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13 juillet 2021 2 13 /07 /juillet /2021 21:33
Lepetitfils : Ils sont conscient les ivoiriens, que réunis tous ensemble, tous solidaire, côte-à-côte, coude-à-coude, mains-dans-les-mains, en mettant en commun volonté, discussions, idées, pensées et actions, qu’ils peuvent réussir l’impossible, l’impensable, n’importe quel miracle et qu’ils peuvent relever n’importe quel défi sociopolitique. Le peuple ivoirien dans son ensemble, veut soulever sa tête ivoire, pour regarder plus loin, pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux.

Lepetitfils : Ils sont conscient les ivoiriens, que réunis tous ensemble, tous solidaire, côte-à-côte, coude-à-coude, mains-dans-les-mains, en mettant en commun volonté, discussions, idées, pensées et actions, qu’ils peuvent réussir l’impossible, l’impensable, n’importe quel miracle et qu’ils peuvent relever n’importe quel défi sociopolitique. Le peuple ivoirien dans son ensemble, veut soulever sa tête ivoire, pour regarder plus loin, pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux.

*- «La Côte d’ivoire toujours dans un capharnaüm kafkaïen rééquilibré par le foutoir démocratisé».

En route avec nos Bagages en mains sur le trajet destination côte d’ivoire, nous disons qu’il faut une vraie réconciliation nationale, pour pouvoir restaurer l’état de droit républicain qui, a foutu le camp depuis 20 ans de la Côte d’ivoire Félix Houphouët Boigny. Retenons-le ici, qu’un état de droit ne tient qu’au respect des normes juridiques de régulations sociopolitiques, et qu’à la reconnaisse matérielle des droits fondamentaux de tous, dans leurs originalités absolues, à l’intérieur de l’égalité de tous en droit et en devoir, et aussi à la protection égale de tous citoyens, de leurs personnes et de leurs biens. Donc nous disons encore ici, et maintenant, qu’il est d’ordre public ou d’ordre social, et d’intérêt général, que de faire de la réconciliation nationale et de la paix sociale, une fixation absolue. Donc, c’est le lieu de se répéter toujours, que la clé de la solution de la crise ivoirienne, est entre les mains du peuple souverain de côte d’ivoire. Personne d’autre ne viendra avec une autre clé magique pour trouve une solution magique à la crise ivoirienne qui perdure, a la place du peuple souverain de côte d’ivoire, ultime détenteur du pouvoir d’état. Ni la communauté internationale, ni les procédures de la Cour pénale internationale, ne trouveront une solution, à une crise politique, astreinte à une solution politique ivoirienne.

Notre vieux refrain est, qu’il n’y a pas d’autres solutions à la crise ivoirienne que celle du consensus politique. Il demeure constant, qu’en politique, noble Art, qu’il n'y a pas de vrai conflit politique sans une solution politique, mais en politique les crises insolvables, sont toujours soutenues par l’absence de dialogues inclusifs fondés sur les défenses aveugles des intérêts politiques égoïstes et égocentriques. Or, il est d’une constance absolue qu’en politique, la vraie politique, c’est en cultivant les vertus du dialogue, de la tolérance mutuelle et de la solidarité diverse, «hélas ! Où l'emportent trop souvent la violence inouïe des diktats, l'intolérance face aux différences quelles qu’elles soient, et l'égoïsme égocentrique», qu’on arrive à la stabilité sociopolitique par le biais d’une Vraie réconciliation réussie et à la paix. Donc il n’y a d’autre solution durable à la crise ivoirienne, que celle consensuelle issue du pardon, de la repentance, de la contrition des acteurs, au terme d’un dialogue sincère. 

Et ensembles, de s’inscrire tous unis dans une option, non pas de l’oubli, mais de pardon souverain, sur la voie de réconciliation nationale vraie, et pour la paix sociale Houphouët-ienne, qui n’a de siège que, dans les cœurs et dans les esprits, «d’où il sied de préféré l’injustice d’intérêt public, au désordre sociopolitique». Afin que le tout soit couronné par une Amnistie générale référendaire. Se faisant ainsi le pardon qu’accordera le souverain peuple  martyrisé au terme du vote populaire référendaire, sera issu de l’attitude des acteurs politiques coupables de crimes «inacceptables et injustifiables». De là, découlera la responsabilité civile de l’état de côte d’ivoire, pour les préjudices subi par des tiers, qui ouvre à réparer de droit. Parce qu’en droit, la simple carence en matière de prévention des risques de conflits, entraîne la responsabilité civile étatique vis-à-vis de ses ressortissants. «Toutes les victimes ivoiriennes résultent de la belligérance reconnue à Linas-Marcoussis, ou la carence de l’état de côte d’ivoire a été constaté, qui emporte la responsabilité égale des deux ». L’état est civilement responsable.

*- Aucune évolution notable vers la réconciliation nationale, depuis 2011.

Au constat de ce qui précède, la seule solution politique possible pour aller à la réconciliation nationale, à la stabilité sociopolitique et à la paix pérenne réside là. «Chose  que nous ne cessons d’appeler ». Oui, au terme d’une crise sociopolitique, de la totalité sociale souveraine, quand la clémence peut ramener à l’amour, à la stabilité sociopolitique et à la paix sociale pérenne, ceux qu’une inflexible sévérité socio-politico-judiciaire tiendrait une crise armée contre la totalité sociale, l’Amnistie générale référendaire, est recommandée par la grande loi de l’ordre social, du bien public, et de l’intérêt général, fin essentielle de tout gouvernement qui ne peut exister que dans l’ordre. Mais hélas cette option politique irréfragable qui repose sur le besoin de cohérence et d’harmonie sociale, puisque le lien social est politique, hélas ! S’oppose à de gros intérêts politiques mafieux.

Parce que d’autres acteurs de la crise ivoirienne, ont besoin de paraitre blanc comme neige et veulent occulter leurs responsabilités dans la crise ivoirienne, qui ne doit être le fait que des autres. Nous sommes conscients qu’en politique, un pouvoir assis uniquement sur la force matérielle des armes, et sur une portion du peuple, ne peut emprunter la voie du consensus politique, la voie de l’égalité vers la justice, la liberté et la tolérance envers les convictions d'autrui. Non ! Parce que cela suppose qu’il accepte de se remettre en cause, or cette remise en cause peut sonner leurs pertes du pouvoir d’état accaparé de force. Oui ! Aucune évolution notable vers la réconciliation nationale, depuis 2011, qu’une politique économique dirigiste, avec des chiffres économiques farfelus, d’un développement qui laisse le citoyen au bord de la route du progrès de la société, ne saurait solder.

Oui depuis des années, les grandes institutions financières, «pourtant support systémique du pouvoir d’Abidjan», sonnent l’alerte ou le tocsin disant que: «L’embellie économique cache encore des poches d’inégalités sociales et des courbes de chômage en côte d’ivoire». Donc ici, il y a lieu de mettre l’homme au centre du débat économique, le citoyen au cœur de toute politique économico-sociopolitique et développementale. Mais, on persiste toujours dans la logique du pourrissement de la crise, au mépris de la recherche inlassable parfois ingrate, d’une porte de sortie de la crise, qui n’a été possible que par une volonté expéditive et unilatéraliste, de conquérir le pouvoir par les armes « 24 décembre 1999 et 18-19 septembre 2002 jusqu’en Avril 2011».  Et surtout le refus habile, de soldé le contentieux électoral de 2010, il y a toujours des prisonniers politiques sélectionnés dans les prisons ivoires, depuis 2011. Ainsi la cour pénale internationale (CPI) ne se désintéresse toujours pas, du cas de la crise en côte d’ivoire, et la cour d’assise à Abidjan ne chôme pas, par inexistence de procès, hautement politiques. Apres un embouteillage de condamnation à 20 Ans, au terme des procès politiques, elle a fini par se faire un chemin sur la voie de la perpète. Nous y sommes ! La gouvernance étatique et la gestion du lien sociale, sont hyper judiciarisé.

*- Le pays se débat sous 20 Ans de gravats, où valeurs sociales et sociétales, sont en Ruine.

«Il nous faut retenir ici, qu’un procès est dit politique, quand il réunit un État plaignant initiateur des poursuites, qui s’immiscé dans la conduite des procédures et des affaires judiciaires mettant des magistrats sous pressions du pouvoir exécutif, avec des culpabilités incertaines et des condamnations pour l’exemple ou pour l’intimidation, en espérant avoir raison ou vaincre des engagements politiques d’autres acteurs politiques. Donc procès politiques». Oui, disons-le tout net, sans ambiguïté aucune, la réconciliation nationale est une œuvre de retissage, de rafistolage et de reformatage sociopolitique d’une nation souveraine en crise sociale aiguë. Elle est incompatible avec l’entretien sciemment des crises sociopolitiques dont elle a pour objet d’effacer et de cicatriser les blessures sociales. Cette réconciliation peut s’ouvrir sur une société tolérante, apaisée, dans l’acceptation des différences.

Parce que, cette réconciliation nationale et l’autocritique qu’elle impose, lubrifie les interactions sociopolitiques, afin qu’elles ne dégénèrent en conflit ouvert ou latent. Donc cette réconciliation pourtant salvatrice, est-elle possible avec des gens qui n’admettent pas la rigueur du consensus sociopolitique, parce qu’elle exige l’abandon de l’égocentrisme, surtout des gens qui n’admettent pas s’être tromper ? Notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, destinée à être un état de droit, peine à remonter à la surface des profondeurs abyssales, d’une crise sociale aiguë, de la totalité sociale souveraine : « une crise de non-respect du droit, une crise issue des mépris pour les normes de régulations sociopolitiques préétablies et acceptées par tous. Oui, crise de droit civil, crise sociale, crise intercommunautaires, crise politique, crise civique, crise morale, crise de confiance dans les gouvernants, donc crise de légalité, crise de légitimité du pouvoir d’état, crise de vérité et pire crise identitaire ».  

Oui, répétons-le, depuis la guerre de 2011, rien de Concret, le Noir, le Néant et le Vide, pas une seule mesure politique et sociale, intelligente, crédible, opportune, novatrice et stable. Depuis, la société ivoirienne vie sous un monarchisme débridé, tempéré par le capharnaüm kafkaïen, rééquilibré par le foutoir démocratisé. Le pays bat et se débat, toujours sous vingt «20» Ans de gravats, où valeurs sociales et sociétales sont en Ruine. Bon ! Quoi de plus normal, quand l’autorité ne s’est pas imposée d’entrée de jeu, par des actions concrètes et directes, rassurant de sa légalité juridique et de sa légitimité démocratique populaire, quand chaque tenant partiel du pouvoir d’état, ignore quelle est la logique gouvernementale poursuivie, mis à part le partage du butin, et surtout quel est son rôle réel et précis dans cette architecture gouvernementale, bien que instable et confuse, l’esprit de clan devient dès lors fou et le clan devient plus agitée qu’un bordel militaire de campagne sur la ligne de front.

D’où  l’incongruité de la gestion des affaires publiques étatiques, le banditisme amoral dans la gestion de la crise sociopolitique, l’irrationalité des pensées politiques, l’inconstance des positions idéologiques, l’épuisement et la dégradation des références historiques, politiques, sociales, culturelles et même cultuelles, ne sont plus les signes de misère. Donc vive, la misère de l’expression dérivée, l’indigence avérée des mots au terme des discours creux, déconnectés de la réalité économico-socio-politique, ne sont pas non plus des signes avérés de misère. Hélas ! Tout au contraire elles deviennent des marques de l’authenticité sociopolitique. Il «l’esprit de clan» n’a plus honte de ses actions catastrophiques et de ses échecs répétés. Il porte ainsi ostensiblement ses fiascos sociaux fièrement en bandoulière, ses plantages sociopolitiques catastrophiques, deviennent ses consécrations. Le tout soutenu par un nihilisme iconoclaste en outrance. Et la gouvernance étatique maintient son œil fixé sur les poches personnelles.

D’où l’ouverture sociopolitique, non pas conçue comme un intérêt pour la paix sociopolitique et pour les idées émanant des différences sociales, mais comme une victoire sur les autres appartenances sociales, peut être vaincues, mais pas convaincues, maitrisé mais pas obéissant. D’où les condamnations expéditives à 20 Ans, se trouvent couronnées par la perpète devenues des Armes politiques de dissuasions massives et de persuasion en une faiblesse acquise. Tout en prescrivant le règlement de compte au centre du débat politique, et en inscrivant Dieu l’argent au cœur des relations socio-politico-idéologiques. Alors que le citoyen devrait être placé au cœur du débat sociopolitique, et l’homme au centre des politique économico-développemental, avec le tout état au service de l’être humain, de tout l’homme, en quelque sorte. Afin de construire une société dont non plus l’état riche, mais l’homme incarnerait la centralité et le citoyen le cœur de toute action économico-socio-politique.

Cette démarche pour la construction par et pour l’homme, pour refonder l’humanisme si cher à Félix Houphouët  Boigny,  est notre bréviaire. Qui nous sommes contraint de venir aujourd’hui en appoint à la volonté commune mille fois manifestée, des ivoiriens de tout bord politique, qui veulent s’unir pour aller à la vraie réconciliation nationale, débarrassée des tambours politiciennes. Ils veulent aller tous ensemble à la réconciliation nationale et à la paix sociopolitique d’initiative nationale, pour sauver la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Ils sont conscient les ivoiriens, que réunis tous ensemble, tous solidaire, côte-à-côte, coude-à-coude, mains-dans-les-mains, en mettant en commun volonté, discussions, idées, pensées et actions, qu’ils peuvent réussir l’impossible, l’impensable, n’importe quel miracle et qu’ils peuvent relever n’importe quel défi sociopolitique. Le peuple ivoirien dans son ensemble, veut soulever sa tête ivoire, pour regarder plus loin, pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux. Pour notre part, nous soutenons cette aspiration souveraine et légitime. Et pour se faire nous n’avons que notre sale gueule. Ici notre éclectisme impassible soutien notre foi inébranlable a l’avenir de la côte d’ivoire d’Houphouët.

Notre objectif, mille fois exprimé depuis 1999-2002, c’est d’unir la nation ivoirienne au-delà des appartenances quelles qu’elles soient, contre ceux qui veulent la diviser pour mieux la déchirer et régner comme Charlemagne. C’est de cela qu’il s’agit pour nous, Houphouët-istes engrangés. Donc se faisant, nous espérons de la sagesse atavique de notre éternel gyroscope Félix Houphouët Boigny, de la persévérance de Nelson Mandela, de l’endurance de Gandhi, et du courage de Martin Lutter King, l'ampleur de la victoire remportée par ses illustres personnes, est un exemple absolu, un éclairage gyroscope pour nous. Oui, ne l’oublions pas, notre crise est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, par des gens incapables de s’adapter à l’art du vivre en commun, dans le respect des droits inaliénables des peuples souverains à disposer d’eux-mêmes. Donc citoyens ivoiriens ! Conformément à notre idéal atavique Houphouët-ien, de la stabilité sociopolitique et de la paix sociale, restons dans la logique du refus de répondre à la violence par la violence. Allons à la réconciliation nationale Vraie. C’est avec Bagages en Mains ! Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

De Lepetitfils, Leader de la Légitimité Citoyenne.                                                  

*- Pour tout autres et pour ample infos Continuez sur : www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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8 juillet 2021 4 08 /07 /juillet /2021 01:37
Frères et sœurs, aujourd’hui, le temps est favorable pour la manifestation de l’Amour avec grand A envers tous les concitoyens, peu importe leur ethnie, leur religion ou obédience politique. Le temps n’est plus aux imprécations ! Ne donnons donc aucune place à l’amertume, à la rancune, à la douleur, à la déception et à la colère. Levons-nous plutôt et avançons nos yeux fixés sur la vision

Frères et sœurs, aujourd’hui, le temps est favorable pour la manifestation de l’Amour avec grand A envers tous les concitoyens, peu importe leur ethnie, leur religion ou obédience politique. Le temps n’est plus aux imprécations ! Ne donnons donc aucune place à l’amertume, à la rancune, à la douleur, à la déception et à la colère. Levons-nous plutôt et avançons nos yeux fixés sur la vision

*- Levons-nous et avançons nos yeux fixés sur la vision.

