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30 octobre 2022 7 30 /10 /octobre /2022 03:06
Lepetitfis : Bien n’arrêté et droit dans nos petites chaussures Kitos le regard fixé sur l’horizon, le yeux GRANDEMENT ouverts, nous ne tomberons pas dans la politique du médecin après la mort, dans la société a laquelle nous devons tout, et dans une nation sans laquelle notre existence aurait peut d’épaisseur. Nous sommes, LC_CRS, mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, Houphouëtiste enragée par les écueils politiciens de toute sorte de 1999-2000 à ce jour, L’ORCHESTRATION POLITICIENNE DES VOLS A REPETITIONS NE NOUS CHANGERONS EN RIEN.

Lepetitfis : Bien n’arrêté et droit dans nos petites chaussures Kitos le regard fixé sur l’horizon, le yeux GRANDEMENT ouverts, nous ne tomberons pas dans la politique du médecin après la mort, dans la société a laquelle nous devons tout, et dans une nation sans laquelle notre existence aurait peut d’épaisseur. Nous sommes, LC_CRS, mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, Houphouëtiste enragée par les écueils politiciens de toute sorte de 1999-2000 à ce jour, L’ORCHESTRATION POLITICIENNE DES VOLS A REPETITIONS NE NOUS CHANGERONS EN RIEN.

« La vie politique et démocratie se nourrit de débats d’idées et d’analyse sociopolitiques. Et analyser un système, une situation, ou une pratique, c’est se pencher sur ces faits, dans une perspective d’évaluation, puis participer à son amélioration, en persuadant le souverain absolu qu’est le peuple, en convainquant la totalité sociale souveraine, en entraînant le corps social dans son entièreté solidaire, à l’intelligence de la situation qui s’impose et d’y remédier. Donc, analyser une situation signifie de séparer un tout en ses éléments, cela ne va pas sans vérité crue et nue. Donc, l’analyse est  normative, elle nécessite donc une explicitation large, étayée et détaillée, d’un modèle référentiel, afin de son transfert éventuel dans l’organisation sociopolitique par le biais de normes consensuelles élaborées dans une situation épurée, par des acteurs politiques et des citoyens participants sans responsabilités publiques effectives. Ici le succincte n’explique pas assez, la litote convainc peu. Ici, la vérité se trouve dans le large, étayé et détaillé ».

Chroniques « Kouma » : Qui lira verra la voie de la  paix, de la stabilité, et des élections Zéro-mort.

C’est parce qu’au-delà de la culture politique obscure de l’Autriche, qu’on voit manifestement le feu qui couve à la maison ivoire, que l’ivoirien doit refuser l’enfermement sectaire et partisan, le repli d’appartenance quelle qu’elle soit, « ethnicisé, identitaires, communautariste et politico-idéologiques » qu’il doit KOUMA, pour privilégier l’union de tous. La côte d’ivoire n’est plus maitresse d’elle-même et de son destin dans le concert des nations civilisées. Elle n’est plus qu’une immense déchirure sociopolitique, un vaste champ de ruine sociocommunautaire, à la merci des vautours professionnels, des pilleurs endurcis, des escrocs ataviques. Elle offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, même pas pour les ennemis des ivoiriens. Donc, il nous faut KOUMA. Aujourd’hui, les rapports Opposition/Pouvoir en côte d’ivoire est semblable aux rapports entre un Moine Tibétain entre les mains d’un dignitaire Chinois, ou d’un petit Ukrainien revendiquant sa souveraineté devant un oligarque Russe, sous l’arbitrage de Bombes. Cette opposition ivoirienne, est entrainée autour des principes d’organisations socio-politico-électorale, vers l’engrenage et trimbaler petit-a-petit vers une crise, qui donnera la parole aux armes. « Le grand PDCI incontestablement parti de gouvernement est Dribblé à la roublardise, le PPA-CI, a pris un poignard de 20 Ans dans le dos, et est en passe d’être mis hors-jeu, le FPI est-il dans le rang pour dévier ou obvier les buts de la main de Dieux ?  Pour les autres sont-ils là malgré-eux ? Ou c’est pour la malbouffe ? Or en politique le bouffe-tout ne paye pas. D’où si le défi à un sens, il convient de défier le non-droit. La LC_CRS avec les citoyens libres vit, rempli d’appréhension pour les élections à venir, quand les maitres des jeux entonnent leurs ritournelles de la rhétorique autosatisfaction sur les élections. Alors même que les citoyens voient le chaos socio-politico-électoral à l’horizon et dans les travers d’actions politiques publiques mal maitrisées ».

