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1 mars 2020 7 01 /03 /mars /2020 13:39
Lepetitfils : Le marathon continu, parce que, nous sommes face aux mêmes présages, qui a précéder les élections de 2010, avec les mêmes travers politiques d’Animosité, d’un pouvoir déviant marqué par le seau indélébile du sang humain versé. Et qui attend récidivé, au vu et au su de tout le monde, avec les mêmes manières et les mêmes causes et effets. Mais peut être que 2020 serait l’Arrivée d’une étape du marathon. Oui, « Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois ».

Lepetitfils : Le marathon continu, parce que, nous sommes face aux mêmes présages, qui a précéder les élections de 2010, avec les mêmes travers politiques d’Animosité, d’un pouvoir déviant marqué par le seau indélébile du sang humain versé. Et qui attend récidivé, au vu et au su de tout le monde, avec les mêmes manières et les mêmes causes et effets. Mais peut être que 2020 serait l’Arrivée d’une étape du marathon. Oui, « Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois ».

 

*- Le citoyen n’a pas besoin de salamalecs.                                                            

 

La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, va tout droit dans le mur. Les mots glauques, les phrases visqueuses et les allégations nébuleuses, pour diversion reparaissent, au terme d’un dialogue politique, concernant des élections démocratiques pluralistes, multipartites de 2020. D’où toutes les analyses expertes, doctes, et esthètes ne sont plus audibles, ou toute pensée authentiquement politique porteuse de valeurs communes, peine à se faire entendre. Au mépris de la réconciliation nationale et en dépit du droit à l’égalité de tous, de faire entendre sa voix autour de la chose publique et voir ses griefs soldées dans le consensus. La côte d’ivoire est sous la coupe de la camarilla guérilléros devenue ploutocratie avec la richesse de l’argent de la guerre. Ici, à l’épreuve des crises sociopolitiques aiguë, il convient absolument de voir souvent au-delà des rideaux diplomatiques symboliques routinières: « des messieurs et mesdames, citoyens et citoyennes, mes chers compatriotes, mais pourtant qui leurs sont chers en Rien », derrière lesquels des politicards se cachent, pour ainsi mettre les faits sociopolitiques dans le champ de l’ordre du public et de la chose publique, à la lampe de la lumière des analyses scientifiques et aux interprétations doctes de droits. Le citoyen qui a soif de droit et de liberté ne se contente pas des salamalecs. Le citoyen se voit dévolu un rôle primordial devant l’histoire et devant le monde, devenir fou furieux et débile.

 

Disons-le, le pouvoir d’Alassane Ouattara ne reflète plus la volonté générale du peuple ivoirien, il s’est substituer à une volonté particulière, celle d’un homme, Alassane Ouattara, qui s’est approprié le pouvoir pour assurer sa prospérité personnelle et celle de son clan des bouffes-tout ivoiriens, celle d’un lobby politique international, qui ne poursuit que son profit mafieux. Et celle d’un parti politique attrape-tout peuplé de bouffe-tout, qui refuse le jeu de la liberté démocratique, des élections pluralistes consensuelles, de la libre concurrence politique dans l’espace public, de la représentation et de la participation de tous citoyens à la vie politique de leurs pays. Oui il s’est approprié de force avec les armes impies le pouvoir d’état, qui est la  propriété exclusive de la totalité sociale souveraine qu’est le peuple. Le pouvoir d’Alassane Ouattara s’est ainsi coupe de son fondement légal et démocratique, qui réside dans la conscience de l’appartenance collective du peuple souverain ivoirien à une société commune, et ce pouvoir s’est situé ostensiblement au-dessus du peuple souverain par l’accaparement de la souveraineté populaire du peuple. Logiquement dans cette séparation ploutocratique à commencer le règne de la tyrannie et de l’asservissement pour se remplir les poches de deniers publics, de biens publics, pour qu’advienne une ploutocratie écrasante des citoyens moins-nantis, largement majoritaire en côte d’ivoire.

