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22 novembre 2017 3 22 /11 /novembre /2017 09:45
La confiance orgueilleuse du pouvoir d’Abidjan n’est  due à une quelconque force politique ou force idéologique, ni à une quelconque force naturelle ou morale, ni à la popularité de leurs politique prédatrice de l’ultralibéralisme de jungle et leur politique économique dirigiste criminel protectrices des intérêts particuliers, ni à leurs propres popularités électorales. Hélas, milles fois hélas, leurs confiances orgueilleuses est la conséquence du manque de toute opposition conséquente de leurs adversaires politiques devenus en grande partie des observateurs ou mêmes des suiveurs dans des stratégies contre productives.

La confiance orgueilleuse du pouvoir d’Abidjan n’est due à une quelconque force politique ou force idéologique, ni à une quelconque force naturelle ou morale, ni à la popularité de leurs politique prédatrice de l’ultralibéralisme de jungle et leur politique économique dirigiste criminel protectrices des intérêts particuliers, ni à leurs propres popularités électorales. Hélas, milles fois hélas, leurs confiances orgueilleuses est la conséquence du manque de toute opposition conséquente de leurs adversaires politiques devenus en grande partie des observateurs ou mêmes des suiveurs dans des stratégies contre productives.

CHRONIQUE : La goutte d’eau. De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

L’action politique doit être définie en termes de service rendu à la vie quotidienne en société dans la paix.

Nous vivons en côte d’ivoire sous un pouvoir prédateur, ultralibéral de jungle avec son dirigisme économique criminel, drogué aux défenestrations de l’économie ivoirienne, et à la spirale du surendettement. Qui créé la désespérance sociale et le chômage de masse, en empêchant le développement de l’homme. Et qui est tout simplement en passe de nous tracer un affreux sillon d’avenir vers la ruine dans un précipice abyssal demain. Cela avec l’aide de son clan armé, de ses séides, de ses phalangistes et ses parrains d’une mafia international des grands usuriers internationaux. Ici leurs pratiques politiques et de gouvernances contredisent toutes théories politiques intelligibles du monde. Or la pensée politique théorique est indissociable avec l’action politique dans la pratique, les deux sont inextricablement liées, l’une éclaire l’autre. Aussi un gouvernant est avant tout un serviteur de l’intérêt général. Les privilèges et avantages qui lui sont accordés ne peuvent être justes et légitimes, que lorsqu’il y a une contrepartie en termes de services justes et équitables rendus à la nation, à la société commune et à la collectivité sans exclusive, sans aucune politique absolutiste de confiscation du pouvoir d’état. Dans une société de paix pérenne réconciliée avec elle-même. Donc l’action politique doit être définie en termes de service rendu à la vie quotidienne en société, qui ne laisse aucun citoyen au bord de la route du progrès social. Qui organise de droit la solidarité vers les plus faibles de la société commune. Qui protège les hommes, garantie leurs biens dans la paix sociale et dans l’harmonie communautaire. L’action politique doit se fonder dès lors sur l’harmonie sociale, sur la cohésion communautaire, sur le respect des règles démocratiques, des droits inaliénables, des libertés fondamentales. Sur le refus de la dictature de l’arbitraire oppresseur dans les relations sociales, sur le refus de la ségrégation communautaire et l’apartheid sociopolitique dans la sphère politique et dans toute l’assiette territoriale.

*- Il faut aux citoyens ivoiriens d’être capable de faire pièces dans un face-à-face avec l’état devenu mafieux et voyou.

Parce que l’idée d’un paisible ordre sociopolitique suppose que les hommes puissent avoir entre eux des rapports sociopolitiques paisibles réglés par des normes juridiques de régulations sociales consensuelles acceptées par tous. Ce qui est sources de paix sociale, d’Harmonie communautaires et de l’humanisme intégrateur. Qui privilégient le consensus politique au tour de la chose publique, le dialogue social dans l’ordre du public et d’harmonie communautaire dans le vivre en commun à la contrainte armée. Donc il faut aux citoyens ivoiriens d’être capable de faire pièces dans un face-à-face interminable entretenu entre  eux « citoyens » et l’État mafieux devenu oppresseur, devenu un système usine à gaz antisocial, antidémocratique. Qui vire à l’état policier, l’état paria, l’état voyou. Être capable de faire pièces, afin de faire coexister librement, consensuelle-ment et pacifiquement dans l’harmonie sociale, les citoyens aux droits égaux dans l’espace public, aux chances égales dans la vie politique. Donc des citoyens responsables décidés de ne plus désespérer de la politique de leurs pays, même devenue criminelle, tout comme d’ouvrir grandement les yeux sur la gestion des affaires de l'état lui-même devenue, état policier, état paria, état voyou, divaguant quotidiennement dans le sang de ses ressortissants martyrisés.

