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20 décembre 2017 3 20 /12 /décembre /2017 12:37
 Lepetitfils : Tous libres, tous unis, tous solidaires, tous ensembles et tous pour la paix sociopolitique, allons a la vraie réconciliation nationale dans un processus comme suit: 1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques, 3)- Ouvrir le dialogue social sincère 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité 5)- Couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de Oui au moins. Il n’y a pas deux (2) postulats…

Lepetitfils : Tous libres, tous unis, tous solidaires, tous ensembles et tous pour la paix sociopolitique, allons a la vraie réconciliation nationale dans un processus comme suit: 1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques, 3)- Ouvrir le dialogue social sincère 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité 5)- Couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de Oui au moins. Il n’y a pas deux (2) postulats…

*- Une chronique la goutte d’eau. De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

 

*- Une Amnistie générale référendaire, pour la côte d’ivoire, rien que pour la côte d’ivoire.

 

Parce que dans une situation de crise sociale aigüe qui résulte d’une guerre ou tout le monde politique est presque coupables à divers degré, des auteurs de guerre d’agression aux réduit à la légitime défense, des auteurs directs aux auteurs indirects, des coauteurs directs aux coauteurs indirects, des complicités actives aux complicités passives, des recéleurs actifs aux receleurs passifs etc. Nous avons donc admis, que dès lors, que, la clémence qui résulte d’une Amnistie générale référendaire peut ramener à l’amour fraternel, à l’harmonie communautaire, à la stabilité sociopolitique, à l’ordre et à la paix sociale pérenne et au respect impartial des lois, ceux qu’une inflexible sévérité judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale, que l’Amnistie générale référendaire est recommandée par la grande loi du bien public, fin essentielle de tout gouvernement qui ne peut exister que dans l’ordre social. La détention des armes et leurs usages à souhait et a volonté aujourd’hui assurer de l’impunité ne doivent pas tromper. Il est constant qu’au terme de la crise ivoirienne « guerre qui a fait 7000 morts » de 2002 à 2011, Alassane Ouattara et sa suite même kilométrique soit-elle, ne sont vraiment à leurs juste place que sur le banc des accusés d’une juridiction de répressions nationale ou internationale de création onusienne des crimes de guerres suscités. Les retraites risquent d’être d’enfer judiciaire sans faute, et les incarcérations pour expiations a vie, avec elles la fracture sociale, la déchirure communautaire et les problèmes sociopolitique de coexistence pacifique que cela sous-tend dans la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. Et ses faits et méfaits sur la totalité sociale ivoirienne dans une situation économico-sociopolitique de damnation créée par le surendettement éhonté d’aujourd’hui. Vive alors la misère et la désolation. Oui, Alassane Ouattara et sa suite dans la chaine de commandement sont irréfragable-ment bien logé dans le champ d’application des normes du droit international pénal, avec aucun moyen d’échapper à une poursuite judiciaire, aujourd’hui et dans le temps. Les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles, sauf si l’imprescriptibilité s’oppose à un peuple souverain dans son entièreté. Oui, tous les ivoiriens qui appellent aujourd’hui à la réconciliation nationale, a la contrition, a la repentance, au pardon et à la l’Amnistie générale référendaire sont dans le vrai. Quel que soit leurs bords politiques d’aujourd’hui, leurs positions d’aujourd’hui et quel que soit ce qu’ils ont été hier, leurs positions d’hier, ils sont aujourd’hui soucieux de la côte d’ivoire. Que le peuple souverain soit l’arbitre et l’histoire le juge ultime du dernier ressort si …

 

*- Ce qui entretien les crises sociopolitiques dans le temps.

 

