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6 juin 2023 2 06 /06 /juin /2023 12:37
Lepetitfils : Qui a dit qu’il y a des terres sans maitres en côte d’ivoire, que l’état ivoirien de 1960, se doit d’en solutionné ? Non ! Foutaise ! L’état n’a aucune habilitation de prescrire l’imprescriptible, qu’est le droit international coutumier qui regis les terres coutumières immémoriales. Ceci est largement au-dessus de l’état de 1960. Notre motivation et préoccupation ici, LA PAIX POUR DEMAIN, NOTRE DEMAIN QUI SE DOIT D’ETRE PAISIBLE. Et aussi et surtout de dire Non, à l’œuvre politique qui veut compléter la liste des spoliateurs endurcis :

Lepetitfils : Qui a dit qu’il y a des terres sans maitres en côte d’ivoire, que l’état ivoirien de 1960, se doit d’en solutionné ? Non ! Foutaise ! L’état n’a aucune habilitation de prescrire l’imprescriptible, qu’est le droit international coutumier qui regis les terres coutumières immémoriales. Ceci est largement au-dessus de l’état de 1960. Notre motivation et préoccupation ici, LA PAIX POUR DEMAIN, NOTRE DEMAIN QUI SE DOIT D’ETRE PAISIBLE. Et aussi et surtout de dire Non, à l’œuvre politique qui veut compléter la liste des spoliateurs endurcis :

*- RETRO, « KOUMA ». Les terres sans Maitres ? Est-ce que cela ne sent pas la magouille étatique ? Bon !

La dernière republication de ce Kouma, date de presque deux « 2 » Ans, nous le ré-proposons encore à la faveur du décret sur les terres « sans maitres » en côte d’ivoire. « Phrase déconcertante et décontenançant ». Donc, ré-disons que,  l’état n’a pas d’habilitation de droit réel, de prescriptions délibérées des terres coutumières immémoriales. Et n’a aucun pouvoir d’Attribution prescrite des terres coutumières immémoriales, il « état de 1960 » n’a d’habilitation de Décrétés « terres sans maitres » les dépossessions voilées des terres coutumiers au nom d’une prescription irrecevables, injustifiables et inacceptables de/par l’état. L’état « qui a tête changeante versatile » n’en est que simple gestionnaire momentané, des conflits des droits et de délimitations entre communautés «indigènes» autochtones propriétaires coutumiers immémoriales des terres ancestrales. Oui, aujourd’hui, la côte d’ivoire est installée dans un désordre indescriptible, qui a atteint, le socle existentiel de la société ivoirienne « association de multiples communautés indigènes, De (BÂWOULÉDÄ) -TIENKO à ABOISSO et de BOUNA à GRABO», et son substrat culturel et identitaire sont atteint dans leurs racines existentielles de survie, pire l’assiette territoriale est soumise au géo-métrage délibéré de ce qui fait la souveraineté nationale et de ce qui garantit l’existence socioculturelle des peuples. Oui, il est de principe universel, que : Quand les droits inaliénables sont violés, la boite noire étatique doit être percée et ouverte au regard du grand public. Oui, parce que, quand la vérité historique est coffrée, de fait et de non-droit, dans la boite noire étatique, toutes les libertés publiques ou individuelles se trouvent mises en danger et s’en suit donc, le chaos social sempiternel. Or seule la vérité historique, «cette valeur universelle» peut aider notre pays la côte d’ivoire à sortir de la situation de crise insouciante et inconsciente, à conduire au développement de notre pays dans la stabilité et la paix réelle c’est notre but ici. « Hélas ! Milles fois hélas ! Les flagorneries mensongères de soutien à l’escroquerie moral et intellectuelle est devenue le fonds de commerce le plus rentable de côte d’ivoire, surtout en politique ivoirienne ou trône Dieu l’Argent au mépris de toutes autres valeurs sociales » Bon ! La propriété foncière coutumière immémoriale est régis, par le droit international coutumier «le droit des droits »,  elle n’a pas besoin de prescription positiviste étatique.

Oui, en convenons-en, citoyen ! Puisque c’est toi qui Kouma ici, face aux  risque d’une Américanisation ou Canadien-nisation, de la propriété foncière des terres immémoriales. Ou se le dispute, bradages, accaparements illégaux, expropriations et installations anarchiques. Le problème du foncier ivoirien doit rester rigoureusement sous la coupe du droit indigène autochtones coutumier,  le droit international coutumier, « le droit des droits » ou lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de multiples sociétés composites en une entité qu’est état. Toute politique foncière, qui ne tient pas compte du droit international coutumier, « le droit des droits » ou lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de multiples sociétés composites en état, en matière de propriété terrienne, des terres ancestrales, serait source de conflits demain. Le problème du foncier ivoirien demeurera source de crises sociales irrésolue en côte d’ivoire. Parce que, la propriété coutumière terrienne immémoriale, régis par le droit international coutumier de la propriété, tient en l’état toutes prescriptions juridiques spéciales, y compris celles constitutionnelles. Ce droit «de la propriété immémoriale coutumière», n’a pas besoin de prescription spéciale, il est ancestral et immémorial. Les droits fonciers coutumiers ressortissant irréfragable du droit international coutumier «le droit des droits», qu’ils soient constitutionnellement prescrit  ou non, qu’ils soient législativement enregistrés ou non, qu’ils soient légiférés et transcrit autrement ou non, qu’ils soient décrétés ou non, les droits fonciers coutumiers ont plus de poids et plus d’effets juridiques que les droits obtenus grâce à une prescription positives quelconque d’un état, même constitutionnelle, ou cession de droits quelconque d’origine juridique positiviste. Donc, la propriété coutumière immémoriale, n’a pas besoin de prescription juridique spéciale, même constitutionnelle avons-nous dits. Il a ses modes de cession aussi coutumière et ancestrale propre à chaque groupe social, à chaque communauté. Oui, dans   l'assiette territoriale nationale, « du FOLON (Bâouléda Tienko) à Sud-Comoé, et du Boukani à San-Pedro», Chaque peuple, chaque communauté, chaque tribu, chaque ethnie, connait toutes les limites et les lois non-écrites qui régissent les terres ancestrales, régis par la propriété coutumière terrienne immémoriale.

*- À ce rythme infernal, la Lagune d’Abidjan ne serait qu’un souvenir dans quelques dizaines années seulement. 

Donc, nous disons que, l’état n’a pas d’habilitation de droit réel, d’attribution des terres immémoriales, encore moins les déclarées sans maitres. Les problèmes des terres coutumières, propriété immémoriale ne se transporte pas devant une juridiction même internationale, sauf à vouloir asseoir le droit international coutumier dans son champ d’application et sur son sujet, qui régit cette propriété, ou sauf si le litige a trait aux tracées des frontières territoriales issues de colonisations « par la mère patrie la France ». Donc, même une décision d’une Cour dite commune de Justice internationale, ou d’une juridiction nationale, ne s’impose pas aux exigences irréfragables du droit international coutumier « le droit des droits ». Ils ne se transportent pas non plus devant un conseil des ministres « des dirigeant administrative passager » pour en contester l’essence de droit réel, qu’il est ancestrale-ment, atavique-ment porteurs, avant la naissance de l’Etat « personne morale abstraite, d’association de multiple communautés diverses chacun ayant abandonné une partie de lui-même pour se fondre dans une entité abstraite», qui n’est devenue se faisant que gestionnaire des biens publics. Et arbitres des éventuels conflits de délimitations coutumières entre les communautés divers, propriétaires immémoriaux et ataviques.

Oui, hier, aujourd’hui et ce serait valable pour Demain, en côte d’ivoire la question du foncier ivoirien est au cœur des conflits meurtriers intercommunautaires ivoiriens, de régions différentes, et entre ivoiriens propriétaires terriens, immémoriaux coutumiers et certains débarqués, au dossier désormais ostensibles biens plantés dans les régions forestières, où se sont majoritairement installées les communautés d’horizons diverses estimée à près de dix « 10 » millions en Côte d'Ivoire, par les savants. Et souvent subitement devenus propriétaires terriens ivoiriens du jour au lendemain, avec comme support un accaparement des terres, qui se vulgarise en toute illégalité en côte d’ivoire. Or même l'explorateur portugais Soeiro Da Costa 1469 à trouver les terres ivoiriennes avec des maitres propriétaires multiséculaires. Lui qui a donné à nos fleuves locaux les noms de San Andrea aujourd'hui Sassandra et San Pedro à trouver les terres ivoiriennes avec des propriétaires qui se montraient déjà les limites entre eux, donc, lui il n’a pas découvert de terres sans maitres. Donc répétons-nous citoyen ! L’état ivoirien de 1960 n’a aucune Habilitation de droit a taxé des terres ivoiriennes de sans maitres. Bon !  un constat, la lagune « ébrié » par exemples qui demandait un entretien d’extension ou de élargissement, a aujourd’hui, près de 4 millions de m2 des baies, remblayés, pour l’laisser des bâtisses en béton poussées.  Et à ce rythme infernal, la lagune d’Abidjan ne serait qu’un souvenir dans quelques années seulement. « PAROLE DE LA LC_CRS ».

C’est pourquoi, la côte d’ivoire a besoin nécessairement et rigoureusement, du renforcement judiciaire des droits des propriétaires terriens, de façon sans équivoque conformément au droit international coutumier, qui gouverne les droits de propriétés immémoriaux. D’où l’état, personne morale ne peut interférer dans les droits des propriétaires coutumiers terriens. Donc, l’état reste astreint au rôle d’interface, et confiner dans son seul rôle juridique de gestionnaire, qui se doit uniquement de légiférer sur les modalités de transactions entre personnes privées, détentrices de droit coutumier immémoriaux. C'est-à-dire, légiféré des lois régissant les location à durée limitée, co-exploitation contractuelle, sous-exploitation contractuelle, exploitation conditionnelle lucrative contractuelle», fondées sur des contrats qui ne peuvent excéder trois (3) fois, trente-trois (33) ans, qui font au total quatre-vingt-dix-neuf (99) ans. Des contrats dont tout en permettant les réaménagements de ses clauses chaque trente-trois « 33 » ans, délai au terme duquel toutes les clauses restent de rigueurs, doivent proscrire toute possibilité de vente de personnes privées ou morales à personnes privées ou morales. Sauf pour l’état à se faire accepter unanimement par la totalité sociale souveraine, par l’état lui-même personne morale gestionnaire, estampillé souverain et cela sur des questions et pour des raisons justifier d'intérêts publics, et pour des œuvres d’intérêt national profitable à toute la nation souveraine et a la totalité sociale souveraine. Oui, la relation qui lie les peuples autochtones à la terre, « leurs terres », est matérielle, spirituelle et existentielle. Donc, pour respecter leurs obligations internationales, « entité abstraite », l’état doit assurer aux peuples autochtones détenteurs de propriétés coutumiers immémoriales, une protection effective de leurs droits fonciers, et mettre fin aux atteintes qu’y portent les tierces personnes. Et de jouer à fond, son rôle indispensable dans la protection effective des droits des peuples autochtones propriétaires immémoriaux. Donc d’intervenir, par des mesures de police et de maintien de l’ordre, pour faire cesser les atteintes qui sont portées aux communautés autochtones par certains opérateurs privés en envahissant leurs propriétés terriennes et en pillant les ressources naturelles dans la plus grande illégalité.

*- les principales responsables de la précarité des peuples autochtones sont les spoliations de leurs droits de propriétés terriens

Or les terres coutumières sont inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables. Les terres coutumières, sont non seulement insaisissables, mais elles ne peuvent faire l’objet d’une expropriation, même d’utilité publique, «sauf consensus et consentement», pas plus que d’une usucapion de la part de l’état ou de la part de tiers. Oui, les terres coutumières sont inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables. C’est donc une mesure de protection très forte qui sied à ce droit réel, en droit international coutumier « le droit des droits ». Oui, ici, face à la politique du tout-état, la reconnaissance d’une véritable propriété foncière des peuples autochtones sur leurs terres coutumières ancestrales, soulève d’importantes difficultés politiques étatiques. Ainsi, le positivisme de l’état s’oppose souvent à ces peuples, qui se trouvent souvent confrontés à l’état, là où ils sont établis avec leurs droits fondamentaux de propriété coutumière comme mode d’expression d’une identité culturelle. Ceci parce que, le droit de propriété immémoriale des peuples autochtones, limite nécessairement la possibilité pour l’état prédateur qui veut décider librement du sort des importantes ressources terriennes souvent localisées sur ces propriétés ancestrales, et aussi qui aspire à tisser des relations d’affaires avec d’éventuels investisseurs privés source de revenus. C’est pourquoi l’état fait le choix délibéré, pour des raisons affairistes et économiques, de ne pas reconnaitre aux peuples autochtones un véritable droit de propriété sur leurs terres ancestrales, « un élément nécessaire de leur patrimoine existentiel » donc se contente de leur reconnaître seulement un droit d’usage sur des terres exploitables.

Ainsi, les procédés de reconnaissance des droits fonciers des peuples autochtones sur leurs propriétés ancestrales place ces peuples face à des difficultés d’importance inégale, selon qu’une loi leur soumet à l’obtention des titres fonciers administration étatique, ou les contraint à les revendiquer en justice étatique. La plupart des législations étatiques se bornent en effet à reconnaître le droit pour les peuples autochtones de revendiquer des droits fonciers sur leurs propriétés ancestrales, et dans cette hypothèse les choses se compliquent singulièrement, car il appartient alors aux communautés autochtones d’établir le bien-fondé de leur revendication, « PAPIERS  délivrés par l’administration étatique ». Ce qui débouche souvent sur l’orchestration étatique d’une politique terrienne d’expropriation latente de la paysannerie rurale, «en majorité manipulable, analphabète, suiveurs  et docile», de leurs propriété collective coutumière foncière-forestière au profit des grands intérêts étatiques ou grandes politiques étatiques, ce qui est un danger public réel dans l’avenir. Ainsi le droit indigène coutumier lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de la société composite en une entité abstraite, se trouve bafoué. Alors que ce droit est ressortissant du droit international coutumier «le droit des droits » qui tient le droit positif étatique en l’état. Ils ne se situent pas au même niveau de la hiérarchie des normes juridiques ou des principes de droits universels. Donc, disons-nous, ici pour demain, attention au syndrome Américain, Canadien Zimbabwéen, Somalien et Argentin, ou les principales responsables de la précarité des peuples autochtones et indigènes sont les spoliations de leurs droits de propriétés terriens par une politique d’ultralibéralisme sauvage, une urbanisation désordonne et chaotique, des cultures de toutes sorte, l’exploitation minière effrénée, l’industrie forestière et pétrolière, et la spéculation sauvage immobilière causales.

*- La propriété terrienne coutumière immémoriale échappe aux états donc, la terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960, ce serait trop facile.

Ce syndrome spoliateur est ostensiblement présent en côte d’ivoire, avec la même politique d’ultralibéralisme. Ici, d’où toute acquisition illégale des terres dites sans maitres, et soumises à la prescription administrative saupoudrées de non-droit, même constitutionnelle soit-elle, des propriétés terriennes coutumières, seraient une catastrophe Demain en côte d’ivoire. Et toute prescription positiviste ou constitutionnalisation intéressée du droit de la propriété terrienne, qui spolierait de leurs propriétés terriennes, les peuples autochtones ataviques, propriétaires coutumiers fondé sur les, « lois ancestrales, non écrites » serait source de graves conflits dans l’avenir. Avec demain les peuples autochtones ataviques, propriétaires coutumiers comme premières victimes directes d’une politique bâtarde et débridée, qui non seulement marginalise les sous-cultures, les identités, mais aussi et surtout, détruit, le droit de propriété, le lien à la terre des peuples « autochtones », et le savoir traditionnel de ceux qui se considèrent, pas seulement comme des « propriétaires », mais comme des « gardiens » d’une terre qui a ses droits propres. La mauvaise gestion foncière menacerait la paix civile ! La prescription positiviste de la gestion des terres, le déni des droits fonciers, taxés de sans maitres, sont des motifs majeurs de conflits pour demain. Surtout des terres qui sont attenantes aux villes et aux villages, qui se développent et se multiplient à toute allure. « La terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960 ce sinon serait très facile ».

Très souvent à l’origine des problèmes des propriétés terriennes, se trouvent toujours une série d’actes de violences, qui est l’essence même des actes d’accaparements. Souvent, une situation conjuguée de conflits fermés, où le tout-état prédateurs, recouvrent et dissimulent les demandes légitimes des peuples autochtones sous d’autres revendications positivistes, «PAPIERS ADMINISTRATIFS». Dans ces cas, la position des peuples autochtones est minimisée et laissée dans le flou juridique total. Ainsi à défaut d’éclairage, l’essentiel des préoccupations des peuples autochtones est consigné dans la boite noire étatique du tout état prédateur. Et ainsi au Nom de l’unité de l’entité sociale ou de l’État tout cour, on arrivera a bloqué les procédures  Indigénistes de légale réforme foncière et a pratiqué une politique d’usure au Nom de papier administratif. Oui, tous les germes de la violence sont là, pour notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët, Boigny, sans que nous « ivoiriens » puissions prévoir avec certitude, quel va être le cours des événements à venir. Peut-être que la présente « KOUMA, chronique citoyenne», réussira à attirer l’attention sur ce phénomène persistant. Oui, la prescription de l’imprescriptible en droit international coutumier, « le droit des droits », par l’état prédateur participe d’une remise en cause du principe coutumier de propriété immémoriale terrienne. Droit de propriété immémoriale terrienne, regardé ici, à l’aune, au prisme de la coutume internationale et dans une logique de conflits entre propriété originaire et propriété née des politiques coloniales de « spoliation » fondée sur la création d’un état, ici né le 07 Aout 1960, dit souverain absolu. « Ceci trouve échos dans, la Déclaration des Nations-Unies sur les droits des peuples autochtones, Non-contraignante certes, mais elle occupe une place absolument centrale dans le traitement à fond des droits fonciers des peuples autochtones et bénéficie d’un soutien beaucoup plus massif. Oui, adoptée par 144 voix pour et 11 abstentions, elle n’avait en 2007 suscité l’opposition que de quatre Etats - mais non les moindres : Australie, Canada, Nouvelle- Zélande et États-Unis ».) La propriété coutumière immémoriale échappe aux états ». Oui, la terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960, ce serait trop facile.

Notre motivation et préoccupation ici, LA PAIX POUR DEMAIN, NOTRE DEMAIN QUI SE DOIT D’ETRE PAISIBLE.

Donc, disons-nous, la prescription positiviste des droits coutumiers immémoriaux par le biais de politiques  dites d’identification foncière et de lois positives, qui considèreraient que ces prescriptions ont un statut supérieur à celui de la propriété coutumière immémoriale régis par le droit international coutumier « le droit des droits » est un danger pour Demain. Oui, il est de notoriété publique que, depuis la nuit des temps les sages d’Afrique pour donner une portion de terre cultivable a un arrivant pour sa nourriture disaient comme Balise que : « Les propriétaires de cette portion de terre que je te donne-là ne sont pas encore Nés ». Oui, nous, ne souhaitons pas voir, un ivoirien devenir un Robert Mugabe dans l’avenir demain.  La terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960 ce serait très facile. Oui, la mauvaise gestion des terres en côte d’ivoire serait un péril pour notre demain à tous. Donc, pour le destin de nation cohérente, paisible et le destin de tous. La côte d’ivoire doit oser la marche et la course salvatrice vers une entité de stabilité, et de paix : Oui, quand on marche vers un but que l’on désire, il y a deux (2) conditions à remplir :  il faut premièrement que l’on y veuille aller à tout prix, en second lieu, que l’on soit disposé à faire tout ce qui est humainement possible, et surtout qu’on soit prêt à faire le pire des sacrifices pour se donner les moyens pour que ses pieds l’y porte vers ce but. Le peuple ivoirien doit oser marcher, vers la côte d’ivoire devenue paisible

Oui ! Qui a dit qu’il y a des terres sans maitres en côte d’ivoire que l’état ivoirien de 1960, se doit d’en solutionné ? Non ! Foutaise ultralibéralisme. Puisque l’état n’a aucune habilitation de prescrire l’imprescriptible, qu’est le droit sur les terres coutumières immémoriales ivoiriennes. Ceci est largement au-dessus de l’état de 1960. Notre motivation et préoccupation ici, LA PAIX POUR DEMAIN, NOTRE DEMAIN QUI SE DOIT D’ETRE PAISIBLE. Et aussi et surtout de dire Non, à l’œuvre politique qui veut compléter la liste des spoliateurs endurcis : L’Australie, le Canada, la Nouvelle- Zélande et surtout les États-Unis. Des états ou à présent les terres appartiennent aux riches exploitants et aux accapareurs illégaux au mépris des propriétaires fonciers coutumiers immémoriaux. Oui, n’en déplaise au tout-état prédateur et ses fichus de développeurs, costumiers des bradages et des pillages, la terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960, sinon ce serait très facile, MAGOUILLE ETATIQUE OBLIGE. Citoyens libres, comme nous ne pouvons que KOUMA, donc, sur ceux nous avons satisfait aux exigences de ce sacerdoce légitime et éminemment légale. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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20 mai 2023 6 20 /05 /mai /2023 03:14
Lepetitfils : Ici, si nous osons le courage de Martin Lutter King, nous dirons alors ici, que, le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, que mais la côte d’ivoire n’est plus elle-même dans le concert des nations. Et qu’en ce moment de notre jeune histoire d’existence souveraine, nos valeurs sociétales sont en périls, la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et paisiblement est obstruée. La gouvernance voulue par Félix Houphouët Boigny est prise en otage, séquestrée dans une bicoque d’Affairistes.

Lepetitfils : Ici, si nous osons le courage de Martin Lutter King, nous dirons alors ici, que, le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, que mais la côte d’ivoire n’est plus elle-même dans le concert des nations. Et qu’en ce moment de notre jeune histoire d’existence souveraine, nos valeurs sociétales sont en périls, la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et paisiblement est obstruée. La gouvernance voulue par Félix Houphouët Boigny est prise en otage, séquestrée dans une bicoque d’Affairistes.

Chronique «KOUMA»: A LIRE, « Si au commencement était Parole ? A l’arrivée la justification était Écriture ! »

Bon ! Disons que, la côte d’ivoire de FELIX  HOUPHOUËT  BOIGNY a perdu ses repères ataviques. Que, les ennemis de la démocratie ivoirienne, les plus dangereux actuellement, ne sont pas les partis politiques et leurs soutiens intéressés à tous les travers, mais les intellectuels, souvent en Toge ou Maitre du droit qui tordent le cou aux grands principes coutumiers et aux règles universelles pour arriver honteusement avec des élucubrations a la remise à Zéro des droits totalement consommés, et la transposition habile de fait de l’Amnistie dans le champs d’application du droit de grâce, et les intellectuels politico-démocratique et/ou médiatiques à la manœuvre nébuleuse toujours, pour donner une apparence démocratique et même scientifique à des actes illégaux, illégitimes et de forfaiture. Or par principe universel, la démocratie est un apprentissage des limites, de l’autocontrôle, elle est aussi le respect de la diversité, de la pluralité politique, du consensus au tour des règles de la compétition, qui se doit d’être loyale, tout en admettant l’autre comme son égal en droit et devoir. Donc, il est constant de par le monde que face à ces ennemis de la démocratie et leur politique de l’Autruche, qu’il y a des vérités qu’il faut dire et redire pendant longtemps, et longtemps rebattre des sujets sensibles de la société. Et faire tinter toujours comme une cloche, les préoccupations citoyennes pour avoir la voie sociétale idoine. Oui ! La côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique d’abord. Il faut un système de régulation, des organismes de régulations socio-politico-électoral adaptés aux circonstances, qui exigent que les partis politiques ivoiriens en quêtent de stabilité et de paix sociopolitique, s’inscrivent dans un processus de vraie démocratie ou aucune tendance n’est supposée gagnante d’avance par manipulation juridico-systémique. Les bonnes élections sont à ce prix de l’abandon de la victoire absolu et du pouvoir absolu au mépris de toutes autres considérations légales.

Donc, face à la diversion bonimenteuse, carriériste et arriviste renégats avec l’escroquerie morale et intellectuelle comme support, et l’enfermement sectaire hermétique, le cadenas-sage systémique perfidement même face aux droits irréfragables par ces ennemis de la démocratie, Aujourd’hui en Côte d’Ivoire au-delà de ces questions chaotiques suscitées, ce sont des questions universelles plus générales, qui se posent à nous tous ivoiriens, dans la recherche inlassable parfois ingrate de la stabilité politique, de l’harmonie communautaire, de la paix sociale, des libertés individuelle, de la réconciliation nationales, et de la démocratie réelle. *- Oui, Comment imposer le respect de la supériorité des grands principes internationaux, des règles universelles coutumières et les normes juridiques internationales prescrites, dans la sphère politique ivoirienne et dans l’organisation sociale ivoirienne. Et aussi comment imposer le respect des normes juridiques de régulations sociales de notre pays à tout le monde, sans exception, y compris les dirigeants momentanés du pouvoir d’état. Aujourd’hui à la tête de nos institutions politiques républicaines, devenues vermoulues. Et de nos systèmes démocratiques devenus démodé et confisqués dans des normes d’organisations sociopolitiques et organismes politico-électorale de non-droit ? Oui, quelles sont les limites à mettre à notre inertie tolérance héréditaire, à notre statisme passif guidé par les valeurs de non-violence, à notre inaction temporelle dans l’espérance d’une fin de crise, espérant de cette recherche inlassable parfois ingrate d’instauration de l’état de droit dans notre pays la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny ?

Oui, Comment obtenir des organismes consensuels de gestions politico-électorales Impartiaux et des institutions judiciaires indépendantes de gestions de la vie publique, pour une vie démocratie réelle et pour des élections crédibles , face à ces ennemis jurés de la démocratie qui œuvrent pour l’anéantissement des droits et n’aspirent qu’à un pouvoir prédateur de jungle, qui est toujours totalitaire et extrêmement pervers, près à piétiné tous les droit et règles pour arriver à ses fins obscures ? Oui, Jusqu’à quelle limite nous resterons derrière la recherche éperdue du dialogue et du consensus avec ces ennemis de la démocratie-là, dans un pays ou tous se règlent désormais par la violence matérielle, avec des affrontements de toutes sortes, aux termes des élections, qui se doivent d’être Fête. D’où point de dialogue, point de consensus, point d’entente, au mépris de Houphouëtisme. Cette valeur qui nous est héréditaires et atavique, et qui est la seule solution aux problèmes socio-politiques et aux problèmes entre hommes, quels qu’ils soient ? Ces questions universelles plus générales ci-dessus, parce que nous sommes convaincus que face à la Bouffe, même la Malbouffe, ces ennemis de la démocratie qui veulent d’un  le pouvoir prédateur, ne stopperont pas d’eux-mêmes leurs projet satanique et mafieux de confiscation du pouvoir d’état. Ici la bouffe est maitresse absolue de l’intellect.  D’où la Ruine de la société ivoirienne par leurs orchestrations de micmacs et de zigzags autour de la chose publique en espérant dribler tout le monde au finish, pour garder la nauséabonde table des convives nocturnes intact et bien garnie en deniers publics. BOUFFE !!!

*- Faire la politique autrement, ou l’argent ne serait plus l’essentiel, au mépris de l’être Humain et du citoyen.

C’est ainsi que ces ennemis jurés de la démocratie, œuvrent de façon insidieuse autour de l’organisation sociale, qui décide de la vie de tous et de l’avenir de la société commune. Ici l’ordre du public est conçu pour être l’ordre du néo-monarchisme débridé. C’est tout le sens de la côte d’ivoire qui coule, la côte d’ivoire est devenue un pays de Merde, du renard libre, dans le poulailler. La côte d’ivoire, doit-elle toujours se déchiré aujourd’hui face à la défiance de l’arbitraire de ces ennemis de la démocratie ? Non ! Leurs cultures de  pouvoir usine à gaz, anti-droit, anti-liberté, antidémocratique, qui est sensé virer à l’état policier, à l’état paria, à l’état voyou, ne doit pas tout imposer au peuple ivoirien. Avec la condition unique de la soumission seigneuriale. Alors donc toujours question : Comment concilier une politique de paix «  pas une seule goutte de sang humain versée sur le sol ivoirien » et de d’acceptations des différences quelles qu’elles soient, avec une politique électorale qui zigouille des citoyens sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état et le sang qui coule au quotidien de toutes les élections depuis 2000 ? Comment réconcilier une idéologie politique « Houphouetisme » de non-violence, pacifiste, de dialogue, de consensus, d’harmonie, avec une idéologie politique voulue prédatrice de jungle, d’enfermement sectaire et de mépris pour les autres, par ces ennemis de la démocratie ? Comment concilier une doctrine politique d’abandon de soi pour la paix, avec une doctrine politique électorale de violence inouïe érigée en système de conquête du pouvoir d’état et de gouvernement dans la violence au quotidien ou la force reste la mesure de valeur sociale ?

Oui, Comment concilier une politique d’harmonie sociale et de concorde civile, avec une politique carriériste, arriviste, iconoclaste, nihiliste et renégate, de division pour régner, qui alimente de façon cyclique, des affrontements intercommunautaires dans toute l’assiette territoriale nationale à occasion ? Et comment concilier la démocratie pluraliste comme instrument unique de conquête du pouvoir d’état, ou le peuple souverain est l’ultime détenteur du pouvoir d’état, avec la violence électorale comme moyen désigné d’acquisition du pouvoir d’état et de sa confiscation dans le temps. Non ! C’est impossible. « Même si impossible n’est pas Français », il y a une ligne rouge ici qui ne doit être franchie et dont le franchissement conduit à se dénié soi-même.  Oui, se dénié soi-même. « Bon ! Découragement n’est pas ivoirien ». Mais hélas : Dans la vie, tout comme en politique : Tout s’acquiert au prix de milles efforts, celui qui a tout acquis passivement par la violence ne peut rien acquérir tant que l’effort démocratique pluraliste est exigé. Le Nœud du problème ivoirien est là. Oui bel et bien là. Il ne se résoudra que là. Tant que le problème ivoirien demeurera ainsi poser, il Sied donc, à l’ivoirien de BOYCOTTER TOUTES LES ELECTIONS. Oui, les valeurs de solidarité sociale et d’harmonie communautaire que ces grands principes internationaux et ces valeurs universelles suscitées, « opposés chez nous en côte d’ivoire a la pratique des ennemis de la démocratie », inculquent au peuple souverain dans son entièreté,  ultime détenteur du pouvoir d’état, peuvent constituer la sève nourricière à la construction d’une nation ivoirienne harmonieuse, paisible et évoluée dans un monde en perpétuel mouvement. Ou les états n’ont pas d’amis, mais des intérêts à protéger.

Oui, il est constant de par le monde, qu’une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise. L’outil politico-électoral et démocratique mal exploité peut tuer les droits inaliénables et les libertés individuelles. Donc, la décision qui s’impose à l’ivoirien aujourd’hui, doit être de conjuguer le devoir de régulation socio-polico-électorale et l’appel à la mobilisation de toutes les forces citoyennes ivoiriennes,  et les nations démocratiques du monde. Pour sauver notre volonté de vivre un destin meilleur, que celui que veulent nous imposer nos ennemis jurés « politicards absolutistes » de la démocratie réelle au service  d’un système politique inhumain et dégradant et prédateur de jungle. Qui ne connaissent que la loi de la jungle dans les rapports humains et sociopolitiques. Le sens donc de la volonté citoyenne et politique de l’ivoirien aujourd’hui « dans le combat à lui imposer », doit être à l’aune de son obéissance aux grands principes internationaux, et aux règles du droit universel, qui constituent le fondement d’une société paisible, libre et démocratique. « Où nous pourrions tous ivoiriens, nous épanouir en tant que citoyens libres et égaux, en chance et en droit, situé sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état. Nous pensons sincèrement et espérons ardemment que, telle est l’aspiration commune à tout le peuple ivoirien qui ne demande qu’à vivre en paix chez lui sur la terre de nos ancêtres. Et qui a tant souffert de la barbarie électorale  absolutiste ». Oui seule la démocratie réelle peut nous libérer des nouveaux maux qui rongent notre société autrefois paisible et qui inhibent toute perspective d’avenir meilleur et nous conduire à la construction d’une communauté nationale réconciliée avec elle-même. Ou l’argent ne serait plus l’essentiel au mépris de l’être Humain et du citoyen ivoirien. Pour l’avènement du : « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » de la Grèce antique et solidifier par Abraham Lincoln, (16e président des États-Unis 1860 à 1865).

*- Pour un exercice éclairci du noble art politique, sous la gouvernance des principes universels de démocratie.

