Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
13 juillet 2021 2 13 /07 /juillet /2021 21:33
Lepetitfils : Ils sont conscient les ivoiriens, que réunis tous ensemble, tous solidaire, côte-à-côte, coude-à-coude, mains-dans-les-mains, en mettant en commun volonté, discussions, idées, pensées et actions, qu’ils peuvent réussir l’impossible, l’impensable, n’importe quel miracle et qu’ils peuvent relever n’importe quel défi sociopolitique. Le peuple ivoirien dans son ensemble, veut soulever sa tête ivoire, pour regarder plus loin, pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux.

Lepetitfils : Ils sont conscient les ivoiriens, que réunis tous ensemble, tous solidaire, côte-à-côte, coude-à-coude, mains-dans-les-mains, en mettant en commun volonté, discussions, idées, pensées et actions, qu’ils peuvent réussir l’impossible, l’impensable, n’importe quel miracle et qu’ils peuvent relever n’importe quel défi sociopolitique. Le peuple ivoirien dans son ensemble, veut soulever sa tête ivoire, pour regarder plus loin, pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux.

*- «La Côte d’ivoire toujours dans un capharnaüm kafkaïen rééquilibré par le foutoir démocratisé».

En route avec nos Bagages en mains sur le trajet destination côte d’ivoire, nous disons qu’il faut une vraie réconciliation nationale, pour pouvoir restaurer l’état de droit républicain qui, a foutu le camp depuis 20 ans de la Côte d’ivoire Félix Houphouët Boigny. Retenons-le ici, qu’un état de droit ne tient qu’au respect des normes juridiques de régulations sociopolitiques, et qu’à la reconnaisse matérielle des droits fondamentaux de tous, dans leurs originalités absolues, à l’intérieur de l’égalité de tous en droit et en devoir, et aussi à la protection égale de tous citoyens, de leurs personnes et de leurs biens. Donc nous disons encore ici, et maintenant, qu’il est d’ordre public ou d’ordre social, et d’intérêt général, que de faire de la réconciliation nationale et de la paix sociale, une fixation absolue. Donc, c’est le lieu de se répéter toujours, que la clé de la solution de la crise ivoirienne, est entre les mains du peuple souverain de côte d’ivoire. Personne d’autre ne viendra avec une autre clé magique pour trouve une solution magique à la crise ivoirienne qui perdure, a la place du peuple souverain de côte d’ivoire, ultime détenteur du pouvoir d’état. Ni la communauté internationale, ni les procédures de la Cour pénale internationale, ne trouveront une solution, à une crise politique, astreinte à une solution politique ivoirienne.

Notre vieux refrain est, qu’il n’y a pas d’autres solutions à la crise ivoirienne que celle du consensus politique. Il demeure constant, qu’en politique, noble Art, qu’il n'y a pas de vrai conflit politique sans une solution politique, mais en politique les crises insolvables, sont toujours soutenues par l’absence de dialogues inclusifs fondés sur les défenses aveugles des intérêts politiques égoïstes et égocentriques. Or, il est d’une constance absolue qu’en politique, la vraie politique, c’est en cultivant les vertus du dialogue, de la tolérance mutuelle et de la solidarité diverse, «hélas ! Où l'emportent trop souvent la violence inouïe des diktats, l'intolérance face aux différences quelles qu’elles soient, et l'égoïsme égocentrique», qu’on arrive à la stabilité sociopolitique par le biais d’une Vraie réconciliation réussie et à la paix. Donc il n’y a d’autre solution durable à la crise ivoirienne, que celle consensuelle issue du pardon, de la repentance, de la contrition des acteurs, au terme d’un dialogue sincère. 