 

Oui, la seule façon honnête de gouverner un peuple souverain est d’être conséquent, de persuader, d’être crédible dans la gestion des affaires de l’état aux yeux du peuple et du monde extérieur. Mais, avec ce pouvoir de nouvelle ploutocratique et de voyoucratie avérée, tous les travers de gestions archaïques, passéistes et démodés, sont arrivés dans la gouvernance étatique ivoirienne, «  gouvernance par ordonnance présidentielle pour favoriser le gré à gré, la concussion, et le copinage. L’élaboration unilatérale d’une nouvelle constitution, dédouanée d’Assemblée constituante exigée par l’art de LA matière. Amnistie par ordonnance présidentielle, au mépris du droit qui régit cette souveraineté (référendaire, a défaut législative) et en dépit de la souveraineté du peuple. Un code de nationalité électoraliste abracadabrantesque insaisissable. Des cartes d’identité  nationalité, qui seront vendues dans les super Marché. Les élections démocratiques qui enfantent les élus sont cadenassés à souhait et a volonté, par ce pouvoir de nouvelle ploutocratique et de voyoucratie avérée, alors même qu’elles se situent au-dessus des pouvoir d’états. Etc. Le bazardage de la côte d’ivoire mise en liquidation mafieuse, quoi !

 

*- Oui un Véritable  capharnaüm kafkaïen chez pétaudière.

 

C’est pourquoi, aujourd’hui, l’arène sociopolitique ivoirienne offre un spectacle stupéfiant soutenu par un processus électoral époustouflant, horrible spectacle à ne manquer sous aucun prétexte. D’un côté on dit volontiers : Le dialogue s’est déroulé, il a été inclusif, tout le monde était présent affaire est finit. L’opposant a genou pour qu’on te dicte ta conduite en quelque sorte ». Et de l’autre côté on dit avec détermination que malgré tout : l’opposition ira a toutes les élections de 2020, qu’on ne se trompe pas en pensant que l’opposition va boycotter les élections pour laisser le champ libre à l’imposture. Voilà le décor planté, d’un déni de Démocratie que l’on impose ainsi aux autres appartenances politiques, et une insulte à l’endroit des honnêtes citoyens ivoiriens. Que le pouvoir Ouattara veut  comme des citoyens vaches qui n’ont besoin que de manger. Donc qui ne seront jamais un rival des possédants du pouvoir. Parce qu’ils ont la bouffe en GO-GO, ni un contrepoids  crédible à ces possédants du pouvoir public par rapport aux fortunes que ceux-ci amassent sur le dos du peuple. Qui ne réalise même pas le pauvre peuple, qu’on le confine ainsi dans une vie qui est celle d’un poulailler libre du renard hallucinant. Ou d’un Bouc entre les mains d’un boucher sahélien près à en user à souhait et à volonté. Donc ce pouvoir d’Alassane Ouattara répand insidieusement la boue dans l’arène politique, contraint l’opposition à y patauger et la montre du doigt après les élections de 2020 en hurlant « en enfer comme ils sont sales ces mecs».

 

Nous assistons donc, au mariage de l’eau avec le feu, soutenu par la bénédiction du grand Satan et du nébuleux diable, claudiquant tous les deux, chemin faisant vers une destination funeste, qu’on aime à dire de l’émergence. Une voie édictée par un renard libre dans le poulailler libre, par un renard hallucinant dans le poulailler halluciné, congratulant des coqs misérable de la basse-cour. Telles sont les images de la sphère politique ivoirienne et du processus électoral en prélude des élections de 2020. Tout cela devient crapuleux, quand on substitue au débat d’idée fut-il rude le cadenas-sage électoral, quand à la confrontation des arguments on préfère les fausses accusations d’atteintes à la sûreté de l’état. Parait-t-il que c’est comme ça qu’on ferme la bouche des gens avec l’utilisation des poignards dans le dos dans l’anonymat des bas-fonds. Donc plutôt que de convaincre, la politique se réduit a se saigner et à s’achever dans la fureur de l’hallali judiciaire. Et pire, même au sein du même clan des ripoux bouffe-tout au pouvoir, quand on feint de se serrer les coudes, de s’échanger case contre séné, en réalité ils investissent toutes leurs énergies dans de sadiques opérations destinées à se liquider mutuellement entre eux, autour de candidature héritière du monarque ploutocrate. Ici, faire la politique se trouve réduit ostensiblement au banditisme et à la voyoucratie. « Ou celui qui tire le premier a déclenché les hostilités mortifères, et celui qui tire le dernier coup à gagner ». C’est en réalité la démocratie réelle universelle et la république républicaine, qui prennent tout un coup. Voilà les images des actions théâtrales de notre arène politique préélectorale de 2020.