Donc des citoyens engager et impliquer dans la vie publique pour faire bouger les lignes sociopolitiques. Et soutenue par une société civile pour sa part décider de descendre dans l'arène politique, avec la ferme intention d'y jouer un rôle de premier plan en faisant progresser des idées de bon sens. Cela avec le bon ton qui sied, sans recourir à la violence, ni à une conception strictement absolutiste du pouvoir d’état, ni aux utopies d’appartenances claniques, idéologique, philosophique, religieuse, communautaire, régionale, ethnique, tribale. Et  sur l’idée constructive des murs diviseurs dressés dans la société commune ou sur le consensus des opinions cooptées, des intérêts mercantilistes mafieux qui font le jeu de la prédation de l’ultralibéralisme de jungle. Donc bloquer la dynamique démoniaque mortifère de l’ultralibéralisme prédateur de jungle et décomposé ce système pervers, criminel dirigiste, obscurantiste de Alassane Ouattara. Afin de replacer l’être humain au centre du débat sociopolitique, le citoyen au cœur de la politique développementale. Pour y parvenir, il faudra que tous les fausses partisanneries, les antagonismes inutiles, les alliances artificielles, les compromissions électorales alimentaires et la division dissolvante soit tous dépassée

*- L’affirmation de soi passe par la négation des autres, la valorisation de soi par la dévalorisation des autres.

Ce qui fera de notre pays, un pays de citoyens égaux en droit et devoir et en chance égale dans la vie publique. Parce que l’exigence de citoyenneté porte en elle-même le droit égal pour tous à la vie et à la sureté de sa vie. D’où aucun citoyen n’est laissé sur la touche du progrès social. Contrairement au train d’enfer et de damnation des criminels de guerre, qui ont zigouille sept milles (7000) citoyens sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état, et qui ont sur la conscience plus de 21000 victimes de citoyens toutes causes liées à la guerre confondues selon la CDVR, entre le 24 décembre 1999 en passant par les 18-19 septembre 2002 pour arriver au 11 avril 2011 et jusqu'à ce jour, comme rien n’était, du normal quoi. Des gens devenus trop suffisant au point d’arriver au mépris pour le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état. Oui, qu’il faut que les futurs dirigeants d’état en côte d’ivoire soient strictement sélectifs d’un clan politique et surtout compromissoires à l’image de la Corée du nord, de Cuba, de la Russie, du Venezuela et du Zimbabwe. Même si le Vieux Robert Mugabe avait le droit de terminé son mandat constitutionnel acquit démocratiquement dans la pluralité politique de candidature ou toutes les sensibilités politiques  du Zimbabwe étaient participantes l’Afrique en aurait grandi.

Donc manifestement pour ce pouvoir des criminels de guerres qui ont zigouillés sept milles (7000) citoyens sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état et qui ont sur la conscience plus de 21000 victimes de citoyens toutes causes liées à la guerre confondues selon la CDVR, question, de rester dans la logique des armes « fusils » comme mesure de valeurs sociopolitiques pour régner. Une logique guerrière qui veut que l’affirmation de soi passe par la négation des autres. Que la valorisation de soi passe par la dévalorisation des autres. Mais leurs confiances orgueilleuses en eux-mêmes, ne sont dues à une quelconque force politique ou force idéologique, ni à une quelconque force naturelle ou morale, ni à la popularité de leurs politique prédatrice de l’ultralibéralisme de jungle et leur politique économique dirigiste criminel protectrices des intérêts particuliers, ni à leurs propres popularités électorales. Hélas, milles fois hélas, leurs confiances orgueilleuses est la conséquence du manque de toute opposition conséquente de leurs adversaires politiques devenus en grande partie des observateurs ou mêmes des suiveurs dans des stratégies contre productives. Dans une situation ou les droits inaliénables et les libertés fondamentales appellent le siège absolu de la souveraineté populaire.

Oui, Depuis avril 2011 rien de concret, le noir, le néant, le vent, le sable et le vide, pas une seule mesure politique, économique et sociale, intelligente, crédible, opportune, novatrice et stable dans le sens de la réconciliation nationale. Rien que pour se remplir les poches sur le dos du peuple au terme des compromissions électorales mafieuses, auxquelles ils restent éternellement liés à jamais. Concernant les taux de croissances Farfelus chanté à tout bout de chant, retenons que le Nigeria de loin, le pays le plus riche d’Afrique ne figure pas dans les Top 10 des pays Africains à la croissance la plus forte en 2017. Mais c’est plutôt l’Ethiopie qui ne figure pas non plus dans le Top 10 des pays Africains les plus riches. L’Ethiopie est l’un des rares pays d’Afrique à avoir une croissance stable entre 7,5% et 8%. Alors que 13 millions d’Ethiopiens souffrent encore de malnutrition. Or paradoxalement, ce pays est le premier en tête dans le top 10 des meilleures croissances PIB africaines. Malgré cette forte croissance, l’Ethiopie dispose de l’un des plus faibles revenus par habitant au monde. Allez-y  comprendre…

*- Il y a des moments dans la vie des nations, ou le dilemme se résumer à lutter tous ensemble ou périr tous.