Chers frères et chères sœurs.

Après 10 ans loin des siens et de son peuple, le Président Laurent Gbagbo nous est revenu le jeudi 17 juin 2021, avec une victoire magnifique sur toute l’adversité et un procès international.

Je bénis le nom de l’Eternel qui, jour après jour, a su le couvrir de son assistance et l’a délivré de ses ennemis qui étaient plus forts que lui. Par Sa main forte et puissante, Dieu nous l’a ramené vivant. Il mérite que nous fassions monter vers Lui, nos actions de grâce.

Chers frères et chères sœurs, le Président Laurent Gbagbo est enfin parmi nous. Tout comme moi, vous avez été nombreux à lui réserver un accueil très chaleureux. Je vous en remercie et vous en suis très reconnaissante.

Notre vision commune d’une nation forte et souveraine, d’une nation réconciliée, moderne, prospère et ouverte, d’une nation remplie de justice et d’équité, le Président Laurent Gbagbo l’a porté avec un brio inégalé encore aujourd’hui.

Ce retour, a aussi été le fruit de l’accord du Chef de l’Etat, M. Alassane Ouattara, de voir le Président Laurent Gbagbo, rentrer dans son pays. Je lui dis infiniment merci pour cela.

Et je viens encore une fois, plaider pour qu’il continue à poser ces actes forts d’apaisement et de réconciliation que tout le peuple de Côte d’Ivoire attend. Notamment :

- Faire revenir au pays, Charles Blé Goudé et tous les nombreux fils et filles de la Côte d’Ivoire, encore en exil ;

- Libérer les prisonniers civils et militaires de la crise postélectorale qui continuent de purger leurs lourdes peines

- Libérer les nombreux prisonniers de la dernière crise politique dite " du troisième mandat".

Au-delà de l’affection, de l’amitié, de l’amour et même, de l’attachement que tous nous portons à la personne du Président Laurent Gbagbo, nous ne devons jamais oublier que la grande aspiration du peuple, est de voir notre pays la Côte d’Ivoire, sortir définitivement de ses contradictions internes, de ses difficultés et de ses limitations. Ce peuple rêve d’une nation véritablement réconciliée, développée, modernisée.

La profonde espérance que cette vision a su lever en nous, perdure encore et ne veut, ni ne peut s’éteindre.

Frères et sœurs, aujourd’hui, le temps est favorable pour la manifestation de l’Amour avec grand A envers tous les concitoyens, peu importe leur ethnie, leur religion ou obédience politique. Le temps n’est plus aux imprécations ! Ne donnons donc aucune place à l’amertume, à la rancune, à la douleur, à la déception et à la colère. Levons-nous plutôt et avançons nos yeux fixés sur la vision.

Dieu veille, Il dirige tout, Il conduit tout. Ne quittons pas notre place, restons calme et gardons notre sang froid. L’essentiel est encore à venir.

Je voudrais enfin, saisir l’opportunité de cette adresse pour vous exprimer toute ma joie, ma gratitude et ma reconnaissance pour l’attachement que vous avez manifesté à ma personne à l’occasion de la célébration de mon dernier anniversaire.

J’ai été célébrée en Côte d’Ivoire, dans plusieurs pays africains, en France, en Angleterre, au Canada, pour ne citer que ces places. Des plateaux télés m’ont même été consacrés. Plusieurs vœux m’ont été transmis par des internautes sur les réseaux sociaux.

Pour toutes vos marques d’attention et d’affection, je vous dis merci du fond du cœur.

Je voudrais terminer mes propos en vous invitant à garder le cap, les yeux fixés sur la vision. Tout va bien.
Que Dieu vous bénisse tous, et qu’Il bénisse la Côte d’Ivoire !

Simone EHIVET GBAGBO

(FIN)

 

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Ceci est notre Avis personnel qui n’a rien à voir avec la boussole de vision si dessus. Ici, nous crions encore au Renard libre dans le poulailler. Puisqu’on ne se tait pas dans une crise sociale puis s’en sortir par la bonne porte, donc, répétons-nous encore. Oui, Nous avons toujours dit et répété, qu’il faut éviter la division dans la lutte de reconquête de la paix sociale et du pouvoir d’état, si c’est à fin de régulation sociopolitique, sur une période déterminée. Oui, qu’on se le tient pour dit ; Rien ne se fera dans la division, rien ne sera réussi dans la division, rien ne changera en côte d’ivoire dans la division. C’est en luttant tous ensemble pour l’intérêt supérieur de la nation et pour l’intérêt général de la totalité sociale souveraine, que nous réussirons à restaurer la paix sociopolitique dans notre pays et à conquérir le pouvoir d’état à cette fin. Et qu’ensuite a forgé un état de droit, une stabilité sociopolitique et une paix sociale pérenne en côte d’ivoire. Ou l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé ou d’être embastillé sinon être arrêté.

Donc nous soutenons, toujours au risque de déplaire à ce qui ne comprendra pas le sens de notre recherche inlassable parfois ingrate de l’ordre social et de la paix sociale pérenne, que, la lutte de leadership aveugle est une tare en politique. L’antagonisme partisan autodestructeur de positionnement personnel est un mal en politique. Que dans une société en crise aiguë la division dissolvant est contre-productif.  Que le culte des appartenances idéologiques, est périlleux pour une nation en crise  Que ce sont ces maux qui tiennent la crise ivoirienne armée contre la totalité sociale. Donc qu’il sied au bon citoyen, de s’inscrire dans le tous ensembles, qui transcende tous les rigoristes faux clivages politiques, les appartenances d’intérêt particulier, les antagonismes artificiels et la division dissolvants, pour ne retenir que la côte d’ivoire et l’intérêt général de la totalité sociale. 

Donc s’allié et se rallié pour l'intérêt général d'abord et rassembler au-delà de ses appartenances idéologico-politiques dans la recherche de la réconciliation vraie et de la stabilité économico-sociopolitique. Qu’il nous faut ivoirien, absolument taire nos querelles personnelles, arrêter nos divisions internes, placarder nos brouilles de sentimentale ou de leadership, pour montrer notre capacité à faire bouger les lignes sociopolitiques dans notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Que, donc l’heure n’est pas aux réclusions derrières des égos assis sur des luttes intestines et par des déchirures partisanes, par des combats de leadership interne et externe, ou aucun leader politique n’a sortira vainqueur, ni aujourd’hui, ni demain, encore moins en 2025 objet de toutes les stratégies politiques actuelles ; En clair nous disons-là, que l’arène  politique ivoirienne à des tares qui nuisent au bon fonctionnement sociopolitique de la société ivoirienne. Que c’est pourquoi depuis 2011 la côte d’ivoire va mal très mal même. Donc qu’il s’agit de Lutter tous ensemble ou périr chacun de son côté, qu’il n’y a pas deux (2) postulat. Oui, Nous avons crié au Renard libre dans le poulailler halluciné. Que la nature protège la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

*- Cet Avis personnel n’engage que nous : Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

*- Pour tout autres et pour ample infos compulsez ci-dessous sur :www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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4 juillet 2021 7 04 /07 /juillet /2021 14:55
Lepetitfils : Ici nous ne sommes pas dans les brouhahas folkloriques et propagandiste, nous sommes les adeptes du très biens compté de la danse Zaouli. L’auto-publicité n’est pas notre genre «le rigorisme dans l’action politique oblige». La propagande personnelle ou personnalisée est notre contraire «la capacité de se regarder dans un miroir au mépris de nos intérêts oblige». Parce qu’elles ne servent à rien en politique. La réconciliation nationale a mes conditions à moi, avec moi et derrière moi, n’est pas une réconciliation vraie. Nous sommes des enfants de la paix.

Lepetitfils : Ici nous ne sommes pas dans les brouhahas folkloriques et propagandiste, nous sommes les adeptes du très biens compté de la danse Zaouli. L’auto-publicité n’est pas notre genre «le rigorisme dans l’action politique oblige». La propagande personnelle ou personnalisée est notre contraire «la capacité de se regarder dans un miroir au mépris de nos intérêts oblige». Parce qu’elles ne servent à rien en politique. La réconciliation nationale a mes conditions à moi, avec moi et derrière moi, n’est pas une réconciliation vraie. Nous sommes des enfants de la paix.

*- Rêve envolé, Esperance déchue.

 

En 2011 à quelques mois seulement de notre sortie hors du pays, nous avons bénéficié d’une interview d’un journal ivoirien, qui nous a jugé avoir pris la tangente, « fuite » Publié le mardi 6 septembre 2011. Au terme cette interview, en déclinant notre nom à l’état civil «D. A. I. dit «Da Candy Lepetifils» chose que nous faisons rarement», nous avions dit avec foi en l’avenir, et conscient du travail qui sied à la réalisation de cette foi inébranlable en l’avenir, ceci : en réponse à la question du journal. «Quand comptez-vous retourner au pays ?»

 

Réponse : « Le jour où les autorités ivoiriennes comprendront que la justice des vainqueurs conduit à une crise plus grande que la précédente. Qu’au terme de la crise postélectorale tous les belligérants de cette crise postélectorale sont passibles de poursuites. Que ce soit Gbagbo «aujourd’hui acquitté par CPI» ou Ouattara « aujourd’hui dédouané de poursuite par la CPI». Autant Gbagbo est passible de poursuite devant la Cour pénale internationale, autant Ouattara Alassane est passible de poursuites devant la Cour pénale internationale. Tous les autres ne feront que leur servir du thé à la Cour pénale internationale, y compris le petit rebelle Soro «qui, lui a pris la tangente, aujourd’hui pourchassé avec le dossard perpète». Je viendrai le jour où la sécurité serait effective pour tous dans le pays réconcilié entre ses fils de tous bords politiques et réconcilié avec le monde. Il n’échoit pas d’aller livrer sa tête mise à prix, dans un concert de différenciation «nord-sud» et «est-ouest». Certes, rien ne se fera en Côte d’Ivoire sans justice impartiale qui proscrit les poursuites à sens unique, mais aussi, rien ne se fera sans réconciliation vraie, sans pardon dans la reconnaissance mutuelle de tous les ivoiriens, sans une contrition de tous les acteurs politiques, des torts causés au pays et aux citoyens, dans une société policée qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales, sans différenciation « nordisme, sudisme, estisme, et ouestisme ». Quand ce jour se lèvera et il se lèvera un matin contre vents et marées, c’est une promesse, je rentrerai dans mon pays ». Notons qu’il faut consigner strictement ces dires dans leurs temps septembre 2011, sans plus.

 

Or aujourd’hui «juillet 2021», nous voulons pourtant retourner au pays, alors que, ces conditions souhaitées en 2011, sont très loin d’être remplies, donc un échec patent de notre part, une promesse intenable de notre part, le jour annoncé par nos soins ne s’est toujours pas levé. La nuit est restée longue et imperturbable, de cette date septembre 2011 à ce jour. Et pire de 3000 Morts en 2011, le nombre de morts s’est lamentablement rallongés et envoisine les 4000 morts. Avec une réconciliation nationale qui est réduite aux chassons mielleuses. Mais, malgré tout, nous rentrons, non pas pour avoir acquis quoi que soit, mais nous rentrons de nuit en lieu et place du jour rêvé. Nous rentrons comme le rasage de cheveux de nuit sans éclairage, avec tous les risques des blessures que cela peut occasionner. Nous rentrons en espérant toujours le levé du jour rêvé de nos souhaits de septembre 2011.

 

Et sans prophétie, ni prémonition nouvelles, de notre part, après le premier échec « des espérances de 2011 » suscité, nous soulignons qu’une chose est claire et sans équivoque pour la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, ou bien tous ensemble, tous unis, tous solidaires, le peuple ivoirien fait le choix de l’organisation sociopolitique civilisatrice, fondée sur les valeurs universelles commune a l’humanité, ou bien le peuple ivoirien demeurera dans la barbarie politicarde, avec toujours des pouvoirs déviants, non-maitrisés, divaguant dans les fibres sociétales très sensibles, dans les droits inaliénables et dans les libertés individuelles. Oui, soit le peuple ivoirien solidaires serait collectivement capable de se mobiliser tous ensembles synergique-ment, en transcendant les intérêts personnels pour aller à la réconciliation nationale vraie, pour le meilleur, d’une dynamique au profit de sa propre façonnage, ou soit, hélas ! Pour le pire, le peuple ivoirien serait lui-même façonné par une dynamique démoniaque anti-droit, anti-liberté, sourde, aveugle, folle qui raffermira à volonté, son emprise sur la totalité sociale ivoirienne.

 

Et se faisant dès lors, cette dynamique démoniaque, n’aura plus aucune raison, de désespérer d’accaparer la souveraineté populaire et partant de confisquer le destin de la nation, pour le plier à sa seules exigence clanique, égoïste et égocentrique. Et ce ne serait autre chose qu’un coup d’arrêt irrecevable, inacceptable et injustifiable, au processus démocratique en côte d’ivoire. Et partant au progrès social partagé qui doit commencer par l’homme en mettant le citoyen au centre du débat développemental, dans une société ivoirienne solidaire, plus juste, plus équitable, pour que les bateaux du progrès reprennent la voie royale, universelle vers la lumière du développement intégral, économique et politique, destinée à rendre la raison à la nécessité populaire sans qu’une seule goutte de sang ne soit versée sur le sol ivoirien, et avec une large ouverture sur le monde sans rancune quelle qu’elle soit. Oui, la réconciliation nationale ne se fait pas par la contrainte, ne se fait pas par la soumission forcée a un dessein.

 

Bon ! Pour mémoire et pour la linéarité des positions générationnelles, répétons d’autre, qui  au soir de leurs vies ont parait-ils conseillers de façon testamentaire : «Qu’il faut éviter la politique ivoirienne, qu’il faut s'éloigner de la politique ivoirienne, et qu’il faut fuir la politique ivoirienne. Que la politique, n'est pas mauvaise en soi, que mais-t-elle qu'elle est pratiquée en côte d’ivoire, elle est cynique».  Ce qui est dit, est dit. Rien ne peut faire dire ceci à des hommes politiques, qui ont tout acquis en politique, si ce n’est une odeur nauséabonde ou des actes nauséeux.