Donc, l’ivoirien à le défi de refuser les fausses élections cadavéré, EN BOYCOTTANT TOUTES LES ELECTIONS A VENIR. Et en refusant la fausse propagande exutoire de diversion et de manipulation, qui tue toute ambition légitime en faisant croire, que le système démodé, les institutions vermoulues, les organisme électoraux vidés de sens par la présence mafieuse des partis politiques compétiteurs en son sein et un gouvernement absolutiste endurci est la panacée aux problèmes de notre société, de notre démocratie, avec sa politique éhontée de surendettement en outrance. Donc, le défi à l’ivoirien est de pouvoir innover de nous-mêmes ivoiriens, pour forger notre propre destin ivoirien, dans le concert des nations, sans fermeture démocratique et électorale aucune. Pour faire notre propre progrès social ivoirien, avec nos propres moyens économiques ivoiriens, sans surendettement éhonté, avec nos propres politiques économiques ivoirienne sans interférences extérieur aucune d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux, avec nos propres mots atavique d’ivoirien, nos propres expériences ivoiriennes, sur la base de nos propres réalités sociopolitiques ivoiriennes. Et dans le respect scrupuleux, des aspirations légitimes du peuple ivoirien à vivre dans une société de tolérance, de paix et en voie de démocratisation. Et, non dans une société criminalisée, déshumanisée où les forces matérielles sont la mesure de valeur sociopolitique, sous le règne d’une politique du renard libre. Où la rivalité politico-électorale s’organise autour des enjeux d’usurpation de la légitimité populaire et du pouvoir d’état par la force et la violence inouïe.

 La politique ivoirienne est devenue une affaire rigide de rapport de force matérielle, ou le pouvoir est au bout des rapports d’Animosité. Oui, la seule voie possible pour sortir de l’impasse de cette honteuse, crise électorale ivoirienne, c’est d’accepter et d’adhérer résolument aux grands principes internationaux coutumiers, aux règles démocratiques universelles, aux principes de la vraie réconciliation nationale, de paix sociale, de l’harmonie intercommunautaire et surtout les principes démocratico-électorale coutumiers. Sinon, au risque de faire le lit, soit de la dictature, soit de la tyrannie, et soit du despotisme, ou de toute évidence, tout au moins l’une d’elle gouverne déjà la côte d’ivoire. Oui, le défi aujourd’hui est très clair, ou bien on fait le choix de la civilisation universelle avec toutes ses valeurs, ou bien nous demeurons dans la barbarie électorale ou chaque élection aura son lot de Morts « cadavres électoraux ». Il y a trop de criminels, trop de voleurs, trop de bonimenteurs, trop de  mafieux en côte d’ivoire. Parole de la Légitimité citoyenne, (LC_CRS) citoyen et républicaine sociale, doublement centriste, Houphouët6iste Assumée. Oui, à la  LC_CRS, gouverner bien comprise et bien exercée devient service public et sécurité national. On remplit une fonction et les responsabilités qui s’y rapportent ; on assume une charge et les conséquences qui s’ensuivent et on est qu’un mandant du peuple souverain. Ainsi gouverner est d’autant mieux exercée qu’elle est consentie. Donc sans menace par la force matérielle, sans magouilles politico-électorales, sans tromperie orchestré par des discours exutoires fondés sur l’escroquerie morale et intellectuelle.

D’où pour nous à la  LC_CRS aucun pouvoir d’état ne peut faire le bonheur d’un peuple malgré lui. Parce que pour nous, tant que la société commune demeurera en crise sempiternel, tant que les citoyens ordinaires seront ainsi mal gouvernés, parce que leurs États sombrent dans la mafia politico-électorale et partant dans le chaos social sempiternel. Où que le pouvoir d’État vire à l’arbitraire, à la dictature, au despotisme, à la tyrannie, les citoyens ne pourront jamais profiter de la richesse de leur pays et des retombées de l’organisation politique et sociale de leur société. Donc pour nous, à la  LC_CRS, la nature de l’homme est bien trop sérieuse, bien trop précieuse pour être entièrement livrée aux intérêts particuliers et catégoriels des Mensonges d’état !  Donc pour nous, l’ivoirien doit donc osé être et rester lui-même, en conjuguant tous les registres de la lutte d’émancipation citoyenne, pour que le bateau du progrès social, de l’harmonie communautaire, de la paix sociale pérenne, reprend la voie royale universelle, vers la lampes des lumières du développement humain intégral, social, économique et politique. Destinée à rendre la raison, à la stabilité politique, à l’ordre social, à l’intérêt général, à la nécessité populaire du dialogue social, dans une nation une et indivisible garantissant, droits, libertés, justice juridique et justice sociale pour tous. Pour un exercice éclairci du noble art politique, avec un concours de représentativité saine sous la gouvernance des principes universels de démocratie participative, donc, des élections consensuelles pluralistes, avec un organisme qui rassure tout le monde et de la citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement.

*- S’admettant comme égal en droit, devoir et chance dans la société organisée et structurée à cette fin légale. 

Pour clore ce KOUMA, Synchronisons un temps soit-peu les bréviaires intransgressibles de la LC_CRS qui veulent : Qu’en politique, la vraie politique, celle des professeurs d’idées et porteurs d’alternative, n’est pas du Western ou le barbarisme des règlements de comptes est la règle logique, qu’elle « la politique » ne se fait pas avec la violence électorale ou encore moins avec les armes « fusils ».  Que faire  la politique, ce n’est pas l’opposition des groupes armés qui ne pensent qu’a s’exterminé mutuellement. Que faire la politique c’est mobiliser avec des argumentations saines, sans diversions, sans mensonges. Que faire la politique c’est orienter, c’est persuader le peuple, et c’est dissuader la masse populaire. Qu’en politique, le vrai noble art bien comprise, tout ne doit pas être marchandise ou monnayable en politique. Que tout ne doive pas être fonds de commerce ou rafistolage financière en politique. Que tout ne doive pas être hypocrisie et fourberie mégalomaniaque en politique. Que, tout ne doive pas être de la fanfaronnade funeste et flagornerie hautaine en politique. Que tout ne doive pas être démagogie politicienne et politique loufoque en politique. Que, tout ne doive pas être mensonge monnayable et manipulation mercantiliste en politique. Que tout ne doit pas être obscurantisme sectaire et clanisme hermétique, fondés sur le pécuniaire en politique. Que tout ne doit pas être Hold-up électoral et passage en force électoral cyclique et roublardise mafieuse dans l’arène politique. Que, tout ne doit pas être matériel dans l’espace public et argent dans la conquête et dans l’exercice du pouvoir d’état, propriété exclusive du peuple.

Que l’intérêt général du peuple ne saurait se dissoudre dans les intérêts particuliers égoïstes, égocentriques, et catégoriels. Que la nature de l’être humain, de l’homme, est bien trop sérieuse, bien trop précieuse, pour être entièrement livrée aux intérêts mafieux particuliers, égoïstes, égocentriques et catégoriels, des ennemis jurés de la démocratie réelle, aventuriers de processus électoral bidon, avec à l’arrivée des morts de citoyens zigouillées chemin faisant vers le pouvoir d’état, et sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état. Que le droit du citoyen et le droit du peuple à se faire gouverner librement avec consentement, qui résulte de son vote citoyen, et par obéissance aux principes et loi impartiale, par des hommes politiques qu’il aura choisis aussi librement au terme d’un  processus électoral consensuel et réellement démocratique, ne saurait être soldé sur l’autel de la confiscation de la souveraineté populaire dans un organisme électoral qui ne rassure personne et surtout pas au nom de la  paix sociale. Que donc, le pouvoir ne saurait être confisqué ou attribué uniquement parce qu’il est entre les mains d’un pouvoir détenteur de la force publique, dont il en fait usage a volonté, ou parce qu’exigé par des hommes ennemis de la démocratie avérés violents au terme des élections bâclées. Que la démocratie est la soumission absolue aux grands principes internationaux coutumiers, qu’elle est aussi un apprentissage des limites et de l’autocontrôle. Qu’elle « la démocratie », est aussi le respect de la diversité, de la pluralité politique, du consensus au tour des règles de la compétition électorale, qui se doit d’être loyale, tout en admettant l’autre comme son égal en droit, devoir et chance dans la société commune organisée et structurée à cette fin légale. 

*- Une élection ne peut être succès, que si les participants croient à l’impartialité de l’administration électorale.

Que donc, la démocratie et la réconciliation sont inextricablement liées et à essence interdépendantes. Donc qu’en démocratie, la réconciliation n’est pas un luxe, ou un simple accessoire de la démocratie, que l’on peut mettre de côté pour aller à des élections sans essence démocratique. Que dans une démocratie, la vraie réconciliation est une nécessité absolue, pour pouvoir arriver au système coutumier qui est le pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple. « D’Abraham Lincoln, assassiné le 15 avril 1865 ». Enfin: Qu’en démocratie, la politique est considérée comme un noble art a compétition électorale loyale. Qu’elle est une science exacte ou tous les discours et actions politiques produisent les effets escomptés. Que la démocratie s’exerce logiquement dans un concert de débat d’idées contradictoires, qui proscrit, tout égoïsme, tout égocentrisme, tout « moi ou rien ». Qu’en démocratie, c’est la citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement. Qu’en démocratie, le fondement de toute nation se trouve dans des normes juridiques de régulations sociales consensuelles acceptées par tous au départ et qui garantissent droit, liberté,  justice juridique et sociale pour tous. Qu’en démocratie, le droit de tout citoyen commence là où s’arrête le droit des autres citoyens. Que le peuple souverain est l’ultime détenteur du pouvoir d’état en démocratie. Qu’en démocratie  toute légitimité d’un pouvoir d’état acquit par les armes et/ou revendiquée en dehors du principe un citoyen égal  une voix électorale, n’est que forfaiture de truands, dictature, despotisme, autoritarisme, arbitraire  et tyrannie dans un état policier, état voyou, état paria. Qu’en démocratie cette légitimité électorale rattachée à la souveraineté du peuple, résulte des élections démocratiques consensuelles organisés par un organisme électoral Apolitique désinfecté de la main des hommes politiques devenu joueurs et Arbitres. Qu’en démocratie les élections démocratiques sont des droits inaliénables des peuples souverains à disposer d’eux-mêmes. Qu’en démocratie en l’absence du respect de ce droit inaliénable, au terme d’une compétition électorale pluraliste, gouverné par un organisme électoral qui rassure tout le monde et des normes de gestions électorales consensuelles, ouvertes à tous, aucun dirigeant politique ne pourrait revendiquer une quelconque légitimité démocratique et/ou légalité textuelle assis sur des élucubrations.

Oui, de par le monde, les plus importants dans les élections ne se jouent jamais dans les urnes et par les votes observés. Les plus importants des élections se trouvent dans le système d’organisation sociopolitique, dans les normes juridiques élaborées pour la protection des élections, et pour l’intégrité électorale. Surtout oui, surtout dans l’impartialité de l’organisme électorale, qui doit échapper à tout contrôle extérieurs des partis politiques, des institutions politiques « que les élections enfantent » et les plus grands trucages se font lors de l’obtentions des droits de votes « CNI, ENROLEMENTS SUR LES LISTES ELECTORALES, DOCUMENTS DE VOTES, LIEUX DE VOTES, DECOUPAGE ELECTORAL PAR CIRCONSCRIPTIONS DE VOTES, VALIDATIONS DES BULLETINS DE VOTES COCHETS, ET LE LIEU DE CENTRALISATION DE CES VOTES ». Oui, en côte d’ivoire, aucune élection ne peut servir de jaune ou de baromètre popularité électorale, sans la satisfaction de ces exigences premières, qui précèdent l’opération de votes dans les urnes. Bon ! Peut-t-on espérer de ces grands principes de transparences électorales coutumiers, avec des gens qui n’admettent jamais s’être tromper ? Et qui prescrivent le règlement de compte partisan au centre du débat politique ?  En inscrivant Dieu l’argent au cœur des relations socio-politico-idéologico-électorales ? Alors que l’embellie économique flagornée a tout bout de champs cache encore une absence totale de transparence dans l’organisation socio-politico-électorale de la totalité sociale souveraine, avec des poches d’inégalités sociales et des courbes de chômage.  Oui, nous insistons, la côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique systémique, qui implique un corpus d’organisme électoral AUTONOME, APOLITIQUE, et INAMOVIBE, qui puisse mettre tout le monde politique et citoyen en confiance, et tous les acteurs d’accord.

*- Il n’y a pas de TERRES SANS MAITRES en côte d’ivoire né le 07 Aout 1960, qui ne peut en être propriétaire.

Bon ! Pauvre-de-nous. Mais, nous avons grandi à la lampe des lumières de la sagesse de notre éternel gyroscope Félix Houphouët Boigny. Nous avons appris à espérer de la persévérance de Nelson Mandela. Nous, nous sommes inscrits volontiers dans la logique de l’endurance de Gandhi. Et si nous, nous permettons de oser aujourd’hui le courage de Martin Lutter King, « avec l’aide du prisme ou spectre, de la pensée du stratège Thucydide, de la philosophie d’Aristote, des analyses de Polybe, de la théorie de Hans Kilsen et son état de droit, de l’expertise d’Emmanuel Kant, ou de Jean Jacques Rousseau et son contrat social et tant d’autres», Alors, nous dirons ici, que la côte d’ivoire est atteinte par les coups de boutoir d’un  ultralibéralisme liquidateur, qu’elle vacille sur son substrat d’existence sociétale, qu’elle oscille sur ses bases souveraines, qu’elle a besoin d’antidote protecteur de son socle identitaire et de ses racines existentielles de survie, contre l’euthanasie ultralibérale prédatrice, pour ne pas qu’elle en meurt « cadavérée » chemin faisant dans le concert des Nations souveraine a identité atavique. Qu’Il n’y a pas de TERRES SANS MAITRES DANS CE MONDE, ENCORE MOINS EN CÖTE D’IVOIRE né le 07 Aout 1960, qui ne peut en être propriétaire. Que l’état n’a aucune d’habilitation de droit réel, d’attribution et d’usages délibérés des terres propriétés immémoriales. Et aucun pouvoir n’a d’Habilitation légale de droit, de Décrétés les dépossessions des citoyens de leur propriété au nom de l’état. Oui, l’état républicain de droit n’en est que simple gestionnaire, des conflits de droits et de délimitations entre diverses communautés «indigènes» autochtones propriétaires coutumiers des propriétés immémoriales. Que les terres coutumières sont aux yeux du droit international coutumier, « le droit des droits » inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables. Qu’elles « terres coutumières », sont non seulement insaisissables, mais elles ne peuvent faire l’objet d’une expropriation, même d’utilité publique, «sauf consensus et consentement», pas plus que d’une usucapion de la part de tiers. Oui, les terres coutumières sont inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables, c’est donc une mesure de protection forte qui sied à ce droit réel, « droit international coutumier, le droit des droits ». (Ceci trouve échos dans, la Déclaration des Nations-Unies sur les droits des peuples autochtones, Non-contraignante peut-être, mais elle occupe une place absolument centrale dans le traitement à fond des droits fonciers des peuples autochtones et bénéficie d’un soutien beaucoup plus massif. Oui, adoptée par 144 voix pour et 11 abstentions, elle n’avait en 2007 suscité l’opposition que de quatre Etats - mais non les moindres : Australie, Canada, Nouvelle- Zélande et États-Unis.) *- « Nous, ne souhaitons pas voir, « un Robert Mugabe » dans l’avenir, demain ! Se serait catastrophique pour notre pays, surtout se serait la résultante de l’inconséquence, de l’insouciance et de la légèreté des actions politiques, de scories passéistes, de travers politiques liquidateurs d’ultralibéralisme de jungle, instaurer par une politique déviante non-maîtrisé, divaguant dans les violations des droits du peuple». 

Nous dirons donc, toujours que, la propriété coutumière immémoriale échappe aux états, il ne se prescrit pas autrement, il se protège de droit international coutumier « le droit des droits ». « Oui, la terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960 ». Que c’est pourquoi, qu’au lieu de décrété des terres sans maitres « propriétaires» en côte d’ivoire, que la côte d’ivoire a besoin nécessairement et rigoureusement, du renforcement juridique conformément au droit international coutumier « le droit des droits » et de l’inamovibilité de l’arsenal juridique du droits des propriétaires terriens immémoriaux, de façon sans équivoque, répétons-le, conformément au droit international coutumier, qui gouverne les droits de propriétés immémoriaux. D’où l’état, personne morale ne peut spolier les propriétaires coutumiers terriens. Oui, nous dirons que, l’état est astreint au rôle d’interface, et confiner dans son seul rôle d’entité morale de gestionnaire, qui se doit uniquement de légiférer sur les modalités de transactions entre personnes privées, détentrices de droit coutumier immémoriaux. C'est-à-dire, légiféré des lois régissant les « location à durée limitée, co-exploitation contractuelle, sous-exploitation contractuelle, exploitation conditionnelle lucrative contractuelle», fondées sur des contrats qui ne peuvent excéder trois (3) fois, trente-trois (33) ans, qui font au total quatre-vingt-dix-neuf (99) ans. Il est de notoriété que, le droit de propriété immémoriale des peuples autochtones, limite nécessairement la possibilité pour l’état Prédateur, qui veut décider librement du sort des importantes ressources terriennes souvent localisées sur ces propriétés ancestrales, et aussi qui aspire à tisser des relations avec d’éventuels investisseurs privés source de revenus. C’est ainsi, que le positivisme orchestré par l’état Prédateur s’oppose souvent à ces peuples, qui se trouvent souvent confrontés à l’état, là où ils sont établis avec leurs droits fondamentaux de propriété, comme mode d’expression d’une identité culturelle. Toutes les communautés nationales de souches multiséculaires connaissent bien les limites ataviques des propriétés terriennes immémoriales, c’est pourquoi il y a toujours des affrontements intercommunautaires liés à la propriété terrienne. IL N’Y A PAS DE TERRES SANS MAITRES EN CÖTE D’IVOIRE…

*- Un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger avant la phase terminale de sa noyade.

Et qu’enfin nous dirons que, le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, que mais la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, n’est plus elle-même dans le concert des nations civilisées. Et qu’en ce moment précis de notre jeune histoire d’existence étatique souveraine, nos valeurs sociétales sont en périls, la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et paisiblement est obstruée. La gouvernance conforme à la moralité internationale voulue par Félix Houphouët Boigny est prise en otage, séquestrée dans une bicoque d’Affairistes. Que le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociopolitique, sans lesquelles aucun développement n’aurait de sens humain, et  la restauration de  notre pays dans son statut atavique d’Havre de paix, de droit, de respect des différences, de démocratie, sont devenues une illusion pour le peuple ivoirien, un objectif recherché par les ivoiriens mais inatteignable pour la côte d’ivoire. Et qu’il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger avant la phase terminale de sa noyade. Qu’il ne faut pas se leurrer, la côte d’ivoire se noie dans l’océan des nations civilisée. Qu’il y a danger, qu’il y a péril, et qu’il y a mort par euthanasie politique, sciemment et habilement préparée par la désocialisation, à l’horizon pas très lointain, du destin ivoire dans le concert des nations civilisées. Que le peuple ivoirien n’est plus acculturé, mais, il se dénature, il se désocialise, il se dépayse progressivement dans son propre pays. Ça c’est pour le courage d’expression langagière qui sied à Martin Lutter King. BON ! Les acteurs politiques ivoiriens, et hommes publics ivoiriens d’Aujourd’hui ne doivent jamais oublier que, les faits sur lesquels nous tergiversons aujourd'hui, au gré de nos intérêts politiques, pécuniaires et mercantilistes, avec des morts à l’arrivée, nos roublardises en n’écoutant l’autre pour pouvoir lui administré un contre-pied loufoque, sont ceux-là mêmes sur lesquels l'Histoire nous jugera demain, sur lesquels la postérité ne nous pardonnera jamais demain. Sous l’éclairage divinatoire de la phrase sentencielle: «Ai-je fait, bien fait pour mon pays ce que je dois ?»

Donc, il nous faut donc, un corpus d’organisme électoral AUTONOME, APOLITIQUE, et INAMOVIBE, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs d’accord. Pour ne pas retomber dans les mêmes travers systémiques des élections de façades sous l’influence d’un politicien ou d’un parti politique quel qu’il soit. Disons ici encore, qu’il nous faut absolument exiger une commission électorale autonome et Apolitique sans bidonnage politique. Parce que lorsque dans un système électoral, certains dirigeants de l'organisme électoral sont nommés par les différents pouvoirs de l’état «exécutif, législatif et judiciaire», sur la base de leurs appartenances et de leurs liens privilégiés avec les dirigeants de ces pouvoirs. Et/ou sont nommés par les partis politiques, les groupements de partis politiques, les mouvements politiques et les candidats indépendants en compétition, donc nommé sur la base de leur adhésion à un parti ou de leur affinité pour un certain bloc de parti, ou partisans des candidats indépendants, la neutralité dans ce cas devient logiquement incertaine, sinon impossible. L’impartialité devient inconciliable avec la défense partiale d’appartenance à des intérêts politiques particuliers que sous-tendent ces appartenances qui nomment au sein de l’organisme électoral. Or une élection ne peut connaître de succès, que si les participants au processus électoral «candidats ou citoyens électeurs», croient que les administrateurs électoraux accomplissent leurs tâches de façon neutre, impartiale et sans sensibilité politique. Oui, pour des raisons de souveraineté et de l’état de droit, il convient de revoir l’organisation électorale. DONC QU’IL FAUT LOGIQUEMENT BOYCOTTER TOUTES LES ELECTIONS CADAVRES A VENIR. A COMMENCER PAR LES ÉLECTIONS LOCALES «MUNICIPALES ET RÉGIONALES» ET PARTANT LES SÉNATORIALES QUI S’Y RATTACHE RETIRÉ DU SUFFRAGE UNIVERSEL DIRECT, POUR ÉCHOIR A LA LOGIQUE NÉBULEUSE DE PARTAGE DE GÂTEAUX. DONC, BOYCOTT-DE-REFUS DE LÉGITIMER UNE MASCARADE ÉLECTORALE A CIEL OUVERT. Citoyens libres ici encore, malgré nous, nous avons KOUMA en espérant de la stabilité et de la paix. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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10 mai 2023 3 10 /05 /mai /2023 02:36
Lepetitfils : La vraie réconciliation n’est admissible qu’au prix de la révélation des responsabilités des criminels et des crimes de l’État. Mais l’Amnistie référendaire consensuelle et consentie par la totalité sociale, vient clore définitivement une séquence historique dont la nature est double : séquence des malheurs, puis séquence de débat sur les malheurs. Si elle est bien balisée et accompagnée par des bonnes mesures d’organisations systémiques, elle s’ouvre sur un nouveau départ sociétal. Elle désarme les rancœurs et le désir de vengeances

Lepetitfils : La vraie réconciliation n’est admissible qu’au prix de la révélation des responsabilités des criminels et des crimes de l’État. Mais l’Amnistie référendaire consensuelle et consentie par la totalité sociale, vient clore définitivement une séquence historique dont la nature est double : séquence des malheurs, puis séquence de débat sur les malheurs. Si elle est bien balisée et accompagnée par des bonnes mesures d’organisations systémiques, elle s’ouvre sur un nouveau départ sociétal. Elle désarme les rancœurs et le désir de vengeances

*- Chronique « KOUMA ». En politique, Transcender les principes coutumiers, est le frère jumeau de la violence.

Bon ! Soignons la plaie sur sa surface, donc disons que sauf à vouloir jouer à la politique de l’Autriche, qui consiste à enfouir sa tête dans le sable pour ne pas voir la réalité en face, oui, sauf à vouloir s’auto-leurrer, et s’auto-tromper, comme ce criminel de guerre pour les uns et un héros national pour d’autres, chef de guerre-empereur, ou rebelle-empereur pour la postérité, au moment fort de sa guerre de conquête expansionniste, a été dissuade par son Griot-conseillers de ne pas prendre une destination de conquête, et qui a répondu à son Griot, si c’est moi FAMA dit moi ce que mon oreille veut entendre, et son griot le rétorqua Fama cette destination a un propriétaire, à la porte d’entrée de sa propriété, et a FAMA de boucler le débat par un rire clownesque. Et l’expédition tourna très courte. Fin ! Nos petites oreilles de 6 Ans d’Äge ont entendu ce récit quelque part à Bouaké-Kôkô en 1968 au pied de l’Energie-électrique avec son « gbou-gbou-gbou éternel». Donc, disons qu’après les armes dans l’arène politique de 1999, coup d’état réussi, pas à la perfection mais de façon péniblement conjugué, théâtralement controuvé qui à occulter projet et avenir non-prévus. Et l’autre coup d’état manqué transformé en rébellion, devenue la guerre  de 2002-à-2010 et parachever le schéma laborieux d’un coup d’état de conquête du pouvoir qui a duré 11 ans 4 mois «Avril 2011» et d’installer une crise de la totalité sociale de façon cyclique, sempiternelle. Oui, au terme de ce passage par l’inacceptable, l’injustifiable, et irrecevable, une occasion nous était donné de reformé en profondeurs tout notre système de l’organisation socio-politico-démocratique et électorale démodé, archaïque, en renouvelant les normes juridiques Anomique, démodées, et les institutions vermoulues qu’elles soutiennent, en placardant les hommes politiques usés qui ont faillis, en contribuant à la débâcle armée de leurs propres pays au non d’un carriérisme pathologique et honteusement nombriliste. Oui, il était question de tout mettre à plat, puisqu’il s’agissait non pas, de refonder un nouveau pacte républicain, mais de rétablir le pacte républicain dessous par les armes de 1999-2002-2011 et suivants cadavérés.

Donc, après l’inacceptable, l’injustifiable, et l’irrecevable un repère gyroscope était bien là, indicateur de la voie salvatrice vers le pacte social salvateur et humaniste. Mais aujourd’hui le tout permis instaurer à balayer ce pacte salvateur qui n’existe plus pour une très grande partie du peuple souverain ivoirien, du fait de la ségrégation socio-politico-économico-électorale, à cause de l’Apartheid dans l’organisation-socio-économico-électoral et à cause de la sécession mentale consommée, qui alimentent des affrontements entre les communautés nationales diverses. Ou entre communautés nationales diverses et autres communautés multiples. Et cela surtout a cause de la nouvelle mesure de valeur sociopolitiques qu’est devenue les Armes matériels et Dieu l’argent. Il existe aujourd’hui une grande partie de la population ivoirienne pour laquelle le pacte républicain initial d’antan ne s’applique pas, d’où des divisions dissolvants et conflits intercommunautaires cycliques. Oui, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, piratée, déroutée par les armes impies et entrainée sur une voie de déviation a raté une occasion réelle qui l’était donnée par les faits de crises. Oui, l’occasion de redressement sociopolitique à l’aune des réalités dramatiques, qui nous était donné  ne se réalise pas sans une autocritique qui lubrifie les interactions sociopolitiques, afin qu’elles ne dégénèrent pas en conflit ouvert ou latent. Donc cette occasion salvatrice, n’est compatible et n’est pas possible avec des gens qui n’admettent pas la rigueur du consensus sociopolitique et elle exige l’abandon de l’égocentrisme des gens qui n’admettent jamais s’être tromper chemin faisant vers l’ABIME.

*- Aider le pays a sortir d'une situation de crises aigues et cycliques et à la recherche de son identité bâtardisée.

Donc, malgré l’occasion qui était donnée à notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, par la lampe des lumières de l’inconcevable guerre, dans un pays qui était destiné à être un état de droit, peine toujours à remonter à la surface des profondeurs abyssales, de cette crise sociale aiguë, de la totalité sociale souveraine : « une crise carriéristes et arrivistes de conquête du pouvoir d’état par les armes, une crise de non-respect du droit, une crise issue des mépris pour les normes de régulations sociopolitiques préétablies et acceptées par tous. Une crise de droit civil et politique, une crise sociale et intercommunautaires, une crise politique et civique, une crise morale et de confiance dans les gouvernants, donc une crise de légalité et de légitimité du pouvoir d’état, une crise de vérité et pire une  crise identitaire ». Oui, soignons la plaie sur sa surface, répétons-le, donc, depuis le coup d’état le 24 décembre 1999, depuis la guerre entamée les 18-19 septembre 2002, depuis les vraies fausses élections de 2010-2011 et l’achèvement de la guerre qui s’en est suivit, Rien de Concret vers la régulation sociopolitique, le Noir du goudron, le Néant des flagornerie,  et le Vide des fanfaronnades, le progrès du gonfler dégonfler, qui laisse le citoyen au bord de la route, pas une seule sérieuse mesure politique corrective et dans une action sociale, intelligente, crédible, opportune, novatrice et stable, vers la restauration sociopolitiques et vers la stabilité politique et la paix Houphouët-ienne, dans le respect de nos valeurs sociétales Atavique d’hier.

 Depuis, la société ivoirienne vie, une vie politique à la Colombienne débridé, ou les clans et factions se disputent le butin, souvent tempéré par le capharnaüm kafkaïen régulier, rééquilibré par le foutoir démocratisé ou les cadavres assurent les décors. Le pays se bat mourant et se débat asphyxié, toujours sous vingt-trois « 23 »  Ans de gravats, où valeurs sociales et sociétales sont en Ruine, les Mœurs sociétales dépravées, les us et coutumes en extrêmes difficulté dans une crise culturelle, la sado-perversité sexuelle transfrontalière à bafoue notre idéal sociétal Atavique, les postérieures ou arrière-trains, sûr d’être bien fournies s’attèlent ostensiblement a l’invite à ciel ouvert au mépris de la morale sociétale, et ont fini de remplacées les accordéons musicaux de nos enfances. Donc nous disons encore ici, et maintenant, qu’une société se régule  en permanence, l’ordre social se surveille, afin de pouvoir garder la spécificité de sa trajectoire identitaire dans le concert des Nations souveraines, et qu’il est d’ordre public ou d’ordre social, et d’intérêt général, que de faire de la régulation sociopolitique avec comme les organisations, les organismes et les institutions républicaines et leurs démembrements, une fixation absolue.

Parce qu’il est une constance absolue en politique, la vraie politique, que c’est en cultivant les vertus du dialogue, de la tolérance mutuelle et de la solidarité diverse, en conservant son identité Atavique «hélas ! Où l'emportent trop souvent la violence inouïe des diktats, l'intolérance face aux différences quelles qu’elles soient, et l'égoïsme égocentrique», qu’on arrive à la stabilité sociopolitique par le biais d’une bonne organisation sociopolitique. Oui ! Aucune évolution notable vers l’ordre sociale systémique qui sous-tend la paix non-éphémère depuis 2011, qu’une politique économique dirigiste, qui organise les revenus sociaux vers les poches et la table des convives nocturnes, en leurrant le peuple avec des chiffres de croissances économiques farfelus, d’un développement qui laisse le citoyen dans la poubelle au bord de la route du progrès de la société, ne saurait solder. Bon ! Soignons la plaie sur sa surface. Revenons-en, nous avons dit pacte républicain dissout à rétablir : « Oui, ce mot pacte républicain, recouvre un ensemble d'idées et de principes qui fondent la République «tolérance-justice-solidarité, etc.» Concernant l'aspect politique, on entend par pacte républicaine une collaboration entre toute les sensibilités politique d’une nation souveraine de droite, de gauche et de tous les centres, jusqu’aux Extrême, pour sortir le pays d'une situation de crises aigues, ou à la recherche de son identité bâtardisée, cela, s’il le faut avec un  gouvernement collégiale d’Union, en s’inscrivant tous résolument dans un processus d’intérêt public.

*- Que la côte d’ivoire soit un état républicain de droit, ou aucun citoyen n’est davantage citoyen qu’un autre.

Donc, une collaboration sincère, dans la reconnaissance de tous dans leurs originalités absolues à l’intérieur de l’égalité de tous, en droit et en devoir. Pour afin doté le pays des normes juridiques consensuelles adaptées à l’évolution du monde, des institutions étatiques conforment aux grands principes internationaux, un système d’organisation politique clair et fiable, des organismes de gestions des jeux politico-démocratiques, totalement indépendant, Autonome, Apolitique, ou tous les intervenant dans les jeux ne seront que ses démembrements. Ici, d’où la nécessité d’une réforme du système électoral ivoirien pour le rendre Apolitique et consensuel, avec un nouveau découpage électoral, et un nouveau mode de scrutin aux élections législatives, qui soumettra les élections sénatoriales au suffrage universel direct. Celle-ci impérative pour réactiver le sentiment d’appartenance à une communauté unique commune, pour qu’il n'ait d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique que de faire partager à l'ensemble des citoyens la conviction que leurs volontés s’exprime dans leurs élus au suffrage universel direct, qui est une exigence du pacte républicain dissout. Rétablir ce pacte républicain fera bénéficier les représentants d'une légitimité populaire et d'une haute valeur morale qui ne souffriraient d'aucune critique.

Soignons la plaie sur sa surface, au cas contraire, ce serait d'abord un appauvrissement de la culture commune « pacte républicain » et, à terme, une situation dangereuse pour tous et pour chacun. Parce que le sentiment d’injustice juridique et d’injustice sociale cultive les divisions et les antagonismes. Et l’intolérance des différences sociopolitiques, quelle que soit la nature, relève du choix du désordre sociopolitiques pour régner, et non de l’option exigeante, pour l’ordre public, pour l’ordre social, pour la stabilité politique, pour la paix pérenne et pour la civilisation moderne qui sied au 21e Siècle. Rétablir le pacte républicain dissout, parce que, comment peut-t-on partir de la politique de stabilité et de paix sociopolitique, de l’exaltation de la diversité nationale solidaire, de la culture de l’harmonie communautaire, assis sur le consensus à toute épreuve, soutenu par la fraternité agissante, des valeurs ressortissantes de la philosophie politique de Félix Houphouët  Boigny, et à l’arrivée, inventer un tel chaos sociopolitique cyclique, un tel manichéisme politique divisionnaire, différencialiste, mortifère, sanguinaire ou chaque élection a son nombre de Morts.. Le petit coup d’état tirant et arrachant, qui a duré 11 ans 4 mois pour arriver à ses fins a montré ses limites dans la gestion de la totalité sociale et des hommes, la politique ne se résume pas aux rafistolages économico-financiers. Donc rétablir le pacte républicain dessous par les armes de 1999-2002-2011 suivants cadavérés, est l’une des solutions salvatrices pour la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny.

