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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 12:27
Nous ne devons pas oublions, que les leaders politiques déportés ne reviendront en côte d’ivoire qu’a la faveur d’un changement de pouvoir, donc ils seront libéré en côte d’ivoire, a partir de la côte et par les ivoiriens de tous bords à travers le monde aspirants tous a la paix sociale. Tous ensembles d’une manière ou d’une autre, les mains nues nous réussirons à changer notre pays la côte d’ivoire.

Nous ne devons pas oublions, que les leaders politiques déportés ne reviendront en côte d’ivoire qu’a la faveur d’un changement de pouvoir, donc ils seront libéré en côte d’ivoire, a partir de la côte et par les ivoiriens de tous bords à travers le monde aspirants tous a la paix sociale. Tous ensembles d’une manière ou d’une autre, les mains nues nous réussirons à changer notre pays la côte d’ivoire.

Une chronique de Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique

Au terme de l’élection de 2015, Alassane Ouattara veut asseoir une hypothétique légalité de son pouvoir.

La côte d’ivoire dans le contexte actuel de crise sociopolitique entretenue sciemment par le pouvoir de, Alassane, pour éviter tout consensus politique autour de la chose publique, toute ouverture politique à l’opposition autour des élections à venir, qui peut les faire perdre le pouvoir d’état, qui est par essence la propriété exclusive du peuple souverain. L’ivoirien doit donc osé être lui-même et rester lui-même, en conjuguant tous les registres de la lutte légale citoyenne et du combat politique légal, tous ensemble y compris dans les urnes électorales. Pour qu’au terme de l’année 2015, le bateau du progrès social partagé qui ne laisse aucun citoyen au bord de la route du développement social, de la cohésion sociale, de l’harmonie communautaire, de la paix sociale Houphouëtienne, reprend la voie royale universelle, vers la lumière du développement intégral, économique et politique avec des hommes nouveaux au commande du navire ivoire. Avec pour destination le concert des nations civilisées et destinée à rendre la raison, à l’ordre social, à l’intérêt général, à la nécessité populaire, au dialogue social, dans une nation une et indivisible garantissant, droits inaliénables, libertés individuelles, justice juridique et sociale pour tous. Et pour un honnête exercice éclairci du noble art politique, sous la gouvernance du droit universel, des principes de la démocratie universelle, des élections consensuelles pluralistes conforme aux normes internationales, de la citoyenneté commune qui permettent de gérer politiquement. Tous ensemble d’une manière ou d’une autre c’est le seul postulat pour l’ivoirien aujourd’hui.

Un pouvoir mégalomaniaque qui sème les graines de conflits sociopolitiques.

En clair le peuple doit pouvoir faire pièces au pouvoir arbitraire de, Alassane Ouattara et à sa politique attrape-tout, d’un dirigisme économique criminel, Bâtisseur de dictature pure et dure, Réconciliateur de la politique étatique et des affaires mafieuses, se disant libéral et qui prône le vivre ensemble, qui est une valeur universellement reconnue de gauche. Une chose et son contraire quoi ! Iconoclaste ? Mafieux ? Ou escroquerie morale et intellectuelle ? Oui, le peuple doit pouvoir tous ensemble se défaire de ce pouvoir arbitraire d’une manière ou d’une autre tous ensemble y compris dans les urnes de votes. Ce pouvoir mégalomaniaque, qui sème les graines de conflits, les germes de crises sociales, les terreaux de haines, les vecteurs d’obscurantisme qui cache des limites de tous genres. La décision du peuple doit être dès lors de conjuguer le devoir de résistance et l’appel à la mobilisation de toutes les forces politiques de la côte d’ivoire et celles des nations démocratiques du monde, pour sauver notre volonté de vivre un destin meilleur que celui que veulent nous imposer le pouvoir arbitraire de, Alassane Ouattara et ses politicards mafieux. Qui pense confisquer par les armes le pouvoir d’état au terme de l’élection présidentielle de 2015, dans la continuité de celle de 2010. Pour asseoir définitivement une hypothétique légalité d’un pouvoir pourtant assis sur les armes et confisqué par les armes. Que l’ivoirien qui aspire à la paix sociale, se détrompe dès maintenant pour s’inscrire dans la logique salvatrice du tous ensemble y compris dans les urnes de votes. Parce que, quelque soit le résultat des urnes au premier tour, Alassane Ouattara et ses soutiens phalangistes qui constituent une force unique déploiera toute sa force unique au premier tour, parce que sans force d’appoint possible au deuxième tour, n’accepterait jamais par conséquent un deuxième tour. Donc qu’il soit contraint a un deuxième tour ou battu au premier tour, n’y changerait rien, ils s’autoproclameront élus dès le premier tour. Alors que tous les schémas techniques tracés par la réalité sociopolitique et électorale ivoirienne indiquent le contraire. Et les fusils seront là comme en 2010 pour la confiscation du pouvoir d’état malgré la réalité des votes dans les urnes. C’est du classique dans un système de trucage électoral, qui donne la plupart des temps naissance à une dictature pure et dure sous l’aval d’une démocratie de façade. Oui, tous ensembles d’une manière ou d’une autre et ça passera comme sur des roulettes.