Oui, Il nous faut Kouma pour arriver tous ensemble à l’élaboration consensuelle des normes juridiques conformes aux droits et principes internationaux irréfragables. Oui, il nous faut donc, un corpus d’organisme électoral, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs politique d’accord. Pour enfin obtenir, une vraie réconciliation nationale, une vraie stabilité sociopolitique, une vraie paix sociale pérenne, et avant les élections majeures. Oui, l’élection est une lutte loyale pour le pouvoir légitime, donc elle n’est pas un moyen d’éviter la confrontation politique mais plutôt de la gérer et de la contenir à l’intérieur de limites acceptables. Dans un système qui respecte les principes internationaux, et qui garantissent les droits et le cadre institutionnel d'élections honnêtes, en conformité avec les obligations étatiques contractées en vertu du droit international. L'Etat doit en particulier. Donc, l’ensemble du système électoral est par principe international coutumier, situé au-dessus des pouvoirs qu’ils enfantent.  Et dans un état républicain de droit et démocratique, le processus électoral se situe par conséquent hors de la portée de mains partisanes des hommes politiques quels qu’ils soient. Ici il n’y a que des citoyens libres, égaux en droit et en devoir, dirigeants de partis, candidats potentiels et citoyens électeurs, qui discutent les conditions du concours national de représentativité, qu’est les élections démocratiques pluralistes consensuelle-ment au terme d’un dialogue ouvert à tous, qui transcende les tenants momentanés du pouvoir d’état.

Parce que disons-nous, les élections sont l’expression active de la souveraineté populaire du peuple, donc, c’est un droit inaliénable des peuples a disposés d’eux-mêmes, qui se situent en droit, et en fait , au-dessus des institutions de la république, que les peuples souverains enfantent, y compris la présidence de la république. Les obligations relatives aux élections démocratiques relèvent de cinq grands principes internationaux coutumiers: 1) l’exigence de tenir des élections honnêtes 2) l’exigence fondamentale relative à la primauté du droit. 3) l’engagement de l’état à prendre les mesures requises pour remplir ces obligations internationales de protéger les droits et les libertés,  4) l’exigence procédurière, centrée sur le processus électoral à proprement parler,  et 5) les droits et les libertés individuels. Mise ensemble, ces exigences orientent une démarche de l’évaluation des élections qui est fondée sur les droits de la personne humaine, ou l’homme est la centralité absolue de tout le système électorale, au mépris des intérêts politiciens. Ainsi se faisant, pour obvier que, le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels, il n’y a point de développement, le respect de la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement, et une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par le père Felix Houphouët Boigny, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays. Parce obstrué par un carriérisme nombriliste aveugle et un arrivisme absolutiste égoïste et égocentrique. Ou le Moi est maitre absolu de l’intérêt général, de l’ordre social, et de la vie publique et qui se subordonne la Nation.

Oui, osons le dire ici et maintenant, la terre de nos ancêtres, Aujourd’hui côte d’ivoire, hier destination de prédilection des dislocations des empires Ouest-Africaines, avec à la suite une migration humaine transfrontalière incontrôlable, est de par sa peuplade composite une entité étatique, avec une sociologie électorale très complexe. Oui, la grande partie des conflits armés internes et des crises sociopolitiques Africaines, ressortissent de la conquête du pouvoir d’état ou de son mode d’acquisition prescrit dans des normes personnelles et protecteurs des intérêts inavoués. Oui, de par le monde, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. De même, les partis et les candidats ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions exigeantes respecté contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. Donc ici, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, sont les subordonnées du processus électoral, elles doivent absolument s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens universel le plus large. Et doivent aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements et principes internationaux en matière de paix nationale et internationale, et en matière rigoriste du respect des droits de l’homme. D’où l’appel de pied conjugué des KOUMA, d’un ressortissant du Chenil pacifiste, rigoriste, de Félix Houphouët Boigny qu’est la légitimité citoyenne « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, et  Houphouët-iste enragée. Pour que toute la souveraineté échoie au peuple, et pour que rien n’échoie de non-droit à l’Absolutisme obscurantiste. SANS LE RESPECT DE CE PRINCIPE, LES ELECTIONS IVOIRIENNES NE LES SERONT QUE DE NOMS…