Une solution salvatrice, pour paré a la catastrophe qui pointe à l’horizon, d’une situation où chacun est pris par sa différence sociopolitique et réduit à ce à quoi sa spécificité biologique ou confessionnelle le destine. Or le pacte républicain, dans une nation souveraine et dans un état républicain de droit, exige, « auto-crique, contrition, repentance, tolérance-justice-solidarité, égalité de droit, égalité de devoir, égalité de liberté, et égalité de chance dans la société» et « un système d’organisation sociopolitiques non-caporalisé, non-malléable, non-manipulables et un organisme électoral fermé aux hommes politiques acteurs-compétiteurs, donc, totalement indépendant, Autonome, Apolitique et inamovible. Voici le pacte républicain (du républicanisme social dont nous nous revendiquons, dans son champ absolu à rétablir après le chaos carriériste, arriviste, renégat. Soignons la plaie sur sa surface. Nous sommes de ce qui, doublement centriste, d’un éclectisme impassible, revendique, une société ivoirienne solidaire, qui admette sans faux fuyant, l’hétérogénéité des sous cultures nationales, ou « le Bidon de Bandji-Blanc côtoie le Céri-Dagâ, et se congratulent, dans le respect mutuel comme deux camarade de citoyenneté commune, conformément a notre pacte républicain». Que le droit de tout citoyen commence là où s’arrête le droit des autres citoyens. Qu’en côte d’ivoire, un état républicain de droit, qu’aucun citoyen ne soit davantage citoyen qu’un autre : que le citoyen c’est tout homme doué de ses libertés, droits civils et politiques.

*Crise politique qui induit une nouvelle demande de régulation qui peine à être satisfaite. D’où Abstention de 80%

 Donc, que le citoyen, c’est vous et nous, c’est un député ou un maire, un ministre ou un président de la république, un sénateur ou un conseiller d’état, un  Maire ou un conseiller général, un ministre Gouverneur ou un conseiller à la présidence de la république, chacun étant redevable devant la loi de la même manière, avec les mêmes attributs naturels et les mêmes droits que tous les autres. Que personne n’à acheter une autre au marché public, que la côte d’ivoire n’est pas la plantation privé d’aucun citoyen. Tous égaux. Qu’ainsi la condition étant ainsi égale pour Tous, sous l’arbitraire d’un organisme Apolitique, nul n’aura intérêt de la rendre compliquer ou onéreuse aux autres. Que dans ces conditions, nul ne peut être placé au-dessus de la loi, y compris le chef de l’état, président de la république. Qui ne peut rétroagir, a Qualité et en qualité, contre ses concitoyens. Oui, il est de notoriété publique admise de par le monde que, toute action ou position sociopolitique, qui transcende les grands principes coutumiers de paix internationale, de droit civique, civil et politiques, de droits universels, de régulation sociale, est le frère jumeau des violences de masse et des conflits armés. Oui, une occasion nous était donnée parce que cette crise de la totalité sociale ivoirienne a eu le mérite, en tout cas de soulever, de révéler, de dévoiler, d’exhiber et de faire ressortir toutes les grandes questions sources de la crise de la totalité sociale ivoirienne, et de la situation de désordre monstrueux qui prévaut dans notre pays autrefois d’ordre et de paix.

Soignons la plaie sur sa surface, égrainons une kyrielle, pour mémoire. «Désordre monstrueux, Animosité, intolérance, haine de l’autre, déchirure du tissus social, Allergie aux différences quelles qu’elles soient. Extase schizophrénique face à l’adversité politico-électorale. Glaciale peur bleue des élections équitables, réellement démocratiques, pluralistes, justes, transparentes, conforme au droit international et sous le contrôle d’un organisme électorale Autonome, Apolitique, Neutre et  Impartial. Une politique tyrannique du moi ou rien, sinon la terre brulée. L’entré constante en transe perpétuelle face à la nécessité d’autocritique, de repentance et de contrition pour la réconciliation nationale. L’abhorration de l’application des principes coutumiers universels du droit international coutumier « Amnistie référendaire» et la réelle pratique démocratie. D’où toutes les crises socio-économico-politico-démocratiques et institutionnelles sont présentes. La grenade a goupilles tirée quoi ! *- Crise des institutions politiques. *- Crise de l’émergence de nouvelles pratiques démocratiques. *- Crise du politique. *- Crise de légitimation entre représentation et les politiques. *- Crise de représentation entre la société commune et les politiques. *- Crise de régulation qui déconnecte la capacité d’action des gouvernants de l’état sur la totalité sociale. *- Crise de souveraineté qui remet en cause la réciprocité étatique dans le système international. *- Crise du politique qui induit une nouvelle demande de régulation qui peine à être satisfaite, soutenue par une nouvelle exigence de participation démocratique. Abstention électorale endémique de plus de 80% a occasion, Etc.

*- Ça doit changer du tic au tac face à l’obstruction à la bonne organisation électorale pour des raisons d’intérêts

Soignons la plaie sur sa surface. D’où l’autre n’est plus vraiment un frère dans les rapports et relations quotidiens ou même un ami, mais un ennemi à abattre. D’où chaque portion de la société ivoirienne composite se sent attaqué dans son assisse juridique, dans son substrat sociocommunautaire, dans ses droits civils et politiques, dans ses libertés fondamentales, dans ses droits inaliénables d’être humain. D’où chacun est fouetté dans son instinct de survie sociopolitique et même physique, s’en remet au suprématisme dans une société de jungle. Où chacun est réduit à ceux a quoi sa spécificité biologique et religieuse le destine. La catastrophe n’est plus loin dans une société de jungle, devenue le lieu de rendez-vous de tous les chaos socio-politico-économiques. Le volcan est perceptible. A ce moment précis de l’histoire de notre Nation, qui appelle une réconciliation nationale de survie, donc de l’impérieuse réconciliation nationale, des erreurs fatales pour la paix sociopolitique et pour l’avenir ne sont pas permises. L’intolérance des différences sociopolitiques qui pousse à ne jamais admettre un organisme électorale Autonome et Apolitique, quelle que soit la raison ou la nature ici, relève du choix du désordre pour pouvoir régner comme charlemagne, et non de l’option exigeante, pour l’intérêt général, pour l’ordre public, pour l’ordre social, pour la paix pérenne et pour la civilisation moderne, qui sied au 21e Siècle.

Oui, seule la démocratie libérée des emprises partisanes des partis politiques et des hommes politiques, dans l’acceptation des différences sociopolitiques, peut nous libérer des maux qui rongent notre société, inhibent toute perspective d’avenir et annihile la construction d’une communauté nationale réconciliée avec elle-même. Oui, la démocratie libérée des emprises partisanes des hommes politiques et partis politiques, pour que les institutions démocratiques puissent incarner l’idée de démocratie réelle, mais hélas ! Dans la pratique de notre système, la participation et la représentation des citoyens ne trouvent toujours pas d’assurance dans nos organismes électoraux. Notre démocratie connaît dès lors une crise de légitimité qui se manifeste par la faiblesse de l’organisation systémique en générale et en particulier du fourre-tout de l’organisme électoral, surtout l’incohérence des dispositifs de la règle de représentation et de participation des citoyens. Dès lors notre institution démocratique est déboussolée par la crise du système d’organisation politique. D’où s’en suit une crise de légitimation de la représentation qui perd le monopole de la régulation socio-politico-électorale, dont la source devient polycentrique. D’où les diverses instances de gouvernance, souffrent d’une absence de légitimité démocratique, de légalité de droit, par la rupture relative de la relation entre peuple gouverné et gouvernants.

Puisque les gouvernants tiennent leur légitimité de l’existence d’une communauté politique formée de citoyens dont il est censé exprimer la volonté générale. Les gouvernants en se privant volontiers de ce principe de légitimité de son pouvoir, devront rechercher ailleurs la justification de son pouvoir. Oui, en tant que communauté politique, la nation se fonde sur l’existence d’un peuple de citoyens libres, arbitres souverain en dernière instance de la décision politique. Répétons en dernière instance de la décision publique. Donc, l’instauration d’un organisme chargé de géré la compétition de la représentativité se situe au-dessus des pouvoirs publics et de leurs décisions publiques. Sans cette instauration d’un organisme qui échappe de droit aux pouvoir public et aux décisions publiques ceci aboutirait principalement sur une certaine inertie sociale qui n’est pas une posture de communauté unique totalement libre. Donc, ici, les choses doivent changer du tic au tac face à l’obstruction à la bonne organisation sociale pour des raisons d’intérêts politiques et au bon fonctionnement des organismes de compétions électorale. La chaine se trouve rompue par la volonté unique de ce pouvoir, absolue

*- Le juste intérêt de la totalité sociale se trouve dans un organisme électoral Apolitique, Autonome, inamovible.

Soignons la plaie sur sa surface. Ainsi, lorsque ce pouvoir absolue qui a reçu l’investiture de la communauté unique, tend ainsi à convertir une tâche sociopolitique de la communauté unique, en un privilège indu, quand il refuse toute réforme salvatrice, des organisme électoraux et ambitionne de se muer de serviteur de la communauté en maîtres absolu de cette communauté unique totalement libre. Si telle est la situation obstinément, la communauté unique solidaire, a le droit inaliénable de tout peuple a disposé de lui-même, le devoir absolu de citoyen libre, et, en même temps, l’obligation rigoriste d’exiger le respect des grands principes de régulations coutumières de la conquêtes du pouvoir d’état, qui rassure tous, sur la même ligne de départ, et sur la base duquel fut institué la communauté en entité, qui l’a conduit au pouvoir d’état et, si le pouvoir qui a reçu l’investiture de la communauté unique, oppose de la résistance quelle qu’elle soit à cette sollicitation légale, légitime, alors la procuration électoral est violée, le contrat social résilié, donc, l’exigence du retour du pouvoir dans le peuple devient inévitable par la communauté unique dont il est ressortissant. La communauté se trouve attaqué dans son substrat d’existence coutumier.

Et Ainsi l’état républicain de droit aurait viré à l’état de nature ou la force armée est ROI. Donc il faut dès lors retenir que la condition de membre d’une communauté unique et de citoyen d’un Etat de droit, a pour toute origine la volonté de multiples sociétés composites peuplées de gens libres, qui ont volontiers accepté une certaine limitation de leur liberté naturelle en échange des avantages évidents, résultant de leur intégration dans une communauté unique appelée l’état. « D’où l’exigence absolue de consensus dans l’ordre du public ». Donc, la personne qui a reçu l’investiture de cette communauté unique afin de veiller au respect des règles introduites pour la défense/protection des droits, des libertés, de la propriété et de la vie de ses membres, l’a reçue en vertu des contrats et procurations intransgressibles, dans un temps déterminé par ce contrat de régulation sociale validé par une procuration électorale. C’est pourquoi, un pouvoir d’état issu légalement et légitimement de la volonté populaire d’un peuple de citoyens ne peut être aveugle, sourd, et muet ou oppressif pour le peuple souverain. Il ne peut s’appliquer qu’à défendre les justes intérêts communs des membres de la totalité sociale. Et le  juste intérêt de la totalité sociale se trouve dans un organisme électoral Apolitique, Autonome, inamovible.

*- La légitimité populaire, appelle souvent le retour immédiat de la légitimité électorale dans la totalité sociale.

Donc, il ne peut qu’assumer et protéger les droits des contractants contributeurs de la totalité sociale. Les droits civils et politiques sous un tel pouvoir d’état issu légalement et légitimement de la volonté populaire permet de sauver et de garantir les droits fondamentaux, les libertés démocratiques et individuelles de tous. Oui, même au risque de perdre le pouvoir il accepterait toutes les reformes nécessaires au bon fonctionnement impartial des organismes électoraux, qu’il ne peut prétendre vouloir contrôler, même s’il lui faut s’avéré vaincu d’avance, en jetant l’éponge avant les jeux à la François Hollande « la grandeur c’est surtout ça ! ». Donc, le pouvoir est légitime, non pas parce qu’il dispose de la force publique, des personnes armées, des moyens de contraintes, et non plus qu’il a le soutien de la communauté internationale, ou soutenu par un lobby de presse internationale faiseur de roi dans le feu et dans le sang, il est uniquement légitime parce qu’il est l’expression de la souveraineté du peuple à travers le contrat social domicilié dans des organismes neutres de régulation social acceptées par tous au départ. Cela protège la totalité sociale des désagrégations graves, surtout des crises cycliques mortifères.

Soignons la plaie sur sa surface. Oui, disons-le, les faits de violences électoraux démodés dans un système vermoulu d’accession aux postes électifs contraire aux principes coutumiers universels, ont prouvé que notre pays s’est écarté du droit chemin de la réelle démocratie, au mépris des règles conventionnelles, coutumières, universelles. Que la crise n’est pas derrière nous, qu’elle demeure dans la société évoluant à nos côté et que chaque jour, elle est un peu plus visible, parce que  logé dans des bicoques de l’inorganisation manifeste et l’injustice, nourris à la haine de l’autre, et dans une organisation électorale, qui abhorre les différences sociopolitiques, pour n’adorer que le clanisme des appartenances affairistes, de copinages, de concussions, etc. D’où aux confrontations contradictoires des arguments pour que la vérité germe, on préfère l’utilisation des poignards plantés dans le dos, dans l’anonymat des bas-fonds, de sales boues des combats politiques personnifiés, ou de cooptations de marionnettes chansonnières, au détriment du combat politique systémique. Donc,  nous tendons vers une nouvelle crise sociopolitique certaine. Ici, un devoir et une obligation d’objection morale s’impose, face à cette situation sociopolitique dont la persistance bafouerait les déjà morts et ferait des vivants en sursis des cyniques.

Soignons la plaie sur sa surface. Nous croyons que les nouvelles pratiques démocratiques doivent se déployer dans tous les domaines que nous avons relevés. On doit d’abord restaurer les institutions politiques nationales en essayant de conserver un juste équilibre entre le souci de bien représenter les catégories sociales et celui de former une communauté politique. Cette restauration du politique sur le plan de politique nationale ne peut faire l’économie d’une instauration au niveau des organismes de conquêtes du pouvoir d’état. Il est nécessaire que les organisations de la société civile continuent d’y participer afin de faire valoir l’intérêt général, les droits de la personne et le patrimoine de l’humanité. Elle permet de faire renaître le débat d’idées autour de la légitimité des institutions démocratiques. Ce qui passe inexorablement par l’instauration, d’un système électoral qui échappe totalement aux hommes politiques acteurs pour échoir souverainement a un organisme APOLITIQUE, Autonome totalement indépendant, et libre d’actions et d’initiatives. Les démocraties modernes du 21 e siècle sont entrées dans l'âge d'une légitimité plurielle, problématique. D’où j’ai été élu au terme d’une élection de façade ne suffit pas à la légitimité.

La légitimité est trop souvent réduite à sa définition électorale donc: est légitime celui ou celle qui est couronné(e) par le suffrage universel même avec peu d’épaisseur. Cette conception de la légitimité est devenue très insuffisante pour rendre compte des titres à parler, à représenter, à gérer, à réguler, à autoriser ou à interdire au nom du peuple souverain, qui fondent la vie démocratique. En face de la légitimité électorale, existent de multiples formes de légitimité circonstancielles, qui donnent à la vie politique et démocratique, ce pluralisme d'autorités, sans lequel la démocratie n’aurait que peu d’épaisseur. Il s'agit là d'un appel pour une redéfinition de la légitimité démocratique. Puisque dans nos sociétés modernes, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique que de faire partager à l'ensemble des citoyens de la totalité sociale, la conviction que leur volonté s'exprime à travers leurs, représentants électorales ou Non ! La légitimité circonstancielle populaire, appelle souvent le retour immédiat de la légitimité électorale, versatile dans la totalité sociale, sa source unique. Oui, en politique, le citoyen qui veut le pouvoir du peuple, doit parler au peuple, dans le respect des principes coutumiers de régulations sociopolitique et dans le respect des règles démocratiques et électorales universelles. Et ce citoyen devenu gouvernant, doit constamment à chaque occasion de crises sociopolitiques aiguë faire la preuve de sa légitimité populaire, et de sa légalité juridique. Et de démontrer devant le peuple souverain, seul et ultime détenteur du pouvoir, qu’il apporte des valeurs ajoutées à la vie de la totalité sociale qui profitent à la nation toute entière Et la meilleures manière de faire la preuve de la légitimité d’un pouvoir est de mettre le processus électoral hors porté des partis politiques et des hommes politiques en compétition, donc, partisan.

*- Pour un système électoral qui échappe au contrôle des partis politiques, et des hommes politiques acteurs.

Soignons la plaie sur sa surface. C’est pourquoi, nous disons que, la légitimité populaire circonstancielle actuelle, des citoyens libres de tout engagement réside, dans l’union au tour des principes d’acquisitions du pouvoir d’état, et réside dans son unité solidaire et synergique, au service d’une voie salvatrice, celle d’un organisme électorale qui échapperait aux hommes politiques acteurs pour échoir à un organisme électoral Apolitique, Autonome, inamovible, pour pouvoir aller à la réconciliation nationale, et a la recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitique. Une voie que le peuple souverain dans son entièreté a emprunté dernière ses gyroscopes circonstancielle. Oui, la légitimité circonstancielle «par d’en bas, siège du peuple souverain vers le haut», et tient en l’état, la légitimité électorale « qui s’imposé du haut, siège du pouvoir vers le bas, donc soumis à la censure de sa propre source, qu’est le peuple l’absolu souverain. La légitimité internationale connait ses limites qu’est le peuple libre souverain absolu, versatile à volonté. (« C’est pourquoi, Emmanuel Macron a maintenant entendu tous les sons de casseroles en France, tout y est, il ne reste plus que  (Casse-toi, pauv’con »), a la Sarkozy, ça viendra surement un jour, courage, seulement pitié pour vos oreilles».

Soignons la plaie sur sa surface. En fin, on ne le dira jamais assez, la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, qui a perdu ses repères sociétaux, a besoin des élections sans cadavres, a besoin de réconciliation nationale, de sauvetage national, de réglage politique systémique consensuel et synergique, avec tous les ivoiriens solidaires. D’où l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé ou d’être embastillé, sinon être arrêté. Oui, la paix et la réconciliation nationale, sont avant tout, la conjugaison des actes consensuels et communs de la totalité sociale souveraine, des actes qui parlent plus que les discours politiques, mielleuses souvent imposé pour éluder l’essentiel, et pour diversion. La vraie paix et la vraie réconciliation nationale, ne se feront pas dans d’obscur théâtre d’ombre politique de sauvegarde et de combinaison des intérêts politiques réciproques. Et elles commencent ici, par la mise en place d’un système électorale qui échappe totalement au contrôle des partis politiques, et des hommes politiques acteurs pour échoir souverainement a un organisme électorale APOLITIQUE, Autonome totalement indépendant, inamovible, et libre d’actions et d’initiatives. Soignons la plaie sur sa surface. Aussi, la vraie réconciliation n’est admissible dans les démocraties modernes qu’au prix de la révélation des responsabilités des criminels et des crimes de l’État. Mais l’Amnistie référendaire consensuelle et consentie par la totalité sociale souveraine, vient clore définitivement une séquence historique dont la nature est double : séquence des malheurs, puis séquence de débat sur les malheurs. Si elle est bien balisée et accompagnée par des bonnes mesures d’organisations systémiques, elle s’ouvre sur un nouveau départ sociétal. Elle désarme les rancœurs et le désir de vengeances. L’Amnistie référendaire, vient donc tourne une page sombre sans la jeter dans l’oubliette. Sur ceux, citoyens libres, nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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1 mai 2023 1 01 /05 /mai /2023 05:50
Lepetitfils : En politique vouloir anéantir toutes les espérances citoyennes légitimes par la récupération des renégats d’autres appartenances sociopolitiques ou la décapitation mafieuses des têtes visiblement gênantes dans l’arène politique, afin qu’émerge la tête de ses pions protégés et pour des raisons de positionnement personnelles, tout comme l’orgueil hautain mène dans le mur, dans l’abime sociale. La côte a besoin de transparence électorale et de mise en place d’un système électorale définitivement fiable qui rassure tout le monde dans l'activité électorale

Lepetitfils : En politique vouloir anéantir toutes les espérances citoyennes légitimes par la récupération des renégats d’autres appartenances sociopolitiques ou la décapitation mafieuses des têtes visiblement gênantes dans l’arène politique, afin qu’émerge la tête de ses pions protégés et pour des raisons de positionnement personnelles, tout comme l’orgueil hautain mène dans le mur, dans l’abime sociale. La côte a besoin de transparence électorale et de mise en place d’un système électorale définitivement fiable qui rassure tout le monde dans l'activité électorale

*-Chronique «Kouma» : A l’absence de régulation sociale, une démocratie de façade s’installe.

L’arène politique ivoirienne offre un spectacle abracadabrantesque, soutenu par un juridisme bâtard peux ordinaire parce que, Anomique. Ou Amnistie, « qui est l'effacement par une loi spéciale référendaire ou législative de certaines condamnations, et une mesure d'amnistie n'est jamais une mesure individuelle. Il s'agit d'une mesure générale, issue d'une loi spécialement votée à cet effet. Elle bénéficie à toutes les personnes qui ont commis une ou plusieurs catégories de crimes ou infractions visées dans une  loi », et la grâce présidentielle, « La grâce qui est le pouvoir qu’a un président de la république de dispenser une personne condamnée de l’expiation de sa peine, la grâce présidentielle n'efface pas la condamnation. Et il n'est pas obligé de justifier sa décision d’accorder ou de refuser la grâce », ces deux différences juridiques ne sont pas logées à la même enseigne, elles n’ont pas les mêmes sources de droit et en droit, il n’y a pas de communication possible entre les deux et entre leurs sources légales en droit et de droit, mais hélas ! Qui se côtoient en source dans des décrets contre nature de protection d’intérêt réciproque. Ma grand-mère aurait « Safroulaye !» Quant aux vieux ils auraient dit « koutoubou ! ». Même si la grâce et l’amnistie aboutissent, toutes deux, à mettre fin à l'exécution de la peine d'un condamné. La grâce est un acte du président de la République tandis que l'amnistie est soit référendaire (sujets d’intérêt général ou d’intérêt national) ou de la compétence exclusive du Parlement sujet (mineur). Entre elles n’y a pas réseaux, donc, il y à pas de communication de rattachement possible. Elles sont d’instinct, avec Amnistie-commandant.

Donc, avons-nous dit, un spectacle stupéfiant chez pétaudière, avec le capharnaüm comme règle établie, et le kafkaïen au commande du tout, soutenu par un processus électoral effarant de par son caractère voulu de simple formalité exutoire à remplir. Les roublards joueurs de jeu d’échecs sont heureux en développant insidieusement leurs jeux, qui se réduisent au positionnement stratégique des pions dans la perspective des élections présidentielles 2025. Ou les mêmes fusils seront au rendez-vous, pour valider le résultat des élections d’un taux de participations en nouveaux de moins de 10% de l’électorat total. Et les presses aplatis nationales et internationales, maitre dans l’art d’occulté les vérités historiques pour mettre les libertés publiques et individuelles en dangers de péril, feront le reste. Avec leurs dévouement devenu coutumier, les moins de 10 % de l’électorat total seront éluder et le score des élections zéro pointé seront ventilé de par le monde. Or la vraie démocratie, la réelle se trouve dans l’expression du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état, elle ne se trouve nulle autres part ailleurs. Quand cette souveraineté est confisquée la paix sociale saute par la fenêtre.  Elle «la paix» ses exigences d’intérêt général, qui oblige d’agir jusqu’à la limite de l’humainement admissible pour l’intérêt général, pour la paix. « La  paix, ce n'est pas un vain  mot, c'est un comportement » a dit Houphouët. « Bon ! La côte d’ivoire c’est déracinée et dénaturée « C’EST UN CI ? Ou UN SI ? » Peu importe le littéral, avec ce degré d’obscurantisme et de nébuleux cette société a lamentablement perdu ses repères sociétaux.et il y a réel dangers que c’est un soi-disant agent de le force publique qui le grommelle. Nous le notons pour ce qui en sont adeptes qui comprennent l’acception». La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny fonce tout droit dans l’Abime »

La paix a ses exigences d’intérêt général, qui oblige d’agir pour elle jusqu’à la limite de l’humainement admissible

Donc, dans la recherche inlassable parfois ingrate de paix, les hommes politiques et les intellectuels n’ont pas le droit de se plaire dans la prosternation, dans la courbette, dans la génuflexion, dans la griot-tique éhonté pour pouvoir manger, ou dans le discours flatteurs en espérant des postes et des titres, dans le reniement de soi. Non ! Ici,  nous parlons de ces hommes, politiques et intellectuels qui croient en une idéologie, a idéal sociétal et ont l’intime conviction qu’elle  servirait au bien de la société dans laquelle ils vivent et au bien de l’humanité toute entière. Donc, Gyroscope désintéressé et impénitents de l’ordre sociopolitique, ils doivent être éveilleurs de consciences, ils doivent être éclaireurs contre l’obscurantisme, ils doivent être parolier du peuple et des citoyens libres. Oui, ils doivent être une locomotives endurante, puisqu’il est illusoire de vouloir installer un Etat de droit, où d’espérer d’une paix, là où derrière une république de façade se cache un système politique absolutiste délinquant de fait et un dirigisme économique criminel aveuglé par le pouvoir d’état. Dans ce cas, s’il n’y a pas de régulation et de contestation soutenue, dans la société commune, c’est une démocratie de façade qui s’installe…

–* Oui, Démocratie de façade parce qu’elle, serait fragilisée à l’extrême par l’élément clanique, partisan, régional, religieux et autres intérêts mafieux.  

-* Démocratie de façades parce que, la complaisance serait toujours présent lors du choix des gouvernants chargé de la gouvernance de la totalité sociale et de la gestion des deniers publics.

–* Démocratie de façade parce que la corruption à grande échelle « ou l’incompétence et la me-gestion généralisée » serait toujours au rendez-vous dans les différents sphères de l’Etat dirigé par l’absolutisme délinquant qui veut tout le pouvoir sans distinction, avec le dirigisme économique criminel adepte des cagnottes.

-* Démocratie de façade parce que le pseudo-magistrat suprême lié à telle ou telle puissance extérieur, auprès desquelles en contre partie du soutien effectif ou promis, il reçoit directive, mot d’ordre et consigne, pomperont à souhait et à volonté les revenus de l’organisation sociale et les ressources naturelles souveraines.

 -* Démocratie de façade, car le combat pour le développement intégral de l’homme sans exception, et de tout citoyen, demeurerait un simple slogan ventilé par le dirigiste économique en chiffres de croissances, pour arriver à ses fins sélectives de vols, de pillages, de défenestration économique, de concussions, de copinages.

-* -Démocratie de façade enfin parce que les libertés individuelles et les droits fondamentaux élémentaires du citoyen et de toute personne humaine seront toujours loin d’être garantis dans les faits dans notre pays. Et notre pays désormais macchabée ne s’inquiète guère de lui-même et ne semble inquiéter personne dans ce monde.

-Être au rendez-vous de la démocratie du 21e siècle ? Certains comportements anti-démocratiques sont à bannir

1-) Nous sommes convaincus que la côte d’ivoire ne s’en sortira pas de la crise par une  voie de juridisme peux ordinaire parce qu’Anomique. La côte d’ivoire ne s’en sortira, de cette honteuse crise, qui n’a été possible que parce qu’elle est devenue l’ombre d’elle-même par la faute d’une politique carriériste pathologique, que par la porte souveraine d’une Amnistie générale référendaire, qui repose sur le droit international coutumier, «le droit des droits », qui tient en l’état le droit d’application sans frontière, qu’est le droit international des droits de l’homme. Ce dernier droit, est l’apanage des défenseurs de la politique de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité. Oui, sauf à vouloir troubler l’ordre social, par une ingérence inadmissible, irrecevable et injustifiable dans les affaires intérieures souveraines d’un état devenu paisible, instauré souverainement, consensuelle-ment, et unanimement par la totalité sociale de cet état souverain, l’Amnistie générale référendaire, voté par le peuple souverain, s’impose à tous. Oui, il est d’une constance indéniable, de par le monde que : Quand la clémence qui résulte d’une Amnistie générale référendaire consentie par le peuple libre, peut ramener à l’amour entre la composante sociale, à l’harmonie communautaire, à la stabilité sociopolitique, à l’ordre sociopolitique, à la paix sociale pérenne, au respect des lois, au respect des institutions et organisme d’organisation sociale, Ceux qu’une inflexible sévérité judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale, l’Amnistie générale référendaire, est commandée par la grande loi du bien public, fin essentielle de toute entité sociopolitique, qui ne peut exister que dans l’ordre social, dans la paix, la stabilité sociopolitique source de développement intégrale et de progrès.

2-) Oui, au terme de la guerre ivoirienne de conquête du pouvoir de 2000-2002 et de la guerre postélectorale de 2011, tous les belligérants de ces crises socio-politico-postélectorales sont passibles de poursuite judiciaire. Donc, il faut que  la sécurité soit effective pour tous dans le pays, qui doit se réconcilier avec lui-même et entre ses fils de tout bord politique, surtout se réconcilier avec le monde. Oui, dans un concert de différenciation antagoniste et nombriliste, ou chacun tire l’organisation sociale vers son ventre, rien de Bon ne se fera en côte d’ivoire, rien ne changera en côte d’ivoire sans que pratique mafieuse de soit discréditée, sans que cette page honteuse ne soit tournée, avec de nouvelle normes de régulations sociopolitique, et avec des organismes politico-électorales, qui rassure tout le monde et qui proscrivent les nombrilistes marches sociales à sens unique. Mais aussi, rien ne se fera de sérieux et de concret en côte d’ivoire, sans une réconciliation vraie, rien ne se fera sans pardon conjugué. Il va valoir donc, travailler tous, désintéressement à l’avènement de ce jour, pour qu’il se lève, puisqu’il peut se lèvera avec l’effort conjugué de tous les ivoiriens, contre vent et marée, Bon An Mal An. Donc, il faut que les actions politiques qui gardent les hommes politiques inférieurs, vaincu de guerre et l’autre supérieur vainqueur de guerre, auprès de qui tout se mendie, «faveur et clémence» soutenue par un juridisme anomique  effréné, sélectif, téléguidée, soit complètement discréditées et abandonnées par les acteurs incontestés de la crise.

3-) Il faut que toute politique qui crée des citoyens et des sous-citoyens dans notre pays la Côte d’Ivoires soit bannie de la sphère publique et de l’arène politique. Que l’égalité de traitement dans l’ordre du public soit de rigueur.

4-) Il faut que la couleur politique de quelqu’un n’est plus de signification que la couleur de ses idées novatrices. Les acteurs politiques ivoiriens, ne doivent jamais oublier que, les faits sur lesquels nous tergiversons aujourd'hui, au gré de nos intérêts politiques, sont ceux-là mêmes sur lesquels l'Histoire nous jugera demain. Il faut dans nos actions que, nous fassions preuve d'une intégrité et d'une objectivité intellectuelle telles, pour que cette crise s'impose à la postérité comme ayant répondu aux aspirations de justice juridique et de justice sociale.

5-) Il faut que les droits humains basiques soient garantie pour tous au terme du concours de la représentativité nationale, d’une manière égale pour tous, sans attacher d’importance à la couleur politique et à l’idéal sociétale défendu, sans différenciation aucune «ethnique, tribale, communautaire, régionale, « nord-sud et est-ouest etc.»

6-) Il faut que ces valeurs deviennent une réalité incontournable dans notre pays la Côte d’Ivoire, sous l’égide d’un système électoral Autonome et surtout APOLITIQUE, sinon les rêves d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale, sans lesquels il n’y a point de développement, d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et d’une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par Félix Houphouët Boigny, demeureront une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays.

7-) Il faut que les citoyens aient le courage de parler « Kouma-Public » dans l’arène politique, dans le débat public, comme les citoyens libres et égaux en droit civil et politique de nos dirigeant ivoirien, dirigeants, qui doivent accepter par conséquent la contradiction d’idées, et la confrontation des arguments autour de la chose public, dans l’ordre du public, et l’opposition philosophique et idéologique comme un enrichissement. Tant qu’il n’en sera pas ainsi dans notre pays, la Côte d’Ivoire ne connaîtra jamais la paix sociale pérenne comme sous Félix  Houphouët  Boigny ou l’ordre social était l’exigence de tous les changements rendu possibles et paisibles.

8-) Il faut que la pluralité des conceptions politiques et sociétales et les positions idéologiques morales soient une réalité manifeste et soient considérer aussi comme un enrichissement de la diversité solidaire, au cas contraire les crises sociopolitiques avec des morts toujours des morts électoraux et les guerres civiles issue des élections ma agencées, mal goupillées continueront à peuplé le futur, le présent et l’histoire de notre pays la Côte d’Ivoire.

9-) Il faut que la tolérance et le respect des différences politiques, ethniques, communautaires, tribales, et régionales « sans ouest-est et nord-sud » d’autrui soient accepter par tous comme règle de la vie en commun, parce que le lien social est éminemment politique et soient baliser par des normes consensuelles de régulations sociales et un organisme électoral, acceptées par tous, qui nous éviteront les milliers de morts à l’avenir.

