téléguidée foudroyante, avec un système électoral volcanique, entre les mains des pyromanes endurcis au service du pouvoir exécutive. Oui, les élections sont un droit inaliénable des peuples a disposés d’eux-mêmes qui se situent au-dessus, en droit et en fait des institutions de la république, y compris la présidence de la république. C’est au terme d’élection, qui réaffirme la souveraineté populaire du peuple souverain, qui  enfante par ce biais la représentation nationale élus, y compris la présidence de la république, que le pouvoir est dit ultime propriété du peuple. Oui, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. De même, les partis et les candidats ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. 

*- Faire naitre la confiance sociale, c'est-à-dire, l’ordre social, l’harmonie communautaire, la stabilité politique.

Donc ici, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, sont les subordonnées du processus électoral, elles doivent s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens le plus large. Et doivent aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. Donc, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord participe à la protection des droits de l’homme. Sinon on peut changer mille fois ou dix milles fois les acteurs politiques et les pions politiques, les dirigeants des partis politiques, a la recherche des oiseaux rares, on peut aussi changé mille fois ou dix milles fois de Gouvernement avec les mêmes ministres, rien ne changera, rien ne bougera. C’est le système qui est en cause. ***- (Bon ! Des règles démocratiques, voici ce que le président Nigérian d’alors, Muhammadu Buhari à pilonné a la face du monde a la tribune de la 77Assemblée générale des nations unies le 21 Septembre 2022 « Nous croyons au caractère sacré des LIMITATIONS CONSTITUTIONNELLES DES MANDATS PRESIDENTIELS. Et nous avons vu l’impact corrosif lorsque les dirigeants ailleurs cherchent à changer LES REGLES pour rester au pouvoir. Vos troisièmes 3e mandats font du tort à vos peuples. En tant que président en fin de mandat, je me suis fixé comme objectif que l’un des véritables héritages que j’aimerais laisser est d’ancrer un PROCESSUS D’ELECTION LIBRE, EQUITABLE et TRANSPARENTE. Grâce auquel les Nigérians élisent les dirigeant de leurs choit ».

 Oui Monsieur le président Buhari, merci d’avoir tenu parole, puisqu’ailleurs dans la bouche de certains dirigeants elle « parole » est versatile, changeante et incontrôlable. Oui, un PROCESSUS D’ELECTION LIBRE, EQUITABLE et TRANSPARENTE. Grâce auquel les Nigérians élisent les dirigeant de leurs choit, c’est de cela qu’il s’agit, pour le peuple de demain, la société de demain, la civilisation du 21e siècle). Donc, pour sortir du trou notre pays la côte d’ivoire, il faut relever le défi d’un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. Oui, nous avons besoin de tous ensembles paisible derrière un homme fédérateur ou des hommes fédérateurs quel qu’il soit. Notre préoccupation doit être soutenue et guidé par la crainte du pire des pires que nous voyons à l’horizon 2025. Oui, de par notre passivité, de par notre inertie, de par nos mésententes et par notre divisons, la côte d’ivoire est devenue progressivement un poulailler avec 20% des coqs à la disposition d’un renard libre et 80% de déserteurs de la ligne du renard libre vers un précipice abyssal. Donc, il nous faut relever le défi d’un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. Et ainsi faire naitre la confiance sociale, c'est-à-dire, l’ordre social, l’harmonie communautaire et la stabilité sociopolitique, qui s’accompagnent tous par la confiance restauré dans les dirigeants étatiques du pays qui seront ainsi bien élus par la majorité réelle du pays

On nous dit, qu’il n’y a plus de crise sociopolitique en côte d’ivoire que pas besoin de réconciliation. On est ou là !

Et pour nous tout en gardant à l’idée que, relever un défi nécessite la détermination de chacun, l’abandon de soi par chacun, le sérieux de chacun, le concret pour chacun dans le combat politique loyal et dans le combat discursif de chacun, comme dans l’acte et dans l’action politique de chacun. Toute chose qui proscrit le brouhaha et l’abracadabrantesque. Il ne s’agit pas pour nous de changer ou permuter les hommes, non ! Mais il s’agit pour nous de Réguler le système sociopolitique et électoral. C’est de cela qu’il s’agit en côte d’ivoire. Proscrire la politique d’accompagnement ou d’accompagnateur et au besoin mener tous la politique de la chaise vide, et Titiller l’arbitraire avec l’éclairage, jusqu’à ce qu’il CHANGE ou se dévoile au grand jour comme tel. Et c’est une constance que, Coincé dans les cordes du droit  et des règles, l’arbitraire se dévoile toujours comme tel et oblige le peuple martyrisé de savoir devenir fou furieux et débile démentiel,  qui ne connait que la ligne direct. Donc, ici, en s’affirmant comme arbitraire, si par méprise ou expressément, l’arbitraire ose craquer l’allumette, dès lors les citoyens doivent être capable d’ouvrir le Gaz à fond, et d’y expédier quelques vieux pneus dans le cocktail en appoint, alors advienne que pourra. L’extermination d’un peuple souverain par un pouvoir arbitraire sous les yeux du monde en ce 21e siècle est impensable. Et un Rugby Katangais entre plus de 80% de dégoutés et moins de 20% de dégoutants peut pour le spectacle bien intéressé le monde civilisé dans toute sa composante planétaire Oui, le monde civilisé dans toute sa composante planétaire, sait à quel degré l’absolutisme (Système politique dans lequel le pouvoir est concentré entre les mains du suzerain) et l’utopisme (Conception imaginaire et illusoire dont la réalisation est impossible) sont dangereux pour leurs porteurs et pour la totalité sociale.