 

Et d’autres aussi ont dit, face aux intérêts politiques claniques en jeux que, «C’est dur, c’est compliqué, mais ce n’est pas pour cela qu’il faut abandonner, nous avons besoin de l’union de tous, pour assurer justement le plus large socle commun. On ne peut pas laisser subsister les germes de la division, de la fracture, simplement au nom du pouvoir». Là aussi, il est d’une constance absolue, que l’homme politique, le vrai homme politique atavique, ne peut nier son socle existentiel, donc, l’objectif qui prime dans l’entendement de ces dires, c’est le rassemblement, l’union des forces, la solidarité diverse, comme le RDA source l’a pratiqué, avec les pères de l’indépendance.

 

Donc en soulignant cette linéarité des visions et positions politiques générationnelles et en les répétant ici, nous faisons pour le moment, un temps soit peut, siennes leurs dires testamentaires. Qui ne sont pas contraire à nos convictions, ni loin de nos constats et de nos visions de la politique noble Art, qui s’exerce dans le respect des droits et des regles. Disons donc que, pour notre part, nous ne sommes pas partisans des luttes inutiles intestines, de déchirures partisanes autodestructives, ou du discursif antagoniste passif, des protestations et des chansons biens prisés de formalismes politico-diplomates qui ne conduisent nul par, sauf dans l’abime sociétale et qui ne suffissent pas face à la recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociale. Note plat citoyen que nous servons sur la place publique, et dans l’espace public, sous l’arbre de la transparence, est la vérité très amère, crue et nue.

 

Ici donc, rappeler nos fondamentaux ne serait pas vu comme une œuvre d’auto-publicitaire de propagandiste, nous sommes doublement centriste, «citoyen et républicain social convaincu, surtout Houphouëtiste enragé», notre éclectisme impassible soutient notre foi inébranlable en l’avenir de notre position politico-idéologique dans l’arène politique ivoirienne, surtout notre espérance à un avenir meilleur, malgré le sempiternel chaos social du moment à nous imposer. La politique ivoirienne est devenue du gangstérisme et banditisme, pour s’avérée  manifestement expéditive et mortifère. Un arbre a fini par cacher la forêt ivoire, l’ombre du pygmée ayant énormément  grandi, a couvert tous les espaces de vies, de droits, et de libertés. Le peuple ivoirien au lieu d’être convaincu est vaincu, au lieu d’être l’obéissant au bienfondé de l’action politique est maitrisé, au lieu d’adhéré par conviction est contraint.

 

Il ne faut pas se tromper, il n’est guère de trimestre sans que des événements antagonistes turbulents, viennent rappeler ou  aggraver encore la crise sociopolitique froide, mais qui devient brûlante de plus en plus fréquemment. Et qui déchire le tissus de la cohésion nationale socle de la nation, ou la sève par excellente de l’état et partant le substrat de la république. Les citoyens vivent dans l’appréhension d’un demain incertain face à horizon assombrie par l’antagonisme des intérêts partisanes et aveugles. Ou l’essentiel est devenu la paix avec moi et derrière moi.

 

Les fossoyeurs impénitents des droits, des règles, de la démocratie, ont pris et confisqué la direction ivoire. Les vautours vampiriques des temps nouveaux se plaisent dans les décombres de la putréfaction de la nation. Les piranhas et les sangsues, ont pris coût au salé des sangs humain, et veulent pérenniser ou s’assurer une carrière au mépris des vies humaine. Or, les ivoiriens de tout bord politique veulent s’unir pour aller à la vraie réconciliation nationale, débarrassée des tambours politiciennes, et à la paix sociopolitique d’initiative nationale, pour sauver la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Le peut veut soulever sa tête ivoire pour regarder plus loin, pour dépasser leur être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux. Oui, nous rentrons avec les mêmes douleurs non-atténuées, oui, nous avons mal à notre pays souverain et disons que la Côte d’Ivoire est tombée très bas, que la Côte d’Ivoire coule, que la Côte d’Ivoire est devenue un pays de merde dans le concert des Nations policées.

 

C’est vraiment dommage pour le pays de Félix Houphouët-Boigny ! Nous rentrons ! Tout de même… Ici nous ne sommes pas dans les brouhahas folkloriques et propagandiste, nous sommes les adeptes du très biens compté de la danse Zaouli. L’auto-publicité n’est pas notre genre «le rigorisme dans l’action politique oblige». La propagande personnelle ou personnalisée est notre contraire «la capacité de se regarder dans un miroir au mépris de nos intérêts oblige». Parce qu’elles ne servent à rien en politique. La réconciliation nationale a mes conditions à moi, avec moi et derrière moi, n’est pas une réconciliation vraie. Donc, pour la politique nous, nous prononcerons plu tard. Oui, pour aujourd’hui, nous disons que, nous rentrons ! Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.   

 

*- Pour tout autres et pour ample infos continuez sur :www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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30 juin 2021 3 30 /06 /juin /2021 01:37
GBAGBO : Il fallait écarter un concurrent gênant et on m’a transféré à la Haye. Je ne le regrette pas. Si j’étais revenu avec un titre de criminel, c’est vous qui alliez avoir honte. Or, même les blancs qui ne connaissent pas nos problèmes internes ont su que je ne suis pas un criminel. On peut m’accuser de beaucoup de choses, mais je ne suis pas un criminel.

GBAGBO : Il fallait écarter un concurrent gênant et on m’a transféré à la Haye. Je ne le regrette pas. Si j’étais revenu avec un titre de criminel, c’est vous qui alliez avoir honte. Or, même les blancs qui ne connaissent pas nos problèmes internes ont su que je ne suis pas un criminel. On peut m’accuser de beaucoup de choses, mais je ne suis pas un criminel.

J’étais à la Haye. Je n’ai pas vu le temps passer. Les gens me voyaient faire ma marche dans la cour, manger comme dix, et je me suis fait des amis. J’ai trouvé Jean-Pierre Bemba (ancien vice-président de la RDC » ; j’ai trouvé Charles Taylor «ancien Président libérien». Quelques temps après mon arrivée, Taylor a reçu une condamnation ferme, et il a été conduit dans une autre prison. Durant ma détention, presqu’un an à Korhogo, et sept ans à la Haye, je n’ai pas vu trop le temps passer. Les ivoiriens et les Africains d’Europe m’ont vraiment adopté. Tous les jours, j’étais occupé à recevoir. Ma petite femme, elle n’est pas ici, Nady, il faut la remercier. Quand on est en palabre avec une femme, on dit tout le mal d’elle. Quand elle a fait du bien, il faut aussi le reconnaitre.

Elle a quitté Accra «où elle était en exil» pour demander l’asile au Pays-Bas pour être à côté de moi. Elle venait me voir tous les jours. Les Pays-Bas ne lui ont pas accordé l’asile. C’est la Belgique qui lui a accordé l’asile. Le trajet de Bruxelles à la Haye fait 200 km. En aller-retour, ça fait 400 km. Donc, elle a bloqué trois jours, mardi, jeudi et samedi pour être à mes côtés. Elle parcourait 400km en voiture, principalement pour moi, pour ne pas que je sois seul. Elle me nourrissait. J’étais dans des conditions difficiles parce que je n’avais pas d’argent en prison. C’est elle qui me donnait chaque mois de l’argent. Parce qu’en prison, la nourriture n’est jamais bonne «rires dans la foule». Même si c’est une prison de Blanc. On se cotisait à trois pour nourrir la dizaine de prisonniers qui étaient avec nous. Il y avait Taylor, Bemba et moi. Quand Taylor est parti, il restait Bemba.

Après on a libéré Bemba, je me suis retrouvé seul à cotiser «rires dans la foule». C’était l’argent de Nady. Il faut la remercier parce qu’elle m’aidait à nourrir tous les africains qui étaient en prison avec moi. C’est comme ça que j’ai vécu pendant huit ans. Puis, un jour le procès a commencé. Au début, j’avais un peu peur. Je me demandais si mes gens n’ont pas commis des crimes qu’ils m’ont cachés. Je n’avais pas de fusil, si on m’a arrêté, c’est parce qu’il y avait les FDS. Quand Bensouda «le procureur de la CPI» a donné les raisons de ma présence à la CPI, j’ai commencé à rire «rires dans la foule». J’ai dit à mon avocat principal, Me Altit, que le dossier est vide et qu’il pouvait me défendre. Durant les audiences, il y a des témoins qui ignoraient jusque le nom de leur village. Il y en a qui ne me connaissaient même pas. D’autres voulaient même me saluer. On s’est amusé comme ça, sauf qu’on était en prison. Ce n’était pas sérieux !

Il fallait écarter un concurrent gênant et on m’a transféré à la Haye. Je ne le regrette pas. Si j’étais revenu avec un titre de criminel, c’est vous qui alliez avoir honte. Or, même les blancs qui ne connaissent pas nos problèmes internes ont su que je ne suis pas un criminel «applaudissements nourris». On peut m’accuser de beaucoup de choses, mais je ne suis pas un criminel «fou rire dans la salle». En novembre 2018, le procureur annonce des témoins. 82 sont passés. Le juge demande au procureur s’il y a encore des témoins. Le Bureau du procureur répond par la négative en déclarant que les autres témoins refusent de venir. C’est ainsi que les trois juges ont appelé nos avocats pour leur demander de plaider. Pour moi, les témoins nous ont déjà blanchis.

Nos avocats ont plaidé. Après les congés de Noel, à la reprise des audiences, le 15 janvier 2019, le juge principal, Cuno Tarfusser, a indiqué que l’accusation n’a pas été seulement faible, mais qu’elle a été extrêmement faible. Son collègue de la Jamaïque et lui ont décidé de nous acquitter. Le procureur demande à faire appel. Mon avocat me demande la conduite à tenir. Je lui réponds que l’essentiel est fait et que je suis acquitté. En février 2019, on nous a fait sortir. J’ai fait venir Nady, elle est venue me chercher et je suis allé à Bruxelles. C’est là-bas que Guikahué et l’équipe dirigeante du PDCI sont venus me rencontrer au nom du Président Bédié. Après, vous le savez, j’ai reçu Bédié lui-même à Bruxelles. Un jour, un agent d’un ministère en Belgique me fait parvenir un mot me reprochant de faire de la politique parce que j’ai reçu le président Bédié.

Alors je lui demande la conduite à tenir. Il me répond que c’est une simple remarque. J’ai dit : « je suis ici à cause de la politique, c’est la politique qui me fera sortir d’ici. Je fais la politique toujours. » Je suis donc revenu. J’ai été très heureux de ce que le frère Guikahué ait joué un rôle important dans le rapprochement entre nos deux partis. Voilà son frère et ami Assoa adou ici. Ils sont face à face. Ce sont les deux sorciers, ce sont eux qui discutent toujours la nuit «rires dans la foule». Les parents, je suis là. Les Chefs, je vous salue. Bertin, c’est mon parent. Son père qui s’appelait Jobert Kouassi était un grand planteur dans le temps. Et lui, je n’ai pas l’habitude de l’appeler mon cousin et mon grand frère, je l’appelle « président » parce qu’à Abidjan, on avait une association des cadres de Mama et, c’était lui notre président. Je remercie tous les Chefs.

Je les remercie pour l’amour fraternel qu’ils m’ont porté aujourd’hui. Je remercie les cadres parce que dans un département ou dans une région, quand il y a les palabres, ça commence par les cadres. Ce sont eux qui se battent toujours. Nous, nous sommes des cadres orphelins, on n’a pas à se battre. Si quelqu’un est dans un puits, pour sortir du puits, ne le tirons pas pour le faire tomber. Poussons-le plutôt pour qu’il sorte. Comme ça s’il sort, il peut peut-être nous aider en nous envoyant une corde pour nous tirer. Ne jetons pas l’anathème les uns sur les autres. Guikahué , il est du PDCI et puis ça fait quoi ? «Rires dans la foule», ça ne fait rien. Lokrou Vincent qui est mon petit frère, il est PDCI, il a été ministre de Houphouët, mais ça fait quoi ? Parce que si on doit être tous d’accord toujours, il n’y a plus de démocratie. C’est parce qu’on n’est pas d’accord qu’il y a démocratie. Là on organise les discussions. Donc moi je m’entends bien avec eux.

Djédjé Bagnon, est-ce qu’il est là ? C’est lui qui m’a donné d’ailleurs mon premier salaire. Quand j’étais étudiant, il avait son collège privé à Divo, il est venu, je suis allé enseigner là-bas un mois-deux mois, j’avais la joie d’avoir un salaire parce qu’auparavant j’avais des bourses, mais là j’avais un salaire que j’avais mérité. Donc je vous salue. La nuit tombe, la nuit tombe, je vais libérer la route aussi, je ne vais pas trop vous retenir. Mais je suis fier de voir cet apatam rempli débordant. Je suis fier, parce que je ne croyais pas que cet apatam là pouvait être un jour rempli. Et je suis fier de le voir rempli et débordant. Tous les Chefs, je salue tous les habitants de vos villages, je demande à DIEU de vous bénir, de bénir toutes vos populations, je demande à DIEU de bénir toutes vos femmes, vos jeunes. «Bénédictions et Salutations en béthé pour terminer».

Source: PRESSE IVOIRIENNE ;

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(Généralement nous, nous ne faisons pas de commentaires dans la poussière des mastodontes, ou il n’y a pas de route de dépassement. Mais ici-là, les citoyens libres, victimes d’une guerre à deux (2) belligérants sans plus, attend dédommagement, de tous les crimes «Môgô-Fâgâ, A-Chez-Pays». Donc, il faut un criminel à côté des cadavres pour que affaire soit claire et net. Or la Cour pénale internationale a dit que, ce ne sont pas les déportés politiques à la Haye, qui sont les criminels, de crimes de guerres «Môgô-Fâgâ, A-Chez-Pays», commis en côte d’ivoire pendant les crises. Or, dans cette affaire de crimes, il y a des milliers de cadavres zigouillés et des victimes réelles commis en côte d’ivoire. Donc comme,  il n’y a que deux (2) noms chefs de belligérances reconnus, Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo. Et tous les restes ne sont que complément additionnel à la chaine de l’exécution des crimes ? «Môgô-Fâgâ, Gbanzan, A-Chez-Pays».