 

La logique de l’exercice politique banditisé du pouvoir d’Alassane Ouattara et son système de gouvernement du voyoutisme politique, inscrivent la politique dans ce schéma de comportement de bandes criminelles dans une foire. Ici, la politique, ce noble Art, perd sa noblesse. Pour notre part les citoyens auront sans doute remarqué qu’en ce qui nous concerne, nous analysons, nous critiquons un système mafieux, une idéologie ploutocratique, nous réfutons une idée magouillarde de confiscation du pouvoir d’état, nous stigmatisons une politique sourde et aveugle. Nous Moquons franchement, clairement parfois durement certains politiciens nationaux qui ne peuvent s’accommoder avec les principes universels de démocraties et d’élections pluralistes. Mais le banditisme politique et à la voyoucratie politicarde n’ont jamais été des nôtres. Ni l’utilisation des poignards dans le dos de la démocratie réelle dans l’anonymat des bas-fonds ne serait jamais notre alliée. Oui ! Jamais, notre entreprise citoyenne n’a jamais été celui des piranhas Alassanéen. Ça jamais ! Parce qu’il s’agit pour nous, de la côte d’ivoire d’abord et avant tout. Une côte d’ivoire unie et solidaire, ou on pourrait aller aux élections démocratique comme les sportifs vont aux  compétitions sportifs, ou le vainqueur n’est jamais connu d’avance, ou tout le monde peut gagner, et où tout le monde peut perdre, avec des arbitres reconnus par tous en compétition comme  impartiaux, totalement neutre et indépendant. « Ou une main-de-Dieu peut décider d’un résultat sans que le ciel ne tombe ».

 

Et surtout, ou on peut faire la politique et aller dormir chez soi sans aucune crainte d’être accuser d’atteinte à la sûreté de l’état ou d’être zigouillé, sinon arrêté pour sa couleur politique. Donc, il ne s’agit pas pour nous de tout larguer, de tout brader, au nom de l’intérêt personnel égoïste ou au nom dont on ne sait quelle fuite en avant de confiscation du pouvoir d’état, via un système électoral inféodé au pouvoir en place, mais il s’agit pour nous de tout récupérer dans un tous ensemble compact, solidaire et synergique, de tout revendiquer ostensiblement, « républicanisme, souverainisme, patriotisme réel, nationalisme censé, libéralisme véritable » pour mieux tout dépasser et refonder sur le socle de tout ce que les grandes expériences de l’Houphouétisme nous ont légué, une société neuve, stable, solidaire, cohérente et paisible, une société qui se nourrirait de la sève de la continuité nationale conforme à nos mœurs ataviques de non-violence et de la citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement. Donc  il s’agit pour nous de replacer au centre de la société avons-nous toujours dit et répété, non pas l’état, la bureaucratie, le fascisme, la terreur des plus puissants, mais l’homme, le citoyen au centre du débat. D’où l’homme incarnerait la centralité de toute politique et le citoyen le cœur de toute action sociopolitique.

 

*- Un engagement  contre l’arbitraire et la division qu’il cultive.

 

C’est pourquoi ce qui nous intéresse en l’homme politique est sa conduite des affaires publiques et sa gestion du denier public. Le coup de poignard planté constamment dans le dos de la démocratie et de la république ? Non ! Ces procédés lugubres ne sont pas notre genre, jamais de la vie et nous le combattons, à la vie, à la mort, s’il le faut.  C’est un engagement  contre l’arbitraire et la division qu’il cultive pour régner et le premier qui pose un genou sur le tapis de la sphère publique et de l’espace public, a perdu, pour le moment nous tenons tous debout. Ce qui ne serait pas le cas après les élections de 2020. Oui nous avons compris nous, que le désordre ou voire le chaos qui sévit dans un groupe social, une association, un état, un gouvernement, provient toujours d’une petite poignée d’individus, dont les agissements destructeurs sont éloignés du bien commun, de la volonté générale et souvent par peur des valeurs sociétales créatrices et fédératrices, telle la démocratie, les élections pluralistes, transparentes et équitables et surtout la dévolution du pouvoir d’état par élection libres, propre, transparente.