La nature du pouvoir de, Alassane Ouattara ? Une dictature en fait et en droit.

L’engrenage de l’emprise sur le peuple de la dictature pure et dure sous l’aval démocratique naisse très souvent, dès lors qu’un pouvoir politique d’état est confisqué par un homme, un clan, un groupe armée, un parti politique, des intérêts financiers, un lobby, etc… et qu’il n’est plus le reflet de la volonté générale, une séparation se forme entre volonté de l’état, mise au service de quelques uns et la volonté générale qui devrait avoir en vue le bien de tous. Dans une dictature le pseudo-monarque, c’est-à-dire le estampillé chef de l’état finit par se mettre au-dessus de la loi qu’il impose seulement au peuple pour le bénéfice des intérêts personnels. Ainsi son pouvoir franchit les bornes de son exercice normal, parce qu’il ne reflète plus la volonté générale et se substitue une volonté particulière. Celle d’un homme qui s’approprie le pouvoir d’état par la force matérielle des armes, en toute illégalité et en toute illégitimité, pour assurer sa prospérité personnelle, celle de sa fratrie et de sa famille, celle d’un clan, celle d’une mafia, celle d’un lobby qui ne poursuivent que leurs profits. Se faisant le parti politique ou le groupement de partis politiques support deviennent allergiques aux normes de régulations sociales préétablies, aux lois de la république prescrites et les règlements prescrits. Et refusent ainsi la mise en cause de leurs intérêts et avantages par le jeu de la concurrence démocratique et électorale qui peut les faire perdre le pouvoir et ils s’agrippent ainsi de force au pouvoir comme un parachute dans une tempête de vent à destination variante.

Que le peuple veut ou pas le tyran reste au pouvoir.