Et ensembles, de s’inscrire tous unis dans une option, non pas de l’oubli, mais de pardon souverain, sur la voie de réconciliation nationale vraie, et pour la paix sociale Houphouët-ienne, qui n’a de siège que, dans les cœurs et dans les esprits, «d’où il sied de préféré l’injustice d’intérêt public, au désordre sociopolitique». Afin que le tout soit couronné par une Amnistie générale référendaire. Se faisant ainsi le pardon qu’accordera le souverain peuple  martyrisé au terme du vote populaire référendaire, sera issu de l’attitude des acteurs politiques coupables de crimes «inacceptables et injustifiables». De là, découlera la responsabilité civile de l’état de côte d’ivoire, pour les préjudices subi par des tiers, qui ouvre à réparer de droit. Parce qu’en droit, la simple carence en matière de prévention des risques de conflits, entraîne la responsabilité civile étatique vis-à-vis de ses ressortissants. «Toutes les victimes ivoiriennes résultent de la belligérance reconnue à Linas-Marcoussis, ou la carence de l’état de côte d’ivoire a été constaté, qui emporte la responsabilité égale des deux ». L’état est civilement responsable.

*- Aucune évolution notable vers la réconciliation nationale, depuis 2011.

Au constat de ce qui précède, la seule solution politique possible pour aller à la réconciliation nationale, à la stabilité sociopolitique et à la paix pérenne réside là. «Chose  que nous ne cessons d’appeler ». Oui, au terme d’une crise sociopolitique, de la totalité sociale souveraine, quand la clémence peut ramener à l’amour, à la stabilité sociopolitique et à la paix sociale pérenne, ceux qu’une inflexible sévérité socio-politico-judiciaire tiendrait une crise armée contre la totalité sociale, l’Amnistie générale référendaire, est recommandée par la grande loi de l’ordre social, du bien public, et de l’intérêt général, fin essentielle de tout gouvernement qui ne peut exister que dans l’ordre. Mais hélas cette option politique irréfragable qui repose sur le besoin de cohérence et d’harmonie sociale, puisque le lien social est politique, hélas ! S’oppose à de gros intérêts politiques mafieux.

Parce que d’autres acteurs de la crise ivoirienne, ont besoin de paraitre blanc comme neige et veulent occulter leurs responsabilités dans la crise ivoirienne, qui ne doit être le fait que des autres. Nous sommes conscients qu’en politique, un pouvoir assis uniquement sur la force matérielle des armes, et sur une portion du peuple, ne peut emprunter la voie du consensus politique, la voie de l’égalité vers la justice, la liberté et la tolérance envers les convictions d'autrui. Non ! Parce que cela suppose qu’il accepte de se remettre en cause, or cette remise en cause peut sonner leurs pertes du pouvoir d’état accaparé de force. Oui ! Aucune évolution notable vers la réconciliation nationale, depuis 2011, qu’une politique économique dirigiste, avec des chiffres économiques farfelus, d’un développement qui laisse le citoyen au bord de la route du progrès de la société, ne saurait solder.

Oui depuis des années, les grandes institutions financières, «pourtant support systémique du pouvoir d’Abidjan», sonnent l’alerte ou le tocsin disant que: «L’embellie économique cache encore des poches d’inégalités sociales et des courbes de chômage en côte d’ivoire». Donc ici, il y a lieu de mettre l’homme au centre du débat économique, le citoyen au cœur de toute politique économico-sociopolitique et développementale. Mais, on persiste toujours dans la logique du pourrissement de la crise, au mépris de la recherche inlassable parfois ingrate, d’une porte de sortie de la crise, qui n’a été possible que par une volonté expéditive et unilatéraliste, de conquérir le pouvoir par les armes « 24 décembre 1999 et 18-19 septembre 2002 jusqu’en Avril 2011».  Et surtout le refus habile, de soldé le contentieux électoral de 2010, il y a toujours des prisonniers politiques sélectionnés dans les prisons ivoires, depuis 2011. Ainsi la cour pénale internationale (CPI) ne se désintéresse toujours pas, du cas de la crise en côte d’ivoire, et la cour d’assise à Abidjan ne chôme pas, par inexistence de procès, hautement politiques. Apres un embouteillage de condamnation à 20 Ans, au terme des procès politiques, elle a fini par se faire un chemin sur la voie de la perpète. Nous y sommes ! La gouvernance étatique et la gestion du lien sociale, sont hyper judiciarisé.