 

Donc pour résoudre les difficultés et les multiples confusions existantes, passe par le repérage de ces personnes aux effets négatifs et leur mise à l’écart avant 2020 ou par les urnes de 2020. Il s’agit de personnes qui opèrent de façons insidieuses et vicieuses qui instrumentalisent le processus pour le réduire a leurs seules exigences égocentriques de confiscation du pouvoir d’état. Et qui suscitent, les horribles spectacles sociopolitiques, les logiques électorales mortifères, les procédures judiciaires pervers narcissiques, et après se trouver toutes les excuses juridiques à leurs méfaits. Il faut les repérer et les chasser, car rien même l’ignorance, ni la bêtise, même la misère sociale et la politique du ventre n’excusent la haine et l’irresponsabilité dans la gestion sociale d’une société qui se veut policée. Que doit incarner une société civile forte agissant dans l’espace entre l’état et l’individu, où il n’y a que le vide que doit ’occuper la société civile, personne n’a de raison pour la mépriser en mettant les désordres dans le coffre des normes juridiques positifs, soutenue par des fanfaronnades réaffirmés.

 

Cette habitude du pouvoir  ivoirien, ne fait qu’en rajouter sur la coupure entre la Côte d’Ivoire d’en bas et celle d’en haut, entre les citoyens ordinaires et les élites chargés de dire ce qui est juste et bon pour la société. A force de voir des gens dire tout et son contraire avec l’assurance du divin, certains érigent la méfiance en principe suprême, pensent que les mensonges sont l’arme absolue. Les élections de 2020 seraient aussi une manifestation de cette réaction épidermique. Ces hommes au pouvoir ont toujours fait le contraire de ce qu’ils ont promis. Ils appartiennent à cette école unilatéraliste absolutiste et ploutocratique-là, qui n’avouent jamais, et jamais… et détestent l’autocritique et la contrition et ils oublient que pour le peuple souverain les paroles prononcées dans l’euphorie d’un moment sont des engagements à tenir. Dans la Côte d’Ivoire d’aujourd’hui, le défi d’un responsable politique, doit être la recherche de la crédibilité lorsqu’il parle de soi. « Le flou entretenu sur les candidature ne pourra que nuire à leurs auteurs ». À l’épreuve des crises sociopolitiques aigue il convient de voir au-delà des rideaux diplomatiques derrière lesquels des politicards peuvent se cacher et mettre les faits à la lumière des analyses scientifiques et aux interprétations de droits. Le citoyen ne se contente pas des salamalecs.

 

 *- On se fout de qui ? Des ivoirins ? Oui, qui est fou A-chez-nous-pays. 

 

Que vaut encore les paroles du troubadour des bouffes-tout d’Abidjan après toutes ces pantalonnades. Oui l’ivoirien peut certes fermer les yeux expressément en faisant fi, de ce qu’il voit en face ou jouer volontiers a la vache qui ne demande qu’à manger, mais l’ivoirien n’est plus dupe aujourd’hui. Les bouffe-tout d’Abidjan feront théâtralement appel à leur brave-tchê des que Bédié serait confirmé candidat du PDCI  et Alliés, c’est du classique pour le banditisme politique et la voyoucratie archaïque et mafieuse. Oui, (Alassane Ouattara : *- « Vous m’avez dit que vous vouliez que je fasse un troisième mandat. Je vous donnerai ma réponse l’année prochaine», *- « Tout le monde pourra être candidat en 2020 » *- « Avec les institutions de la république « nouvelle constitution de 2016 » qui seront mises en places très prochainement me permettront de prendre congé de vous en 2020. Je pourrai même écourter mon deuxième mandat si la fatigue et le sentiment du devoir accompli me poussaient à passer le relais à mon successeur constitutionnel ». *- « La nouvelle Constitution m'autorise à faire deux mandats à partir de 2020 ». « Je n`ai pas encore pris ma décision ». « Je consulterai avant de prendre ma décision ». « L’élection de 2020 sera comme 2015 ». Etc.) Se dire et se dédire, avec l’assurance du divin ou de Dieu le grand.

