Lepetitfils : Il est évident que: La cour pénale internationale (CPI) n’a pu résoudre le sérieux problème du principe d’une juridiction pénale internationale permanente, autonome, et totalement indépendante qui se pose à l’humanité depuis 1945. Ce principe d'une juridiction universelle indépendante s'est toujours heurté à la structure même de la société internationale, fondée sur la souveraineté étatique et certifié par la teneur du statut de Rome non-contraignante à l’égard de ses états partis de la CPI.
Du procureur de CPI : (Le Bureau du Procureur de la CPI poursuit ses enquêtes de façon impartiale sur tous les crimes commis en particulier lors des violences post-électorales entre novembre 2010 et avril/mai 2011, quels que soient les auteurs potentiels et leurs affiliations. La politique adoptée par le Procureur est de se concentrer sur les principaux responsables des crimes les plus graves. Dès que le Bureau aura récolté suffisamment d’éléments de preuve pour demander l’émission de nouveaux mandats d’arrêt, il le fera.)
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Un Soit-dit en passant : On veut tromper ou leurrer qui ?
La volonté des gouvernants des états partis à son statut (dont la côte d’ivoire) s’impose à la CPI. Donc la CPI n’aura jamais de preuve suffisante en côte d’ivoire contre le camp d’Alassane Ouattara à fin de poursuite judiciaire, tant qu’Alassane Ouattara et compagnie auront le pouvoir d’état en côte d’ivoire. De par son statut juridique même, qui le subordonne à la volonté des gouvernants des états partis a son statut, avec adhésion facultative et privilège de juridiction, fait de la cour pénale internationale, « CPI » une justice politique sélective des vainqueurs de guerres au service de ses états partis. La cour pénale internationale (CPI) dans sa forme actuelle, dont la compétence est soumise au principe de complémentarité, donc aux bons vouloirs des états partis à son statut, même si ses états sont criminels, ne peuvent assurer une justice impartiale dans la répression des crimes contre l’humanité commis en côte d’ivoire, suite à la guerre déclenchée en septembre 2002. Il est évident que: La cour pénale internationale (CPI) n’a pu résoudre le sérieux problème du principe d’une juridiction pénale internationale permanente, autonome, et totalement indépendante qui se pose à l’humanité depuis 1945. Ce principe d'une juridiction universelle indépendante s'est toujours heurté à la structure même de la société internationale, fondée sur la souveraineté étatique et certifié par la teneur du statut de Rome non-contraignante à l’égard de ses états partis de la CPI. Il est irréfragable que, dans les procédures de la cour pénale internationale, c’est l’impunité des gouvernants d’état en fonction et des criminels protégés par des gouvernants criminels d’états en fonctions, dans le cadre de violations graves des droits de l’homme souvent solidement documentées par divers moyens légaux (ONG des droits humains y compris) et portent manifestement atteinte, tant aux normes du droit international des droits de l’homme, qu’aux normes du droit international pénal, aux normes du droit pénal international humanitaire et même aux normes du droit international général (crimes d’agressions) tous contraignantes par essence, qui constitue une menace sur l’État de droit dans nombres de pays, y compris notre pays la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Ou les vainqueurs ont droits et raisons acquis par la victoire avec eux. Alors on veut tromper ou leurrer qui ? Mais peut-être c’est aussi ça les mystères visqueux qui décident du rang de l’Afrique dans le concert des nations civilisées. D’où les solutions espérées ou supposés remèdes aux problèmes deviennent des vrais problèmes pour l’Afrique. A ce rythme les républiques de la pauvre Afrique finiront par avoir des présidents de la république « reconnus » des états en lieu et place des présidents de la république (élus) des peuples dit souverains instrumentaires des constitutions des états d’Afrique. Bon ! Pauvre de nous peuples Africains ! Et Pauvre d’Afrique !
Un Soit-dit en passant de Lepetitfils Da Candy. Leader de la Légitimité Citoyenne. (En exil)