Ne l’oublions pas, la pratique politique absolutiste sectaire n’a besoin que de suivismes, de silences, de panurgismes moutonniers. Oui, l’absolutisme politique ou le clanisme politique est toujours mafieux, toujours Sado-Pervers-Narcissique, qui ne recule devant aucune catastrophe, et sa logique d’appareil de confiscation hermétique du pouvoir d’état, est rapides à se mettre en place, par la division pour régner. Donc, sa logique absolutiste est que, ceux qui ont la force matérielle « armée » sont des savants et ne doivent pas parler. Or cette force matérielle  support ne sait rien du tout, elle est totalitaire et de jungle. Donc, la critique « notre Kouma » est son pire ennemi. Bon ! il est constant qu’en politique, il est des agissements ubuesques qui dénotent, non seulement le ridicule politique, mais la bassesse d’ambitions politiques perverses, en ce sens que ces agissements sont porteurs de périls pour leurs auteurs et pour la nation toute entière. Donc, ici, reprenons nos habituelles citernes d’eaux, contre le feu qui couve dans notre société commune. Oui, répétons-le toujours, notre crise est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect des principes des droits universels. Donc il nous faut être capable de nous adapter à l’exigence de l’art du vivre en commun dans le respect des droits inaliénables des peuples souverains à disposer d’eux-mêmes. Pour afin pouvoir replacer l’être humain au centre du débat, l’humanisme Houphouët-ien au centre de la problématique sociale et sociétale et le citoyen au cœur de toute politique socioéconomique et développementale. Ou l’être humain, l’homme incarnerait la centralité politique et le citoyen le cœur de l’action politique développementale.

*- On ne se tait pas dans une société en crise sociopolitique sempiternelle et sortir par la bonne porte. Non !!!

Donc disons ou ressassons, l’absence d’un organisme électoral Impartial, Neutre, Apolitique, Autonome, Totalement Indépendant, capable d’organisé des élections réellement démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres, concours incontestablement à l’anéantissement des droits des peuples a disposé d’eux-mêmes. « On ne se tait pas dans une société en crise sociopolitique sempiternelle et sortir par la bonne porte. Non !!! » Nous avons toujours dit et répété qu’il ne doit rien avoir de fétiche dans les élections démocratiques, que le tout doit être a porté de vues et de mains de tous, partis politiques, candidats, citoyens électeurs, et observateurs électoraux. Que parce que, les élections démocratiques sont un droit inaliénable des peuples à disposer d'eux-mêmes, ou un droit inaliénables des peuples à l’autodétermination souveraine. Et partant de ces principes de droits inaliénables, les élections démocratiques s’avèrent être l’expression active de la souveraineté du peuple  réconforté dans ses assises. *- Donc, est démocratie de façade que de faire obstruction à l’expression des droits civiques et politiques qui permette à chaque citoyen  de participer à la vie publique et politique de sa citée, avec une organisation sélective des élections dites démocratiques. Selon les principes internationaux, la citoyenneté ne se définit pas uniquement d’un point de vue juridique, par la possession d’un passeport de sa nationalité et de ses droits civiques et politiques prescrit avec restriction positiviste. Elle se définit réellement au terme de la participation à la vie publique de la cité, largement ouvert à tous, tant dans son organisation, que dans son jeu politique, tout est inextricablement lié. 

*- Donc, est démocratie de façade  l’absence d’un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs politiques d’accord, pour ne pas tomber dans les travers systémiques des élections de démocraties truquées d’avance sous l’influence d’un politicien ou d’un parti politique quel qu’il soit. *- Est démocratie de façade  le découpage électoral non-équilibré, non-consensuel et non-basée sur la quantification de la population administrée au prorata du même nombre d’élu pour le même nombre d’administré, partout dans l’assiette territoriale, et qui permet d’obtenir une majorité parlementaire factice, ou une majorité d’élus locaux factice qui éliront eux aussi à leur tour des législateurs contre le suffrage universel direct.

Donc, est démocratie de façade, le parrainage des candidatures. Oui, le parrainage des candidats par des élus ou par signatures citoyennes pour être admis candidat, est un procédé peu démocratique, et un outil manifeste d’élimination orchestrée par normes juridiques positivistes, et un objet d’obstruction de tous candidats gênants, à l’électorat épars dans toute l’assiette territoriale. Ce système favorisé les politicien ventrus de fiefs, alors même que sur le plan national, il ne pèse pas grande chose. Et le plus souvent ces signatures sont monnayables. Il n’y a pas plus démocratique et légitime qu’un citoyen égal un vote au cours des élections au suffrage universel direct, ou tout le monde par sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état, dans ce noble concours de représentativité nationale.