Et que la justice internationale à confirmer que ce n’est pas UN des deux (2) qui est le criminel, donc il RESTE UN SEUL. Dès lors, est-ce que on ne peut pas Gbê un peu l’affaire, pour que nous «victimes citoyens libres» soyons dédommagé, mais si on nous dit toujours, que on ne connaît pas le criminel, donc cela veut dire, qu’on ne veut pas faire face aux dédommagements. Nous citoyens libres victimes on ne veut plus « Gban-Gban » dans pays-là, on cherche seulement réparation de droit des dommages subis, et c’est à la justice de déterminé nos bourreaux, ce qui n’est plus chose compliquer. Puisque la Cour pénale internationale à juger l’Affaire partiellement, et a conclu que ce n’est pas Gbagbo. Et elle à affirmer récemment, qu’elle «enquête» cherche les criminels de guerre dans le deuxième camp Ouattara. La guerre ivoirienne n’a connu que ces deux (2) belligérants. Et en côte d’ivoire, il n’y a que des VICTIMES DE GUERRE de 2002-2011 à ce jour. Est-ce que cela ne suffit pas pour déterminer et payer les «Ciga-Cârêt et wari-djourou complet» de dédommagement. Bon ! 11 000 Milliards de budget c’est bien ! Mais il faut payer l’argent des victimes d’abord, oui Goudron, pont, croissance, et même vaccin Codiv-19 tout ça c’est bien même, mais il faut payer pour quelqu’un d’abord. « kâ-Môgô-Fâgâ, Gbanzan », ça jamais de la vie, CPI a «Gbê» tout…

Si ce n’est pas les «Marfas», fusils, qui détiennent la vérité absolue  et la force de mesure de valeur sociale, l’affaire n’est plus compliquée jamais, 2-1=1, allez demander dans les classes de CP1. Ne nous leurrons pas, la vérité sur les faits de la guerre en côte d’ivoire, est connue de tous de par le monde. C’est pourquoi en connaissance de faits, nous, nous appelons une Amnistie générale référendaire «balise des balise souveraines», que nous réclamons depuis. A conditions, qu’on nous paye nos dus en droit. Les « Kouma » parole à la CPI ne nous intéresse pas. Ce qui nous intéresse les « Gbê-de-Gbê »  de nos dédommagements, c’est tout ! Parce qu’ici, l’enjeu est simple, si le peuple ivoirien tient à instaurer une nation démocratique réellement fondatrice d’un ordre sociopolitique nouveau, respectueux des droits, des libertés et des règles universelles, il va falloir, accepter la tolérance et le respect des différences politiques, comme règle de la vie en commun et de les baliser par des normes de régulations sociales acceptées par tous. Qui nous éviteront les crises sempiternelles et les milliers de morts à l’avenir. L’ardoise corrigée par la CPI est là, qu’il faut relire très bien, et l’effacé, pour écrire des nouvelles lettres paisibles pour la côte d’ivoire.

Un Kouma clair et net dans la poussière des mastodontes de: Lepetitfils Da Candy, Leader de la légitimité citoyenne).

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27 juin 2021 7 27 /06 /juin /2021 02:18
Lepetitfils : Les ivoiriens de tout bord politique veulent s’unir pour aller à la vraie réconciliation nationale, débarrassée des tambours politiciennes, et à la paix sociopolitique, pour sauver la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Ils veulent soulever la tête ivoire, pour regarder plus loin, et pour dépasser leur être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux. Mais Hélas ! La crise est toujours armée contre la totalité sociale souveraine.

Lepetitfils : Les ivoiriens de tout bord politique veulent s’unir pour aller à la vraie réconciliation nationale, débarrassée des tambours politiciennes, et à la paix sociopolitique, pour sauver la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Ils veulent soulever la tête ivoire, pour regarder plus loin, et pour dépasser leur être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux. Mais Hélas ! La crise est toujours armée contre la totalité sociale souveraine.

*- Divination prémonitoire, malgré nous.

Soro Guillaume prend la « perpète » rien de Grave en cela puisque c’est Gratuit, Cadeau quoi ! Oui, Nous aimons nous répéter, nous avons dit le 08 février 2020 au terme d’une chronique, publiée sur www.dacandylepetitfils.over-blog.com que tout a tourné à l’anxiété extatique pour le pouvoir Ouattara, quand Soro à desserte la cantonade et se fait pourchasser par le pouvoir Ouattara avec le dossard « perpète ». Que Soro ne veut plus être le support d’une couillonnade extatique. Et c’est le plus légèrement possible que «le pauvre», se voit remercié par un cadeau gratuit, qui sort de l’ordinaire judiciaire. «Or le droit ne se trouve jamais dans l’exceptionnel», nous espérons de la largesse du dos de «l’âne» pour pouvoir supporter et transporter, ce gâteau majestueux du Dieu le Grand. Donc aujourd’hui nous disons, qu’avec l’évolution de la situation, Soro a pris sa «perpète» à lui coller à la peau, avec des sparadraps de 20 Ans, tout autour. Oui, les condamnations à vingt (20) Ans de prisons, sont devenues coutumières à la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Or ce sont ces maux qui tiennent la crise ivoirienne armée contre la totalité sociale souveraine, de la nation ivoirienne. C’est ainsi que de dangereux ressentiments susceptibles de fragmenter encore plus la cohésion sociale, pourraient évidemment en résulter, de cette injustice des condamnations arbitraires. Donc la postérité ne pardonnera jamais ce qui de par leurs œuvres sournoises permettent de pérenniser la damnation du peuple ivoirien dans une crise qui n’a que trop durée.

Oui, hélas ! Disons-le, des condamnations téléguidées et expéditives, toujours par défaut, avec des plaintes dédouanées de tous fondements de droits réels et des plaignants transportant honteusement des défauts réels de qualités. Oui, défaut de qualité, si les prescriptions constitutionnelles doivent avoir un sens, si le serment garde son honneur et son sens juridico-judiciaire de non-rétroactivité. Bon ! Pour une fois, et juste pour la vraie réconciliation nationale et pour la paix sociopolitique, que la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a impérieusement besoin, nous aurions préféré, être un mauvais divin du 08 février 2020, qui a seulement craint la perpète en l’air derrière Soro. Hélas ! On nous dit encore, bon divin, alors que simple Analyste nous sommes. Oui, au terme des incompréhensions entre Soro et ses Amis en France, nous avons dit à un Ami à nous, lui aussi en France, que si on savait que, Soro risquait la perpète en côte d’ivoire, que son traitement pouvait être tout autre. C’est ce qui fait de nous un divin «prémonitoire», malgré nous. Ici notre sale gueule prolixe «confinée dans le délit d’expression», en est la cause unique. Bon ! Que pouvons-nous contre ? Puisqu’on ne se tait pas dans une crise sociale puis s’en sortir par la bonne porte. Parce qu’il y a des vérités, qu’il faut dire et redire, pendant longtemps, et longtemps rebattre des sujets sensibles de la totalité société. Et faire tinter toujours comme une cloche, les préoccupations citoyennes pour avoir la voie sociétale idoine. Donc sale gueule puante «confinée dans le délit d’expression», nous assumons devant le peuple ivoirien, et devant l’éternel de la démocratie «du pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple» de la Grèce athénienne et d’Abraham Lincoln

Nous sommes de ce qui, d’un éclectisme impassible, revendique, une société ivoirienne solidaire, qui admette sans faux fuyant, l’hétérogénéité des sous cultures nationales, ou « le Bidon de Bandji-Blanc côtoie le Céri-Dagâ, et se congratulent, dans le respect mutuel comme deux camarade de citoyenneté commune». Que le droit de tout citoyen commence là où s’arrête le droit des autres citoyens. Que dans une côte d’ivoire redevenue un état républicain de droit, qu’aucun citoyen ne soit davantage citoyen qu’un autre : que le citoyen c’est tout homme doué de ses droits civils et politiques. Que le citoyen, c’est vous et nous, c’est un député ou un maire, un ministre ou un président, un sénateur ou un conseiller d’état, un  Maire ou un conseiller général, un ministre Gouverneur ou un conseiller a la présidence de la république, chacun étant redevable devant la loi de la même manière, avec les mêmes attributs naturels et les mêmes droits que tous les autres. Qu’ainsi la condition étant ainsi égale pour tous, nul n’a intérêt de la rendre compliquer ou onéreuse aux autres. Que dans ces conditions, nul ne peut être placé au-dessus de la loi, y compris le chef de l’état, président de la république. Qui ne peut rétroagir, a Qualité et en qualité, contre ses concitoyens. Oui, il est de notoriété publique admise de par le monde que, toute action ou position sociopolitique, qui transcende les grands principes de paix internationale, de droits universels, de régulation sociale, est le frère jumeau des violences de masse et des conflits armés.

Oui, les ivoiriens sont persuadés que la côte d'ivoire ne s'en sortira jamais par la voie judiciaire politisée. Donc il faut le Dialogue politique inclusif, républicain, sincère, le Consensus politique et social, au tour de la chose publique, qui concerne la vie de la nation dans le temps et dans l’espace. Il faut la Légalité et la Transparence dans l’ordre du public. Adhérer sans condition a l’idée de pardon, surtout de ce qui apparait a première vue comme impardonnable, adhérer à la repentance, adhérer à la contrition, adhérer à l’intérêt général, abandonner l’idée de vengeance, abandonner la judiciarisation de la gouvernance étatique, pour souscrire à la politisation diplomatique de cette gouvernance étatique, taire les querelles personnelles, arrêter les divisions fratricides, placarder les petites brouilles politiciennes de leadership, pour montrer la capacité commune à faire bouger les lignes sociopolitiques dans notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Et la vraie réconciliation nationale, la paix sociopolitique, sont à ce prix pour la côte d’ivoire. Oui, les ivoiriens réunis tous ensembles unis et solidaire, en mettant en commun force, volonté, discussions, idées, pensées et actions, peuvent réussir l’impossible, l’impensable, et n’importe quel miracle, ils peuvent les ivoiriens solidaires pour la patrie, relever n’importe quel défi sociopolitique. C’est de cela qu’il s’agit.

Oui, répétons-nous, Aujourd’hui les ivoiriens dans leur grande majorité écrasante, ont opté pour la paix sociale, pour la réconciliation nationale, persuader que la côte d’ivoire ne s’en sortira jamais par la voie judiciaire, encore moins la voie judiciaire politisée. Qu’elle ne s’en sortira que dans l’union de tous. Oui, Convaincus qu’ils sont que, Gouverner c’est prévenir dans le temps les perspectives d’avenir d’une société. Gouverner ce n’est pas la gérance des crises sociopolitiques non ! C’est anticiper les solutions aux crises sociopolitiques dans le temps et dans l’espace. Les ivoiriens, ne veulent plus de prisonnier politiques, objet de danse de sorcellerie judiciaire ou de théâtre d’ombre politique dans une juridiction politisée. Les ivoiriens de tout bord politique veulent s’unir pour aller à la vraie réconciliation nationale débarrassée des tambours politiciennes, et à la paix sociopolitique, pour sauver la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Ils veulent soulever sa tête ivoire pour regarder plus loin et pour dépasser leur être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux. Mais Hélas ! La crise est toujours armée contre la totalité sociale souveraine. Oui, Pauvre de côte d’ivoire, Pauvre de peuple ivoirien, pauvre de Moi, pauvre de ma sale gueule, le tout semble décider en l’absence du peuple souverain et de sa volonté souveraine. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Sur une distance de Voyage, Pauvre de Lepetitfils Da Candy : Leader de la Légitimité Citoyenne.   

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24 juin 2021 4 24 /06 /juin /2021 01:17
Face à la faiblesse de l'ancrage de la Démocratie et des instruments étatiques d'éducation et de protection civile, les rois et chefs traditionnels restent les derniers remparts de socialisation et de protection des masses en proie à menace djihadiste et terroriste.

Face à la faiblesse de l'ancrage de la Démocratie et des instruments étatiques d'éducation et de protection civile, les rois et chefs traditionnels restent les derniers remparts de socialisation et de protection des masses en proie à menace djihadiste et terroriste.

Sa Majesté Dagbolo Saye 1er, Chef Suprême du peuple Koulango adresse ses vifs remerciements à ses collègues rois ainsi qu’à tous les chefs traditionnels qui ont rehaussé de leur présence, l’accueil de son ami, l’ancien Président de la République Laurent Gbagbo dans la cour du Pavillon Présidentiel de l’Aéroport International Félix Houphouët Boigny d’Abidjan.

Sa Majesté Dagbolo Saye 1er et sa délégation, forte de vingt chefs Koulango, membres de sa cour royale venus de Bondoukou à son invitation, remercient spécialement le Président des Chefs des 60 villages Atchan (Abrié), Chef Nangui Djorogo Sévérin, non seulement pour l’hospitalité démontrée de son peuple, mais également pour la proposition de jumelage entre le peuple Atchan et le peuple Koulango.

Sa Majesté Dagbolo Saye 1er salue cette diplomatie active traditionnelle réactivée ainsi que la sympathie de tous les rois et chefs traditionnels de Côte d’Ivoire à son endroit, à la suite de son appel historique du 7 juin 2021, ayant eu pour effet de baisser la tension populaire montée d’un cran à la suite du refus du Directoire de la Chambre des Rois et Chefs Traditionnels de s’associer à l’accueil à l’aéroport. Sa Majesté Dagbolo Saye 1e voudrait partager la peine et réconforter ses collègues et les chefs empêchés (d’une manière ou d’une autre) de rallier soit la capitale soit les différents points de regroupement de l’accueil.

Sa Majesté Dagbolo Saye 1er qui a eu l’avantage de jauger et d’apprécier , de près, le rôle majeur des rois sur la stabilité et la cohésion sociale au Ghana, exhorte la Nation ivoirienne à conférer plus d’autonomie et d’indépendance à l’institution constitutionnalisée qu’est la Chambre des Rois et Chefs Traditionnels de Côte d’Ivoire.

Face à la faiblesse de l'ancrage de la Démocratie et des instruments étatiques d'éducation et de protection civile, les rois et chefs traditionnels restent les derniers remparts de socialisation et de protection des masses en proie à menace djihadiste et terroriste.

Sa Majesté Dagbolo Saye 1er apprécie la gestation d'une légion d'honneur rehaussant l'image ternie de la corporation des rois et chefs traditionnels de Côte d'Ivoire.

Le Représentant Résident de Sa Majesté Dagbolo Saye 1er au Comité National d'Accueil du Président Laurent Gbagbo

 

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« Disons Grand Bravo ! Sagesse oblige et Noblesse exige. Oui la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, n’a plus besoin de rapports de force d’Animosité, de Haine insatiable, de vie sociopolitique judiciarisée, de justice judiciaire expéditive et  nombriliste. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, a besoin de paix pérenne des cœurs et des esprits, de stabilité sociopolitique et de cohésion communautaire. Oui, Bavo ! Noblesse oblige. Parce que, la sociologie politique du vivre en commun, le savoir des fibres sociocommunautaires inextricables, la vraie politique sociale au service de tous, la diplomatie sociale réconciliateur, la gouvernance sociale bien partagée, sont aux villages, et Nul par ailleurs. Aux villages, points ! C’est pourquoi pour un Homme politique, les Meilleures Claques politico-électorales bien Administrées, se prennent toujours dans la diplomatie sociale atavique aux villages. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, est fatiguée des antagonismes artificiels d’intérêt clanique diviseur. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, qui plie depuis vingt (20) Ans sous le poids de la Haine égocentrique, a besoin de se relever». De Lepetitfils Da Candy : Leader de la Légitimité citoyenne.

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21 juin 2021 1 21 /06 /juin /2021 00:28
(«Un des Gyroscopes, président, «Prof-Chercheur», Laurent Gbagbo a dit LEGITIMISTE. Le légitimisme, indique les Partisans d'une dynastie considérée comme seule légitime. Donc le légitimisme est un mouvement politique favorable au rétablissement de la royauté. Bon ! Peut-être, une fois le pouvoir d’état acquit, ceci explique cela en côte d’ivoire. Donc Citoyen ! Cherchons-le,  ce pouvoir d’état ivoirien, puis tout vient avec, y compris la royauté, « après ya-folli !!! »)

(«Un des Gyroscopes, président, «Prof-Chercheur», Laurent Gbagbo a dit LEGITIMISTE. Le légitimisme, indique les Partisans d'une dynastie considérée comme seule légitime. Donc le légitimisme est un mouvement politique favorable au rétablissement de la royauté. Bon ! Peut-être, une fois le pouvoir d’état acquit, ceci explique cela en côte d’ivoire. Donc Citoyen ! Cherchons-le, ce pouvoir d’état ivoirien, puis tout vient avec, y compris la royauté, « après ya-folli !!! »)

« Je suis heureux de retrouver la Côte d’Ivoire et l’Afrique. On est de quelque part. Moi, je suis de la Côte d’Ivoire mais j’ai appris en prison que je suis de toute l’Afrique. Toute l’Afrique m’a soutenu.