10-) Il faut que la politique ivoirienne ait pour substrat les grands principes coutumiers internationaux et le respect des règles rigoristes de démocraties universelles, des droit inaliénables, des libertés fondamentales,, pour permettre d’obvier d’autres crises et crimes plus graves dans l’avenir au terme des élections téléguidées.

11-) Il faut que la politique ivoirienne soit un outil citoyen d’intelligence collective, pour transformer l’expérience concrète de chacun en une stratégie nationale commune d’ensemble « tous d’accords sur les principes et rgles édictées ». Et que cette stratégie nationale commune d’ensemble pour l’avenir reste permanente, enracinée, irriguée, revitalisée, inspirée par la réalité concrète du vivre en commun de partage. Le tout évoluant dans un espace national policé dans lequel espace national policé se reconnaissent et se battent démocratiquement à la loyal ceux qui n’envisagent pas le débat démocratique, le débat politique, le débat public, et le combat politico-démocratique sous la forme d’une guerre civile opposant deux armés rivales et ennemis juré qui ne pensent qu’a exterminés mutuellement. «  A la guerre comme à la guerre, le tout permis,  la raison à la force, la loi de jungle ». 

12-) Il faut que, si l’ivoirien veut que sa côte d’ivoire soit au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle, qui banni à jamais l’usage des armes dans l’arène politique, certains comportements anti-démocratiques sont à bannir avec ses supports qui sont des hommes politique absolutistes qui se nourrissent de l’obscurantisme électoral. Et le fondement de cette démocratie doit impérativement être le droit dans toute sa rigueur, dans toute sa rigidité légale. Avec des citoyens qui respectent les règles de la convivialité, sources harmonies sociales. Donc, en créant tous ensemble une société du vivre en commun de partage, ou l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé ou d’être embastillé, sinon être arrêté pour le Trou.

C’est pourquoi, les magiciens politique disent que la politique, c'est l'art de rendre possible ce qui est nécessaire. 

Donc, comme nous l’avons dit autrement, il y a dix « 10 » jours, l'harmonie sociale est le contraire de la nuisance mutuelle. Elle est plus que la paix, qui n'est que la négation du conflit (une nuisance mutuelle particulière). Donc, rechercher la plus grande harmonie sociale possible implique d'agir sur les causes des crises électorales et d’instaurer un organisme électoral APOLITIQUE et Autonome. Il ne suffit pas d'aspirer à l'harmonie sociale ou de se contenter des paroles mielleuses, face à tout le monde ou de s’efforcer de montrer une gentillesse avec tout le monde. Pour se faire, il importe de déterminer ce qui peut accroître et solidifier l'harmonie sociale, et ce qui peut s'y opposer et l’anéantir dans le temps. Les arrestations intempestives, les emprisonnements arbitraires, les poursuites judiciaires effrénées initiées par les vainqueurs de guerres sont à l’opposé de l’harmonie sociale. En côte d’ivoire le comportement fondé sur des calculs politique contredit la parole mielleuse, donc l’invalide. Tout comme la boxe, la politique est un noble art, dont l’exercice impose des règles impératives, intransgressibles.

Donc l’arène politique loin d’être le théâtre, des Flagorneries, des grossiers mensonges et des fanfaronnades insensées, est avant tout le noble lieu des débats d’idées, des confrontations d’arguments, des combats loyaux. Ou le politique doit s’inscrire réellement dans une démarche d’éveil de la conscience politique des citoyens. Un politique digne de ce Nom, doit tout simplement pouvoir dire non à la politique de l'autruche « enfouiller sa tête dans le sable pour ne pas voir le réel qui s’oppose a sa volonté unique, a son intérêt personnel», Et doit savoir lire entre les lignes. Un politique doit s’efforcer de connaître avec certitude la réalité scientifique des choses et se montrer juste dans l'appréciation des justes réalités des choses au mépris de ses intérêts politiques. En se comportant et en agissant à la limite d’humainement admissible. La politique est une lutte à mort et est un combat permanent, entre ceux qui veulent le bonheur du peuple souverain, pour qu’il devient maitre absolu de son destin, de son émancipation, de son épanouissement, de sa liberté, de son droit à réaliser son désir d’avenir, et ceux qui à l’opposée, qui n’ont d’autre vision du monde que l’enrichissement perpétuel au détriment du peuple martyrisé, et le pouvoir d’oppression au service de Dieu l’argent. Et la confiscation du pouvoir d’état par tous les moyens illégaux, maquillés et embellis, par le mensonge, la manipulation, l’escroquerie morale et intellectuelle, avec l’acclamation des oiseaux migrateurs de tous les horizons a la recherche de bouffe, la bouffe, rien que la bouffe, tous pour pouvoir bouffer. Que l’humanité, l’honneur, la dignité, partent se faire foutre, pas besoin d’eux a la table des convives nocturnes mafieuses. C’est pourquoi dit-t-on, que la politique, c'est l'art de rendre possible ce qui est nécessaire. La politique c’est la juste appréciation des réalités du moment en s’oubliant soi-même et ses intérêts personnels du moment face à l’intérêt général de la totalité sociale souveraine. Cela terme des prises de positions politiques et sociétales, qui doivent bannir tout comportement clanique assis sur des clubs de soutien ou de brigades d’acclamations à but de confiscation ou de conquête du pouvoir d’état. Puisqu’il est d’une constance absolue que, le lien social est éminemment politique.

La côte a besoin de la mise en place d’un système électorale définitivement fiable qui rassure tout le monde.

C’est pourquoi d’autres peuples souverains veulent et mêmes prescrivent dans des normes de d’organisation sociopolitiques que le lien de rattachement social atavique, le lien de rattachement territorial ancestral, les liens de rattachement Moral, les rafistolages des fibres communautaires immémoriales des dirigeants politiques avec les peuples qu’ils gouvernent ou prétendent vouloir gouverner, doivent être extrêmement très solides. Ce qui pour eux est gage de de stabilité politique et de paix sociale et toujours dans la reconnaissance de tous dans leurs originalités absolues à l’intérieure de l’égalité de tous. Le sentiment d’appartenance sociale atavique annihile les instincts de violences et de barbaries des plus forts à l’égard des plus faibles dans une société. Et amène les plus forts de la société à organiser la solidarité envers les plus faibles « c’est le fils d’un Tel », c’est d’un vieux du nord.  Sans cette balise, les crises sempiternelles, les vols, les pillages, le détournement, la défenestration économique, deviennent la règle de gouvernance. Parce qu’ainsi, la vérité historique exhibée garantie les libertés publiques mise en danger de péril. Donc, la politique d’organisation électorale téléguidée, le discours de politiques aveugles, fanatiques, déraisonnés aux yeux bandés, sont contre-productifs et conduisent lamentablement dans un précipice abyssal. Aussi en politique vouloir anéantir toutes les espérances citoyennes légitimes par la récupération des renégats d’autres appartenances sociopolitiques ou la décapitation mafieuses des têtes visiblement gênantes dans l’arène politique, afin qu’émerge la tête de ses pions protégés et la déchirure pour des raisons de positionnement personnelles, des uns en défaveur des autres, tout comme l’orgueil hautain mène dans le mur, dans l’abime sociale, à la catastrophe, à la ruine et aux crises sempiternelles avec toujours des Morts

Aucune victoire d’un pouvoir d’état sur un peuple souverain déterminé n’es possible en ce 21e siècle. ET Tout peuple qui a le courage de ses actions et de ses opinions, face à l’arbitraire d’un pouvoir d’état et surtout face à l’unilatéralisme nihiliste et iconoclaste, à le pouvoir de conquérir ses droits, ses libertés et de changer sa société. Donc, autant composé avec la volonté général de la totalité sociale souveraine. Le tout sociétal Quoi !. La côte a besoin de transparence électorale et de la mise en place d’un système électorale définitivement fiable qui rassure tout le monde dans l'activité électorale ; Redisons-le, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. De même, les partis et les candidats ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. Soulignons aussi que, le rejet de la violence en politique en tant que mode d'action électorale impose de créer des conditions systémiques annihilant, susceptibles de désarmer, de dissiper la menace des violences dans le corps social. Donc il faut pour la côte d’ivoire, une commission électorale Autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral, sans aucune interférence de qui que ce soit, et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- AU CAS CONTRAIRE IL NOUS FAUT DONC, BOYCOTTER TOUTES LES ELECTIONS CADAVRES A VEVIR. Citoyens libres, pour cause de Paludisme-aiguë, votre dévoué parolier et serviteur a pris cette fois du retard mais n’empêche un sacerdoce ça s’assume au mépris de tout, donc aux premières heures du ça va mieux, au terme de ces quelques phrases, nous avons KOUMA… BON ! PAUVRE DE NOUS ! Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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18 avril 2023 2 18 /04 /avril /2023 20:23
Lepetitfils : L’Amnistie générale référendaire est la seule solution, pour aider la côte d’ivoire à reprendre les rails stables de l’ordre social, de l’état républicain de droit et de la Vraie démocratie. Le Train ivoire vacillant, oscillant sur ses bases souveraines finit toujours son zigzag, ses micmacs, ses Ping-pongs de politique politicienne dans un précipice abyssal avec toujours des morts électoraux « 2000 charnier de Yopougon, 2011, 3000 morts, 2020, 85 morts officiels, sans oublier les morts de la guerre de 2002 à 2010 4000 morts, ou pas, toujours pas de chiffres fixes.

Lepetitfils : L’Amnistie générale référendaire est la seule solution, pour aider la côte d’ivoire à reprendre les rails stables de l’ordre social, de l’état républicain de droit et de la Vraie démocratie. Le Train ivoire vacillant, oscillant sur ses bases souveraines finit toujours son zigzag, ses micmacs, ses Ping-pongs de politique politicienne dans un précipice abyssal avec toujours des morts électoraux « 2000 charnier de Yopougon, 2011, 3000 morts, 2020, 85 morts officiels, sans oublier les morts de la guerre de 2002 à 2010 4000 morts, ou pas, toujours pas de chiffres fixes.

Chronique «Kouma-électoraux » : En 2000 charnier, 2002-2010, 4000 morts, 2011, 3000 morts, 2020, 85 morts.

Bon ! Dans la vie de tous les jours, il y a des conseils qui sont des prescriptions a vie, comme celui d’un sage nous a donné, qui prescrit que, la politique, la vraie ! C’est persuader, c’est convaincre, c’est dissuader, c’est persévérer à toute épreuve dans les mêmes positions, dans les mêmes discours et y persister dans la pire des situations au risque de sa vie physique. Ce conseil demeure un de nos crédos. Donc, nous ne sommes pas venu chercher le bien matériel en politique, l’Aura en politique, la notoriété en politique, la célébrité en politique ou plus clairement l’argent en politique, issu des copinages, des magouilles, des concussions, des détournement, des défenestration économique par le biais d’un dirigisme économique mafieux, un système politique dans lequel l'État intervient de manière systématique et autoritaire dans l’économie à travers le gouvernement qui exerce un pouvoir d’orientation des activités économiques par ses interventions et décisions a des fins personnelles. Surtout ou les dirigeants utilisent l’économie nationale comme un moyen pour atteindre leurs desseins et objectifs d’enrichissement illicite. « La société que ces gens-là nous annonce ressemble à une assemblée inconsciente d’individus, sans repère moral, sans doctrine, sans idéologie et sans racine sociale réduit à suivre la direction du ventre et incapable de respecter les droits, les libertés, et les règles de vie en société ». Non ! Nous, nous sommes au service d’une philosophie politique donc, à la recherche d’un modèle social. Donc nous voulons diriger une société dans son entièreté, mais pas une économie dirigée vers des poches personnelles.

Oui, nous voulons diriger une société parce que, dirigé une société ne nécessite pas forcement qu’on se retrouve dans la tête dirigeante, il suffit que la philosophie politique défendu s’y trouve avec ses émetteurs ou pas. Donc ce qui pensent ou espèrent de nous un comportement de vache qui ne demande qu’à manger se détrompe. Pour nous LC_CRS, c’est tout sauf un jeu de rôle régulateur de routine ou une simple réaction sentimentale. Donc c’est une rupture entre la réalité et le rêve, une sécession entre le poids de ce qui est et tout ce qui peut exister. C’est ouvrir les regards vers l’avenir et revendiquer que non seulement une vie sociopolitique paisibles avec des élections sans aucun mort, dans une citoyenneté commune et dans un vivre en commun paisible est possible, au prix de la lutte citoyenne synergique et assidue. Mais surtout qu’en plus, nous commençons à apprendre à voir cette vie sociopolitique paisible avec des élections sans aucun mort, dans une citoyenneté commune et dans un vivre en commun paisible, pour le faire exister. Car cet idéal sociétal est la terre sur laquelle on bâtit les empires harmonieux et paisibles. Donc notre mouvement d’utilité citoyenne né à partir d’un besoin de régulation sociale en 1994 ne peut varier, au moment même où rien n’a changé, vingt-neuf ans après sa naissance. Donc, notre méthode de lutte ne changera jamais, tant que le besoin de régulation sociale existera, dans notre désormais fichu de pays. Oui, dès le départ «d’autres disent tout-petit» nous avons, préféré l’embarras matériel dans l’aisance intellectuelle à l’embarras intellectuel dans l’aisance matérielle, notre éclectisme impassible soutient notre foi inébranlable en l’avenir de notre position politico-idéologique dans l’arène politique, malgré le sempiternel chaos à nous imposer. «29 ans d’exercice, d’existence de KOUMA-Public, dont 13 ans dans une crise, sans émargé dans le jeton public, sans prendre 5F dans les jetons de qui que ce soit sans côtoyer aucune table des convives nocturnes garnit de deniers public. Nous sommes libres. »

Doublement centriste ! Cela veut dire quoi ? Que, les pouvoir Absolutistes de par le monde aillent se faire foutre.

Donc, nous sommes la LC-CRS mouvement de citoyens libres, doublement centriste, au service d’une philosophie politique, donc à la recherche d’un modèle social. Oui, notre motivation est républicain-social, nos convictions entamées ci-dessus, sont du Social-Républicanisme. Cela veut dire quoi, au juste ? Cela veut dire en clair, que quand les gouvernants usurpent la souveraineté du peuple, la procuration électorale doit d’être retiré, puisque le contrat social est rompu. Cela veut dire, que les Flagorneurs et leurs Flagorneries agace la légitimité citoyenne. Que, les ballons de Basket de l’ultralibéralisme de jungle aillent au diable pour se faire crevé. Que les fossoyeurs de la démocratie réelle collent la paix au peuple souverain pour aller loger dans leurs voisinage indiqué chez Satan, ainsi notre monde devenu vivable se porterait mieux. Que la ploutocratie qui consiste en un système de gouvernement où la richesse constitue la base principale du pouvoir politique. Sinon un ordre social ou la puissance de la richesse est prépondérant et qui aspire au vote censitaire, mode de suffrage dans lequel seuls les citoyens dont le total des impôts directs dépasse un seuil, appelé cens, sont électeurs. Et pour être éligible le cens est fixé à un seuil plus élevé, va se faire voir dans le monde de PABLO ESCOBAR peuple de tonne de cocaïne qui alimente confortablement le cens ploutocrate. « Disons que le système ploutocratique est le pouvoir par excellence de Dieu-Argent, qui trône sur un état sociétal où la richesse matérielle, est le nerf principal des choses, où l’on ne peut rien faire sans être riche, où l’objet principal de toute ambition socio-politico-électorale est de devenir riche, où la capacité de l’homme politique et la moralité sociale de l’homme politique, s’évaluent généralement aux prismes de la richesse, ou le socle de valeur sociopolitique est confinée à l’aune des fortunes même à la couleur du sang ». Ce monde est celui de Pablo escobar et des grands usuriers internationaux.

Oui, républicanisme-social ? Cela veut dire que, les pouvoir dictatoriaux de par le monde aillent se faire foutre. Que l’arbitraire obscurantiste de certaines confessions nébuleuses criminelles aille se faire enculé. Que le panurgisme politique moutonnier aille piaffer en enfer d’assujettissement des pouvoirs déviants. Que plus jamais aucun citoyen ne soit pris par sa différence sociopolitique, et que personne ne soit jamais réduit à ce à quoi sa spécificité biologique ou confessionnelle le destine. Que l’autre dans sa différence quelle qu’elle soit, demeure un frère ou un ami, mais ne soit plus jamais un ennemi. Que comme dans toute nation souveraine et dans tout état républicain de droit, que l’homme politique ou l’homme public l’emporte sur son appartenance biologique, politique, sociale et religieuse. Que les personnes physiques en politique ne soient plus jamais une fixation politique. Que le social prime à jamais sur la génétique, que la nationalité commune prime sur le tribalisme-ethno-communautarisme. Que la citoyenneté commune prime sur le clanisme des intérêts politiciens. Que la laïcité universelle prime sur la confession. Que le collectif prime sur la politique des murs diviseurs dans la société commune. Que l’universalisme prime sur le nationalisme primaire. « L’universalisme qui renvoie à l’idée de l’existence d’une unité du genre humain, au-delà de la diversité culturelle de l’humanité. Et sur le plan normatif, qui désigne une philosophie politique ayant pour finalité d’octroyer à tous les citoyens d’une même nation des règles, des valeurs, des principes communs, des chances communes, sans distinctions relatives à des particularités culturelles, religieuses ou philosophiques. Et qui nous invite tous à nous excentrer de notre regard nombrilisme, égocentrique, et s’ouvrir sur des principes communs, qui nous rassemblent, au sein d’un modèle social commun».

Les engagements internationaux, inclut un engagement à faire preuve de transparence dans l’organisation sociale

Donc, Social-Républicanisme ? Cela veut dire, que la société policée prime sur la société prédatrice de jungle, ou l’arbitraire est Roi, et règne sans partage sur une société hallucinée et martyrisée. Que le peuple souverain est l’ultime détenteur du pouvoir d’état, qui délègue librement son pouvoir par procuration électorale, cette souveraineté réelle ne peut être représentée, pour la même raison elle ne peut être aliénée, elle reste au peuple malgré la procuration électorale, lorsqu’on contourne cette réalité tangible par des questions saccadées qui paraissent impropres à la pratique démocratique et électorale, l’Animosité du rapport de force supplante la démocratie et le jeu électoral et la souveraineté se trouve confisquée. Que les élections démocratiques sont un droit inaliénable des peuples à disposer d'eux-mêmes, ou un droit inaliénable des peuples à l’autodétermination souveraine, qui se situe au-dessus des hommes politiques et qui doit échapper au contrôle des partis politiques et des hommes politiques compétiteurs. Oui, Nous sommes républicain-social, «Mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste» cela veut dire, sans nuance aucune, préféré l’embarras matériel dans l’aisance intellectuelle à l’embarras intellectuel dans l’aisance matérielle, ni poste, ni titre qui peuvent assujettir la légitimité citoyenne et la souveraineté du peuple. Et dans «républicain» il y a république, dans «social» il y a société.

Nous sommes donc le Tout sociétal, au service de Tous unis, solidaire, synergique, convergeant vers le même but qu’est la stabilité politique et la Paix sociale. Ce tout sociétal espère aujourd’hui d’un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs d’accord, dans une côte, ou serait proscrit le *« je peux flagorner tous les mensonges du monde qui seront soutenu par une brigade d’acclamation débile et puéril », ou le *« je peux agresser et il n’y aura rien » serait reconnu criminel et indigne d’une société humaine » ou *« les paroles insensées inintelligible, du genre, Si ? ou Ci ? Relèverait de la compétence des hôpitaux psychiatrique leurs seul lieu d’existence normal » ou *« la sorcellerie maléfique pour Bourdonner, grommeler et parler dans le ventre des autres et le prosélytisme sectaire ambiant au sens strict des dispositions de l’article 205 ( de l’ancien ? Code Pénal ivoirien) pratiqués à ciel ouvert, seraient reconnue inhumaine, dégradant, et indigne de notre société humaine » ou la Mégalomanie «*on ne veut pas Ancien on veut nouveau serait considéré comme déracinement sociétal des salades de lagunes se promenant au gré du courant d’eaux ». Donc une côte d’ivoire restaurée, solidaire, paisible, cohérente, réconciliée, avec le monde…

Oui, Redisons-le, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. De même, les partis et les candidats ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. Soulignons aussi que, le rejet de la violence en politique en tant que mode d'action électorale impose de créer des conditions systémiques annihilant, susceptibles de dissiper la menace des violences dans le corps social. La mise en place d’un système électorale définitivement fiable qui rassure tout le monde dans l'activité électorale doit occuper, à cet égard, une place primordiale et déterminante. Le système électoral tendra alors ainsi à opposer à la conception  vindicative de la force matérielle, une autre conception : celle d'une adhésion  commune, consensuelle et intime, par laquelle s'établit pacifiquement le mécanisme politique et électorale de la délégation du pouvoir sans violence. Donc, disons qu’ici, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, sont les subordonnées du processus électoral, elles doivent s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens le plus large. Et doivent aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. Parce que, les engagements internationaux, inclut un engagement à faire preuve de transparence, de réalisme et de responsabilité dans l’organisation sociale qui se doit d’être régis par les règles coutumières.  

Le peuple attend une Amnistie référendaire qui soldera les griefs, annihilera les rancœurs, désarmera la violence. 

Oui ! Osons en nouveau, qu’est-ce que la main du pouvoir exécutif, vient faire dans le système d’organisation électorale ? Qu’est-ce que les mains des partis politiques, crée pour être partisans, viennent faire dans le système d’organisation électorale ? Qu’est-ce que les mains d’une dite société civile colorée « au bleue, vert, orange  partidaire», viennent faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains du temple de la vérité, «magistrature et barreaux» viennent faire dans le système électoral ? Ici, c’est une constance indéniable, sauf à vouloir s’auto-leurrer et s’auto-tromper, comme toujours dans une politique des yeux fermés expressément à la manière de l’Autriche, que tant que ces bras armés de partisanneries, de défenses des intérêts partidaires particuliers « véritables joueurs et arbitres », demeureront dans l’organisme électoral, il demeurera un lieu de confrontations glauques, d’antagonismes visqueux, de luttes roublards et de diversions nombrilistes. Donc un lieu de divisions dissolvantes, de conflits d’intérêts insolubles, qui enfanteront toujours des morts et des crises comme à chaque élection depuis 2000-2011-2020. C’est un Tocsin de la LC_CRS. Ici c’est l’intégrité du processus électorale qui est recherché pour garantir, neutralité, impartialité, transparente. Qui doivent être assise sur un ensemble de conditions basées sur les principes universels démocratiques dont le consensus républicain au tour de la chose publique et dans l’ordre du public. Dans un système électoral, qui encourage, protège, de par son organisation, la tenue d’élections, libres, justes, équitables et transparentes. 

Oui, le tout social aspire ou espère aujourd’hui, d’une Amnistie générale référendaire consensualiste, pour soldé les griefs sociétaux et pour annihiler les rancœurs individuelles et désarmée la crise, «latent» de la totalité sociale. Donc, si nous voulons que la réconciliation nationale, soit la renonciation au désir de vengeance d’après guerres, conflit ou crise, « au-delà des chansons de convenances politiques », par l’acceptation du pardon, donc de l’abandon des graves blessures du passé, cela passe donc, par la vérité obligatoirement. Et de couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire.  Parce qu’il y a AMNISTIE référendaire légale, qui s’impose à tous dans une nation souveraine « sauf à vouloir orchestrer des troubles à l’ordre social ainsi établi », et Amnistie ou Autoamnistie parlementaire, ou décrétée ? Qui sort de son champ coutumier, pour rejoindre illégalement et sans fondement de droits réel, le champ du droit de grâce. Et Qui peuvent être soumise à la censure du peuple par simple contestation publique, Certes les deux « 2 » dernières, exonèrent de l’expiation pénitentiaire des crimes, mais n’absout pas les personnes concernées. Parce qu’il ne tient qu’à la volonté politique partidaire et du bon vouloir d’un pouvoir du moment. Les lois d’Amnisties ressortissantes du droit international coutumier sont à un moindre degré Législative et irréfragable-ment Référendaire, qui ne peut être anéantie que par un notre referendum initié et voté par ce même souverain peuple, ce qui n’est vraiment pas une posture de peuple libre et souverain, sauf récidives ou tentative de récidiver les mêmes faits Amnistiés. La récidive est cause de rétractation

L’Amnistie référendaire est un instrument d’adhésion du peuple souverain à un projet éminemment politique.

Oui, l’Amnistie référendaire est un droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ou un droit à l’autodétermination, qui échappe au contrôle de tous les pouvoirs « exécutif, législatif, judiciaire ». Ressortissante incontesté du droit international coutumier « le droit des droits », elle est la mère des droits qui régissent les gestions post-guerres avec souvent son nombre astronomique de morts. Donc, il n’y a pas d’échappatoire, si l’ivoirien veut une paix durable cautionnée par la totalité sociale souveraine. Toute autre Amnistie serait contre-productive dans le temps, dans l’espace de l’assiette territoriale nationale, et serait la continuité des mêmes crises de dévoiement des principes de droits, et crimes de sangs. En convenons-en, qu’en période de crises sociopolitiques aiguës, tout dirigeant politique d’état digne de ce nom, doit pouvoir faire constamment la preuve de sa légitimité populaire. Et le referendum populaire, sur les grands sujets d’intérêt national, est un moyen pour vérifier l’adhésion du peuple souverain, aux projets politiques ou pour constater la concordance de ses positions politiques avec la volonté générale souveraine du peuple. Parce que, l’autorité politique d’état n’est pas synonyme de dictature, d’arbitraire et de l’unilatéralisme dans la conduite des affaires de la société. L’Autorité politique d’état est la capacité de se faire obéir avec le consentement du peuple qui obéit. L’idéal est donc d’obtenir cette obéissance du peuple dans la clarté, sans manipulation obscurantiste, sans violence, sans menace. Et de ne l’exercer que dans le but de l’intérêt général, que dans le but de sécuriser la totalité sociale, que dans le but de bien orienté sur la voie consentante le peuple souverain et de l’anticipation des perspective d’Avenir meilleur dans le temps et l’espace.

Et il n’y a pas meilleur moyen d’anticipation des perspectives d’Avenir paisible d’une société que, l’Amnistie générale référendaire, qui est un instrument d’adhésion du peuple souverain à un projet éminemment politique, qui engage la vie de la totalité sociale. Elle « l’Amnistie générale référendaire» vise donc à faire adhérer une grande majorité du peuple souverain à un choix sociopolitique, à un projet politique, qui touche à la souveraineté nationale, ou à une proposition politique d’intérêt général. L’Amnistie référendaire, est aussi un instrument ou un vecteur de démocratie participative « d’opposition » au projet l’objet de l’Amnistie général référendaire. C’est ainsi que, l’opposition possible au projet référendaire se trouve inscrite dans les questionnements du projet de l’Amnistie générale référendaires, ou soit inscrite dans le processus de la conduite du projet de l’Amnistie générale référendaire. Pour que l’opposition à l’objet du projet d’Amnistie générale référendaire soit le résultat de l’expression souveraine du peuple par la voie du vote référendaire, qui s’oppose ainsi à un projet de politique nationale supposé d’intérêt général. Et c’est ce qui arrive le plus souvent parce que le peuple souverain est plus conservateur que ne le sont ses représentants momentané «élus» pour une période donné ou les dirigeants des institutions républicaines souvent initiateurs des demandes et questions d’Amnistie générale référendaire.

*- Le Train ivoire vacillant, oscillant sur ses bases souveraines finit toujours dans un précipice, avec des morts.

Osons-le encore ici, on ne peut pas être acteurs politique ivoirien ou homme politiques ivoirien et faire fi d’ignorer que la crise sempiternelle que vit la côte d’ivoire de Félix Houphouët, Boigny, est la résultante du dévoiement des grands principes coutumiers et des grandes pratiques universelles démocratiques, et du non-respect obstiné du droit universel, et le mépris ostensible de l’art universel du vivre en commun dans l’égalité. On ne peut pas être acteurs politiques ivoiriens et hommes politiques ivoirien et œuvrer ou postuler en politique tout en éludant que la mère de toute les crises sociales ivoirienne depuis 1999, est la conquête du pouvoir d’état par des moyens controuvés et aussi est incontestablement, les élections souvent calamiteuse, ou souvent une peur bleue d’affronter certaines  minorités acquise au terme des élections, et surtout des élections truquées sur toutes les lignes, qui s’appuient sur la politisation de l’organisation des élections qui se situe au-dessus de tous. Or les élections ont pour but d’asseoir la possibilité de l’avènement d’une représentation nationale de grande valeur, qui peut instaurer un climat de confiance et partant réconcilier le pays avec lui-même et avec le  monde. 

Oui, il n’y a pas de demi-mesure, non ! Il n’y a pas 2 postulats, c’est la seule solution, pour aider la côte d’ivoire à reprendre les rails stables de l’ordre social, de l’état républicain de droit et de la démocratie réelle, ou le Train ivoire vacillant, oscillant sur ses bases souveraines finit toujours son zigzag et ses micmacs, ses Ping-pongs de politique politicienne dans un précipice abyssal avec toujours des morts électoraux « 2000 charnier de Yopougon, 2011, 3000 morts, 2020, 85 morts officiels ou plus 150 morts, sans oublier les morts de la guerre de 2002 à 2010 4000 morts, ou plus, il n’y a toujours pas de chiffres fixes. IL NOUS FAUT DONC, BOYCOTTER TOUTES LES ELECTIONS CADAVRES A VEVIR. *- Citoyens libres ! Comme déjà souligné, au terme des exigences légales de nos complaintes, de nos critiques conventionnelles et légitimes, de nos Analyses (peut-être) expertes, doctes, et esthètes, ci-dessus, nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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7 avril 2023 5 07 /04 /avril /2023 04:34
Lepetitfils : Le suffrage universel direct, dédouané de toutes emprises mafieuses politico-électorales, est l’unique voie légale de conquête du pouvoir d’état. Ou faire la politique n’a  rien de mafieux, ou rien n’est  unilatéral, ou rien n’est personnel, ou rien n’est exclusif, ou rien n’est du moi ou rien. Ou il n’y a ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni privilège exclusif, dans toute l’assiette territoriale et dans toute la sphère publique. Cela dans le respect des droits, dans le respect des libertés, dans le respect des règles et dans une société stable et paisible.

Lepetitfils : Le suffrage universel direct, dédouané de toutes emprises mafieuses politico-électorales, est l’unique voie légale de conquête du pouvoir d’état. Ou faire la politique n’a rien de mafieux, ou rien n’est unilatéral, ou rien n’est personnel, ou rien n’est exclusif, ou rien n’est du moi ou rien. Ou il n’y a ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni privilège exclusif, dans toute l’assiette territoriale et dans toute la sphère publique. Cela dans le respect des droits, dans le respect des libertés, dans le respect des règles et dans une société stable et paisible.

*-Chronique «Kouma» : Le suffrage universel Propre, est l’arme toute puissante contre la violence en politique.

Citoyens libres, soulignons ici que, les citoyens qui ne sont pas acteurs de leurs vies sociopolitiques se retrouvent tôt ou tard dépassés par les évènements sociopolitiques de sa société, et cette porte désespérée fermée sur le désespoir, s’ouvre toujours sur la violence de masse, « le Mali de Moussa Traoré ». Et les hommes politiques qui se refusent à tout examen, a toute recherche de vérité, a toutes  critique, devant le peuple souverain, devient obscurantiste, nébuleux, intolérant, violent, méprisant, «la Guinée de Sékou Touré». Le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, mais la côte d’ivoire n’est plus elle-même. En ce moment précis de notre jeune histoire d’existence souveraine étatique, nos valeurs sociétales sont en périls, la volonté d’une citoyenneté commune solidaire qui permet de gérer paisiblement, est obstruée par une mauvaise organisation électorale. La gouvernance conforme à la moralité internationale voulue par le père de la nation Félix Houphouët Boigny, est déviée de sa Route et prise en otage. Le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociopolitique sans lesquelles aucun développement n’aurait de sens humain, la restauration de  notre pays dans son statut atavique d’Havre de paix, de droit, de liberté, de respect des différences, de démocratie, sont devenues une illusion pour le peuple ivoirien, un objectif inlassablement recherché par les ivoiriens mais inatteignable pour la côte d’ivoire. 

Hélas ! Répétons-nous encore ici, il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger réel avant la phase terminale de sa noyade. Il ne faut pas se leurrer, la côte d’ivoire se noie dans l’océan des nations civilisée. Il y a danger, il y a péril, il y a mort par euthanasiste sciemment et habilement préparée par désocialisation et acculturation, et par l’asphyxie orchestré du destin ivoire dans le concert des nations civilisées. Oui, le peuple ivoirien, en plus de l’acculturé se dénature, se désocialise, se dépayse, s’étouffe, progressivement sur la terre de ses propres ancêtres. Oui, nous ne changerons rien du déjà dit : Il faut au peuple ivoirien de tous bords à rang serré, compact, et rafistolé a jamais, épaules contre épaules, coudes-à-coudes, côte-à-côte, mains dans les mains, pour exiger un organisme électoral Apolitique, Autonome, totalement indépendant de la politique politicienne et des hommes politiques loufoques, par pratiques, pour arrêter la dynamique perverse, démoniaque, des élections a cadavres de citoyens, et pour la réguler la vie sociopolitique, et pour se défaire pacifiquement de l’engrenage qui risque d’être fatal dans quelques petites Années, 2025 et suivantes.