Oui, dans la vie sociopolitique d’un état républicain de droit et dans l’exercice de l’action démocratique d’une nation qui se veut civiliser, quand les règles de vies sociopolitiques du vivre en commun de partage policé, dans le respect des droits inaliénables et des libertés fondamentales ne se fondent pas sur le dialogue républicain inclusif, sur le consensus politique dans l’ordre du public, sur l’harmonie communautaire dans la vie sociale et sur la paix sociopolitique, les rapports sociaux seront toujours soumis aux aléas de l’arbitraire d’un pouvoir sanguinaire aveuglé par les deniers publics de l’état. Un pouvoir sanguinaire aveuglé par le pouvoir d’état, que viendront légitimer les abonnés à l’opportunisme promoteur du carriérisme pathologique, de l’arrivisme renégat, de l’attentisme abject, du fatalisme résigné, de la quête médiocre de postes et de sièges à occuper, pour se remplir les poches de deniers publics, soutirer des ressources naturelles souveraines du pays. Et pour que vive le chaos social sempiternel, la damnation des citoyens d’aujourd’hui et des citoyens de demain. Ce qui appelle l’expression de la souveraineté populaire. Parce qu’il y a des moments où dans l’histoire des nations émergentes, le dilemme peut ainsi se résumer, lutter tous ensemble ou périr chacun de son côté. Lutter tous ensemble pour le changement sociopolitique pour permettre à notre pays de retrouver ses repères d’un état de droit et d’une démocratie moderne, dans la paix, dans le consensus, dans l’harmonie et dans une nation souveraine réconciliée avec elle-même est un devoir de citoyens qui ne veulent pas périr chacun de son côté. « Crever cloitré dans son coin comme un Cabri « Bâkôrônî » entre les mains d’un « Ould-éen » boucher sahélien quoi ! C’est de cela qu’il s’agit, si la vraie réconciliation s’avère impossible, si de nouvelles alliances à but de régulation sociale sur cinq (5) ans, pour rétablir l’ordre sociopolitique s’avère impossible.

*- Nous sommes tous des prisonnier et/ou prisonnier en puissance d’une manière ou d’une autre en côte d’ivoire.

Il n’a pas deux (2) postulats, pour ne pas périr chacun de son côté, il faut lutter tous ensemble pour la vraie réconciliation nationale. Et sur la seule voie praticable vers la paix sociale sans succédané possible, qu’est le processus d’une vraie réconciliation nationale pyramidale comme suit: 1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques, 3)- Ouvrir le dialogue social sincère 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité 5)- Couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de Oui au moins. Il est constant qu’en politique, qu’en démocratie, et dans l’ordre du public, ou il s’agit de la chose publique ou de l’intérêt général, le referendum est le meilleur outil d’expression de la souveraineté populaire. Ou le peuple souverain agit alors dans sa souveraineté pleine et entière autrement que par procuration élective ou d’adhésion politico-idéologique.

Donc donnons la parole au peuple ivoirien, allons chercher la vérité ou elle se trouve, allons chercher le bon remède ou il se trouve et la vérité germera ou émergera et la côte d’ivoire sera guérie une fois pour toute. Parce que, ceci débouchera sur une voie légale de conquête du pouvoir d’état, dans de nouvelles alliances à but de régulation sociale sur cinq (5) ans, pour rétablir l’ordre sociopolitique. Et ensuite que les appartenances légitimes s’affirment au terme de ces cinq (5) ans de transition politique régulatrice, au cours des compétitions électorales de 2025 dans l’ordre idéologique des partis politiques ou par appartenance politique. Ou tous les citoyens partiront sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état. Toute autre solution politicienne à but électoraliste clanique est vouée à l’échec avons-nous toujours dit et répété. Donc si nous devons redevenir maitre de notre destin, n’oublions pas que tout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire, par la parole du/au peuple souverain, ou bien tout le monde restera prisonnier et/ou prisonnier en puissance d’une manière ou d’une autre en côte d’ivoire. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny.

Une chronique la goutte d’eau. De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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