Tous les Africains m’ont aidé à tenir. Des chefs d’Etat m’ont aidé à tenir, les peuples m’ont aidé à tenir. Quand je suis arrivé de La Haye à Bruxelles, il y a des moments où on croyait que je suis Camerounais, tellement les Camerounais étaient mobilisés pour me soutenir. Je suis arrivé ici surtout avec les larmes aux yeux parce que je n’étais pas là, quand ma mère m’a quitté.

En 2011, quand on m’a arrêté, elle a fui aussi. Elle était en exil, au Ghana. Au bout de quelques années, quand elle a su que sa fin était proche, elle est rentrée en Côte d’Ivoire. Quelques années après son arrivée, en Côte d’Ivoire, elle est décédée. Je n’ai pas été là pour l’honorer une dernière fois, alors que c’est elle qui m’a fait. Sans elle, je ne serais pas aujourd’hui docteur en histoire.

Je ne serais pas président de la République. Je n’ai pas pu l’honorer. J’ai demandé à un ami, un frère, Sangaré Aboudrahamane, à mon absence, d’organiser les obsèques de ma mère.

Il a organisé les obsèques de ma mère. Il s’est déplacé au pays Bété, à Blouzon où elle a été enterrée. Mon ami Sangaré n’a même pas attendu que je vienne lui dire merci. Avant mon acquittement, Sangaré est décédé.

Donc, lui aussi m’a causé beaucoup de peine. Je suis venu, je demanderai au secrétaire général de me donner quelques jours pour pleurer mes morts. Je suis très heureux d’être avec vous. Je félicite les députés que je vois ici. Nous avons un Groupe parlementaire. Vous savez, j’étais là-bas et il y a des gens qui disaient que le Fpi n’a pas eu beaucoup de députés.

Il faut faire des comparaisons. Depuis que nous allons aux élections, sans être au pouvoir, c’est le plus grand nombre de députés que nous avons aujourd’hui. Messieurs les députés, chers camarades, je vous félicite, je vous remercie. Nous avons eu 100 députés, en 2000, mais j’étais président de la République. Ici, le peuple, pour les législatives, est légitimiste.

Il vote pour le président de la République. Il élit les députés pour le président de la République. Le peuple est légitimiste en Côte d’Ivoire. Je vous remercie.

Vous avez mené une bonne bataille. Soyez-en remerciés.

Monsieur le secrétaire général, voilà ce que je voulais dire pour aujourd’hui. A la prochaine fois, nous allons travailler. Vous allez me dire quand…Je suis votre soldat, je suis mobilisé. Merci.

GBAGBO LAURENT »

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PRESI-AKWABA !

« Et dans notre enjaillement citoyen, nous tenons, à titre strictement personnel et individuel, à noter ici que, ma Grand-Mère, KOUDÄ-SANABA, m’a conseillers, aux abords de mes 10 ans 1971, de ne jamais composé avec le mensonge, quel que soit sa puissance de frappe et sa vitesse de course, que même si le mensonge cours à une vitesse effrénée pendant 40 ans, la vérité a un seul pas de marche un « Fahiri-dâ, Aube », matin, le rattrape. Oui, 10 ans de mensonge obscurantiste, soutenue par des forces supposées irrésistibles, 10 ans de diversions mensongères, 10 ans de calomnies nébuleuse, pour arriver à une vérité irréfragable, transporté par un  petit mot, ACQUITTEMENT, un « Fahiri-dâ, Aube, » matin … Merci Grand-Mère KOUDÄ-SANABA. Ça m’a servi, très bien servi même», De Lepetitfils : Leader de la Légitimité citoyenne. A tire personnel.

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12 juin 2021 6 12 /06 /juin /2021 15:12
Lepetitfils : La côte d’ivoire d’Houphouët Boigny, qui a perdu ses repères sociétaux, a besoin de réconciliation nationale, de sauvetage national, de réglage politique systémique consensuel et synergique, avec tous les ivoiriens solidaires. Oui, la réconciliation nationale, est avant tout, la conjugaison des actes consensuels et communs de la totalité sociale, des actes qui parlent plus que les discours politiques, souvent imposé pour éluder l’essentiel, et pour diversion. La vraie réconciliation nationale, ne se fera pas dans d’obscur théâtre d’ombre politicienne.

Lepetitfils : La côte d’ivoire d’Houphouët Boigny, qui a perdu ses repères sociétaux, a besoin de réconciliation nationale, de sauvetage national, de réglage politique systémique consensuel et synergique, avec tous les ivoiriens solidaires. Oui, la réconciliation nationale, est avant tout, la conjugaison des actes consensuels et communs de la totalité sociale, des actes qui parlent plus que les discours politiques, souvent imposé pour éluder l’essentiel, et pour diversion. La vraie réconciliation nationale, ne se fera pas dans d’obscur théâtre d’ombre politicienne.

Dans l’arène politique ivoirienne le pouvoir exécutif, chante a tout bout de champs, «réconciliation nationale et paix sociopolitique». Or ses pratiques politiques au quotidien, ses comportements déplacé et ses actes de non-droits, soutenus par des brigades d’acclamations intéressés et des intérêts politiques exclusifs, contredisent ses paroles mielleuses, chantées a occasion dans la haute  sphère de l’état, «présidence de la république et ministères exutoires», donc, invalide les paroles mielleuses. Oui, tout comme la boxe, la politique est un noble art, qui a besoin de respect des principes et règles. En politique, on ne peut légalement conquérir le pouvoir d’état sans être populaire, alors donc les spéculations sur la popularité d’un homme politique, jusqu’à devenir un souci majeur du pouvoir d’état, qui veut rétrécir dès lors les angles de droits et de libertés. Nous vivons en côte d’ivoire en marge des sociétés civilisées et des démocraties pluralistes modernes. Parce que le refus ou la contestation d’un accueil triomphal a des hommes politiques, repose sur qu’elle règle ? Sur quel principe ? Bon ! Tous comptes faits, c’est peine perdue, la pesée est terminée. Comme on ne peut pas cacher le Feu flambant avec la Main, le Monde entier connait aujourd’hui, le poids individuel de chaque Homme politique Ivoiriens et est arrivé à la conclusion que la combinaison Gbagbo-Bédié, est infernale et irrésistible en côte d’ivoire. Ça saute aux yeux.

Mais ici, la côte d’ivoire, est toujours confiné dans la logique, source de la crise, de belligérances de guerres, d’où le pouvoir et ses soudards, n’envisagent le combat démocratique, le débat politique et les rapports de forces politiques, que sous la forme d’une guerre civile, opposant deux armés rivaux et ennemis juré, qui ne pensent qu’a exterminés mutuellement. Donc, ils préfèrent couper des têtes par-ci, éliminer des pions par-là, diminuer les longueurs là-bas, rétrécir les largeurs à l’opposé, et la justice sous leurs ordre est le couperet de la guillotine. Se faisant donc, point de droit, point de liberté, les poursuites arbitraires, les condamnations expéditives et le Trou pour tout ce qui bouge est la règle édictée, «AU TROU QUOI !». Donc des hommes politiques, citoyens libres, censés bénéficiés d’un accueil ultra-populaire, est considéré comme une menace sociétale. «Je ne suis pas d’accord pour un retour triomphal dit-t-on». Alors que le peuple absolu souverain, est volontiers consentant et veut absolument cet accueil triomphal. Donc, sommes-nous dans un l’état républicain de droit et démocratique ? Non ! Puisque les faits contredisent la théorie. Ici pour se revendiquer, comme un état républicain de droit, il faut que les droits humains basiques et les libertés fondamentales, soient garantis d’une manière égale pour tous, citoyens, sans attacher d’importance à la couleur politique et à l’idéal sociétale défendu, sans différenciation.

Une seule motivation guide la présente, le doute sérieux que nous avons de l’écologie mentale, de ceux qui entre en transe, face à l’idée du retour triomphale du président GBAGBO. Nous ne comprenons pas ces gens soi-disant victimes, qui ne se soucie pas, de l’aspect légal, de droit au dédommagement, mais plutôt de l’aspect politique nombriliste, guider en cela par des politicards, qui les incitent. Ils doivent sûrement avoir ces gens-là et ces politicards-là, une forte dose de Gravier «woyo-woyo», de Sables mouvants ou de Boue « pôtô- pôtô » immuable dans leurs têtes. Puisque cette attitude est le terreau fertile à une nouvelle crise sociopolitique en côte d’ivoire. La Cour pénale internationale a dit que, ce ne sont pas les déportés politiques à la Haye, qui sont les criminels des crimes de guerres commis en côte d’ivoire pendant les crises. Or, dans cette affaire de crimes, avec des milliers de cadavres zigouillés et des victimes réelles commis en côte d’ivoire, il n’y a que deux (2) noms, Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo. Tous les restes ne sont que complément additionnel à la chaine de l’exécution des crimes.

Or, la justice internationale à confirmer que ce n’est pas UN des deux (2) qui est le criminel, donc il RESTE UN SEUL. Alors-là si on se dit victimes de cette crises, et on ne connaît toujours pas le criminel, donc ce n’est pas le dédommagement que tu cherches, jamais de la vie, tu fais politique politicienne, or dans politique il y a la mal Bouffe. Ça c’est donc, la recherche de la Mal bouffe, qui peut donner la colique dans le temps. Une victime cherche réparation de droit des dommages subis et elle laisse la justice déterminé ses bourreaux. Or la Cour pénale internationale à juger l’Affaire partiellement, et a conclu que ce n’est pas Gbagbo. Et elle à affirmer récemment, qu’elle «enquête» cherche les criminels de guerre dans le deuxième camp Ouattara. Hunn !!! Oui, nous constatons dans les faits de tous les jours que le RHDP renégat et son directoire iconoclaste, nihiliste peuplé d’Arrivistes déchet-toxiqués pour une déchet-toxication publique en outrance, font fi d’ignorer que, Alassane Ouattara, est en bonne place sur la liste des supposés criminels de la crise ivoirienne. Eh bien ! Qu’ils ravivent et sachent que, Alassane Ouattara est bel et bien sur liste légale des criminels de guerre des différentes crises ivoiriennes de 2002-2011 jusqu’à ce jour. Et cela jusqu’à ce qu’il prouve le contraire devant qui de droit et la cour pénale internationale «CPI», est bien intéressée. Sauf à se leurrer le camp Ouattara, ne va pas sans son support Ouattara détenteur exclusif de l’autorité sur son camp de guerre « Responsabilité du chef hiérarchique tel que appliqué par les juridictions internationales depuis la nuit des temps ». Une guerre ivoirienne qui n’a connu que deux (2) belligérants « attaque-défense ». En côte d’ivoire, il n’y a pas de VICTIMES DE GBAGBO, il n’y a que des VICTIMES DE GUERRE de 2002-2011 à ce jour. Aujourd’hui, la vérité obviée en 2011, connue de tous de par le monde, la côte d’ivoire d’Houphouët, n’a plus besoin d’entretenir la crise, avec des comportements de chacun à son tour chez le coiffeur, mais de tous ensembles salvateurs.

Il ne faut pas se leurrer, la vérité sur les faits de la guerre en côte d’ivoire, est connue de tous de par le monde. C’est pourquoi en connaissance de faits, nous, nous appelons une Amnistie générale référendaire depuis. Parce qu’ici, l’enjeu est simple, si le peuple ivoirien tient à instaurer une nation démocratique réellement fondatrice d’un ordre sociopolitique nouveau, respectueux des droits, ou tout le monde serait libre de partir dans les compétitions électorales avec les mêmes chances, et sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état, il va falloir, que la tolérance et le respect des différences politiques, ethniques, communautaires, tribales, et régionales « sans ouest-est et nord-sud » d’autrui soient accepter par tous, comme règle de la vie en commun et baliser par des normes de régulations sociales acceptées par tous, qui nous éviteront les crises sempiternelles et les milliers de morts à l’avenir. L’ardoise corrigée est là, il faut l’effacé et écrire des nouvelles lettres paisibles.

Oui, Citoyen ! La politique n’est ni Normal-Sup, ni UFR, ni Science-Po, la politique est une science exacte, un art noble, qui admet sans faux fuyant, les différences sociopolitiques. Et la politique est un concours de représentativité au terme duquel se joue  le destin de la nation, le destin de tous et le destin de chacun. Dès qu’on ne maîtrise pas ceci, il faut s’abstenir de faire la politique, au risque de créer des monstres dans la société et parmi le peuple souverain. Surtout contre le peuple souverain, qui n’aspire qu’à vivre en paix. Le peuple souverain de côte d’ivoire n’aspire en réalité qu’à vivre dans une nation une et indivisible, garantissant droit, liberté, justice sociale et juridique pour tous. Substrat universel, pour une vie libre, une vie paisible, une vie de citoyenneté commune, dans une société solidaire, et harmonieuse, qui s’affirme plus que jamais cohérente et paisible. Une société qui refuse, d’adhérer au manichéisme obscurantiste, érigé à un système politique et de gouvernement, broyeur de vie, de liberté et de droit citoyen, un système nébuleux grisé par l’émotion de son ego et la pulsion démesurée de son instinct égocentrique manichéiste. Un système qui veut diviser la composante sociale de la nation pour mieux la déchirer.

Or, seule l’acceptation réciproques des différences culturelles « les sous cultures nationales » et sociopolitiques, peut nous libérer des maux qui rongent notre société, inhibent toute perspective d’avenir et annihile la construction d’une communauté nationale réconciliée avec elle-même. L’action politique et démocratique doit se fonde sur les repères fondamentaux universels, et sur le vivre en commun de partage policé, dans le respect des droits et des libertés. Donc, il y a danger si ces valeurs universelles sont  unilatéralement soumis aux aléas d’une force arbitraire, que viennent légitimer les abonnés à l’opportunisme, au carriérisme, a l’arrivisme renégat, promoteurs de l’attentisme de la quête médiocre de sièges de nominations à occuper. Des agissements de chasseurs de primes, qui dénotent, non seulement le ridicule, mais la bassesse d’ambitions perverses, en ce sens que ces agissements sont porteurs de périls pour leurs auteurs et pour la nation toute entière. C’est pourquoi en politique, si le défi doit avoir un sens, il importe de défier le camp de l’injustice, de l’arbitraire et de la bassesse d’ambitions perverses, au lieu de s’en prendre aux valeurs qui fondent l’organisation de la société sur le vivre en commun politique et démocratique.