Le pouvoir se coupe dès lors de son fondement légal, qui réside dans la conscience d’appartenance collective du peuple à une entité commune et il se situe au-dessus du peuple. Dans cette séparation commence le règne de l’arbitraire, de la dictature, de la tyrannie et de l’asservissement du peuple détenteur ultime du pouvoir d’état. Le pouvoir a rompu avec le corps social, le contrat constitutif de multiples communautés consentantes en un état sous la gouvernance des élus, édicté dans des normes de régulations sociales a été rompu. Que le peuple veut ou pas le tyran reste au pouvoir. Lui pas bouger, tant pis pour le peuple qui acquiert dès lors le droit d’aller se faire foutre en enfer. Or la légalité juridique et la légitimité démocratique, veulent que la volonté générale soit toujours exprimée dans l’action des gouvernants et se refléter toujours dans les décisions du pouvoir politique d’état. Aussi que la volonté du peuple soit toujours exprimer à tous les étapes des décisions politiques. C’est ainsi que notre système ivoirien opte pour le principe de la représentation de la volonté générale dans le système de l’élection aux suffrages universels. Qui fait des élus du peuple souverain des porte-paroles du peuple souverain pendant une échéance constitutionnelle prescrite. Des élus du peuple souverain, qui se doivent par conséquence, de porter une volonté et de transporter une voix qui, loin d’être les siennes, s’identifient à ce que le peuple souverain veut et à ce que la volonté générale exprime. Donc un dirigeant bien élu, est par définition un « mandaté » un « procuré » par le peuple et chargé de gouverner dans le respect des normes de régulations sociales préétablies acceptées par tous et de gérer la chose publique au nom de la volonté générale et pour l’intérêt général, jusqu’à l’échéance constitutionnelle légale prescrite. Et cela dans le respect de la volonté générale, sans manipulation et sans aucune fabrique électoraliste mafieuse. Ici il faut noter que, comme il est impossible d’obtenir en toutes choses l’unanimité, nous partons du principe que la volonté générale sera du côté de la majorité des voix, ou majorité des suffrages. Citoyen ! Regarde le pouvoir de Alassane sous le prisme de ce qui précède et tu concluras à une dictature…

La dictature ? C’est le « moi ou rien » c’est le « je ou rien »

Donc au vu du constat qui précède la nature patente est là, du pouvoir par les armes de, Alassane Ouattara, qui a fait sept milles (7000) morts au total, de citoyens ivoiriens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état. Qui est ostensiblement devenu allergique au respect des normes de régulations sociales préétablies, notamment la constitution ivoirienne en son article 35. Qui prospère dans un dirigisme économique criminel ou la détestation économique est la règle. Et navigue dans un communautarise nauséabond de rattrapage régional et dans des poursuites judiciaires effrénées contre les opposants politiques, dans l’emprisonnement systématique de toutes oppositions a son pouvoir. Voilà donc, nous pensons qu’au terme de ce qui précède, il est manifestement aisé pour chaque citoyen de savoir qu’elle est la nature du pouvoir de, Alassane Ouattara, une dictature en fait et en droit. La dictature ? C’est le « moi ou rien » c’est le « je ou rien » qui transportent un message clair, celui d’une dictature, qui gouverne la côte d’ivoire aujourd’hui ou après dieu c’est Alassane Ouattara. La dictature ? C'est quant une seule personne décide de tout dans un état dit de droit et dit de démocratie. La dictature ? C’est quand le peuple souverain le veut ou pas, le tyran au pouvoir dicte se qu’il veut, pas de consensus avec dieu, lui non plus « moi et je » sans plus. Donc lui ou rien, tant pis pour le reste du peuple souverain. La dictature ? C'est, suit moi et ferme ta gueule, c’est moi ou rien ton avis ne compte pas. Donc peuple de côte d’ivoire te voilà devant ta dictature avec un seul postulat tous ensembles d’une manière ou d’une autre y compris dans les urnes pour t’en débarrassé ou choisir l’enfer des crises sociopolitiques sempiternelles.

Le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ». D’Abraham LINCOLN.

N’oublie pas citoyen, la démocratie représentative constitue une organisation du pouvoir politique dont la légitimité passe par la reconnaissance de la souveraineté populaire et dont l’exercice repose sur la délégation de cette souveraineté populaire au terme d’une élection démocratique pluraliste et inclusive. Le peuple délègue ainsi sa souveraineté par le biais d’élections régulières, concurrentielles et pluralistes à des élus, qui tiennent leurs légitimités de lui « peuple souverain » chargés pour un temps avec un terme fixe et au terme d’une élection démocratique, pluraliste, inclusive aux résultats acceptés par tous. La démocratie ne consiste donc pas à mettre épisodiquement un bulletin dans une urne, à déléguer les pouvoirs à un ou plusieurs élus puis à se désintéresser, s'abstenir, se taire pendant cinq ans. Non ! Elle est action continuelle du citoyen sur les affaires de l'Etat qui décide de la vie de tous et de chacun. Donc l’individu « élu » exerce le pouvoir politique d’état uniquement du fait de son appartenance politique à une nation, ce pouvoir lui est donc conféré. Il ne lui appartient pas en propre, en tant qu’individu. C’est tout le sens du : « Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ». D’Abraham LINCOLN.

