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15 août 2019 4 15 /08 /août /2019 17:48
Lepetitfils : Il faut le Dialogue politique républicain, inclusif, sincère et le Consensus politique et social au tour de la chose publique. Il faut la Légalité et la Transparence dans l’ordre du public. Les élections dignes de ce Nom, la réconciliation nationale et la paix sociopolitique sont à ce prix pour la côte d’ivoire. Le dialogue social, le consensus politique au tour des élections démocratiques, pluralistes, multipartites doivent demeurer de rigueur, pour que le peuple souverain demeure toujours l’ultime détenteur du pouvoir d’état.

Lepetitfils : Il faut le Dialogue politique républicain, inclusif, sincère et le Consensus politique et social au tour de la chose publique. Il faut la Légalité et la Transparence dans l’ordre du public. Les élections dignes de ce Nom, la réconciliation nationale et la paix sociopolitique sont à ce prix pour la côte d’ivoire. Le dialogue social, le consensus politique au tour des élections démocratiques, pluralistes, multipartites doivent demeurer de rigueur, pour que le peuple souverain demeure toujours l’ultime détenteur du pouvoir d’état.

*- Chronique : *- (Un pouvoir d’état n’a aucune habilitation de droit de décider seul du processus électoral national, duquel les pouvoirs d’état ressortissent).

 

Il faut noter clairement ici encore sans nuance aucune ou ambiguïté que, les juridictions internationales jouent le rôle impérieux du renforcement de l’état de droit au niveau international et du maintien de la paix et de la sécurité internationale. Donc quand une cour internationale est saisie d’un différend quel qu’il soit, son but est de résoudre le litige entre les parties dans l’objectif de maintenir la paix nationale et internationale. Mais la justice internationale, aussi équitable et juste soit-elle, à une utilité très limitée si ses décisions judiciaires, définitives et obligatoires, ne sont pas exécutées en l’état par les parties au différend ou litige querellé. C’est pourquoi la bonne volonté des parties aux différents ou aux litiges et surtout la bonne foi gouvernementale assurent une exécution efficace de bonne foi des décisions des juridictions internationales. Ici la seule garantie de l’exécution est le degré de civilisation.

 

Donc les décisions judiciaires des juridictions internationales sont soumises à l’exécution de bonne foi par les parties aux différents. Cette exécution de bonne foi, permet par conséquent de mettre réellement fin aux conflits et aux rancœurs que peut susciter le différend querellé devant la juridiction internationale et ainsi, d’assurer l’effectivité de la justice internationale. Donc la difficulté constante, dans le cadre de l’exécution des décisions des juridictions internationales, c’est que la mise en œuvre de la décision est véritablement entre les mains des  parties au différend. Puisque contrairement à l’ordre juridique national interne, les juridictions internationales ne disposent pas du recours à la force publique pour faire exécuter leur décision en cas d’obstacle à l’exécution.

 

Donc le degré de civilisation, la civilité, la bonne volonté, la bonne foi des parties au litige querellé, permettent l’exécution efficace des décisions judiciaires des cours internationales. Donc dans l’affaire commission électorale ivoirienne, une deuxième décision de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples ne servira à rien sans bonne volonté des parties et sans une bonne foi des parties au diffèrent dont décision. En l’absence de bonne volonté et de bonne foi, et fort de la décision judiciaire de pur droit, de la Cour Africaine des droits de l’homme et des peuples, c’est au peuple ivoirien de rechercher a entré dans ses droits inaliénables bafoués.  Toute chose, qui ne se donne pas par un pouvoir unilatéraliste, absolutiste, despotique et déviant devenu, sourd et aveugle.

 

Donc nous disons ici clairement que, la plainte du peuple souverain ivoirien est désormais uniquement recevable que devant la présidente Dame RUE, siégeant au tribunal suprême dans toutes les rues dans l’assiette territoriale nationale, pour la démocratie universelle. Suprême juridiction sans appel, devant laquelle un peuple souverain ne sort jamais perdant, devant un pouvoir d’état armée soit-il. Oui, les ivoiriens réunis tous ensemble solidaire, en mettant en commun volonté, discussions, idées, pensées et actions peuvent réussir l’impossible, l’impensable, n’importe quel miracle et peuvent relever n’importe quel défi sociopolitique. C’est de cela qu’il s’agit. Oui nous voulons souligner ici que, le respect de la décision de la Cour Africaine des droits de l’homme et des peuples, dépend de la volonté étatique qui se doit être consensualiste pour assurer une exécution de bonne foi.