D’autant plus que, la démocratie est le fondement de la République, où la juste raison est le vecteur de l’action politique. Donc, en s’inscrivant sur le registre des fossoyeurs de la démocratie, qu’est-ce que les abonnés à l’opportunisme, au carriérisme, a l’arrivisme renégat, veulent prouver ou montrer devant l’exigence universelle du retour à la situation politique antérieure au 24 décembre 1999. Les idéaux universelles démocratiques, ne peuvent s’accommoder de l’acceptation de l’assujettissement, des droits, des libertés, et de la démocratie, au terme des Micmacs et Zigzags de diversions. Il est des moments de la vie politique, à défaut de la lucidité dans l’action, le silence et la discrétion peuvent s’avérer plus efficaces. Car, on ne joue pas avec le sens de l’honneur et de la dignité d’un peuple souverain. Si les ivoiriens veulent la vraie réconciliation et une vraie paix sociopolitique pérenne, dans une société hyper-civilisée, il devra dès lors, pouvoir prohiber les actions et les discours politiques diviseurs, communautarisé, ethnicisé, tribalisé, sectaires, obscurs et de division, par clan d’intérêt particulier.

Oui, comment peut-t-on partir de la politique de stabilité et de paix sociopolitique, de l’exaltation de la diversité nationale solidaire, de la culture de l’harmonie communautaire, assis sur le consensus à toute épreuve, soutenu par la fraternité agissante, des valeurs ressortissantes de la philosophie politique de Félix Houphouët  Boigny, et à l’arrivée, inventer un tel manichéisme politique, divisionnaire, différencialiste, mortifère, sanguinaire. C’est pourquoi nous souhaitons que l’aube vienne dans le camp des unilatéralistes devenus adeptes du juridisme politico-judiciaire téléguidé, depuis les palais en côte d’ivoire, et que l’aube vienne leur indique la voie, de tous égaux, en droit et devoir. «En lieu et place des armes (fusils) comme la mesure de valeur sociopolitique au prix du sang Humain versé». Cette voie à l’Aube anti-obscurantiste, mène à l’anéantissement de la déchirure fratricide. Pour que sur cette voie consensuelle éclairée et éclairante, tout le monde « ivoirien » se rejoint à nouveau et continuer à nouveau, à se battre et à combattre dans le même rang solidaire pour le progrès pour tous et pour le développement sociopolitique de l’entièreté de la nation. Ou l’homme, l’être humain serait la centralité de tout.

Le dialogue politique, le consensus dans l’ordre du public, la cohésion sociale, l’harmonie communautaire, la culture de paix sociopolitique, font partie de la réalité sociétale atavique de l’ivoirien. Donc réaffirmons les, dans un élan de solidarité, du tous unie au chevet de la patrie mourante, de tous libres et égaux, en droit et devoir. A ce moment précis de l’histoire de notre Nation, qui appelle une réconciliation nationale de survie, donc de l’impérieuse réconciliation nationale, des erreurs fatales pour la paix sociopolitique et pour l’avenir ne sont pas permises. L’intolérance des différences sociopolitiques, quelle que soit la nature ici, relève du choix du désordre et non de l’option exigeante, pour l’ordre public, pour l’ordre social, pour la paix pérenne et pour la civilisation moderne qui sied au 21e Siècle. «Oui, seule la démocratie dans l’acceptation des différences sociopolitiques, peut nous libérer des maux qui rongent notre société, inhibent toute perspective d’avenir et annihile la construction d’une communauté nationale réconciliée avec elle-même». Les démocraties sont entrées dans l'âge d'une légitimité plurielle, problématique. D’où j’ai été élu au terme d’une élection de façade ne suffit pas à la légitimité.

La légitimité est trop souvent réduite à sa définition électorale donc: est légitime celui ou celle qui est couronné(e) par le suffrage universel même avec peu d’épaisseur. Cette conception de la légitimité est devenue très insuffisante pour rendre compte des titres à parler, à représenter, à gérer, à réguler, à autoriser ou à interdire au nom du peuple souverain, qui fondent la vie démocratique. En face de la légitimité électorale, existent de multiples formes de légitimité circonstancielles, qui donnent à la vie politique et démocratique, ce pluralisme d'autorités, sans lequel la démocratie n’aurait que peu d’épaisseur. Il s'agit là d'un appel pour une redéfinition de la légitimité démocratique. Puisque dans nos sociétés modernes, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique que de faire partager à l'ensemble des citoyens de la totalité sociale, la conviction que leur volonté s'exprime à travers leurs, représentants électorales ou Non ! La légitimité circonstancielle populaire, appelle souvent le retour immédiat de la légitimité électorale, versatile dans la totalité sociale, sa source unique.

C’est pourquoi, nous disons que, la légitimité populaire circonstancielle actuelle, de l’opposition ivoirienne réside, dans son union et dans son unité solidaire et synergique, au service d’une voie salvatrice, celle de la réconciliation nationale, et de la recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitique. Une voie que le peuple souverain dans son entièreté a emprunté dernière ses gyroscopes circonstancielle. Oui, la légitimité circonstancielle «par d’en bas, siège du peuple souverain vers le haut», et tient en l’état, la légitimité électorale « qui s’imposé du haut, siège du pouvoir vers le bas, donc soumis à la censure de sa propre source, qu’est le peuple l’absolu souverain. Le peuple, est le souverain absolu, versatile à volonté. On ne le dira jamais assez, la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, qui a perdu ses repères sociétaux, a besoin de réconciliation nationale, de sauvetage national, de réglage politique systémique consensuel et synergique, avec tous les ivoiriens solidaires. D’où l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé ou d’être embastillé, sinon être arrêté. Oui, la réconciliation nationale, est avant tout, la conjugaison des actes consensuels et communs de la totalité sociale souveraine, des actes qui parlent plus que les discours politiques, souvent imposé pour éluder l’essentiel, et pour diversion. La vraie réconciliation nationale, ne se fera pas dans d’obscur théâtre d’ombre politique. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- De Lepetitfils Da Candy : Leader de la Légitimité Citoyenne.

*- Pour tous autres et pour ample infos compulser ci-dessous : www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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7 juin 2021 1 07 /06 /juin /2021 01:05
Lepetitfils : Face à la difficile émergence d’une élite dirigeante Africaine, capable de défendre les intérêts de l’Afrique, par une option politique claire, adaptée aux pays émergents, face aux voracités de toutes sortes. Notre Afrique  n’a pas besoin de rupture brutale et systématique avec nos ex-colonisateurs ou avec l’Occident. Un pays Africain, n’ira nulle part sans le respect scrupuleux des valeurs humaines hérité de sa puissance colonisatrice, ancrée dans les faits économico-sociopolitiques. L’éternelle victimisation ne servira jamais l’Afrique, qui a besoin de compétition.

Lepetitfils : Face à la difficile émergence d’une élite dirigeante Africaine, capable de défendre les intérêts de l’Afrique, par une option politique claire, adaptée aux pays émergents, face aux voracités de toutes sortes. Notre Afrique n’a pas besoin de rupture brutale et systématique avec nos ex-colonisateurs ou avec l’Occident. Un pays Africain, n’ira nulle part sans le respect scrupuleux des valeurs humaines hérité de sa puissance colonisatrice, ancrée dans les faits économico-sociopolitiques. L’éternelle victimisation ne servira jamais l’Afrique, qui a besoin de compétition.

*- Un boulevard de débordement ouvert pour les djihadistes.

 « Notons d’emblée entre Guillemet, qu’au Mali, qu’à la suite du coup d’État du 24 mai, qui a imposé au pouvoir le colonel Assimi Goïta, Paris est passé à l’action.  La France a annoncé la suspension «à titre conservatoire et temporaire» de ses opérations militaires conjointes avec le Mali ainsi que « les missions nationales de conseil à leur profit ». La force française Barkhane, forte de 5.100 militaires au Sahel, continuera d'opérer, mais pour l'heure de façon non-conjointe et aussi la force « Takuba » initiée par la France, composée d'unités de forces spéciales européennes et censées former l'armée malienne au combat face aux djihadistes, compte parmi les activités suspendues. Ce qui est un boulevard de débordement ouvert pour les djihadistes, vers le centre tout comme pendant la période du coup d’état de Sanogo contre Touré ». Peut-être la junte militaire de Koita espère de la Russie de Modibo Keita, comme palliatif ?

*- En regardant dans le Rétroviseur du Panafricanisme, quel a été le progrès réalisé depuis 1960 ?

Bon ! L’Afrique est toujours à la recherche de l’éternelle nouvelle puissance de tutelle. Or l’Afrique «tutélaire» doit oser être et oser rester elle-même dans le concert des Nations. Un pays Africain, n’ira nulle part sans sa puissance colonisatrice. Elle n’évoluera que par ses liens politico-économiques, très bien entretenus avec son ex-colonisateur, non pas comme colonie éternelle, mais comme partenaire indéracinable, avec des nouveaux rapports discutés et convenus, de nouveaux liens solidifiés. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, doit son miracle économique ivoirienne et son progrès social a cette politique d’acceptation et de l’éternelle discutions avec son ex-colonisateur, ou assis tous deux à la même table, avec le président Mitterrand, le président  Félix Houphouët Boigny, pouvait s’écrier en disant, « on nous a trop volé ».  Cela n’est possible que, dans des liens sa nuances, ou tout est discutable, sans tabou. Aucune nouvelle puissance tutélaire n’apportera quoi que ce soit à un pays Africain, plus que sa puissance ex-colonisatrice. A l’Aube des indépendances Africaines certains dirigeants réellement soucieux du devenir de leur peuple, sont tombés dans ce piège. On a constaté de Bamako, Accra et Conakry, les intellectuels Africains, tourné le Dos à leurs puissances colonisatrices et ont ensuite enseigné et transplanté les valeurs du socialisme Russe dans leurs pays, sont-ils arrivés à un progrès ? En dehors des citoyens prolétariens, Non !  Le seul destin promis à ces colonies Africaines déserteurs de la ligne de leurs colonisateurs, consistait à suivre le réveil du prolétariat,  pour la constitution d’un potentiel révolutionnaire de panafricanisme. Le prolétariat n'a eu aucune destinée meilleure en Afrique. Et la colonie française qui a pratiqué cette politique révolutionnaire de panafricanisme à l’extrême, dans sa phase hyperactive, est le Mali de Modibo Keita, qui s’est tourné totalement vers l’URSS, avec la grande déchirure et la création de sa monnaie le franc Malien détaché du franc CFA.

Mais quel a été le progrès pour le Mali ?  Pour qu’une Junte militaire Malienne de 2020-2021 soit pro-Russe ? Puisque Modibo Keita, «1960-1968», face à la réalité, a arrimé son francs Malien dévalué de 50%, au franc CFA. Et pire dans la nuit du 18 au 19 novembre 1968, arriva ce qui était prévisible, un putsch, « le premier » au Mali. Et Modibo Keita s’est entendu dire par un lieutenant de l’armée malienne, « Monsieur le président, voulez-vous vous mettre à la disposition de l’armée ? ». Les putschistes ont des revendications précises. Ils demandent a Modibo Keita de renoncé au socialisme « version Russe sur le champ », et prôné depuis l’indépendance, le président Modibo Keita donne une réponse  négative en disant : « Nous sommes dans un pays de droit et de démocratie. Nous respectons depuis l’indépendance la volonté populaire. C’est le peuple qui a opté pour le socialisme. Le socialisme n’est donc pas mon choix à moi tout seul, demandez au peuple ce qu’il en pense ». Les putschistes annoncent alors que le régime dictatorial de Modibo Keïta a chuté, après huit ans de régime socialiste « a la Russe», qui s’achève ainsi au Mali. Donc au Mali qu’elle est la nouvelle donne économico-sociopolitique, Aujourd’hui, qui peut  conduire à une reproduction de cette politique socialiste « a la Russe » au Mali ? Oui, la Russie ou la Chine ne donneront, rien à l’Afrique, ils viennent pour prendre. Attendons dans 50 Ans pour comparer les infrastructures Russes et Chinoises, aux infrastructures coloniales plus que centenaires. L’Afrique doit oser être et oser rester elle-même dans le concert des Nations. Un pays Africain, n’ira nulle part sans avec  sa puissance colonisatrice Main dans la Main.

Pour le Ghana, disons que, sous l’autorité de la couronne d’Angleterre, au sein du Commonwealth, 1960 est l’année du passage du Ghana au statut de république, Kwame Nkrumah en devenait le président. Avec le projet de construction d’un Ghana socialiste, appelé à être un fer de lance de la décolonisation intégrale de l’Afrique, et de la révolution africaine. Donc, Kwame Nkrumah, Militant et intellectuel de haut niveau anticolonialiste, s’est voulu, partisan de la révolution panafricaniste en Afrique. Et devient l’idéologue incontesté d’une émancipation de l’Afrique du colonialisme et du néocolonialisme. Cet qui n’est autre chose que, la conséquence d’une fréquentation par Nkrumah de la théorie marxiste, des activistes marxistes. Donc, il était fermement opposé à l’idée de la prétendue mission civilisatrice de la colonisation par les colons blancs. Une colonisation civilisatrice, taxée d’entreprise de dénaturation de la culture négro-africaine authentique et traditionnelle. Kwame Nkrumah, véhiculait donc, l’idéologie du consciencisme socialiste et panafricanisme, qu’est une adaptation des principes socialistes aux données culturelles africaines.  Ce qui dessinait l’Afrique, comme prisonnière du néocolonialisme, assis sur une forme de domination capitaliste, sur lequel il a mis l’accent comme l’ennemi numéro 1, de l’émancipation des peuples africains. Mais cette conception idéologique ne pouvait réussir à l’Afrique, qui avait certes besoins de mains « Ouvrières et de Masses » mais avait besoin de plus de têtes et de hauteur de vue. Or cette politique est antiélitiste. Donc malgré l’engagement sans retenu, malgré la bonne foi et la fiabilité du projet, l’échec de Nkrumah fut total, parce que le substrat « socialisme du bloc socialiste » avec comme locomotive URSS, ne misait que sur la production ouvrières de Masses. Or l’Afrique avait besoin de têtes que de force ouvrières pour bien défendre son idéal sociétal panafricaniste et révolutionnaire. Ce qui devait arriver, arriva, le 4 février 1966. C’est une constance que,  les peuples déchus brulent leurs Icones ou leurs idoles dévoué, mais incompris. La chute de l’Osagyefo « le rédempteur »,  alors en visite en Chine socialiste, est célébré par une foule en liesse, dans  la capitale Accra.