*- Donc, est démocratie de façade, l’octroi ou l’acquisition du droit de votes, par la nationalité frauduleuse acquise à des fins électorales, sciemment orchestré par un parti politique ou par le pouvoir d’état. *- Est donc, démocratie de façade, la Fraudes massives lors de l’enrôlement sur les listes électorales des personnes de nationalité étrangères, ainsi enrôlées massivement sur les listes électorales afin de vote panurgismes et moutonniers, en complicité avec des politiques mafieux, et/ou des agents intéressés de l’organisme électoral pour servir d’appoint illégal électoral en vue d’une élection et afin de servir de bétail électoral pour un homme politique a une minorité acquise, manifeste. *- Donc, est démocratie de façade, l’enrôlement sur la liste électorale, de façon frauduleuse, dispensée de toute justification juridique à plusieurs endroits ou centres de votes « l’acte de naissance et la pièce d’un parent, père ou mère » et permettant le vote multiples ou tout moins la possibilité de double vote dans au moins deux (2) circonscriptions électorale.

*- Donc, est démocratie de façade, l’obstruction massive faite aux nationaux à l’obtention du droit de vote, « manque de moyens d’acquisitions de pièces d’identités qui est trucage électoral» entrainant un manque de documents ou de pièces d’identités justifiants sa qualité de nationales, qui permet l’accès au processus électoral. *- Est donc, démocratie de façade, les lieux de compilations décentralisés et/ou  le lieu de centralisation définitive pour la proclamation des résultats définitifs sous l’emprise de  l’influence des hommes politiques. Se faisant, quand on espère de la sortie des colombes toutes Blanches dans les urnes, fruit d’un travail politique sérieux, qui a obtenu l’aval des citoyens et leurs votes, hélas ! Ce sont les craps Poilus qui sortent des urnes  de l’espérance citoyenne.

*- Donc, aussi démocratie de façade, le Vote électronique y est très propice. L’irruption des « machines à voter » pour enregistrer des suffrages et les compter sans intervention humaine à signer l’entrée de l’univers industriel dans l’ordre politique, «organisationnel, systémique et électoral ». Ce vote électronique a été expérimenté pour la première fois en Belgique en 1991. Mais n’a jamais été considéré par les grands techniciens électoraux, comme une évolution du système électoral. Au contraire il a démontré toute ses failles, qui donne une véracité incertaine au résultat des votes et est très couteux, avec les failles générales ci-dessus : « *- 1*- Ce système a l'inconvénient de ne pas pouvoir être contrôlé par le public, donc de rendre la fraude possible et difficile à détecter et à prouver, et par conséquent de la rendre probable *1)-Possibilité de « bourrage électronique d'urnes »  *2)-Possibilité d'orienter le vote des indécis *3)-Possibilité de payer un électeur en échange de son vote (l'électeur filme son vote avec son téléphone portable). *4)-Possibilité de remplacer le vote affiché par un vote réellement décompté différent *5)-Impossibilité du recomptage en cas de contestation *6)-Possibilité de violer le secret du scrutin de manière subreptice et difficile à détecter *7)- l’opacité des résultats, parce que, la validité et la véracité du vote électronique ne sont garanties que par les entreprises fabriquant ou certifiant ces machines,  sans moyens de contrôle des citoyens *8)- en plus la machine à voter a beaucoup plus de chances de tomber en panne que l'urne, dispositif infiniment plus simple *9)-puisqu'il y a un logiciel dans la machine à voter, ce logiciel peut être bogué, même sans intention de frauder. *10)- Avec le vote électronique, la seule chose dont on est vraiment sûr et certain, c'est de ne rien pouvoir contrôler. Cette absence de contrôle du citoyen remet en doute la validité du vote. Le vote électronique permet le truquage à grande échelle et indétectable par le citoyen votant, toutes les fraudes et truquages sont possibles avec le vote électronique. Aussi les statistiques des pays qui utilisent ce vote électronique montrent, que les machines à voter favorisent le vote blanc/nul, intentionnellement orchestré ou par méconnaissance de l’électeur ou du système par l’agent de bureaux. Donc le vote électronique n’est pas une évolution du système électoral. Ici, est donc, démocratie de façade, le Vote électronique dans un système électoral non-affranchi des hommes politiques. « Avec le vote électronique, la seule chose dont on est vraiment sûr, c'est de ne rien pouvoir contrôler. Or, les urnes transparentes et l'accès du public à la vérification du vote ont l'avantage de garantir la confiance de tous. 