 

Puisqu’il est constat qu’un problème structurel fait que, la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, ne peut assurer elle-même l’exécution de ses décisions judiciaires, bien que de pur droit international. Il n’existe pas dans l’ordre juridique international de force publique obligeant à l’exécution de décisions juridictionnelles. Donc chaque nation souveraine membre s’engage à se conformer à la décision de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples dans tout litige auquel elle est partie. Donc l’exécution souveraine de ses décisions ne dépend que du degré de civilisation de l’état, de la grandeur de l’état, et du sérieux de l’état. Toute chose dont le respect grandit l’état dans le concert des nations. La juridiction internationale dit uniquement le droit. Et partant, en bon gyroscope, elle montre la voie légale dans le concert des nations civilisées.

 

Le respect strict d’une telle décision, qui résulte de l’application mécanique d’un pur droit, a pour but d’atténuer les éléments potentiels de conflits et différents dans la société composite et à lubrifier le mécanisme des rapports sociopolitiques, afin de garantir la paix sociale. Parce qu’en effet, c’est seulement avec l’adhésion à un système de normes fondées sur le pur droit universel que le système des interactions sociopolitiques peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents. Donc, il serait inconcevable pour la civilisation humaine et pour les valeurs que l’humanité s’est donné que, les lois positives parlementaires soient tellement arriérées qu’elles soient incapable de réguler les rapports sociopolitiques, parce qu’elles ne sont pas conformes aux règles et aux principes du droit universel. Oui, toute action ou position sociopolitique qui transcende les grands principes de droits universels, de la régulation social est le frère jumeau des violences de masse et des conflits armés.

 

Parce que cela autorise l’autorité étatique violente à augmenter la violence en le considérant comme outil légal de gouvernement. Toute chose qui appelle la réaction légitime des citoyens. C'est ainsi qu’en formant un contrepoids ou en recherchant un contrepouvoir majoritaire, où la paix sociale prime dans les interactions sociales ou humaines, que les citoyens suscitent une remise en cause d’une autorité violente et l’éveiller au meilleur d'eux-mêmes a la recherche de la paix sociopolitique en proscrivant la violence. Donc ici ses droits inaliénables reconnus par la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples et connus par le monde entier, l’ivoirien doit se décider et laisser la Cour Africaine des droits de l’homme et des peuples en paix. En prenant ses responsabilités citoyennes en côte d’ivoire, la paix n'est pas l'absence de guerre. Donc réduire la paix à l'absence de guerre, réduit la paix à une vision vide de sens, passive, incomplète, incohérente et lointaine.

 

Nous avons entendu par une voie sacrément mortifère, unilatéraliste, absolutiste, déviant, anti-droit, et anti-liberté, que le dossier de la réforme de la commission électorale est bouclé, sans pour autant nous dire par quoi c’est bouclé. Parce que, la votation politique législative d’une loi, ne confère pas de légalité de droit à cette loi, à procédure d’élaboration bâclée au mépris du droit. Aucun pouvoir d’état même législatif, ne peut contrôler la souveraineté du peuple, qui se situe au-dessus de lui et hors de sa portée. La souveraineté du peuple, c’est le droit inaliénable du peuple à disposer de lui-même, à rester maitre de son destin, à librement vivre avec des normes juridiques consensuelles, d’organisations sociales et de régulations sociales acceptées par tous, donc à maitriser son présent et son avenir. Le contrôle de la souveraineté du peuple et la volonté populaire échappent totalement à un pouvoir d’état déviant, lequel même est par principe fondamentalement opposé à ce que la souveraineté nationale appartient au peuple. Convaincre, dissuader, persuader et ne jamais tenter de vaincre.

 

Or le principe universel qui exige que, la souveraineté nationale appartient au peuple interdit évidemment à ses représentants « exécutif et législatif» non-habilités, de l'aliéner, de l’assujettir, de la mépriser, notamment en la transférant à des autorités quelles qu’elles soient « exécutives et législatives ». Aussi il est de notoriété universelle que, les lois positives parlementaires ne sont pas souvent du pur droit. Parce qu’elles sont souvent manifestement, la volonté controuvée d’un homme politique transcrit dans le corpus juridique nationale et irréfragable-ment contraire au droit universel. Dès lors, il devient impérieux qu’au terme de l’édiction d’une norme juridique positif, qui régit un domaine de souveraineté populaire soumis au consensus sociopolitique, la primauté et l’universalité réelle des droits comme fondements du pacte social, doit pouvoir se conjugué avec l’affirmation de la souveraineté nationale étatique et de la citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement, inscrit au cœur de la république et de la démocratie populaire, assis sur le principe du gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. Le pouvoir unilatéraliste d’Alassane Ouattara n’a aucune habilitation de droit, de décider seul du processus électoral national, duquel les pouvoirs ressortissent.