Quand a la Guinée de Sékou Touré, contraint de gérer les conséquences de son Non ! Solitaire ou suicidaire de 1958, ne pouvait pas subir passivement le blocus et ostracisme résultante de son acte euphorique. Il se tourna vers L'URSS de Khrouchtchev et les autres pays socialistes qui étaient prêts à l'aider. Avec comme fonds de commerce la dénonciation du colonialisme Français, qui  était toujours politiquement payante dans son pays. Et s’appuyait au besoin, sur les accusations de complots ou personne ne prenait au sérieux. Les découvertes spectaculaires des complots contre-révolutionnaires, que, ni l'URSS, ni la Chine populaire, ni même le Ghana, ne considéraient comme réels. Avec des discours endiablés du genre « Il n’y a pas de dignité sans liberté : nous préférons la liberté dans la pauvreté à la richesse dans l’esclavage », de Patrice Émery Lumumba, qu’il a fait sienne. Patrice Lumumba nationaliste, panafricain anticolonialiste, et Ephémère Premier ministre congolais juste après l'indépendance en 1960. Devenu une Icône de la lutte anticoloniale, « Ami du panarabe l’Egyptien Gamal Abdel Nasser, qui adopta des mesures socialistes et mena des réformes pour moderniser l'Égypte, mais après la fin d’un sommet de la Ligue Arabe il succomba à une crise cardiaque, le 28 septembre 1970 au Caire « sans arriver à ses fins panarabe et panafricaniste », il «Patrice Émery Lumumba», n'aura fait qu'un passage furtif sur le devant de la scène. Il est assassiné au Katanga le 17 janvier 1961, il n'avait que 35 ans». Et Sékou Touré «révolutionnaire anticolonialiste et panafricaniste», le Syli disaient-ils «les Guinéens», premier président de la Guinée, est ainsi mort le 26 mars 1984, alors qu’il était au pouvoir. Ayant dirigé son pays d’une main de fer, il n’a pas su faire de ce qu’il appelait lui-même un «scandale géologique», du fait de son extraordinaire richesse minière et naturelle, un «miracle du développement». Pas plus que ses héritiers successifs et au pouvoir. La Guinée est encore aujourd’hui un des pays les plus en retard de l’Afrique. L’animalisations « raison du plus fort » de l’exercice du pouvoir d’état, la conception archaïque et paternaliste du pouvoir d’état, pire que le colonialisme, le néocolonialisme et l’impérialisme dénoncés a tout bout de champs, en est la cause unique. Ce ostensible de l’anticolonialisme et panafricaniste révolutionnaire, suivi de régimes despotiques, n’a réussi à insuffler aucune dynamique de développement à son pays, pourtant totalement dédouané de la tutelle coloniale.

*- Le discours politique Africain, ne doit pas se réduire à rejeter toute la responsabilité sur le colonisateur.

Comme nous «Africains» sommes dans le même Navire à destination unique, Remettons ceci dans la Balance : L’Anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique n’ont jamais servi et ne serviront jamais la lutte nationale démocratique en Afrique. L’Afrique doit comprendre qu’en politique, chaque fois qu'il arrive un problème sociopolitique, une crise sociopolitique, l’homme politique se doit de chercher logiquement les causes en lui-même, d'abord en lui-même, surtout en lui-même. Ainsi s’il arrive à discerner sa part de responsabilité dans les causes de ce problème sociopolitique, de cette crise sociopolitique, la part de responsabilité des autres dans les causes de ce problème sociopolitique, de cette crise sociopolitique, devient facilement discernable et dénoué de toute accusation gratuite. Oui les hommes politiques Africains doivent penser à opter pour le «Ai-je fais, bien fais pour mon pays, ce que je dois » décrété par Félix Houphouët Boigny. 

Donc le discours des hommes politiques Africains, ne doit pas se réduire à rejeter toute la responsabilité de toutes les crises sociopolitiques, de tous les problèmes économiques et tous les malheurs, sur la France, sur l’Occident, sur les Blancs et/ou les puissances étrangères a l’Afrique. En clair les hommes politiques Africains, ne doivent avoir aucune crainte, aucune peur, et aucune répugnance, vis-à-vis de la France « la mère patrie », de l’occident, des Blancs et/ou les puissances étrangères a l’Afrique. Au contraire ils doivent chercher des nouveaux moyens d’approches, d’attaches, pour permettre à l’Afrique et l’Occident de construire ensemble un nouveau destin commun et partagé. L’Anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique n’ont jamais servi et ne serviront jamais les luttes nationales démocratiques en Afrique. Oui, les héros anticolonialistes, sont légions en Afrique, qui doit certes rester respectueuse de ses martyrs. Mais il est difficile par contre de cité un seul, oui ! Un seul, qui a réussi à émerger son pays dans/avec cette voie, bien que étant de droit inaliénables des peuples.

Oui, insistons-en : L’anticolonialisme primaire irréfléchi, de façon exaltée, fiévreux, imprudent et frénétique, et le panafricanisme hermétique sourd et aveugle, ne payent plus dans les luttes démocratiques face aux ex-colonies. Donc chanter à tout bout de champs, la France, toujours la France, et encore la France, malgré souvent sa bonne foi. L’Europe, toujours  L’Europe, encore L’Europe, pourtant qui n’épaule pas mal notre Afrique en matière de sécurité et toutes autres choses situer au-delà de nos forces et moyens, n’est pas la bonne voie de la lutte démocratique pour les hommes politiques Africains. Donc L’anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique irréfléchis « Bête-Bête » associés à la lutte démocratique, n’est pas la solution aux dictatures en Afrique. Le panafricanisme de diversion populiste et à commodité, n’est pas non plus la solution à nos problèmes économico sociopolitiques et partant développementaux ou l’homme serait la centralité absolue.

Par contre, le panafricanisme ouvert sur le monde, d’union politique, dans le respect des droits et de principes de réciprocités, de fédérations des forces solidaires, autours des enjeux internationaux et de l’unifications des destinées politiques Africaines telle que, les États-Unis d’Afrique, proposée dès 1924 par l'écrivain jamaïcain Marcus Garvey,  qui rêvait d'une Afrique forte, solidaire et prospère. Cette idée est à l'origine de la Création des mouvements panafricanistes de 1945. Dont les Leaders ont évoqué au 5e Congrès panafricaniste de la même année à Manchester « les : Barthélémy Boganda, patrice Lumumba, Gorge Padmore, Jomo Kenyatta, Modibo Keita, Kwame Nkrumah, et Ahmed Sékou Touré » comme le nom qui désigne la création d'un éventuel État fédéral africain. Donc si ce panafricanisme, avec des états autonomes chapeautés par un pouvoir exécutif centrales, qui coordonne les relations interétatiques d’Afrique entre les gouverneurs étatiques, oui, s’il n’est pas trop sérieux pour l’Afrique d’Aujourd’hui, toujours à la recherche de nouvelles puissances tutélaires, il serait dès lors salvateur pour l’Afrique. Parce qu’il permettrait la progressive unification des différents combats politiques Africaines, pour l’Afrique, pour la Vie Africaine, pour l’homme, pour tout homme, pour les droits inaliénables et pour la liberté dans la dignité.

*- L’homme politique Africain doit refuser d’être un valet qu’une puissance étrangère vient imposer.

Donc, ici nous ne voulons pas défendre le diable, en demandant aux Africains, de fermer les yeux sur tout ce que « les accusés de colonialisme, d’impérialisme » « Les ex-colonies occidentales », fait dans notre/votre Afrique. Mais tant que la lutte des hommes politiques Africains, pour les droits inaliénables des peuples, pour les libertés fondamentales, pour les développements économiques et sociaux et pour la démocratie en Afrique, ne détacherait pas « les ex-colonies» des combats politiques nationaux, et de la lutte démocratique nationale contre l’arbitraire d’un pouvoir devenu sanguinaire, dans les pays Africains. Elle armerait d’avantage toujours d’une force d’appoint supplémentaire, et d’une  force support d’acier, les arbitraires des pouvoirs devenus sanguinaires dans les pays Africains. Des pouvoirs sanguinaires Africains, qui s’efforceront de rassurer politiquement, économiquement et diplomatiquement les puissances dénoncées. Par des discours paravent justificatifs, a toutes les carences et incompétences, utilisées comme fonds de commerce politique pleurnichard, pour leurrer et tromper les peuples Africains de la novatrice voie vers l’essentiel sociétal du moment. Oui, les colonisateurs ne sont pas les problèmes de l’Afrique, Non ! Mais le grand problème pour l’Afrique pire que la colonisation est le mode d’acquisition des pouvoir d’état en Afrique et son exercice effrénée dédouané souvent de tous droits et au mépris de règles universelles et en dépit des normes de régulations sociopolitiques librement acceptées par tous.

 Nous pensons donc que, les hommes politiques  Africains, ne doivent avoir aucune crainte, aucune peur, et aucune répugnance de l’occident, au contraire ils doivent rechercher auprès des ex-colonisateurs des nouveaux moyens d’approches, d’attaches, de coopérations étroites, certes pas celles de 1960 de nos grands-parents.  Mais des approches politiques et des attaches diplomatiques nouvelles, des coopérations nouvelles réciproquement consenties, sans faux-fuyant. Surtout rediscuter nos liens politiques, économiques, sociaux, relationnels, de coopération étroite, dans le respect de cette réciprocité, que recommandent les commodités diplomates, et qu’exigent les relations interétatiques dans le concert des Nations. Donc c’est une question pour les hommes politiques Africains, d’avoir le courage de se regarder dans un miroir avant toute chose. Et chercher les causes des problèmes Africains, en nous même,  d’abord en nous même, surtout en nous même, pour le relèvement de l’Afrique, pour le relèvement de notre destin commun.

 

Oui, une soldatesque qui se lève un Matin, pour donner un coup d’arrêt inacceptable, injustifiable et irrecevable, a l’état de droit, au processus démocratique, en s’assujettissant les normes de régulations sociopolitiques de la totalité sociale consentante et votante, est plus que le colonialisme. Et un panafricanisme exutoire et chansonnier ne pourrait solder cette tare morale. Les hommes politiques Africains ont plutôt besoin de frottement, de compétition, et de confrontation avec tout le monde sur la planète terre commune, «nos sportifs sont des grands sportifs parce qu’ils ont joué avec les meilleurs de l’Occident et bénéficié de la technique des techniciens occidentaux du sport, ceci est valable pour toutes les relations humaines. Donc non ! À l’auto-enfermement et à l’auto-cadenas-sage». Les hommes politiques Africains doivent plutôt refuser d’être des valets qu’une puissance étrangère, Occidentale ou pas, vient imposer à son peuple souverain avec la force des fusils, souvent dans le feu et dans le sang, au prix d’un soutien monnayable en billets de banques.

 

Il faut donc nous «Africains», départir de la recherche de nouvelle puissance tutélaire, de la victimisation, de la martyrisation, et de l’esprit d’infériorité, pour aller à la rencontre des peuples quels qu’ils soient, sans complexité et sans complaisance, avec notre identité historique atavique d’ex-colonisé. Parce que, face à la difficile émergence d’une élite dirigeante Africaine, capable de défendre les intérêts de l’Afrique, par une option politique claire, adaptée aux pays émergents, face aux voracités de toutes sortes. Notre Afrique  n’a pas besoin de rupture brutale et systématique avec nos ex-colonisateurs ou avec l’Occident. L’Afrique doit oser être et oser rester elle-même dans le concert des Nations. Un pays Africain, n’ira nulle part sans le respect scrupuleux des valeurs humaines de sa puissance colonisatrice, ancrée dans les faits économico-sociopolitiques. L’éternelle victimisation ne servira jamais l’Afrique, qui a besoin de compétition. Oui, Compétition.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne

*- Pour tout autres et pour ample infos voir ci-dessous 

 

 

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2 juin 2021 3 02 /06 /juin /2021 01:56
Lepetitfils : L’Afrique ne s’en sortira que par le changement évolutif des mentalités des hommes politiques dirigeants d’état, vieux ou jeunes, ou les normes juridiques de régulations sociales acceptées par tous, seraient la seule source légale de l’acquisition du pouvoir d’état. Et elle s’en sortira, l’Afrique que par de nouvelles conceptions politiques anticipatives des perspectives d’Avenir dans le temps, ou l’homme, oui, l’être Humain serait la centralité absolue de toutes les actions sociopolitiques et de toutes les œuvres développementales.

Lepetitfils : L’Afrique ne s’en sortira que par le changement évolutif des mentalités des hommes politiques dirigeants d’état, vieux ou jeunes, ou les normes juridiques de régulations sociales acceptées par tous, seraient la seule source légale de l’acquisition du pouvoir d’état. Et elle s’en sortira, l’Afrique que par de nouvelles conceptions politiques anticipatives des perspectives d’Avenir dans le temps, ou l’homme, oui, l’être Humain serait la centralité absolue de toutes les actions sociopolitiques et de toutes les œuvres développementales.

*- (Ici, il convient d’emblée de rappeler, soit dit en passant, en marge de cette chronique, qu’en 2010 au lieu de s’aligné fermement derrière la norme constitutionnelle ivoirienne, qui avait régis les élections présidentielles, comme solution à la crise, l’UA et la CEDEAO, ont soufflé sur les braises du non-droit, qui a alimenté la crise en côte d’ivoire, pays limitrophe du Mali, dont la retenue du président de la république d’alors a été remarqué dans sa sagesse. Et le résultat du soutien à ce non-droit est connu, 7000 milles morts de citoyens zigouillés au total, et dix ans après, toujours impossibles de dire la vérité connue de tous, et impossible de nommé le vrai criminel de guerre.) CECI ETANT REGARDONS LE MALI.

*- L’Afrique noir est Mal partie.

Oui, de façon litote, nous voulons succinctement faire ressortir ici, avec le courage qui sied à l’exercice, un fait indéniable: l’Organisation de l’unité africaine (OUA) dans sa version Union Africaine (UA) et la CEDEAO, n’ont jamais réussi à règle une crise sociopolitique Africaine ou Ouest-Africaine, dans le respect des droits irréfragable et universels. Or quand la politique bafoue les droits inaliénables, son substrat d’existence légale, la totalité sociale, fonce tout droit dans la jungle, ou les plus forts et les plus violents sont les Rois. Oui, Là où il n’y a pas de respect scrupuleux des normes juridiques de régulations sociales l’œuvre de la totalité sociale, l’arbitraire est Roi.

Oui, au Mali, après le putsch de 2020, bien caressé dans le sens du poil par Ces organisations Africaines et les suites de crises successives, d’aucuns avaient espéré pour une fois la rigueur en Afrique, à l’écoute des différentes déclarations. L'Union africaine par la voie de son président en exercice, a fermement condamné toute action visant à déstabiliser le Mali, en appelant tous les acteurs de la transition politique malienne à la retenue, ainsi qu'au respect de la Constitution. (RETENONS LE RESPECT DE LA CONSTITUTION). Et le dimanche 30 mai 2021, les dirigeants de la CEDEAO, se sont réunis à Accra, en sommet extraordinaire sur le Mali. Ils n’ont pas demandé, le retour des anciens présidents et Premier ministre, arrêtés et poussé à la démission, pour être ensuite taxé de démissionnaires, comme le président démocratiquement élu Ibrahim Keita. Et qui sont tous assignés à résidence, Non ! Les chefs d'État de la CEDEAO, a  ont condamné fermement le récent coup d'État, en obvier toutes actions concrètes de retour immédiat à l’ordre constitutionnel bafoué et piétiné au Mali par une soldatesque effrénée.

 Il faut aussi noter que, conformément aux règles universels de droits international, Paris avait dénoncé, le coup d'État en cascades d’inacceptable, et le président français Emmanuel Macron a averti, clairement que Paris ne resterait pas aux côtés d'un pays où il n'y a plus de légitimité démocratique ni de transition. D’où le Gourou anti-Français de la junte militaire, et suscité par celle-ci. Ici on ne voit pas la carence de droit en Afrique, mais la main de la France au Mali, le fonds de commerce de toutes les insuffisances politiques en Afrique francophone. Oui le colonisateur, la diversion manipulatrice des peuples martyrisés, l’exutoire prépayé, de la  médiocrité des hommes politiques Africains, face aux peuples réduit à la crédulité. Oui, il y a une chose et son contraire dans la politique Africaine, on s’arc-boute aux faits de la colonisation civilisatrice, ou tout n’a pas été mauvais, et en même temps, on se plait a adorer religieusement et on soutient fermement, l’exercice des pouvoir dictatoriaux, autocratiques, autoritaires et assujettissants, calqués sur la pratiques des pouvoirs coutumiers anciens ancestraux, fondés sur la forces des fusils « j’étais vaincu avec les armes, c’est tout » «c’est l’antagonisme des Garçons dans la jungle etc.»