*- Le pays se débat sous 20 Ans de gravats, où valeurs sociales et sociétales, sont en Ruine.

«Il nous faut retenir ici, qu’un procès est dit politique, quand il réunit un État plaignant initiateur des poursuites, qui s’immiscé dans la conduite des procédures et des affaires judiciaires mettant des magistrats sous pressions du pouvoir exécutif, avec des culpabilités incertaines et des condamnations pour l’exemple ou pour l’intimidation, en espérant avoir raison ou vaincre des engagements politiques d’autres acteurs politiques. Donc procès politiques». Oui, disons-le tout net, sans ambiguïté aucune, la réconciliation nationale est une œuvre de retissage, de rafistolage et de reformatage sociopolitique d’une nation souveraine en crise sociale aiguë. Elle est incompatible avec l’entretien sciemment des crises sociopolitiques dont elle a pour objet d’effacer et de cicatriser les blessures sociales. Cette réconciliation peut s’ouvrir sur une société tolérante, apaisée, dans l’acceptation des différences.

Parce que, cette réconciliation nationale et l’autocritique qu’elle impose, lubrifie les interactions sociopolitiques, afin qu’elles ne dégénèrent en conflit ouvert ou latent. Donc cette réconciliation pourtant salvatrice, est-elle possible avec des gens qui n’admettent pas la rigueur du consensus sociopolitique, parce qu’elle exige l’abandon de l’égocentrisme, surtout des gens qui n’admettent pas s’être tromper ? Notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, destinée à être un état de droit, peine à remonter à la surface des profondeurs abyssales, d’une crise sociale aiguë, de la totalité sociale souveraine : « une crise de non-respect du droit, une crise issue des mépris pour les normes de régulations sociopolitiques préétablies et acceptées par tous. Oui, crise de droit civil, crise sociale, crise intercommunautaires, crise politique, crise civique, crise morale, crise de confiance dans les gouvernants, donc crise de légalité, crise de légitimité du pouvoir d’état, crise de vérité et pire crise identitaire ».  

Oui, répétons-le, depuis la guerre de 2011, rien de Concret, le Noir, le Néant et le Vide, pas une seule mesure politique et sociale, intelligente, crédible, opportune, novatrice et stable. Depuis, la société ivoirienne vie sous un monarchisme débridé, tempéré par le capharnaüm kafkaïen, rééquilibré par le foutoir démocratisé. Le pays bat et se débat, toujours sous vingt «20» Ans de gravats, où valeurs sociales et sociétales sont en Ruine. Bon ! Quoi de plus normal, quand l’autorité ne s’est pas imposée d’entrée de jeu, par des actions concrètes et directes, rassurant de sa légalité juridique et de sa légitimité démocratique populaire, quand chaque tenant partiel du pouvoir d’état, ignore quelle est la logique gouvernementale poursuivie, mis à part le partage du butin, et surtout quel est son rôle réel et précis dans cette architecture gouvernementale, bien que instable et confuse, l’esprit de clan devient dès lors fou et le clan devient plus agitée qu’un bordel militaire de campagne sur la ligne de front.

D’où  l’incongruité de la gestion des affaires publiques étatiques, le banditisme amoral dans la gestion de la crise sociopolitique, l’irrationalité des pensées politiques, l’inconstance des positions idéologiques, l’épuisement et la dégradation des références historiques, politiques, sociales, culturelles et même cultuelles, ne sont plus les signes de misère. Donc vive, la misère de l’expression dérivée, l’indigence avérée des mots au terme des discours creux, déconnectés de la réalité économico-socio-politique, ne sont pas non plus des signes avérés de misère. Hélas ! Tout au contraire elles deviennent des marques de l’authenticité sociopolitique. Il «l’esprit de clan» n’a plus honte de ses actions catastrophiques et de ses échecs répétés. Il porte ainsi ostensiblement ses fiascos sociaux fièrement en bandoulière, ses plantages sociopolitiques catastrophiques, deviennent ses consécrations. Le tout soutenu par un nihilisme iconoclaste en outrance. Et la gouvernance étatique maintient son œil fixé sur les poches personnelles.