 

Oui, les normes positives ne sont pas souvent l’émanation du droit universel ou du droit tout court. Donc elles ne sont pas souvent conformes au pur droit universel, donc ne sont pas forcément du droit. Donc une loi législative « droit positif » à essence législatif contraire au droit universel, n’est pas du droit. Parce que ces genres de normes positives controuvées à essence législative, sont très souvent la volonté abstraite d’un homme politique ou d’un groupe politiques soucieux d’arrivée à ses fins de dominations par la légalisation de sinistres et de cyniques desseins inavoués, par le biais du renforcement du pouvoir exécutif et de son emprise sur le peuple souverain, qui est par essence l’autre figure du despotisme. Donc face à une telle situation de non-droit, le peuple souverain agit autrement que par procuration élective à un pouvoir étatique, qui lui est subordonné en l’espèce. Ici, le peuple est l’ultime détenteur du pouvoir d’état mis en compétition par élection. Ce qui est cherché, c’est le respect de la volonté générale de la totalité sociale, qui ne peut s’appliquer qu’à défendre les justes intérêts de tous ses membres, elle ne peut qu’assurer les droits des contractants consensuels de la société.

 

*2- Un peuple résigné est comme une vache qui ne demande qu’à manger même à l’Abattoir face aux bouchers.

 

Le  peuple souverain de côte d’ivoire doit résister à l’arbitraire de non-droit et à la dictature. Parce que la résistance d’un peuple qui consiste à refuser un état de fait, une autorité de fait et une situation de non-droit, qui est en violation flagrante des lois que l'humanité s'est donner. Cette attitude de résistance dans la non-violence, n’a de sens que par rapport à une situation oppressive de non-droit. Qui comporte des contraintes préjudiciables aux droits inaliénables des citoyens, aux libertés fondamentales des citoyennes, l’aliénation leurs libres arbitres, donc de leurs dignités humaines, qui de manière raisonnée ou non, ne leur conviennent pas, parce dénaturant. Donc, Résister dans la non-violence contre une autorité de fait, c’est non seulement refuser de se soumettre au non-droit d’un pouvoir oppresseur, mais aussi en contester son principe d’organisation sociopolitique, sa méthode d’accession au pouvoir d’état, sa manière de gouvernance. Ou mêmes les formes d’exercice arbitraire et d’existence dictatoriale de ce pouvoir. Le peuple souverain de côte d’ivoire doit résister à l’arbitraire de non-droit et à la dictature .Parce que, un  peuple n’a pas le droit de se résigner en procédant à la prosternation, a la courbette, a la génuflexion et à la soumission seigneurial, ou de céder au fatalisme face à l’arbitraire.

 

La résignation à se soumettre, le fatalisme à accepter passivement l’aliénation de ses droits universels, pourtant inaliénables, sans protester intelligemment, sans réaction citoyenne, donc à renoncer à ce qu’on a droit, en droit, à ce qu’on aurait préféré de droit, à se faire une raison sur son avenir personnel, sur le destin commun, à abandonner sa liberté individuelle, à subordonner son libre arbitre à une volonté dictatoriale d’un pouvoir et s’assujettir à un pouvoir oppresseur et méprisant, se résigner donc devant la dictature et accepter le fatalisme face à l’arbitraire, c’est donc s’incliner de façon inhumaine, avec ses droits devant l’oppression dictatoriale et se mettre à genou devant l’arbitraire du non-droit, rendu ainsi maitre du destin de tous.

 

Oui, c’est s’abandonner à la fatalité autodestructive, devant l’oppression dictatoriale et arbitraire qu’on peut loyalement combattre. C’est se soumettre à la dictature de l’arbitraire au lieu de se battre contre. C’est s’en remettre à la dictature de l’arbitraire au lieu de le combattre, pour qu’il décider du destin commun que le peuple peut maitriser sans lui, et de l’avenir individuel que chaque citoyen peut maitriser sans lui.  Donc raisonnée ou pas, consentie ou forcée, la résignation face à la dictature de l’arbitraire du non-droit, céder au fatalisme face à l’oppression, implique toujours de renoncer à ce qu’on a droit, de droit et en droit et qu’on aurait préféré à un souhait rendu impossible par l’oppression de la dictature et de l’arbitraire, ce à quoi on se résigne.

 

Un peuple résigné est comme une vache qui ne demande qu’à manger même à l’Abattoir. Et les difficultés que les diverses communautés ethniques d’une nation éprouvent souvent à vivre pacifiquement ensemble, sont dues souvent aux multiples tensions attisés, par les illusions personnelles du pouvoir étatique dictatorial, au mépris de l’intérêt général et de la volonté général. Il faut résister parce que, l’ivoirien a le devoir absolu de  bloquer cette dynamique démoniaque mortifère du pouvoir sanguinaire actuel de Alassane Ouattara (trop de morts de citoyens, sept milles (7000) au total) et renverser ce système pervers, déviant, mégalomaniaque, obscurantiste et unilatéraliste pour replacer l’être humain, le tout homme au centre du débat et le citoyen au cœur de la politique développementale. Donc un progrès qui ne laisse personne au bord de la route du réel développement sociale.