Ici, nous voulons seulement faire remarquer que la soldatesque malienne, avec le colonel Goïta savait en arrêtant Ibrahim Keita, ensuite Bah N'Daw «moins légal et légitime» et son Premier ministre Moctar Ouane que les choses allaient se dérouler ainsi, au mépris de l’ordre constitutionnel «il y a des antécédents éclaireurs», parce que l’Afrique, notre Afrique, ne s’accommode pas avec la rigueur du droit. En témoigne la grande différence entre les réactions Africaines et celle de la fermeté rigoriste de la France. En droit, l’Afrique ne boxe pas dans la même catégorie que la France. Donc la soldatesque Malienne savait, qu’elle ne va jamais être obligé par qui que ce soit, de restaurer les droit qu’elle a bafoué et qu’elle a foulé aux pieds de marches des godasse militaire. Oui, avant sa désignation comme chef de l'État, par la cour constitutionnelle, la soldatesque du colonel Goïta, savait, qu’elle pouvait se passé de la rigueur des prescriptions constitutionnelles de son pays, le Mali. « La loi reste au fusils ». Sinon qu’on nous dise qu’elle est la norme juridique qui transporte son serment reçu par la cour constitutionnelle

Oui, surtout, la soldatesque malienne était consciente, qu’elle n’allait jamais subir la rigueur du droit, pour abus de la fonction publique et malversations financières. (NOUS AVONS DIT MALVERSATIONS FINANCIERES), dans un Pays qui s’exsangue. Ici, le fait le plus saugrenue au monde, est que des dirigeants d’état, au sommet de la hiérarchie du pouvoir exécutif, n’ont pu démissionner volontiers disent-ils, que séquestrés dans une caserne Militaires de détention devenue Gestapo. Et la soldatesque Malienne et son président, qui ont délibérément violé la constitution Malienne, soulignent péremptoirement, après leur actions manifestement Gestapistes, leur attachement à la charte de la transition. Un texte d’arrangement politique, qui n’a aucune valeur juridique, et qui n’engage que ses signataires, surtout un texte qui doit tirer son essence de la constitution, pour y être conforme aux prescriptions constitutionnelles, afin d’être regardant en droit. «Ici l’abracadabrantesque saugrenue, insensé, ridicule se disputent la coupe éhonté de la honte, sur les cendres de la grande sagesse Africaine (hêrêdôn)».

Oui, ne l’ignorons pas avec la soldatesque Malienne, le vieux principe qui veut que: Pour voir une société, pour connaitre une société, pour dire une société, pour rencontrer une société, pour raconter une société, pour peser une société, il n’est pas, en droit, d’autre instrument que la constitution, norme de régulations sociales par excellence, sans le respect de laquelle aucune paix durable n’est possible. Elle est l’acte fondateur de l’état de droit, et le substrat de la société, en ce qu’elle énonce les principes, autour desquels se construit le vivre paisible en commun de partage d’une société ; elle est un acte organisateur de la totalité sociale souveraine, en ce qu’elle définit les mécanismes du gouvernement politique et son mode d’accession au pouvoir d’état; elle est un acte scientifique pensé, écrit et technicisé dans la forme voulu par la totalité sociale souveraine, en ce qu’elle marque, le consensus sociopolitique républicain, autour des principes et modes d’organisation politique de la société. Ainsi, elle échappe au contrôle des groupuscules d’hommes mal intentionné, et se situe au-dessus de tous les pouvoirs d’état, en ce qu’elle enfante et fait la légalité et la légitimité des dirigeants du pouvoir politique d’état.

Oui, un texte d’arrangement politique même appelé Charte, ne peut transcender la rigueur constitutionnelle, miroir et reflet de la souveraineté populaire du peuple, devenu plus que jamais maitre de son destin, dans le concert des nations souveraines. Oui, charte ! Normes positives soit-t-elle par transcription unilatérale, ne sont pas souvent l’émanation du droit universel ou du droit tout court. « Comme la charte de transition au Mali manifestement contraire à la constitution du Mali ». Oui, les Normes positives ne sont pas souvent forcément du droit ou conforme au droit universel. Parce qu’elles sont très souvent la volonté abstraite d’un homme politique ou d’un groupe d’hommes politiques, soucieux d’arrivée à leurs fins de dominations sociopolitiques nombrilistes. Oui, Nous disons toujours à des occasions que, si l’Afrique, «ici singulièrement le Mali», doit être au rendez-vous de la démocratie moderne digne du 21ème siècle, certains comportements anti-démocratiques sont  à bannir. Et le fondement de cette démocratie doit être le droit dans toute sa rigueur absolue, dans toute sa rigidité hermétique légale, avec des Maliens qui respectent les règles de convivialité, au-delà des croyances religieuses et autres différences sociopolitiques et communautaires, ce qui est source de stabilité politique et d’harmonie sociale.

Oui, se soumettre aux règles démocratiques et aux droits universels inaliénables, sans état d’âme est la solution pour l’Afrique, et pour le Mali, à l’occasion de cette nouvelle crise de trop. La communauté internationale « singulièrement la France, sans laquelle les djihadistes auraient déjà pris tous le Mali, et se trouver a des portes insoupçonnables de l’Afrique de l’Ouest » a le devoir d’accompagner l’Afrique, et partant le Mali, déchiré en Nord et Sud, déchiqueté dans sa composante sociocommunautaire, avec des affrontements intercommunautaires constantes, et  par des crises politiques cycliques, sans précédent, dû incontestablement au non-respect du droit et du mépris des règles démocratiques, par certaines races ou castes, d’hommes politiques, assoiffés de pouvoirs et carriéristes dans l’âmes, chacun s’appuyant ou s’adossant où il peut pour défendre des intérêts particuliers, claniques et sans intérêts pour le peuple Malien martyrisé. « Ici nous plaidons pour l’Afrique et pour le Mali ». Oui, il ne faut pas se tromper ou se leurrer, le cas du Tchad est très spécifique, elle n’est en  rien comparable à celui du Mali. Le Tchad est un tampon en Afrique contre l’inacceptable et l’injustifiable et son président a payé de sa vie.

 Donc, il est d’intérêt public que l’humanité soutienne toutes politiques Tchadienne, qui s’inscrivent dans cette continuité de défense d’intérêt général et de maintien de l’ordre international. Or, au Mali, le seul objectif est l’accaparement du pouvoir d’état, en toute illégitimité et en toute illégalité. Sinon, on pouvait reprendre le pouvoir à Keita Ibrahim, au terme de son Mandat légal de 5 ans entamé. C’est le but assigné aux élections démocratiques, et à la limitation des mandats électifs. Donc, pour rester dans la litote, comme dit plus haut, nous disons que l’Afrique noir est Mal partie, « René Dumont ». L’Afrique n’a pas encore les dirigeant politique d’état qu’elle mérite, l’Afrique ne s’en sortira pas par le changement générationnelle d’âge de ses dirigeant politique, non ! Il faut plus que ça. L’Afrique ne s’en sortira que par le changement évolutif des mentalités des hommes politiques dirigeants d’état, vieux ou jeunes, ou les normes juridiques de régulations sociales acceptées par tous seraient la seule source légale de l’acquisition du pouvoir d’état. Et elle s’en sortira l’Afrique, que par de nouvelles conceptions politiques anticipatives des perspectives d’Avenir dans le temps, ou l’homme, oui, l’être Humain serait la centralité absolue de toutes les actions sociopolitiques et de toutes les œuvres développementales. Donc, comme dit, ci-dessous, au bas de la présente Tribune, dans un commentaire que nous avons fait à des analyses parues dans « LE POINT AFRIQUE », nous avons Honte pour l’Afrique. Notre destin commun, l’Afrique… HONTE !

 

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VOICI: Notre commentaire que nous avons fait à des analyses parues dans « LE POINT AFRIQUE », qui n’engage que nous, surtout pas la presse source ».

La soldatesque carriériste, arriviste, iconoclaste et nihiliste, doit se résoudre à regarder du côté des casernes militaires, pour y intégré et y demeuré muet conformément aux principes du métier des armes qu’ils ont librement choisit. Et de laisser la politique, ce noble Art, aux vrais artisans qui l’ont choisi, pour qu’il œuvre pour le mali, en péril. Dans une situation politique où la cohabitation du religieux, qui a comme autorité morale des imams et du politique qui doit avoir pour socle l’état de droit laïc, est devenu une imbrication hermétique. D’où, la déstabilisation du pouvoir d’état est vite fait, par des mouvements sous couverture religieuse téléguidé. Oui, tout se trouve rafistolé et imbriqué dans l’arène politique Malienne: l’État de droit en compétions avec le religieux, la légalité en conflit inextricable avec la légitimité populaire, la laïcité en bagarre avec les dogmes spécifiques cultuels, la séparation des pouvoirs au sens propre du terme (exécutif, législatif, judiciaire) confisqué au bout des armes « fusils » devenue la mesure de valeur sociopolitique.

Cela, dans un contexte explosif d'affrontements des différentes conceptions doctrinales de la société  « religieuses et laïques » au tour du mode de gestion de cette société, par les différents pouvoirs « défunts », ou le communautaire a toujours primé sur le nationale. Oui, avec le dernier rebondissement du rejet du deuxième coup de d’état, par une certaine frange de l'opposition malienne, pourtant impliquée dans le premier coup d’état, la crise malienne est loin de son épilogue. Un premier ministre a la convenance ou à la solde de la soldatesque carriériste, arriviste, iconoclaste et nihiliste, ne changera Rien. Le Mali doit retrouver  l’état de droit, d’où ce sont les lois qui déterminent les modes de transmission et d'exercice des différents pouvoirs étatiques. Si le Mali doit s’en sortir, le spécifique non-contraignant et a adhésion facultative doit, concéder la place, oui toute la place, au règles universelles contraignantes, communes à tous dans toute sa rigueur et  dans tout son rigorisme sur les principes universels de l’état de droit laïc. Ainsi la crise d’intérêt sous couverture séparatiste au Nord perdra une grande partie de sa racine.

Dans la gestion de l’état-Nation, le rapport de force entre la politique religieuse et la politique laïque du pouvoir étatique, ne profite qu’aux petits délinquants escrocs moraux et intellectuels. C’est une exigence de l’escroquerie morale et intellectuelle, que de composer avec la mentalité docile du peuple gouverné. Qu’ils veulent, non pas servir, mais plutôt asservir, pour se servir dans les deniers publics, pour piller les maigres richesses et les ressources naturelles souveraines du pays gouverné, Et ce serait conforme à la mentalité du peuple, qui y est disposé. La politique Religieuse et la politique universelle étatique, ne vont pas ensemble, leurs rafistolage conduit au chaos sempiternel, jusqu’à ce qu’une détruise l’autre dans les décombres sociétaux. Au Mali si jamais on en arrive-là, ce serait une défaite pour toutes les forces légales impliquées dans la gestion de la crise dans la sous-région Ouest Africaine. Les institutions politiques laïques, doivent dire alors revoir, à cette petite portion de la planète terre de l’Humanité. Oui, le Grand Mali est devenue une misérable colonnade de petits couillons qui se prennent pour des gros malins. Ce qui est dit, est dit…

Le Mali doit s’en sortir malgré tout. Nous sommes conscient et le disons a occasion, que dans une société en crise ancrée dans les mœurs sociétales, qu’il est douloureux de se redresser, quand on plie depuis si longtemps sous le joug des armes, des petits coups d’état, cinq (5) ou six (6) au total, depuis l’indépendance le 22 septembre 1960. Oui, il est impossible de se départir de la totalité de ses petites habitudes criminelles de diversion, de guérilleros et soporifiques pour le peuple, que l’on n’a vécu, comme règle de vie sociopolitique. En politique, il est difficile décidément de prendre de la hauteur, quand on est tombée dans la bassesse des armés des coups d’état, dans la conquête du pouvoir d’état. Oui, comment avoir le self-control absolu et le doigté dans l’action politique, pour gérer un remaniement ministériel dont les ministres nommés ne sont pas immuables, quand on n’est dédouané du noble Art qui permet l’exercice de la  noble fonction de gouvernance socio-politico-étatique. Oui, comment avoir la maîtrise majestueuse, du dirigeant politique d’état, qui va de pair avec l’obligation d’agir avec désintérêt, jusqu’à la limite de l’humainement admissible, quand on a comme seul socle de valeur, les fusils d’un coup d’état. Que Non ! Le pouvoir est au bout des armes «fusils». Oui ; nous avons Honte pour le Mali, pas pour le Mali qui est le nôtre, non ! Il n’a jamais été le Nôtre, mais nous avons Honte pour le Grand Mali de notre mère, militante achevée de l’US-RDA des indépendances. Honte parce que, son Mali-Bâ, tremble, Vacille, oscille du haut du piédestal de sa légendaire noblesse, et sur ses bases souveraines, dans le concert des Nations. C’est malheureux !

Oui, malheureux ! La constitution Malienne ne prescrit telle pas le coup d’état comme un crime imprescriptible ? Si oui, alors la décision de la cour constitutionnelle tire son fondement légal de quelle norme juridique, qui serait au-dessus de la constitution, puisque, un texte d’arrangement politique, n’est jamais du droit international pur. Le jonglage judiciaire fondé sur des textes d’arrangement politique illégal, transcrit de fait comme norme positif, n’aidera jamais le Mali. Oui, les normes positives ne sont pas souvent l’émanation du droit universel ou du droit tout court. Donc elles ne sont pas souvent forcément du droit ou conformes au droit. Donc un texte d’accord politique transcrit en normes positif et contraire au droit universel, n’est pas du droit. Parce qu’elles sont très souvent la volonté abstraite d’un homme politique ou d’un groupe politiques soucieux d’arrivée à ses fins de dominations débridé ou hybride, et a fin de renforcement du pouvoir exécutif, qui est par essence l’autre figure du despotisme. La cour constitutionnelle du Malien s’est-elle préoccupée de la constitutionnalité du texte support de sa décision ? NOUS EN DOUTONS.

Oui, disons-le, la défense des intérêts politiques claniques et personnifié ne servira pas le Mali. L’anticolonialisme hermétique ne servira jamais le Mali, l’antagonisme des puissances étrangères aux intérêts opposés, avec le Mali comme théâtre d’opération ne servira pas le Mali, une quelconque tutelle étrangère, comme dossier pour un pouvoir d’état illégal, imposé par sa tutelle ou par les armes ne servira pas le Mali. Le Mali a besoin de stabilité sociopolitique dédouanée de toute emprise politique ou religieuse, elle a besoin de paix pérenne dans toute l’assiette territoriale du Mali, avec l’acceptation des différences quelles qu’elles soient, indépendamment des Castes. Ainsi le développement trouverait son terreau fertile de progrès avec l’être Humain au centre de tout.)

Commentaire de Lepetitfils DA Candy: (Leader de la légitimité citoyenne)

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