Oui, Après une guerre ou une crise sociopolitique aigüe comme celle qu’a subit et continue de subir la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, lorsqu’il n’y a plus de victimes de la répression injuste à défendre, lorsque les opposants emprisonnés et exilés de forces sont libres de tous mouvements, et ont retrouvés leur place dans la société et les victimes dédommagés de droit, les rancœurs s’apaisent et le passé guerrier tombe progressivement dans l’oubli, emportant avec lui les risques d’une reprise ou d’un début de guerre civile. C’est pourquoi en ce sens l’Amnistie générale référendaire post-guerre est un véritable traité de paix intérieur, elle a dès lors pour finalité et pour fondement, l’intérêt supérieur de la nation, la sureté de l’état dans son substrat sociétal composite, l’intérêt général de la totalité sociale et le bien commun. Oui, le pardon juridique bien que douloureux que transporte l’Amnistie générale référendaire post-guerre vise la satisfaction de l’intérêt public, au sens d’intérêt de l’ensemble de la communauté sociopolitique composant l’état entité abstraite. Il ne s’agit donc pas de l’intérêt de chaque particulier ou de chaque communauté, mais de l’intérêt de la nation toute entière et de la totalité sociale. Ou encore de l’État entité abstraite, qui a pour mission essentielle de garantir l’harmonie, la paix et l’unité de la société. Donc l’Amnistie générale référendaire post-guerre est préférable à une poursuite judiciaire implacable, à la répression tous azimuts des opposants vaincus de guerre. Et aux poursuites pénales, qui ne peuvent être impartiales ou équitable entre vainqueurs et vaincus dans une situation de post-guerre. Il est incontestable en politique et en démocratie, que, les appartenances philosophiques, doctrinaires et politiques ne sont agités ou dangereuses que lorsqu’on les persécute. Que les hommes politiques qui les défendent ou les animent ne sont intransigeants ou dangereux que quand on les prive de liberté et d’espace d’évolution dans l’assiette territoriale nationale de leurs pays. Aux appartenances philosophiques, doctrinaires et politiques persécutées on donne alors l’attrait du fruit défendu, la tentation de l’interdit injuste. Aux hommes politiques qui les défendent on donne alors, le prestige de la persécution, de l’instinct de survie et du malheur. Ce qui entretien les crises sociopolitiques dans le temps, au mépris du peuple qui ne demande qu’à vivre en harmonie et en paix et en dépit de l’exigence du respect de son droit, de sa liberté, et de sa souveraineté.  

 

*- C’est l’acceptation des différences qui conduit à la citoyenneté commune

 

C’est pourquoi depuis 2011 pour la côte d’ivoire, nous espérons, qu’à problème politique, qu’il puisse y avoir une solution politique, que le consensus, le dialogue, la concertation et l’arbitrage du peuple souverain soient possible. Cars la politique est un noble art qui obéit a des règles universelles, qui s’exerce dans la loyauté, dans transparence, elle est une science exacte ou tous les discours et actions politiques produisent les effets escomptés qu’ils méritent et qui en résultent. Dès lors l’exercice politique obéit à la logique du dialogue, du consensus, de la recherche de la majorité populaire et des débats d’idées contradictoires pour que la vérité germe des confrontations, qui proscrivent tout égoïsme, tout égocentrisme, tout « moi ou rien, sous l’arbitrage du peuple souverain. D’où tous les changements sont possibles dans l’ordre socio-juridique et dans la paix sociale, dans la stabilité politique, dans l’harmonie communautaire, dans la cohésion sociale. Parce que c’est l’acceptation des différences qui conduit à la citoyenneté commune, qui permet de gérer politiquement. Et le fondement de toute nation souveraine se trouve dans des normes juridiques de régulations sociales consensuelles acceptées par tous et qui garantissent droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.

 

*- Moins enclines à suivre le processus de caporalisation

 

Donc oui, nous appelons, le processus d’une vraie réconciliation nationale pyramidale comme suit: 1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques, 3)- Ouvrir le dialogue social sincère 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité 5)- Couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de Oui au moins. Il n’y a pas plusieurs postulats et ceci se fera tous ensemble dans l’union de tous, le jour où les forces sociales ivoiriennes devenues synergique dans un tous ensemble, susceptibles d’empêcher la course vers l’abîme économico-sociopolitique d’un train d’enfer et de damnation piloté par l’ultralibéralisme prédateur de jungle et du dirigiste économique criminel d’Alassane Ouattara accompagner de sa escouade phalangiste de carriéristes pathologiques, et d’arrivistes renégats, qui file tout droit dans un précipice abyssal, deviendront unies et solidaires et moins enclines à suivre le processus de caporalisation du train d’enfer et de damnation jusqu’à la catastrophe son but au finish. Donc tous libres, tous unis, tous solidaires, tous ensembles et tous pour la paix sociopolitique, allons a la vraie réconciliation nationale dans un processus comme suscité plus haut. Il n’y a pas deux (2) postulats. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny.

 

*- Une chronique la goutte d’eau. De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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