 

Pour résister comme ci-dessus étayé a la lampe de la lumière du droit, il y a une seule voie pour se faire, la fédération de toutes les forces régulatrices pour le changement dans notre pays la côte d’ivoire, pour l’alternance en 2020, suivi d’une gouvernance transitoire de cinq (5) ans au moins. Il est constant de par le monde que face à la politique de l’Autruche, qu’il y a des vérités qu’il faut dire et redire pendant longtemps, et longtemps rebattre des sujets sensibles de la société. Et faire tinter toujours comme une cloche, les préoccupations citoyennes pour avoir la voie sociétale idoine. Oui ! La côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique d’abord. Il faut un système de régulation, des alliances de régulations sociopolitiques « comme celle du PDCI de Bédié et du FPI de GBAGBO » qui exigent que les partis politiques ivoiriens en quêtent de paix sociopolitique, s’inscrivent résolument tous ensemble dans un processus de vraie réconciliation nationale. Oui, attention peuple ivoirien ton pays virer à une usine à gaz anti-droit, anti-liberté, antidémocratique, à l’état policier, à l’état paria, à l’état voyou imposé progressivement au peuple souverain par le pouvoir d’Alassane Ouattara. Avec la condition unique de la soumission seigneuriale au pouvoir de d’Alassane Ouattara ou la prison pour toute sorte d’opposition.

 

Donc attention ! Peuple de côte d’ivoire, les dictatures pures et dures naissent la plupart des temps souvent avec la complicité d'une petite partie des peuples et sous l’aval d’une démocratie de façade. La recherche éperdue de l’assujettissement institutionnel à son profit est manifeste dans les intempestifs passages en forces électoraux d’Alassane Ouattara, présidentielle de 2010 et les élections qui ont suivi. Présidentielle de 2015 et les élections qui ont suivi, referendum y compris. Et les élections à venir ne feront pas l’exception, rien ne doit pouvoir contrarier le projet funeste pour la côte d’ivoire du pouvoir d’Alassane Ouattara. Soutenu en cela par un clan mercantiliste mafieux et par des faux Boyards, politiciens de ventre devant l’éternel. Qui en célébrant le culte de la personnalité, de l’intérêt particulier, « Alassane Ouattara est notre maitre. En côte d’ivoire après Dieu c’est Alassane Ouattara » assujettissent le peuple a une monarchie de fait, cloitré dans des institutions vermoulues, « Assemblée nationale automate et Sénat de garage ». Donc, hélas ! Mille fois hélas !  Aujourd’hui, il ne reste plus à la côte d’ivoire que de résister avec ses droits. Le  peuple souverain de côte d’ivoire doit résister à l’arbitraire de l’unilatéralisme monarchique et à la dictature.

 

La Rue opposante consensuelle et équilibriste critique ne trahi jamais personne. Oui, Mohandas Karamchand Gandhi, Martin Luther King, Nelson Rolihlahla Mandela, Felix Houphouët Boigny et les petits fils de Thucydide en Grèce, l’ont côtoyé et l’ont pratiqué avec succès sans qu’elle ne faiblisse un seul moment, sans qu’elle ne faillisse un seul instant, tout en s’affichant aux yeux du monde comme la sève nourricière de la vie publique, comme le lieu par excellence de la démocratie du pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple, voulu par Abraham Lincoln. Donc la postérité ne pardonnera jamais ce qui de par leurs œuvres sournoises permettrons de pérenniser la damnation du peuple ivoirien par le pouvoir démoniaque, mortifère, acculturant, dénaturant, et désespérant de Alassane Ouattara. Qui veut décider seul de la vie de tous, de la vie de chacun, et de la vie de la nation.

 

Il faut noter ici, que sauf mise sous tutelle onusienne d’un état et l’organisation exclusivement par les nations unies, les élections démocratiques de par le monde ont l’obligation de se conformer aux normes juridiques nationales consensuelles, qui régissent le processus électoral national consensuel et au terme juridique dudit processus électoral national consensuel, pour être légale et de droit. Donc, il faut le Dialogue politique républicain, inclusif, sincère et le Consensus politique et social au tour de la chose publique. Il faut la Légalité et la Transparence dans l’ordre du public. Les élections dignes de ce Nom, la réconciliation nationale et la paix sociopolitique sont à ce prix pour la côte d’ivoire. Le pouvoir mafieux unilatéraliste d’Alassane Ouattara, n’a aucune habilitation de droit, de décider seul du processus électoral national, duquel les pouvoirs d’état ressortissent. Le dialogue social, le consensus politique au tour des élections démocratiques, pluralistes, multipartites doivent demeurer de rigueur, pour que le peuple souverain demeure toujours l’ultime détenteur du pouvoir d’état. Le peuple souverain ivoirien est dès lors face à son devoir de régulation sociale. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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