D’où l’ouverture sociopolitique, non pas conçue comme un intérêt pour la paix sociopolitique et pour les idées émanant des différences sociales, mais comme une victoire sur les autres appartenances sociales, peut être vaincues, mais pas convaincues, maitrisé mais pas obéissant. D’où les condamnations expéditives à 20 Ans, se trouvent couronnées par la perpète devenues des Armes politiques de dissuasions massives et de persuasion en une faiblesse acquise. Tout en prescrivant le règlement de compte au centre du débat politique, et en inscrivant Dieu l’argent au cœur des relations socio-politico-idéologiques. Alors que le citoyen devrait être placé au cœur du débat sociopolitique, et l’homme au centre des politique économico-développemental, avec le tout état au service de l’être humain, de tout l’homme, en quelque sorte. Afin de construire une société dont non plus l’état riche, mais l’homme incarnerait la centralité et le citoyen le cœur de toute action économico-socio-politique.

Cette démarche pour la construction par et pour l’homme, pour refonder l’humanisme si cher à Félix Houphouët  Boigny,  est notre bréviaire. Qui nous sommes contraint de venir aujourd’hui en appoint à la volonté commune mille fois manifestée, des ivoiriens de tout bord politique, qui veulent s’unir pour aller à la vraie réconciliation nationale, débarrassée des tambours politiciennes. Ils veulent aller tous ensemble à la réconciliation nationale et à la paix sociopolitique d’initiative nationale, pour sauver la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Ils sont conscient les ivoiriens, que réunis tous ensemble, tous solidaire, côte-à-côte, coude-à-coude, mains-dans-les-mains, en mettant en commun volonté, discussions, idées, pensées et actions, qu’ils peuvent réussir l’impossible, l’impensable, n’importe quel miracle et qu’ils peuvent relever n’importe quel défi sociopolitique. Le peuple ivoirien dans son ensemble, veut soulever sa tête ivoire, pour regarder plus loin, pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux. Pour notre part, nous soutenons cette aspiration souveraine et légitime. Et pour se faire nous n’avons que notre sale gueule. Ici notre éclectisme impassible soutien notre foi inébranlable a l’avenir de la côte d’ivoire d’Houphouët.

Notre objectif, mille fois exprimé depuis 1999-2002, c’est d’unir la nation ivoirienne au-delà des appartenances quelles qu’elles soient, contre ceux qui veulent la diviser pour mieux la déchirer et régner comme Charlemagne. C’est de cela qu’il s’agit pour nous, Houphouët-istes engrangés. Donc se faisant, nous espérons de la sagesse atavique de notre éternel gyroscope Félix Houphouët Boigny, de la persévérance de Nelson Mandela, de l’endurance de Gandhi, et du courage de Martin Lutter King, l'ampleur de la victoire remportée par ses illustres personnes, est un exemple absolu, un éclairage gyroscope pour nous. Oui, ne l’oublions pas, notre crise est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, par des gens incapables de s’adapter à l’art du vivre en commun, dans le respect des droits inaliénables des peuples souverains à disposer d’eux-mêmes. Donc citoyens ivoiriens ! Conformément à notre idéal atavique Houphouët-ien, de la stabilité sociopolitique et de la paix sociale, restons dans la logique du refus de répondre à la violence par la violence. Allons à la réconciliation nationale Vraie. C’est avec Bagages en Mains ! Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

De Lepetitfils, Leader de la Légitimité Citoyenne.                                                  

*- Pour tout autres et pour ample infos Continuez sur : www.dacandylepetitfils.over-blog.com

Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : Le blog de Lepetitfils Da Candy
  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
  • Contact

Profil

  • dacandylepetitfils
  • DA CANDY LEPETITFILS:
Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...
  • DA CANDY LEPETITFILS: Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...

Texte Libre

Recherche

Catégories

Liens