 

Donc, on se fout de qui ? Des ivoirins ? Oui, qui est fou A-chez-nous-pays ?  Ici nous sommes dans l’ordre de la mythomanie schizophrénique troubadourien ou la maladie de mensonge se le dispute à l’habilité roublardise au sommet de l’état ivoirien, piloté par un renard libre, dans le poulailler halluciné. Oui, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, est sous l’emprise d’un système politique de banditisme ploutocratique et de voyoucratie archaïque et mafieuse, fermé hermétiquement à toutes ouvertures des jeux politiques, dans un système politique peuplé de jongleurs alpinistes, qui déambulent entre les non-droits, et qui se nourrit du chaos social, qui crée une insécurité criante à cette fin pour avoir des alibis pour l’utilisation de la  force des armes « fusils ». Leurs viseurs sont braqués sur les élections de 2020 avec les doigts sur les détentes des armes impies. Oui Alassane Ouattara est sous la protection inhumaine et mafieuse de Dieu l’argent. Or la seule façon de gouverner librement et légalement un peuple souverain consentant est d’être conséquent, de persuader et d’être crédible.

 

« Richard NEUSTAD un grand expert des présidences américaines observait en 1960 dans un livre qui est devenu la bible de Jack KENNEDY que le présidents des Etats Unis ne possède qu’un seul pouvoir, le pouvoir de persuader ». La capacité de persuader est une arme infiniment plus efficace que les mensonges éphémères d’état. Les ivoiriens ne veulent plus de magiciens politico-économiques a aura nébuleuse. Les ivoiriens veulent simplement un « Leadership » moins cynique, déterminé à servir plutôt qu’à se servir du pouvoir. La confiance ne peut s’instaurer entre le pouvoir et les citoyens, si elle n’est pas réciproque. Les gouvernants actuels de la côte d’ivoire par Hold-up électoral de 2010  retrouveront la légitimité populaire, le jour où ils feront suffisamment confiance au peuple souverain, qu’il gouverne pour comprendre que l’avenir dépend moins de leurs décisions de confiscations du pouvoir d’état dans le temps, que l’espace laissé libre au développement de l’esprit de responsabilité citoyenne, avec la souveraineté populaire du peuple restaurer. Or nos absolutistes ivoiriens vivent de mensonges. « Bon ! Disons qu’un marathon ne s’arrête pas, malgré les coups, malgré les étapes tortueuses parcourus et à parcourir, malgré les tronchons épineux traversés et a traversés, ça ne se juge qu’à l’arrivée ».

 

*- Peut-être que 2020 serait l’Arrivée d’une étape du marathon.

 

 « Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois ». La course continue. C’est devant nous, citoyen !  Retenons ici que, faire la politique, la vraie politique, noble Art, en espérant réaliser un idéal sociétal, est un combat permanent entre ceux qui veulent le bonheur du peuple, et ceux qui à l’opposée n’ont d’autre vision du monde que l’enrichissement perpétuel au détriment du peuple. Pour le pouvoir d’Alassane Ouattara ? Egrainons-en : « Détournements dans les caisses publiques, dans les finances publiques, Brefs défenestrations de l’économie nationale, surendettement en outrance, copinage, concussion, bradage de terres et sous-sol minier de toutes sortes, Minerai de Fer, Diamant, Or, Bauxite, Nikel, alumine-aluminium, etc. Tous exploitées sauvagement afin d’enrichissement et tout y passe à la trappe de cette enrichissement illicite d’une nouvelle ploutocratie éclose sous nos yeux suite à la guerre de conquête du pouvoir par les armes (fusils) afin de pillages de la côte d’ivoire ». Or, tant que les citoyens ordinaires seront ainsi mal gouvernés parce que leurs États sombrent dans l’absolutisme unilatéraliste et la ploutocratie sangsue, ils ne pourront pas profiter de la richesse de leur pays et des retombées de leur organisation sociopolitique. Les citoyens demeureront ainsi des vaches qui n’ont besoin que de manger

 