*- Empêtrer dans une crise sociale entretenue sciemment, on ne se tait pas, puis s’en sortir par la bonne porte.

Donc, puisque des gens en côte d’ivoire semblent oublier très vite les faits sociopolitiques, comme un écureuil qui s’enfonce de toute urgence dans son Trou face au danger, et qui en ressort une seconde seulement après, pour se livrer au même danger. Donc, il est nécessaire de rappeler que, depuis 1999, date du premier coup d’état, la côte d’ivoire d’élection calamiteuse, a élections confisquées, à élections exclusives truquées, est habilement entrainer petit à petit dans un engrenage qui sera fatale à l’arrivée. Et que, c’est une idée confuse, un esprit différentialiste et une escroquerie morale et intellectuelle, épaulé par des soutiens en côte d’ivoire, qui ont permis l’avènement de la  crise sociopolitique ivoirienne. Avec une partie minoritaire du peuple saisis par les fibres des appartenances et trimbalé vers l’Abime sociopolitique. Articulés à des hommes politiques ignorants, ou faisant Fi d’ignorer que, quand une nation qui se veut souveraine roule vers un précipice abyssal, ou s’embourbe dans un engrenage orchestré par l’habilité mercantiliste de l’escroquerie morale et intellectuelle, que le combat prioritaire de l’homme politique devient logiquement de s’accaparer le rôle désintéressé de gyroscope de la totalité sociale souveraine, et de montrer la bonne direction pour la sortie de l’engrenage, afin d’obvier le précipice abyssal.

Surtout que l’arme de combat prioritaire de l’homme politique devient de dire les choses comme elles sont, quand elles vont bien et quand elles vont moins bien dans l’organisation sociale, dans les fibres de la citoyenneté commune qu’elle sous-tend, et dans les tissus de l’harmonie intercommunautaire dont le rafistolage forme l’entité abstraite commune, pour un destin meilleur de la société. Et de nommé et dire les choses, sans violence aucune même verbale, sans excès, sans haine, ni dramatisation, ni Alarmisme, mais avec un courage risqué qui transcende les intérêts mercantilistes. Dires les choses avec une franchise risquée et une détermination soutenue par la conviction politique de servir le peuple souverain, de consolidé la stabilité politique et la paix sociale. Dire la vérité crue et nue en tenant compte qu’empêtrer dans une crise sociopolitique sempiternelle entretenue sciemment, on ne se tait pas, puis s’en sortir par la bonne porte de sortie. Et en tenant compte aussi que, la litote, le succinct, la brièveté, le sous-entendue ne solutionnent pas. Que la solution demande l’exhaustive, puisque loger dans le large détail des: Qu’est-ce qu’il y a ? Comment ? Pourquoi ? Et après ? Pourquoi ce merdier ? Ce foutage de gueule ? Et la totalité sociale dans tout ça ? Questionnement à réponses idoines !

*- La fonction primaire du système d’organisation sociopolitique, qui régit les droits civiques doit être intégrative.

Oui, en politique la défense d’un idéal sociétal, ne peut se faire que dans la grande constance de l’action politique soutenue, visant un but intransigeant, flexible, mais sans infléchir. Jusqu’à l’adhésion totale du peuple souverain et jusqu’à l’obtention ou la réalisation de l’idéal sociétal défendue. Nelson Mandela, l’a démontré aux yeux du monde, aux moments difficiles de son action et de ses prises de position,. Oui, la Nature se marre des peuples qui se plaignent des conséquences de leurs souffrances, alors qu’ils en chérissent les causes. Voilà pourquoi l’homme politique doit continuer de parler, parler, toujours parler aux citoyens libres. D’où le discursif contradictoire reste de règles. Donc, convaincu que nous sommes, que c’est une certaine idée obscure, confuse, lugubre, funeste d’un certain esprit différentialiste insidieux, habile, manipulateur, obscurantiste, nébuleux et glauque, mis au service des desseins funestes inavoués qui ont permis la crise sociopolitique ivoirienne, nous disons que, la plaie de cette crise sociopolitique doit se soigne sur sa surface réelle, si on veut atteindre sa guérison, donc, la paix comme but. 

L’homme politique doit toujours parler, et cet  exercice politique, oblige que  les hommes politiques doivent tenir compte que, la fonction primaire d’un système d’organisation sociopolitique, qui régis les droits civils et politiques de tous, surtout électoral doit être absolument intégrative. Pour pouvoir servir à atténuer les éléments potentiels de conflits socio-politico-électoral, et à lubrifier le mécanisme des rapports sociopolitiques, afin de garantir la stabilité sociopolitique et la paix sociale. Puisqu’en effet, c’est seulement avec l’acceptation de toute la composante sociale, du système d’organisation sociopolitique que le système politiques, et des interactions sociales peuvent fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou en conflits latents. D’où en politique, la vraie, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique d’un pouvoir que de faire partager à l'ensemble des acteurs politiques et des citoyens, la conviction que leur volonté s'exprime à travers les représentants qu'ils se sont librement choisis. Hélas !  Pour la côte d’ivoire, la danse funeste, mortifère de sorcellerie électorale continue

*-Le rôle citoyen en période de turbulence sociale est de rendre la société plus intelligible, plus compréhensible.

Nous y sommes, donc un gouvernant qui est ressortissant d’une bonne organisation socio-politico-électorale et du suffrage universel, qui garantit d’une manière égale pour tous, les droits humains inaliénables et les libertés individuelles, sans attacher d’importance à la couleur politique et à l’idéal sociétale défendu, sans différenciation aucune « ethnique, tribale, communautaire, régionale », « nord-sud et est-ouest », ce gouvernant s’oblige avant tout d’être un serviteur de l’intérêt général et de l’ordre social. Et dans une bonne organisation socio-politico-électorale, le suffrage universel est un instrument de progrès pour tous. Parce qu’il renforce l'obligation pour l'individu de donner à son activité une orientation qui tienne compte de son appartenance à une communauté de destin solidaire, et de son insertion dans la société citoyenne qui est maitresse de son destin, c'est-à-dire des liens d'interdépendance qui le rattachent hermétiquement à ses concitoyens minoritaires ou majoritaires, de multiples sensibilités politiques. Cette solidarité, de tous ensembles, synergiques donne tout son sens a la souveraineté populaire du peuple et rend le peuple redouté et redoutable, par/devant, les pouvoirs d’état quels qu’ils soient. Donc la solidarité, de tous ensembles, synergiques garantie les droits et les libertés individuelles.

Donc, c’est pourquoi soutenons-nous, que le système d’organisation sociopolitique, doit être dédouanée de toute récupération politique, qui est très dangereuse, parce que, porteur de germes de conflits de toutes sortes. Donc, le système d’organisation sociopolitique doit échapper aux contrôles des hommes politiques pour échoir strictement à la volonté générale de la totalité sociale souveraine, qui aspire à la paix. Surtout pour échoir, à l’aspiration profonde du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état. Et le système d’organisation sociopolitique, doit être débarrassée des scories passéistes politicardes, qui ne préparent pas l’avenir mais la met en danger par toutes sortes de travers politico-électoral et démocratiques. Si nous voulons donner une existence à l’expression de la sociologie électorale ivoirienne, donner une chance à la combinaison stratégique en ébauche de quelques indéniables forces politiques, si nous voulons que la participation des citoyens libres soit un instrument de régulation sociopolitique, si nous tenons à des élections démocratiques digne de ce Nom, il nous exige un organisme électorale Apolitique, autonome totalement indépendant des pratiques des partis politiques.

La politique ivoirienne-t-elle qu’elle est pratiquée aujourd’hui est Animalisé, inhumaine, ingrate, acculturante.

Oui, le système d’organisation socio-politico-électoral doit échapper aux contrôles des hommes politiques pour échoir strictement à la volonté générale de la totalité sociale souveraine, qui aspire à la paix. Oui, soulignons-le dans réalité sociopolitique, la souveraineté réelle ne peut être représentée, pour la même raison elle ne peut être aliénée,  puisqu’elle réside essentiellement dans la volonté générale, et la volonté ne se représente point. Les élus du peuple ne sont donc ni ne peuvent être ses représentants, ils ne sont que gyroscopes temporaires, qui se doivent de transporter une voix qui loin d’être la sienne uniquement s’identifier à ce que le peuple veut, à ce que la volonté générale exprime du bas vers le haut. Ils ne peuvent rien conclure définitivement. Toute norme et organisation que le peuple souverain en personne n'a pas consenti volontiers et ratifiée est nulle, ce ne sont point une norme et organisation. C’est ainsi que l’état républicain de droit s’obligerait d’exprime sa volonté unificatrice et paisible dans des normes référendaires de régulations sociopolitiques. Et veiller que les normes juridiques de régulations, ne soient pas la volonté d’un groupe politique, d’un parti politique, d’un clan, et qu’elle ne soit pas non plus l’arrêté unilatéral d’un ministre passager et le décret arbitraire d’un despote effréné.

Donc, qu’elles restent l’expression de la volonté générale et que les institutions étatiques soient constituées de sortes que son système d’organisation social et ses normes l’exprime dans toutes les formes de la vie sociopolitique et permet la libre concurrence dans la quête de la représentation sociétale et de la participation des citoyens à la vie sociopolitique de leur société.  Ou le pouvoir ne serait plus au bout des  fusils et ne serait plus jamais acquis sous la base de fausse notoriété, assise sur l’escroquerie morale et intellectuelle, sur les faux Auras, les fausses notoriétés, les faux prismes, et l’Aune de l’ivraie, ventilés et entretenus à dessein. Mais ou le pouvoir serait au bout de la volonté générale de la majorité absolue de la totalité sociale souveraine électrice et votante. D’où en l’absence de volonté générale il n’aura plus de légitimité. Bon ! Ces quelques mots qui suivent estampillés testamentaire « dites d'éviter la politique, de s'éloigner de la politique et de fuir la politique ». « La politique n'est pas mauvaise en soi, mais-t-elle qu'elle est pratiquée en côte d’ivoire, elle est cynique » ont été attribué à un homme politique au sommet de la hiérarchie par Mérite. La LC_CRS ajouterait que la politique ivoirienne-t-elle qu’elle est pratiquée aujourd’hui est Animalisé, inhumaine, ingrate et n’offre Rien aux plus méritants, qui se soucient de la sauvegarde de la volonté générale, de la défense de l’intérêt général même en perdant les élections

Oui, Aucune élection propre n’est possible avec l’organisme électorale actuel, qui de par sa composition permet de continuer le jeu dans ses instances de délibération. Aucun homme sensé ne demandera à un joueur comment il entend dribler son adversaire, non ! Ici, en politique Africaine surtout ivoirienne, le zigzag, micmac, contre-pied, dérouter, tromper, pour qu’advienne une « main-de-Dieu », est la règle. Ce tocsin parce qu’en politique, la vraie politique, le rôle assigné aux hommes politiques ou publics, en période de turbulence sociétale est de rendre la société plus intelligible, plus compréhensible. Ce premier rôle d’éclaireur de la totalité sociale les revient. Nous ne savons si nous en sommes UN, mais ils doivent œuvrer à la proclamation des idéaux politiques intransigeants, l’expression forte des convictions idéologiques, l’articulation hermétiques des philosophies et l’exposition doctrinaire intempestive, «sans Flagornerie, ni gonflement-dégonflement, ni extase, ni transe, ni casse, ni saccage, ni brulure, ni armes fusils». Mais seulement par la force de la parole. KOUMA ! RIEN QUE KOUMA !

*- Une démarche d’éveil de la conscience, pour rendre la condition de vie meilleur, face à la lassitude des conflits

Donc, aux hommes politiques ou publics, tout pour KOUMA au terme de  laquelle, toute la primauté est accordée à l’intérêt général de la totalité sociale souveraine et a l’ordre social. Puisque, la politique est essentiellement, un combat permanent entre ceux qui veulent le bonheur du peuple devenu maitre absolu de son destin, de son émancipation, de son épanouissement, de sa liberté, de son droit à réaliser son désir d’avenir, et à discerner ses perspectives d’avenir dans le temps,  et ceux qui à l’opposée n’ont d’autre vision du monde que l’enrichissement perpétuel au détriment du peuple souverain et le pouvoir d’oppression au service de DIEU l’argent. Ou la cause d’intérêt public n’est toujours pas gagnante. Oui, tout comme la boxe, la politique est un noble art loyal, un noble lieu du consensus désintéressé, un noble lieu de recherche de la paix pour la totalité sociale, un noble lieu des débats d’idées, un noble lieu de confrontations d’arguments, un noble lieu des combats loyaux. Ou le politique à l’obligation de s’inscrire dans une démarche d’éveil de la conscience politique de la totalité sociale. Un politique digne de ce Nom, doit tout simplement pouvoir dire non à la politique de l'autruche et savoir lire entre les lignes. 

Donc, un homme politique ou public, doit s’efforcer de connaître avec certitude la réalité scientifique des choses et se montrer juste dans l'appréciation des justes réalités des choses. En se comportant avec exactitude dans l’action politique et en agissant à la limite d’humainement admissible, qui proscrit le MOI. Ce qui donne son sens à ce que la vraie politique, c'est l'art de rendre possible ce qui est une nécessité réelle et absolue pour la totalité sociale souveraine. Donc, la politique est la juste appréciation des réalités en s’oubliant soi-même et ses intérêts personnels, au terme de ses prises de positions politiques et sociétales, qui doivent bannir tout comportement clanique assis sur des clubs de soutien ou de brigades d’acclamations à but d’intérêt égocentrique au détriment de l’intérêt général. Donc, une démarche d’éveil de la conscience, qui a pour but de rendre la condition de vie meilleur dans la totalité sociale souveraine au mépris de ses intérêts personnels, face à une lassitude des conflits sociopolitiques  intempestifs et des crises sociopolitiques répétitives. Donc, un désir de vaincre la crainte des mauvais évènements sociopolitiques funestes et mortifères. Elle « démarche d’éveil de la conscience » est une recherche inlassable parfois ingrate de la stabilité politique et de la paix sociale, une recherche soutenue de la renonciation au désir de vengeance après une crise sociale, par l’acceptation de l’abandon des blessures du passé

*-Un système incontrôlé qui permet de continuer l’élection dans ses instances de délibération peuplé de partis pris

Oui, nous rappelons ces sacerdoces « d’homme politiques ou publics surtout citoyens » parce que dans une  organisation électorale d’encliquetage systémique, qui a la réputation d’être intraitables, durs et cruels autour de la chose publique « en disant ces vérité, nous savons que la vérité crue et nue, n’est désormais jamais aimée dans notre pays ou les gens préfèrent la Flagornerie intempestive, le saupoudrage des maquignonnages, le maquillage des ivraies et les litotes caressant dans le sens des poils, qui élude ou masque l’essentiel sociétal, alors que la côte d’ivoire évolue vers un chaos électoral en 2025, avec une organisation électorale qui ne rassure personne et avec les armes comme mesure de valeur sociopolitique comme couronnement », donc, ou tout le fonctionnement systémique repose sur la domination à court terme. En allant donc, aux élections locales «municipales et régionales en prélude de 2025 », on y va avec la certitude que les maitres de ce système électoral décrit plus haut, vont sortir « vainqueur » majoritaire de ces élections à tout prix, bon gré, mal gré, et bon an, mal an, son système est ainsi conçu. Certes quelques dizaines de personnes seront élus et pourront bénéficier des avantages qui sied aux postes et fonction mis en compétition, mais qui ne pourront rien changer dans la vie sociopolitique ivoirienne. Et surtout aller à ces élections locales «municipales et régionales», pour ne pas laisser tout le champ libre à l’autre, mais encore aux prix de combien de jeunes ? De combien d’enfants sans pères et/ou de mères ? 

Oui, dans un système électoral partial, mafieux, érigé en organisme de trucage, au service d’un système, les participations aux élections ne peuvent rien changé, pour l’évolution vers une vie sociopolitique et démocratique paisible respectueuse des droits et des libertés. Le citoyen en votant dans ce système, ne pourra rien régulé. C’est une évidence certaine et absolue, qu’en participant à l’importe quelle élections, on aide à consolider les élections de façades dans un pays, qui se veut état républicain de droits et démocratiques. Oui, les citoyens en votant dans n’importe quelle fabrique systémique électoral partial, inféodé, dépendant d’un pouvoir déviant, qui considère ostensiblement, la chose publique comme son bien privé, que les citoyens s’affirmeront citoyens libres Non ! Ou qu’ils pèseront davantage sur les choix de société, qu’ils veulent vivre en commun. (C'est-à-dire une société harmonieuse, et retenons que l'harmonie sociale est le contraire de la nuisance mutuelle. C'est donc plus que la paix, qui n'est que la négation du conflit. Donc, œuvre pour la plus grande harmonie sociale possible implique d'agir sur les causes des crises, il ne suffit pas d'aspirer à l'harmonie sociale ou de se contenter des paroles mielleuses face à tout le monde ou de s’efforcer de montrer une gentillesse avec tout le monde. Pour se faire, il importe de déterminer ce qui peut accroître l'harmonie sociale et ce qui peut s'y opposer). Donc, BOYCOTTER tout.

Continuons : Oui, en votant dans un système électoral sous contrôle des politiques les citoyens ne pèseront pas davantage sur les choix de société, qu’ils veulent vivre en commun. C'est-à-dire, une société cohérente, une société stable, une société paisible, dans le respect mutuel, et dans l’exaltation de la diversité solidaire, qui est le rêve commun de toujours. Non ! Ce n’est pas possible de changer une société humaine dans le panurgisme électoral moutonnier, en votant n’importe comment et n’importe où, dans n’importe quel concours de recherche de la représentativité non-balisé, et avec des sorties de routes légalisées par un système incontrôlable qui permet la continuité du concours aux seins de ses instances de délibération peuplé de partis pris, sans repères, donc, sans gyroscopes d’une bonne organisation électorale. Se faisant le non-droit, ne peut produire du droit, et les jeux truqués, ne peuvent produire la stabilité politique et la paix sociale. «Un proverbe malinké du Nord ivoirien dit: Celui qui  déteste la salive de l’escargot doit refuser l’argent de la coiffure de sa Mère». Il nous faut donc, Boycotter TOUT. Parce que, la sphère politique, l’espace public, encore moins le pourvoir d’Etat, ne sont pas des plantations « café-cacao » d’une meute de ballons de Basket et d’une piteuse camarilla d’affairistes dirigistes aux écologies mentales très douteuses. Oui, au tour de la chose publique nous doutons de leur écologie mentale.

*- La confiance de tous dans le processus électoral est un facteur indispensable à la crédibilité du processus.

Bon ! Avertissons qu’au terme des élections locales à venir et dans configuration actuelle toute l’opposition cumulée n’aura pas les un tiers des élus locaux, cela est orchestré, rafistolé, coupé-cloué, permuté et édicté. C’est un Avertissement. Bon ! Disons que, seuls les ivoiriens, tous ensembles dans la stabilité politique et la paix sociale doivent faire  la côte d’ivoire de 2025 et suivant. Oui, le système d’organisation socio-politico-électoral de la côte d’ivoire d’aujourd’hui, n’offre aucune garantie d’intégrité, de transparence, de droit, de légalité, de démocratie, de fiabilité rassurante et de viabilité sereine. Donc, signifions ici, qu’au-delà des résultats électoraux a venir, qui ne rassureront personne, la désignation de certains membres du Sénat «pouvoir législatif» par le président de la république «pouvoir exécutif » qu’en en ressortir, l’extraction de l’élection de représentants de la nation « que seront les sénateurs» au suffrage universel, pour les faire élire par d’autres simples élus locaux bidonnés,  qui fait que les deux tiers des 99 membres du Sénat, soit 66 sénateurs sont élus, non pas au suffrage universels direct par le peuple, mais bien par ces élus bidonnés pour la cause de fait, et le tiers 33 membres du Sénat restant est nommé par le président de la république « pouvoir exécutif ». Via la prescription monarchiste d’une constitution démodée et anomique, de la nomination présidentielle d’un (1) Sénateur dans chacune des 33 régions de côte d’ivoire. Marquant ainsi la présence de la main du pouvoir exécutif, dans le pouvoir législatif, dans chacune des 33 régions du pays. La majorité présidentielle est ainsi facticement d’emblée acquise au congrès des deux chambres réunie. Bidonnage clownesque, pantalonnade ubuesque à chez-nous pays sous un monarchisme bâtard.

Surtout l’institutionnalisation politique des rôles des grands dépositaires des Us et coutumes locaux, gardiens et référents incontestés des traditions communautaires, «les Rois et chefs traditionnels, fonction hautement morale inamovible, au-dessus de la politique politicienne, et symbole incontesté de la souveraineté synergique de l’entité sociale, ainsi mise sous tutelle du pouvoir exécutif»  sont manifestement ressortissants de l’accaparement de la souveraineté populaire du peuple, confinée entre les mains d’un monarque siégeant dans la suite de Dieu, en chapeautant tout le système de l’organisation de la totalité sociale souveraine. Et tous les pouvoirs trouvent ainsi leurs siège dans le pouvoir exécutif, la séparation de pouvoir se trouve anéantie par le jeu électoral, dans un système devenu néo-monarchiste clownesque, hybride, débridé et bâtard. Ainsi le pouvoir exécutif devient monarchisme. Bon ! Avec cette organisation socio-politico-électorale, la Côte d’Ivoire ira encore à toutes les élections programmées par ce système, ignorant tout du cauchemar auquel ces élections vont donner naissance. Un cauchemar qui va encore sans doute hanter bien des élections à venir. Oui quel avenir socio-politico-électoral pour cette côte d’ivoire jetée aux orties et aux affres les plus monstrueuses de l’épreuve des élections cadavres. Ou on massacre par-ci, on zigouille par-là, partout on commet des crimes. On massacre des enfants en pleine rue.

*-Pour des élections ou, il n’y a ni chasse-gardée, ni territoire privé, ni privilège exclusif dans l’assiette territoriale.

Combien de ces jeunes ivoiriens doivent encore tomber sous les balles assassines des fausses élections pour qu’un nouveau jour électoral puisse se lever sous l’égide d’un organisme électorale qui rassure tout le monde et qui inspire confiance à tous les acteurs et citoyens libres. Nous avons déjà souligné à plusieurs reprises que, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, y compris la présidence de la république, sont les subordonnées du processus électoral, qui enfante les élus. Et qu’au terme d’une organisation sociale consensuelle qui édicte un organisme électorale Apolitique, Autonome, totalement indépendant, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, et le parti au pouvoir doivent s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens le plus large. Et doivent aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. Et surtout ils doivent respecter strictement les normes de régulations consensuelles préétablies. C’est à ces conditions que les populations acquièrent la conviction que le résultat des scrutins reflètera bien la volonté populaire. De même, c’est à ces conditions que les partis et les candidats constatent qu'ils seront traités avec égalité tout au long du processus électoral. Cette confiance de tous les acteurs, citoyens électeurs et candidats en compétition dans chaque étape du processus électoral est un facteur indispensable à la crédibilité du processus électoral.

Ici c’est la garantie offerte par l’intégrité du processus électorale qui est recherché, pour encourager, protéger, de par son organisation, la tenue d’élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Donc, qui puisse garantir des chances égales pour tous les participants, avec une commission électorale Apolitique et Autonome, qui, proscrit et exige formellement l’absence d’intimidation d’où qu’elle vienne et quelle qu’elle soit. Et qui souscrit à la volonté de concevoir et d’aligner le cadre juridique des élections ainsi que les règles et les pratiques électorales avec  les engagements internationaux en matière des droits de l’homme. Puisque, le cadre juridique est aussi l’un des fondements de la protection de l’intégrité des élections. Parce que les principes universels des élections veulent que, dans un système réellement démocratique, d’un état républicain de droit, le gouvernement soit confié pour un temps à des hommes bien élus par leurs concitoyens dans le respect des normes de régulations sociales conventionnelles préétablies. Dans ces conditions, si le pays est content d’eux, il les maintiens au pouvoir ; s’il n’en est pas content, il les change, sans bruit, sans violence. Donc, comme déjà dit, dans un système réellement démocratique, d’un état républicain de droit, l’arme toute puissante au moyen de laquelle on arrive à tous les changements dans l’ordre social, et à conquérir toutes les libertés et réaliser tous les progrès, est le suffrage universel direct et systémiquement propre, transparente, fiable parce que bien maitrisé.  

Et le suffrage universel direct renforce l’obligation pour l’individu de donner à son activité sociopolitique une orientation qui tienne compte de son appartenance à une communauté nationale de destin solidaire et de son insertion dans la société commune citoyenne, c’est-à-dire des liens d’interdépendance absolus qui le rattachent hermétiquement à ses concitoyens de la totalité sociale sans unilatéralisme messianique. D’où un pouvoir passager quel qu’il soit ne peut faire le bonheur du peuple malgré lui. Donc, le suffrage universel direct, propre, dédouané de toutes emprises politico-électorales mafieuses, est l’unique voie légale de conquête du pouvoir d’état. Ou faire la politique n’a  rien de mafieux, ou rien n’est  unilatéral, ou rien n’est personnel, ou rien n’est exclusif, ou rien n’est du moi ou rien. Ou il n’y a ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni privilège exclusif, dans toute l’assiette territoriale et dans toute la sphère publique. Cela dans le respect des droits, dans le respect des libertés, dans le respect des règles démocrates et dans une société de paix pérenne. A DEFAUT IL NOUS FAUT BOYCOTTER TOUTES LES ELECTIONS A VEVIR. Citoyens libres au terme des exigences légales de nos complaintes, de nos critiques conventionnelles et légitimes, de nos Analyses (peut-être) expertes, doctes, et esthètes, ci-dessus qui fait corps avec tous ce qui ont précédés, nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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27 mars 2023 1 27 /03 /mars /2023 03:22
LEPETITFILS : BOYCOTTER TOUT A COMMENCER PAR LES ÉLECTIONS LOCALES «MUNICIPALES ET RÉGIONALES» ET PARTANT LES SÉNATORIALES QUI S’Y RATTACHE, PARCE QUE MAFIEUSE-MENT RETIRER DE LA GOUVERNANCE DU SUFFRAGE UNIVERSEL DIRECT, POUR ÉCHOIR A LA LOGIQUE NÉBULEUSE DE PARTAGE DE GÂTEAUX, QUESTION DE CONTENTER TOUS LES MEMBRES BOUFFE-TOUT ET ATRRAPE-TOUT ASSIS A LA TABLE DES CONVIVES NOCTURNES. DONC, BOYCOTT-DE-REFUS DE LÉGITIMER UNE MASCARADE ÉLECTORALE DÉLINQUANTE A CIEL OUVERT.

LEPETITFILS : BOYCOTTER TOUT A COMMENCER PAR LES ÉLECTIONS LOCALES «MUNICIPALES ET RÉGIONALES» ET PARTANT LES SÉNATORIALES QUI S’Y RATTACHE, PARCE QUE MAFIEUSE-MENT RETIRER DE LA GOUVERNANCE DU SUFFRAGE UNIVERSEL DIRECT, POUR ÉCHOIR A LA LOGIQUE NÉBULEUSE DE PARTAGE DE GÂTEAUX, QUESTION DE CONTENTER TOUS LES MEMBRES BOUFFE-TOUT ET ATRRAPE-TOUT ASSIS A LA TABLE DES CONVIVES NOCTURNES. DONC, BOYCOTT-DE-REFUS DE LÉGITIMER UNE MASCARADE ÉLECTORALE DÉLINQUANTE A CIEL OUVERT.

« Bon ! D’emblée disons entre guillemet que, la politique demeure un noble Art: «En France, la mère patrie, Emmanuel Macron n’a-t-il pas tiré sans succès, tous ses coups francs, directs et indirects sur la barre retrait, et face à l’impossibilité pour lui de pouvoir marqué le but retraité, s’est résolue à s’adjugé la coupe retraitée de France, la conséquence de cet auto-adjugé messianique, augure-t-il pas un retrait de cette coupe ? Au risque de s’enfermer coincé pendant quatre (4) Ans sous les décombre d’une résignée dissolution jusqu’à la retraite, de La République En Marche ? Courage Monsieur ! Puisque, c’est une constance, que les peuples libres retirent souvent ponctuellement leurs procurations électorales, avant sa date de l’échéance de retraite. C’est entre guillemet ».

*- Chronique KOUMA : Face aux FLAGORNEURS Impénitents, la roue de l’histoire doit tourner. A LIRE ET A RELIRE.

*- Bon !  Peut-t-on encore espérer de l’organisation sociopolitique en côte d’ivoire et de l’avenir de la côte d’ivoire côte d’ivoire ? Au moment où il n’existe pas un système d’organisation électorale, qui non-pas consensuel des partis, mais Autonomiser dans son essence architecturale, Apolitique  Autonome, Indépendant, Neutre Impartial et totalement dédouané des Hommes politiques, d’où aucune élection ne peut aboutir sur la stabilité sociopolitique, et ne peut aucunement garantir la paix sociale à la côte d’ivoire ? Nous l’avons dit et nous le ressassons, il faut pour la côte d’ivoire un système électoral qui échappe au contrôle des hommes politiques, tenus par des intérêts politiques logiquement partisans, donc forcément de parti-pris, pratiquement malhonnête et partial. Oui, l’opposition ivoirienne, est entrainée vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers une crise postélectorale, qui donnera encore la parole aux armes « fusils » en 2025 et suivantes comme toujours. Sauf à nous convaincre, de par quelle Force ce système électoral va proclamer la défaite de son système politique source ?  Non ! Nous n’y croyons pas, notre degré de crédulité n’a pas encore atteint ce niveau de naïveté.

Oui, comment proclamer la défaite électorale de son système source nourricière, d’une camarilla théâtrale et bouffonne qui impose sa volonté gestapiste. Cette piteuse Meute de rugbymans ressortissants incontestés de Linas Marcoussis, pour lesquels, l’honnêteté, est un crime de naïveté. Les jeux fairplays démocratiques sont une faiblesse et une docilité politiques. La roublardise politique est une intelligence stratégique et d’importation. La violation des normes de régulations sociopolitiques et l’élaboration unilatérale des normes anomiques et démodées sont une force politique. Les fraudes et les trucages électoraux sont déterminants dans l’obtention de la majorité électorale. Les actes d’intérêt général ou les actions d’intérêt public sont un péché politique. L’originalité politique est une tare partiaire à éliminer. Toute exception de pensée ou de distinction morale est une folie passible de réclusion politique et d’ostracisme. Et l’alternative démocratique par des élections libres, justes, équitables, transparentes et démocratiques sont un crime d’apartheid ouverte sur l’entrée en enfer. 

*- Peut-t-on encore espérer d’une voie légale de conquête du pouvoir d’état en côte d’ivoire ?  Avec des élections démocratiques ouvertes, pluralistes, consensuelles, et avec les chances égales pour tous au départ, qui passe absolument par un organisme électoral professionnel, Apolitique, Autonome, indépendant, neutre, impartial sous  par la supervision judiciaire de son démembrement institutionnel judiciaire totalement indépendante non-inféodée au pouvoir exécutif et à aucun parti et mouvement politiques. La paix est à ce prix. Or, les politiques, les partis et mouvements qui peuplent la CEI actuelle, sont conscient qu’étant membre du corps arbitral CEI que les jeux politiques se poursuivrons aux seins de cette organisation. Donc, ils n’ont pas intérêt que le jeu politique se limite sur le champ démocratique et électoral. Donc, ils veulent être l’arbitre du processus électoral et en même temps compétiteurs, avec sifflet d’arbitrage téléguidé a la bouche. Donc, La commission électorale, le conseil constitutionnel, le découpage électoral, le mode de scrutins  électoral «supports de votes» resteront sous leurs  coupe chacun usant de sa stratégie partisane. Ce qui est l'expression la plus antagonique du suffrage universel et du droit inaliénable de tout peuple à disposer de lui-même. Donc, une vie politique et électorale « Bâcôrônîsé ».

Oui, cette  «Bâcôrônî-sation électorale» trace ainsi la voie satanique vers l’enfer de l’Abime sociale. Le cocktail explosif est là, le décor est planté au tour d’une Grenade a goupille tirée, la danse des diables est prévu pour 2025. Tout est rafistolé et bouclé semble-t-il, en ignorant les petits marteaux citoyens, qui eux aussi font fi d’ignorer les grands rafistolages outranciers, les fulminations outrageuses et les bouclages hermétiques. Que la nature maudisse l’absolutisme totalitaire de ces politicards carriéristes jusqu’au garage politique de l’oubliette. Soyez maudit fichu système ! C’est clair, on n’a pas besoin des lunettes des profs et maîtres de l’antiquité Grec, pas même besoin des lunettes stratège de l’historien athénien Thucydide, ou Celle de Emmanuel Kant, ou même des lunettes des rédacteurs de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 pour le voir le danger. Dont la dernière trouvaille controuvée est de tenter de faire enrôler tous les partis d’opposition dans l’organisme suicidaire électoral actuel. Qui est désormais estampillé comme preuve de la gestion de la totalité sociale pour tous les ivoiriens consentants. Bon ! La danse des diables est prévue pour 2025 et suivants. Qui consistent à faire sciemment fi d’ignorer la réalité en face, et s’en donner à des coups de poignards dans le dos de la stabilité sociopolitique, d’harmonie intercommunautaire et la paix sociale, dans les baffons de l’anonymat obscurantiste.