Oui, quelle est cette méthode politiques glauques, visqueuse et chaotique qui consiste à aggraver la situation de crise sociopolitique du pays en tentant ou faisant semblant de les régler ou quelle n’existe pas ? S’agit-il d’un mode de gestion humaine inconnu de l’état, inventé en Côte d’Ivoire par le monarchisme unilatéraliste ? Donc question : La stratégie du pourrissement des crises sociopolitiques est-elle une nouvelle manière de gestion officielle des affaires publiques aux yeux du monarchisme dirigiste et unilatéraliste dictatorial. Eh bien ! Qui peut démontrer qu’un pouvoir ne peut exister seulement que par l’autoritarisme unilatéraliste en imposant tout dans la société, par l’arbitraire aveugle, en justifiant son existence seulement que par la simple nécessité d’entretenir sciemment les crises sociopolitique ? Et en s’appuyant sur des cooptations, des nominations et des promotion qui ne se font qu’en fonction du degré d’allégeance au palais présidentiel et en fonction de la capacité à s’adapter a la politique d’interpénétration des affaires mafieuses dans la  politique étatiques ? Diantre ! A seulement 10 Ans d’une guerre qui a fait plus 7000 Morts, a seulement 08 Ans d’un referendum constitutionnel qui a vu toutes les urnes cassées dans toute l’assiette territoriale nationale pour être imposé en fin de compte avec moins 5% des bulletins retrouvé souvent dans des poubelles et caniveaux sec, a seulement 03 Ans d’une présidentielle (2020) qui fait 150 Morts dans une société en hyper-crise, eh bien ! On nous dit, qu’il n’y a plus de crise sociopolitique en côte d’ivoire qui n’a par conséquent pas besoin de réconciliation. On est ou là ! On n’est à une autre rive, contraire à celle de la côte d’ivoire ATAVIQUE. Celle de la cohérence de la côte d’ivoire de Félix Houphouët BOIGNY.

*- Des élus bien élu en phase avec l’aspiration profonde du peuple consolidera le droit de la propriété foncière.

Oui, « Ministre nihilistes et iconoclastes par cooptation, achat, et rachat et pour partage de gâteaux, ministre Wouyâ-Wouyâ par allégeance alimentaire dans le dénuement et reniement de son essence originelle, souvent marionnettes docile, Député Flêkê-Flêkê automates et auto-assujettis, sénateurs de récompenses pour bouffer, Maire Gnâffou-Gnâffou déconnectés de leurs administrés, conseiller généraux pour rien, précédent les grilleurs d’arachides aux gueules très occupées a mâcher le bien public, qui sont diffus dans les affaires publiques et estampillés a des postes de responsabilités dont il ignorent tous des prérogatives. On n’est ici là ! Oui, Pour défaire cet engrenage mafieux unilatéraliste néo-monarchique, le peuple souverain de côte d’ivoire doit avoir le courage de revendiquer ponctuellement son droit inaliénable d’aller en enfer, pour un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord, au mépris de la volonté de ce pouvoir monarchiste nihiliste et iconoclaste. Ceci est d’autant facile et aisé qu’il ya des gens en côte d’ivoire qui parlent Midi-Matin-Soir et du 1er (premier) au 31 au Nom d’un GNAMIEN PBWLI. La LC_CRS  ne connait pas l’adresse d’un PBWLI, Mais ces gens-là mettent leurs GNAMIEN PBWLI, au-dessus de tout, donc ils sont la solution aux fausses élections, Parce qu’ils peuvent imposer les principes de leurs GNAMIEN PBWLI au service d’un citoyen égal une voix et tous le monde même chose comme le veut leurs PBWLI, pour d’autre habite en Haut et pour d’autre habite en Bas, mais tous les deux (2) placé au-dessus de la politique politicienne. Ou le Bidon de Bandji-Blanc côtoie le Céri-Dagâ et se congratulent, avec chacun son contenue « d’eaux » bien Buvable dans le respect mutuel des différences sociopolitiques comme deux camarades de citoyenneté commune solidaire.

Soulignons ici que, les citoyens qui ne sont pas acteurs de leurs vies sociopolitiques se retrouvent tôt ou tard dépassés par les évènements sociopolitiques de leurs société, et cette porte désespérée fermée sur le désespoir, s’ouvre toujours sur la violence de masse, « exemple le Mali de Moussa Traoré ». Et les hommes politiques qui se refusent à tout examen, a toute recherche de vérité, a toutes  critique, devant le peuple souverain, devient obscurantiste, nébuleux, intolérant, violent, méprisant, criminel et monstre «exemple la Guinée de Sékou Touré». Donc, des élus bien élu en phase avec l’aspiration profonde du peuple souverain, se faisant de consolider l’atavique droit de la propriété foncière immémoriale. Comme le lien social est éminemment politique, faire tout pour que, chacun soit restaurer dans ses droits, dans tous ses droits juridiques, civils et politiques. « Donc tous ivoirien, mais l’atavique droit de la propriété foncière immémoriale doit régir le droit foncier entier ». Dans une société ivoirienne commune, qui admette sans faux fuyant, l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, mais la côte d’ivoire n’est plus elle-même. Il nous faut un système de régulation juridique et démocratique. Il nous faut un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. L’organisme électoral Non-Autonome et Non-Apolitique dit CEI, version passeur de ballon au pied du pouvoir, ne rassure personne. Citoyens libres, nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

*- Pour tous autres et pour ample infos continuez sur www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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