Hélas ! Milles fois hélas ! C’est un constat irréfragable, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny est habilement entrainer petit à petit dans un engrenage fatal. Comme un homme obscurantiste et nombriliste, emporter par la violence de la puissance du courant de l’eau du fleuve, qui se noie petit-a-petit, tout en faisant des mimiques désespérées vers la gueule du crocodile. Et surtout qui s’essaie intempestivement de rassurer les observateurs de la vie politique ivoirienne, en faisant des mimiques désespéré comme tout allait bien, qu’il est un grand nageur. Alors que le prédateur crocodile, « le pouvoir d’Alassane Ouattara », imperturbable attend, sans aucun doute possible son festin sadique, pervers narcissique, et macabre en 2020. Oui, la démocratie doit être assise sur le droit et sur la liberté. Et c’est là que les ivoiriens se voient dévolus un rôle primordial devant l’histoire et devant le monde entier, devenir fou furieux et d’une débilité mentale avancée. Pour aider notre pays la côte d’ivoire d’Houphouët, à sortir de la situation de crise sempiternelle et à conduire au développement de notre pays, détruit par une guerre carriéristes, un développement qui doit commencer par l’homme sans surendettement éhonté. Oui, aider la démocratie ivoirienne à obvier les crises sociales qui peuvent entrainer des bains de sangs.

 

Aider à bâtir les droits inaliénables, les libertés individuelles et la paix sociale, pour que l’alternance politique soit assurée dans la paix dans notre pays en 2020. Ou faire la politique n’aura  rien de mafieux, ou rien ne serait unilatéral, ou rien ne serait personnel, ou rien ne serait exclusif, ou rien ne serait du moi ou rien. Ou il n’y aura ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni privilège exclusif, dans toute l’assiette territoriale ivoirienne et dans toute la sphère publique ivoirienne. Pour aboutir à un pouvoir d’état conforme au principe du : « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » d’Abraham Lincoln. Le marathon continu, parce que, nous sommes face aux mêmes présages, qui a précéder les élections de 2010, avec les mêmes travers politiques d’Animosité, d’un pouvoir déviant marqué par le seau indélébile du sang humain versé. Et qui attend récidivé, au vu et au su de tout le monde, avec les mêmes manières et les mêmes causes et effets. Mais peut être que 2020 serait l’Arrivée d’une étape du marathon. Oui, « Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

 

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Bonjour je me prénomme nadia mère de 3 enfants. Je vivais à briouze avec mon mari, quand en 2018 il décida d'aller en voyage d'affaire à Bresil , où il tomba sur le charme d'une jeune vénézuélienne et ne semblait même plus rentrer. Ces appels devenaient rares et il décrochait quelquefois seulement et après du tout plus quand je l'appelais. En février 2019, il décrocha une fois et m'interdit même de le déranger. Toutes les tentatives pour l'amener à la raison sont soldée par l'insuccès. Nos deux parents les proches amis ont essayés en vain. Par un calme après midi du 17 février 2019, alors que je parcourais les annonce d'un site d'ésotérisme, je tombais sur l'annonce d'un grand marabout du nom ZOKLI que j'essayai toute désespérée et avec peu de foi car j'avais eu a contacter 3 marabouts ici en France sans résultat. Le grand maître ZOKLI promettait un retour au ménage en au plus 7 jours . Au premier il me demande d’espérer un appel avant 72 heures de mon homme, ce qui se réalisait 48 heures après. Je l'informais du résultat et il poursuivait ses rituels.Grande fut ma surprise quand mon mari m’appela de nouveau 4 jours après pour m'annoncer son retour dans 03 jours. Je ne croyais vraiment pas, mais étonnée j'étais de le voire à l'aéroport à l'heure et au jour dits. Depuis son arrivée tout était revenu dans l'ordre. c'est après l'arrivé de mon homme que je décidai de le récompenser pour le service rendu car a vrai dire j'ai pas du tout confiance en ces retour mais cet homme m'a montré le contraire.il intervient dans les domaines suivants<br /> <br /> Retour de l'être aimé<br /> Retour d'affection en 7jours<br /> réussir vos affaires , agrandir votre entreprises et trouver de bon marché et partenaires<br /> Devenir star<br /> Gagner aux jeux de hasard<br /> Avoir la promotion au travail<br /> Envoûtements<br /> Affaire, crise conjugale<br /> Dés-envoûtement<br /> Protection contre les esprits maléfices<br /> Protection contre les mauvais sorts<br /> Chance au boulot évolution de poste au boulot<br /> Chance en amour<br /> La puissance sexuelle.<br /> agrandir son pénis<br /> Abandon de la cigarette et de l'alcool <br /> Guérir tous sorte de cancer <br /> portfeuille magic multiplicateur d'argent <br /> <br /> voici son adresse mail : maitrezokli@hotmail.com vous pouvez l'appeler directement ou l 'Ecrire sur whatsapp au 00229 61 79 46 97
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