*- Peut-t-on encore espérer d’une côte d’ivoire où le citoyen libre, oui, enfin totalement libre, n’a plus que le droit et les règles librement établies, pour limite ? Nous avons toujours souligné que notre crise ivoirienne, est une crise sempiternelle du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, par des gens avéré incapables de s’adapter à l’art universel du vivre en commun dans l’égalité de tous, dans le respect de normes juridiques de régulations sociales préétablies. Et qu’elle  «crise ivoirienne», a pris ses racines dans la conquête du pouvoir d’état par les Armes et dans ses terreaux fertiles que sont les fausses élections, et qu’elle n’a été possible, n’a pu se concevoir, n’a pu se faire, que dans la seule hypothèse, ou notre pays la côte d’ivoire d’Houphouët est devenu l’ombre de lui-même, en se déniant a la face du monde, «de pays de paix en devenant pays belliqueux» par la volonté d’une  politique renégate carriériste, cynique obscurantiste, intransigeante. Qui n’admet jamais s’être tromper de route dans la conquête du pouvoir, ou le droit de tout citoyen ne commence que là où s’arrête le droit des autres citoyens. Cela au mépris des forces matérielles quelles qu’elles soient.

*- Peut-t-on encore espérer d’une côte d’ivoire où les hommes d’horizons diverses et les citoyens ivoirien vivront selon le droit et les règles qui certifient notre seule raison d’être des êtres humains ? D’où ainsi les droits civils et politiques transcrits dans des normes doivent permettre de sauver et de garantir les droits inaliénables et les libertés fondamentales de tous, afin de protéger la société des désagrégations graves. Parce que quand la vérité historique et coutumière est violée ce sont les libertés publiques et individuelles qui sont mis en péril. Donc, il est indéniable que le remède de fond et de longévité de la crise de droit civique, civil et politique est un corpus de l’organisme électoral ivoirien qui exige que, la commission électorale soit indépendante dans ses actions, en droit d’agir, et indépendante des autres institutions républicaines, des partis et mouvements politiques. Parce qu’en droit international général, elle demeure au-dessus des dirigeants passagers des pouvoirs politiques et des politiques quels qu’ils soient. Donc, un corpus de l’organisme électoral qui oblige un exercice éclairci du noble art politique, sous la gouvernance des principes universels de démocratie participative, avec les griefs de tous soldés. Oui, l’écoute attentive des opinions des autres et leur questionnement politique dans la conduite des affaires publiques de l’état y compris politico-électoral sont les conditions indissociables de la tolérance authentiquement respectueuse d’autrui, donc, indispensable à l’harmonie intercommunautaire, à la stabilité politique et à la paix.

*- Peut-t-on encore espérer d’une côte d’ivoire stable, cohérente, harmonieuse, paisible et de l’exaltation de la diversité solidaire ? Oui, aujourd’hui, nous avons besoin du « devenue impossible » consensus républicain dans l’ordre du public, et au tour de la chose publique étatique. Surtout d’un système d’organisation rigoriste sur les droits inaliénables, incisive sur les libertés fondamentales, intransigeante sur les règles démocratiques et extrêmement pugnace face à l’autoritarisme d’un nombrilisme unilatéraliste et absolutiste totalitaire, devenu sacrement un danger public. D’où Il n’y a plus de Route avec le déviationnisme implanté au cœur de la vie socio-politico-électorale. Oui, le Bordel à gagner la république ivoirienne et le système d’état républicain de droit. Il nous faut changer de système électoral, changé de route tous ensembles unis, sans exclusive vers la stabilité et la paix. Oui, Changer de route dans l’exaltation de la diversité nationale solidaire, qui fera de notre pays la côte d’ivoire, un pays de citoyens égaux en droit et devoir. Parce que, dans un état démocratique, républicain de droit, digne de ce Nom, l’exigence de légale citoyenneté porte en elle-même, le droit égal pour tous, de participation active à la vie politique de son pays, de sa société, avec le même traitement procédural et juridique pour tous. Donc le droit égal pour tous à la vie, à la sureté de sa vie. D’où aucun citoyen n’est laissé sur la touche du progrès social. Puisqu’une bonne politique gouvernemental, une sérieuse politique économique, doit être capable d’offrir les mêmes chances sociopolitiques, les mêmes possibilités économico-sociopolitique de s’en sortir dans la vie quotidienne à tout homme, à tout citoyen ou que l’on soit dans l’assiette territoriale du pays gouverné.

*- Aucun pouvoir étatique, aucun élu, ou aucun groupe d’élus, ne peut faire le bonheur d’un peuple malgré lui.

Oui, en convenons-en, le jeu politico-électoral est un concours de représentativité nationale. Ce n’est donc pas l’UFR, ni la Fac, ni Normal-Sup, ni  Science-Po, même si elle demeure un noble art, qui s’exerce dans le respect des droits et des règles, ou les meilleurs ne sont pas souvent les vainqueurs, encore moins les plus grands lettrés, puisqu’on nait intellectuel «intelligentsia est inné». Donc, ce n’est pas un concours de l’opulence de richesses, ou l’argent n’a ni couleur, même puant l’odeur du couleur rouge, ou maculées de sang citoyens et imbibées de larmes d’orphelins de Guerre, ou même puant ostensiblement l’odeur de la cocaïne. Donc, la vraie politique, celle des porteurs d’alternatives, des profs d’idées, des paroliers pour les citoyens, des intellectuels indépendants, des éclaireurs d’opinion et des actions citoyennes « nous ne parlons pas ici, des FLAGORNEURS IMPENITENTS simples relayeurs de leurs propres processus d’autorégulation à des fins  d’intérêt personnel égocentriques», la vraie politique répétons-nous, est un apprentissage des limites et de l’autocontrôle, elle est aussi le respect de la diversité, de la pluralité politique, du consensus au tour des règles de la compétition électorale, qui se doit d’être loyale. D’où l’organisme électoral est une institution comme la présidence de la république, elles ressortissent tous les deux de la constitution. Donc, elle se situe au-dessus des dirigeants étatiques qui sont les enfants des élections, qu’il «l’organisme électoral» organise, d’où l’exigence de son Autonomie, et de son indépendance. 

*- Peut-t-on encore espérer d’une côte d’ivoire de la différence acceptée par tous, donc une côte d’ivoire de la variance, qui admet l’hétérogénéité des appartenances quelles qu’elles soient et des sous cultures nationales ? Retenons qu’une nation au terme de son organisation sociopolitique doit pouvoir en permanence réapprendre qu’elle existe et continuer de l’exprimer par le biais de reformes sociopolitiques symboliques et des normes de son substrat social existentiel, d’intérêt général, aux nombres desquelles figure la réorganisation périodique du système politico-électoral et démocratique, pour être conforme à l’exigence de la transparence, de la neutralité, qu’impose les règles universelles, ce à quoi aspire profondément la volonté générale, pour s’adapter à l’évolution du temps et du monde réel. Donc, une réorganisation sociopolitique dédouanée de récupération politique qui est très dangereuse pour la stabilité politique et la paix sociale. Parce que, porteur de germes de conflits de toutes sortes. Donc, une réorganisation sociopolitique qui doit échapper de force aux partis politiques, aux mouvements politiques, aux hommes politiques pour échoir strictement à la volonté générale de la totalité sociale souveraine. Qui aspire à la paix, se faisant surtout, pour échoir, à un organisme électoral Apolitique, Autonome, aspiration profonde du peuple souverain détenteur ultime du pouvoir d’état. Oui, la règle universelle édictée depuis la nuit des temps par les nations civilisées au terme du droit international coutumier est que, les républiques ne sont pas statiques et figées, mais il est impératif qu’elles évoluent à l’aune des droits et aux prismes des libertés acquises.

*- Peut-t-on encore espérer, d’une côte d’ivoire largement ouverte sur le monde ? Enfermer qu’elle est dans une logique politique de jungle et dans un carcan de certitudes bétonnées, de protections des intérêts particuliers, où les Flagorneries de slogans exutoires tambourinés, étouffe la moindre prise en compte des analyses critiques, objectives, expertes, doctes, esthètes, visant l’anticipation dans le temps d’un avenir paisible, dans le concert impitoyables des nations civilisées du monde réelle, qui n’ont pas d’Ami. Les citoyens ivoiriens décontenancés, assistent impuissant à ce spectacle honteux d’une situation sociopolitique de jungle, qui enfante des crises sciemment cultivée, entretenue et marqué du sceau indélébile du fleuve de sang versé. Et de la haine pour les autres dans sa différence, dont la fin semble ne pas être pour demain. Oui, depuis 2011, il n’est guère déchéance électorale, minime soit-elle sans qu’un événement vienne rappeler et aggraver la situation sociale délétère de jungle et de désespérance, qui déchire la nation confisquée entre les mains d’une  politique utopiste, qui ne désespère pas d’accaparer le destin de la nation ivoirienne, pour le plier à sa seule exigence égocentrique. 

*- Peut-t-on encore espérer d'une côte d’ivoire du respect des droits, du respect des libertés, du respect des règles démocrates et d’une société de paix pérenne ? Surtout qui fait du respect de tous les aspects de la vie humaine régie par les valeurs que l’humanité s’est donner, la valeur fondamentale, sur laquelle doit être construite toute société, toute politique, toute économie, tout développement, toute relation entre citoyens ivoiriens, entre personnes d’origines diverses et toute relation entre nations souveraines ? Oui, la paix n'étant pas l'absence de guerre, ni le contraire de la guerre. Ne surtout pas réduire la vraie paix à l'absence de guerre, ce serait réduire la paix à une vision vide de sens, passive, incomplète, incohérente, utopiste et lointaine. Le champ de la paix sociale comme comportement est bien  plus vaste. Oui, disons-le, les mêmes antagonismes insidieux pour la conquête du pouvoir ou la confiscation électorale continue. Or, il nous faut pouvoir rebâtir tous ensemble la nation ivoirienne sur les piliers solides de droits, de libertés, et de démocraties, qui lui éviteront de chanceler à nouveau dans un avenir proche, ou même s’écrouler à jamais dans le temps, « dénaturée, désocialisée, dépravée, assujettie et acculturée» devenue méconnaissable dans le concert des nations civilisées, digne de ce Nom.

*- Peut-t-on encore espérer ! Pas aujourd’hui avec le pouvoir absolutiste totalitaire et prédateur de jungle, d’une pratique démocratique universelle qui serait réelle, participative, pluraliste, gérer par des normes de gestions électorales consensuelles. Et dirigé aussi par des hommes Apolitiques, indépendants. Ou on reconnait l’autre comme différent et qu’on l’admet comme son égal en droit et devoir ? Pas sûr, oui, vraiment pas sûr et certain. Mais espérons de demain, puisque l’espoir reste le désespoir surmonté. Donc peut-être Demain, oui espérons de Demain. Donc, disons-le Demain, et demain il fera jour, oui, sans faute Demain, on sera Demain. Oui, Demain adviendra contre vent et marée. Parce que, confiné dans la loi de la jungle, le peuple ivoirien à l’instar de tout peuple souverain ne peut avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature. Donc c’est devant nous. Donc rêvons de Demain. Oui, c’est connu de tous, un corps malade secrète des anticorps, la démocratie désenchantée de la côte d’ivoire doit instruire, doit inventer et doit appeler de nouvelles pratiques politiques qui porteront la délibération collective citoyenne et populaire, sur des sujets et objets réels. Et non sur des faux Auras, sur des fictions et mythes fabriqués de toutes pièces, sous la base de fausse notoriété, assise sur l’escroquerie morale et intellectuelle, sur les faux prismes ventilés et entretenus à dessein pour l’usurpation de la légitimité populaire.

En clair aucun pouvoir politique étatique, aucun élu, ou aucun groupe d’élus, ou aucun homme politique, ou aucun groupe d’hommes politiques, ne peut faire le bonheur d’un peuple malgré lui. C’est pourquoi les élections démocratiques doivent être assises sur le droit et la liberté, et c’est là que les ivoiriens de tous bords politiques se voient dévolus aujourd’hui un rôle primordial devant l’histoire, aider les élections pluralistes dans sa grande force régulatrice de la société à rebâtir les droits inaliénables, les libertés individuelles dans leurs universalisme. Cet engagement citoyen ou  combat d’intérêt général imposé à l’ivoirien, doit être à l’aune de notre obéissance aux règles du droit universel, qui constituent le fondement d’une société paisible, libre et démocratique. La réussite est à ce prix, pour que les alternances politique soient assurée dans la paix dans notre pays la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, sans heurt, ni crise armée. Or si en côte d’ivoire, les élections pluralistes doivent être vécues comme actuellement agencées et consignées dans un système, par une politique de jungle prédateur piloté par un absolutiste endurci qui ne peut être la panacée aux problèmes de notre société, et qui ne rassure personne même pas les administrateurs électoraux eux-mêmes, donc, elles ne déboucheront pas sur la liberté assise sur la force de l’universalisme du droit. Or seule cette valeur universelle peut aider notre pays la côte d’ivoire à sortir de la situation de CRISES CYCLIQUES SEMPITERNELLES  et à conduire au développement réelle qui ne laisse pas l’homme au bord de la Route du progrès. Donc les chances égales pour tous dans la vie en société.

*- Une nation souveraine relève les défis à partir de la progressive unification des différents combats pour la Vie.

Oui, les valeurs de solidarité sociale et d’harmonie communautaire que ces valeurs universelles « droits et libertés » suscitées, inculquent au peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état, peuvent constituer la sève nourricière indispensable à la construction d’une nation ivoirienne prospère, stable, harmonieuse, paisible, civilisée et évoluée dans un monde a compétition impitoyable *- Bon ! Tout en espérant de demain, disons qu’il n’y a rien de fétiche dans les élections démocratiques, ou tout doit être a porté de vues de tous, et a porté de mains de tous. Et tout le monde doit être libre de partir dans les compétitions électorales avec les mêmes chances et sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état, sous l’administration d’un organisme électorale indépendant totalement Autonome, Apolitique, neutre, impartial et sous la supervision judiciaire d’une institution judiciaire devenu son démembrement totalement indépendante des politiques de nominations donc, non-inféodée au pouvoir exécutif. Et surtout où tout le monde  pourrait faire la politique et aller dormir tranquillement chez lui en toute quiétude. Les élections démocratiques consensuelles sont un droit inaliénable des peuples souverains à disposer d'eux-mêmes, ou droit à l’autodétermination des peuples souverains. Les élections démocratiques consensuelles, sont donc l’absolue expression active de la souveraineté d’un peuple.

Parce que sans élections démocratiques consensuelles, il n’y a pas d’indépendance socio-politique encore moins économique. Sans élections démocratiques consensuelles, il n’y a pas de souveraineté nationale et de réciprocité entre états souverains quand le pouvoir a pour unique support la reconnaissance internationale. Sans élections démocratiques consensuelles, il n’y a pas d’état républicain de droit, puisque les droits et libertés se trouvent bafoués et confisqués, et les libertés publiques et individuelles en danger. Sans élections démocratiques consensuelles, tous égaux en droits et en devoirs, il n’y a pas de réelles compétitions de représentativités nationales et la représentation nationale se trouve dévalorisée. Sans élections démocratiques consensuelles, il n’y a pas de peuples libres et souverains ultime détenteur du pouvoir d’état qui le confère à qui il veut. Donc il n’y a pas de citoyens aux libres arbitres, mais des citoyens vaches qui ne demandent qu’a manger. Sans élections démocratiques consensuelles, il n’y a pas de stabilité politique, de paix sociale, de progrès pour tous, d’harmonie intercommunautaire. Et sans élections démocratiques consensuelles, c’est la voyoucratie qui règne dans cet état de jungle, qui toujours totalitaire ou l’arbitraire règne en maitre absolue. D’où il n’y a pas de place pour cet état antidémocratique devenu un état voyou, un état policier, un état paria, dans le concert des nations civilisées.

Répétons-nous ici encore, qu’il faut absolument une commission électorale autonome et Apolitique sans bidonnage politique. Parce que lorsque dans un système électoral, certains dirigeants de l'organisme électoral sont nommés par les différents pouvoirs de l’état «exécutif, législatif et judiciaire», sur la base de leurs appartenances et de liens privilégiés avec les dirigeants de ces pouvoirs. Et/ou sont nommés par les partis politiques, les groupements de partis politiques, les mouvements politiques et les candidats indépendants en compétition, donc nommé sur la base de leur adhésion à un parti ou de leur affinité pour un certain bloc de parti, ou partisans des candidats indépendants, la neutralité dans ce cas devient logiquement incertaine, sinon impossible. L’impartialité devient inconciliable avec la défense des intérêts politiques particuliers que sous-tendent les appartenances qui nomment au sein de l’organisme électoral. Or une élection ne peut connaître de succès, que si les participants au processus électoral «candidats ou citoyens électeurs», croient que les administrateurs électoraux accomplissent leurs tâches de façon neutre, impartiale et sans sensibilité politique.

Donc, la Roue de l’histoire tourne, il nous faut ivoirien la aider à tourner dans le bon sens, avec cohérence et avec la marche indiquée, sinon de toutes les façons elle tournera malgré notre inertie, notre statisme, notre démission mais dans le sens voulu par l’absolutisme totalitaire, devenue néo-monarchiste, unilatéraliste, arbitraire et dictatorial. Donc comme dit plus haut, pour obtenir des élections démocratiques, consensuelles, pluraliste, ou tout le monde peut être libre de partir dans les compétitions électorales avec les mêmes chances et sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état, sous l’administration d’un organisme électorale Autonome, Apolitique, indépendant, neutre, impartial et sous la supervision judiciaire d’une institution judiciaire devenue son démembrement, totalement indépendante non-inféodée aux partis politiques, aux mouvements politiques, aux politiques et au pouvoir exécutif. Surtout, ou on pourrait faire la politique et aller dormir tranquillement chez soi en toute quiétude. Il nous faut absolument déconnecter le système électoral ivoirien, mafieux-ment articulé à un  train d’enfer et de damnation qui fonce tout droit à chaque élection dans un précipice abyssal mortifère, pour nous laisser comptabilisé nos Morts de citoyens qui ne demandaient qu’à vivre en paix dans une société stable.

Le peuple ivoirien est martyrisé par un pouvoir ou trône une tête fulminatoire et outrancier avec une Gestapo à sa disposition et à sa solde qui se plait à parader avec une escortes ubuesques de potentats, et qui entretien sciemment les crises sociales par intérêt. Ainsi, il refuse de tourner une page plus que sombre de l’histoire de notre pays, une page colorée a la couleur du sang Humain. Tourner une page honteuse par la seule voie possible, celle consensuelle, issue d’un dialogue républicain, qui se doit d’être peuplés des discussions franches sans tabou, pour pansé les plaies politiques béantes, les plaies sociales puantes, les plaies de guerres ouvertes non-soignées, donc, non- cicatrisées. Au terme d’un dialogue avec des désaccords politiques maîtrisés par le respect de l’intérêt général, des compromis sociopolitiques réalistes d’intérêts nationaux et la coopération de tous entre tous. Et ensuite aller au pardon devant le peuple souverain unifié, devenu ultime détenteur du pouvoir d’état, avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité. Parce que LE MENSONGE EST LA PIRE DES RUINES POUR L’HUMANITÉ. Et de Couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire qui doit être votée à plus 80% de Oui au moins. Parce qu’un parti ou mouvement politique avec moins 2.500.000 suiveurs, ne peut aucunement se revendiquer majoritaire dans une population de 20.000.000 d’habitants. Non !

*- exigeons un corpus d’organisme électoral Autonome, Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance.

Donc, ici nous lançons un appel à tous les citoyens libres, qui espèrent de demain et qui croient encore en demain, que tous ensemble, notre devoir est de faire exister le Demain d’une côte d’ivoire restaurer. Et pour se faire, avant tout, il faut croire qu’il est effectivement possible de démocratiser les relations humaines. Ensuite, il faut croire qu’une autre côte d’ivoire totalement restaurée est possible. Cette côte d’ivoire totalement restaurée n’est pas une idéologie, mais une constatation qui tient de l’évidence que, c’est à partir des personnes « citoyens libres » que se construit l’avenir d’une nation, que c’est à partir de la solidarité des personnes « citoyens libres » que se bâtit la réalité du quotidien d’une nation, que c’est à partir de l’ensemble de la totalité sociale souveraine que s’exerce de fait une prise de pouvoir par l’espérance d’une nation à travers des actions concrètes, que c’est à partir de la progressive unification des différents combats nationaux pour la Vie, pour les citoyens libres, pour l’homme, pour les droits et les libertés, qu’une nation souveraine relève les défis et les luttes citoyennes se gagnent. Donc, que c’est à partir d’un acte d’insurrection de la pensée, et d’une révolte de la volonté générale d’aller à la stabilité politique et à la paix sociale, d’un acte de résistance pour la libération de l’avenir de la nation une et indivisible, d’un combat à Mort pour le destin de chacun, que les grandes nations sont démocratique ou le vainqueur est reconnu et admis vainqueur et le vaincu s’admet vaincu au terme des élections fêtes «olympiade ». Le pouvoir d’état doit s’acquérir uniquement dans les urnes des élections libres, et aux suffrages universels directs

Donc, ici nous lançons un appel à tous les citoyens libres qui espèrent de Demain, qui croient encore en Demain, « ce que nous nommons a la LC_CRS, les Deux-Mains-istes », au moment où tout est fait par une politique d’absolutisme totalitaire monarchiste, «sûr de son fait, de son emprise sur la totalité sociale», pour revendiquer que l’avenir de la nation ivoirienne, est déjà décidé par elle et les puissances économiques et financières. Sans nous en convaincre, au mépris de notre volonté et sans notre consentement, sans notre droit de regard, «réduit à des citoyens vaches qui ne demandent qu’à manger». Nous devons répondre tous ensemble en exigeant un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs d’accord, qu’une autre côte d’ivoire totalement restaurée est possible. A DÉFAUT IL FAUT TOUT BOYCOTTER A COMMENCER PAR LES ÉLECTIONS LOCALES «MUNICIPALES ET RÉGIONALES» ET PARTANT LES SÉNATORIALES QUI S’Y RATTACHE, PARCE QUE MAFIEUSE-MENT RETIRER DE LA GOUVERNANCE DU SUFFRAGE UNIVERSEL DIRECT, POUR ÉCHOIR A LA LOGIQUE NÉBULEUSE DE PARTAGE DE GÂTEAUX, QUESTION DE CONTENTER TOUS LES MEMBRES BOUFFE-TOUT ET ATRRAPE-TOUT ASSIS A LA TABLE DES CONVIVES NOCTURNES. DONC, BOYCOTT-DE-REFUS DE LÉGITIMER UNE MASCARADE ÉLECTORALE DÉLINQUANTE A CIEL OUVERT. Toujours cadavres électoraux sempiternels et cycliques depuis 2000. L’actuel système d’organisation électorale ivoirienne est un véritable danger pour les droits inaliénables et les libertés fondamentales « individuelles et publiques », pour l’ordre social et la stabilité politique, pour la sécurité et la sureté des vies des citoyens libres. Les Armes ne doivent pas être la mesure de valeur sociale, le bien matériel l’argent ne doit pas régir la vie politique.

Oui c’est un devoir de citoyens libres qui doit pouvoir s’inscrire résolument dans une logique de régulation sociopolitique et  dans une démarche d’éveil de la conscience politique de la totalité sociale, qui commence par le boycott de toutes élections a venir. Un citoyen libre digne de ce Nom, doit tout simplement pouvoir dire non à la politique de l'autruche et savoir lire entre les lignes. Un citoyen libre doit s’efforcer de connaître avec certitude la réalité des choses publiques et se montrer juste dans l'appréciation des justes réalités des choses de vie de la totalité sociale. En se comportant avec exactitude dans l’action de régulation sociopolitique au mépris des intérêts particuliers et de ses intérêts, et en agissant à la suite des éclaireurs d’opinions de la totalité sociale souveraine, à la limite de l’humainement admissible. L’œuvre de régulation sociale, c'est l'art de rendre possible ce qui est une nécessité absolue pour la stabilité politique et pour la paix sociale. « Bon ! Le sage Indigné face à tant de vulgate mercantiliste ploutocratique, a dit un jour que, quand  les éléphanteaux se couchent longtemps parmi les chameaux du désert avec leur culture de  génuflexion, les éléphanteaux finissent par sentir le chameaux et finissent à être tenter par la culture de génuflexion et de courbette qui s’en suit ». Citoyens libres, que faire d’autre, puisque nous sommes condamnés à KOUMA, nous avons KOUMA malgré nous. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy, Leader de la Légitimité Citoyenne.

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17 mars 2023 5 17 /03 /mars /2023 12:02
Lepetitfils : Il faut, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs d’accord. Pour ne pas retomber dans les mêmes travers systémiques des élections de façades sous l’influence d’un politicien ou d’un parti politique. A défaut le R?DP panier à scorpions, à serpents, attrape-tout, bouffe-tout, peuplé de piranhas, de manges-mils saisonniers, aura toujours sa majorité d’élus à toutes les élections à venir, au mépris de la majorité circonstancielle des contraints et trimbalés à ces élections

Lepetitfils : Il faut, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs d’accord. Pour ne pas retomber dans les mêmes travers systémiques des élections de façades sous l’influence d’un politicien ou d’un parti politique. A défaut le R?DP panier à scorpions, à serpents, attrape-tout, bouffe-tout, peuplé de piranhas, de manges-mils saisonniers, aura toujours sa majorité d’élus à toutes les élections à venir, au mépris de la majorité circonstancielle des contraints et trimbalés à ces élections

A LIRE INTEGRALEMENT ET CHOISIR SA VOIE DE SORTIE DE L’ABIME SOCIALE.

Pour notre sacerdoce citoyen, disons que : La vie socio-politico-démocratique et électorale se nourrit de débats d’idées et d’analyse systémique. Et débattre d’un système politico-gouvernemental, et analyser une situation, ou une pratique, c’est se pencher sur ces faits, dans une perspective d’évaluation, puis participer à son amélioration, en persuadant le souverain absolu qu’est le peuple, en convainquant la totalité sociale, en entraînant le corps social dans son entièreté solidaire à l’intelligence de la situation qui s’impose et d’y remédier. Donc, analyser une situation signifie de séparer un tout en ses éléments, cela ne va pas sans vérité CRUE et NUE. Donc, une analyse est  toujours normative, elle nécessite donc une explicitation large, étayée et détaillée, fondée sur un modèle référentiel, afin de son transfert éventuel dans l’organisation sociopolitique par le biais de normes consensuelles élaborées dans une situation épurée, par des acteurs politiques et des citoyens participants sans responsabilités publiques effectives. Ici le succincte n’explique pas assez, la litote convainc peu. Ici, la vérité est loge dans le large, dans l’étayé et dans le détaillé. La compréhension est dans le dit. Le discernement est au bout de la persistance.

*- KOUMA : Les grands principes sont le fondement de la République où la raison dispose de l’action politique.

D’emblée donc, disons-le tout net, en côte d’ivoire, le cadre organisationnel des élections démocratiques et son processus électoral doivent tenir l’exigence rigoriste de la promesse républicaine de sécurité civique, de l’égalité de chance pour tous dans la conquête du pouvoir d’état, placé à équidistance sur la même ligne de départ pour le concours de la représentativités nationale, qu’est les élections ouvertes. Donc, de l’égalité de tous en droits, indépendamment des castes, indépendamment des appartenances politiques, indépendamment des origines individuelles, indépendamment des convictions philosophiques, indépendamment des croyances religieuses. Cela sans aucune politique condescendante exhibitionniste de domination partisane, sans  obstruction politicienne,  par cooptation-achat des autres sensibilités politique. Et d’ouvrir à l’égal accès les compétions électorales aux regards souverains de la totalité sociale souveraine, pour la conquête du pouvoir d’état, qui est par excellence un concours de représentativité du peuple souverain, ultimes détenteur du pouvoir étatique, mis ainsi en jeu, sous l’égide d’un arbitre électoral Apolitique et Autonome. Ceci permet d’obliger la dévolution du pouvoir d’état placé à équidistance de tous les partis, de tous les mouvements, de tous les citoyens candidats, sur la même ligne de départ, par des élections transparentes, ouvertes. Ayons le courage qui sied pour le dire, la politique ivoirienne est atteinte de la maladie de mensonge au sommet de la hiérarchie étatique, le système électoral ivoirien souffre dans sa conception organisationnelle de la mythomanie schizophrénique en pleine tête. La société que ces atteint de maladie de mensonge et de mythomanie schizophrénique incurable appellent de leurs vœux est celle qui permet de diviser pour régner et de désintégrer les destins collectifs pour mieux exacerber les particularités qui les ont enrichit. Donc une concrétion égocentrique de moi, plutôt qu’une convergence de nous, l’ouverture conditionnelle par des murs diviseurs à l’autre, en lieu et place du respect strict des différences politiques.

Bon ! Le Progrès n’est pas fanfaronnade et flagornerie, ni bitumier, ni goudronnièr, mais doit commencer par l’homme comme centralité et pour centralité économique le bien être humain,  pour centralité sociale le citoyen libre devenue le cœur de l’action politique développementale. Oui, le socle existentiel d’un pouvoir absolutiste totalitaire est de faire un pacte avec la misère du peuple. Donc, il est question d’oser la vérité CRUE et NUE. « Le président américain Abraham Lincoln ! Disait que : On peut mentir à quelqu’un tout le temps, on peut mentir à tout le monde un certain temps mais on ne peut mentir à tout le monde tout le temps ». Oui, Dans une société de toutes sortes de misère, Dieu l’argent s’impose toujours comme mesure de valeur sociopolitique. Et il est très difficile de contrarier cette réalité, face à la misère sociale, face à la misère matérielle et la misère morale avec la dépravation de mœurs qui s’en suit et à la misère intellectuelle articulée au ventre. Donc, il est question de soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas, ici, sur la terre de nos Ancêtres, ou le ventre  finira par vaincre l’intellect Humain. Oui, pour ce qui savent lire les sociétés pour découvrir leurs demains et pour ce qui prennent la peine désintéressée de regarder les sociétés à l’aune des réalité d’Hier et au prisme des faits sociaux, la côte d’ivoire offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Une société ou en lieu et place de « pas une seule goutte de sang humain versée sur le sol ivoirien »,  chaque élections qui devrait être une fête est couronnée par les funérailles, des morts suites aux « jeux » démocratiques et électoraux vidé de son sens

*- Le respect du libre arbitre de chacun et le consentement fondé sur l’acceptation des valeurs d’intérêt général.

Donc, il nous faut faire à tout prix bouger la ligne socio-politico-électoral de la côte d’ivoire, au prix que cela mérite, d’où aucun sacrifice n’est trop grand. Oui, il nous faut absolument unir la nation ivoirienne contre ceux qui veulent la diviser pour mieux la déchirer à fin de régner. Donc, ou bien, nous serions capables de régulation sociale sans état d’âme et tous ensembles, ou bien nous demeurons tous dans la misère et dans la barbarie sociopolitique nourrit à l’obscurantisme, avec la force et Dieu l’argent comme mesure de valeur sociopolitique. Bon ! Ne n’oublions pas, les sociétés humaines progressent non pas de façon linéaire, mais par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre. Ceci est valable pour la société ivoirienne. La côte d’ivoire de Félix Houphouët  Boigny, n’est plus maitresse d’elle-même et de son destin dans le concert des nations civilisées. Elle n’est plus qu’une immense déchirure sociale, un vaste champ de ruine sociétale, dont les décombres son laisser à la merci des vautours professionnels, des pilleurs endurcis, des escrocs ataviques. Elle est désormais devenue dispensatrice de désespoir, de misère et de désolation, sous la coupe de sinistres personnages sans foi, ni loi, tout pour Dieu l’argent, tout pour manger, tout pour être à la table des convives nocturnes, ils disent et se dédisent.

Donc, pour la politique ivoirienne, pour le politique ivoirien, et pour le peuple ivoirien articulé aux citoyens libres ivoiriens, l’heure n’est pas aux pleurnichements, assis sur des luttes intestines et des déchirures partisanes, sur des combats de leadership ou aucun leader n’a sortira vainqueur, ni aujourd’hui, ni demain, encore moins en 2025-2030, objet de tous les calculs politiques légitimes et de toutes les stratégies politiques actuelles, Non ! La côte d’ivoire a besoin de régulation systémiques sociopolitique, judiciaires, démocratique-électorale d’abord, il faut un système de régulation fiable. Alors, il faut dire que ça suffit ! Que le peuple souverain de côte d’ivoire doit rester maitre de son destin. Parce que, le monde n’est plus en un temps où les peuples, illettrés, privés de savoir et soumis aux rudes épreuves de l’obscurantisme d’un absolutisme totalitaire, reconnaissaient volontiers leurs insuffisances intellectuelles, leurs incompétences organisationnelles et acceptaient d’être dirigé par une dictature ou par les puissants de ce monde. En ce 21e siècle c’est tout le contraire, là où la société d’antan se fondait sur l’obéissance moutonnière et le panurgisme de vache qui ne demande qu’à manger, celle d’aujourd’hui privilégie la persuasion discursive, l’obéissance volontaire, le dialogue pour convaincre les réticences, la concertation pour harmoniser les points de vues, le consensus pour arriver à la vie commune paisible, l’autonomie individuelle pour le respect du libre arbitre de chacun et le consentement fondé sur l’acceptation des valeurs d’intérêt général.