Aujourd’hui, plus que jamais, notre pays est divisé entre criminel usurpateurs et la résistance légitime.

Certes une dictature peut se permettre de chercher à brouiller les pistes démocratiques, à entretenir l’amalgame et à semer la confusion des genres, mais il ne peut pas convertir le faux en vrai, l’illusion en réalité, le vice en vertu au point de justifier que la démocratie peut être supplantée par quelque chose de meilleur et qui n’est autre chose qu’ une dictature en fait et en droit. C’est pourquoi, il est des agissements de politicards loufoques dans l’arène politique ivoirienne qui dénotent, non seulement le ridicule dans l’action politique, mais la bassesse des ambitions perverses et des intérêts égoïstes, en ce sens que ces agissements carriéristes protecteurs des intérêts égotistes sont porteurs de périls pour leurs auteurs et pour la nation toute entière. Cars un peuple peut dormir un moment, mais un peuple ne dort pas tout les temps. Surtout qu’aujourd’hui, plus que jamais, notre paysage politique est divisé entre (Les usurpateurs de la légalité constitutionnelle et de la légitimité démocratique), et (La résistance légitime contre l’arbitraire qui est composé des forces démocratiques ivoiriennes et avec appel au monde ouvert et libre). Et dans cette division sciemment entretenue par une politique différentialiste, nihiliste, iconoclaste, renégate, mafieuse, d’un usurpateur de rassemblement des ripoux piloté par un dirigiste économique criminel, un pouvoir arbitraire, dictatorial, tyrannique, despotique et mafieux de l’alpiniste Alassane Ouattara et son escouade de mangecrates d’alliance alimentaire vont rendre le peuple souverain de côte d’ivoire débile et fou furieux avec leurs agissements inconscients, inconséquents. Or le pouvoir d’état qui rend un peuple souverain fou furieux et débile paye cash cette débilité avancée et cette folie furieuse. Ça ne tient qu’a un tous ensemble salvatrice d’une manière ou d’une autre y compris dans les urnes

Pour rester maitre de notre destin, lutter tous ensemble pour changer notre pays.

Le peuple ivoirien doit pouvoir se défaire du pouvoir arbitraire de, Alassane Ouattara d’une manière ou d’une autre. Ce pouvoir qui sème les graines de conflit sociopolitiques, les germes de crises sociales sempiternelle, les terreaux de haines ethniques et communautaires, un véritable vecteur d’obscurantisme qui cache des limites de tous genres. Dès lors la décision du peuple doit être, de conjuguer le devoir de résistance et l’appel à la mobilisation de toutes les forces politiques de la côte d’ivoire tous ensembles et celles des nations démocratiques du monde, avons-nous dit d’emblée. Pour sauver notre volonté de vivre un destin meilleur que celui que veulent nous imposer le pouvoir arbitraire de, Alassane Ouattara et ses politicards mafieux au terme de l’élection présidentielle de 2015. Pour l’ivoirien digne de ce Nom, il reste un seul postulat, pour rester maitre de notre destin, lutter tous ensemble pour changer notre pays. Nous ne devons pas oublions, que les leaders politiques déportés ne reviendront en côte d’ivoire qu’a la faveur d’un changement de pouvoir, donc ils seront libéré en côte d’ivoire, a partir de la côte et par les ivoiriens de tous bords à travers le monde aspirants tous a la paix sociale. Et aussi que tout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire par la parole du/au peuple souverain ou bien tout le monde restera prisonnier et/ou prisonnier en puissance d’une manière ou d’une autre en côte d’ivoire. » Tous ensembles d’une manière ou d’une autre, les mains nues nous réussirons à changer notre pays la côte d’ivoire.

(BONNE SEMAINE A TOUS)

Une chronique de Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

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