Donc, est démocratie de façade, le Vote électronique, avec une massive déclaration en nullité des votes valables dans les fiefs d’un homme politique candidat. Aussi les grandes contradictions en nombres supérieurs ou inférieurs entre les votes inscrits sur les procès-verbaux des bureaux de votes et les bulletins de votes dans les urnes. Et les lieux de centralisations des votes s’avèrent souvent comme le lieu de prédilection des grandes erreurs techniques sciemment ou inconsciemment qui aboutissent à la dénaturalisation des résultats. *- Est démocratie de façade, le lieu de validation judiciaire de tous le processus électoral mis sous la coupe des hommes politiques en compétition.

 *- Donc, démocratie de façade, tant qu’il n’existerait pas un système d’organisation électorale, non-pas consensuel des partis politique, mais plutôt Apolitique, Autonome, Indépendant, Neutre Impartial et totalement dédouané des Hommes politiques. Donc, de par cette absence systémique, aucune élection ivoirienne ne peut aboutir sur la stabilité sociopolitique, et ne peut aucunement garantir la paix sociale à la côte d’ivoire. Et les élections continueront à s’inscrire dans la  trajectoire d’une  démocratie de façade. Nous l’avons dit et nous le ressassons, il faut pour la côte d’ivoire un système électoral qui échappe au contrôle des hommes politiques, qui sont tenus par des intérêts politiques logiquement partisans, donc forcément de parti-pris, donc partial. «Le but des partis  politiques étant de conquérir le pouvoir d’état, la présence de la main de ses hommes politiques dans le système électoral, équivaut à être des joueurs enquête de buts de la main de Dieu, et en même temps être membre du staff Arbitral ». C’est pourquoi, il faut que les Analyses sociopolitiques fondées sur les valeurs universelles que l’humanité s’est donné, les expertises sociétales doctes, fondées sur les grands principes coutumiers, et les organisations esthètes protectrices de la paix nationale et de la paix internationale retrouvent leurs justes places dans notre société ivoirienne en crise. En politique, la vraie, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique d’un pouvoir d’état que de faire partager à l'ensemble des citoyens libres, la conviction que leur volonté s'exprime à travers les représentants qu'ils se sont librement choisis, au terme des élections aussi libres et sans reproches.

Donc, ici au terme de ce KOUMA, c’est l’intégrité du processus électorale qui est recherché, par le biais d’une commission électorale Apolitique, Autonome, Neutre, Impartiale et Transparente. Qui doit être assise sur un ensemble de conditions basées sur les grands principes universels démocratiques, et qui encourage, protège, de par son organisation, la tenue d’élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Et ce système est par nature adapté au contexte sociopolitique de chaque pays. Le contexte sociopolitique de la côte d’ivoire exige un système ci-dessous décrit, exigible en droit inaliénable: Une commission électorale Autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral, sans aucune interférence de qui que ce soit, et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- 2- qui nommera librement des Juges des élections impartiaux « conseil constitutionnel judiciaire ». 3- Qui procédera à un Découpage électoral équilibré sous les conseils et expertises des spécialistes qu’elle s’attachera. 4*- Qui produira une liste électoral consensuelle et fiable, conforme à la démographie nationale du pays « 30 Millions d’habitants » *-5- Qui fera une identification claire des électeurs légaux, en proscrivant les acquisitions frauduleuses de la nationalités et du droit de votes*-6- Qui fixera une Condition claire d’accession à la candidature aux postes électifs de représentations nationales*- 7- Qui se procurera des Instruments électoraux fiables et les modes de scrutins adaptés*- 8- qui exigera de l’état, des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale conforme aux normes et  standard internationaux, pour le bon fonctionnement juridico-politique de son organisme etc. Voici le système qui est adapté au conteste sociopolitique actuel de la cote d’ivoire. Mais les objectifs fondamentaux de tous les systèmes électoraux sont les mêmes et relèvent de la nécessité de tenir des élections propres, démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Oui, de par le monde, cette élection juste exige toujours un processus électoral transparent, consensuel, et un système électoral équitable qui puisse garantir des chances égales pour tous les participants, sous l’égide du système décrit plus haut. Qui exige formellement l’absence d’intimidation d’où qu’elle vienne et quelle qu’elle soit.