*- D’où les gouvernants sont obligés de persuader, de convaincre et d’écouter les gouvernés consentants.

D’où aujourd’hui, les gouvernants sont obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Mais hélas, de par la force de Dieu l’argent et souvent des armes impies de carriéristes et arrivistes renégats, le peuple ivoirien assujettis à ces forces aveugles est engrené dans un panurgisme suiviste d’élection moutonnier, dégrevé de toute essence démocratico-électorale et  pluraliste, pour que règne l’anti-Houphouëtisme sous couverture de l’Houphouëtisme réduit à la Bâtardise. Oui, nous en convenons, qu’en politique, la légitimité appartient à la majorité absolue des citoyens, mais nous observons que cela se jauge à l’aune du suffrage universel au terme des élections propres sans abstention de plus de 80% de l’électorat total. Ce qui impose donc, qu’un pouvoir est tenu,  à chaque occasion de crises, de faire la preuve de la légitimité populaire de sa politique devant le peuple souverain. C’est un postulat absolu, de démocratie électorale des pouvoir démocratiques, doté d’une intelligence politique, stratégique et habité par un minimum de sagesse politique. Bon ! Disons que, la différence entre un homme politique intelligent et un homme politique sage est que le premier arrive toujours à sortir de l’ornière ou le second a toujours su ne pas tomber. Mais Hélas ! La politique du ventre banni toute sagesse, toute intelligence, toute dignité, toute fierté, tout orgueil positif, pour honteusement se muer en motifs de snobisme. Ainsi la bêtise se retrouvent glorifiées, et le glas de l’intelligence humaine sonné, parce que le ventre gouverne l’intellect.

Bon ! Il serait malheureux aujourd’hui, si l’on considère  que, les élections de 2010, de 2015, de 2020 et suivantes, ont été des réussites, électorale en côte d’ivoire, alors celles avenir de 2025-2030 seraient une réussite avec les mêmes conséquences. En l’état actuel des choses, le système électoral ivoirien, n’offre aucune garantie qui puisse présager d’une réussite de celles de 2025-2030 et les suivantes, dans le sens démocratique des nations civilisée. Hélas ! Dans notre pays la côte d’ivoire, une mutation socio-politico-économique, d’irruption imprévue, « Qui laisse le citoyen, l’homme, l’être humain, avec mépris au bord de la route du progrès sociopolitique », non-conforme au calendrier d’agencement sociétale des pères fondateurs, orchestrée par une ploutocratie politique carriériste aveugle, et d’une politique économique dirigiste, tend à fragiliser le lien social. Donc, en lieu et place de la consolidation sociétale par la justice sociale « le bon partage des richesses de l’organisation sociale avec la chance égale pour tous» et par la justice juridique pour chacun, « l’élaboration consensuelle des normes de régulations sociopolitiques acceptées par tous » cette misérable mutation sociale d’irruption imprévue, engendre la création/formation, des compartiments d’intérêts personnels et des murs diviseurs. Une tendance qui affaiblit la cohésion socio-politico-communautaire  de la nation, de l’état de droit réel et de la démocratique. Donc, pour la  nation ivoirienne, il s’agit dans le consensus solidaire, de récupérer toutes nos valeurs sociétales, dans un tous ensemble solidaire, de tout revendiquer solidairement, légalement, «républicanisme, souverainisme, patriotisme, nationalisme censé, libéralisme véritablement humain», «Ces idéaux sont efficaces, quand elles agissent synergique-ment», pour mieux tout dépasser, et refonder une côte d’ivoire nouvelle sur le socle de tout ce que les grandes expériences de nos référents et devanciers, nous ont légué comme valeurs et mœurs sociétales.

Donc, tous  imbriqué au tour de l'intérêt général d'abord et rassembler au-delà de ses appartenances idéologico-politiques. Ensuite, Innover nous-même avec nos propres capacités, pour faire notre propre Histoire, avec nos propres actions socio-politico-économiques, soutenues par nos propres mots, avec nos propres expériences, sur la base de nos propres réalités sociologique, tant politique, sociale, qu’économique. Cela pour avoir une société, stable, solidaire, cohérente, juste, paisible, dans l’exaltation de la diversité solidaire. Une société qui se nourrirait de la sève de la solidarité soutenue et de la citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement. Le tout convergent dans une nation ouverte sur le monde naviguant a vue, sans nuance, ni opacité, vers le concert des nations. Donc, il s’agit aujourd’hui invariablement de replacer au centre de la société avons-nous toujours dit et répété, non pas l’état prédateur, la bureaucratie mafieuse, le fascisme de la répression arbitraire, Dieu l’argent et les armes, la terreur des plus puissants comme mesure de valeur sociale, Mais de replacer l’homme et le citoyen au centre du débat politique, économique, social et développemental pour une nation une et indivisible.

*- Oui, l’espoir de paix siège dans la mise en œuvre d’une relation nouvelle entre les institutions et les citoyens.

Bon ! Certains échos nous font savoir que, d’autres n’ont pas encore compris que nous sommes la LC_CRS, Qui n’est jamais du monde des courtisanerie, qui est toujours malhonnête tournant autour d’une seule visée, qui ne sert pas deux « 2 » personnes, mais une seule personne, le courtisan et son but particulier a atteinte. La LC_CRS qui n’est jamais du monde des avides qui souscrit qu’a la recherche des intérêts glauques, égoïstes au mépris de l’intérêt général. La LC_CRS qui n’est jamais du monde boulimique à la recherche de la malbouffe des bouffe-tout. Ce qui fait que pour nous LC_CRS, « pauvre-type » est notre maillot préféré pour expédier les meilleurs coup-francs dans l’angle des buts de l’absolutisme totalitaire. Oui, «Minable-débile» est notre dossard, qui nous permet d’obtenir les meilleurs penalties dans la surface de réparations absolutiste totalitaire et d’en expédier dans le petit-filet intérieur, «Epiphénomène » est notre préféré schéma tactique infernal, déferlant, irrésistible de jeu politico-électoral qu’est : Citoyennes + Citoyens = 1-Citoyen, pour réduire le misérabilisme politico-électoral de l’absolutisme totalitaire au son état réel de moins de 20% de taux de participation électoral au cours des élections quelles qu’elles soient. Le vrai citoyen libre n’est bon que, sauf quand il est traité « d’Epiphénomène-minable-débile ». « D’autres amis de l’absolutisme totalitaire, faisant fi d’ignorer ceci, ont osé ajouter à ça le mot Racaille et Puff, plus de 2000 voitures de l’état, domaine public, ont servi de feu-d’artifice a la fête-Racailles, en pleine nuit, dans l’ordre du public». C’est pourquoi, il convient encore de se répéter encore ici, nous ne sommes pas les saints des saints ou des papes à Rome. Mais la personne physique de l’homme politique ou du gouvernant ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel. Seule sa politique, ses idées, ses actions qui décident de notre vie, de la vie de tous et de la vie de chacun, nous intéressent et nous préoccupent. Parce qu’il ne suffit pas d’éluder habilement les problèmes par crainte des crises sociopolitiques ou de faire fi d’ignorer les causes de la crise sociale, en se leurrant dans une politique de l’Autriche. Mais plutôt, il convient d’agir constamment sur les causes premières des crises pour pouvoir obvier la crise sociale. Et d’œuvrer dans la recherche inlassable par fois ingrate de la stabilité politique, de la paix sociale et l’harmonie intercommunautaire.

Oui, nous sommes la légitimité citoyenne, un mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicaine sociale, Houphouëtiste enragée d’un éclectisme assumé. Oui, le banditisme politique et la voyoucratie politicarde n’ont jamais été des nôtres. Eux, qui face aux confrontations contradictoires des arguments pour que la vérité germe des débats, préfèrent l’utilisation des poignards plantés dans le dos, de la démocratie et de l’état républicain de droit, dans l’anonymat des bas-fonds de cooptations de marionnettes chansonnières. D’où philosophie, idéologique, doctrine politique sont mis en congé. Donc, plutôt que de persuader par une rhétorique lisible et audible et de convaincre l’autre différence, ils préfèrent se saigner et s’achever dans la fureur des hallalis orchestré de façon mafieuse. Non ! Jamais de la vie. Mouk ! Nous a la légitimité citoyenne (LC_CRS) préférons le conventuelle Balisé pour tous. Bon ! Erich FROMM humaniste américain d’origine Allemande a dit : « Notre capacité de douter, de critiquer et de désobéir est sans doute le seul moyen d’éviter la fin de la civilisation et d’assumer l’avenir de l’humanité». Et à Thomas Jefferson de pilonné a la face du monde que : « Un peuple qui est prêt à renoncer à sa liberté pour se sentir en sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre ». Donc, « pauvre-type » et « minable débile » est notre maillot et notre dossard de compétition, donc, notre fierté. Oui, tout peuple martyrisé qui a le courage de ses actions légitimes et légales et de ses opinions libres et pacifistes, à le pouvoir de conquérir ses droits, ses libertés et de changer sa société. Nous voilà ! Chers Fichus déboussolés absolutistes totalitaires, Abroutit Nais démocratique et Pygmées Tricheurs électorales aux ombres hautement grandit.

*-Un organisme électoral du standard international coutumier, pour le bon fonctionnement juridico-politique, etc

Bon ! Le sage a dit que : « Quand l’ombre du pygmée grandit c’est que le soleil va se coucher ». Bon ! Vous nous entendez au moins pour une réponse systémique à l’organisation sociopolitique ?  Ou bien vous êtes en train de fulminer des crimes de sales gueules contre toutes les différences ? Sinon rafistoler quoi ? Bon ! quelqu’un a dit que « de toute façon les merdes volent en escadrille ». « Mais il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir et pire sourd que celui qui ne veut pas entendre », confiner dans votre nombrilisme et misérabilisme politique, nous, on vous KOUMA. Afin de, Dé-géré, Décalé, Débouclé ce qu’on n’a déjà « gérécalé et bouclé » pour vous laisser et s’en aller. Notre problème ? Le voici, c’est plus fort que nous : Comment concilier une politique de paix «  pas une seule goutte de sang humain versée sur le sol ivoirien » et de d’acceptations des différences quelles qu’elles soient, avec une politique électorale criminelle, qui a chaque élection zigouille des citoyens sur l’autel de l’acquisition et de la conservation. Comment réconcilier une idéologie politique pacifiste de solidarité agissante, de dialogue comme solution aux problèmes sociopolitiques, de consensus, d’harmonie, avec une idéologie politique ploutocratique, prédatrice, ultralibérale de jungle, d’enfermement sectaire et de mépris pour les autres différences politiques ? Comment concilier une doctrine politique de non-violence, « d’où la paix n’est pas un vain mot mais un comportement au quotidien », avec une doctrine politique de violence inouïe érigée en système de gouvernement et la violence postélectorale ou les armes fusils restent la mesure de valeur sociale unique ? Comment concilier une politique d’harmonie sociale et de concorde civile, avec une politique carriériste de division pour régner qui alimente des affrontements intercommunautaires dans toute l’assiette territoriale nationale ? Et comment concilier la démocratie pluraliste comme instrument unique de conquête du pouvoir d’état, avec l’intransigeance a consigné l’organisation électorale entre les mains d’un organisme électoral non-Autonome, et Politique, donc, partisan et peuplé des arbitres-joueurs. Non ! C’est impossible. Donc, nous a la LC_CRS on n’a un problème sérieux d’intérêt public, qui exige solution dans l’ordre du public et pour l’ordre social. Nous vomissons les armes dans l’arène politique, nous abhorrons la violence en politique, nous détestons la politique violente, nous sommes allergique aux germes de violences en politiques. Nous sommes la LC_CRS, dont l’objectif n’a jamais été pécuniaire. C’est pourquoi, attachée aux droits et libertés des citoyens, et surtout à la légitimité populaire qu’enfante la citoyenneté, nous revendiquons ainsi souvent ponctuellement notre droit d’aller en enfer pour nos opinions et de déplaire ainsi à certains hommes politiques absolutistes et totalitaires.

.Donc comme nous l’avons déjà dit et répéter, que pour nous a la LC_CRS, à ce stade de l’inconséquence dans l’entretien sciemment de la crise ivoirienne, la question centrale est la suivante : Comment aider la côte d’ivoire à reconstruire les droits et les libertés pour tous et qui s’impose à tous. Comment aider la côte d’ivoire à reprendre les rails stables de l’ordre social, de l’état républicain de droit et de la démocratie réelle. Pour que  le Train ivoire aujourd’hui vacillant, oscillant, versatile, sur ses bases souveraines ne  finit pas, ses zigzag, ses micmacs, ses Ping-pongs de politique politicienne dans un précipice abyssal. Donc, comment soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas ? Donc, d’intégrer les citoyens libres dans la délibération. Oui, La légitimité est trop souvent réduite à sa définition électorale : est légitime celui ou celle qui est proclamé vainqueur des élections, encore que cela soit sans fraude. Donc, cette conception de la légitimité est très insuffisante pour rendre compte des titres à parler, à représenter, à gérer, à réguler, à autoriser ou à interdire, qui fondent la vie démocratique d’un état de droit, ou le système électoral certifie le résultat électoral. En face de la légitimité des vainqueurs proclamés par un système non-fiable, et non-crédible existent de multiples formes de légitimité circonstancielles qui donnent à la vie politique ce pluralisme d'autorités sans lequel la démocratie n’aurait que peu d’épaisseur». Oui, il est tout à fait possible qu’une démocratie se suicide, comme ce fut le cas en Allemagne avec l’arrivée d’Hitler au pouvoir en 1933. Donc,  il est impossible d’assimiler le seul vote a un système démocratique, comme les élections dans des pays absolutistes et totalitaires, ou tout est trucages et obstructions. Il est erroné de croire que la démocratie repose sur la rationalité d’un vote dans n’importe quelle condition. Il est  faux d’imaginer que la démocratie, telle que nous la connaissons dans les pays démocratiques occidentaux, dont la France, est définitivement installée chez nous. Il serait enfin fallacieux de penser que l’injure obscurantiste, qu’est la désinformation électorale, utilisée par l’absolutisme totalitaire cesseront d’elles-mêmes dans l’avenir. Bien qu’un espoir existe pour sortir de l’ornière ou nous sommes englués aujourd’hui. Cet espoir siège dans la mise en œuvre d’une relation nouvelle entre les institutions républicaines procurées et les citoyens libres procurateurs.

*- Obvier définitivement les crises sociopolitiques sempiternelles et cycliques dans notre pays la côte d’ivoire.

Donc, puisqu’il est de notoriété universelle, que dans un état républicain de droit et en démocratie réelle, nul pouvoir ne doit pouvoir s’imposer au peuple, et nul pouvoir ne doit paisiblement et durablement gouverner un peuple, s’il n’est pas soutenu par l’autorité qui résulte de la croyance du peuple gouverné en sa légitimité populaire. Et il est constant que dans un état républicain de droit, qu’ il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique que de faire partager à l'ensemble des citoyens la conviction que leur volonté s'exprime à travers la représentation nationale élue. C’est pourquoi aussi, il est universellement admis comme règle que le pouvoir démocratique légal et légitime s’entend comme issu des élections, sans tricherie planifiées, sans fraudes orchestrées, sans passage en force électoral schématisé et donc, qui exige que le processus électoral rassure tout le monde consentant. Et qu’une élection n’est crédible que si elle rencontre l’agrément de la totalité sociale qui consente consensuelle-ment à prendre les urnes de votes comme l’arbitre du corps social. Revoici donc, ci-dessous la condition systémique irréfragable pour satisfaire aux exigences de ces règles universelles suscitées. « Une commission électorale Autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral, sans aucune interférence de qui que ce soit, et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient». L’ordre social est à ce prix, la stabilité sociopolitique est à ce prix, l’Harmonie intercommunautaire est à ce prix, la paix sociopolitique est à ce prix. Pour que les ivoiriens réapprennent à rire à nouveau ensemble, apprécie ce qu’il y a de meilleur en chacun, au terme d’un vrai processus de réconciliation nationale, ou tout en disant la vérité crue et nue, nous demanderons humblement au peuple d’essayer de pardonner pour la paix, la stabilité et pour vivre en commun dans le respect des différences, au terme d’une l’Amnistie générale référendaire comme couronne

Les discours de propagandes pour diversion orchestré afin de couvrir le trucage électoral est un mode électoral de domination tenu pour archaïque en ce 21 siècle. Donc, nous disons, qu’à défaut de ce système électoral fiable, il faut boycotter les élections. Puisque dans un système électoral partial, érigé en organisme de trucage, La participation a une élection ne peut rien changé vers l’évolution d’une vie sociopolitique et démocratique paisible respectueuse des droits et des libertés. Le citoyen en votant dans ce système, ne pourra rien régulé. Le citoyen utilise dès lors son seul moyen d’exercer son dernier contre-pouvoir qu’est le boycott qui est un refus de légitimer une mascarade. Donc, on s’abstient, on boycotte, mais on fait confiance à la protestation légitime pour faire entendre sa voix citoyenne. «Ici il s’agit de 80% d’abstention électoral». Le boycott est un signe de manque de confiance dans le processus. Le citoyen boycotte pour délégitimer la structure du pouvoir, qui en ressortisse dans le mépris des droits. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny perd son identité sociale, perd sa spécificité dans le concert des nations. Il y a visiblement péril. Une société composite se règle dans le consensus a l’intérieure de la société commune et a l’intérieure de l’égalité de toutes sa composante sociale. Le cadre de l’organisation sociale doit reposer sur un ensemble  de principes coutumiers, de règles universelles que les individus élaborent consensuelle-ment, a fin de vivre paisiblement, harmonieusement et collectivement. Oui, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. De même, les partis et les candidats ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie.

*- L’Anticipation des perspectives d’avenir paisible, sereine dans le temps, pour obvier définitivement les crises

Oui, retenons-le, dans une société en crise électorale sempiternelle, la seule voie possible pour sortir de l’impasse c’est d’accepter et d’adhérer au principe de droit, de liberté, de démocratie. Il revient aux politiques d’encadrer cette aspiration populaire à vivre dans une société de droit, de liberté, de justice, et non de légitimé une société où la rivalité s’organise autour des enjeux d’usurpation du pouvoir par quelques. Ici donc, quand ces grands principes sont obstrués c’est le non droit et c’est l’arbitraire au service de quelques-uns. Et ce fait relève du choix du désordre et non de l’option exigeante pour la paix et la stabilité. Ces grands principes démocratiques sont le fondement de la République où la raison est le vecteur de l’action politique. Il nous faut donc, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs d’accord. Pour ne pas retomber dans les mêmes travers systémiques des élections de façades sous l’influence d’un politicien ou d’un parti politique quel qu’il soit. A défaut le R?DP panier à scorpions, à serpents, attrape-tout, bouffe-tout, peuplé de piranhas, de manges-mils saisonniers aura toujours sa majorité d’élus par les votants à toutes les élections à venir, au mépris de la majorité sociologique réelle « ou circonstancielle », des contraints et trimbalés à ces élections de façades. Cela en dépit de l’exigence des principes coutumiers et règles universelles des élections propres et transparentes. Oui, il faut du sérieux, du concret, du tenable dans le temps, pour arriver à la stabilité politique et à la paix sociale. Il faut surtout, une anticipation des perspectives d’avenir paisible et sereine dans le temps. Et ensuite d’obvier tous ensemble définitivement les crises sociopolitiques devenues sempiternelles et cycliques dans notre pays la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. Citoyens libres ici encore, malgré nous, nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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7 mars 2023 2 07 /03 /mars /2023 05:06
Lepetitfils : Dans une démocratie d’un état républicain de droit, un gouvernant de l’entité sociale « état » qui travail est avant tout un serviteur de l’intérêt général. Les privilèges et avantages qui lui sont accordés ne peuvent être justes et légitimes, que lorsqu’il y a une contrepartie en termes de services justes et équitables rendus à la nation, à la société commune dans son organisation collective, sans exclusive, sans aucune politique absolutiste de confiscation du pouvoir d’état, dans une société de stabilité et de paix réconciliée avec elle-même.

Lepetitfils : Dans une démocratie d’un état républicain de droit, un gouvernant de l’entité sociale « état » qui travail est avant tout un serviteur de l’intérêt général. Les privilèges et avantages qui lui sont accordés ne peuvent être justes et légitimes, que lorsqu’il y a une contrepartie en termes de services justes et équitables rendus à la nation, à la société commune dans son organisation collective, sans exclusive, sans aucune politique absolutiste de confiscation du pouvoir d’état, dans une société de stabilité et de paix réconciliée avec elle-même.

*- Chronique « Kouma » : Dans un Abîme sociale on crie fort «parler-écrire » et on tend l’oreille « écouter-lire ». 

*-Notons pour le décor, qu’en politique la défense d’un idéal sociétal, ne peut se faire que dans la grande constance, dans l’intransigeante flexible qui plie mais ne rompe jamais. Aussi sans infléchir, jusqu’à l’adhésion totale du peuple souverain à l’idéal et jusqu’à l’obtention de l’idéal sociétal défendue. Ici la grande référence universelle est Nelson Mandela, 30 Ans de prison, sans regarder derrière sa préoccupation était visible  à l’horizon

*- Une haineuse logique infernale de fossoyeurs de la démocratie pluraliste et d’anti-stabilité et d’anti-paix.

Depuis le coup d’état réussi de 1999 et celui manqué de 2002, transformé a la Rébellion armée, jusqu’en 2011, la politique ivoirienne ne cesse de pondre des politicards arrivistes renégats, renifleurs de Bouffe, qui voltigent de montagnes à montagnes, d’espace claniques à n’espaces claniques a la recherche de bouffe, la Bouffe, rien que la Bouffe, tout pour la Bouffe, même la malbouffe y passe Gloutonnement. Elle ne cesse «la politique ivoirienne» de produire des mange-mils saisonniers, nihilistes et iconoclastes dans l’âme, a la recherche de champs abondants propices et capables de résoudre leurs soucis de ventres. Ce Mal sociétal est né en même temps que la LC_CRS alors dénommée «GRJH : groupe de réflexion de jeunes Houphouët-istes» en 1994. Ce Mal a appris à marcher entre 1994 et le 24 décembre 1999, avant de prendre du poids entre 2000 et 2011, et de s’affirmer comme une véritable force du Mal en politique par la suite, jusqu’à ce jour. Donc redisons qu’en politique le but impératif de la création de tous partis politique et de mouvements politiques, est d’accéder au pouvoir suprême d’état et de l’exercer conformément aux droits et libertés démocratiques. En politique donc, les règles et doctrines imposent le respect de ce but initial et le respect scrupuleux du CHEF gyroscope, sans lesquels, il n’a pas de pouvoir d’état à conquérir, parce qu’impossible dans un capharnaüm kafkaïen. C’est pourquoi en dehors des politicards arrivistes renégats renifleurs de Bouffes et les mange-mils saisonniers nihilistes et iconoclastes dans l’âme, qui volent aux gré des odeurs de Bouffes « même la malbouffe », les Ambitieux légitimes qui croient fermement en leurs étoiles articulées a des convictions fortes restent imperturbables dans leurs moments de disgrâce, de turbulences, et de vaches maigres, la lourdeur de leurs croyance philosophiques les permet de résister aux tempêtes des besoins de ventres, par l’expression forte des convictions, l’intransigeance des idées, quand la conjoncture est misérable.

 Donc, disons-nous que l’appartenance idéologique, philosophique, doctrinale et politique peut être comparée à l’esprit d’équipes nationales, dans le sport, un peu comme le foot, le hoquet, ou base-ball, ou servir est le prix a payé pour avoir été formé dans un chenil. C’est pourquoi nous souhaitons que l’aube revienne dans le champ de vision des déserteurs de la vraie philosophie atavique Houphouët-ienne. Et que l’aube, les indique la voie de l’intelligence politique, cela a défaut de l’indispensable politique de la sagesse Houphouët-ienne. Qui mène à l’anéantissement de la «guerre» fratricide rémunéré, programmée, orchestrée savamment par la Bâtardise, hybride, et débridé qu’est l’anti-Houphouët-iseme sous couverture de l’ Houphouët-isme. Qui ne les achète que, pour une lutte fratricide d’autodestruction et d’auto-extermination. Pour que cette rencontre rêvé à l’aube soit un outil d’intelligence citoyenne collective pour transformer l’expérience concrète de chacun en une stratégie d’ensemble, et de faire en sorte tous ensemble que cette stratégie d’ensemble, reste permanente, enracinée, irriguée, vitalisée, inspirée par la réalité concrète de la vie citoyenne au quotidien. Ainsi pour pouvoir obvier la culture politique qui veut que la politique transcende les combats politiques loyaux et les débats politiques discursifs ouverts, pour s’inscrire dans une logique obscurantiste de guerre civile opposant 2 armées rivales qui ne pensent qu’à s’exterminer mutuellement, au terme d’un combat glauque sur un tapis visqueux ou les coups de poignards dans les dos sonnent les victoires. Hélas ! D’où également la propension quasi mécanique d’une meute de bouffes-tout arides et soudards, qui ne songent qu’à japper au mollets des citoyens libres, et à assimiler toute opinion dissidente à belligérance de guerre, en conséquence à la harcelé, la persécuté, la criminalisé, la Fasciser.

Une meute broyeuse de droit et liberté qui veut que sa valorisation passe par la négation d’autres appartenances

Bon ! Ces politicards achetés qui enfourchent volontiers les grands chevaux mercantilistes et ploutocratiques, armés jusqu’au ventre, sont des suicidaires et leurs panurgisme moutonnier dénote, non seulement le ridicule et l’insensé, mais aussi de la bassesse des ambitions mercantiliste et pécuniaire, au mépris de l’intérêt général de la totalité sociale souveraine. Oui, quand est-ce que les nuages  et brouillards ventrocratiques qui empêchent ses fichus bouffe-tout, de voir, vont-ils se dissiper pour laisser la place aux réels sociétaux et les montrer le chemin de leurs chenil d’origine ? Quand est-ce que, le soleil de la sage réalité tangible du moment va-t-il se lever dans leurs rayons de visions, pour qu’ils sachent que nous ne vivrons qu’une accalmie qui  précède l’orage, d’une élection chaotique, parce que bâclée ?  Quand est-ce que la lumière salvatrice du gyroscope indicateur de l’intérêt général de la totalité sociale souveraine, va-t-elle les éclairer sur le droit chemin et les emmener à terminer avec la politique honteuse du ventre rémunéré dans les caisses publiques de l’état, dans les poches des contribuables ivoirien ? Savent-ils ces ventrocrates que le peuple aux aguets, les observent, enfermer qu’ils sont dans leurs politiques nombrilistes de faiseur de couillonnade ? Soutenus par une démocratie de façades et un processus électoral des nais politiques, qui exige toujours des têtes plus hautes décapité a terre comme Ballon de Foot ?

D’où ces questions pertinentes : Quand est-ce que, ces éléphanteaux qui envi désormais les comportements des Boucs du désert, vont-ils refuser de suivre la marche aventurières mortifère, vers le précipice abyssal, devant lequel leurs acheteurs affairistes mafieux, ont conduit notre totalité sociale souveraine, mal piloté ? D’où il n’y a plus de route ? Que la seule route empruntée ne peut mener qu’au chaos de l’acculturation, de la dénaturation, et de la désocialisation ? Ne trouvent-t-ils pas, ces fichus labradors lamentablement égarés, que leurs acheteurs au service d’une couillonnade de  Rassemblement-cooptation mercantiliste des bouffes-tous, nous annonce une société qui ressemble à une assemblée inconsciente d’individus, sans repère moral, sans doctrine, sans idéologie et sans racine sociale réduit à suivre la direction du vent et incapable de réactions citoyennes, de protestations légitimes ? Parce que confinés dans un train d’enfer et de damnation au couleur ivoire piloté par des fanfarons, des truands, des malhonnêtes, des voleurs, des sans foi ni loi ; tirant à huer et à dia pour leurs propres ventres et pour leurs propres intérêts égocentriques. Une peuplade politique broyeuse de droit, de liberté, qui veut que, la valorisation de l’absolutiste, totalitaire passe par la négation d’autres appartenances socio-politico-électorales ?

La légitimité citoyenne, (LC_CRS) vous plaint, messieurs et mesdames les achetés et les acheteurs..

Donc, qui veulent construire, une société et arène politique peuplé et piloté par une cohortes lamentables de politicards Alpinistes, soumis de façon seigneuriale à l’absolutisme totalitaire dans l’âme, qui ne désespèrent pas d’accaparer le destin de la nation ivoirienne pour le plier à leur seule exigence égocentrique et clanique. Faire tout pour garnir la table des convives nocturnes de deniers publics reste le premier souci. Ils appartiennent, ces acheteurs-là, à une certaine race d’hommes politiques mafieux, assoiffés de pouvoir, Adorateur de Dieu l’argent et fous de notoriété sociopolitique. Oui, des politicards carriéristes pathologiques et arrivistes renégats, qui ne reculent devant aucune catastrophe pour assouvir leur dessein. Et se faisant, ils n’accordent aucune importance à la démocratie, au nom de laquelle trop de sang innocent a été versé en côte d’ivoire depuis 1999. Surtout ils n’aiment pas admettre s’être tromper a la tête pays. Par ce qu’au sommet de la hiérarchie de l’état, le magistrat suprême, n’est pas entouré par des grands commis de l’état, mais bien par des cooptés achetés et courtisant plus soucieux de leurs carrières que du bien public. Soutenu par une foule d’acclamation très minoritaire moins de 10% de monarchistes dans l’âme environ, sans plus, dans la totalité sociale, qui n’aspire qu’à vivre en paix réelle.

Leur prétendue réhabilitation de la politique par la ploutocratie hermétique, c’est-à-dire être nantis ou riche pour mériter de la politique, a pour but ou visée unique, la division sur la base d’un nouveau socle de valeur social, qu’est devenu Dieu l’argent. Donc, diviser pour gommer et dégommer toutes les différences politiques, par le rachat-cooptation monnayable, y compris l’exode électoral vers d’autres circonscriptions électorales des brigades aveugles de soutiens rémunérées. Ce qui se situe au-dessus de fraude électorale pour s’avéré être un manifeste trucage électoral, «une véritable chambre à Gaz d’extermination des droits civiques du citoyen ». Ce qui ne fait que confirmer la Fin de la politique de l’évolution sociale, initiée et instaurer par Félix Houphouët Boigny, l’abdication de la politique face à toute vision libre des choses, Bref l’allégeance de la politique face aux besoins du ventre et face à la force matérielle de l’absolutisme totalitaire, donc, la soumission de la politique aux exigences mercantilistes, et l’évolution de la politique sur une voie désespérante avérée de régression sociale. Donc, il est clair que, nous devons nous méfier de la conversion de notre société humanisme solidaire, à la ploutocratie absolutiste et totalitaire, qui est de par la force de l’argent l’unificatrice des balisés, terrains électoraux pluralistes, et qui est toujours ressortissante du panurgisme moutonnier. La LC_CRS vous plaint messieurs et mesdames les achetés et les acheteurs. Elle plaint le façonnage de notre société en une république de façade, qui apporte à la bassesse de vos ambitions perverses d’acheteurs, de nouvelles chaines de divisions pour régner et résolument inscrit dans la logique infernale de fossoyeurs de démocratie pluraliste et électorale.

*- L’Anticipation des perspectives d’avenir meilleur dans le temps pour notre nation souveraine une et indivisible.

Bon ! N’ont-ils pas compris cela, ces déserteurs aveuglés par les joies éphémères de la satisfaction des raisons uniques de ventres ? Surtout qu’il s’agit d’absolutisme totalitaire, fossoyeurs de la démocratie, et artisans des fraudes électorales ? Quand est-ce que ces déserteurs  comprendront qu’ils n’auront aucun bonheur définitif, que sauf si, il est partagé avec la totalité sociale souveraine ? Et que les Bétons et le goudron à sources d’endettement n’expliquent pas développement, évolution et progrès social ? Oui, la LC_CRS, « Mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicaine sociale, Houphouëtiste enragée et d’un éclectisme hautement assumé, vous plaint fichus messieurs et mesdames achetés et acheteurs. Parce que vous êtes, l’incarnation incontestable d’un mal sociopolitique. La LC_CRS, vous plaint messieurs et mesdames achetés et acheteurs. Parce qu’il est constant de par le monde qu’une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise. Et c’est Pareil pour l’outil démocratique, qui mal exploité peut tuer les principes coutumiers et règles universelles, les droits inaliénables et les libertés individuelles. Oui, nous espérons des politicards arrivistes renégats renifleurs de Bouffe, qui voltigent de montagnes en montagnes, et des mange-mils saisonniers nihilistes et iconoclastes dans l’âme, que sur la voie de l’aube indicateur, nous, nous rejoignons à nouveau, tous citoyens libres, avec la politique comme jeu de représentativité nationale, avec voie d’accès le peuple non-traumatisé et soucieux du devenir de la côte d’ivoire.

Autrement dit, tous soucieux d’une paisible anticipation des perspectives d’avenir de la côte d’ivoire de demain. Donc, unie, solidaire, synergique, de combattre tous ensemble, soudé et rafistolé dans les mêmes rangs pour un avenir meilleur de notre chère Patrie, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny une et indivisible. Se faisant qui s’affirmerait ainsi plus que jamais paisible, évoluant vers et autour des perspectives d’avenir consensuelle-ment pensées, solidairement retenues. Donc à chaque rencontre entre nous à l’aube et afin d’éviter de faire recouler le sang citoyen au terme des élections devenues jeux, et d’ainsi obvier les crises sociopolitiques et ne plus retomber dans le même travers politiques de chaos, chacun de nous donnera son avis, pour que nous parlementons sans tabou sur l’avenir commun de notre chère Patrie jusqu’au lever du soleil. Voici l’idéal ! Si jamais cette sage option ne rencontre pas l’agrément des déserteurs de la voie d’intérêt public et d’intérêt général pour des raisons de ventres ou pour les Bouffes qu’ils auront déjà Bouffée a la table de convives mafieux, qu’ils s’asseyent donc, avec leurs acheteurs, autour de la malbouffe, exposer sur la table des convives mafieuses, avec dans leurs mémoires la côte d’ivoire d’abord, et se rassasient bien à leurs convenance, ensuite rassasier, qu’ils se ressaisissent, afin de jeter l’arme de la division pour régner, et venir à notre rencontre à l’aube, tous citoyens libres sur le chemin de l’intérêt de la totalité sociale souveraine, de l’intérêt public, et de l’intérêt général, qui ne se divise pas, qui ne se sectionne pas, et de la recherche inlassable parfois ingrate de la paix et de la stabilité sociopolitique et pour l’anticipation d’une perspective d’avenir meilleur dans le temps pour notre nation souveraine une et indivisible.

*- La PROSTITUTION politique « Tout-Tout-Yâ politiques » qui consiste qu’à ne se soucieux que du prix a payé.

Et alors, nous dirons tous ensemble ce jour-là, Non ! Non ! Et non ! A la guerre fratricide, quelques soit son mode de manifestations, au tour de la chose publique, et entre ivoiriens de tous bords, pour que vive l’union fraternelle de tous égaux, indépendamment des richesses, au mépris des castes biologiques, en dépit des intérêts politiques et au mépris des besoins de ventres. Chacun fort de ses convictions politiques, fort de son idéologie politique, fort de sa philosophie politique, sans cooptations-achats, nous irons tous, à l’Olympiade démocratique discursive, à la conquête libre, de l’adhésion du peuple souverain libre, ultime détenteur du pouvoir dans un état républicain de droit et sa procuration électorale aussi libre et souveraine, aux termes des élections parfaitement organisées, par un corpus électoral bien agencé et protéger par un bloc de normes juridiques, de grands principes universels, et règles coutumières, sous l’égide d’un organisme électoral totalement indépendant, Autonome et Apolitique, qui produira des résultats inattaquables, par tous les compétiteurs tenus loin à l’écart du centre des décisions électorales dans leurs QG de campagnes, les yeux et les oreilles tendus vers l’organisme électoral imperturbable. Le ou les compétiteurs mauvais perdant qui oseront crier a un but de la main-de-Dieu validé systémiquement, doit entendre «Hé ! Toi-là ! Ou Hé vous-là, foulez-le-camp là-bas » le match est terminer, c’est fini !!! Agbô !!! Oui, la LC_CRS porte plainte devant le peuple souverain ivoirien régulateur suprême, ultime détenteur du pouvoir d’état, au terme de ce « KOUMA » réquisitoire, qui appelle sans détour une sentence de sanction démocratique et populaire de la politique du ventre menée au mépris de l’intérêt général, de de stabilité et de la paix de messieurs et mesdames les achetés et les acheteurs, qu’est le Boycott des élections à venir non-balisées consensuelle-ment.

Peut-être d’aucuns trouverons-là dans ces «KOUMA» du désespoir, Non ! Tout sauf ça ! Même si l’espoir est le désespoir surmonté, ou pour d’autres  un Rêve ? Bon ! Soit, mais nous commençons à faire exister ce rêve, s’il en est un. Pour qu’il soit instauré a jamais dans les réalités sociopolitiques de notre pays. Bon ! C’est notre souhait de toujours. Mais, ces politicards qui enfourchent les grands chevaux mercantilistes et ploutocratiques armés jusqu’au ventre, le souhaitent-ils ainsi face aux besoins du ventre ? Et se faisant refuser de suivre les acheteurs et les cooptations mercantilistes, dans l’aventure funeste et mortifère vers le précipice abyssal, devant lequel leurs acheteurs ont conduit notre totalité social mal piloté, d’où il n’y a plus de route, dans une république de façade, qui apporte à leurs acheteurs de nouvelle chaines de divisions pour pouvoir régner, et résolument inscrit dans une logique infernale de fossoyeurs de la démocratie et de la fraude électorale qui s’en suit. N’ont-ils pas compris que cela ces déserteurs aveuglés par les joies éphémères de satisfaction des raisons uniques de ventres ? Quand est-ce que ces déserteurs  comprendront qu’ils n’auront aucun bonheur définitif que sauf si il est partagé avec la totalité sociale souveraine. Nous en redoutons, puisque la PROSTITUTION politique « Tout-Tout-Yâ politiques » qui consiste qu’à ne se soucieux que du prix a payé ou que tout doit avoir un prix, a pris fermement pied dans notre pays et va perdre la politique ivoirienne et partant le fonctionnement légal et normal la société ivoirienne.

*- Régler le système avant les élections, qui seront de véritable Olympiade démocratique discursive sans Haine.

Quand un homme politique d’un parti politique de l’opposition prétend quitter son parti politique de l’opposition parce qu’il a vu le parti au pouvoir travailler, cela certifie trois faits indéniables : 1 Cet homme politique avait adhérer à son parti initial sans aucune conviction idéologique et politique, 2)- Cet homme est en réalité un n’opportuniste « salade de lagune qui voyage au gré des courants d’eaux», sans repères, sans visions, sans projets, surtout il est incapable de travailler et ne connait même pas l’acception du mot travail et ignore tout du but de la création d’un parti politique. 3)- t Et Cet homme, de même que pour son premier parti qu’il quitte, il va adhérer au parti au pouvoir sans aucune conviction idéologique et politique, il est en quête de profit, il est incapable de travail, il vient suivre une tutelle pour laquelle il ne sera même pas un Appoint en quoi que ce soit. Puisque le travail à la tête d’une entité sociale « état » ne se mesure pas uniquement par l’apport du bien matériel, ce travail ne vaut que par le service qu’il rend l’entité sociale gouvernée, donc, à l’homme, aux citoyens, et a la société dans son organisation et dans son liens social qui est éminemment politique. Ce travail n’en jamais pour fixation unique l’embellissement de l’espace de vie et la recherche de l’enrichissement illicite au mépris de toute morale humaine, pour être de jungle. Aussi un gouvernant d’une entité sociale « état » qui travail est avant tout un serviteur de l’intérêt général. Les privilèges et avantages qui lui sont accordés ne peuvent être justes et légitimes, que lorsqu’il y a une contrepartie en termes de services justes et équitables rendus à la nation, à la société commune dans son organisation collective, sans exclusive, sans aucune politique absolutiste de confiscation du pouvoir d’état, dans une société de stabilité et de paix pérenne réconciliée avec elle-même.

Bon ! D’autres ont dit dans ce pays que les Bœufs se promènent ensemble mais qu’ils n’ont pas le même prix, soit, Mais diantre ! Donc, qu’on laisse les bergers propriétaires de Bœufs de fixé les prix. Que les Bœufs de labour ne se contentent pas d’un éphémère Broutage ou bouchée d’herbe, comme leurs prix. Sinon les bergers risquent de sortir les gourdins et les bâtons, sinon les long épées ou sabres. Ce qui ne présagerait pas la stabilité politique et la paix sociale. Et surtout un Bœuf de labour connait toujours son chemin de retour vers son enclos d’origine. Et il va toujours en laissant la comptabilité des dégâts à son propriétaire. Donc, nos œuvres politiques doivent être conformes à l’idéal de stabilité et de paix sociopolitique. Bon ! Puisqu’il est de notoriété universelle, qu’’il en va de la médecine comme de la politique, qu’il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic, donc, le diagnostic, posée ci-dessus, revoilà nos remèdes, conditions de participations aux élections. Donc, disons-nous qu’il nous faut un corpus d’organisme électoral, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs politique d’accord. Pour enfin obtenir, une vraie réconciliation nationale entre les acteurs politiques ivoiriens d’abord et entre la composante de la totalité sociale avant les majeures bonnes élections. Qui seront de véritable Olympiade démocratique discursive sans Haine, ou les discours creux déconnectés de la réalité, aurons réponses dans l’urne.

*- La LC-CRS ne conduira jamais son mouvement de citoyens libres à un agencé trucage électoral programmé.

Donc, un organisme électoral fiable :  En tenant compte que  les obligations relatives aux élections démocratiques relèvent de quatre grands principes : 1) l’exigence de tenir des élections honnêtes 2) l’exigence fondamentale relative à la primauté du droit et des règles coutumières universelles, et l’engagement de l’état «entendu  les gouvernants» à prendre les mesures requises pour remplir ces obligations et protéger les droits et les libertés,  3) l’exigence procédurière, centrée sur le processus électoral à proprement parler,  et 4) les droits et les libertés individuels. Mise ensemble, ces exigences orientent une démarche de l’évaluation des élections qui est fondée sur les droits de la personne humaine, ou l’homme est la centralité absolue de tout le système électorale, au mépris des intérêts politiques. Il  faut que les arbitres ne soient d’aucune équipe en compétition et totalement dédouanés de partisannerie. Ainsi se faisant, nous pourrions obvier impérativement que, le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il n’y a point de développement, le respect de la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement, et une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par Houphouët Boigny, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif inlassablement recherché mais inatteignable pour notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. 

Donc,  nous redisons ici encore qu’en l’absence, d’Une commission électorale Autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral, sans aucune interférence de qui que ce soit, et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- 2- qui nommera librement des Juges des élections impartiaux « conseil constitutionnel judiciaire ». 3- Qui procédera à un Découpage électoral équilibré sous les conseils et expertises des spécialistes qu’elle s’attachera. 4*- Qui fera une identification claire et un enrôlement fiable des électeurs légaux, et dotera GRATUITEMENT tous les citoyens majeurs de pièces d’identités en vue de leurs participations aux processus électoraux, en proscrivant énergiquement les acquisitions frauduleuses de nationalités et du droit de votes. 5*- Donc, qui produira une liste électoral consensuelle et fiable, sans transports, transferts, ou mutations de brigades de soutiens dans l’espace électoral national, et conforme à la démographie nationale d’un pays de « 30 Millions d’habitants » *-6- Qui fixera une Condition claire d’accession à la candidature aux postes électifs de représentations nationales, pour qu’ils résultent tous, Sénateurs y compris du suffrage Universel Direct, et qui veillera que le lien de rattachement social et territorial des candidats soit très solide*- 7- Qui se procurera des Instruments électoraux fiables et les modes de scrutins adaptés*- 8- qui exigera de l’état, des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale conforme aux normes et  standard internationaux coutumiers, pour le bon fonctionnement juridico-politique de son organisme, etc ». Qu’en politique, la vraie, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique d’un pouvoir d’état que de faire partager à l'ensemble des citoyens libres, la conviction que leur volonté s'exprime à travers les représentants qu'ils se sont librement choisis.

Oui, dans un système réellement démocratique, d’un état républicain de droit, les grands principes universels, et les règles coutumières veulent que, le gouvernement soit confié pour un temps à des hommes bien élus par leurs concitoyens dans le respect de la neutralité de l’organisme électoral. Dans ces conditions, si le pays est content d’eux, il les maintiens au pouvoir ; s’il n’en est pas content, il les change, sans bruit, sans violence par la seule force du suffrage universel Direct. Et lorsqu’on contourne cette réalité tangible par des questions saccadées qui paraissent impropres à la saine pratique démocratique et électorale, l’Animosité du rapport de force supplante la démocratie et le jeu électoral. On entre alors ainsi, dans un système obscurantiste partisan et mafieux. Oui, dans un système électoral confisqué, partial, mafieux, érigé en organisme de trucage, ou les participations aux élections ne peuvent rien changé, pour l’évolution vers une vie socio-politico-démocratique paisible respectueuse des droits et des libertés, on n’arrive à se débarrasser d’un pouvoir violeur impénitent des droits, qu’au moyen de KOUMA, de toujours KOUMA en espérant réveiller les consciences citoyennes et populaires vers une organisation électorale fiable. Oui, notre peuple, la terre de nos ancêtres vit un moment de crise sociale historique sous l’emprise d’un changement politico-économico-social dramatique non-maitrisée, dont l’ivoirien doit œuvrer sans relâche, pour empêcher, qu’il ne tourne à de nouvelles tragédies politico-sociales gouverné par les armes impies. Donc que, la légitimité citoyenne, LC-CRS ne conduira jamais son mouvement de citoyens libres à une agencée trucage électoral de démocratie de façade ou des mascarades d’élections bâclées, aux résultats connus d’avance. MOUK ! Jamais de la vie. Citoyens libres de tout engagement sur ceci nous avons KOUMA au mépris du ventre. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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25 février 2023 6 25 /02 /février /2023 04:51
Lepetitfils : La Côte d’ivoire dénaturée, acculturée, asphyxiée, étouffée, s’exsangue, sur le voie périlleuse de la désocialisation en outrance. La côte d’ivoire de demain se réduira inexorablement a la cartographie des états, elle ne serait plus culturelle ou de civilisation-Laïque. La côte d’ivoire perd son identité sociale, et perd sa spécificité dans  le concert des nations ou chaque entité constituée en nation est porteur d’une civilisation spécifique exprimant sa différence à l’intérieur de l’égalité de tous égaux en droits et devoirs. Il y a manifestement péril.

Lepetitfils : La Côte d’ivoire dénaturée, acculturée, asphyxiée, étouffée, s’exsangue, sur le voie périlleuse de la désocialisation en outrance. La côte d’ivoire de demain se réduira inexorablement a la cartographie des états, elle ne serait plus culturelle ou de civilisation-Laïque. La côte d’ivoire perd son identité sociale, et perd sa spécificité dans le concert des nations ou chaque entité constituée en nation est porteur d’une civilisation spécifique exprimant sa différence à l’intérieur de l’égalité de tous égaux en droits et devoirs. Il y a manifestement péril.

(A LIRE INTÉGRALEMENT POUR LE CITOYEN QUI ESPÈRE DE DEMAIN)

*- Chronique « KOUMA » : Une société Humaine se règle avant tout par la PAROLE comme Remède.

Revenons-en, face à la force aveugle d’un absolutisme totalitaire réfractaire à toute socialisation réfléchie. Donc, nous avons dit et répéter, qu’il nous faut, un corpus d’organisme électoral, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs politique d’accord. Pour enfin obtenir, une vraie réconciliation nationale entre les acteurs politiques ivoiriens d’abord et entre la composante de la totalité sociale souveraine, avant les majeures bonnes élections. En tenant compte que  les obligations relatives aux élections démocratiques relèvent de quatre grands principes : 1) l’exigence de tenir des élections honnêtes 2) l’exigence fondamentale relative à la primauté du droit et des règles coutumières universelles, et l’engagement de l’état «entendu  les gouvernants» à prendre les mesures requises pour remplir ces obligations et protéger les droits et les libertés,  3) l’exigence procédurière, centrée sur le processus électoral à proprement parler,  et 4) les droits et les libertés individuels. Mise ensemble, ces exigences orientent une démarche de l’évaluation des élections qui est fondée sur les droits de la personne humaine, ou l’homme est la centralité absolue de tout le système électorale, au mépris des intérêts politiques. Il  faut que les arbitres ne soient d’aucune équipe en compétition et totalement dédouanés de partisannerie. Ainsi se faisant, nous pourrions obvier impérativement que, le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il n’y a point de développement, le respect de la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement, et une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par Houphouët Boigny, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays. Donc nous redisons que, la légitimité citoyenne,  LC-CRS ne conduira jamais son mouvement de citoyens libres à une agencée démocratie de façade ou des mascarades d’élections bâclées, aux résultats connus d’avance.

Donc, puisqu’il est de notoriété universelle, qu’’il en va de la médecine comme de la politique, qu’il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic, revoilà nos diagnostiquées conditions de participations aux élections ou nos remèdes électoraux: « Une commission électorale Autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral, sans aucune interférence de qui que ce soit, et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- 2- qui nommera librement des Juges des élections impartiaux « conseil constitutionnel judiciaire ». 3- Qui procédera à un Découpage électoral équilibré sous les conseils et expertises des spécialistes qu’elle s’attachera. 4*- Qui fera une identification claire et un enrôlement fiable des électeurs légaux, et dotera GRATUITEMENT tous les citoyens majeurs de pièces d’identités en vue de leurs participations aux processus électoraux, en proscrivant énergiquement les acquisitions frauduleuses de nationalités et du droit de votes. 5*- Donc, qui produira une liste électoral consensuelle et fiable, sans transports, transferts, ou mutations de brigades de soutiens dans l’espace électoral national, et conforme à la démographie nationale d’un pays de « 30 Millions d’habitants » *-6- Qui fixera une Condition claire d’accession à la candidature aux postes électifs de représentations nationales, pour qu’ils résultent tous, Sénateurs y compris du suffrage Universel Direct, et qui veillera que le lien de rattachement social et territorial des candidats soit très solide*- 7- Qui se procurera des Instruments électoraux fiables et les modes de scrutins adaptés*- 8- qui exigera de l’état, des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale conforme aux normes et  standard internationaux coutumiers, pour le bon fonctionnement juridico-politique de son organisme, etc. ». Avec ces conditions électorales claires et fiables qui rassurent tout le monde, nous serions fiers de 00,00% que d’obtenir 99,99% dans le système d’organisation électoral actuel manifestement frapper ou mouler au couleur ostensibles du R?DP. Oui, nous disons, qu’à défaut de ce système électoral fiable, il faut boycotter les élections et opter pour une reddition de comptes de la crise socio-politico-électoral qui s’impose comme devoir de citoyens libres qui veut la paix sociale.

*- Les citoyens libres  dégonfleront démocratiquement, le mythe de l’invincibilité de l’absolutisme totalitaire

Donc, nous disons donc, que la légitimité citoyenne « mouvement d’utilité citoyenne » qui a pour mission de défendre les droits, les libertés et les intérêts citoyens en tout lieu et en tout temps s’appuiera ici encore sur le conseil d’un sage dans notre «naïve» enfance, qui veut que la politique, la vraie politique, c’est dissuader, c’est convaincre, c’est persévérer à toute épreuve dans les mêmes positions et dans les mêmes discours, et d’y persister dans la pire des situations au risque de sa vie physique. Et de conclure en disant ne minimiser pas ce «X» il a une voie politique, donc, il peut devenir président, et ce «X» est devenue président contre toute entente. Donc notre mouvement d’utilité citoyenne « LC_CRS, Mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicaine sociale, Houphouëtiste enragée et d’un éclectisme hautement assumé, parce que né à partir d’un besoin de régulation sociale en 1994, ne peut varier, au moment même où rien n’a changé vingt-neuf  «29» ans après sa naissance dans la peur du lendemain au terme du décès du « Vieux »,  Félix Houphouët Boigny, Nous avons préféré dès le départ « dans l’enfance fougueuse », l’embarras matériel dans l’aisance intellectuelle à l’embarras intellectuel dans l’aisance matérielle. Hélas même devenue un Moine Tibétain entre les mains d’un dignitaire Chinois, ou d’un petit Ukrainien revendiquant sa souveraineté devant un oligarque Russe, dont les sorts sont connu, programmés et schématisés, « ne pas laisser émerger » mais malgré tous les écueils, notre éclectisme impassible soutient notre foi inébranlable en l’avenir de notre position politico-idéologico-philosophique, dans l’arène politique ivoirienne, conforme à l’idéal sociétal de notre source atavique et surtout notre espérance à un avenir meilleur, malgré le sempiternelle chaos social à nous imposer, sur le long chemin parcouru dans l’effacement». Le banditisme politique et la voyoucratie politicarde n’ont jamais été des nôtres. Citoyen oblige !

Donc notre méthode de lutte ne changera jamais, tant que le besoin de régulation sociale existera, dans notre désormais fichu de pays. Nous n’adopterons pas non plus des effets de mode de lutte cyclique ou du copier-coller. Donc analyses, critiques, et dénonciations demeurent nos champs publics de prédilections. Malgré souvent l’embarras matériel et en dépit de  l’absence de responsabilité officielle publique et au mépris de la détention du pouvoir d’état dont nous restons fermement compétiteurs déterminés, a la recherche d’un champ de course fiable et bien balisé. Qui pourra enfanter un pouvoir d’état, qui permettra aux bateaux du progrès intégral de reprendre la voie royale, universelle vers la lumière du développement économique et politique destinée à rendre la raison à la nécessité populaire sans qu’une seule goutte de sang ne soit versée.  Même si après soixante-deux,  « 62 » ans d’indépendance notre pays reste par excellence le centre de toute les gravités socio-politico-économiques de ce monde planétaire par la faute de certains carriéristes aveuglé par le pouvoir d’état. Mais,  nous restons convaincus qu’un jour viendra certainement où nous « citoyens-libres » pourrions ouvrir sur un autre soleil, les yeux de nos sœurs et frères et de nos filles et fils, sur cette terre  que nous ont légué nos chers ancêtres. Ce jour, nous pensons toujours qu’il se lèvera, car dans nos cœurs l’espérance est profondément gravée.  En attendant ce jour aujourd’hui, pris en otage par des hommes beaucoup plus soucieux des pactoles à amassés injustement, que de l’exercice du pouvoir d’état qui a pour but de servir et non se servir, nous devons toujours « KOUMA ». Face à des hommes qui ignorent tous des grands et nobles principes qui ont guidés nos devanciers qui pendant longtemps se sont battus pour donner une dignité à cette terre et patrie que nous avons reçu en héritage qui exige mérité et continuité. Un jour et ce jour est certain, les citoyens libres  dégonfleront pacifiquement, démocratiquement, électoralement, le mythe de l’invincibilité de l’absolutisme totalitaire, qui n’aiment que les comptes et décomptes de milliers de milliards dans une totalité sociale miséreuse et desesperer.

*-La volonté générale doit s‘exprimer dans l’organisation socio-politico-électoral et se refléter dans les décisions.

C’est pourquoi nous disons, qu’il est des agissements politiques qui dénotent, non seulement le ridicule dans l’action politico-gouvernementale, mais surtout manifestes la bassesse des ambitions perverses. En ce sens que ces agissements politiques sont porteurs de périls pour leurs auteurs dans l’avenir et pour la nation toute entière qu’ils dirigent aujourd’hui. Puisqu’il est politiquement invariable qu’il est illusoire de vouloir installer un Etat de droit, et inutile d’espérer d’une paix sociale, là où derrière une république de façade se cache un système politique absolutiste totalitaire, et assis sur un dirigisme économique criminel aveuglé par le pouvoir d’état. Dans ce cas, s’il n’y a pas de régulation et de contestation soutenue, dans la société commune, c’est une démocratie de façade qui s’installe.  Parce que les  illusions du pouvoir étatique est dangereuse pour lui-même et pour le peuple souverain qu’il gouverne, en cela qu’elle se refuse à toute critique rationnelle des fondements de ses croyances illusoires et à toute remise en question de ses évidences politiques toute faites, qu’elle prétend imposer au peuple souverain. Cette pensée illusoire de détenir la vérité indiscutable et sacrée, est dangereuse pour lui-même «pouvoir étatique » et pour le peuple souverain qu’il gouverne, avons-nous déjà dit. C’est pourquoi, pour un tel pouvoir, tout désaccord et toute critique du caractère indiscutable de ses illusions désigne nécessairement l’autre comme l’ennemi de sa vérité qui ne demande que le droit à la soumission, à tout ce qu’il édicte unilatéralement pour couvrir des intérêts personnels. Donc désigne l’autre nécessairement comme un danger qu’il faut détruire.

Donc, ici, point de respect des droits inaliénables du peuple, point de consensus, point de dialogue inclusif, point de débats démocratiques, point de liberté d’expression. C’est lui qui décide, point ! Je suis du parti au pouvoir point, je suis le chef qui, nomme point. Or quand une position illusoire d’intérêt personnel d’un pouvoir absolutistes et totalitaires, est tenue pour vérité absolue ou tenue pour une supposée valeur normative sociétale, alors qu’elle ne protège que les intérêts, d’un pouvoir étatique qui ambitionne de l’imposer aux autres, en dehors de tout fondement rationnel, surtout, alors qu’elle n’exprime qu’un sentiment personnel ou un désir personnel ; elle viole incontestablement le droits inaliénables du peuple. Et fait violence aux autres pour tenter de les soumettre à l’arbitraire à défaut de les convaincre au terme d’un dialogue inclusif. C’est ainsi que ce pouvoir qui se refuse à tout examen critique devient nébuleux, intolérant, violent, méprisant voire criminel. Parce qu’une opinion personnelle qui prétend valoir pour les autres -Vérité objective, normes et valeurs collectives, est une illusion dangereuse, qui ne repose sur aucun fondement rationnel d’intérêt général. C’est pourquoi les difficultés que les diverses communautés ethniques d’une nation éprouvent souvent à vivre pacifiquement ensemble sont dues souvent aux multiples tensions attisés par les illusions personnelles du pouvoir absolutiste et totalitaire, au mépris de l’intérêt général et de la volonté général. Alors que la volonté générale doit toujours s‘exprimer dans le processus d’organisation socio-politico-électoral, et doit se refléter dans les décisions du pouvoir politique. Donc, il faut, que les institutions étatiques soient constituées de telle manière qu’elles permettent son expression à toutes les étapes, et a tous les étages des décisions publiques ou politiques, sans absolutisme et sans totalitarisme. Dans l’idéal donc, sans illusions ou illusoires,  il faudrait que chaque citoyen puisse participer aux décisions publiques. Ainsi notre système opte pour le principe de la représentation de la volonté générale, dans le système de l’organisation sociopolitique et, dans le système des élections aux suffrages universels directs.

*- La roue de l’histoire tourne et tournera toujours comme de Pharaon en passant par Adolf Hitler à nos jours.

Donc, ce genre de pouvoirs absolutiste et totalitaire, se nourrit de mystification glauques et visqueuses, sur les faux Auras factices, et  surtout s’appuie sur le suivisme et le panurgisme, articulés a l’ignorance idolâtre en des fausses fanfaronnades. Ce genre de pouvoir absolutiste et totalitaire est gagnant sur cinq (5) tableaux de l’ignorance idolâtre : 1)- l’ignorance idolâtre reste maitresse absolue dans la génuflexion, dans courbette, dans la prosternation face aux politiques alimentaires. 2)- l’ignorance idolâtre fait ce qu’on lui impose de non-droit, n’étant capable de librement juger au mépris des besoins de son ventre. 3)- l’ignorance idolâtre entrera dans n’importe quel compromission mercantilistes et lucratifs en chantant des jérémiades, là où il doit s’opposer à l’inadmissible, l’intolérable et l’injustifiable, notamment la défense désintéressée des droits civils et politiques des libertés, pour se faire gouverner par les hommes qu’elle choisit, dans un système électoral fiables, à des termes aussi librement fixé et selon des normes et organismes électoraux consensuels, a défaut desquels elle s’interdit tacitement tout comportement citoyen et accepterait ainsi son confinement dans une vie de panurgisme moutonnier d’Animal qu’on lui impose de fait. 4)- l’ignorance idolâtre accepterait n’importe quelle politique de destruction sociopolitique des possédants de bouffes dont elle est la première victime désignée, « Idéologie politique, philosophie politique, doctrine politique, appartenance partidaire, deviennent du leurre. Une vache qui ne demande qu’à manger malgré tout et en dépit de tout, même avant de passer à l’abattoir ». 5)- l’ignorance idolâtre, ne serait jamais, pour quelques raisons que ce soient, un rival des possédant du pouvoir et d’argent, ni un concurrent crédible par rapport aux fortunes à amasser, il se contentera de sa bouffe, rien que la bouffe, tout pour la politique de bouffe a la remorque des bouffes-tous. Il ne réalisera jamais se faisant ainsi, qu’il se réduit a la vie d’Animal, diamétralement opposée à celui de citoyen libre en mission de défense des droits.

 C’est pourquoi on aime a dire souvent que le pouvoir absolu et ses démembrements ou satellites de cooptations-Achats monnayables sont le contraire de la Raison. C’est pourquoi aussi que les Analyses technique de raisons et les Analyses expertes, doctes, esthètes sont taxées de inutiles dans notre pays la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. Et c’est ce qu’on nous dit tous les jours, dans chaque coin de rues ignorantes, que seul Dieu l’Argent possède la valeur sociale de leur nouvelle côte d’ivoire ploutocratiques et mafieuse à l’opposé diamétrale de celle de Felix Houphouët Boigny. N’en rions pas ! L’ignorance idolâtre en est la cause unique. Donc, nous, nous bornerons ici, a observer que le sinistré cynisme politique du pouvoir absolu et totalitaire n’est pas seulement une grave faute morale mais aussi une très grave faute technique de politique. Puisque si ce cynisme politique sinistré des cooptations-Achats monnayables des renégats, arrivistes, nihilistes et iconoclaste politicards, était fondateur de quoi que soit, eh bien ! L’histoire de l’humanité allait se réduire à des empires éternels et des Reich millénaires. Mais hélas ! Dans une constance absolue, ce sur quoi d’autres avaient fondé leurs politiques du pouvoir absolu et de totalitarisme en foulant au pied les grands principes universels de démocraties se sont effondré sous leurs yeux de leurs vivants. Pas besoin d’en citer ici, le monde en est plein. Mais il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre et pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. La roue de l’histoire tourne et tournera toujours comme de Pharaon en passant par Adolf Hitler à nos jours. Histoire en est peine et debordante

*- L'idée qui impose que la société gouverner par le MOI est celle qui se fonde sur la contrainte totalitaire.

Aujourd’hui, la société ivoirienne est à la dérive, ou la saine pratique politique est largement menée aux points par l’affairisme mafieux sur un Tapis glauque et visqueux, ou la laïcité est définitivement dans les cordes de l’obscurantisme, oscillante, vacillante et titubante sur ses bases légales sous les coups nébuleux a lui administrés. Les droits inaliénables de l’homme et les libertés fondamentales du citoyen sont à genou en prière devant Dieu l’argent, qui adjuger volontier le tout social d’une nouvelle ploutocratie hybride et débridée. La mesure de valeur sociopolitique est confinée dans la force matérielle et du matériel. L’ordre social est segmenté et privatisé chaque portion engraissée, a sa compréhension de l’ordre au détriment des amaigris systémiques. Les mœurs sociétales ataviques prises à la gorge et groggy, désespérées grommelle entre les mains nébuleuses et obscurantistes de petits malins inspirés par les mœurs d’outre cieux. La sagesse et l’intelligence ivoirienne sont tronquées contre la délinquance criminelle et l’escroquerie morale, intellectuelle. La tranquillité et l’espérance ivoirienne sont tronquées contre la versatilité et la désespérance. La critique de la lourdeur ivoirienne à entreprendre « ou même pour d’autre non-averti la fainéantise » sont troquées contre le fait-tout et le tout-permis. Les mensonges éhontés ont vaincus les vérités historiques, et ont fini par mettre les libertés individuelles et publiques en danger. L’honnêteté est devenue un crime face à la malhonnêteté devenue une force sociopolitiques incontournables. La société ivoirienne a perdu ses repères d’autres fois, qui imposaient respect et admiration de par le monde. La Côte d’ivoire dénaturée, acculturée, asphyxiée, s’étouffe, s’exsangue, sur le voie périlleuse de la désocialisation en outrance. La côte d’ivoire de demain se réduira inexorablement a la cartographie des états, elle ne serait plus jamais culturelle ou de civilisation-Laïque. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny perd son identité sociale, et perd sa spécificité dans le concert des nations ou chaque entité constituée en nation est porteur d’une civilisation exprimant sa différence à l’intérieur de l’égalité de tous égaux en droits et devoirs. Il y a manifestement péril.

Une société humaine se règle consensuelle-ment, a l’intérieure de la société commune et a l’intérieure de l’égalité de toutes sa composante sociale. Le cadre de l’organisation sociale doit reposer sur un ensemble  de règles et normes que les individus élaborent consensuelle-ment, a fin de vivre paisiblement et harmonieusement en collectivité et de profiter des fruits de l’organisation sociales communes. Dès lors, la politique du MOI « absolument » définit l’homme politique  porteur comme une centration sur soi, c'est-à-dire un être réfractaire à toute socialisation réfléchie. Donc, une concrétion du Moi et jamais une convergence vers ou avec l’autre. Ce qui impose ainsi l'idée que la société correspondant à un tel individu est celle qui se fonde sur la contrainte. Et la contrainte exercer au mépris des droits réels, ne peut nullement gouverner éternellement une société Humaine. Donc, nous avons dit qu’il nous faut, un corpus d’organisme électoral, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs politique d’accord. Pour enfin obtenir, une vraie réconciliation nationale entre les acteurs politiques ivoiriens d’abord et entre la composante de la totalité sociale souveraine, avant les majeures bonnes élections. Et ensuite d’obvier définitivement les crises sociopolitiques devenues sempiternelles et cycliques dans notre pays la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. Citoyens libres sur ceci nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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