Puisque la Nature se marre des peuples qui se plaignent des conséquences de leurs souffrances, alors qu’ils en chérissent les causes de ces souffrances. C’est pourquoi, Ici, nous plaidons, pour un Dialogue sociopolitique républicain, avec la participation de toutes les forces vives de la Nation, pour aborder tous ensembles les questions clés qui porteront sur des sujets d’intérêts nationaux, et de souveraineté nationale absolue, de stabilité sociopolitique, de paix nationale et internationale, du progrès pour tous et le bonheur pour chacun. Notamment les questions exigeantes du socle d’une nouvelle société : l’élaboration d’une constitution consensuelle qui garantira une stabilité démocratique, avec des institutions républicaines fortes. *- Dissolution et réformation de la Commission Electorale, pour qu’elle devienne véritablement Autonome, Indépendante et Apolitique. *- Le brossage et restructuration du conseil constitutionnel, « qui regorge déjà quelques bonnes têtes largement à la hauteur du métier et de la matière assujettie ». *- la révision experte du découpage électoral, basée sur la quantification de la population administrée au prorata du même nombre d’élu pour le même nombre d’administré partout dans l’assiette territoriale nationale. « Ici, l’espace étendu, Non ! Le nombre de population, Oui ! » *- Un Dialogue sociopolitique républicain qui proposera une Amnistie générale référendaire au peuple souverain, « l’ultime souverain et l’ultime Amnistiant », sur les faits criminels de 1999 au jour du vote référendaire, qui doit être votée à 80% de Oui au moins, et a plus de 70% de l’électorat total inscrit sur une liste électorale consensuelle-ment élaborer et devenue fiable. Sinon devenue conforme à un pays de 30.000.000 d’habitants, mais qui n’a que, 7.397.413 électeurs seulement dans un fichier électoral manifestement bancal et sur une fiche électorale, de manifestation ressortissant du dégout citoyen pour la chose sociopolitique, et partant pour la chose électorale. * L’organisation des élections transparentes, crédibles et inclusives, dans un climat humaniste, apaisé, civilisé, propre. «Notons que l’Amnistie générale référendaire tient en l’état les condamnations à la perpétuité et a 20 ans de détention, prison» *- Pour pouvoir œuvrer pour le retour réel de l’Etat républicain de droit, respectueux des libertés fondamentales, de tous les citoyens, et de la loi, dans l'indispensable reconnaissance de l'autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous.  *- Afin de rétablissement de la confiance entre les ivoiriens et les amis de la Côte d’Ivoire, en assurant la bonne gouvernance économique, politique et administrative, pour la Transformation de notre pays, pour en refaire, demain, une nation fraternelle, démocratique et prospère qui rayonne en Afrique et dans le monde.

Enfin, il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Donc, nous ne tomberons jamais dans la politique du médecin après la mort, dans la société a laquelle nous devons tout, et dans une nation sans laquelle notre existence aurait peut d’épaisseur, parce que déraciné, dénaturé, et dépravé. Nous sommes la LC_CRS, L’ORCHESTRATION POLITICIENNE DES VOLS AVEC EFFRACTIONS A REPETITIONS NE NOUS CHANGERONS EN RIEN. « Tous les spécialistes de la science sociale vous diront que : des dirigeants malhonnêtes, voleurs et criminels transforment la peuplade sociétale en malhonnête, en voleur et en criminelle. Ce qui est dit est dit ». Bon ! Continuons, d’autres dirons a quoi nous aspirons ? A mettre l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental, à l’avènement d’une société plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire et régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous. Voilà! Cela veut dire quoi ? Cela veut dire qu’à l’Aune de notre, républicanisme-social: Que la citoyenneté commune prime sur le clanisme. Que la laïcité prime sur la confession. Que le collectif prime sur la politique des murs diviseurs dans la société commune. Que l’universalisme prime sur le nationalisme primaire. Que le social prime sur la génétique, que la nationalité prime sur le tribalisme-ethno-communautarisme. Que l’homme politique ou l’homme public l’emporte sur son appartenance biologique, sociale et religieuse. Que les personnes physiques en politique ne soient pas une fixation. Et que la société policée prime sur la société de jungle. Que plus jamais dans notre pays, personne ne soit réduit à ceux a quoi son appartenance sociale ou sa spécificité biologique et religieuse le destine, pour des raisons politiques ou politiciennes ». Le tout dans une côte d’ivoire véritablement « ivoirienne » nouvelle, où les hommes d’horizons diverses et les citoyens ivoirien vivront selon le droit et les règles de notre seule raison d’être des humains. Une côte d’ivoire de toutes les variances légitimes, ou on pourra faire la politique et aller dormir tranquillement chez-soi.  Voilà pourquoi, nous on « Kouma » ! Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.

*- UN KOUMA routinier de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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